23e CONVERSATION ENTRE MARISOL et Jorge Barrenechea – 25 mai 1988, lettre ummite dictée par téléphone
OPTONIQUE
A mes amis Jorge Barrenechea et Rafael Farriols :
Au nom de notre amitié, permettez-nous de mettre notre main sur votre poitrine.
Nous avons capté vos conversations par voie téléphonique au moyen de notre système (d’écoute). Nous considérons URGENT une fusion secrète des membres que nous citons ci-après :
Rafael Farriols et Juan Domínguez se mettront en rapport avec une firme exclusivement occidentale qu’ils choisiront eux-mêmes. Le contact réalisé par Monsieur Farriols est valable.
Juan Domínguez se chargera de monter son centre d’opérations à Madrid avec une infrastructure minimale.
De son côté, Monsieur Barrenechea, en totale indépendance et assisté de son neveu Julián, se focalisera sur le marché oriental (la firme Zeis est valable) en fonctionnant en autonomie.
Jusqu’à ce que nous donnions des conseils de fusion, vous devez conserver les deux groupes.
Les autres membres du groupe sélectionné (il s’entend que son le reste = Marisol) devront attendre nos conseils pour intervenir.
Ces instructions sont très transcendantes . Leur importance doit primer sur les autres priorités. Les deux groupes doivent opérer indépendamment du flux de CAPITAL apporté. Ceci force à supposer que le projet de Barranechea est le plus fragile. Jusqu’au moment de la fusion ou à un moment dangereux le consortium et la firme choisie n’effectueront aucun transfert de capital.