D21
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol.
Nombre copies : 28
Monsieur,
Nous sommes conscient de la transcendance de ce que nous allons vous dire. Nous sommes conscients qu’une affirmation de ce type n’est d’habitude formulée que par un farceur, un perturbé mental aux idées délirantes, ou par quelque journaliste ou publicitaire, afin d’exploiter l’information à son propre profit.
Quand une nouvelle sort du cadre normal de vraisemblance, et qu’il manque des moyens et des éléments de jugement pour vérifier sa réalité, tout esprit équilibré et intelligent a le droit, et doit adopter une attitude sceptique ou de méfiance. « On ne doit pas accepter le simple témoignage encore moins, comme dans le cas présent, quand son origine est inconnue et donc suspecte de supercherie ».
Quant à nous, il est évident que ce que nous allons dire est certain. Mais nous ne pouvons vous demander en toute logique de croire une information aussi fantastiques. « Nous admettons qu’à votre place nous réagirions de la même façon ».
Par contre, l’attitude de celui qui tolère « A PRIORI » une quelconque version est admissible, si ensuite il l’analyse soigneusement et sans passion afin de rechercher la vérité. En fait tous les chercheurs de la planète TERRE ont suivi ce critère.
Si des concepts qui HIER semblaient fantastiques et absurdes n’avaient pas été analysés par les spécialistes compétents, seriez-vous à l’heure actuelle au même stade culturel que connait la Terre?
Mais si de tels concepts sont faux, si de telles versions sont frauduleuses, et s’il s’agit uniquement d’impostures habiles, LA VÉRITÉ doit se faire jour en démasquant le farceur, le paranoïaque ou l’imposteur qui prétend les faire passer sous l’étiquette de SCIENTIFIQUES.
Nous avons suffisamment étudié votre histoire pour remarquer l’immense nombre de faux prophètes, d’esprits paranoïaques, qui à leur profit, exploitèrent la crédulité ingénue des scientifiques de bonne foi.
Nous avons vu comment la Science a dû lutter contre des formes nébuleuses de superstition, d’astrologie, de théosophie, de spiritisme et de radiesthésie. Et même si elles avaient quelques principes valables et susceptibles d’être étudiées, dans l’ensemble elles présentèrent une accumulation d’affirmations gratuites, de raisonnements analogiques absurdes, de pétitions de principe totalement inacceptables pour un esprit équilibré.
Ces dernières années, à cause de l’apparition dans l’atmosphère terrestre des U.F.O., O.V.N.I. ou SOUCOUPES VOLANTES, la fantaisie des hommes de la Terre a augmenté avec la multiplication dans la presse de fausses nouvelles concernant ces phénomènes et, ce qui est plus grave, l’apparition dans de nombreux pays d’individus comme Georges Adamski en 1952, Daniel Fry ou la norvégienne Edith Jacobsen en 1954, qui juraient avoir eu des relations avec des êtres originaires d’autres planètes.
Ces sujets, et la crédulité initiale des masses qui acceptaient ces versions absurdes, ont discrédité totalement les études sérieuses qui étaient l’œuvre de départements techniques officiels de certains gouvernements.
Conscients donc que de telles versions ont créé un climat logique de méfiance, il n’est pas surprenant que se produise une répétition de ce petit conte populaire de la terre concernant le berger et le loup.
Pour ces raisons, nous sommes parfaitement conscients du fait que nous n’allons pas être crus en ce qui concerne la révélation que nous vous exposons maintenant.
Nous répétons que notre objectif principal ne consiste pas à être crus, sans l’apport d’autres preuves que ces documents que nous allons vous envoyer. Ceci ne veut pas dire qu’ils ne constituent pas de véritables arguments et preuves de notre identité, comme nous l’avons déjà fait aux États-Unis, Angleterre et ici même en Espagne avec une autre personne. En fait d’autres pays nous connaissent aussi. L’Australie, l’Allemagne et l’Union Soviétique sont en train de recevoir en ce moment nos rapports, qui sont destinés à d’éminents hommes de Science. Et tout en reconnaissant qu’un grand nombre d’entre eux ont déchiré nos lettres en croyant logiquement qu’elles étaient l’œuvre de farceurs ou de perturbés mentaux, dans certains cas, l’écrasante collection de données scientifiques véritables que nous avons soumise a finit par convaincre de nombreuses personnes qu’au fond il y avait, pourrions- nous dire, quelque fond de vérité.
Avec ces gens, les relations ont continué, et si tous étaient réticents ou méfiants, ils ont finalement mesuré objectivement l’étrange situation sans écarter du tout l’hypothèse de notre « supposée » identité .
Pour cela nous vous demandons de lire soigneusement ce que nous allons vous dire : si vous le faîtes au début par simple curiosité cela n’a pas d’importance, et si vous écartiez totalement l’idoinéité de nos affirmations apparemment fantastiques; nous ne sommes pas assez ingénus pour nous attendre d’être crus.
De plus, il y a une seconde raison qui peut vous paraître paradoxale et que nous vous expliquerons le moment opportun. Nous ne désirons pas que les masses prennent conscience de notre existence. Et nous avons de puissants motifs qui justifient notre attitude.
Jusqu’à maintenant et sauf en de rares occasions, nos contacts se sont réduits à des hommes de Science (des purs chercheurs et quelques ingénieurs) à qui nous avons apporté des éléments sur la physique, la biologie et la psychologie, éléments qui étaient intéressants pour eux, ainsi que quelques procédés techniques d’applications industrielles qui, comme par exemple dans un cas concret : A.W.R. d’Atlanta (EE.UU.) furent acceptés et brevetés avec surprise et en croyant qu’ils provenaient de quelque scientifique excentrique et original.
Il y a donc des raisons qui nous poussent à nous présenter à vous , faisant partie de ce groupe réduit de personnes qui, avec plus ou moins de formation intellectuelle, s’est préoccupé dans tout le monde de ce problème des U.F.O.
Nous sommes originaires d’une Planète dont l’expression verbale phonétique pourrait s’écrire ainsi : UM-MO (le « U » très fermé et guttural, le M pourrait s’interpréter comme un B) dont les caractéristiques les plus importantes sont :
ORBITE Elliptique d’excentricité 0,007833 avec un foyer dans l’étoile que nous appelons IUMMA ou Yumma qui réalise les mêmes fonctions que votre SOLEIL.
DISTANCE DE IUMMA, au SOLEIL. La distance apparente, c’est-à-dire celle que suivrait un faisceau cohérent d’ondes dans l’espace à trois dimensions était le 4 Janvier 1955 de :
14,437 années-lumière.
La distance réelle (distance droite dans l’espace décadimensionnel) était à cette même date, suivant notre mesure:
3,685 années lumières
La première distance est celle utilisée par les astronomes terrestres pour leurs calculs (en dédaignant les courbures de la lumière quand elle traverse des Champs de forte intensité gravitationnelle), une telle distance est « constante » pour deux corps fixes dans l’espace. La seconde distance est une fonction de temps qui se mesure dans un espace de N. dimensions et qui présente une certaine périodicité. Sa mesure est très importante car elle est en relation avec nos voyages galactiques.
RAYON EQUATORIAL DE UMMO mesuré à la côte Universelle de VAUAWEE R = 7251,61 kilomètres.
MASSE DE UMMO : M = 9,36.1024 kilogramme/masse.
INCLINAISON à la Normale du Plan de Translation : 18°39’56 »
TEMPS DE ROTATION SUR SON AXE : 600 UIW ACCELERATION DE LA GRAVITE sur UMMO : 11,88 mètres/seconde2
Bien que cela puisse vous étonner, nous ne sommes pas certains que l’étoile que vous avez cataloguée corresponde avec notre IUMMA (SOLEIL DE UMMO). A l’aide d’une translation de coordonnées nous avons estimé que depuis la Terre vous verriez notre IUMMA comme une étoile aux caractéristiques suivantes :
ASCENSION DROITE : 12 heures 31 minutes 14 secondes.
DECLINAISON : +9° 18′ 7″ (zone de la constellation de la Vierge)
MAGNITUDE VISUELLE ABSOLUE : 14,3
MAGNITUDE VISUELLE APPARENTE : Sûrement plus réduite à cause d’un grand nuage de poussières cosmique à 3,682 parsecs. Mais elle doit être comprise entre 12 et 13, et ne vous est accessible que par des moyens photographiques.
TYPE SPECTRAL : (selon le codex Astronomique Terrestre) Type M (notre IUMMA est ce que vous appelez une ETOILE NAINE)
Malheureusement les erreurs commises par vous en ce qui concerne la mesure des distances, sont dans de nombreux cas supérieures à 15% et on observe en plus des divergences dans les mesures enregistrées dans les différents catalogues d’étoiles terrestres.
De sorte qu’il résulte qu’il est impossible, même par une translation d’axes effectuée avec le plus grand soin, d’identifier une même étoile codifiée par nous avec une autre cataloguée par les astronomes de la Terre. Nous croyons cependant que notre IUMMA peut quand même être cette étoile que vous avez enregistré sous le nom de WOLF 424 car ses coordonnées ressemblent à celles que nous vous avons indiquées.
Notre structure géologico-géographique est assez différente de la Planète Terre. Les Océans occupent 61,84 % avec des eaux dans lesquelles prédominent divers chlorures alcalins . Il y a un seul continent rempli de grands lacs, le plus grand d’entre eux, le AUWOA SAAOA (PETITE MER DE DIEU) a quelque 276.103km2. Nos montagnes (très érodées) présentent à peine des formes accidentées.
Les OAG OEII sont des espèces de volcans qui ont la forme de grandes crevasses qui projettent de très hautes et brillantes colonnes incandescentes de méthane-pentane-oxygène.
Nous utilisons un langage double (grâce à une répétition séquentielle de nombreux mots, nous pouvons exprimer deux courants simultanés d’idées). Les mots notés dans ce document sont des expressions graphiques approximatives de leur phonie réelle.
En mathématique, nous utilisons un système de numérotation en base 12 (mais nous n’avons que dix doigts comme vous). Les raisons sont purement historiques. Comme simple curiosité, nous ajoutons un tableau de vos symboles mathématiques et leur équivalence dans les nôtres (Image A)
Nous ajoutons ici quelques unités utilisées sur notre planète.
UNITE DE LONGUEUR ASTRONOMIQUE : on prononce WAALI et elle équivaut à 124,3 années-lumière.
UNITE UNIVERSELLE DE LONGUEUR : le ENMOO = 1,8736658… mètres.
UNITE DE TEMPS : UIW = 3′ 09 secondes
La fréquence des impulsions d’activation des Centres nerveux situés dans le Plexus Choroïdien ventro-latéral de l’encéphale est de 6.123 cycles par seconde (Unité de fréquence très utilisée en neurophysiologie).
Constante Biogénétique : 6,58102.12-10 secondes. C’est le temps mis par l’état quantique pour s’établir dans l’atome de carbone de la chaîne d’acide désoxyribonucléique pour la formation d’un GÈNE
Les habitants de UMMO possèdent un corps dont la morphologie physiologique est analogue à celui de « l’Homo Sapiens » terrestre. Ceci est logique si vous considérez que les lois Biogénétiques sont de rigueur pour tout l’Univers. Seules de petites différences de constitution par rapport à vous apparaissent entre nous. Pour un fort pourcentage des habitants de notre planète, l’organe de phonation s’hypertrophie durant l’adolescence et ainsi la glotte subit un processus de sclérose qui nous empêche d’utiliser l’expression verbale acoustique. Cependant l’aide de dispositifs spéciaux, amplificateurs de faibles fréquences, nous permet de parler normalement même si le timbre de la voix n’est pas si harmonieux que le vôtre car il ne possède pas les harmoniques supérieures et sa gamme des graves est plus réduite.
Nous sommes un peuple plus ancien que le vôtre qui a déjà atteint un niveau de Civilisation élevé. Notre structure sociale est très différente de la vôtre. Notre gouvernement est régi par l’ UMMOAELEWE (CONSEIL GENERAL DE UMMO) composé de quatre membres qui furent sélectionnés sur tout UMMO au moyen d’étalonnage psychophysiologiques. Les lois sont élaborées en fonction des principes sociométriques qui régissent l’humanité de notre Planète.
La coordination du travail de la population s’obtient par une discipline de groupe efficace. Notre structure économique est radicalement différente de la vôtre. Nous ne connaissons pas cette curieuse institution de l’argent car dans toutes les transactions des quelques biens mesurables qui existent sur UMMO, intervient le réseau de XANMOO (Espèces d’ordinateurs ou cerveaux électroniques). D’autre part les biens de consommation (aliment, mobilier, etc) ne sont pas mesurables car leur abondance excède de beaucoup la demande. La terre et l’espace sont socialisés.
Nous sommes une société profondément religieuse. Nous croyons en WOA (DIEU ou CREATEUR) et nous possédons des arguments scientifiques en faveur de l’existence du BUAWAA (AME). Nous connaissons de plus un Troisième Facteur de l’homme qui le relie avec l’âme adimensionnelle. Il est situé dans le cortex encéphalique et nous avons informé deux neurophysiologistes terrestres de sa découverte.
Notre religion est si semblable au Christianisme terrestre que nous avons été véritablement surpris en nous en apercevant. La seule différence, c’est que sur UMMO il est apparu à un stade de notre Humanité où la Civilisation était plus développée que la vôtre au temps de Jésus-Christ.
Notre mode de vie, nos coutumes sexuelles, nos distractions, etc, sont aussi très différentes comme vous pouvez le supposer. Il n’y a pas de véritables races parmi les hommes de UMMO et les variétés et espèces biologiques sont plus limitées que sur la Terre. Ceci est dû au fait que la probabilité de mutations génétiques sur les chromosomes est bien plus faible car notre atmosphère est plus protégée que la vôtre des effets secondaires des Radiations Cosmiques.
Notre première arrivée sur Terre se produisit en profitant des excellentes conditions isodynamiques de l’espace (courbure de l’espace) qui eurent lieu à cette époque là. Trois de nos OAWOOLEA UEWA OEM (que vous appelez O.V.N.I. ou Soucoupes volantes) atterrirent en un point du département français des Basses-Alpes à 13 kilomètres de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE, à 04 h 17 minutes GMT (heure de Greenwich), le 28 Mars 1950.
Inutile de vous parler des premières vicissitudes subies par notre premier groupe explorateur qui dût faire face à de très graves situations dues à l’ignorance absolue de la langue et des coutumes terrestres.
Depuis lors sont arrivés d’autres astronefs et en particulier trois OAWOOLEA UEWA en Février 1966.
Les contacts avec l’orographie terrestre furent enregistrés ainsi :
Arrivée de deux frères aux environs d’ Erivan (Territoire Soviétique à 18 h 47 minutes (heure espagnole). L’endroit est situé à 6 km de la rivière Araks le 6 Février 1966.
Arrivée de deux frères à 20 h 02 minutes en un endroit situé près de Madrid (Territoire Espagnol) près de la Colonie d’Aluche le 6 Février 1966
Arrivée de trois frères en un point situé aux environs de Townsville (Queenland : Territoire Australien) à 22 h 45 minutes le 6 Février 1966 (heure espagnole).
Les caractéristiques divulgables, celles qui ne sont pas assujétties à nos normes de sécurité, de nos OAWOOLEA UEWA sont :
Base circulaire de diamètre extérieur 7,1 Enmoo (quelques 13,18 métres).
Section transversale, pseudo-lenticulaire, de hauteur approximative de 3,25 mètres.
Trois pieds extensibles aux panneaux d’appui rectangulaires.
Les perturbations magnétiques enregistrées par l’ingénieur soviétique Alexei Krylov, ne sont pas dues au fait que la nature même de la propulsion soit le magnétisme. La forte induction observée, à 10 mètres de son « centre d’inertie » et qui atteint fréquemment 4600 gauss, est due à un effet secondaire.
Notre finalité en venant sur Terre, est centrée sur l’étude et l’analyse de la Culture Terrestre. Il est difficile d’établir en quelques paragraphes les différences essentielles entre notre Civilisation et la vôtre, car si notre niveau de formation technologique et scientifique est beaucoup plus élevé, nous reconnaissons que certaines formes d’art (peinture, sculpture, et surtout musique) ont été plus développées chez vous.
Il existe de puissantes raisons, connues des personnes avec qui nous sommes en contact, pour que nous ne fassions pas connaître officiellement, même si certains organismes officiels de quelques pays ont maintenant conscience de notre arrivée sur Terre.
Les scientifiques et les entités culturelles qui ont reçu nos rapports ont été nombreux sur Terre. Mais nous reconnaissons que les résultats, comme on pouvait le prévoir, ont été pauvres en tenant compte du fait du scepticisme, non dépourvu de bonne humeur, avec lequel ils ont été accueillis. Quand nous avons apporté de véritables révélations comme par exemple la photographie tridimensionnelle sans l’aide de moyens oculaires de vision, ou les intéressants développements mathématiques concernant par exemple la théories des graphes ou réseaux, ils ont été attribués par les destinataires à un quelconque scientifique excentrique ou farceur.
Nous ne disons pas cela par dépit ou amertume. D’un point de vue psychologique de telles réactions sont normales. Nous voulons vous donner une courte liste des personnes espagnoles avec qui nous avons établi le contact en nous faisant connaître.
Un spécialiste en astrophysique de l’observatoire Astronomique de Fabra (Barcelone), nous lui apportâmes des éléments sérieux concernant les étoiles nouvelles mais il refusa de continuer les relations téléphoniques en nous demandant de ne pas divulguer son identité (Décembre 1961).
Un professeur de la Faculté de Médecine de Madrid en Mars 1962.
Un professeur de la Faculté des Sciences Chimiques de Madrid, en Février 1965.
Tous furent totalement sceptiques et demandèrent ardemment la cessation de nos envois postaux, malgré le fait que ceux remis au second parlaient de très intéressants problèmes concernant le comportement de quelques colloïdes.
Un aide-comptable de Madrid. Il accepta, moyennant une rémunération, de nous accorder son aide pour taper les documents (cette circulaire est tapée à la machine par cette même personne) et à ce jour nous acceptons qu’il fasse des déclarations sur cette expérience. Déclarations que nous jugeons pertinentes.
(premier contact février 1966).
Le fonctionnaire public de la Capitainerie Générale de Madrid, Monsieur Fernando Sesma Manzano (rue Fernando el Catolico n°6).
Ce monsieur avait publié quelques monographies concernant certains contacts qu’il aurait établi avec des êtres Extraterrestres, même si ses versions étaient faussées par des éléments qui nous paraissaient fantastiques. Eléments dans lesquels, la magie, l’astrologie et le symbolisme étaient arbitrairement interprétés, mais où quelques points attirèrent notre attention. Nous établîmes un premier contact avec lui le 14 Janvier 1966 en le soumettant à une série d’épreuves pour nous assurer de sa bonne foi ou de son excès de crédulité.
Monsieur Sesma se montra sceptique au début et nous avons pu vérifier sa droiture tout en étant en désaccord avec lui au sujet de ses expériences antérieures que nous attribuions à un simple farceur.
Jusqu’à aujourd’hui nous avons envoyé à ce monsieur un grand nombre de documents concernant notre Civilisation et notre Structure Sociale.
Un artiste peintre résidant rue Conda de Penalvar n°20 Madrid. Il fit quelques déclarations à la presse concernant l’atterrissage d’Aluche le 6 Février 1966, déclarations qui motivèrent notre intérêt pour lui. Nous le sollicitames pour une entrevue personnelle qu’il refusa, en l’interprétant comme un acte de blagueurs (NdT: E. Gran)
Deux dames vivant à Madrid et qui se prêtèrent gentiment à un test psychotechnique pour nos mesures sociométriques en Mars-Avril 1966.
Un prêtre catholique Severimo Machado (rue Espoz et Mina 7 3° d. Madrid) avec qui nous avons établi un contact postal et téléphonique, et qui se montra logiquement réservé en attendant de nouvelles preuves, (Avril 1966).
Comme vous le voyez, jusqu’à maintenant les résultats comportent un pourcentage élevé de réactions négatives (pas très supérieur à celui que nous avons mesuré dans les autres pays où nous avons établi des contacts analogues) sauf aux États-Unis où 16% environ des personnes contactées se montrèrent apparemment crédules.
En Espagne, seul Monsieur Sesma Manzano semble avoir accepté notre identité (après avoir obtenu des preuves comme par exemple l’annonce anticipée de notre atterrissage à Madrid le 6 Février). Notre vaillant collaborateur, à qui nous dictons généralement nos écrits, a reçu un grand nombre de preuves et nous le remercions vivement pour son extraordinaire discrétion. Nous craignons avec raison la répétition d’un incident qui s’est produit à Milan quand notre auxiliaire nous dénonça aux autorités en nous traitant d’espions.
Monsieur :
Depuis des années nous sommes intrigués par les apparitions d’autres Astronefs qui ne sont pas nécessairement les nôtres (U.F.O.) dans l’atmosphère terrestre. Personne ne sait aussi bien que nous que l’origine de tels véhicules (sauf les cas d’illusions, d’hallucinations ou de farces) est de type galactique. Sur Ummo nous avons officiellement établi des contacts avec d’autres civilisations, mais nous désirerions connaître comme vous l’origine de celles qui arrivent sur Terre. Mais ici nous n’avons pas les moyens techniques pour les identifier.
Monsieur :
Nous n’espérons pas être crus. Il est très probable que vous allez sourire en lisant les paragraphes précédents en les considérant comme frauduleux et purement fictifs. En agissant ainsi, vous vous comportez intelligemment car les affirmations sans preuves pour les avaliser n’ont pas de valeur. Si nous nous sommes adressés à vous, c’est parce que nous savons que vous croyez à l’origine Galactique de ces O.V.N.I.
Nous avons des raisons pour penser que, de même que nous sommes venus vers vous, il existe un certain degré de probabilité pour que ces autres êtres, s’ils établissent des contacts dans un pays quelconque, le fassent avec des gens favorables à cette hypothèse plausible.
Nous désirons donc que vous nous fassiez une faveur sans conséquences pour votre prestige et votre économie. Si vous le désirez vous pouvez occulter la nouvelle de la réception de ce message. Ce que nous allons vous demander est compatible avec n’importe quel conception que vous auriez formé concernant notre personnalité.
Nous allons vous dicter une série de chiffres (nombres) exprimés dans le système de numérotation binaire. Nous vous supplions de les conserver. Si, bien que peu probable dans votre cas, quelqu’un s’adresse à vous prétendant venir d’une autre Planète, il devra réagir en vous donnant une autre séquence de nombres.
INSTRUCTIONS
Si quelqu’un d’étranger essaie d’établir avec vous des relations verbales (téléphone ou entrevue) il n’est pas nécessaire d’adopter une attitude réticente pour éviter quelque type de farce ou éluder la conduite anormale de mentalités qui présentent un supposé syndrome psycho-pathologique.
Généralement les farceurs présentent leurs arguments sous une forme peu élaborée. Par contre, il existe de nombreuses formes d’idées délirantes dont la structure, apparemment parfaitement cohérente et logique, a une force de persuasion très élevée, surtout si les individus qui les présentent sont des malades intelligents (dans le cas de la paranoïa terrestre, ce syndrome est parfaitement compatible avec un coefficient intellectuel élevé).
Si dans ce cas la personne qui se prétend voyageur spatial, offre un minimum d’arguments cohérents et apparemment sérieux, donnez lui ou lisez lui cette série de chiffres (en prenant le risque que son identité soit usurpée).
S’il comprend bien et sans que vous le lui demandiez, (vous pouvez dire simplement que ces chiffres vous ont été remis par un ami, ou mieux encore, que pour prouver sa bonne foi on désire lui faire passer un test) il devra à son tour vous donner une séquence de chiffre différente – également en système binaire – que nous vous demandons de noter.
En temps voulu, nous vous donnerons le nom d’une personne qui servira de liaison entre vous et nous. Si, nous le répétons, un cas se produit (peu probable en ce qui vous concerne mais possible statistiquement pour quelque membre de votre groupe) je vous demande, au nom de ce groupe avancé d’UMMO, d’écrire à notre intermédiaire en lui communiquant :
LES CHIFFRES DICTÉS PAR LE SUJET – L’IMPRESSION QU’IL VOUS A FAITE – LES DONNÉES VARIÉES QU’IL VOUS A APPORTÉES – LA DATE DU CONTACT
Pour finir, nous vous donnons deux fois la série de chiffres, répétés plusieurs fois pour plus de sécurité, de crainte que la multicopie ne rende illisible l’une d’entre elles:
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
(NdT: cette série représente, en décimal: 727 – 37 – 2599. Elle se retrouve dans la lettre 89, mais complétée par une série représentant: 39 – 5045)
Nous vous remercions cordialement de votre attention. Même s’il s’agissait d’une farce ou d’une idée délirante, vous ne risquez rien en nous faisant cette faveur. Nos respect Monsieur.
Ordre de DEII 98, fils de DEII 97
sous couvert de YU 1, fille de AIM 368.
D21 suite
Monsieur :
Depuis des années nous sommes intrigués par les apparitions d’autres Astronefs qui ne sont pas nécessairement les nôtres (U.F.O.) dans l’atmosphère terrestre. Personne ne sait aussi bien que nous que l’origine de tels véhicules (sauf les cas d’illusions, d’hallucinations ou de farces) est de type galactique. Sur Ummo nous avons officiellement établi des contacts avec d’autres civilisations, mais nous désirerions connaître comme vous l’origine de celles qui arrivent sur Terre. Mais ici nous n’avons pas les moyens techniques pour les identifier.
Monsieur :
Nous n’espérons pas être crus. Il est très probable que vous allez sourire en lisant les paragraphes précédents en les considérant comme frauduleux et purement fictifs. En agissant ainsi, vous vous comportez intelligemment car les affirmations sans preuves pour les avaliser n’ont pas de valeur. Si nous nous sommes adressés à vous, c’est parce que nous savons que vous croyez à l’origine Galactique de ces O.V.N.I.
Nous avons des raisons pour penser que, de même que nous sommes venus vers vous, il existe un certain degré de probabilité pour que ces autres êtres, s’ils établissent des contacts dans un pays quelconque, le fassent avec des gens favorables à cette hypothèse plausible.
Nous désirons donc que vous nous fassiez une faveur sans conséquences pour votre prestige et votre économie. Si vous le désirez vous pouvez occulter la nouvelle de la réception de ce message. Ce que nous allons vous demander est compatible avec n’importe quel conception que vous auriez formé concernant notre personnalité.
Nous allons vous dicter une série de chiffres (nombres) exprimés dans le système de numérotation binaire. Nous vous supplions de les conserver. Si, bien que peu probable dans votre cas, quelqu’un s’adresse à vous prétendant venir d’une autre Planète, il devra réagir en vous donnant une autre séquence de nombres.
INSTRUCTIONS
Si quelqu’un d’étranger essaie d’établir avec vous des relations verbales (téléphone ou entrevue) il n’est pas nécessaire d’adopter une attitude réticente pour éviter quelque type de farce ou éluder la conduite anormale de mentalités qui présentent un supposé syndrome psycho-pathologique.
Généralement les farceurs présentent leurs arguments sous une forme peu élaborée. Par contre, il existe de nombreuses formes d’idées délirantes dont la structure, apparemment parfaitement cohérente et logique, a une force de persuasion très élevée, surtout si les individus qui les présentent sont des malades intelligents (dans le cas de la paranoïa terrestre, ce syndrome est parfaitement compatible avec un coefficient intellectuel élevé).
Si dans ce cas la personne qui se prétend voyageur spatial, offre un minimum d’arguments cohérents et apparemment sérieux, donnez lui ou lisez lui cette série de chiffres (en prenant le risque que son identité soit usurpée).
S’il comprend bien et sans que vous le lui demandiez, (vous pouvez dire simplement que ces chiffres vous ont été remis par un ami, ou mieux encore, que pour prouver sa bonne foi on désire lui faire passer un test) il devra à son tour vous donner une séquence de chiffre différente – également en système binaire – que nous vous demandons de noter.
En temps voulu, nous vous donnerons le nom d’une personne qui servira de liaison entre vous et nous. Si, nous le répétons, un cas se produit (peu probable en ce qui vous concerne mais possible statistiquement pour quelque membre de votre groupe) je vous demande, au nom de ce groupe avancé d’UMMO, d’écrire à notre intermédiaire en lui communiquant :
LES CHIFFRES DICTÉS PAR LE SUJET – L’IMPRESSION QU’IL VOUS A FAITE – LES DONNÉES VARIÉES QU’IL VOUS A APPORTÉES – LA DATE DU CONTACT
Pour finir, nous vous donnons deux fois la série de chiffres, répétés plusieurs fois pour plus de sécurité, de crainte que la multicopie ne rende illisible l’une d’entre elles:
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
Nous vous remercions cordialement de votre attention. Même s’il s’agissait d’une farce ou d’une idée délirante, vous ne risquez rien en nous faisant cette faveur. Nos respect Monsieur.
Ordre de DEII 98, fils de DEII 97
sous couvert de YU 1, fille de AIM 368.
D21 Bis
JUSTIFICATION DE LEUR PRESENCE OFFICIEUSE SUR TERRE
Destinataire et date: SESMA
Monsieur Sesma Manzano nous vous adressons une prière :
Monsieur Enrique GRAN est absent de Madrid, nous vous demandons de lui garder cette citation. Et pour le moment nous vous demandons d’exécuter les points spécifiés dans notre lettre. Nous lui envoyons dès maintenant une note à son domicile de Madrid. S’il vous plait, nous vous supplions de lire à haute voix. Demandez aussi aux personnes qui expriment leurs points de vue de forcer légèrement leur intensité phonétique. Si le lecteur habituel se trouve par hasard dans un état d’aphonie (même très léger), demandez à un autre homme de prendre sa place après avoir fait un essai de son niveau de voix. Monsieur Sesma Manzano :
Comme ce document demande une structure globale, pour éviter de fausses interprétations s’il est lu fragmentairement, nous vous supplions de ne pas le lire à vos amis avant d’avoir reçu la seconde partie qui vous parviendra dans les jours prochains.
D22
Nous savions que si vous aviez atteint un certain degré de civilisation, vous détecteriez instantanément notre présence. Au cas où cette présomption serait fausse, s’imposerait alors le critère de ne pas manifester ostensiblement notre présence. Si nous désirons étudier une Civilisation dans toute sa pureté, notre présence devrait éviter de provoquer des perturbations sociales, des dynamismes anormaux dans les moyens techniques de défense, détection et interception ainsi que de sérieuses perturbations dans les moyens de communication relatifs au probable réseau d’informations. Un réseau social ainsi déformé ou perturbé par la présence d’êtres étrangers ne peut être étudié analytiquement dans toute sa pureté. Vous trouverez une comparaison avec un spécialiste des bactériologies qui désire par exemple étudier une nouvelle souche d’espiroquetas (?). Il ne devra pas perturber le bouillon de culture avec de nouveaux germes qui altèreraient le processus biologique des premiers. S’il le faisait, devant le champ de son microscope, les formes élémentaires de conduite de ces microorganismes seraient anormales.
OBSERVATION
C’est pour cette unique raison que notre présence parmi vous est officieuse : quelques personnes avec qui nous avons un contact, surtout de nationalité nord-américaine et australienne, nous demandent souvent et ingénument pourquoi nous ne nous faisons pas connaître officiellement.
Il est curieux de constater que parmi celles-ci, il y a des hommes terrestres qui avec leur érudition et leur formation scientifique, devraient eux-mêmes comprendre les causes réelles qui nous obligent à nous inhiber. Nous croyions à ce moment là que vous seriez plus conséquents. Nous comprenons que l’homme moyen de le Terre peu doté de facultés intellectuelles maintienne l’hypothèse stupide que: aussi bien nous que d’autres présumées visiteurs galactiques devrions nous présenter avec un de UEUA OEMM (soucoupes volantes) en plein milieu d’une grande place de New-York, vêtus d’une combinaison argentée et avec un fusil de rayons meurtriers comme dans les nouvelles de Science-fiction. C’est dire si vous nous jugez désireux d’une absurde popularité. Votre raisonnement embryonnaire et primitif parait être celui-ci: » Si ces êtres proviennent d’un autre astre, pourquoi ne se font-ils pas connaître et pourquoi ne le démontrent-ils pas ? » Un quelconque expert en philosophie terrestre ce sophisme « répétions de principe ».
Nous, ( et nous présumons qu’il en est de même pour d’autres visiteurs qui peuvent être parmi vous) nous n’avons absolument aucun intérêt que le réseau social terrestre soit absolument certain de notre présence.
Dès le début nos frères adoptèrent des précautions pour passer totalement inaperçus. Au fur et à mesure que nous étions en train de nous imprégner de votre culture et de connaître les lois de la psychologie sociale terrestre, nous nous rendions compte que la révélation de notre présence faite à quelques personnes ne serait pas dangereuse car les autres membres de la société réagiraient avec incrédulité et c’est ce qui s’est effectivement produit. Croyez-vous que s’il en était autrement, nous aurions pris le risque de nous mettre en contact avec vous? Et même trois personnes de profession publiciste, avec qui nous maintenons des conversations, ont publié nos récits ( dans trois journaux ou revues de Pologne, Espagne et Canada) et logiquement leurs lecteurs ont adopté la naturelle posture sceptique que nous espérions.
Ainsi une telle attitude serait modifiée et nous nous présenterions ostensiblement, en apportant des preuves de notre identité, devant la presse terrestre, et les organismes techniques gouvernementaux ou internationaux. Posture que nous ne pensons absolument pas adopter pour l’instant.
De cette manière nous avons pu couvrir deux objectifs. Un contact direct avec un groupe d’habitants terrestres pour échanger des faits concernant nos mutuelles civilisations, en évitant de perturber le reste de la société terrestre qui demeure en marge d’une situation qu’il juge légendaire à cause de son insuffisance de preuves.
Nous n’avons malheureusement pas pu atteindre notre second objectif. Passer inaperçus face aux organismes techniques d’États; États-Unis, France, Angleterre, Union Soviétique et nous pensons avec raison que l’Italie, l’Allemagne et la République Argentine ont conscience notre présence et qu’ils se montrent préoccupés même si officieusement nous leur avons démontré que leurs craintes n’étaient pas fondées. Par rapport au fait que la connaissance d’une telle situation peut provoquer des réactions d’anxiété et de panique dans la population civile, les chancelleries de ces gouvernements peuvent être rassurées tout au moins en ce qui concerne les frères de UMMO. Nous ne nous ferons pas connaître pour l’instant, car le risque que cela dépasse les quelques scientifiques ou écrivains avec qui nous sommes en contact est NUL, si l’on excepte les quelques personnes avec un esprit critique élevé comprises parmi les familiers et amis de nos correspondants. Les autres, saturés de préjugés, avec des cadres mentaux étroits et conscients du risque de fraude qui peut s’insinuer dans nos révélations, maintiendront une posture sceptique à outrance.
Pour cela nous vous demandons de ne pas vous montrer excessivement zélés pour divulguer aux personnes de votre entourage la réalité de notre existence. Ainsi on ne vous prendra pas pour un illuminé ou un perturbé mental et votre propre stabilité professionnelle ne sera pas attaquée. A ceux qui sans un premier examen analytique des faits montrent une attitude sceptique se croyant ainsi « intelligents », approuvez-les sans aucun commentaire.
D23
UMMOAELEWE
Langues : Espagnol
Français
Russe
Anglais
Nombre de copies: 21
Hommes de la Terre,
Nous savons que seuls quelques uns d’entre vous entrevoient la possibilité que des êtres qui vous sont semblables et sont originaires d’autres astres de cette Galaxie, sont secrètement parmi vous.
Nous savons aussi que seule une fraction insignifiante de ces personnes dispersées sur cette Planète, connaît notre identité en tant qu’êtres humains originaires de UMMO, mais en toute logique, le pourcentage le plus élevé de ce groupe maintient une prudente réserve en doutant quelque peu de la réalité de notre origine.
Seules l’analyse de votre civilisation et des caractéristiques géologiques de ce que nous appelons OOYAGAA (PLANÈTE TERRE), les structures biologiques terrestres et la psychologie de la Société, nous ont amenés parmis vous.
En l’année terrestre1950, (Mars), nous sommes arrivés sur cette OOYAA (ASTRE FROID).Quelques deux ans auparavant (ANNÉES TERRESTRES), nous avions capté un faible signal de fréquence 413,44 mégacycles que nous n’avons pas pu décoder. Il avait été émis en l’an 1934.
(Par la suite nous avons identifié le signal radioélectrique comme émis d’un navire norvégien à hauteur de Terre-Neuve ; navire qui faisait des expériences approfondies avec des scientifiques de ce pays sur l’utilisation de fréquences élevées pour des communications à longue distance par réflexion ionosphérique. Le signal fut émis entre les 5 et 7 février 1934).
Cette date est donc historique pour les relations TERRE-UMMO, nous avons des photocopies des radiogrammes émis, (obtenus grâce à nos frères d’Allemagne qui se déplacèrent à Bergen dans ce but), et naturellement l’enregistrement des signaux en morse qui furent incompréhensibles pour nous à ce moment là car nos techniciens pensèrent qu’il s’agissait d’un code de numérotation binaire (point = 0 et trait = 1 ou vice-versa) est aussi en notre possession. Vous serez surpris de savoir que la durée de la fraction du radiogramme capté fut de 2,2 UIW (quelques 6,8 minutes) qui suffirent pour identifier sur des coordonnées galactiques, la position du Système Solaire et l’astre d’où provenait ce signal qui fut baptisé sous le nom de GAA (CARRÉ) car la graphie obtenue avec le signal faisait penser à l’équation analytique qui exprime l’aire de cette figure géométrique.
C’est seulement à notre arrivée que nous pûmes vérifier que le nom d’ OOYAGAA (ASTRE FROID du « CARRÉ ») était faussement évocateur car la nature du message n’était pas mathématique.
Ceci pour répondre à la question de M. Théodore T. Polk de PITTSBURGH, U.S.A.. concernant l’origine de notre arrivée sur cette Planète.
Quelques uns parmi vous, lors de communications téléphoniques, insistèrent pour que nous fassions une présentation officielle devant les Gouvernements de la Planète. M. Pierre Palissy ORAN (Algérie) nous suggère même d’envoyer nos « DISQUES VOLANTS » pour exterminer le Gouvernement Communiste Chinois.
Vous comprendrez, M. Palissy, qu’en nous montrant respectueux envers votre initiative, nous ne pouvons tout de même pas réaliser vos désirs pour les diverses raisons suivantes :
En premier lieu, nos OAWOOLEA UEUAA ou Disques volants comme vous les appelez, ne peuvent arriver ici selon notre bon vouloir.
D’autre part, bien que nous reconnaissions que cet État Terrestre a une ligne politique quelque peu agressive, nous ne sommes pas persuadés que cela représente une réelle menace pour vous. Le peuple Chinois traverse en ce moment une crise très intéressante et si vous n’étiez pas polarisés politiquement par certains préjugés, vous mesureriez à son juste niveau. Ni l’Union Soviétique, ni les États-Unis n’accepteront que le développement de cette Nation s’oriente vers des objectifs belliqueux.
En termes semblables nous répondons à Josef Väry de BRNO (Tchécoslovaquie) qui nous demande si nous pourrions employer nos armes pour détruire les régimes totalitaires du Portugal, d’Espagne et d’Amérique du Sud. Ce n’est pas notre intention car agir comme Police Internationale Terrestre n’est pas notre but. Nous répétons que notre passive mission d’étude et d’analyse nous le défend.
Les raisons qui nous poussent à demeurer anonymes sont nombreuses et, depuis longtemps parmi elles ne se compte plus la crainte d’une possible réaction agressive des hommes de la Terre. Nous répétons jusqu’à satiété que nous n’avons pas intérêt à être crus. Quelques uns parmi vous nous répètent que nous devons présenter des preuves.
Nous ignorons encore ce que vous voulez exprimer ingénument. Les idées techniques que nous avons mis à votre portée sont nombreuses et malgré tout, les techniciens qui les ont reçues les ont attribuées à des scientifiques excentriques. Ces personnes qui désirent TOUCHER ces preuves avec leurs mains, ne se rendent pas compte de leur attitude aussi peu intellectuelle que celle d’un paysan qui doute de la réalité du LASER car il n’a jamais tenu un de ces appareils en mains.
Mais nous vous répétons une fois de plus que nous respectons votre incrédulité. Nous travaillons beaucoup mieux dans l’anonymat et nous n’allons pas être assez naïfs pour nous présenter à vous vaniteusement à seule fin de vous divertir.
Il nous semble que vous oubliez que LES TÉMOIGNAGES ONT EXACTEMENT LA VALEUR QUE LEUR OCTROIENT LES RAISONNEMENTS SUR LESQUELS ILS S’APPUIENT. Si les idées que nous vous avons apporté jusqu’à maintenant ne sont pas comprises ou sont dépréciées, VOUS FERIEZ BIEN DE NE PAS CROIRE EN NOUS.
D24
CONFIDENTIEL
Monsieur Sesma Manzano.
Le niveau acoustique est plus acceptable à ces heures là. En effet, il y a beaucoup moins de clients dans la salle supérieure du café Léon. Malgré tout, pendant la lecture du document, on entend des murmures qui viennent soit du sous-sol soit de la salle proprement dite.
Nous avons quand même observé une grande possibilité d’écoute pendant la lecture de M. Garrido Buendia, mais nous vous demandons d’élever quand même un peu la voix.
Demandez un peu de silence pendant votre exposé car des paragraphes entiers sont atténués par le bruit de fond. Cependant vous vocalisez beaucoup mieux quand vous parlez que quand vous lisez. Nous vous demandons donc d’améliorer ce petit défaut.
Nous vous rappelons, Monsieur Sesma Manzano, que vous devez laisser écouler un certain temps pendant votre cycle de lectures pour éviter la naturelle lassitude des membres de ce groupe en cette saison proche de l’été.
Pour notre part, nous diminuerons la fréquence des envois, en nous limitant à des thèmes moins transcendants. Nous reprendrons l’envoi des documents importants dès l’automne.
Vous prononcerez tous ces éléments à haute voix devant tous les participants, en les répétant deux ou trois fois pour que nos appareils puissent bien les capter :
-date de votre dernière session,
-date de reprise à l’automne,
-indiquez si vous devez vous absenter cet été.
Monsieur Sesma Manzano nous vous adressons une prière :
Monsieur Enrique GRAN est absent de Madrid, nous vous demandons de lui garder cette citation. Et pour le moment nous vous demandons d’exécuter les points spécifiés dans notre lettre.
Nous lui envoyons dès maintenant une note à son domicile de Madrid.
S’il vous plaît : nous vous supplions de lire à haute voix. Demandez aussi aux personnes qui expriment leurs points de vue de forcer légèrement leur intensité phonique.
Si le lecteur habituel se trouve par hasard dans un état d’aphonie (même très léger) demandez à un autre homme de prendre sa place après avoir fait un essai de son niveau de voix.
Monsieur Fernando Sesma Manzano :
Comme ce document demande une structure globale, pour éviter de fausses interprétations s’il est lu fragmentairement, nous vous supplions avec insistance de ne pas le lire à vos amis avant d’avoir reçu la seconde partie qui vous parviendra dans les jours prochains.
D25
UMMOAELEWE
M. SESMA MANZANO
ESPAGNE
CONFIDENTIEL. (doit être seulement lu par l’intéressé lui-même).
- Sesma Manzano
Nous avons l’audace de vous supplier que tout au long des journées que vous passerez à divulguer les rapports que nous vous envoyons périodiquement, vous vous absteniez de faire allusion à d’autres expériences que vous avez avec des êtres d’autres supposées Planètes.
Nous maintenons un profond respect pour de tels contacts, mais nous craignons que ceux qui assistent à de telles réunions, sans connaître les précédentes, finissent par déduire des conclusions équivoques sur notre identité et celle de ces autres êtres.
Il nous semble logique que vous, vous mainteniez des liens spirituels avec ce qu’ils représentent, après avoir vécu de telles expériences. Vous pouvez, si vous le désirez, leur accorder une grande partie de votre temps et faire des conférences dans le Cercle des Amis de l’Espace.
Mais pendant ces moments là nous vous demandons de vous abstenir de lire ou de commenter devant des personnes peu HABITUEES à ce Cercle, nos RAPPORTS. Nous vous suggérons d’annoncer au préalable si la thématique à traiter a pour origine l’un ou l’autre Groupe.
Nous vous demandons de ne pas prendre cela comme quelque chose d’imposé (NdT: par nous). Nous nous réservons simplement le droit de protéger dans la limite de nos possibilités la véracité de nos témoignages.
Tout commentaire développé avec votre annonce dans ce cercle, intercallé dans le temps que vous nous consacrez gentiment et qui touche de n’importe quelle manière à de telles expériences, peut, mélangé avec ceux qui nous concernent peut créer, et le fait s’est déjà produit, créer une confusion exolicable dans certaines mentalités dépourvues d’esprit critique.
Vous avez été assez aimable de consacrer votre attention à cette note.
D26
UMMOAELEWE
FERNANDO SESMA MANZANO
MADRID ESPAGNE.
Monsieur:
Mes frères, actuellement absents, m’avaient longuement informé sur la nature des réunions que vous célébrez périodiquement dans un établissement public de la rue Alcala à Madrid.
J’ai suivi avec intérêt, les commentaires et le dialogue des participants concernant le thème de vos relations avec nous.
Cependant, au vu du déroulement des dernières séances et de l’information qui m’avait été fournie avant ma venue en Espagne, j’ai trouvé une infraction au compromis que vous aviez gentiment souscrit verbalement et selon lequel nos relations seraient suspendues si, au cours de vos exposés sur notre présence, vous mélangez aux nôtres des éléments étrangers.
Il est évident, au vu du contexte de vos interventions, qu’une telle infraction n’est ni délibérée, ni consciemment orientée contre nous. Mais nous avions foi en votre noblesse d’esprit, justifiant notre intransigeance par la perturbation créée chez ces personnes qui par manque d’éléments, fondent et confondent vos versions concernant des expériences qui nous sont étrangères avec celles qui sont en rapport avec les documents que nous vous remettons.
Nous n’avons jamais exigé de vous (ni le supposons possible) que vous adoptiez nos points de vue ni que vous croyez en notre existence. Vous êtes libres de proclamer à la fin de ces sessions et de permutter le sentiment idéologique avec (NdT: celui de) de ceux-mêmes qui voudraient faire cesser nos contacts. Décision douloureuse pour ceux, qui comme nous, vous professons une véritable affection (ce n’est pas une simple formule de politesse dans le style du protocole terrestre), mais ce serait le fruit de votre propre arbitre.
Vous comprendrez que comme une révélation OFFICIELLE de notre présence sur Terre est possible dans un futur proche, nous devons faire attention à tout ce qui se dit durant cette période de relations cryptohistorique. Si de tels témoignages étaient contaminés par des faits étrangers correspondant à d’autres expériences extraterrestres (dont la réalité nous est étrangère) ce serait malhabile et préjudiciable. Nous ne pouvons accepter un tel dommage alors que nous agissons en toute délicatesse envers vous. Et nous considérons normal de nous défendre. Et nous considérons comme licite n’importe quel moyen de défense.
Mais nous reconnaissons que votre attitude est due à des impulsions psychologiques qui vous empêchent quelques fois d’agir correctement avec nous. Pour preuve de ceci: votre délicieux amour pour les extraterrestres, votre vaillance à donner témoignage en notre faveur et aussi vos compliments réitérés d’une norme dont seules les dernières journées vous ont fait dévier, sans malice de votre part.
C’est pour cela que nous désirons vous donner de nouveau une marge de confiance car indubitablement si vous aviez eu la pleine conscience de votre acte indigne non seulement la rupture aurait été automatique, mais les mesures pour corriger la confusion provoquée par vos paroles auraient été sévères.
Un de mes frères vous appellera au téléphone après la réception de cette lettre. (Vous l’excuserez de ne pas dialoguer avec vous en espagnol, il ne connaît pas cette langue), néanmoins, il enregistrera vos paroles.
Avant son appel vous pouvez opter pour deux solutions :
Le silence indiquant que vous n’acceptez pas nos conditions et que vous rompez définitivement notre contact.
La lecture de cette déclaration qui sera enregistrée phoniquement avec votre permission.
Je déclare suivre la norme demandée par les expéditionnaires de UMMO sur OYAAGA, selon laquelle au cours de mes déclarations, commentaires, critiques libres pour ou contre leur doctrine ou thèse de leur existence, écrits ou n’importe quelles expressions verbales ou graphiques (conférence, entrevues, articles, monographies et livres), j’essayerai par tous les moyens mentaux en mon pouvoir de supprimer toute référence à de quelconques expériences en relation avec d’autres supposés êtres non terrestres. |
NdW : Ecriture en rotation droite :
NdW : Ecriture en rotation gauche :
Si vous lisez à notre frère la déclaration précédente, nous interpréterons ce geste comme une excuse acceptée par avance pour votre infraction aux règles qui régissent nos relations.
Un tel compromis doit s’appliquer quand vous vous adressez à plus de huit personnes (sauf vos familiers) directement ou par courrier. IL NE DOIT JAMAIS SE PASSER MOINS DE DEUX HEURES ENTRE DES VERSIONS RELATIVES A NOUS ET DES ÉLÉMENTS ÉTRANGERS A NOTRE GROUPE.
C’est l’esprit et non la lettre qui doit être mis en application. Ce n’est pas une restriction de votre liberté. C’est notre seule demande en échange de nos documents. Est-ce trop vous demander? Est-ce que l’ingratitude des hommes de la Terre peut aller jusqu’à nier l’adoption d’une attitude de NEUTRALITE? Nous ne vous demandons pas la réalisation d’une activité mais d’une simple attitude passive.
Il est fort possible que vous ne compreniez pas pleinement l’étrange intérêt que nous mettons dans cette affaire. Ceci est dû au fait que vous ignorez les réactions provoquées chez vos auditeurs quand après avoir fait un commentaire sur nous, vous abordez immédiatement un thème que certains esprits humains terrestres sont incapables de tolérer. Le dommage subi par leurs esprits est seulement mesurable par nous en écoutant leurs propres commentaires en aparté.
NOUS VOUS DEMANDONS DE CONSIDERER CE DOCUMENT COMME SÉVÈREMENT CONFIDENTIEL A TOUS LES NIVEAUX.
D27
UMOAELEWE
Langue Espagnole
Nombre copies : 1
Monsieur Fernando Sesma Manzano.
CONFIDENTIEL – NOUS VOUS PRIONS DE NE FAIRE LIRE A AUCUNE PERSONNE.
Monsieur,
Comme vous devez vous en souvenir, nous vous avions demandé dans un rapport antérieur de séparer les heures et jours consacrés à nos documents avec ceux spécialement orientés vers l’information concernant d’autres expériences.
Nous ne vous demandions absolument pas de cesser de parler de ces expériences et encore moins de les discréditer, mais d’éviter tout simplement des confusions présumables au niveau des personnes non initiées en introduisant des relations et des élucubrations concernant d’autres expériences pendant que vous parlez de nos rapports sur notre propre origine.
Il aurait suffit que vous demandiez aux auditeurs leur niveau d’intérêt pour l’une ou l’autre expérience pour qu’ils puissent ainsi s’exprimer à haute voix. De tels votes SANS SIGNATURE vous auraient montré le chemin à suivre, en programmant les jours et heures pour ces analyses.
Jusqu’à maintenant vous avez été totalement fidèle à nos accords et nous vous avons répondu en vous envoyant des documents.
Mais vous avez rompu dans ce cas concret nos accords. Vous avez, de plus, formulé un jugement qui nous semble faux en ce qui concerne une entrevue avec Monsieur D. Enrique Gran. Bien que cette apparente contradiction était beaucoup moins légère que les véritables CONTRADICTIONS émises par d’autres personnes qui sont en contact avec vous.
Ceci n’est pas juste, Monsieur Sesma. Vous pouvez librement exprimer votre jugement sur notre identité croyant qu’elle est fausse. Mais vous ne pouvez pas nous attribuer légèrement DES MOTS QUE NOUS N’AVONS JAMAIS PRONONCÉ. Et nous promettre verbalement que pendant les moments consacrés à UMMO vous ne parlerez pas des autres expériences, pour ensuite ne pas respecter le compromis.
Nous attendons l’ordre définitif de YU 1, fille de AIM 368, à qui nous sommes soumis. Il est possible que nous soyons obligés d’interrompre nos contacts par écrit durant des mois ou définitivement. Ce dernier cas, je le confesse, serait douloureux car nous avions une véritable affection pour vous et nous croyons que votre faute n’a pas été si grave. Mais les ordres de notre Supérieure sont parfois inflexibles.
Pendant ce temps les contacts téléphoniques ont été interrompus, en attendant de nouvelles instructions.
Nous vous tiendrons informé des décisions de nos Supérieurs.
D28
)+( EARTH DELEGATION-AUSTRALIA
MR SESMA MANZANO
MADRID-SPAIN
Spanish Language
Number Copy : 1
Mr Sesma : Nos frères de la section Espagnole nous informent que vous avez commis des infractions à nos instructions.
Afin de repréciser nos ordres, nous vous faisons une synthèse de ceux-ci.
1) En aucune circonstance vous ne parlerez d’affaires extraterrestres devant des reporters de la presse. Sauf en ce qui concerne des déclarations écrites de votre part.
2) Refuser l’émission par voie de RADIO ou de TELEVISION de déclarations réalisées par d’autres commentateurs. Vous seul êtes autorisé à en parler en vous basant sur nos textes.
3) Ne pas tolérer lors de réunions -en dehors de votre domicile- la présence de reporters de presse ni de photographes.
4) Interdiction pour vous de rendre visite à ces personnes -REPORTERS, TEMOINS DE NOS ATTERRISSAGES, AUTEURS D’OUVRAGES- d’espagne et d’autres pays qui, à la radio, au cinéma, à la T.V., dans des ouvrages ou des journaux, ont exprimé des déclarations mettant en doute la véracité de l’origine de nos vaisseaux spatiaux.
Si quelqu’un en votre présence engage une polémique à ce sujet, vous éviterez la discussion mais vous êtes cependant autorisé à exprimer votre avis sur la question.
5) Vous pouvez rédiger toute forme d’écrit -presse, revues, livres- à condition de ne pas déformer la réalité de nos documents.
En exprimant vos opinions sur la PHILOSOPHIE, la RELIGION, l’HISTOIRE, la SCIENCE et la TECHNOLOGIE DU UMMO, vous préciserez qu’elles sont de vous et qu’elles ne sont pas rédigées dans nos rapports .
6) Vous éviterez la reproduction graphique de notre TIMBRE SIGNATURE )+( . Ceci pour éviter la diffusion de faux rapports.
7) Au contraire, la reproduction graphique des dessins n’est pas autorisée. Seules les photographies authentiques de ceux-ci sont possibles pour leur reproduction dans des livres ou des revues.
8) Cette DELEGATION sur la TERRE de )+( sous les ordres de YOO 1, fille de AIM 368, exhorte MR. FERNANDO SESMA MANZANO à respecter sérieusement ces instructions pour conserver sa dignité, en supprimant les déclarations grotesques et fausses qui peuvent vous discréditer et par là même notre mission sur cette PLANETE.
9) Nous envoyons ces instructions à chacun de vos associés qui désireront dans le futur participer à des contacts avec nos frères. Leur non-respect annulera toute possibilité future.
Nous protestons énergiquement contre un fait qui s’est produit avec nos frères de la section Espagnole.
L’un de vos amis vous a demandé pourquoi l’un de nos innocents émissaires que nous avons envoyé le 7 février 1966 n’a pas été gardé par la force.
JUSQU’A QUAND LES TERRESTRES VONT-ILS CONTINUER A IMAGINER DES ACTIONS DE FORCE A L’ENCONTRE DE CEUX QUI VIENNENT VERS EUX EN MISSION DE PAIX ?
Nous avons suffisamment de moyens pour nous défendre contre vos tendances aliénées.
Nous exprimons le désir que cette personne – sans représailles de notre part – ait la gentillesse de rectifier en présence des mêmes personnes cet aberrant point de vue.
In written
WOI 3 son of WOI 1
In obedience to
YOO 1 daughter of AIM 368
D29
AELEWE
Professeur Sesma Manzano
MADRID
Nombre de copies : 1
Langue : Espagnol.
Dans le document que nous vous avons remis concernant la création ou génération du WAAM et du UWAAM (LES DEUX COSMOS JUMEAUX), nous faisions référence à l’interaction des deux Univers. Interaction qui sBie manifeste au moyen de forces ou interférences que vous n’avez pas encore découvertes.
Voyez page 10 du document en question et la page 1 du second RAPPORT ACCESSOIRE, section 112, page 1, où nous mentionnions cette interinfluence du UWAAM.
Maintenant nous devons féliciter les hommes de la TERRE, c’est une grande date dans les annales astronomiques terrestres.
La presse mondiale a divulgué qu’après de longues études, les cosmologues de la TERRE ont détecté la présence de FORCES INCONNUES qui étaient jusqu’à présent sous-estimées et ignorées.
Que ce premier pas vers la découverte de l’UWAAM soit fructueux, c’est le souhait des hommes déplacés de UMMO.
Quand, en 1962 nous avons envoyé un document réservé à l’Observatoire de Pasadena (U.S.A.) en les informant sur la réelle existence de ces FORCES, et sur la nature de leur origine, c’est-à-dire la présence d’influences extracosmiques, les Terrestres interprétèrent ce message comme « une plaisanterie ».
Nous ne connaissions pas totalement la mentalité de certains scientifiques et votre scepticisme nous attrista. Par la suite nous nous sommes aperçus que les civilisations doivent découvrir elles-mêmes et sans aide leurs propres vérités scientifiques.
Nous vous disons cela sans ironie et sans condescendance pour avoir dû reconnaître enfin que nous avions raison. Il nous reste seulement à désirer qu’avec le temps se confirment les autres vérités que nous vous avons révélé ces dernières années et que vous compreniez pour les mêmes raisons leur réalité scientifique.
Nous vous remettons, mais vous avez déja dû la lire, une note parue le 10 MARS 1966 dans le journal « YA » de MADRID ; celle-ci est plus brève que celles parues dans les journaux de différents pays selon ce que nous disent nos frères des ÉTATS UNIS, de FRANCE, d’ALLEMAGNE, et d’ISRAEL.
« Un atlas de Galaxies Singulières » Pasadena, Californie.
« L’institut de technologie de Californie a publié aujourd’hui un atlas de galaxies singulières en suggérant que des forces inconnues peuvent agir dans les profondeurs sidérales. Le nouvel atlas préparé par le docteur Halton ARP présente des photos de 338 grandes galaxies ou nébuleuses, chacune d’elle étant « tordue » sous une forme peu courante. Les photos – dit le docteur H. Arp – paraissent indiquer l’existence de nouvelles forces ou de forces qui avaient été négligées. Les formes tordues, les contours distordus et les curieux liens qui apparaissent dans ces galaxies singulières suggèrent par exemple l’existence de forces visqueuses (collantes). La majorité des galaxies découvertes antérieurement avaient une forme arrondie, elliptique ou spirale. »
D30
D30.doc Page 1 sur 4 sauvé le : 26/02/2006 00:45:00
Référence : D30
Titre LA PAIRE DE COSMOS JUMEAUX
Destinataire(s) et date(s) SESMA en 1966
Commentaires Se trouve en partie dans D45
Aujourd’hui nous savons qu’il n’existe pas qu’un seul Cosmos (le nôtre ), mais un nombre infini de « PAIRES DE
COSMOS ». Il y a donc la dualité qui existe aussi dans les genèses cosmologiques. La différence entre les
éléments A et B de chaque paire consiste dans le fait que leurs structures atomiques respectives diffèrent
au niveau du signe de la charge électrique (vous employez incorrectement les termes de matière et
d’antimatière).
Par exemple notre Cosmos jumeau existe aussi mais:
1) dans ses atomes l’écorce est formée par des électrons positifs (positons) orbitaux et son noyau par des
antiprotons.
2) jamais ces deux cosmos ne pourront être en contact et croire qu’ils peuvent se superposer n’a pas de sens, car
ils ne sont pas séparés par des relations dimensionnelles, (c’est à dire qu’affirmer qu’ils sont séparés de
plusieurs années-lumière ou que leur existence est simultanée n’a pas de sens).
3) les deux cosmos jumeaux possèdent la même masse et le même rayon correspondant à une
Hypersphère de courbure négative.
4) mais les deux univers jumeaux jouissent de singularités différentes (autrement dit dans notre cosmos
jumeau il n’y a pas le même nombre de galaxies et celles qui y sont n’ont pas la même structure.)
Il n’y a pas donc un autre UMMO jumeau ni une autre TERRE jumelle comme vous pourriez le croire. Cette
dernière conclusion n’est pas hypothétique et nous vous en donnerons la raison.
5) les deux cosmos furent « créés » simultanément mais leurs flèches de temps ne sont pas orientées dans le même
sens. C’est à dire qu’il est illogique de dire que ce cosmos coexiste avec le nôtre dans le temps ou qu’il existait
avant ou qu’il existera après. On peut seulement dire qu’il existe mais non pas maintenant, avant ou après. Par
contre un intervalle d’évolution peut être parallèle ou égal au nôtre.
On pourrait dire la même chose pour l’infinité de paires de Cosmos qui existent dans le Pluricosmos. Nous
pouvons observer que l’image du Pluricosmos ne peut ressembler à un Univers (au sens de Cosmos). Dans
celui-ci les galaxies se déplacent comme des îles flottantes dans une immense mer.
Seulement cette « mer » est une sphère aux multiples dimensions, par contre on peut parler de distances
intergalactiques et même de gaz qui remplissent les espaces intergalactiques.
En échange, il est beaucoup plus difficile d’imaginer le UWAANWAAM (PLURICOSMOS) car les paires
de cosmos sont submergées dans le RIEN. Il est inutile d’imaginer qu’il existe des distances ou que ces
distances sont nulles. Une telle image serait illusoire.
Mais il y a quelque chose qui frappa de stupeur nos scientifiques quand ils en firent la découverte: notre Cosmos
jumeau exerce son « influence » sur le nôtre quoiqu’ils ne soient pas liés par des relations d’espace-temps. Grâce
à l’analyse de cette influence nous avons pu deviner l’existence de l’autre univers. Par supposition, notre
Cosmos doit influer aussi sur l’autre dans les mêmes conditions.
L’asymétrie de cette influence nous a révélé que ce Cosmos a une autre distribution de Galaxies. L’analyse
de la phase actuelle de notre Univers nous révèle comment il a été engendré par WOA.
Notre Cosmos est ce que vous appelez un Continuum espace temps (il nous a fallu 10 dimensions pour le
définir mathématiquement). Nous pourrions spéculer en lui attribuant une infinité de dimensions mais nous ne
sommes pas en mesure de le prouver.
De ces dix dimensions, trois sont perceptibles par nos organes sensoriels et une quatrième -le temps- est perçue
psychologiquement comme un » flux » continu dans le sens unique que nous appelons UIWIUTAA (flèche ou
sens orienté du temps).
Au début nos deux cosmos jumeaux:WAAM ( le nôtre) et UUWAAM (nôtre jumeau) étaient définis par un
WAAMIAAYO (difficile de traduire: point ou origine d’une seule coordonnée qui serait précisément le
temps). WOA a créé successivement le reste des dimensions mais n’interprétez pas ce
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« successivement » comme une succession temporelle ou spatiale, mais comme une relation « achrone ordinale »,
c’est à dire « ordonnée » en dehors du temps.
Dans les croquis qui suivent nous désirons représenter grossièrement ces phases de la GENERATION ou
CREATION. (les croquis sont grossiers car il est impossible d’enfermer dans un graphique plus de trois
dimensions.
Vous pouvez imaginer que notre Bicosmos primitif ressemblait davantage à une petite sphère vide. Un petit
univers sans Galaxies, sans gaz intergalactiques, seul l’espace existant dans le temps (figure 1).
WOA courbe et recourbe cet espace. Chaque courbure « nouvelle » suppose une dimension et enfin, il le
« plisse ». Observez que nous sommes en train d’employer une comparaison, un symbôle, car on pourrait
exprimer celà correctement seulement d’une manière mathématique. Par exemple l’expression
« Plisser l’espace » peut paraître infantile, mais elle est très didactique.
(FIGURE 1)
Si nous courbons un espace tridimensionnel, si nous le plions, ou si nous faisons une espèce de creux (voir
figure 2) à travers une quatrième dimension, cette courbure représente ce que nos organes sensoriels interprètent
comme une masse (une pierre, une planète, une galaxie).
(FIGURE 2)
Ainsi WOA endommage ce micro cosmos créant ainsi la masse. Rien de moins que presque toute la masse
actuelle de nos deux univers jumeaux concentrée dans un espace très réduit.
Un peu comme si toute l’eau carbonée de UMMO se trouvait enfermée dans mon poing. Matière et
antimatière ( comme vous les appelez), sont superconcentrées.
Il se produit alors une DOUBLE EXPLOSION IMPLOSION. Par l’implosion matière et antimatière, c’est à dire
atomes positifs et atomes négatifs, sont attirés violemment les uns contre les autres sans jamais se rencontrer.
Ce sont deux ensembles, deux univers, WAAM et UWAAM qui ne pourront jamais se rencontrer car ils ne sont
pas séparés par des relations d’espace.
Ainsi quand nous disons qu’ils s’attirent, le verbe « s’attirer » doit être compris dans le sens de s’influencer.
D’autre part, nous indiquons qu’il y eut explosion. En effet, l’immense masse de chaque Cosmos se fragmente
en particules et ces fragments expulsés brutalement il y a des millions d’années, constituent les actuelles
Nébuleuses ou Galaxies qui se déplacent aujourd’hui à une VITESSE PRESQUE CONSTANTE.
Vous pouvez observer que nous soulignons ce « presque » au moment où vos astronomes jugent que la
vitesse (V2) doit être constante ou uniforme en se basant sur deux raisonnements faux:
– Le déplacement des bandes du spectre, dans les galaxies observées, est CONSTANT et orienté
vers le ROUGE.
– l semble logique de penser que si les nébuleuses ne sont pas impulsées par un Champ de Forces, car
elles sont issues d’une explosion initiale de l’univers, elles se déplaceront avec une vitesse
uniforme .
Mais ces deux prémisses son faux et ingénus.
1) vos appareils de mesure sont peu précis, sinon vous auriez observé que la course des bandes vers le rouge
N’EST PAS CONSTANTE, elle est une fonction périodique non sinusoïdale d’amplitude moyenne presque
imperceptible, mais EVALUABLE.
2) vous n’avez pas pris en compte que notre Cosmos jumeau exerce une « influence » sur nos galaxies.
Précisément sur UMMO, comme nous vous l’indiquerons, nous avons découvert l’IWAAL en partant de ces
interférences.
Cette interaction empêche que nos nébuleuses se déplacent avec une vitesse uniforme (vitesse accélération).
Ainsi la mesure que vous faites de l’age de l’univers est inexacte car vous utilisez comme paramètres cette
pseudo vitesse constante actuelle des galaxies et leur distance par rapport à la TERRE.
Avec en plus le fait que si MAINTENANT la vitesse est presque constante, dans les premiers temps de la
création l’accélération (fonction sinusoïdale) arriva à avoir une énorme amplitude.
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FIN DU WAAM et de l’UWAAM, MORT DES DEUX COSMOS.
Quelle sera la fin des deux cosmos jumeaux ? En tenant compte du fait que WOA continue à créer de la matière
à l’intérieur de chaque Cosmos, la dégradation de masse en énergie est beaucoup plus rapide.
Il arrivera un moment où les deux univers seront réduits à un Continuum d’espace-temps hypersphérique de
rayon négatif, mais, MAINTENANT, de magnitude infinie. Sans concentration de masses, c’est à dire sans
Galaxies et avec l’exemple antérieur: sans courbures, sans « PLIS ».
Seule une propagation continue et isotrope de radiations avec la même fréquence, car, MAINTENANT, les
multiples fonctions sinusoïdales créées par WOA ne seront mises en phase et auront cessé de produire
ces ondes stationnaires, ces noeuds de crêtes que nos sens ingénus interprètent respectivement comme
« VIDES et MASSES ». il restera seulement un océan d’ondes dont l’amplitude ira en diminuant jusqu’à la
mort finale de la « paire cosmique ».
Mais si, sur UMMO, nous avons conscience de cette création, comment peut se développer l’athéisme? Si
l’univers était éternel, il serait déjà mort.
DISTANCES APPARENTES ENTRE LES ASTRES ET LES GALAXIES DU WAAM.
Le cosmos est un continuum espace-temps décadimentionnel, courbé en son ensemble et formant une
hypersphère inverse (c’est à dire avec deux rayons de même longueur mais inverses.). Mais, en plus de cette
immense courbure universelle, il est soumis à deux autres types de courbures :
Il est impossible cependant de représenter sur un dessin de telles courbures (car sur une surface on ne peut
dessiner que des images à trois dimensions). Cependant nous allons essayer de dessiner des graphismes en
utilisant des crayons de couleur (moyens d’expression habituels pour vous).
Accueillez donc avec réserve de tels dessins qui n’ont qu’une valeur didactique.
Comme un enfant terrestre doit considérer l’expression de Dieu par le symbole d’un TRIANGLE avec un oeil
tracé à l’intérieur.
L’image A l’indique: la façon dont nous voyons ou apprécions, nous les humains, un « fragment » de l’ESPACE
qui englobe deux astres quelconques (par exemple la TERRE et UMMO). La ligne en pointillés représente
l’apparent chemin le plus court, c’est à dire celui que suivra un rayon de lumière (c’est à dire un faisceau de
IBOAAAYA ou PHOTONS) ou bien l’un de vos projectiles téléguidés.
L’image B indique: comment peut être courbé cet espace à travers une quatrième dimension. Ces immenses
« plis » de l’espace varient constamment, comme le vent peut plisser l’un de vos draps étendu au sol, et ils sont dus
aux inter-influences de l’UWAAM (notre cosmos jumeau dont nous avons déjà parlé dans un autre document).
Il existe cependant d’autres courbures beaucoup plus petites: de petits plis ou rides que l’on peut identifier avec
ce que nos sens perçoivent sous forme de « MASSES ».
Les Galaxies, et à l’intérieur les astres, le corps humain, une pierre, ne sont que des petits « creux » ou courbures
de l’espace à travers un quatrième axe dimensionnel (voir image B).
Vous pouvez observer que les scientifiques terrestres ont identifié la courbure générale de l’ESPACE et ces
petites courbures – MASSE, mais ils ignorent les grands plis variables que nous venons de mentionner.
Comme vous le voyez, la ligne continue de l’image B ou C représentera donc l’AUTHENTIQUE DISTANCE
LA PLUS COURTE (idéale pour les voyages interplanétaires) dans cet espace tétra dimensionnel.
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Quand le rayon de cette courbure est important, (image B) les deux lignes ont presque la même longueur et les
voyages spatiaux se feront encore dans un temps très long même à des vitesses proches de celle de la
lumière.
Mais si la courbure est prononcée, (image C) la ligne continue sera beaucoup plus courte que la ligne en
pointillés (ligne de la propagation de la lumière).
Dans les images D et E on peut distinguer deux types de lignes idéales.
LIGNES ISOCHRONES (dans l’original en vert, bleu et orange) qui représentent la véritable ligne la plus courte
(vert: —), celle de la trajectoire de la lumière (rouge: …), et d’autres intermédiaires. Les IISUIW (lignes
isochrones) se caractérisent ainsi: deux observateurs 1° et 2° vérifient que le TEMPS est synchrone, par contre
pour 1° et 3° situés
dans des IISUIW différents, le TEMP s’écoule d’une manière différente.
LIGNES USDOUOO (ISODYNAMIQUES) de couleur orange sur l’original, vous pouvez observer que dans
l’image D elles sont divergentes et dans l’image E parallèles. (….).
C’est seulement quand les lignes USDOUOO ou Isodynamiques ne convergent pas ou divergent, c’est à dire
qu’elles sont parallèles (image E), que nos scientifiques peuvent avoir conscience que la distance à un autre astre
est minime et qu’ils peuvent se déplacer à travers cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA UEWA
OEMM (vaisseaux spatiaux en forme de disques).
Mais cette courbure de l’espace subit des modifications périodiques engendrées par l’influence de l’UWAAM.
Aujourd’hui il peut se produire que notre planète UMMO soit plus proche de la planète Terre que de l’étoile
ALPHA DU CENTAURE et en fait celà s’est produit quelques fois.
L’image F aidera à comprendre cela.
Dans des conditions normales, IMAGE F, la distance apparente Alpha du Centaure et la Terre sera de quelques
4,4 années lumière. Par contre IUMMA et UMMO (NOTRE SYSTEME SOLAIRE DE WOLF 424) seront
séparés par plus de 14 années lumière (de la Terre ndt).
Mais si, (comme l’indique l’image G), l’espace se courbe, il peut se produire que les distances réelles varient en
faveur de l’espace qui nous sépare de UMMO. Si la trajectoire de la LUMIERE n’a pas varié, pour les
astronomes et pour les possibles voyageurs de l’une de vos fusées qui voudraient se déplacer jusqu’à UMMO, le
temps du voyage leur paraîtrait plus long pour WOLF 424 que pour ce que vous considérez comme l’étoile la
plus proche: Alpha du Centaure.
D31
AELEWE
Langue: Espagnol
N° de copies: 1
16 MARS 1966
Professeur Sesma Manzano
MADRID – ESPAGNE
500 – INTRODUCTION DE NOTRE POINT DE VUE CONCERNANT L’ACTUEL STADE CULTUREL DE L’ÉVOLUTION TERRESTRE.
En faisant partie d’une structure sociale comme la terrestre, endommagée de multiples déformations, angoissée par les hallucinantes perspectives d’une guerre nucléaire, perplexe et désorientée devant le réseau emmélé d’idéologies philosophiques, religieuses et politico-économiques, recherchant dramatiquement les bras tendus dans les brumes d’un épais brouillard, PAIX et FÉLICITÉ spirituelle et physique sans jamais les rencontrer.
En tenant compte que vous, Professeur Sesma, appartenez à cette minorité de choix qui s’oriente vers les facteurs spirituels en devinant avec une fine sensibilité que seulement par eux l’homme atteindra son authentique liberté;
Il était logique que vous formuliez cette question trancendante:
SI VOUS LES HOMMES DE UMMO AVEZ ATTEINT UNE PHASE SCIENTIFIQUE DANS LAQUELLE LES FACTEURS ÂME ET ORGANISME PHYSIOLOGIQUE VOUS SONT EMPIRIQUEMENT ACCESSIBLES:
AVEZ-VOUS OBTENU UN MOYEN EFFICACE DE SUPPRIMER CES STADES D’ANXIÉTÉ EN ATTEIGNANT LE CHEMIN SUPRÊME POUR VOUS RETROUVER VOUS-MÊME SUR VOTRE ROUTE VERS WOA (DIEU) ?
De plus ; les questions transcendantes exigent des réponses complètes et laborieuses dans leurs énonciations. Nous désirons vous parler avec toute impartialité et objectivité scientifique et en nous efforçant d’employer des expressions qui vous sont accessibles. Nous demandons d’avance de nous excuser si au cours de notre exposé nous devons intégrer des récits marginaux ou intercaler diverses déclarations.
500 – UN RÉCIT DE FICTION.
La Terre traverse les années obscures du Moyen-Âge. Dans un endroit isolé arrive un astronef en mission d’investigation. Les équipages viennent d’une planète imaginaire (appelons là DELTA) où le développement scientifique a atteint niveau identique à celui que vous vivez en 1966.
Rapidement les savants voyageurs entrent en contact avec des frères monastiques, véritables gardiens de la culture, astrologues, alchimistes et médecins (physiciens comme on les dénommait à cette époque) et d’autres » sages » de l’époque.
Tout de suite leur est révélé le grand secret : certaines affections (dont ils ne connaissent pas l’étiologie : arthrites névralgiques, ovarites, trouble du grand sympathique) peuvent se soigner par le moyen d’un traitement mystérieux appelé DIATHERMIE par ONDES ULTRA COURTES. Et ils tentent d’expliquer les bases physiques d’un si merveilleux système.
L’affirmation de l’existence des champs électromagnétiques est véritablement surprenante. Les savants médiévaux se regardent entre eux, moitié amusés et moitiés méfiants. Quelles preuves apportent les blonds étrangers qui viennent peut-être des terres sauvages de Germanie?
Leurs sont présentés les bases mathématiques de la théorie du champ. Utilisant le langage de la Terre au XX è siècle ils parlent de l’Opérateur Nabla, de divergence d’un vecteur, de gradients de Potentiel, de Flux magnétique, tentant de rendre compréhensible le théorème de Stokes et les hypothèses de Maxwell.
Les étranges symboles que les visiteurs traduisent comme INTÉGRALE de, Rotation de, Différentiel de …
Impossible de digérer en quelques mois toute la base du calcul intégral et tensoriel… Avec quelle formation essayer de résoudre un système d’Equations Différentielles ?
Tout cet ensemble compliqué de nombre et des signes cabalistiques peut n’être qu’une simple fiction aussi ingénieuse qu’irréelle, inventé pour surprendre la bonne foi des érudits du Moyen Âge:
– Si les étrangers ne sont pas des imposteurs : ne serait-il pas possible de construire sous leur direction cette ingénieuse « machine » ?
Ils ont parlé d’un oscillateur générateur de hautes fréquences : ils ont montré quelques bizarres « peintures » où l’on voit un panneau plein d’étranges « manettes » et des câbles qui s’entrelacent avec des disques mystérieux.
Rapidement on se met à l’œuvre : il faut fabriquer des dispositifs nommés VALVES PENTODES. Mais où trouver un métal rare nommé Wolfram? et cet autre appelé THORIUM qui permettra de construire leurs cathodes ? Et le NICKEL nécessaire pour les grilles ?
Où trouver le verrier avec une grande expérience artisanale qui puisse fabriquer une ampoule de verre et ensuite y créer un vide poussé? Mais avant, qu’est-ce que le vide ? Et comment trouver dans toute l’Europe une industrie capable de fabriquer les milliers d’éléments qui interviennent dans cet engin ? : résistances, condensateurs, bobines, transformateurs… ? Et l’énergie pour la mettre en marche : ils disent que c’est l’électricité ? Ce fluide mystérieux qui fait sauter des étincelles d’un grand bâton de soufre frotté contre un drap? obtenir du 220 volts ? Que veulent-ils dire avec ce mot énigmatique : VOLTS ?
Les docteurs continuent en échangeant des regards d’intelligence : quel genre de bouffons sont ceux là qui prétendent savoir plus que la Médecine, l’Astrologie et l’Alchimie. … ils disent qu’ils sont descendus du ciel. Où sont les chariots de feu qui les ont transportés et les anges qui les ont guidés ?
Les astronautes présentent, angoissé, les feuilles chargées de signes cabalistiques, les renseignements concernant la vie de leur planète, où volent des appareils plus lourds que l’air, des machines qui se substituent à des milliers d’experts en calcul et où, sur des écrans, apparaissent les images mobiles des êtres humains.
Nous voulons des preuves : ! Réclament, hiératiques, les docteurs; Si vous dites posséder ce que vous appelez des Appareils de DIATHERMIE : vous avez ici une enclume, un fourneau, une scie, une hache. Construisez-le avec ces pièces de bois et de cuivre.
Paysans, artisans, soldats, la plèbe dans son ensemble assiste à la polémique. Quelqu’un demande et on l’informe : « des étrangers ensorcelés et fous qui assurent être descendu, en se décrochant de ces luminaires pendus au plafond céleste. Brûlons-les et divertissons-nous !!! »
Maintenant surgissent des allègres bouffons et jongleurs qui assurent avec une grimace doctorale venir du Soleil et de la Lune. Plus personne ne fait attention aux Pèlerins de l’espace.
Il est indubitablement facile de comprendre la morale de cette fiction. Cependant ces personnes qui acceptent intelligemment notre présence et peut-être celles d’autres habitants galactiques peuvent se sentir tentés de critiquer ouvertement les docteurs médiévaux de notre histoire. Il peut surgir un vague ressentiment, qui ne soit pas exempt de sarcasme. Une réaction méprisante contre les moines, les » savants « , la plèbe qui n’ont pas su voir dans ces hommes les hérauts du futur, les porte-voix d’une philosophie et d’une science plus avancée.
Cet ultime jugement, cependant, manque de toute objectivité scientifique. En effet : c’est en accord avec les lois les plus élémentaires de la psychologie sociale que les voyageurs fabuleux de notre histoire se sont opposés au scepticisme collectif. ET NOUS AFFIRMONS :
UNE TELLE RÉACTION CONTRAIRE EST NON SEULEMENT TOTALEMENT EXPLICABLE MAIS AUSSI JUSTIFIABLE ET NÉCESSAIRE dans l’ÉTAPE que traversait L’HUMANITÉ TERRESTRE à ce moment-là.
Ce qui est absurde, ce qui est risqué, ce qui aurait pu amener de graves troubles dans le processus évolutif de la civilisation, c’est d’assimiler trop vite des techniques, des principes et des bases scientifiques qui ne soient pas en adéquation avec la culture naissante de l’époque.
Nous parlons en termes statistiques, en sorte qu’une affirmation faisant référence à tout un ensemble d’OEMMII (GROUPE SOCIAL) peut ne pas être valable pour une seule personne ou un petit groupe. C’est-à-dire : si dans notre fable antérieure, quelques personnes d’une intelligence avancée avaient accepté discrètement la version des astronautes, on ne pourrait pas non plus les accuser de transformer les lois psychologiques qui régulent l’évolution humaine. Mais si ces mêmes personnes tentent de forcer leur milieu social, en agissant au nom de la vérité scientifique pour que soit accepté à contretemps un patrimoine culturel aussi avancé, elles commettraient la même erreur que si, au nom de la science, vous déposiez vous-même dans la main d’un enfant un récipient de nitroglycérine
Vous n’avez donc pas raison quant vous accusez les générations respectives de GALILÉE, DARWIN ou THEILLARD DE CHARDIN, entre autres, ou dans notre cas celles de DEEO 8, fils de DEEO 9 et IE 456, fille de NA 312, de n’avoir pas compris leurs idées en avance, les répudiant et leur jetant l’anathème. Le groupe social en agissant ainsi se défendait inconsciemment d’un risque, traumatisant pour son évolution, que suppose d’assimiler des techniques ou des idées, qui devaient être placés en un point plus avancé sur la flèche du TEMPS.
Bien que dans des prochains rapports nous éclaircirons ces principes, nous pouvons vous donner un exemple vécu par vous, en ce qui concerne les risques qu’entraînent une assimilation rapide d’une culture et ses conséquences funestes : Le Japon peut vous offrir des éléments d’étude et de méditation.
Ces explications préalables sur le thème que nous tentons de développer dans ce RAPPORT doivent servir au passage pour comprendre en partie la prudence que nous prenons à communiquer avec l’humanité terrestre.
Notre objectivité scientifique et la pureté de nos intentions nous empêchent de nous offenser du scepticisme justifié que les masses et les scientifiques eux-mêmes opposent à la réalité de notre existence parmi vous. Nous savons d’autre part qu’une révélation prudente à quelques-uns d’entre vous n’est pas nocive.
Pour ceux qui acceptent notre réalité: ne vous angoissez pas si vous observez des réactions d’indifférence concernant notre réalité et de moquerie, et n’accusez pas avec mépris votre prochain d’étroitesse mentale. Car : comment vous considérer alors comme porteur de la vérité si vous ne savez pas comprendre respectueusement les intimes motivations de vos semblables ?
Vous comprendrez que si nous étions intéressés par la publicité et la diffusion de nos idées nous aurions à notre disposition des moyens techniques pour nous faire connaître (de fait nous sommes connus des hautes sphères de certains Gouvernements).
Et soyez sûr que si des habitants d’une autre planète désirent vous faire du mal, ne croyez pas qu’ils utiliseraient des armes terrifiantes comme celles décrites dans les films de science-fiction, alors qu’ils leur suffiraient de vous révéler brusquement et avec de nombreuses preuves leur propre culture. L’effet perturbateur sur l’humanité terrestre actuel serait catastrophique.
500: LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.
Vous savez que le processus évolutif de l’humanité garde un étroit parallélisme avec le processus de croissance d’un enfant jusqu’à la période adulte. Une telle analogie n’est pas seulement accidentelle. A tel point que beaucoup de lois biogénétiques qui dirigent le comportement de l’individu, conforment aussi le comportement des groupes sociaux.
Dans les premiers stades de l’humanité ces hommes, à qui quelques années auparavant WOA (Dieu ou générateur) donna l’influence d’un être adimentionnel comme l’est le BUUAWAA (âme), cessent d’être de simples animaux anthropoïdes. Mais ils ne disposaient pas encore d’une structure neurocorticale aussi développée que celle que vous avez aujourd’hui.
Ces individus, comme l’enfant de peu de mois, commençaient à distinguer entre la reconnaissance de l’ÊTRE lui-même et la conscience du milieu ambiant qui les entourent. Devant cette scission (NdT: les psychanalystes diraient « clivage ») cognitive apparaissent automatiquement deux réactions :
TERREUR ET ANXIÉTÉ devant l’inconnu.
CURIOSITÉ ET AVIDITÉ INTERPRÉTATIVE.
Ces deux réponses ne sont pas simultanées, mais elles se développent peu à peu successivement en vertu de lois psycho-physiologiques dont nous connaissons les racines somatiques sur UMMO depuis très longtemps.
La première réaction qui poussait les premiers habitants humains à fuir le feu provoqué par une décharge électrostatique ou à adorer le soleil et les volcans était purement affective. Elle s’établissait sur le plan émotionnel (nous vous parlerons de cela quant nous traiterons la crainte, la douleur, le plaisir, le déplaisir, c’est-à-dire en somme les émotions). L’origine physiologique de cette sensation d’angoisse est provoquée simplement par la décompensation ou le déséquilibre au moment ou s’élaborent les premières perceptions dans les cerveaux, sans que n’existent dans les zones corticales de la mémoire de véritables réseaux d’images à leurs confronter (n’oubliez pas que lorsque nous percevons par exemple un ARBRE par notre sens visuel, automatiquement accède au champ de la conscience l’image conservée en mémoire d’un autre arbre, synthèse des perceptions accumulées antérieurement. La comparaison des deux : IMAGE RÉELLE et IMAGE ÉVOQUÉE, constitue la base du raisonnement) . Mais quand il n’existe pas dans une mémoire ce réseau complexe d’image de concepts archivés qui constitue le « substrat » de la connaissance, alors se produit toute une série de bouleversement neuronaux qui débouchera sur la sensation d’ANGOISSE ou de TERREUR.
Le premier pas pour comprendre ces forces inconnues, ces phénomènes inexplicables, pour ces cerveaux primitifs, et éluder ainsi la terreur qu’ils provoquaient, fut de les associer et de les confronter dans le champ de la conscience avec la pauvre gamme d’images emmagasiné dans leurs mémoires (animaux, hommes, objet connu ). Et c’est ainsi qu’ils personnifièrent la lune, les constellations et qu’ils identifièrent des phénomènes atmosphériques ou géologiques avec leur propre moi. Ceci était la conséquence d’un mécanisme de défense devant les perceptions qui provoquaient de telles réactions de terreur.
Mais lentement au cours des siècles s’accumule peu à peu dans la mémoire connaissances après connaissances, ce qui constitue le patrimoine culturel de la société et en même temps les habitudes ou réflexes conditionnés qui dans le fond sont des mécanismes neuronaux qui caractérisent ces connaissances-là, passant par la voie génétique de parent à enfant en constituant ce que vous appelez les INSTINCTS.
Vous pouvez observer vous-même que quant un UUGEE (enfant) naît de nos jours sa constitution corticale est totalement différente de celle des premières populations de UMMO ou de la TERRE. Dans les couches les plus profondes de sa mémoire BUUAWAMIESEE OA (SUBCONSCIENT) existent déjà quelques connaissances, qui pour avoir été communes aux centaines de générations passées, sont restées fixées génétiquement dans les chromosomes sexuels des parents, et se transmettent comme le reste de l’hérédité. Lui a aussi été légué, comme vous le savez, les réflexes conditionnés qui constituent à leur tour des réponses à tout autant d’autres connaissances (par exemple face à la reconnaissance ou perception du sein maternel, le réflexe conditionné de la succion).
Les hommes de nos générations ne sont donc pas comme leurs ancêtres avec une mémoire (CONSCIENTE ou INCONSCIENTE) nue ou vierge d’images à opposer ou confronter aux premières perceptions reçues. L’angoisse face à la méconnaissance s’atténue peu à peu et va aussi être substituée progressivement par la CURIOSITÉ, la RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.
Mais ce processus que vous vivez actuellement en période ascendante et nous en période descendante (la courbe adopte la forme suivante : voyez le dessin n° 1).
est fonction à son tour de multiples facteurs. Elle ne dépend pas seulement de la structure neuroencéphalique, même si évidemment pour un cortex cérébral ordonné d’une manière déficiente, bouleversée par des agents pathogènes, vicié par des pratiques antibiologiques ou changé par des mutations génétiques, il n’y a pas de doute qu’une telle évolution sera pénible et aberrante.
Nous croyons (et étant pour le moment en pleine étude nous nous abstenons de donner une réponse catégorique) que la société terrestre est endommagée non pas dans ses éléments constitutifs primaires, c’est-à-dire les cerveaux individuels, mais dans la structure de son AYUYISAA (RÉSEAU SOCIAL).
Nos spécialistes en psycho-sociologie de UMMO considèrent le groupe humain comme un cas particulier d’ AYUBAA (RÉSEAU). S’il y a parmi vous un mathématicien, un ingénieur en électricité ou un physicien, il vous expliquera qu’un RÉSEAU est une abstraction mathématique représentée (voir dessin 2) par un ensemble de points ou « NŒUDS », auxquels est associé un » POTENTIEL « , unis entre eux par une ou plusieurs lignes, branches ou « ARCS » auxquels est attribué un FLUX ou INTENSITÉ de sens orientés. Un exemple courant pour vous d’un RÉSEAU ou GRAPHE est le circuit d’un récepteur de télévision ou, plus compréhensible, les canalisations d’eau dans une ville. Les branches y seraient matérialisées par les tubes dans lesquels circulent des flux ou des débits de tant de litres par heure, et les nœuds par les embranchements correspondants, dont le potentiel associé ne serait autre que la pression de l’eau à ces points (images 3 et 4).
Sur UMMO nous avons créé toute une science ou théorie dénommée par AYUBAAEWAA. Les mathématiciens nous comprendrons si nous leur indiquons que c’est équivalent à ce qui est appelé par vous THÉORIE DES ENSEMBLES. Sauf que l’AYUBAAEWA étudie le comportement des ENSEMBLES INTERRELATIONNÉS ENTRE EUX (Vos théories des réseaux et théories des ensembles, modernes pour vous, sont de simples sections de cette étude généralisée.).
Une société se comporte comme un RÉSEAU que l’on peut donc représenter graphiquement (dessin 5) . Dans celui-ci les individus sont représentés par des nœuds et les divers types de relations qui les relient (RELATIONS DE CONSANGUINITÉ, de SUBORDINATION MENTALE, de COMMUNICATION VERBALE ou TÉLÉPATHIQUE, etc.) par des ARCS. Dans ce modèle mathématique de réseau si complexe, il faut dire que les élémentaires concepts de potentiel et de flux ont été remplacés par une grande gamme de paramètres psychométriques et sociométriques.
Donc : avant le moment d’analyser plus soigneusement le problème, nous vous informons préalablement que la grande défaillance de la SOCIÉTÉ sur la PLANÈTE TERRE repose sur la structure défectueuse des communications sociales. Dit d’une autre façon plus compréhensible pour les personnes qui ne sont pas versés en sociologie : le RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE soufre les conséquences des relations spirituelles mal orientées entre ses membres et d’une véritable indigence dans les moyens de communication sociale qui empêche ses membres de se comprendre et de s’identifier entre eux. C’est le milieu externe qui vous rends malheureux et non pas votre propre structure cérébrale.
D32
AELEWE
RAPPORT ACCESSOIRE
LANGUE: Espagnol
Nombre de copies : 1
18 Mars 1966
Professeur Fernando Sesma
Tout au long de nos documents nous avons été obligés d’utiliser indistinctement des modules et des unités tantôt de la Planète TERRE, tantôt de la Planète UMMO. Ces documents envoyés au Professeur SESMA MANZANO avaient rarement le caractère de TECHNIQUES mais plutôt de VULGARISATEURS. C’est pour cette raison que la gamme de grandeurs et d’unités utilisées est relativement réduite, en utilisant seulement celles concernant le TEMPS, MASSE, et LONGUEUR. C’est pourquoi nous jugeons que pour les profanes en PHYSIQUE, PSYCHOBIOLOGIE, COSMOLOGIE…leur donner par exemple la valeur de L’INTENSITÉ DU CHAMP MAGNÉTIQUE en OOXAII, leur servira très peu pour avoir une perspective fiable de la culture sur UMMO.
Tout au long de nos études réalisées sur TERRE nous avons distraitement assimilé de nouvelles expressions terrestres topiques pour vous mais surprenantes pour nous, et acquis de nouvelles habitudes communes aux vôtres. Il n’est pas rare que, parlant entre nous phonétiquement ou télépathiquement, nous nous surprenons à utiliser par inadvertance tel ou tel adjectif anglais ou espagnol, ou à utiliser l’unité MINUTE ou MÈTRE au lieu de l’UIW ou de l’ENMOO.
Par exemple, ceux, peu nombreux, qui ont habité en Espagne en passant de longs moments dans vos merveilleux musées et dans vos magnifiques magasins d’antiquités, emploient l’expression TONNE pour représenter MILLE KILOGRAMMES au lieu de notre expression MILLE DUUO (un DUUO équivaut à 1,7333 kilogrammes MASSE).
Nous vous indiquons cela pour vous avertir que l’unité TONNE n’existe pas sur UMMO. Ainsi quand dans un document nous vous disons que la MASSE d’UMMO est de 5,4.1021 TONNES, il faut faire la correspondance. Dans ce cas précis:
MASSE DE LA PLANETE UMMO: 9,36 x 10 24 Kilogrammes MASSE de la TERRE.
Il en est de même pour les JOURS et ANNÉES. Il faut supprimer toute équivoque à ce sujet. Sur UMMO nous utilisons le phonème XI ou SI (il est difficile de trouver les lettres appropriées) qui signifie CYCLE ROTATION ou RÉVOLUTION qui a une double acceptation. C’est-à-dire qu’il s’agit de ce que vous appelez un mot HOMOPHONE. Avec le mot « XI » ou « CSI » nous exprimons aussi bien la rotation d’UMMO sur son axe (UN JOUR) que celle par exemple d’une ROUE.
un « XI » = 600,0117 (S32-1) (environ six cent UIW)
un « XI » (jour d’UMMO) = 1855,2 minutes, c’est-à-dire à quelques 30,92 heures terrestres.
Sur UMMO nous divisons le CSI (JOUR) en UIW (1 uiw = 3,092 minutes) et il n’existe pas de divisons correspondant aux heures.
Avec le phonème « XEE », nous exprimons la DIX-HUITIÈME partie de l’intervalle de temps que mets la Planète UMMO pour faire un cycle complet en se déplaçant sur son orbite autour de l’astre IUMMA (que vous appelez selon vos tables astronomiques: WOLF 424). Nous ne sommes pas sûrs qu’il s’agisse de la même étoile, même si les caractéristiques et la position enregistrées par quelques observatoires terrestres coïncident d’une manière surprenante avec nos propres données. Mais dans d’autres tables, nous notons des différences sérieuses en ce qui concerne l’étoile WOLF 424 (voir les éléments de l’Observatoire de YERKES qui enregistre WOLF 424 comme une étoile naine proche de la constellation de la Vierge).
Jusqu’à maintenant, nous n’avons pas eu accès aux Observatoires terrestres pour comparer vos registres avec nos propres tables de coordonnées.
Vous ne pouvez avoir idée de la difficulté que représentent la confrontation et la vérification de l’identité des Astres enregistrés par vous et par nous. En occupant, nous, un autre emplacement dans la Galaxie, la perspective et les coordonnées relatives changent et c’est logique. C’est aussi le moins grave car il existe des formules de conversion et de translation d’axes qui facilitent la tâche.
Ce qui est plus grave, c’est que les distances estimées par vous pour de nombreuses étoiles en vous basant sur des techniques d’estimation sont imprécises; ce qui fait qu’avec des erreurs supérieures à 12% nous pouvons confondre avec des Astres voisins, ce qui rend impossible l’identification exacte.
Dans de nombreux cas, en ce qui concerne vos chiffres enregistrés dans différentes tables correspondant à autant d’Observatoires, on peut observer de nouvelles différences. Dans ces cas, tout en mesurant une nouvelle valeur établie en faisant une moyenne statistique en assignant un coefficient ou facteur de fiabilité pour chaque observatoire, les résultats sont faibles et inutilisables.
Le concept d’ANNÉE a pour nous un sens différent car il s’agit en réalité d’une fraction de l’intervalle de translation d’UMMO.
Un AN de UMMO (« XEE ») = 1:18 Temps de Translation.
Toutes ces considérations peuvent vous sembler secondaires, Professeur Fernando Sesma, si vous jugez plus importants des éléments concernant les descriptions de notre Monde aux concepts scientifico-techniques. Mais n’oubliez pas qu’une erreur de type mathématique, une conversion d’unités physiques mal interprétée, peuvent nous discréditer auprès des experts. Dans ce cas nous n’aurions aucun crédit auprès de ces gens. Le scepticisme de vos lecteurs serait totalement justifié car personne n’est obligé d’accepter des témoignages qui s’appuient sur des contradictions ou des affirmations dénuées du moindre aspect scientifique objectif. Sur cet aspect nous sommes très compréhensifs. Nous ne pouvons exiger que l’on nous croie sans apporter des preuves convaincantes.
En ce qui concerne et dans l’état actuel de notre existence sur TERRE, nous n’avons pas intérêt à nous faire connaître officiellement car cela pourrait provoquer de graves lésions à notre plan d’analyses et d’études de la Culture Terrestre et même nous pourrions craindre des réactions des masses actuellement peu préparées.
D33
AELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : I
23 MARS 1966
Professeur Fernando Sesma,
Madrid.
337: SPÉCULATIONS CONCERNANT LES RAISONS DE LA CRÉATION DE L’OEMMII (CORPS HUMAIN) AU SEIN DU WAAM (COSMOS).
Evidemment un thème aussi transcendant que l’existence de l’homme dans le WAAM (Univers) doit attirer notre attention.
Mais nous observons une différence notable entre les désirs spirituels de l’Humanité de UMMO et celle de OOYAGAA (ainsi nous dénommons votre Planète TERRE).
Notre pensée a toujours été guidée par une orientation qui a une vague analogie avec le Pragmatisme du Philosophe terrestre John Dewey. Nous mesurons toute connaissance avec une échelle dont le niveau le plus élevé est occupé par la fonctionnalité.
Ce qui est fonctionnel pour la philosophie de UMMO c’est qu’au début :
AIOOYA OEMII = L’HOMME EXISTE.
AIOOYA AMMIE WOA = DIEU EXISTE.
AIOOYA AMMIE BUUAWA = L’AME EXISTE.
Comme le « POURQUOI » ne nous est pas accessible, en utilisant les méthodes empirico-scientifiques, nous nous abstenons de dogmatiser.
Naturellement, nous spéculons comme vous les terrestres mais il y a une différence notable :
Quand l’un de vos penseurs développe une théorie philosophique surgit parallèlement une Ecole qui est suivie fanatiquement et avec un esprit critique rare, par des milliers et des milliers et même des millions de personnes en adhérant à sa doctrine, à ses postulats comme s’il s’agissait de vérités irréfutables.
Nous, au contraire, avant tout énoncé doctrinal, nous adoptons une douce et prudente posture UBOO (AGNOSTIQUE). Bien entendu cet agnosticisme n’arrive pas à juger, comme c’est le cas du vôtre, que WOA ne soit pas accessible d’une certaine manière et à un certain niveau à notre expérience scientifique.
NOUS CRÉEONS DES THÉORIES, MAIS NOUS NE SOMMES PAS ASSEZ INGÉNUS POUR LES CROIRE.
Apparemment une telle attitude paraît comporter une contradiction. Il semble stupide de développer une hypothèse pour ensuite la dédaigner.
En réalité, nous n’avons pas voulu exprimer cela : nous savons que de telles hypothèses peuvent se rapprocher de la vérité et, en fait, quelques fois elles coïncident avec elle. Nous démontrons qu’il peut y avoir au moins une explication (même si ensuite elle est différente de celle énoncée au départ) à certaines énigmes transcendantes ; et enfin de telles spéculations constituent dans le pire des cas une excellente gymnastique mentale qui, tôt ou tard, porte ses fruits.
Après ce préambule, nous vous informons qu’en effet, nous avons développé des hypothèses laborieuses pour nous expliquer l’existence de l’OEMMII dans le WAAM (Univers).
Comme il nous est difficile de les exprimer longuement, nous sommes obligés de les formuler en de brefs paragraphes même si une synthèse si limitée entraîne le risque de manquer de rigueur et de profondeur.
- CONCEPTION ANTROPOMORPHIQUE DE WOA (DIEU) : SES RISQUES.
Certains penseurs terrestres commettent fréquemment une erreur qui consiste à adopter, par inadvertance, une conception anthropomorphique de DIEU ou CRÉATEUR.
Quand de nombreux hommes de votre Planète sont angoissés en cherchant une explication transcendante à des questions du type :
POURQUOI DIEU TOLÈRE-T-IL LE MAL ?
QUELLE EST L’UTILITÉ POUR DIEU DE TELLE OU TELLE ACTION ?
Inconsciemment ils utilisent des verbes qui sont attribuables seulement à un AAiodi (ÊTRE) comme l’homme.
Imaginez un animal pensant fictif, qui en se référant à l’OEMII puisse se demander par exemple :
POURQUOI L’HOMME PLEUT ?
COMMENT EST CE QU’IL DIGÈRE ET MÉDITE LE PLATINE OU LE SOUFFRE ?
Ce phénomène psychologique de projection qui assigne des attributs humains à d’autres êtres est aussi commun chez vous que la tendance à attribuer la dimension TEMPS à BUUAWA ou WOA et cela constitue en plus une source d’effets aliénants c’est-à-dire de perturbations mentales car, ne pouvant pas trouver logiquement des réponses cohérentes à des questions si mal formulées, vous concluez en doutant de l’existence même de Dieu ou de l’Entité à qui vous attribuez cette fausse fonction en provoquant ainsi certains effets névrotiques d’anxiété.
Il est curieux de constater qu’après avoir assis les bases d’une Logique mathématique, vous utilisiez encore des sophismes aussi idiots.
- POSSIBILITÉS D’UNE FONCTION TRANSCENDANTE DE L’OEMII (HOMME) DANS L’UNIVERS.
Rappelons nous que l’une des fonctions de WOA est de CRÉER. Toutes ses idées qui ne sont pas incompatibles avec son ESSENCE doivent être EXCRETÉS, c’est-à-dire PRENDRE FORME, SE RÉALISER NÉCESSAIREMENT.
Quand nous notons l’hypothèse du WAAMWAAM (PLURICOSMOS), c’est parce que nous observons que dans notre UNIVERS et dans le UWAMM (COSMOS complémentaire de charge électrique inverse), il y a un nombre très réduit de possibilités d’existence EAAIODI GOO (ONTOLOGIQUES).
En effet : nous connaissons quelques unes des lois physiques et biologiques qui régissent notre univers mais : ces lois auraient-elles pu être énoncées sous une autre forme ? Si la réponse est positive, de telles lois existent dans un autre WAAM (UNIVERS).
Ainsi, si l’idée d’un ÊTRE adimensionnel et LIBRE, « mouleur » d’un autre ÊTRE dimensionnel n’est pas incompatible avec l’essence de WOA, un tel ÊTRE doit se CRÉER.
La génération de l’homme n’est donc pas motivée par des raisons « récréatives », par une envie de » diversion » de WOA pour pouvoir se distraire, en voyant comment nous nous débattons entre la douleur et la joie, comme de simples poupées entre ses mains.Une telle interprétation est infantiloïde et peut être qualifiée d’anthropomorphe.
Nous pouvons aussi poser une autre question : pourquoi nous a-t-il engendré sous cette forme ? Avec deux pieds, avec cette structure neurocorticale, avec ces tendances sexuelles et non avec d’autres ?
La question est captieuse car elle porte implicitement l’affirmation a-prioriste du fait que WOA SEUL a engendré des hommes avec une telle structure physiologique à l’encontre du principe énoncé dans le paragraphe précédent.
En effet, il est possible (et la connaissance empirique va dans ce sens) que dans notre WAAM (UNIVERS), et étant donné qu’ils sont adaptés aux lois biologiques qui y règnent, seulement nous, les ÊTRES HUMAINS (C’est-à-dire; ceux qui possèdent une BUUAWA: ÂME), ayons cette morphologie physiologique mais ceci n’est pas un obstacle pour que WOA n’ait pas engendré une multitude d’êtres divers LIBRES dans autant d’autres WAAM.
Nous abordons enfin le dernier point :
EXISTE-T-IL UN FONCTIONNALISME DE L’HOMME DANS LE COSMOS ?
C’est-à-dire: L’OEMMII accomplit-il une quelconque mission dans le WAAM ? on peut supposer qu’un tel fonctionnalisme peut coexister avec la nécessité de sa création. Pour essayer d’apporter une explication qui soit satisfaisante, nous ne devons pas oublier que les composants du WAAM (Univers) peuvent se diviser en deux catégories dimensionnelles.
MICROPHYSIQUES : jouissant du principe d’INDÉTERMINATION, c’est-à-dire non sujets à aucune loi.
MACROPHYSIQUES : sujets aux lois mathématico-statistiques qui régissent son inflexible DÉTERMINISME.
Une fois l’univers créé, comme continuum MASSE-ESPACE-TEMPS, Woa a deux moyens pour obtenir la modification de sa rigidité structurelle, son inflexibilité déterministe :
- A) EN MODIFIANT LES LOIS QUI LE RÉGISSENT. Nous pensons en toute logique que ceci pourrait impliquer une contradiction une fois que ces lois auront été énoncées pour un WAAM.
- B) EN CRÉANT DES ÊTRES LIBRES qui, en profitant de la liberté des éléments microphysiques, pourraient agir à travers eux sur les macrophysiques en rompant ainsi la soumission causale ou déterministe.
C’est de cette manière que WOA utiliserait l’homme comme facteur d’ACTION qui le lierait avec le WAAM créé par LUI. WOA dicte ses UAA (LOIS) et l’homme en les accomplissant agit comme lien entre LUI et le COSMOS.
Si l’homme ne les accomplit pas, l’harmonie est apparemment rompue en modifiant sa fonctionnalité dans l’AAIODIWOA (CRÉATION, ENSEMBLE DES ÊTRES DIMENSIONNELS ET ADIMENSIONNELS créés par WOA).
Dans ce cas, le BUUAWA, responsable d’une telle modification, doit rendre conforme sa structure spirituelle avec l’idée de WOA. Une telle mise en conformité reçoit de notre part le nom de CHATIMENT (PURGATOIRE pour vous) (AMMIEYIISAIA BUUAWA sur UMMO).
Nous avons des raisons pour estimer qu’en réalité les véritables raisons seraient beaucoup plus complexes et donc inaccessibles pour l’intellect limité de l’humain.
Les arguments développés servent cependant pour prouver qu’il existe AU MOINS UNE EXPLICATION à la transcendante inconnue de notre existence. Ainsi nous pouvons aller au devant de possibles objections matérialistes qui, en ne trouvant pas un côté plausible à cette EXISTENCE, prétendent brandir la carence des arguments comme preuve de l’inexistence de WOA.
NOTE 1
Dans un petit rapport nous vous développerons notre théorie concernant les prétendus facteurs inaccessibles par la science au sein des AAIODI (ENTITÉS ou ÊTRES) adimensionnels. Vous recevrez cette note immédiatement quand nous estimerons que vous avez eu le temps d’assimiler le présent RAPPORT.
DOCUMENT ACCESSOIRE.
A FERNANDO SESMA MANZANO
LANGUE : ESPAGNOL
N° DE COPIES : I
Nous répondons à l’une des questions :
337 LIBRE ARBITRE ET DÉTERMINISME.
Dans le document sur le BUUAWAA (esprit), page correspondant à la SECTION 337 « LIBERTÉ DANS L’ARBITRE DE L’HOMME » et pages et de la SECTION 337 « RESPONSABILITÉ DE L’HOMME DEVANT WOA », (Nous ne vous remettons pas les dernières pages, pour vous donner le temps d’étudier les pages antérieures et le reste des informations secondaires), il reste à répondre partiellement à votre question. Résumons donc et précisons l’explication.
L’OEMII (CORPS PHYSIQUE de l’HOMME) comme entité macrophysique qu’il est, respecte les mêmes lois physiques (toutes sans exception de nature statistique) que n’importe quel corps de la Nature comme peut l’être une roche.
Si vous tombez dans un précipice, le traumatisme (ou les lésions) provoquées dans votre système osseux, dans vos tissus cellulaires etc… est DÉTERMINÉ par des LOIS INFLEXIBLES. Nous disons avec raison que votre corps se comporte avec une finalité DÉTERMINISTE. Aussi DÉTERMINISTE que celle de la roche qui, en tombant, se fragmente en centaines de particules. (voir page de l’INFORMATION citée, section 337 – L’INTERACTION BUAWAA / OEMII, que nous n’avons pas encore remis)
Mais attention : il y a une grande différence entre un OEMMII (CORPS HUMAIN) et une roche. Et ce n’est pas précisément la complexité de son organisme car un ordinateur électronique est complexe aussi et il est cependant régi par des lois DÉTERMINISTES.
C’est que dans cette merveille d’organisme que WOA a créé, ce qui est l’OEMIII , ses millions de cellules compliquées, la multitude de ses organes, son réseau neuronal et artériel, ce mécanisme osseux parfait, tout en somme : PEUT ÊTRE CONTROLÉ PAR UN SEUL IBOAYA OU (QUANTUM D’ÉNERGIE) OU PAR UN SEUL ÉLECTRON. Il suffit de stimuler quelques neurones du cortex cérébral avec des tensions de 0,0004 microvolts pour provoquer d’énormes convulsions dans tout l’organisme.
Vous voyez donc comment une particule microphysique, infiniment petite, si petite qu’à son niveau la dimension longueur n’a pas de sens ni de signification, EST CAPABLE DE CONTROLER TOUT UN GRAND CORPS.(voir page du rapport rendu)
De plus, aussi bien les physiciens de la Terre que les cosmologues de UMMO, sont d’accord sur le fait que les Quantums d’énergie (comment vous les appelez)
NE SONT PAS RÉGIS PAR DES LOIS PHYSIQUES, C’EST-À-DIRE QUE SE RÉFÉRER À UN DÉTERMINISME DANS LA « CONDUITE » D’UN ÉLECTRON ORBITAL DANS UN ATOME LIBRE (PAR EXEMPLE) N’A PAS DE SENS CAR C’EST LE H A S A R D QUI INTERVIENT DANS CE CAS.
D’autre part, la conduite de l’homme qui PEUT à son tour et EN FAIT IL SE CONDITIONNE FRÉQUEMMENT au comportement LIBRE de ces QUANTUMS d’énergie, il PEUT ÊTRE, et DE FAIT SERA, LIBRE dans beaucoup de ses ACTES.
Dans les états d’hypnose, sous l’influence d’une invasion infectieuse, quand son système neurocortical est altéré par une affection nerveuse, dans les états de panique, d’inanition etc… il n’y a pas de doute que l’organisme est régi par des lois biologiques ou physiques.Dans ces cas donc:
SA CONDUITE EST DÉTERMINÉE et l’homme n’est ni LIBRE ni responsable de ses actes.
Mais dans de nombreux autres cas, le BUUAWA (ÂME) à l’aide d’un élément ou facteur microphysique comme l’un des ATOMES de KRYPTON qui constitue l’OEMBUUAW (TROISIEME FACTEUR DE L’HOMME) (les paragraphes d’information sont contenus dans les pages peut régir la conduite de l’homme et à ce moment là, celui-ci est responsable devant WOA s’il transgresse ses UAA (LOI MORALE).
Il est très important, pour comprendre tout cela, de méditer sur le principe d’INDÉTERMINISME dans le comportement des facteurs microphysiques. Que se passerait-il par exemple si les QUANTUMS d’énergie étaient dominés par des lois rigides et inviolables ?
Alors le BUUAWAA (ÂME) serait incapable de les contrôler dans le cas du KRYPTON car ceci supposerait le viol des LOIS PHYSIQUES imposées par WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU). Ainsi, l’âme ne pourrait pas contrôler le corps humain et, logiquement notre conduite serait DÉTERMINÉE par ces lois BIOLOGIQUES.
Le libre-arbitre serait alors une fiction une illusion. Mais nous venons de démontrer que celà ne se passait pas ainsi.
Il pourrait subsister un doute après avoir lu ce rapport car nous avons affirmé que dans le monde MICROPHYSIQUE règne le principe d’INDÉTERMINATION ou du HASARD, mais nous ne l’avons pas DÉMONTRÉ.
Ceci est dû au fait que sur la TERRE ce principe est déjà accepté en Physique Nucléaire et à un niveau élémentaire nous ne pouvons ajouter grand chose à une étude dont la théorie a été acceptée par les Terrestres.
L’un de vos physiciens, Werner Heisemberg formula, il y a longtemps, ce principe d’incertitude. Une telle théorie de Mécanique Quantique est partagée par nous sauf en ce qui concerne certaines petites erreurs de formulation et d’interprétation.
Quelquefois on nous demande des choses que les physiciens de la Terre connaissent déjà, aussi nous n’insisterons pas d’avantage sur ce thème.
Nous pensons que le jour où vous découvrirez ce troisième FACTEUR de l’homme, l’OEMBUUAW composé des atomes de krypton, vous comprendrez encore mieux l’admission du principe du LIBRE ARBITRE dans l’OEMII (corps).
AEELEWE
langue : espagnol
N° de copies : 1
DOCUMENT COMPLÉMENTAIRE.
Professeur Sesma Manzano
MADRID.
337 MANQUE DE PREUVES CONCERNANT L’EXISTENCE D’UNE ÂME CHEZ LES ÊTRES ORGANIQUES INFÉRIEURS.
En décrivant les relations entre BUUAWA (Âme) et OEMII (corps tétradimensionnel) on peut se poser les questions suivantes :
Comment avez-vous pu établir scientifiquement (c’est à dire par des moyens empiriques puis en établissant les lois correspondantes) l’existence du BUUAWA (AME) si celle-ci est ADIMENSIONNELLE et donc inaccessible au contrôle des instruments physiques les plus précis ?
Il y a sans doute parmi vous des personnes peu au fait au niveau de l’Astronomie qui pourraient poser une question similaire :
Comment peut-on connaître la distance des étoiles situées à des millions d’années-lumière si les possibilités trigonométriques par triangulation sont inefficaces pour ces énormes magnitudes ? Quels instruments physiques pourrait-on y envoyer pour mesurer leur masse, leur température, etc… ?
Un astronome terrestre aurait le sourire et vous indiquera que certaines étoiles (dénommées par vous CEPHEIDES) émettent un flux de lumière intermittente et ainsi l’intervalle entre deux maximums d’intensité est tel que son logarithme varie proportionnellement par rapport à son éclat et vous savez tous que la comparaison de l’éclat apparent et de l’éclat réel est la base d’estimation des distances stellaires.
La science valorise, évalue et estime toujours L’EXISTENCE D’UN FACTEUR en fonction des EFFETS qu’il produit
Donc, en l’année (année d’UMMO) 315 / 53750 , un scientifique biopsychologue NOI 3, fils de NOI 2, découvre la présence de quelques atomes isolés de gaz inerte KRYPTON dans l’encéphale.
Comme vous le savez, ce gaz ne se combine avec aucun autre corps ou élément chimique. La présence de celui-ci est donc étrange si l’on tient compte du fait que sa quantité était extrêmement réduite et qu’en explorant un échantillon statistique de cerveaux humains de personnes vivantes, de tels atomes se trouvent toujours situés dans la même zone et à la même profondeur dans l’HYPOTHALAMUS.
Il ne s’agit donc pas d’un phénomène aléatoire, c’est-à-dire fruit du hasard.
Un aide de NOI 3, le biologiste SOOIE 996, fils de SOOIE 993, commença immédiatement les travaux de recherche, en examinant la couronne électronique de ces atomes pour observer de possibles altérations quantiques provoqués par de probables transferts d’énergie .
Vous savez que tout noyau atomique est entouré d’un nuage d’électrons situés à différents niveaux d’énergie. (Voir le dessin ingénu qui le symbolise, image A).
A chaque niveau, la situation de chaque électron est une fonction de probabilité, c’est-à-dire du HASARD ; (souvenez-vous du principe d’INDÉTERMINATION ou d’INCERTITUDE).
Quand vos ouvrages décrivent un atome, ils symbolisent les différentes « COUCHES » ou NIVEAUX D’ÉNERGIE comme sur l’image B.
Sur UMMO, pour les enfants, nous utilisons la COMPARAISON suivante simple qui exprime mieux ce concept à ceux qui ne sont pas qualifiés en physique nucléaire.
Les ÉLECTRONS se déplacent autour du NOYAU comme les WIISIIO (insectes ressemblant aux fourmis terrestres) autour de l’orifice de leur terrier. Ces « FOURMIS » pullulent autour de leur nid sans ordre ni loi, dans les zones humides.
De temps en temps un insecte s’arrête brusquement et absorbe une goutte de rosée, gonflant son ventre (l’équivalent se produit dans le monde subatomique : un électron absorbe un IVOAAIA ou PHOTON, c’est-à-dire un « QUANTUM » D’ÉNERGIE et il change de NIVEAU ÉNERGÉTIQUE).
Vous pouvez observer qu’en changeant de NIVEAU, il ne s’éloigne pas du NOYAU comme le laisseraient entendre les textes didactiques terrestres, il MODIFIE SON ETAT (en employant une autre comparaison : votre position sociale ou économique) en gagnant un peu plus d’ÉNERGIE. D’autres fois notre fourmi recrachera brusquement cette eau, en mincissant énormément, c’est à dire qu’elle RETOURNERA À SON primitif ÉTAT QUANTIQUE, tout comme elle ferait un saut en arrière au niveau de son ÉTAT SOCIAL.
Les électrons descendent aussi de NIVEAU ÉNERGÉTIQUE en cédant ou en émettant un QUANTUM ou PHOTONS, nous disons alors que ce corps qui contient de tels atomes émet des radiations INFRAROUGES, LUMIÈRE CHROMATIQUE (filaments d’une lampe) ou des radiations ultraviolettes, entre autres.
La nuit 76 de l’année 315, SOOIE 996 était resté avec son subordonné spécialisé en XANMOO USII (ordinateurs) dans le grand laboratoire de l’ UNAWO OUDEE ANII (Université de biopathologie) de UUDEEXAA.
Le corps de GAA 1, fille de BIUA 4535, gisait dans une chambre conditionnée dans laquelle on avait éliminé de l’air, les minimes résidus de gaz DIIUYAA (KRYPTON) . Une série de sondes perforait son zone pariétale droite du crâne. Par supposition, bien qu’elle fut soumise à une phase d’anesthésie locale, le reste des mécanismes réflexes et conscients n’étaient pas inhibés.
Une série d’ AASNOOSAI (détecteurs ou enregistreurs de fonctions physiologiques) étaient répartis sur tout le corps nu de cette jeune fille.
GAA 1, fille de BIUA 4535, qui devait passer à la postérité de notre histoire de l’évolution scientifique grâce à cette expérience, appartenait au Peuple d’UMMO depuis qu’étant encore enfant (UUYIE) (elle avait 15 ans à ce moment là), elle avait électrocuté une jeune sœur en provoquant sa mort par fibrillation du cœur .
(Sur UMMO tout délinquant devient propriété du Peuple qui dispose de lui par l’intermédiaire de l’UMMOAELEWE )+(. La peine de mort n’existe pas. La responsabilité criminelle et la nature de la sanction pondérée en fonction d’un CODE LEGAL standard pour tout UMMO n’est pas l’œuvre d’un quelconque tribunal comme sur la Terre. C’est le réseau XANMMO ISOO AYUBAA (120 ordinateurs ou calculatrices automatiques) qui régule la structure socioculturelle d’UMMO.)
Généralement, le GEE ou la YIE (homme ou femme) qui sont délinquants sont présentés à une sélection d’habitants qui prennent possession d’eux symboliquement, et ils sont aussi dévêtus. La société d’UMMO les utilise pour diverses fonctions (expériences biologiques, travaux à de très grandes profondeurs, dans des endroits dangereux, etc…). Mais tous les moyens sont employés pour préserver leur vie ou les immuniser contre la douleur physique. Il n’est pas licite de réaliser sur eux des expériences que l’on peut considérer comme mortelles ou destructrices de leur intégrité physiologique. Quoiqu’il n’y ait pas de rémission de peine, les délinquants qui accumulent des mérites sont récompensés (en leur permettant par exemple d’annuler l’humiliante sanction de la nudité). Un intervalle journalier de 60 uiw (environ 180 minutes) est destiné à leur rééducation spirituelle et technique. Quiconque parmi nous justifie le besoin de vouloir utiliser leurs services, pour humiliants qu’ils soient, peut le faire mais ce droit est purement nominatif dans la pratique car la population YUUXAA UXII (PÉNALE) de UMMO est très réduite.
(VOUS COMPRENDREZ QUE CES INTERRUPTIONS CONTINUELLES DU DOCUMENT SONT NÉCESSAIRES CAR VOUS IGNOREZ EN GRANDE PARTIE LA NATURE DE NOTRE STRUCTURE SOCIALE OU CERTAINS ASPECTS SCIENTIFIQUES DU THÈME QUI EST EXPOSÉ.)
SOOIE 996 étudiait à ce moment là la couronne électronique d’un atome de DIUYAA (KRYPTON) situé sur l’écorce du troisième ventricule sous le thalamus de la YIE GAA 1, fille de BIUUA 4535.
Sur le GAA ONMAEI du XANMOO (écran visualisateur des chiffres fournis par l’ordinateur) apparaissaient des nombres ordonnés en colonnes , chacun de ces nombres reflétait la structure probabiliste de chaque électron en relation avec un autre pris en référence ; à chaque instant et avec une expression de temps « factorisé ». Vous diriez « à chambre lente ».
Quand un chiffre sautait dans une autre colonne, cela exprimait un SAUT IBOAAYANUUIO (quantique) à un autre niveau énergétique et ceci était la véritable finalité de l’étude de SOOIE 996.
L’heure est maintenant historiques sur UMMO : vers les 488 (uiw) (un jour d’ UMMO a environ 600 , approximativement 1855,2 minutes terrestres) de la nuit 76 de l’année de UMMO 315 de Notre Temps, SOOIE 996 fut paralysé par l’émotion. Il cessa de prêter attention à ces sauts QUANTIQUES et il ordonna à son aide de déconnecter l’écran de l’équipement détecteur pour mieux étudier les chiffres fixes qui apparaissaient sur celui-ci.
Bien que le principe puisse être attribué au hasard, ceci semblait incroyable. Les numéros de ces colonnes gardaient une relation de séquences, c’est à dire qu’ils semblaient être distribués harmonieusement selon une loi mathématique simple (fonction périodique).
Ces électrons, qui selon le principe d’incertitude devaient être situés dans leur niveau énergétique d’une manière désordonnée, comme les FOURMIS de notre exemple, paraissaient dépasser l’anarchie et réguler leur fonction probabiliste en rompant avec leur indéterminisme microphysique.
Ce dût être une impression aussi forte que celle que pourraient avoir les techniciens du projet « OZMA » si, à l’aide de leur radiotélescope, ils recevaient parmi les sauvages et inharmoniques trains d’ondes provenant d’une Galaxie, une séquence d’impulsions codifiées signe évident de VIE dans cet essaim stellaire.
Des scientifiques de tout UMMO accoururent aux laboratoires de UUUDEESA et les recherches continuèrent sous les ordres de NOI 3, fils de NOI 2. Car telle était l’importance de la découverte.
Les mouvements harmonieux des électrons périphériques de l’atome de KRYPTON coïncidaient avec les impulsions nerveuses émises par le cortex cérébral de la jeune fille expérimentée. C’est-à-dire avec les mouvements volontaires de ses bras, de ses pieds, de ses organes de phonation… et non pas avec les mouvements réflexes ou avec les impulsions émises par le système neurovégétatif.
Au début, et durant la première phase des recherches, on crut que ces mouvements codifiés dans l’écorce électronique du KRYPTON étaient conditionnés ; c’est à dire qu’ils étaient UN EFFET des neuro-impulsions émises par l’encéphale de l’Etre vivant, quoiqu’ils ne comprirent pas la fonctionnalité d’un tel code dans un atome isolé de gaz inerte.
Mais le jour 94 de l’année 315, se produisit une nouvelle découverte étonnante : ces mouvements harmonieux PRÉCÉDAIENT la conduite de la jeune fille en expérimentation !. C’est-à-dire qu’ils se produisaient avec une avance de 0,0000000755 uiw (autour d’un millionième de seconde) sur le reste des réactions neurophysiologiques de l’organisme.
C’était comme si ces électrons étaient l’âme de la jeune fille et qu’ils dictaient des ordres à son OEMMII (ORGANISME).
Mais ces électrons ne sont pas vivants. Imaginer cela serait aussi absurde que de croire que ces messages que pourraient recevoir les astronomes de la Planète Terre étaient crées par des émissions fonctionnant seules.
SI CES ÉLECTRONS NE SE MOUVAIENT PAS PAR HASARD, COMME D’HABITUDE, IL DEVAIT DONC EXISTER UN FACTEUR INDÉPENDANT QUI SOIT CAPABLE D’EXERCER UN CONTRÔLE SUR EUX.
Pour ne pas alourdir notre rapport, nous passerons sur le reste du processus qui précéda la vérification scientifique de l’existence du BUUAWAA (âme) grâce à la sensationnelle découverte du Troisième Facteur de l’homme OEMBUUAW composé, comme nous vous l’avons déjà indiqué, d’atomes isolés de DIIUYAA (KRYPTON).
Pour la première fois dans l’Histoire, l’existence d’une AME était confirmée et nos philosophes, tout comme ceux de la Terre, l’avaient suspectée, le DIVIN UMMOWOA nous avait confirmé son existence dans ses transcendantes révélations . Une fois de plus Religion et Sciences étaient en accord.
Comme vous pouvez l’imaginer, le champ d’expérimentation ne se limita pas exclusivement à l’homme ; il fut étendu à tous les êtres organiques unicellulaires et pluricellulaires, en analysant en plus tous les types de Virus et de composés organiques autoreproductibles.
Les résultats furent désolants. On arriva à détecter des atomes isolés de NÉON et XÉNON chez de nombreux êtres vivants, et quelques millions d’atomes de gaz HÉLIUM chez les animaux pourvus de structures nerveuses supérieures (aujourd’hui nous connaissons la fonction de l’hélium dans le cortex cérébral).
On eut des espoirs quand, dans l’année 376 de notre Temps, furent découverts des atomes de KRYPTON situés dans les mêmes points encéphaliques dans le cerveau de l’AAGA IEGOOSAAA (espèce d’animal anthropoïde d’UMMO qui ressemble au chimpanzé de la Planète Terre mais qui est en plus très intelligent.)
Mais les électrons de ces couches dans les atomes de KRYPTON bougeaient selon la fonction probabiliste habituelle dans tous les atomes de la Nature.
Aucune loi ou code n’avait été détecté.
Existe-t-il malgré tout une âme chez les êtres biologiques non humains ? Jusqu’à ce jour nous n’en avons pas la certitude et nous préférons nous abstenir de formuler des hypothèses.
De son côté UMMOWOA fit référence seulement au BUUAWOEMII (COUPLAGE DE L’ÂME AVEC L’ORGANISME HUMAIN).
Selon Lui, quand dans le processus évolutif des êtres vivants depuis l’apparition des premières molécules protéiques jusqu’à celle des êtres anthropoïdes sur UMMO, ceux-ci se développèrent jusqu’à atteindre une structure neurocérébrale si complexe que les premières manifestations d’intelligence animale développée y trouvèrent leur base, WOA fit contrôler ces OEMII par le BUUAWA (ÂME) et celle-ci fut responsable de leur conduite.
Jusqu’à maintenant la science a confirmé, comme d’habitude, ses divines paroles mais ce n’est pas parce que UMMOWOA n’en n’a pas parlé qu’elle n’existe pas. Le critère officiel des scientifiques d’UMMO sur ce sujet est imprégné de scepticisme.
337 DÉCOUVERTE DU BUUAWE BIAEI
Après les sensationnelles recherches concernant la fonction des atomes de krypton par NOI 3, fils de NOI 2, le processus de ces investigations fut accéléré.
Jusqu’à l’année 726 de notre Ère, on avait localisé 3 atomes actifs :
– deux étaient : AAXOO (émetteurs)
– un était : UAXOO (récepteur)
Les premiers envoient – convenablement codifiés – autant de messages que peut fournir le système nerveux Cortical. Toutes les images optiques, acoustiques, olfactives, reçues par les neurones connectés aux organes des sens, provenant des stimuli du monde extérieur, toutes les images emmagasinées dans la mémoire, tout le développement des processus mentaux qui se trouvent dans le Réseau neuronal du cortex cérébral que vous ne connaissez pas, appelés BIAMOAXII où se produit une réaction chimique exothermique qui, en libérant de la chaleur, excite l’état quantique d’un réseau d’atomes libres d’HÉLIUM.
En somme, il se produit quelque chose comme si se transmettait une espèce de code Morse jusqu’à un petit émetteur qui est l’HÉLIUM. Il se produit alors un effet cortical de résonance entre la couronne électronique des atomes d’Hélium et ceux de KRYPTON (1) et celui-ci à son tour transforme le code reçu en un autre aux caractéristiques semblables. (nous pourrions dire avec raison : INTELLIGIBLE pour LE BUUAWAA (ÂME)). Vous pouvez observer, en suivant l’exemple antérieur, que l’atome de KRYPTON assume les fonctions d’une espèce de RÉCEPTEUR de télévision ou de radio-diffusion qui reçoit et qui ÉMET à l’ÂME dans un langage que celle-ci est seule à connaître, quand cela se produit sur l’OEMII (HOMME) et dans le milieu qui l’entoure.
Les atomes UAXOO (CAPTEURS ET RÉCEPTEURS), au contraire, en suivant un processus inverse, envoient au corps humain une série d’instructions issues de l’âme. Elles sont du type de celles que découvrit NOI 3 en l’année 315. (Il faut observer que ce fut une chance qu’il se soit agi d’un atome récepteur UAXOO pour cette première découverte, c’est-à-dire que le code du nuage électronique précède les réactions de l’organisme – à l’inverse des émetteurs AAXOO – et ceci permit d’induire l’existence du BUUAWAA (ÂME), comme origine des mouvements électroniques harmoniques).
Nous répétons que le processus est inverse. Les messages du KRYPTON sont reçus par des millions d’atomes d’HÉLIUM et ce en modifiant leurs états IBOOAYA NUIO (QUANTIQUES) pour que ceux ci irradient un « QUANTUM » de fréquences inférieures à celles de la LUMIÈRE (RADIATION INFRAROUGE). A partir de là, un autre type de neuro-organes inconnus des physiologistes terrestres, travaillent sous une forme semblable aux couples thermoélectriques et transforment les messages thermomodulés en impulsions nerveuses canalisées par un réseau de Neurones. Ces neuro-organes recurent la dénomination phonétique sur Ummo de BIAEMOOXEA et étaient distribués dans les aires motrices des deux lobes frontaux, mais spécialement dans les aires situées derrière et sous le Grand Sillon Central.
Depuis l’année 903, les psychoneurologues d’UMMO étaient réellement surpris quand, en découvrant deux atomes de KRYPTON et en identifiant l’un d’eux comme AAXOO (émetteur) et l’autre présentant l’étrange particularité qu’aucune des activités somatiques de l’individu correspondait (PRÉCÉDANT ou ANTERIEUR) aux énigmatiques « MESSAGES » qu’il semblait recevoir ou émettre.
La joie fut indescriptible. Par la zone cérébrale où on localisa cet atome, les scientifiques crurent qu’il pouvait s’agir de transmissions de l’un ou de l’autre sens, provenant des couches inférieures de la conscience ou BUAWAAMIESEE OA (vous l’appellez SUBCONSCIENT). Peut-être grâce à cet atome notre âme était informée de la riche activité de notre vie psychique occulte.
Le jour 17 de l’année 925 (une année d’UMMO comporte soixante jours), YOEIM 77, fils de YOEIM 76, découvre un sixième atome de krypton localisé à une distance presque infinitésimale par rapport au précédent.
Six jours plus tard, YOEIM 77 avait sélectionné un échantillon statistique de 83 individus des deux sexes, pour appuyer la découverte. La stupeur du jeune neurologue (il avait alors 23,6 ans) fut immense quand, en repassant les bandes où apparaissaient les courbes graphiques de ces messages, il découvrit que deux d’entre eux étaient communs à tous les individus de l’échantillon. Un peu comme si l’âme dirigeait les mêmes instructions à TOUS les hommes où qu’elle recevait d’eux le même type d’informations.
Cette découverte mit quelques années avant d’être correctement interprétée. Les personnes étudiées étaient séparées par de nombreux KOOAE (1 KOOAE = 8,71 km) et on mesurait avec des XUU XAUIW USUIW (chronomètres isochrones de haute précision) les intervalles de temps que ces messages mettaient pour être reçus ou transmis.
Les résultats de ces études furent encore plus fantastiques :
– Les messages étaient reçus et transmis simultanément, quelque soit la distance où se trouvaient les deux personnes étudiées.
– Pour la première fois on vérifiait que les mouvements codifiés des électrons dans de tels atomes correspondaient exactement à la transmission télépathique.
– On découvre, contrairement à ce que l’on croyait, que la transmission télépathique est reçue simultanément par tous les êtres humains ; même si un mécanisme subconscient se charge de bloquer, c’est à dire d’empêcher le passage d’un message vers des personnes à qui il n’est pas destiné.
– même s’il n’existe pas de transmission télépathique CONSCIENTE, certaines fréquences (qu’à cette époque nous ne savions pas déchiffrer ou décoder) étaient reçues ou transmises simultanément à tous les hommes d’UMMO. De tels messages étaient emmagasinés dans ces zones de la mémoire, où, n’étant pas d’accès facile (sauf durant le sommeil, l’anesthésie totale, la catalepsie etc…) on les nommait BUUAWAAMIESEE OA (SUBCONSCIENT).
Ceci était si révolutionnaire (les premières recherches au niveau de la transmission télépathique avaient donné comme résultat qu’il faudrait un certain temps (quelques milli-UIW, un UIW = 3,092 minutes) avant de recevoir les messages ) que l’on crût durant longtemps qu’il s’agissait de radiations électromagnétiques comme celles de la lumière ou de la radiocommunication.
Comment pouvait-on expliquer cette différence ? Comment se faisait-il que dans l’une et l’autre étude, les différences de temps calculées étaient respectivement de zéro et de quelques déci-UIW ? La première recherche eut aussi une importance transcendante car elle permit de démontrer scientifiquement que le BUUAWAA (ÂME) et le BUUAWE BIAEI (ÂME COLLECTIVE) sont des entités indépendantes et qu’il serait aberrant de considérer la première comme une simple manifestation ou reflet de la seconde. L’énigme apparente fut résolue. Nous vous l’expliquerons plus loin. Pour l’instant nous pouvons indiquer que les recherches citées révélèrent l’existence d’un AAIODI (ENTITÉ OU ÊTRE) dont on n’avait encore jamais supposé l’existence sur UMMO. De nouveau un être ADIMENSIONNEL était découvert scientifiquement grâce à ses effets, comme l’avaient été antérieurement WOA (notre créateur) et BUUAWWA (âme).
- COMMENTAIRE À PROPOS DE LA STRUCTURE SOCIALE ET DE NOTRE PLAN D’INFORMATION. (NdT : Nous confirmons que ce chapitre, bien qu’il soit « codifié » « 500 », est bien inclu ici même dans l’original)
Vous observerez qu’apparemment nous avons dévié du thème central que constitue notre rapport actuel. Mais vous n’ ignorez pas qu’il est impossible d’exprimer des opinions sur des concepts inconnus ou sur lesquels on a une vague idée.
Si les problèmes sont profonds et difficiles à résoudre, c’est parce que leurs causes sont complexes et leurs interprétations coûteuses. Il sera difficile que vous attaquiez le mal à sa racine si vous ignorez la structure réelle de l’homme et le fonctionnement ses mécanismes psychologiques.
Nous allons vous donner à la suite un modèle primaire et élémentaire de cette structure, et pour cela nous sommes obligés d’inclure ces commentaires au BUUAWE BIAEI. Vous-mêmes avez conscience que jamais la médecine n’aurait réussi à attaquer de front les maladies infectieuses si vous n’aviez pas réussi à connaître la véritable nature des micro-organismes et virus.
Il est clair que n’étant pas vous-même technicien en la matière, nous nous verrons obligés de vous montrer ce modèle humain, d’une manière pédagogique et élémentaire, schématisé autant que possible en utilisant des symboles simples et abstraits, comme nous pourrions le faire dans les centres d’enseignement pour enfants sur UMMO.
Nous avons hésité cependant sur le fait qu’il serait convenable ou non de se servir de gravures et de dessins ingénus (que j’ai réalisé personnellement en employant crayon et papier de ceux que vous utilisez) pour représenter les concepts adimensionnels tel que BUAWWAA ou BUAWE E BIAEI (ÂME ET ESPRIT COLLECTIF) avec des graphiques tels qu’un cercle ou un petit nuage diffus. Ceux-ci d’un point de vue pédagogique est erronée et didactiquement il est interdit sur UMMO car les enfants courent le danger d’associer mentalement les concepts spirituels avec des formes dimensionnelles et avec le concept du temps. Mais vous d’une part vous êtes adultes et d’autre part habitués à des systèmes d’enseignement que, bien qu’aberrants, il serait trop tard de modifier.
Mon supérieur en Espagne me donna des instructions concrètes de comment vous esquisser ces images et ces explications et je désire qu’elles vous soient intelligibles. Dans certains cas j’ai pensé convenable de décrire des processus d’expliquer des concepts de types physiologiques bien que connus parfaitement par les actuels spécialistes en physiologie, en histologie et psychiatrie Terrestre, en supposant que certains d’entre vous les ignorent.
Ce n’est pas nécessaire de vous répéter qu’en réalité de tels processus et mécanismes psychologiques décrits sont bien plus compliqués que dans l’esquisse ingénue que nous vous présentons, mais malgré tout nous sommes certains qu’il vous serviront pour que s’explique en parti l’Énigme du Briquet et de la Pierre que nous vous symbolisions dans une comparaison. Afin que vous puissiez donc apprécier les possibilités qui subsistent de remettre une telle pierre à sa place.
Nous vous avertissons d’avance que la tâche de corriger l’humanité est cyclopéenne et vous est donc inaccessible, malgré ces révélations. Pour le moins pourront-elles vous servir pour augmenter votre culture et corriger en parti vos propres structures.
337 UNION DE TOUS LES HOMMES PAR L’INTERMÉDIAIRE DU BUUAWE BIAEI.
Voyons maintenant, dans un premier schéma élémentaire, comment sont interconnectés les quatre facteurs intégrants de la personnalité de deux êtres humains.
Un OEMII (corps) correspondant à l’homme N° 1, (S33-11) désire établir une communication télépathique avec l’OEMII IEN (CORPS HUMAIN « 2 »).
Analysons superficiellement le processus :
Il s’agit donc d’ un acte conscient . L »homme N° 1 à gauche sur la figure VEUT communiquer avec (CORPS N° 2). C’est le BUAWAA IAS (âme N° 1) qui exécute cet acte voulu. BUAWAA IAS est représenté par un ovale verdâtre
Un atome de krypton UAXOO IAS (récepteur n°1) représenté par , sphère jaune, capte l’ordre de l’âme et la transmet par des voies nerveuses et par certains organes neuro-corticaux (représentés par un axe rouge) à l’atome émetteur de krypton dont l’unique mission consiste à établir un lien d’union entre l’homme et le BUAWEE BIAEI (âme collective), représentée par un ovale gris .
Observons au passage que tout ce processus physiologique, dès que l’âme exprime son désir, et jusqu’à ce que le message arrive à l’atome , a nécessité un petit temps de l’ordre d’un milli-UIW par exemple.En effet : la conduite de l’impulsion nerveuse au travers des neurones n’est pas instantanée et certaines fois elle exige des temps supérieurs (les fibres nerveuses sans myéline sont conductrices à des vitesses de quelques 55 ENMOO/UIW, environ 6 décimètres par seconde).
L’âme collective reste « informée » de ce message et les transmet instantanément à l’homme n°2 qui capte le message grâce à un atome RÉCEPTEUR DE KRYPTON (UAXAOO IEN) .
Maintenant le processus est inverse. Les impulsions nerveuses de ce deuxième corps mettront 2 millièmes de UIW à l’intérieur de son cerveau pour arriver à l’atome AAXOO IEN (émetteur « 2 ») qui informe la Conscience sur ce MESSAGE RECU.
Voyez ; cette trompeuse apparence qui pourrait induire en erreur quand un scientifique ne réalise pas une soigneuse analyse exhaustive du phénomène. Le temps TOTAL que mit le message télépathique de la CONSCIENCE de l’homme n°1 à la CONSCIENCE de l’homme N°2 fut de 2 millièmes d’ UIW (dans notre exemple). Un chercheur peu perspicace peut alors croire que si les messages télépathiques durent un certain temps, ceci est dû peut-être au fait qu’ils se propagent à la vitesse de la lumière grâce à des ondes électromagnétiques, quand en réalité l’unique temps qui s’est écoulé est dû à la conduite nerveuse au sein de nos encéphales.
Vous pouvez rencontrer un exemple dans votre service de télégrammes. La communication électrique elle-même est presque instantanée entre deux villes; mais le temps qui s’est écoulé pour les messagers en envoyant et en recevant le télégramme nécessite quelques heures.
Le schéma que nous avons ébauché peut vous amener à extraire quelques conclusions substantielles sans nécessiter une étude plus profonde.
En premier lieu cela vous éclaire sur le fait de savoir pourquoi les scientifiques d’UMMO ont déterminé que l’âme BUUAWAA et l’AME COLLECTIVE sont deux entités indépendantes. Si la transmission télépathique requiert une voie de liaison chez l’homme (voie nerveuse) pour passer d’une âme à une autre, c’est parce que l’âme collective et l’âme individuelle sont deux entités indépendantes qui sont seulement unies par le lien du CORPS HUMAIN tant que celui-ci est en vie.
Imaginez un moment que cela ne soit pas ainsi et que, selon une nouvelle image, l’âme individuelle soit une « PARTICIPATION OU FRACTION » de l’âme collective (en oubliant l’aberration que constitue le fait de considérer le fractionnement d’une entité qui n’a pas de dimensions).Vous pourrez observer alors que la transmission télépathique se réaliserait exclusivement au sein du BUAWEE BIAEI (ESPRIT COLLECTIF), le temps total de la transmission serait de ZERO car l’encéphale de l’homme n’interviendrait absolument pas. Mais les choses ne se passent pas ainsi comme nous vous l’avons déjà expliqué.
337 NATURE INTIME DE L’ÂME COLLECTIVE.
On pourrait utiliser une comparaison pour représenter l’HUMANITE : un pot de sirop rempli de cerises. La pulpe de celles-ci, TOTALEMENT SÉPARÉE du jus commun par la fine peau, peut établir un contact avec d’autres fruits. Pulpe et peau symboliseraient l’AME et le CORPS.
Faites attention avec les métaphores. Ne tentez pas de tirer des conclusions à partir de celles ci, puisque la fonction est simplement pédagogique et il devient dangereux de juger qu’elles constituent en tous leurs aspects un fidèle reflet de la VÉRITÉ.
Quand nous traduisons notre vocable BUUAWE BIAEI, nous employons les mots espagnols ÂME COLLECTIVE parce que nous n’en trouvons pas d’autres meilleurs, mais ceci peut vous induire en erreur si vous pensez que cet AAIODI (ENTITE) est analogue à l’ ÂME INDIVIDUELLE. Il est très dangereux d’utiliser des vocables ressemblants pour exprimer des concepts hétérogènes, puisque les hommes de la Terre ont plus tendance à jouer avec les mots qu’avec les concepts. (Ainsi chez beaucoup d’écoliers espagnols, nous avons observé que kilogramme-poids et kilogramme-masse étaient lamentablement confondus).
Le (BUUAWE Biaei) n’engendre pas librement des idées, comme l’âme individuelle. De telles idées existent, oui, en LUI depuis sa création par WOA.
La nature de ces idées est réduite au Concept Universel de ce qui doit constituer une société humaine idéale. Il existe des lois psychosociales établies pour notre WAAM (COSMOS) par WOA (DIEU) et le dépositaire des idées de telles lois, qui englobent les normes évolutives de la Société humaine, est précisément BUUAWE BIAEI qui, en même temps, agit comme MOYEN (NdT : média) ou LIEN adimensionnel entre les OEMII comme l’air agit parmi vous comme moyen (NdT : média) élastique de transmission acoustique.
BUUAWE BIAEI n’est donc pas responsable de ses fonctions. Il n’a pas de véritable CONSCIENCE comme nous l’entendons dans l’AME INDIVIDUELLE et il ne pourra pas être sanctionné par WOA car il ne peut transgresser des lois qu’il accomplit fidèlement ; nous dirions FATALEMENT.
Enoncer avec le langage philosophique approprié la nature réelle du BUUAWE BIAEI serait ennuyeux pour certaines personnes non préparées. Nous utiliserons donc des images et des comparaisons simples.
Supposez que votre niveau de civilisation sur la Terre soit arrivé à un tel stade qu’à PARIS par exemple, se soit monté un gigantesque ordinateur (CERVEAU ÉLECTRONIQUE) semblable à notre Réseau de XANMOO sur UMMO et capable d’emmagasiner des millions d’informations concernant votre vie quotidienne. Cette magnifique machine aurait reçu à la fois des instructions programmées par divers spécialistes en sociologie. Sa propre unité de calcul combinerait ces instructions ou lois mathématiques sociométriques avec les informations reçues de votre part et elle déterminerait à chaque moment ce que doivent faire tous les hommes de la Terre pour que la Société évolue d’une manière heureuse.
Dans chaque endroit des cinq continents il y aurait un micro et un haut-parleur connectés par des câbles à l’ordinateur central. Chacun de vous, grâce au micro, donnerait des informations sur la tournure que prend votre vie. De plus vous pourriez utiliser le micro pour communiquer avec un parent qui réside dans un autre pays.
D’autre part, le haut parleur répéterait constamment et en rabâchant, les instructions qui vous sont exclusivement destinées : comment se comporter, que manger, pour qui doit-on voter et quand doit-on voyager. (bien sûr ces instructions obéiraient à un Plan préconçu par le cerveau électronique, dans un cadre universel). Il est vrai que vous serez toujours libre de passer outre à de tels ordres. Mais comme vous ne pourrez jamais déconnecter le haut-parleur et que, d’autre part sa voix tenace est si persuasive, vous finirez par faire souvent cas de ce qu’il vous suggère.
Vous avez ainsi une grossière image de notre âme collective. Elle agit comme un énorme coordinateur de l’humanité, programmé au préalable par DIEU pour que, sans nous supprimer la liberté d’action, notre conduite sociale soit orientée.
Quand un atome de KRYPTON UAXOO (RÉCEPTEUR) correspondant à l’OEMBUUAW, reçoit des instructions de BUUAWAA (l’âme), son acte de volonté se réalise nécessairement à moins que les voies nerveuses ne soient bloquées par une drogue, un agent pathogène ou un obstacle extérieur.
Par contre un atome de krypton, qui nous lie à l’âme collective, peut recevoir un autre type d’instruction (d’ailleurs nos scientifiques ont observé les mouvements codifiée de vos électrons, un tel message provenant du BUUAWE BIAEI) sans que l’organisme ne réagisse immédiatement à ces instructions.
Il existe des cas pathologiques, maladies mentales dont l’étiologie réside principalement sur le fait que la conduite suit fidèlement les impératifs du BUAWEE BIAEI, les voies nerveuses qui relient vos aires motrices corticales avec la véritable conscience étant bloquée.
Mais en général c’est le contraire. Une fraction très petite de notre conduite dans la vie quotidienne est conditionnée par les messages reçus DIRECTEMENT par l’âme collective.
Observez que nous disons DIRECTEMENT. En effet, les instructions reçues, bien qu’elles ne soient pas motrices, c’est-à-dire bien que les voies nerveuses ne les transforment pas en mouvements musculaires, s’emmagasinent dans la mémoire, du côté de BIEYAE YUEO DOO (ORGANES DE LA MÉMOIRE). Elles correspondent aux images du champ de la conscience d’accès difficile (c’est-à-dire le SUBCONSCIENT).
Il peut arriver que vous alliez dans un magasin et, sélectionnant entre deux chapeaux ou plus, vous croyez qu’un tel choix est conscient quand en réalité ce choix est induit par d’occultes motivations fournies des mois auparavant par l’âme collective.
Nous vous exprimons d’une manière superficielle une importante caractéristique de l’Ame collective : imaginez que notre ordinateur universel de Paris soit en train de recueillir des faits sur la vie de tous les citoyens pendant vingt-quatre heures. Cette information est encore insuffisante. Elle ne peut être digérée par l’ordinateur, il ne peut déduire des lois statistiques universelles, ou des normes profitables, pour obtenir une information suffisante. De la même manière, si vous avez une usine par exemple, vous ne pourrez réaliser un bilan si vos comptables n’ont pas recueilli tous les éléments nécessaires. Ce matériel informatif accumulé sauvagement dans les unités « mémoire » de l’ordinateur, pourrait être infiltré et être irradié à cause des haut-parleurs, en induisant les citoyens dans l’erreur.
Il se produit quelque chose de semblable avec l’ÂME COLLECTIVE. Toutes les instructions où messages reçus ne sont pas parfaitement logiques et pures comme les idées émanant de WOA Au contraire la majorité provient de cet amas (encore mal digéré) de milliers de conduites humaines, dans le moment que nous vivons. Nous ne pouvons donc pas avoir des normes de conduite élaborées et exactes sauf de la Société de nos ancêtres car là, nous en possédons tous les éléments.
(Pour un historien, cela pourrait ressembler à ce que, quand il vous parle de l’Empire d’Alexandre le Grand, il se réfère à cette période avec une totale objectivité et probité scientifique, alors qu’en parlant de la guerre civile Espagnole de 1936 à 1939 il se passionnera, en déformant la vérité).
Nous allons prendre un véritable exemple : Vous avez tous connu ou vécu un quelconque moment de terreur ou panique collective quand au cours d’un tragique incendie de cinéma ou d’un bombardement, les masses sont conduites par une norme standard qui les pousse à exécuter des actions qui sont identiques pour tous les composants du groupe.
A ces moments là, l’unique moteur de vos conduites est le BUUAWEE BIAEI. Sauf cas exceptionnels, la conduite consciente et responsable est bloquée et sans aucun doute la véritable conduite est sauvage et aberrante. Ici, l’âme collective est en train de dicter des messages qui ont comme seul « substrat » logique la loi de conservation qui régit les êtres biologiques.
D’autres fois, l’âme collective canalise des messages impératifs , des idées volitives des composants d’un groupe. En réalité, quand quelqu’un parmi vous désire quelque chose (une voiture, la domination sur une personne déterminée, un bien-être physique etc… , de tels désirs sont codifiés et envoyés à travers tous les éléments du DIIUYA AAXOO (KRYPTON ÉMETTEUR) à la BUAWEE BIAEI avec diverses intensités. Tous les membres de la Société recevront (si l’intensité émise atteint un certain seuil) ces messages mais si 100 % des cerveaux bloquent de tels messages, ceux-ci n’accèdent pas à la conscience des autres hommes.
Mais sous certaines conditions, que nous expliquerons plus loin, une ou plusieurs personnes ont leur structure neurocérébrale conditionnée de manière telle qu’à cet instant ils peuvent recevoir ce message. Selon la forme avec laquelle est canalisée une telle information codifiée, c’est-à-dire selon la manière dont s’oriente le champ de la conscience de l’autre individu ou, au contraire, s’il est dévié par les voies nerveuses afférentes qui activent les zones corticales motrices, nous parlerons alors de Transmission T élépathique ou de suggestion par HYPNOSE selon le cas.
337 : LA COMMUNICATION TÉLÉPATHIQUE.
Il est possible que certains d’entre vous n’aient pas les idées claires sur notre moyen de communication.
Les UUGEE et UUYIE (adolescents garçons et filles) d’UMMO perdent vers l’âge de 15 ans (terrestres) la faculté de s’exprimer acoustiquement par atrophie et sclérose des organes de phonation dans un pourcentage de 92,36 % de la population totale. Pour les autres personnes l’atrophie arrive à l’âge adulte.
Ainsi, vers 75 ans terrestres l’individu qui peut encore s’exprimer phonétiquement est extrêmement rare.
Mais cette sclérose n’est pas absolue. Les muscles peuvent encore être innervés faiblement et les vibrations obtenues, si faibles que soient les possibilités de les capter grâce à notre ouïe, peuvent être amplifiées par deux moyens. L’un d’eux, déjà ancien, consistait en un microphone amplificateur qui s’applique sur la gorge. Actuellement on met sur le larynx un transducteur du volume d’une lentille (grâce à une simple opération chirurgicale à l’âge de deux ans).
Ce petit amplificateur-émetteur n’irradie aucun faible champ radio-électromagnétique. Il module simplement un champ magnétique de faible intensité. Un second amplificateur pourvu de haut-parleur (nos haut-parleurs ne sont pas du type membrane vibrante), de taille et de format semblables à une gomme, émet les sons reçus avec une intensité et une fidélité extraordinaire.
La réponse de nos amplificateurs est parfaitement plane. Si la qualité du son est déficiente, ceci est dû à ce que notre organe de phonation n’est pas capable de générer plus qu’une gamme de fréquences très restreinte. Les graves et les harmoniques ne sont pas émis et c’est pourquoi le timbre de la voix est trés inférieur au vôtre, les terrestres.
Depuis longtemps, par conséquent, dans nos relations sociales nous nous exprimons (quoique artificiellement) dans le langage oral. Il est révolu de milliers d’ANNEES UMMO le temps où les parents devaient communiquer avec leurs enfants au moyen de mouvements de paupières « codifiés ».
Notre communication télépathique ne consiste pas à pouvoir « voir » ce qui arrive dans une autre ville en fermant simplement les yeux. Cette idée est puérile. De même qu’à un moment donné nous pouvons lire les pensées d’un autre frère à mille KOOAE. De tels concepts stéréotypés ont seulement une base réelle très faible.
Sauf en de rares occasions ou exceptions, nous n’utilisons la télépathie qu’avec des personnes situées à de grandes distances. Ceci a une explication simple : la transmission est laborieuse et nécessite un certain effort mental.
Le processus pour la communication avec des personnes dont je connais l’identité se déroule ainsi :
Au début je dois atteindre un niveau conscient très bas en ce qui concerne les stimulations de l’extérieur (lumières, sons, odeurs, etc…). Les sensations doivent se produire d’une manière subliminale. Nous voulons dire qu’il faut obtenir un état cataleptique artificiel en utilisant la voie autosuggestive.
L’utilisation continue de cette pratique, favorisée génétiquement par de nombreuses générations qui l’ont pratiqué sur UMMO, permet que cette auto-hypnose et le processus qui suit se réalisent très rapidement en régulant par un mécanisme réflexe l’intervalle de temps nécessaire pour sa réalisation. Ainsi quand le sujet conclut celle-ci, il peut atteindre de nouveau l’état de CONSCIENCE concernant les stimulations du milieu externe, comme d’habitude.
Mais il faut dire que cet état cataleptique spécial suppose un blocage temporel des voies afférentes qui connectent le cortex cérébral avec les organes des sens externes et propriocepteurs. Je veux dire par là qu’au contraire de ce qui arrive dans l’état WOIWOI (onirique ou de rêve), ou dans certaines situations WOIWOI EEAEE d’hypnose, la OESEE OA (NdT : ou EESEE OA ?) (CONSCIENCE) NE descend pas à de bas niveaux du subconscient. Au contraire, les processus mentaux supérieurs (RAISONNEMENT, PENSEE…) continuent normalement avec l’avantage que les images de la mémoire accèdent, avec plus de netteté, au champ de la CONSCIENCE.
Il se produit maintenant un phénomène physiologique qui n’existe que très rarement volontairement chez les hommes de la terre. (AVANT DE POURSUIVRE PLUS AVANT il conviendrait pour ceux qui ne sont pas très initiés en physiologie de lire la NOTE 5) (NdT : Note 5 introuvable)
Il y a dans l’encéphale deux organes essentiels pour la transmission télépathique. En réalité il s’agit d’un réseau neuronal, double, dont les connexions avec la mémoire et le champ de la conscience sont normalement inhibées, neutralisées. Au moyen d’une succession de synapses peut s’établir la connexion du ISIAGEE IA (organe que vous ne connaissez pas) avec les zones accessibles de l’encéphale.
La stimulation de ces synapses est un problème d’adaptation et même d’hérédité. Il n’y a pas de raisons pour que vous, les terrestres dont la morphologie physiologique corticale est la même que la nôtre, ne puissiez pas arriver à établir ces connexions ou synapses.
Il se produit dans cette zone cérébrale deux types d’impulsions : un peu comme s’il s’agissait de deux émetteurs. Si quelqu’un parmi vous est technicien en télévision, i l comprendra mieux si on les compare avec les signaux que vous appelez IMAGE et SYNCHRONISME. Les premières portent, convenablement codifiées, les impulsions nerveuses que nous appelons BUUAWE BIEE, chacune d’elles durant 0,0001385 seconde. Elles constituent une espèce de message télégraphique qui est envoyé grâce à l’un des atomes de Krypton que nous appelons BUUA XUU (psysphère).
Le second groupe de signaux, qui sont aussi codifiés, se caractérise par le fait que le temps des impulsions est plus long : 0,006385 seconde.
Quelle est la fonction du premier signal émis ? Porter facilement le contenu verbal de notre message, les paroles qui expriment les idées que nous désirons faire arriver jusqu’à notre interlocuteur situé à une grande distance de nous. Mais ce message est capté par tous les hommes de UMMO (nous répétons que les cas de télépathie enregistrés par vous confirment que le phénomène est identique pour les humains de la Terre).
Comment se fait-il qu’une seule personne soit capable d’interpréter un tel message et avoir conscience qu’il lui est dirigé, uniquement à lui ? Le second groupe d’impulsions nous apporte la réponse.
Le code employé pour identifier une personne ne diffère pas beaucoup de celui que nous employons, nous et vous, dans la vie réelle. Ainsi, comme le nom UGAA 4, fils de YODEE 347, est associé mentalement à un individu déterminé, une séquence de nombres binaires, envoyée sous forme d’impulsions, servira pour distinguer spécialement la personne réceptrice du message.
Imaginez un million de coffres-forts répartis sur tout votre pays. Chacun d’eux peut seulement s’ouvrir qu’à l’aide d’une combinaison de six chiffres et sous la surveillance d’autant de gardiens.
A l’intérieur de ces coffres il y a la clef pour l’interprétation d’un quelconque message codifié qui est reçu.
Vous envoyez maintenant une lettre chiffrée qui peut seulement se lire avec l’aide de clefs cryptographiques enfermées dans les coffres. Envoyez un million de copies à tous les gardiens avec une seule indication sur l’enveloppe par exemple 763.559. Seul le destinataire dont le chiffre du mécanisme d’ouverture du coffre coïncide avec ce nombre pourra l’ouvrir et connaître le contenu du message.
L’exemple est bien choisi car précisément la sélection d’une personne s’obtient par un mécanisme physiologique semblable à celui des coffres-forts terrestres (sur UMMO ils n’existent pas). et un réseau de neurones établit des connexions synaptiques ou des déconnexions en fonction d’une séquence chiffrée d’impulsions binaires qui représentent, pas six comme dans l’exemple, mais tout près de 1700 chiffres.
Nous vous disions que la transmission télépathique était verbale. Cependant on est arrivé à transmettre consciemment des images visuelles, olfactives et tactiles qui, dans des circonstances normales sont des phénomènes provoqués seulement dans certains cas de perturbation mentale transitoire ou en période cataleptique pure. Les expériences dans ce sens sont rares parmi nous et nous nous trouvons face à elles dans la même position que vous face à la transmission télépathique normale. Nous n’écartons pas le fait qu’une quelconque civilisation galactique ou extragalactique qui nous soit inconnue, ait pu grâce à son évolution psychophysiologique, atteindre ce rêve (rare pour nous) et pour lequel nos UNNIEYO (neurologues) travaillent activement.
Pour terminer ce rapport sur la transmission télépathique, nous vous indiquerons que les lésions provoquées par nécrose de certains groupes de neuronnes donnent lieu au fait que le malade ne peut émettre correctement la série d’impulsions qui sélectionne la personne à qui est adressé le message. Il émet au contraire une grande gamme sauvage et désordonnée de signaux qui affectent des millions de personnes. Un peu comme si dans notre exemple, les enveloppes avaient non pas un nombre, mais plusieurs centaines de milliers. Les gardiens qui pourraient ouvrir les coffres seraient alors très nombreux. Nous avons découvert trois processus pour neutraliser ces malades qui, à l’aube de notre humanité causèrent d’hallucinants dégâts qui empêchèrent son évolution.
- LE BUUAWE BIAEI (ÂME COLLECTIVE) ET LES HOMMES DE LA TERRE.
Vous vous demandez si le groupe humain terrestre possède ce coordinateur spirituel que nous appelons BUUAWE BIAEI.
Indubitablement nous commettrions, à l’instant où nous l’affirmons, la même erreur que vous commettez presque tous les jours en appuyant vos raisonnements sur des affirmations gratuites. Nous n’avons pas sur la Terre les moyens de recherche dont nous disposons sur UMMO. Notre projet initial d’emporter sur notre planète douze individus d’origine terrestre et de mentalité développée fut sanctionné négativement par l’UMMOAELEWE , non seulement pour des raisons morales, mais aussi pour des raisons d’un autre ordre que nous ne pouvons vous révéler. Nous nous trouvons donc ce petit au groupe avancé sur votre planète, comme des naufragés sur une île déserte, qui, au moment d’analyser certaines roches de structure cristalline particulière, ne pourraient même pas déterminer son indice de radioactivité faute d’un compteur Geiger.
Vous ne pouvez pas vous faire idée du secret dans lequel nous devons mener nos investigations et études, en nous mélangeant parmi vous, nous faisant passer en Espagne pour des étrangers, avec de faux passeports, en veillant avec soin aux milles détails qui nous identifient à des personnes terrestres normales. C’est vrai que maintenant ont disparu les angoissants problèmes dérivés de la totale méconnaissance de votre langue. Quand arrivent de temps en temps de nouveaux renforts sur la Terre, les voyageurs sont préalablement formés dans nos centres avec la connaissance d’une ou de deux langues minimum (en général anglais et russe). Mais cependant, le manque de moyens nous empêche de réaliser certaines études surtout au sein de certains domaines scientifiques.
Par exemple : sur le terrain de la psychologie, il nous coûte un travail énorme pour sélectionner les échantillons statistiques nécessaires pour la recherche. Nous ne pouvons pas nous fier aux évaluations réalisées par les centres officiels et à leurs statistiques, parce qu ‘ils font apparaître un indice de fiabilité très bas. Le pire ce n’est pas que les marges d’erreur soient grandes, ce qui est grave c’est que les marges ne sont même pas connues. Même en employant une technique mathématique comme celle des échantillons statistiques que nous avons abandonné il y a plus de 2000 ans sur UMMO, nous obtenons des résultats fiables..
Avec cette perspective que nous vous exposons, vous jugerez que quant nous parlerons de vous, nous le ferons sur un plan de simple hypothèse, basée sur nos propres connaissances et expériences, mais sans pouvoir appuyer nos jugements par des démonstrations scientifiques.
Nous estimons donc que nous ne croyons pas qu’il existe entre vous des incompatibilités sérieuses pour réussir des transmissions télépathiques normales. De source privée, il s’impose à nous que l’ Union Soviétique est en train de réaliser des expériences pour les futures transmissions télépathiques avec les équipages des vaisseaux spatiaux, qui empêcherait l’ennemi de les intercepter, et vous connaissez tous les expériences réalisées par le Pentagone Nord-américain, quand fut mis en service le Nautilus premier sous-marin Nucléaire.
Les seules études réalisées par nous en Australie en 1962, ont catégoriquement échoué dans la tentative d’établir une communication télépathique avec vous. Mais jusqu’à présent nous n’avons pas entrepris aucun programme tendant à démontrer que ce que vous appelez PERCEPTION EXTRA SENSORIELLE. Nous devons nous fier (avec les réserves qui s’imposent) à vos investigations parapsychologiques.
Nous connaissons d’une manière certaine les résultats globaux de ces études et elles nous permettent de déduire qu’effectivement existe un BUUAWEE BIAEI ou ÂME COLLECTIVE entre vous. Vous pourriez nous objecter que peut-être il existe plusieurs BUUAWE BIAEI associés aux différents groupes raciaux. Nous ne croyons pas plausible ce point de vue pour la simple raison que nous CONSTATONS que tout le noyau humain de la Terre est issu d’un même phylum anthropoïde. Les différences morphologiques comme la pigmentation de la peau, les structures crâniennes, etc., sont dues à des modifications génétiques provoquées postérieurement par des mutations vérifiées, dans les organes génitaux de quelques hommes et femmes, à une période terrestre ancienne.
L’atmosphère de la Terre offre une faible protection par certains effets secondaires de ce que nous appelons fréquences IBOONEE (RAYONS COSMIQUES). De ce fait la probabilité que se génèrent de nouveaux êtres vivants, de nouvelles espèces, par mutations génétiques, est plus importante que sur UMMO. Ainsi s’explique sur notre planète le nombre d’espèces dans le champ BAAYIODOUII (FAUNE – FLORE) soit prés de 20% plus faible que chez vous, et que notre groupe humain n’accuse pas la présence de véritables races.
Ce que vous ignorez en plus c’est que cette protection atmosphérique a été plus faible dans les premiers stades de la Terre. Et ce qui est plus grave : précisément pendant le Permien et pendant le Pléistocène (cette dernière est l’époque de l’apparition de l’Homo sapiens pendant laquelle votre système solaire a subi une intense activité de radiations cosmiques, provenant du centre de notre galaxie). Notre planète a aussi subi d’intenses radiations, comme le prouvent les traces URIEWOO UYIEXAA, dans quelques roches (minerais d’oxyde de césium). Cette technique qui nous permet de déterminer la densité de radiations cosmiques à des époques antérieures, n’est pas connue par vous.
Donc : le plus probable, c’est que ces mutations se réalisent précisément sur les structures chromosomiques des êtres humains, coïncidant avec cette énorme augmentation de l’activité radio cosmique.
Il existe donc sans aucun doute une âme collective, et nous nous risquons à spéculer que celle-ci est commune pour vous tous. Nous savons qu’une telle affirmation déplaira à certaines mentalités d’un fanatisme raciste reconnu, mais la science ne peut être identifiée à des préjugés rageurs, et surtout quand ceux-ci sont éloignés de toute argumentation logique. Nous croyons qu’aussi bien le matérialisme dialectique marxiste que l’église catholique romaine sont dans la vérité quand ils postulent leur doctrine antiraciste en partant de cette prémisse engendrée par le fait que les différences entre les races terrestres ne sont que secondaires.
Vous pourriez aussi penser que si les humains terrestres ne peuvent réaliser facilement certaines fonctions comme la transmission télépathique, c’est parce qu’ils ont souffert d’un processus d’atrophie des zones encéphaliques, correspondantes au mécanisme décrit, de même que les hommes d’UMMO souffrent d’une sclérose des organes de phonation. Nous reconnaissons que nous n’avons pas assez d’éléments pour proposer une contestation cohérente. Nous pensons néanmoins le contraire. Ne vous étant pas préoccupés d’utiliser cette faculté, les réflexes nerveux ou synaptiques nécessaires ne se sont pas développés.
D34
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 8
Madame REGINA SENDRAS GONZALVO
MADRID.
Madame,
Nous avons déjà eu l’occasion de nous mettre en contact avec vous, après votre aimable et gentille autorisation de vous soumettre à un test psychologique. En vérité, nous pouvons vous assurer que votre inestimable offre est véritablement précieuse pour nous.
Peut-être n’est il pas important pour vous de comprendre l’importance de telles épreuves qui possèdent malgré tout un intérêt indubitable même si des personnes peu expérimentées dans les techniques psychométriques affirment le contraire.
Ne pensez pas qu’il s’agisse de quelque chose de magique ou d’ésotérique. Les résultats du test, s’ils sont sincères et si vous avez fidèlement suivi les instructions, peuvent être mesurés soigneusement pour obtenir des éléments importants qui reflètent la psychologie de la personne examinée.
Il est inutile de vous préciser que tout le protocole du test et que ses résultats seront maintenus absolument secrets. Même la référence de la personne, son nom et son domicile ne seront pas enregistrés. Nos sommes en train de réaliser une analyse sociologique de la différenciation des sexes dans la société terrestre et ce qui importe ce sont les données et non les personnes concrètes. Nous vous supplions de suivre fidèlement ces INSTRUCTIONS.
1°) nous avons ajouté une feuille de papier avec trois gravures numérotées avec les signes signes ( ) = 1; () = 2 et () = 3, vous pouvez observer que sur la droite de la feuille existent autant d’autres grilles ou carrés blancs.
2°) dans une pièce de votre domicile, une fois SEULE et sans bruits perturbateurs, regardez chaque gravure pendant CINQ MINUTES, une par une en cachant les autres avec un feuillet. Après avoir regardé le premier pendant cette durée, (MONTRE PROCHE) écrivez dans la grille de droite CE QUE VOUS SUGGÈRE UNE TELLE IMAGE. Vous pouvez l’exprimer en peu de mots ou terminer la grille et prendre une autre feuille. Répéter cette opération avec les autres deux images (EN CACHANT TOUJOURS LES AUTRES DESSINS). N’essayez pas de forcer la description et ne vous efforcez pas non plus à l’exprimer d’une manière littéraire. LA SPONTANÉITÉ EST INDISPENSABLE.
3°) Bientôt nous vous appellerons par téléphone, et après vous avoir demandé si vous avez terminé le test, nous racrocherons pour vous laisser le temps de chercher le papier. Peu après,nous vous rappellerons. Et VOUS MÊME vous lirez en CITANT le N° de la GRAVURE, ce que vous avez écrit sur la même image, AVEC UNE VOIX CLAIRE et en MODULANT la voix tout en essayant de le lire RAPIDEMENT.
D36
UMMOAELEWE
M. SESMA MANZANO
Nombre de copies : 2
Monsieur,
Nous avons des informations concernant les critiques que vous nous avez adressé au sujet d’une possible erreur qui se trouverait dans la lettre circulaire envoyée au mois de Mai à de nombreuses personnes de nationalité espagnole.
Les paragraphes en question disaient textuellement:
– Magnitude visuelle absolue : 14,3
– Magnitude visuelle apparente : elle se réduira sûrement à cause de l’interposition d’un grand nuage de poussières cosmiques qui se trouve à 3,682 parsec, mais elle sera comprise entre 12 et 13 et donc ne sera visible par vous qu’avec des moyens photographiques.
Ces faits font référence à notre astre IUMMA tel que nous estimons qu’il serait vu depuis la Terre.
Nous vous supplions de nous indiquer la véritable nature de notre erreur. Nous nous efforçons de traduire nos propres concepts et unités physiques dans votre langue et nous reconnaissons par ce fait la possibilité d’avoir fait une erreur mais dans ce cas concret, nous avouons ne pas pouvoir en trouver.
Nous allons résumer les idées que nous avons concernant les méthodes des astronomes terrestres d’évaluation des magnitudes des Astres. Si de tels critères ont été mal compris par nous, nous comprendrons alors pourquoi nous aurions commis une erreur dans les paragraphes en question.
Vous appelez MAGNITUDE APPARENTE la brillance (l’éclat) observé visuellement par un observateur situé sur la planète Terre. Le nombre attribué à chaque magnitude est inversement proportionnel à l’intensité lumineuse perçue. D’un astre à peine perceptible par des moyens photographiques vous direz par exemple qu’il est de magnitude 21, alors qu’une étoile brillante sera classée en première ou seconde magnitude.
Ce critère est différent sur UMMO où aussi bien les magnitudes apparentes que les réelles, sont mesurées par ordre croissant et non en fonction de la sensation (qui suppose une échelle logarithmique) et elles sont donc mesurées en fonction de la véritable intensité lumineuse qui sera ainsi directement proportionnelle à la magnitude mesurée.
Vous évaluez la magnitude visuelle absolue d’une manière conventionnelle en la définissant comme « l’éclat avec lequel vous percevez l’étoile », vous en tant qu’observateur toujours situé à une distance constante de 32,57 années-lumière (10 parsecs).
Ce dernier point est très important car si un astre est éloigné de nous de moins de 32,57 années-lumière, sa magnitude apparente sera plus grande que sa magnitude absolue. Et c’est le cas de notre IUMMA dont la distance par rapport à vous est de 14, 4371 années-lumière (distance apparente).
Sa magnitude apparente sera supérieure (autour de 12) à la magnitude visuelle absolue (autour de 14,3) comme si on la voyait à une distance plus grande (32,57 années-lumière).
Donc, comme à une distance de notre système planétaire (calculée à 3,682 parsec, quelques 12 années-lumière), nous avons découvert en direction de notre IUMMA un immense nuage statique de poussière cosmique, il est probable que l’absorption exercée par cette masse réduise encore d’avantage l’éclat que vous observez (c’est-à-dire sa magnitude apparente). C’est pour cette raison que nous vous disions qu’elle serait comprise entre 12 et 13 (n’oublions pas que le nombre qui exprime la magnitude s’élève graduellement au fur et à mesure que se réduit l’éclat appréciable avec les yeux).
Nous continuons donc à ne pas comprendre où nous avons pu faire une erreur. Peut-être en lisant rapidement le document, vous avez pu comprendre que la magnitude se « réduisait » de 14,3 à 12 ou 13,2 dans ce cas le verbe se « réduire » serait mal employé car alors la magnitude serait de 15 ou 16.
L’erreur consisterait à mélanger ou confondre deux mesures aussi hétérogènes que magnitude visuelle absolue et magnitude visuelle apparente. Nous, nous appliquons le verbe RÉDUIRE à la seconde.
Quoique maintenant nous soyons sûrs de ne pas commettre de lapsus, nous désirons vous indiquer que l’image véritable de notre personnalité serait déformée si vous surestimiez excessivement notre intelligence et nos capacités mentales. Nous ne pensons pas être supérieurs aux Terrestres, sauf au niveau de notre culture qui est plus développée car plus ancienne. S’il vous plait, ne nous prenez pas pour des dieux. Nous pouvons nous tromper comme vous, même si nos habitudes, transformées en de véritables réflexes conditionnés, nous protègent de la tendance si répandue chez vous de juger à la légère sans examen préalable ou analyse.
Nous vous répétons donc que quelque soit la qualité de l’assimilation des Langues et Cultures Terrestres, et en tenant compte aussi du fait que de nombreux concepts physiques et philosophiques sont différents s’ils sont exprimés par nous, il ne serait pas extraordinaire que nous commettions des lapsus ou erreurs. Nous vous prions donc humblement de nous pardonner pour les désagréments que cela pourrait vous occasionner.
Dans une lettre précédante envoyée à Monsieur Sesma, nous indiquions le véritable sens que nous donnons au verbe EXISTER. Si quelquefois, par habitude mentale, nous écrivons que WOA (DIEU) N’EXISTE PAS, une personne qui ne connaîtrait pas nos coutumes donnerait à nos paroles, traduites en langage terrestre, un mode textuel mais non conceptuel et un sens totalement ABERRANT.
D37
AELEWE (comité) de UMMO sur la planète TERRE.
INFORMATION 127 / 2
Nombre de copies distribuées : 35
LANGUES : Anglais, Russe, Allemand, Ydish, Français, Espagnol, Roumain, Bengali.
DISTRIBUTION DE CE DOCUMENT :
Angleterre : 3
Union Soviétique : 6
Belgique : 2
France : 5
Etats Unis : 8
Espagne : 3
Israel : 1
Roumanie : 1
Australie : 3
Inde : 1
Allemagne : 2
(Adapté aux caractéristiques horaires Espagnoles).
En date (ESPAGNE) du six février 1966 est arrivé sur la planète TERRE trois autres de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (astronefs) de type OMWEA UMMO occupés chacun par huit techniciens avec la capacité de quatre voyageurs de plus.
Les contacts avec l’orographie terrestre eurent lieu aux points suivants:
2 CAMARADES aux environs d’Erivan, à 6 km de la rivière Araks, Territoire Soviétique. 18 h 47 mn (heure espagnole).
2 CAMARADES aux environs de Madrid, Espagne à 20 h 02 mn (idem).
3 CAMARADES aux environs de Townsville (Queensland) Territoire Australien à 22 h 45 mn (heure espagnole).
Les réactions terrestres enregistrées par notre Service de Détection et d’information ont été les suivantes :
U.R.S.S. Document secret dirigé par les autorités d’Erivan à l’Académie Soviétique des Sciences en se basant sur le témoignage de divers paysans, un photographe de presse qui put photographier notre vaisseau et deux ingénieurs en service à la base radar d’Ivenopra qui furent témoins oculaires de notre arrivée. La presse soviétique a passé cet incident sous silence.
ESPAGNE. Différentes personnes des villes de Casilda des Bustos, Aluche (Quartier C) et de la colonie d’aviation furent témoins de notre arrivée. Les organismes officiels de la Capitale Espagnole accusèrent réception les 6 et 7 février d’une multitude de demandes d’explication du phénomène observé et une note secrète fut envoyée au ministère de l’Air par l’aéroclub. La presse publia de vagues informations avec des descriptions naives de la part des témoins.
AUSTRALIE. La police fédérale et une commission de la Section géologique de l’université de Brisbane présents sur la colline de Worth où un couple de paysans observaient « un inquiétant phénomène météorologique » (selon leur propre expression). Deux journaux publièrent des nouvelles brèves annonçant la chute d’un grand aérolithe.
Cet UMMOAELEWE OAE TERROEWAEN communique officiellement aux destinataires de ce document que la mission ordonnée à ce nouveau groupe de camarades de UMMO sous les ordres du gouvernement de UMMO )+( est identique à la nôtre: une mission purement d’étude et d’analyse au moment où la Terre obtient de nouveaux succés dans l’exploration du Cosmos.
AELEWE (comité) de UMMO sur la planète Terre.
INFORMATION 127/ 3 EXTRA
(Seulement pour l’Espagne)
DISTRIBUTION DE CE RAPPORT : 3 copies.
Nous désirons contester confidentiellement et seulement pour nos « croyants » les nouvelles déformées parues dans quelques journaux au sujet de l’arrivée de l’un de nos vaisseaux OAWOOLEA UEWA OEMM que la presse mondiale appelle depuis quelques années Soucoupes Volantes.
DOCUMENT CONFIDENTIEL
A 20 heures 01 minute et 56 secondes (heure espagnole) (85369,244 ( uiw) à partir du temps zéro compté depuis leur départ de UMMO, eut lieu dans le OAWOOLEA oemm OMWEA UMMO 56 , contact avec la lithosphère terrestre dans un terrain proche de l’autoroute qui relie la station de chemin de fer métropolitain d’Aluche avec le quartier de Casilda de Bustos (Madrid).
Notre vaisseau a les caractéristiques suivantes :Section circulaire de base : diamètre extérieur égal à 7,1 (enmoo) soit 13,177 mètres.
Section transversale lenticuliforme avec une hauteur de 4,28 mètres à partir de la côte zéro (sol).
Il est pourvu de trois pieds extensibles et élastiques avec des panneaux rectangulaires d’appui transformables en sphèroïdes pour la stabilisation sur des fluides de basse densité.
La version proposée par un témoin qui décrit la section de base comme un triangle aux côtés curvilignes n’a donc pas de fondement ( elle est due à une illusion d’optique).
Un autre témoin dit qu’en son centre apparait une tuyère de forme irrégulière que le journal « informations de Madrid » du 9 février interprète à l’aide d’un dessin grossier. Cette tuyère n’existe pas car notre système de propulsion n’utilise pas la réaction des gaz expulsés par un turboréacteur. Le spectateur a simplement confondu notre graphisme qui se lit, traduit en espagnol, « CONSEIL GENERAL DE UMMO )+( « , avec un orifice de sortie des gaz.
Une personne de la colonie d’aviation a vu un de nos camarades se déshabiller car il voulait revêtir des vêtements en usage dans le pays et ceci a donné lieu à un incident désagréable. Nous formulons des excuses car notre norme a toujours été de respecter le code éthique de chaque nation. N’importe quelle personne intelligente comprendra d’autre part le caractère forcé de cette situation.
Notre OAWW oolea OEMM s’éleva à 20 h 02 minutes et 54,5 secondes HEURE ESPAGNOLE à destination de UMMO.
NOTE (1)
La transcription de nos dénominations est très difficile à faire. Nous avons adopté comme d’habitude l’écriture avec des graphismes terrestres (pour ce cas précis en simulant l’orthographe espagnole) et les vocables qui à notre avis ont la plus grande similitude avec nos phonèmes acoustiques correspondants car il est impossible de traduire le code télépatique que nous employons entre nous (jusqu’à ce jour, tous les essais pour communiquer télépathiquement avec vous ont échoué).
NOTE (2)
L’unité de temps de UMMO est l’UIW qui se définit comme le temps qui s’écoule jusqu’à ce que la masse de l’isotope C du Thorium (WAEELE WIE VOAT) se réduise de moitié. Un UIW équivaut à 3,0921 minutes (pour faciliter les calculs traduire par 3 minutes).
NOTE (3)
L’unité de longueur de UMMO est le ENMOO qui se définit comme 126 (douze puissance six) fois la longueur d’onde du faisceau de radiation émis par la galaxie OAA TAS . Un EMOO équivaut à 1,873658 mètres.
D38
UMMOAELEWE
Langue: espagnol
- D. Fernando Sesma
ESPAGNE
Monsieur Sesma Manzano,
Vous nous avez adressé une CRITIQUE, concernant un fait antérieur, qui pourrait être mal interprété et provoquer par conséquent des attitudes réticentes et des soupçons injustifiés.
Nous vous supplions d’inviter Mr Gran (Enrique) pour confronter sa version avec la nôtre. Nous avons confiance en l’honorabilité de ce monsieur ainsi qu’en son esprit objectif et sans doute cela sanctionnera par sa réponse la véracité de notre rapport.
Vous insinuez, M. Sesma Manzano, en invoquant votre esprit critique, que notre invitation à M. Gran pour une entrevue directe avec un de nos frères « ÉTAIT UNE CARTE FACILE A JOUER » (c’est votre expression) car :
« PAR UNE NUIT ORAGEUSE, IL N’ÉTAIT PAS PENSABLE QU’UNE PERSONNE S’AVENTURE À ALLER DANS UNE CAFÉTERIA POUR ASSISTER ENSUITE EN PLEINS CHAMP À UNE ENTREVUE AVEC UN INCONNU « .
Monsieur Sesma :
Quand au milieu d’affirmations exactes on intercale, même sans malice et par inadvertance, certaines inexactitudes, ON PEUT COMMETTRE UN GRAVE PRÉJUDICE QUAND, COMME C’EST LE CAS ICI, LA VERSION DEMEURE FORTEMENT POLARISÉE.
Le fait le plus anodin et le plus aseptisé peut se transformer en sensationnel en permutant certains mots. Le témoignage le plus favorable envers une personne ou entité sociale, peut devenir une grave accusation en variant légèrement la modulation de la voix.
Nous constatons que cette fois-ci vous n’avez pas agi avec malice ni désir de nous porter tort. Nous ne vous accusons pas et nous ne nous sentons pas offensés. Nous invoquons seulement le droit de nous défendre.
Pour cette raison nous vous demandons solennellement que:
1) vous lisiez cette version à Mr Gran Enrique, Rue Conde de Penaver n°20, tel : 2751673, Madrid.
2) vous invitiez M. Gran à l’une de vos réunions de la société des Amis de l’Espace.
3) vous lisiez devant les gens présents ce document en omettant l’adresse de Monsieur Gran si celui-ci exprime le désir pour des raisons personnelles.
4) nous supplions Mr Gran de relater, à son tour, les faits selon son propre point de vue en réfutant objectivement les points qu’il estime en conscience être en désaccord avec vous et nous.
5) si, malgré tout, Mr Gran est en désaccord avec notre version en ce qui le concerne, NOUS, RESPECTUEUSEMENT, ET MALGRÉ QUE NOUS NOUS SENTIONS BLESSÉS PAR CE QUE NOUS JUGERONS ÊTRE UNE INJUSTICE, nous demanderions quand même que l’on prête un grand crédit à ses déclarations et nous acceptons par avance son arbitrage.
VERSION OFFICIELLE DE LA SECTION ESPAGNOLE DE LA DÉLEGATION DU UMMOAELEWE SUR AYOUUDA OOYAGAA
En date du 6 février 1966 (année terrestre) se posa non loin de la route qui relie la ville d’Aluche à la colonie de Casilda de Bustos, (Madrid), l’un de nos OAWOOLEEA UEWA OEMM (astronef).
En descendirent deux de nos frères avec pour destination ultérieure notre section de la république du Chili.
Notre chef de la section espagnole, Dei 98, fils de Dei 97, et l’un de nos frères d’Amérique du Sud, GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540 (venu exprès de Bolivie) attendaient les voyageurs dans un véhicule de tourisme garé dans les environs.
Nos frères du vaisseau qui avaient reçu des instructions complètes (dictées par ordre de notre conseil sur la Planète Terre) posèrent, en descendant du vaisseau, dispersées dans la zone encadrée par les traces du véhicule, des capsules contenant une suspension colloïdale de graphite dans du méthanol où l’on avait introduit des lamelles enroulées contenant un double message.
Ces lamelles, couleur vert cendre, sont en AOXIBOO AGOODAA (il conviendrait que M. Sesma montre l’exemplaire qu’il a en sa possession). Il s’agit d’un composé que vous ne connaissez pas, mais quelques exemplaires sont tombés entre les mains des Gouvernements Soviétique, Anglais, Australien, des Etats-Unis, et de Bolivie.
Vous pouvez remarquer que sa ressemblance avec les plastiques terrestres normaux est seulement apparente. Il offre une grande résistance à la traction (vous pouvez en avoir la preuve en essayant de le déchirer avec les mains) et il résiste à l’action dissolvante de nombreux agents chimiques. Il a en plus l’extraordinaire qualité de pouvoir se radioactiver en émettant, après son excitation, des impulsions simples codées (par exemple une fréquence de 40 impulsions/seconde) dans une radiation GAMMA de longueur d’onde 0,036 Angstrom (nous ajoutons un échantillon que Mr Sesma pourra conserver).
Ce message avait été préparé, avec des inscriptions dans notre langue en les activant comme nous vous l’avons indiqué au paragraphe précédent (avec une fréquence secrète) et avec une période d’activité très réduite (quelques 70 jours, ensuite la radioactivité résiduelle est presque imperceptible).
Nous attendions que les Services techniques de l’Administration du Gouvernement Espagnol envoient ses spécialistes sur le lieu de l’atterrissage pour prendre ces capsules, comme cela s’est effectivement produit dans d’autres pays. En ce qui nous concerne, nous disposons d’appareils sensibles : UAXOO IBOAYAA (DÉTECTEURS DE RADIATIONS) sur Terre qui nous permettent de suivre pas à pas la situation exacte de ces messages pendant leur période radioactive. Nous aurions pu ainsi contrôler les manipulations subies par ces documents à leur passage dans les différents laboratoires et organismes.
Mais cela ne se déroula pas ainsi : la zone d’atterrissage ne fut pas délimitée et isolée, et pas un spécialiste ne fut envoyé sur place (selon nos propres renseignements).Toutes les capsules furent recueillies par des enfants exceptée l’une d’elle ramassée par un homme, maçon de profession, qui travaillait aux constructions proches du site de l’événement.
Comme ces documents étaient tombés entre des mains non intéressées, nous essayâmes au début de les récupérer, ce que nous ne pûmes faire seulement partiellement.
L’une des capsules finit par arriver entre les mains de M. Enrique Gran (artiste-peintre). Il semble qu’une femme, dont les enfants avaient ramassé la capsule, soit par amitié pour Mr Gran, soit parce qu’elle savait que ce monsieur s’intéressait à cette affaire, soit pour d’autres raisons, remit le contenu de la capsule à M. Gran.
A ce moment là un article était paru dans la presse espagnole : (journal « Informaciones » du samedi 12 Février 1966) avec certaines déclarations de cet artiste-peintre qui attirèrent notre attention, car le seul moyen pour nous de savoir quand une personne était intéressée par des affaires spatiales dans un pays est la propre presse du pays.
Selon les rédacteurs de ce journal, les manifestations furent les suivantes :
« Je crois à l’existence des Soucoupes Volantes, OUI, je crois aussi aux témoignages des personnes d’un sérieux absolu. C’est émouvant de voir une trace produite par un artefact extra-terrestre ».
Après nous être informés par nos propres moyens sur son adresse et son téléphone, nous commençâmes le premier contact téléphonique avec lui.
Dès le début, Mr Gran se montra réticent et réservé face à l’appel anonyme de notre frère et Chef DEI 98. Attitude extrêmement logique de celui qui n’accepte pas un simple témoignage d’inconnus sans preuves pour l’avaliser.
Monsieur Gran fit alors allusion au document qu’il avait en sa possession en déclarant qu’il l’avait reçu d’une dame selon lui « inconnue ».
Nous dûmes interrompre la conversation deux ou trois fois pour des raisons dues aux précautions que nous devons adopter lors des communications avec vous.
Nous demandâmes alors une entrevue la nuit suivante (du 15 Février) dans une cafétéria de la rue Isaac Peral à Madrid, afin de recevoir de ses mains le document en question. Nous n’aurions eu aucun inconvénient à récompenser Mr Gran pour sa gentillesse.
Mr Gran accepta noblement de nous le rendre mais il confessa que tout ceci lui paraissait être une blague et que naturellement il n’était pas disposé à se soumettre à celle-ci.
Notre frère lui dit que dans ces conditions il était préférable d’interrompre tout contact avec lui par la suite. Nous n’avons pas le droit de déranger la vie privée d’une personne, si celle-ci maintient le critère selon lequel notre identité est fausse.
Mr Gran suggéra que de toutes façons l’entrevue pourrait avoir lieu dans un endroit choisi par lui, ce que notre chef refusa. Nous répétons que Mr Gran adopta dans cette affaire une attitude totalement logique et correcte.
On ne peut dire qu’il eut une réaction de lacheté ou de peur infondée en ce qui concerne le refus de l’entrevue avec notre frère : il parlait avec des inconnus qui pouvaient effectivement être en train de se moquer de lui et si son désir d’avoir cette entrevue dans un autre endroit connu de lui n’était pas accepté, il avait des raisons suffisantes pour trouver à notre conduite quelque étrangeté.
Effectivement la nuit était agitée et il pleuvait : MAIS IL EST INCORRECT DE DIRE QU’IL FAISAIT DE L’ORAGE COMME PARAIT LE FAIRE MONSIEUR SESMA.
De plus, notre frère ne DEMANDA JAMAIS DE DÉBUTER UNE L’ENTREVUE DANS UN CHAMP ISOLÉ, ce qui constituerait bien sûr un VÉRITABLE ET OBLIGATOIRE motif de refus, MAIS DANS UN ETABLISSEMENT TRÈS CONNU, DANS UNE RUE IMPORTANTE, remplie de gens respectables à ces heures là, comme vous pouvez le vérifier vous-mêmes.
Notre frère GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540, devait assister à l’entrevue et devait ensuite partir deux jours plus tard en Amérique avec les nouveaux arrivants d’ UMMO , ainsi Mr Gran ne pourrait pas l’identifier dans un futur immédiat.
En disant cela nous ne voulons pas discréditer M. Gran, nous supposons qu’il est incapable de délation, mais seulement vous faire prendre conscience des sévères normes de sécurité que nous devons adopter routinièrement. Si nous désirons conserver notre anonymat, nous sommes obligés de les respecter par ordre de notre sœur même s’il n’y a qu’une minime probabilité de risques. Monsieur Gran ne saura jamais jusqu’à quel point notre organisation nous interdit (une fois le plan établi) de le modifier à notre guise, à cause d’une soumission aveugle envers nos supérieurs.
Que M. Gran reconnaisse que l’entrevue n’offrait pas grand « RISQUE » pour lui, en dehors de la sensation de ridicule en cas d’une simple farce.
Les deux attitudes (ACCEPTER ou REFUSER) étaient donc intelligentes et sensées. Comme l’hypothèse d’une BLAGUE ou d’un ACTE D’UN ALIÉNÉ n’était pas absolument à rejeter, Mr Enrique Gran adopta cette dernière attitude et personne n’a le droit de le lui reprocher s’il agit et juge avec une objectivité impartiale..
NOTRE CRITIQUE CONCERNE LE FAIT QUE JAMAIS NOUS N’AVONS DEMANDÉ A MONSIEUR GRAN UNE RENCONTRE AVEC NOUS DANS UN ENDROIT ISOLÉ ET QUE CETTE NUIT N’ÉTAIT PAS SI MAUVAISE POUR EMPÊCHER UNE TELLE ENTREVUE COMME LE PROUVE D’AILLEURS LE FAIT QUE MR GRAN PASSA CES HEURES HORS DE SON DOMICILE.
Le manque d’intéret des Autorités Techniques Espagnoles nous déçut tellement que nous renonçâmes à récupérer ces documents. De plus nous désirons sincèrement qu’ils ne tombent plus entre vos mains et nous demandons donc à M. Sesma de ne pas se dessaisir d’un document qui lui servira dans le futur pour démontrer l’incompréhensible aveuglement de ceux qui, sans réaliser une première recherche, s’empressent de nier « à priori » des faits qui, une fois vérifiés avec un esprit critique, peuvent éclairer de nombreuses choses jusqu’à maintenant incompréhensible pour vous.
MADRID LE 17 JUIN 1966
par autorisation de : YOO 1, fille d’AIM 368,
Écrit dicté par : DA 3, fils d’EYEA 502
sous couvert de : DEI 98, fils de DEI 97.
D39
LE 5 JUIN 1966.
UMMOAELEWE
N° de copies : 36
Langues: Anglais : 18
Allemand : 3
Russe : 4
Français : 4
Espagnol : 2
Italien : 1
Idish : 1
Hongrois : 1
Suédois : 1
CE DOCUMENT PEUT ETRE LU A VOS FRERES, A CONDITION QU’IL SOIT PRECEDE DES NOTES REMISES DANS L’ENVOI PRECEDENT.
LE 5 JUIN 1966.
A 22h 52 minutes, est arrivé sur la planète Terre, l’un de nos vaisseaux aux environs de IQUIQUE (CHILI) (heure officielle du Chili). Deux de nos frères sont descendus pour une destination secrète.
On n’a pas observé de réactions dans la presse régionale malgré le fait que deux équipages d’avions commerciaux aient détecté notre présence.
LE 5 JUIN 1966.
A 03h 14 minutes, est arrivé sur Terre l’un de nos vaisseaux parti de UMMO. (Heure officielle de la Capitale).
Il prit contact avec la Terre en un point situé à 40 kilomètres de Sydney en « Nueva Gales del Sur » « AUSTRALIE ».
De nombreux paysans furent témoins de notre descente selon les nouvelles des journaux locaux. Une voiture gouvernementale se dirigea vers l’endroit de l’atterrissage sans obtenir le contact avec le vaisseau.
D40
UMMOAELEWE
Nombre de copie : 1
Langue : Espagnol
A D. F. Sesma Manzano
MADRID
CONFIDENTIEL.
(Peut être lu par Mr Garrido Buendia qui a des instructions similaires.)
Au début de notre arrivée sur le territoire Espagnol, au mois de Février 1966, nous fûmes obligés de vous dicter certaines instructions face à la tournure que pouvaient prendre les nouvelles diffusées par certains organes de presse.
Une consultation, faite récemment auprès de notre supérieure YU 1, fille de AIM 368, pour lui demander d’atténuer la rigidité de ces normes et même de les supprimer totalement après avoir pu vérifier l’innocuité de leur transgression après quelques mois écoulés, donne comme résultat une autorisation de vous communiquer qu’une partie de ces instructions étaient abrogées.
Notre supérieur en Espagne, DEII 98, fils de DEII 97, continua en estimant que le maintien des instructions restantes était inefficace et inopérant en discréditant ouvertement le jugement de notre jeune supérieure. Mais nous attribuons ceci au fait que d’autres affaires, beaucoup plus importantes que cette mineure question de forme, l’ont empêchée de faire cas de cette demande.
Mais la soumission aveugle que nous lui devons nous oblige à accepter son critère qui, dans ce cas, est à l’évidence capricieux.
Nous devons donc vous avertir que si vous désirez continuer nos contacts, vous devez continuer à suivre les normes restantes qui sont d’autre part les plus simples à suivre.
Si vous avez conservé une note qui vous fut envoyée et intitulée « EARTH DELEGATION AUSTRALIA » : nous vous indiquons que vous pouvez passer sous silence les points suivants :
PRIMO (en ce qui concerne les déclarations devant les reporters)
SECONDO (en ce qui concerne les déclarations à des membres d’émissions de Radiodiffusion et Télévision)
Demeure toutefois le POINT 4 qui pose l’interdiction expresse de rendre visite ou de parler devant des témoins des atterrissages ou journalistes qui ont exprimé publiquement leurs doutes DANS LES JOURS qui ont suivi l’atterrissage (en supprimant donc notre premier objectif qui était d’intéresser les média techniques espagnols à cette affaire).
Les journalistes correspondants de la revue « POR QUE » déformèrent les faits en les ridiculisant et en cherchant à déformer leurs déclarations. Nous désirons que vous continuiez à vous abstenir vis-à-vis d’eux.
Les journalistes du quotidien « INFORMACIONES » se montrèrent au début intéressés par le fait. Mais dans un dernier reportage, ils exprimèrent certains doutes sans raisonnement qui les avalisent.
Bien qu’il n’y avait pas de mauvaise foi manifeste mais un honnête désir d’exprimer un point de vue respectable nous préférons maintenant maintenir le même veto. Nous croyons qu’il sera levé prochainement pour ce journal du soir de Madrid.
D41
00/121
Nous désirons informer la planète Terre : nos origine et provenance et les buts qui nous amené à vous visiter. Nous provenons de UMMO, planète qui tourne autour de l’astre IUMMA, enregistré sur votre Terre sous le nom de Wolf 424.
00/123
Nous avons reçu des instructions le 12 janvier 1965 (ère chrétienne terrestre) sur l’orientation et les limites de cette information. Rédaction approuvée. Nous veillons à nous adapter sauf barrière infranchissable de traduction. Nous employons la langue espagnole.
0/2
Les difficultés de traduction et d’expression de concepts en langues terrestres sont immenses. Nous ne nous cachons pas que malgré la constatation de la surprenante similitude entre les structures biologiques de nos deux planètes, nous restons consternés en comprenant que nos moyens de communication sociale respectifs diffèrent à un degré élevé.
0/21
Il nous est impossible dans un premier document d’établir sous une forme synthétique l’immense gamme d’équivalences entre chiffres, symboles verbaux, symboles techniques et le reste. Dans de nombreux cas, nos expressions natives ne comportent, même confusément, aucune équivalence avec aucune des langues terrestres connues de nous à cette date (anglais, espagnol, grec classique, grec moderne, allemand, italien, français et arabe).
0/215
Nous employions pour nous exprimer le média acoustique : air (adolescence) et le médiat télépathique : « psi » (adulte moyen). Dans ce dernier cas, les images mentales transmises et reçues sont conformes aux images mnésiques acoustiques apprises durant l’enfance.
Nous tenterons par tous les moyens de vous figer en graphie espagnole l’image acoustique de nos expressions, bien que dans la majorité des cas nos phonèmes peuvent être rendus par plusieurs expressions graphiques.
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Nous venons, comme nous l’avons dit antérieurement, de la planète ou astre solidifié UMMO dont les caractéristiques sont les suivantes :
Orbite : elliptique avec à un foyer l’étoile WOLF 424 (IUMMA) qui nous sert de soleil.
Distance du foyer WOLF 424 au foyer du système solaire le 4 janvier 1955 : 3,68502 années lumières.
Rayon de UMMO mesuré dans la cotation universelle de VAAUAWE :R 1 = 7251,63 kms
Rayon dans la cote NUAEL 21 (pôle de UMMO) :R2 = 7.266,61 km
Masse de UMMO: 5,4.1021 tonnes masse
Accélération de la gravité sur UMMO : 11,88 m/sec2
Couche atmosphérique ionisée à 8536,92 km
Composition atmosphérique mesurée au laboratoire universel des techniques atmosphériques cote 878 de « WALIOA » :
Azote : 65,93 %
Oxygène : 23 %
Xénon : 0,20 %
Néon : 0,316 %
Anhydride de C : 1,8 %
Chlore : 0,001 %
Méthane : 0,02 %
Autres gaz
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Notre structure géologique externe est en tout différente de celle de la Terre. Les océans occupent 62 % approximativement. Le reste se concentre en un seul continent plein de grands lacs dont le plus grand a 276.320 km² (AUWOA SAAOOA) . Nos cordillères (très érodées) présentent à peine des formes accidentées. Le fleuve le plus important de UMMOAA est le OACAWA-OEW-OEWEA de 3,5 km de large à la hauteur de UWOSS. Il se jette dans le lac IAWIAIA-SAAOOA . Les OAK-OEI sont des sortes de volcans qui présentent la forme de crevasses qui projettent des colonnes incandescentes de méthane-pentane-oxygène à des hauteurs de 250 m jusqu’à 6,7 km. Comme le OASION-OEI (qui) entoure le lac IA-SAAOOA , sa lumière azurée illumine les nuits de UMMOAA dans ces régions. Les grands laboratoires NOOLAWE projettent chaque UIW (unité temps de UMMO égale à 3,1 minutes terrestres) de grands globes de composés chimiques qui à l’entrée en contact avec les gigantesques cataractes de feu bleues, brillent comme des feux d’artifices, offrant un spectacle fantasmagorique. A l’intérieur de ces globes sont contenus des équipements de précision pour des contrôles scientifiques.
Ci-après nous dessinons un croquis de notre configuration géographique. Sur nos cartes les noms géographiques ne sont pas mentionnés sur le croquis, mais nous les signalons au moyen de flèches et nous disposons la typographie en marge.
0/112
Les habitants de UMMO possèdent un corps dont la morphologie physiologique est étonnamment analogue à celle de l’Homo sapiens terrestre. C’est logique si l’on considère que des lois biogénétiques semblables règnent dans tout l’Univers. Quand l’OIWI (an) 75.231 de notre temps (nous définissons l’an comme la dix-huitième partie du temps de translation de UMMO autour de IUMMA – Wolf 424), arrivèrent des nefs spatiales de la planète TOOKAAIA, leurs équipages, bien qu’ils mourrurent, présentaient cependant la même organisation cellulaire.
Seules de petites différences apparaissent entre nous. Nous possédons des amygdales et notre organe de phonation s’atrophie de sorte que la glotte humaine terrestre disparaît vers 14 ans. Durant notre enfance nous pouvons parler normalement, exprimant nos pensées par voie phonique (média de transmission acoustique : l’air). Mais le langage que nous employons est radicalement différent du vôtre. Nous pouvons le nommer BI-LANGAGE. Par exemple, quand nous émettons des phonèmes tels que OA DO DO IA KAAWAEA UMMO UMMO UMMO, nous exprimons deux courants d’idées simultanément.
OA : nous avons réalisé ce voyage
DO : et nous provenons de
IA KAAWAEA : pour étudier votre culture
UMMO : notre planète.
Mais en même temps observez que nous répétons chaque phonème deux, trois, cinq, etc, fois.
Ceci constitue à la fois un nouveau code ou langage qui se superpose à l’autre expression verbale. L’interprétation de ce langage est de type statisticomathématique (fonction du nombre de répétitions du phonème) avec lequel nous exprimons une autre pensée en même temps. Dans le cas rapporté nous disons approximativement :
Nous avons réalisé ce voyage en provenance de UMMO pour étudier votre culture, et
Nous pensons ne faire de mal à personne, tranquillisez-vous.
Autre exemple :
DO UMMO DO DO UMMO UMMO DO DO DO
Nous venons de UMMO, et
Nous sommes arrivés au dessus de la France avec notre nef.
Si nous avions émis ainsi avec notre voix :
DO UMMO DO DO UMMO
Nous venons de UMMO
Nous devons nous alimenter d’urgence.
Dans nos écoles, les enfants apprennent simultanément deux disciplines scientifiques quand un même professeur leur explique par la parole deux conférences de nature différente.
Vers les 14-16 ans de la vie, les cordes vocales subissent un processus de sclérose qui nous rend physiologiquement silencieux, mais qui va développer à cette époque la faculté de transmettre notre pensée au moyen de la fonction que vous appelez PSI, c’est-à-dire télépathiquement. Nous concentrons dans le champ de notre conscience l’image mentale de notre interlocuteur (bien qu’il soit à plusieurs KOOAE. – un KOOAE = 8,71 km) et envoyons des impulsions télépathiques, chacune d’elles dure 0,00014 seconde approximativement. En psychobiologie nous appelons ces impulsions BUAE BIEEE
Un code également bilingual permet de maintenir les deux conversations avec n’importe lequel de nos semblables.
Il y a chez nous de terribles maladies inconnues de vous, par exemple, celle nommée OANEEA-IAWA-OAI dans laquelle le sujet souffre un trouble de ses facultés NOI-OAI (appelées par la science parapyschologique terrestre fonction PSI), et émet sous forme désordonnée et à une grande fréquence des millions d’impulsions BUAE BIEEE à des centaines de milliers d’êtres de UMMO, quelque chose comme si un de vos émetteurs se déréglait et émettait à toutes les fréquences ses interférences folles captées par des millions de récepteurs.
L’unique solution était de localiser le malade et de provoquer sa mort par GOOAIE SAWA (espèce de faisceau de micro-ondes de haute énergie qui détruit les centres nerveux ISIAGEE IA de l’encéphale).
Les premières années de notre humanité, le développement de la culture fut freiné par l’action aliénante de ces pauvres malades qui hallucinaient nos ancêtres avec leurs horribles cris télépathiques.
(NOUS CONTINUERONS LE MESSAGE)
Langue: Espagnol
N° de copies: 1
- D. Fernando Sesma Manzano
MADRID
305 – NOTRE VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
La plus grande difficulté que nous rencontrons dans la description de notre genre de vie au sein de la planète UMMO réside précisément non seulement dans la grande différence existant entre nos structures sociales (TERRE et UMMO) mais aussi dans la variété de l’organisation, mobiliers, appareils techniques, ustensiles de toute nature, dont la plus grande partie sont inconnus de vous.
Ceci implique que lorsque dans le cours de notre rapport nous nous référons à chacun de ces meubles, outils, dispositifs ou équipements, ce soit précisé par une incidente pour expliquer sa nature et sa fonctionnalité.
Comme une description excessivement prolixe et technique fait courir le risque de n’être pas compris, sinon par un nombre réduit de spécialistes, nous préférons, vue la psychologie de certains lecteurs que vous avez orienté vers cette information, donner ce rapport, M. Sesma Manzano, rédigé de la forme la plus amène qui nous soit possible, mais sans préjudice, en complétant au jour-dit les données techniques que vous croyez nécessaires pour ces experts qui le solliciteraient.
—————————
Quand les enfants atteignent 13,7 ans (Terrestres), ils sont réclamés sur notre planète par une espèce d’université où École-colonie polytechnique (que nous nommons UNAUO WI ) contrôlée par le Conseil Supérieur d’ UMMO (UMMOAELEWE).
L’OMGEEYIE (couple), s’il n’a pas d’autre progéniture, reste seul. Ce qui pour vous, terrestres, constitue un motif de profonde dépression spirituelle, ne provoque pas de réactions affectives négatives dans les cellules familiales de notre planète car notre société considère cette contingence comme quelque chose d’aussi normal que peut l’être le départ de l’époux terrestre pour son travail quotidien.
Ainsi, tant que le jeune (des deux sexes) n’a pas terminé sa formation intégrale dans l’UNAWO WI (Université), il lui est interdit de voir ou bien d’écouter ses parents ou ses familier sauf en cas de rares occasions. Il n’en est pas de même pour les parents qui peuvent à des heures déterminées, voir leur enfants sur le grand écran semi-sphérique de l’UULODAXAABI (Cette pièce commune dans tous les foyers est un endroit voûté en forme de calotte sphérique, formée par une lame de plastique par laquelle on peut voir une image à 3 dimensions transmise par un équipement récepteur qui a une lointaine ressemblance avec la télévision terrestre). Le spectateur qui se trouve au centre de cette pièce peut ainsi se trouver entouré par un paysage ou bien à l’intérieur d’une usine située à de nombreux KOAE ( 1 KOOAE = 8,71 Km). Voir la figure N° 1, image 7
Disons que les habitudes mentales contractées depuis plusieurs millénaires ( Année d’UMMO = 0, 2118 ans TERRE) nous ont accoutumé à subir cette séparation temporaire entre les jeunes membres et les adultes du groupe familial et cependant les liens matrimoniaux sont sacrés et solides entre nous.
Un jeune OMGEEYIE (couple) vit généralement dans sa XAABI (maison) que vous pouvez imaginer comme une tour-pavillon ou un chalet situé en pleine campagne. Cette maison leur a été fournie par le conseil d’ UMMO quand le couple, une fois sa formation culturelle et technique terminée, commence à faire partie de la communauté d’UMMO.
Cet achat n’a pas été effectué avec de l’argent. En quelques instants, les ordinateurs de notre réseau XANMOO AYUBAA ont calculé la valeur d’un nombre indice qui reflète le rendement intellectuel des deux membres du couple durant les années d’études ; rendement comparé naturellement avec leur capacités ou coefficient mental, le travail pour lequel les époux sont destinés (quoique la femme soit exempte de travail pour la communauté tant qu’elle a des enfants) et autres acquisitions que les deux époux peuvent avoir réalisés antérieurement. Car il peut leur rester des possibilités d’achat tout comme un terrestre peut surveiller l’état de son compte bancaire.
D’autre part, les deux époux peuvent choisir, dans certaines limites de la région (imposées par le calcul), la situation et les caractéristiques secondaires de couleur, disposition et structure de leur nouveau foyer.
La planification de la construction d’habitats se déroule en tenant compte de l’accroissement démographique naturel de la population de UMMO et il n’est pas nécessaire d’indiquer que les chiffres de maisons libres couvrent amplement les besoins. De plus le problème est facile à résoudre si vous tenez compte de l’accroissement de la population, actuellement de 3,6 pour cent tous les douze ans UMMO
Mais toutes notre humanité ne réside pas dans ces demeures dispersées en pleine campagne. Approximativement 27% de la population vit, pour des raisons de professionnelles, au sein de grandes colonies ou villes qui ressemblent un peu aux villes-jardins terrestres. Mais ces habitants ont d’autres compensations en échange.
Nous aimons viscéralement la Nature. Les hommes et les Yie de UMMO vouent et offrent leurs vies à notre créateur WOA ou DIEU; de façon telle que le contact intimes avec sa création ou génération : la campagne, notre IUMMA (IUMMA EST L’ASTRE SOLEIL QUI ILLUMINE les JOURS D’UMMO), les espaces sidéraux, sont toujours présent dans notre esprit. C’est pour cela qu’il nous semble que la civilisation terrestre vous éloigne de cette nature dont vous faites pourtant partie intégrante. Nous orientons notre technique et notre civilisation vers une meilleure compénétration et compréhension de celle-ci.
Il est vrai que pour des raisons biologiques diverses parmi lesquelles, et ce n’est pas la moins importante, une meilleure protection atmosphérique contre les radiations extérieures, déterminant dans bon nombre de mutations génétiques, nous avons sur UMMO une variété de flore et de faune moins riche.
Mais en échange, nous jouissons d’une végétation exubérante due en partie à notre vieux réseau souterrain d’hydrocanalisation réalisé au moyen de tubes construits avec un mortier poreux, tubes à travers lesquels on filtre l’eau, en la distribuant rationnellement dans les strates perméables du terrain, avec une pression calculée en fonction des caractéristiques du sol et des espèces végétales plantées.
Nos techniques agronomiques ont réussi ainsi à doter le Paysage de notre Planète d’une richissime gamme de nuances, grâce à la sélection et à la répartition esthétique d’arbres et arbustes réunis en immenses forêts. L’orographie est respectée dans son intégrité. Les antiques OGOKOOA (CHEMINS ET ROUTES) qui déparaient la perspective de nos merveilleux paysages d’UMMO.
La seule note apparemment discordante est constituée par les Tours-habitations que nous appelons SAABI . Ces tours en forme de CHAMPIGNON TERRESTRE émergent quelques fois, spécialement de nuit, de leur fosse en forme de puits dans lesquelles elles peuvent monter ou descendre à volonté.
Pour un observateur terrestre, la campagne d’UMMO, à la nuit tombante, semble remplie de phares côtiers terrestres. Ceci est dû au fait que nos habitations sont giratoires selon la volonté de leurs habitants pour leur permettre ainsi d’avoir la vision continue de l’horizon. Les lumières décrivent alors un mouvement de rotation qui est à l’origine de cette petite illusion d’optique.
Comment sont nos XAABI ? Il est difficile de vous décrire une de nos maisons sans que vous pensiez que toutes les autres sont identiques ou très semblables. En réalité, bien que moins variées que sur Terre, il existe plusieurs types de tours de structures fonctionnelles distinctes.
Les vieilles maisons que vous appelez Palais existent seulement conservées à titre de curiosité et comme restes d’une Civilisation injuste qui n’a pas survécue. Il n’existe aucune différence de classe appréciable sur UMMO et les maisons standard d’UMMO sont naturellement un indice significatif de cette égalité sociale. On peut donner le cas paradoxal pour vous d’un ouvrier spécialisé ayant une XAABI quelque fois plus confortable que celle du ménage correspondant du Directeur Général du Plan industriel qui est un simple numéro. Mais au prix d’une analyse vous observerez que cet ouvrier rend dans son travail vu son coefficient mental et sa catégorie ou niveau professionnel, beaucoup plus que son directeur, événement fréquent qu’un bas rendement postérieur peut l’obliger à abandonner sa maison et se contenter d’une autre plus modeste.
Nous croyons que les dessins tracés sur papier avec des crayons de couleur terrestres l’illustreront plus facilement que si nous vous apportions la même image sur une reproduction photostatique de nos plans. Vous pouvez comparer la description qui suit avec de tels dessins.
Nos XAABI, sauf dans des cas exceptionnels, présentent l’apparence externe de grandes plantes thallophytes connues sur terre sous le nom de champignons. Elles sont composées de deux parties bien définies. Une tour ou cylindre central que nous appelons ANAUANAA et dans la partie supérieure que vous appelez chapeau une grande enceinte circulaire en couronne en forme de coupole. Cette enceinte qui constitue la véritable habitation reçoit le nom de XAABIUANNAA.. (Image 1)
Figure1
Cet ensemble peut monter ou descendre jusqu’à ce que la XAABIUANAA soit au ras du sol. Ceci est réalisé par un système qui est inconnu sur TERRE, un peu semblable à certains équipements pneumatiques que vous utilisez. Nous utilisons donc une espèce de PISTON (YOOXAO) et un long corps de pompe. La différence est constituée par le fait que nous utilisons de la vapeur de sodium au lieu de l’air. Ce métal à basse température demeure à l’état solide (image 2). Le piston est alors descendu et avec lui notre XAABI. Mais quand nous désirons (presque toujours à la tombée de la nuit) émerger et nous élever à un niveau déterminé, un mécanisme excite le sodium par des processus de technique nucléaire. Celui-ci passe rapidement à l’état de vapeur, se liquéfiant au préalable avec un degré d’expansion constant; ce qui fait que le YOOXAO (piston) monte à une vitesse constante (image 3).
Voir de nouveau l’intérieur de la demeure, figure 1.
Les images 4 et 5 vous montrent la disposition des chambres qui constituent la XAABIUANNAA. En réalité, en nous exprimant ainsi, vous pourriez être induits à penser que nos habitations ont, comme vos maisons terrestres, une fonctionnalité bien définie. C’est-à-dire qu’il existe une espèce de chambre à coucher, une cuisine ou une salle de bains. Rien n’est plus éloigné de la réalité. N’IMPORTE QUELLE IAXAABI ou pièce peut se convertir en chambre à coucher, en « »méditarium » », cuisine ou salle de jeu. Si dans chacune de nos tour existent cinq ou six (généralement six) de ces IAXAABI ou chambres, c’est parce qu’à un moment donné, l’une d’elles peut être par exemple utilisée comme chambre à coucher pour les enfants pendant que dans la seconde le père fait le repas et pendant que dans la troisième, convertie en salle de bains, la YIE ou épouse, mélange les essences pour le bain de vapeur qui précède le repas de l’après-midi.
Voyons donc les modalités que, d’une manière automatique, peuvent adopter chacune de ces IAXAABI ou CHAMBRES.
WOIWOAXAABI ( peut se traduire par MEDITARIUM ). Vous, vous l’appelleriez chambre à coucher. Cette transformation adopte deux fonctions : PRIER ou MÉDITER et DORMIR. Quand dans notre prochain rapport nous vous parlerons du déroulement d’une journée, pour un OMGEEYIE ou couple d’UMMO, vous comprendrez mieux la première fonction.
Voyons comment opérerait la YIE (femme) qui désire à la fin de la journée « se coucher » avec son époux.
Vous savez qu’un grande partie des êtres d’UMMO « manquent de voix » (nous ne disons pas NOUS manquons de voix car nous qui sommes sur Terre, faisons partie de la minorité d’exception, même si nous devons amplifier la faible voix émise par les cordes buccales.
Ainsi, malgré tout, des équipements miniaturisés incorporés dans notre gorge nous permettent de nous exprimer avec des sons parfaitement intelligibles. Malgré cela, la gamme de fréquences est plus restreinte que chez vous (pour les terrestres, elle est comprise approximativement entre 20 et 10 000 cycles par seconde). Par contre, d’une manière artificielle, nous pouvons émettre grâce à un système très simple de conversion de fréquences harmoniques comme 15 000 et 20 000 cycles par seconde (ULTRASONS) convenablement codés.
Il est permis à celle que vous appelleriez l’âme du foyer sur Ummo d’émettre un cri ultrasonique codé qui actionne les mécanismes qui mettent en marche les divers équipements du foyer. Dit sur un mode plus technique : la fréquence sonore émise est captée par un récepteur sensitif qui opère au moyen d’un microphone de magnétostriction. Ce récepteur sensibilise par des servomécanismes adéquats les divers meubles ou dispositifs d’usage topique dans la maison, les faisant apparaître ou disparaître dans le sol.
Ce dernier paragraphe requiert une explication préalable. Nos IAXAABI (HABITATIONS) seules étaient vides de tout mobilier quand elles étaient inoccupées de tous les habitants de la maison. . Le carrelage présente une répartition sur sa superficie de plusieurs lames de formes triangulaire, circulaire, carrée… peintes de couleurs très vives : carmin, bleu, magenta, jaune, entre autres. Un terrestre qui visiterait notre planète pour la première fois, assujetti aux schémas mentaux de son monde, interpréteraient de telles taches comme des motifs ornementaux modernes (voir image 4)
Tout au contraire, ces figures géométriques sont de véritables écoutilles d’où émergent les dispositifs qui nous servent de meubles ou d’équipements. les couleurs obéissent à un code universel qui distingue chacun de ces équipements. Ainsi le rectangle orange est le symbole du XAXOOU (SIÈGE).
Notre YIE émet donc un signal acoustique ultrasonore qui correspond précisément au XAXOOU (SIÈGE) qu’elle a à ses pieds et celui ci s’ouvre automatiquement. Dans l’image 6, vous pouvez vous documenter sur le système que nous utilisons dans les maisons pour nous asseoir. Une petite fosse sert pour poser et placer nos jambes. Nous n’utilisons pas ce que vous appelleriez coussin ou dossier.
image 6
Une fois les époux assis (GEE et YIE), une fois l’IAXAABI allumée avec une faible lumière cyan, se déroulent les 24 UIW (1 UIW = 3,1 minutes) que les OMGEEYIE consacrent à la méditation et à la prière qui précède le sommeil. De nouveaux signaux acoustiques fermeront alors les sièges, les époux éteindront alors la lumière pour se dévêtir tous les deux, ensuite, ils allumeront de nouveau et mettront en marche deux dispositifs des deux WOIOA (voir figure 4) ; vous les appelleriez lits en voyant ce dessin tracé schématiquement bien que leur structure ressemble à un divan terrestre. Il est donc nécessaire de décrire le WOIOA.
fig 4 / image 19
Deux disques émergent du sol et sont rapidement séparés de celui-ci par un système de lévitation électromagnétique. (vous connaissez ce principe bien que sa réalisation vous soit encore coûteuse). (Un champ de haute fréquence peut maintenir suspendu dans le vide n’importe quel anneau toroïdal métallique). Au niveau de ces anneaux commence à se former une conglomération d’écume (mousse) correspondant à un produit chimico-organique organochimique qui se solidifie rapidement. Un système gazeux de direction du processus oblige cet agglomérat mousseux et amorphe à prendre une forme de divan spongieux.
Mais ne croyez pas que nous dormons toujours dans ces WOIOA. C’est une prescription et nous avons été éduqués dès l’enfance pour dormir durant des nuits à même le carrelage sans l’aide d’aucun matelas. Nos tissus musculaires sont maintenus dans un état physiologiquement apte à le faire.
NOUS CONTINUERONS L’INFORMATION
UMMOALEWE
Nombre de copies: 1
Langue: Espagnol
- D. Fernando Sesma Manzano
Madrid
- NOTRE VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Les hommes Terrestres ignorant les millions de petits détails en rapport avec nos vêtements, notre mobilier, notre structure socioéconomique, il en résulte qu’une description captant les diverses incidences de notre vie quotidienne est très difficile.
Si nous tentons d’exposer la relation qui reflète le cours d’une journée pour une famille déterminée de UMMO, nous courons le risque que vous hommes terrestres, qui tendaient toujours à généraliser les cas particuliers sans avoir auparavant réalisé un examen statistique de la fréquence avec laquelle se produit en pratique un phénomène social déterminé, jugiez de façon erronée que notre vie est pleine de monotonie et manque d’une richesse de nuances par comparaison avec celle des terrestres.
Ce que nous allons décrire est une des diverses manières dont peut se dérouler le cours d’une journée d’un des OMGGEEYIE (COUPLES) de la planète dont nous procédons. Bien sûr, le frère qui au lieu de vivre en zone rurale réside dans une colonie industrielle déroule un tout autre mode de vivre au long de la journée.
Tenez compte que la période de rotation de notre planète UMMO sur son axe est d’un XII (lisez SII) égal à 600 uiw, ce qui équivaut à 30,92 heures. C’est dire : notre jour est plus long que le terrestre.
Imaginons le cas d’un jeune couple avec deux enfants : un garçon qui n’est pas encore adolescent et une UUYIE (JEUNE FILLE) qui avec ses 16 ans terrestres poursuit ses études de OUDEE (biopathologie) dans l’UNAWO UI.
Le couple est jeune : il a 34 ans terrestres et sa YIE n’atteint pas les 31. Avec eux vit jusqu’à qu’il atteigne les 68,6 ans terrestres le couple composé des parents de l’époux. Tous deux sont retraités. [Nous disons EDDOIBOOI (SANS TRAVAIL DÉFINI)] et choisirent d’un commun accord avec les époux d’habiter la même maison pour laquelle ils abandonnèrent l’ancienne et acquirent d’accord avec l’UMMO AELEWEE une XAABI (TOUR HABITATION) plus spacieuse.
Le GEE (ÉPOUX) est actuellement inspecteur dans un service d’UULWA AGIADAA (espèce de viseur pareil aux appareils terrestres de rayons X utilisés en radiométallographie). Son travail consiste à vérifier et contrôler les registres réalisés pour constater périodiquement l’état du sol dans les terrains proches des grandes conductions souterraines. Avec cet équipement, on peut apprécier non seulement la structure des strates géologiques mais aussi leur composition rocheuse, et le pourcentage de sable, d’argile et de gravier ou de substances organiques. N’importe quelle altération importante observée et qui peut abîmer les conduites ou conductions est enregistrée, codifiée et envoyée au réseau d’ordinateurs qui règle l’organisation de UMMO. (XANMOO AYUBAA ).
L’épouse est conseillère en NIAAIODOUI KEEAI (ART DE DISPOSER ESTHÉTIQUEMENT LES PLANTES ET LES ROCHES) mais actuellement elle est exemptée de ses obligations jusqu’à ce que son enfant atteigne l’âge normal et quitte ses parents.
La journée de travail est très réduite pour nos frères d’UMMO. En général, elle oscille entre 50 et 75 UIW (entre 2,58 heures et 3,87 heures). Cette période est même plus brève pour les professions qui exigent un travail intellectuel intense ou des labeurs manuels actifs.
Une fois nos obligations sociales de travail accomplies, nous pouvons nous consacrer à notre foyer, à la famille et à notre formation intellectuelle, religieuse et technique ou à notre activité ludique pendant le reste du temps.
Mais pour que vous puissiez comprendre la répartition de ce temps, durant la journée, nous devons vous rappeler que notre JOUR ou « xii » est divisé par nous en 600 uiw (chaque 25 uiw équivaut à un peu plus d’une heure terrestre (77,42 minutes). Ainsi quand nous signalons qu’il est 450, vous devrez interpréter que 23,2 heures se sont passées depuis minuit. Midi sera donc noté, comme il est facile de le deviner, par les 300 uiw.
Bien que la durée du sommeil soit estimée pour chacun de nous par l’assistance physiologique de la XANMOO AYUBAA (RÉSEAU D’ORDINATEURS) vous pouvez évaluer une » mode ou valeur modale » (1) de 175 uiw que nous passons en « decubitus dorsal » ou en plein sommeil.
Note 1 Le concept de VALEUR MODALE ou MODE étudié aussi par vous en mathématiques statistiques ne doit pas être confondu avec la valeur MOYENNE (excepté dans le cas de distribution normale ou parfaite).
———————–
Il est « 196 uiw », toute la XAABI est silencieuse. Cette nuit, les panneaux de protection acoustique construits avec un composé de germanium totalement transparent et qui nous servent de toit, ont été fermés. Pas une seule fenêtre ne communique avec l’extérieur. Seule une oreille expérimentée peut entendre le très faible sifflement que produit l’air convenablement dosé quant à la température, humidité, ionisation et ozonisation, air qui est expulsé par les tuyères de chaque IAXAABI (habitation).
Mais il n’en sera pas de même la nuit suivante, car le toit sera retiré automatiquement et les membres de la famille dormiront à ciel ouvert.
Seule une pluie ou une neige intense ou les grandes tempêtes de WIIWIIAA pendant lesquelles le vent arrache même les petites particules de roches, peuvent rompre cette séquence qui fait dormir alternativement en ambiance artificielle ou face à la nature même.
Nos nuits sont intensément obscures. Nous ne pouvons pas jouir comme les terrestres de ce merveilleux spectacle (que vous oubliez, submergés dans ces monstres de béton, asphalte et acier des grandes métropoles) comme celui du satellite lunaire. Les étoiles que nous observons apparaissent aussi très nettes quand la voûte céleste est dégagée des concentrations nuageuses. Par contre, ce que nous appelons UULibooa, (semblable aux aurores polaires terrestres), sont beaucoup plus fréquentes que sur la planète Terre, même dans les latitudes équatoriales.
Alors, le ciel adopte un aspect impressionnant. De long rubans ou bandes verts et pourpres apparaissent suspendus à différentes altitudes (plus la latitude est élevée, plus les bandes présentent une plus grande verticalité). A l’horizon, le chromatisme vert ou magenta devient jaune pâle ou légèrement orangé.
Ces UULIBOOA sont fréquentes dans les périodes d’activité de notre astre solaire IUMMAA. Qu’il nous est difficile alors de trouver le sommeil, surtout si nous sommes enfants, en contemplant le superbe spectacle au-dessus de nos têtes !
Il est -disons- 196 uiw. A l’horizon commence à s’apercevoir un doux resplendissement entre indigo et rougeâtre dû à l’apparition d’IUMMAA. Hors de la XAABI, on enregistre une température équivalant à 3° Centigrades terrestres.
Nos frères se réveillent bien reposés. Les mécanismes de réveil nous sont inconnus. La formation d’habitudes au moyen d’une efficace éducation de réflexes rendent inutiles ces instruments absurdes qui lèsent chez vous des centres déterminés du neurencéphale.
Bien que l’heure du début de la période de sommeil diffère pour les différents membres de la famille, il y a sur notre planète une norme de discipline rigide qui règle le moment du réveil.
Enfants et adultes échangent des saluts entre eux dans le cas où ils dorment dans le même WOIWOIXAABI (chambre à coucher ) et ils se couvrent immédiatement avec les GIUDUUDAA EEWE (espèce de cape poreuse, étendue elle à la forme d’un cercle avec un orifice central par lequel on introduit la tête et deux autres plus petits pour les bras. (image 1)
Poncho
Aujourd’hui c’est le tour de la YIE (épouse) de préparer les essences aromatiques pour le bain de vapeur ozonisé.
Mais avant, chaque membre de la famille a pour mission d’émettre les signaux codifiés qui vont occulter les WOIOA (lits de mousse) dans lesquels ils ont passé la nuit. La mousse est comprimée automatiquement. Elle est dissoute par des acides et éliminée par les conduits d’évacuation liquide. Nos frères ne peuvent concevoir de dormir plusieurs fois dans le même lit (milieu de culture de nombreux germes). Seul demeure l’anneau toroïde qui le maintenait en l’air et qui est replacé dans son alvéole correspondante dans le carrelage.
Maintenant tous les membres de la petite communauté se réunissent dans une des IAXAABI (chambres). Le père dictera les consignes de la journée après les avoir tous salués en mettant les mains sur la poitrine et, ensuite, rit et commente divers incidents de la nuit précédente. Le GEE sollicitera ensuite l’avis des parents, épouse et enfants sur tout ce qui va constituer le projet de la journée. Puis chacun écoute les raisonnements des uns et des autres et décide finalement ce qu’il doit faire.
Tous courent maintenant préparer et sélectionner les vêtements, instruments ou outils qu’ils doivent utiliser pendant la journée. Pendant ce temps, la mère demeurera dans une des pièces qui va se transformer en EXAABI (vous pouvez traduire par salle de bains). Elle fait sortir du sol un tube serpentant et flexible dont la tête possède un grand disque avec une multitude de tuyères et de boutons. Elle manipule ces derniers en faisant sortir des embouchures d’aspersion une multitude de jets pulvérisés de parfum. Elle en ferme certains et en ouvre d’autres, en flairant avec une grande attention le mélange.
La IAI KEAI (TRADUCTION COMME: ART DE MÉLANGER DES ESSENCES AROMATIQUES) est une pratique très vieille sur UMMO. Les YIE ont toujours été supérieures aux hommes dans cet art difficile. La femme consacre à ce soigneux labeur près de 7 uiw (quelques 20 minutes) en y prêtant autant d’intérêt qu’une épouse terrestre assaisonnant ses plats. Les membres adultes de la famille alternent chaque jour pour ce travail. Il n’est pas difficile de deviner, surtout chez les enfants et même chez les autres, des marques de réjouissances ou de bonne humeur, mal contenues quand c’est le tour de l’épouse de mélanger les essence. Quand une femme se distingue dans ce très difficile art ancestral, l’UMMOAELEWE lui décerne des distinctions et lui demande de devenir conseillère ou professeur dans l’UNAWO UI (Université).
Notre sensibilité olfactive est beaucoup plus développée que la vôtre. La différence de niveau est analogue mais en votre faveur en ce qui concerne la musique, domaine où les terrestres sont de merveilleux maîtres.
Dans les temps anciens, la très riche gamme des IAI (parfums) était extraite de plantes aromatiques, d’arbustes et de quelques espèces animales ressemblant aux mollusques terrestres. Aujourd’hui, la variété s’est énormément enrichie et tous les parfums sont produits, en partie synthétiquement. Nous disons en partie car nous avons des frères qui préfèrent, comme un rite, continuer à sélectionner les végétaux dans les forêts et ensuite les distiller dans leur propre foyer. C’est un hobby comme en ce qui vous concerne la collection de timbres postaux ou sculpter des petites statues d’ivoire.
Quand l’opératrice a trouvé un mélange satisfaisant, elle n’oublie pas d’enregistrer le dosage, convenablement codifié, dans son petit AARBI OMAIU (cet appareil est l’équivalent des magnétophones terrestres mais l’enregistrement ne se fait pas par bande magnétique, il s’agit d’une mémoire intégrée dans un cristal chimiquement pur de TITANE).
Cependant, une femme qui se targue d’être une bonne IAI YIEKEAI (mélangeuse d’essences) essaiera de ne jamais refaire le même mélange sauf s’il était exceptionnellement réussi.
Notre éidétique* olfactive (MÉMOIRE POUR LES ODEURS) est très important et nous pouvons nous souvenir d’un mélange connu, comme vous vous identifiez un tableau en l’attribuant à tel artiste fameux.
Une femme intelligente n’est pas toujours une bonne mélangeuse et vice-versa. Par exemple:YU 1 fille d’AIM 368, le jeune chef de notre mission sur Terre à qui nous sommes soumis, reconnaît être une très mauvaise mélangeuse. En vérité à ce niveau, elle ne serait pas l’épouse idéale mais bien sûr nous, les hommes d’UMMO, tenons compte d’autres facteurs spirituels et intellectuels ainsi que de la beauté de la femme.
Enfin, notre sœur de l’exemple que nous vous exposons, a réalisé un mélange qu’elle juge agréable. Dans une autre pièce, tous attendent, réjouis, le début du bain. A l’appel de l’épouse, les parents, l’époux et l’enfant accourent. Ils se mettent à l’intérieur de l’EXAABI et vite affleurent du sol des panneaux semblables aux paravents japonais.
Alors ils se dévêtent tous. Il est incorrect de voir la nudité des autres même s’ils sont du même sexe. Pendant ce temps, l’atmosphère de la pièce est saturée de vapeur aromatisée, de la vapeur d’eau avec une grande quantité d’O3 (Ozone) et une multitude de composants aromatiques, constituent le premier bain de la journée. Tous rient et parlent sans arrêt à travers les minces paravents et ensuite les douces séquences de l’aromatisation diminueront. N’oubliez pas que les mélanges se succèdent tout au long de la séance, comme une symphonie de nuances olfactives.
UMMOALEWE
Langue: ESPAGNOL
Nombre de copies: 1
A. Fernando Sesma Manzano
MADRID ESPAGNE
Notre bain de vapeur est une véritable partition où la richesse harmonique des notes de musique a été remplacée par des stimulus olfactifs. Mais cet exemple ne doit pas vous faire penser que nos mélanges aromatiques d’un usage quotidien jouissent du côté exquis semblable aux merveilleux concerts symphoniques terrestres.
Seules, dans des occasions exceptionnelles et dans des concentrations populaires comparables à celles que vous organisez sur la planète Terre pour vos compétitions sportives, se déroulent sur UMMO d’authentiques IAIKEAIUUXAA (spectacles de mélanges de parfums ) dans lesquels les nuances aromatiques se succèdent dans une ambiance enivrante (ou grisante), obéissant à des normes esthétiques très rigoureuses.
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Il est maintenant 218 uiw pour la famille de notre exemple, le GEE (époux) ne pourra continuer à profiter des délicieux arômes du bain. Aujourd’hui la fonction culinaire lui est assignée et, si elle n’est pas ingrate, elle nécessite une série de soins et d’attentions.
Il sort vite de l’EXXAABII (Salle de Bain) pendant que sa YIE (épouse), parents et enfant lui souhaitent avec ferveur de la chance dans sa mission et eux continuent à se distraire, plongés dans la brume caressante et parfumée qui sature l’espace de la pièce.
La pièce voisine peut servir de UAMIIXAABII (indistinctement cuisine et salle à manger).
De suaves sifflements inaudibles (à quelques 30.000 cycles/seconde) (Ultrasons) émis artificiellement par la gorge font affleurer du carrelage (et où apparaissent avant uniquement des rectangles de couleur sépia et mauve) des équipements spéciaux qui constituent ce que nous appelons UAMIIXANMOO (CUISINES AUTOMATIQUES PROGRAMMÉES PAR MÉMOIRE DE TITANE).
Sur UMMO, notre planète, il est prescrit, depuis des milliers de XEE (un XEE = une année UMMO) une rotation familiale pour l’assignation de certains travaux domestiques. Même les UUGEE ou UUYIE (enfants) vers les 8 ans (ans terrestres) sont incorporés aux besognes de la maison avec des responsabilités.
Leurs parents, attendris, tolèrent même les déficiences explicables des premiers balbutiements au niveau des mélanges parfumés pour le bain ou au niveau de la sélection des images visuelles de l’UULODAXAABI (pièce semi-sphérique pour la vision d’images lointaines). Les enfants prennent donc progressivement conscience de leur responsabilités et de leur importance au sein du groupe familial. Jamais les parents ne se moquent d’eux ou montrent une impatience mal contenue face aux erreurs ingénues et involontaires de leurs petites mains maladroites. Au contraire la YIE les corrige patiemment et affectueusement, leur suggérant par des phrases et des images visuelles, les troubles que peuvent causer une minime distraction ou une erreur imprudente.
Mais aujourd’hui, c’est le tour du père de s’occuper du travail culinaire.
Vous devez sans doute vous poser de nombreuses questions au sujet du déroulement de ces travaux. Par exemple.
Comment la maîtresse de maison fait-elle ses achats ? Où les entrepose t’elle ? Comment les transporte t’elle ? Mais ces questions élémentaires présupposent en réalité des schémas mentaux préalablement stéréotypés avec les coutumes de la planète TERRE : En effet : la YIE (épouse) d’UMMO n’effectue pas ses achats dans un magasin de ravitaillement; le verbe acheter ne peut être utilisé dans notre cas et il n’est pas nécessaire de transporter nous-mêmes les aliments et autres substances d’usage courant. Il serait très difficile pour un hypothétique visiteur terrestre sur notre monde, de localiser une de nos sœur traînant par exemple un petit chariot rempli de légumes et de paquets enveloppés de papiers graisseux.
Ce n’est pas que nos YIE refusent par commodité d’adopter le rôle des grandes dames terrestres et de réaliser ce travail ingrat. Au contraire la femme, comme le GEE, réalise quotidiennement des exercices sportifs beaucoup plus importants durant les heures ludiques. En réalité notre organisation sociale diffère de la vôtre, par ses coutumes et ses auxiliaires mécanisés.
Vous, Sesma Manzano, pouvez voir dans l’image photocopiée que nous avons envoyé antérieurement (figure1/ image1) une série de tubes cylindriques orientés verticalement et enterrés dans le terrain qui entoure l’ouverture de l’ANAUANAA (COLONNE AXIALE DE LA XAABII ou MAISON). Ainsi ces tubes de même calibre (CE CALIBRE EST UNIVERSEL SUR UMMO COMME PEUT L’ÊTRE POUR VOUS LA LARGEUR DES VOIES DE CHEMIN DE FER TERRESTRE) appelés NUUYAA, constituent un véritable magasin dont la fonction première est de conserver les produits de consommation courante pour la famille (ALIMENTS, PRODUITS CHIMIQUES, GAZ LIQUÉFIÉS, PARFUMS etc…).
Nous allons expliquer ceci à l’aide d’un exemple:
Nos aliments : naturels, semi-élaborés ou artificiels, sont élaborés dans des usines industrielles et des galeries souterraines de culture à de nombreux KOAE de distance (1 KOAE = 8,7Km) et conservés dans des cylindres de même diamètre. Ainsi les juteux INOWII – voir image 8 – (fruit à la pulpe jaunâtre et à l’enveloppe brune très rugueuse) sont préalablement traités par un bombardement de neutrons pour éliminer tous les germes saprophytes qui peuvent provoquer leur putréfaction ultérieure. Un fruit ainsi préparé conserve tout son arôme, sa saveur et d’autres qualités, même s’il n’est pas conservé dans un milieu réfrigéré et peut résister plusieurs mois sans s’altérer.
Image 8
Mais pour éviter sa déshydratation, (c’est-à-dire qu’il ne sèche) les INOWII sont emballés avec une substance gélatineuse (un composé coloré de silicium), l’ensemble ayant une forme cylindrique. Les fruits demeurent ainsi enveloppés dans cette substance semi-transparente visqueuse et rosâtre. La couche extérieure durcit rapidement au contact de l’Azote, ce qui fait que l’ensemble vous rappellerait l’aspect d’un pot de fruit au sirop. Seulement, en ce qui vous concerne, il n’y a pas de récipient(s) en verre; d’autre part la gélatine n’est pas comestible, il s’agit uniquement d’un produit protecteur qui ne doit pas être exposé à l’air.
Les graisses, les viandes, les végétaux, le glucose (sucre) sont aussi préparés sous forme de cylindres de même dimension (standardisés sur tout UMMO), d’une manière semblable à celle que vous utilisez pour la conservation dans des récipients métalliques (Boites de conserves).
De la même manière, d’autres produits non alimentaires mais de consommation topique dans les foyers de notre planète tels qu’acides, propane liquide, polymères de silicone, oxyde de zyrconium, composés du germanium sont comprimés en forme de cylindre (s’ils sont pulvérulents ou solides) ou versés dans des récipients cylindriques dans le cas où ils sont liquides.
Sur UMMO existent des centres distributeurs reliés par un vaste réseau de tubes NUUDAIAA ou conductions souterraines à tous les XAABII (MAISONS) de la région.
Ces produits (alimentaires ou non) sont conduits sous forme de cylindres NUUGII le long des canalisations citées, de forme semblables à celle des tubes pneumatiques employés sur Terre. La différence consiste en ce que ces NUUDAIAA n’utilisent pas d’air sous pression comme vos systèmes, mais de l’ HELIUM (un gaz inerte) pour la simple raison que l’oxygène de l’air attaque chimiquement la substance gélatineuse qui enveloppe une grande partie des NUUGII (RÉCIPIENTS DE VOYAGE ).
Les habitants de la maison peuvent compter sur une bonne provision de produit de consommation qui se renouvelle automatiquement, emmagasinés dans les tubes NUUYAA et qui arrivent périodiquement par les conduits pneumatiques à partir des centres d’approvisionnement. Un peu comme un stock de boite de conserves.
Que se passe t’il si à un moment donné les habitants décident de consommer les doux fruits de l’INOWII ? Le procédé est assez complexe, mais dans la pratique il se réalise en moins d’un dixième de d’UIW.
Un sélecteur à couronne (non dessiné dans l’image 1 que nous vous envoyons) sélectionne automatiquement en tournant, le cylindre NUUGII qui conserve le fruit. Celui-ci est conduit à l’intérieur de l’ANAUANAA (axe de la maison) à la pièce où le fruit a été demandé. Mais avant de sortir à l’extérieur, il doit traverser un équipement auxiliaire composé d’une enceinte où le NUUGII (cylindre conservateur de gélatine) est soumis à l’action de l’oxygène liquide. Celui ci attaque fortement la substance gélatineuse protectrice et la dissout. Les résidus (d’oxyde de silicium et de polychlorures) sont éliminés. Le processus doit se réaliser rapidement pour empêcher que la basse température de l’oxygène liquide (185 degrés centigrades terrestres en dessous de zéro) ne détruise les tissus cellulaires de fruit.
L’INOWII est maintenant libéré de sa couche protectrice et prêt à être ingéré (si notre frère ne désire pas mâcher le fruit qui est sorti très froid du processus), il traverse un cylindre d’induction qui augmente légèrement sa température en un instant. L’INOWII juteux est de nouveau entre nos mains, frais et acide, aussi savoureux et aromatique que lorsqu’il a été cueilli de son arbre planté dans les grandes galeries souterraines où la culture artificielle permet de nombreuses récoltes annuelles.
Laissons notre frère en train de manipuler son UAMMIXANMOO. Cet appareil dont la description technique très détaillée, – nous ne voyons pas d’inconvénient à vous l’envoyer dans un prochain rapport (si vous êtes intéressés), – possède une mémoire de TITANE capable de décoder toute une séquence complexe de programmes engrangés avec les instructions pour préparer automatiquement ce que vous appelez Plats ou Ragoûts .
En principe, cet appareil pourrait réaliser toutes les opérations sans l’aide de l’opérateur. La mémoire de TITANE dicte toute une série de « routines et sous-routines » (dans le langage terrestre des ordinateurs) aux servomécanismes de l’appareil. Nous allons illustrer cela par un exemple :
– solliciter du YAA (MAGASIN TUBULAIRE DÉJÀ DÉCRIT) un NUUGII de VIANDE OOGIXUAA (reptile de viande blanche très prisé).
– éliminer la gélatine protectrice à l’aide d’oxygène liquide.
– soumettre la viande à un traitement d’élimination des toxines.
– macérer la viande ou la couper en fragments (en fonction du programme).
– assaisonner l’ensemble avec du WUUNUA (condiment tonique).
– ajouter de l’IDIA OIXII (lait graisseux OIXIIXI de mammifère volant).
UMMOALEWE
Langue: ESPAGNOL
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A. Fernando Sesma Manzano
MADRID ESPAGNE
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Enfin l’ensemble passe par une enceinte (que vous appelleriez FOUR) dans laquelle, même si la température est la même que celle du milieu ambiant, la viande se réchauffe en provoquant l’agitation moléculaire de ses tissus due à des variations du champ gravitationnel à très haute fréquence (60 millions de mégacycles par seconde : 6.1013 Mc/sec). (note 1) .
(Note 1) Observez que le réchauffement des aliments n’est pas réalisé par induction électromagnétique de haute fréquence. Nous avons abandonné un tel système depuis très longtemps car les températures atteintes au sein de l’aliment étaient très difficiles à contrôler en étant fonction de la composition chimique des tissus cellulaires.
Cependant, nous continuons à utiliser dans les repas réalisés dans la nature, le très ancien procédé qui consiste à griller les aliments par simple combustion, en milieu « oxygène » (flamme normale dans l’air).
Les hautes fréquences de type gravitationnel sont beaucoup moins énergétiques que celles de type électromagnétiques, malgré qu’elles soient renforcées par un effet « d’auto-résonnance » gravitationnelle. C’est seulement pour cette raison qu’elles sont utilisées pour ces petites applications domestiques et pour les communications.
Le GEE (mari) a déjà terminé sa préparation. Pendant ce temps, ses parents et le plus jeune fils se sont de nouveau habillés avec d’autres voyantes EEWEE (TUNIQUES CIRCULAIRES) de riches couleurs (ceux qu’ils ont eux-mêmes utilisé antérieurement ont été jetés dans le l’IMAAUIII (espèce de bouche d’égout) et décomposés par l’action des acides et désintégrés ensuite comme ordures, pour être enfin converties en Hydrogène libre. Nos vêtements ne sont presque jamais utilisés plusieurs fois et lavés. Ils sont fabriqués quelques UIW avant leur utilisation dans la XAABII même (MAISON). Nous ne « connaissons » pas les tissus.
Le premier repas de la journée va commencer. Il est approximativement 225 UIW. L’aube vient à peine de se terminer et notre IUMMA se dresse rayonnante entre les grandes brumes indigos et oranges de la matinée.
Vous pourriez penser que cette étape correspond au petit déjeuner terrestre et en réalité c’est le cas avec cependant la différence que celle-ci est la plus longue et la plus copieuse de la journée. C’est-à-dire celle qui a le plus riche contenu calorique dans cet intervalle de temps de 600 uiw.
Elle est beaucoup plus rationnelle que la coutume sur la planète Terre. Il ne faut pas oublier que l’homme et la femme doivent faire face à la dépense énergétique de leurs travaux matinaux et par conséquent doivent réguler parfaitement leur métabolisme basal, en compensant ces pertes par une importante alimentation tôt le matin.
Ajourd’hui ils prendrons ce repas à l’intérieur du XAABIUANAA (habitation) mais la veille il s’est passé entre les rochers qui bordent le ruisseau du proche bosquet de hauts IGUU (végétal avec une certaine ressemblance aux anciennes fougères arborescentes de la Planète Terre)
Tous sont réunis dans la même UAMIIXAABII (pièce cuisine) et chacun ouvre son propre XAXOOU (siège) dans le carrelage, tout autour d’une zone rectangulaire du sol ( IMAGEN 10).
Images 10 – 11
Le UGEE (ENFANT) fait aussi émerger du carrelage un tube métallique flexible (IMAGEN 11) d’où à son extrémité apparaît un filtre d’aspersion.
Un nuage jaunâtre de fine gouttelettes est pulvérisé sur le sol. Vous pourriez penser qu’on est en train de peindre le parquet. En réalité, il s’agit de créer une fine pellicule qui protège le carrelage et qui sert de nappe.
– image 12
Du sol s’élèvent aussi des équipements que nous appelons NAAXUNII dont nous expliquerons la fonction plus loin.
Le GEE et la YIE (époux et épouse) (note 2) ) mettent sur le sol les IOAOOI (RÉCIPIENTS POUR ALIMENTS LIQUIDES). Il en existede nombreux modèles, l’un d’eux étant reproduit dans l’image N°12
(2) Dans notre langue, le mode grammatical appelé par vous » ARTICULÉ » n’existe pas. Les vocables féminins et masculins sont toujours distingués par leur forme et expression graphique. Pardonnez-nous si parfois, par inadvertance, nous écrivons LE YIE au lieu de dire LA YIE (FEMME).
Chaque IOAOOI est composée de 3 ou 4 récipients ou enceintes sphériques qui conservent jusqu’à leur ingestion les bouillons cuisinés maintenus à une température constante. Ces bouillons que nous appelons UAMIIGODAA sont aspirés par de long tubes flexibles.
La UOUAMII (REPAS NUMERO ZÉRO) va commencer.
Celui-ci commence par quelques UIW de silence. Tous ferment les yeux et essaient d’accommoder leurs esprits avec une constellation de souvenirs agréables. Divers souvenirs, traits d’humeur, incidents de fêtes.
Ce préambule est nécessaire pour imprégner le déroulement du repas d’une ambiance de paix et de joie saine.
Une telle ambiance mentale est indispensable pour l’organisme humain; il y a des raisons psychosomatiques pour agir de cette façon. En effet : les altérations émotionnelles négatives comme les états d’anxiété, la terreur ou la peur, les tristesses, les préoccupations, inhibent la sécrétion normale des sucs digestifs provoquant de sérieux troubles de l’appareil correspondant. Il est curieux d’observer comment vous ignorez pratiquement ce principe malgré les progrès de la médecine psychosomatique terrestre qui auraient dû sérieusement vous orienter vers cet aspect.
Il est donc nécessaire que pendant les instants qui précèdent le repas et la fin du processus digestif, la cellule familiale se sente unie spirituellement dans la joie mutuelle. Les enfants, dès leur plus jeune âge, acquièrent ce type d’habitudes ou réflexes amenant un contrôle mental très actif. En ce moment, sont bloqués dans le champ de la conscience, toutes les préoccupations du travail, l’activité pensante référente aux études en cours est réduite au minimum, l’individu subit une régression momentanée à la phase infantile, dépourvue de problèmes transcendants et exempte d’une sensibilité spirituelle aiguë.
Les parents et enfants parlent à peine durant le repas, sans gesticuler. Leurs mouvements ou dynamisme musculaire sont au repos. Ils se regardent entre eux, se sourient. Les gestes comiques sont énormément prodigués et accueillis avec complaisance et satisfaction exempte de rire de stentor.
Vous avez donc compris qu’un tel comportement ne peut être interprété comme un rite ou le fruit de coutumes ancestrales, il est simplement basé sur une nécessité psychophysiologique.
Tous portent à leur bouche les extrémités (vous diriez filtres) de ces long tubes qui partent des IOAOOI. Ceci vous rappellera les NARGUILÉS des fumeurs orientaux de la Terre. L’aspiration des UAMIIGOODAA (aliments liquides) est donc commencée.
La variété de ces derniers est très grande. Il s’agit de mélanges végétaux, d’extraits d’animaux, d’essences aromatiques synthétiques etc… Compositions qui vous font sans doute penser à des soupes exotiques ou des sauces de lointains pays terrestres.
Ceux-ci sont riches en lipides ou graisses, avec un pourcentage élevé d’hydrates de carbone, aromatisés et toniques; ils contiennent une très large gamme calibrée (pour chaque individu) de facteurs nécessaires pour le métabolisme humain (glucose, galactose, acides gras, chlorures, calcium, potassium, thiamine, riboflavine, nicotinamide, acide ascorbique …). Tous (excepté quelques composés du phosphore et du manganèse) connus de vous les Terrestres.
Quelques-unes de ces UAMIIGOODAA sont légèrement douceâtres, d’autres d’un goût acide aromatisé et légèrement salin pour les dernières. Nous pouvons les comparer avec quelques aliments terrestres et nous rappeler leur saveurs analogues, comme par exemples certains coquillages et certaines algues comestibles très appréciées au Japon.
Nous n’utilisons pas l’instrument CUILLÈRE des terrestres qui attira énormément notre attention lors de notre arrivée en France. La succion au moyen du tube flexible, rappelle ces pailles que vous utilisez pour l’ingestion de boissons rafraîchissantes, avec la différence que nos tubes ont un système de chauffage thermorégulé et que le liquide coule impulsé par une faible pression contrôlée (IMAGE 12).
Le moment des UAMIIGOOINUU (ALIMENTS SOLIDES) est arrivé, mais avant tous auront utilisé le NAAXUNII. Ceci nécessite une brève explication:
Sur notre planète, les aliments sont portés à la bouche quand ils sont solides, au moyen des doigts. Ceux-ci ont maintenant acquis une grande agilité pour les prendre. Car on considère antihygiénique et désagréable que l’épiderme soit taché ou attaqué par les composants graisseux de ceux-ci, les colorants, etc…
Dans l’antiquité, on utilisait de fins gants transparents pour cette fonction. Mais depuis longtemps il y a, aux heures des repas, dans la Xaabiuanaa (MAISON) ce dispositif ou équipement où nos frères introduisent les mains (IMAGE 13).
Images 13 – 14
Celles-ci sont aspergées par une fine pulvérisation (hydrosols dosés) qui vont se solidifier au contact de l’épiderme et l’envelopper d’une fine couche protectrice qui rejette (par des effets de tension superficielle) toutes les substances graisseuses.
Chaque fois que nous changeons de plats (selon votre expression) nous pouvons dans le même NAAXUNII dissoudre ce fin gant artificiel semblable au collodion utilisé par les chimistes terrestres, et le remplacer par un autre, ce qui équivaut à nous laver les mains sans utiliser de l’eau ou des détergents. N’en déduisez pas que le lavage n’existe pas, mais nous en parlerons plus loin.
Nous n’utilisons pas non plus de couteaux. Notre EIWOO OINNA réalise les fonctions techniques de « coupeur ». Sa forme extérieure rappelle (fig. 9 / image 14) un de ces crayons multiples employés par les terrestres. Il émet par son extrémité un fin faisceau très énergétique d’ondes (à fréquence constante de 7,9 .1014 cycles par seconde) qui sectionne proprement les aliments jusqu’à une profondeur qui peut être réglée par une mise au point du faisceau conique de haute fréquence (cette fréquence est comprise dans la gamme que vous dénommez ULTRAVIOLETTE).
Cette seconde étape du repas commence par des rondelles de d’AIMMOA qui se mangent indépendamment des autres aliments.
L’AIMMOA est un fruit de grande taille avec une saveur suave, et une pulpe de structure alvéolaire et une composition féculente très riche en hydrates de carbone, sans graisses et qui a constitué sur notre Planète et ce depuis des époques très anciennes, l’aliment de base de l’UMMOAOO (homme d’UMMO) comme pour vous le pain ou le fruit de l’ARTHOCARPUS à Ceylan ou en Polynésie.
En réalité, la valeur énergétique de l’AIMMOA est moins élevée que celle du pain terrestre (environ 2,30 calories par gramme), mais en échange son grand contenu en sels et facteurs vitaminiques en fait un excellent aliment naturel.
Une fois l’endocarpe (voir image 5) ou cœur de l’AIMMOA éliminé, celui-ci est coupé en larges rondelles annulaires et se mange seul ou imprégné d’OIBIIA (extrait graisseux d’un animal marin) ou bien pulvérisé de maltose pure ou gazéifiée, avec certaines essences synthétiques.
Les convives introduisent de nouveau leur mains dans le NAAXUNII pour dissoudre la couche protectrice et la renouveler.
L’aliment suivant peut être la savoureuse viande de l’OOGIXUAA. Viande de couleur ambre (blanche jaunâtre). L’OOGIXUA correspond à une espèce de vertébré qui n’existe pas non plus sur terre et qui présente les caractéristiques propres des REPTILES terrestres. Son cou et sa queue sont longs. Les quatre extrémités présentent une morphologie particulière que nous n’avons trouvé sur aucun animal de votre planète (des sauriens actuels ou antédiluviens). Nos plus grands « exemplaires » peuvent atteindre presque un ENMOO (un ENMMOO équivaut à 1,87 mètres).
Sa viande est la plus appréciée sur UMMO, et nous sommes sûr que les plus grands palais terrestres, s’ils étaient dépourvus de préjugés face à l’origine d’un tel aliment, la trouveraient très savoureuse.
Sur notre Planète, nous n’utilisons pas, pour le traitement des aliments carnés ou végétaux que vous appelez frits, aucun type de graisse animale ou végétale. La cuisson se réalise au moyen de divers types classiques de lait animal, deux d’entre eux étant très populaires avec un riche contenu d’acides gras.
L’un d’eux est le IDIIA OIXIIXI qui est extrait du mammifère OIXXIIXI dont l’espèce n’a rien à voir avec les espèces connues par vous et cataloguées par les zoologistes de la Terre.
Cet herbivore vertébré de grande taille est un mammifère volant (sur UMMO nous ne connaissons pas de véritables oiseaux, mais il existe une grande variété de mammifères volants). Ses ailes membraneuses n’ont rien de commun au niveau morphologique avec les Chéïroptères de la Terre (chauve-souris).
Une grande quantité d’OIXIIXI vivent en captivité pour leur utilisation. Leur chasse s’effectue en lancant sur eux des aiguilles téléguidées dont la pointe contient un anesthésique qui les endort et les obligent à se poser sur le sol. La saveur de l’aliment extrait des mamelles est aigre douce et ses composants gras se saponifient rapidement en donnant un liquide d’une saveur rance qui, s’il nous plait beaucoup, nous doutons savoureux pour certains palais terrestres
Un autre lait est utilisé par nous pour assaisonner, c’est l’IDIIA GIIDII , autre mammifère aquatique dont la forme rappelle de loin le dauphin et qui vit dans les profondeurs des mers polaires de UMMO.
Comme l’emploi de l’ IDIIA OIXIIXI date des premiers temps de notre Humanité, les propriétés diététiques du second lait cité furent remarquées très récemment.
Il est intéressant de savoir à titre de curiosité que ces mammifères dont la vie se passe à des profondeurs de 500 ENMOO ou plus (des fosses marines) ne sont pas retenus en captivité. Après les avoir capturé on les traite chirurgicalement en introduisant dans leur cortex cérébral une série de sondes ou électrodes et en leur implantant un appareil AAXOO-UAXOO (ÉMETTEUR-RÉCEPTEUR).
Le mammifère ne souffre absolument pas de cette intervention ni d’une action postérieure sur son encéphale.
Les cerveaux sont contrôlés (même s’ils se trouvent à grande distance) au moyen de fréquences ultrasoniques qui se propagent dans l’eau et sont captées par la suite par les récepteurs au moyen d’impulsions codées de contrôle jusqu’à atteindre le neurencéphale.
L’émetteur envoie à la base des données sur l’évolution du métabolisme de l’animal qui sont automatiquement enregistrées. Quand l’animal est en chaleur et en période postérieure à l’enfantement, la base de contrôle émet des ordres codés qui inhibent les mouvements volontaires les obligeant à se diriger vers la base ou des équipements automatisés situé au fond de la base sous-marine leur extraient le lait et l’envoient par des canalisations jusqu’à terre.
Bien que notre industrie chimique élabore par synthèse tous les composants de ces classes de lait, l’authentique est plus apprécié, d’autre part il est extrait en abondance sans nécessité de recourir à une fabrication industrielle.
Dans d’autres cas, les viandes sont élaborées pour utiliser les mêmes composants gras (ce que vous appelez roti, mais toujours assaisonné de produits toniques ni excitants ni nocifs quoique beaucoup plus aromatiques que n’importe quelles espèces terrestres).
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
La famille, une fois l’intervalle d’ingestion ou petit déjeuner (selon vous) terminé, entame la période de repos durant laquelle s’établit un sobre dialogue entre les composants adultes du groupe. Les incidents du travail sont commentés, des thèmes en relation avec les progrès idéologiques ou scientifiques sont discutés, à un niveau qui correspond toujours naturellement avec la formation intellectuelle et l’intelligence des interlocuteurs.
Sous cet aspect nous devons vous avertir que pour un même UMMOGAEOAO DII (évaluation psychotechnique professionnelle), c’est-à-dire pour des aptitudes psychophysiologiques semblables d’un groupe d’habitants d’UMMO, tous reçoivent la même formation et pendant la même durée de temps, dans la colonie d’enseignement de l’UNAWO WI. Ce processus éducatif que nous résumerons dans un de nos prochains rapports ne peut être égal pour tous les GEE (HOMMES) et IIE (FEMMES) de la planète et, bien sûr, est affecté de NOAUIW (PÉRIODE SCOLAIRE) distincte. La durée minimale est de 9,46 XEE (quelques deux ans terrestres) à 28 XEE (un peu moins de 6 ans terrestres).
Le degré de formation intellectuelle pour nos frères ne présente pas autant de ces énormes différences que nous avons observé sur la planète Terre, où face à une minorité très intelligente et capable, nous pouvons constater de grandes masses à indice de culture très bas, alors que beaucoup de ses composants jouissent d’une capacité privilégiée qui si elle avait été cultivée apporterait à la Terre un grand apport de scientifiques et d’intellectuels dans le champ de la pensée.
Il est maintenant 246 UIW, le bref intervalle de repos, d’union panfamiliale, est terminé. Vous l’appelleriez conversation après le repas et l’époux doit partir à son lieu de travail qui peut être situé à de nombreux KOAE de distance. Il se déshabille rapidement dans une pièce voisine, il pulvérise ses dents, il essuie sa bouche avec des solutions aseptiques et réalise une série de rapides opérations identiques pour protéger les yeux, les oreilles, les fosses nasales, les aisselles, l’aine et les organes génitaux, l’anus et les chevilles. Après cela, il extrait un nouveau vêtement nouvellement confectionné qui s’adapte à la nature de son travail. Il s’agit dans le cas particulier que nous commentons, de l’UULWA AGIADAA EEWE (1), espèce de salopette très ajustée, dont les couleurs dans ce cas, cercles jaunes sur un fond pourpre, constituent un code complexe de couleurs et formes géométriques chromatiques qui représentent les différentes spécialités professionnelles de notre monde.
(1) La dénomination du vêtement est associée celui de la profession.
La IIE (ÉPOUSE) restera avec les parents de son GEE dans la XAABIUANAA (MAISON), pendant que celui-ci, après avoir pris congé des siens, s’introduit à l’intérieur du GOONIIOADOO UEWAA (VÉHICULE VOLANT).
Nous désirons vous résumer les procédés de traction courants sur UMMO.
Sauf dans le cas où la traction en contact avec le sol (comme peuvent être certaines applications dans le mouvement des Terres, constructions hydraulique, motoculteurs souterrains, etc…) est indispensable, les déplacements des personnes d’un point à l’autre d’un RÉSEAU de Communications s’effectuent à l’aide de deux procédés très répandus sur notre Planète.
Le premier est un système catalogué par nous comme de type YEDDO AYUU (ABSENCE DE RÉSEAU OU ORGANISATION LIÉE). Il est matérialisé par des équipements qui s’ajustent au corps humain, appelés OEMMIIUEWA et qui permettent à une personne de se déplacer d’un point à l’autre dans l’air et à faible hauteur (hauteur maximum 30 ENMOO, quelques 56 mètres). Nous l’utilisons quand nous devons parcourir des distances relativement courtes mais presque jamais pour des trajets brefs auquel cas nous utilisons comme vous, les pieds.
Les déplacements dans ces conditions (nous nous référons aux équipements personnels OEMIIUEWA ) ne sont pas contrôlés par le XANMOO AYUBAA (réseau de computeurs). Au contraire, l’individu qui l’utilise doit contrôler sa direction continuellement comme vous avez l’habitude de le faire avec vos automobiles de tourisme, avec l’unique différence que nous n’utilisons pas des commandes manuelles (tels que volant, pédales, boutons, etc,) mais de simples ordres acoustiques codifiés.
Mais le véhicule par antonomase* le plus utilisé sur notre planète est sans doute le GOONIIOADOO UEWA (image 16). Sa forme peut vous rappeler certains appareils futuristes dessinés pour voyager ou celle de quelques voitures modernes au profil aérodynamique.
-Image 16 –
Le procédé de traction utilisé est basé sur un principe très ancien pour nous, mais qui n’a pas été modifié essentiellement pour la bonne raison que son système, qui n’a rien à voir avec celui que nous employons pour nos voyages sidéraux dans les OAWOOLEA UEWA (cosmonefs), est très efficace pour les déplacements sur de longues distances au sein de l’atmosphère.
Le système de traction consiste en un BUUTZ (moteur) de GOONNIAOADOO (état spécial de la matière qui n’est pas solide, liquide ou gaz), et dont le schéma et description élémentaire vous sera joint indépendamment (voir en bas de page), l’unique combustible étant le Tétrafluorure de Xénon.
Ces véhicules se déplacent à très basse altitude, évitant toujours les accidents géographiques et se maintenant toujours à une même hauteur en respectant les variations naturelles et artificielles (à 0,3 ENMOO, soit 0,56 m au dessus du sol) de manière que même en cas d’accident – danger dont nous avons réduit la probabilité à 0,00007 – les voyageurs ne souffrent pas de lésions appréciables.
Sa télédirection se réalise, contrôlée par le XANMOO AYUBAA (réseau mondial d’ordinateurs) simultanément avec l’équipement de détection du véhicule qui contrôle à chaque instant non seulement les paramètres météorologiques et la présence d’obstacles statiques, mais aussi la direction probable d’autres véhicules qui voyagent dans les immédiats. Il évite aussi la présence des XAABII (Maisons) « enterrées » qui peuvent émerger rapidement en provoquant des collisions lamentables.
Ont disparu de notre orographie, les vieilles voies ou pistes sur lesquelles circulaient dans les temps maintenant historiques, ces anciens NOIA UEWA (image 18)
(S41-K) – image 18
qui se déplaçaient au moyen de pieds articulés (l’ANTHROPOMORPHISME de la technique empêcha l’utilisation habituelle de la roue comme moyen de translation) sur des chaussées ou pistes qui diffèrent de vos routes dans la mesure où celles-ci étaient construites en stabilisant le terrain par des additions de composition nettement argileuse, de silicates et d’alumines synthétiques pour que la couche de roulement au lieu d’être constituée comme les autoroutes de la Planète Terre à l’aide de conglomérat d’agrégats et de substances bitumées comme l’asphalte, soit constituée avec une couche de bioxyde de silicium fondu à la température de quelques 1700° (degrés centigrades terrestres) jusqu’à obtenir une épaisse couche homogène cristallisée et rugueuse résistant à l’abrasion et aux charges statiques et dynamiques des véhicules qui y circulent.
Mais ces pistes enlaidissaient d’une manière extraordinaire la beauté du paysage. Notre civilisation paraissait acculée dans ces orientations industrielles et urbanistiques à corrompre l’esthétique de la nature et nos ancêtres adoptèrent la décision d’éliminer les réseaux de communications qui se trouvaient à l’extérieur, encourageant en échange les procédés de transport souterrain. Surgirent ainsi de nouvelles techniques de transport de matières premières ou de substances en brut. Par exemple les minéraux étaient pulvérisés dans les lieux d’extraction et mélangés avec des mousses de produits chimiques inertes et transportés au moyen de tuyères. Certains agents de liaison semblables aux ciments terrestres et que nous utilisons dans nos constructions, mélangés avec des produits plastiques, sont canalisés au moyen d’un courant d’air très fort qui les transporte sous forme d’aérosol (POUSSIÈRE EN SUSPENSION CHARGÉE ÉLÉCTROSTATIQUEMENT). Notre sous-sol est donc saturé de très vastes réseaux de tuyères et canalisations dont certaines doivent porter des courants de plasma dont les températures au sein des tourbillons centraux atteignent jusqu’à 2 millions de degrés centigrades (vous pouvez supposer qu’il n’existe pas de parois de tuyère capables de canaliser sans évaporation un gaz ionisé si chaud, mais nous avons recours à des enveloppes gazeuses dont le gradient thermique va en diminuant en orientation radiale pour se réduire à proximité des parois à 1200 degrés terrestres.
La structure de nos paysages fut sauvée. Nous nous consacrons à améliorer davantage encore l’orographie des champs. De nouvelles forêts furent créées, des accidents géographiques abrupts furent élevés pour donner une apparence plus sauvage à certains terrains arides. Des canalisations en forme de rivières furent créées, non pas à des fins énergétiques, mais pour transformer esthétiquement des zones désertiques déterminées. Dans les laboratoires « phytotechniques », de nouvelles espèces de plantes avec des fleurs magnifiques furent créées et sur tout UMMO on rationalisa le plan de protection des espèces animales sauvages en réalisant une surveillance sévère envers celles dont la disparition fut estimée imminente, tout cela synchronisé à cette époque avec le grandiose Plan Biologique tendant à faire disparaître d’UMMO toutes les variétés de virus pathogènes.
L’homme put enfin se débarrasser d’une des tares les plus graves qui était associée au progrès culturel : la distance avec la nature. L’identification spirituelle avec le WAAM (COSMOS) engendrée par le divin WOA (CRÉATEUR ou DIEU). Nos frères de ces époques et nous-mêmes à notre époque, pûmes ainsi compléter notre formation biologique, alternant nos processus vitaux entre nos maisons (XAABII) et la vieille nature représentée par les grandes roches caressées par les branches des NAANAA, des IGUU ou des OAXAUXAA (arbres typiques d’UMMO) et par les vieux volcans qui lancent d’immenses colonnes incandescentes de penthane-oxygène en donnant aux nuits de UMMO un aspect impressionnant.
Et ce contact intime avec la nature, stimule encore d’avantage notre rapprochement religieux envers WOA et nous aide à prier et à évoluer dans notre pensée philosophique, plus pragmatique que la vôtre, mais ce n’est pas pour cela qu’elle est moins profonde.
DESCRIPTION D’UN BUUTZ DE GOONNIAOADOO
Le principe de ce BUUTZ est bien connu sur notre planète depuis qu’une équipe de techniciens sous la direction de YUIXAA 37 fils de YUIXAA 36 le développa au XEE (année d’Ummo) 5476 du second temps. Les modifications apportées ultérieurement ne concernent que le contrôle dont le processus est réalisé aujourd’hui par un XANMOO (ordinateur nucléaire à mémoire de titane).
Bien que le schéma dessiné soit très sommaire et n’inclue pas les équipements auxiliaires d’autocontrôle, il illustrera convenablement son fonctionnement.
Le BUUTZ travaille sur la base d’un générateur thermique de GOONNIAOADOO qui provoque l’expansion brusque d’air préalablement liquéfié. L’oxygène et l’azote déjà gazéifiés sortent à travers une tuyère et sont projetés en direction du sol, ce qui provoque par réaction l’équilibre aérodynamique du véhicule.
Analysons le processus:
Sur le schéma vous pouvez remarquer une chambre toroïdale. Cet équipement (transforme le gaz XENON en GOONNIAOADOO, un état du gaz dans lequel, par une très haute température, les atomes restent sous forme de NIIOADOO (ions) . La température au centre du courant toroïdal arrive à atteindre 1600°C (terrestres) dans un environnement gazeux dont le filament circulaire ou annulaire a un diamètre d’à peine 3 microns (terrestres).
Le gaz XENON nécessaire au fonctionnement est stocké sous forme de cristaux de tétrafluorure de Xénon (F4Xe) dans la chambre . Ne soyez pas étonné de l’indication de cette composition chimique puisqu’il s’agit d’un gaz noble (comme vous l’appelez vous même) pour croire qu’il n’est pas capable de se combiner avec d’autres éléments chimiques. Néanmoins il ne vous sera pas difficile d’obtenir ces cristaux en chauffant, à 400°C seulement, un mélange de Fluor et de Xénon dans une chambre en nickel. On obtient quelques petits cristaux solubles dans l’eau, lesquels se subliment facilement. Nous utilisons beaucoup de composants d’Hélium, Krypton et Radon.
Le tétrafluorure de xénon est décomposé dans l’équipement c’est à dire: le Xénon passe au réacteur toroïdal déjà cité, pendant que le Fluor est canalisé vers le régénérateur , en s’emmagasinant au préalable à forte pression dans la chambre
Quand le moteur est arrêté, le gaz Xénon est récupéré par le conduit pour être synthétisé de nouveau en tétrafluorure en
L’énergie créée par la chambre de plasma , se canalise jusqu’à l’expanseur et c’est à ce point, où l’air préalablement liquéfié par l’équipement et stocké dans la chambre , s’expanse violemment en étant projeté vers le bas à travers la tuyère .
L’équipement est un pré-chauffeur du Xénon, et le est un activateur (DÉCLENCHEUR) NUCLÉAIRE POUR LA FORMATION DU GOONNIAOADOO qui travaille sur une base d’autorésonance.
Il y a une raison technique pour laquelle nous utilisons un composé de Xénon au lieu du gaz pur. C’est que quand la décomposition est à haute température une fraction de ses atomes s’ionisent, phénomène qui ne se présente pas dans l’état libre de ce type de gaz inerte
ESPAGNOL
N° de copies ; 1
Fernando Sesma Manzano
Espagne.
NOTRE VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO. NOS DIVERTISSEMENTS.
En dehors des UIW que l’OMGEEYIE (COUPLE) réserve au travail officiel c’est-à-dire son tribut à la société, et des tâches concernant la XAABII (HABITATION) ou l’éducation et la formation personnelle, et de celles des UUGEEYIE (ENFANTS), le sommeil et les obligations sociales avec les frères connus, le reste du temps est quasi exclusivement dédié à l’OXUO KEAIA (JEU). En réalité la véritable signification du phonème OXUO KEAIA devrait être, compte tenu de l’absence d’un vocable équivalent dans la langue espagnole: »ART D’ENTRAINER SIMULTANÉMENT L’OEMII (structure physiologique) ET LES FACULTÉS MENTALES ». Donc, au point de vue sémantique, la traduction « JEU », »AGRÉMENT » ou « SPORT » est inappropriée quant nous nous référons à l’OXUO KEAIA
Nous voulons que vous rendiez compte de l’extraordinaire importance que nous concédons à ces modes de conduite sur la planète UMMO.
Nous avons acquis une profonde connaissance de l’étiologie pathologique. Grâce à cela nous avons développé des techniques préventives qui ont rendu possible le contrôle des agents pathogènes au moyen d’une prophylaxie adéquate. Mais il existe, comme vous le savez très bien pour le malheur des hommes de la Terre, une immense gamme de facteurs psychogène appelé par les terrestres DÉTERMINANTS PSYCHOPATHOGÈNES, qui constituent l’origine de nombreuses maladies mentales.
Vous vous trompez complètement si vous croyez que nous avons réussi à vaincre totalement les déviations mentales. Cela nous a été beaucoup plus facile depuis des centaines XEE (ANNÉES d’UMMO) de maîtriser des techniques oncologiques pour empêcher l’anarchie génétique des acides nucléiques qui provoque les tumeurs nommées par vous cancéreuses, que d’annuler certaines formes d’EDDIO IAAIYAA (NÉVROSES) qui revêtent des aspects ressemblants à ce que vous dénommez état d’anxiété, hystérie, réactions hypocondriaques, etc.
Cependant nous connaissons parfaitement la corrélation qui relie ces troubles à l’équilibre spirituel et social d’une société dont le réseau se trouve parfaitement planifié. Cette corrélation est inverse (en employant des termes statistiques terrestres nous dirions que le coefficient de corrélation est NÉGATIF). Exprimé en termes communs nous suggérons que dans une société parfaitement planifiée ( IDÉAL que nous n’avons pas encore atteint sur UMMO bien que nous nous en approchions asymptotiquement) de telles perturbations de l’esprit n’existeraient pas..
Bien plus ; si nous avons obtenu que ce pourcentage de malades mentaux soit très inférieur à celui qui existe sur la Terre, cela est du principalement à deux facteurs :
1 – ÉQUILIBRE SPIRITUEL ET RELIGIEUX AVEC SOUMISSION INCONDITIONNELLE AUX NORMES MORALES.
2 – PRÉVENTION PAR LES TECHNIQUES DE JEU.
En premier vous ne devez pas méconnaître l’importance que peut revêtir la LUDOTHÉRAPIE pour le traitement des maladies mentales, dans les établissements terrestres.
Cependant il existe une notable différence entre vous et nous. Analysez-la soigneusement :
Vous planifiez le JEU comme technique ludothérapeutique – c’est-à-dire pour le traitement des troubles psychopathologiques.
Nous, nous employons l’OXUO KEAIA comme PRÉVENTION c’est-à-dire : pour prévenir la possibilité de ces troubles et d’autres maladies mentales inconnues de vous :
À part ces deux divergences fondamentales il en existe d’autres secondaires bien connues par vous :
C’est vrai que le jeu et le sport se pratiquent largement sur Terre. Mais d’une manière désordonnée et même absurde. Parfois vous orientez de telles pratiques au développement physiologique sans prendre en compte que L’OEMII (HOMME) est une UNITÉ PHYSIOLOGICO-MENTALE et que peuvent se produire de sérieux troubles quant les développements mentaux et somatiques ne s’équilibrent pas simultanément. Dans d’autres cas il se produit des aberrations telles qu’abandonner les masses à un inactivisme sportif en convertissant le sport en spectacle, dans le but de dévier les esprits vers d’autres buts étrangers aux authentiques objectifs sociaux et politiques. Véritable drogue qui arrive si bien à obtenir une apparente paix sociale et perpétue des structures sociales injustes. Les gouvernants qui agissent ainsi sont de véritables délinquants cachés derrière la légalité. Il n’existe pas de plus grand génocide que le crime de maintenir le réseau social dans l’abrutissement qui permet à une minorité de dirigeants de se maintenir au pouvoir.
Vous donc; vous pratiquez le jeu et le sport à tous les stades d’âge et de mentalité, mais vous agissez comme un OEMII (HOMME) qui ingèrerait d’une manière désordonnée des vitamines, des antibiotiques, et autres médicaments sans raison apparente en doses étonnements variés et à des heures inhabituelles.
Pour nous, par conséquent, l’OXUO KEAIA est quelque chose de plus qu’une simple distraction, une évasion, une façon déplaisante de fortifier nos muscles. C’est aussi plus qu’une gymnastique mentale comme les échecs terrestres. Les objectifs authentiques revêtent une grande transcendance y compris au point de vue génétique.
Leurs répercussions embrasent tout le réseau social d’UMMO.
– OBSERVATION –
Vous pouvez vous horrifier de ce que notre réseau d’ordinateurs XANMOO AYUBAA intervienne dans la programmation de nos loisirs. Nous désirons préalablement vous faire quelques observations à ce sujet.
Au long des rapports dictés par moi selon les ordres de mon supérieur sur la péninsule ibérique, DEII 98, fils de DEII 97, vous avez pu vérifier que le XANMOO AYUBAA participe de façon très active à notre organisation sociale.
Cette connaissance peut vous induire à vous former un concept très erroné concernant notre réseau social et notre personnalité psychologique. La tentation de nous identifier à de simples petits rouages d’une gigantesque et monstrueuse machinerie sociale a pu indubitablement passer dans vos esprits. Les hommes d’UMMO, nous serions selon cette fausse image ou perception des hommes de la Terre, de véritables monstres mécanisés, sans vie intérieure, esclaves de consignes émanant avec une précision mathématique d’un gouvernement aseptisé qui s’appuie sur le XANMOO AYUBAA (ou complexe de cerveaux mécaniques), pour coordonner avec une désespérante précision les moindres mouvements et conduites des membres de cette société semblable à une horloge terrestre.
Les hommes de notre planète serions de véritables » robots » (en utilisant les mots terrestres) capables d’être affectée par des sensations, vulnérables aux sentiments, aux plaisirs et aux déplaisirs (tout ceci est vrai), mais dépourvus d’âme véritable, esclaves de la technique et adeptes inflexibles d’une logique rigoureuse.
Cette erreur a son origine d’une part dans une déficience d’information et (d’autre part) dans la tendance que tout être humain présente à ne pas comprendre les conduites qui s’écartent de ses étroits cadres mentaux. Pour un espagnol inintelligent, il est difficile de comprendre les modes de vie d’un habitant des Nouvelles-Hébrides. Pour une personne esclave du cadre socio-politique d’une dictature qui a déraciné en elle les plus élémentaires vestiges de la liberté et de la dignité humaine, peut sembler, aussi paradoxalement que cela puisse paraître, fausse et absurde la vie d’un habitant d’une société démocratique socialiste comme celle de la Suède.
L’égocentrisme des hommes terrestres, qui est resté cristallisé dans le verset biblique de « la paille dans l’œil du voisin et de la poutre dans le sien », induit en vous une optique déformée, en essayant de juger nos manières de vivre.
Voyez l’esclavage mental que supposent pour vous les déviations aux milliers d’habitudes pathogènes comme le tabac, les épices, les formes irrationnelles d’organisation de la vie quotidienne, la soumission mentale aux agents qui déforment la personnalité (comme sont certains spectacles, les séries télévisées, les formes éducatrices et la publicité commerciale), les déformations pour raisons politiques des articles de la presse qui polarisent les groupes sociaux vers des formes politiques aberrantes, les dommages exercés par presque tous les parents envers leurs enfants, la soumission et la crainte devant les multiples TABOUS sociaux, ainsi que l’enracinement des préjugés sans nombre qui vous empêchent, vous les hommes de la planète Terre, de maintenir une saine flexibilité de pensée, en les enchaînant en revanche à un cadre mental sclérosé et rigide… Où se trouve cette liberté et cette exubérance de l’âme terrestre? Les conduites, que vous jugez totalement régies par la liberté, sont en réalité soumises à des motivations subconscientes d’origine aberrante, induites à leur tour par une mauvaise éducation ou par la crainte de la société qui vous entoure. Et en cela les psychiatres de votre planète nous donneront raison.
Nous – nous le reconnaissons humblement – n’avons pas atteint à la perfection. Mais nous croyons que notre indépendance spirituelle est supérieure à la vôtre.
Par exemple, ils sont nombreux les terrestre dont la conduite morale est encore conditionnée par la crainte que produisent les effets coercitifs des lois. Le respect du prochain se cristallise grâce aux méthodes punitives de l’exécutif de l’état. C’est une conduite imposée de L’EXTÉRIEUR.
En nous s’est développée une authentique mentalité sociale, un amour de nos frères, un ardent désir de perfectionner la société, parce que nous avons conscience de la folie « que suppose de faire une voie d’eau dans le navire sur lequel nous voyageons » et des effets perturbateurs d’un égoïsme absurde. Nous ne comprenons pas comment vous pouvez nous reprocher d’aimer plus la société que nous-mêmes alors que n’importe quel terrestre qui voyage en avion pense avec plus d’inquiétude à son moteur et à sa structure qu’au menu que lui offre l’hôtesse..
Pardonnez-nous d’employez des similitudes terrestres vulgaires comme le bateau et l’avion, mais nous pensons (ainsi) vous illustrer mieux notre pensée.
Aussi, c’est surprenant que vous regardiez avec méfiance notre réseau d’ordinateurs, quand chaque terrestre ne peut se passer de son stylo, son réfrigérateur, son automobile de tourisme: avec le problème supplémentaire qu’une fois créées les habitudes polarisées vers leur usage, vous restez horrifiés quand une nuit vous devez substituer, à cause des effets de la restriction énergétique d’un réseau électrique, la lumière des lampes à filaments incandescents par des cylindres de stéarates pourvu de mèche. (Bougies !).
Au moins nous nous nous accoutumons en même temps, en nous identifiant avec la nature, à supporter la carence de toutes les inventions de notre civilisation.
Rejetez donc l’idée que nous sommes (comme vous) esclaves de la technique. Pour nous, tous ces équipements que nous utilisons sur le UMMO sont simplement des MOYENS AUXILIAIRES qui nous aident dans notre progrès intellectuel et moral et qui nous permettent de nous forger une idée chaque fois mieux ajustée du WAAM (UNIVERS). Et ainsi, comme une personne sensible et intelligente de la Terre, au fur et à mesure qu’elle se plonge dans l’étude et la méditation, voit s’ouvrir devant elle des perspectives les plus larges de la vérité, et ressent une jouissance ineffable quant elle découvre de nouvelles facettes de son monde, nous aussi nous nous sentons plus libre par la connaissance à chaque fois plus profonde des lois qui dirigent l’espace n-dimensionnel, quand nous observons la grandeur qui se cache derrière les facteurs de l’homme et quand nous découvrons de nouveaux mondes habités.
Cela nous fait nous sentir plus humbles, cela nous libère de lois coactives qui nous obligent depuis l’extérieur à obtenir une société meilleure. C’est nous-mêmes qui nous obligeons à aimer le réseau social. Et même si nous avons acquis des réflexes conditionnés qui dirigent notre propre conduite, au moins de telles habitudes sont rationnelles et logiques. Elles ne nous font pas souffrir comme les terrestres, ni ne nous empêchent de réagir avec une grande liberté et avec une riche vie intérieure dans de multiples facettes de notre conduite quotidienne.
Si vous nous voyiez vivre jour après jour en pleine communion avec la nature, entre les grands rochers et les torrents abrupts, repoussant toutes les attitudes stéréotypées que nous avons quand nous vivons ensemble en société, peut-être ne jugeriez-vous pas que nous sommes esclaves d’une civilisation mécanisée. Analysez au contraire l’immense gamme d’attitudes et de mouvements assimilés, convertis en rigides réflexes irrationnels qui dirigent votre conduite. Vous verrez que même au milieu de la campagne vous tendez inconsciemment à les réaliser.
Ce fut précisément la caractéristique qui nous a le plus peiné en arrivant sur cette planète. Vous nous apparaissez comme des marionnettes, bougeant avec des gestes étudiés, convulsifs, artificiels et nous avons souffert intensément à devoir nous adapter à ces inharmoniques modes de conduites pour passer inaperçus au milieu de vous.
NOTRE VIE QUOTIDIENNE – LES DIVERTISSEMENTS.
Vous pourriez croire qu’il existe sur notre planète une gamme infinie de jeu ou sports caractéristiques des diverses régions et âges.
En réalité il est difficile de vous expliquer que la variété sportive-récréative obéit à des facteurs fonctionnels soigneusement analysés. Il existe, oui, une large série de catégories d’OXUO KEAIA (SPORTS) mais elles sont fonction de la mentalité, de l’âge, et de la constitution physique des pratiquants.
De là à vous décrire tous les jeux ou sports comme on les dénomme sur Terre, est pour nous impossible à résumer en quelques pages, comme le serait pour vous de nous envoyer un rapport descriptif des machines-outils utilisées dans les secteurs métallurgiques de cette planète.
Pour les terrestres, le jeu des enfants est un type d’activité naturelle qui précède le travail organisé, développé pour l’être adulte. À peine si on lui prête de l’importance. Et bien qu’existent des conseillers psycho-puériculteurs, des organismes spécialisés et même des fabricants qui concèdent une importance marquée aux jeux les plus appropriés pour l’enfance terrestre, en élaborant même des objets étudiés scientifiquement pour les divers âges mentaux des enfants, chacun de vous sait que la grande majorité des parents ne font pas attention à ces conseils et qu’aussi bien pour les fêtes de Noël ou Saint Nicolas ou des Rois Mages, ils acquièrent les jeux que le premier commerçant ou fabricant (venu) propose à la vente (plus intéressés d’impressionner par la technique de la fabrication que de se préoccuper réellement de l’importance que revêt la formation de l’enfant).
Des jouets qui, comme c’est prévisible, ne satisfont que rarement l’esprit infantile, quand ils ne provoquent pas des réactions traumatisantes dans son psychisme.
Vous vous fatiguez de répéter que l’humanité est perdue, malade, aliénée et les plus naïfs d’entre vous cherchent des solutions convenant au réseau social terrestre. Le thème est complexe et nous sommes en train de le traiter dans d’autres études que nous vous avons remises. Mais sachez qu’il existe un principe fondamental en BIEUIGUU (PSYCHOBIOLOGIE) selon lequel un HOMME DONT L’ESPRIT A ÉTÉ ENDOMMAGÉ DANS SA JEUNESSE OU DANS SON ENFANCE NE POURRA ÉQUILIBRER SON PSYCHISME DANS LA PÉRIODE ADULTE.
Ce principe est en vigueur pour tout le réseau social. L’équilibre spirituel d’un homme, et vous-même le savez bien, quoique vous vous refusiez à appliquer la thérapeutique adéquate, s’obtient seulement par la formation intégrale de l’enfance. Une erreur dans l’orientation pédagogique sera fatale pour l’individu.
Nous prenons un soin particulier dans le contrôle des premières réactions de l’UUGEE ou de l’UYIE. Leurs jeux sont étudiés avec une extrême attention. Les dispositifs que nous leur fournissons durant la première année de leur vie sont parfaitement adaptés pour eux.
Sur ce sujet nous pouvons peut-être vous suggérer quelques idées pratiques réalisables par les parents de la Terre. Et leur attirer l’attention sur les graves erreurs commises dans l’éducation des enfants. Il est clair que nous soupçonnons, avec des raisons fondées, que vous les écouterez peut-être avec attention, pour ensuite ne pas les mettre en pratique. Si malgré la gamme énorme de conseils donnés par les puériculteurs terrestres, les mères continuent à refuser de les mettre en pratique, on peut encore moins l’espérer, venant de la part d’inconnus comme nous, que chacun de vous peut assimiler à des plaisantins ou des fous, et que l’on fasse cas de conseils d’une civilisation que les Terrestres considèrent comme fictive.
Les mères sur UMMO surveillent attentivement le développement initial du petit UGEEYIE (garçon ou fille). Le milieu dans lequel enfant se développe les premiers mois terrestres est totalement différent du milieu réel.
Une des IXAABII (CHAMBRE) du XAABIUANAA (FOYER) est aménagée pour lui. L’enfant est habituellement maintenu dans une ambiance spécialement conditionnée. À ses yeux n’apparaissent pas d’objet complexe mais des taches informes de couleurs vives et grises, qui fluctuent lentement et s’évanouissent rythmiquement, toutes situées à la même distance et dans le même plan.N’oubliez pas que l’enfant n’est pas capable de discerner dans son premier stade, dans ses perceptions embryonnaires, des images visuelles complexes et des relations stéréo-spatiales, c’est-à-dire le relief dans l’espace. Ce qu’un adulte intègre mentalement comme un corps humain, avec sa forme, son épaisseur stéréoscopique, ses couleurs précises et définies, les UUYIE et les UGEE ( FILLES ET GARÇONS) nourrissons, les dissocient d’une façon que vous ne pouvez pas imaginer. Les tâches de couleur sont perçues indépendamment de la forme. Ils ne discernent même pas les couleurs en les différenciant. Une tâche de couleur magenta est captée de la même manière qu’une de couleur orange. Ils ne distinguent qu’entre trois groupes définis de couleur. Quelques-unes des plus vives (vert, jaune, carmin, pourpre) sont confondues entre elles. Le noir, brun foncé, gris, etc., composent un autre groupe différencié indistinctement. Le blanc, les tons appelé » crème » par les Terrestres, et toutes ces couleurs dont la courbe spectrale est presque plane, apparaissent simplement comme du blanc. Et nous suspectons qu’il en est de même chez les enfants terrestres.
Quand vous-mêmes contemplez deux personnes situées à des distances différentes, vous prenez conscience exacte, grâce à la vision binoculaire, qu’elles gardent une relation de distance bien définie. Chez l’UGEEYIE ce n’est pas ainsi. Les deux personnes sont sur le même plan. C’est pareil quand une personne s’éloigne; l’adulte perçoit une réduction de cette taille, alors que pour l’enfant il semble que la figure humaine parfois s’agrandit et d’autres fois se réduit comme si elle était élastique (n’oubliez pas qu’il la voit toujours à la même distance). Ceci conditionne chez les enfants terrestres ces fantaisies transportées ensuite dans leurs jeux et dans leurs rêves de géants et de nain. Nous évitons pour le premier âge ces perceptions déformantes, en stimulant (au moyen de ces taches artificielles dont nous avons parlé) la conscience perspective ou « faculté de perception chromato-spatiale ».
L’enfant d’UMMO peut voir sa mère mais toujours à la même distance et durant le temps que dure l’allaitement. Quand elle s’éloigne, la chambre reste dans une pénombre intense alors que l’attention de l’enfant s’oriente à nouveau vers un autre point. Dans l’IXAABII est installé un petit UULODAXAABI, où écran en forme de calotte hémisphérique, dans lequel est l’enfant. Les images que ses sens captent peu à peu sont conditionnées par l’âge et l’UMMOGAIAO DA (formule d’identification psychotechnique du sujet), des images visuelles qui sont peu à peu plus complexes, des sons parfaitement synchronisés avec des stimulus olfactifs qui peu à peu prennent de plus en plus de complexité au cours du temps.
Concernant le soin maternel, la discipline est très sévère. Les lavages fréquents, malgré un dispositif placé entre les petites jambes contrôlant les premiers Xii (JOURS) les évacuations naturelles du bébé en les neutralisant sous forme gazeuse après qu’elles se soient produites, sont réalisés à des moments fixés à l’avance pour chaque enfant.
L’uugee ou l’uuyie (GARÇON, FILLE) passe graduellement de ce monde artificiel au réel (beaucoup plus complexe) d’une manière graduelle et imperceptible quand sa structure neurocorticale est déjà conditionnée par les habitudes contractées dans un cadre parfaitement réglé à sa mentalité congénitale.
Les parents de Ummo sont entraînés par leurs conseillers sur la voie la plus idoine à suivre en face de n’importe quelle circonstance. Nous allons vous donner un exemple.
L’intérêt de l’UGEE se concentre au début sur ses mains. Petit à petit un tel intérêt s’étends à d’autres zones topologiques du corps. Le réseau cérébral se familiarise peu à peu avec son corps, son volume, les facultés de préhension des doigts (AGRIPPER), etc.. Vers deux mois terrestres, l’UGEEYIE normal d’UMMO essaye de coordonner les mouvements pour atteindre une petite sphère carmin très brillante mise légèrement hors de sa portée. Les mains sont croisées sur le thorax, les coudes ne peuvent pas se redresser. Malgré cette frustration intérieure, malgré cet échec continuel pour cet exercice, il ne répond pas avec des pleurs puisqu’il trouve agréable l’exercice éducatif pour exercer une fonction qui est en train de mûrir, qui suppose l’interconnexion lente des synapses distinctes dans les centres nerveux embryonnaires. Donc : dans cette auto-exploration physiologique, il n’est pas rare que l’enfant découvre ses (parties) génitales et les touche.
N’importe quelle mère ou père terrestre à l’habitude de s’alarmer en identifiant un tel acte comme pratique masturbatoire. La réaction irréfléchie des progéniteurs inconscients et manquants de formation est habituellement de le frapper sur la main ou de répéter maintes et maintes fois, à chaque fois que l’enfant réalise un tel contact : NON, NON !! CA NE SE FAIT PAS !! La réaction immédiate de l’enfant terrestre sera de croire que la mère essaye de jouer avec lui puisque à chaque contact est associé, venant d’elle, une même réaction de sa part et comme il ne comprend pas la signification punitive de la tape ou des mots, il se créera précisément l’habitude que l’on tente d’éviter.
Les parents d’UMMO ont conscience qu’à un âge aussi précoce on ne peut considérer une telle pratique comment réellement masturbatoire. Quand l’enfant tend à toucher ses (parties) génitales on lui attire son attention vers un autre objectif (ET PAS À CHAQUE FOIS QU’IL LE FAIT, car dans ce cas, l’enfant associerait cet acte avec un appel vers cet objectif et pourrait ainsi le convertir en un réflexe). Nous conseillons aux mères terrestres, par manque des moyens techniques dont nous disposons ici, qu’elles ne tendent pas dans un cas semblable à dissuader leurs enfants par des méthodes coercitives. Donnez-lui pour s’amuser un objet brillant (NON ÉMAILLÉ, PAS AVEC DES COULEURS RÉALISÉES AU MOYEN D’ÉMAUX TOXIQUES). Il peut être en aluminium anodisé, en vert ou rouge et aussi en plastique.
LES INSTALLATIONS D’OXUO GAADII.
Dans les rapports précédents nous vous avons indiqué comment nos jeux sont orientés vers le développement intégral de l’OEMII. Sans doute, avec cette expression, reste à expliciter complètement le sens et les significations que nous devons donner aux concepts de développement intégral. Mais nous préférons préciser et nuancer une telle idée.
Nos spécialistes en BIEWIGUU considèrent l’être humain comme un réseau dont les relations de transfert entre ses éléments de base peuvent être exprimées au moyen de paramètres mathématique. Pour comprendre ceux-ci, imaginez un des types de réseau simple familier aux techniciens de la Terre. Un réseau électrique dans un circuit électronique.
Ses éléments de base seraient par exemple : générateur de fréquence, générateurs parfaits de tension et d’intensité (ces derniers n’ont pas encore été obtenus par les physiciens de la Terre), réactances et résistances pures. Tous ces éléments peuvent se combiner en une maille complexe de conducteurs par lesquels s’écoulent normalement différentes intensités de courant, à des fréquences combinées d’harmoniques diverses. Très bien: il suffit de substituer dans ce réseau une inductance (bobine avec ou sans noyau de fer) pour qu’automatiquement s’altère TOUT LE RÉSEAU. Vous comprendrez mieux si vous réalisez l’expérience de substituer dans votre récepteur de télévision une de ses diodes ou tube à vide (élément du réseau) par une autre quelconque. Le plus probable est que l’écran du tube cathodique reste sans image.
Faisons un pas de plus dans cet exemple: supposez que ce circuit électrique ait vieilli. Les potentiomètres de commande ont accumulé de la graisse mélangée avec de la poussière, les condensateurs de syntonisation des circuits se sont recouverts de verre de gris. La pâte d’électrolyte dans les condensateurs de filtrage s’est séchée et on enregistre des fuites entre les connexions des socles des diodes et des transistors. Indubitablement le nettoyage et le changement d’un seul élément ne suffiront pas. Il est nécessaire au contraire de coordonner le rajeunissement de l’ensemble et de chacun des accessoires de base du réseau, puisque vous vous êtes rendu compte que la déficience d’un seul dispositif de base se répercute sur l’ensemble inter-relationné.
L’exemple, comme vous le voyez, est très grossier puisque le réseau de l’OEMMII est d’une complexité fabuleuse et que l’exemple antérieur est aussi primaire que si un expert en terrassement comparait une simple pelle, maniée par un ouvrier, avec une excavatrice dotée de servomécanismes électroniques. Le réseau humain se développe dans son environnement en s’intégrant dans un autre réseau beaucoup plus complexe (le réseau social) de telle manière que la paralysie, la déformation ou l’altération pathologique d’un de ses éléments provoque de sérieux bouleversements sur la personnalité globale de l’individu.
N’importe lequel de vous, et avec vous vos ancêtres de la planète Terre, sait parfaitement ceci. Une simple migraine, une foulure, une vulgaire inflammation peuvent provoquer chez la personne qui en souffre de sérieuses altérations affectives: mauvaise humeur, frustration, baisse de rendement au travail, etc.. La médecine psychosomatique terrestre a toujours traité ces phénomènes en reconnaissant l’importance que de telles altérations somatiques revêtent pour les fonctions mentales de l’individu.
Cependant, vous ressemblez au propriétaire du téléviseur, qui sans le minimum de connaissances nécessaires en électronique, et ayant conscience de l’avarie dont souffre le réseau, tente de « fouiller » le réseau complexe du circuit avec un tournevis pour tenter de localiser la cause. Le plus probable est qu’il dérègle les noyaux de ferrite assemblés avec une grande précision ou provoque un court-circuit dans quelque circuit du récepteur.
Quand, en toute logique, ce qu’il fera est de dérégler encore plus l’équipement, il résultera ensuite qu’il se plaindra ingénument en se lamentant pour la » mauvaise fabrication des téléviseurs « .
En comprenant cette parabole, nous imaginons que vous penserez immédiatement :
» Bien : vous les hommes d’UMMO, qui jouissez d’une civilisation aussi avancée, qui êtes capables de réaliser les ajustements opportuns dans le réseau psychosomatique de l’OEMII (CORPS HUMAIN) jusqu’à obtenir le quasi parfait équilibre bio psychique et même une technique de prévention fœtale qui prémunira l’individu, pour toute sa vie, de nombreux facteurs pathogènes, pourquoi ne nous donnez-vous pas la recette ? Pourquoi ne nous offrez nous pas dans vos rapports une synthèse de tels remèdes : une formule anti-oncologique qui nous protège des tumeurs cancéreuses, une drogue efficace contre les syndromes mentaux, etc., etc.. ? »
Cette demande, chargée d’espoir, est si chargée de résonances angoissées, que ni vous-mêmes n’appréciez l’ingénuité de la formulation, ni nous-mêmes ne pouvons la qualifier de stupide, par profond respect envers la douleur des êtres humains.
Imaginez un pauvre sorcier d’une tribune amazonienne. Que lui répondra un neurophysiologiste qui serait interpellé par lui en le priant de lui enseigner en quelques jours la manière d’intervenir chirurgicalement sur une tumeur du cortex cérébral… Le plus que le chirurgien pourra faire en principe pour ce brave homme , sera de lui enseigner avec patience à lire et lui montrer des planches simples de vulgarisation anatomique (et encore, le plus probable, est que l’indigène se lassera à plusieurs reprises).
Pardonnez-nous cette inclusion nécessaire dans le développement du thème, et nous continuons.
Une évolution de notre connaissance intégrale de l’homme vous a donc montré l’IMPORTANCE TRANSCENDANTALE que n’importe lequel des facteurs en relation avec orps, revêt pour toute la structure de la personnalité.
De cette manière nous avons découvert que le divertissement de l’homme non seulement provoque des réactions tonifiantes dans les fonctions mentales et même dans le développement harmonieux des organes physio-anatomiques, mais aussi que tel divertissement, s’il veut être réellement fonctionnel, doit être planifié spécialement pour chaque individu et avec des règles séquentielles qui, appliquées à un autre individu, non seulement peuvent être stériles mais aussi préjudiciables.
C’est pourquoi, dans le rapport antérieur, nous accentuions le caractère discriminant de notre OXUO KEAIA (ART DU JEU) par rapport aux jeux et sports terrestres. Notre critique n’était naturellement pas orientée contre la bonne volonté que les hommes de la Terre mettent dans les règles de leurs jeux. Indubitablement, beaucoup de tels sports et activités récréatives obtiennent à un certain degré le développement d’une seule faculté, fonction ou organe somatique.
Mais vous-même si vous réfléchissez un peu, vous vous rendrez compte que si chaque homme est une individualité complexe, avec sa propre mentalité et ses traits typiques, et de même que les aliments sont choisis d’une manière variée et discriminante pour chaque personne et que la sélection des lectures est définie pour chaque sujet, il résultera qu’il est aussi absurde de standardiser les règles de jeux en établissant des normes » standard « . C’est comme si dans un hôpital qu’il accueille dans ses lits une variété complexe de malades, le directeur, médecin fou, décrétait que tous les patients soient traités à la fois avec une dose spécifique d’insuline, en chronométrant avec une précision maladive l’intervalle d’injection, et en sanctionnant les transgressions des internes.
L’exemple, quoique grossier, est éclairant. Vous comprenez parfaitement la fonction tonifiante du jeu. Et vous vous consacrer à créer capricieusement une gamme anarchique de règles exotiques de jeux. Indubitablement le dynamisme de quelques séquences sportives développe certains organes du réseau humain (jambes et bras dans le basket, fonction volitives, contrôle métabolique et neuromusculaire dans le yoga, certaines zones corticales dans les échecs, équilibres propriocepteurs et développement neuro-oculaire dans le tir sur cible …) et évidemment, pour tous, le sens de la discipline et des valeurs idéologiques de « l’esprit chevaleresque » et de « l’honneur ». Ces concepts qui pour les hommes d’UMMO sont trop artificiels sont remplacés dans notre réseau social par des valeurs plus transcendantes et rationnelles.
Quand nous allons décrire dans les paragraphes suivants, bien que nous ne le faisons pas d’une façon trop prolixe, les caractéristiques de notre OXUO, vous pourrez remarquer deux points essentiels de divergence avec le sport terrestre : il n’existe pas sur tout UMMO de différentes variétés d’OXUO, mais une seule pour toute notre OYAA (planète). Cependant la complexité des règles dans une même session est tel que non seulement elles sont distinctes pour chaque joueur, mais qu’elles sont aussi fonction du temps c’est-à-dire variants pour chaque situation : comme pour chaque soldat à chaque instant d’une bataille terrestre, les décisions adoptées varient avec la situation.
UMMOAELEWE
Sr D. Fernando Sesma Manzano
Madrid – Espagne
Langue : espagnole.
Nous vous avons informé sur le caractère transcendant de l’OXUO KEAIA (art et technique du JEU) et nous vous avons montré cette transcendance pour notre société parce que nos OXUO, non seulement sont orientés vers le divertissement de l’individu mais aussi remplissent diverses fonctions essentielles.
Qui sont :
le développement intégral du corps qui permet non seulement l’harmonieuse croissance des tissus musculaires mais aussi la formation équilibrée des autres organes de l’OEMII.
– stimuler et développer les facultés mentales de PERCEPTION et de RAISONNEMENT.
– augmenter les tendances grégaires et sociales de l’individu.
– la formation d’une série de réflexes conditionnés adaptés à l’actuelle étape de l’adulte.
L’OXUO KEAIA acquiert avec ces dimensions une réelle valeur thérapeutique, en même temps qu’il perfectionne la structure psychophysiologique de l’OEMII.
Tous les frères de notre société, sans qu’intervienne aucune pression de la famille ou de la part de l’UMMOAELEWE (conseil général de UMMO, composée de quatre hiérarques bien que dans des cas exceptionnels ce chiffre soit plus réduit) acquièrent depuis qu’ils sont UUGEE ou UUYIE (enfants) les habitudes mentales et somatiques de l’OXUO, qu’ils n’abandonneront jamais jusqu’à la mort.
Mais le OXUO KEAIA est un art complexe d’une variété et d’une souplesse infinies. Il sera nécessaire pour le comprendre que vous renonciez à établir des analogies excessives entre lui et les jeux et sports terrestres.
En premier lieu, parce qu’il doit intégrer en lui les deux caractéristiques qui sont sous-jacentes dans ces deux activités terrestres.
Ainsi vous associez aux sports le dénominateur commun et dominant du développement corporel, bien que les facultés mentales interviennent sans doute dans le football, criquet, tennis et karaté.
Dans d’autres jeux au contraire on remarque une prédominance de la stratégie qui exige des joueurs de mettre à l’épreuve leur raisonnement et même leur contrôle affectif, sans que d’autre part, dans certains cas, la rapidité des réflexes et même l’intervention du hasard ne soient négligés.
Nous préférons ne pas faire allusion à certaines modalités appelées par vous jeux de hasard, qui non seulement abrutissent et atrophient les facultés intellectuelles des OEMII terrestres, mais aussi aident, comme dans le cas des loteries et paris mutuels, à provoquer une répartition encore plus injuste du revenu national et par conséquent à troubler l’harmonie du réseau social de cette planète (nous ne nous référons pas aux pays purement socialistes, où, avec un excellent jugement, de telles pratiques irrationnelles sont abolies).
Ainsi dans les pays de la Terre, a surgi une énorme variété de jeux et de catégories de sports, liés aux différentes époques et cultures.
Cependant nous observons un dénominateur commun dans tous. Sauf en de rares exceptions, ils s’en tiennent à un code ou conjonction de normes inflexibles.
Non seulement les instruments matériels de ce jeu seront normalisés (balles, raquettes, damiers.. ) mais aussi les règles qui dirigent la stratégie de son développement sont assujettis à un inflexible RÈGLEMENT ou lois du jeu.
Nous sommes restés stupéfiés par exemple en observant comment dans des affaires qui touchent à la vie communautaire et sociale : épisodes de vie grégaire qui touchent à la religion et à la conduite avec les autres OEMII du cercle restreint de la famille et amis, et même ceux qui intéressent leur santé et leur intégrité physique, les hommes de la Terre se montrent si anarchiques, si irrationnels, seulement faiblement régis par de faibles règles qui le plus souvent ne sont pas respectées, alors qu’en revanche, en ce qui concerne les règles de jeu, vous arrivez à des extrêmes d’exactitude et de précision véritablement maladives (propre à certaines maladies hystéroïdes ou psychasthéniques compulsifs )
Il n’est pas rare d’observer dans les compétitions sportives l’usage d’équipements de chronométrage qui enregistrent des variations de l’ordre de micro secondes pour constater l’instant précis auquel un sportif est arrivé au but, où l’exorbitante règle avec laquelle les joueurs d’échecs se décident à faire annuler un coup intelligent de l’adversaire parce que le nombre de mouvements autorisé par heure a été dépassé d’un tout petit peu.
Ceci nous conduit à déduire qu’en effet, vous être aptes à développer plus rationnellement votre réseau social, vos coutumes et votre politique économique, ainsi que vos formes de gouvernement, en inversant les termes et en établissant une échelle de valeurs plus conséquente, dans laquelle vous mettriez plus d’accent sur la discipline dans les domaines véritablement transcendants, et en étant plus tolérants et moins pointilleux sur les aspects de l’activité humaine peu importants.
Parce que toutes vos normes rigides dans le déroulement du jeu et du sport s’expliqueraient, si vous étiez arrivés comme nous à développer l’activité ludique comme une forme intégrale et transcendante de l’éducation, en étudiant avec rigueur scientifique non seulement les formes les plus adéquates du OXUO mais aussi en vérifiant au moyen des processus empiriques de laboratoire de psychophysiologie les résultats de telles méthodes sur l’organisme et sur l’activité neurocorticale. Mais en réalité, le panorama qui nous est donné à contempler concernant les sports et jeux terrestres est désolant. Beaucoup de normes qui dirigent de telles activités sont nuisibles pour l’organisme, en développant certains facteurs du métabolisme histologique et mental, pour laisser les autres dans le plus grand abandon, quand ils ne sont pas abîmés ou que ne soit provoquée leur atrophie. Et ce dernier point ne vous est pas inconnu.
Avec tout ceci, nous ne désirons pas exprimer que notre OXUO manque complètement de règles codifiées. Au contraire la complexité de celles-ci est telle qu’elles doivent toujours être programmées par le XANMOO AYUBAA , qui n’est rien qu’un réseau de grands ordinateurs ou comme vous les appeler incorrectement CERVEAUX artificiels (qui ne sont pas à base électronique comme chez les terrestres. Voyez les rapports techniques déjà remis). Jusqu’à tel point que jamais les joueurs n’arrivent à connaître toute l’énorme complexité de la stratégie qui doit se développer. L’exemple suivant facilitera la compréhension.
Imaginez une des batailles réelles auxquelles les hommes de la Terre sont malheureusement très familiarisés. Les soldats qui interviennent connaissent parfaitement le secteur dans lequel ils se déplacent. Ils sont même conscients à chaque instant de la stratégie qu’ils jugent la plus efficace. Mais ils ne connaissent pas la tactique de l’ennemi et ils ne connaissent pas plus le caractère stratégique de leur propre mouvement qu’ils comprendront mieux le lendemain. D’autre part, les soldats comme les officiers de grade subalterne ignorent les intelligentes et nombreuses méthodes et les critères stratégiques du haut commandement.
Elles existent, oui, les règles de stratégie théorique; mais en un instant donné pour chaque cas concret, de telles lois générales, dont la flexibilité est nécessaire si l’on désire une efficacité rationnelle, ont besoin d’être ajustés.
Nous ne concevons pas par conséquent le jeu dans les étroits moules dans lequel vous le maintenez. Ainsi par exemple les jeux les plus rationnels entre vous, comme le sont par exemple les échecs, nous le considérons affecté de cette rigidité stratégique qui développe dans le cortex cérébral un complexe de réflexes et de connexions neuronales, sans éduquer le reste des zones corticales.Vous pouvez vous-mêmes vérifier comment cette gymnastique mentale, le jeu d’échecs, n’a jamais développé les facultés mathématiques d’aucun terrestre. Les célèbres joueurs qui parmi vous arrivent à s’affronter dans des simultanées ou à l’aveugle ne se sont pas, par la suite, illustrés dans le champ de la philosophie, de la physique théorique ou dans celui de la topologie. Cette gymnastique est donc stérile. Elle donne la capacité à ceux qui l’exercent de connaître plus profondément la stratégie du jeu, pour devenir de véritables maîtres dans les ouvertures ou dans les finales, mais ce n’est pas pour cela, au contraire de ce qu’estiment des personnes ingénues, qu’ils seront de meilleurs stratèges de guerre ou des meilleurs politiques.
Notre OXUO se déroule dans des enceintes excavées dénommées par nous OXUO GAADII.. Il s’agit de fosses dont les dimensions ne sont pas non plus normalisées. La forme est rectangulaire comme une piscine terrestre. Les dimensions varient depuis les gigantesques installations de 0,3 KOAE (2,9 km de longueur) jusqu’aux OXUO GAADII. des petites colonies de XAABIUANAA (habitations) qui mesurent 22 x 46 Enmoo et une profondeur de 12 ENMOO (1 ENMOO équivaut à 1,87 m).
Mais ces fosses ne sont évidemment pas vides. Dans le prochain rapport nous enverrons une image graphique et schématisée qui facilitera votre compréhension puisque nous ne trouvons pas d’exemple terrestre suffisamment expressif pour le comparer.
Un hypothétique observateur qui arriverait de la Terre et qui contemplerait ces installations si étonnantes pour vous, se trouverait perplexe devant un réseau embrouillé de grandes barres métalliques, passerelles de forme irrégulières, masses visqueuses d’une substance translucide et gélatineuse qui paraît flotter dans le vide, étranges tubes flexibles par lequel peut passer commodément une personne, et des tourbillons d’une masse gazeuse saturée de vapeur, qui adopte la forme de sphères ou paraboles de révolution. Tout cela dans un lent mouvement continu. Depuis une UEWA (nef volante) toute cette masse métallique semble bouillir.
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Les nuits d‘UMMO sont froides même durant les périodes où notre Astre IUMMA dirige ses rayons presque perpendiculairement sur les régions équatoriales.
Vers 575 UIW, tous les habitants du XAABIUANNA (MAISON) se retirent pour commencer leur repos. Dans un rapport antérieur nous vous avons indiqué comment nous consacrons quotidiennement une fraction du temps au sublime objectif de la méditation et de la prière. Cet intervalle est rarement inférieur à vingt UIW.
GEE et YIE (HOMME ET FEMME) restent seuls dans leur IASAABII (chambre) hermétiquement fermée, isolés acoustiquement de l’extérieur (note 1). Vraiment seul, un sifflement suave quasi imperceptible révèle le fonctionnement des tuyères de renouvellement d’air.
Au-dessus, les Astres, dans un ciel peu nuageux, brillent au travers de panneaux transparents du toit. Peut-être cette nuit, les fines bandes brillantes aux suaves tons verdâtres, que l’UULIBOOA (espèce d’aurore Boréale) présente à haute altitude, embelliront étrangement le firmament. Alors notre esprit n’en sera que plus enclin à la prière.
Les parements de l’IAXAABII brillent avec une suave couleur magenta ou violette. Nous choisissons pour cet instant ces tons qui prédisposent psychologiquement le cerveau pour ces fonctions mentales, plus en liaison avec la pensée religieuse. Violet, vert, bleuâtre, cyan et pourpre, avec un faible niveau lumineux, sont les couleurs sélectionnées.
(Note 1) L’insonorisation des parois est obtenue par des moyens très complexes, car les coefficients d’absorption et transmission acoustiques sont variables à volonté. Il serait complexe de vous donner des détails et d’enregistrer les unités physiques utilisées par cette technique. Par exemple : les niveaux sonores ne sont pas évalués à l’aide d’une fonction logarithmique comme vous le faites sur Terre par une mesure en décibels. L’absorption, uniforme pour toutes les fréquences acoustiques se réalise au moyen de produits moussants qui se solidifient et se liquéfient à volonté pour obtenir différents niveaux de densité de bulles. Les fréquences de niveau sonore et de tonalité constante sont compensées au moyen de membranes acoustiques qui, excitées par un générateur contrôlé et situées à l’intérieur des parois mêmes, vibrent à la même fréquence mais en inversion de phase (solution que nous vous proposons car la technologie terrestre aura bientôt des moyens adéquats pour utiliser cette méthode dans la résolution d’enceintes anéchoïdes** ou de faible coefficient de réverbération (temps de R = quasi nul). En résumé, le procédé consiste à détecter la fréquence perturbatrice (BRUIT CONSTANT) pour la régulation automatique d’un équipement semblable aux oscillations d’audio-fréquences terrestres, avec cependant la différence que les nôtres ne fonctionnent pas à base de circuits électroniques. La puissance acoustique engendrée est canalisée pour une partie vers ces membranes de grande superficie et pour l’autre partie vers des différences de sons qui ne fonctionnent pas comme les haut-parleurs terrestres mais par contrôle thermique d’une colonne d’air (on a totalement éliminé l’inertie thermique du gaz). Fin de la note 1.
**(néologisme franco-espagnol forgé par les ummites : qui ne donne pas d’écho NDT)
Et l’OMGEEYIE (couple) assis dans chaque XAXOOU (chaise de fosse) tourne les yeux et se contemple lui-même. Ils s’auto-analysent en invoquant en premier lieu dans le champ de leur conscience, les actes du XII (jour d’UMMO), ensuite commence tout un processus mental dans lequel chaque membre du couple spécule sur son existence enracinée dans la société dans laquelle il vit et agglutinée au sein du WAAM. Il s’offre à WOA qui l’a créé et imprègne sa pensée avec le souvenir de d’UMMOWOA le Dieu qui, incarné pour apporter la vérité, mourut parmi les terribles martyres de la vivisection.
Il n’y a aucune expérience mystique. Toute l’union avec leur WOA (DIEU) se circonscrit au niveau du raisonnement non exempt d’une vive réaction affective. Nous sentons le plaisir esthétique de notre équilibre spirituel, et plus est grand le degré de certitude en rapport au mode positif lequel nous avons accompli en ce XII (JOUR) les divins UUAA (LOIS RELIGIEUSES), plus est grande alors l’humble satisfaction intérieure que notre personnalité ressent.
Nos objectifs religieux suprêmes, en dehors de nous reconnaître comme engendrés par WOA, consistent à concéder à chacun de nos frères une importance supérieure à celle que nous nous octroyons égoïstement.
>== AGUIRRE SEULEMENT
Notre esprit de service orienté vers le frère (PROCHAIN) et surtout vers la Société dans laquelle nous sommes immergées, constitue pour nous une véritable idée obsessionnelle.
Le plus petit échec personnel concernant la véritable cristallisation de cet esprit d’entr’aide peut nous provoquer de sérieux tourments affectifs ou sentimentaux. L’homme acquiert la conscience de culpabilité et dans sa prière et méditation nocturne, il reconsidère sérieusement sa conduite, essayant de trouver des voies psychologiques pour renforcer ses réflexes ou habitudes mentales, pour perfectionner sa conduite future avec ses familiers, ses amis, ses supérieurs ou ses subordonnés.
Nos tendances grégaires sont très accusées. La solidarité avec la masse des individus qui nous entourent dans notre vie quotidienne est très profonde. Un de nos frères regrettera beaucoup plus une faute commise contre la collectivité, contre la société qu’une transgression d’une UUAA (LOI MORALE) qui nous engage envers un frère isolé.
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Les faibles signaux acoustiques des 10 UIW (un peu plus de minuit, en parlant en langage terrestre) peuvent marquer la fin de la Méditation.
Deux époux entament dans l’obscurité la très brève tâche de se dévêtir, adoptant immédiatement les mesures antiseptiques d’hygiène personnelle moyennant l’ablution par une solution adéquate qui est rarement parfumée et par la pulvérisation et une irradiation contrôlée sur les yeux, la bouche et les fosses nasales.
L’ablution s’effectue au sein d’une masse turbulente d’eau qui se renouvelle à grande vitesse dans ses différents degrés de dissolution, température et vibration ultrasonique. Pour cela chaque personne s’introduit totalement dans le XAXOOU (CHAISE) dont la plate-forme inférieure descend le niveau, ensuite la fosse se remplit de liquide pendant qu’une couverture transparente composée d’une plaque semi-fluide, qui se solidifie rapidement, protège le carrelage du XAABI des éclaboussures.
L’habitude d’ôter ses vêtements sur notre planète complètement dans le noir ne doit pas être interprétée par vous comme le fruit d’une ancestrale réaction de pruderie, car s’il est vrai que notre spécial instinct de pudeur qui nous fait subir de véritables traumatismes psychologiques quand nous nous voyons nus devant une autre personne est très accentué dans notre Société, il faut savoir aussi qu’il est irrationnel quand il s’agit d’un OMGEEYIE (COUPLE) où le degré d’intimité est très élevé.
La vérité est que notre mentalité à ce niveau est différente de la vôtre. Le seul acte de transition entre rester recouvert par les EEWEE (VÊTEMENTS) et de se dévêtir, représente pour nous un contenu érogène si intense que nous pouvons seulement le comparer sur Terre à la réaction de ces perversions sexuelles que les psychiatres terrestres qualifient avec l’appellation de Travestis.
Ceci provoque automatiquement, chez les individus des deux sexes, l’orgasme dans la majorité des cas. La mesure adoptée d’annuler l’éclairage dans l’IAXAABI (chambre ou pièce) est préventive pour neutraliser le déroulement d’une telle réaction.
La brève vision du conjoint dévêtu est par contre acceptée normalement dans les mêmes conditions que pour les habitants de la Terre.
Un bref sifflement inaudible suivi d’un autre modulé, tous deux par exemple à 23.000 cycles par seconde, provoquent l’apparition des WOOIA (IMAGE 19). Leur forme est toroïde et présente sur sa surface supérieure une densité appréciable de petits orifices ou tuyères.
Le WOOIA s’élève dans l’air sans aucun support venant du sol ou ornement. Il reste suspendu en lévitation dans le « vide » par l’action d’un puissant champ de forces électromagnétiques. De lui s’écoule une substance qui se transforme en conglomérat alvéolaire ou mousseux qui rappellerait aux chimistes terrestres la mousse de polyuréthane. Le produit que nous utilisons est moins dense, anti-électrostatique, il se solidifie rapidement, non sans qu’un dispositif de contrôle thermique dirige le processus pour que la mousse s’étende dans l’espace en adoptant la forme d’un parallélépipède fractionné avec une espèce de fosse centrale qui permet le positionnement du corps humain.
Durant la période du WOI WOI (Sommeil) nous nous couvrons absolument pas le corps. Nous n’avons pas de tissus semblables aux draps ou pyjamas, couvre-lit ou couvertures que vous utilisez tant sur Terre.
Il est bien vrai que notre contrôle de l’environnement, au niveau de la température et du degré d’humidité, est parfait à l’intérieur des IASAABII (CHAMBRES) et que les jours où nous dormons en plein air (presque 40% du temps total), la température doit atteindre la limite que l’organisme humain peut supporter sans une altération dangereuse du métabolisme.
Comme exemple du fait que pas même nous, malgré le degré de civilisation atteint, n’avons déraciné encore certaines étranges formes de conduite qui ne sont pas préjudiciables pour l’organisme ou pour les facultés mentales, mais qui sont irrationnelles et stériles; nous vous dirons que de nombreuses personnes d’UMMO dorment en position « decubitus ventral » (comme vous la nommez) ou en « decubitus latéral ». L’origine date d’il y a des milliers d’années UMMO, au moment où les scientifiques découvrirent les IBOONEE (Rayons Cosmiques) et leur action modificatrice sur les cellules germinales des organes génitaux (ovaires et testicules), ces rayons étaient capables de provoquer des altérations génétiques. On considéra que l’individu pourrait mieux se protéger de ces radiations pénétrantes en ne se couchant pas sur le dos mais en opposant le plus grand noyau de masse musculaire possible.
Aujourd’hui nous savons parfaitement qu’une si faible protection ne justifie pas des habitudes de positions si rigides, mais malgré tout, les réflexes de l’habitude ont persisté chez les gens.
Nous les habitants d’UMMO, nous avons acquis avec le temps une sensibilité cénesthésique spéciale. Ainsi comme vous êtes capable d’évaluer de petites différences de poids au moyen d’instruments délicats (par exemple si vous installiez une balance terrestre à l’intérieur d’une chambre pour comparer deux masses : un kilogramme de fourrage ou de paille sur un des plateaux et un kilogramme de plomb sur l’autre plateau, et que vous observiez que l’aiguille de la balance s’incline en faveur du plomb), nos senseurs propriocepteurs sont capables de discriminer, bien que sans valeur quantitative, de petites différences dynamiques.
Cette sensibilité, présente pour nous une nouvelle source de plaisir psychologique : des vibrations dynamiques qui pour vous ne représentent pas plus qu’une sensation bizarre, dépourvue de réactions agréables, peuvent constituer pour nous une nouvelle diversion. Si le flottement dans le vide dont vous avez fait aussi l’expérience dans les voyages spatiaux (nous choisissons l’expression « le vide » pour interpréter le « flottement » dans un milieu dans lequel peut exister un gaz, mais dans lequel le champ de gravité terrestre est faible ou son effet compensé par des forces négatives ) peut donner chez vous des résultats désagréables sur le sens de l’orientation provoquée par les troubles vestibulaires (oreille interne), ce flottement dans le vide peut chez nous provoquer des réactions aliénantes.
Mais au contraire la position du corps au sein d’une masse de mousse solide et flexible, suspendu dans l’air comme l’est le WOIOA (lit), accompagné d’un doux balancement apporté par les infimes variations de l’accélération, provoque des états affectifs ou émotionnels beaucoup plus intenses que chez vous.
Comme cas curieux nous vous dirons que quand, ici sur la Terre, nous nous voyons obligés de monter dans des ascenseurs dont les grandes vélocités exigent de fortes accélérations aux points d’arrivés (ascenseurs dans les immeubles très haut ), nous nous voyons franchement gêné pour contrôler nos gestes de plaisir qui peuvent ressembler à la mimique inconsciente au cours de l’orgasme sexuel.
Juste couchés, commence une première étape en laquelle le plaisir cénesthésique (ou Kinesthésique) joue un rôle très important. Aucun des époux ne s’oriente encore vers l’autre. Les deux jouissent indépendamment des émotions authentiquement esthétiques qui leur sert de sédatif préalable. Aussi inoffensifs et licites que peuvent être la musique chez vous ou l’inhalation de parfums chez nous.
Dans un prochain rapport nous nous étendrons sur nos pratiques sexuelles, notre morale sexuelle et le contrôle de l’ovulation ou URAIWO KEAIA équivalent pour vous au contrôle des naissances.
RAPPORT D’EXPLICATION POUR MONSIEUR D. FERNANDO SESMA MANZANO
Quand je me trouvais en train de dicter les paragraphes contenus dans le rapport joint, se référant à nos pratiques habituelles dans les UIW qui précèdent le sommeil, notre gentil ami espagnol qui dactylographie toutes nos notes nous a attiré l’attention, surpris, sur une affirmation que nous formulions dans le rapport mentionné.
En toute logique nous avions cru qu’il n’était pas nécessaire de faire une déclaration sur un sujet que les terrestres devait connaître car il traite d’un concept physique habituel présent dans tous les traités élémentaires de cette science. Sinon nous nous verrions obligé chaque fois que nous prononçons un mot ou énonçons une affirmation banale de la démontrer à la lumière de la science terrestre commune.
Nous nous référons à l’affirmation que nous avons intercalée en guise d’exemple. :
(… En installant une balance terrestre à l’intérieur d’une chambre pour comparer deux masses : Un kilogramme de fourrage ou de paille sur un des plateaux et un kilogramme de plomb sur l’autre, en observant que le fléau de la balance s’incline en faveur du plomb …).
Nous avons observé un geste d’autosuffisance et un ton goguenard chez notre ami (un expert commercial qui nous aide) et la question agressive et mordante de celui qui, dans son ignorance, se réjouit intérieurement de « nous avoir surpris dans l’erreur » et bien qu’ensuite humblement il a reconnu son erreur, son geste nous a remplis de tristesse.
Non pas pour le ridicule dans lequel se trouve la personne ignorante qui en essayant de corriger ses frères commet une erreur encore plus grave, mais pour la malsaine tendance qui vous pousse à humilier vos proches quant ils font une erreur, pour la précipitation avec laquelle vous jugez les fautes de vos frères, sans les soumettre avant même à une analyse superficielle pour vérifier qu’en effet il s’agit d’une erreur.
Nous ne voulons pas, par ceci, vous indiquer que l’attitude la plus idoine ou morale est de toujours se taire et de ne pas opposer d’objections : au contraire : vous les terrestres devez être animés par une véritable obsession à vous former, à vous éduquer, à apprendre. Et pour cela vous devez questionner. QUESTIONNER SANS CESSE, présenter des objections quant vous ne comprenez pas quelque chose. Mais TOUJOURS avec humilité, avec précaution, avec l’esprit prédisposer à admettre que la raison PEUT NE PAS ÊTRE DE VOTRE PART. En repoussant tout dogmatisme et parti pris qui dans le fond constitue un des facteurs qui font que vous êtes malheureux sur cette planète.
Présenter agressivement une attitude de doute devant les affirmations des autres, être tapie pour bondir sur un frère, en l’accusant d’être dans l’erreur pour l’humilier devant les autres et sentir en vous-mêmes une morbide allégresse de sadisme triomphant, est une triste manière de ne pas évoluer, de stagner dans le stade immobiliste des aliénés par le dogmatisme.
Il vous suffira de lire un traité élémentaire de physique pour vous rappeler un principe que vous appelez du nom de PRINCIPE D’ARCHIMÈDE. Toute Masse immergée dans un fluide quelconque (LIQUIDE, GAZ, PLASMA) est soumise à une poussée dynamique de signe contraire à la force de gravité. Ce principe est valable dans tout champ gravitationnel. LA FORCE DE POUSSÉE à une valeur équivalente au poids d’un VOLUME IDENTIQUE du FLUIDE DÉPLACÉ par cette masse. C’est-à-dire : un kilogramme masse de fer dans un récipient plein de mercure NE PÈSERA PAS UN KILOGRAMME POIDS, non plus qu’un KILOGRAMME MASSE de plomb ne pèsera pas exactement un kilogramme poids à l’intérieur d’une chambre remplie du » FLUIDE AIR « . Et le KILOGRAMME MASSE de fourrage ou paille se verra soumis aussi à une poussée plus grande due à son volume plus important.
De telle façon qu’il serait faux d’affirmer qu’un kilogramme masse de plomb pèse comme un autre de paille si nous faisons la comparaison dans l’air, comme de coutume. Cela ne sera vrai que (ET SEULEMENT À MOITIÉ À CAUSE DE L’INTERVENTION D’AUTRES FACTEURS QUE NOUS N’ÉNONÇONS PAS ICI) si vous vérifiez la pesée dans le VIDE ABSOLU.
Il est clair que la différence est quasi imperceptible et nécessiterait une balance d’une grande précision pour le constater. C’est pourquoi nous vous donnions cela comme un exemple concernant notre sensibilité cénesthésique capable de discriminer de très petites différences dynamo musculaires.
Nous vous envoyons ce rapport accessoire afin d’éviter une fausse interprétation. Il n’est pas nécessaire que vous le donniez à vos amis et familiers si, comme c’est à espérer, ils n’adoptent pas une attitude pédante de critique concernant l’observation citée. Mais dans le cas contraire il serait utile de la lire aux détracteurs pour lever les malentendus. Nous comprenons que nous devrions toujours agir ainsi lorsque le risque d’être mal compris existe au long des rapports. Mais nous ne vous cachons pas que les explications accessoires devraient se multiplier jusqu’à l’infini. Imaginez ce que cela supposerait parfois en énorme montagne de pages dactylographiées.
Écrit par DA3 fils de EYEA 502.
Soumis à DEII 98, fils de DEII 97
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Le champ électromagnétique généré par un AAXOO (Oscillateur de base nucléaire capable d’émettre de grandes puissances) peut se modifier pour moduler aussi bien les douces oscillations du WOIOA (espèce de divan lit) que sa situation dans l’espace.
Quand le GEE (époux) ou la YIIE (épouse) désirent rapprocher leurs WOIOA respectifs, il leur suffit d’encoder les ordres opportuns au moyen d’un signal acoustique de fréquence inaudible. Aux spécialistes en ordinateurs ou traitement électronique de l’information nous dirons comme information curieuse, que les transducteurs ultrasoniques qui captent les ordres codés n’envoient pas directement le signal aux servomécanismes ou BUUTZGOIA. Ces données passent d’abord par un XAANMOO (espèce d’ordinateur) qui analyse le caractère logique des ordres. Si la personne qui a lancé le sifflement ultrasonique a commis une erreur explicable, le XAANMOO réalise une rapide analyse statistique sur les probabilités qu’un tel signal puisse être émis à ce moment. Par exemple, il peut être absurde à 70 UIW, quand tous dorment, que quelqu’un puisse émettre l’ordre d’occulter dans le sol le WOIOA (lit). L’ordre alors n’est pas obéi, à moins que par de nouveaux signaux codés ne soit justifiée à nouveau une telle décision.
En réalité tous les équipements automatiques d’UMMO possèdent ces dispositifs d’analyse logique. Vous-mêmes devez comprendre comment une civilisation qui a atteint un haut degré d’automatisation doit être protégée des erreurs involontaires de ses frères. Un son mal modulé, quand nous voyageons par exemple dans un quelconque UEWA (véhicule), pourrait provoquer une catastrophe si les mécanismes ne disposaient pas de ces contrôles de fiabilité des ordres humains.
Les deux WOIOA (Lits de mousse en lévitation) se rapprochent jusqu’à être au même niveau. L’épouse et l’époux peuvent, s’ils le désirent, initier leur contact conjugal.
Nos relations de type sexuel se développent sur un plan différent des terrestres. En premier lieu la psychologie sexuelle diffère de celles des OEMII (hommes et femmes) de cette planète.
L’éducation se développe sur des canons différents et enfin les pratiques et habitudes adoptées présentent bien sûr des différences spécifiques. Nous allons tenter de résumer une matière si complexe.
L’évolution sexuelle se développe par des procédures physiologiques et psychologiques qui montrent des divergences marquées. Tout d’abord la puberté commence chez les UGEE et UUYIE (enfants) vers les quatorze ans terrestres pour les premiers, la première menstruration survient entre 15,5 et 16,6 années pour les filles.
Un facteur important à considérer est la localisation des zones épidérmiques auxquelles s’associent une tonalité érogène marquée. Chez la YIE (femme) de telles zones érogènes se localisent dans les organes reproducteurs externes, le ventre et les fesses, les seins et les hanches. La plus grande insensibilité se trouve sur les zones faciales (pas même sur les lèvres), les cuisses et la gorge. Chez le GEE (Mâle) la localisation pour les tendances de la libido féminine s’oriente sur l’organe reproducteur, ventre et fesses.
Ne vous étonnez donc pas que le baiser manque totalement de signification sexuelle pour nous. Cette pratique seulement connue sur cette Planète Terre pourrait être considérée comme répulsive pour nous, puisque sans finalité érotique, nous la jugeons comme anti-hygiénique et stérile.
Le début de l’orgasme se réalise en général par voie tactile avec les mains. La caresse dirigée sur les zones érogènes provoque en nous un effet émotivo-sexuel bien supérieur à celui obtenu par vous.
La technique du coït présente une grande analogie avec les pratiques occidentales de la planète terre. Nous ne connaissions pas et nous avons prouvé l’inutilité de certaines formes conseillées par la philosophie hindoue et japonaise. Deux différences peuvent cependant être signalées : la défloration n’est jamais réalisée par une autre personne que l’époux. Il n’existe pas de technique d’hymenectomie dans la pratique chirurgicale, réalisée par des spécialistes de « médecine « .
La mesure du plaisir (PAS SEULEMENT SEXUEL ) nous la réalisons au moyen de l’évaluation d’une fonction, reflétée par une gamme de champs électrostatiques générés par le cortex cérébral. Celui-ci nous permet de vous indiquer comme chose curieuse que la durée de l’orgasme et son intensité relative sont mieux équilibré entre les hommes et les femmes d’UMMO qu’entre les terrestres pour lesquels la durée est plus accentuée chez le sexe féminin.
La psychologie sexuelle revêt pour nous une importance aussi marquée que pour les habitants de la Terre. Cependant tout ce qui est en relation avec la fonction reproductrice est totalement sans préjugé ou sans, comme vous les appelez, » TABOUS « .
L’éducation sexuelle pour nos UUGEEYIE ( garçons et filles) commence à un âge plus précoce que celui qui correspond à l’orée de l’adolescence. D’autre part la formation est imprégnée d’un profond sentiment religieux.
Aucune autre des fonctions biologiques n’éveille en nous une plus grande identification avec WOA (Dieu) que la génétique. Nous ne comprenons pas comment quelques civilisations de la Terre ont pu corrompre et masquer un des processus les plus passionnants de la vie, comme s’ils avaient honte de ce que WOA (Dieu) a généré. Nous, les quelques membres de ce petit groupe d’hommes d’UMMO, déplacés sur la péninsule ibérique, sommes restés surpris en vérifiant la série de mythes paternalistes que les progéniteurs introduisent dans les mentalités infantiles.
L’occultation de la vérité, par des légendes mièvres, faisant (entre autres exemples) référence aux « cigognes » déforme sauvagement l’éducation embryonnaire des UUGEEYIE. Comment les adultes terrestre peuvent-il s’étonner que leurs enfants, au moment ou ils ont accès à la vérité, elle-même déformée par leurs jeunes compagnons scolaires, perdent tout respect et confiance dans les « dires de leurs parents » ? .
Ce premier stade de l’éducation, nos frères d’UMMO l’initient personnellement à leurs enfants, bien avant que ceux-ci n’intègrent les UNAWO UI (centres didactiques)
L’orientation est dirigée avec l’assistance du réseau mondial d’ordinateurs (XANMOO AYUBAA ) qui indique aux parents, en fonction de la psychologie de chaque enfant, le chemin didactique à suivre et résout les doutes qui peuvent apparaître à certains niveaux.
Le processus pédagogique se déroule presque toujours à l’intérieur de l’UULODAXAABI. C’est une chambre ou pièce qui n’est jamais absente dans les XAABIUANNAA (Maisons) sur notre UMMO. Elle est généralement placée dans la partie la plus haute des superstructures du XAABI, et a la forme d’une coupole parfaitement hémisphérique (l’accès est par le sol, puisque cette forme sphéroïde n’a pas de porte).
Par des ordres codés, toute la superficie sphérique de l’UULODAXAABI présente une image tridimensionnelle qui entoure complètement l’individu, lui donnant la sensation de se trouver submergé en pleine action. Vous pouvez l’imaginer comme un cinéma avec les techniques de » Cinérama » dans lequel l’écran est étendu jusqu’à couvrir tout le champ possible de vision, excepté le plan de sustentation ou le sol.
Deux sources de captation des images existent dans chaque foyer d’UMMO. L’une personnelle, intégrée dans un équipement AAXOO UAXOO (émetteur récepteur), stocke au moyen d’une unité statique de DIIO (Titane) les signaux chromatiques tridimensionnels qui doivent constituer l’image.
Le système d’intégration des images diffère totalement de celui employé par les systèmes de télévision terrestre, dans lesquelles l’image est explorée ou balayée par un faisceau de rayons cathodiques dynamique. L’image obtenue par nous accède au contraire directement à l’UEIN GAA EIMII (écran de visualisation), au moyen d’une infinité de cellules terminales d’autant de fibres optiques, dont les sections atteignent seulement quelques microns terrestres. Dans la perception visuelle de cette image n’intervient pas la persistance d’images rétiniennes ni l’effet psychologique ou phénomène PHI connu par les spécialistes terrestre de psychologie.
Cette source d’information que nous pourrions appeler « domestique » emmagasine une copieuse documentation graphique. Vous pouvez penser que dans nos XAABII ou maisons, nous possédons une bonne bibliothèque, des albums de photographies tridimensionnelles et de la musique ou des paroles enregistrées sur disque ou bandes.
Rien n’est plus loin de la vérité. Le matériel graphique utilisé sur notre planète a un caractère provisoire et n’est utilisé que dans des cas particuliers. Nous regrettons de désenchanter les spécialistes en arts graphiques de la Terre, mais sur notre UMMO il n’existe rien de semblable aux procédés de composition typographique, à l’offset, à l’héliogravure ou à la sérigraphie. Ni même ne subsistent les procédés qui gardent certaines similitudes avec la reprographie xérographique ou avec les procédés modernes que vous utilisez de projection électrostatique de couleur (ne pas confondre avec la xérocopie) . Jamais pourtant nous n’avons connu les linotypies. Nos antiques appareils diffèrent assez des actuelles machines planes, des minerves (petites machines à imprimer) et des grandes rotatives terrestres (lisez le rapport accessoire).
Les photographies et les images mobiles sont stockées codées sous forme d’états quantiques au sein d’un cristal de titane (nous n’employons pas le système binaire mais « duodécimal »). Les dessins une fois tracés sur des plaques spéciales, se reproduisent photo-statiquement par un procédé différent de ceux des UULODOO (photographie : appareils photos). Les textes manuscrits se décodent automatiquement en transformant les traits maladroitement tracés sous forme de caractères officiels de notre langage.
La parole reçoit un double traitement. Les phonèmes sont enregistrés dans leur version originale pour être reproduit ultérieurement, comme vous pouvez le faire vous-mêmes sur un magnétophone, mais en même temps sont analysé les différentes voix ou sons et ils sont transformés en caractères officiels lisibles. Chacun de ces documents intimes pour la famille est classé avec une série de chiffres de code qui permet de les sélectionner suivant le besoin. Si l’un de nos frères désire lire un de ces textes, ou contempler une séquence d’images mobiles correspondantes à une vieille fête familiale, il se rend dans son UULODAXAABI, et dans une partie du grand GAA (écran) sphérique il peut lire le texte ou contempler l’image.
La seconde source d’information visuelle est le XANMOO AYUBAA . Ce réseau qui couvre tout Ummo, non seulement fournit le conseil sur les fonctions scientifiques ou offre ses services de calcul ou règle le trafic des UEWA entre autres nombreux services. Il envoie aussi tout type d’images aux habitants des XAABII (maisons) depuis des textes polygraphiés jusqu’à des vues panoramiques des belles régions polaires. Depuis des reproductions de vieux documents historiques jusqu’à de simples images pédagogiques pour l’apprentissage de l’enfant. Depuis des images animées (vous les appelleriez cinématographiques) qui occupent tout le GAA (écran hémisphérique) correspondantes au processus de fabrication des fibres optiques dans une fabrique située à des centaines de KOAE, jusqu’à la vision d’un de nos enfants durant l’UAMII (repas) dans le UNAWO UI (colonie universitaire).
Bien plus: les YIE (épouses) peuvent commencer l’éducation sexuelle de leurs enfants en offrant au moyen de l’UULODAXAABI une séquence de dessin ou d’images élémentaires qui montrent le processus de reproduction. Nous accordons à l’enseignement par l’image beaucoup plus d’importance que ne le font les terrestres. La sobriété chromatique et des formes dans les dessins destinés à l’enseignement des premières années est soigneusement calibrée. Un dessin où une photographie qui peut satisfaire un UUGEE (enfant), peut-être inefficace d’un point de vue didactique et même contre-indiqué pour un autre.
Les petits vont prendre conscience de l’importance des fonctions reproductrices en reliant ces concepts à l’idée de la génération du WAAM par WOA (Dieu). L’enfant apprécie depuis sa première enfance le caractère sublime de la maternité. Il commencera à comprendre et penser de très bonne heure le processus de la gestation. La tendresse avec laquelle un enfant enveloppe sa mère quand elle se trouve dans cet état est une réaction commune dans l’enfance.
Mais à la frontière avec l’adolescence (avec le début de la puberté) peuvent surgir dangereusement les habitudes d’onanisme. Il existe sur ce point un parallèle évident avec les terrestres. Quand les spécialistes d’UMMO affrontèrent ce problème qui affectait presque 100% des UGEE (jeunes garçons) et 38 % des UUYIE (jeunes filles), il y a de cela des milliers d’années d’UMMO, ils crurent trouver la solution grâce aux contrôles par réflexes conditionnés. Mais la mise au point de la solution eut un résultat aberrant. Les enfants étaient secrètement contrôlés par des équipes qui, par l’intermédiaire de la détection de variations hormonales, connaissaient le moment auquel l’enfant commençait une telle pratique. Instantanément l’enfant ressentait une forte piqûre provoquée par une décharge électrostatique, qui lui provoquait une forte inhibition.
Les résultats furent désastreux comme nous vous en informerons.
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO.
Nous vous rappelions dans le rapport antérieur quelles furent les premières bases de nos spécialistes pour réprimer les pratiques masturbatoires des enfants de notre planète.
On crut que la forte inhibition des premières tentatives de l’UGEE (ENFANT), initiée par une décharge électrostatique de potentiel élevé bien que sans danger pour l’organisme, créerait des défenses de l’individu (réflexes) contre ce vice.
Et malheureusement il fut ainsi : dans un très grand pourcentage de cas (87, 2% des cas analysés) les jeunes cessèrent leurs pratiques onanistes. La tragédie apparut plus tard lorsque ces mêmes individus présentèrent des symptômes d’impuissance IWOIA (procréatrice). La résistance de caractère psychogène à l’érection, les symptômes comme IDDOANAA ADIUU (anorexie), UNNIEYA GIADAA (céphalées), OAWUO WUANAI (tachycardies), et des formes de BIEEBUTSOA (inhibitions psychomotrices), en plus de l’absence de contrôle érectile, rendirent incapables ces malheureux de fonctions matrimoniales normales.
Naturellement cet échec ne découragea pas nos experts en BIEEWIGUU (psychobiologie) et grâce à eux nous avons obtenu que nos jeunes accèdent à notre époque à l’OMGEEIIE (mariage) sans jamais avoir expérimenté l’orgasme. De ceci nous parlerons dans un autre rapport.
De plus le jeune habitant d’UMMO ne passe pas beaucoup de temps entre la puberté et son union conjugale. Nous jugeons que c’est une atteinte aux divines lois de WOA de nous maintenir dans le célibat une fois que les facultés reproductives se sont développées. Dans un rapport antérieur, Monsieur SESMA, nous vous avons illustré la manière dont nos frères arrivaient rapidement à cette union au sein même de l’UNAWO UI (colonie d’enseignement), alors qu’ils se trouvent en pleine phase de leur formation intellectuelle et professionnelle.
Les contrôles psychosociaux, concernant les apparitions sporadiques d’érotisme morbide, sont rigides et efficaces. Ce n’est pas parce qu’existent des organes officiels chargés de veiller sur l’humanité de notre planète contre la sexualité effrénée. C’est simplement que la même société rejette par des mécanismes instinctifs de défense l’individu qui malgré les moyens pédagogiques et prophylactiques efficaces, présente des symptômes étranges dans sa conduite sexuelle.
Par exemple :La XIIXIA KEAIA (prostitution) apparut dans les premiers stades de notre humanité. Il existe de vieux témoignages des anciens AASE OUIA (chefs ou gouverneurs), dictant des décrets pour réguler ce trafic de femmes.
Les familles nombreuses décidaient le nombre de leurs rejetons de l’un ou l’autre sexe. Ceux en supplément de ce chiffre, étaient livrés aux XIIXIOUIAA (femmes et hommes qui réglementaient ce trafic). Tous les hommes non mariés avaient le droit de cohabiter périodiquement avec ces malchanceuses ( un nombre de fois fonction du nombre de demandes de ce genre et du nombre de femmes disponibles chez le XIIXIOUIA). Avec la particularité qu’existait aussi des GEE (hommes) contrôlés dans ce triste but, qui accordaient aux YIE célibataires le même privilège.
Le contrôle absolu de cette tare sociale était cependant effectif. La situation cependant finit par se déséquilibrer sérieusement sous l’hallucinant mandat d’une UYIE (enfant) connue dans notre histoire.
WIE 1, fille d’OOUA 33 et de sa prédécesseur au pouvoir IE 456, impose capricieusement (poussée par d’occultes motivations infantiles et sur les conseils de sa mère) la consigne que toutes les femmes d’UMMO qui arrivaient en phase d’IWO (faculté de procréer) devaient tomber enceintes.
La mesure humiliante éleva d’affreuses clameurs dans cette pauvre société soumise aux arbitraires de la UUYIE (enfant), qui à cette période n’avait pas encore quatorze « années terrestres ».
Seules les épouses et enfants des hauts fonctionnaires de ce gouvernement autocratique et celle des membres de la ténébreuse WOODOO (espèce de police) furent dispensées de ces ordres drastiques.
L’explication officielle justifiait ces consignes par la nécessité d’une expansion démographique qui rendrait possible l’ambitieux plan scientifique de la précédente au pouvoir: IE 456, fille de NAA 312.
Les malheureuses YIE (femmes) jeunes et d’âge mur savaient que les inspecteurs chargés de les examiner les condamneraient à mort si elles ne manifestaient pas les symptômes de la gestation. Des milliers de malheureuses stériles se suicidèrent et de très nombreuses épouses (quant leurs époux ne réussissaient pas à les féconder) se livraient désespérées aux centaines de milliers de GEE qui commencèrent à proliférer dans un nouveau et répugnant métier . De ce fait, la XIIXIA KEAIA (prostitution) jaillit avec une nouvelle force destructrice, anarchiquement, en revêtant la circonstance effroyable que le sexe féminin ne s’y livrait pas pour le lucre personnel mais poussé par des réflexesi de défense face au risque de génocide. (Note1)
Note 1
Quelques URAA (chroniques de l’époque) relatent des scènes épouvantables de ces Xii (jours). De nombreuses YIE, terrorisées, simulaient avec des morceaux de YUUWO (substance d’éponges végétales) cachés entre la tunique et le ventre, un état pseudogravide. Les agents de la WOODOO (police) les démasquaient et leur ordonnaient de se dénuder sur la voie publique, en faisant abstraction des sanglots et des cris hululant des malheureuses. Elles étaient traînées dans cet état jusqu’au lieu de contrôle le plus proche où, après avoir été l’objet de toutes sortes d’excès, elles étaient destinées au centre de vivisection.
On pouvait donc espérer que passée cette sombre étape de notre histoire, après la mort de la petite tyran (déchiquetée par l’onde de choc d’un explosif), les douloureuses tares disparaîtraient de cette société torturée. Il fut impossible de freiner la vague de prostitution qui s’étendit sur notre astre.
L’évolution lente de notre société, l’augmentation continue des biens de production (OUMBOO) et par conséquent l’augmentation du bien-être social, de l’éducation et du progrès scientifique réduisirent peu à peu le nombre de ces tares sexuelles, jusqu’au début de notre ère qui fut aussi l’époque qui marque la disparition d’un aussi terrible mal. Seuls subsistèrent de rares cas de YIE dont la constitution génétique prédisposée à cette tare de l’hypersexualité dans un groupe réduit de traits pathologico-sexuels bien définis. Les techniques de contrôle les plus modernes, durant le processus de gestation, des divers facteurs psychopathologiques, ont permis d’obtenir que de nos jours, l’existence d’individus de sexe féminin affligés de ces tendances, constitue une véritable rareté : la société réagit devant ces cas étonnants avec une exquise prudence et une affectueuse sollicitude. La malade est isolée et soumise à un traitement qui, parce que tardif et malgré l’avance de notre technique, n’assure pas la rémission du syndrome, bien que dans des maladies très rares nous arrivions à un pourcentage très élevé.
Par conséquent nous ignorons, sur UMMO, une grande partie de la large gamme des perversions sexuelles, si habituelles sur la planète terre.
Nous ne connaissons pas actuellement toutes les formes de sado masochisme, fétichisme, bestialité, nécrophilie, narcissisme, et les rares cas d’homosexualité peuvent être contrôlés par l’intermédiaire de la régulation hormonale, après intervention adéquate sur les mécanismes neurocorticaux et endocriniens, et sans nécessité d’abord chirurgical.
Un aspect intéressant pour vous sera sans doute le contrôle de l’IWO
Nous pouvons contrôler parfaitement le cycle de nos femmes. Cette régulation cependant est fortement liée aux impératifs et inhibitions de caractère religieux. Nos OMGEEIIE (couples) ne tolèrent jamais une régulation arbitraire dont l’unique mobile serait l’égoïsme personnel ou la satisfaction malsaine.
Notre religion nous oriente très sérieusement vers cet extrêmité. Ainsi nous ne comprenons pas comment l’homme peut vivre sauvagement dans une société dont l’expansion démographique ne soit pas contrôlée par ce même homme qui a reçu la faculté de s’autogouverner de la part de WOA ( Dieu). Ainsi que vous ne concevez pas une société où les hommes mangent de manière désordonnée et peuvent interpréter leur liberté comme le relâchement des mesures inhibitrices contre leurs institutions. Vous devez vous apercevoir (et en effet l’église Catholique Romaine commence à admettre sur Terre un tel principe) qu’une société consciente de sa finalité et de son évolution doit créer des leviers de contrôle à sa propre dynamique expansionniste.
Mais ces mesures ne doivent pas être imposées tyranniquement par un gouvernement paternaliste qui force les membres de la société à contrôler la naissance des enfants à l’encontre de leur propre conscience et volonté. C’est la famille même qui en acquérant conscience de sa propre responsabilité adapte les mesures les plus efficaces pour son bien et le bien de la société dans laquelle elle est incluse.
Les parents d’UMMO planifient le nombre de leurs enfants après une longue et soigneuse analyse. Ils compteront toujours avec les conseils des ministres religieux. Ils consulteront toujours le XANMOO AYUBAA (réseau d’ordinateurs) pour soupeser les centaines de facteurs qui doivent converger vers une mesure de cette nature. Nous ne nous angoissons pas. Nous évaluons méthodiquement les pour et les contre. Les facteurs génétiques, notre situation professionnelle, l’intelligence des parents, nos propres caractéristiques psychoaffectives ou sentimentales… et nous agissons en conséquence.
Sont proscrits sur notre planète les procédés artificiels anti-conceptionnels… Simplement parce qu’ils ne sont pas nécessaires.
En premier lieu nous avons dans toutes les XAABIUANNAA (habitations) des équipements détecteurs que nous appelons IWOUAXOO. Ceux-ci sont basés sur l’analyse des champs électromagnétiques générés par le cortex cérébral de la femme. Tout le métabolisme de l’homme peut être examiné par cette analyse. L’appareil détecte les petites altérations au cours du cycle de l’ovulation, en analysant soigneusement toutes les phases .
On a la connaissance exacte, non seulement des divers stades de maturation de l’ovule au sein de l’ovaire, mais aussi et évidemment de son passage par l’ODAXIXAA (appelé par vous « trompe de Fallope »).
Mais c’est que, en plus, nous pouvons réduire le temps de présence de l’ovule entre deux points de son parcours au moyen de techniques qui permettent ce contrôle à distance.
Nous n’allons pas vous cacher l’importance que revêt ce contrôle, puisque la fertilité de la YIE est intimement liée à la présence de l’ovule. Non seulement nous connaissons la période de fertilité avec une totale exactitude mais nous pouvons la réduire ou l’amplifier. (Dans certaines limites : période minimale de fertilité : 46 UIW. Période maximale fonction des caractéristiques somatiques de chaque femme).
C’est pourquoi il n’existe pas de difficulté en ce qui concerne le contrôle des naissances.
Comme note importante : Nous vous dirons que quand l’OMGEEYIE décide de concevoir un nouvel enfant, cette nuit-là revêt un cérémonial inusuel. Le couple a l’habitude d’être explicite et de communiquer la décision confidentiellement aux personnes qui vivent près de lui, y compris les autres enfants. La bonne nouvelle est toujours communiquée au ministre religieux, qui accours sous quelques UIW pour féliciter le couple et les exhorter. Ces veillées extraordinaires ne sont jamais célébrées avec des nourritures spéciales. Au contraire, la régularité de celle-ci ne s’altère jamais pour des motifs d’hygiène qu’il est inutile de démontrer. Mais elles (les veillées) sont célébrées avec une véritable symphonie olfactive. Avec une merveilleuse cession d’IAIKEAI (art des parfums) dans laquelle la YIE essaye de briller devant ses proches.
Cette nuit est une merveilleuse étape dans la longue marche de l’OMGEEYIE d’UMMO, à travers le WAAM généré par WOA ( Dieu). Cette nuit les deux époux auront usé de cette merveilleuse faculté de générer, faculté léguée par notre Dieu pour l’évolution de l’humanité. Un nouvel ÊTRE va naître.
A disparu cependant l’antique coutume d’enregistrer sur les archaïques IBOZOOIXINAA (Voir rapport accessoire) les exclamations de plaisir exprimées durant l’orgasme de cette nuit solennelle. Bien qu’encore maintenant des GEE et des YIE d’UMMO enregistreront parfois encore ces sons revêtus pour nous de résonances affectives et sentimentales qui nous émeuvent profondément. Et dans la vieillesse : quand nos parents se seront converti en hélium, et que leurs BUUAWAA (âmes) s’identifieront à WOA, nous pourrons revivre à nouveau l’instant qui marqua notre conception somatique au sein de ce WAAM.
AELEWE
INFORMATION ACCESSOIRE
Langue : Espagnol
Sur demande du Professeur
Fernando Sesma Manzano
Madrid
N° de copies: 1
Pour satisfaire conformément à votre demande concernant les relations sexuelles sur UMMO, nous allons développer nos précédents rapports.
- Physiologie et SEXE.
Notre morphologie sexuelle est conditionnée par la structure physiologique qui, dans notre cas, diffère très peu de la votre.
Tous les mécanismes endocriniens qui régulent le courant hormonal ont, comme chez les Hommes de la Terre, une morphologie identique et subissent des processus légèrement différents en ce qui concerne la femme et sont dus à de petites différences du milieu dans lequel nous évoluons (oscillations thermiques différentes, pression atmosphérique très irrégulière, poids différents pour la même masse à cause d’une plus grande accélération de la gravité…).
- PSYCHOLOGIE DU GEE (HOMME) ET DE LA YIE (FEMME).
Quand les garçons et les filles d’UMMO ont atteint leur maturité mentale, (elle ne se mesure pas en fonction de l’âge physiologique qui, bien sûr, commence au moment même de la fécondation, instant que nous connaissons parfaitement, mais en fonction de l’âge intellectuel ou mental) ce sont les parents qui par des moyens phonovisuels standards adaptés spécifiquement à la mentalité infantile (les données sont remises au plus proche composant du réseau SANMOO AYUBAA (espèces de cerveaux électroniques, bien que dans ce cas précis ils ne soient pas électroniques, qui régulent toute l’activité sur UMMO) vont informer leurs enfants dans le domaine sexuel. Sur UMMO cette information n’a jamais été « tabou ».
Cependant l’éducation des hommes et des femmes est très différente de celle de la Terre.
La femme s’introjecte (NdT: Processus inconscient par lequel l’image d’une personne est incorporée au Moi et au Surmoi) un sentiment spécial de pudeur qui, bien qu’il soit difficile de le résumer ici, peut être résumé ainsi :
« ELLE PEUT SEULEMENT MONTRER SON CORPS À SON ÉPOUX. IL LUI EST PERMIS, TOUT EN OBSERVANT L’UAA (MORALE) DE CAPTER L’ATTENTION DE L’HOMME AVANT LE MARIAGE »
Le premier principe est profondément enraciné chez la YIE (femme) bien que les coutumes sur ce point aient évolué tout au long de notre histoire, la femme couvre toujours avec une discipline rigoureuse son thorax durant toute sa vie. Elle n’a par contre aucune réticence en ce qui concerne les cuisses, les bras, la tête, la gorge, les mains et les pieds qui ne sont pas considérés comme des zones érogènes. Il en est de même pour les lèvres et le baiser qui n’a pas de sens pour nous. Sont des zones érogènes (plus que chez les femmes terrestres): les organes génitaux, les seins, le ventre et les fesses. Nos femmes ne se déshabillent jamais d’elles mêmes devant un homme qui ne soit pas leur époux, ni devant d’autres femmes.
Quand la YIE (FEMME) doit se soumettre à une intervention de type chirurgicale, elle se recouvre au préalable la peau par un UBAA SIAA (espèce de pigment colloïde qui colore la peau de taches polychomes). Cette substance chimiquement inerte ne perturbe pas l’épiderme dans son traitement thérapeutique.
Le degré d’humiliation subit par la femme, quand cette norme est transgressée contre sa volonté, est très intense au point que l’une des peines prévues par le code légal d’UMMO soit précisément la nudité.
Mais la femme peut exhiber sa constitution organique avec certaines limites fixées par l’UAA (code religieux-moral) pour influencer sexuellement l’homme.
Garçons et filles sont éduqués à partir de 13,68 ans dans une sorte d’université, petites villes en miniature où la discipline est rigide, ce qui rends toute leur vie conditionnée à cette formation. Ces centres sont appelés UNAWO UE.
La coéducation est seulement appliquée à certains groupes réduits d’adolescents dont les membres accusent à l’électroanalyse cérébrale et à l’examen psychique, des tendances à l’homosexualité. Tendances que nous avons pu corriger depuis longtemps
Durant quelques heures dans la journée, les jeux et les unions amicales entre les jeunes des deux sexes sont autorisés, soigneusement stimulés et régulés.
C’est vers 15,5 ans que l’adolescent (e) doit choisir son partenaire et soumettre son choix aux autorités enseignantes qui examinent, grâce au réseau de SANMOO AYUBAA (CERVEAUX OU ORDINATEURS D’UMMO) l’éventuelle incompatibilité physiologico-mentale du futur couple. Si le résultat est positif, le garçon fait cette demande (jusqu’à maintenant tenue secrète) à la jeune fille choisie.
De plus, celle-ci est généralement plus jeune que le garçon d’un point de vue physiologique. Ce qui signifie qu’elle n’a pas eu encore sa première menstruation. Si elle accepte, tous deux doivent attendre que cette phase biologique de la UUYIE (enfant) se produise pour pouvoir commencer leurs relations. Ils ne peuvent communiquer ni phonétiquement, ni télépathiquement et une transgression découverte provoquerait la rupture du mariage prévu, en plus de la honte publique des transgresseurs.
A un âge (qui varie selon les régions et la constitution physiologique), compris entre 15,4 et 16,6 ans (terrestres), la jeune fille atteint la puberté et elle fait une petite fête avec ses amies étudiantes (la confession de la première menstruation et de celles qui suivent n’est pas « tabou » sur UMMO) et elle en profite pour donner la seconde réponse – positive ou négative – au jeune sollicitant.
Alors commencent des espèces de fiançailles pendant lesquelles, tout en continuant leurs études, les deux enfants reçoivent une intense formation de la part d’instructeurs spécialisés ; formation orientée vers la vie matrimoniale du point de vue sexuel, religieux, planification des fonctions conjugales. Les instructeurs montrent à chacun d’eux la biographie intime de l’autre et leurs caractéristiques psycho-physiologiques en adaptant rigoureusement cette éducation à ces caractéristiques. De plus, parallèlement à cette formation, des relations spirituelles et corporelles sont établies ; ces dernières étant limitées à un mode purement tactile, sans qu’aucun des deux partenaires n’ait accès directement aux zones érogènes de l’autre. La durée limite de cette phase de relations pré-matrimoniales est fixée au couple par les autorités enseignantes qui sont attentives aux divers facteurs qui interviennent pour chaque cas (ces facteurs sont pondérés mathématiquement et traités dans les ordinateurs du Réseau Mondial déjà mentionné). Mais ne croyez pas que de telles planifications nous transforment en de simples machines exemptes de liberté, intimité et spiritualité.
Précisément l’aide de tels moyens rend plus fécond, d’un point de vue spirituel, le mariage car en donnant aux jeunes une information exacte et une orientation qui intègre tous les facteurs somatiques, mentaux, religieux et philosophiques entourant leurs fiançailles, on évite avec un pourcentage très élevé, les énormes crises provoquées par les brusques contrastes psychologiques que subissent les jeunes Terrestres qui n’ont pas eu une telle orientation.
Nous obtenons ainsi une harmonie spirituelle si grande qu’en peu de temps (si la liaison pré-matrimoniale ne se rompt pas d’un accord mutuel) nous sommes prêts pour le mariage religieux et légal.
Sur UMMO nous estimons que l’intervalle entre l’apparition de la puberté et le mariage doit être minime car le contraire constitue une extorsion des lois biologiques de WOA (créateur appelé par vous DIEU). La seule parmi les quelques planètes habitées que nous connaissons, où la société a été si troublée qu’elle tolère de grands intervalles entre la puberté et l’union sexuelle rationnelle, est la planète terre.
Nous ne connaissons donc pas de maladies endémiques comme la prostitution ou les perversions sexuelles diverses.
- l’ Omgeeyie (MARIAGE).
Cependant les parents ont été informés officiellement de la décision de leurs enfants respectifs, quoiqu’ils n’interviennent absolument pas dans la décision. (sur UMMO, le degré de respect pour les procréateurs se traduit par une véritable vénération mais sans qu’ils interviennent dans le (libre) arbitre des enfants à partir de 13,68 ans).
On célèbre donc une simple cérémonie rituelle religieuse et légale dans l’UNAWO UI en présence seulement du ministre religieux, des autorités enseignantes directes, des parents et frères. Le rituel prescrit au total la présence de douze personnes (mais ce chiffre est purement conventionnel et de type historico-religieux).
Immédiatement, le couple se déplace dans une pièce voisine, isolée au point de vue acoustique, pièce où s’accomplit le rite de la défloration. Pendant ce temps, les parents et la famille qui ont été maintenant admis, attendent dans une ambiance animée que se termine cet acte.
Quand l’époux apparaît de nouveau, il est salué respectueusement et ils vont voir l’épouse qui doit garder le lit pendant 4000 uiw (environ 8,6 jours: ndt ) (Un uiw équivaut approximativement à 3,1 minutes). Le OMGEEYIE (MARIAGE) a été consommé officiellement.
- LA PRÉDOMINANCE DU GEE (MÂLE).
L’OMGEEYIE (COUPLE) ainsi continue sa formation intellectuelle ou de travail au sein de la UNAWO UI . Le GEE, par exemple, étudiera pour être UNIIEAOEMII wioa (ANALYSTE DU CORTEX CÉRÉBRAL) pendant que la fille fera des études en OULIOOA GIIA (spécialiste en contrôle météorologique).
Une fois diplômés, ils passent au service d’UMMO aux ordres du )+( UMMOAELEWE (CONSEIL D’UMMO) car tous les habitants d’UMMO peuvent être considérés comme ce que vous appelez des « Fonctionnaires de l’État ».
Immédiatement ils choisissent ce qui va constituer leur foyer. A l’intérieur de leurs professions respectives ils peuvent s’adapter à une ou plusieurs cités et là, acquérir comme nous disons, une maison fonctionnelle et un mobilier qui s’adapte à leurs besoins. L’acquisition se fait en consultant le SANMOO AYUBAA (réseau d’ordinateurs) qui les renseignent non seulement sur le solde en leur faveur, mais aussi sur le montant qui leur convient et qu’ils ont le droit de dépenser pour leur acquisition. En nous référant à un solde et à un montant à dépenser, n’oubliez pas que nous devons employer des termes espagnols pour traduire des paroles intraduisibles car sur UMMO l’argent n’existe pas de la manière dont vous le connaissez. Les deux jeunes, tout au long de leurs études, ont accumulé une rémunération qui est fonction de leurs capacités intellectuelles et de leur rendement dans ce travail.
Une telle rémunération, exprimée mathématiquement, est conservée dans cette Centrale XANMOO AYUBAA . C’est maintenant qu’ils peuvent l’utiliser, un peu comme si vous aviez accumulé votre capital dans une Banque (nous répétons que dans notre cas il ne s’agit pas d’argent même si vous pouvez penser à une espèce de transfert bancaire dans ce cas).
La vie conjugale s’écoule placide et sereine à partir de maintenant. Dans le foyer la plus grande autorité est aux mains du GEE (homme) et celle-ci n’est jamais discutée.
La YIE (femme) se soumet entièrement à son époux. Sur UMMO, il n’y a pas ce type de couples de la Planète Terre où l’autorité de l’homme est seulement nominale. Au contraire les tendances masochistes de la femme d’UMMO sont plus accusées que chez celles de la Terre.
306 LES ENFANTS.
Le but primordial de l’OMGEEYIE (COUPLE) est l’amour conjugal. Nous séparons parfaitement les tendances attractives purement psychosexuelles du courant affectif spirituel qui surgit entre deux êtres.
Le pourcentage d’OMGEEYIE qui échouent est si faible que l’on considère les rares cas connus comme étiologiquement pathologiques.
D’autre part, ceci n’est pas surprenant car l’union conjugale fut précédée par une analyse exhaustive des facteurs psychophysiologiques du GEE et de la YIE. Un couple chez qui ont aurait présumé des futures incompatibilités spirituelles, n’aurait jamais eu l’autorisation de se former.
Le second but est l’IWO (PROCRÉATION). Pour les URAAIWOO (Spécialistes en OVULATION) d’UMMO, le contrôle de l’ovulation de la femme est résolu depuis de nombreuses années. Les périodes de stérilité peuvent être fixées parfaitement sans l’utilisation d’autres moyens contraceptifs dont la nocivité attente aux postulats de l’éthique religieuse.
L’UAA prescrit l’obligation de la procréation en fonction des caractéristiques de chaque OMGEYIE (comme par exemple la santé de la mère, le grade hiérarchique du père et par conséquent les plus grandes possibilités de dotation, l’absence de tares mentales et le degré de capacité mentale pour élever les enfants…). L’empêchement d’une fécondation pour des mobiles égoïstes peut constituer une grave transgression aux divines lois UAA de WOA, tout comme le manque de contrôle qui provoque la naissance d’OEMII (CORPS HUMAINS) que les parents ne peuvent pas former. Quand cela arrive, le gouvernement d’UMMO se charge de ces enfants et les parents, même s’ils ne sont pas sanctionnés, sont rejetés par les amis et les familiers (le contrôle de la natalité est légalement obligatoire). Ainsi il n’est pas nécessaire, et cela n’est pas une norme d’éthique, d’obliger les parents à planifier le nombre exact de leurs enfants car de telles normes se produisent pour des mobiles religieux, et dans chaque cas douteux la consultation, avec un degré de fiabilité très élevé, résout le problème sans exercer aucune contrainte.
Les temps ténébreux où une cruelle enfant fut propriétaire d’UMMO sont révolus. Celle-ci, IEE 456, fille de NAA 312, pour compenser les milliers de véritables assassinats qui se produisaient chaque jour au nom de la science, humiliait toutes les femmes d’UMMO en les soumettant continuellement à l’insémination artificielle, à tel point qu’une YIEE (femme) qui n’était pas en phase de gestation, sauf pour des raisons de stérilité, était condamnée à mourir d’inanition exposée nue à la honte publique.
306 LA FEMME DEVANT LA SOCIETE D’UMMO.
Si la femme se soumet d’une manière inconditionnelle à l’autorité du mari dans son foyer sans que cette position suppose l’annulation du droit d’opinion et sans diminution de la dignité de la YIEE, sa position devant le Gouvernement et la société d’UMMO est comparable, avec les mêmes droits, à celle du GEE.
Cette situation légale provoque chez nous une ombre du point de vue spirituel que nous acceptons comme un mal nécessaire. En résumé, la situation professionnelle et hiérarchique de la femme est donc fonction de sa capacité physiologico-mentale de façon que chacune, indépendamment de son âge, montre dans son UMMOGAOEAAO DII (FORMULE D’IDENTITÉ QUI REFLÈTE L’INTELLIGENCE ET LES AUTRES FACTEURS DE CIVISME) une capacité spécifique qui la promeut automatiquement au poste hiérarchique qui correspond, sans tenir compte de l’âge, sexe ni catégorie des procréateurs, de ceux qui vont maintenant lui être soumis, à elle.
(Aujourd’hui aucun des quatre membres du UMMOAELEWEE OA – CONSEIL DE UMMO – n’est une femme, mais parmi les cent-seize membres du Sousconseil, vingt-huit sont des YIEE (FEMELLES)).
Nous, les hommes, nous acceptons cette situation avec un degré d’humiliation beaucoup plus élevé que les mâles terrestres dans les cas analogues, surtout dans les groupes que nous pourrions appeler PARAMILITAIRES où le grade hiérarchique a une autorité omnipotente (POLICE, CORPS D’INSPECTION, GROUPES DÉPLACÉS DANS DES VOYAGES INTERPLANÉTAIRES…). L’homme se sent alors véritablement malheureux quand son supérieur immédiat appartient à l’autre sexe mais nous l’acceptons avec intégrité et discipline.
Un seul droit nous assiste toujours, la critique de nos supérieurs, qu’ils soient GEE ou YIE, mais nous devons obéir, soumis, même si les ordres sont injustes selon notre jugement. Ne croyez pas que la hiérarchie se venge à cause de ces critiques, au contraire elle les étudie soigneusement et ensuite elle agit en conséquence.
RAPPORT ACCESSOIRE SUR LES ARTS GRAPHIQUES.
Il peut sembler bizarre pour les spécialistes de la Terre en typographie, reproduction photomécanique, reprographie et tirage, que nous concédions aussi peu d’importance aux matériels imprimés.
Cette vision des choses est incorrecte : en premier lieu il n’est pas vrai que les techniques de reproduction sur support laminaire (NOUS N’EMPLOYONS JAMAIS DE PÂTE DE CELLULOSE) soient abandonnées comme nous le verrons ensuite. D’autre part, considérez que si au niveau de notre civilisation nous devions dépendre du registre documentaire imprimé comme vous le faites encore, nous les hommes d’UMMO serions morts » asphyxiés » par un immense patrimoine de montagne de papier imprimé.
Dans la pratique et pendant que nous restons dans notre XAABII (FOYER) une pièce que nous ne dénommons phonétiquement UULODAASAABII, pourvu d’un énorme écran sphéroïdal (HÉMISPHÉRIQUE) nous sert de visualisateur pour consulter le document que nous le désirons lire. Avec l’avantage que de nombreux graphiques dessinés peuvent être vus stéréoscopiquement. Un UUGEE (ENFANT) peut ainsi étudier une série de formes géométrique polyédriques, en les voyant réellement dans l’espace, au lieu de se contenter de simples projections bidimensionnelles, en s’éduquant ses tendances eidétiques stéréo spatiales.
Mais naturellement nous ne sommes pas toujours à l’intérieur de nos habitations. Il n’est pas non plus toujours commode de porter les équipements pourvus de UEIN GAA EIMII (ÉCRAN VISUALISATEUR D’IMAGES) qui remplacent nos UULODASAABII pendant nos voyages. C’est alors que nous pouvons réellement avoir besoin du texte imprimé, d’une photographie tridimensionnelle imprimée, de graphiques, dessins au diagramme, plan ou cartes géographiques, tables numériques, abaques monographiques, etc. …
Des équipements auxiliaires dénommés GAA OBEE agissent comme transducteurs en convertissant l’information codée, stockée dans les XANMOO, en image imprimée (CARACTÈRE LISIBLE : PHOTOGRAPHIE OU DESSIN ET GRAPHIQUES ).
Mais la vie de ces documents imprimés est éphémère. Même plus courte que celle des journaux que vous lisez. Aussitôt utilisé, et pour éviter l’accumulation d’un matériel stérile et que nous pouvons reproduire commodément à volonté, il est détruit, dissous dans un mélange d’acides appropriés.
Comme vous le voyez vous-mêmes la solution au problème relatif à la reproduction de documents imprimés diffère dans notre monde en comparaison à celle apportée par les terrestres.
Quand vous devez composer le texte d’un livre, le typographe extrait les lettres du chevalet, en composant la forme sur sa rangée pour enfin l’imprimer à la fin. En s’aidant d’une simple presse à platine ou d’une machine Plane, qui encre préalablement la forme au moyen d’un cylindre adéquat. La feuille de papier cellulosique a recueilli le format du caractère typographique par transfert de l’encre grasse.
Ou bien, pour automatiser plus le processus, ils auront recours à une linotype dans laquelle un jeu de matrices et un dispositif de fonte remplace avantageusement la composition manuelle et mêmes les équipements automatiques de monotypie.
Si au contraire ils désirent reproduire une photographie ou un dessin, ils auront recours à l’aide des procédés photomécaniques en Photogravure « directe » ou « par ligne » respectivement. En photographiant l’image sur une plaque lame de zinc sensibilisée, et en s’aidant de trames dans le premier cas, pour obtenir par le mordant des acides un cliché ou un groupe de clichés (s’ils désirent par exemple l’impression colorée d’une tétrachromie).
D’autres fois ils utiliseront pour la reproduction d’images, l’obtention d’un cliché métallisé, dont les fines perforations obtenues par un appareil électronique, permettront l’impression au moyen d’une Multicopieuse, ou bien ils sensibiliseront une plaque de sélénium au moyen de potentiels électrostatiques élevés (PROCEDE TRES SEMBLABLE AUX ANTIQUES METHODES SUR UMMO) comme vous le faites avec les photocopieuses Xérographiques.
Ou ils disposeront de diverses méthodes semblables à la photolithographie, l’héliogravure, les procédés thermoplastiques ou l’impression électrostatique par projection d’encres, l’impression photostatique au moyen d’un tube de rayons cathodiques pour la typographie (Qui est le dernier procédé inventé par les terrestres dont nous avons connaissance) etc. etc.
Précisément cette très grande gamme de procédés qui va des anciennes fabrications d’une planche pour la gravure chalcographique, la gravure à l’eau-forte et la lithographie, jusqu’au moderne cliché de photolithographie, a été remplacé par nous par un seul procédé universel de reproduction.
Il est naturel qu’au niveau actuel de la technique terrestre vous ayez besoin de disposer d’autant de techniques d’impression pour satisfaire les besoins de visualisation qu’exigent les hommes de votre planète. Il ne vous sera pas possible de satisfaire avec la même machine par exemple un timbrage en relief et une affiche publicitaire de couleurs brillantes (obtenu par sérigraphie), les trames délicates et d’une trichromie en offset, ou la signalisation des routes au moyen de peintures réfléchissantes.
La base de notre procédé de reproduction de documents est totalement différente. N’importe quel technicien en art graphique le comprendra parfaitement et dans la suite prochaine de ce même rapport accessoire nous le décrirons sommairement. Il est clair que l’actuel stade de la science et de la technologie de votre planète ne permettra pas de le mettre en pratique mais pourra servir d’orientation comme nous le suggérions au Docteur Huber Suter de la République Fédérale d’Allemagne dans un rapport (lequel fut commenté sarcastiquement par le dit Docteur) pour la planification future des techniques reprographiques terrestres.
AELEWE
INFORMATION OOL
Nombre de copie distribuée : 1
Langue espagnole
A la demande du Professeur Sesma Manzano
Madrid
Demande Doo
Conformes à votre demande d’un rapport sur notre Culture, Philosophie et Religion. Vous comprendrez qu’il nous soit impossible de les résumer en quelques pages .
Nous avons jugés suggestifs d’esquisser des morceaux choisis , qui englobent quelques unes de leurs caractéristiques les plus marquantes bien qu’il y ait un risque de le faire d’une manière non systèmatisée .
Un résumé plus étendu et cohérent a été remis en Mai 1965 au professeur K.I. Ivanov (Union Soviétique) . Un autre rapport sur notre système religieux , de caractère confidentiel, a été adressé à l’observatoire de la Cité du Vatican ( Italie ) .
Le risque le plus important que suppose de réaliser cette synthèse réside dans le fait de priver les affirmations qu’elle contient d’une soigneuse argumentation logique .
331 / L’ART .
En toute objectivité , nous devons reconnaitre l’authentique retard de UMMO dans ce domaine par rapport à l’Humanité Terrestre . A présent nous avons compris comment une découverte technique faite par nous dans les premiers stades de notre Histoire a eu pour conséquence d’atrophier tout le développement des manifestations picturales -scupturales , telles que celles qui sont faites sur votre planète .
En l’année 402 de notre seconde Epoque ( on ne connaissait pas encore la nature de l’électrostatique, et les AAKSBOUTZ – moteurs à méthane – n’étaient pas encore apparus ) , un de nos ancètres UUL 76 fils de UUL 73 découvrit qu’en projetant à travers un petit orifice une petite image lumineuse ( naturellement inversée ) sur une plaque de sélénium (préalablement frottée et ensuite saupoudrée du polen d’une plante), cette image reste fixée, comme elle l’était sur l’un des daguerréotypes de l’époque de Niepce sur la Terre .
Aujourd’hui nous connaissons bien la raison :
Si au moyen d’une lentille nous projetons une image quelconque sur une plaque que nous avons tribo-électrisée en la frottant avec un tissu, les zones baignées par la lumière présenteront un potentiel électrique différent de celles non illuminées. Si ensuite nous saupoudrons de talc ou de carbone finement divisé, les zones électrisées retiendront les granulés. Reste alors fixée une authentique photographie de l’image primitive ( le processus réel est un peu plus compliqué )
A partir de ce système, nos ancêtres « repeignaient » ensuite l’image avec des pigments adéquats, jusqu’à ce que l’évolution de la UULAYANA NAI (Electrophotographie ) rendit inutile ce travail manuel secondaire. Mais de cette façon notre humanité n’éprouva pas le besoin de la peinture telle que vous la connaissez , s’atrophiant en partie quelques facultés esthétiques .
332 HISTOIRE DE NOTRE CHANGEMENT DE GOUVERNEMENT- APPARITION DU CONCEPT SCIENTIFIQUE DE WOA .
Dans notre histoire ne sont pas apparues comme parmi vous, de multiples courants de pensées au sujet de l’existence ou de la non existence de WOA ( (Créateur (generador) , appelé par vous Dieu ou Jehova). Au contraire, toute notre culture a toujours été WOASSEE (Créationiste , ou comme vous diriez : Théiste ) . Bien que jusqu’à la vivisection de UMMOWOA on avait tendance à identifier le WAAM – le Cosmos – à WOA ( DIEU ) au moyen d’une constellation de croyances que vous qualifieriez de Panthéïstes .
Il n’existait aucune forme définie de culte . Notre humanité traversait alors une époque hallucinante et angoissante: des centaines de malades psychiques, leurs centres neurophysiques déséquilibrés générateurs d’impulsions BUUAWE BIE télépatiques terrorisaient la population, freinant le progrès de la culture . On pensait plus à faire la chasse à ces malheureux malades qu’à rendre un culte à WOA (Dieu ) .
A cette époque existait encore sur UMMO un Gouvernement monocratique qu’on élisait par proclamation des AAse OGIA ( Chefs de Cité ). Les méthodes de détection de ces malades allèrent lentement en se perfectionnant . Dans l’année 1126 de notre première époque, apparait la méthode AARWIO BUUA EI , précédent de notre moderne AARGA BUUA EI , pour neutraliser leurs hurlements anarchiques, en les tuant à distance, et avec elle s’épanouit toute la recherche scientifique . (Ce triomphe est l’équivalent de votre découverte de l’imprimerie)
Notre peuple respire enfin , libre de son esclavage mental .
Mais, malheureusement apparaissent aussi les premières formes embryonnaires de la tyrannie . Avec IE 456 fille de NA 312 , surgit le gouvernement le plus épouvantablement despotique qu’a connu UMMO .
A l’âge de 8,5 ans (en équivalents terrestres ), IE 456 se révèle être une enfant douée d’un niveau d’intelligence surprenant, et le Conseil Local (Les parents n’avaient pas d’autorité éducative à cette époque ) la destine au ONAWO UII (espèce d’Université ou Centre Polytechnique ) pour l’étude de la OOLGA WAAM (Physique et Cosmologie). A cette époque, les études sur les champs électromagnétiques et la physiologie cellulaire étaient très avancées, bien qu’on continuait à considérer l’Univers comme un continuum à trois dimensions et qu’on ignorait la nature intime de la communication télépathique .
A l’age de 13,2 an, IE 456 est nommée professeur de WAAMTOA (Histoire de la Cosmologie) et commence en même temps ses recherches sur le champ gravitationnel de UMMO . Ses NOA (élèves) étaient tous d’âge supérieur à celui de cette jeune fille très menue et maladive qui leur imposait néanmoins une cruelle discipline de fer. (Sur UMMO le professeur a toujours remplacé le père pendant l’étape scolaire de l’individu ).
Les découvertes de IE 456 : le calcul de la masse de notre planète et la nature de la bande ionisée polaire de UMMO, la firent devenir rapidement la première figure scientifique de notre planète, au coté de IMII 23 fils de IMII 22 créateur de la psychologie moderne .
Quand se dématérialise l’esprit (meurt) du vieux Hierarque OES 17 fils de OES 14 , la petite IE 456 est élue par le Conseil de AASE OUIA (gouverneurs ) réunis dans la vallée NAATOWSEE UA NAII (c’était une coutume ancestrale de se réunir dans l’historique Vallée pour élire le Grand Dignitaire de UMMO et ses douze conseillers ) .
L’opinion du peuple fut cependant opposée depuis le premier instant, et la fine intuition des masses ne fut pas très erronée, bien que la réaction populaire défavorable était motivée par la désagréable sensation de se voir gouverné par une enfant .
332 – RÉGIME DESPOTIQUE DE IE 456, FILLE DE NA 312.
En ce 17ème jour après son ascension au pouvoir, le fameux AAR GOA , elle provoque ce que vous appelez « un coup d’état », en ordonnant d’exécuter neuf de ses douze conseillers et elle se proclame chef absolu de UMMO en invoquant le supposé droit qui lui permet d’accélérer le progrès scientifique. Elle développe alors une théorie philosophique hétérodoxe, théorie selon laquelle:
« le cosmos n’existe pas à priori, mais seulement les esprits des hommes, dont la génération d’images mentales et de concepts ou abstractions intellectuelles CRÉE l’UNIVERS. »
Selon elle, quand un homme découvre une loi biologique ou physique, il est victime d’une illusion : il croit qu’une telle loi existe depuis l’origine du cosmos, alors qu’en réalité il vient de la créer lui-même.
Le destin de l’Humanité de UMMO consisterait donc à accélérer la recherche scientifique, sans tenir compte des moyens, accélérant ainsi la création. IE 456 postule donc que WOA (DIEU) n’est rien d’autre que l’ensemble des êtres de UMMO et que le cerveau de WOA serait elle-même : IE 456, fille de NA 312 !!!. »
On frémit, de nos jours, en pensant qu’une demoiselle qui n’avait pas encore eu sa première menstruation puisse subjuguer ainsi des millions de personnes.(Dans certaines régions de UMMO la puberté apparait vers les 16 ans et la ménopause vers les 45 ans ; chaque fois que nous nous référons à l’année, nous la considérons comme l’unité Terrestre de temps).
Elle planifia la recherche scientifique, dans tout UMMO surgirent des centaines de nouveaux ONAWO UII (espèces de centres d’enseignement où en même temps la vie quotidienne continue), et ordonna que tous les hommes, femmes et adolescents rationalisent d’une manière draconienne leur temps,en le divisant entre les études et le travail.
A 15,2 ans d’âge, IE 456 promulgua les fameuses douze INAIE DUIO (lois ou décrets) selon lesquelles, se considérant comme le WAAMDISAIAYA (quelque chose comme le Centre Coordinateur du Cosmos…, Ahurissant !!) :
-1°: elle se proclame propriétaire de tous les êtres de UMMO, pouvant ainsi disposer de leur vie sans aucune limite.
-2°: elle élabore et standardise pour tout UMMO des rites de culte qui lui seront rendus par tous les humains.
-3°: le but suprême de UMMO est la recherche scientifique et, s’il s’avère nécessaire que tous les hommes meurent à l’autel de la science et de la genèse du Cosmos comme conséquence immédiate, elle n’aurait pas de scrupule à les anéantir.
Ainsi naquit un terrible climat de terreur. Les scientifiques qualifiés dont l’intelligence avait été évaluée au dessus d’un certain niveau, et qui n’arrivaient pas à apporter quelque découverte à la science, étaient torturés d’une manière barbare.
Les femmes, hommes et enfants qui, dans les BIEEWIA (tests psychotechniques) ne pouvaient atteindre un seuil « standard » d’aptitudes mentales, étaient destinés au même usage que vous, sur la Terre, réservez aux cobayes et cochons d’inde. Par exemple, dans AEVO UI ONAAWO (université de AEVO), un certain jour, et seulement en 12 UIW (environ 36 minutes), on en arriva à pratiquer la vivisection de 160 jeunes des deux sexes, d’âge compris entre 17,6 et 22 ans, en leur extirpant sans anesthésie (encore inconnue) une partie de la masse encéphalique pour une expérience destinée à localiser les centres neuro-olfactifs du cortex.
La mythomanie et la cruauté délirante de cette enfant, dont l’image floue des ULAAYANA NAE (espèces de photos pigmentées) de l’époque nous révèlent un teint olivâtre et des yeux petits et inexpressifs, atteignaient des extrêmes honteux.
Pendant ses audiences, (qui, semble t-il, étaient accordées uniquement à des scientifiques prééminents et aux WAAMUA ODEU – penseurs et philosophes -) ses sujets devaient se présenter devant elle totalement dépouillés de leurs vêtements (précisément à une époque où la pudeur sexuelle était profondément enracinée chez nos ancêtres) et les paupières closes par un mastic. Si le jugement à leur sujet était favorable, la YIISAIA (récompense) consistait à leur permettre d’ouvrir les yeux pour la voir et venir boire les AAYA IEAAYA (matières fécales et urine) de la maîtresse de UMMO.
AMU A 47, fille de OGA A 1896, célèbre chercheur en mathématiques, à qui l’on attribue les premières études sur la théorie des réseaux électriques, fut reçue par la jeune despote. La commotion psychique fut si grande, que la malheureuse (dont l’âge était alors de 38,7 ans) ne put contrôler ses sphincters. IE 456, après l’avoir humiliée devant ses servantes, la tortura personnellement, et elle fut ensuite destinée au fameux et sinistre groupe cinq.
332 – GOUVERNEMENT DE WIE 1, FILLE DE OOWA 33.
Pour la première fois et aussi pour la dernière dans l’histoire de UMMO, IE 456 impose sa fillette WIE 1, fille de OOWA 33, comme son successeur dans le gouvernement de UMMO (l’histoire du père, OOWA 33, est une autre sombre énigme de notre histoire.; la version sur ses hurlements télépathiques avant son assassinat aux mains des policiers de IE 456, semble être une légende).
WIE 1 commence à régner sur ses sujets terrorisés à un plus jeune âge que sa mère, le jour suivant sa mort mystérieuse. Elle avait 12,2 ans et cette fois-ci personne n’osa soulever la moindre petite protestation devant ce que l’on appela la UMMOTAEEDA (on pourrait traduire par « puéricratie » ou « infantocratie » de la planète).
Mais WIE 1 n’a pas le grandiose éclat de sa mère. Elle est au contraire d’une vulgaire médiocrité, ce qui ne l’empêche pas de la dépasser en sadisme et d’idolâtrer son propre corps en un paroxysme d’égocentrisme et de narcissisme.
C’est dans ce cadre historique qu’apparait la sublime figure de UMMOWOA , (sur qui nous donnerons une information détaillée) et avec lequel les gens tournent de nouveau leurs pensées vers le Dieu authentique. Apparait alors pour la première fois le culte religieux.
Un explosif, mis semble t-il par une des servantes de WIE 1 par vengeance pour avoir été maltraitée, met fin (de manière aussi dramatique que pour sa progénitrice) à la vie de la stérile adolescente.
Au moins 4 millions de victimes sont enregistrées dans notre histoire durant le fugace mandat de WIE1.
332 – MÉTAMORPHOSE DU GOUVERNEMENT: LE UMMOAELEWE APPARAIT.
Le soulagement avec lequel l’Humanité reçut la nouvelle de la mort de cette odieuse enfant fut suivi par une immense réaction de haine envers tout ce qui représentait la science. Les merveilleux laboratoires USADAADAU brûlèrent en une nuit. Des milliers de DOROOUIAAIE (espèces de phonothèques ou bibliothèques où l’on conservait des enregistrements acoustiques sur la culture, et qui servaient, comme aujourd’hui, de textes pour les études), des centaines d’Universités, la Centrale de OORGAOWI où un gigantesque réflecteur parabolique concentrait l’énergie radiante de uimma pour son analyse, furent détruites par les foules. Il n’y eut presque pas de victimes, où plutôt il y en eut une, innocente, la Science, dont l’évolution fut freinée pendant de nombreuses années.
Mais en échange, resurgit comme une belle colonne d’Oxygéne-Méthane incandescente, la recherche dans le domaine de la philosophie, la WOALA OLEASS (théologie), et aussi les recherches autour des facultés télépathiques et de mathématique pure.
La société de UMMO subit aussi une profonde transformation. La terrible expérience endurée avec l’autocratie entraîne une restructuration du gouvernement de notre planète. La polycratie apparait sous forme du UMMOAELEWE (Conseil Général de UMMO) qui subsiste encore de nos jours avec de légères modifications.
Quatre membres sont élus parmi les citoyens de UMMO sans discrimination d’âge ou de sexe.
Chez tous, hommes et femmes adolescents, on évalue par des méthodes psychotechniques nos capacités mentales. Intelligence, aptitudes et intérêts, facteur de raisonnement, perception spatiale, niveau d’expression verbale-télépathique, puissance de rayonnement, équilibre psychosexuel, degré affectif, possibles réactions psychopathologiques et coefficient de suggestion, sont évalués au moyen d’analyses sur les trains d’ondes cérébrales (une méthode beaucoup plus perfectionnée que vos actuels électroencéphalogrammes).
Au total il se fait une sélection de 120 enfants de 13, 65 ans d’âge, les plus brillantes et équilibrées structures cérébrales de l’Humanité (pas un seul jeune citoyen ne peut échapper à cette analyse).
Tous ces enfants sont éduqués avec une grande attention (la proportion actuelle est de 76,66% de garçons pour 23,33% de filles) durant plusieurs années, puis parmi eux seront élus les quatre EYAOLOOWA dont les caractéristiques psychophysiques offrent le niveau le plus élevé d’aptitude ; puis ils intègreront le UMMOAELEWE qui régit notre destin, pendant 6,4 ans
Aucun des quatre EYAOLOWAO ne peut avoir des attributions de responsabilité supérieures à ses 3 camarades. Si l’on observe le plus minime déséquilibre, prédominance mentale ou suggestive d’un membre, le UMMOAELEWEANII, SOUS-CONSEIL composé de 116 membres, a la possibilité de dissoudre le UMMOAELEWE et d’en nommer un nouveau.
332 – STRUCTURE SOCIALE.
Le reste des humains d’UMMO obtenons une qualification qui se traduit en coefficients ou indices constituants notre UMMOGAIAO DA (formule d’identité). Vous pourriez l’interpréter comme une espèce de trace analytique digitale, qui reflète notre personnalité physiologico-mentale.
Notre éducation ou formation doit s’adapter ensuite à cet UMMOGAIAO DA . De cette manière l’individu dont la structure cérébrale reflète une prédisposition marquée vers les facultés d’abstraction et de raisonnement logique est orienté vers le ONAWO WUA (sorte d’université pour l’étude des mathématiques).
Il est évident que cet homme jouit de la liberté de se consacrer par exemple à l’OEUDEEE (Bio Pathologie) mais alors notre UMMOGAIAO DA (coefficient professionnel ) en fonction duquel se rémunère notre travail, sera inférieur au grade maximum. Ainsi nous arrivons à ce que chacun occupe dans notre société le poste qui lui correspond par ses aptitudes psychosomatiques, sans qu’il n’y soit forcée par aucun régime tyrannique ou incité par son égoïsme personnel ou des privilèges de naissance.
La rémunération pour chaque être d’UMMO est toujours en fonction de son rendement personnel et de son coefficient professionnel et un simple ratio ou coefficient est établi pour l’évaluer.
A = B/C2
où A est la rémunération, B le rendement, C l’évaluation de l’individu.
Observez qu’un individu dont le coefficient professionnel est élevé (c’est-à-dire : très intelligent, forte motricité musculaire, etc. ) devra aussi donner pour obtenir la même rémunération qu’un autre de coefficient inférieur. (A, B, C, sont des paramètres trop complexes pour que nous les expliquions ici ). Ainsi il peut se produire, et de fait il se produit assez souvent, qu’un grand directeur de communication soit rémunéré dans la même catégorie et de la même quantité qu’un simple opérateur d’extraction de glucose. Ceci peut vous sembler étrange et vous pourriez argumenter qu’alors le directeur pourrait extraire le sucre ce qui serait plus facile. D’accord, le directeur de notre exemple extraira autant de glucose que l’autre, mais puisque son coefficient professionnel est plus élevé (puisque ses aptitudes ne sont pas en accord avec sa profession), si vous examinez la formule vous observerez que A est inversement proportionnel à ce dit coefficient. Donc sa rémunération sera très basse.
Nous avons réussi à neutraliser les privilèges de classes qui dans les premières périodes d’UMMO ont causé beaucoup plus de dégâts que chez les hommes de la Terre.
Mais ne comprenez pas que cette rémunération que nous percevons pour notre travail dans la grandiose planification d’UMMO, s’évalue sous forme de monnaie. Une des choses qui nous a le plus surpris chez vous, c’est la curieuse institution de l’argent et les moyens artificiels de garantir sa valeur.
334 CONCEPTION DU WOA WAAM (DIEU-COSMOS)
Nos concepts actuels concernant la genèse du Cosmos à l’inverse de ceux de la planète Terre, sont plus avalisés plus par une argumentation scientifique rigoureuse que par la spéculation philosophique.
Il y a une grande difficulté à traduire les expressions de notre langage culturel, car sa constellation de significations est très différente du complexité d’équivalents terrestres. Par exemple: nous, nous exprimons par le phonème AIOOYA votre verbe « EXISTER, ÊTRE », mais sa réelle signification pour nous a des nuances distinctes.
Ainsi nous considérons que le Cosmos, un virus ou le gaz d’hélium AIOOYA O (existe)
Par contre nous exprimons que : AIOOYA AMIEE (n’existe pas) la beauté, l’âme ou WOA.
Comment comprendre ceci? C’est simple, nous appliquons le verbe « exister » à ce qui est dimensionnel (avec des caractéristiques de temps et d’espace), et « ne pas exister » à ce qui est adimensionnel comme peut l’être l’intelligence ou la joie. Au « RIEN » nous assignons un verbe qui n’a pas de signification pour vous; AIOYAYEDOO.
Cependant pour éviter des confusions, quand nous employerons, à partir de maintenant, l’expression « exister », nous lui assignerons la signification que vous lui donnez, et nous ferons de même avec d’autres vocables d’interprétation ambiguë.
334 -1: NAISSANCE OU GENÈSE DU COSMOS
Aujourd’hui nous savons qu’il n’existe pas qu’un seul Cosmos ( le nôtre ), mais un nombre infini de paire d’Univers. La dualité existe aussi dans la génèse cosmologique. La différence entre les éléments A et B de chaque paire consiste dans le fait que leurs structures atomiques respectives diffèrent au niveau du signe de la charge éléctrique (vous employez incorrectement les termes de matière et d’antimatière).
Par exemple notre Cosmos jumeau existe aussi mais:
1) dans ses atomes l’écorce est formée par des électrons positifs ( positons) orbitaux et son noyau par des antiprotons.
2) jamais ces deux cosmos ne pourront être en contact et croire qu’ils peuvent se superposer n’a pas de sens car ils ne sont pas séparés par des relations dimensionnelles, (c’est-à-dire qu’affirmer qu’ils sont séparés par x années-lumières ou que leur existence est simultanée dans le temps n’a pas de sens).
NOUS CONTINUERONS DANS UN PROCHAIN RAPPORT
3) les deux cosmos jumeaux possèdent la même masse et le même rayon correspondant à une Hypersphère de courbure négative.
4) mais les deux univers jumeaux jouissent de singularités différentes (autrement dit: dans notre Cosmos jumeau il n’y a pas le même nombre de Galaxies et celles qui y sont n’ont pas la même structure.)
Il n’y a pas donc un autre UMMO jumeau ni une autre TERRE jumelle comme vous pourriez le croire suggestivement. Cette dernière conclusion n’est pas hypothétique et nous vous en donnerons la raison.
5) les deux cosmos furent « créés » simultanément, comme nous l’expliquons plus loin, mais leurs flèches de temps ne sont pas orientées dans le même sens.C’est-à-dire qu’il est illogique de dire que ce cosmos coexiste avec le nôtre dans le temps ou qu’il existait avant ou qu’il existera après. On peut seulement dire qu’il existe mais non pas maintenant, avant ou après. Par contre son intervalle d’évolution sera parallèle ou égal au nôtre. Prenons un exemple fictif: Supposons qu’un homme d’une autre planète dans notre cosmos jumeau vive éternellement. S’il mesure le temps sur son horloge qui court depuis la naissance de son univers jusqu’à ce qu’il se transforme en tourbillons de radiations, son temps sera égal au nôtre.
On pourrait raisonner de même pour l’infinité de paires de Cosmos qui existent dans le WAAMWAAM (Pluricosmos). Nous observons que l’image du Pluricosmos ne peut ressembler à un Univers (au sens de Cosmos). Dans celui-ci les galaxies se déplacent comme des îles flottantes dans une immense mer. Seulement cette « mer » est une sphère aux multiples dimensions, mais on peut parler de distances intergalactiques et même de gaz qui remplissent les espaces intergalactiques. En échange, il est beaucoup plus difficile d’imaginer le WAANWAAM car les paires de cosmos sont submergées dans le NÉANT. Il est inutile d’imaginer qu’il existe des distances ou que ces distances sont nulles. Une telle image serait illusoire. Mais il y a quelque chose qui frappa de stupeur nos scientifiques quand ils en firent la découverte: notre Cosmos jumeau exerce son « influence » sur le nôtre quoiqu’ils ne soient pas liés par des relations d’espace-temps. Grâce à l’analyse de cette influence nous avons pu deviner l’existence de l’autre univers comme vous même avec un simple récepteur de télévision devinez le passage d’une voiture par l’interférence que l’antenne intercepte. Par supposition, notre Cosmos doit influer aussi sur l’autre dans les mêmes conditions. L’asymétrie de cette influence nous a révélé que ce Cosmos a une autre répartition de Galaxies.
334 -2 NOTRE CONCEPT DE WOA (DIEU)
WOA (DIEU) existe (avec la signification que vous donnez au verbe exister).
Il est puéril d’exprimer qu’il existe depuis l’éternité ou qu’il se trouve parmi nous ou partout, car WOA (Générateur comme nous même l’appellons, ou Dieu comme nommé par vous sur Terre) est ADIMENTIONNEL (il n’a ni largeur, ni hauteur, ni temps). Il n’est pas susceptible d’être exprimé par exemple par un complexe de tenseurs ou un système d’équations différentielles ni ses caractéristiques mesurées avec des appareils de précision.
L’essence de WOA ne subit aucune évolution. Cette même essence comprend la possibilité de l’idée DIMENSION, mais cette DIMENSIONNALITÉ ne peut être affecté à son être comme un attribut personnel, puisque la dimentionalité est couplée à la mutabilité et WOA ne pourra s’imposer à soi-même des changements et par conséquent des limitations.
De plus, les idées de WOA se doivent de posséder réalité, réalité qui se doit d’être toujours générée à condition que ne soit généré que ce qui n’est pas incompatible avec l’intime essence de WOA. (Par exemple, l’idée d’auto-destruction existe en lui mais ne peut pas être générée)
Ces générations de ses idées là seront comme une excroissance de (son être), de quelque chose qui existe (en dehors) de lui (bien qu’ici « EN DEHORS DE » n’ait pas une interprétation spatiale). Cette excroissance coexiste avec WOA et dépendra totalement de LUI.
Combien d’excroissances ou réalités existent? La réponse est simple. IL EN EXISTE AUTANT QUE LES IDÉES NON INCOMPATIBLES QUI COEXISTENT DANS L’ESPRIT DE WOA. Si l’idée d’un univers hypersphérique empli de galaxies existe dans son esprit, un tel univers se réalise [et dans ce cas particulier nous avons pleine conscience de son existence parce que nous sommes intégrés en lui, (cet univers hypersphérique)]. Si l’idée d’un cosmos bidimensionnel indépendant du temps était compatible, nous pouvons avoir la certitude qu’un tel cosmos EXISTE AILLEURS. Si nous avons une organisation cellulaire déterminée nous pensons qu’une telle structure est la seule idoine. Elle pourra être en accord dans notre univers dans lequel est en vigueur une série de lois biologiques inaltérables du point de vue statistique. Mais dans un autre couple de cosmos on pourra avoir des cas d’êtres vivants dont le constituant fondamental soit le silicium, dont les atomes posséderaient une structure différente. Mais jamais il ne sera donnée aux êtres de notre univers de vérifier cette hypothèse tant que nous vivons dans l’enveloppe de notre corps physique tétradimensionnel.
L’analyse de la phase actuelle de notre Univers nous révèle comment il a été engendré par WOA.
Notre Cosmos est ce que vous appelez un continuum espace-temps (il nous a fallu 10 dimensions pour le définir mathématiquement). Nous pourrions spéculer en lui attribuant une infinité de dimensions mais nous ne sommes pas en mesure de le prouver.
De ces dix dimensions, trois sont perceptibles par nos organes sensoriels et une quatrième – LE TEMPS – est perçue psychologiquement comme un flux continu dans le sens unique que nous appelons UIWIUTAA (flèche ou sens orienté du temps).
Au début nos deux cosmos jumeaux, WAAM ( le nôtre) et l’UWAAM (nôtre jumeau) étaient définis par un WAAMIAAYO (difficile de traduire: point ou origine d’une seule coordonnée qui serait précisément le temps). WOA a créé successivement le reste des dimensions mais n’interprétez pas ce « successivement » comme une succession temporelle ou spatiale, mais comme une relation « achrone ordinale », c’est-à-dire « ordonnée » en dehors du temps. Dans les croquis qui suivent nous désirons représenter grossièrement ces phases de la GENÉRATION ou CRÉATION.
(les croquis sont grossiers car il est impossible d’enfermer dans un graphique tracé sur du papier plus de trois dimensions.)
FIGURE 1
Vous pouvez imaginer que notre BICOSMOS primitif ressemblait davantage à une petite sphère vide. Un petit univers sans Galaxies, sans gaz intergalactiques, seul l’espace existant dans le temps (figure 1).
WOA courbe et recourbe cet espace. Chaque courbure « nouvelle » suppose une dimension et enfin, il le « plisse ». Observez que nous sommes en train d’employer une comparaison, un symbole, car on pourrait exprimer celà correctement seulement d’une manière mathématique. Par exemple l’expression « plisser l’espace » peu paraître infantile, mais elle est très didactique.
Avec une autre image vous pourrez mieux comprendre
(FIGURE 2)
Si nous courbons un espace tridimensionnel, si nous le plions, ou si nous faisons une espèce de creux (voir figure 2) à travers une quatrième dimension, cette courbure représente ce que nos organes sensoriels interprètent comme une MASSE (une pierre, une planète, une galaxie).
Ainsi WOA extord ce microcosmos créant ainsi la masse. Rien de moins que presque toute la masse actuelle de nos deux univers jumeaux concentrée dans un espace hyper réduit. Un peu comme si toute l’eau d’UMMO se trouvait enfermée dans mon poing. Matière et antimatière, comme vous les appelez, sont superconcentrées.
Il se produit alors une DOUBLE EXPLOSION-IMPLOSION. Par l’implosion, matière et antimatière, c’est-à-dire atomes positifs et atomes négatifs, sont attirés violemment les uns contre les autres sans jamais se rencontrer.
Ce sont deux ensembles, deux univers, WAAM et UWAAM qui ne pourrons jamais se rencontrer car ils ne sont pas séparés par des relations d’espace.
Ainsi quand nous disons qu’ils s’attirent, le verbe « s’attirer » doit être compris dans le sens de s’influencer.
D’autre part, nous indiquons qu’il y eut explosion. En effet: l’immense masse de chaque Cosmos se fragmente en particules et ces fragments expulsés brutalement il y a des millions d’années, constituent les actuelles Nébuleuses ou Galaxies qui se déplacent aujourd’hui à une VITESSE PRESQUE CONSTANTE.
Vous pouvez observer que nous soulignons ce « PRESQUE » au moment où vos astronomes jugent que la vitesse 2 doit être CONSTANTE ou UNIFORME en se basant sur deux raisonnements faux:
A- Le déplacement des bandes du spectre, dans les galaxies observées, est CONSTANT et orienté vers le ROUGE.
B- Il semble logique de penser que si les nébuleuses ne sont pas impulsées par un Champ de Forces , car elles sont issues d’une explosion initiale de l’univers, elles se déplaceront avec une vitesse2 uniforme par inertie.
()
Mais ces deux prémisses sont fausses et ingénues.
- A) vos appareils de mesure sont peu précis, sinon vous auriez observé que le décallage des bandes vers le rouge N’EST PAS CONSTANT, elle est une fonction périodique non sinusoïdale d’amplitude moyenne presque imperceptique, mais ÉVALUABLE.
- B) vous n’avez pas pris en compte que notre Cosmos jumeau exerce une « influence » sur nos galaxies. Précisément sur UMMO, comme nous vous l’indiquerons, nous avons découvert l’UWAAM en partant de ces interférences. Cette interaction empêche que nos nébuleuses se déplacent avec une vitesse 2(vitesse 2= accélération).
Ainsi la mesure que vous faites de l’âge de l’univers est inexacte car vous utilisez comme paramètres cette pseudo-vitesse2 constante actuelle des galaxies et leur distance par rapport à la TERRE. Avec en plus le fait que si MAINTENANT la vitesse2 est presque constante, dans les premiers temps de la création l’accélération (fonction sinusoïdale) arriva à avoir une énorme amplitude.
336 -FIN DU WAAM et de l’UWAAM, MORT DES DEUX COSMOS.
Quelle sera la fin des deux cosmos jumeaux ? En tenant compte du fait que WOA continue à créer de la matière à l’intérieur de chaque Cosmos, la dégradation de masse en énergie est beaucoup plus rapide. Il arrivera un moment où les deux univers seront réduits à un Continuum espace-temps hypersphérique de rayon négatif, mais, maintenant, de grandeur infinie. Sans concentration de masses, c’est-à-dire sans Galaxies, c’est-à-dire: sans courbures, sans « plis ». Seule une propagation continue et isotrope de radiations avec la même fréquence, car, maintenant, les multiples fonctions sinusoïdes créées par WOA se seront mises en phase et auront cessé de produire ces ondes stationnaires, ces noeuds et crêtes que nos sens ingénus interprètent respectivement comme « VIDES et MASSES » il restera seulement un océan d’ondes dont l’amplitude ira en diminuant jusqu’à la mort finale de la « paire cosmique ».
Mais comme sur UMMO nous avons conscience de cette création, comment l’ATHÉISME pourrait il se développer parmi nous? … Si l’univers était éternel, il serait déja mort..
337 – L’HOMME SUBMERGÉ-DANS-LE-COSMOS (OEMII).
Nous savons que pour notre univers sont en vigueur des lois biogénétiques fondamentales qui régulent la structure et l’évolution de toute la BAAYIODOOUII (FAUNE – FLORE) de ce cosmos ou de notre cosmos jumeau UWWAN.
Il peut exister de multiples formes d’un être vivant. D’ailleurs dans nos laboratoires, en faisant agir sur les acides nucléiques d’un ovule non fécondé un faisceau quantifié OUSEIOSAA (décharge de neutrons contrôlée par un champs de gravité artificielle: puisque ces corpuscules ne réagissent pas dans un champ électrostatique, les neutrons peuvent s’orienter un à un vers une cible mouvante infiniment petite), nous avons obtenu des milliers d’êtres vivants différents au moyen de ces mutations sévèrement contrôlés.
De plus le nombre d’êtres vivants n’est pas infini puisque le MIIBAYEAAO (appelé par vous improprement CODE GÉNÉTIQUE) ne peut être pluriforme ni dépasser ses propres limitations.
C’est-à-dire que si vous imaginez un vénusien comme un monstre verdâtre, pourvu de grands yeux et de longues et visqueuses tentacules, vous commettriez deux erreurs ingénues :
Juger puérilement que la planète Vénus est peuplée par des êtres pluricellulaires, et croire que l’univers est peuplé par toutes sortes d’engendrés bizarres.
Nous analysons alors l’homme comme un ÊTRE ISOLÉ quoique une telle entité est utopique puisque l’homme est lié intimement à tout ce qui l’entoure.
Nous considérons que l’humain est formé de quatre facteurs intégrés dont l’association est nécessaire pour que l’homme soit vivant.
BUUAWE BIAEI: (Nous pourrions le traduire par âme collective bien qu’une telle définition souffre de graves lacunes.)
BUUAWAA (âme): (Dont le concept coïncide d’une manière surprenante avec celle de l’actuelle théologie de la religion catholico-romaine de la planète Terre).
OEMBUUAM: (Facteur de connexion entre l’âme et l’OEMII, qui n’a pas été découvert par vous, et qui peut être localisé sous la masse encéphalique).
OEMII: Le corps humain considéré dans ses dix dimensions (Trois qui définissent son volume, six qui expriment sa MASSE, et une que nos organes propriocepteurs évaluent comme le TEMPS)..
337 GÉNÉRATION DU BUUAWE BIAEI PAR WOA
CONCIENCIA et CONSCIENCIA sont très proche en espagnol, et en général ces deux mots font référence à la capacité de réflexion, c’est à dire à la capacité humaine de se « reconnaître » soi même, ainsi que de focaliser les flux de pensées, ayant pour objet elles-mêmes (les pensées ont pour objet autres pensées sensées comme en provenance, non d’autre personne, mais de la propre fonction interne de générer des pensées). Cette « valeur » est commune à CONCIENCIA et à CONSCIENCIA, mais CONCIENCIA a en plus en espagnol une valeur propre, c’est la capacité de distinguer ce qui est Bien ou Mal (d’un point de vue moral). On dit par exemple « mi conciencia me impide aceptar ese ofrecimiento » (ma ‘conscience’ m’empêche d’accepter cette offre) en parlant par exemple d’une subornation. En espagnol CONCIENCIA, ayant ce significat de connaissance sur ce qui est Bien ou Mal, est utilisé principalement dans un contexte religieux ou éthique..
Pour résumer on peut dire que CONCIENCIA « connaît » si les actions décidés sont moralement acceptables ou pas; c’est l’attribut de l’âme BUUAWAA . Par contre CONSCIENCIA est l’attribut de l’OEMMI
D’une manière générale certains passages de cette lettre présentent d’importantes difficultés de traduction. Nous espérons avoir pu retransmettre le sens exact)
WOA (GÉNÉRATEUR, ou DIEU comme vous même l’appelez) entre le nombre infini de ses idées « innées », c’est à dire qui coexistent avec son essence, imagine l’idée d’une ENTITÉ (NdT: Il s’agit du B.B.) sans dimension (VOLUME, TEMPS, etc.) mais qui ne puisse pas à son tour générer d’autres ÊTRES.
Logiquement, s’il pouvait générer des êtres, cet esprit (B.B.) aurait besoin de posséder la liberté.
Observez que s’il n’a pas cette prérogative – La LIBERTÉ – le premier postulat que l’on pourrait lui (B.B.) attribuer serait:
IL NE POURRAIT GÉNÉRER D’AUTRES ÊTRES, SEULEMENT DES IDÉES.
Ceci semble incompatible car, s’il n’est pas libre, il faudrait alors attribuer les idées à WOA.De plus, il est évident qu’une telle ENTITÉ (B.B.) ne pourra générer d’autres êtres, car dans ce cas il s’agirait d’un double de WOA (WOA ne peut générer un tel être qui soit son double).
Cet ESPRIT, c’est le BUAWE BIAEI ou ÂME COLLECTIVE des HUMAINS.
Nous avons dit que toute IDÉE COMPATIBLE de WOA se doit d’être GÉNÉRÉE. Donc: simultanément à la création du WAAM est créé cet ESPRIT.
Une sérieuse objection pourrait être apportée à la nature de BUAWE BIAEI . Si cet esprit génére des idées uniques, produit d’une conscience unique, n’est t’il pas malgré tout semblable à WOA ? De plus: de telles idées ne finiraient-elles pas par se matérialiser, par se secréter..?
Cette objection est injustifiée parceque précisément BUAWE BIAEI possède une énorme multiplicité de consciences, chacune à son tour susceptible d’engendrer des idées polyformes et contradictoires.
Nous nommons ces consciences:
337- BUUAWAA (les terrestres les appellent ÂMES).
Sur le fond, vos théories animistes sont en accord avec le concept des BUUAWAA sur UMMO, tout particulièrement les modernes spécialistes scientifico-théologistes de l’église catholique romaine et presque tous les penseurs des églises évangélistes chrétiennes. Les âmes possèdent une entité propre, elles sont ADIMENSIONNELLES et jouissent de la liberté de créer des IDÉES POLIFORMES ET CONTRADICTOIRES (si ce n’était pas le cas elles auraient la même essence que WOA ) et cette même liberté s’étend jusqu’à pouvoir contrôler le OEMII (corps humain) et à travers lui, les ÊTRES DU WAAM.
L’unique différence consiste dans le fait que nous considérons que de tels BUUAWAA sont composés et interrelationnés au sein de cet esprit collectif BUAWE BIAEI.. (Vous pourriez imaginer comme comparaison terrestre un pot de cerises au sirop : l’exemple est grossier car de tels fruits ont un volume, mais les griottes représenteraient les BUUAWAA, la peau du fruit : l’OEMII et le sirop : le BUUAWE BIAEI . La déchirure symbolique de cette peau en un seul point représentera la transmission télépathique.
Comme vous n’acceptez pas l’existence du BUUAWE BIAEI, les scientifiques terrestres (psychologues) ne peuvent expliquer des phénomènes d’hypnose et de suggestion, certains états de catalepsies, les communications télépathiques, les phénomènes incorrectement appelés médiumniques et de nombreuses autres manifestations appelées par les terrestres manifestations parapsychologiques.
Une question parait se poser: Combien de BUUAWA ou consciences autonomes possède le BUAWE BIAEI ? La réponse est simple : autant qu’il y a d’hommes sur notre Planète. Vous pouvez observer qu’il serait puéril de demander si les âmes existaient AVANT la naissance du corps car l’adverbe AVANT implique la TEMPORALITÉ et le temps n’existe pas pour la BUUAWAA ADIMENSIONNELLE.
337 – LES ATTRIBUTS DE LA BUUAWAA (ÂME)
Vous les terrestres, vous ne semblez pas avoir des idées très claires concernant l’essence de la BUUAWAA. Ceci a provoqué tout au long de l’histoire une série de controverses naïves et spéculatives qui n’ont toujours pas tendance à disparaître. Comment ne voulez-vous pas que les théologien catholiques, que le Matérialisme Dialectique de la Philosophie Marxiste aient fini par commettre la pardonnable aberration de ne pas accepter l’existence de l’âme en tant qu’entité adimensionnelle, si cette même philosophie scolastique abusa dans le passé en attribuant à l’esprit une série de facteurs qui sont en réalité purement somatiques? Si au lieu de vous perdre dans d’interminables spéculations, vous aviez consolidé d’avantage les véritables méthodes scientifiques, les contradictions apparentes entre les concepts de DIEU (WOA) ou l’ESPRIT et ce qui est appelé par vous « LA SCIENCE » n’auraient pas surgi sur Terre . Parmi vos scientifiques seuls trois hommes ont attiré notre attention car ils s’approchent de notre niveau culturel en certains points : le mathématicien-physicien Albert Einstein, l’anthropologue-cosmologue catholique Theilhard de Chardin et le physicien-cosmologue Sir A.S. Eddington. Si nous les citons c’est parce qu’ils sont les seuls à avoir apporté quelques éléments que ne connaissaient pas les scientifiques de UMMo.
Notre BUUAWAAA a une conscience (conciencia) , mais nous n’identifions pas cette CONSCIENCE (conciencia) avec la CONSCIENCE (consciencia) de l’OEMII. Nous vous expliquerons cette différence quand nous expliquerons ce qui se produit dans notre corps quand nous regardons par exemple l’image d’un triangle.Nous illustrerons ce processus au moyen d’images grossières tracées à l’aide de crayons terrestres de différentes couleurs.
Sur une plaque B où l’on a dessiné un triangle blanc sur fond noir, tombe un faisceau (rouge) de IBOAAIA OU (fragments quantifiés d’énergie avec une caractéristique ondulatoire-corpusculaire) que vous appelez vulgairement LUMIÈRE. Les zones noires de la gravure sont ainsi car les atomes absorbent cette énergie et il se produit des altérations dans ses orbites corticales. Par contre, le triangle blanc reflète cette énergie (lumineuse) car ses atomes de différente structure orbitale n’admettent pas par résonance les fréquences des IBOAAIA OU (qui sont comprises entre 4’15.10 14 et 7,6.10 14 cycles par seconde environ). Ceci veut dire que seule une fraction de l’énergie qui arriva à l’image est reflétée en un faisceau qui peut agir sur la rétine.
Nos yeux captent donc l’image lumineuse reflétée à l’aide de cellules BOIYUIYOE EBEE (CÔNES), chacune de celles-ci absorbe à peine quelques IBOAAIA OU . C’est là que se produit la première transformation de l’énergie. Ce que vous appelez LUMIERE provoque dans ces petits organes nerveux un influx de caractéristiques électriques qui se propage tout au long des neurones du nerf optique. .
Nous pouvons observer que l’image s’est décomposée en millions d’impulsions élémentaires. Le triangle n’existe plus, il y a une séquence d’IMPULSIONS CODÉES qui se transmettent en un certain ordre, comme si les pierres d’un grand temple terrestre étaient démontées et enregistrées pour les reconstruire après un long voyage.
Le nerf optique (en violet) transmet ces impulsions après qu’il y ait eu une première WOO EDUU (SYNAPSE) dans la YAAESIOO BUEA (corps genouillé latéral du Thalamus) au UNIIEAYAAEBU (cortex occipital).
Les scientifiques terrestres semblent ignorer ce qui se produit à partir de l’instant où de telles impulsions nerveuses activent la UNIIEAYAAEBU.
Nous allons donc faire un résumé du document remis à deux spécialistes japonais .
Les neurones de cette dernière voie afférente synapsent à leur tour chacune avec deux fibres nerveuses : YAAIODEE (en vert) et YAAIOSUU BIIO (en bleu).Autrement dit : chaque impulsion nerveuse qui représente un point du triangle est transmise à son tour par deux voies, comme si l’une de vos téléphonistes envoyait un même message à deux correspondants.
Les impulsions de la voie YAAYODEE (vert) opèrent sur l’organe de la mémoire dont le fonctionnement vous semble encore inconnu. L’image symbolise le BIEYAEYUEO DOO (dessin de couleur ocre) , il s’agit d’une spirale d’une chaîne de polypeptides dans laquelle le principal rôle est tenu par les atomes d’Azote, associés. Chaque atome N est capable d’altérer l’état quantique orbital en emmagasinant deux impulsions ou BITS. En un mot : les millions d’impulsions que constituent les images que captent nos yeux sont emmagasinées, codifiées au préalable avec un ordre séquentiel, dans cette spirale de BIEYAEYUEO DOO comme s’il s’agissait d’une bande magnétophonique où pour être précis dans ce cas : la bande d’un magnétoscope (appareil inventé par vous pour enregistrer les programmes de Télévision).
Il y a de plus un facteur très important au sein de cette chaîne hélicoïde : une seconde chaîne d’atomes libres de gaz HELIUM agit comme transducteurs et récepteurs en connectant directement la MÉMOIRE avec le OEMBUUAW (troisième Facteur de l’homme ) et représenté dans l’image par la couleur jaune
Nous avons représenté sur l’image le champ de la ESEE OA CONSCIENCE (consciencia) à l’aide d’un cercle (bleu clair) ; une seconde voie : le YAAIOSU BIIO (bleu) porte les impulsions à un second noyau de OEMBUUAW (jaune) qui le transmet à son tour à l’ÂME (champ de la CONSCIENCE ) (bleu clair).
Quelle forme ont ces impulsions qui codent l’image du triangle primitif. Tout comme les pierres ordonnées numériquement ne ressemblent en rien à la construction initiale, cette série de BITS ne semble pas être le reflet fidèle du triangle.
Une fonction périodique en forme d’onde carrée : voilà ce que capte notre BUUAWAA (âme) dans son ESEE OA (CONSCIENCE ). (image D)
Imaginez un architecte dont la capacité éïdéique soit telle qu’en recevant d’une manière ordonnée ces pierres numérotées, il imagine instantanément le temple en question… Ceci notre BUUAWA l’obtient : en captant ce train d’ondes carrées il se forge dans sa conscience (cercle bleu de l’image B) l’idée d’une triangle blanc sur fond noir. Mais comment sait-elle qu’il s’agit d’un triangle ? L’image B symbolise de nouveau l’explication ; vous pouvez observer qu’au champ de la conscience arrivent deux messages. L’un d’eux que nous venons de vous décrire provient directement de l’OEIL (voies nerveuses exprimées par les couleurs violet et bleu); l’autre issu de la MÉMOIRE (ocre) par la voie symbolisée par la couleur orange.
Quel est ce dernier message provenant de la BIEYAEYUEO DO (mémoire) ? Simplement un train d’ondes carrées qui représentent le codage de l’image d’un triangle équilatéral tel que nous l’avons appris dans notre enfance, image qui était conservée dans la mémoire depuis ces lointaines années.
C’est dans ce champ de la CONSCIENCE que les deux images se comparent et identifient le triangle en tant que tel. Si cette dernière connexion avec la mémoire échouait, nous n’aurions qu’une seule image : celle issue de l’oeil mais elle nous semblerait étrange comme si nous ne l’avions jamais vue. Nous appelons cette anomalie en psychopathologie YAEYUEYEDOO (amnésie de fixation).
Cette explication peut paraître excessivement technique si vous n’êtes pas des physiologistes, bien que nous l’ayons exprimée avec des descriptions naïves. Nous vous conseillons néanmoins de l’étudier soigneusement car elle vous permettra de mieux comprendre l’énigme mystérieuse de l’union DU CORPS ET DE L’ÂME que nous décrirons plus tard.
337- DESCRIPTION DE L’OEEMII (CORPS-SOMA).
Nous n’avons pas volontairement terminé l’énumération des facultés de la BUUAWAA (ÂME) et nous laissons pour plus tard la définition du troisième facteur de l’homme (OEMBUUAN) car nous devons avant vous expliquer notre concept de l’OEEMII.
Dans le continuum ESPACE-TEMPS (comme le dénomment incorrectement les physiciens de la TERRE), le corps humain est un « pli » de plus de l’ESPACE (une dépression à travers une quatrième dimension) que nous pouvons définir mathématiquement avec dix dimensions. En somme une MASSE. avec Volume et Temps associés. On ne peut concevoir le temps s’il est dissocié des autres magnitudes.
Les gens qui ont une faible formation scientifique jugent l’homme comme un être à trois dimensions (volume) vivant divers faits dans le flux du Temps. Pour lui, il existe seulement le souvenir des faits passés. L’unique réalité est le présent, et le futur n’existe pas encore…. Cette description du monde est aberrante et puérile.
Imaginez que sont disposés tout au long d’un axe qui représente la dimension TEMPS les divers situations (ÉVÈNEMENTS) qu’a vécu, que vit, que vivra un homme au long de sa VIE .
IMAGE F
Chaque situation a une FLÈCHE qui lui est associée. Bien:l’espace et le temps sont associés si étroitement que si nous unissons dans une même expression graphique, en une seule image, toutes ces situations ou faits que vit l’homme tout au long de sa vie, nous obtiendrons un ÊTRE étrange à quatre dimensions (volume + temps) qui ressemblerait à un énorme OEBUMAEI (espèce de « beignet » long ou de « boudin » très apprécié dans la région d’AADAAADA, sur UMMO), dont la section représenterai un bonhomme si nous la coupons en tranches.
IMAGE G
Les cosmologues de UMMO appellent cet être tétradimensionnel : OEBUMAEOEMII (image G)
Que représente une coupe ou section de cet OEBUMAEOEEMII ? Simplement un fait ou événement dont notre corps est le protagoniste. Un tel fait est une illusion, une fiction. Comme le serait une tranche de l’une de ces charcuteries si on ne pouvait pas la couper, l’ensemble formant alors un TOUT inviolable.
Mais vous pourriez dire : ce concept est une simple spéculation philosophique. Ma conscience me dicte que j’ai vécu de tels faits sans que je voie devant ou derrière moi ce gigantesque BUMAEOEMII… !
Cependant il ne s’agit pas d’une simple hypothèse formulée par quelque chercheur d’UMMO excentrique. Les physiciens de votre Planète pensaient déjà à ce concept avant notre arrivée, et pour nos scientifiques il est aussi familier que pour vous le dessin d’un avion.
Une comparaison simple vous aidera à mieux comprendre cette image : dans un grand jardin il y a un long passage ou tunnel qui serpente, construit entièrement en plastique ou en verre transparent, et tout au long de celui-ci on a disposé des meubles, des outils etc…
Ce grand tunnel représenterait le OEBUMAEOEMII.
Un homme (notre conscience (consciencia)) court depuis le début de ce sinueux corridor. Il fait nuit et il porte une lanterne. Durant son parcours il va en éclairant les objets accumulés dans le tunnel et de plus, comme les murs sont transparents, il peut contempler, faiblement éclairés par sa lampe, quelques secteurs du jardin proches du point où il se trouve à ce moment là.
D’autres fois, tout au long de ses pérégrinations dans le tunnel, il dirige le faisceau lumineux vers l’extérieur où il y a d’autres tunnels avec leur pèlerin armé de lanterne qui passe aux environs du jardin (d’autres HOMME-ÉVENEMENT).
Au moment de sa naissance, le tunnel et le jardin existaient déjà. Quand le voyageur pense que ce qu’il éclaire en ce moment (PRÉSENT) vient à peine de se créer, ou que ce qu’il a vu (PASSÉ) a cessé d’EXISTER, ou que les meubles qu’il verra n’existent pas encore (FUTUR)…n’est-il pas victime d’une illusion candide?.
IMAGE H
337 LIBERTÉ DANS L’ARBITRE DE L’HOMME HUMAIN.
Quand ce concept de OEBUMAEOEEMIII commença à être ébauché sur UMMO, (avant qu’il ne soit consacré comme vérité scientifique) surgit une doctrine philosophique hétérodoxe (non scientifique).
C’est IM 42, fils de IM 41 , né en DOOYUIIABII, qui avait soutenu la théorie selon laquelle si WOA crée l’homme en tant que OEBUMAEOEMII (c’est à dire avec la dimension Temps associée), ses actes ou faits sont de simples illusions et donc la CONDUITE tout au long de la VIE (vie ou temps intimement fondu d’un seul coup au corps) est logiquement PRÉDÉTERMINEE.
Nous ne serions donc pas responsables devant WOA des apparentes transgressions à la loi morale (UAA) de UMMOWOA.
Le UMYAE (liberté de l’homme pour agir sur le milieu et pour le contrôle) serait une simple fiction.
Le développement scientifique de ces années-là sembla renforcer cette spéculation avec de nouvelles bases.
En effet : si tous les faits physiques sont régis par des lois « implacables » (on ignorait encore le caractère statistique de telles lois) imposées par WOA au WAAM (UNIVERS), les structures biologiques du BAYIODUII (ensemble des animaux et plantes) devraient aussi être conditionnées par des lois biologiques inflexibles.
337 LA BUAWAA (ÂME) MODÈLE L’OEMII (CORPS).
La doctrine précédente est entièrement fausse, elle s’est effondrée face à de nouveaux arguments irréductibles. (Nous avons observé que sur Terre de nombreuses personnes défendent encore cette hypothèse, mais c’est explicable car elles manquent de bases scientifiques pour pouvoir la condamner).
Revenons maintenant à la description de la BUAWAA (esprit individuel).
Nous savons que notre âme a une PERSONNALITÉ ou une ENTITÉ PROPRE. Nous vous avons expliqué que BUAWEI BIAEI (âme collective) possède autant de consciences (conciencias) réunies qu’il y a d’hommes, tout comme un polyèdre de carbone pur engendre de multiples scintillements.
La BUUAWEA ne possède pas de mémoire, il n’est pas non plus capable de sentir ou de percevoir. Il ne peut pas, par exemple,s’émouvoir, ressentir du plaisir ou de la douleur. Alors : est-ce une ENTITÉ inerte, comme une roche qui vit sans vivre ?
Non, bien entendu, la BUUAWEA possède une CONCIENCE (qu’il ne faut pas confondre avec CONSCIENCE) , c’est à dire: qu’il engendre des idées, il est capable de comprendre les messages que lui apporte le OEMBUAW et aussi, à travers celui-ci il est capable d’agir et de contrôler l’OEMII (corps).
Mais, ET CECI EST TRÈS IMPORTANT :
Les idées engendrées, la connaissance acquise, le contrôle du corps NE SE RÉALISENT PAS D’UNE MANIÈRE SÉQUENTIELLE OU CONTINUELLE DANS LE FLUX DU TEMPS.
C’est à dire que l’ÂME ne va pas en train de développer des idées l’une derrière l’autre en divers intervalles de TEMPS car LE TEMPS, pour elle, N’EXISTE PAS.
Il ne serait pas du tout, non plus, correct de dire que le BUUAWEA « fait » tout cela d’un seul coup pour toujours et en un instant , mais cette dernière manière de nous expliquer, sans employer un lexique technique de UMMO presque intraduisible, est la plus efficace.
WOA concède à l’âme une prérogative qui est transcendante
ELLE PEUT MODIFIER UNE FOIS POUR TOUTES LA FORME DE L’OEBUMAOEMII (HOMME-PHYSIQUE : ESPACE-TEMPS).
Ce qui signifie que si WOA (GENERATEUR ou DIEU) engendre et crée le corps physique, en fixant les caractéristiques de sa physiologie, il concède à la BUUAWEA la faculté de modeler la conduite du corps tout au long du temps, une fois pour toutes.
Employons de nouveau l’exemple du long tunnel de plastique. Supposons qu’il s’agisse d’un grand tube flexible comme un serpent. Son propriétaire l’achète et désire le poser dans son jardin. Il aura pleine liberté pour le courber à son goût, en devant l’adapter bien sûr à la topographie du terrain, contournant les arbres et surtout évitant de perturber les autres tunnels qui sont déjà dans le jardin.
D’un seul coup d’oeil, il devra prendre en compte tous les obstacles et au même instant il choisira un cheminement de l’axe idéal sur lequel il posera le tube. Evidemment, le propriétaire peut contempler son oeuvre en entier, l’embrassant d’un seul coup d’oeil. Ce n’est plus le malheureux homme qui courait dans la nuit à l’intérieur du long tunnel pour observer pas à pas avec sa lampe des secteurs consécutifs du tunnel flexible dans le jardin.
Ce malheureux petit homme représentait la CONSCIENCE , le propriétaire symbolise la CONCIENCE du BUUAWEA (ÂME).
Il vous faudrait une plus grande argumentation pour assimiler d’un coup cette idée. Il est difficile au début d’admettre cette différence entre CONCIENCIA et CONSCIENCIA (mots que nous avons choisi pour traduire les nôtres; BUUAWA IMMI et ESEE OA .)
Mais les hommes de la terre seraient-ils différents de ceux d’UMMO sur ce point ?
Il n’y a pas de raison pour que vos âmes soient d’une autre essence.
Si l’ÂME est capable de voir d’un seul coup d’œil tout ce long tunnel, cet OEBUMAOEMII en forme d’HOMME-BOUDIN , ou autrement dit tous les faits vécus et à vivre par l’OEMMII (corps), comment se fait-il que moi, je ne sois pas capable d’accéder au champ de ma CONSCIENCE qu’au niveau de la vision du PRÉSENT, c’est-à-dire un seul fait de cette gigantesque chaîne de faits qui constituent le long OEBUMAOEMII ? En fin de compte, ce MOI ne serait-il pas mon ÂME ? Vous, les scientifiques de UMMO, vous dîtes que ma conscience est ce petit homme à la lanterne qui voyage lentement en explorant dans la nuit un par un les FAITS qui composent le long tunnel ; vous dîtes que quand mon CORPS EST EN TRAIN DE LIRE EN CET INSTANT (c’est-à-dire un fait), ou quand JE ME DÉSHABILLE CETTE NUIT (autre fait), tous deux existent déjà préétablis par mon ÂME avec la permission de WOA et cependant il m’est seulement permis de L’APPRENDRE pas à pas dans le lent flux du Temps?.Est-ce que MON MOI CONSCIENT est en fait un esclave innocent de mon ÂME qui modèle ma conduite ?
C’est ici une nouvelle illusion. Quand nous levons le regard et que nous voyons le bleu de la mer ou le rouge d’une braise, nous sommes loin d’imaginer que le BLEU ou le ROUGE sont de simples illusions somatiques. La couleur n’existe pas, il y a seulement de simples faisceaux d’ONDES dont la longueur de la période produit différents effets dans notre cortex cérébral. Bien plus, ce flux du temps qui nous fait voir les faits UN PAR UN est une ILLUSION.
CONSCIENCE et CONSCIENCE sont enfin et en définitive la même chose. C’est notre corps physique, notre OEMII, qui avec ses limitations empêche que l’âme voit au travers de plus d’un épisode ou fait à chaque instant.
Nous emploierons un autre exemple : sortez à votre fenêtre et contemplez le panorama. Imaginons que vous êtes architecte et que vous avez construit l’édifice qui est en face. Vous le voyez en entier avec toutes ses portes et fenêtres, ses toits, ses cheminées…. Maintenant coupez sur un carton un petit carré de un ENMOO (un ENMOO = 1,87 cm) de côté.
Faites en son centre un orifice du diamètre d’un crayon et retournez à la fenêtre. Mettez le carré à 9 ENMOO de votre oeil (16,8 cm) et sans essayer de fermer l’autre oeil, essayez de voir à travers cette perforation une des fenêtres de la maison d’en face. Que le champ de vision est limité et désolant ! Si vous voulez voir tout le panorama, vous devez faire un long déplacement dans l’espace.
Mais vous ne serez pas assez ingénus pour vous exclamer que vos yeux ne sont pas capables de contempler en une fois le paysage (la maison que vous avez construit). Il vous suffirait d’enlever le petit carton.
Vous avez donc compris que les yeux représentent la CONSCIENCE. Le carton symbolise L’OEMII (CORPS PHYSIQUE) et le champ limité par l’orifice : le ESEE OA (CONSCIENCIA).
337 RESPONSABILITE DE L’HOMME DEVANT WOA.
La BUAWAA (âme) est donc responsable devant WOA de votre conduite par rapport aux UAA (code moral dicté par le CRÉATEUR). L’âme a modelé – en une seule fois- mais elle a donné forme à tous les faits vécus par l’OEMII (corps physiologique) et si elle ne les a pas adaptés à cette loi morale qu’elle as librement transgressée, elle doit être punie.
Ce concept de punition n’a rien à voir avec la description ingénue que les textes antiques de l’église romaine terrestre fait du purgatoire. Nous avons été, cependant, très surpris en observant que les Théologues modernes de cette même église et d’autres, Evangélique et Protestante, soutiennent actuellement une théorie qui coïncide presque exactement avec les nôtres car elle prend en compte le concept d’esprit adimensionnel dissocié de la magnitude Temps.
337 L’INTERACTION BUAWAA / OEMII (ÂME + CORPS), DÉCOUVERTE DE L’OEMBUUAW (TROISIÈME COMPOSANT DE L’HOMME).
Une vision incomplète de l’homme peut nous le présenter comme un corps sujet aux implacables lois biologiques de WOA. Quand une pierre tombe, son déplacement n’est pas le fruit du hasard car interviennent la masse de la roche, le champ gravitationnel de UMMO (ou de la TERRE), la composition de l’air et les phénomènes de turbulence liés à la forme de l’objet. Le comportement de tout OBJET dans le Cosmos est fonction de lois statistiques que vous appelez lois physiques.
Mais, cependant, le hasard est l’unique LOI des particules subatomiques. CELLES-CI ne sont pas soumises comme les grands OBJETS à la servitude d’une loi inflexible et cela, les scientifiques de la TERRE le savent.
Mais si l’homme est un complexe géant d’atomes, c’est à dire un GRAND OBJET : sa conduite ne sera-t-elle pas donc subordonnée à des lois physiques et biologiques ? Ce qui lui interdirait une conduite libre.
OUI et NON. Nous l’expliquerons : observez ce qui arrive quand un faible rayon de lumière arrive à la rétine. Toute la conduite de l’homme peut se modifier par ce phénomène imperceptible. Nous savons qu’il suffit d’un seul IBOAAYA OU (Photon) pour faire réagir une seule BOIYUIYU ADA (cellule rétinienne que vous appelez BÂTONNET) et pour créer une impulsion nerveuse. Un seul photon pour faire bouger L’OEMII (CORPS) ! Ensuite, l’homme, qui physiologiquement est soumis à ces lois booléennes peut à son tour se comporter par hasard, en étant contrôlé par des particules subatomiques.
Ce principe anima les psychophysiologues de UMMO à rechercher les véritables causes de l’interaction entre BUAWAA et OEMII (ESPRIT ET SOMA) jusqu’à ce qu’en l’an 315 de notre Temps, NOI 3, fils de NOI 2, avec son équipe de scientifiques, réalise une grandiose découverte :
L’OEMBUUAW : facteur de liaison entre le corps et l’âme. Il ne s’agit pas comme le croient les spirites de la Terre d’un PÉRI-ESPRIT de substance ECTOPLASMIQUE car une substance ne peut en même temps être MATÉRIELLE (avec DIMENSIONS) et en même temps SPIRITUELLE (sans DIMENSION) et les régurgitations ECTOPLASMIQUES des médiums terrestres sont de simples supercheries.
L’OEMBUUAW est composé simplement par un petit groupe ou constellation d’atomes DIIU YAA (krypton) ; ce gaz est formé d’atomes inertes (incapable de se combiner chimiquement). Dans leurs orbites on compte 36 électrons dont 6 qui se trouvent dans l’écorce extérieure et deux dans la suivante. Vous pouvez observer que le nombre atomique est multiple du nombre atomique du carbone (douze) et de l’hélium (deux). Il est capable d’entrer en résonance OWEEEU OMWAA avec ces éléments, avec une fréquence correspondant au troisième HARMONIQUE de la FONDAMENTALE du CARBONE et la SIXIÈME HARMONIQUE de la fréquence FONDAMENTALE DE L’HÉLIUM. (Le OWEEU OMWAA est un effet cortical de l’atome que vous ne connaissez pas encore et il ne faut pas le confondre avec l’émission d’énergie à diverses fréquences par l’écorce électronique et que vous mesurez à l’aide des spectres d’émission caractéristiques pour chaque atome).
La localisation de ces atomes de krypton dans le corps humain est très difficile pour les raisons suivantes :
– ILS NE SONT PAS COMBINÉS AVEC LE RESTE DES COMPOSÉS ORGANIQUES DE L’OEMII (corps humain).
– LEUR NOMBRE EST TRÈS RÉDUIT (nous en avons compté 16) À L’INVERSE DES AUTRES ATOMES (carbone, azote, oxygène etc…) QUI SE COMPTENT PAR TRILLIONS.
Mais ne croyez pas que le nombre d’atomes de krypton est si réduit. Nous pensons qu’il en existe des centaines de milliers (même ainsi le chiffre est faible) localisés dans le LOBE TEMPORAL du THALAMUS, dans l’HYPOTHALAMUS et dans d’autres zones de l’ÉCORCE CÉRÉBRALE.
Ce sont les impulsions nerveuses qui, grâce aux différents atomes de carbone et d’hélium dont les états QUANTIQUES ont été excités (image B), modifient par résonance les états ordinaires de fréquence Zéro (onde plane) de chaque atome de KRYPTON par effet OWEEU OMWAA . Ainsi les messages de la mémoire, par exemple, vont s’encoder dans ces atomes en forme d’ONDES (déja mentionnées dans l’image D).
Le BUUAWAA (ÂME) a donc connaissance de tout ce que captent nos sens et de tous les processus mentaux développés dans notre cerveau grâce à ces ATOMES DE KRYPTON : mais de plus, grâce à eux, l’âme agit sur le corps en développant un processus inverse dont l’ultime phase est constituée par les impulsions motrices qui activent nos muscles.
Nous pouvons élaborer une IMAGE qui représente l’HUMANITÉ , IMAGE PUREMENT SYMBOLIQUE car notre esprit est adimentionnel
Une gigantesque BUUAWE BIAEI ou âme collective (bleu) – dont les BUUAWAA (vert) intégrés en elle contrôlent chacune, grâce au OEMBUUAW (jaune), ses OEMII (CORPS) (orange) respectifs – est en réalité associée au temps en formant le long et tortueux enchaînement de FAITS que nous appelons OEBUMAOEMII.
Un TOUT créé par WOA avec une grande liberté pour régir en une fois pour toujours son Destin et ensuite être sanctionné et prévu dans l’intime participation des IDÉES de WOA (cet ensuite est symbolique car le temps n’existe pas).
Il n’y a pas de mots pour exprimer l’exquise harmonie de cette merveilleuse CRÉATION de WOA.
Tous les hommes d’UMMO sont donc intégrés dans ce BUUAWEE BIAEI ou ESPRIT COLLECTIF mais : EXISTE-T-IL UN ESPRIT PLUS AMPLE QUI EMBRASSE TOUS LES ÊTRES DU COSMOS ? NOTRE BUUAWEE BIAEI ET CELUI DES HOMMES DE LA TERRE SONT-ILS AUSSI « FONDUS » ?
Humblement nous confessons que nous L’IGNORONS; s’il en était ainsi nous pourrions communiquer télépathiquement avec vous malgré les énormes distances et nous connaîtrions quelque chose de plus au niveau du FUTUR que nous réserve l’Humanité Cosmique.
Ceci est l’un des objectifs de notre mission sur TERRE : jusqu’à maintenant les résultats ont été négatifs. Nous croyions naïvement que les scientifiques et théologiens de la Terre allaient nous apporter des éléments et nous vous avons trouvés préoccupés par des guerres stériles et de stupides polémiques faute d’objectivité scientifique ; et vous croyez TOUS posséder TOUTE LA VÉRITÉ sans respect pour ceux qui ne pensent pas comme vous.
Ecrit par DA 3, fils d’EYEA 502 (Section Espagne)
Sous couvert de YU I, fille de AIM 368 (Déléguée de en Australie)
INFORMATION ACCESSOIRE
Copies distribuées: 2
Langues: Espagnol – Français
113 – DÉCOUVERTES D’AUTRES PLANÈTES HABITÉES RÉALISÉES PAR UMMO
Dans nos déplacements, nous ne sommes même pas encore parvenus aux limites de notre galaxie. Nos techniques de voyages spatiaux doivent s’adapter en fonction de certaines courbures de l’espace. Nous ne pouvons donc pas nous déplacer où et quand nous voulons.
Au long de notre HISTOIRE les contacts établis sont les suivants (les dates correspondent à notre dernière époque, années UMMO).
An 27/32465,5616 Les premiers messages codés du système OOYAUMME (étoile que nous n’avons pas identifié sur les tables astronomiques de la Terre).
An 29/36008,53 Enregistrement de messages indéchiffrables provenant du groupe UUYABOO WEAM de la nébuleuse NEAAA.
An 64/87,3 Arrivée de deux appareils semblables à nos OAWOLEA UEWA . Ils disparurent sans laisser de traces. Auparavant, et sans preuve officielle, furent enregistrées dans les URAA (chroniques officieuses) jusqu’à environ 4230 contacts de ce genre.
ENTRE LES ANNÉES 84 et 509 : 42 messages reçus et décodés, 103 messages indéchiffrables.
De tous ces 145 codogrammes radioélectriques reçus (322-329 mégacycles /sec – BANDE DU DEUTÉRIUM – et fréquences comprises entre 407,658 et 8306,63 Mc/sec) provenant de 27 systèmes planétaires ou groupes localisés. Deux messages (décodés) extragalactiques. Un provenait de la galaxie OREEAU (appelée par vous ANDROMÈDE), on n’est pas certain de l’origine du second contact.
Nous avons établi le premier contact réalisé au moyen de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (nefs spatiales) avec la planète IEYIOBAA (la dénomination phonique de ses habitants était approximativement ainsi FRRRANSSSS). Ce groupe est situé autour de l’astre OOYAUNMEEEI (Sur les tables terrestres il figure avec la dénomination 70 du Serpentaire)
Le second (an 501/978,56 avec la planète OOYAWIIA et ses habitants qui tuèrent ses six membres d’équipage).
Nous avons visité 218 planètes sans vie ou à formes de vie primaire.
Tous nos essais de communications télépathiques avec d’autres humains, vous inclus, se sont révélés infructueux, d’autre part les distances énormissimes (voie lumière), qui conditionnent les communications électromagnétiques (radio) ont rendu quasi infructueuses les tentatives de répondre aux messages reçus et bien interprétés, puisque quelques-uns sont reçus avec un retard (même dans notre galaxie) de: 38.607, 46 ans
C’est le cas extraordinaire de la planète OOYAEBEEM située dans le système UYI ABEE. De bonnes conditions isodynamiques de l’espace en l’an 487/84.465,2 permirent de la visiter, la nef ayant mis 40.078.427,56 de millièmes de ummojours ou 86 jours terrestres quand la lumière met 9165 ans. Nos techniciens purent seulement capter les traces d’une immense destruction survenue quelques 6.000 ans terrestres auparavant. Bien plus nous avons enregistré postérieurement deux messages codés provenant de cette planète elle-même d’où ils furent émis avant que son humanité se soit autodétruite avec ses terribles armes à plasma.
300 – NOTRE SYSTÈME DE RÉMUNÉRATION
Au cours de notre histoire nous sommes passés sans transition du troc d’espèces à l’évaluation économique du travail et des biens industriels et de consommation en fonction d’un système mathématique très complexe. Pour comprendre ce système, il vous faut connaître plus à fond la structure de notre SOCIÉTÉ.
Nous tentons de faire un résumé des traits les plus en accords avec l’économie de UMMO.
Nous possédons un système de codification des biens très complexe et soigneusement standardisé de façon qu’à chacun soit assigné une série de chiffres qui le représente. Ils sont recensés dans les groupes suivants, tous évalués du point de vue économique.
OUMBOOBUUA. Biens – services intellectuels tels que travaux de calcul mathématique, inspection de la clarté de la communication phonique, examen psychotechnique de l’enfant et beaucoup d’autres. (Inclus les formes de divertissements)
OUMBOOMIIA. Biens en formes de services qui requièrent l’usage de la motricité physiologique, mains, pieds, thorax, manipulation de machines outils, réparation d’instruments de recherche, chirurgie…
OUMYASAAII. Biens naturels de surface ou de volume tels qu’aires de terrains, volumes de sous-sol, volumes d’espace dans ou hors de l’espace atmosphérique.
OUMDAA DOAA. Biens de consommation alimentaire, vêtements, AARBII OMAIU (sorte de tablettes de titane où peuvent s’enregistrer les sons, équivalent des disques et bandes de magnétophone de la Terre), objets décoratifs, meubles, ainsi que l’ÉNERGIE.
OUMWI AA. Biens d’équipement tels que les appareils industriels, les véhicules, les bâtiments, etc, (inclus tous les types d’instruments de travail)
Observez que les deux premiers sont réalisés par l’énergie humaine et que les trois derniers sont DIMENSIONNELS.
En principe les hommes de UMMO ne possèdent aucun de ces derniers biens dimensionnels.
Vous pouvez interpréter cela comme une forme occulte d’économie marxiste terrestre mais les différences entre la structure communiste et la nôtre sont bien notoires comme nous allons le voir :
D’abord il n’y a pas sur UMMO de problème de production. D’une part, l’autorégulation des naissances est parfaitement assurée sans faillir aux normes religieuses de l’UAA (code MORAL) et, d’autre part la production massive synthétique des glucides, protéines, lipides et de tous les aliments et le reste des biens OUMDAA DOAA. et OUMWI AA. , est si énorme et si parfaitement planifiée que les terribles problèmes de l’injuste répartition des biens qui harcèlent l’humanité de la Terre ne peuvent exister, de même qu’entre vous des problèmes comme celui en rapport avec l’air et sa répartition.
Quand l’existence de BIENS est supérieure à la DEMANDE probable, ils subissent une dépréciation telle que, pour un certain seuil quantitatif, ils perdent toute signification à une prétendue évaluation rémunérative.
Mais il y beaucoup de biens estimés et évaluables, étant donné que leur nombre ou grandeur ne sont pas supérieurs à ceux de la fonction de la DEMANDE (certaines attractions, objets rares, terres, etc).
Quand l’enfant a atteint un certain âge, on évalue ses facultés psychophysiologiques. On considère que la maîtrise de son éducation appartient à l’UMMOAELEWE (CONSEIL DE UMMO). C’est à 13,7 ans (terrestres) qu’il s’intègre dans l’UNAWO UUI (grand centre d’enseignement) où le régime est sévère et où le jeune s’habitue à ne rien posséder à lui.
Une fois terminée sa formation – adaptée aux facultés de notre OEMII (corps humain) – on lui attribue un code chiffré qui constitue notre FICHE D’IDENTIFICATION (nommée UMMOGAIAOO DAA).
A ce moment notre identité est intégrée dans la gigantesque XANWAABUUASII BEEO AO d’UMMO situé à GOABAAAE.
Elle est traitée dans une gigantesque mémoire centrale connectée à tout le réseau XANMMOO AYUBAA (espèce d’ordinateurs ou cerveaux de base DIEWEE). La technologie de ces grands équipements qui ont une lointaine parenté avec vos cerveaux électroniques est trop complexe pour être décrite ici.
En premier lieu, les unités de mémoire XANWAABUUASII ne sont pas constituées, comme celles de la Terre, de bandes magnétiques, disques magnétiques de ferrite ou tambours. Il s’agit simplement de petits cubes de titane cristallisé chimiquement pur. Chacun de leurs atomes peut être excité et atteindre une douzaine d’états quantiques de façon que chaque atome puisse engrammer un chiffre. (NdT: Les 12 de leur numération) (Remarquez que les mémoires des ordinateurs de la Terre travaillent avec des BITS en système binaire.
Vous pouvez imaginer qu’on puisse amasser des trillons de chiffres dans un petit volume de titane prêts à être de nouveau utilisés. Un faisceau d’ondes de section infinitésimale et de haute fréquence coagit avec deux autres en formant un trièdre en traversant le cristal de titane sur l’atome que l’on veut exciter ou décoder.
L’information (codée) déposée peut être traitée dans des équipements calculateurs (beaucoup plus complexes que vos simples équipements.
Bon. Il existe sur UMMO 120 XANMOO AYUBAA géants reliés à la grande MÉMOIRE sus-citée. Ces énormes dispositifs règlent toute l’activité de UMMO. Ne pensez pas qu’ils se substituent à l’esprit créateur de l’homme. Ils sont essentiellement un auxiliaire indispensable de notre civilisation.
Mon épouse peut, de notre domicile, entrer en contact avec le XANMOO AYUBAA et lui soumettre les données relatives à la température, tension, degré d’acidité de la sueur, nature des ondes cardiologiques, etc, de notre petite fille malade, et en recevoir le diagnostic et les prescriptions thérapeutiques. De même, nous pourrions lui soumettre un problème compliqué de mathématique pure ou de psychobiologie analytique.
Signalons que notre UMMOGAIAO DAA est intégré dans cette mémoire. Aujourd’hui devant chacune des données correspondant à notre rendement le point professionnel assigné, convenablement pondéré, est inscrit aussi dans cette Mémoire.
En ce moment même, je dicte ce document à un homme de la Terre. Ce travail est ensuite enregistré en Australie. Il y est évalué et codé à l’égal de vous pesant un kilogramme de café traduit en pesètes ou en francs. Ces données de nos travaux sur Terre sont enregistrées aussi dans un petit ordinateur pourvu également d’une mémoire de titane. Cette plaquette, qui contient non seulement ces données mais des milliers de document codés se référant à la civilisation de cette planète, sera envoyée sur UMMO. Mieux, les données numériques qui enregistrent mon travail iront se mêler à toutes les données qui se rapportent à ma personne et qui existent dans la XANWAABUASII BEEO AAO.
Si je reviens un jour sur UMMO et désire par exemple acquérir une antiquité rare (par exemple un chronomètre balistique) (cela s’entend en USUFRUIT) le « vendeur » consulte la XANWAABUASII qui lui dira si j’ai ou non droit à elle. Et la réponse est conditionnée par de multiples facteurs :
Mes capacités psychophysiologiques et mon grade hiérarchique,
Mon rendement au travail tout au long de ma vie,
Toute l’économie de UMMO en cet instant.
Comme cela, nous n’avons pas besoin d’argent que d’ailleurs nous n’avons jamais connu et nous croyons n’y avoir rien perdu, puisque avec notre système de rémunération centralisé et soumis à une rigoureuse analyse depuis le central coordinateur de UMMO, c’est comme si nous comprenions beaucoup plus justement et plus rationnellement.
Une analyse plus détaillée de ce système montre qu’au fond il est semblable au terrestre. L’argent matérialisé en documents (BILLETS) cautionné par un patron (c’est l’OR ou la CAPACITÉ ÉCONOMIQUE du pays) a été remplacé sur UMMO par des valeurs symboliques qui étaient en même temps soutenus par l’économie de UMMO. La circulation monétaire n’est pas nécessaire et le système employé rappelle un peu les TRANSFERTS BANCAIRES DE la TERRE. Mais par contre, le système de rémunération du travail est d’un point de vue scientifico-économique et moral beaucoup plus rationnel.
La suppression de la propriété privée n’a pas créé de grands problèmes et d’autre part l’homme de UMMO est libre de choisir le travail qu’il désire. Malgré l’absence de propriété, l’incitation et la stimulation au travail sont plus intenses que sur votre planète.
Si je rends un grand respect à ma condition professionnelle, je jouis d’avantages en biens usufruitiers, services et prestations, qui ne seraient pas accessibles à un individu paresseux. En somme, vous pouvez interpréter notre civilisation comme une espèce de structure socialiste (plus perfectionnée que les balbutiants et équivoques systèmes socialistes de la Terre) et profondément religieuse, mais avec une base argumentaire pour cette religion nettement scientifique et dépourvue de toute tendance fanatique. Nous croyons à des valeurs spirituelles qui sont plus équilibrées que les vôtres. Seuls les arts, et spécialement la musique, sont terriblement plus pauvres que ceux de la Terre.
D42
Référence : | D42 |
Titre | Histoire de UMMO, Régime despotique de IE 456 et de sa fille WIE 1 |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA en mars 1966 |
Commentaires | partie d’un document plus vaste. |
AELEWE
INFORMATION OOL
Nombre de copies distribueés : 1
Langue espagnole
A la demande des professeurs Sesma Manzano
Madrid
A la demande DOO
Conformes à votre demande d’un rapport sur notre Culture , Philosophie et Religion . Vous comprendrez (empero? ) qu’il nous soit impossible de les résumer en quelques pages .
Nous avons jugés suggestifs d’esquisser des morceaux choisis , qui englobent quelques unes de leurs caractéristiques les plus marquantes bien
qu’il y ait un risque de le faire d’une manière non systématisée .
Un résumé plus étendu et cohérent a été remis en Mai 1965 au professeur K.I. Ivanov (Union Soviétique ) . Un autre rapport sur notre système religieux , de caractère confidentiel , a été adressé à l’observatoire de la Cité du Vatican ( Italie ) .
Le risque le plus important que suppose de réaliser cette synthèse réside dans le fait de priver les affirmations qu’elle contient d’une soigneuse argumentation logique .
331 L’Art .
En toute objectivité , nous devons reconnaître l’authentique retard de UMMO dans ce domaine par rapport à l’Humanité Terrestre .
A présent nous avons compris comment une découverte technique faite par nous dans les premiers stades de notre Histoire a eu pour conséquence d’atrophier tout le développement des manifestations picturales -scupturales , telles que celles qui sont faites sur votre planète .
En l’année 402 de notre seconde Epoque ( on ne connaissait pas encore la nature de l’électrostatique , et les AAKSBOUTZ – moteurs à méthane – n’étaient pas encore apparus ) , un de nos ancêtres ? Y | OO ‘ UUL 76 ) fils de ?Y | O-(UUL 73)
[ note du copiste le premier symbole dessiné sur l’original ressemble à ? sans le point en dessous ; Y remplace un symbole Y manuscrit mais avec un trait oblique incurvé en bas à gauche comme le A , le premier O droit avoir un trait au-dessus ]
découvrit qu’en projetant à travers un petit orifice une petite image lumineuse ( naturellement inversée ) sur une plaque de sélénium (préalablement frottée et ensuite saupoudrée du polen d’une plante ) , cette image reste fixée , comme elle l’était sur l’un des daguerréotypes de l’époque de Niepce sur la Terre .
Aujourd’hui nous connaissons bien la raison :
Si au moyen d’une lentille nous projetons une image quelconque sur une plaque que nous avons tribo-electrisée en la frottant avec un tissu , les zones baignées par la lumière présenteront un potentiel électrique différent de celles non illuminées . Si ensuite nous saupoudrons de talc ou de carbone finement divisé , les zones électrisées retiendront les grains . Reste alors fixée une authentique photographie de l’image primitive ( le processus réel est un peu plus compliqué )
A partir de ce système , nos ancêtres « repeignaient » ensuite l’image avec des pigments adéquats , jusqu’à ce que l’évolution de la UULAYANA NAI (Electrophotographie ) rendit inutile ce travail manuel secondaire . Mais de cette façon , notre humanité n’éprouva pas le besoin de la peinture telle que vous la connaissez , s’atrophiant en partie quelques facultés esthétiques .
332 HISTOIRE de notre changement de gouvernement
Apparition du concept scientifique de WOA .
Dans notre histoire , ne sont pas apparues comme parmi vous , de multiples courants de pensées au sujet de l’existence ou de la non existence de WOA (D42_S1) ( créateur , appelé par vous Dieu ou Jehova) . Au contraire , toute notre culture a toujours été WOASSEE (Créationniste , ou comme vous diriez : Théiste ) . Bien que jusqu’à la vivisection de UMMOWOA (D42_S2) on avait tendance à identifier WAAM – le Cosmos à WOA ( Dieu ) au moyen d’une constellation de croyances que vous qualifieriez que Panthéistes .
Il n’existe aucune forme définie de culte . Notre humanité traversait alors une époque hallucinante et angoissante : des centaines de malades psychosomatiques , leurs centres neurophysiques déséquilibrés générateurs d’impulsions BUUAWE BLE (Télépathiques à , terrorisaient la population , freinant le progrès de la culture . On pensait plus à faire la chasse à ces malheureux malades qu’à rendre un culte à WOA ( Dieu ) .
A cette époque existait encore sur UMMO un Gouvernement monocratique qu’on élisait par proclamation des AASE OGI (Chefs de Cité ) . Les méthodes de détection de ces malades allèrent lentement en se perfectionnant . Dans l’année 1126 (238 AU ) de notre première époque , apparaît la méthode AARWIO BUUA EI , précédent de notre moderne AARGA BUUA EI , pour neutraliser leurs hurlements anarchistes , en les tuant à distance , et avec elle s’épanouit toute la recherche scientifique . (Ce triomphe est l’équivalent de votre découverte de l’imprimerie ) .
Notre peuple respire enfin , libre de son esclavage mental .
Mais , malheureusement apparaissent aussi les premières formes embryonnaires de la tyrannie . Avec IE 456 fille de NA 312 , surgit le gouvernement le plus épouvantablement despotique qu’a connu UMMO .
A l’age de 8,5 ans (en équivalents terrestres ) , IE 456 se révèle être une enfant douée d’un niveau d’intelligence surprenant , et le Conseil Local (Les parents n’avaient pas d’autorité éducative à cette époque ) la destine au ONAWO UII (espèce d’Université ou Centre Polytechnique) pour l’étude de la OOLGAWAAM (Physique et Cosmologie) . A cette époque, les études sur les champs électromagnétiques et la physiologie cellulaire étaient très avancées , bien qu’on continuait à considérer l’Univers comme un continuum à trois dimensions et qu’on ignorait la nature intime de la communication télépathique .
A l’age de 13,2 ans, IE 456 est nommée professeur de WAAMTOA (Histoire de la Cosmologie) . Commençant en même temps ses recherches sur le champ gravitationnel de UMMO . Ses NOA (élèves) étaient tous d’age supérieur à celui de cette jeune fille très menue et maladive qui leur imposait néanmoins une discipline de fer et cruelle . (Sur UMMO le professeur a toujours remplacé le père pendant l’étape scolaire de l’individu ).
Les découvertes de IE 456 : le calcul de la masse de notre planète et la nature de la bande ionisée polaire de UMMO , la firent devenir rapidement la première figure scientifique de notre planète , au coté de IMII 23 fils de IMII 22 créateur de la psychologie moderne .
Quand se dématérialise l’esprit (meurt) du vieux Hiérarque OES 17 fils de OES 14 , la petite IE 456 est élue par le Conseil de AASE OUIA ( gouverneurs ) réunis dans la vallée NAATOWSEE UA NAII (c’était une coutume ancestrale de se réunir dans l’historique Vallée pour élire le Grand Dignitaire de UMMO et ses douze conseillers ) .
L’opinion du peuple fut cependant opposée depuis le premier instant , et la fine intuition des masses ne fut pas très erronée , bien que la réaction populaire défavorable était motivée par la désagréable sensation de se voir gouvernée par une enfant .
332 – Régime despotique de IE 456, fille de NA 312.
En ce 17ème jour après son ascension au pouvoir, le fameux AAR GOA, elle provoque ce que vous appelez « un coup d’état », en ordonnant d’exécuter neuf de ses douze conseillers et elle se proclame chef absolu de UMMO en invoquant le supposé droit qui lui permet d’accélérer le progrès scientifique.
Elle développe alors une théorie philosophique hétérodoxe, théorie selon laquelle: le « cosmos » n’existe pas « à priori », mais seulement les esprits des hommes, dont la génération d’images mentales et de concepts ou abstractions intellectuelles CREE l’UNIVERS.
Selon elle, quand un homme découvre une loi biologique ou physique, il est victime d’une illusion : il croit qu’une telle loi existe depuis l’ origine du cosmos, alors qu’en réalité il vient de la créer lui-même.
Le destin de l’Humanité de UMMO consisterait donc à accélérer la recherche scientifique, sans tenir compte des moyens, accélérant ainsi la création.
IE 456 postule donc que WOA (dieu) n’est rien d’autre que l’ensemble des êtres de UMMO et que le cerveau de WOA serait elle-même : IE 456, fille de NA 312.
On frémit, de nos jours, en pensant qu’une demoiselle qui n’avait pas encore eu sa première menstruation puisse subjuguer ainsi des millions de personnes.(Dans certaines régions de UMMO la puberté apparaît vers les 16 ans et la ménopause vers les 45 ans ; chaque fois que nous nous référons à l’année, nous la considérons comme l’unité Terrestre de temps).
Elle planifia la recherche scientifique, dans tout UMMO surgirent des centaines de nouveaux ONAWO UII (espèces de centres d’enseignement où en même temps la vie quotidienne continue), et ordonna que tous les hommes, femmes et adolescents rationalisent d’une manière draconienne leur temps,en le divisant entre les études et le travail.
A 15,2 ans d’age, IE 456 promulgua les fameuses douze INAIE DUIO (lois ou décrets) selon lesquelles, se considérant comme le WAAM DI SAIAYA (quelque chose comme le Centre Coordinateur du Cosmos…, Ahurissant !!) :
1°: elle se proclame propriétaire de tous les êtres de UMMO, pouvant ainsi disposer de leur vie sans aucune limite.
2°: elle élabore et standardise pour tout UMMO les rites du culte qui lui seront rendus par tous les humains.
3°: le but suprême de UMMO est la recherche scientifique,et s’il s’avère nécessaire que tous les hommes meurent à l’autel de la science et de la genèse du Cosmos comme conséquence immédiate, elle n’aurait pas de scrupule à les anéantir.
Ainsi naquit un terrible climat de terreur. Les scientifiques qualifiés dont l’intelligence avait été évaluée au dessus d’un certain niveau, et qui n’arrivaient pas à apporter quelque découverte à la science, étaient torturés d’une manière barbare.
Les femmes, hommes et enfants qui, dans les BIEEWIA (tests psychotechniques), ne pouvaient atteindre un seuil « standard » d’aptitudes mentales, étaient destinés au même usage que vous, sur la Terre, réservez aux cobayes et cochons d’inde.
Par exemple, dans AEVO UI ONAAWO (université de AEVO), un certain jour, et seulement en 12 UIW (environ 36 minutes), on en arriva à pratiquer la vivisection de 160 jeunes des deux sexes, d’age compris entre 17,6 et 22 ans, en leur extirpant sans anesthésie (encore inconnue) une partie de la masse encéphalique pour une expérience destinée à localiser les centres neuro-olfactifs du cortex.
La mythomanie et la cruauté délirante de cette enfant, dont l’image floue des ULAAYANA NAE (espèces de photos pigmentées) de l’époque nous révèlent un teint olivâtre et des yeux petits et inexpressifs, atteignaient des extrêmes honteux.
Pendant ses audiences, (qui, semble t-il, étaient accordées uniquement à des scientifiques prééminents et aux WAAMU ODEU -penseurs et philosophes-) ses sujets devaient se présenter devant elle totalement dépouillés de leurs vêtements (précisément à une époque où la pudeur sexuelle était profondément enracinée chez nos ancêtres) et les paupières closes par un mastic. Si le jugement à leur sujet était favorable, la récompense (YIISAIA) consistait à leur permettre d’ouvrir les yeux pour la voir et venir boire les AAYA IEAAYA (matières fécales et urine) de la maîtresse de UMMO.
AMU A 47, fille de OGA A 1896, célèbre chercheur en mathématiques, à qui l’on attribue les premières études sur la théorie des réseaux électriques, fut reçue par la jeune despote. La commotion psychique fut si grande, que la malheureuse (dont l’age était alors de 38,7 ans) ne put contrôler ses sphincters. IE 456, après l’avoir humiliée devant ses servantes, la tortura personnellement, et elle fut ensuite destinée au fameux et sinistre groupe IO (cinq).
332 – Gouvernement de WIE 1, fille de OOWA 33.
Pour la première fois et aussi pour la dernière dans l’histoire de UMMO, IE 456 impose sa fillette WIE 1, fille de OOWA 33, comme son successeur dans le gouvernement de UMMO.(l’histoire du père,OOWA 33, est une autre sombre énigme de notre histoire.; la version sur ses hurlements télépathiques avant son assassinat aux mains des policiers de IE 456, semble être une légende).
WIE 1 commence à régner sur ses sujets terrorisés à un plus jeune age que sa mère, le jour suivant sa mort mystérieuse. Elle avait 12,2 ans et cette fois-ci personne n’osa soulever la moindre petite protestation devant ce que l’on appela la UMMOTAEEDA (on pourrait traduire par « puéricratie » ou « infantocratie » de la planète).
( )I( I- )Mais WIE 1 n’a pas le grandiose éclat de sa mère. Elle est au contraire d’une vulgaire médiocrité, ce qui ne l’empêche pas de la dépasser en sadisme et d’idolâtrer son propre corps en un paroxysme d’égocentrisme et de narcissisme.
C’est dans ce cadre historique apparaît la sublime figure de UMMOWOA (D42_S2) [ (sur qui nous donnerons une information détaillée) et avec lequel les gens tournent de nouveau leurs pensées vers le Dieu authentique. Apparait alors pour la première fois le culte religieux.
Un explosif, mis semble t-il par une des servantes de WIE 1 par vengeance pour avoir été maltraitée, met fin (de manière aussi dramatique que pour sa progénitrice) à la vie de la stérile adolescente.
Au moins 4 millions de victimes sont enregistrées dans notre histoire durant le fugace mandat de WIE 1.
332 – Métamorphose du gouvernement, le UMMOAELEWE apparaît
Le soulagement avec lequel l’Humanité reçut la nouvelle de la mort de cette odieuse enfant fut suivi par une immense réaction de haine envers tout ce qui représentait la science.
Les merveilleux laboratoires USADAADAU brûlèrent en une nuit. Des milliers de DOROOUIAAIE (espèces de phonothèques ou bibliothèques où l’on conservait des enregistrements acoustiques sur la culture, et qui servaient, comme aujourd’hui, de textes pour les études), des centaines d’Universités, la Centrale de OORGAOWI où un gigantesque réflecteur parabolique concentrait l’énergie radiante de IUMMA pour son analyse, furent détruites par les foules.
Il n’y eut presque pas de victimes, où plutôt il y en eut une, innocente, la Science, dont l’évolution fut freinée pendant de nombreuses années.
Mais en échange, resurgit comme une belle colonne d’Oxygéne-Méthane incandescente, la recherche dans le domaine de la philosophie, la WOALA OLEASS (théologie), et aussi les recherches autour des facultés télépathiques et de la mathématique pure.
La société de UMMO subit aussi une profonde transformation. La terrible expérience endurée avec l’autocratie entraîne une restructuration du gouvernement de notre planète.
La polycratie apparaît sous forme du UMMOAELEWE (Conseil Général de UMMO) qui subsiste encore de nos jours avec de légères modifications. Quatre membres sont élus parmi les citoyens de UMMO sans discrimination d’age ou de sexe.
A tous, hommes et femmes adolescents, on évalue par des méthodes psychotechniques nos capacités mentales. Intelligence, aptitudes et intérêts, facteur de raisonnement, perception spatiale, niveau d’expression verbale-télépathique, puissance de rayonnement, équilibre psychosexuel, degré affectif, possibles réactions psychopathologiques et coefficient de suggestion, sont évalués au moyen d’analyses sur les trains d’ondes cérébrales (une méthode beaucoup plus perfectionnée que vos actuels électroencéphalogrammes).
Au total il se fait une sélection de 120 enfants de 13,65 ans d’age, les plus brillantes et équilibrées structures cérébrales de l’Humanité (pas un seul jeune citoyen ne peut échapper à cette analyse).
Tous ces enfants sont éduqués avec une grande attention, (la proportion actuelle est de 76,66% de garçons pour 23,33% de filles) durant plusieurs années, puis parmi eux seront élus les quatre EYAOLOOWA dont les caractéristiques psychophysiques offrent le niveau le plus élevé d’aptitude ; puis ils intègreront le UMMOAELEWE qui régit notre destin, pendant 6,4 ans.
Aucun des quatre EYAOLOWAO ne peut avoir des attributions de responsabilité supérieures à ses 3 camarades. Si l’on observe le plus minime déséquilibre, prédominance mentale ou suggestive d’un membre, le UMMOAELEWEANII, Sous-Conseil composé de 116 membres, a la possibilité de dissoudre le UMMOAELEWE et d’en nommer un nouveau.
D43
Référence : | D43 |
Titre | Histoire de « UMMOWOA », le dieu de la planète UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA |
Commentaires |
NAISSANCE DE UMMOWOA.
L’humanité de UMMO traverse la crise la plus grave de notre histoire. Nous sommes, par rapport à la Terre, un vieux peuple qui a commencé à mesurer le temps quand les différents groupes sociaux de la Planète s’associèrent pour s’unifier sous un Gouvernement Monocratique (voir Note 2).
Tout au long des années, des OGIAA (grands chefs) se succédèrent,ils imposèrent des normes plus ou moins dictatoriales au peuple de UMMO.
D’autres, comme IUI I2, fils de IUI 11, qui dirigea le pays de l’année 4325 du Premier temps jusqu’à l’année 4331, imposèrent des régimes véritablement despotiques.
Mais un calme parait surgir entre les années 188 à 1301 du Second Temps, quand les lois promulguées pour la sélection du OGIAA diminuent sévèrement leurs pouvoirs.
Cependant le fameux AAR GOA (violation abusive du pouvoir) de IEE 456 fille de NA 3I2, en l’année 1301, amène l’hallucinante crise que nous avons déjà évoquée.
C’est dans ce cadre historique, dans les années 1282 / 03 du Second Temps sous la direction suprême de ce bon et paternel Ancien OGGIAA OES 17, fils de OES 14 et dans la florescente et industrielle ville (il vaudrait mieux dire colonie) de IOSAXII que nait le divin UMMOWOA.
OUVRIER ESCLAVE.
La planification industrielle développée par IEE 456 avait atteint tous les secteurs sociaux. Des millions de GEE et de YIEE furent exilés de force des colonies qui les avaient vu naître pour travailler comme ouvrier esclaves ou être utilisés dans des expériences biologiques. UMMOWOA, parmi des milliers d’autres, fut aussi intégré comme ouvrier esclave dans la construction de IUMMASNEII (étage de l’énergie solaire) situé sur le plateau de SIUU (voir Note 3).
Pendant ce temps, une rumeur, confirmée plus tard s’étend sur toute notre planète: A 29.9 ans terrestres, IEE 456 meure dans des circonstances encore inconnues dans son EXAABII (espèce de salle de repos) sans la présence des intellectuelles qu’elle obligeait à servir comme servantes.
Le soupir de soulagement que poussèrent nos ancêtres martyrisés fut de courte durée. La WOODOO (police très redoutée) contrôle toutes les communications.
La nuit qui suivit la mort de IEE 456, furent assassinés plus de 170.000 personnes suspectées de rébellion. On eut peur, non sans raisons, d’un soulèvement général fomenté par le célèbre astronome YIIXE 87, fils de YIIXE 86, réfugié à ce moment là dans la région volcanique de IIWEEWEE. Rapidement, se propagea une seconde nouvelle connue déjà du temps du tyran décédé. Pour la première fois depuis l’année Zéro du Premier Temps, le chef suprême de UMMO ne serait pas élu par les AASE OGIAA (gouverneurs) : IEE 456 fait prévaloir sa volonté après sa mort; WIE 1, fille de OOWA 3 et de IEE 456 agée de 12 ans serait donc le chef suprême de UMMO.
Cette très jeune fille qui savait seulement se baigner dans les essences de IWA (plante aromatique de UMMO) et dont le suprême divertissement consistait à faire éclater les tympans de ses infortunées servantes en introduisant, quand elle était en colère, des graines de UGUUAXIIA (arbuste) dans les oreilles, commença sa dictature en ordonnant de cautériser les sinus de son professeur de WUA (mathématiques) et de châtrer un des plus fidèles chefs militaires de sa mère. A la surprise générale de tous ceux qui suspectaient le manque d’intérêt pour tout ce qui était science ou philosophie, (sur ce point l’héritage génétique de la mère fut nul) et par un curieux respect à l’égard de la mémoire de la mère, elle nomma une commission d’experts, en les contraignant par la menace de cruelles représailles, de continuer le grandiose et brutal plan de recherches que sa mère commença à une échelle universelle.
DIFFUSION DE SA DOCTRINE
A ce moment là UMMOWOA avait déjà commencé à diffuser sa doctrine. Durant la nuit, quand les ouvriers esclaves revenaient du OYISAADOAA (espèce de campement) et après avoir été dévêtus et contrôlés pour éviter le vol du cuivre, ce jeune au regard doux et à la frêle musculature, parlait suavement aux centaines d’hommes qui l’écoutaient en silence tout en mâchant les longues tiges de EFIEEDI (plante aromatique, aquatique et filamenteuse très douce).
Ses auditeurs n’étaient pas seulement composés de membres des classes humbles et incultes. Il y avait des techniciens, des médecins, des biologistes, des philosophes, des professeurs… que le régime despotique avait condamnés en les dégradant de leurs fonctions.
Cet homme galvanisait tous ceux qui l’écoutaient par la pureté de sa logique, par l’humilité et l’objectivité de ses paroles. Les 1200 TAAU (paragraphes) qu’il nous a légué ont servi jusqu’à aujourd’hui pour nous guider spirituellement.
Quand ses gardiens, touchés par la sublime doctrine, lui offrent un traitement de faveur, malgré le risque que cela comportait pour eux, il refusa gentiment. Il s’autoqualifia de WOA, conforme à l’OEMII, et son pouvoir de persuasion est tel que pas un seul des intellectuels qui le suivent (parmi eux de nombreux psychologues de l’époque) ne peut opposer des objections à cette identification.
PSYCHODIAGNOSTIC.
Quelques unes de ses inestimables causeries sont aujourd’hui conservées dans de vieux rouleaux de DOROO (bande optico-acoustique) (voir note 4).
Donc les BIEEUNNIEO (psychoneurologues) actuels, après une analyse très détaillée, ont établi ce psychodiagnostic que nous résumons:
La personnalité de UMMOWOA ne reflète absolument pas la présence d’idées délirantes, caractéristiques des syndromes EDDIO WE (maladie équivalente à la paranoïa terrestre) et EDDIO NAAU (dissociation de la personnalité), de traits semblables à la schizophrénie de la IAAIYAA (maladie mentale qui rappelle vaguement vos psychoses affectives cyclothymiques.)
On trouve par contre un très haut niveau d’intelligence dans toute la gamme BIEEGOO (série de facteurs intégrants de la capacité mentale) et la présence à un degré exceptionnel de facteurs psychiques UUYI, caractéristiques d’une structure neurocorticale extraordinairement développée. Il est surprenant de constater cependant que UMMOWOA n’utilisait pas ses capacités télépathiques très développées sauf à l’instant de sa mort.
Sur ce point précis nous n’avons que des spéculations sans la moindre valeur.
SON MARTYR.
Avec la complicité dissimulée de la Police, le divin UMMOWOA quitte le plateau de SIUU pour ne pas compromettre ses fidèles les plus proches. Il se présente au groupe WOODO (police) de la AASE GAARAADUI. Cette décision de se constituer prisonnier, volontairement, aux autorités qui le recherchaient fut prise par UMMOWOA quand il eut achevé sa mission REVELATION. Durant de nombreuses années, ses exhortations se répandirent d’une manière clandestines dans tout UMMO: écrits, DOROO ou bandes photo-acoustiques, commentaires oraux fidèlement transmis aux enfants, et surtout des transmissions télépathiques à des parents ou amis lointains.
Ainsi, malgré l’étroite vigilance de la police, ses exhortations arrivèrent jusqu’aux endroits les plus reculés de notre Planète.
L’existence de UMMOWOA est connue de tous, mais le silence tacite qui l’entoure a permis de cacher son identité pendant plusieurs années (UMMO).
Mais les suppliques de ses disciples les plus proches ne servirent à rien. Quand UMMOWOA eut accomplit complètement sa mission de RÉVÉLATION, il annonca à tous sa décision de se livrer aux autorités qui le cherchaient, désorientées.
La nuit 15 de l’année 1402, avec la complicité secrète de la Police de OYISAA DOA (espèce de camp de concentration), le divin UMMOWOA quitte le plateau de SIUU pour ne pas compromettre ses plus proches fidèles. Il se présente ensuite au groupe WOODO (police) de l’AASE GAARAADUI (les ruines de cette métropole sont conservées)
Alors commence son hallucinant martyr dont le témoignage nous a été transmis par des témoins exceptionnels de cette époque et dont les actes, nouvelles et rapports officiels ont été soigneusement analysés par nos spécialistes.
L’explication suivante n’exclue pas que, dans le futur, nous vous remettions, quand vous l’estimerez utile, un rapport plus détaillé concernant les circonstances de cet horrible drame.
Nous vous donnons quelques informations concernant cet événement et ensuite une idée sommaire de ses doctrines.
Il fut inclus dans le groupe de personnes sélectionnées pour servir de victimes à l’expérimentation scientifique avec l’ordre de le soumettre à la mort la plus douloureuse.
UMMOWOA appartenait au tristement célèbre GROUPE (CINQ), composé de personnes choisies pour servir de victimes lors d’expérimentations scientifiques et selon un ordre express de WIE 1 exigeant que l’on recherche le procédé technique de la mise à mort la plus douloureuse que les chercheurs physiologistes pourraient trouver.
Ce martyr se déroule en l’an 1405. Son corps sacré est soumis à un cycle d’analyses dont le véritable objet fut d’assouvir le véritable sadisme de ses persécuteurs.
Son épiderme et sa moelle épinière servirent durant des jours à satisfaire les désirs de ces pauvres fous qui ne surent pas VOIR.
Mais les spécialistes qui réalisèrent cette expérience furent consternés quand le corps de UMMOWOA disparut devant eux à l’instant de son décès.
LA MORT DE UMMOWOA
Sur le YOAXAA (espèce de table chirurgicale) ne demeurèrent que les restes de GIAA DAII (draps ou étoffes poreuses) mais les viscères extraites, le sang qui imprégnait les UBOO (éponges plastiques) et même le liquide céphalorachidien qui se trouvait dans un récipient en dehors de la pièce, disparurent également.
Malgrè les efforts de la WOODO (autorités de police), la nouvelle circula rapidement. Les biologistes furent appelés par WIE 1 pour faire un rapport détaillé dans lequel ils excluèrent toute possibilité d’hallucination collective. La jeune fille écouta avec terreur le récit, mais finalement elle tint compte de la version émise par une commission de scientifiques qui accusa les témoins
visuels d’être des imposteurs. Ces derniers furent condamnés à mort.
CRITIQUE DE LA DEMATERIALISATION.
On ne peut soutenir l’hypothèse d’une fraude sans mznipuler la vérité. Une critique analytique réalisée par nos scientifiques en 338 de notre Temps, apporte beaucoup de lumière sur la mort surprenante de UMMOWOA.
Sept témoins visuels de la dématérialisation (sans compter la UNNIEYUU (neurologues) ROAA 75, fille de ROAA 72, qui était de dos à ce moment là et qui fut surprise de constater la disparition et l’expression horrifiée de ses compagnons) corroborèrent le témoignages des policiers et les aides qui ne virent sortir aucun corps de la pièce.
Parmi les sept témoins, il y avait le délégué des autorités chargé de veiller personnellement à l’exécution des ordres de WIE 1. Ce personnage célèbre par sa cruauté nous a laissé une version impressionnante des faits.
DIFFICULTES DE TRADUCTION.
On peut sélectionner quelques paragraphes appelés TAAU parmi les I200 que nous légua UMMOWOA.
La transcription est très difficile et il nous est impossible de traduire la beauté des images contenues dans l’original. Elles perdent malheureusement de la profondeur et de la vigueur. UMMOWOA parle aux gens de son époque et malgré tout il emploie un langage éternel; On peut y voir un impressionnat parallèle avec le langage de OOYAGAAWOA (Jésus-Christ).
TAAU 2
Comme le BUUAWAA (esprit) ne crée que des idées et qui régit notre OEMII (corps), LUI (J.C) engendre des idées et il engendre aussi le WAAM (cosmos) y compris notre OEMII et son IMMENSITE et PARTICULARITE SUR TOUS LES ETRE DU WAAM consiste à engendrer et c’est cela que vous appelez le WOA (CREATEUR).
Ne dites jamais WOA FUT ou WOA SERA, dites toujours WOA EST.
TAAU 41
« je suis WOA, régissant les destins de mon OEMI (Corps), ne doutez pas de cette grande énigme et mon OEMIIABII (hominisation) a comme objet de nous porter la paix dans ces jours de tristesse et de douleur que vous pleurez.
Je vous apporte la lumière qui, à travers vos yeux voilés, caresse suavement la rétine.
TAAU 42 UAA
Vous êtes comme des malades mentaux. Vous vous déplacez dans un monde de ténèbres hallucinantes.
Et quand vous vous plaignez parce qu’un de vos frères ne vous comprend pas, ne voyez-vous pas que lui aussi se débat au milieu de motivations inconscientes confuses?
Pourquoi n’essayez-vous pas d’abord de le comprendre?
TAAU 77 UAA
N’imputez pas à votre OGGIAA (chef suprême) tous vos maux. Peut être est-elle cruelle parce qu’elle est malade? Ayez pitié d’elle car elle ne connaît pas la paix intérieure que représente le fait d’aimer les hommes.
Comme elle est jeune d’âge, elle ne comprend pas la douleur. Comme elle est jeune de corps, elle ne connaît pas la candeur infantile car devant être gentille comme un enfant, elle se trompe en pensant éprouver du plaisir à vous humilier quand en réalité tous ses pores transpirent la douleur.
TAAU 81
Je vous entends dire : Pourquoi WOA tolère-t-il tout ce mal ? Pourquoi une enfant peut-elle nous ordonner d’engrosser nos femmes jusqu’à leur épuisement ? Pourquoi a-t-elle le droit de maltraiter nos chairs nues et de nous humilier jusqu’à nous imposer de macher ses AYAA (matières fécales) ? Pourquoi cautérise-t-elle les seins de ses servantes et blesse-t-elle avec des acides leurs organes les plus sensibles ? Pourquoi nous empêche-t-elle, à son caprice, de réaliser le suprême acte conjugal, juste pour le plaisir de nous voir vautrés sur le sable, tremblants et indigne?
Et l’écho de vos voix se perd au loin, entre les volcans de méthane enflammé. Pourquoi? Pourquoi WOA tolère-t-il tout ce mal?
De plus: Ne vous rendez vous pas compte que le mal est une simple illusion de votre esprit, comme la couleur l’est de vos sens? Ne voyez vous pas derrière ce mal apparent, l’accomplissement des lois harmonieuses de WOA ?
TAAU 213 UAA
Chaque organe de l’homme, chaque tendance ou instinct a une fonctionnalité organique, savamment régie par les lois qu’a dictées celui qui m’anime: WOA.
Ne changez pas ces fonctions au dela de leurs limites normales. Que la jouissance de la vue, de l’ouïe, du goût, de l’odorat, du toucher, des sens proprioceptifs, de l’orgasme ne se transforment jamais en un but, mais restent un moyen savamment contrôlé vous permettant de traverser la vie avec une authentique paix intérieure. (Dans l’original: UNNIEYAA AGAXAAU ODIAA : Peut se traduire par » ÉQUILIBRE PSYCHIQUE ou ÉQUILIBRE NEUROCORTICAL »)
TAAU 336 UAA
Pourquoi causes-tu consciemment le MAL à ton frère de travail? Les actes de l’homme sont dirigés instinctivement par deux groupes de motivations.
Beaucoup sont réellement conscientes, animées par le BUUAWAA (esprit) et vous en êtes sûrement responsables devant WOA. De plus: quel est le nombre de conduites qui ont un fondement inconscient? Combien sont déterminées par des impulsions nerveuses aveugles? Combien sont déterminées par des réactions de défense de votre organisme par rapport au milieu hostile qui l’entoure?
Pourquoi donc accuses-tu toujours ton frère si son attitude inique à sa source dans les lois inviolables qui régissent l’OEMII? Si tu dois te défendre contre ton frère, si pour conserver unis OEMIIBUAWAA ( CORPS et ESPRIT) tu dois le lésionner (ton frère ndt), fais le à la dernière limite, après avoir épuisé tous les moyens coercitifs mais sans que ton esprit soit imprégné par la haine.
TAAU 340 UAA
Vous n’aurez d’autre objectif suprême tout au long de vos vies sinueuses que celui d’essayer de respecter et AIMER les autres hommes.
Si vous n’y parvenez pas, considérez que votre fugace passage sur UMMO aura été un échec.
Si, lorsque ton frère souffre, ton affectivité ne s’émeut pas,
Si, quand ton frère est dépourvu de moyens, tu n’essaies pas de l’aider,
Si tu ne t’identifies pas à ses problèmes et n’essaies pas de les comprendre, n’attends pas que WOA considère ton BUUAWAA conforme à l’image que sa GRANDEUR a d’elle.
(Il est difficile de traduire l’expression EBAYAA, nous avons choisi AIMER parce que ce verbe s’approche le plus du concept terrestre. Pour nous AIMER SEXUELLEMENT est un autre mot qui le différencie de l’autre: c’est XIIXIA. Ce que vous appelez AMOUR PLATONIQUE est un troisième verbe sur UMMO.)
TAAU 342 UAA
Si ton échelle sociale est supérieue à celle de ton frère et qu’il t’est soumis, ne l’humilie pas. Observe d’abord le brillant de ses yeux suppliants et met ta main sur sa poitrine pour qu’il se sente réconforté.
TAAU 837
Je ne suis pas venu pour vous porter la vérité accessible. Vous devez la découvrir vous même par votre étude, avec votre patiente exploration du Cosmos dans lequel vous êtes immergés.
Et cette connaissance des lois qui l’harmonisent vous rapprochera lentement mais progressivement de WOA qui régit OEMII (corps)
LE GROUPE EXPLORATEUR ADMIRE LE CHRISTIANISME.
TAAU 831 UAA
Pourquoi n’essayez-vous pas de comprendre vos enfants? – me demande le « visiteur » – Pourquoi vous obstinez-vous à voir en eux un fidèle reflet génétique de vous-mêmes?
N’appreciez-vous pas que dans leurs entrailles ils portent, brûlant, le germe batailleur de l’évolution? Vous voulez qu’ils pensent comme vous et qu’ils se plient à des coutumes qu’ils considèrent caduques.
Vous ne pourrez éviter que les nouvelles générations soient meilleurs que la votre. ET C’EST LA CONSEQUENCE D’UNE LOI BIOLOGIQUE EVOLUTIVE.Qu’ils soient plus purs dans leurs idéaux, plus sincères avec la vérité qu’ils désirent ardemment.
Soyez condescendants envers l’inexpérience de vos enfants et ne pensez pas pour cela qu’ils sont plus dans l’erreur que vous- mêmes. Corrigez leurs troubles inclinaisons et modulez leurs tendres esprits mais soyez attentifs aux idées nouvelles qui sortent de leurs lèvres. Etudiez les avec attention et ne commettez pas l’erreur de les faire avorter en les effleurant et tirez ainsi ce qu’il y a de pur et de fertilisant en elles.
TAAU 832 UAA
Vous les jeunes, qui vous lamentez et pleurez sur l’incompréhension de vos parents pour vos idées et qui vous considérez plus intelligents que ceux qui vous ont engendré: Pourquoi n’essayez-vous pas de pénétrer dans les recoins les plus cachés de leur psychologie d’adultes? Ne voyez-vous pas que l’amère expérience des années les a endurcis sans qu’ils puissent l’éviter? Ne voyez-vous pas que la sclérose qui affecte leurs artères endurcit aussi leurs esprits en les fermant aux courants vivifiants de la nouvelle aurore?
De plus: sont-ils responsables d’un tel processus? Pourquoi les humiliez-vous en oubliant qu’ils vous ont donner le fait d’ETRE?
Ne voyez-vous pas qu’entre les broussailles de leurs anciennes idées brille encore le legs de leur expérience?
TAAU 44 UAA.
Levez votre regard embué de larmes et serrez les poings contre le ventre en griffant sa peau fine avec vos ongles.
Levez votre regard impuissant devant le malheur et regardez votre jeune maîtresse fustigeant par caprice vos fesses et martyrisant le ventre de vos YIE (femmes) avec une baguette d’AOGAAU (iridium) acérée.
Et je me demande en soupirant (1) Ne nous est-il pas possible d’écraser sa tyrannie? Et moi je vous réponds:
– Oui : il vous est possible de travailler avec prudence pour renverser le despote mais sans jamais le haïr et en pardonnant après son effondremen,t l’humain aveugle et malade qui l’incarne.
(1) Dans l’original » DIIGOIYAA « : une vibration acoustique ténue émise par une personne quand elle se plaint ou est triste. Nous avons traduit par soupirer bien que tel verbe n’a aucun équivalent sur UMMO.
TAAU 839 UAA
Vous ne trouverez jamais la paix dans votre mariage, si avant de « bomber » votre toit (2), avant de sécher vos vases de GUU (acier au chrome), avant de couper le cordon ombilical du fruit délicat de votre union, vous n’avez pas étudié profondément la phycologie de votre conjoint. Si vous le faites soigneusement, vous verrez quelle merveilleuse fleur se cache dans le bosquet de ses idées.
Vous verrez comment croît en elle, les plantes exotiques qui ne poussent pas chez votre sexe, et, connaissant mieux ses différences, vous apprendrez à aimer et comprendre ses réactions.
Pourquoi ne t’obstines-tu pas, Toi, GEE, Toi,YIE, à planter les germes de si différentes et semblables fleurs ?
(2) « bomber votre toit » se réfère au toit flexible de forme ovoîde qui termine les maisons. Ainsi s’exprime le travail de l’homme.
UMMOWOA continue ce TAUU en faisant des comparaisons entre les plantes exotiques de UMMO et les réactions psychologiques des hommes et des femmes en les exhortant à une communion spirituelle mutuelle. Il est presque impossible de traduire ces images poétiques car les espèces botaniques qui servent d’exemples ne figurent pas dans la faune terrestre. Par exemple « bomber votre toit » se réfère au toit flexible de forme ovoïde qui termine les maisons. (c’est le travail de l’homme).
Quand vous voyez un ministre du Culte faiblir dans l’accomplissement de mes UAA (lois) ne commettez pas l’erreur d’identifier sa chute avec ma doctrine.
TAAU 332 UAA
Respectez les idées de celui que vous pensez être dans l’erreur. Vous obtiendriez la victoire avec seulement l’éclat de vos arguments, avec la douce tactique de la persuasion pacifique, avec la patiente attente dans le temps car l’intellect exige une longue période de fixation des idées.
Si vous ne réussissez pas à le convaincre: soit votre interlocuteur manque de capacité mentale auquel cas vos efforts seront vains, soit vos raisonnements sont aberrants.
TAAU 143
Quand vous voyez un ministre de mon Culte faiblir dans l’accomplissement même de mes UAA (lois) ne commettez pas l’erreur d’identifier sa chute avec ma doctrine.
Donc: peut-être verrez vous se tordre sur le sol un médecin, enivré par la drogue de l’UUXAEEMOI (3) ; doutez-vous de l’efficacité de la médecine à cause de la démarche de l’un de ses praticiens?
Peut-être qu’un de mes disciples, investi pour l’exercice du culte, se voit-il préservé magiquement des misères et des tristes réactions psychiques des autres OEMII (CORPS PHYSIQUES) par cet exercice?
(3) Essence grasse extraite de l’UUXAO, espèce toxique de lichen. Son principal alcaloïde produit des effets hallucinogènes.
TAAU 720 UAA
Efforcez vous, hommes d’UMMO, dans le vaste Réseau Social que vous tisserez dans le futur et auquel vous ferez partie, à ce que les postes hiérarchiques soient assignés non pas en fonction de la Propriété, ni de l’hérédité génétique, ni de la force physique, mais en fonction des aptitudes de l’esprit, dans l’équilibre spirituel des hommes.
TAAU 343 UAA
Si dans le poste de l’échelle sociale qui t’a été attribué, ton supérieur hiérarchique t’ordonne de te dénuder devant lui, rejette ta première pensée : qu’il désire se distraire de ta honte. Mais si tu t’es trompé et qu’il en est ainsi, obéis lui sans rougir, puisque la dignité de ta soumission est plus grande devant l’Esprit de WOA que les tendances pathologiques de ton frère.
PETITE ANALYSE CRITIQUE.
Vous pouvez constater à l’exposé des extraits de la UAA (LOI) d’UMMOWOA, l’extraordinaire parallélisme entre JÉSUS DE GALILÉE et notre Homme Divin.
On ne peut insinuer une possible transmission ou réception télépathique de la part du Christ, ou de n’importe quelle autre information, parce que les deux événements eurent lieu à une époque où se déplacer sur terre nous était empossible.
Observez que les deux doctrines débordent en grandeur et en profondeur par rapport aux idées philosophiques développées par d’autre grands prophètes et philosophes des deux planètes.
Quand les premières nouvelles de OOYAGAAWOA (Jésus-Christ) furent divulguées sur UMMO, nous ne cachons pas qu’elles provoquèrent une première réaction d’incrédulité.
Une si surprenante ressemblance était suspecte de mystification de la part de ce groupe explorateur qui se trouvait sur Terre.
Tout le texte sacré de l’Ancien et du Nouveau Testament dans ses versions de la BIBLE HEBRAIQUE par R. KITEL et KAHALE, des extraits des oeuvres de St Thomas d’Aquin, des oeuvres de théologiens catholiques modernes P.Congar et Rahner, des extraits de Hans Kung et des monographies de quelques auteurs du Couvent Protestant de Taizé et autres théologiens luthériens et anglicans furent transmis sur UMMO et examinés par les spécialistes qui établirent un rapport détaillé de 830.000 mots, qui incluait une étude comparative des Parchemins de la Mer Morte et d’autres textes paléologiques que nous avions envoyé
La grande différence qui caractérise nos deux civilisations est pourtant évidente.
Sur UMMO, l’humanité assimile complètement et rapidement la doctrine d’UMMOWOA, la convertissant en normes et règles de vie d’une société, épuisée au sortir d’un sombre cauchemar sous les règnes de IE 456 et WIE 1. Cette doctrine est acceptée sans fanatisme, sans condamner les minorités qui au début optèrent de ne pas l’admettre, en recherchant toujours les arguments qui l’avalise, mais sans forcer ces arguments à son profit, et en étant conscients que si nous pouvions attendre quelque joie de notre courte vie, ce serait dans la profondeur spirituelle de ces divines UAA (lois).
Vous, vous persistez, terriblement désorientés, recherchant une lumière qui cependant vacille encore dans la lanterne gisant piétinée dans la poussière, tout en étant éblouis par la froide fluorescence d’une science et d’une technique qui, pour avoir été convertie en une fin et non en un moyen comme chez nous, dévorent implacablement les malheureux terrestres qui lui vouent un culte.
Nous sommes aussi restés admiratifs en appréciant chez vous les terribles contrastes entre une société, des masses anodines et ignorantes, végétantes comme de pauvres animaux sans âme, et la grandeur spirituelle de figures comme un Jean XXIII catholique, un protestant comme Albert Schweitzer ou le Mahatma Gandhi.
De telles disparités spirituelles sont inconnues sur notre Planète.
Donc, nous vous voyons vous tordre angoissés, comme Tantale, votre héros mythologique, alors que le remède ou le FRUIT désiré est LA, à porté de main: Mais vous êtes impuissant à l’atteindre !
Les plus grands penseurs terrestres connaissent parfaitement la terrible dysharmonie entre l’avance scientifique et technologique et les sciences de l’esprit, la dénonçant d’une voix ferme mais sans jamais être entendus, en voyant désespérés comment cet écart, qui grandit de jour en jour ,menaçe d’engloutir l’humanité terrestre dans le chaos.
Selon nous, vos problèmes ne se résoudrons pas avec ces cris profonds de vos chefs spirituels. Les racines du mal. Vous devez les rechercher dans les sous-couches physiologiques de type génétique et la correction prendra du temps, beaucoup de temps. Mais avant de poursuivre nous voulons mettre l’accent sur une observation que nous avions faite dans un précédent rapport.
Vous nous avez très souvent demandé pourquoi nous ne vous offrons pas quelques apports scientifiques. Mais si vous souffriez déja d’une « indigestion » de science non encore assimilée !!!
Ou bien, vous nous sollicitez des régles morales ou spirituelles qui soient bonnes pour la malheureuse humanité terrestre. Mais si vous possédiez déja vous-même un patrimoine spirituel richissime dont vous ne profitez pas complètement !!!
Imaginez-vous comme un homme qui, accumule une douzaine de briquets, et dans l’autre dans sa poche droite et une une centaine de pierres (à briquet) dans la gauche. Les briquets ne fonctionnent pas sans ces pierres et le malheureux doit demander du feu aux passants car son briquet ne fonctionne pas. Qu’en pensez vous?
Cependant, ce serait mal de se moquer de cet homme, car nous oublions un troisième facteur, (la possibilité) d’un élément inhibiteur. Peut-être qu’un boulversement mental passager, bloquant ses facultés congnitives, empêche ce geste, simple en apparence, d’introduire simplement une de ces pierres dans le briquet. Il serait injuste et cruel de le mépriser pour sa malchance.
Ne soyez pas assez ingénus pour penser que nous possédons la formule magique, la lampe d’Aladin, le merveilleux appareil de poche qui, comme un génie vous permettrait de sortir du chaos si nous vous l’offrions à cet instant.
De fait, notre grande connaissance des mécanismes physiologiques qui régulent la vie de l’homme, nous permet d’agir sur celle ci avec des procédés techniques plus adaptés que ceux que vous utilisez par les médicaments, la neurochirurgie ou les techniques de yoga et d’autosuggestion. De ceux-ci nous parlerons prochainement et peut être serez vous en admiration devant l’avance obtenue en pouvant agir sur les atomes mêmes de DIIUYAA (Krypton) de l’OEMBUUAW.
Mais quand nous parlerons d’eux, vous serez convaincu que ces techniques ne sont pas celles qui ont permis la stabilité sociale de notre Planète.
NOTE 2
Une année de UMMO se divise en 60 jours de UMMO .
Comme chaque jour de UMMO se fractionne en 600 UIW ( quelques 31 heures de la TERRE) , la durée de l’année de UMMO équivaut à 111.312 minutes de la Terre.
Nous pouvons estimer que UNE ANNEE de la TERRE équivaut approximativement à 4,73186 ANNEES de UMMO .
Pour suivre une méthode mnémotechnique fiable : quand nous nous référons à une année de UMMO , qu’ils imaginent qu’elle équivaut ( avec une très faible erreur ) à environ DEUX MOIS et DEMI de la TERRE .
Nous avons divisé le Temps depuis l’apparition de la MONOCRATIE en EPOQUES de 6000 Années de UMMO chacune . De sorte que le moment actuel se passe dans la TROISIEME EPOQUE .
NOTE 3
La source énergétique de cette Epoque était principalement IUMMA (WOLF 424 ? )
Sur l’initiative de IE 456 on construisit un immense réflecteur » SOLAIRE » qui s’étendait sur une superficie de 1.168 kilomètres carrés .
Les réflecteurs étaient construits dans le sol , ressemblant à d’énormes sillons labourés de section parabolique .
Montés avec des briques ou des dalles argentées , ils occupèrent des milliers d’ouvriers forçats ( parmi lesquels on comptait UMMOWOA )
L’eau s’écoulait dans des conduites () placées tout du long de l’axe focal , et était chauffées par les radiations infrarouges de IUMMA jusqu’à vaporisation . De cette façon on pourrait l’utiliser , bien qu’avec un rendement inférieur à 80 %, pour sa conversion en énergie mécanique . (voir le DESSIN )
NOTE 4
Il existait déjà des techniques rudimentaires d’enregistrement du son .
UN BUUXIIAO ( espèce de membrane MICROPHONE ) ( ) accouplée mécaniquement à un miroir ()
réfléchit un fin faisceau de lumière sur la bande de DOROO construit avec un composé plastique de rigidité diélectrique élevé. ( C’est à dire très isolant , thermiquement et électriquement ) .
Le faisceau lumineux oscille transversalement , sur la bande ( qui se déplace avec une vitesse uniforme ) en fonction de la fréquence acoustique transférée à l’élément réfléchissant .
Auparavant , la bande a été chargée electrostatiquement au moyen d’un petit générateur () (la tension est élevée bien que la charge réelle soit de quelques IUDIIXAA ) ( Pourrait équivaloir à des micro- coulombs)
Quand le IBOZOO ( point ou » spot » LUMINEUX ) tombe sur la surface du DORRO , il se produit un effet de décharge électrostatique que vous connaissez , l’employant actuellement dans les techniques XEROGRAPHIQUES .
Un dispositif () fixe optiquement l’image ondulée au moyen de carbone pulvérulent avec un additif agglomérant .
() est un dispositif de chauffage à base de METHANE qui fond le mélange et stabilise définitivement la fonction acoustique gravée.
Grace à ce système rudimentaire , qui possède une lointaine ressemblance avec les techniques actuelles d’enregistrement photo-optique sur un » film » de la TERRE de type cinématographique , nous est parvenu l’ensemble de l’état culturel de l’époque .
D44
Référence : | D44 |
Titre | Indications pour lire le document sur la vie de « UMMOWOA » lors des réunions de la « BALLENA ALEGRE ». |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA |
Commentaires | Absence du texte joint |
Monsieur D.Fernando Sesma Manzano
JE VOUS DEMANDE DE RECHERCHER DANS VOS ARCHIVES CONCERNANT NOS RAPPORTS LE MESSAGE SE REFERANT A LA VIE DE UMMOWOA, SES PRECEDENTS HISTORIQUES, SA VIE, ET LA SELECTION DES TAU, ET DE LE LIRE EN LE COMMENTANT LORS DE LA REUNION.
DEI 98, Fils de DEI 97.
D45
Référence : | D45 |
Titre | MESURES DE DISTANCES INTERSTELLAIRES ET INTERGALACTIQUES.
COURBURE ET « PLIS » TETRADIMENSIONNELS DE L’ESPACE. LIGNES ISOCHRONES ET ISODYNAMIQUES. SYSTEME DE NUMEROTATION ET NOTATION MATHEMATIQUE DE UMMO. LE COSMOS COMME SYSTEME DECADIMENSIONNEL. TRAIN ONDULATOIRES ISOTROPES INFINIS. QUELQUES CONSTANTES COSMIQUES |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA |
Commentaires |
AELEWE
DOCUMENT COMPLEMENTAIRE.
N° de copies distribuées: 1
LANGUE:ESPAGNOL
Pour Monsieur Sesma Manzano,
Madrid.
Professeur Sesma Manzano:
Notre camarade nous transmet votre concernant des renseignements complémentaires sur l’histoire et la philosophie de UMMO. Nous allons essayer de répondre à votre désir au niveau de :
DISTANCES RELATIVES ENTRE LES ASTRES
EXPRESSIONS MATHEMATIQUES DE UMMO.
112 DISTANCES APPARENTES ENTRE LES ASTRES ET GALAXIES DU WUAAM.
Le cosmos est un continuum espace-temps décadimentionnel, courbé en son ensemble et formant une hypersphère inverse (c’est à dire avec deux rayons de même longueur mais inverses.). Mais, en plus de cette immense courbure universelle, il est soumis à deux autres types de courbures :
Il est impossible cependant de reprédenter sur un dessin de telles courbures (car sur une surface on ne peut dessiner que des images à trois dimensions). Cependant nous allons essayer de dessiner des graphismes en utilisant des crayons de couleur (moyens d’esxpression habituels pour vous).
Acceuillez donc avec réserve de tels dessins qui n’ont qu’une valeur didactique.
Comme un enfant terrestre doit considérer l’expression de Dieu par le symbole d’un TRIANGLE avec un oeil tracé à l’intérieur.
D45_FIG1
L’image A l’indique: la façon dont nous voyons ou apprécions, nous les humains, un « fragment » de l’ESPACE qui englobe deux astres quelconques (par exemple la TERRE et UMMO). La ligne en pointillés représente l’apparent chemin le plus court, c’est à dire celui que suivra un rayon de lumière (c’est à dire un faisceau de IBOAAAYA ou PHOTONS) ou bien l’un de vos projectiles téléguidés.
L’image B indique: comment peut être courbé cet espace à travers une quatrième dimension. Ces immenses « plis » de l’espace varient constamment, comme le vent peut plisser l’un de vos draps étendu au sol, et ils sont dus aux inter-influences de l’UWAAM (notre cosmos jumeau dont nous avons déjà parlé dans un autre document).
Il existe cependant d’autres courbures beaucoup plus petites: de petits plis ou rides que l’on peut identifier avec ce que nos sens perçoivent sous forme de « MASSES ».
Les Galaxies, et à l’intérieur les astres, le corps humain, une pierre, ne sont que des petits « creux » ou courbures de l’espace à travers un quatrième axe dimensionnel (voir image B).
Vous pouvez observer que les scientifiques terrestres ont identifié la courbure générale de l’ESPACE et ces petites courbures-MASSE, mais ils ignorent les grands plis variables que nous venons de mentionner.
Comme vous le voyez, la ligne continue de l’image B ou C représentera donc l’AUTHENTIQUE DISTANCE LA PLUS COURTE (idéale pour les voyages interplanétaires) dans cet espace tétradimensionnel.
Quand le rayon de cette courbure est important, (image B) les deux lignes ont presque la même longueur et les voyages spatiaux se feront encore dans un temps trés long même à des vitesses proches de celle de la
lumière.
Mais si la courbure est prononcée, (image C) la ligne continue sera beaucoup plus courte que la ligne en pointillés (ligne de la propagation de la lumière).
D45_FIG2
Dans les images D et E on peut distinguer deux types de lignes idéales.
LIGNES ISOCHRONES (dans l’original en vert, bleu et orange) qui représentent la véritable ligne la plus courte (vert: —), celle de la trajectoire de la lumière (rouge: …), et d’autres intermédiaires. Les IISUIW (lignes isochrones) se caractérisent ainsi: deux observateurs 1° et 2° vérifient que le TEMPS est synchrone, par contre pour 1° et 3° situés
dans des IISUIW différents, le TEMP s’écoule d’une manière différente.
LIGNES USDOUOO (ISODYNAMIQUES) de couleur orange sur l’original, vous pouvez observer que dans l’image D elles sont divergentes et dans l’image E parallèles. (….).
C’est seulement quand les lignes USDOUOO ou Isodynamiques ne convergent pas ou divergent, c’est à dire qu’elles sont paralléles (image E), que nos scientifiques peuvent avoir conscience que la distance à un autre astre est minime et qu’ils peuvent se déplacer à travers cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux en forme de disques).
Mais cette courbure de l’espace subit des modifications périodiques engendrées par l’influence de l’UWAAM. Aujourd’hui il peut se produire que notre planète UMMO soit plus proche de la planète Terre que de l’étoile ALPHA DU CENTAURE et en fait celà s’est produit quelques fois.
D45_FIG3
L’image F aidera à comprendre celà. Dans des conditions normales, IMAGE F, la distance apparente Alpha du Centaure et la Terre sera de quelques 4,4 années lumière. Par contre IUMMA et UMMO (NOTRE SYSTEME SOLAIRE DE WOLF 424) seront séparés par plus de 14 années lumière (de la Terre ndt).
Mais si, (comme l’indique l’image G), l’espace se courbe, il peut se produire que les distances réelles varient en faveur de l’espace qui nous sépare de UMMO. Si la trajectoire de la LUMIERE n’a pas varié, pour les astronomes et pour les possibles voyageurs de l’une de vos fusées qui voudraient se déplacer jusqu’à UMMO, le temps du voyage leur paraitrait plus long pour WOLF 424 que pour ce que vous considérez comme l’étoile la plus proche: Alpha du Centaure.
323 EXPRESSIONS DE WUA (MATHEMATIQUES) DE UMMO.
Notre système de numérotation est en base 12, alors que vous avez, vous, choisi un sytème décimal. En dehors du fait logique selon lequel les signes employés par les terrestres sont différents, les expressions des différents nombres complexes s’effectuent en ordonnant les termes de la même manière que vous.
Cependant celui qui n’est pas familiarisé avec ce système de numérotation à base 12 peut trouver étrange que pour écrire une quantité de 29 arbres par exemple, il faille en réalité écrire 25.
N’importe quel mathématicien terrestre pourra résoudre cette contradiction apparente.
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Nous avons ajouté cette table de signes fondamentaux et à la suite, nous en mettons d’autres avec l’expression correspondante.
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Vous pouvez supposer que l’énorme complexité des expressions mathématiques, logiques et géométriques est résolue (comme par vous) par un grand nombre de symboles qui ne ressemblent absolument pas à ceux utilisés sur Terre. Nous pouvons noter un fait curieux: dans vos expressions algébriques vous symbolisez les nombres par des lettres. Sur UMMO nous utilisons une grande gamme de symboles spéciaux. Voici différents exemples d’algorythmes utilisés en chiffres réels, BASE 12.
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AUTRES EXEMPLES
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Les mathématiciens de UMMO considèrent d’une importance transcendantale une simple fonction périodique -fonction sinusoîdale – que nous appelons WOABAEEYUEE WOA (créatrice mathématique du générateur ou DIEU)
(D45_S1)
(nous mesurons la circonférence en BOAAL OWA (rayons ou radiants), votre division en degrés sexagésinaux ou centésimaux nous surprit).
Vous pouvez observer que nous employons le symbole de WOA (D45_S2).
N’oubliez pas que nous considérons le cosmos comme un système décadimensionnel, WOA engendre une série infinie de trains d’ondes (des fonctions sinusoîdales) de différentes fréquences ainsi que d’amplitude et de phase.
L’espace est vu ainsi d’une manière « extorsionnée », en provoquant une série d’ondes stationnaires et de Noeuds qui se réfléchissent dans l’infini du WAAM.
Ces ondes stationnaires ne sont que les plis du CONTINUUM ESPACE-TEMPS que nous appelons MASSES (Galaxies, Gaz, Animaux etc …). Vous expliquerez ainsi la confusion des scientifiques terrestres quand ils observent l’apparente contradiction concernant le fait qu’un électron soit en même temps CORPUSCULE (masse) et ONDE, c’est une confusion ingénue.
La mort de l’Univers consistera donc en une mise en phase de ces infinis trains ondulatires qui se propagent isotropiquement, crées par DIEU.
QUELQUES UNITES TRANSCENDANTES : (CONSTANTES).
* GOSEEE (D45_S3) :unité de longitude cosmique utilisée sur UMMO, elle équivaut à la distance de IUMMA (WOLF 424) à NAUEE à son apogée (76 12^6 ENMOO)
* VITESSE DE LA LUMIERE: (D45_S4)
* Diamètre statistique moyen de notre Galaxie: (D45_S5) (se prononce WAALI)
* ENMOO (D45_S6) :Unité de longueur officielle sur UMMO, elle est fonction de la longueur d’onde fondamentale émise par la galaxie (D45_S7). Un enmoo équivaut à 1,873665 mètres.
* Accélération de la GRAVITE sur UMMO (mesurée à la côte BAAAUAWE) (D45_S8)
* Fréquence des impulsions d’activation des centres nerveux (D45_S9) situés dans le Plexus Coroîdien Ventro-latéral (cerveau de l’homme) 6 . 123 Hz (=10368Hz)
* TEMPS DU BUUAWE BIEE = 0,00013851 sec (temps que met l’homme pour envoyer une impulsion unité à travers le BUUA XUU (spère PSY) à un autre homme de UMMO par voie télépathique.
D46
Référence : | D46 |
Titre | Etat actuel de la médecine préventive , recours thérapeutiques terrestre |
Destinataire(s) et date(s) | Fernando Sesma en 1966 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Monsieur Fernando Sesma
MADRID ESPAGNE
Nombre de copies : 1
Langue Espagnol
Monsieur,
Lors d’une communication téléphonique vous nous avez demandé de vous remettre régulèrement une série de documents concernant les mesures hygiéniques qui pourraient être les plus propres à être adoptées par les terrestres, ceci dans un but humanitaire afin d’éviter , dans la mesure du possible ,l’apparition de syndromes connus dans la pathologie terrestre.
Vous avez , bien sûr ,conscience de l’ étendue des difficultés que peut représenter une tâche de cette envergure.
Nous pouvons les classer en différentes catégories et nous allons vous en présenter un échantillon pour que vous ayez une meilleure compréhension .
En premier lieu nous devons nous limiter à vous remettre quelques morceaux choisis, dans un ordre anarchique, des conseils spécifiques de type prophylactique concernant une série très réduite de risques que l’organisme de l’OEMII peut affronter si l’on ne met pas en pratique ces mesures préventives .
Comme vous le savez ,le nombre d’agents aggressifs qui peuvent léser les tissus de l’organisme de l’OEMII, représentent un très large éventail ,surtout dans un OYAA (astre) comme le vôtre où la riche flore de micro organismes pathogènes et l’exhubérante variété de virus rend difficile à l’extrème la planification des moyens de défense efficaces .
Par exemple , nous vous prévenons que toute la série d’antibiotiques que vous avez fabriqués sont en train de contribuer à la création de nouvelles souches de virus et germes pathogènes beaucoup plus résistants et immunisés contre ces produits pharmacologiques, et donc, dans un futur de 180 ans + ou – 10% , 72 % des espèces que vous connaissez seront aussi virulentes qu’avant l’apparition de ces produits.
Bien entendu, ceci ne doit pas trop vous alarmer car les spécialistes en biochimie terrestres auront d’ici là fait un pas gigantesque dans la lutte contre la maladie .
Nous disons donc que si nous devions vous donner des conseils concernant les précautions que vous devez adopter pour prévenir chaque maladie qui obscurcit le sombre panorama de votre planète, il faudrait des centaines de volumes dactylographiés ; mais de plus il y a une grave objection ;
N’importe quel OEMII ( homme ) intelligent et compétent en Sciences appliquées, pourra parfaitement nous comprendre.
Vous savez parfaitement que les techniques chirurgicales, la pharmacologie, les techniques thérapeutiques utilisées par les spécialistes terrestres sont subordonnées au contexte général scientifique que traverse actuellement la terre.
Nous prendrons quelques exemples que vous connaissez bien:
– Jusqu’à ce que les spécialistes en biochimie ne soient arrivés à étudier la composition polypeptidique de certains enzymes qui accélère les réactions métaboliques qui ont lieu au niveau cellulaire,ils n’ont pas pu utiliser certains médicaments capables d’activer la formation de ces enzymes quand le processus métabolique était inhibé par des agents externes.
-Jusqu’à ce que les techniciens en électronique et les spécialistes en réseaux électriques aient pu mettre au point des circuits créateurs de fréquences élevées, ils n’y eut pas de possibilité pour les milieu médicaux terrestres d’utiliser cette technique que vous connaissez sous le nom de DIATHERMIE par ondes ultra courtes.
– De la même façon, l’utilisation d’instruments très sensibles pour la chirurgie ophtalmologique n’a pas été possible tant que les scientifiques terrestres, en mettant au point les équipements de cristaux purs, purent enfin obtenir des faisceaux très fins de lumière cohérente connue sous le nom de laser et qui,entre autres applications, est utilisé aujourd’hui comme bistouri de haute précision dans l’intervention sur les lésions de la rétine par exemple .
Comment auriez vous pu mettre au point les programmes utilisés dans les ordinateurs électroniques pour le diagnostic des maladies ,sans l’aide de la recherche opérationnelle et de l’étude des chaines de MARKOV dans le domaine mathématique ?
Ces exemples qui vous sont familiers vous montrent que les techniques thérapeutiques sont subordonnées à l’avance scientifique dans tout les domaines de la connaissance. Nous ne pouvons donc vous réveler de nouvelles techniques sans vous faire ,auparavant ,un panorama général de nos connaissances,chose qui présente des difficultés évidentes .
Nous nous limiterons(car dans de nombreux cas les mesures prophylactiques conseillées par les spécialistes terrestres sont valables pour vous maintenant) à vous apporter quelques suggestions faciles à mettre en pratique sans utiliser des moyens inconnus ou des techniques encore non utilisées ou des principes scientifiques que vous n’avez pas encore découverts.
Le prochain document parlera d’un procédé capable de vous protéger des variations lumineuses intenses (contraste violent du niveau lumineux quand ,par exemple ,sur les plages vous passez de zones d’ombre à d’autres d’illuminations riches en ultra-violets) et l’utilisation de lunettes de soleil normales ne neutralise pas ces brusques changements. Ceci est très grave et les ophtalmologistes terrestres n’attirent pas assez l’attention sur les effets lytiques sur la rétine.
Comment résoudre ce problème avec des techniques à votre portée ?
D47
Référence : | D47 |
Titre | La théorie mathématique des graphes comme analyse de la communauté terrestre. La synergie, les reflexes conditionnés et les modifications neurocorticales dans le système d’éducation de la Terre et de UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | Fernando SESMA en 1966 |
Commentaires | Document reçu en plusieurs lettres |
LA VÉRITABLE NATURE DES INTERRELATIONS HUMAINES.
Nous vous avons indiqué que la société est un véritable réseau dans laquelle les individus sont représentés mathématiquement par des nœuds inter-relationnés entre eux par de multiples arcs.
Ce réseau est dynamique. Il est dirigé par des lois et son fonctionnement sera optimal quand la structure du réseau sera harmonique.
Vous pouvez nous demander :
Comment exprimer simplement la véritable essence des arcs ou branches dans ce modèle mathématique de réseau ?
C’est très simple :
Tout facteur nous mettant en relation avec nos semblables sera exprimé sous forme d’arcs et sa fonction pourra être exprimée de façon plus ou moins complexe par une formule analytique, de la même manière que dans une ligne électrique qui unit deux points d’un réseau on associe une intensité qui se mesure chez vous en ampères.
Le contact physique entre deux personnes est un exemple entre mille de ce type de relations. Des coups au cours d’une lutte, une poignée de main entre vous, ou l’application de la main sur la poitrine entre nous, un baiser, etc…. vont de pair, comme vous le savez, avec des réactions émotionnelles chez les individus en cause.
Mais ce type de relation n’est pas aussi important que deux types de liens qui ont pris, chez les hommes de la terre, une importance transcendantale de par leur constitution aberrante.
Ce sont :
– LES LIENS DE COMMUNICATION INFORMATIVE (LANGAGE).
– LES LIENS ÉCONOMIQUES (INSTITUTION TERRESTRE DE LA MONNAIE).
La structure du réseau économique terrien est totalement absurde. Il n’est pas nécessaire de vous expliquer que toute l’effervescente politico-sociale de la planète que vous êtes en train de vivre est due à l’injuste répartition des richesses et des revenus.
Toutes vos doctrines philosophiques s’efforcent actuellement d’intégrer un système complet dans lequel la conception économique de la société serait plus juste… sans réussir à matérialiser ces aspirations.
De plus : ne vous êtes vous pas aperçu qu’à un niveau plus profond se trouve latent une déficience terrible, qui rend inefficaces et quasi stériles les solutions apportées par les intellectuels Terrestres ?
Vous rendez-vous compte que les moyens que vous comptez utiliser pour transmettre ces schémas mentaux, ces idées, c’est-à-dire LE LIEN DE COMMUNICATION INFORMATIF: LE LANGAGE, est d’une pauvreté effrayante ?
Vous n’êtes pas encore capables, aujourd’hui, de transmettre fidèlement vos émotions, vos conceptions idéologiques, préalablement ciblées pour les en débarrasser du trivial et de l’accessoire.
Et ce qui est encore plus grave :
VOUS EMPLOYEZ UN LANGAGE STANDARDISÉ. Les mêmes formes orales pour tous, comme si les esprits récepteurs étaient tous identiques.
Quelqu’un, en recevant nos rapports, accusa notre société d’UMMO d’être une société mécanisée et sans » âme « .
Mais existe-t-il quelque chose de plus mécanisé et sans âme que ces phrases prononcées avec pour seul objectif de s’écouter soi-même, sans tenir compte de la capacité psychologique de compréhension des interlocuteurs!!!…..
Vous méprisez la psychologie au point de ne pas vous efforcer de créer un langage qui rende plus facilement compréhensibles les idées en l’adaptant au niveau intellectuel de chacun.
C’est ainsi que l’on voit des personnes discuter des heures entières sur des idées qui, si elles avaient été mieux exprimées par chacun, surprendraient les participants qui devraient reconnaître qu’au fond, ils défendent le même concept mais masqué par des mots inadaptés.
Les mots pour vous finissent par s’entourer de symboles signifiants qui n’ont rien de commun avec l’authentique valeur interprétative assignée par le « Real Académia de la Lengua » (Académie espagnole du langage, équivalent à l’Académie française) et vous finissez énervés en vous disputant rageusement autour d’une multitude de mots et palabres, en oubliant la valeur véritable des idées.
N’importe quelle tentative de rénovation sociale s’enlise irrémédiablement dans le piège des mots vides de sens. Si, entre les fracas d’une de vos épouvantables guerres qui ne servent qu’à stimuler l’inventivité scientifique, à défaut d’autres attraits plus rationnels, vous vous arrêtiez pour écouter, avec une véritable objectivité scientifique, les arguments de l’adversaire, vous comprendriez qu’au fond, il n’y avait qu’une totale incompréhension des motivations à cause du manque d’un langage authentique qui rendrait possible mutuellement l’assimilation mentale de ces motivations.
Vous tous parlez avec mépris du communisme marxiste, de l’existentialisme, du libéralisme économique, du protestantisme… Les athées et communistes ont la nausée quand l’église catholique romaine est mentionnée.
Si l’on demandait aux uns ou aux autres quelle est la véritable nature de ces doctrines, ses postulats essentiels, son noyau philosophique, il serait attristant d’observer la qualité des réponses, la quantité de préjugés, de concepts déformés, de lieux communs, la quantité de haine accumulée par chaque groupe opposé aux idées des autres. On voit en elles à ce qui est apparemment erroné ce qu’elles ont d’aberrant ou de nocif, en ignorant avec une mentalité atrophiée la merveilleuse portion de vérité que toutes contiennent.
Nous autres, pour ne pas être nés sur Terre, nous sommes exempts de votre partialité passionnée, nous nous rendons compte de ce spectacle triste, grotesque et ridicule. Celui donné par quelques hommes de la Terre, qui portent leur bêtise jusqu’au point de dévaloriser les autres créateurs de doctrine. Celui des « Leaders » de groupes qui, avec des idées fausses (ou justes), ont consacré leur vie à défendre leurs idéaux et en revanche tolèrent dans leurs rangs une multitude d’individus médiocres et stériles, des marchands détournant des nobles causes pour leur profit personnel en corrompant des doctrines dont la gestation initiale fut pure et prometteuse.
C’est seulement parce que ces derniers sont apparemment des coreligionnaires et les autres à la tête de mouvements religieux, politiques ou philosophique, qu’ils les tiennent bêtement pour des adversaires, au lieu de montrer du doigt et d’éliminer autant d’individus tarés dont la mentalité s’est dégradée au point de se convertir en « accumulateurs » de biens matériels, d’argent, d’immeubles. De véritables matérialistes qui se rient de la justice sociale que des milliers d’hommes de bonne volonté, faisant partie de TOUS les partis politiques, de TOUTES les religions et de TOUS les systèmes philosophiques défendent passionnément.
Vous insultez, humiliez, dégradez et emprisonnez ces idéalistes car apparemment ils ne pensent pas comme vous, sans vous apercevoir, intelligemment, qu’un véritable lien agit comme agglutinant commun : L’ESPÉRANCE DANS UNE HUMANITÉ TERRIENNE FUTURE PLUS JUSTE.
Ce n’est pas parce que les doctrines terriennes sont erronées qu’elles ont échoué. C’est l’impossibilité de trouver des moyens d’INFORMATION accessibles à tous les humains qui a freiné ce courant vivifiant qui les relient à tous, en permettant en cette époque de transférer de l’une à l’autre ce qu’elles auraient de vérité et de rationnel. Et ainsi permettre aux terriens de concevoir une seule doctrine qui, même si elle ne contient pas la vérité immuable du WAAM (UNIVERS), s’en approchera pas à pas avec la collaboration de tous les penseurs et scientifiques de la Terre.
Il en sera ainsi quand des institutions comme l’argent, des conceptions erronées comme le matérialisme ou des luttes terribles comme les guerres fratricides perdront toute signification pour laisser place à un courant mondial d’unification dans la recherche d’objectifs communs, comme celui qui vivifie notre société sur UMMO.
Il semble utopique de croire que ces formes de langage vont surgir entre vous, après une simple réunion des dirigeants de l’UNESCO, par exemple. Vous auriez aussi besoin de nombreuses années d’analyse et d’une longue période d’élaboration, suivie de nombreuses autres pour son adaptation.
Pour l’heure nous vous exhortons à méditer ces lignes et vous efforcer de comprendre et respecter les idées de celui qui vouis parle. Efforcez-vous d’écouter attentivement les arguments de vos interlocuteurs, de les analyser, les débroussailler : en essayant de sonder les motivations qui le poussent à s’exprimer ainsi. Ne vous moquez jamais des idées qu’il développe.
Efforcez-vous d’inviter d’autres personnes à développer leur point de vue et incitez-les même à formuler rigoureusement leurs critiques contre vous.
Nous avons plusieurs fois réitéré que l’OEMII est un réseau et ce concept nous le jugeons si transcendental que nous préférons le répéter afin que vous vous familiarisiez avec lui.
Dans un exposé précédent nous avions esquissé la structure du cerveau et ses connexions avec le BUAWAA (ESPRIT). Nous considérons que vous devriez les étudier préalablement pour éviter de tomber dans l’erreur que nous observons fréquemment tant chez les sociologues, les médecins, les psychologues que chez les théologiens de la Terre.
Nous nous référons à certains processus mentaux. Beaucoup d’entre vous, croient que tout le processus de pensée, les perceptions, les processus cachés du subconscient (nous citons ceux-ci entre autres exemples) sont simplement et purement de nature spirituelle. Ainsi lorsque vous vous souvenez d’un voyage de vacances réalisé l’été dernier et que vous évoquez les séquences vécues imprimées dans ce que vous-même nommez la mémoire, beaucoup de Terriens croient qu’un tel processus d’évocation est simplement élaboré par l’âme ou l’esprit, ou tout au moins considèrent que le cerveau n’a agi seulement que comme auxiliaire secondaire dans cette projection des souvenirs.
Une telle conception animiste est puérile mais pas moins que celle de certains psychologues matérialistes qui, niant l’existence de l’esprit, réduisent tous les processus mentaux à des manifestations énergétiques du cortex cérébral.
Nous vous donnons cet éclaircissement parce que notre vie mentale étant une fonction du réseau neuronal de l’encéphale, et ce réseau à son tour étant lié au RÉSEAU général de l’OEMII (CORPS), est dangereuse, pour toute la structure de la personnalité humaine, une action ludique qui ne tienne pas compte des mécanismes nerveux de l’homme (rappelez-vous que dans les paragraphes précédents nous avons indiqué qu’il ne sert à rien de « réparer » un élément d’un RÉSEAU si on abandonne les autres).
C’est pourquoi le jeu doit être redirigé au service de tout le réseau humain. Et chaque homme à un moment donné, dans chaque situation, requiert un plan ludique différent. Mais un plan dans lequel le développement des mécanismes neuro-corticaux est aussi important ou plus que le développement musculaire par exemple des muscles deltoïdes ou des biceps des bras.
Comme vous le voyez il ne suffit pas d’élaborer des règles sportives dans lequel le cerveau prend en partie un rôle. Quand un joueur de football est sur un terrain de sport, il n’y a pas de doute que son activité maximale se concentre sur l’exercice des muscles adducteurs droits, couturier, péroniers et tibials, des jambes (et évidemment l’exercice affecte non seulement le système osseux, mais aussi tout le processus métabolique, neurovégétatif, respiratoire, circulatoire, etc., entre en jeu).
Personne ne peut nier que chaque joueur développe une intense activité mentale centrée sur les règles de stratégie qu’il a apprises. Sa propre intuition, de caractère inconscient, le pousse à contrôler avec son cerveau, les millions de dynamismes cellulaires qui interviennent dans son activité d’effort. Donc, vous pourriez nous objecter :
– Si le joueur de football » pense » durant la partie, niez vous que c’est un sport intégral dans lequel tous les organes personnels s’exercent. ? Niez-vous que le cerveau est engagé lui aussi dans une gymnastique mentale ?
Nous répétons que NON : NON SEULEMENT C’EST INSUFFISANT MAIS PROBABLEMENT NUISIBLE. Et évidemment, nous continuons à nier aux sports terrestres le caractère de COMPLET.
Recourant de nouveau à l’exemple du RÉSEAU ÉLECTRONIQUE D’UN TÉLÉVISEUR, si dans le transformateur d’alimentation, en tentant de le » fortifier « , en bobinant un nouveau secondaire avec beaucoup plus de spires, le plus probable est que vous ferez fondre les filaments de toutes les lampes il ne servira à rien que simultanément vous nettoyez l’écran et déplaciez toutes les résistances et condensateurs du circuit.
Par ce que l’erreur que renferme la considération que « quand le cortex cérébral intervient dans un jeu (comme le bridge ou les échecs) vous le développez « , est telle qu’il est surprenant d’observer comment de véritables spécialistes en médecine sportive ont admis cette considération sans la moindre analyse critique.
C’est, pour donner un nouvel exemple, comme si tous les matins vous vous frottiez les ongles en imaginant qu’une telle opération orientée vers une minuscule partie du bras, fortifie tous les autres : muscles, neurones, os et vaisseaux sanguins.
Mais vous vous êtes aperçu de l’immense complexité du cerveau !!!
Dans nos laboratoires de BIEWIGUU à EWO IAAU IU (spécialisés en psychobiologie) existe un UEIN GAA EIMII (gigantesque écran) où l’on peut contempler schématiquement toutes les structures du neuroencéphale. Cet écran, découpé en 405 sections, chacune placée dans autant d’IAXAABII (vous les appelleriez salons ou salles de laboratoire) a une superficie globale d’environ 516.600 mètres carrés terrestre. Les circuits nerveux avec leurs synapses correspondantes forment un réseau complexe qui sûrement rendrait perplexe la majorité des neurophysiologues terriens. Sa complexité peut seulement être comparée avec nos XANMOO AYUBAA (ORDINATEURS) dont la structure est impossible à embrasser et à comprendre pour un être humain, nécessitant plusieurs milliers de spécialistes pour sa programmation, son entretien et ses réparations.
Donc, quand un terrien joue aux échecs seulement une infime fraction des neurones de son cerveau se mettent en action. Croyez-vous que ce soient précisément les composants de la zone corticale qui ont le plus besoin de se fortifier…?
Quand nos spécialistes en BIEWIGUU ont découvert l’intime relation entre tous les éléments physiologiques de l’OEMII (LE CORPS HUMAIN), ils s’aperçurent qu’il en résulterait un travail surhumain de projeter, d’organiser, un système sportif qui satisfasse toutes les objections qu’au long de ces lignes dactylographiées nous avons indiquées. Ils se sont trouvés avec la même attitude interrogative que vous avez adoptée devant nous en lisant cette critique du jeu et du sport terrestre.
Nous avons démontré qu’un jeu ou un sport déterminé ne satisfait pas le développement intégral, puisque si leurs règles étaient standardisées pour toutes les personnes et tous les instants de leur vie, ils peuvent mal s’adapter au cadre psychosomatique de chaque individu au moment nécessaire et aux organes et facteurs somatiques en ont besoin à ce moment là, .
Mais vous devez reconnaître que, même avec la supposition que chaque sportif, chaque homme, ait à son service un millier de spécialistes médicaux analysant son corps, cellule par cellule, pour élaborer le type d’exercice récréatif le plus indiqué en ce moment, quand ils termineraient leur diagnostic et tenteraient d’élaborer les règles fonctionnelles de ce super sport pour cette personne, il se serait écoulé un temps suffisant pour que le traitement ne soit plus efficace, puisque les évolutions métaboliques de l’organisme auraient modifié les conditions initiales. C’est donc par principe une utopie.
Durant de nombreux XEE (années d’UMMO) nos techniciens ont dû se conformer pour élaborer une série de Jeux typiques, qui bien que plus complexes et rationnels que les Jeux et Sports de la Planète Terre n’étaient pas vraiment beaucoup plus effectifs que ceux-ci. Les bases de ce que devait être un traitement ludo-thérapeutique de notre Société, à peine tracées, on avait pris conscience de la nécessité d’adapter le Jeu non pas au groupe entier, mais à chaque individu et pour chaque moment où il voudrait s’exercer. Il est arrivé comme sur votre Planète que tous les sociologues s’aperçoivent qu’il faille une Politique qui soit capable d’en terminer avec les injustices sociales, que le monde terrestre exige l’abolition des terribles différences provoquées par la Propriété privée et par les institutions sociales monopolisatrices du Capital et du Pouvoir (au bénéfice d’une minorité et au préjudice du Bien commun du Réseau Social) et sans doute cherchent anxieusement la formule pratique qu’ils prévoient pour l’avenir sans que la Sociométrie actuelle, et le niveau de la Science politique du présent ne soient suffisamment mûrs pour l’élaborer.
Donc, l’évolution de nos sports fut lente et laborieuse. A cette époque là, durant le mandat de l’UMMOAELEWE régi par AINAA 45, ERII 566, TOAAAO 3, et UIDAXAA 83, il était conseillé aux citoyens de réglementer l’UAXOO en s’obligeant soi-même, sans aucune contrainte, à pratiquer durant 30 UIW tous les XII (JOURS DE UMMO) des exercices physico-mentaux en contact complet avec la nature. Ces pratiques de UAXOO (JEU) se déroulaient dans les environs d’un fleuve entre ONAUUU et NAANAA (VEGETAUX ARBORESCENTS très fréquents sur UMMO). On s’exerçait entre les membres de trois groupes (vous les appelleriez équipes) qui luttaient entre eux dans un pugilat dans lequel la qualité des adversaires obligeaient à fournir des efforts mentaux intenses. Une partie du processus se déroulait sous l’eau où chaque individu s’immergeait après avoir obturé ses narines avec un produit plastique et d’avoir mis en bouche le tuyau qui communiquait avec un dispositif placé derrière les oreilles et qui contenait de l’oxygène solidifié à très basse température.
On peut dire que presque soixante-dix pour cent de la population des ancêtres de UMMO accueillit la coutume avec enthousiasme. Cet UAXOO faisait fureur. Jouaient entre eux des individus d’âge chronologique similaire (LES DEUX SEXES) seuls les UUGEEYIE (ENFANTS) de très bas âge et les vieux éludaient logiquement ce type d’UAXOO.
Mais quand les techniques des XANMOO (Nous pourrions le traduire par ordinateurs ou calculateurs géants) se développèrent au point d’être capables d’établir seuls des diagnostics de pathologie humaine et d’établir l’étiologie des différents syndromes mais aussi d’évaluer en quelques fractions infinitésimales du temps l’état physiologique de tout le RESEAU nerveux de l’OEMII (INDIVIDU), les scientifiques de notre Planète virent arriver le jour tant convoité qui permettrait avec une rapidité inconnue jusqu’alors de renseigner chacun de nos frères sur les plus délicates nuances de l’exercice à développer durant les UIW qu’il vouait à l’OXUO
C’est ainsi que naquit l’actuel OXUO KEAIA que nous sommes en train de vous décrire
Plusieurs fois vous vous êtes formulé cette question : pour quelle raison l’homme est-il malheureux sur TERRE ?
Vous-même répondez en donnant de multiples explications simplistes qui ne convainquent pas trop. Vous vous limitez presque toujours à répéter ce vieil adage terrestre : l’homme est un loup pour l’homme !
Mais votre tragédie ne se résoudra pas par de belles phrases chargées d’amères images poétiques, ou en annonçant d’une voix creuse une longue liste de causes problématiques.
Vous avez besoin au contraire d’approfondir par vous-mêmes le fond caché de la structure sociale pour découvrir les véritables causes. Analysez-les et appliquez ensuite les thérapeutiques adéquates.
Que faites-vous quand vous écoutez ces paragraphes ? Peut-être les écoutez-vous discrètement, peut-être avec curiosité ?. En espérant la phrase révélatrice qui en quatre mots brefs vous donnera la formule magique, capable de combler vos vies de félicité…? Non, même cet appétit naïf n’a pas sa place dans vos esprits.
Vous êtes en train d’écouter par simple curiosité en spéculant intérieurement sur la possibilité que ces lignes aient été rédigées par des hommes venant d’une autre planète ou au contraire ébauchées par un ingénieux plaisantin ou bien par un mythomane paranoïaque.
Si nous apparaissions en ce moment par cette porte que, avec un air énigmatique, en réalisant un surprenant prodige technique pour prouver notre identité, vous vous sentiriez « fatuitement » (néologisme) heureux d’avoir été les témoins d’une fantastique rencontre, pour vous. Vous vous contenteriez d’avoir ressenti l’intense émotion de participer à un fait historique et passé le premier moment de stupeur, vaincue la respectueuse crainte initiale que, sans le vouloir, nous vous inspirerions, sûrement vous vous précipiteriez stupidement pour arracher des morceaux de vêtement ou solliciter un autographe.
Le digne propriétaire de cet établissement changerait le nom de » café Léon » par » café de l’espace » et ferait proliférer dans les rues limitrophes les étals de glaces et de cartes postales en couleur avec l’effigie du Señor Sesma Manzano, que personne ne prendrait plus pour un simple « excentrique ». Les journalistes se lasseraient d’écrire des niaiseries sur nous dans les journaux, qui, en définitive, serviraient à emballer le poisson suintant…
Mais nombre d’entre vous continueraient à bailler, en lisant nos rapports sur la sociologie, sans essayer de les déchiffrer, et encore moins en mettant en pratique leurs orientations. Le mépris des masses envers la doctrine de Jésus-Christ continuerait et continuerait à se perpétuer l’apathie générale envers tout ce que suppose l’étude, la méditation, l’analyse et les efforts d’application.
QUE CHERCHEZ-VOUS CHEZ NOUS, SI CE N’EST PAS ÇA ? Pensez-vous ingénument que si nous existons vraiment, nous devons nous présenter devant l’opinion publique en démontrant la réalité de notre origine ?
De cette façon – vous continuez à raisonner – vous pourriez face aux médias de la Terre, faire cette déclaration et tout le monde en bénéficierait : la presse, les radios, les télévisions du globe terrestre lanceraient aux quatre vents la nouvelle officielle de notre arrivée.
De plus nous suggérons : les idées, les raisonnements, ne portent-ils pas en eux-mêmes la force de persuasion ? Comment se fait-il que vous pouviez, vous, les écouter maintenant sans en faire trop cas ? Auraient-elles plus de valeur si nous énoncions celles-ci, vêtu d’un costume fluorescent, devant deux cents microphones et mille caméras de télévision, dans un parc new-yorkais, devant des centaines de milliers de personnes ?
Vous nous croyez aussi inconscients que ces footballeurs de la Terre qui accumulent dans les muscles de leurs jambes tous les tissus organiques qui manquent dans leur cervelle, et qui se présentent à chaque moment devant des milliers de leurs supporters fanatiques, en troublant le calme de la vie citadine ?.
Nous sommes en train de vous parler d’une terrible désorganisation de vos structures sociales. De ce cruel paradoxe, soutenu par vous, qui permet à quelques milliers d’individus de se distraire dans leurs luxueuses automobiles, alors que le combustible manque pour transporter les excédents agricoles vers l’Inde où meurent des millions d’affamés, et vous désirez que nous nous présentions tout d’un coup sur la place de la Concorde à Paris pour qu’affluent du monde entier des milliers de bourgeois inoccupés, avec l’unique but de satisfaire la curiosité de voir des hommes venus d’un astre lointain…
Croiriez-vous très logique une conduite aussi insensée ?
Ce n’est pas de la crainte que nous ressentons. Il est puéril de penser qu’à votre niveau social, nous pourrions souffrir de la part des terrestres une persécution ou un dommage physique.
C’est vous qui subiriez réellement les préjudices du choc aveugle des masses hystériques face au sensationnel.
Si vous pensez que des hommes venant d’autres mondes (que ce soit nous où n’importe qui) sont actuellement en train de vous analyser, sont plus intelligents ou possèdent un niveau culturel supérieur, soyez au moins cohérents et ne jugez pas qu’ils puissent se présenter devant les gens avec la frivolité d’artistes de cinéma !!!
Jusqu’à quel point vous êtes vous peu à peu imprégnés des lieux communs de la science-fiction, faisant que vous attendiez avec une curiosité primaire et morbide, le moment où nous apparaîtrons devant vous ?
Examinez-vous ! Analysez-vous vous-mêmes et reconnaissez humblement que beaucoup d’entre vous ne désirent pas vraiment augmenter leur culture avec celle que nous pouvons offrir, mais au contraire se procurer des émotions fortes, se sentir différents des autres après avoir eu l’occasion de se mettre en contact avec nous.
Ne considérez pas ces critiques comme une réaction de mépris envers vous. Nous disons tout cela avec amertume, conscients qu’à vous comporter ainsi, vous révélez une structure cérébrale infantile dans laquelle les tendances vers les objectifs primaires et maladifs se substituent aux motivations transcendantes élevées.
DÉSORGANISATION DU RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE.
Un penseur de la planète terre, Jean-Jacques Rousseau, postulait que l’homme n’est pas mauvais par nature. C’est le milieu ambiant et la société qui pervertissent l’individu. Ce sont les mauvaises habitudes acquises par l’enfant dans des systèmes pédagogiques aberrants qui confèrent à l’être humain cette empreinte de méchanceté qui caractérise sa conduite sociale.
Mais : jusqu’à quand allez-vous continuez d’utiliser ces concepts infantiles d’hommes bons et mauvais ? Les facteurs influant sur la conduite de l’homme ne peuvent se formuler avec cette simplicité.
Pour éviter des raisonnements embrouillés dans un langage trop technique, nous allons vous donner un exemple simple :
Depuis de nombreuses générations, une magnifique horloge en or a été l’objet de la malheureuse curiosité des jeunes éléments d’une famille. Personne ne sait le nombre de fois où les enfants ont fouillé l’intérieur, déséquilibrant les échappements des ancres, en desserrant ses vis, et déréglant ses petits pignons. L’horloge finit par tomber dans un bassin bourbeux.
Un jour passèrent par-là un certain Monsieur Rousseau et ses amis et voyant l’horloge couverte de limon et de boue, il commente tristement :
L’horloge est bonne; c’est l’eau sale et la boue qui l’empêchent de fonctionner parfaitement. C’est le milieu qui la perturbe.
Un de ses compagnons, après l’avoir sortie et examinée superficiellement argumente :
Non., L’horloge à un défaut de construction. C’est l’horloger qui est responsable de son disfonctionnement.
Dans un précédent rapport nous vous avons rappelé que l’homme HÉRITE DE SES GÉNITEURS certains réflexes nerveux qui constituent ce que vous appelez vulgairement INSTINCTS.
Mais également que sa mémoire subconsciente reçoit par les voies génétiques de multiples souvenirs du passé. Imaginez qu’ils effleurent seulement parfois durant des rêves énigmatiques pour vous, ou dans certains états de catalepsie.
Mais ce qui est plus grave encore : dans ces héritages que les gênes transmettent de génération en génération et que vous avez reçu, ce cache tout un réseau de connexions nerveuses ou synapses conditionnelles, qui constituent les véritables raisons des traits futurs de certaines conduites inexplicables.
La mentalité d’un psychopathe criminel est la conséquence d’un cerveau mal programmé. Ses pulsions qui le poussent à violer une enfant très jeune pour ensuite l’assassiner sans pitié ont comme « substrat » un code génétique mal codifié dans lequel certains gènes portent des normes aberrantes d’établissement de certains réflexes dans le futur cerveau du fœtus.
L’homme de la Terre se voit donc soumis à de terribles pressions dans tous les sens, comme un frèle bateau de bois vermoulu dans les turbulences d’une tempête.
Inspiré par une âme pure et un corps qui du point de vue physiologique est une merveille de construction, il se voit depuis le premier instant comme partie intégrante d’un gigantesque réseau social, comme un nœud uni à d’autres nœuds par de multiples arcs ou connexions, qui fonctionnent d’une manière désastreuse, l’homme tente infructueusement d’établir le contact avec ses semblables, de s’harmoniser avec eux pour se faire comprendre, sans y parvenir mieux que médiocrement.
C’est le système de communication qui est fautif. Vous n’avez pas trouvé le moyen de communiquer, le langage approprié, la technique d’information adéquate permettant aux hommes de se comprendre en parvenant ainsi au rendement maximal du réseau social.
Apparaît ainsi la situation paradoxale des êtres humains, qui étant entourés de milliards de semblables, se sentent terriblement seuls, incompris, poussés à réaliser certains actes défensifs contre les autres hommes, bouleversant encore plus le réseau.
Et si au moins vos cortex cérébraux étaient programmés correctement, si leurs connexions nerveuses n’étaient pas viciées depuis le moment de la fécondation par des causes héréditaires qui elle-même furent le produit de cette même désorganisation du réseau social vécue par vos ancêtres !
Que répondriez-vous à un pauvre malheureux, prisonnier dans une cellule humide, attaché à ses extrémités et son cou par des colliers de fer et n’ayant comme compagnon de cellule que l’écho de sa propre voix se réfléchissant sur les murs nus, qui vous demanderait ingénument ; qu’elle est la formule pour être heureux ?
Vous vous trompez totalement si vous pensez qu’existe une formule magique, un dispositif ingénieux, qui en quelques instants réussirait à résoudre la désorganisation du réseau social de la planète Terre et la morphologie altérée des cerveaux humains.
Ils existent, oui, les procédés thérapeutiques qui peuvent vous être appliqués à une échelle macro sociale et avec rigueur : en soumettant tout le peuple de la Terre sous la direction de nos spécialistes, nous réussirions à accélérer l’évolution de tout le globe sur des chemins rationnels.
Mais le processus serait lent et il faudrait que s’écoule de 250 à 300 ans terrestres avant d’apprécier des résultats sensibles.
Mais ceux-ci supposeraient de vous soumettre à une espèce de dictature paternaliste, régie par des technocrates venant d’une autre planète vous traitant comme des enfants.
Mais vous avez trop d’orgueil pour accepter en bloc cette longue période de rééducation. Nous considérons comme immoral de vous obliger par la force à vous soumettre. Nous ne croyons pas valable l’argument naïf de certains moralistes terrestres qui postulent qu’il est obligatoire pour tout homme d’empêcher le suicide de ses semblables, et bien que nous assistions horrifiés au spectacle d’une société qui, sans être mature spirituellement, joue avec des armes destructives terribles, nous n’avons pas la certitude absolue que la fin de la planète Terre sera forcément une hécatombe nucléaire.
Si à l’échelle sociale nous ne pouvons apporter des solutions pour une guérison, nous espérons dans des prochains rapports vous suggérer certaines pratiques qui vous aideront individuellement.
Vous souffrez d’une grave déficience. Le manque d’un sévère esprit critique et, ce qui est encore plus grave et désolant : le manque de PATIENCE.
Cette IMPATIENCE est caractéristique de toutes les personnes ayant un faible niveau mental. Observez le progrès de la Culture sur votre planète et vous verrez qu’il a été possible grâce au patient travail de recherche dans tous les domaines de la Civilisation.
Le TEMPS est nécessaire pour assimiler des concepts, pour les comprendre, et pour les « mûrir ». Seuls les retardés mentaux peuvent croire à une méthode pour fortifier l’homme spirituellement, une méthode qui puisse se résumer à une vingtaine de pages dactylographiées, et être assimilée en deux petites heures.
Ceux qui n’ont pas assez de patience pour l’étude, la méditation et l’analyse, peuvent se considérer comme TOTALEMENT CONDAMNÉS. Ils perdent leur temps en écoutant nos rapports, tout comme ils le feront en lisant d’autres traités écrits par des spécialistes de laTerre, car leur mal consiste en une insuffisance cérébrale qui pourrait être traitée seulement par des techniques neurochirurgicales inconnues de vous. Aucun psychiatre terrestre ne sera capable de guérir certaines formes de débilité mentale ou d’oligophrénie au niveau le moins élevé.
Nous vous disions que vos méthodes didactiques présentent un grave défaut. Puisque l’homme soumis à de telles normes éducatives continue à aller à l’échec, vous pouvez vous demander : les principes sur lesquels se fondent ces normes pédagogiques sont-ils faux ?
Notre réponse est : NON, ABSOLUMENT PAS ! Ils peuvent être insuffisants et un peu viciés mais les derniers pédagogues et spécialistes terrestres ont « fait mouche ».
Mais en ce qui vous concerne, un petit détail, décisif pour qu’une méthode éducative soit efficace et fructueuse, vous est sorti du champ de la conscience. Nous allons l’expliquer sur un exemple.
Nous allons employer comme comparaison un récepteur radio terrestre, ou bien, pour ceux qui ne sont pas compétents en électronique, une automobile de tourisme.
En résumé un récepteur radio est un CIRCUIT OU RÉSEAU ÉLECTRIQUE. Ses composants de base sont, par exemple, des inducteurs ou bobines, des valves électroniques appelées vulgairement lampes, des condensateurs, des résistances transformateurs de hautse et basses fréquences, des potentiométres et un haut-parleur. Tous ces accessoires sont parfaitement liés entre eux au moyen de fils ou conducteurs, formant un réseau sans hasard, mais étudié soigneusement pour que les faibles signaux qui sont captés par l’antenne et provenant d’un émetteur lointain, soient AMPLIFIÉS pour qu’à la fin du réseau le haut-parleur nous apporte l’harmonieuse mélodie émise à ce moment là. Il n’y a pas de doutes que le simple récepteur à galène des années 1920 était beaucoup moins perfectionné que le moderne super-hétérodyne actuel par fréquence modulée. Et que les récepteurs toutes bandes que vous avez employés dans le projet OZMA pour capter des messages extraterrestres laissent beaucoup à désirer en face de nos récepteurs très sensibles nous ayant permis de capter des signaux extragalactiques sur UMMO.
De plus nous attirons votre attention sur un fait particulier COMMUN A TOUS LES APPAREILS. TOUS, plus ou moins simples, plus ou moins perfectionnés, FONCTIONNENT. Ils possèdent un degré de sélectivité ou de portée plus ou moins grand, ils seraient capables de réduire plus ou moins le bruit de fond. MAIS ILS FONCTIONNENT.
Faites maintenant une expérience simple: prenez une pince, sortez le chassis de votre appareil radio ou télévision et COUPEZ UN SEUL FIL CONDUCTEUR, UN SEUL!!! Le récepteur ne fonctionnera plus. VOYEZ DONC L’IMPORTANCE QUE REVET UN SEUL ET HUMBLE ÉLÉMENT DU RÉSEAU !!! Sa destruction est suffisante pour que tout le réseau soit inopérant. Il ne fonctionnera pas mal, NON, IL NE FONCTIONNERA PAS DU TOUT parce qu’un RÉSEAU est quelque chose d’indivisible, dans lequel le défaut d’un seul composant suppose la destruction du TOUT.
Vous pourriez multiplier vous mêmes les exemples. L’obstruction du gicleur d’une automobile ou la fusion d’un anneau antifriction d’une bielle sont suffisants pour que la machine complexe cesse de fonctionner, même si le reste des accessoires est neuf. Un bombardement dans un noeud stratégique de communications peut désarticuler le potentiel défensif d’un pays.
Le grave défaut de vos systèmes d’éducation terrestre ne vient pas du fait qu’ils soient plus ou moins parfaits. N’importe lequel pourrait être fructueux, comme peut l’être le rendement du rustique appareil détecteur à galène, SI ON AVAIT FAIT ATTENTION AU FAIT QU’AUCUN DE SES SYSTEMES CONSTITUTIFS NE DÉFAILLE; car, au fond, TOUS LES SYSTEMES DIDACTIQUES ont comme objectif la création et la correction de RÉFLEXES CONDITIONNÉS, LA GENÈSE D’UN RÉSEAU DE RÉFLEXES.
Il suffirait qu’un seul de ces réflexes CLEF manque pour que TOUT LE RÉSEAU s’écroule.
Nous désirons avancer un exemple réel (NON UNE MÉTAPHORE), pour mieux comprendre l’importance qu’il faut accorder à l’étude de la base physiologique, c’est-à-dire l’étude du fonctionnement des mécanismes RÉFLEXES.
Un étudiant décide de s’imposer un plan de discipline d’études très strict. Tous les jours à huit heures du matin, il se lève et, avant de déjeuner, s’oblige à étudier 10 pages de son texte de cristallographie.
Jusque là, la méthode est correcte. Simpliste si vous voulez. Simple comme la radio à galène de notre exemple. Ce qu’il va obtenir, s’il insiste, c’est l’éducation d’une série d’éléments réflexes conditionnés.
Durant de nombreux jours, il a respecté le pacte. Mais un matin, il décide DE NE PAS SE LEVER.
Et pour cela il fait le raisonnemement suivant :
« il me reste encore six mois pour étudier, ce qui est important, c’est le nombre des jours pendant lesquels je vais étudier ». Un seul jour manquant « NE COMPTE PAS FACE A L’ENSEMBLE ».
Si vous êtes en accord avec la logique terrestre qu’on a du vous inculquer, vous pensez aussi comme lui: le jeune homme a raison, un jour de congé ne nuit pas à l’ensemble du programme LE TOUT EST PLUS IMPORTANT QUE LA PARTIE.
VOILA LA GRANDE ERREUR!!!. Ce principe que vous acceptez est DANGEREUSEMENT FAUX.
Ce jeune, sans s’en rendre compte,en se levant tous les jours à la même heure, avait essayé de constituer un RÉFLEXE CONDITIONNÉ UTILE. Mais s’il avait étudié le mécanisme de tels réflexes, il se serait aperçu qu’un seul MANQUE peut défaire totalement LE RÉFLEXE SI PATIEMMENT FORMÉ. Dit autrement :
QUAND, EN PERIODE DE FORMATION D’UN RÉFLEXE CONDITIONNÉ, LE PROCESSUS EST BRUTALEMENT INTERROMPU, IL FAUT LE REFAIRE COMPLÈTEMENT; L’EFFORT RÉALISE JUSQUE LA ÉTANT DEVENU STÉRILE. |
C’est-à-dire : il aurait été beaucoup moins nocif pour l’étudiant de passer la dernière semaine du programme sans étudier que de rater une seule heure les premiers jours.
Une insignifiante partie du processus, une seule heure, un humble fil du réseau, SONT BEAUCOUP PLUS IMPORTANTS QUE CE QUE VOUS POUVEZ IMAGINER.
Comment avez vous pu ne pas voir ce principe de la valeur de la partie face au tout, quand vous travaillez en Électronique, en Astronautique, où les plus petits détails peuvent faire échouer le lancement d’un missile ou dans l’industrie où la moindre erreur dans la chaîne de production peut paralyser toute l’usine ? VOUS NE VOUS ETES PAS RENDU COMPTE QUE CE PRINCIPE EST AUSSI VALABLE DANS L’ÉDUCATION, jusqu’au point où les parents valorisent SEULEMENT L’ÉDUCATION GLOBALE sans se rendre compte de la terrible importance que peuvent revêtir certaines erreurs ou manques durant des périodes critiques déterminées.
Méditez cela, car c’est là que se trouve un pourcentage élevé d’erreurs de la structure du Réseau Social Terrestre. Cela ne signifie pas que vous soyez tributaires de TOUS LES PETITS DÉTAILS, (ceci serait totalement irréalisable), mais qu’il faut calibrer certains détails en leur accordant UNE GRANDE IMPORTANCE.
Nous continuerons notre cycle à partir des premiers jours de septembre. Bons amis de la terre, nous vous recommandons paix et tranquillité, étude et méditation. Bons amis de la Terre, à toujours!
BASE D’UNE ÉDUCATION UNIEYAA (NEUROCORTICALE)
Les concepts pédagogiques qui régissent le système éducatif de notre OOYAA (planète) sont très différents de ceux utilisés par les Terrestres, mais vous ne devez pas vous effrayer si nous vous disons que de nombreuses bases sont découvertes par vos neuropsychiatres sans que vous sachiez encore les appliquer autrement que sous forme rudimentaire et anarchique.
C’est ce qui s’est produit avec le concept neurophysiologique d’UNNIOOGOIA (RÉFLÊXES CONDITIONNÉS). Connus par nous depuis de nombreuses années, nous avons régi son application rationnelle dans l’éducation de l’enfant avec un succès qui explique la différence de structure sociale d’UMMO par rapport à celle du Réseau Social Terrestre.
Dans votre cas, et malgré le fait que le scientifique russe PAVLOV ait développé très largement l’analyse de ce type de mécanisme nerveux, il est rare de voir parmi vous, (en dehors des professionnels de la Médecine ou des personnes ayant une formation en psychologie) des gens qui soient capables de donner une réponse cohérente à une question sur le mécanisme du « réflexe conditionné »; en supposant bien sûr qu’ils connaissent la signification de ce mot.
Pour ceux qui ont eu l’occasion d’assimiler ce concept, nous allons vous l’expliquer avec un exemple facile. Nous pourrons dans un prochain rapport être plus explicite en décrivant le processus nerveux avec plus de détails.
Imaginez une fillette à qui l’on offre une nouvelle poupée en peluche noire. Un tel jouet STIMULE LES DÉSIRS DE JEU. Nous appellerons donc cette poupée « STIMULUS CONDITIONNÉ ».
Nous verrons donc comment la petite UUYIE (FILLETTE) passe un après-midi délicieux, se consacrant à ses fantaisies ludiques. L’attraction et la suggestion provoquée par la poupée est quelque chose que nous considérons naturel et qui possède sa propre explication psycho-physiologique.
Tandis que la fillette est occupée avec son jouet, nous mettons une petite charge explosive dans la maison, bien entendu inoffensive, et nous la faisons exploser. Logiquement le stimulus acoustique provoquera un fort « choc » nerveux, une terreur à cette réponse de peur, terreur que nous appellerons « réponse conditionnée » à l’EXPLOSION ou bien « réponse non conditionnée » à la poupée. Il est clair jusqu’à maintenant que la terreur ne se produira pas par le fait que l’enfant se trouve devant le stimulus de la POUPÉE; elle se produira ou pas indépendemment de ce jouet et subordonné seulement au STIMULUS EXPLOSION.
Jusque là, tout est normal. Deux STIMULUS différents : poupée et pétard, engendrent des réponses logiques : jeu et pleurs de terreur.
Mais poursuivons l’expérience. Durant les jours suivants, chaque fois que vous donnez la poupée à l’enfant et au moment où ses mains entrent en contact avec elle, faites exploser un pétard. Les RÉPONSES de pleurs par le fait de la terreur continueront.
Après avoir réitéré l’expérience quelques fois, en présentant simultanément le STIMULUS CONDITIONNÉ (ici le jouet) et le STIMULUS NON CONDITIONNÉ (c’est-à-dire l’explosion) ; supprimons ce dernier. Donnons à l’enfant simplement la poupée en peluche noire.
Nous observons alors une réaction curieuse. L’enfant en voyant le jouet réagira en pleurant, terrorisée. Ses arcs réflexes s’associeront de tel façon qu’ils provoquent une RÉPONSE INADÉQUATE AU STIMULUS.
A partir de maintenant, chaque fois que nous montrerons la poupée à la fillette de notre expérience, vous aurez la même réaction que celle provoquée par l’explosion. Et même il peut s’être produit une chaîne de réflexes conditionnés qui vont, pour l’enfant, s’associer à des stimulus comme un morceau quelconque de peluche noire et même la seule couleur noire à la réponse PLEURS .
Il est possible que la mère qui ignore la raison des réactions de sa fille soit surprise de la voir pleurer devant un coussin en peluche sans suspecter le mécanisme physiologique qui est en jeu derrière cette étrange conduite.
Tout le comportement humain est imprégné de réactions conditionnées. Quand vous écrivez à la machine, quand nous lisons, quand nous nous habillons mécaniquement pendant que nous pensons à autre chose, quand dans notre vie quotidienne nous nous orientons en déambulant dans les rues, ce phénomène physiologique se produit des milliers de fois et sans celui-ci l’homme serait un autre être, totalement différent et incapable de développer sa personnalité.
Mais vous les terriens, vous n’avez pas su profiter de vos enseignements. Quand vous eûtes conscience, grâce à Ivan PAVLOV, de ces mécanismes réflexes, vous avez créé fanatiquement toute une doctrine appelée RÉFLEXOLOGIE qui tend à vouloir expliquer toute la conduite de l’homme par les RÉFLEXES CONDITIONNÉS. Avec un enthousiasme débordant, vous avez pensé que grâce à cette découverte, vous pourriez expliquer le DIVIN et L’HUMAIN, tout comme les scientifiques ingénus du 19 ème siècle crûrent qu’ils pourraient expliquer ainsi le concept appelé le mythe de Dieu.
Et comme d’habitude, face à cette importance démesurée du concept des réflexes, nous observons chez vous, ensuite, la plus étrange indifférence pour ses applications.
Il est étonnant de voir comment vous parlez de l’importance des bonnes et mauvaises habitudes, en ignorant même que leurs bases sont précisément les « réflexes ». Et que vous n’achevez jamais avec bonheur l’éducation de la société en créant ces habitudes, si vous ignorez leurs intimes mécanismes, tout comme le mécanicien d’un avion qui ne sera jamais capable de réparer le rotor d’un turbo s’il ignore ses principes de fonctionnement
Nous ne voyons pour vous qu’une seule solution au cercle vicieux dans lequel est entré le Réseau Social Terrestre (l’extraordinaire importance des réseaux, terme d’application universelle, sera abordée plus loin). Entreprenez immédiatement un programme mondial d’éducation de l’Enfance. En utilisant les moyens que vous apporte la connaissance des lois psychophysiologiques de l’enseignement grâce à la formation scientifique des habitudes par une technique semblable à celle que nous utilisons dans nos UNAWO UI (centre d’enseignement); technique appelée AARUNNIOGOIA (ENSEIGNEMENT AU MOYEN DE RÉFLEXES CONDITIONNÉS).
Depuis la plus jeune enfance de l’UUGEE ou UUYIE (garçon ou fille), les parents mettent en place sur notre planète un programme basique d’éducation.
Avant tout nous devons vous avertir d’une chose qui scandalisera sûrement certaines personnes peu informées.
Nous essayons d’ajuster notre conduite à ce que nous appelons UAA (LOI MORALE). Nous croyons avec certitude en WOA (Dieu ou créateur), et nous savons que son divin UMMOWOA, qui s’incarna comme Jésus Christ le fit pour vous, en nous apportant des normes sages qui, en tempérant la Loi Naturelle, permirent le développement de la Société de UMMO.
Mais notre concept de morale, tout en maintenant l’extraordinaire ressemblance avec celle du Christianisme actuel et avec celle postulée par les moralistes de l’Église Catholique de Rome, présente une structure différente et beaucoup plus flexible. Simplement parce que :
Premièrement : nos WOALAOLOO (théologiens) estiment que la morale évolue avec la société qui se développe.
Deuxièmement : avec des limites déterminées et dignes d’attention, les NORMES MORALES DE L’INDIVIDU sont fonction de leur structure neurocérébrale et physiologique. Ainsi les obligations et droits moraux de chaque sujet varient entre certaines limites, selon leur personnalité psychologique.
Nous ne sommes pas encore arrivés à l’idéal que chaque homme d’UMMO sache avec certitude qu’elle doit être la conduite à suivre pour chaque cas concret et dans chaque état psychologique. Mais nous approchons de l’idéal parce que maintenant, dès l’enfance, nous évaluons la capacité mentale de l’enfant et nous injectons en lui, lui seul, la portée de ce code moral qui s’adapte à un cerveau type ayant le plus d’analogie avec le sien.
Ainsi comme vous qui faites évoluer la morale et dictez les normes collectives pour un groupe social d’un pays ou même d’une région, nous nous recentrons encore plus sur les problèmes intimes de l’individu, en le libérant de l’esclavage des normes standards de conduites qu’il ne pourrait accomplir avec sa mentalité et dans certaines circonstances, en lui évitant cette gamme de complexe qui se créent en vous quand la société, hypocritement, montre du doigt celui qui n’accomplit pas ces normes standard.
Ne confondez pas, bien sûr, ce respect de la part de l’individu avec l’amoralité ou la liberté morale, dans laquelle vous tombez précisément parce que vous obligez les autres à suivre des lois auxquelles peut-être ils ne peuvent pas s’adapter. Au contraire ces normes distinctes pour chacun de nous et qui donnent lieu à : ce qui est transgression pour l’un ne l’est pas pour le frère. Ces normes sont rigides et forcent toujours chacun à respecter les droits de ses frères.
À la lumière de ces principes, et une fois évaluées, comme nous l’avons expliqué, les facultés de chaque nourrisson, les parents pourront, avec l’aide du conseil que leur prête notre réseau de XANMO AYUBAA (ORDINATEURS OU CERVEAUX NUCLÉAIRES) éviter les multiples problèmes de l’éducation de l’enfant.
Nous voulons attirer l’attention sur quelques points. Depuis de nombreuses années la fécondation et la gestation de l’être humain, hors de la matrice maternelle, sont parfaitement réalisables sur UMMO. Mais nous considérons ce procédé que vous appelleriez gestation « IN VITRO », antinaturel et attentatoire au dessein de WOA de sorte que cette phase antinaturelle de la vie humaine n’est permise que dans des cas de pathologie concernant la mère.
En outre : vers les huit mois de vie fœtale, on peut intervenir avec des techniques neurochirurgicales sur le nouvel Être en agissant sur sa structure neurocorticale et sur le canal médullaire, changeant totalement sa personnalité en modifiant ses constantes psychologiques, spécialement son quotient intellectuel ou intelligence.
Quand cette possibilité se développa sur notre planète nous crûmes, remplis d’enivrante euphorie, qu’enfin nous avions atteint le but désiré, qu’enfin l’homme s’était délivré de ses tares mentales, qu’indépendamment de WOA nous pourrions ENGENDRER une autre espèce.
Deux voies s’ouvraient pour cela. Le contrôle du code génétique et les modifications sur le cortex cérébral déjà assimilées rendait apparemment faisable ce rêve caressé pendant toute notre histoire depuis que les brutales expériences de vivisection de l’époque d’IE 456 avaient ouvert des perspectives futures à cette possibilité.
Immédiatement les expériences furent commencées (nous n’étions pas encore arrivés à découvrir les atomes de gaz inerte KRYPTON qui constituent le troisième facteur de l’homme c’est-à-dire l’OEMBUUAW).
De nombreux délinquants, des adultes et beaucoup d’enfants furent soumis à de profondes interventions pour modifier le réseau neuronal de leur cerveau. Expliquons sommairement la technique employée :
En premier lieu on obtenait une image tridimensionnelle de la structure corticale en employant la technique UULWAAGAA. Les UNNIEAOEMII WIOA (spécialistes du cortex cérébral) analysaient ensuite le réseau neuronal complexe en repérant des irrégularités congénitales présentes.
Une fois le réseau étudié, un modèle mathématique d’un réseau amélioré était élaboré, qui a son tour était représenté par un second modèle « équiforme » (néologisme) du cortex. C’est-à-dire : une espèce de maquette réalisée au moyen d’alliages divers, chacun d’eux représentant des composants organiques qui sont intégrés dans notre cerveau : ainsi la myéline des neurones était représentée dans ce modèle à une échelle 144/1 par un alliage de chrome.
L’intervention chirurgicale (nous l’appelons ainsi incorrectement car nous ne trouvons pas de traduction meilleure) pouvait alors être réalisée.
Mais avant de poursuivre, précisons un nouvel éclaircissement. De nombreuses années auparavant nous avions découvert deux techniques essentielles dans ce processus. L’une d’elles parvenait à provoquer sur un tissu organique sain, un processus de nécrose (MORT CELLULAIRE) en localisant cette action traumatisante à une petite zone des tissus avec une précision telle que l’on pouvait détruire une seule cellule sans affecter en rien celles qui l’entouraient.
Cet effet peut s’obtenir à distance et sans qu’aucun objet matériel ne pénètre dans les tissus. On emploie un double faisceau de radiations dans le spectre de fréquences que vous dénommez RAYONS GAMMA.
On peut donc par exemple accéder à l’épithélium stratifié de l’œsophage et détruire avec toute précision une de ses cellules pendant qu’un opérateur surveille le procédé à travers son écran d’UULWAAGAA (appareil ressemblant à l’équipement de radioscopie terrestre).
Les résidus de la destruction sont immédiatement réabsorbés avec plus ou moins de rapidité dépendant du type de tissus traités et d’autres facteurs.
Parallèlement à cette technique, nous pouvons transformer le noyau cellulaire de n’importe quel tissu de diverses manières. C’est-à-dire que nous pouvons créer de véritables CELLULES ATYPIQUES ARTIFICIELLES (quelque chose comme un cancer artificiel). Bien sûr, créer les tissus malades n’est pas l’objet, si ce n’est à des fins d’étude.
Ce qui est vraiment obtenu dans la pratique c’est de changer la nature d’une cellule. Imaginez par exemple une zone envahie par des FIBROMES, cellules du tissu conjonctif. Et bien : en agissant sur les chromosomes du noyau il est possible de transformer une ou des milliers de cellules de ce type en cellules comme par exemple des cellules nerveuses, c’est-à-dire des NEURONES dont la structure est totalement différente.
Imaginez le patient qui va se soumettre à ce changement de son cerveau. Ce sont des millions de cellules de son cerveau qui doivent être nécrosées, c’est-à-dire détruite, et des millions qui doivent se créer, toutes selon le plan de réseau étudié. Un spécialiste pourrait avoir besoin de millions d’années pour réaliser cette opération.
L’équipement qui se charge de cela est automatique, et il est contrôlé par le modèle métallique que nous avons décrit. C’est comme un pantographe utilisé par les dessinateurs terriens pour la reproduction à l’échelle de plans ou de dessins. Il est clair que le procédé réel est beaucoup plus complexe, puisque préalablement les millions de points en coordonnées tridimensionnelles ont été répercutés dans une unité de mémoire de titane, en codant leur nature et positions. (Chaque point représente une molécule organique).
(Vous pourriez supposer que ces techniques décrites sont celles qui nous permettent des soins efficaces de n’importe quel tissu malade). Cependant l’échec concernant la transformation du cerveau humain furent retentissants. Voyons pourquoi :
RESULTATS SPECTACULAIRES
C’est ainsi que l’on peut appeler les résultats obtenus au début sur la planète UMMO en essayant de modifier la structure UNIEYAA ( CEREBRALE) en annulant certaines cellules et en en transformant d’autres, jusqu’à obtenir une métamorphose complète de l’encéphale de l’homme. Cela constitue une véritable révolution sur notre planète.
Ce fut pendant l’année 5722 du Second Temps (année de UMMC) que ORIAAU 6, fils de ORIAAU 5, commença ses expériences avec toute une pléiade de neurophysiologues en utilisant comme cobayes 78 délinquants adultes et 180 enfants des deux sexes qualifiés de EDDIO UNNIAXII (retardés mentaux). L’intervention se pratiquant dans des pièces fermées où l’on maintenait un contrôle rigoureux des stimulations physiques et des conditions ambiantes.
Niveau sonore : zéro.
Radiations lumineuses : zéro.
Température, pression atmosphérique, radiation ultraviolette, composition chimique de l’air, degré d’humidité, ionisation, tout cela variait en fonction du métabolisme du sujet qui était maintenu dans un état inconscient absolu provoqué par le processus même de l’intervention.
La boite crânienne demeurait intacte durant le temps que durait l’intervention : la transformation de la structure neurocorticale.
Les premiers résultats apparents étaient véritablement spectaculaires. Tous les sujets, une fois terminé le processus de restructuration de leur cerveau, sortaient de la pièce hermétique où ils avaient été enfermés par périodes de 1140 UIW (un UIW : 3,1 minute) et alimentés à base de UAMIIOWOBO (nutrition par voie artérielle) comme des personnes adultes qui finiraient de sortir de la matrice maternelle.
Tous les éléments accumulés dans la mémoire durant leur vie avaient été totalement gommés par intervention ou bien étaient passés à des niveaux BUUAWAM IESEE OA (SUBCONSCIENT) (sauf 7 YIEE et 4 GEE qui conservèrent des souvenirs à un niveau conscient, comme nous vous l’indiquerons plus loin).
CHANGEMENT DE LA PERSONNALITE.
L’évident changement de la personnalité était parfaitement enregistrable.
Les adultes pouvaient demeurer debout, ce qui mettait en évidence la conservation de certains mouvements réflexes . Mais de nombreux autres mouvements réflexes étaient totalement annulés . (les faibles réflexes de succion, de pression, etc… qui se conservaient chez les adultes comme reliquat des états infantiles disparurent); apparemment par contre, de nouvelles formes de réactions, appelés par nous UNNIOGOAYUUXE (les psychologues terrestres les appellent réactions circulaires primaires) selon lesquelles si un jeune en période de lactation a réalisé un acte qui lui procure du plaisir, il le répètera indéfiniment.(acte de sucer le doigt, acte de tirer une chose qui produit un son harmonieux pour l’enfant etc…).
Il y avait un réflexe de ce type qui finit par être commun à tous les sujets : se caresser le visage, la poitrine et les seins.
Presque tous sentirent fortement les stimulations lumineuses, ce qui nous obligea à les pourvoir de UULAXBOIYU (à cette époque où l’on ne contrôlait pas directement les aberrations occulaires, on mettait aux presbytes et aux myopes des lentilles artificielles qui s’appliquaient en pulvérisant une substance transparente sur le globe même de l’oeil). Celle-ci, en se cristallisant et en durcissant, formait une pellicule soluble adaptée à la cornée, semblable aux microlentilles que vous utilisez sur Terre.
Cette substance plastique, que nous appelons BIAGOODOAWAA a la propriété de pouvoir varier son opacité en fonction de la lumière. Si vous aviez un tel produit, vous pourriez l’appliquer sur vos lunettes de soleil.
Au début, les sujets ne pouvaient percevoir que des images dissociées dans lesquelles les formes et les couleurs n’étaient pas intégrées dans un tout parfait. De plus la vision ne se fixait que sur un seul plan. Une montagne, située à de nombreux KOAE, leur paraissait aussi proche que leur propre main.
Les modes de conduite révélaient l’apparition des premières phases d’intelligence sensorimotrice.
Ils balbutiaient et pleuraient comme de véritables enfants.
Comme vous le voyez, le processus se déroulait comme si ces êtres étaient nés quelques heures auparavant.
Inutile de dire qu’ils ne connaissaient absolument pas ceux qui furent pendant des années des familiers et des amis.
On ne pouvait même pas comparer cette conduite à celle des malades frappés d’AMNESIE lacunaire ou d’amnésie d’évocation.
Ce profonds changement mental était cependant important. Il constituait une phase nécessaire dans la rénovation de l’individu, comme cela fut démontré par la suite.
En effet : ces nouveaux ENFANTS évoluèrent beaucoup plus rapidement que les individus véritablement infantiles.
La période d’éducation dura environ 15% de celle requise pour un enfant normal, et quelques mois (terrestres) furent suffisants pour que les sujets retournent à la phase adulte.
Et déjà les « tests » psychologiques auxquels ils furent soumis en sortant des salles d’opération, révélèrent une très profonde transformation dans leur niveau de capacité mentale.
Les progrès obtenus durant leur rééducation donnèrent des résultats stupéfiants.
Un délinquant, débile mental, qui avait été condamné à une nudité perpétuelle pour homicide, quand il passa l’épreuve de transformation et de rééducation, devint un brillant spécialiste de OOLGA WAAM (COSMO-PHYSIQUE).
Il passa à la postérité sous le nom de UROO 866, fils de UROO 865, grâce à ses calculs sur la composition des nébuleuses GIAXAA EDAAU.
PREMIERE PHASE DE LEUR NOUVELLE VIE
Durant de nombreuses années, toutes ces personnes vécurent une authentique nouvelle vie. Leurs personnalités, couplées avec leurs goûts; leurs aptitudes, leurs tendances instinctives et leurs formes de pensée, furent radicalement différentes de celles de leur vie mentale antérieure. Seules certaines réactions végétatives rappelaient à ceux qui avaient vécu avec eux, leurs anciennes caractéristiques.
D’autre part, les sujets soumis à cette opération n’avaient aucun souvenir de leurs vies passées. L’affection envers les êtres aimés fut totalement neutralisée .
Quelques uns durent faire de véritables efforts pour s’adapter à la vie familiale avec leurs époux ou parents .
Ceux qui avaient des enfants confessaient qu’ils n’avaient aucune réaction émotionnelle envers eux et, dans de nombreux cas, les ruptures de situations matrimoniales soigneusement ré-élaborées par des psychologues et des ministres religieux, furent inévitables à cause de fortes tensions spirituelles entre les deux membres du OMGEEYIE (couple). Les mésententes qui sont rares sur UMMO, car on sélectionne soigneusement les époux, commencèrent à surgir dans les cas cités et avec une telle fréquence que de telles mesures furent inévitables .
DES CAS CURIEUX .
Il yaut des cas curieux , comme par exemple les 11 sujets des deux sexes qui , malgré la profonde transformation de leur MOI, se souvenaient encore de certains évênements de leur vie antérieure.
Un jeune de 27 ans vécut avec une double personnalité (jusqu’alors on ne connaissait pas sur UMMO les cas de dédoublement de la personnalité, syndrome plus fréquent sur la planète terre, même s’il y avait par contre des cas de EDDIO NAAU (semblable à la schizophénie), maladie dont la dissociation et la désagrégation de la personnalité sont évidentes.
GRAND SUCCES PROFESSIONNELS
Ces hommes nouveaux atteignirent en très peu de temps une position sociale prédominante, techniciens, penseurs, scientifiques. Beaucoup parmi eux promettaient d’avoir un futur de fécondité intellectuelle merveilleux.
Quelques uns comme ESIURAA 499, FILS DE ESIURAA 498, converti en neurophysiologue, commença un cycle de recherche sur les transformations neurocorticales en réalisant simultanément une étude très sérieuse sur son propre cas.
Mais un terrible destin attendait ces êtres perfectionnés.
Comme nous vous le disions au début, on obtint des résultats spectaculaires avec la transformation neurocorticale, mais nous verrons bientôt le triste destin de ces hommes apparamment privilégiés.
AUTOMATISME .
Ce fut l’une des femmes transformées, UROO 38, fille de UROO 35, qui avait atteint en peu de temps le niveau supérieur de WADOOXXIA (trafic de l’information) qui subit la première la terrible ODAWAA ( collapsus ou effondrement ) .
Une nuit ses collaborateurs la trouvèrent avec le regard hagard, contrôlant les ASNEUIDAA ( EQUIPEMENTS DE CONTROLE) mécaniquement comme un robot .
Elle obéissait docilement aux ordres qu’on lui donnait. Elle semblait prise par une aboulie terrible qui la rendait incapable d’avoir une conduite dictée par les contrôles normaux de sa propre personnalité. On constata que la perte de contrôle était totale. Son niveau intellectuel demeurait indemne mais seule une volonté extérieure pouvait en tirer profit.
Une véritable mort vivante, une authentique machine incapable des plus petites volitions, et même pour les plus élémentaires nécessités physiologiques non réflexes,il fallait qu’elle soit controlée de l’extérieur.
un après l’autre, ces femmes et ces hommes, enfants et fillettes, tombèrent dans le mystérieux et fatidique traumatisme mental.
Les crises commençaient au hasard, sans cause visible, sans loi temporelle qui mette en relation les dates de transformation cérébrale et ces horribles chutes.
Pas un seul ne put échapper à cet hallucinant destin.
EXPLICATION DU PROCESSUS?
L’année (de UMMO)1336 du 3ème Temps,un chercheur GAAA 9 , fils de GAAA6, put démontrer l’origine de ce traumatisme psychique.
Il s’agissait de la désintégration totale du réseau des atomes de DIIUA KRYPTON qui composent le facteur humain OEMBUUAW ( intermédiaire entre l’esprit et le corps).
Ainsi ,l’écorce cérébrale demeurait déconnectée du BUUAWAA (ESPRIT) et le corps humain était régit , à ce moment là, par un déterminisme aveugle.
BASES ACTUELLES DE L’ÉDUCATION SUR NOTRE PLANÈTE UMMO
Dans un rapport antérieur nous vous avons informé de l’échec cuisant subit par nos scientifiques quand, sans s’apercevoir du risque représenté par le fait de trop forcer les lois naturelles du WAAM (UNIVERS), nous avons tenté de changer la structure des cerveaux selon des modèles perfectionnés élaborés avec soin.
Ils avaient analysé avec soin et rigueur chaque cellule de l’encéphale. On connaissait avec exactitude la structure nerveuse de ces cerveaux appartenant à des personnes à l’intelligence très développée, favorisée génétiquement jusqu’à pouvoir obtenir que leurs vies se déroulent dans les voies d’une profonde paix spirituelle et d’un équilibre psychique enviable.
Il fallait commencer par comparer ces masses encéphaliques avec celles des autres personnes dont les mécanismes réflexes imparfaits et les réseaux nerveux structurellement déficients, étaient susceptibles de faire l’objet d’un traitement ultérieur et de bénéficier des techniques déjà mentionnées pour que surgisse un OEMIIGIIA (HOMME PARFAIT OU SURHOMME).
Nous savons tous qu’un corps peut adopter diverses formes d’équilibre: un cône posé sur sa base est considéré en état d’EQUILIBRE STABLE. Si nous le retournons en l’appuyant sur sa génératrice, il se trouve en état d’équilibre INDIFFERENT. Avec beaucoup de patience et à l’abri des plus petites vibrations ou courants d’air, nous pouvons le poser sur la table au point de son sommet, tout au moins en théorie, et de manière que son axe soit PARFAITEMENT PERPENDICULAIRE, il se tiendra en un spectaculaire stade d’ÉQUILIBRE INSTABLE, mais il suffirait d’un faible souffle, d’une imperceptible vibration du sol pour que cette pyramide ou ce cône retourne à une des phases plus stables sus mentionnées.
La comparaison est grossière car un modèle mécanique si simpliste ne peut être comparé avec la complexité d’un réseau d’atomes de krypton. Mais cela suffit pour s’apercevoir que l’homme naît avec son OEMBUUAW (facteur qui relie l’âme et le corps) parfaitement équilibré et stabilisé (bien qu’un quelconque événement ultérieur peut altérer cet équilibre). Cette modification artificielle produisit une profonde altération qui le fixa en un équilibre INSTABLE, sujet au danger des perturbations extérieures qui pouvaient le neutraliser. Aujourd’hui nous savons que si les cerveaux de ces hommes avaient pu être remodelés pour retourner à leur structuration de leur état primitif, ces malheureux auraient pu être sauvés.
Nous pouvons donc altérer la nature jusqu’à certaines limites. Passé ce seuil, la lésion provoquée par ces transformations est largement supérieure aux bénéfices que l’homme pourrait obtenir de telles mutations.
Cet échec unifia tous les penseurs, théologiens, psychiatres, neurophysiologues et spécialistes en pédagogie (NOUS DONNONS CES DÉNOMINATIONS QUI SONT ÉQUIVALENTES A CELLES DES PROFESSIONS DE LA PLANÈTE TERRE POUR QUE VOUS NOUS COMPRENIEZ: SUR UMMO CES SPÉCIALITÉS SONT DIVISÉES EN CENTAINES DE SPÉCIALITÉS). On fit un effort colossal pour réviser profondément la politique à suivre au niveau du plan général de perfectionnement de l’humanité, en arrivant à la conclusion qu’il était très dangereux d’essayer d’obtenir un nouvel effort dirigé vers le perfectionnement de l’homme en agissant mécaniquement sur l’encéphale et le reste du tissus nerveux. Peut-être arriverait on à stabiliser davantage les bases du réseau OEMBUUAW (ATOMES DE KRYPTON), mais JUSQU’A QUEL POINT? Ne pourrait-il pas aussi arriver qu’après de nouveaux résultats spectaculaires et plus durables, les futures générations subissent les effroyables conséquences de ce processus chirurgical ? Ne condamnerions nous pas l’humanité future à devenir une masse hallucinante d’êtres aliénés, errant sans but par les poussiéreuses vallées d’UMMO, jusqu’à leur anéantissement ?
La perspective est trop effroyable pour oser jouer aussi témérairement avec les bases somatiques de la société.
Alors, ces scientifiques équilibrés tounèrent leurs vues vers les immenses réserves de l’homme constitué comme WOA (CRÉATEUR OU DIEU ) l’a déterminé.
Voici le résumé de leurs conclusions que nous vous donnons ci-après:
– Il n’y a pas une seule mais plusieurs causes qui font que l’homme ne se sente pas heureux sur UMMO.
Une première et simple classification de ces causes est la suivante:
– L’enfant naît avec une structure neurocorticale qui, si dans un grand pourcentage de cas est insuffisante et déséquilibrée, est quand même susceptible de se reformer dans les premières phases de l’enfance, en ordonnant ses mécanismes réflexes de sorte qu’ils agissent en harmonie avec ceux des autres membres qui composent la société (Le déséquilibre, à cette époque là, était évident).
– En maintenant les membres de la société dépourvus de cette éducation de base de leurs réflexes (non seulement ceux conditionnés ), l’individu maintient des formes de comportement qui lése les droits fondamentaux des autres. L’homme est ainsi submergé dans une société viciée « qui ne le comprend pas » et le « torture spirituellement ».
– Comme conséquence de ces tensions que le milieu social exerce contre l’individu, celui ci se « défend » inconsciemment et consciemment en créant une série de « réflexes agressifs » qui corrompent chaque fois davantage son organisme et, ce qui est encore plus grave, AVEC LE TEMPS, CES MÉCANISMES RÉFLEXES SE TRANSMETTENT PAR HÉRÉDITÉ A SES ENFANTS.
– Nous voyons donc que la société se détériorait graduellement, enfermée dans un cercle vicieux si d’autres ressorts, comme l’action violente vivifiante de la recherche scientifique et les idées religieuses, ne contrecarraient pas l’action destructrice de RÉGRESSION de tels mécanismes réflexes viciés.
Vous pouvez observer, Hommes de la Terre, que cet exposé fut réalisé à une époque de UMMO où notre société était plus avancée que la vôtre en 1966. L’Homme d’UMMO ne se sentait pas heureux, même si les gouvernements totalitaires avaient disparu après la mort de la jeune tyran WIE 1, fille d’ IEE 456 en l’année 1368,11 du Second Temps. Malgré (le fait) que la religion unifiée d’UMMO apportait des réserves spirituelles encore inconnues des hommes et qu’on était en train de dépasser les dernières difficultés issues de la juste répartition des moyens et des biens de consommation qui, en certains cas, furent insuffisants dans des temps antérieurs pour satisfaire pleinement les nécessités. C’est à dire que LA PROPRIÉTÉ PRIVÉE N’ÉXISTAIT PAS ET QUE L’ON NE CONNAISSAIT PAS LA FAIM, même si certains autres biens moins nécessaires manquaient.
Les scientifiques dans les diverses branches spirituelles et techniques furent réalistes : IL NE FALLAIT PAS ATTENDRE DE SOLUTION IMMÉDIATE POUR LA SOCIÉTÉ D’UMMO (encore très désorganisée et avec des membres mal formés depuis l’enfance). La perspective serait la même que celle qui se présenterait à l’un de vous si, après une guerre nucléaire, il sortait d’une caverne où il se serait caché et qu’il se trouvâtt face à une cité totalement détruite. Une ville qui abritait avant des millions d’habitants, réduite à des décombres fumants. En se promenant entre les moignons de béton armé et pendant que craquent à ses pieds les éclats carbonisés , l’homme, dans son immense solitude, peut penser à TOUT reconstruire mais, très vite, il se rend compte du côté utopique de son rêve. Les années nécessaires pour réaliser cela avec l’aide de milliers d’ouvriers seraient excessivement nombreuses.
Le réseau social était trop abîmé pour essayer de le réparer en une seule génération. Il fallait donc renoncer à obtenir les fruits immédiatement. Nous, les Hommes de UMMO, nous gardons une vénération pleine de respect pour nos lointains ancêtres qui, conscients du fait que cela continuerait à être une société imparfaite, mirent en jeu leurs vies et leurs efforts pour que nos frères d’aujourd’hui jouissent d’une structure sociale plus juste.
Ils renoncèrent à un bonheur facile passager pouvant être obtenu par des moyens plus ou moins artificiels d’effets moins passagers comme ceux que nous avons décrits et ils mirent en place la grandiose tâche de planifier l’éducation des nouvelles générations.
Voyons quelle fut la politique suivie:
Comme il était évident qu’une nouvelle génération mise en contact avec la société, finirait par être corrompue, on délimita dans la planète 30% du Continent pour que là se développe le premier germe d’une société du futur sans contamination par ses progéniteurs. En l’année 5902 du Second Temps, commença a être mis en pratique le gigantesque plan dénommé IGIAAYUYISAA. Tout le plan d’éducation était élaboré sur la base de réforme des réflexes, à partir de l’instant où l’UUYIE (fille) ou UUGEE (garçon) était séparé de sa mère par la cautérisation instantanée du cordon ombilical. En passant la période éducative EN DEHORS DE L’INFLUENCE ET DES CONTACTS DES PARENTS, cette jeunesse commençait son expérience sociale « loin de cette autre société » avec laquelle elle maintenait seulement des contacts par les échanges culturels et ce par des personnes qualifiées.
Vous pouvez observez que ce fût une mesure nécessaire à cette époque où les parents n’étaient pas comme aujourd’hui formés pour apporter une telle éducation et formation à leurs enfants.
STRUCTURE (AYUUBAA) (RÉSEAU) DU PLAN ÉDUCATIONNEL.
Les systèmes pédagogiques de la Planète Terre sont en réalité assez avancés par rapport au niveau de civilisation que vous avez atteint.
Cependant, vous êtes désespérés face à la pauvreté des résultats obtenus. L’enfant est soumis à tous les types d’épreuves de discipline; il est éduqué dans les meilleurs collèges, imprégnant son esprit d’idées religieuses et sociales qui dominent dans le milieu ambiant. Il peut même avoir été canalisé au niveau de sa petite enfance par des systèmes didactiques, reconnus comme révolutionnaires à leur époque (ex : le système Montessori), jouir des tutelles formatrices de bons professeurs, et avoir ensuite une bonne formation humaniste ou aller dans une Ecole Polytechnique, endroits où l’individu assimile des techniques qui l’amènent à un niveau d’ingénieur pour développer un travail dans le domaine de l’industrie ou de la recherche.
Même l’homme qui affiche une carrière reconnue, auréolé par une vie professionnelle riche en expériences et revêtu d’un vernis social dans lequel les bonnes formes d’éducation, la facilité d’expression et sa culture encyclopédique, lui donnent un indubitable air de distinction par rapport au Standard Social qui l’entoure; il n’est pas difficile de s’apercevoir qu’au fond, comme vous tous hommes et femmes de la Terre, il se comporte en réalité comme un véritable enfant saturé de réflexes absurdes, de réactions névrosées apparemment inexplicables, de schémas mentaux stéréotypés, de manques de logique et ce qui est encore pire : UN GRAND NOMBRE DE FACTEURS INHIBITEURS QUI VOUS EMPÊCHENT D’ÉVOLUER MENTALEMENT.
Ce dernier point est très grave : quand la majorité des gens dépassent l’âge de 25ou 28 ans, ils sont déjà porteurs d’une image du Monde Social qui les entoure. Ils acceptent une idéologie politique ou religieuse et après avoir cherché une explication à toute une série de faits sociaux et de problèmes philosophiques, ils se plongent alors dans une attitude d’immobilisme mental, incapables de continuer à lutter pour la recherche de la liberté. Si vous êtes fascistes ou marxistes ou athées ou d’une croyance religieuse déterminée, vous vous protégez face à d’autres positions qui vous semblent inexplicables et si innocentes que vous pensez que les adeptes de ces religions sont dans l’erreur car ils sont moins intelligents ou ont un manque d’imagination.
Et le paroxysme de la naïveté et d’absence d’équilibre intellectuel, quand des personnes à l’esprit agile se libèrent de ces FACTEURS INHIBITOIRES en passant par une autre idéologie en qualité de converti ou de nouvel adepte, il ne manque pas de gens pour les traiter de transfuges et pour les accuser de « tourner la veste » même si cet individu, en évoluant, ne l’a pas fait pour des avantages économiques ou une meilleure position sociale, auquel cas cette accusation aurait un certain fondement.
Le grave défaut des systèmes pédagogiques terrestres se trouve dans le fait que des personnes avec une grande formation intellectuelle continuent encore à être esclaves de vices sexuels ou d’autres de moindre importance comme le tabac, avec des normes de vie très peu sincères dans lesquelles il n’y a pas la moindre cristallisation d’un authentique intérêt et d’une véritable inquiétude pour l’injustice sociale, avec un durcissement spirituel honteux envers les malheurs des gens qui nous entourent AVEC UNE INEXPLICABLE INTOLÉRANCE ENVERS CEUX qui brandissent les bannières progressistes POUR UNE SOCIÉTÉ PLUS JUSTE. Faute qui se reflète même dans la vie quotidienne quand vous êtes incapables même de sélectionner les aliments les plus adaptés et les plus riches en calories, et qui sont souvent les plus économiques.
Peut-être vous écoutez-nous assombris et amoindris devant le torrent d’accusations et même en levant humblement les yeux vers nous en suppliant un peu de lumière. Comme si vous nous disiez :
Que pouvons-nous faire en étant plongés dans une société qui ne nous comprend pas? Nous n’avons pas reçu une authentique formation de la part de nos parents qui à leur tour – sans en être responsables – étaient aussi saturés de préjugés et d’idées éducatives imparfaites… Si, en toute bonne foi, nous désirons commencer notre formation autodidacte maintenant que nous sommes adultes et acquérir de bons ouvrages, nous nous trouvons face à de nouveaux problèmes qui nous plongent dans le découragement.
Ce n’est pas à cause du prix élevé des manuels,c’est surtout le problème de leur sélection. Nous en voyons des milliers dans les étalages, mais quel est le plus adapté? Si nous avons recours à un spécialiste, il nous répond par une série de généralités et de concepts incompréhensibles. Si un ami nous recommande le seul ouvrage qu’il connaisse il y a de fortes chances pour que ce ne soit pas le meilleur. Sil s’agit d’un traité de vulgarisation, il nous apporte une série d’idées nébuleuses et de suggestions qui deviennent inefficaces si on essaye de les mettre en pratique. Si le texte est profond nous sommes confrontés à toute une série de concepts techniques incompréhensibles qui nous pousse à le refermer avant que d’arriver à la troisième page.. et ensuite… Que de points de vue ! Que de différences entre l’un et l’autre auteur ! Qui parmi eux a raison ?
APPARAIT ALORS UNE RÉACTION DE LASSITUDE, D’ABANDON, DE CONTINUER LA VIE TELLE QU’ELLE EST, SANS OFFRIR UNE RÉSISTANCE QUE VOUS JUGEZ INUTILE. Et c’est ainsi que surgit la plus dangereuse des idées INHIBITRICES : « attendre que surgisse en un lieu quelconque ou présenté par un quelconque homme terrestre, une FORMULE SIMPLE ET FACILE qui nous sorte de notre état léthargique « .
Répétons que cette idée est DESTRUCTRICE et DANGEREUSE. Vous avez pu vous même observer comment en vous offrant quelques orientations pour un futur proche, il n’a pas manqué de personnes qui se sont montrées IMPATIENTES, sollicitant de notre part une solution immédiate dans un rapport de quatre pages. Mais de ces personnes nous pensons qu’un tel point de vue révèle un manque total de lucidité mentale. Nous ne désirons pas blesser ces personnes, car une telle carence n’est due à aucun acte coupable; mais si nous vous invitons à ne plus nous écouter, c’est parce que Vos Cerveaux ne sont pas préparés pour assimiler ces idées. Il n’est pas nécessaire de les soumettre à un test pour corroborer cette affirmation.
Mais ne vous rendez-vous pas compte qu’un simple ingénieur des routes qui désire faire un projet et réaliser une simple autoroute, doit préalablement connaître des matières aussi hétérogènes que l’étude mathématique des clotoïdes, l’analyse granulométrique des graviers, la détermination des limites d’Attemberg dans les arcades, la résistance à l’effort coupant des sols, la stabilisation chimique des revêtements, le fonctionnement de machines comme par exemple des compacteurs de pieds de chêvre et d’extenseurs d’arrosage asphaltique. Et tout cela contenu dans des douzaines de livres techniques et des centaines de monographies en plusieurs langues.
Comparez maintenant la simplicité de structure d’une chaussée avec celle d’une émission de télévision. Et ensuite comparez celle-ci avec la terrible complexité des millions de circuits nerveux qui composent une SEULE PARTIE DE L’ENCÉPHALE HUMAIN. Est -il possible que vous ne compreniez pas la grandeur du problème jusqu’au point de solliciter frivolement qu’en deux paragraphes nous vous donnions le moyen d’ÊTRE HEUREUX ?
D48
Référence : | D48 |
Titre | REMERCIEMENT POUR PUBLIER HONNETEMENT LES ECRITS DE UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | Fernando Sesma en 1966 |
Commentaires | Ecrite par un subordonné de DEII 98 |
UMMOAELEWE
Nombre de copies: 1
CONFIDENTIEL
Langue : Espagnol,
Mr Fernando Sesma
Madrid.
Monsieur,
Nous avons été informés de votre demande et nous allons la satisfaire.
Le prochain document sera le dernier de cette période, qui reprendra sauf ordre contraire, (ce qui est peu
probable) dans les derniers jours de septembre. Nous nous arrangerons pour que le premier document rrive
pour votre lecture durant la première session de votre SOCIETE DES AMIS DE L’ESPACE.
Dans le prochain document j’essaierai de vous apporter des éléments concernant la ré-éducation des mouvements
réflexes. Durant les mois d’été, aussi bien vous que Monsieur Dionisio Garrido Buendia, vous recevrez quelques
notes très espacées représentant un éventail des aspects de notre vie sur UMMO.
Mon supérieur en Espagne, DEII 98, fils de DEII 97, à qui je suis soumis, me demande de vous exprimer notre
satisfaction pour avoir accompli,durant la dernière session, ce qui vous avait été demandé.
Au risque de nous répéter, nous voulons insister sur le fait que vous ne devez pas interpréter notre petite
demande comme quelque chose de DESAGREABLE POUR NOUS QUAND VOUS PARLEZ DE VOS
EXPERIENCES ANTERIEURES, EN TOUTE LIBERTE. (dans d’autres réunions, chez vous ou devant les
masse-média). SEULEMENT: nous avons demandé de séparer les choses car nous pensons que même si vos
expériences sont VRAIES ou FAUSSES, cela peut provoquer certaines formes de discrédit pour des esprits qui
accepteraient plus volontiers notre identité sans ce « mélange ».
Nous vous conseillons donc une certaine modération, quand vous parlez sinon cela pourrait nuire à votre
prestige. De toute façons vous en seriez le seul perdant. Mais nous reconnaissons malgré tout le droit de pouvoir
accepter et proclamer votre propre Vérité. Nous demandons seulement à WOA de vous apporter la lumière
nécessaire pour trouver la Vérité dans vos propres limites. Jusqu’à maintenant vous nous avez démontré la pureté
de vos intentions: une franchise et un désir de sonder cette vérité, qui nous émeut réellement. C’est d’ailleurs
pour ces raisons que nous poursuivons le contact avec vous. Ceci ne veut pas dire que vous êtes le seul homme
bon que nous ayons trouvé dans votre monde troublé. Ni même que cette bonté est excempte de défauts plus ou
moins graves comme chez tout faible OEMII.
Vous nous avez tendu votre main quand en réalité vous aviez d’avantage besion d’aide que nous et en faisant
cela, vous avez accompli ce conseil de charité que votre HOMME DIEU (Jésus-Christ) vous apporta il y a
quelques centaines d’années. Vous vous êtes efforcé de divulguer des vérités que des étrangers (vrais ou de
fiction) vous ont rapporté pendant des mois. Et ceci au risque de perdre le crédit et le respect de vos parents et entourage.
Simplement parce que vous avez considéré que c’était NORMAL et JUSTE sans attendre un avantage d’ordre matériel.
Ce beau geste ne sera pas compris par de nombreuses personnes qui, avec la même mentalité que ce personnage
de la littérature espagnole: SANCHO, se moquent de vous dans votre dos. Pour WOA, la réalité de ceux dont
vous avez parlé (d’autres hommes extraterrestres) ne compte pas, seule compte votre merveilleuse pureté.
C’est pour cette raison, même si nous pensons que votre tactique a été trop aventureuse et que vous vous êtes
trop avancé face aux autres personnes, que nous avons un profond respect pour vous.
Monsieur Sesma, ne vous laissez pas embrigader par ceux qui vous conseillent de troubles tendances de
discrémination raciale ou politique. Identifiez vous au contraire à ceux (aux idéologies catholique, socialiste,
marxiste, chrétiens libres, bouddistes, fascistes, musulmans) qui dans leurs systèmes respectifs recherchent la
VERITE et luttent comme vous pour apporter à leurs semblables une vie plus juste et plus heureuse sur TERRE.
Et ce, malgré l’action corrompue de certains corrélegionnaires qui utilisent ces systèmes pour leur propre profit.
Identifiez-vous à ces frères blancs, jaues, noirs ou avec d’autres pigmentations, avec des formes neurocorticales
plus ou moins développées et au niveau psychologique inégal, mais qui luttent avec leurs armes spirituelles contre la haine , en faveur du progrès.
Votre Société AVANCE, ne croyez pas la thèse contraire, ELLE AVANCE LENTEMENT avec des CHUTES et des
RECULS , mais elle AVANCE grâce à l’action vivifiante d’hommes comme vous et meilleurs que vous.
Ceci est un fait que NOUS AVONS CONSTATE ET QUE NOUS POUVONS VOUS DEMONTRER. Pour
terminer, monsieur Sesma, je vous indiquerai que la semaine prochaine notre supérieur aura avec vous une
courte entrevue téléphonique pour vous faire ses adieux jusqu’à la rentrée.
NOUS AVONS RECU DES INSTRUCTION QUE NOUS DICTONS A LA SUITE/ VOIR PAGE SUIVANTE.
**********
D49
Référence : | D49 |
Titre | FELICITATIONS POUR FAIRE CONNAITRE DES FAITS OBJECTIFS SUR UMMO. ATTITUDE DE MONSIEUR SESMA FACE AUX TEXTES UMMITES. |
Destinataire(s) et date(s) | Joaquin Vlades Sancho en 1966 |
Commentaires |
Langue: Espagnol,
- Joaquin Valdes Sancho
MADRID.
Monsieur,
Nous avons suivi ces dernières semaines, dans la revue que vous dirigez, une série d’articles concernant la
civilisation de notre Planète UMMO. Comme vous le savez, le texte a pour base une série de documents que
nous avons régulièrement envoyé à Monsieur Fernando Sesma Mansano.
Un ordre de mon supérieur m’amène à vous exprimer nos cordiales félicitations pour l’objectivité avec laquelle
vous avez accepté des déclarations de ce type. On aurait pu attendre en effet une attitude de scepticisme logique,
de censure prudente envers des manifestations qu’un grand nombre de gens et de lecteurs considèrent comme
apocryphes et ayant comme seul but d’offrir une pincée de sensationnel à des individus peu intelectuels mais à la
fantaisie débordante.
Mais cette réserve mentale a été suffisament flexible pour tolérer votre publication, dans laquelle vous faites
preuve -nous le répetons- d’un esprit critique élevé et d’impartialité dans les critères peu habituels.
Il importe peu -comme cela a été insinué dans quelques apostilles- que vous ne comprariez pas complètement les
points de vue de monsieur Sesma, et d’avance nous pensons que les deux positions sont imprégnés d’une logique
rigoureuse. Des idées et des informations comme celles que nous sommes en train d’apporter à monsieur Sesma,
sont au début si surprenantes pour vous que si elles ne sont pas confirmées par une riche gamme de preuves
scientifiques ou de témoignages de garanties, elles peuvent et doivent être interprétées comme étant l’oeuvre
d’un farceur, comme étant des idées délirantes d’une mentalité paranoïaque ou tout au moins un habile
subterfuge d’un journaliste ou d’un publicitaire sans scrupules. Quand une nouvelle rompt le cardre normal de
vraissemblence et qu’elle manque d’éléments de jugement pour mesurer et valider sa réalité, tout esprit équilibré
a le droit d’adopter une attitude de méfiance justifiée. Nous ne devons jamais accepter un simple témoignage sans
les arguments qui le consolident. Et, si malgré tout, une telle affiramtion était prouvée, il serait injuste de préjuger
notre position comme étant d’une étroitesse mentale.
Mais il est aussi possible d’avoir la position de celui qui tolère « a priori » n’importe quelle version, pour ensuite
l’analyser sans pasion et soigneusement pour rechercher la Vérité.
En fait, tout enquêteur compétent utilise cette méthode dans ses analyses. Ceci fut précisément le critère de
monsieur Sesma et aussi notre ligne de conduite qunad une série antérieure concernant les »extra-terrestres »,
nous prîmes connaissance de sa version sur certains contacts établis par ce monsieur à cette époque.
Nous, nous sommes originaires d’un autre astre habité, nous ne vous cachons pas que depuis notre arrivée sur
Terre et après avoir dépassé une angoissante étape dans laquelle les difficultés de langage et d’adaptation
atteignirent pour nous des niveaux véritablement dramatiques, nous fûmes surpris par les nouvelles publiées par
la presse à cette époque concernant le fait que d’autres soi-disant vaisseaux (ou soucoupes volantes)(et bien
entendu ce n’était pas les nôtres) arrivaient continuellement sur Terre.
En voyant cette perspective : C’est à dire en constituant nous mêmes un vivant exemple de cette réalité, nous ne
pouvions pas facilement accepter l’hypothèse -en vogue chez les spécialistes et scientifiques terrestres- selon
laquelle ces prétendus disques lumineux étaient de simples illusions sensorielles (aérolythes, ballon-sondes,
phénomènes atmosphériques, images circulaires réfractées, hélicoptères, farces de certains habitants, ou simples
hallucinations de perturbés mentaux), et ce, même si nous partageons l’opinion selon laquelle un certain
pourcentage de cas tendrait dans ce type d’explications.
Mais nous devons vous confesser que nous avons été déçus car nous n’avons pas pu établir le moindre contact
avec eux sur cette Planète, malgré la gamme, assez riche, d’expériences à notre disposition. C’est pour cette
raison que notre attention a été attirée par les commentaires de professeur Sesma, même s’il y avait des éléments
peu fiables, des affirmations beaucoup plus puériles que scientifiques, des spéculations dans lesquelles
l’astrologie, la magie et la mauvaise interprétation de symboles, étaient mélangées avec d’autres indices qui
attirèrent fortement notre attention. Il nous a suffit de débrousailler un peu ses récits et de réaliser une soigneuse
étude sémantique de sa prose d’une part, et d’autre part de faire une recherche concernant la psychologie et
l’identité de ce monsieur, pour arriver aux conclusions suivantes :
1) dans ses récits, monsieur Sesma ne ment pas délibérémment, même si ses commentaires manquent de critique
scientifique et ont par contre un excès de naïveté.
2) l’interférence d’un ou de plusieurs farceurs ou individus mal intentionnés était évidente; Ceux-ci, en profitant
de l’attitude ouverte de l’auteur, utilisèrent ses premiers récits pour ajouter des versions aberrantes.
3) Malgré ces quelques facteurs négatifs, la réalité de ses contacts était plausible. Elle était renforcée par certains
détails qui, tout en semblant secondaires, ne pouvaient pas être l’oeuvre de Sesma ou des farceurs dont nous
avons déjà parlé.
Devant cette situation et parce qu’à cette date nous avions établi de prudentes et sobres relations avec quelques hommes de
science et contacté des instancescCulturelles de certains Pays (nous ne cachons pas l’incrédulité normale d’une partie d’entre eux), nous avons reçu des instructions formelles de débuter les contacts avec l’espagnol M. Sesma Manzano.
Les premières réactions de réticence de sa part confirmèrent notre supposition qu’il ne s’agissait pas d’un homme trop crédule bien que nous maintenions le point de vue retenu en second lieu. Sauf à lui apporter une série de preuves propres à vaincre sa méfiance naturelle.
Actuellement, mon Supérieur en Espagne poursuit avec ce monsieur de fréquentes conversations téléphoniques et lui dicte périodiquement des rapports sur la civilisation de UMMO, en utilisant les services mécanographiques d’un de vos fidèles compatriotes et que nous autoriserons un jour à témoigner de ses relations avec nous.
Réellement le destin de ces rapports sera orienté sur le groupe de personnes intéressées que le M. Sesma réunit et dirige depuis plusieurs années.
Quoique nous craignons raisonnablement que son initiative de révéler au public ces documents n’ait pas les résultats espérés nous nous abstenons de freiner son enthousiasme.
Nous pensons que M. Sesma considère ce que nous avons à dire, comme ce que vous appelez » une carafe d’eau fraîche « , mais si vous avez le moindre soupçon que ces révélations peuvent causer un « impact » sur la masse des lecteurs ou les faire sortir de leur gond, générant une psychose collective aux graves conséquences, nous nous verrions obligés de freiner par notre silence cet improbable enthousiasme populaire pour les raisons que M. Sesma lui-même a pu constater dans nos écrits.
YU 1, fille de AIM 368 et à qui nous sommes soumis, à tous les éléments de cette avancée de UMMO sur TERRE, vous envoie son cordial salut. Ainsi je sollicite votre action.
Ecrit DAA 3, fils de EEYEA 502
Par ordre de DEII 98, fils de DEII 97
D50
Référence : | D50 |
Titre | REMERCIEMENTS POUR L’ATTITUDE AMICALE DE SESMA ENVERS LES UMMITES |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA en 1966 |
Commentaires | Signée de IEREE 86 |
UMMOAELEWE
A Fernando Sesma Manzano.
Monsieur,
Mon nom est (exprimé en caractères terrestres et en prononciation espagnole) IEREE 86 engendré par IEREE 82. Il n’y a pas très longtemps que je suis à Madrid, et cette belle ville ibérique ne m’est pas encore très familière.
Monsieur, avant ma venue dans votre capitale, mes frères m’ont parlé de vous en termes élogieux. De plus, notre Directrice, à laquelle je suis soumis, m’a recommandé très expressement, et en vous priant de ne pas l’interpréter comme une simple formule de courtoisie, mais comme une authentique expression de nos sincères réactions d’affection positive, celle-ci m’a donc recommandé de toucher symboliquement votre poitrine comme l’interprétation de notre alliance spirituelle avec votre cerveau.
On m’a lu une belle poésie que vous avez eu la gentillesse de nous dédier, vous êtes le seul terretre parmi les nombreux avec qui nous sommes en contact depuis une décade, dont les sentiments envers nous se sont orientés vers une syntonisation animique inespérée pour des êtres comme nous, dont l’unique objectif au départ fut de réaliser une étude méthodique et scientifique de la Civilisation de la Planète Terre.
Votre extraordinaire sensibilité, votre amour irrépressible envers le UAAM (c’est ainsi que nous appelons l’univers) nous ont surpris et émus par dessus tout. Il y a quelques jours, tous les frères de UMMO qui sont sur Terre, nous étions réunis dans la Cité d’ADELAIDE en Australie Méridionale. On était en train de me donner des instructions pour mon voyage en Espagne car je n’avais jamais été dans ce pays. Quand mon frère DEII
98, engendré par DEII 97, devant notre Supérieur IUU 1 engendrée par AINM 368, me dictait la liste des espagnols en contact avec nous, je lui ai demandé en ce qui vous concerne: quelle spécialité scientifique ou philosophique possède-t-il ? (vous n’ignorez pas que notre UMMOAELEWE nous donna des instructions très précises pour réduire nos contacts à seulement des hommes terrestres spécialisés dans le domaine de la Science Pure, de la Pensée, de la Technique et de l’Art).
Ma jeune supérieure à qui je suis soumis me répondit:
» Cet homme est noble. Cet homme aime l’Univers: Cela suffit! »
Vous pouvez être sûr que dans ces paroles elle exprimait de nombreuses idées que vous ne pouvez pas deviner même si vous voulez juger leur laconisme immédiatement, ils m’ont offert une longue série de références
sur vous. Je connaissais votre poème depuis quelques jours, avant qu’il ne soit remis à UMMO. Pour nous, un geste comme celui-ci enferme un riche contenu émotionnel. Je savais que le poème était l’oeuvre d’un espagnol nommé Sesma mais j’ignorais sa personnalité. Jamais aucun terrestre, parmi ceux avec qui nous avons établi des
relations verbales ou postales, n’a essayé d’être à l’écoute avec nous d’une manière spirituelle.
Votre belle tentative d’établir un pont spirituel à travers des images poétiques ne sera jamais oublié de notre part.
La traduction que nous avons fait pour nos frères de UMMO ne serait peut-être pas à votre goût. En vérité nous aimerions que si vous arrivez à posséder certaines connaissances linguistiques de notre langue, vous puissiez faire vous même les corrections pertinentes. Vous comprendrez que cette poésie est un document très cher pour
l’histoire des relations entre les deux Planètes.
Nous ne voulons pas réaliser une critique de sa valeur littéraire. Il nous est d’autre part très difficile de coordonner nos sentiments esthétiques, notre mesure littéraire avec ceux de l’homme de la Terre.
Si vos strophes étaient vulgaires, elles ne perdraient pas de leur valeur pour nous car notre geste serait le même.
Mon frère DEII 98, engendré par DEII 97, parlait de vous avec tristesse en pensant à ce que vous auriez pu être avec une éducation rationnelle, avec une formation religieuse intégrale, avec des moyens didactiques orientés vers le champ de la Pensée correspondant à votre psychisme, semblables à ceux que nous avons nous.
Il ne voulait pas blesser votre modestie d’homme-enfant(et vous comprendrez que le qualificatif d’enfant n’est absolument pas péjoratif) et pour cette raison je préfère taire mes propres sentiments. Comme terrestre qui ne connait pas notre mentalité, vous pourriez les juger comme étant de l’adulation ou tout au contraire : une
blague.
J’aimerais entendre votre voix, parler avec vous. Mais ma supérieure m’a interdit d’établir un contact téléphonique verbal avec quiconque jusqu’à mon retour sur UMMO et le frère qui m’accompagne ne connait
pas l’Espagnol. Mes frères qui sont hors d’Espagne reviendront bientôt. Mon voyage actuel, après avoir passé des années en Amérique du Sud obéit à mon prochain retour sur UMMO. Malgré tout il est possible que mon frère actuellement en Espagne, communique avec vous même si son langage sera inintelligible (pour vous).
J’ai des ordres précis de suspendre toutes les communications que nous avions avec divers hommes d’Espagne.
Il n’y a qu’à vous, par déférence spéciale, que nous écrivons aujourd’hui ces paragraphes.
Mais immédiatement après l’arrivée de nos frères (j’ignore si nous serons déjà partis à ce moment là), les différents hommes de science de ce pays, vous et d’autres personnes continueraient à recevoir des rappports périodiques faits avant le départ de mes frères.
Actuellement je suis en train de me familiariser avec cette Capitale dont je n’avais que des références littéraires et graphiques sans jamais y avoir mis les pieds. L’unique espagnol que j’ai pu connaitre ici est un jeune avec qui
mes frères étaient en contact et avec qui je me trouve maintenant.
Rien ne m’aurait fait plus plaisir que de vous voir et de mettre ma main sur votre poitrine.
Mais nous ne pouvons pas satisfaire tous nos désirs et j’ai accepté quand mon supérieur refusa pour des raisons trop longues à expliquer.
D51
Référence : | D51 |
Titre | PREMIERE NOTE DE PRESENTATION. REACTIONS DE SCEPTICISME. ANNONCE D’UN APPEL TELEPHONIQUE |
Destinataire(s) et date(s) | VILLAGRASSA et PASA le 10/11/1966 en espagnol |
Commentaires |
UMMOAELWE
Monsieur Enrique Villagrassa Novoa,
il est probable que l’affirmation qui suit vous remplisse de perplexité. Il est probable aussi que vous adoptiez immédiatement une attitude scéptique ou tout au moins réticente.
Nous sommes originaires d’un Astre lointain. Une Planète que nous appelons UMMO -expression phonétique-située à une distance approximative (de la Terre) : DISTANCE APPARENTE, c’est à dire celle que suivrait un faisceau cohérent d’ondes électromagnétiques dans l’espace Tridimensionnel:
d=14,4368 +ou- 0,06 années-lumière.
Nous avons pleine conscience de la grave transcendance qu’une telle affirmation peut supposer chez vous. Vous ne serez donc pas surpris si nous vous disons que quand nous avons remis des documents et des notes comme celle-ci à des hommes de différents niveaux intellectuels et sociaux, à des scientifiques, des moines, des écrivains, des penseurs, des techniciens, des employés etc… leurs réactions normales ont marqué un ton répressif évident à l’encontre de la véracité de notre témoignage.
Cette radicale position de scepticisme, d’incrédulité à outrance, est évidente. L’intellect humain réagit avec des mécanismes de défense psychologiques bien définis face à une constellation de perceptions illusoires qui peuvent avoir été crées par un mythomane, une personnalité psychopate, un individu intelligent dont son sens de l’humour trouve cette voie originale pour canaliser ses désirs de se divertir de la naïveté de ses frères.
Si un jour Pauling Linus frappe à votre porte, que vous le recevez dans votre hall, et qu’il vous débite sans préambules que sa profession s’oriente dans le domaine de la Physique-Chimie et qu’il n’y a pas longtemps il vient de recevoir le prix Nobel Suédois de Chimie, personne ne pourra vous reprocher de téléphoner à un établissement psychiatrique.
Monsieur; épisodiquement, nous nous mettons en contact avec différentes personnes dans différents pays de la Terre. En Espagne, concrètement nous avons choisi ces jours-ci deux personnes dont la curiosité et l’intéret pour l’habitabilité d’autres points de notre Galaxie sont bien connus.
L’un d’eux est écrivain, auteur de pièces de théatre: Alphonso Paso. L’autre : c’est vous.
Nous craignons beaucoup que vous n’acceuillez ces lignes avec un sourire narquois et que vous dénaturiez nos bonnes intentions à votre égard.
Nous vous appelerons par téléphone une autre fois. Nous ne sommes pas autorisés à dialoguer avec vous pour l’instant.
Dites nous simplement ce que vous pensez de cette affaire. Faites le franchement, noblement.
Si, malgré les apparences, votre objectivité et le réalisme de la situation vous mettent dans une position d’analyse, avant de risquer un jugement dogmatique, avant de nous qualifier définitivement de déments ou farceurs, demandez-nous par téléphone une information concernant un thème scientifique, religieux, philosophique etc… qui vous interesse spécialement.
Dicté au mécanographe par:
DA 3, fils de EYEA 502
Soumis en Espagne …:
DEII 98; fils de DEII 97
Soumis …
YU 1, fille de AIM 368
En Australie.
Un document similaire a été remis en même temps …:
- Alfonso Paso Gil, avenida de la Habana 27,
Tel: 2500919, Madrid 16,
ESPAGNE.
D52
Référence : | D52 |
Titre | AUTOUR DU CONCEPT DE L’ESPACE. CHAMPS DE FORCES ISOTROPES. PERCEPTION ILLUSOIRE DE L’ETRE SPATIALE. SYMETRIE ENANTIOMORPHE DU COSMOS, AVEC SON ANTI-COSMOS |
Destinataire(s) et date(s) | VILLAGRASSA le 28/11/1966 |
Commentaires | Envoyée de Madrid |
UMMOAELEWE
Nombre de copies:1
Monsieur Enrique Villagrasa
Madrid Espagne
Langue:Espagnol
AUTOUR DU CONCEPT DE L’ESPACE:
Monsieur:
Vous pouvez imaginer l’énorme complexité qu’un thème apparemment aussi facile que celui du concept de l’espace, peut représenter pour pouvoir l’exposer en quelques feuilles mécanographiées.
Nous voulons ainsi répondre à votre demande formulée téléphoniquement.
Tout au long de ces paragraphes vous pouvez vérifier qu’une partie des affirmations sont déjà connues des spécialistes terrestres en Cosmologie, Physique et Philosophie. Le reste correspond à notre patrimoine scientifique. Comme nous ignorons votre niveau culturel, nous commencerons notre rapport par quelques concepts fondamentaux connus des scientifiques terrestres. N’importe lequel de vos frères spécialisés dans les Sciences Physiques, Astronomie et Mathématiques pourra développer ou vous expliquer en détail ces idées.
Quiconque se contemple dans une glace observera que l’image qu’il contemple de lui-même N’EST PAS IDENTIQUE A CELLE QU’UN FRERE contemple de nous-même. (L’être imaginaire que nous regardons est pour le moment « sourd »).
Il suffit d’exposer une page écrite devant le miroir pour corroborer ce que tous les frères ont vérifié sans y donner une grande importance. Le miroir semble transposer la gauche sur la droite. Un quelconque étudiant de UMMO pourrait parler longtemps sur cette particularité et nous pensons que pour une personne terrestre cultivée il n’y a là rien d’énigmatique non plus;
Mais, il y a peu de temps, un de nos frères qui se trouvait aux Etats Unis nous informa, surpris, qu’un essayiste nord-américain avait écrit un livre de divulgation scientifique dans lequel il exposait le problème suivant :
Si une personne est capable de voir dans le miroir sa droite et sa gauche inversées, pourquoi ne voit-il pas aussi inversés le HAUT et le BAS et ne se contemple-t-il pas dans le miroir avec les pieds en haut ?
Il semble qu’aux Etats Unis, seulement 2 % des personnes consultées donnèrent une réponse satisfaisante (INDIVIDUS ADULTES).
Seulement 38 % d’un groupe composé exclusivement d’experts et d’étudiants en Physique, Psychiatrie et Mathématiques répondraient rapidement.
Ceci illustre parfaitement que si un grand pourcentage de personnes terrestres ne sont pas préparées pour comprendre certains concepts fondamentaux en liaison avec la symétrie spatiale, la vision d’images et la perception au niveau neurocortical, ils pourront encore moins analyser des raisonnements en rapports avec les Mathématiques Supérieures.
Quand deux objets sont symétriques par rapport au plan, nous disons d’eux qu’ils sont INNUO VIAAXOO (ENIANTIOMORPHES). voir image 1.
(Image 1)
Il est facile d’observer que ces deux objets ne peuvent se superposer malgré que leur identité morphologique soit évidente : vous pourriez vous-même, sur Terre, sélectionner des milliers d’exemples (chaussure droite et chaussure gauche, vis lévogyre et vis dextrogyre, les deux oreilles de l’OEMII (corps) etc…
Evidemment, de nombreux corps INNUO VIAAXOO (énantiomorphe) sont superposables quand leur morphologie est symétrique : exemple les deux pyramides de l’image 2.
(Image 2)
Un vrai champs de forces est-il symétrique ? (1) Tout corps qui peut se diviser en deux parties identiques ou INNUO VIAAXOO (énantiomorphe) au moyen d’un plan de superficie idéale, nous disons qu’il est AA INNUO (symétrique) image 3…
(Image 3)
Sont AA INNUO (symétriques) l’OEMII (corps humains sauf différences physiologiques secondaires) et les polyèdres réguliers parmi de nombreux autres corps idéaux et réels.
N’importe quel étudiant en Sciences Physiques et Exactes pourrait définir le concept de champ dans sa version terrestre.
Imaginez que dans une « région » du Cosmos exempte d’astéroïdes, poussière cosmique, gaz etc. nous mettions une sphère métallique.
Apparemment rien n’a varié aux alentours, mais si maintenant nous mettons à 114 ENMOO de distance une autre petite sphère, celle ci est attirée vers la grande sphère avec une force que vous appelerez gravitatoire.
Répétons l’expérience en différents points A, B, C, …; de cette région cosmique. Plus près nous mettrons la petite sphère, plus grande sera la FORCE d’attirance, et par conséquent sa vitesse vers la masse centrale.
(1) vous considérez le champ isotrophe. C’est faux, voir rapport suivant.
Vous définirez le champ de force comme la région environnante à la sphère où se manifeste un tel phénomène. Région dont le rayon est infini (image 4).
(Image 4)
Vos physiciens ont l’habitude de représenter graphiquement un champ par des points auxquels on assigne un symbole qu’ils nomment vecteurs (dans ce cas VECTEURS-FORCE). On assigne à la sphère centrale représentée par le point M (image 5) le caractéristique de MASSE INERTE CREATRICE de ce mystérieux CHAMP GRAVITATOIRE.
Inévitablement, de graves interrogations surgissent face à un concept si pauvrement exposé.
Qu’est-ce que la MASSE ? Tout corpuscule, tout corps possède-t-il une MASSE INERTE ? Quelle est la nature réelle de ces forces mystérieuses ? Quand nous prenons un objet, nous savons qu’il a un volume et en même temps qu’il « pèse », « possède une masse ». MASSE et VOLUME ou ESPACE sont-ils une même chose ou du moins ces deux concepts sont-ils liés intimement sans que l’on puisse concevoir un objet volumineux sans masse et vice versa ?
Cette grande confusion surgit inévitablement quand nous partons de la base fausse selon laquelle l’espace est une entité différente (étrangère) de nos phénomènes mentaux comme la SENSATION et la PERCEPTION.
L’espace existe-t-il EN DEHORS de NOTRE personnalité PSYCHIQUE ou bien est-il une illusion de nos sens ?
Répondre par oui ou par non serait une grave aberration. NOUS sur UMMO savons vraiment qu’il existe une REALITE en dehors de nous-mêmes, qui stimule notre cerveau et développe un processus mental que nous appelons BUAWAIGAAI (PERCEPTION).
Mais cette réalité est aussi différente de la PERCEPTION MENTALE qu’une montagne l’est du mot M-O-N-T-A-G-N-E, qui sert pour la représenter.
Ce concept n’est pas étranger à vos hommes de la Pensée et de la Science : observez quelques exemples : qu’y-a-t-il de commun entre la COULEUR (PERCEPTION) et l’onde électromagnétique qui stimule notre rétine ? La couleur est un pur phénomène psychologique. Il n’existe pas en dehors de notre MOI, et même il y a le paradoxe que des trains ondulatoires provoquent des perceptions différentes. Ainsi quand le stimuli vibratoire est de 398 (millimicrons) terre, nous l’interprétons comme une tâche de couleur rouge mais s’il arrive à notre épiderme avec une longueur d’onde plus grande (image 6) « nous sentons de la chaleur »; quelque chose de très différent du CHROMATISME.
(Image 6)
Une même réalité extérieure provoque des illusions différentes.
Aussi l’ESPACE en tant que tel est une autre illusion de nos sens. Oui, il existe un « quelque chose » extérieur qui provoque cette perception psychologique mais ce « quelque chose » est réellement aussi différent de notre concept illusoire de l’espace qu’un train d’ondes l’est de la tâche verte ou jaune que perçoit l’esprit.
Et nous vous disons de plus : vos spécialistes se sont acharnés à différencier les concepts CHAMP de FORCES et ESPACE comme réalités différentes. Vous admettez que les voies nerveuses masquent la sensation FORCE et la sensation ESPACE et élaborent un complexe d’équations mathématiques pour définir ce « quelque chose » extérieur à notre MOI appelé CHAMP GRAVITATOIRE, MAGNETIQUE et ELECTROSTATIQUE et cet autre « quelque chose tridimensionnel ou N dimensionnel appelé ESPACE.
Vous savez qu’on ne conçoit pas un CHAMP de FORCES sans ESPACE est affecté par ces champs.
De plus nous affirmons que CHAMP DE FORCES et ESPACE s’identifient : on ne peut concevoir un UNIVERS étranger au notre dans lequel : parce qu’il n’existe pas de corpuscules, il n’existe pas non plus « des déformations de cet espace » que nous appelons CHAMP.
Pour être plus concrets : l’action du champ gravitatoire est celle qui, en stimulant nos terminaisons nerveuses et en conduisant à travers les neurones une série d’impulsions codifiées jusqu’à notre écorce cérébrale, fait surgir dans notre conscience cette illusion que nous appelons ESPACE.
C’est pour cela que quand nous parlons de dimensions pour définir l’espace, évitez de croire que la dimension longueur dans le WAAM (cosmos) est telle que nous l’imaginons dans notre esprit.
Comme ceci pourra exiger continuellement un effort mental considérable, tout au long de rapport (par commodité) vous pouvez admettre que la longueur d’une ligne droite est synonyme de dimension et d’une certaine manière, c’est exact.
Nous vous parlerons aussi de la perception spatiale, de la manière dont nous concevons le WAAM décadimensionnel, de ce qui est le véritable concept d’asymétrie de notre WAAM (Cosmos) qui le convertit en ENANTIOMORPHE du WAAM (anticosmos).
Nous vous expliquerons comment nous polarisons les subcorpuscules pour rendre possible le voyage spatial en utilisant la combine de l’espace et nous vous parlerons aussi des véritables distances qui permettent de réaliser de tels voyages.
D53
Référence : | D53 |
Titre | Enquête des Ummites sur Saliano. Arrrivée sur la Terre en 1946 d’entités issues d’une Planète située à 96,885 années-lumières |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA en décembre 1966 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Nombre de copies : 1 TRES CONFIDENTIEL – NE PAS
- Fernando Sesma Manzano FAIRE CONNAITRE LE CONTENU
MADRID ESPAGNE AVANT DEUX ANS
Monsieur,
Aujourd’hui nous recevons votre pétition exprimée lors de la dernière réunion qui a eu lieu dans les sous-sols du café LEON de la rue Alcala de Madrid (Espagne), et nous désirons la satisfaire d’une manière OFFICIEUSE.
Dans un autre document à part nous répondrons à une question et vous pourrez librement divulguer son contenu.
Avant tout, nous voulons exprimer notre tristesse car nous sommes obligés de nous engager dans un dédale d’explications peu intéressantes, alors que d’autres valeurs beaucoup plus interéssantes devraient focaliser l’attention des Terrestres. Vous devez bien penser que quand nous adoptions des décisions c’est pour des raisons très graves et exemptes de tout élément de vengeance ou de motivation infantiles.
Vous avez très bien compris que notre seule démarche est la Logique Formelle que nous appelons AADOAUGOO, non pas parce que nous mésestimons la possibilité de l’existence d’autres langages logiques, mais parce que celui ci est le seul qui nous a permis un développement cohérent et une « captation » objective de la
Vérité Scientifique dans la mesure où le temps et notre cadre Planétaire a rendu la chose possible.
Notre attitude par rapport à vous ne doit donc pas être considérée comme une sanction de votre conduite mais comme un simple moyen de défense face à vos motivations et vos formes de conduite par rapport à nous.
Nous croyons que vous partagerez avec nous la véracité de ces faits :
Nous vous avons supplié plusieurs fois de ne pas mélanger dans vos causeries et dans vos réunions, des allusions à des expériences antérieures concernant d’autres extra terrestres (vrais ou faux ).
Vous avez plusieurs fois accepté notre supplique et vous vous êtes comporté d’une manière chevaleresque, en nous ouvrant les portes de votre réunion et en polarisant l’assemblée sur notre Histoire Philosophique, sur notre Science et notre Technologie communiquée par nous sous forme de documents.
Mais, en d’autres occasions, vous avez violé cet accord tacite jusqu’au point où vous avez exprimé publiquement et à plusieurs reprises (le mardi , jour de votre réunion) que dans le futur la réunion serait consacrée exclusivement au thème de notre Expérience, sans respecter entièrement toutes les dates
successives.
De nombreuses fois nous avons insisté en vous avertissant que la situation était embarrassante pour nous et que nous pensions sérieusement couper toute communication, et votre réaction fut de modérer votre activité pour ensuite recommencer comme avant.
En réalité vous n’avez jamais souscrit un compromis par écrit, vous n’avez jamais formulé que vous accompliriez toutes nos exigences. Pour nous vous n’avez pas commis de fautes graves, car nous avons toujours voulu que vous vous sentiez libre d’adopter toute décision.
Mais par contre vous avez formulé oralement ce compromis de silence que vous n’avez pas respecté ensuite vis -à-vis de vos propres frères.
Nous avons même entendu des plaintes concernant votre volubilité.
Nous vous avertissons fraternellement qu’en effet votre manque de responsabilité peut diminuer votre prestige vis-à-vis de vos amis et de vos familiers.
Nous vous répétons donc que pour nous, vous n’avez commis aucune faute car en faisant agir votre libre-arbitre, votre conduite n’a pu violer que le respect envers des amis ou les suppliques d’êtres qui ne sont pas nès sur cette Planète, mais nous reconnaissons aussi les mobiles de cette conduite qui sont bloqués dans les zones les plus obscures de votre psychisme.
A notre avis il n’y a pas eu d’intentions perverses mais seulement un ardent désir de se sentir libre de tout compromis formel vis-à-vis d’êtres en dehors de votre Moi.
Mais nous avons été cohérents dans notre conduite.
En vérifiant plusieurs fois que vos affirmations concernant le fait d’occulter les allusions à Saliano ou à d’autres expériences (dont les allusions au sein de la réunion allaient à l’encontre de nos objectifs) sont devenus rapidement des affirmations gratuites, nous avons adopté la décision d’une rupture conditionnée.
Votre incontinence verbale nous oblige donc à douter de vos promesses orales.
Non pas parce que nous pensons que vous êtes incapable de dépasser cette tare ni parce que nous jugeons que vous êtes capables de violer consciemment votre parole donnée.
Au contraire, nous avons de vous un portrait psychique bien défini et qui vous est très favorable au niveau de votre honnêteté et de votre indépendance de critères.
Ce n’est pas de l’adulation car nous adoptons le critère d’informer véritablement de juger avec probité.
Nous savons par exemple que vous souffrez d’états transitoires d’amnésie qui vous posent des problèmes pour certaines formes de conduite.
Vous avez formulé pour la ènième fois lors de la dernière réunion la proposition de ne pas ménager des éléments étrangers au cours de vos rencontres.
Quelle garantie avons nous à ce sujet, Puisque cette même proposition n’a pas été respectée dans le passé ?
Nous espérons donc que cette fois ci cette proposition sera respectée.
Si pendant quatre semaines il en est ainsi, nous ne verrons pas d’inconvénients à continuer à vous remettre nos documents. Nous exigerons cependant que les destinaires de ces messages vous fournissent des photocopies.
De plus notre respect et notre déférence envers vous, nous interdisent de refuser de répondre à vos trois questions. Et ce dans la mesure de nos possibilités.
Votre demande de continuer à recevoir des documents sera satisfaite en fonction du respect concernant notre supplique.
Vous nous demandez en plus à quelle expérience nous nous référons quand nous disons qu’elle peut être vraie.
Tout au long de ces derniers mois vous avez pu observer que sur ce point nous avons adopté une attitude que vous pourriez qualifier de « sybilline ».
Nous, nous n’aimons pas les positions d’ésotérisme.
Quand nos paragraphes où nos conversations téléphoniques montrent des réticences, des réserves ou une attitude évasive, il y a derrière ces restrictions mentales deux types de mobiles :
-des précautions pour des motifs de défense ou pour éviter des maux plus grands à nos frères terrestres si nous dévoilons la vérité.
-une réserve mentale face à la tentation de divulguer ou simplement de formuler une affirmation non démontrée définitivement ou en cours de révision ou d’étude.
Ce dernier type de motivation nous a obligés à nous montrer très réservés avant de vous faire des déclarations.
Les terrestres sont en règle générale très enclins à adopter comme vérités des concepts qui en sont encore au stade embryonnaire.
Nous avons peur ( et avec de très bonnes raisons) que vous interprétiez mal les explications qui suivent.
Tous ont en commun le fait que nous ne pouvons pas garantir leur authenticité tant qu’elles n’ont pas été définitivement vérifiées. Même si vous désirez que nous soyons plus explicites, nous nous limiterons pour l’instant à vous faire un résumé de nos investigations. Mais prenez en compte le fait que nous
n’avons pas consacré beaucoup de temps et beaucoup d’intérêt à cette affaire.
Nous désirons que ce résumé demeure secret jusqu’à ce que sa rédaction définitive soit vérifiée par notre étude.
Nous vous supplions affectueusement de ne pas en parler à vos frères, amis et familiers.
Quand nous avons établi un contact avec vous, nous n’avions qu’un seul mobile:
la découverte que dans vos allusions concernant ce mystérieux être que vous appelez SALIANO, vous faisiez allusion à des mots prononcés par lui, mais dont une analyse rapide montra l’existence d’un message codé connu par tous ceux qui ont atteint un niveau technologique capable de nous permettre de voyager au dessus des limites imposées par les phénomènes et les lois physiques d’un cadre de l’Espace Tridimensionnel.
Ceci nous surprit et nous commotionna énormément.
Vous étiez une personne totalement inconnue dans le domaine de la Science et de la pensée terrestre.
Un humble écrivain, courageux et indépendant, dont un, considéré au niveau international comme l’un des plus en retard en Europe et régi par un gouvernement dictatorial statique et lié à des epxériences totalitaires nazis et fascicstes, c’est à dire que subissait les pressions qui interdisent tout dévelopement Technologiques,Scientifiques et Idéologiques; car tous les grands intellectuels du Pays se trouvent en exil où sont morts entre les mains des Oligarches comme Garcia Lorca.
Cette situation interne du beau pays Espagne nous était bien connue. C’est pour celà que nos premiers contacts le laissèrent à l’écart et même si vous n’avez pas entièrement conscience de celà, le niveau intellectuel et
scientifique de cette Nation était très en retard par rapport à d’autres moins peuplèes et avec moins de moyens, mais avec des structures sociopolitiques plus équilibrées.
Qu’un espagnol puisse avoir des contacts de cette nature nous parut surprenant car nous pensions que d’autres probables visiteurs de la Terre, en établissant des relations avec ses habitants, ne pouvaient le faire ( comme nous) qu’avec des personnalités des Nations plus évoluées dans le domaine social et scientifique.
Ce n’est pas que de tels contacts soient indispensables, mais leur probabilité atteint un seuil très faible.
Pourrait-il y avoir alors une autre solution ?
On peut élaborer plusieurs hypothèses. De telles paroles prononcées ou écrites par SALIANO concernant le contenu latent du message n’étaient pas assez révélatrices. Le message, quoiqu’assez long, pouvait être le fruit du hasard.
Cependant, cette hypothèse a toujours été difficilement acceptable car le calcul des probabilités accuse une très faible de cette possibilité de cette hypothèse.
On pouvait aussi penser que vous pouviez connaitre un tel message et qu’il ne fut alors agi de l’envelopper avec un « vêtement » linguistique seulement déchiffrable par un spécialiste en cryptographie qui ne pouvait être qu’un extraterrestre.
Tout cela nous amena jusqu’à vous. Nous vous avons soumis à une série de tests, écouté des conversations et surveillé dans vos mouvements. Nous avons été vite convaincus que la seconde hypothèse était à rejeter.
Seule demeurait la première et huit autres peu importantes que nous avons éliminées.
Mais un facteur important troublait totalement l’identité des mystérieux êtres que vous personnalisiez sous le nom de SALIANO.
Nous pouvons donc rejeter l’hypothèse d’un simple farceur. Non pas à cause des expériences dont vous avez été le témoin puisque celles ci ne nous sont pas accessibles et pourraient être soit une intervention de votre part, soit le produit d’un syndrôme psychopathologique, soit la conséquence d’hallucinations, d’effets paramétriques ou de simples farces organisées par vos familiers avec l’aide de moyens de prestigitation ou d’illusionnisme.
Nous répétons que le récit de phénomènes si surprenants et de type métapsychique ou parapsychologique ou transcendant, fûrent accueillis par nous avec une très prudente réserve et une grande méfiance. Car nous n’avions pas de preuves de ces phénomènes et la manière de les relater dans vos récits
ne suffisait pas pour nous accepter leur réalité.
Mais le message était enfermé dans des séquences de paroles en espagnol qui semblaient futiles ou qui pouvaient représenter, en dehors de ce message, un autre symbolisme qui ne nous intéréssait pas.
Mais ce qui nous surprenait dans votre expérience c’était justement la liste des faits et affirmations qui l’accompagnait.
Les informations concernant les autres planètes étaient inadmissibles. Une étude comparative nous amène à vous affirmer que de tels Astres N’EXISTENT PAS DANS NOTRE COSMOS, ni même une structure semblable.
D’autre part, le nombre d’aberrations et d’affirmations contradictoires est si évident que nous fûmes surpris par le fait que vous qui possédez une intelligence supérieure à la normale terrestre, vous ayez pu accorder un
crédit quelconque à ces idées.
Nous disions donc que nous ne désirons pas nous étendre longuement sur la tournure que prirent nos propres recherches sur deux niveaux totalement irréconciliables.
Le message codé REEL et la gamme des absurdités apparentes dont le contenu manifeste était rejetable et son possible contenu latent ou symbolique devait être soigneusement traité.
Nos conclusions ACTUELLES peuvent être résumées ainsi :
En l’année 1946 sont arrivés sur Terre des êtres originaires de l’OOYAA (Planète) que nous avons codé en l’année terrestre 1966 sous le nom de OOYAAUYTEE WEE, située dans le Cadre Tridimensionnel physique accessible par voie directe à 96,885 années-lumières de la Terre et à 107,4443
années-lumières (unité terrestre) de notre UMMO.
Nous n’avons jamais reçu de messages de la part de cette planète ni par voie de vibrations électromagnétiques ni par voie gravitationnelle.
L’objectif de ces petits individus qui se trouvent sur cette Planète ( entre 13 et 9 OEMII) est de réaliser exclusivement des expériences psychiques et parapsychiques sur les OERMII terrestres sans désirer avoir accès à d’autres domaines du COMPLEXE Culturel Terrestre.
Leur niveau technologique est inférieur au nôtre et supérieur au vôtre. Mais dans le domaine de la psychologie, ils sont beaucoup plus avancés que nous et ils accordent une grande importance aux manifestations artistiques accessibles par voie acoustique (musique et parole) et par voie gustative.
Ils ont une philosophie très particulière, monothéiste comme la nôtre, mais ils ont aussi un cadre moral qui n’est pas universel, selon lequel il n’est seulement valable que pour les OEMII qui vivent sur leur Planète.
Ils considèrent qu’il est éthique et permissible de réaliser tous les types d’expériences sur des êtres étrangers à leur planète.
Cette morale les rend très dangereux pour vous et pour d’autres planètes visitées et leur objectif actuel est de créer chez les OEMII terrestres des UTIORAA EUUNNA ( cadre psychique anormal et différent des coutûmes habituelles) pour observer les réactions des sujets soumis à une telle expérience et pouvoir connaître aussi leur psychisme.
Une telle technique est connue par nous mais à un niveau très rudimentaire.
Grâce à vous, monsieur Fernando Sesma Manzano, nous avons pû établir un contact avec l’un de ces êtres vivant à la date de nos deux entrevues (décembre 1966) à Madrid (Espagne).
Lors de ces deux réunions ils se montrèrent soucieux de ne pas nouer de relations et de ne pas collaborer avec nos frères de UMMO.
Ils avouèrent avoir un rapport direct avec l’expérience SALIANO vêcue selon eux par de nombreux hommes de la Terre.
Leur identité en tant qu’extraterrestres est évidente mais l’attitude adoptée par le seul OEMII dont nous avons parlé ( il a essayé de nous « embrigader » dans ses techniques d’expérimentation pour faire de nous de simples cobayes) ne donna aucun résultat.
Nous avons adopté un compromis formel de ne pas nous immiscer mutuellement dans les expériences d’étude que nous faisions, malgré le fait que leur attitude envers les terrestres nous paraisse immmorale.
Nous avons fait ce compromis sans garanties qu’ils soient fidèles à leurs engagements.
Tout ceci nous amène à être extrèmement réservés, car il est évident que de tels OEMII existent et que leur origine a été vérifiée indépendamment des témoignages oraux, on peut se demander jusqu’à quel point ils disent la vérité dans leurs autres affirmations.
Nous savons que de telles expériences de UUTORAA EUNNA sont effectivement en cours et nous jugeons qu’elles sont immorales, mais comme elles ne nous causent pas de grave préjudices et que les OEMII sont libres d’accéder à la vérité scientifique par leurs propres méthodes, nous préférons ne pas nous
immiscer.
Nous ne pouvons plus rien vous dire de plus. Quelques mois auparavant nous ignorions même leur existence et nous ne pouvions rien dire sur ce thème.
Même maintenant certains points ne sont pas encore éclaircis mais nous avons accepté ce compromis.
Nous vous prions de ne pas nous demander d’autres renseignements sur ce sujet.
Vous pouvez être sûr; Monsieur Sesma, que les paragraphes antérieurs contiennent la part de vérité que nous pouvons vous apporter. car si nous savons beaucoup d’autres choses sur ce thème, en parler irait à l’encontre de nos propres expériences.
Un service qui pourrait vous sembler fûtile mais qui a UNE GRANDE IMPORTANCE pour nous et c’est un conseil d’amis véritables.
Vous avez pu remarquer que quand un message est confidentiel, nous vous avertissons au début du texte: une telle réserve est une supplique sérieuse.
Vous pouvez ne pas la respecter et nous causer un préjudice grave mais : VOUS POUVEZ AUSSI LE FAIRE.
Dans ce cas nous vous demandons d’être extrèmement prudent si malgré nos recommandations vous désirez informer un ami ou un parent, faites le dans les conditions suivantes:
* en remettant le document demandez à la personne de le lire sans remuer les lèvres et en disant distraitement qu’il s’agit d’un document Ummite concernant un sujet d’emprunt (Zoologie de notre planète par exemple).
* NE PAS FAIRE DE COMMENTAIRES VERBAUX.
Si vous ne voulez pas brûler le document ( ce qui serait le plus prudent) gardez le dans une enveloppe très opaque enveloppé dans une feuille de plomb ou ( si vous n’en avez pas) dans une feuille de carton très épaisse et dans un endroit très sûr, si c’est possible hors de votre domicile. Si vous désirez le lire de nouveau, faites-le à l’extérieur, jardin, champ, Terrasse, et NON PAS CHEZ VOUS OU DANS LA RUE.
Ne nous demandez pas les raisons techniques,vous devez vous en douter.
Peut-être vous comprenez mieux maintenant notre conduite concernant les « expériences » que vous avez vécues avant de nous connaître.
Nous répétons que les conseils que nous vous avons donnés concernant ce document sont extrêmement sérieux et digne d’être suivis.
Vous nous demandez aussi des renseignements sur cette pierre de l’espace qui fut analysée dans l’ouvrage d’un moine catholique espagnol : Machado.
Nous ignorons l’origine de cette pierre. Nous n’avons pu l’avoir à notre disposition pour pouvoir analyser sa composition. Les signes qui y sont inscrits ne sont pas WAAMOO c’est à dire COSMOLOGIQUES tout au moins à notre connaissance.
Alors ils peuvent être l’oeuvre d’un civilisation extraterrestre…. tout comme celle d’un fraudeur.
Nous avons cette affaire en suspens depuis longtemps mais nous n’avons pas encore pu faire son analyse.
Nous savons donc beaucoup moins de choses que vous sur cette pierre rectangulaire.
D54
UMMOAELEWE
A Monsieur Fernando Sesma Manzano
MADRID, ESPAGNE.
PARAGRAPHES TRES CONFIDENTIELS A TOUS LES NIVEAUX.
Monsieur,
Un appel téléphonique réalisé par mon frère n’a pas eu de réponse dans la nuit du 20 Janvier 1967.
Ceci peut être dû a trois raisons:
+ vous n’avez pas reçu la lettre que nous vous avons envoyé.
+ cette lettre est arrivée et vous avez choisi, Monsieur Sesma, notre première option : ne pas accepter notre supplique.
+ Vous considérez que les conditions imposées sont excessivement sévères, que ces exigences sont contraires à votre diginité, ou que vous n’acceptez par la manière dont elles ont été dites ; ou bien vous avez reçu des ordres ou des conseils d’un tiers.
Avant tout, et s’il s’agit bien de cette dernière raison, je vous demande de ne pas mal interpréter ma façon d’agir. Malheureusement notre dernière manière d’agir est différente de celle des hommes de la Terre et certaines attitudes peuvent être douloureuses aux yeux des OEMII de la Terre.
Elles peuvent paraitre peu délicates, incompréhensives, sévères et même grossières quand en réalité la motivation occulte qui est à leur origine n’a pas de caractéristiques offensives.
Si certaines de nos attitudes sont jugées comme étant sévèrees et strictes, cela obéit en réalité à des motifs d’autodéfense. N’oubliez pas que nous sommes dans un terrain étranger et même hostile, dans lequel toutes les précautions doivent être prises avec une discipline absolue.
Nous demandons seulement, aux hommes de la Terre que nous connaissons, des faveurs qu’ils peuvent nous rendre sans efforts énormes.
Mon frère DEII 98, fils de DEII 97, arrive à Madrid le 22 janvier 1967.
Comme il est autorisé à avoir des conversations téléphoniques avec les hommes de nationalité espagnole, il vous appellera pour connaître votre réponse.
Dictée par IEREE 86, fils de IEREE 82,
Soumis à UADAA 5, fils de OI 74,
à Santiago du Chili.
Soumis à YUU I, fille de AIIM 368.
D55
UMMOAELEWE
LANGUE: ESPAGNOL
Nombre de copies: I
DOCUMENT SEMI-CONFIDENTIEL.
Monsieur Fernondo Sesma Manzano
MADRID, ESPAGNOL.
Monsieur,
Nous avons été les témoins acoustiques de vos dernières conférences.
Nous avons pu vérifier avec beaucoup de tristesse que notre supplique ( les jours oè vous parlez de notre civilisation, nous vous avions demandé de ne pas mentionner les autres expériences – respectables – que vous avez eues), n’a pas été entièrement entendue.
Nous savons que les êtres humains sont volubiles et que dans vos actes il n’y a pas de mauvaise foi ni de désir de ne pas respecter vos anciennes promesses, mais plutôt un oubli et des lueurs d’instabilité spirituelle provoquées par un immense amour de ces expériences, ainsi qu’un désir comphéhensible dans une structure mentale comme la vôtre pour une civilisation aussi rationelle que la nôtre.
Nous ne vous le reprochons pas. Votre bonne volonté envers nous demeure intacte. Nous respectons bien sûr vos points de vue concernant le fait que le Réseau Social Terrestre ne pourra adopter le modèle Social de UMMO. Critère que nous partageons en partie seulement.
La suspension des envois a été motivée par deux raisons.
En premier lieu, tout le temps que vous continuerez à rompre le compromis dont nous avons parlé précédemment, nous ne pouvons pas continuer à vous envoyer des documents.
C’est une mesure de défense de non de vengeance car vous êtes libres d’orienter vos réunion selon votre critère. Et donc n’en concluez pas que nous sommes fachés.
Vous pouvez reprendre les contacts avec nous quand vous le désirerez, nous vous demandons seulement de respecter notre demande. Il suffirait qu’à la fin de la réunion consacrée à UMMO, vous spécifiez clairement que la suite sera consacrée à une thématique différente.
Si vous n’acceptez même pas celà, il est clair que la rupture ne sera pas provoquée par nous par nous, c’est vous qui ne voulez plus avoir de relations avec nous.
En second lieu, ces jours-ci se sont produits certains faits qui nous ont obligé à couper temporairement les contacts avec TOUS les correspondants d’EUROPE et d’AUSTRALIE.
De toutes façons, votre attitude est compréhensible, vous pouvez être en désaccord avec les supposés sociologues, scientifiques ou philosophes qui sont parmi vos amis et continuer cependant à cultiver les liens spirituels qui vous unissent à eux, surtout quand ce qu’ils vous demande en échange n’est pas en rupture avec vos propres idées ; simplement une petite concession passive, concession qui vous a paru raisonnable et qui ne constitue aucun mystère et ne représente aucun préjudice à l’encombre de vos autres amis.
Mais enfin; l’homme doit être libre de ses actes et nous ne désirons pas qu’il en soit autrement. Quelque soit votre décision, sachez que ces amis originaires d’un autre Astre lointain auront toujours pour vous le même respect et amour.
Ne considérez pas que le fait de vous indiquer que vous êtes l’un des rares OEMII que nous ayons trouvé sur cette Planète à aimer les véritables valeurs spirituelles et qui soit un fervent admirateur des êtres qui peuplent le Cosmos, représente une adulation envers vous. Nous vous comprenons. En réalité vous aimeriez que l’image que nous vous avons donné de UMMO soit plus pure, plus mystérieuse, moins rationnelle, moins logique.
Mais nous ne sommes pas responsables d’être ainsi.
D’autre part vous devez rejeter ce faux argument que vous vous êtes forgé en imaginant que nous sommes un peuple privé de libertés, étroitement canalisé par des normes logiques très dures, tenaillés par les postulats d’une froide technique et exempts de la richesse chromatique de présente la Terre. Ce dernier point est vrai par rapport à la Terre mais pas tant que vous le croyez.
De toutes manières, nous sentons que nous vous avons blessé avec nos idées qui sont peut-être en totale contradiction avec les vôtres .
Nous n’avons jamais voulu vous humilier.
Frère Sesma: Pouvons nous vous appeler ainsi ? Pour toujours ?
Si vous désirez interrompre les contacts dites le lors de la réunion.
Nous comprendrons que vous êtes là de cette expérience.
S’il il n’en est pas ainsi, dès que nous aurons vérifié que les deux ou trois réunions suivantes concernant uniquement UMMO, nous continuerons notre série de rapports.
Et ne craignez pas d’être en désaccord avec nos idées.
Votre esprit d’indépendance nous plait. Il ne nous gêne absolument pas.
D56
UMMOAELEWE
Nombre de copies: I
Langue: Espagnol
(CONFIDENTIEL)
À Fernando Sesma Manzano
MADRID.
Monsieur,
Aujourd’hui je désire personnellement vous dicter cette lettre. En ce qui me concerne, nous avons si souvent parlé au téléphone que je ne crois pas me tromper en affirmant qu’il existe entre nous un courant d’affection mutuelle.
Je suis moins adroit en espagnol que mon frère qui est sous mes ordres, mais en plus, ma simple volonté pleine de cordialité remplacera avantageusement l’indigence de mon vocabulaire.
Bien mon ami, j’ai été attristé en observant dans le timbre de votre voix une certaine amertume car vous pensez que nous vous vous avons abandonné pour une petite transgression de votre part.
Non: Nous n’allons pas le faire. Il est certain que par discipline (celà n’a jamais été un chatiment) nous limitons les communications téléphoniques tant que vous n’avez pas prouvé votre bonne volonté. Déja, dans la dernière réunion nous avons observé votre geste ; vous avez moins fait allusion à ces expériences.
Mais vous êtes injuste avec nous, Sesma. Nous n’avons pas exigé que vous cessiez d’y croire, nous comprenons le profond intérêt que vous ressentez pour Saliano et pour ses enseignements.
Nous ne vous mettrons jamais le dos au mur, selon l’expression consacrée.
Nous ne vous avons jamais demandé de marquer une préférence pour nous, et de cesser de vous référer à lui. Nous vous demandons seulement d’utiliser des jours et des heures différentes quand vous avez la gentillesse de faire référence à notre enseignement.
Adieu, Ami. Nous n’utilisons jamais cette formule de séparation et je désire beaucoup que vous l’interprétiez dans le sens de « jusqu’à demain ». Je pense que l’on m’autorisera bientôt à parler avec vous.
J’arrète de dicter à mon frère qui va mettre plus au clair des idées que je n’arrive pas à exprimer sans difficultés.
Dicté par DEEI 98, fils de DEII 97.
Il ne nous reste pas grand chose à nous dire, Sesma. Nous sommes vraiment profondément sincères quand nous vous disons que vous êtes l’une des rares personnes de votre Planète à avoir accepté avec courage, sans tenir comtpe des critiques de ceux qui vous entourent, la version de notre identité; et nous devions donc ressentir une véritable affection pour vous.
C’est pour cela que votre dernière étape de regression nous attrista. Ce furent tout d’abord des allusions de votre part disant que vous étiez moins enthousiasmé par cette expérience.
Ensuite votre refus d’accepter la supplique que nous avons formulé concernant le fait de vous abstenir de mentionner vos expériences antérieures pendant que vous parliez de nous.
Et enfin un doute exprimé devant tous concernant notre entrevue ratée avec Monsieur Gran à qui nous avons effectivement envoyé une lettre, car nous n’avions pu avoir avec lui un contact téléphonique.
Nous reconnaissons que ce dernier point n’avait pas beaucoup d’importance même si nous pouvions le traduire comme symptôme d’un état d’esprit envers nous beaucoup plus froid.
Nous avons donc essayé d’interpréter vos désirs, avec tristesse, mais aussi avec respect malgré votre apathie, et nous nous sommes retirés progressivement pensant que ce contact avec nous ne vous intéréssait plus.
De plus nous sommes persuadés que vous avez été si honnète et discret que vous n’avez pas osé le dire ouvertement.
N’interpréter pas ceci comme une Sanction,Sesma.
Ceci constituerait une cruauté gratuite envers vous. Nous attendons votre geste noble et ouvert. Nous n’exigeons pas que vous rompiez avec vos amis ou que vous soyez à cheval entre deux chaises. De plus si quelqu’un doit se trouver dans cette situation, il vaut mieux que ce soit nous.
Si vous avez une véritable affinité envers Sazliano, envers ses idées, envers sa personnalité énigmatique, soyez fidèle. Consacrez lui la majorité de votre temps, consacrez lui, si vous le désirez 100% des heures que vous passez avec vos amis de la Société. Nous vous demandons seulement de leur indiquer les jours consacrés à ces rapports. Ne l’interprétez pas comme un discrédit pour Saliano, les raisons sont simples: nous désirons éviter toute confusion.
Soyez sincère Sesma: ayez le courage de faire un sondage anonyme auprès des membres du groupe. Au moins celà vous servira pour savoir ce que pensent les gens et vous pourrez alors adopter une décision. N’oubliez pas que nous avons entendu des conversations pleines de critiques à votre égard car vous vous montriez mystérieux dans vos discours. Apprenez aussi à écouter, n’oubliez pas que de nombreuses personnes n’ont pas de facilités pour s’exprimer, pour énoncer leur point de vue à haute voix. Et de vérité en vérité, nous vous affirmons qu’il vous est possible de concilier votre affinité envers nous et envers les autres groupes et personnes.
Ne vous torturez pas l’esprit à penser le contraire.
Nous vous répétons solennelement, même si vous cherchez des raisons pour prouver le contraire, QUE NOUS N’AVONS AUCUN LIEN CONNU AVEC SALIANO ET SES GROUPES.
Si malgré tout, vous croyez voir dans certains chiffrs, mots ou symbôles, une signification occulte d’affinité, nous respecterons votre critère SANS LE PARTAGER.
Sesma: nous allons continuer à vous envoyer des rapports. IL serait peut-être opportun de respecter votre trêve estivale, vous n’avez qu’à l’exprimer à haute voix lors de la prochaine réunion.
Dites nous aussi ce que vous comtez faire concernant le partage des jours et des heures, pendant ce temps vous continuerez à recevoir des rapports.
Nous pensons qu’avec un peu de bonne volonté de votre part, nous pourrons reprendre les communications téléphoniques après l’autorisation de notre Soeur.
Nous sommes conscient que vous avez accompli jusqu’à maintenant certains compromis. Nous nous rendonc compte que votre petite transgression a été presque involontaire et provoquée par la sincère affinité que vous éprouvez pour Saliano et qu’en réalité, vous n’avez pas voulu nous blesser ou nous discréditer.
Nous vous demandons de rendre à D.Dionisio Garrido sa photographie en lui exprimant, au risque de nous répéter, nos plus sincères remerciements.
Nous avons observé chez ce monsieur, un intérêt extraordinaire envers nous.
Nous voulons lui envoyer quelques documents à condition qu’il vous en fasse parvenir la copie pour une lecture ultérieure et une diffusion si vous le jugez nécéssaire.
Enfin nous vous demandons d’être compréhensif au niveau de la ligne générale de notre étude.
Vous comprenez que tout cela ne peut être résumé en quelques douzaines de pages: Nous sommes loin d’avoir terminé. N’importe quel livre élémentaire de votre Planète est plus étendu. Nous ne pouvons ni ne devons condenser des idées qui sont déja résumées. S’il vous plait, faites le comprendre aux plus intelligents. Les autres ne le comprendront pas car ils ignorent le temps qui est nécéssaire pour assimiler une véritable formation.
Le fait de continuer ou non dépend plus de VOUS que de NOUS. Nous n’avons jamais eu l’intention de cesser l’envoi de ces rapports si ce n’est pour obéir aux ordres de nôtre Supérieure.
Nous devons reconnaitre que cette fois ci nous avons eu de sa part une réaction plutôt drastique.
Enfin nous sommes heureux de constater qu’elle n’a pas pris très au sérieux votre petite faute; au contraire, elle s’est montrée très compréhensive.
D57
Référence : | D57 |
Titre : | Annales historiques d’UMMO sur Terre Cosmologie selon UMMO Concept de changement de dimension L’Espace dans la physique d’Ummo |
Destinataire(s) et date(s) : | Villagrasa le 23/01/1967 |
Commentaires : | Plusieurs lettres concaténées |
UMMOAELEWE
Langue : Français – N° de copies : 2
Langue : Espagnol – N° de copies : 4
(Indication réception: 23-1-1967)
Hommes de la Terre :
Le 5 mai 1965, deux de nos correspondants en Allemagne et trois aux États-Unis, ont reçu un rapport rédigé en termes semblables à celui que nous avons l’honneur de vous remettre dans ces feuilles dactylographiées.
Comme tout au long de ces derniers mois, vous et cinq autres hommes d’Espagne et de France, nous avez suggéré, par téléphone, l’envoi de notes qui résument l’histoire de notre arrivée sur la Planète Terre, nous avons cru intéressant de vous faire un résumé des premières vicissitudes endurées par le premier groupe d’explorateurs arrivé de notre Planète sur la Terre.
PREMIER CONTACT AVEC LA PLANETE TERRE
Avant tout, nous devons vous avertir de l’existence de difficultés d’ordre technique et scientifique pour l’identification de dates et instants de temps entre deux points de notre Univers. De nombreux physiciens de la Terre n’ignorent pas que le fait d’identifier un instant (t) sur la Terre avec un autre instant (t’) écoulé en un point de notre même Galaxie, n’a pas de sens. Ainsi quand nous nous referons à un intervalle D t équivalent sur cette Planète à deux ans par exemple, il serait aberrant, et cela constituerait une erreur en fonction de la physique actuelle, de supposer cohérent et simultané un autre intervalle semblable sur notre Astre « UMMO ».
Mais comme ce rapport est purement historique et comme il n’est pas destiné à des experts en Cosmologie et en Physique Relativiste, nous utiliserons un langage conventionnel qui, bien que manquant de rigueur scientifique, rendra plus intelligible le récit. Ainsi, quand tout au long de nos paragraphes nous utiliserons des expressions comme « deux ans avant » , vous ne devez pas seulement supposer que le mot « ANNÉE » est une unité Terrestre de Temps, mais aussi supposer que ces deux années qui se sont écoulées sur UMMO sont simultanées à deux autres vécues par vous sur la Planète TERRE.
UNITÉ PHYSIQUE DU TEMPS « UIW » . Son équivalent terrestre est de 3,092 minutes. Nous le définissons comme l’intervalle de Temps écoulé jusqu’à ce que le WAELEUIE UOAD [L] (appelé par vous Isotope C du Thorium ) réduise sa masse de 50% de sa valeur. (ndt: L’ex « thorium C » ou 208Ti a en effet une demi-vie de 3,1 min.)
TEMPS DE ROTATION DE UMMO : (Approximativement de 600 UIW) c’est-à-dire 30,9 heures.
TEMPS DE TRANSLATION de UMMO autour de IUMMA. Nous la divisons en XEE ( 18 XEE ). Un XEE= 60 jours ou rotations de UMMO. Le XEE est pour nous ce qu’est l’ANNEE pour les Terrestres.
A des fins pratiques vous pouvez supposer que un AN TERRESTRE équivaudrait, si nous faisions abstractions de son caractère d’ASIMULTANÉITÉ, à 4,72186 « Années de UMMO ou XEE ».
UNITÉ PHYSIQUE DE LONGUEUR: Le ENMOO équivaut à 1,874 mètres terrestres.
UNITÉ DE DISTANCE ASTRONOMIQUE : Le UALI . Son équivalent par rapport aux unités terrestres est de 12 élevé à la puissance 4,3 années-lumière.
UNITÉ DE FRÉQUENCE ( En phénomènes périodiques): C’est le » xii « , dont la traduction présente diverses acceptions car ce mot représente non seulement le JOUR de UMMO mais aussi la rotation d’une roue ou le cycle par unité de Temps.
——————————————————–
Deux ans (Années terrestres) avant le 28 mars 1950, notre Centrale de XANMODAIUVAA de la région de UIIOGAA IXIOGAA , capta une émission radioélectrique de très faible niveau de fréquence (413,43877 mégacycles par seconde) provenant du groupe stellaire galactique codifié par nous comme . C’est un des centres Automatiques de notre planète chargé de l’exploration des signaux provenant de notre Galaxie, signaux qui peuvent être de Nature Électromagnétique ou Lumineuse, mais aussi des trains d’Ondes Gravitationnelles (Dont vous ignorez pratiquement les techniques de Génération et d’Émission, mais utilisés largement par d’autres Civilisations en plus de UMMO).
La durée des signaux captés fut infime, 2,21 UIW (6,83 minutes), et étaient composées d’impulsions courtes et d’impulsions longues. Nous avons su par la suite qu’il s’agissait du code terrestre MORSE. Mais nos techniciens l’interprétèrent comme un code binaire (point = zéro, trait = un). Cette erreur provoqua une traduction incorrecte du message car de nombreuses interprétations étant possibles, la plus correcte et la plus cohérente semblait être l’expression analytique de l’équation qui représente mathématiquement quatre points orthogonaux sur un plan. C’est à dire: un carré. C’est pour cela que la présumé Planète d’où étaient issus les signaux fut baptisée avec le mot « OYAGAA » (dont la traduction est: Astre Froid du Carré).
Il nous fut facile (En utilisant notre Système de référence de Coordonnées Galactiques) de situer le point approximatif d’où était partie l’émission. La OOYIA (Étoile naine) d’où provenait le signal était parfaitement visible, (LE SOLEIL; de votre système). De plus nous étions certains qu’au moins quatre Planètes (OOYAA) tournaient autour de celui-ci, codifiées par nous comme :
OOYAA , OOYAA , OOYAA , OOYAA
La première correspond à NEPTUNE, la seconde à SATURNE, la troisième à JUPITER et la quatrième, à cause d’une erreur compréhensible dans nos calculs, correspond au groupe formé par VENUS et MERCURE, car l’existence de tels astres froids était seulement déductible en fonction des altérations observées sur l’OOYIA (SOLEIL). A partir de UMMO, il est impossible de contempler optiquement un astre froid de cette dimension à plus de 6 années lumière.
Jusqu’alors on n’avait pas fait attention à votre SOLEIL, tout simplement parce que l’on n’avait jamais reçu de ce point le moindre signal d’Ondes Électromagnétiques ou gravitationnelles ce qui fait que nos spécialistes présumaient l’inhabitabilité de ce groupe planétaire.
La nouvelle fut reçue avec intérêt par notre communauté et avec surprise par nos techniciens; l’étape suivante fut de spéculer sur les rares données non exemptes de larges marges d’erreur autour de la probabilité de chacun de ces quatre OOYAA cités de ce système planétaire, de présenter des possibilités d’identification avec le récent centre émetteur OOYAGAA (Planète » carré »). Certains de nos spécialistes en spéculant sur la raison de l’émission du message se référant à cette figure géométrique, supposèrent qu’il obéissait à la simple raison d’employer un Code interplanétaire à base de figures géométriques simples.
A cette époque là, nos techniciens avaient calculé ainsi les masses probables de ces quatre Planètes Solaires :
OOYAA… (identifiée aujourd’hui comme NEPTUNE) : 52.1024 oobo
OOYAA… (probablement SATURNE) : 286.1024 OOBO
OOYAA… (identifiée aujourd’hui comme JUPITER): 940.1024 OOBO
OOYAA … (Cette planète n’existe pas, sa déduction se fit en partant des influences gravitationnelles de MERCURE et de VENUS): masse estimée: 2,6.1024 OOBOO.
(Un OOBO – Unité de Masse- équivaut à 1,733 kilogrammes-masse)
On pouvait donc écarter les trois premières Planètes dont la masse paraissait excessive pour abriter les êtres biologiquement humains. Les températures de celles-ci (comme on a pu le vérifier par la suite) ne paraissaient pas non plus être les plus aptes pour le développement biogénétique des êtres pluricellulaires organiques.
Comme vous avez pu le constater tout au long des paragraphes précédents, les erreurs de nuances en analysant l’épisode de réception de ce message furent assez graves.
En arrivant sur TERRE, nous avons eu conscience de toutes ces erreurs compréhensibles. En premier lieu, nous avons pu éclaircir la véritable origine du signal. Il ne s’agissait pas, comme nous le croyions, d’un message interplanétaire envoyé par une Civilisation Terrestre, mais d’un fragment de conversation codé envoyé par un navire de nationalité Norvégienne qui, entre le 4 et le 8 février 1934 émit ce message quand il se dirigeait vers Terre Neuve. Des scientifiques de cette nationalité experts en électronique, appelée alors TSF, essayaient des équipements de haute fréquence pour démontrer la viabilité des communications par réflexion ionosphérique. (A ce moment-là vous ne connaissiez pas encore des techniques qui sont maintenant familières aux ingénieurs terrestres). Une partie du signal arriva par hasard jusqu’à notre Planète.
L’émission mit 14 ans pour arriver sur UMMO, car les ondes électromagnétiques se propagent par une géodésique qui, considérée dans l’espace à trois dimensions, est une ligne droite.
Immédiatement notre UMMOALEWE ( nous appelons ainsi notre Conseil ou Gouvernement Central composé de trois personnes) ordonna la mise en place d’études pour l’exploration directe de ce système planétaire. Le processus que nos spécialistes en WADOOXOAA OEMM(on pourrait le traduire comme le Déplacement entre les Astres) doivent suivre pour une de ces explorations transcendantales, présente une complexité inimaginable pour vous.
En premier lieu la Distance mesurée dans l’espace temps tridimensionnel classique est si énorme que dès le départ on rejette toute tentative de réaliser le voyage sur l’axe « droit » qui sépare les deux planètes. Un vaisseau qui atteindrait même cent dix huit mille kilomètres seconde (vitesse maximum conseillée pour ces déplacements) et qui se dirigerait sur la trajectoire supposée droite que suit la lumière jusqu’à cette Planète, mettrait plus de trente cinq ans à arriver.
Et même si l’on pouvait résoudre le problème ardu qui consiste à posséder une source énergétique suffisamment puissante pour accélérer le vaisseau jusqu’à une vitesse proche de celle de la lumière, dans laquelle le véhicule augmenterait sa masse relative jusqu’à une valeur fabuleuse, quatorze ans de voyage représentent une durée excessive pour un groupe d’explorateurs.
Il est très difficile de vous expliquer le système utilisé par notre Science et Technique pour résoudre le problème, mais nous allons essayer de vous le résumer en quelques paragraphes.
En premier lieu nos frères spécialisés en Cosmologie savent depuis longtemps que le WAAM (Traduisez par Univers) n’est pas simplement un espace continu de quatre dimensions (Les trois dimensions classiques plus le TEMPS). Le WAAM réel est un complexe pluridimensionnel, nous n’en connaissons seulement que dix dimensions.
Bien que vous puissiez imaginer que nos sens ont seulement accès à TROIS de ces dimensions (ESPACE PSYCHOLOGIQUE) et au Temps, ceci obéit à une simple évaluation faussée du concept psychologique de PERCEPTION. Le monde extérieur que nous connaissons est une illusion élaborée par notre Cerveau. Quand une fréquence électromagnétique nous apparaît comme une belle couleur, si sa valeur baisse (exprimé en cycles/seconde), elle est alors captée par nos organes nerveux en reproduisant une sensation totalement différente: « LA CHALEUR ». Ainsi l es différentes dimensions de la Nature apparaissent camouflées avec des perceptions différentes (Ainsi ce que nous appelons masse est en réalité la perception illusoire d’un autre groupe de dimensions).
En étudiant la véritable nature des corpuscules ou entités que vous appelez PROTONS, MÉSONS, NEUTRINO, ÉLECTRONS, etc, , nous avons découvert qu’en réalité il s’agissait de petites déformations de l’Espace appelé à tort Tridimentionnel, dans l’axe d’autres dimensions. Imaginez un drap étendu; ceci serait la comparaison de l’Espace Tridimentionnel que nous appellerions vide. Si maintenant nous faisons un petit creux ou déformation dans le drap, ce creux pourra représenter la masse du proton ou parfois du MUON en fonction de l’axe dans lequel s’est exercée la déformation, comme la grandeur ou profondeur du creux.
Ainsi, si vous vous situez en regardant le drap par une face, vous verrez une concavité (PROTON) mais si vous le regardez à l’envers, vous l’interprèterez comme une convexité ou protubérance (ANTIPROTON). De plus si vous situez vos axes à partir de différentes perspectives, cette déformation peut vous paraître plus ou moins oblique, c’est à dire exercée en différents axes ou dimensions, vous semblant être telle fois un « NEUTRON » et telle autre fois ce que vous appelez Particules subatomiques.
En un mot l’interprétation d’une telle particule dépendra du système de référence dans lequel se situe l’observateur. Ceci est la raison pour laquelle les Physiciens de la Terre sont si perplexes en découvrant des centaines de corpuscules atomiques dont la série ne semble pas avoir de fin. En réalité vous être en train de poursuivre des fantasmes. Quelque chose comme si vous essayiez de classer les multiples reflets projetés sur les murs par un simple cristal polyédrique frappé par la lumière du Soleil.
( Ceci n’est pas une critique de la recherche Terrestre dans le domaine de la Physique Quantique et Nucléaire quand vous analysez les différentes caractéristiques de ces corpuscules, mais tout simplement du fait que vous les considérez comme des entités différentes).
C’est bien la permutation d’un corpuscule en un autre, chose que vous avez déjà observé selon nos informations, mais que vous ne savez pas encore contrôler. Ce n’est ni plus ni moins qu’un « CHANGEMENT D’AXE » c’est à dire UN CHANGEMENT DE DIMENSION. Quand la MASSE d’un PROTON par exemple disparaît devant vous pour se convertir en ÉNERGIE, ce qui est arrivé en réalité c’est que son AXE a subi un tour de 90 degrés AXIALEMENT à une dimension classique de l’Espace. Mais ceci est valable pour VOUS et votre SYSTEME de RÉFÉRENCE car pour un autre observateur situé depuis la perspective de la Quatrième, Cinquième ou Sixième dimension, ce qu’il observera est précisément le phénomène contraire, que l’Énergie se concentre pour former une particule qu’il appellera aussi « PROTON ».
En réalité vous êtes en train de vivre dans vos laboratoires de Physique ce qui a tant été rêvé aussi bien par les physiciens terrestres que par les auteurs de science-fiction: c’est-à-dire le passage à la quatrième Dimension. (Un peu comme cette phrase que vous utilisez si judicieusement: » Parler en prose sans le savoir »). Au moment où vous réussirez à contrôler, comme nous l’avons fait, l’inversion homogène de toutes les sous particules du corps humain ou d’un objet quelconque, ceci devra être interprété comme le passage d’un système référentiel de l’espace tridimensionnel à un autre également tridimensionnel mais distinct du premier. En réalité c’est moins fantastique que ce que vous pouvez imaginer et à partir de là, différent de tout ce qui a été rêvé par les écrivains futuristes de la Planète Terre.
Il faut vous expliquer un troisième concept pour que vous puissiez comprendre le principe de nos VOYAGES à travers la Galaxie. L’espace qui sépare les différentes accumulations galactiques du WAAM (COSMOS) ne doit pas être interprété avec la comparaison simpliste d’un drap étendu et plat, mais plutôt avec ce même drap ondulant au vent, ondulations qui, si nous sommes logiques avec cette image didactique, se produisent dans une quatrième, cinquième, etc. ..dimension. (L’origine de telles ondulations est EXTRA COSMOLOGIQUE, produite par un WAAM (COSMOS) jumeau, mais ceci est le moins important dans cette explication. Ce qui est sûr, c’est qu’elles se produisent et qu’elles facilitent les voyages extra planétaires, même si cela peut vous paraître étonnant. Imaginez deux tâches d’encre situées sur le drap à 10 cm de distance. Ceci serait la trajectoire que devrait suivre un astronef, ou la lumière, qui partirait de la première tâche jusqu’à la seconde.
Si maintenant je plie le drap suivant un axe qui coupe perpendiculairement le plan médian de la distance qui sépare les deux tâches, il est certain qu’en plus de cette distance (celle que les mathématiciens appellent Géodésique) il en existera une autre plus courte qui, en sortant de la surface du drap, traverse l’espace aérien qui sépare ces deux points.
De plus vous pouvez observer qu’une telle distance est axiale par rapport à une distance qui tombe en dehors de l’Espace Tridimensionnel représenté par le tissu du drap. L’unique voie pour réussir à nous situer dans un cadre tridimensionnel de référence qui ne soit pas celui de la propre toile du drap qui nous sert d’exemple, sera d’orienter nos propres corpuscules subatomiques vers un axe différent; exprimé en langage physique de la TERRE: permuter les particules subatomiques avec un contrôle homogène et rigoureux.
Pour des raisons évidentes, nous ne pouvons vous expliquer aucun aspect technique de ce procédé que d’autre part vous n’êtes pas loin d’atteindre bien que nous souhaitions ardemment qu’il soit appliqué beaucoup plus raisonnablement que l’énergie nucléaire.
Dans ces conditions un voyage interstellaire n’est pas quelque chose que nous puissions faire à notre guise. Il dépend, comme vous avez pu le comprendre, de ce que nous appelons les CONDITIONS « USAAGIXOO » (isodynamiques) de l’espace. Exprimés sous une forme compréhensible pour vous, que les Plis de l’Espace permettent le rapprochement de deux astres de manière telle que le voyage soit possible.
Mais ces ondulations ou plis de l’espace sont apériodiques, ils ne subissent pas une loi déterminée. On peut les prévoir à court terme mais avec de grandes marges d’erreur. Par exemple en ce moment (janvier 1967) nous savons que l’un de ces intervalles favorables approche; (la marge d’erreur s’étend de décembre à mars des deux années 1966-1967).
Les prédictions et leur technique sont plus difficiles que ce que peuvent être pour vous celles de type météorologique ou bien des tâches et des tempêtes solaires car de telles perturbations n’obéissent à aucune loi connue et malheureusement leur source est le UWAN (signifie l’Anticosmos) et elle ne nous est pas accessible dans l’absolu.
Néanmoins le voyage fut rapidement possible. Après 193 XII (un xii est une rotation ou « JOUR » de UMMO), les conditions furent favorables pour la première exploration; vingt quatre hommes partirent pour ce Système Planétaire à l’intérieur de deux OAUOLEEA UEUA OEMM (c’est ainsi que nous nommons les véhicules de forme lenticulaire qui se déplacent en dehors de notre atmosphère).
Comme nous continuerons à vous le relater dans le prochain rapport, ce voyage fut essentiellement exploratoire et le premier objectif couvert fut NEPTUNE, ensuite la planète MARS et enfin la TERRE mais nos frères n’atterrirent pas encore sur cette Planète.
Les notes que nous vous enverrons relateront les vicissitudes encourues par le second groupe qui a atterri près de la ville de DIGNE (France), le 28 mars 1950, en étant confronté à une Civilisation dont nous ignorions le langage et les techniques les plus fondamentales. Le processus d’apprentissage, les angoissantes méthodes de défense improvisées les premiers jours pour ne pas tomber aux mains des autorités françaises, les motifs qui nous amenèrent à enfreindre vos lois en recourant au vol pour obtenir du papier monnaie (argent qui fut restitué par la suite), tout cela mérite sans doute d’être dit pour fonder une première tentative d’élaboration des premières relations entre les deux Planètes.
PREMIÈRE ARRIVÉE A PROXIMITÉ DE LA TERRE.
Le 7 janvier 1949, après l’exploration des planètes NEPTUNE et MARS par nos frères déplacés dans deux OAUOLEA UEUA OEMM (NEFS SPATIALES), celles-ci arrivent à proximité d’une nouvelle OOYAGAA pourvue d’une atmosphère beaucoup plus dense que celle enregistrée sur l’astre précédent. La première exploration fut réalisée en orbite hélicoïdale sur une trajectoire elliptique dont le périgée était distant de 337 kilomètres de la Terre et l’apogée de 398 kilomètres.
Durant l’exploration de Neptune on avait déjà reçu une grande gamme d’émissions radioélectriques de la Terre qui permit à nos frères d’identifier cette Planète. La présence de vie supérieure sur celle-ci était donc évidente. Aucune autre source d’émission ne fut identifiée et l’on en déduisit raisonnablement que le reste des OYAA (ASTRES FROIDS) liés gravitationnellement au OOYIA (appelé par vous SOLEIL), n’avaient pas de formes biologiques intelligentes ou tout au moins dotées de techniques développées. Ce dernier raisonnement amena les explorateurs à se diriger vers une OYAA qu’ils codifièrent avec la dénomination (que vous connaissez sous le nom de MARS). Ce premier examen réalisé à une hauteur de 290 KOAE . (Un KOAE équivaut à 8,7 kilomètres approximativement ) (soit: 2592,6 kms), révéla l’absence d’une atmosphère suffisamment dense pour permettre le développement extérieur d’êtres pluricellulaires complexes. Les trous de multiples impacts de météorites et la structure cristalline du sol étudiée par nos instruments de sondage à distance, révélèrent l’absence d’une vie bactériologiquement active et productrice de la décomposition du sol, tout au moins dans les petites zones qui ont été explorées. Postérieurement nous avons découvert sur cette OYAA non seulement des formes protéiques et aminoacidées mais aussi des êtres unicellulaires et pluricellulaires végétaux simples. (Vous ne tarderez pas à les découvrir).
Le programme strict d’examen de cette OYAA habitée commença à être mis en application. Avant tout la rationalisation des mesures pour la fuite en cas d’attaque nous obligea à maintenir une très grande vitesse de translation qui nuisait à la précision des observations. Il semblait évident que le OOYAGAA (Astre Carré) enregistré par notre UMMO était précisément celui que nous étions en train d’analyser (Je m’explique au pluriel en me référant à mes frères car moi j’étais sur UMMO).
Nous savions que si vous aviez atteint un certain degré de civilisation, vous détecteriez instantanément notre présence. Au cas où cette présomption serait fausse, s’imposerait alors le critère de ne pas manifester ostensiblement notre présence. Si nous désirons étudier une Civilisation dans toute sa pureté, notre présence devrait éviter de provoquer des perturbations sociales, des dynamismes anormaux dans les moyens techniques de défense, détection et interception ainsi que de sérieuses perturbations dans les moyens de communication relatifs au probable réseau d’informations. Un réseau social ainsi déformé ou perturbé par la présence d’êtres étrangers ne peut être étudié analytiquement dans toute sa pureté. Vous trouverez une comparaison avec un spécialiste des bactériologies qui désire par exemple étudier une nouvelle souche d’espiroquetas (?). Il ne devra pas perturber le bouillon de culture avec de nouveaux germes qui altèreraient le processus biologique des premiers. S’il le faisait, devant le champ de son microscope, les formes élémentaires de conduite de ces microorganismes seraient anormales.
OBSERVATION
C’est pour cette unique raison que notre présence parmi vous est officieuse : quelques personnes avec qui nous avons un contact, surtout de nationalité nord-américaine et australienne, nous demandent souvent et ingénument pourquoi nous ne nous faisons pas connaître officiellement.
Il est curieux de constater que parmi celles-ci, il y a des hommes terrestres qui avec leur érudition et leur formation scientifique, devraient eux-mêmes comprendre les causes réelles qui nous obligent à nous inhiber. Nous croyions à ce moment là que vous seriez plus conséquents. Nous comprenons que l’homme moyen de le Terre peu doté de facultés intellectuelles maintienne l’hypothèse stupide que: aussi bien nous que d’autres présumées visiteurs galactiques devrions nous présenter avec un de UEUA OEMM (soucoupes volantes) en plein milieu d’une grande place de New-York, vêtus d’une combinaison argentée et avec un fusil de rayons meurtriers comme dans les nouvelles de Science-fiction. C’est dire si vous nous jugez désireux d’une absurde popularité. Votre raisonnement embryonnaire et primitif parait être celui-ci: » Si ces êtres proviennent d’un autre astre, pourquoi ne se font-ils pas connaître et pourquoi ne le démontrent-ils pas ? » Un quelconque expert en philosophie terrestre ce sophisme « répétions de principe ».
Nous, ( et nous présumons qu’il en est de même pour d’autres visiteurs qui peuvent être parmi vous) nous n’avons absolument aucun intérêt que le réseau social terrestre soit absolument certain de notre présence.
Dès le début nos frères adoptèrent des précautions pour passer totalement inaperçus. Au fur et à mesure que nous étions en train de nous imprégner de votre culture et de connaître les lois de la psychologie sociale terrestre, nous nous rendions compte que la révélation de notre présence faite à quelques personnes ne serait pas dangereuse car les autres membres de la société réagiraient avec incrédulité et c’est ce qui s’est effectivement produit. Croyez-vous que s’il en était autrement, nous aurions pris le risque de nous mettre en contact avec vous? Et même trois personnes de profession publiciste, avec qui nous maintenons des conversations, ont publié nos récits ( dans trois journaux ou revues de Pologne, Espagne et Canada) et logiquement leurs lecteurs ont adopté la naturelle posture sceptique que nous espérions.
Ainsi une telle attitude serait modifiée et nous nous présenterions ostensiblement, en apportant des preuves de notre identité, devant la presse terrestre, et les organismes techniques gouvernementaux ou internationaux. Posture que nous ne pensons absolument pas adopter pour l’instant.
De cette manière nous avons pu couvrir deux objectifs. Un contact direct avec un groupe d’habitants terrestres pour échanger des faits concernant nos mutuelles civilisations, en évitant de perturber le reste de la société terrestre qui demeure en marge d’une situation qu’il juge légendaire à cause de son insuffisance de preuves.
Nous n’avons malheureusement pas pu atteindre notre second objectif. Passer inaperçus face aux organismes techniques d’États; États-Unis, France, Angleterre, Union Soviétique et nous pensons avec raison que l’Italie, l’Allemagne et la République Argentine ont conscience notre présence et qu’ils se montrent préoccupés même si officieusement nous leur avons démontré que leurs craintes n’étaient pas fondées. Par rapport au fait que la connaissance d’une telle situation peut provoquer des réactions d’anxiété et de panique dans la population civile, les chancelleries de ces gouvernements peuvent être rassurées tout au moins en ce qui concerne les frères de UMMO. Nous ne nous ferons pas connaître pour l’instant, car le risque que cela dépasse les quelques scientifiques ou écrivains avec qui nous sommes en contact est NUL, si l’on excepte les quelques personnes avec un esprit critique élevé comprises parmi les familiers et amis de nos correspondants.
Les autres, saturés de préjugés, avec des cadres mentaux étroits et conscients du risque de fraude qui peut s’insinuer dans nos révélations, maintiendront une posture sceptique à outrance.
Pour cela nous vous demandons de ne pas vous montrer excessivement zélés pour divulguer aux personnes de votre entourage la réalité de notre existence. Ainsi on ne vous prendra pas pour un illuminé ou un perturbé mental et votre propre stabilité professionnelle ne sera pas attaquée. A ceux qui sans un premier examen analytique des faits montrent une attitude sceptique se croyant ainsi « intelligents », approuvez-les sans aucun commentaire.
PREMIER EXAMEN VISUEL DE LA COUCHE TERRESTRE PAR NOS FRERES
Les nuages cumulus abondants à cette date sur le continent américain et sud-asiatique, nous empêchèrent d’observer avec netteté le dense réseau de communications (identifié par la suite comme pistes et voies ferrées alors qu’une première identification erronée avait fait penser à des canalisation tubulaires). Ceci nous permit d’évaluer par une première estimation votre degré de civilisation technique (nous n’avons plus depuis longtemps de réseaux routiers). Votre premier aéronef fut détecté à proximité d’un archipel qe nous avons par la suite identifié comme étant les îles Bahamas. L’image fut agandie dans le laboratoire de bord et ses caractéristiques morphologiques furent analysées. Ceci fut le premier élément indicateur du niveau technologique que nous pûmes obtenir. Durant les 86 UIW (Ndt:4 h 25′) que dura l’analyse [on put descendre à une hauteur de 0,62 KOAE (Ndt: 5,394 kms) sur une zone identifiée ensuite comme étant le sud-ouest de la République Helvétique (SUISSE)], on capta des images de centres urbains et industriels ainsi que des nœuds ferrovières, concentration de flore (Forêts et plantations) , structures flottantes sur l’océan Atlantique et des fragments de cours d’eau et de multiples échantillons de gaz atmosphériques à différents niveau d’altitude. Nous conservons encore comme curiosité historique l’image obtenue d’une des rues de la petite ville de MONTREUX (SUISSE) sur laquelle on voyait les premiers individus humains captés par nos équipements. Les traits confus n’empêchèrent pas cependant l’analyse des éléments physiologiques fondamentaux et la morphologie du vêtement.
A cette époque il fut impossible d’étendre l’intervalle d’exploration si vous l’on voulait revenir sur notre « UMMO » avant que les conditions ISODYNAMIQUES de l’espace ne reviennent à une phase défavorable. Pas une seule fois nos UEUA (NEFS) ne prirent contact avec l’écorce terrestre.
(Dans un prochain rapport nous commencerons une synthèse historique de notre second voyage et la descente des premiers frères)
ANALYSE SUR « UMMO » DES DONNÉES RECUEILLIES SUR TERRE
L’impact que produisit sur notre Société la nouvelle de l’identification de la civilisation d’OYAAGAA (votre PLANETE) fut véritablement émouvante.
Nos techniciens se consacrèrent immédiatement à un examen soigneux des éléments objectifs obtenus (échantillons d’air, images optiques, phénomènes captés par voie radioélectrique) ainsi que les rapports subjectifs des frères qui composaient cette première expédition.
Il était nécessaire de nous forger, avec des faits abondants mais sans doute insuffisants, une première image probablement déformée de la structure sociale et du degré de Civilisation.
Cette conception primitive que nous avions eue alors est aujourd’hui très éloignée à la vue de notre perspective actuelle. Mais je désire vous donner à titre de curiosité l’idée que nous avions eue à cette époque de ce que pouvait être la civilisation terrestre. Les erreurs furent nombreuses mais malgré cela l’ébauche réalisée présenta de nombreux points concordants avec la réalité.
En premier lieu on disposait de trois images correspondant à des êtres humains. La première et la plus complète montrait des individus de sexe différent déambulant entre des structures édifiées. L’analyse soigneuse, même si elle empêchait de distinguer les traits faciaux, n’offrait pas de doute d’identification sexuelle grâce à la localisation des seins féminins sur quelques silhouettes. Mais il était impossible de distinguer de petits détails dans l’habillement. Nous découvrîmes également que les YIE (Femme dans notre langue) se caractérisaient par une abondante pilosité crânienne, bien qu’il puisse s’agir d’une quelconque perruque fibreuse sur la tête. Malheureusement quelques images de YIE ( clairement différenciées par le buste), avaient les jambes couvertes comme les hommes, ce qui avait introduit une polémique sur la différenciation des vêtements des deux sexes.
Cette analyse était très importante car nos frères, sélectionnés pour se déplacer jusqu’à la Terre, devaient être pourvus d’EEUE (vêtements) semblables à ceux des Terrestres pour passer inaperçus. Malheureusement, il ne nous fut pas possible de déterminer ni la composition de ceux-ci (nous ne sûmes pas s’il s’agissait de tissus fibreux jusqu’à notre arrivée) ni les détails les plus essentiels de leur confection.
Un second point qui fut très débattu fut celui de la zone la plus apte parmi celles explorées pour la descente de nos frères. Il devait s’agir d’une zone dépeuplée, mais non désertique car sinon tout contact prudent avec les habitants aurait été impossible.
Ceci, de votre point de vue, parait très simple car il suffisait apparemment d’examiner les UULAYA (Images captées) topographiques et ensuite de sélectionner un environnement géographique semi-sauvage. Mais nous ignorions à cette époque si les hommes de la Terre vivaient dans des « fourmilières » souterraines. N’oubliez pas que nous, nous concentrons les villes et les constructions à l’air libre uniquement quand il s’agit de ce que vous appelez zones industrielles. Pendant que le reste vit dispersé dans les XAABI ( maisons émergentes) qui peuvent se replier sous terre. De plus d’autres planètes habités concentrent les êtres humains dans de grandes colonies souterraines. En était-il de même pour cette Ayaggaa ( Planète Terre) ? Les constructions que nous savons aujourd’hui correspondre à vos maisons ont été identifiées au début comme étant des usines. Mais ce qui nous a le plus intrigué, ce furent les images obtenues de longs tubes verticaux situés dans toutes ces constructions, des tuyères situées dans les véhicules que purent capter nos caméras, celles-ci expédiant des vapeurs et aérosols (fumée) de couleur sombre.
Vous ne pouvez imaginer la stupeur que nous causa quelque chose qui vous est familier; l’analyse spectrale de tels gaz présentant une forte dose d’oxyde de carbone, de goudrons et d’hydrocarbures. Nous avons imaginé alors que les organismes physiologiques des terrestres ne pouvaient pas vivre dans une atmosphère d’oxygène et d’azote sans les gaz cités antérieurement et c’est pour cela que vous les ajoutiez à l’air environnant pour le rendre le plus respirable. Ceci nous avait rempli d’inquiétude car nous pensions aux conséquences que pouvait avoir pour nous un tel climat artificiel.
(Une fois arrivés sur Terre, comme nous vous le raconterons plus loin, notre hypothèse fut corroborée en vous voyant avec ces cylindres de tabac que nous avons interprété au début comme des générateurs de gaz pour la respiration, en nous émerveillant encore plus en observant que les enfants et d’autres individus ne les portaient pas).
Je vous disais que de fortes discordances avaient surgi parmi les techniciens au moment de sélectionner la zone terrestre où devait se réaliser la descente des expéditionnaires car nous risquions, en choisissant l’endroit apparemment le moins peuplé de nous situer précisément au sein d’une concentration souterraine et d’être ainsi détectés et même détruits par vous.
L’étude détaillée des images correspondant à divers aéronefs nous donna un indice de votre niveau technique. Quelques uns avaient encore une traction aérodynamique par hélice. Nous avons examiné soigneusement les soudures réalisées entre les couches de métal (nous ne savions pas encore qu’il s’agissait d’un alliage d’aluminium) et les structures de quelques mécanismes auxiliaires de ces aéronefs.
Il y eu un élément qui nous fit concevoir une idée totalement aberrante par rapport au Réseau Social Terrestre. On avait enregistré plusieurs centaines d’émissions radioélectriques provenant de nombreux points de cette planète et ce, dans une gamme de fréquences très étendue. Ainsi nous pûmes constater avec surprise l’énorme multiplicité linguistique et nos spécialistes en techniques acoustique, en classant les langues qui présentaient une homogénéité dans les phonèmes, en ont quelques fois identifié deux ou trois comme étant une seule langue. Notre attention fut fortement attirée par le fait qu’une grande partie des émissions, captées par rapport à des longueurs d’ondes métriques, présentaient le même type de langage binaire (impulsions courtes, impulsions longues) déjà capté dans le premier message.
Mais en essayant de le traduire de la même manière que le premier nous nous rendîmes compte de notre erreur. Quel pouvait être le véritable code utilisé par vous? On arriva à une conclusion: les habitants des OYAGAA (planète TERRE) utilisaient une multitude de langages locaux et pour mettre en relation les différentes communications, vous deviez logiquement utiliser un langage international unique basé en sifflements courts et longs dont le code était encore indéchiffrable pour nous. ( Plus tard nous avons constaté qu’une telle hypothèse était très simpliste car le code MORSE sert de véhicule à de nombreuses langues). Pour compliquer encore plus le panorama, nous avions capté aussi des émissions Vidéo de Télévision. Mais nous ignorions que de telles fréquences étaient porteuses d’une image. Comme nous les interprétions acoustiquement et qu’en plus toutes celles enregistrées provenaient d’Amérique du nord, nous avons pensé que dans cette zone on parlait trois langues dont la dernière (signaux vidéo) n’avait pas la moindre ressemblance avec les autres.
L’énorme anarchie linguistique (compliquée davantage par nos erreurs d’interprétation) ajoutée à l’immense gamme de différences techniques observées avec les multiples équipements et constructions des différentes zones de la planète, nous remplirent véritablement de perplexité.
Il était impossible ainsi d’avoir un panorama cohérent de ce que pouvait être la Civilisation Terrestre.
Par contre, la composition atmosphérique obtenue par divers échantillons en divers points de l’OYAA et à diverses altitudes, nous montra que nous pouvions descendre sans l’aide d’équipements auxiliaires de respiration.
Mais il restait à résoudre la très Importante question de la structure énantiomorphe des molécules protéiques. Étaient-elles dextrogyres ou lévogyres ? Si les molécules biologiques des êtres et aliments étaient l’inverse des nôtres, il serait impossible pour nos organes digestifs de les assimiler et nous serions condamnés à la faim si nous n’ apportions pas nos propres aliments. Il fallait donc doter les expéditionnaires d’autres équipements auxiliaires pour purifier l’eau au cas où elle aurait des sels toxiques en suspension, peut-être assimilables par les habitants d’OYAGAA (TERRE) mais pas par nous.
La politique à suivre avec vous fut soigneusement élaborée. Défense violente en cas d’attaque. Initiation de contacts officiels si nous étions détectés et contrôlés pacifiquement. Neutralité absolue et essai avec toutes les techniques à notre portée de passer inaperçus. Conduite à tenir dans le cas où il serait impossible de passer inaperçus des Terrestres. Pour passer inaperçus, on installerait alors un observatoire souterrain dans la zone rurale idoine et sous terre on étudierait les méthodes et les techniques d’observation les plus accessibles.
Même sur ce point nous nous sommes trompés comme nous le verrons plus loin, car nous nous sommes aperçus avec stupeur qu’il était parfaitement possible de nous mélanger à vous sans provoquer d’étonnement.
Immédiatement, le programme des préparatifs fut mis en œuvre et les personnes qui composeraient cette première expédition furent dès le début soigneusement sélectionnées. Parmi les six retenues, il y avait seulement deux YIIE (ainsi nous nommons les femmes). Tous apprirent de longs fragments des différents langages captés (en ignorant totalement leur signification) simplement pour familiariser le EESEE OA (SUBCONSCIENT) avec la structure phonique des codes d’expression acoustique terrestre. Ils purent examiner tout le matériel informatif capté et ils se familiarisèrent avec les formes végétales multiples dont les images étaient les plus nettes de la flore terrestre aperçue. Peu de choses en vérité pour quelques Oemii qui allaient être confrontés à un monde inconnu.
DESCENTE SUR OYAAGAA (TERRE) DE NOS PREMIERS FRÈRES.
Les six OEMII ( PERSONNES) qui partirent la première fois pour cette Planète furent:
OEOEE 95 fils de OEOEE 91: Spécialiste de BAAYIODUIII (BIOLOGIE), il était âgé de 31 ans terrestres. Directeur des expéditionnaires. Actuellement il occupe la fonction de OGIIA (CHEF) de coordination des frères d’UMMO déplacés ici.
UURIO 79 fils de IYIA 5 : Expert en BIIEUIGUU (Psychobiologie humaine), âgé de 18 ans terrestres. (Le seul de cette première expédition qui est encore sur cette planète). (NdR :en 1967)
INNOO 33 fille de INNOO 29. : Experte en OOLGAA GOO (physique de la structure de la matière), âgée de 18 ans terrestres.
ODDIOA 1 fils de ISAAO 132: Spécialisée en AYUU WADDOSOOIA (Communications), âgé de 78 ans terrestres.
ADAA 66 fils de ADAA 65: Technicien en AYUYISAA (SOCIOLOGIE), âgé de 22 ans. Le seul de nos frères qui est décédé sur Terre,
Il est mort le 6 novembre 1957 en Yougoslavie, victime d’un accident. (On ne put récupérer son corps).
UORII 19 fille de OBAA 7 : Experte en Pathologie du Système Digestif , agée de 32 ans.
Je me souviens encore des images du départ que j’ai moi-même vu sur l’écran hémisphérique de mon UULODASAABII (salle semi-sphérique qui, dans nos SAABI ou maisons, nous sert pour contempler des images à distance). Il ne serait pas très exact de le comparer aux équipements de Télévision Terrestre. Trois OAUOOELEA UEUA OEMM (NEFS en forme lenticulaire pour les voyages Galactiques) partirent de notre UMMO avec comme destination de OYAGAA (PLANETE TERRE).
En ce qui concerne le moment le plus favorable pour le départ, là aussi nous n’eûmes pas beaucoup de chance. On prévoyait la possibilité que quelques XEE (années d’UMMO) plus tard, les conditions isodynamiques de l’Espace seraient exceptionnellement favorables (en 1952 nous aurions pu arriver sur Terre en réalisant le voyage en moins de 30 000 UIW ) (NdR: 64 jours), (grâce à la distance incroyablement courte qui se produisit à cette époque là). Mais la probabilité que de telles conditions se produisent fut évaluée avec un niveau suffisamment bas pour que les décisions de départ soit prise à l’avance.
Les expéditionnaires portaient un message avec des instructions complexes qui pouvaient permettre une transcription relativement rapide en langues terrestres, dirigée par le Conseil Général de UMMO au Conseil ou Chef des habitants de cette Planète, pour le cas où les terrestres intercepteraient nos frères.
Cette lettre, imprimée sur une lame de GUU (alliage de fer, carbone et hormo-vanadium) portait une série d’images idéographiques, représentant des attitudes et des gestes humains, combinés avec des figures géométriques et des chiffres en système binaire. L’interprétation de son contenu par les experts en philologie et sémantique terrestre n’aurait pas été difficile en permettant ainsi la probable première communication de nos expéditionnaires avec ce que nous supposions être le GOUVERNEMENT GÉNÉRAL DE OYAAGAA (Planète Terre).
L’équipement qui devait être transporté par le groupe expéditionnaire était complexe mais réduit au niveau du volume et de la masse. Nous ne connaissions pas la valeur du coefficient BAAYIODIXAA UUDIII (intraduisible: la science biologique terrestre n’a pas encore développé ce concept si important). Il s’agit d’une formule qui exprime les conditions d’équilibre biologique qui se mesurent dans un milieu donné. Chaque OOYAA (Planète) possède des conditions particulières qui permettront ou non l’existence d’un cycle biologique du carbone dans sa troposphère. Le développement biogénétique de la morphologie des animaux et végétaux sera fonction d’une série de constantes physiques.
Ce développement biogénétique n’est pas une conséquence du simple hasard, même si celui-ci intervient à un degré non négligeable aux niveaux subatomiques dans le développement des gènes. Ce qui fait que la forme et la structure physiologique des espèces varieront considérablement d’une planète à l’autre, et ce d’autant plus si la constitution cellulaire de l’être vivant est plus simple.
Ainsi, non seulement les espèces de virus filtrables d’UMMO sont totalement différentes de celles de la TERRE, mais même au niveau des animaux pluricellulaires complexes, il est presque impossible de trouver de grandes analogies avec les espèces connues terrestres.
La formule qu’exprime le BAAYIODIXAA UUDIII est une fonction complexe dans laquelle sont intégrés une multitude de paramètres comme: Accélération de la Gravité, Ozonisation de l’atmosphère, intensité de radiation Gamma, pression et composition atmosphérique, spectre et radiation solaire, cycle gravitationnel d’éventuels satellites et des planètes voisines, gradients électrostatique atmosphérique, courants électriques telluriques, etc, etc… qui, avec la composition (en pourcentage) des éléments chimiques de l’écorce de la Planète, permet de prévoir qu’elle sera l’orientation évolutive des être vivants indépendamment d’autres facteurs qui peuvent l’altérer comme par exemple des radiations qui provoquent des mutations et auto-sélections par l’influence imprévisible du milieu.
Cette formule ou coefficient est d’une importance transcendantale quand il s’agit d’analyser la possibilité d’un voyage interplanétaire. Mais malheureusement, il n’est pas facile de connaître sa valeur exacte sans une étude laborieuse « in situ ». Sans elle, les explorateurs risquent de s’introduirent dans un milieu biologique adverse dans lequel ils peuvent être victimes non seulement de maladies infectieuses et contre de tels germes l’organisme – déjà adapté à un autre environnement – n’a pas les plus élémentaires défenses, et, s’il n’y a pas les moyens prophylactiques convenables, l’OEMII peut périr irrémédiablement à partir du moment où la carence de l’équipement protecteur de l’épiderme et organes externes expose ceux-ci à l’influence du nouveau milieu.
Ces équipements protecteurs sont différents des scaphandres spatiaux que vous utilisez pour l’exploration extérieure et sous-marines. L’individu est doté d’un nouvel épiderme plastique qui permet la transpiration en empêchant en même temps l’infiltration à travers ses pores d’agents chimiques et biologiques. Au préalable on dispose, près des orifices naturels, une série de dispositifs avec des fonctions adaptées aux nécessités de chaque organe. Ainsi: des capsules placées dans les fosses nasales fabriquent de l’oxygène et de l’azote à partir de la transmutation du carbone pur. De plus: l’anhydride carbonique est capté par le même dispositif décomposé en éléments basiques, carbone et oxygène, et sont transmutés (vous dites transmutés, terme qui nous parait incorrect) le premier avec une libération d’énergie qui est utilisée pour le réchauffement de l’épiderme.
Les yeux et la bouche sont convenablement protégés. Ainsi les premiers sont équipés avec un système optique composé par des lentilles de gaz qui, contrôlées par un ordinateur, permettent l’adéquation de la vision, aussi bien dans un milieu atmosphérique que dans le vide des espaces sidéraux.
Un double tube qui conduit à un équipement situé dans la région lombaire et se termine par un dispositif assujetti à la lèvre inférieure. Le tube est doté, à l’intérieur, de cils mécaniques qui poussent lentement en son sein des capsules qui contiennent divers aliments concentrés. Ces capsules, de section elliptique, sont protégées par une très mince pellicule gélatineuse très soluble dans la salive. Un signal transmis d’une manière codée par la paupière (en ouvrant et en fermant celle-ci un nombre-séquence de fois) pousse différentes capsules jusqu’à la bouche pour l’alimentation du frère explorateur. L’autre conduit transporte un sérum nutritif avec différentes concentrations régulées. L’eau nécessaire est obtenue en grande partie par la propre urine de l’individu (après un processus d’élimination de sels, purification intégrale et durcissement de l’eau chimiquement pure par des carbonates.)
Les oreilles sont pourvues de sondes transducteurs acoustiques excités par un UAXOO-AAXOO (émetteur récepteur par ondes gravitationnelles) qui sert pour transmettre de courts messages parmi les membres du groupe. Les messages ou conversations d’une certaine durée se réalisent presque toujours par voie télépathique.
Une sonde qui est introduite dans le rectum, au travers de l’anus, recueille les matières fécales préalablement traitées par un courant turbulent d’eau à 38° terrestres avec une succion provoquée par un dispositif fixé sur les fesses. Là elles sont décomposées en éléments chimiques de base. Une partie de ceux-ci est gazifiée et transmutée en oxygène et hydrogène qui serviront pour obtenir synthétiquement de l’eau, liquide qui compensera le cycle urine-eau par ingestion dans ces pertes de transpiration. Le reste de ces éléments est transmuté en IODE qui sera expulsé à l’extérieur sous forme gazeuse.
Une fois tous ces dispositifs placés (tous de petits volumes) sur son épiderme, l’individu nu est pulvérisé avec des aérosols protecteurs différents. Tous forment une fine pellicule élastique qui constitue un véritable épiderme protecteur. Le sujet jouit ainsi d’une liberté de mouvement et peut s’habiller avec des vêtements spéciaux et se mouvoir librement au sein d’une atmosphère adverse au point de vue biologique. Ce nouvel épiderme, cette nouvelle peau, ne protège pas des effets expansifs de la pression sanguine s’il se trouve par exemple à la surface d’un astéroïde pratiquement dépourvu d’atmosphère.
Dans ces cas, l’explorateur n’utilise aucun scaphandre spécial supplémentaire. La couche la plus superficielle est recouverte maintenant par une nouvelle couche élastique métallisée qui, observé avec un dispositif optique de fort agrandissement, présente une structure réticulaire (une authentique maille). Ainsi les mouvements corporels sont maintenant plus lents à cause de la plus grande rigidité du système mais il n’empêche pas lea mobilité générale de l’OEMII.
En plus de ses équipements individuels, les expéditionnaires sont équipés de dispositifs pour la conversion de l’azote, du carbone, de l’oxygène, de l’hydrogène, de l’eau en hydrates de carbone et autres composants basiques pour l’alimentation d’urgence, à utiliser sur OYAAGAA au cas où les molécules protéiques, aminoacides et esters des aliments terrestres soient inverses de ceux d’UMMO (vous savez tous que chaque molécule organique asymétrique peut adopter deux formes dans l’espace: dextrogyre ou bien lévogyre).
Il fallait aussi des appareils pour la purification de l’eau et sa synthèse, équipements de sondage, de photographie (nous utilisons d’autres systèmes de fixation des images, donc dans ce cas le mot photographie est incorrect), les équipements XOOIMAA UYII ( sonde géologique) UULUEWAA (dispositif qui permet de capter des sons et prendre des images ou contrôler les différents facteurs physiques du milieu, contrôlé à distance), ainsi que les dispositifs de défense dont nous ne pouvons vous révéler la nature pour des raisons évidentes. La dotation était complétée par des détecteurs spéciaux pour la mesure des grandeurs physiques, enregistrement de fonctions géologiques et atmosphériques, équipements de télémétrie, analyse moléculaire et spectrale.
Comme nous vous le disions dans un rapport précédent, on étudia à fond la stratégie à suivre face aux habitants de OYAAGAA (Planète Terre). Nous ignorions les moyens de détection ou contrôle à distance que vous possédiez. Ainsi par exemple pendant notre voyage d’étude que nous vous avons déjà relaté, on a enregistré des émissions d’ondes en 1347 mégacycles et en 2402 Mo (que vous appelez ondes décimétriques) et si nous ignorions que de telles bandes étaient assignées aux services de radiolocalisation (RADARS TERRESTRES) et de toute manière nous avions assigné une valeur probabiliste à une telle possibilité. Si malgré tout nos frères n’étaient pas détectés, ils avaient ordre de monter un observatoire souterrain doté d’installations d’urgence pour l’obtention synthétique de l’eau et des dépôts d’aliments basiques laissés par nos UEWA (NEFS). De même des installations pour l’obtention synthétique (d’urgence) d’hydrates de carbone et lipides (graisses comestibles) à partir de la transmutation du silicium et aluminium (nous connaissions l’existence des argiles sur la surface terrestre) apporteraient une solution, en dernier recours, au problème de l’alimentation au cas où se prolongerait d’une manière angoissante l’existence forcée si nos OAWOLEA UEWA (vaisseaux) tardaient à venir.
A partir de l’observatoire, on commencerait tout un cycle d’études des caractéristiques géologiques, atmosphériques et biogénétiques de cette planète. Il était donc impossible de prévoir le tour que prendrait la situation et jusqu’à quel point serait possible l’observation de la structure psychologique du Réseau Social Terrestre. Les décisions par rapport à la forme d’action pour étudier les hommes de la Terre devraient être adoptées par les expéditionnaires une fois sur la planète inconnue.
Tous nos vaillants expéditionnaires avaient de la famille sur UMMO: OOEOEE 95: 4 enfants. UURIO 79 et ADAA 66: 2 enfants, les autres un enfant chacun. Tous savaient ce à quoi ils s’exposaient; nous connaissions des précédents malheureux où la mort de nos frères fut la conséquence de notre esprit scientifique. Nous maintenons sur UMMO une mentalité grégaire si développé qu’il n’y a pratiquement pas de problèmes graves de discipline dans notre réseau social. L’OEMII (homme) peut se sentir humilié quand il doit obéir à un supérieur beaucoup plus jeune que lui ou de sexe opposé, mais il se soumet de bonne grâce, tout en conservant le droit de pouvoir être en désaccord idéologiquement avec son supérieur et le lui exposer chaque fois que son point de vue est argumenté. L’OEMII de UMMO est aussi beaucoup plus libre que l’homme terrestre dans les relations hiérarchiques, Mais les conditions exceptionnelles exigées dans une expédition interplanétaire demandent un renforcement des critères disciplinaires au niveau des relations entre les membres du groupe expéditionnaire. Ceux-ci choisissent librement (une fois sélectionnés en fonction de leurs aptitudes psychosomatiques spéciales) leur conformité avec les sévères normes du groupe.
Aucune forme de serment n’est nécessaire, aucune expression solennelle d’obéissance comme certains ordres religieux de la Terre. A partir du moment où nous acceptons de nous intégrer au petit groupe de voyageurs, nous savons clairement que notre volonté doit être absolument annulée par celle de notre supérieur. Qu’il soit homme ou femme, nos corps sont entièrement à sa disposition. Vous comprendrez que nous allons être immergés dans un monde étranger et peut être même adverse, où l’indiscipline d’un membre peut gravement se répercuter sur les frères expéditionnaires et sur les intérêts scientifiques de l’UMMOAELEWE et sur notre Réseau Social d’Ummo. La punition minime d’une transgression peut constituer à nous présenter devant notre supérieur en subissant l’humiliation (très importante pour notre psychologie) d’être totalement dénudé devant lui. Les punition physiques proscrites depuis très longtemps sur UMMO peuvent être appliquées avec une rigueur extrême comme la perte de la vie. Mais ces dernières sanctions n’ont pas été nécessaires depuis notre premier voyage sur Terre.
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A 4 heures 16 minutes 42 secondes TMG (heure terrestre de GREENWICH), on effectua l’OAWOOLEAIDAA (ce mot est intraduisible en langage terrestre) . On appelle ainsi l’instant critique pendant lequel le vaisseau interplanétaire UEWA OEMM avec ses pilotes subit une inversion axiale de ses particules subatomiques ce qui suppose la substitution d’un système référentiel à trois dimensions par un autre. Ce changement de dimensions nous est nécessaire pour réaliser un voyage en utilisant la distance réelle la plus courte, différente évidemment de celle que parcourt la lumière dans l’autre système référentiel de l’espace tridimensionnel dans lequel nous vivons normalement. L’Owooleaidaa, vue par un observateur qui se trouve sur TERRE, présente des particularités très singulières. Par exemple, l’UEWAA (Nef interplanétaire de forme lenticulaire) apparaît soudainement comme surgie du néant ou disparaît automatiquement quand le processus est inverse. En réalité la disparition est apparente car le vaisseau continue à exister au sein d’un autre système à trois dimensions. Néanmoins un autre vaisseau qui désirerait le poursuivre à l’intérieur du même cadre tridimensionnel non seulement il ne pourrait pas le voir, mais il ne pourrait plus établir aucun contact avec lui (tant contact mécanique que radioélectrique ou gravitationnel). La vive couleur au ton orangé que diffusent nos UEWA est due à une incandescence particulière provoquée artificiellement pour les décontaminer de tous type de germes vivants qui pourraient adhérer à sa surface. Sans adopter cette précaution, ces germes seraient aussi inversés tridimensionnellement et portés sur notre planète avec les conséquences imprévisibles d’ordre biologique faciles à deviner.
Il y a une autre caractéristique facilement observable: le très fort champ magnétique qui apparaît autour de l’axe de symétrie de nos vaisseaux, (et peut être aussi dans d’autres vaisseaux spatiaux appartenant à d’autres êtres extraterrestres). Ce champ magnétique qui atteint de nombreux milliers de Webber / mètre², n’est pas comme on pourrait l’imaginer, un indice sur le fait que notre système de propulsion soit magnétodynamique. Cette forte induction magnétique n’est que l’inversion axiale, d’un angle de 90°, de l’intensité du champ électrostatique produite par un puissant générateur dont la fonction consiste à inverser les particules subatomiques du vaisseau et de ses passagers (Souvenez-vous que les vecteurs représentatifs des champs gravitationnels, électrostatiques et magnétiques forment un trièdre au sein de l’espace pluridimensionnel. Les trois champs sont en réalité identiques. C’est notre perception physiologique illusoire, qui leur attribue une nature différente selon leur orientation).
Bien, nous répétons; à l’heure citée, trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux) « apparurent subitement » en un point situé à la hauteur de 7,338 kilomètres au-dessus d’un endroit situé à quelques 13 km de la ville française de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE (Département des Basses Alpes), non loin de la frontière de la République Cantonale et Fédérative de Suisse. C’était le 28 mars 1950. Les trois nefs descendirent rapidement touchant terre à 4 heures 17 minutes 3 secondes TMG.
Les pieds extensibles des vaisseaux s’enfoncèrent à peine dans le terrain rocailleux d’un contrefort alpin, non loin de celui que nous avons identifié par la suite comme Pic « CHEVAL BLANC » haut de 2322,95 m au dessus du niveau moyen de la mer et non loin du petit cours fluvial de » LA BLEONE ».
Durant quelques 20 UIW (60 mn), personne ne sortit de nos vaisseaux, en attendant une attaque possible. Nos équipements sondèrent dans un rayon de 800 mètres l’émission possible de radiations infrarouges provenant d’être humains.
Une grande nébulosité empêchait à ces heures de la nuit la vision directe des alentours. Les images obtenues dans la longueur d’ondes de 740 millimicrons permirent néanmoins de visualiser les alentours. Des plantes d’une morphologie étrange croissaient dans les environs. La morphologie érodée du terrain permettait de reconnaître quelques accidents accusés comme le lit de la rivière citée. Jusqu’au matin suivant l’on ne parvint pas à identifier la nature d’un groupe de lumières blafardes qui apparaissaient en trois points définis dans le lointain.
Rassurés parce n’apparaissait aucune trace détectable d’êtres humains dans les environs, quatre de nos frères non expéditionnaires descendirent, parmi les trente six qui composaient la dotation totale des trois nefs.
Ils étaient munis d’équipements protecteurs et de dispositifs de défense. L’une des UEWA se maintenait suspendue à 30 centimètres du sol pour couvrir leur retraite en cas d’attaque. Par couple, ils se consacrèrent pendant 10 Uiw (30 mn) à l’exploration des environs, sondant continuellement le sol pour détecter d’éventuels bruits souterrains provenant d’installations humaines dans le sous-sol. De telles précautions peuvent vous paraître ingénues, mais pour nous, à cette époque là, l’hypothèse de l’habitat souterrain des êtres humains n’était pas encore écartée, loin de là.
Néanmoins l’endroit paraissait désertique. Furent recueillis du sol quelques insectes et arrachées quelques espèces végétales identifiées ensuite selon la classification botanique de la Terre comme: »Valériana celta » et « Erica Carnéa ». Celles-ci furent emmenées dans le Vaisseau où tous purent les examiner avec une curiosité réjouie. Comme il fallait s’y attendre, la morphologie de ces petits animaux et plantes différait des espèces connues sur UMMO.
Peu après sortaient les six expéditionnaires accompagnés de vingt membres de l’équipage. Il était nécessaire de commencer les travaux d’une construction souterraine d’urgence. On réalisa une évaluation expérimentale des caractéristiques du sol. Ce qui nous frappa le plus ce fut l’absence de Titane dans la composition chimique des roches de la terre (Sur notre sol d’UMMO, cet élément chimique est aussi fréquent que l’aluminium dans les argiles terrestres). Furent aussi détectés de nombreux phénocristaux inclus dans des roches porfidiques. La désagrégation des roches ignées était de plus évidente en constatant la composition dosimétrique de sable et argile. Les carbonates et les silicates abondants permirent d’élaborer une hypothèse de l’évolution géologique de ces terrains.
Il était nécessaire de réaliser la perforation en fondant à grande température des grés et des calcaires. La haute composition siliceuse du sol provoqua au début un sérieux problème qui fut rapidement résolu. Les matériaux ainsi fondus furent transmutés en un isotope d’azote. De cette façon, à l’extérieur n’apparaissaient pas des tas de terre qui auraient révélé notre présence à d’éventuels observateurs humains terrestres.
L’on travailla toute la nuit jusqu’à 7 heures. Peu avant l’aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d’étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de « PINUS MONTANA ».
La galerie, ouverte dans le sous-sol d’une longueur de 4 mètres et d’une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d’un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d’un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s’accompagne ensuite d’un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d’eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d’obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol.
Le nouveau jour réserva aux expéditionnaires un beau et nouveau spectacle. Pour la première fois ils se trouvaient face à un nouveau monde, une structure géologique nouvelle. Le ciel était plus indigo que sur UMMO. De nombreux strato-cumulus couvraient ce jour là le ciel de la région. Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement. L’origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. Elles correspondaient aux citées ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE. La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. Les instruments optiques de fort grossissement révélèrent les images des premiers êtres terrestres. L’on ne notait aucune activité exceptionnelle ou de la nervosité parmi ces personnes sûrement ignorantes de la présence de nos frères dans leur voisinage.
On trouva, à 200 mètres, d’étonnants piliers prismatiques, avec d’autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d’êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu’il s’agissait d’un ancien petit hangar pour le stockage d’aliments, mais la découverte remplit nos frères d’émotion. On prit des échantillons des piliers et on radiographia l’intérieur. L’analyse montra la présence d’une substance agglutinante de mélange complexe dans laquelle intervenait du sulfate calcaire, des alumines et des petites quantités d’oxydes minéraux (plus tard nous avons su qu’il s’agissait d’un ciment sur-sulfaté) et de fragments de roche et sable en proportion et dosage presque constant (plus tard nous avons su qu’il s’agissait d’agrégats pour le béton). L’analyse interne de ces colonnes présentait des baguettes de composition ferrique évidente.
Le document continuera.
NOS PREMIERS JOURS SUR LA PLANETE TERRE
Dans les rapports précédents nous vous avons fait un résumé historique de notre arrivée aux environs de DIGNE (FRANCE), département des Basses Alpes. Trois de nos OAWOOLEA UEUA OEEMM (vaisseau de structure lenticulaire) descendirent en un point situé à un niveau de 7,3379 km près de la ville française déjà citée. L’instant de notre OAWOOLEAIDAA (nous appelons ainsi le processus physique d’inversion des corpuscules subatomiques qui permettent l’orientation de tels vaisseaux à travers un autre axe dans les voyages spatiaux) a été enregistré par nous dans la version horaire de la planète Terre comme 4 heures, 16 minutes, 42 secondes T.M.G. (avec une marge d’erreur de +/- 6 secondes).
En date du 28 mars 1950. (Ndr: un mardi)
(ATTENTION) Le 8 novembre 1965 nous avons remis, par l’intermédiaire de l’un de nos frères UDIIE 36, fils de UDIEE 34 alors aux États- Unis, un petit rapport très résumé sur notre arrivée sur Terre au médecin terrestre Dr. Peter Welter. Notre frère dicta comme heure d’arrivée 4 heures 23 minutes (sans spécifier de marge d’erreur probable). Une enquête plus soigneuse au niveau de la conversion de nos éléments dimensionnels de Temps, en les comparant avec le registre de signaux radioélectriques émis à ces moments-là par des centres émetteurs de la République Française et la République Helvétique et captés par nos équipements, ont permis de rectifier la première appréciation horaire faite en vérifiant les courbes barométriques et thermiques d’un observatoire météorologique français avec nos propres éléments sur l’atmosphère terrestre à notre arrivée.
Six de nos frères (quatre GEE et deux YIEE) descendirent ce matin là (voir le rapport que nous vous avons remis). Nous vous disions que la première opération réalisée fut de creuser une galerie pour mettre les équipements des expéditionnaires et qui puisse en même temps servir d’abri préservé face à une hypothétique attaque des terrestres.
On entreposa dans cette galerie des aliments synthétisés qui auraient permis à nos frères de survivre durant 240 XII (un Xii équivaut à une rotation de notre planète, quelques 30,9 heures).
Le 29 mars, ils terminèrent les travaux d’adaptation de la Galerie souterraine. Il fut nécessaire d’accélérer la réfrigération de ses parois pour permettre le stockage du matériel. Les ingénieurs terrestres peuvent être surpris par ce fait en rapport avec la réfrigération. C’est parce que nos méthodes d’excavation sont différentes de celles des terrestres. Nous utilisons la fusion à très haute température des roches, sables et limons du terrain, en contrôlant l’expansion des gaz qui sont immédiatement transmutés en azote et oxygène. En plus d’obtenir une plus grande rapidité, nous évitons ainsi de multiples effets secondaires comme les expansions qui ont lieu au moment de la transformation de l’anhydride en gypse par contact avec l’eau). Bien entendu on réalise à l’avance une étude géologique du terrain, non pas par des méthodes sismographiques ou de sonde électrique mais par l’analyse avec un procédé stéréographique semblable aux rayons X terrestres; on obtient ainsi une image qui révèle non seulement la composition des différentes strates mais aussi la position des vides situés à une grande profondeur. Les systèmes de coffrage gardent une certaine ressemblance avec les terrestres (Sur UMMO on construit par exemple les modules de coffrage « in situ ». La silice et le titane des roches une fois fondus sont transmutés en magnésium et aluminium avec lesquels on construit les IGAYUU (arcs métalliques semblables aux cintres terrestres).
Nous disions qu’il fut nécessaire d’accélérer les travaux à cause de l’inquiétude qui pesait sur les expéditionnaires. En premier lieu on ignorait si les conditions isodynamiques de l’espace allaient varier dans les UIW suivantes (UIW , unité de temps de UMMO) en empêchant le retour dans des conditions de temps acceptables, du reste de l’équipage. En second lieu, la nuit antérieure les UEWA OEMM (ASTRONEFS) avaient été transportés vers un bosquet de pins voisins, mais malgré cela on craignait la possibilité qu’ils puissent être vus par des habitants terrestres. Il était donc pas prudent de les laisser stationner là et le 29 mars à 11 heures du matin (heure française) les explorateurs et les membres de l’équipage célébrèrent un émouvant départ. Nous avons des images de ce départ. Les mains de chacun sur la poitrine de son frère comme c’est notre coutume, indiquèrent le moment du départ; personne ne prononça une parole. Les yeux disaient tout. 30 membres d’équipage montèrent dans les vaisseaux. Rapidement ceux-ci commencèrent le processus de l’AIAIEDUNNII (les zones superficielles extérieures élèvent leur température jusqu’à l’incandescence) de cette manière les germes vivants sont détruits pour obtenir une stérilisation parfaite; cette mesure est nécessaire car aussi bien les micro-organismes que les virus peuvent être inversés dans leurs dimensions et réaliser le voyage spatial, arrivant jusqu’à notre Planète.
Les trois UEWA s’élevèrent à une hauteur de six kilomètres. Les explorateurs contemplèrent leur disparition apparente quand se produisit à cette altitude la seconde OAWOOLEAIDAA pour le retour.
Ce même jour deux de nos frères reçurent l’ordre de réaliser une première exploration à une certaine distance de la galerie pendant que les autres poursuivaient les travaux dans celle-ci.
L’entrée de la galerie se trouve sur l’un des contreforts montagneux de la région, pas très loin du pic du « Cheval Blanc ». De là on domine toute la vallée dans laquelle coule la rivière Bléone. Avec un bon instrument optique on voit parfaitement les édifices de Digne, sa vieille cathédrale et même fragmentairement l’on peut observer le Bès et quelques tronçons du chemin de fer. On peut également observer parfaitement le hameau de La Javie et quelques constructions humbles des environs. Comme information intéressante nous vous dirons que l’historique galerie existe encore, renfermant à l’intérieur une partie de l’équipement scientifique d’origine qu’emmenèrent nos frères. Son accès est parfaitement camouflé. Le jour, peut-être pas très lointain, où nous nous présenterons officiellement aux Organes gouvernementaux de cette Planète nous ferons la donation de ses installations au Gouvernement Français, comme remerciement symbolique de notre civilisation à celle des Terriens.
La première exploration de nos deux frères, effectuée dans la soirée du 29 mars donna un résultat imprévu pour nous. Pour vous l’incident peut vous paraître vulgaire et de ce fait vous jugerez notre pondération ingénue et même comique, mais le résultat impressionna fortement nos frères. Pour mieux nous faire comprendre, il est nécessaire que vous vous placiez dans le cadre mental d’un OEMII (hommes) qui venaient juste d’arriver sur une planète inconnue dont ils ne connaissaient, au niveau des moyens d’expression, que quelques sons modulés enregistrés par nos équipes de détection radioélectrique et dont le jargon inintelligible n’offrait pas encore des bases sérieuses d’étude.
Vers les six heures de l’après midi de cette date, ADAA 66, fils de ADAA 65, maraudant dans les environs en compagnie d’un autre frère et pendant qu’ils arrachaient par-ci par-là des petites branches et des feuilles pour les analyser ensuite, dans les arbustes inconnus, observa aux environs de deux grands arbres, des pierres amoncelées et noircies. La structure des fragments de roche permettait de les identifier comme étant des calcaires; des cendres répandues autour faisaient deviner qu’elles avaient été utilisées pour un feu, mais ce n’était pas cela le plus intéressant. A 1,8 Enmoo (1 ENMOO = 1,9 mètres) ils localisèrent des fragments d’une lamelle blanche jaunâtre, flexible et fragile, froissée et pleine de caractères ou signes de manière évidente écrits par des êtres humains. Trois d’entre eux paraissaient tachés par des matières fécales. Une multitude d’animaux volants inconnus prirent leur envol (on peut penser qu’il s’agissait de mouches et moucherons).
La découverte fut jugée transcendantale et ils retournèrent immédiatement à la galerie. La structure microscopique de ces feuilles fut très vite analysée. La texture était inconnue pour nous, en effet sur UMMO l’on n’utilise pas la pâte de cellulose pour la fabrication du papier. Les signes ou caractères codés révélaient qu’ils n’avaient pas été manuscrits mais imprimés au moyen de moules standard. Sans aucun doute, l’on avait employé un liquide pour l’impression (encre d’imprimerie), ceci était étonnant pour nous car en effet nos anciens systèmes d’impression de caractères pour leur lecture, soit employaient un système électrostatique de projection de poudre colorée, soit brûlaient légèrement la surface de la feuille imprimée. (Actuellement nos systèmes de fixation d’images et de caractères se basent sur le virage des molécules de la feuille où l’on va procéder à l’impression, les transmutant en d’autres de type chromatique. C’est à dire que l’on ne transfère pas par l’intermédiaire d’un caractère d’encre mais que l’on provoque une réaction chimique sur la surface imprimée même). La présence de matières fécales constitua au début une énigme. L’analyse de l’excrément révéla la présence de cellules épithéliales sans doute issues des glandes intestinales humaines.
L’on fit une liste des hypothèses probables. La plus soutenue était de lui attribuer un caractère rituel. Peut-être les humains, quand ils étaient en désaccord avec les idées exprimées dans un document écrits, le barbouillaient-ils avec leurs matières fécales. Entre ces suppositions l’on fit également celle qui maintenant semble évidente à tous (Sûrement un berger avait du utiliser ce fameux journal à des fins hygiéniques).
Vous comprendrez mieux cette polémique en sachant que les UUGEEYIE (enfants) d’UMMO ont depuis la naissance, un dispositif dans le rectum dont le conduit final ou tuyère sort par l’anus. Les matières fécales sont liquéfiées par un processus de transformation par enzymes, ensuite un autre processus de gélification et d’expulsion électrostatique élimine du tube expulseur les résidus qui pourraient encore s’y trouver. Il n’est donc pas nécessaire de procéder au nettoyage après défécation comme le font les terrestres. D’autre part nos ancêtres employaient une substance spongieuse pour le nettoyage après la défécation.
Mais sans aucun doute c’était l’origine des résidus qui tâchaient le quotidien ou journal (comme nous le savons bien maintenant). Ces fragments sont déjà historiques pour nous. L’original, dont il manque une feuille et divers fragments, est conservé sur UMMO tel qu’il fut trouvé, conservé à l’intérieur d’une masse gélatineuse transparente et à température constante de YIIEAGAA (on appelle ainsi une technique qui vous est inconnue et grâce à laquelle une structure biologique est conservée à basse température avec un contrôle des degrés des températures en chaque point, car certaines zones ou tissus ne supportent pas de basses températures sans que la congélation de l’eau ne provoque la destruction de la cellule pendant que dans d’autres points, il convient de les maintenir à un autre niveau thermique).
Ce fameux exemple du journal qui a constitué le premier document imprimé que nous avons pu obtenir correspond à un numéro publié en langue française « LE FIGARO » Samedi Dimanche 25-26 mars 1950.
Les caractères étrangers laissèrent nos frères perplexes. Le plus encourageant et suggestif de cette étrange pièce étaient les dessins et les photographies (bien sûr nous ignorions la simple technique de la photogravure directe ).
Sur la page que nous avons identifié par la suite comme étant la première, apparaissait précisément une caricature signée par un humoristique français J. Sennep. C’était un croquis d’une Bombe Nucléaire d’Hydrogène avec sur son ogive la caricature d’un homme politique français. La légende était la suivante:
BATAILLES PARLEMENTAIRES
S’ils nous embêtent, nous avons la bombe H
On notait aussi des grands titres comme:
L’URS EST FAVORABLE A UNE SESSION SPÉCIALE DU CONSEIL DE SÉCURITE POUR RÉGLER LES DIFFÉRENCES EST-OUEST
et d’autres comme:
SÉRIE NOIRE DANS L’AVIATION TROIS CATASTROPHES AÉRIENNES ONT FAIT 19 MORTS
AIDE IMMEDIATE A L’INDOCHINE
Au dos du papier, taché par les excréments, il y avait une image exceptionnellement intéressante pour nous. On voyait un être humain adulte avec deux UGEEYIE (nous ne pouvions identifier clairement le sexe. Ensuite nous avons su qu’il s’agissait d’une dame avec des enfants des deux sexes). On pouvait apprécier la facture des vêtements (n’oubliez pas que l’un de nos casse-tête était constitué par la vérification de la manière dont vous étiez habillé). Au-dessus du dessin apparaissait un texte qui, à ce moment là, était inintelligible pour nous, et qui disait MONDIAL NURSERY.
Pour finir de nous tromper sur le type de vêtements terrestres, apparaissait dans une autre page du journal (page 6) une photo d’un autre être humain (une dame) vêtue à la mode classique correspondant à la représentation théâtrale de « Malborough » de Marcel Achard, représentation qui venait de s’achever au Théâtre Marigny.
Cette découverte documentaire était pour nous donc d’une importance transcendantale. Mais nous ne connaissions aucun moyen scientifique pour pouvoir interpréter les caractères. Il n’y avait pas de relation directe entre les images et le texte. Nous ignorions si ces symboles représentaient des chiffres ou des idéogrammes ou si l’on pouvait considérer comme représentatifs de sons complexes ou de phonogrammes sans intégration.
Que faisait ce document en pleine campagne? Nous ne pouvions croire qu’il avait été posé là pour nous étant donné que l’excrément présentait des symptômes de dessèchement commencé avant notre arrivé sur la Planète Terre.
Le 30 mars 1950, deux de nos frères virent des animaux vertébrés avec des protubérances pointues sortant du crâne. Au total ils en comptèrent huit. Elles paraissaient situées à une distance de 350 mètres terrestres. L’on donna des ordres opportuns pour une approche en étant pourvus d’équipements de défense. Nos frères allaient couverts d’EEWEEGOO (vêtements). Leur aspect extérieur était celui de vulgaires bleus de travail terrestres très serrés. En réalité il s’agit d’une fine pellicule qui a été pulvérisée au moyen d’une tuyère d’aspersion sur l’épiderme du thorax, du dos, des bras et des jambes. C’est une substance dont la base principale est constituée par un composant de silice en dissolution colloïdale dans un produit volatile. Ce liquide en étant pulvérisé sur la peau évapore immédiatement le diluant laissant cette dernière recouverte d’une légère couche ou pellicule opaque et poreuse de caractère anti-électrostatique. C’est le seul vêtement que nous utilisons quand nous travaillons en contact intime avec la nature.
Sa couleur varie en fonction de certaines circonstances de travail. En général il faut utiliser un code couleur quand un tel équipement est utilisé sur notre planète. Cependant nos frères d’UMMO déplacés à cette époque adoptèrent une couleur grise dans un souci de camouflage efficace. Nous vous expliquons ces petits détails car l’incident que nous allons vous raconter fut à cette époque là très surprenant pour nous.
Nos deux frères se mirent en marche vers le troupeau d’animaux que nous vous avons indiqué. Il s’agissait simplement de vaches et de bœufs mais à ce moment là un tel animal inconnu sur UMMO nous était totalement étranger. Seule l’évidence des mamelles permettait d’identifier le sexe de ces êtres.
Enfin ils arrivèrent aux environs de ce groupe. Avant de s’approcher d’avantage, ils commencèrent les opérations habituelles d’enregistrement de sons et images et le procédé de détection des champs électrostatiques et gravitationnels émis par ces animaux. Se trouvant à une distance de 15 mètres terrestres ils observaient avec fierté la conduite particulière de ceux-ci, qui tout en ayant remarqué la présence de nos frères, continuaient à paître sans bouger.
Soudain apparût de derrière un grand rocher des environs un être humain. Sans doute adolescent, vêtu d’une forme étrangère à nos toilettes. Ses vêtements ne ressemblaient pas aux images qui avaient été enregistrées jusqu’alors. Le sexe de l’enfant s’avéra être masculin, mais au début il fut impossible de l’identifier en tant que tel. Il s’agissait d’un enfant de 11 ans qui surveillait le troupeau de son père, mais tout cela nous devions le savoir plus tard comme nous vous le raconterons.
La surprise et l’inquiétude instantanée de nos frères furent très élevé. Sans bouger de leur position, ils sollicitèrent des instructions du Chef de la base souterraine en utilisant un code digital (ndt ? » dactilar ») pour que le nouvel arrivant n’observe aucun mouvements des lèvres.
L’enfant avait dans les mains une substance blanc-jaunâtre (Pain) qui contenait aussi un produit noirâtre (il s’agissait sûrement de confiture ou de charcuterie, le rapport ne le spécifie pas), qu’il mangeait tranquillement sans se troubler devant la présence de nos frères qu’il regarda avec attention sans paraître trop surpris.
Le petit UUGEE leur adressa quelques mots évidemment inintelligibles. Ensuite, en voyant qu’il n’obtenait pas de réponse, il s’approcha encore plus et en mettant les mains devant le front, il les regarda avec plus d’attention. Il est étonnant de constater la série d’équivoques qui suivit. Analysant par la suite la conduite de l’adolescent ( il s’appelait Pierre), il fut évident que le geste de se mettre la main sur le front était simplement pour se protéger du soleil étant donné que nos frères étaient de dos au soleil, mais ils interprétèrent une telle mimique comme un salut et ils firent le même geste, ce qui dut surprendre encore plus l’UUGEE.
Le jeune français, en voyant l’attitude passive de nos frères, appela son troupeau et se retira en saluant timidement. Les explorateurs qui, durant tout l’incident n’avaient pas bougé de leur poste suivant ainsi les instructions du Chef de notre groupe, retournèrent à la Galerie BASE profondément préoccupés. Immédiatement commença un débat pour étudier la situation. La surprise fut si grande que l’on n’avait même pas enregistré des images de l’enfant terrien, ce qui aurait peut-être aidé moyennant l’analyse des gestes à interpréter l’attitude de celui-ci. La situation fut jugée si grave qu’ils décidèrent qu’il convenait de se mettre absolument en contact avec UMMO par voie télépathique . Mais après tout il était juste de reconnaître que des situations comme celle-là et même pires avaient été prévues avant l’arrivée sur OYAAGAA (Planète Terre).
Le degré d’incertitude sur ce qui pourrait arriver était si insoluble, que l’on opta pour les mesures de défense et de protection qui se révélaient les plus adaptées dans cette situation. L’entrée de la Galerie fut fermée et camouflée, décidant de ne pas sortir de là avant un temps de 1200 UIW (60 heures). L’unique contact avec l’extérieur était constitué par les dispositifs d’aération et ceux de vision optique et d’enregistrement des images, sons et champs de forces.
Le 31 mars 1950, et 467 UIW (23 h) depuis l’incident sérieux que nous venons de vous raconter on n’observa pas de signes extérieurs anormaux, aussi bien dans les environs que dans le village de la JAVIE (le seul accessible par les champs optiques des équipements d’observation). Le 31 donc, vinrent croiser à une distance de 377 ENMOO (630 mètres) le groupe de vaches vu la veille (neuf exemplaires cette fois-ci) et le même UGEE. Cette fois-ci son image fut captée fidèlement au niveau de ses mouvements et amplifié si bien en ce qui concerne les détails de sa morphologie physiologique que de sa tenue.
Dans les cinq cent UIW (25 h) qui suivirent, on capta les images de deux autres êtres qui croisèrent le champ optique d’observation, mais à une plus grande distance de la route suivie par le UGEE. Il s’agissait de deux hommes adultes.
En faisant un bilan rétrospectif des ces journées, nous devons nous étonner de ce qui arriva. Les faits ayant été déduit plus tard après diverses discussions avec les personnes qui prirent part aux événements. Par exemple, il est incroyable que l’enfant Pierre…… (nous omettons son nom pour des raisons évidentes) qui vit actuellement, ne se soit pas plus étonné par notre tenue et ne court pas nous dénoncer à ses parents ou aux autorités de Digne. Ce jeune qui jamais ne connu véritablement notre identité bien que nos contacts avec lui (nous continuerons à le contacter) furent fréquents, confessa que les étranges » vêtements serrés » n’attirèrent jamais son attention. Deux ans auparavant il avait vu trois topographes, Allemands ou Suisses, prenant des mesures dans les environs et la seconde expérience ne le surprit pas d’avantage. Il dit qu’il nous prit pour ce que nous étions en réalité, des « étrangers ». La curiosité enfantine insatisfaite l’induisit à nous rencontrer de nouveau pour la satisfaire et il n’eût pas le courage de dire quoi que ce soit à son père craignant avec raison que celui-ci conseille de ne pas s’approcher d’inconnus. Il confessa sa désillusion quand il constata le lendemain (le 31) que les étrangers n’étaient pas là. (Souvenez-vous que ce jour là nos frères n’eurent pas le courage de sortir, s’attendant à une possible réaction des terriens).
Durant les UIW qui précédèrent la seconde sortie, on s’occupa à confectionner avec des lames de AEEWWIEE (ndt: caractères peu lisibles) (substance flexible et élastique de couleur grise) des tenues qui ressemblaient vaguement aux vêtements des adultes dont les images avaient été captées le 31. Les boutons furent imités avec un alliage d’aluminium, même si on ignorait encore la véritable fonction de ceux-ci. Les cravates furent confectionnées avec de la pâte d’IGUUXOO ( de couleur noire) et d’une seule pièce car le nœud et la bande vus sur les images ne permettait qu’une idée de leur aspect topologique extérieur. Et comme de la poche de l’un des sujets aperçus sortait un mouchoir, on imita même ce détail, (tout en ignorant sa fonction), en faisant dépasser d’une fente d’un soi-disant costume une feuille froissée de GIIXAA YUXAA (produit alimentaire synthétique qui se présente sous forme de fines lamelles).
Maintenant nous réalisons avec horreur l’effet qu’aurait produit cette tenue de nos frères s’ils s’étaient promenés dans la rue principale de DIGNE. Aucun observateur terrestre n’aurait confondu les tissus classiques qui servent pour les vêtements classiques avec cette grossière imitation. Cependant les critères rigoureux de nos frères évitèrent ce danger. Il s’agissait seulement de sortir pendant la nuit ou la fin de la soirée.
Cependant, le 2 avril 1950, après avoir vérifié que notre présence ne semblait avoir provoqué d’alarme, et tout en admettant l’hypothèse plausible que même si les terrestres informés de notre présence étaient en train de nous surveiller en secret, il fut décidé de sortir en plein jour pourvus des vêtements improvisés imitant le style terrestre. Nos deux frères avaient avec eux cette fois-ci des équipements d’enregistrement et de défense, un exemplaire du message rédigé avec des symboles idéographiques d’interprétation facile dont nous avons déjà parlé dans les documents précédents, et d’un fragment du journal FIGARO trouvé les jours précédents éparpillé au sol et couvert d’excréments.
L’on décida d’aller à la recherche de l’enfant terrien qui, habituellement accompagnait les mammifères vus quelques jours auparavant.
En les voyant, l’UGEE salua avec les mains sans que nos frères comprennent exactement s’il s’agissait d’un geste hostile, de salut ou d’alarme; ils optèrent donc pour rester arrêtés en attendant la réaction de l’adolescent. Celui-ci s’approcha semble-t-il sans peur, et il dut demander quelque chose. Cette fois-ci il semblait surpris en voyant les vêtements plus étranges que le jour antérieur, bien qu’il se fut agi cette fois-ci d’imitation de vêtements terrestres. Il est aussi curieux de constater que l’UGEE les reconnut malgré la différence de tenue.
L’UGEE sortit un étrange récipient (il s’agit d’un thermos) et leur offrit son contenu après avoir défait un autre paquet contenant des aliments. Une discussion par gestes très animée commença. Un de nos frères tout en sachant le risque qu’il prenait au cas où les aliments auraient eu leurs protéines orientées dans l’autre sens (vous savez que les molécules protéiques peuvent être dextrogyres ou lévogyres) osa accepter les viandes pour ne pas éveiller d’autres soupçons tout en prévenant son frère de refuser.
Ce fut la première fois que l’un de nos frères ingurgita des aliments terrestres. Ceux-ci, finalement, ne furent pas nocifs. Ce détail qui peut vous paraître secondaire est en réalité d’une importance transcendante car il confirme l’hypothèse qui établit une même orientation moléculaire pour tous les être vivants du WAAM (COSMOS) à l’encontre de l’un des postulats de l’hypothèse quelque peu décadente de la parité dans l’orientation, selon laquelle la probabilité pour que sur une planète surgissent les piliers moléculaires organiques orientés dans le sens dextrogyre est statistiquement la même que dans le sens lévogyre.
L’enfant terrien ne paraissait pas très étonné du langage de nos frères. Pendant que ceux-ci pensaient étonnés et stupéfaits, que l’enfant n’était pas surpris du fait que ces êtres venaient d’une autre planète (N’oubliez pas qu’alors nous croyions encore que les terriens comprenaient tous leurs propres langages, dont des fragments avaient été différenciés par nos spécialistes qui avaient capté vos émissions radioélectriques). En un mot: pendant que le berger prenait nos expéditionnaires pour de simples étrangers, ceux-ci étaient convaincus que l’adolescent avait deviné leur origine extraterrestre.
Un de nos frères commença la tâche immédiate de signaler divers objets pour que l’UGEE traduise dans sa langue le signifié. Le petit comprit très vite ce que l’on attendait de lui et très fier de son rôle de professeur, il traduisit en français une riche gamme d’objets et de verbes faciles. Nos frères sortirent le fragment du journal en langue française et l’enfant quoique avec certaines difficultés, lut parfaitement des paragraphes entiers.
Vous ne pouvez imaginer la joie intérieure de nos frères. Les gestes et les mots de l’enfant étaient enregistrés optiquement et phonétiquement sans que celui-ci s’en aperçoive. Nos frères de la Galerie souterraine suivaient les évènements fidèlement grâce à un équipement transmetteur d’ondes gravitationnelles. Vous-même pouvez vous douter de la transcendance que revêtait pour nous, non seulement de connaître la signification de quelques phonèmes en langue terrestre (en l’occurrence en français) mais aussi l’interprétation phonique des symboles ou lettres imprimés sur un document, même si nous ignorions encore leurs significations profondes. Dans cette journée 119 mots correspondants à des objets visibles dans la campagne, à des parties du corps humain et à des verbes représentant quelques actions topiques telles que « PRENDRE », « MANGER », « BOIRE », « RELEVER ».. etc. dans leur forme infinitive nous furent révélés par cet UGEE terrien.
PREMIERS JOURS PASSES A LA SURFACE DE OYAGAA (PLANETE TERRE)
Dans les chapitres précédents, nous avons relaté succinctement les journées historiques qui ont précédé notre arrivée sur cette planète, comme, par exemple, l’arrivée de trois OAWOOLEA UEWA (nefs de structure lenticulaire) dans une région proche de DIGNE (Basses Alpes: France).
Dans les paragraphes suivant, nous voulons réaliser une synthèse historique de nos premiers mois en France: jusqu’à ce que l’UMMOAELEWE (CONSEIL GENERAL DE LA PLANETE UMMO) , au vu des informations réunies par le groupe d’explorateurs tendant à prouver (ce qui était inconcevable avant) la possibilité, pour nous, de nous mêler incognito aux OEMII (êtres humains), décide de modifier le plan d’observation et nous ordonne de nous disperser sur la TERRE.
Pour des raisons facilement compréhensibles, nous tairons le nom de quelques citoyens de la République Française qui ont été en contact avec nous durant ces quelques semaines (nous avons d’ailleurs de bonnes raisons de croire qu’ils ne soupçonnèrent jamais notre identité).
Quand, au long de ce récit, nous omettons une date, taisant le chiffre référence du jour, nous le faisons sciemment, craignant que cette date aux mains d’un expert, ne conduise à une identification qui pourrait nous être préjudiciable.
Nous avons aussi renoncé à nourrir cette histoire de quelques faits, d’inégales valeurs anecdotiques, qui constituèrent des jalons importants dans le processus de notre assimilation clandestine éventuelle au RESEAU SOCIAL TERRESTRE. Il s’agit de certains contacts pris avec des personnes et des entités officielles (de l’administration Centrale et, en certains cas, Municipale) de l’État français. Ces contacts, pris grâce à des noms et nationalités frauduleux, ont toujours été enregistrés, d’une manière ou d’une autre, dans des archives, et nous préférons donc, pour des raisons évidentes, ne pas les mentionner.
Les Services Administratifs et Techniques du Gouvernement français de cette époque n’eurent jamais conscience de notre arrivée sur le Territoire français. Les indications, filtrant à travers la presse locale et les rumeurs circulant parmi les paysans, concernant les quelques traces visuelles de notre descente, se perdirent dans le fatras des articles publiés dans la presse française traitant des apparitions, sur l’ensemble de la planète, de « Soucoupes Volantes » (ndt: en français dans le texte). De plus, à cette époque, le Gouvernement Français avait des problèmes beaucoup plus graves à traiter. Par exemple, le Cabinet de Bidault se heurtait, à ce moment là, aux problèmes posés, par les conflits sociaux dans les secteurs du Gaz et de l’électricité , sans parler du conflit d’Indochine sur lequel se concentrait l’attention des spécialistes français. Les services de renseignements français, deuxième bureau, avaient reçu des renseignements inquiétants d’après lesquels les troupes Nord coréennes établissaient un plan d’invasion du territoire autonome du sud ce qui aurait pu aggraver de manière incontrôlable la tension mondiale de cette planète.
De telle sorte que, si les services techniques avaient eu la possibilité de faire parvenir, dans les hautes sphères, les vagues indices que nous avions pu laisser filtrer par inadvertance, en raison de l’inexpérience de nos frères, méconnaissant alors la langue française, ceux-ci ne furent pas pris en considération. En effet: En 1959, quand nous avons effectué, dans les milieux officiels, un sondage secret (ndt: suite sur une page suivante)
UMMOAELEWEE
Langue Espagnole
N° de copie:
pour retrouver des documents secrets mettant en avant l’éventualité de notre arrivée sur la Terre dans le sud de ce pays, sous quelque forme que ce soit, il nous fut impossible de rien trouver.
Maintenant, nous allons expliquer comment un jeune berger français (qui vit toujours (NdR: en 1967)), sans se douter de notre identité, nous lisant les articles de presse et nous rapportant les « ont dit », nous montre de manière inattendue pour nous qu’il nous était possible de traduire en français nos expressions verbales et de comprendre le sens de votre écriture.
Nos frères décidèrent de s’isoler quelques temps dans notre base souterraine pour assimiler les quelques notions idiomatiques obtenues de manière si précaire. Toutefois, beaucoup d’articles imprimés dans les coupures de journaux restaient inintelligibles, mais nous captions continuellement les émissions de la radiodiffusion Française ce qui nous apporta une grande aide. Il était extrêmement regrettable pour nous de ne pas disposer d’équipement capable de recevoir les images de télévision. Ils arrivèrent aussi, grâce à la réflexion des ondes sur la troposphère, à recevoir faiblement les émissions radiophoniques provenant de pays étrangers et, dont, naturellement, le sens nous était incompréhensible.
Le 24 avril 1950 marque une date historique pour la première expédition UMMO. A cette époque nous n’avions qu’une idée très rudimentaire de la structure sociale qui régissait la mystérieuse planète Terre. Nous avions repris contact avec l’UUGEE (l’enfant français) qui, bien que de culture élémentaire, apprit à nos frères le sens de certains mots clef qui les renseignèrent suffisamment sur certains aspects aussi importants que l’existence de Nations Autonomes, la notion de l’argent et autres coutumes spécifiques des êtres terrestres. Le jeune français fournit deux exemplaires de la presse française, Le Monde du 22 avril et le Figaro du 17 avril, informant tous deux des bruits de graves maladie qui circulaient à propos d’un certain STALINE. L’UUGEE savait seulement que STALINE était « celui qui commande aux communistes » mot que nos frères rencontrèrent souvent et qui était, pour eux, plein de mystère. Une dépêche, en date du 23 avril, et parue dans le Monde du 24 informant, par exemple, qu’un certain Chiang Kay Shek avait décidé d’abandonner Hainan, dont la capitale, Hanoï était occupé par les communistes. ( Il nous fut impossible de savoir du jeune français, si le mot Chiang se rapportait à une machine, une entité, un groupe social ou un Oemii. Mais nos frères avaient appris quelque chose d’extrêmement important. Il n’existait pas, sur cette planète d’unité de langage ni de structure sociale. Les OEMII terrestres se rassemblaient par grands groupes de culture et de morphologie particulière, et, pour incroyable que cela puisse paraître, il était possible de se présenter à un groupe, ou à une nation, en se faisant passer pour membre d’une autre. Il était possible de simuler une langue existante sans créer le doute.
Le 24 avril , on fit le plan de pénétrer dans une habitation qui se trouvait à deux KOAE (soit 17,4 km – NDT) de notre base, pour surprendre ses habitants et, sans leur faire de mal, pratiquer un certain nombre de larcins dont ils recevraient compensation dans le futur (comme il en fut en 1952).
Celle-ci fut la première des quatre atteintes à la propriété que nous avons commises dans le département des Basses Alpes et des dix huit autres commises en France et en Suisse. Jamais, au cours de ces actions, les victimes ne subirent de sévices corporels et toujours elles reçurent des compensations. Dès que nous eûmes la possibilité de disposer d’argent, sans avoir à le voler, de falsifier des papiers d’identité et de connaître les caractéristiques de quelques armes, nous décidâmes d’arrêter de tels actes bien qu’à nos yeux ils étaient justifiés.
La nuit du 24 avril 1950, quatre de nos frères pénétrèrent dans une maison isolée en pleine campagne. Auparavant l’endroit où se trouvèrent les habitants de cette maison avait été reconnu par nos UULEWUA (sphères détectrices se propageant à une altitude quelconque, captant son et images). A trois heures du matin, le 25, les ouvriers, qui dormaient dans un appartement, un couple, propriétaire de la maison, et leurs trois enfants furent anesthésiés en plein sommeil.
Furent dérobés soixante dix mille francs (anciens) approximativement, des vêtements, des pièces d’identité (à partir desquelles nous en fîmes de fausses), deux stylos billes, un hygromètre représentant une religieuse, des clefs, des timbres-poste, un paquet de lettres et factures payées se rapportant à un tracteur, plusieurs journaux périmés. Des livres spécialisés sur l’élevage du bétail, un texte expliquant les caractéristiques d’une moissonneuse et la notice d’un tracteur. Une encyclopédie enfantine, un rouleau de papier hygiénique, un peu de désinfectant pour plaies, un réveil matin, deux ampoules incandescentes ( que vous, en Espagne, vous appelez « bombillas »), un morceau de savon. Nous arrachâmes un interrupteur électrique et le compteur électrique. En plus, quelques pièces détachées du tracteur, des tubes de médicaments sous forme de dragées, un cartable avec des devoirs scolaires, six paires de chaussures d’homme et deux de femme (tout ce qu’il y avait), le poste de radio, une bouteille de jus de citron, deux pommes de terre, un calendrier mural, un sécateur et un quinquet.
Une partie de ce butin fut camouflé à quelques quatre cent mètres en attendant d’aller le rechercher la nuit suivante, le reste fut transporté dans notre base souterraine.
Les huit jours suivants furent entièrement consacrés, par nos frères, à analyser ces curieux ustensiles, essayant de comprendre les textes imprimés et les images de l’intérieur des appartements. Tout était fascinant. Nos frères avaient visité ces étranges maisons chaulées, examinant les meubles faits d’une substance qui ne leur sembla pas d’une origine végétale. En éclairant à travers les fenêtres avec une lumière telle qu’on ne pouvait la remarquer, UURIO 79 fils de IYIIA 5, UORII 19 fille de OBAA 7 et ADAA 66 fils de ADAA 65 (mort sur Terre en 1957), furent les premiers, dans l’histoire, à observer une habitation terrestre. L’opération était menée par ODDIOA 1 fils de ISAAO 132.
Sur un grabat dormaient deux terriens sous l’effet d’un gaz anesthésiant. Bien que sachant déjà que, sur Terre, les YIE se laissaient pousser les cheveux, nos frères ne purent déterminer tout de suite leur sexe respectif. On leur retira leurs vêtements en en prenant un petit morceau. Les deux corps furent partiellement dénudés, et on préleva de la sueur des aisselles et du bas ventre. On préleva aussi des échantillons de poils venant de la tête, des bras, du pubis et des jambes, des échantillons de mucosité nasale, de poils et de sécrétion de la vulve. En plus des objets emportés, des fragments de meubles, d’ustensiles, de carrelage et de parement, furent prélevés et codifiés en fonction des images prises des objets auxquels ils se rapportent (en images sont des sortes de photos tridimensionnelles). Il ne fut pas possible de prélever de la salive sur aucun des terriens. Dans une veste emportée on trouva, en plus, un briquet et des cigarettes.
En même temps nous pûmes prélever des fragments sur des vaches présentes dans un enclos. Nous dûmes anesthésier deux chiens qui commençaient à envoyer de grands « cris » (ceci est la description la plus juste des notes enregistrées à cette date).
Aussi étrange que cela puisse paraître, nous constatâmes avec regret que, malgré le grand nombre d’échantillons et d’objets en notre possession, si l’analyse effectuée nous renseigna exactement sur leur composition chimique, il n’en fut pas de même quant à leur fonction ou utilité.
Par exemple, il nous fut impossible de déterminer l’utilité des morceaux de savon. Toutes les méthodes employées pour trouver l’utilité du « quinquet » conduisirent à un échec. A part cela, ce fut merveilleux de trouver que le moteur du compteur fonctionnait sur du courant alternatif et de voir comment les indications portées sur le cadran frontal étaient liées à l’énergie. Mais il nous fut impossible de déterminer si cet appareil servait à mesurer le TEMPS ou une autre GRANDEUR périodique quelconque. La fonction d’un vieux réveil matin nous intrigua pendant quelques UIW. Dans un premier temps nous avons craint que cet appareil, s’il était constitué d’un émetteur, présente un risque de faire découvrir nos frères. Les caractéristiques purement mécaniques furent rapidement découvertes. A cause de sa sonnerie nous doutions sérieusement de son utilisation en tant qu’appareil à mesurer le temps.
Nous avons commis une grave erreur quand, pour prélever un fragment de filament, nous perçâmes prudemment le verre de l’ampoule électrique, retardant beaucoup notre connaissance de l’utilité de cette ampoule. Les filaments s’oxydèrent rapidement et fondirent quand on les soumit à une tension croissante. Les cigarettes furent identifiées grâce à des photos d’OEMII prises antérieurement. Nous crûmes qu’il s’agissait d’un dispositif émetteur d’un gaz permettant aux terriens de respirer plus facilement. Nos frères furent assez déconfits de ne pas trouver, à l’intérieur, les mécanismes compliqués auxquels ils s’attendaient. L’énigme n’en fut que plus forte.
Mais il ne fit aucun doute que l’importance de l’argent en billets de banque, des vêtements et des chaussures dépassait largement celle des autres objets.
Nous comprenons fort bien que les graves extorsions que nous avons pratiqué dans cette famille française pacifique soulèvent chez vous l’indignation, bien que cette famille fut largement indemnisée ultérieurement. Nos frères furent préoccupés par les conséquences de telles actions. Toute sortie fut interdite à tous, et les alentours furent observés tout en préparant tous moyens de défense. Mais à part l’agitation dans la ferme et les allées et venues de quelques terriens entre la ferme et le petit village, rien ne semblait anormal. Et, au cours de la même nuit, on put récupérer la partie du butin cachée dans les environs.
D58
Référence : | D58 |
Titre | LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS |
Destinataire(s) et date(s) | Alicia Araujo à Madrid à partir du 7 mars 1967 |
Commentaires | Plusieurs lettres concaténées |
UMMO AELEWE
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 07/03/1967
Langue : Espagnol
Vous recevrez avant douze jours un document dans lequel nous vous révélerons les bases biogénétiques qui contrôlent les mutations internes créatrices des différents « PHYLUM » ou RAMES des êtres vivants, ainsi que les phases progressives de neuro-encéphalisation de l’OEMII.
Nous considérons que ce rapport est très important pour vous et il faut le faire connaître à vos frères. Il aidera sans doute les recherches des biophysiciens terrestres.
UMMO AELEWE
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 03/04/1967
Langue : Espagnol
Nombre de copies: 1
LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS
Souvent les hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale.
Présente-t-elle les caractéristiques d’un état démocratique de droit ?
Est-elle peut-être un Etat Social de droit ?
S’agit-il d’une structure socialiste particulière ?
Présente-t-elle les aspects classiques d’une Société libérale ou, au contraire, son « échafaudage » rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l’Allemagne d’Hitler, l’Union Soviétique de Staline, l’Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ?
S’il n’en est pas ainsi, pourrait-elle ressembler à l’ancien Etat théocratique du TIBET ?
Mais, peut-être que le fait que UMMO soit régi par Quatre OEMII vous donnera à penser qu’il s’agit là d’une forme particulière d’Oligarchie ou de Polycratie.
Dans un autre ordre d’idées, les questions peuvent s’orienter vers le niveau d’intelligence que nous avons atteint dans notre OYAA (astre froid); c’est à dire le degré de développement qu’atteint notre neuroencéphale dans la phase actuelle de développement évolutif de notre réseau social.
Ces deux séries de questions peuvent à première vue n’avoir rien en commun.
Mais une analyse objective et systématique apporterait non seulement un éclairage suffisant sur leur mutuelle interdépendance, mais aussi pour leur intervention correct en révélant une étude préalable sur les véritables racines des développements sociopolitiques, psychosociaux et encéphaliques de l’Humanité de UMMO. Ces racines ne sont ni plus ni moins que les bases biogénétiques de l’évolution de tous les Etres vivants dans notre WAAM (univers).
C’est pour cela que, avant de pénétrer dans un thème aussi précis et détaillé que notre organisation politique ou que l’analyse de la capacité intellectuelle qui commence à se développer dans l’embryon de l’OEMII au sein de l’utérus maternel, il faut absolument recouvrir à une vision globale (quoique vulgarisée) de l’ensemble des mécanismes qui régissent l’évolution.
Dans les paragraphes suivants nous vous informerons sur une série de questions qui nous paraissent fondamentales. Dans certains cas nous reviendrons sur des concepts qui sont presque familiers aux biophysiciens de la Terre, comme la structure des chromosomes nucléaires, les mutations génétiques et la base du code génétique ou de la Vie.
Mais à coté de ces concepts que vous tous, même non spécialisés en biologie, devez connaître, nous allons voir toute une série de révélations transcendantes pour vous car les spécialistes terrestres en Biochimie ignorent leur existence.
Cela vous aidera à compléter quelques lacunes qui faisaient que certains mécanismes d’évolution étaient incompréhensibles. (par exemple : les mutations internes qui, au lieu de provoquer une dégénérescence ou une régression de l’être vivant, donnent un perfectionnement des structures somatiques).
Toutes ces révélations ont une telle importance que nous vous invitons à en faire part à vos frères biologistes de la Terre. Ce paragraphe peut leur servir pour organiser, pour orienter leurs recherches dans le domaine de BAAYIODIXAA (facteur extrêmement important que nous allons expliquer).
Avant de définir les bases biogénétiques, vous pourriez nous poser cette dernière question :
Serait-il possible que les constitutions nationales de la Terre soient modifiées si on adoptait à leurs structures celles de UMMO, les bases sociales de notre Humanité, nos coutumes, notre mode de vie, notre industrialisation et d’autre facteurs qui caractérisent l’espèce OEMII de UMMO ?
Notre réponse objective et parfaitement analysée est la suivante :
MAINTENANT, ABSOLUMENT PAS !
D’ailleurs il n’est pas nécessaire d’en expliquer les raisons, n’importe quel homme terrestre intelligent serait tout à fait capable d’arriver à la même conclusion.
Cette affirmation pourrait être gênante pour la sensibilité et l’amour propre des terriens : cette question serait aussi ingénue que d’envisager la possibilité qu’un enfant en bas-âge puisse réaliser un missile téléguidé. Cela semblerait vouloir dire que les frères de UMMO ont un concept péjoratif vis à vis de l’Homo-sapiens de la planète OYAGAA (Terre); et qu’ils vous considèrent comme de simples UUGEEYIE (ENFANTS) par rapport à eux.
Mais cette susceptibilité n’est ni raisonnable ni justifiée, car notre attitude envers vous n’est pas du tout péjorative, elle est toujours imprégnée d’un profond respect, étant donné que vous vous trouvez dans une phase du processus évolutif moins avancé dans le temps que nous.
Quand nous nous référons à la maturité physique d’un OEMII (corps) c’est à dire à l’état que vous appelez période adulte, vous ne devez pas oublier que nous nous référons au cadre de référence d’un Macro-Groupe Planétaire.
Il s’agit donc d’une référence RELATIVE. L’adulte possède un psychisme différent de celui du UUGEEYIE ou de l’adolescent de ce groupe. Véritablement, les réactions primaires d’une panthère adulte sont différentes de celles de son petit; mais n’oubliez pas que l’homme terrestre actuel, tout comme l’OEMII de UMMO, sont des êtres en continuel processus évolutif. Les cadres PHYSIQUES et HISTORIQUES que nous avons vécu sur UMMO et sur TERRE sont très différents. Ceci est naturel si vous tenez compte du MILIEU Géologique, Atmosphérique, Radioactif, Gravitatoire, Magnéto-électrostatique et Chimique qui présente sur UMMO des différences quelques fois importantes par rapport à votre Planète.
N’oubliez pas par exemple, qu’une plus grande protection atmosphérique nous a protégé de l’action dégradante de mutations extérieures provoquées par la radiation cosmique, le degré de dégénérescence de certains phylum à été moindre et le variations raciales presque inexistantes.
Tous ces facteurs donnent des caractéristiques particulières à chaque macrogroupe social planétaire car le milieu écologique à été différent même si la structure somatique des hommes est similaire pour toutes les planètes habitées par des êtres doués de raison. Mais de plus, la période entre l’hominisation des anthropoïdes précurseurs sur notre UMMO et l’époque présente est beaucoup plus importante que son équivalence terrestre.
Dans ces conditions il n’y a rien de surprenant à ce que notre degré de civilisation soit plus avancé que celui de la Terre.
Vous savez que les organismes se développent progressivement grâce à une série de facteurs que vous connaissez en partie.
Les biologistes terrestres attribuent ces changement évolutifs capables de transformer un anthropoïde en un homme aux radiations extérieures et à la sélection du milieu. Toute mutation d’un gène donnera lieu ensuite à un changement structural de l’organisme. Mais ceci est une vérité incomplète avec certains éléments erronés.
Nous avons découverts les lois biogénétiques et les vrais facteurs qui régissent l’évolution de la vie dans WAAM.
FAITES TRES ATTENTION :
Vous savez que tous les tissus animaux et végétaux sont formés de millions de cellules. En employant la terminologie de la Terre, nous vous rappelons que dans ces cellules il y a quatre éléments ou parties importantes.
Voir IMAGE 1
Une masse complexe appelée PROTOPLASME.
Une masse centrale appelée NOYAU.
Une membrane qui entoure la cellule.
Une membrane qui entoure le NOYAU.
Un modèle didactique de cellule peut être représenté par l’oeuf d’un oiseau. Le blanc représenterait le protoplasme, le jaune : le noyau et la membrane serait représentée par la coquille.
Ce modèle est cependant très grossier car, par exemple, la MEMBRANE cellulaire est beaucoup plus complexe qu’une simple coquille. Vous avez tous étudié qu’au sein du NOYAU cellulaire il y a des structures filamenteuses appelées CHROMOSOMES. Ces filaments complexes revêtent une grande importance car ils enferment une partie du mystère de la vie. Mystère que nous avons éclairci il y a bien longtemps.
En effet, chaque fibre chromosomique est porteuse de modules capables d’emmagasiner les CARACTERES de L’HEREDITE que nous appelons IGOOA ENMEE et vous GENES.
Une comparaison grossière pour les non initiés en biophysique pourrait consister à comparer les XAAXADOO (chromosomes) avec une bande de papier perforé selon ce code et qui représenterait le texte complet de ce message.
Ce message porté dans le XAAXADOO (chromosomes) n’est rien d’autre que les instructions pour que le foetus contenu dans la matrice puisse posséder des traits qui vont le différencier de ses autres frères.
Le chromosome donne les ordres par lesquels l’être vivant et porteur des gènes adéquats, sera différent d’une colombe ou d’un reptile.
Chaque IGOOA ou GENE représente un caractère défini : La couleur bleue de l’iris de l’oeil; la forme du rectum ou la pigmentation noire de la peau d’un Hottentot terrestre.
Le chromosome dicte les ordres qui vont faire que l’être vivant qui en sera porteur sera différent d’une colombe ou d’un reptile.
Si un agent étranger, un plomb de chasse par exemple, faisait une nouvelle perforation sur la bande de papier, une de ses lettres serait altérée.
Il se peut alors que tout le sens du message en soit sensiblement altéré. De même un faisceau de radiations (rayons x, neutrons rapides, électrons etc …) par son incidence sur le chromosome pourrait l’altérer jusqu’à un tel point que le nouvel enfant de cet être vivant pourrait naître avec les yeux sombres ou même sous forme de monstre.
Les spécialistes de la terre savent tout cela et ils connaissent aussi la structure intime du code génétique d’ailleurs beaucoup plus complexe que notre exemple de bande perforée.
Avant de continuer, vous pourrez trouver dans notre appendice n°I une sorte de sommaire sur ces chromosomes. Les conclusions des biologistes terrestres sur les chromosomes ne différent guère du concept que depuis de nombreux XEE (Unité temporelle équivalente à la translation de UMMO autour de notre astre chaud IUMMA) nous avons au sujet du XAAXADOO (chromosome) sauf en ce qui concerne les chaînes protéiques et leur fonction dans le chromosome, domaine où vous commettez quelques erreurs.
[COMMENTEZ LE TEXTE ET REPOSEZ-VOUS ]
LIRE L’APPENDICE I. [voir plus loin Nd Infor de Saisie]
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Aucune dose de radiation, aussi faible soit-elle, n’est pas sans produire des effets et présenter un degré de probabilité de provoquer une mutation, souvent mortelle, et c’est pour cette raison que nous ne comprenons pas l’inconscience de certains gynécologues terrestres qui soumettent les femmes enceintes à un procédé de radioscopie ou de radiographie sans prendre la moindre précaution.
Si dans les XAAXADOO (chromosomes) il ne se produisait jamais de mutations, les êtres vivants continueraient à perpétuer leur structure durant des millions d’années.
L’évolution ne serait pas possible sur aucune Planète. Un mollusque répéterait sa morphologie de génération en génération sans jamais se transformer.
Mais les biochimistes terrestres se posent la question suivante : comment les mutations (ces phénomènes accidentels qui modifient le code de la vie) font-elles pour se produire toujours dans un sens positif (orthogenèse), en perfectionnant les espèces, en faisant progresser leur morphologie, leur système nerveux ou leur organes capteurs de stimulations physiques, en perfectionnant l’ensemble des mécanismes organiques de génération en génération et ce chaque fois qu’une mutation se produit ?
Nous allons prendre une comparaison : si les radiations et leur action génétique peuvent être comparées aux effets d’une balle sur une cible (la cible étant le chromosome), nous pouvons alors imaginer un tireur faisant feu sur les colonnes du Parthénon en GRECE. Pouvons nous supposer alors que les impacts des balles, au lieu d’enlaidir la sculpture, puissent faire au contraire dans la pierre de beaux motifs et d’élégantes caryatides sur les chapiteaux ? Comment se fait-il que le processus d’encéphalisation de l’homme aille en s’améliorant et que de futures générations d’hommes jouissent d’une écorce cérébrale plus perfectionnée, que notre esprit soit capable de résoudre des problèmes mathématiques mentalement sans recourir à des algorithmes auxiliaires comme le faisaient nos Ancêtres ?
Seulement à cause d’un bombardement, au hasard, de neutrons ou de deutérons ?
Seulement parce qu’un noyau d’hélium agit sur le IXOORAA (ADN) et altère la position d’une molécule de thymine ou de guanine ?
Quand ils devraient surtout provoquer une aberration génétique et donc créer un être monstrueux aux bras atrophiés ou sans poumons !
Nous devons à notre scientifique AOYOO 221, fils de AOYOO 217 d’avoir découvert le mystère de ce processus biogénétique.
On avait découvert depuis longtemps que dans l’encéphale de l’homme il y avait des atomes de krypton (un gaz noble que vous connaissez) et on put révéler la transcendance de cette découverte. Il s’agissait tout simplement du OEMBUAW, TROISIEME FACTEUR DE L’HOMME, que vous ne connaissez pas et qui exerce la fonction de trait d’union entre l’AME et le CORPS (BUAWAA et OEMII).
69 XEE auparavant [18 mois environ NdT], INNAI 3, fils de INNAI 2 en réalisant des expériences de fécondation en laboratoire avec des spermatozoïdes de AAGA IEGOSAA (antropoïde ressemblant au singe terrestre) sur des ovules de YIE (FEMELLE HUMAINE), avait pu vérifier la position spatiale des atomes composant un sucre que les chimistes terrestres appellent désoxyribose et que nous connaissons sous le nom de UUDUA GOO. Les molécules de ce sucre se trouvaient à l’intérieur du noyau de l’ovule de la femme.
Il fut stupéfait de découvrir la présence de nombreux atomes de Krypton
.
Ceux-ci se trouvaient aux extrémités de la chaîne hélicoïdale de l’acide désoxyribonucléique en formant plusieurs paires (au total 86 ensembles biatomiques) qui tournaient en orbite commune et les plans orbitaux, sensiblement parallèles, étaient sur un axe commun (l’axe A-B sur la figure).
Cet axe décrivait en même temps un mouvement vibratoire harmonique dont la fréquence et l’amplitude étaient fonction de la température (0,2 Mégacycles pour une température de 35° centigrades terrestres).
On n’avait pu jusqu’à présent détecter de telles séries ordonnées d’atomes de gaz Krypton que chez les cellules germinales de l’homme et chez les animaux pluricellulaires; mais plus tard la découverte fut étendue au reste des cellules.
Comment se fait-il que nous n’ayons pas découvert avant ces atomes ? Il faut tenir compte du fait que même s’il s’agit de 86 atomes, ces chiffres sont infimes pour pouvoir être facilement contrôlés et détectés.
Souvenez-vous que dans un millimètre cube de gaz Krypton très raréfié on peut compter statistiquement jusqu’à un chiffre de l’ordre de 10 exposant 9 (mille millions) atomes libres.
La première hypothèse de notre scientifique fut d’identifier ce krypton avec le OEMBUAW (troisième facteurs de l’homme déjà cité) mais à sa grande surprise il ne trouva aucun symptôme de codification électronique dans ses niveaux énergétiques subatomique.
Les études durèrent pendant 9 XEE jusqu’à ce que AOYOO commence ses recherches.
Lui-même avait formulé au début une hypothèse qui s’est effondrée; mais il eut la gloire de découvrir enfin la véritable signification de la fonction du BAAYIODUU; nom que nous donnons à cette série de 86 atomes de krypton.
LA FONCTION BIOGENETIQUE DU BAAYIODUU
Au début AOYOO 22 était convaincu que ces atomes de krypton étaient inactifs dans les cellules sexuelles de tous les êtres vivants. Il pensait que ces atomes étaient la source à partir de laquelle ils migreraient, dans les futures générations, vers l’encéphale ou cerveau pour former le OEMBUAW (troisième facteur de l’homme). Pour démontrer la viabilité de son hypothèse il prit des cellules germinales masculines (spermatozoïdes) de 34 espèces de vertébrés pour une analyse détaillée.
La stupeur des spécialistes qui aidaient AOY00 22I fut extraordinaire quand ils réalisèrent l’analyse de la distribution électronique de ces atomes de krypton. Comme vous le savez, les électrons occupent dans chaque niveau subatomique des positions instantanées dont la fonction est régie par le hasard. Il existe un principe d’indétermination suivant lequel chaque électron se situe en des points distincts sans être régis par aucune loi (nous appelons ces positions IBOZOO WOO et il ne faut pas les confondre avec le concept de point mathématique dans un espace tridimensionnel).
Mais dans les atomes en question, les positions étaient évidemment régies par un synchronisme déconcertant. Les atomes homologues dans les chaînes du BAAYIODUU des différents spermatozoïdes présentaient une distribution semblable et synchronique.
Ils ressemblaient à des pendules qui fonctionnaient à l’unisson, comme s’ils étaient liés par d’occultes émissions de radiation qui stimulaient un tel comportement ou comme si un mystérieux phénomène de résonance obligeait tous les électrons à être régis par le même modèle.
On pouvait peut-être penser que la proximité des cellules en train d’être étudiées était responsable de cet effet de résonance. Mais par la suite on découvrit que tous les êtres vivants de UMMO se comportaient de la même manière dans leur BAAYIODUU. (beaucoup plus tard nous avons dû reconnaître que ce phénomène est cosmologique; la théorie et l’expérience l’ont définitivement confirmé). Ainsi, par exemple, des êtres vivants d’autres Planètes présentaient le même phénomène.
En 1951 nous avons pu vérifier une fois de plus l’universalité du Principe, par l’étude des cellules humaines des OEMII de la Terre. Le synchronisme avec les atomes du BAAYIODUU de UMMO et d’autres Planètes était parfait.
Mais vous ne devez pas être surpris qu’il en soit ainsi. Cela vous paraîtra logique quand nous vous expliquerons dans le texte suivant la véritable fonction du BAAYIODUU.
Vous comprendrez alors que vous êtes encore très loin d’avoir atteint la compréhension complète des intimes mécanismes qui régissent la vie.
Et nous-mêmes, nous n’y sommes pas encore arrivés malgré cette découverte transcendante.
Vous comprendrez que le code génétique enfermé dans l’acide désoxyribonucléique n’est qu’un échelon de cette chaîne de facteurs qui expliquent le comportement de la matière animée par la vie, inspirée à son extrémité par WOA (DIEU).
APPENDICE 1
Un XAAXADOO (chromosome) est une structure en forme de filament qui se trouve dans le noyau de la cellule à partir de l’une de ses phases de reproduction et à partir d’un composant que vous appelez CHROMATINE. La structure du XAAXADOO est complexe; agrandie par nos équipements de visualisation gravitatoire, elle se présente comme un long régime d’atomes.
Nous utiliserons votre nomenclature car les véritables composants sont connus par les biologistes terrestres.
(IXOUURAA) Acide désoxyribonucléique (ARN) [Erreur, en fait : ADN NdT]
(UOUORAA) Acide ribonucléique (ADN) [Erreur, en fait : ARN NdT]
(NOI OULOO) Histones
(DOA DOEE) Protamine
(IXIMOO) Protéines Spéciales
L’acide désoxyribonucléique (ARN) [Même erreur Nd Infor de Saisie] porteur du code programmé des IGOOA (Gènes) est très important. Ses informations symbolisées (en lui) « dictent réellement les ordres qui serviront pour matérialiser les traits caractéristiques de chaque animal ou plant. Regardons le mecanisme de programmation et réalisation.
Le IXOUURAA (ARN) [Même erreur Nd Infor. de Saisie] présente une structure spatiale de forme hélicoïdale (HELICE DOUBLE).
Ses composants les plus importants sont :
O (IOGAARAA) Acide phosphorique
O (UUDUAGOO) Sucre désoxyribose
O (IXOIAROO) Adénine (nucléotide)
O (IUAGAROO) Thymine (nucléotide)
O (IDUIROO) Cytosine (nucléotide)
O (IVOOROO) Guanine (nucléotide)
Ses composants basiques sont enlacés de la manière suivante :
Et forment une fraction élémentaire de la double hélice précitée. Vous pouvez remarquer que les situations relatives des quatre derniers composants (adénine, thymine, cytosine et guanine) s’alternent d’une façon apparemment capricieuse.
Mais c’est précisément cette distribution des quatre IGOOMII (facteurs symboliques du CODE) qui permet de porter le
message. Chaque série de quatre bandes ou paires peut représenter un symbole ou IGOOA (gène ) programmateur de protéines. (ce n’est qu’un symbole génétique parmi tant d’autres.)
Comment ce système de programmation peut-il servir à fabriquer des protéines ?
Le processus n’est pas tout à fait inconnu de vous : deux chaînes de UOURAA acide ribonucléique (ADN) [Même erreur que précédemment Nd Infor de Saisie] dont les structures ressemblent à celle du désoxyribonucléique, même si elles sont moins complexes.
O [Ce O a sans doute un rapport avec la figure Nd Infor de Saisie] symbolise la liaison (UUIDUINOO) RIBOSE qui le distingue du désoxyribonucléique.
Elles remplissent des fonctions différentes.
Premièrement il faut distinguer deux types de chaînes (UOUOURAA) ribonucléique.
La première B est un calque du message chiffré de l’acide désoxyribonucléique.
La seconde C est porteuse d’un (IXI) aminoacide (souvenez-vous que les aminoacides sont de véritables modules ou liaison de protéines).
En fait le processus est beaucoup plus complexe car y interviennent aussi des RIBOSOMES, des ENZYMES et un facteur que vous ne connaissez pas et que nous appelons AIGOOXAADA, nous essaierons de le schématiser en employant des métaphores ou images plus compréhensibles pour les novices en chimie biologique.
1° Phase :
Dans le chromosome préexiste (depuis la première mutation) une séquence de symboles codifiés en fonction de la situation des nucléotides dans l’acide désoxyribonucléique. Nous symbolisons ceci avec une bande codifiée en MORSE TERRESTRE. (Conservée dans le bureau d’un directeur d’usine). [Métaphore précitée NdT]
2° Phase :
Dans le noyau de la cellule se forme une chaîne d’ACIDE RIBONUCLEIQUE; calque de l’antérieur. Cette chaîne passe au protoplasme de la cellule à partir du NOYAU en portant le message. Vous pouvez imaginer qu’il s’agit d’une copie de la bande précédente qu’un ingénieur a réalisé dans le bureau précédemment cité et qu’il amène dans l’atelier de fabrication. [Suite de la métaphore NdT]
3° Phase :
Dans le cytoplasme existe en plus une série d’aminoacides d’un type différent. Il ne faut pas oublier qu’une molécule protéinique est composée par un ensemble de différents types de composants. Une chaîne protéinique se distinguera d’une autre précisément par l’agencement et l’ordre de ces acides aminés.
Chaque aminoacide est codé avec un symbole clef de Trois Signes (qui comprend le code enfermé dans l’ADN). Ensuite sur la chaîne ou moule acidoribonucléique, se disposeront en s’encastrant SEULEMENT LES AMINOACIDES dont le chiffre de code correspond au message.
D58_FIG8
Les chaînes protéiques ainsi composées donnent forme à la structure de chaque être vivant. Chaque animal ou plante a été fabriqué en obéissant aux ordres codés dans le (XAAXADOO) chromosome matrice.
FIN DE L’APPENDICE
Nous avons réalisé cet appendice pour vous expliquer un processus qui est presque connu par vous.
Il reste donc à analyser comment se codifie les ordres dans le propre XAAXADOO (CHROMOSOME).
Nous avons vu que les permutations mathématiques des quatre nucléotides (IXOI AROO) : ADENINE (IUAGAROO), THIMINE, CYTOSINE, et (IUOOROO) GUANINE suffisent en pour codifier les caractères héréditaires.
Que se passe-t-il si une chaîne du hélicoïdale d’acide désoxyribonucléique « tombe » sur un faisceau de radiation (par exemple des neutrons).
L’impact, s’il n’y a pas rupture du chromosome, peut entraîner au minimum une altération de l’ordre des nucléotides. Il change alors le sens d’interprétation de ceux-ci et on dit que s’est produit une IDUGOO (MUTATION).
Mais toutes les IDUGOO ne sont pas provoquées par radiation incontrôlée venant de l’extérieur (rayons cosmiques, explosion d’arme nucléaire, etc…).
Au contraire, de nombreuses mutations sont provoquées dans l’individu même par un mécanisme que vous ne connaissez pas.
Ainsi, par exemple, une espèce de reptiles, comme les lézards peut vivre des milliards d’années dans une zone marécageuse jusqu’à ce qu’un jour se produise une mutation par laquelle la nouvelle espèce de lézards nait pourvue de grandes membranes palmées qui lui permette de nager commodément dans l’eau.
Que s’est-il passé ?
Nous vous conseillons de suivre dans le paragraphe suivant cette passionnante explication consistant à spécifier la fonction qu’adopte dans ce processus la série de 86 paires d’atomes de KRYPTON découverte par nous sous le nom de BAAYIODUU.
[REPOSEZ VOUS]
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 17/04/1967
Langue : Espagnol
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
LES BASES BIOGENETIQUES DU WAAM (COSMOS).
Nous vous avons déjà indiqué qu’un facteur appelé par nous BAAYIODUU (en réalité une chaîne de doubles atomes de Krypton) présente une double mission .
PREMIEREMENT : Il emmagasine, depuis la création du WAAM, au sein des êtres vivants une INFORMATION CODEE de tous les ETRES organiques possibles qui le composent [le = WAAM NdT].
DEUXIEMEMENT : Il capte l’information du Milieu Ecologique environnant et il compare cette information avec celle citée au premièrement; et dans certains cas, il pourra provoquer une nouvelle mutation qui donnera lieu à un nouvel être vivant (être vivant déjà dessiné dans le code précédent).
Pour les profanes en sciences Biologiques, nous utiliserons une comparaison facilement compréhensible; (n’oubliez pas que ces rapports sont essentiellement didactiques : nous ne prétendons pas développer exhaustivement des thèmes implicites dans le domaine de la Biochimie, de la Génétique Moléculaire et autres niveaux de la Biologie Générale que vous connaissez déjà).
D’autre part le développement excessivement technique de nos concepts n’est pas possible pour des raisons évidentes.
Nous nous limiterons à une simple description.
Supposez que dans un pays de la Terre, un pays très développé techniquement, on y ait installé une grandiose usine d’avions. Le financement d’une telle entreprise a été effectué sans réserves et avec tous les crédits nécessaires, ce qui devrait permettre à sa Direction de développer des programmes inaccessibles aux autres Firmes industrielles moins importantes.
La possession de tels moyens extraordinaires a amené les Directeurs et les Techniciens de l’Usine à créer un projet ambitieux.
Ce programme inédit consisterait à créer un Cabinet d’Etudes de tous les moyens techniques existants.
On a construit des milliers de tunnels aérodynamiques, des laboratoires de Métallographie qui occupent des douzaines de bâtiments, des bureaux d’information et de documentation avec des canaux informatifs connectés avec tous les centres de recherches de la Planète et des centaines de milliers d’ingénieurs, physiciens et spécialistes en électronique se sont mis en rapport pour planifier cette recherche (I)
(I) On peut imaginer qu’un tel projet est une pure fiction, tel qu’il est présenté, il ne pourrait jamais être mené à terme.
Il s’agit ni plus ni moins que de confectionner les plans, pourvus de tous les éléments techniques nécessaires pour leur réalisation, de TOUS LES MODELES D’AVIONS SUSCEPTIBLES DE SE DEPLACER AU SEIN DU FLUIDE : AIR.
Il n’est pas nécessaire d’être technicien pour comprendre l’importance d’un tel projet. Il est impossible de calculer le nombre de billions de Modèles qu’il faudrait dessiner (c’est pour cette raison que nous vous avons averti que ce projet n’était qu’une simple fiction prise comme exemple au niveau de ses effets didactiques).
Une fois ces plans dessinés en fonction de chaque nécessité et des conditions aéronautiques ou de navigation aérienne, les ordinateurs se chargeraient d’accumuler une telle information dans le moins d’espace possible.
Il ne viendrait à personne l’idée d’emmagasiner tant de millions de tonnes de papier dans des archives normales. On aurait plutôt recours à une traduction codée des images à l’aide de transducteurs appropriés, à une accumulation codée des faits sur bande magnétique ou perforée comme on le fait sur Terre, ou sur des cristaux de Titane selon la méthode employée sur UMMO.
Continuons notre fable : un jour on réalise un vol avec l’un des modèles les plus modernes en aile Delta; avec un réacteur pour des plafonds de 12 000 mètres.
Celle-ci doit voyager au dessus d’une région ennemie pourvue de missiles à détection de radiation infrarouge pour détecter l’émission de tels rayons issus de tuyères correspondant aux turboréacteurs. Les avions sont détruits les uns après les autres, la survie de l’appareil est en danger. Le Milieu qui l’entoure est INCOMPATIBLE avec « l’espèce » [ dit en langage biologique NdT ].
Mais les ingénieurs qui sont dans les avions ne perdent pas de temps. Avec leurs équipement ils détectent les causes de l’échec et ils codifient les éléments du problème.
Ils observent par exemple que les missiles ennemis ont des réflecteurs paraboliques à l’intérieur de leurs ogives plastiques, que celles-ci n’émettent pas d’ondes haute fréquence et donc qu’elles ne sont pas destinées ou capable d’émettre des ondes radar; ils observent de quelle manière les trajectoires de tels missiles s’orientent statistiquement en direction de leur propre avion.
Ils découvrent en somme que de tels projectiles air-air sont pourvus de bolomètres [ détecteurs de chaleur NdT ] très sensibles.
Il faut donc une mutation dans le dessin de l’avion. Mais on n’a pas le temps d’en faire le projet et d’essayer le prototype.
C’est alors que le grandiose projet de tout à l’heure va avoir une application pratique.
Il suffira d’interroger la mémoire centrale pour obtenir un prototype de performances aussi bonnes, assez semblable au modèle antérieur, mais possédant une couronne protégeant la tuyère afin d’atténuer la radiation, à l’extérieur, des fatidiques rayons infrarouges.
Les dessins du nouveau modèle sont déjà prêts et la réalisation en sera beaucoup plus facile.
Nous pensons que vous comprendrez facilement la comparaison. Bien sûr de nombreuses questions surgissent: par exemple comment WOA (DIEU) peut-il résoudre la codification de tous les Phylum possibles qui peuvent exister dans le Cosmos ?
Il ne faut pas oublier que de ces billions d’êtres possibles, seule une fraction insignifiante vit réellement dans les Astres habités. Nous reprendrons ce thème dans le rapport complémentaire ci-joint.
Même si le nombre de formes de vie compatibles est très élevé, nous vous prévenons que nous avons pu vérifier que certaines formes de vie NE SONT ABSOLUMENT PAS POSSIBLES.
Par exemple penser que, dans des Astres pouvant être habités, se seraient développés des êtres vivants basés sur des bases biochimiques différentes n’a pas de SENS. (basés par exemple sur la Chimie du Silicium ou sur la Chimie du Germanium).
TOUTE FORME BIOLOGIQUE EST NECESSAIREMENT LIEE A LA CHIMIE DU CARBONE.
Le problème est donc complexe et WOA a résolu cette loi en la matérialisant d’une manière qu’il n’est pas facile d’expliquer en quelques paragraphes.
EN PREMIER LIEU les atomes de Krypton qui composent le BAAYIODUU contiennent la clef codée de cette loi. Dans cette série de 86 paires d’atomes (pour chaque XAAXADOO (CHROMOSOMES)), se trouvent codées toutes les possibilités existantes d’ETRE ORGANIQUE qui peuvent se réaliser dans la nature.
On peut représenter graphiquement le réseau ou graphe très complexe qui représente la distribution ramifiée de cette Philogénie. Pour nous faire comprendre nous allons au préalable définir la signification de quelques symboles.
Nous appelons ONAUDOOXA XUU (on peut traduire par ARBORESCENCE) la série ramifiée des voies possibles ou « Phylum » qui correspondent à une mutation.
Chaque branche représente un XUU (PHYLUM), exemplaire ou variété animale possible
(figure 11)
Les IBOZOO DAO (NOEUDS) représentent le moment où se produit la mutation.
Chaque IBOZOO DAO comporte implicitement un nombre de MUTATIONS possibles.
Le symbole avec un chiffre sur la partie supérieure représente le nombre total de mutations possibles (connues à ce jour). Cette formule porte le nom de BAAYIODIXAA IDUGOO.
L’exemple doit être interprété comme le fait qu’une variété d’ARTHROPODE TERRESTRE peut se transformer en ,variétés « progressives » ou « régressives » en fonction d’autant d’autres mutations.
Vous pouvez observer que ce codage a un caractère de POTENTIALITE. Nous parlons de POSSIBILITES. Ensuite nous verrons que dans la réalité de chaque PLANETE, de toutes les mutations possibles pour chaque ONAUDOOYA XUU (ARBORESCENCE), seule une, deux, huit… possibilités se produisent dans la réalité.
Nous vous indiquerons aussi que quelques IBOZOO DAO (NOEUDS) étudiés ont révélé jusqu’à 200 000 possibilités de mutation et on pense que le chiffre limite peut atteindre dans certains noeuds jusqu’à 18 millions de mutations possibles codées dans les atomes de Krypton.
Prenons un exemple beaucoup plus graphique en utilisant des animaux terrestres aussi actuels que ceux apparus à la fin du Paléozoïque ou au début du Mésozoïque (TRIASIQUE), cela vous aidera pour la compréhension.
(figure 12)
Vous pouvez observer que l’une des rames (reptiles antédiluviens) a subi une série de mutations [à cet endroit se trouve sur le document original des parenthèses vide, certainement l’emplacement d’une formule que le traducteur a oublier de coller Nd Infor. de Saisie] représentée par cet IBOZOO DAO qui donna lieu à de nouvelles branches phylogénétiques. Trois de celles-ci sont représentées sur le graphique comme : PTEROSAURE, ARCHEOSAURE, ICTIOSAURE.
Se sont donc produit trois ou peut-être quinze mutations mais : Combien auraient pu se produire ? Cette réponse apparemment insoluble nous est apportée par le BAAYIODUU dans l’une de ses 86 paires d’atomes de krypton.
Le chiffre des possibilités est très élevé : de l’ordre de : 5.10 puissance 4 < N < 18.10 puissance 6
Pour mieux comprendre la phylogénie codée dans le BAAYIODUU, nous représentons avec la couleur VERTE les innombrables XUU (phylum ou branches) qui POURRAIENT SE PRODUIRE dans n’importe quel ASTRE dont les conditions physiques sont propice à l’apparition de la vie organique et en ROUGE les XUU qui se produiront EN REALITE.
Ainsi la Philogénie de notre exemple précédent adoptera cette nouvelle représentation :
(figure 13)
Quelle forme aurait adopté le X Saurien si une telle mutation s’était produite ?
Pourquoi une telle mutation ne s’est-elle pas produite ?
Et pourquoi ne se sont pas produites ces milliers de mutations qui auraient donné d’autres structures animales?
Ces questions qui peuvent paraître ingénues ont cependant des réponses que nous allons développer dans les paragraphes suivants.
Mais avant nous devons vous donner une explication concernant l’interprétation des « messages codés » enfermés à l’intérieur du BAAYIODUU.
Chaque changement d’un électron au sein d’une couche orbitale parmi les HUIT qui existent dans l’atome de krypton, code un XUU (Phylum) et nous voyons par un exemple didactique :
(figure 14)
Chacun des quatre sauts électroniques (ne confondez pas ces changements avec les sauts quantiques qui se produisent entre deux niveaux énergétiques de l’atome) représentera autant d’autre branches possibles. La morphologie qu’adopte réellement l’animal dans le cas où se produit une mutation sera fonction (en code) des positions électroniques des électrons des autres atomes du BAAYIODUU. (Nous répétons qu’en réalité le nombre des Phylums possibles n’est pas de quatre mais de nombreux millions). [A mon avis, cette dernière phrase fait référence à la FIG 14 où quatre Phylums sont dessinés en exemple Nd Infor. de Saisie].
Nous voyons donc que le BAAYIODUU enferme en « écrit en forme de CODE », toute la phylogénie des êtres vivants possibles dans le WAAM (COSMOS).
CECI A UNE IMPORTANCE TRANSCENDANTE.
En employant une comparaison accessible aux non initiés en Biogénétique, vous pouvez imaginer un livre qui détaille tous les modèles d’avions (non seulement ceux qui ont été construits, mais aussi ceux qui pourront être construits); un tel livre symboliserait la fonction du BAAYIODUU.
L’exemple est grossier car un tel livre serait un objet PASSIF et nos BAAYIODUU contenus dans les XAAXADOO (Chromosomes) adoptent une fonction opérante comme nous allons le voir maintenant.
Si nous représentons graphiquement la phylogénie possible de tous les être organiques qui peuvent exister dans le Cosmos, quelle forme aurait-elle ?
Avant tout nous devons objecter qu’une telle représentation graphique EXACTE n’est pas possible dans la mesure où les ONAUDOOXA XUU que l’on doit représenter (ARBORESCENCES) se comptent par « trillions de trillions ».
Exprimé par un exemple : nous pourrons représenter le contour topographique d’un bosquet et même enregistrer ses arbres mais nous ne pourrons jamais reproduire les innombrables branches et feuilles qui s’y trouvent.
La forme approximative d’une telle phylogénie serait la suivante :
(Figure 15)
Nos spécialistes ont pu seulement réaliser des études concernant les Phylums représentés en Jaune [Photocopie originale en noir et blanc NdT].
La complexité immense rend impossible tout travail de recherche. Et l’utilisation de XANMOO AYUBAA (ordinateurs) n’est pas suffisante pour ce type d’analyse (l’ordre de grandeur peut être de 10 puissance 520 ! )
Vous pouvez observer que dans les premières étapes de l’évolution le nombre de XUU (Branches) possibles est très réduit, aussi bien sur UMMO que sur n’importe qu’elle planète, les espèces protozoaires sont identiques.
ON POURRAIT TROUVER UN AMIBE, UN BACILLE DE KOCH OU UN VIRUS DETERMINE DANS N’IMPORTE QUELLE PLANETE.
MAIS au fur et à mesure que l’évolution avance, et que les conditions physiques de la Planète diffèrent entre elles, la sélection des XUU possibles produit des panoramas biologiques typiques pour chaque Astre;
Les animaux pluricellulaires connus sur Terre ne se créeront probablement pas sur une autre Planète et réciproquement.
Il se produit un phénomène analogue dans la zone de convergence. Les différents XUU s’orientent jusqu’au BUT de cette phylogenèse qui est l’OEMII ou corps humain.
Ce point de convergence (U) [sur la FIG 15 Nd Infor. de Saisie] se ramifie de nouveau en milliers de XUU possibles (RACES HUMAINES).
Le nombre possible de subespèces pour l’homme, analysé par nous, est de 9.10 puissance 6.
Le fait que de telles races existent ou non sur une Planète dépend ensuite d’autres facteurs comme nous le verrons par la suite.
Finalement on trouve un nouvel IBOZOO DAO (NOEUD) qui constitue le point de convergence définitif.
Aucune des Humanités connues n’a encore atteint ce pro-objectif. Une fois atteint, l’homme continuera une avance progressive dans son encéphalisation et agglutisation, mais ceci constitue un thème différent.
Entre les NOEUDS (U) et (X) [sur la FIG 15 Nd Infor de Saisie] des millions de mutations possibles provoquent des altérations (rarement régressives) dans la structure somatique du OEMII, en affectant spécialement le neuroencéphale dont le développement continu se traduit par de nouvelles dotations dans la gamme des fonctions intellectuelles humaines.
——————–
Nous avons vu que chaque chromosome a un BAAYIODUU que vous ne connaissez pas.
Sa fonction ne consiste pas à porter les gènes qui sont matérialisés dans l’acide désoxyribonucléique du chromosome mais de contrôler la viabilité des mutations internes qui, sans action radiologique externe, se produisent dans les différentes espèces tout au long du temps.
Les biologistes de la Terre expliquent l’Orthogenèse (c’est à dire la variation des espèces d’une manière progressive) par l’hypothèse de la sélection naturelle en fonction de laquelle les espèces les plus faibles dans leur lutte contre le milieu ambiant et organique sont éliminées; un tel processus sélectif orienterait les espèces vers un perfectionnement progressif à base de mutations.
Une telle explication est simpliste et ne résiste pas à une analyse sérieuse malgré votre méconnaissance du BAAYIODUU.
Des milliers d’espèces primitives coexistent avec d’autres beaucoup plus évoluées. N’importe quel biotype a une grande variété d’espèces en contradiction avec ce principe naïf.
Voyons, avant de répondre à la question de savoir comment se produit une mutation qui donne lieu à une espèce plus évoluée, le mécanisme somatique du IGOOA (GENE).
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 17/04/1967
Langue : Espagnol
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
Dans notre dernier rapport nous vous avons révélé l’existence d’un facteur encore inconnu de la biochimie TERRESTRE, et que nous appelons BAAYIODUU (le Y est presque muet et le D peur être pris comme un Z très doux).
Le BAAYIODUU est composé de 86 atomes doubles de krypton (l’expression ‘atome double’ serait incorrecte pour un spécialiste terrestre, mais il faut tenir compte des difficultés de traduction quand il faut transcrire nos mots scientifiques).
Par exemple l’étymologie de notre phonème NIIO AA qui signifie la même chose qu’Atome est très différente. Non seulement ses racines n’ont rien à voir avec les racines grecques (INDIVISIBLE) mais de plus ce mot NIIO AA nous sert aussi pour parler d’une molécule chimique ou d’un petit groupe d’atomes non liés entre eux.
Une telle confusion est issue de conceptions physiques différentes car nous, nous concevons les particules subatomiques comme de simples changements d’axes dans un réseau pluridimensionnel, liées à une fonction probabilistique. Ainsi quand de telles entités sont en relation, nous appelons cette interrelation à un niveau microphysique NIIO AA.
Ainsi par exemple, une paire formée par un Hipéron sigma et un proton au sein du noyau atomique, recevra aussi le nom de NIIO AA. Le même noyau recevra le nom de NIIO AA ainsi que l’interaction proton-électron. Pour différencier le type de NIIO AA que nous sommes entrain d’étudier, nous mettrons un chiffre codé devant le phonème.
Ainsi quand deux atomes exercent une fonction spécifique différente de celle des autres atomes contenus dans l’environnement, ils recevront aussi la dénomination de NIIO AA même si de tels atomes ne sont pas composés dans une molécule à l’aide d’une liaison chimique.
C’est le cas des paires de krypton dans le BAAYIODUU, des deux atomes liés à l’axe, l’un d’eux codifie l’information stéréotypée du code biogénétique.
Exprimé en termes plus didactiques : il enferme un message qui lui a été soumis depuis l’origine de l’Univers (nous pouvons démontrer que le WAAM n’est pas CYCLIQUE).
Un peu comme un dictionnaire terrestre ou un manuel (pour une paire de 86 atomes); une page de ce dictionnaire de 43 feuilles où sont cataloguées TOUTES LES FORMES POSSIBLES D’ETRES VIVANTS compatibles avec les lois biogénétiques universelles.
L’autre atome DYNAMIQUE a une double fonction que nous expliquerons plus tard.
En premier lieu, il CAPTE l’information issue du cytoplasme cellulaire en la codifiant temporellement.
En second lieu, il DYNAMISE une telle information accumulée en provoquant des altérations quantiques qui sous forme de radiation provoquent des altérations au sein des chromosomes (dans l’ADN) c’est à dire des MUTATIONS.
Il est nécessaire de présenter préalablement une série de déclarations sans lesquelles un profane en Génétique ou en Biochimie terrestre rencontrerait des difficultés dans la compréhension des concepts qui suivent.
La première question que vous pourriez formuler est celle-ci : Comment la cellule reçoit l’information concernant le milieu extérieur ? C’est l’un des aspects les plus importants du dynamisme cellulaire. Prenons un exemple :
Choisissons un être vivant qui vous soit familier : le crabe. Vous savez que l’une de ses espèces très courante sur les côtes américaines a une coloration bleue due précisément à la couleur de certaines roches recouvertes d’algues verdâtres-bleuâtres. Quel a été le processus qui a permis à cette espèce de crustacés d’obtenir cette coloration ?
Si cette variété de crabes avait été noire ou brune, elle posséderait moins de moyens de défense face à ses ennemis car ils pourraient facilement distinguer l’animal par son contraste avec le milieu chromatique qui l’entoure.
Le camouflage de la couleur lui permet au contraire de parfaitement se défendre sur ce terrain. Il en est de même avec les caméléons ou sur UMMO notre OERUU IIOSSAUUIGAA, vertébré qui peut se fondre parfaitement avec les roches couvertes de lichens jaunâtre très abondant dans la région volcanique de UUIDDAO UYOAA IIO.
Une multitude d’insectes qui vous sont connus adoptent des formes de branches, de pailles, de feuilles qui leur permettent un mimétisme absolu et défensif sans lequel l’espèce disparaîtrait.
Mais vous vous êtes sûrement souvent demandé comment la NATURE a pourvu l’organisme de telles défenses.
Ni l’hypothèse de la sélection naturelle des spécialistes en génétique terrestre, ni les hypothèses concernant la mutation provoquée par les radiations extérieures, ne peuvent expliquer un fait d’une telle importance.
Que s’est-il donc passé pour que se produise ce phénomène si surprenant de la coloration bleuté de ce crustacé?
En premier lieu, nous vous indiquons que ce sont par les deux voies d’information que possède une cellule :
– CANAL CHIMIQUE D’INFORMATION
– CANAL RADIOELECTROMAGNETIQUE D’INFORMATION
Ainsi, tout être organique complexe, tel l’homme, possède une série d’organes appelés SENS par les terrestres, (organes qui le mettent en contact avec le monde extérieur grâce à l’information captée sous forme d’ONDES); la cellule a aussi des moyens d’information qui lui permettent d’être en relation avec le milieu extérieur par l’intermédiaire de sa membrane compliquée.
Ces moyens sont, en premier lieu, les fréquences ELECTROMAGNETIQUES DE TOUTES LES LONGUEURS D’ONDE. Depuis celles qui possèdent une longueur d’onde de plusieurs kilomètres et que vous appelez Grandes Ondes jusqu’aux vibrations de grande énergie et de très haute fréquence que vous appelez d’une manière incorrecte Rayons Cosmiques
En second lieu, la cellule choisit à travers sa membrane de laisser passer certains composées chimiques. La cellule choisit à travers sa membrane de laisser passer certains composés chimiques. La cellule mémorise la déglutition de tels produits. Un peu comme si nous les Hommes nous utilisions pour communiquer entre nous, un langage codé dans lequel au lieu d’utiliser les vibrations de l’air, c’est à dire des SONS, nous utilisions des Aliments et en mastiquant nous comprendrions la signification du message.
Quand l’être vivant est simplement unicellulaire, l’information du monde qui l’entoure arrive directement par ces deux voies.
Des millions de messages radioélectromagnétiques issus d’autant d’autres sources d’émission arrivent à son cytoplasme et à son noyau. (TOUS DEUX RECEPTEURS DE TELLES FREQUENCES).
Ces sources sont très diverses et presque toutes se trouvent dans le WAAM ou COSMOS.
Ainsi dans le cas de OOYAGAA (PLANETE TERRE) : une gamme importante de radiations issues de l’astre chaud SOLEIL.
Jupiter vous envoie par exemple fréquemment des trains d’ondes de longueur décamétrique et les Radiosources localisées par les radioastronomes terrestres vous sont si familières qu’il est inutile de les répéter ici.
Bien que captées par la cellule, de nombreuses fréquences parmi celles-ci ne sont pas mémorisées. Mais il existe une fréquence qui a une importance transcendante pour les cellules des tissus vivants de tous les êtres du Cosmos. Les terrestres en connaissent l’existence mais ne se doutent pas de son importance.
Nous faisons allusion à la fréquence correspondant à l’ONDE de 21,106 centimètres émise par de grandes nébuleuses d’Hydrogène Neutre qui, dans le cas de notre Galaxie, se trouve presque toute concentrée dans le plan galactique équatoriale.
Les cellules de tous les êtres vivants de notre Galaxie (et par supposition celles des autres Galaxies) reçoivent ces trains d’ondes de l’hydrogène; mais ce quelles mémorisent réellement ce ne sont pas les séquences rapides, c’est à dire les variations acycliques de courte période.
La cellule ne se souviendra pas par exemple des variations rapides (A sur la FIG 10) de l’intervalle d’un an mais, au contraire, elle se souviendra des variations accusées par intervalles réguliers de l’ordre d’un millier d’années terrestres (période seuil mesurée par nous : = 877,533 années terrestres (B sur la figure 10)
(Figure 10)
Comme une cellule a une période de vie très réduite (les cellules nerveuses peuvent vivre une centaine d’années terrestres, pendant que les hématies du sang atteignent à peine 130 jours terrestres). Le message est mémorisé par de nombreuses générations consécutives. (Vous pouvez imaginer un langage si lent que pour capter le mot SOUFFRE, il faut la collaboration depuis le bisaeuil d’une famille jusqu’à son arrière petit-fils.)
C’est ainsi qu’apparaît un véritable processus d’histérisis dans la cellule qui de génération en génération va accumuler une information radioélectrique convenablement MEMORISEE ET CODEE.
Les cellules appartenant au tissu épithélial de l’OEMII (corps humain) peuvent contenir, sous forme codée, toutes les variations accusées sur la Planète Terre des champs électromagnétiques de source sidérale et ce depuis l’apparition de la vie sur cet Astre.
Mais il est important de vous dire quel est le véritable récepteur de ces fréquences, récepteur qui n’a pas besoin de l’aide des Valvules de vide, ni des fonctions de l’état solide des transistors ou diodes de Silice ou germanium terrestres, ni de condensateurs ni de résistances comme les récepteurs terrestres.
Ce récepteur est tout simplement l’EAU contenue dans le Cytoplasme de la Cellule et dans son noyau.
La structure moléculaire de celle-ci la rend apte à capter de telles ondes même si ses longueurs d’onde sont beaucoup plus grandes que celles de ses dimensions moléculaires.
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 24/04/1967
Langue : Espagnol
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
Dans les documents précédents, nous avons fait un résumé de la fonction de réception et de codage des cellules. Cependant nous devons vous avertir qu’une étude complète des procédés intracellulaires ne peut être faite seule sans qu’elle perde sa valeur scientifique.
Pour cela notre objectif est de vous informer au niveau de la divulgation scientifique sur les avances obtenues par nous dans le champ du BAAYIODUULAA (BIOLOGIE).
Il faut que ce point soit bien clair. Si malgré le fait que la rédaction des documents ait été réalisée en tenant compte du niveau moyen culturel des composants de ce groupe, certains parmi vous trouvent des difficultés à la compréhension de certains concepts scientifiques.
Comment pouvons nous dicter ces notes en tenant compte de la terminologie et en nous appuyant sur une formulation chimico-mathématique plus aptes pour un biologiste terrestre que pour des OEMII (HOMMES) dont la profession, sauf certain cas isolés, est marginale par rapport à ces études ?
C’est pour cela que notre mission est de vous informer sur des principes que nous jugeons transcendants. Mais il existe une difficulté évidente. Pour vous décrire l’existence de certains facteurs comme le BAAYIODUU, nous devons citer des concepts et des facteurs qui soient familiers aux techniciens terrestres, comme le code génétique contenu dans les chromosomes.
Mais certains parmi vous n’ont pas eu l’occasion de connaître les dernières découvertes de la biochimie terrestre. Nous faisons donc attention en ponctualisant pour les profanes en sciences biologiques les concepts qu’ils connaissent sur terre par rapport à ceux connus par d’autres civilisations extraterrestres.
D’autre part il est utile de préciser qu’il faut utiliser pour ceux d’entre vous qui n’ont pas une connaissance profonde en Mécanique Quantique des comparaisons qui ont uniquement une valeur uniquement pédagogique.
Ainsi quand nous disons que dans le BAAYIODUU, les atomes de Krypton tournent par paires en orbites elliptiques ou quand nous nous référons aux « sauts » électroniques au sein d’un niveau énergétique ou subcouche atomique, nous utilisons un langage symbolique.
Vous devez tenir compte que toute la structure de la Mécanique Quantique créée par les Physiciens de la Terre est une véritable recherche de la perfection qui n’a pas de base réelle. Par exemple nous allons vous citer un concept qui est familier aux physiciens terrestres : le SPIN DE L’ELECTRON.
Vous êtes, à cause de l’état embryonnaire de vos recherches, incapables de donner une explication satisfaisante de l’effet de ZEEMAN; vous créez alors le concept de moment angulaire du SPIN et vous construisez un modèle mathématique sur une hypothèse si fragile.
Nous vous signalons que c’est cette fausse conception qui a retardé, au niveau de la physique terrestre, l’élaboration d’un modèle atomique plus près de la réalité. Ce que vous appelez SPIN est très différent de la définition de vos mathématiciens.
En effet : si vous considérez un Réseau spatial de N dimensions, la déformation en deux axes axiaux [? NdT] orientés orthogonalement et qui se coupent en un IBOZOO UU (point spatial) donnera lieu à un effet qui, dans le cas que vous appelez CHAMP ELECTROSTATIQUE – CHAMP MAGNETIQUE, invite les spécialistes de votre Planète à le représenter par un vecteur et à lui assigner un numéro quantique. C’est un peu comme si quelqu’un contemplait d’une lointaine montagne le pique-nique d’une famille et qu’il confondait le drap étendu au sol avec la jupe d’une excursionniste assise contre celui-ci, pour en faire UN UNIQUE VETEMENT.
Nous vous disons tout cela pour que vous preniez conscience des difficultés que nous rencontrons quand nous vous décrivons un concept scientifique. Si nous utilisons le langage scientifique terrestre, nous travestissons la vérité car de telles hypothèses terrestres sont viciées à l’origine et si nous avons recours au chemin logique qui consiste à vous expliquer au préalable vos erreurs ou les idées inexactes que vous vous êtes forgées, il faudrait alors une grande quantité de pages dactylographiées.
Et même si le panorama n’était pas déprimant, beaucoup parmi vous ne connaissent même pas de telles hypothèses terrestre car ils jugent plus intéressant de se soumettre au lavage cérébral de la Télévision que de se former à ces disciplines scientifiques.
……………………….
Nous vous disions dans le document antérieur que la cellule est capable de recevoir une information grâce à deux voies :
– RADIOELECTRIQUE
– CHIMIQUE.
Le processus par lequel un crustacé informe ses cellules germinales sur la nature du milieu qui l’entoure est très complexe et nécessiterait une autre série de rapports.
Pour résumer nous vous indiquerons que le Crabe déjà cité captera grâce à ses yeux les stimulations lumineuses de la coloration des roches (VERT-BLEUTE). Ceci provoque une série d’altérations métaboliques (c’est à dire biochimique), immédiatement les stimuli codés sous forme de courant nerveux affectent les organes de son système nerveux embryonnaire. Dans ce cas ce sont les niveaux de Potassium et de Nitrogène qui s’altèrent de manière telle que la cellule est informée des conditions qui règnent à l’extérieur à partir du plan OPTIQUE.
Au travers de la Membrane Cellulaire l’équilibre de transférence ionique est altéré et le métabolisme cellulaire subit une série de modifications qui vont du cytoplasme jusqu’au noyau.
Les altérations se produisent au niveau des subcouches les plus superficielles des atomes d’oxygène qui composent les molécules d’EAU INTRACYTOPLASMIQUE en produisant automatiquement des variations quantifiées du Champ gravitationnel électronique.
Nous allons un peu expliquer cela pour ceux qui ne sont pas forts en physique.
Vous savez que l’un des attributs de l’électron est la Masse. Quand la masse de l’électron décrit un mouvement vibratoire harmonique, elle crée dans certaines conditions des ondes gravitationnelles avec la perte d’énergie équivalente.
Dans ces conditions l’électron disparaît pour se transformer en ce que vous appelleriez UNE AUTRE PARTICULE SUBATOMIQUE.
(Une telle subparticule vous est inconnue et il n’est pas nécessaire de la désigner par un nombre, comme il n’est pas nécessaire non plus de donner un vocable à chacun de l’infinité des angles que forment deux lignes droites.)
CE PHENOMENE N’EST PAS CONNU DES TERRESTRES. En réalité l’électron se dégrade en émettant de l’énergie quantifiée sous forme gravitationnelle. [Cette dernière phrase est sous toutes réserves car pratiquement illisible NdT].
C’est tout simplement (selon la conception vérifiée de notre physique) qu’il subit une nouvelle orientation de son axe et que se modifie la structure du réseau N dimension qui l’entoure.
Exprimé clairement : certains atomes d’oxygène composants de l’eau contenue dans le cytoplasme cellulaire, subissent une excitation dans leurs couches orbitales externes.
Les électrons en vibrant émettent des ondes de type gravitationnel qui disparaissent par la suite, un peu comme si un émetteur de radio terrestre devait brûler ses propres équipements pour obtenir l’énergie nécessaire pour envoyer l’émission.
Ces ondes gravitationnelles ont une énergie beaucoup plus faible que les ondes radio que vous connaissez (de l’ordre de 10-39). Mais ce champ gravitationnel altéré provoque un effet de résonance dans les électrons de l’un des atomes de chaque paire qui compose le BAAYIODUU (atome que nous appellerons BAAIGOO EIXUUA et qui est intraduisible) Atome DYNAMIQUE.
Autrement dit : il agit comme un récepteur capable de détecter les ondes gravitationnelles émises par l’OXYGENE cytoplasmique et capable d’enregistrer le message comme s’il s’agissait d’un magnétophone terrestre.
Quand un électron s’associe avec un Quantum gravitationnel (appelé par les terrestres GRAVITON); une telle association peut donner lieu à un autre électron avec modification de phase et de position orbitale et à une nouvelle subparticule qui se dégrade par la suite en se subdivisant en deux autres de plus.
C’est ainsi que les électrons de l’atome de Krypton sont « INFORMES » (nous utilisons le langage de vulgarisation) que dans les environs du lieu où se trouve le Crabe de notre exemple, la coloration dominante est bleutée.
NOUS CONTINUERONS CE DOCUMENT.
Mais nous voulons expliquer à la YIE ALICIA ARAUJO que le mode avec lequel a été capté la véritable nature du phénomène décrit dans les documents antérieurs n’est pas du tout incorrect.
Seule la formulation a été réalisée d’une manière quelque peu primitive.
Nous signalons avant tout qu’il n’y a pas qu’un seul atome qui codifie toutes les formes possibles d’êtres vivants du WAAM mais 86 NIIO AA (ATOMES) de Krypton que nous appelons BAAIGO EIXAE (décodeurs).
Leurs électrons, en occupant à chaque instant des milliers de milliers de positions différentes (LE CHIFFRE TEND EN REALITE VERS L’INFINI), sont capables de condenser cette énorme information.
Dans des documents à venir vous comprendrez mieux toute la fonction du BAAYIODUU.
UMMOAELEWE
ALICIA ARAUJO
MADRID
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
Nous désirons continuer le rapport sur les BASES BIOGENETIQUES dont vous avez déjà reçu une partie.
Cette période actuelle est critique pour nous et nous n’avons pas pu dicter au mécanographe la suite du texte en question; de plus, nous ne sommes pas sûrs de pouvoir continuer à le faire prochainement.
Tout dépendra des instructions de notre Soeur à qui nous, les membres de cette expédition sur Terre, sommes soumis.
Nous pouvons vous en donner partiellement la raison dans la mesure où la suite de la demande de votre frère Fernando Sesma Manzano, nous avons décidé d’envoyer un texte aux membres de ce groupe.
Nous vous en avions parlé il y a déjà quelques mois et maintenant nous vous le confirmons officieusement.
L’arrivé sur cet Astre Froid (Terre) de trois de nos OAWOOLEEA UEUA OEEMM (Vaisseaux de forme lenticulaire avec lesquels nous réalisons nos voyages) est imminente. Et ce dans une période comprise entre le 30 Mai et le 3 juillet [1967 NdT].
La OAWIOOLEAIDAAA (conversion de dimensions), c’est à dire « l’arrivée physique » des trois vaisseaux aura lieu probablement dans les pays suivants :
BOLIVIE (Zone de ORURO)
ESPAGNE (Zone de MADRID)
BRESIL (Près de SANTO ANGELO)
Mais les raisons du choix de ces régions ont été indiquées dans une triple note envoyée à d’autres membres du groupe.
De plus nous avons envoyé des notes similaires aux autres Groupes terrestres qui sont en contact avec nous ainsi qu’à SIX correspondants d’Angleterre, France, Etats-Unis et Tchécoslovaquie.
Nous vous supplions affectueusement de ne pas communiquer le contenu de cette lettre à la presse jusqu’à l’arrivée (des vaisseaux). Si nous avons des échos selon lesquels cette demande n’a pas été respectée, nous cesserions définitivement nos contacts avec vous.
Vous pouvez bien entendu en deviner les raisons, car si la nouvelle était diffusée, cela provoquerait pour nous de sérieux tourments.
D59
Référence : | D59 |
Titre | THEORIE DU CHAMP UNIFIE. LES IBOZOO UU. VERITABLE STRUCTURE DE L’ESPACE PHYSIQUE, LA MASSE, LES PARTICULES SUBATOMIQUES ET LA GRAVITATION |
Destinataire(s) et date(s) | VILLAGRASSA 5 Lettres à partir de 1967 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
ANRIQUE VILLAGRASA NOVOA
MADRID, ESPAGNE.
Monsieur,
Au cours d’une conversation que vous avez eu avec mon frère dont je dépends : DEI 98, fils de DEI 97, vous lui demandiez des informations concernant les voyages et le concept de l’ESPACE.
Le thème est complexe comme vous pourrez vous en rendre compte dans les documents que nous vous remettons peu à peu.
Bien entendu avant de vous faire une description du type de sensations que nous ressentons quand nous voyageons dans un OAWOOLEA UEWA OEMM (VAISSEAU LENTICULAIRE POUR LES DEPLACEMENTS INTRAGALACTIQUES) il vaut mieux que vous ayez une idée plus exacte de notre concept de l’ESPACE.
Vous vérifierez vous-même qu’une telle théorie diffère largement de celle qui a été élaborée par les mathématiciens de la TERRE. Et que notre image du WAAM, bien que nous le considérions comme un UXGIIGIIAM (ESPACE) pluridimensionnel qui présente dans sa structure de nombreuses courbures que nous appelons masses, ne ressemble en RIEN au concept D’ESPACE TRIDIMENSIONNEL EUCLIDIEN élaboré par les classiques terrestres et n’est pas non plus un fidèle reflet des conceptions terrestres modernes de RIEMAN, BOLYAI ou LOBATSCEWSKY qui supposent un N-ESPACE ou espace pluridimensionnel impliquant que le cosmos peut adopter la forme d’une HYPERSPHERE DE COURBURE POSITIVE OU DE COURBURE NEGATIVE.
Il existe pour nous ce qui est appelé ESPACE-TEMPS conçu par MINKOWSKY mais plongé dans une variété à N dimensions.
Quand nous vous exposons le concept du IBOZOO UU (qui ne doit jamais être confondu avec le concept de POINT géométrique ou mathématiques élaboré par les mathématiciens terrestres comme une abstraction sans réalité physique) vous comprendrez mieux notre Théorie.
Vous remarquerez que le grand contraste entre vos modèle d’espace et le modèle réel repose précisément sur la différence entre le CONCEPT DE DIMENSION ; concept qui adopte pour vous l’interprétation d’un scalaire.
Un développement exhaustif de notre Théorie de l’Espace exigerait de nombreuses centaines de pages dactylographiées ou typographiées. Nous nous limiterons donc, en quelques dizaines de feuilles que nous vous remettons peu à peu, à vous décrire les éléments de base de cette conception.
Pour ceux qui ne possèdent pas de formation mathématique nous utiliserons des graphiques coloriés aux crayons de couleur avec une valeur simplement pédagogique.
Nous adopterons ainsi une rédaction sobre et simple. Nous invitons les OEMII à faire un effort de compréhension.
Ceci constituera une excellente gymnastique mentale et vous servira de rappel de concepts mathématiques appris autrefois avec l’aide de vos anciens professeurs de mathématiques.
Cela vous servira aussi le jour où les physiciens de la Terre découvriront enfin la véritable nature du WAAM ; à ce moment là vous serez un peu fier d’avoir en ce qui vous concerne (même à un niveau élémentaire) eu connaissance de tels concepts de nombreuses années avant.
Quand nous utilisons des notations mathématiques : Monsieur Villagrassa, si vous comptez lire ces documents publiquement à vos frères terrestres non spécialisés en mathématiques, vous pouvez éluder les paragraphes encadrés en vert.
Vous éviterez aussi une sécheresse excessive dans la lecture d’un thème qui peut paraître ennuyeux aux OEMII peu familiarisés en thèmes scientifiques.
Nous sommes sur qu’après la lecture soigneuse de nos notes, où vous comprendrez, Monsieur Villgrassa Novoa, l’authentique concept du TEMPS, les concepts de DISTANCE, de MASSE, de PARTICULES ATOMIQUE, d’ENERGIE et de CHAMPS GRAVITATIONNELS, concept ELECTROSTATIQUE et MAGNETIQUE, vous pourrez alors vous faire une idée du panorama qui se présente aux voyageurs de l’espace avant que nous les décrivions dans un prochain rapport.
Naturellement les perceptions des voyageurs ne sont pas véritablement extraordinaires.
Il ne faut pas croire qu’ils ont des visions de couleurs jamais perçues par notre rétine, ou des sensations tactiles fantastiques ou des sons hallucinants. Au contraire nos organes sensoriels continuent à coder les messages de l’extérieur avec les mêmes lois psychophysiologiques. Seules les stimulations nouvelles, issues d’autres sources d’énergie et de matière, diffèrent de celles que nous percevons habituellement. Les planètes et les Astres Chauds ne sont plus pour nous des concentrations de Masse et ils peuvent disparaître pour nos organes sensoriels.
N’oubliez pas qu’en changeant d’axe de référence, le nouvel espace tridimensionnel qui s’ouvre à nos sens est différent. Par contre certains facteurs qui, dans le cadre de référence antérieur apparaissaient comme des concentrations d’énergie lumineuse par exemple, (en étant invertis) se présenteront comme d’immenses nuages de subparticules atomiques.
Un choc avec ces nébuleuses serait fatal au vaisseau.
Nous vous enverrons le prochain document avant dimanche. Ainsi vous pourrez l’étudier tranquillement car il est très long.
Naturellement vous êtes autorisé à le montrer à vos frères et à en faire des photocopies. Vous pouvez le montrer à des experts en physique et en mathématiques terrestres. Mais il est probable qu’il ne causera pas des effets révolutionnaires et nous nous réservons le droit de vous demander des restrictions concernant les autorisations antérieures si nous jugeons que nos révélations (à l’inverse de notre attente) provoquent chez les spécialistes terrestres un mouvement de curiosité ou d’expectative. Nous vous disons celà car c’est la première fois que nous développons cette théorie pour un terrestres (scientifique ou profane).
Jusqu’à maintenant dans les nombreux rapports et conversations, nous avions parlé des IBOZOO UU sans expliquer leur signification et en nous limitant à traduire ce phonème par « POINT PHYSIQUE ».
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies = 1
A M. Enrique Villagrassa Novoa.
Madrid . Espagne.
LE WAAM REEL ET LE WAAM (UNIVERS) « ILLUSOIRE » DES SENS.
Il est très difficile pour l’OEMII (homme) d’avoir une conscience exacte de la véritable nature du Monde Physique qui nous entoure.
Apparemment les images mentales que nous nous sommes forgées de ce Milieu qui nous entoure peuvent nous suggérer d’une manière erronée qu’un tel Monde Physique est tel que nous le « voyons », « touchons » ou « sentons ».
Mais une analyse soigneuse a révélé autant aux scientifiques de UMMO qu’à ceux de la Terre, et à d’autres civilisations Galactiques (avec un certain degré de culture) que notre WAAM n’est pas comme le présentent d’ordinaire nos sens. Ainsi : les vives couleurs que nous apprécions dans un parterre de fleurs ne sont qu’une belle perception psychologique. Il n’existe pas (en dehors de nous même) une telle richesse chromatique. Seule une gamme froide de fréquences électromagnétiques demeure comme dernier substratum de « ce qui est vécu ».
L’OEMII est le seul être du WAAM qui dépasse les limites de son organisme pour comprendre le monde et il utilise l’esprit pour arriver à y parvenir par voie intellective puisque les organes de nos sens corporels, les voies nerveuses et les mécanismes corticaux de synthèse et perception psychologique faussent totalement la réalité.
Voyons par un exemple comment nos organes physiologiques « tordent » la vérité en masquant les choses avec un bel habit, sans lequel notre WAAM (univers) vu ou apprécié tel quel, se présenterait à nous comme une froide succession d’IBOZOO UU (par la suite nous expliquerons ce concept), déphasé entre eux.
Quand vous prenez par exemple entre vos doigt un briquet, vous avez conscience (sauf perturbation mentale définie comme l’état crépusculaire d’un individu) que cela est LA : froid, brillant, élégant dans ses lignes. Si vous exercez une légère pression sur le bouton, il surgit gracieusement une faible petite flamme bleutée, due à la combustion du butane quand il sort par la tuyère de petit calibre.
« Ceci » est donc LA, pressé entre le pouce et l’index… ce n’est pas une fiction « cela EXISTE ».
Et cependant ce briquet n’est que la perception ingénue d’une personne simple qui peut n(avoirqu’ une faible capacité mentale pour comprendre le WAAM dans lequel elle est immergée.
Le physicien de OYAGAA pourrait vous dire en plus des choses sur ce simple briquet de poche. Il vous indiquerait par exemple que vous ne touchez pas en réalité sa surface, malgré votre évidence illusoire, puisqu’il existe de grande distances relatives entre les atomes de métal et les nuages électroniques des atomes de l’épiderme qui couvre vos doigts.
Peut-être quelque OEMII peu formé prétendra lui objecter timidement que si ce petit morceau de métal n’est pas en contact avec sa propre peau il est impossible qu’il tienne et alors « il tomberait par terre ». Mais le scientifique terrestre lui parlera de champs de Forces, de Tenseurs, de Répulsions entre charges électriques négatives.
Il lui suggérera que la température du métal (basse) produit cette sensation de froid et qu’elle est la conséquence de la basse amplitude de vibration de ses molécules par rapport à celles de son épiderme.
Et il lui indiquera que cette apparence compacte de la plaque chromée est illusoire puisque les noyaux atomiques sont séparés entre eux dans la même proportion apparente que les Astres d’une Galaxie.
Un expert terrestre en optique physiologique vous dira que la brillance réelle de l’appareil est environ dix fois plus grande que la brillance apparente, c’est à dire, une véritable torche, mais que, quand cette lumière traverse notre oeil, le cristallin et l’humeur vitrée absorbent presque tous les photons et que seule une énergie lumineuse très réduite parvient à la rétine.
Un physiologue terrestre sourira si vous lui demandez comment arrive la lumière au cortex cérébral et il vous expliquera que la lumière n’arrive jamais au neuroencéphale. Que les photons, en frappant la rétine, provoquent des impulsions codifiées qui se transmettent par les neurones du nerf optique sous forme de message électrique, sous une forme de clef de sorte que la ressemblance entre la flamme réelle de butane et le message réel que notre cerveau reçoit à partir de la rétine, est aussi semblable que peut l’être une vache réelle qui paît dans un pré avec les lettres qui composent sa dénomination.
Et enfin un neuropsychiatre vous indiquera d’une façon très vague (car lui-même ignore bien des caractéristiques d’un tel processus) comme l’encéphale intègre les millions d’impulsions codifiées jusqu’à parvenir à les fondre et à les synthétiser en une seule perception. Perception illusoire qui est l’unique image que nous arrivons à obtenir du MYSTERIEUX BRIQUET QUI EXISTE EN DEHORS DE NOUS.
En effet : UNE TELLE IMAGE DU BRIQUET QUI NOUS EST SI FAMILIERE ressemble « AUTANT » au VERITABLE BRIQUET que les lettres N-E-N-U-P-H-A-R à la flore qu’elles essaient de nommer (elles = ces lettres ndt).
L’OEMII donc, a besoin de se débarrasser des schémas ingénus qu’il s’était fixé petit à petit sur les choses : couleurs, sons etc… Et ce dans son cerveau depuis son enfance.
L’homme de chacun des groupes sociaux que nous connaissons, relié aux diverses OYAA (Planètes) avec lesquelles nous avons été en contact jusqu’à présent, en nous incluant, vous les OEMII de la Terre et nous les OEMII de Ummo, se sont rendus compte de cette nécessité.
Et les scientifiques de diverses civilisations tirent au clair petit à petit les bases réelles de notre WAAM. Jusqu’à quel point y êtes vous parvenus ? Le modèle mathématique de l’Univers présenté par les physiciens de la Terre, avec sa théorie relativiste, la mécanique quantique et la mécanique statistique est-il le fidèle reflet de la VERITE ?
En vous représentant notre théorie du WAAM, vous pourrez juger des différences. Nous avons, nous, observé que l’OEMII (homme) de OYAGAA (Terre) que vous appelez « homme de la rue » ou « homme de la masse », non initié à la discipline scientifique terrestre de la physique, possède un concept très primitif de l’espace et de l’univers que nous appelons WAAM.
Depuis qu’il est UUGEEYIE (enfant) il a été éduqué à l’idée d’accepter comme valable cette idée de l’image déformée du monde extérieur que nous offre nos sens.
Comme si, étant UUGEE (enfant) il avait été enfermé dans une pièce nue aux murs sphériques, sans être autorisé à voir ses parents, et que ceux-ci lui auraient enseigné seulement les lettres et les syllabes d’une langue terrestre. L’enfant pourrait se créer l’illusion en contemplant les caractères typographiques, que les meubles, les animaux, les arbres et autres objets exprimés par ces graphismes, ont exactement les formes conventionnelles des lettres qui les représentent.
L’OEMII terrestre s’imagine l’espace comme un « continu scalaire » dans toutes les directions. A partir de cette image de l’espace, vous élaborez (commencé par Euclide) tout une géométrie basée sur des abstractions telles que LE POINT, LA DROITE, LE PLAN. Vous avez fini par accepter que POINT, DROITE et PLAN représentent réellement, bien qu’à l’aide d’une abstraction intellectuelle, les véritables composants du WAAM.
Ce vice originel, pas encore corrigé, est en train de vous coûter un retard considérable dans la compréhension du monde physique.
En effet : quand vous acceptiez ingénument l’existence d’un espace Euclidien à trois dimensions ; des mathématiciens terrestres tels que GAUSS, RIEMANN, BOLYAI et LOBATSCHEWSKY avaient l’intuition géniale de la possibilité d’étendre les critères restreints d’Euclide en élaborant une nouvelle géométrie pour un N-Espace.
Et bien que l’esprit d’un homme ne parvienne pas à percevoir mentalement l’image d’un corps de plus de trois dimensions, l’aide des mathématiques sauve de cet écueil intellectuel très facilement.
Mais ces modèles mathématiques de géométries pluridimensionnelles elliptiques et hyperboliques correspondent-ils à la réalité de notre WAAM ?
Ou bien s’agit-il seulement d’entéléchies (réalisation de l’essence de quelque chose, acte achevé de vision ; emprunté à Aristote ndt) crées par les mathématiciens ?
L’hypothèse relativiste de l’allemand Einstein satisfait au début au critère du russe Minkowsky qui conçoit le temps comme une dimension de plus. Avec l’intuition d’un espace-univers tetradimensionnel, l’OEMII terrestre a fait un pas gigantesque en rompant avec la mesquine et intuitive image d’un cosmos tridimensionnel.
Mais, est-il alors comme cela, notre ESPACE-COSMOS ? (il faut pour le moins convenir de l’existence de deux, trois, quatre ou N dimensions).
Notre réponse revêt une gravité spéciale pour les physiciens de la Terre qui se débattent embarrassés à la recherche de l’authentique modèle d’ESPACE.
ABSOLUMENT PAS : Notre image de UAM (COSMOS) c’est à dire de l’ESPACE, diffère dans ses propres fondations de celle que vous avez élaborées. C’est précisément dans le conceptde dimensions que la différence commence à s’accuser gravement.
Qui plus est, les contradictions que vous observez dans la physique relativistes et dans la mécanique quantique, sont produites par un vice d’origine. Ce sont les conséquences d’erreurs basiques de concepts.
Arrivés ici, nous avons besoin d’une parenthèse pour vous offrir quelques observations.
1° En premier lieu nous vous faisons remarquer que notre conception de l’espace : en opposition spécifique avec la conception des terriens, exige plusieurs bases mathématiques différentes des vôtres. Ne parlons pas de nos symboles mathématiques qui diffèrent car naturellement un problème aussi superficiel est facilement résolu par une transcription appropriée (conversion de la base 12 en une numérotation (ou numération ndt) décimale) mais il ne vous sera pas facile de comprendre nos algorithmes de WUA WAAM (mathématique de l’Espace Physique) sans suivre au préalable un cours complet d’initiation qui demande de nombreux mois de travail aux initiés terrestres en mathématiques.
A cela il y a une raison : quand il s’agit d’analyser les propriétés de l’espace, les postulat normaux de la logique mathématique qui vous est familière comme à nous d’ailleurs, NE NOUS SERVENT PAS. Comme vous le savez, la logique formelle accepte le critère intitulé par les terrestres LOI DU TIERS EXCLU (selon lequel toute proposition est nécessairement vraie ou fausse). Dans notre WUUA WAAM ce postulat DOIT ETRE REJETE. On a alors recours à un type de logique Multivalente que nos spécialistes appellent UUWUUA IES (LOGIQUE MATHEMATIQUE TETRAVALENTE) selon laquelle toute proposition adoptera indistinctement quatre valeurs :
– AIOOYAA (VERITE)
– AIOOYEEDOO (FAUX)
– AIOOYA AMMIE (peut se traduire : VRAI EN DEHORS DU WAAM)
– AIOOYAU (intraduisible en langage terrestre).
Même si nous n’obtenons rien avec la logique divalente terrestre, nous l’utilisons nous aussi dans notre vie quotidienne ou dans l’étude des phénomènes macrophysiques, nous pouvons vous offrir les concepts du WAAM.
Nous y arriverons et nous nous limiterons pour cela à un système dans lequel tomberont juste aussi bien le calcul infinitésimal que le calcul intégral, la topologie, les calculs tensoriels et vectoriels, la théorie des graphes et la recherche opérationnelle, si familiers aux terriens.
Pour votre gouverne, quand nous nous verrons obligés d’utiliser quelque algorithme mathématique, nous nous efforcerons de vous le rendre familier en utilisant l’algèbre et les notations connues par vous.
2° Nous nous sommes sérieusement demandé, quand Monsieur Enrique Villagrassa nous formula sa demande d’informations au sujet de nos sensations psychologiques dans les UEWA OEMM (vaisseaux de voyage intragalactique), s’il convenait ou non de révéler ces concepts.
Jusqu’à présent, nous n’avons dévoilé cette sorte d’information à aucun scientifique terrestre puisque les explications théoriques communiquées à différents mathématiciens et physiciens ont été orientées vers d’autres domaines de la Microphysique et de la Théorie Mathématique des réseaux.
La découverte ACTUELLE pour une partie des scientifiques terrestres de ce concept provoquerait un progrès contraire au but recherché (parce que démesuré) de la physique qui pourrait se traduire en applications technologiques extrêmement dangereuses dans l’état ACTUEL du Réseau Social Terrestre qui est déséquilibré.
Finalement nous avons décidé de vous faire découvrir très sagement quelques aspects de notre théorie du UXGIGIIAM WAAM (ESPACE PHYSIQUE REEL)
Ces indications n’entraîneront aucun risque pour vous si nous occultons certaines démonstrations et si nous cachons différents aspects de ce sujet.
Ainsi il n’y aura pas de danger pour ceux qui montrent ces feuilles dactylographiées à leurs frères. De cette façon si un hypothétique scientifique terrestre lisait ces lignes, en bon logicien formel il refuserait d’accepter un témoignage qui, pour provenir d’OEMII extraterrestres, lui paraîtraient être le fruit de la fantaisie.
3° Après ce que nous venons de dire, vous nous poseriez probablement une question importante : comment nous, les OEMII de UMMO, savons nous que notre conception du UXGIAM WAAM est la vraie et non par exemple celle du modèle terrestre de RIENMANN ?
Naturellement, si nous nous interdisons de formuler les démonstrations pertinentes, pour des raisons de type éthique évident, vous serez à l’aise pour continuer à rester fidèle au modèle terrestre.
Quant à nous, NOUS SOMMES SURS que notre modèle, basé sur le concept d’IBOZOO UU (nous expliquerons plus loin ce concept) est REEL PUISQUE LES RESULTATS EXPERIMENTAUX CADRENT PARFAITEMENT AVEC CE CANEVAS.
Le fait que nous réussissions à réaliser des voyages moyennant un changement du système de référence tridimensionnel qui nous permet de nous déplacer à l’intérieur de notre Galaxie avec la possibilité de modifier les phases de ce que vous appelez les particules subatomiques (qui, comme vous le verrez, ne sont autres que les IBOZOO UU orientés de façon particulière) confirme une fois de plus notre théorie du WAAM.
Qui plus est, notre théorie coïncide (à quelque nuances près) avec les thèses élaborées par d’autres civilisations installées dans quantités d’autres OYAA (Planètes) qui gardent le contact avec nous et sont dans un état avancé de leur science.
NOTRE THEORIE DU UXGIGIIAMM WAAM (ESPACE).
Quand nos frères arrivèrent en l’année terrestre 1950 sur la OYAGAA (Terre) et après avoie appris la langue française, et qu’ils eurent accès pour la première fois à la bibliothèque située au 58 rue de Richelieu, Paris, ils furent surpris de lire dans les meilleures textes de mathématiques terrestres gardés à la bibliothèque, par exemple que des concepts comme le POINT, la DROITE et le PLAN continuaient à être considérés par vous comme de simples abstractions d’une réalité soujacente de l’UNIVERS.
Ainsi quand les mathématiciens de la Terre définissent un point comme une famille de courbes ou comme un ensemble ordonné de N nombres o(N – uples) P(a1, a2, a3, … aN) dans un N espace, ils ont l’intuition de la structure d’un espace scalaire à N dimensions dans lequel le point sera défini à l’intérieur d’un cadre de référence par ses coordonnées correspondantes.
Selon ces conceptions une droite sera un ensemble de points de correspondance biunivoque avec l’ensemble des nombres réels, de façon à ce que la distance entre les deux points d’un espace Rn acceptée comme fondement, puisse rester définie.
Ainsi entre deux points A, B, d’un n- espace : D59_FIG1
étant les coordonnées de deux points A(X1, X2, X3, …Xn), B( Y1, Y2, Y3, … Yn), de sorte que la trame d’un espace scalaire pluridimensionnel se trouve ainsi définie.
Ce modèle rigide de mathématique de l’Espace ne satisfait pas du tout nombre de physiciens actuels : celà est vrai encore que beaucoup d’autres continuent à accepter l’existence de cet ESPACE indépendant de la matière et de l’énergie qu’il contient.
Alors vous, les terrestres vous avez inventé une autre illusion : l’Espace des Phases. Pour vous l’ESPACE REEL contient des PARTICULES SUBATOMIQUES (autre erreur comme nous le verrons plus loin).
Vous postulez que chaque particule (NEUTRON, MESON, etc ) doit occuper en un instant donné une position (POINT), mais vous devez définir la particule non seulement dans sa position mais aussi dans sa QUANTITE DE MOUVEMENT.
Alors vous CONVENEZ d’imaginez un N-ESPACE de six dimensions dans lequel chaque particule est définie par six grandeurs : D59_FIG2
Cette entéléchie est nommée par vous ESPACE DES PHASES. Vous pourrez alors imaginer un volume élémentaire composé de cellules limitatives. La limite de t serait un POINT. Le volume élémentaire serait :
t = dx.dy.dz.dpx.dpy.dpz tel que selon le principe d’indétermination:
dx.dpx > h dy.dpy > h dz.dpz > h de façon que le volume élémentaire sera t > h3
(h est la constante de planck NDS)
A ce volume élementaire d’ordre h^3, vous lui donnez le nom de POINT DE L’ESPACE DES PHASES, puisque le point infinitésimal se reconnait en confrontant l’intuition ou la signification physique au viol du principe d’indétermination. Puisqu’une PARTICULE ELEMENTAIRE (électron, hypéron, neutrino, positron, … ) sera localisée en une quelconque face du volume élémentaire en question. (POINT PHASIQUE) mais jamais au point central.
Notre conception du UXGIGIAM (ESPACE) est radicalement différente. Commençons par ce concept même de DIMENSION qui diffère de l’idée que vous vous êtes mentalement forgée. Nous essaierons pour tenir compte de vos frères peu familiarisés avec les WUUA (MATHEMATIQUES) d’utiliser des concepts symboliques et didactiques.
Vous concevez un UNIVERS formé par un ESPACE SCALAIRE (D59_FIG3, F.1) c’est à dire : un espace tel qu’il se présente à nos sens, dans lequel l’image de DIMENSION entraine l’IMAGE d’une DROITE ou SCALAIRE.
L’espace se présentera à nous comme un « VOLUME IMMENSE » et le COSMOS sera quelque chose ressemblant assez à une SPHERE de courbure positive (D59_FIG3, F2) ou négative (D59_FIG3, F3).
Les plus intelligents parmi les terrestres supposent au moins une coubure à l’intérieur d’une quatrième dimension et identifient le WAAM à l’espace pluridimensionnel de RIEMANN.
NOTRE UNIVERS derait alors comme une HYPERSPHERE positive ou négative mais la DIMENSION étent toujours identifiée par vous à une droite ou à un scalaire.
A l’intérieur de ce modèle de COSMOS vous situerez les particules, les atomes ; formant des Galaxies, les CHAMPS de gravité, magnétiques et électrostatiques, l’Energie en somme. ( D59_FIG4).
D59_FIG4 D59_FIG5
Nous, au contraire, nous savons que le WAAM (COSMOS) est composé par un réseau d’IBIZOO UU. Nous concevons l’ESPACE comme un ensemble associé de FACTEURS ANGULAIRES ( D59_FIG5).
Pour nous la DROITE dans l’ESPACE n’existe pas, comme nous l’expliquons plus loin, de cette façon le CONCEPT de OAWOO (DIMENSION) prend pour nous un sens différent. De telles dimensions sont associées non pas à des MAGNITUDES SCALAIRES, mais à des MAGNITUDES ANGULAIRES. (Il est cutieux de constater par exemple que les physiciens de la Terre dans leur aveuglement, n’attribuent pas à l’angle de caractère dimensionnel.
Si vous étiez des enfants dans une école, nous utiliserions peut-être une comparaisons grossière. L’univers « est comme un essaim de libellules » dont les ailes forment des angles différents (D59_FIG6):
D59_FIG6
Toutes ces libellules voltigent de façon telle que pas UNE SEULE ne présente une orientation de ses ailes semblable à celle de ses soeurs. Autrement dit, il n’y aura pas une seule paire de libellules qui, à un instant donné, pourra se superposer de manière que les ailes et les abdomens coïncident. Mais, comme nous vous l’avons déjà dit, cette image est excessivement grossière et éloignée dans son analogie.
En premier lieu chaque libellule occupe un lieu dans l’espace en chaque instant t. C’est à dire : ses centres de gravité et d’inertie occupent des zones définies (selon notre conception illusoire).
UN IBOZOO UU N’OCCUPE AUCUNE POSITION DEFINIE, NOUS NE POUVONS DIRE DE LUI qu’il existe une possibilité de le rencontrer localisé en un POINT.
L’IBOZOO UU UU IEN AIOOYAA (existe) (1)
(1) IEN : (paire, deux).
D’autre part cet insecte volant a une MASSE et un VOLUME, (au moins pour notre esprit) L’IBOZOO UU n’est pas une particule pourvue de MASSE ou corporelle. Dans une première approximation conceptuelle nous pourrions dire de lui qu’il s’agit d’un FAISCEAU D’AXES ORIENTES. Ce qui importe le moins dans un tel faisceau (D59_FIG7)ce sont précisément les axes (fiction mathématique) à l’inverse des ANGLES que forment ces mêmes axes.
D59_FIG7
Les libellules de notre essaim infini vivent dans le TEMPS, se meuvent par courts intervalles de temps, distances infinitésimales. L’IBOZOO UU n’existe pas dans le TEMPS, IL EST LUI MEME LE TEMPS, (précisément un de ses angles est la magnitude TEMPS comme nous l’expliquerons dans un autre rapport avec plus d’éclaircissements); pour être exacts : ce que nous appelions INTERVALLE INFINITESIMAL DE TEMPS (dt) n’est qu’une différence d’orientation (D59_FIG8) angulaire entre deux IBOZOO liés.
D59_FIG8
Si après cette explication sommaire vous concevez notre théorie de l’espace en imaginant par exemple que l’espace est une « masse dense de particules qui ressemblent à des atomes » vous êtes dans l’erreur. Puisque les particules d’un gaz tel que vous le connaissez occupent des positions probabilistiques dans une enceinte, alors que les IBOZOO UU NON.
Vous ne devez pas non plus identifier un tel espace à l’antique concept de l’ETHER invalidé par la théorie de la relativité, puisque le RESAU DE IBOZOO UU n’est aucunement un milieu élastique dans lequel se trouverait immergés les atomes des corps.
Vous pourriez aussi nous demander : par rapport à quel axe de référence universel sont orientés les angles de l’IBOZOO UU ?
Naturellement AVEC AUCUN. Il n’existe aucun axe de référence dans le WAAM car cela supposerait qu’on imagine une droite réelle dans le COSMOS, et une telle droite, comme nous l’avons indiqué, est une FICTION.
Quand dorénavant nous nous référons à l’angle qu’adopte un des axes imaginaires d’un IBOZOO UU adopté conventionnellement comme patron ou référence. CECI EST TRES IMPORTANT.
Quoique nous ayons beaucoup anticipé sur les explications que nous vous offrirons dans nos prochains rapports, nous vous avertissons que vous ne devez pas vous imaginer que les particules subatomiques sont immergées à l’intérieur de cet ensemble d’IBOZOO UU.
Tout simplement parce que n’importe quelle particule (électron, méson ou graviton) est nécessairement un IBOZOO UU orienté en forme singulière par rapport aux autres.
En conclusion : nous aussi nous concevons un espace à N DIMENSIONS. La MASSE, par exemple, est aussi une « courbure de cet espace » pluridimensionnel.
Nous supposons aussi des DISTANCES au sein du WAAM. Seul nos concepts de magnitude, de courbure et de distance sont radicalement différentes de ceux des terrestres.
Ainsi quand nous présentons graphiquement l’Espace, une Droite, un Point, nous le faisons COMME VOUS car de telles images sont familières à nos sens. Mais nous savons qu’elles sont une pure fiction.
LE CONCEPT D’IBOZOO UU
Le WAAM que nous connaissons est un ENSEMBLE LIE (AYUU) ou RESEAU D’IBOZOO UU tel que si nous identifions cet ensemble avec une série ordonnée de nombres naturels N→¥
Il faut vous offrir une image la plus fidèle possible de la véritable nature du IBOZOO UU qui n’ait rien à voir avec le POINT MATHEMATIQUE ni avec une PARTICULE ni avec un QUANTUM d’énergie suivant les conceptions terrestres. Vous devez donc débarasser vos esprits d’images aussi familières que le POINT et la DIMENSION LINEAIRE.
Si vous avez une formation mathémathique vous connaissez le concept d’HYPERSHERE dans un N- ESPACE.
Nous pouvons représenter analytiquement un tel corps géométrique. Son équation correspondante est familière pour les étudiants.
Si nous représentons les magnitudes définies dans les N axes par a1, a2, a3, …. aN. Le rayon de l’hypersphère sera défini par :
D59_FIG9
Comme nous ne pouvons pas représenter graphiquement une telle HYPERSHERE, nous supposerons une SPHERE tridimensionnel dont les axes soient orientés orthogonalement.
(Nous essayons de choisir un modèle mathématique (symbolique) qui représente L’IBOZOO UU. Tenez en compte : quand nous nous réfèrerons à un rayon vecteur par exemple, personne ne devra supposer que ce rayon sera matérialisé réellement dans L’IBOZOO UU).
D59_FG10
Nous considérons dans la sphère de la figure D59_FIG10 un OAWOO (avec ce nom nous spécifierons dans la sphère) aussi bien le concept AXE des mathématiciens terrestres, que le VECTEUR, avec ses attributs de module, origine et extrémité). Dans ce cas vous traduirez OAWOO par rayon vecteur U
Si nous considérons une HYPERSPHERE à N dimensions, nous pouvons concevoir autant d’autres OAWOO (RAYONS VECTEURS) que représentent ces grandeurs.
Soit dont les orientations respectives sont orthogonales, c’est à dire qu’elles forment des angles de PI/2 entre elles.
Vu ainsi, l’IBOZOO UU pourrait s’interpréter comme un espace pluridimensionnel fermé, et vous recommenceriez à l’imaginer avec ses points, droites, plans, hyperplans, volumes immergés et hypervolumes.
Rien n’est plus éloigné du concept réel de l’IBOZOO UU.
Quand nous nous référons, au sein de l’IBOZOO UU, à un OAWOO (AXE) et à son orientation, il est clair qu’une telle orientation n’a pas de sens géométrique sans un cadre de référence.
Ainsi quand l’un de vous s’imagine une droite dans l’espace, il doit tracer par la pensée, un système d’axes (que vous appelez cartésiens) pour que la droite soit définie aussi bien par son module (exprimé par six côté dans les axes) que par ces cosinus directeurs : Cos(Alpha), Cos(Beta) et Cos(Gamma)
D59_FG11
Mais vous pouvez observer que ce système de référence a été choisi arbitrairement au sein de l’Espace euclidien que vous avez imaginé.
IL EST TRES IMPORTANT QUE VOUS ACCUSIEZ LA DIFFERENCE par rapport à l’IBOZOO UU.
IL N’EST PAS POSSIBLE DE CHOISIR DANS L’IBOZOO UU LUI-MEME un système référentiel. UN TEL SYSTEME REFERENTIEL DOIT ETRE APPORTE PAR UN AUTRE IBOZOO UU, arbitrairement choisi. (Ainsi dans la figure 11, si nous supposons deux IBOZOO UU (ψ) et (G), ce serait un non-sens de se référer au cosinus directeur
cos(a) cos(b) cos(g)
que le OAWOO UU formerait avec un trièdre idéal dont l’origine serait le « CENTRE » de L’HYPERSPHERE G.
Ainsi nous pouvons seulement nous référer à l’angle Theta IOAWOO que de G forme avec le OAWOO (RAYON VECTEUR de ψ).
C’est précisément ce IOAWOO q (ANGLE-DIMENSION) qui confère à l’IBOZOO UU tout son sens transcendant.
Il faudra dès maintenant que vous fassiez un effort mental pour réaliser une translation psychologique de telle manière que chaque fois qu’en physique nous parlons de MAGNITUDE, l’image d’un SCALAIRE n’effleure pas votre conscience au lieu de l’IOAWOO (ANGLE que les rayons vecteurs hypothétiques de deux IBOZOO UU forment entre eux).
C’est un non-sens d’ISOLER, dans un effort d’abstraction mentale, un IBOZOO UU pour l’étudier.
Nous POUVIONS L’EXPRIMER EN ESPAGNOL, en traduisant le POSTULAT connu de nos physiciens :
IIAS IBOZOO II AIOOYEDOO (IL N’EXISTE PAS EN ABSOLU AUCUN IBOZOO UU ISOLE)
Observez que ce postulat est en français contradiction avec les propositions classiques de la théorie nommée par les terrestres THEORIE MATHEMATIQUE DES ENSEMBLES. Puisque si Ii appartient à W, l’élément Ii (IBOZOO UU) appartient bien à l’ensemble W (WAAM), l’élément I isolé est :
I = Æ (UN IBOZOO UU CONSIDERE COMME ENSEMBLE EST VIDE)
Nous allons expliquer un peu aux OEMII peu familiarisés avec les mathématiques : naturellement un IBOZOO UU n’est pas « VISIBLE » pas même à l’aide des appareils les plus sophistiqués que vous puissiez imaginer dans un laboratoire.
Vous pouvez cependant objecter :
Comment les scientifiques de UMMO savent-ils que cette entité existe s’ils ne sont pas arrivés à le détecter ?
L’usage du mot « détection » est presque inopportun. Si nous sommes arrivés à inférer l’existence de l’IBOZOO UU, c’est parce que le modèle physique élaboré avec son hypothèse satisfait jusqu’à maintenant toutes les explications, tous les problèmes du comportement de la Matière, de l’Energie et qui est : cela offre une possibilité d’interpréter les phénomènes extrasensoriels et aussi les communications télépathiques à travers le BUUWEE BIAEEI (ESPRIT COLLECTIF HUMAIN).
Quoique de telles entités ne soient pas visibles, pour une compréhension à nuance pédagogique, vous pourriez vous représenter le WAAM comme un immense réseau de petites sphères (D59_FG12), chacune d’elles représentant un IBOZOO UU.
Elles sont toutes d’une couleur différente, mais à l’intérieur d’un ensemble chromatique nous pourrions sélectionner toutes celles qui diffèrent entre elles par une légère variation de nuance ; différents tons de vert par exemple).
D59_FG12
Par cette métaphore didactique (sphères colorées), bous exprimerions que l’ensemble d’IBOZOO UU qui diffèrent entre eux seulement par l’angle IOAWOO que par leur OAWOO (rayons vecteurs) respectifs qu’ils forment avec l’un des IBOZOO UU pris comme référence.
Mais tel que son champ de rotation soit l’HYPERPLAN H (comme nous ne pouvons pas dessiner un hyperplan, nous supposerons dans la D59_FG13 qu’il s’agit d’un plan méridien P).
(Les IBOZOO UU dont les rayons vecteurs tournent dans un autre plan méridien seront codifiés par une autre couleur. Orange par exemple :
D59_FG13
Si nous sélectionnons, comme nous vous l’avons dit, tous les IBOZOO UU avec ceux à qui didactiquement nous avons attribué la couleur verte qui existe dans le WAAM, nous observerions que, ordonnés mathématiquement, ils formeraient un OXOOIAEE (chaîne en anneau) :
D59_FG14
Autrement dit : ayant considéré les Ii appartenant à W (sous ensemble de W), nous pouvons établir une correspondance biunivoque entre ces IBOZOO UU de l’OXOIAEE (CHAINE EN FORME D’ANNEAU) et les angles infinis qu’un rayon vecteur peut décrire dans un plan.
Ce n’est pas que de tels IBOZOO UU soient situés dans le WAAM en formant une chaîne sans fin et situés topologiquement en une série ordonnée. NON, ce sont nos sens, comme nous vous l’expliquerons plus loin, qui réalisent ce travail intellectuel de mise en ordre. (Un exemple terrestre vous fera mieux comprendre : quand vous évaluez la quantité d’argent déposé dans un compte courant bancaire, vous pouvez si vous le désirez, vous représenter les dollars, les livres sterling ou les pesos, rangés de façon à pouvoir les compter. Mais cette mise en ordre, vous savez qu’elle est ILLUSOIRE.
Les composants immédiats de cette chaîne D et P diffèrent entre eux d’un angle infinitésimal dq ( dans la figure D59_FG14, on a exagéré la magnitude de dq à des fins didactiques).
CONCEPT DE GEOIDE :LIGNE DROITE.
Un hypothétique observateur qui verrait l’ensemble de la OXOOIAEE (chaîne en anneau) depuis l’IBOZOO UU (Si) interpréterait cette chaîne comme une LIGNE DROITE.
Vous pouvez aussi observer qu’un hypothétique voyageur qui partirait de Si en « ligne droite » à travers le WAAM (COSMOS) en arriverait nécessairement à l’IBOZOO UU d’origine.
Autrement dit : ce que nos sens interprètent comme une magnitude linéaire n’est qu’une OXOOIAEE (CHAINE D’IBOZOO UU). C’est l’image mentale illusoire avec laquelle notre neuroencéphale réalise un travail de synthèse et de mise en ordre de cet ensemble d’IBOZOO UU (qui dans le WAAM sont en réalité en « désordre » et sans position définie).
D59_FG15
Au risque de nous répéter, nous vous avertissons du danger didactique que cela représente pour vous de croire que les IBOZOO UU de cette chaîne sont ordonnés en lignes droite dans l’UNIVERS. Il en est pas ainsi. Nous disons que de tels IBOZOO UU AIOOYA sont liés dans le WAAM.
N’en déduisez pas qu’ils ont des POINTS de localisation. Ne croyez pas que deux IBOZOO UU, que nous avons dessinés adjacents pour les décaler d’un angle élémentaire dq dans les images D59_FG13 et D59_FG14 existent en réalité.
Si nous considérons sur la Figure D59_FG15 un observateur terrestre lié à l’IBOZOO UU (T) et sur notre planète UMMO un observateur lié à (U) nous dirons qu’il existe une distance L entre la Terre et UMMO parce que depuis un point de référence arbitraire il existe une différence ANGULAIRE entre les deux IBOZOO UU.
Différence angulaire qui implique l’existence d’une infinité d’IBOZOO UU, entre eux.
Mais si nous considérons un autre système de référence nous découvrirons une deuxième chaîne d’IBOZOO UU de sorte que cette différence angulaire aura varié. (Sur les dessins nous représentons ces signes de références par des plans méridiens oranges et verts. Nous dirions alors que la distance entre UMMO et la TERRE est différente : L’) .
L’ < L car (Q’u – Q’t) < (Qu – Qt)
Nous pouvons conclure ensuite en disant que nous définissons la ligne droite et sa magnitude mesurée sur elle comme une chaîne d’IBOZOO UU immergée dans le WAAM tel que ses OAWOO (RAYONS VECTEURS) diffèrent successivement d’un angle dq et soient tous orientés en un hyperplan H.
Un cas limite de ligne droite sera le OXOOIAEE WAAM (que nous pourrions traduire comme GEOIDE UNIVERSELLE) (Figure D59_FG14).
Vous ne devez en aucune manière penser qu’UN POINT DE CETTE DROITE pourrait être représenté par un IBOZOO UU. Car nous vous avons déjà dit qu’un IBOZOO UU en lui-même n’a aucun sens. En tous cas nous définirons un segment élémentaire comme une paire liée d’IBOZOO UU. A réfuter aussi une fois pour toute le concept de point géométrique que les mathématiciens terrestres ont introduit dans leurs cerveaux. Si vous n’avez pas compris cela, c’est que vous n’êtes pas parvenu à assimiler le sens authentique de notre physique, imprégné que vous êtes de notations mathématiques terrestres.
Soit E un ensemble de points géométriques selon la conception d’un N-Espace de RIEMANN (Mathématicien terrestre) dans lequel chaque point est P (x1 x2 x3 …. xn) (P)
Soit d’autre part W l’ensemble des IBOZOO UU DU WAAM (i).
Nous disons que
Si P Ì E (tout point appartient à E)
et i Ì W (tout IBOZOO UU i appartient à W)
On vérifie que : W Ç E = Æ, c’est à dire que l’intersection de E et de W est vide.
D59_FG16
Si D et D’ sont deux ensembles d’IBOZOO UU qui impliquent des distances mesurées par un observateur en les orientant sous des angles différents on observe que D Ç D’ = Æ
LE TEMPS ET LES CHAMPS MAGNETIQUES, GRAVITATIONNELS ET ELECTROSTATIQUES.
Mais l’IBOZOO UU est bien plus qu’un facteur qui donne le sens exact des distances cosmiques. Notre WAAM (UNIVERS) est un tout comme la trame dont nous pouvons apprécier les multiples facteurs qui apparaissent à nos organes sensoriels et à nos instruments de physique dans les champs statiques de Forces.
Ainsi, nous soupçonnons la présence d’un Astre proche par l’influence qu’il exerce sur une masse distincte. Nous définissons alors cette influence comme un champs gravitationnel ou bien nous détectons des traces d’ondes électromagnétiques dont les sources de radiation peuvent être artificielles comme celles qui sont émises par un émetteur terrestre de télévision ou peuvent provenir d’une nébuleuse dont les ions du plasma se déplacent alternativement.
L’Univers se présente à nous comme un substrat de phénomènes aussi familier que la vitesse, la force ou le lent écoulement du temps.
En particulier, cette magnitude Temps revêt pour nous une importance spéciale. Dans les prochaines pages dactylographiées que nous vous remettrons, nous vous renseignerons sur cette particularité. Nous vous indiquerons par exemple qu’on peut assimiler le Temps à une série d’IBOZOO UU dont les axes sont orientés orthogonalement par rapport au OAWOO (rayons vecteurs) qui impliquent des distances, et même le cas peut se présenter, si l’inversion de ses axes est idoine, qu’un observateur dans son nouveau cadre de références apprécie comme distance ce qui, dans l’ancien système référentiel, était mesuré comme intervalle de temps.
Vous comprendrez alors pourquoi un événement qui se passe à une grande distance de nous (par exemple sur UMMO) ne pourra jamais se passer simultanément avec un autre événement terrestre.
Vous comprendrez aussi pourquoi un hypothétique objet qui se déplace à la vitesse limite (vous l’appelez vitesse de la lumière) raccourcira sa distance sur l’axe de déplacement jusqu’à la réduire à une paire d’IBOZOO UU (distance qui lorsqu’elle tend vers zéro n’est pas nulle comme le note faussement une des transformations de LORENTZ (Mathématicien terrestre)).
Vous comprendrez aussi que ce que vous appelez subparticules atomiques comme un neutron, un méson ou un antiproton, avec assignation divers de leur masse, charge et spin, ne sont que les orientations multiples des IBOZOO UU eux-mêmes (parce que si les physiciens terrestres continuent à passer leur temps à la détection, évaluation et classification de toutes les subparticules possibles, il se passera des milliards d’années pour en finir puisque cette classification est aussi stérile que de donner un nom à chaque angle infinitésimal sous lequel nous pouvons contempler une étoile au long d’un jour).
LE RESEAU AXIAL DE L’IBOZOO UU
Une définition préparatoire à la définition définitive des IBOZOO UU que nous vous offrirons à la fin est celle-ci :
Un IBOZOO UU est une entité élémentaire cosmique intégrée par un faisceau d’axes orientés QUI NE PEUVENT SE COUPER ENTRE EUX, liés à un ensemble d’IBOZOO UU indépendants par relation de caractère angulaire.
Vous pouvez observer que petit à petit nous sommes en train d’ajuster chaque fois plus fidèlement le concept authentique d’IBOZOO UU défini par nos spécialistes d’UMMO. Nous avons pensé que vous apporter dès le début une définition exacte, embrouillerait excessivement le caractère didactique de ces paragraphes si nous tenons compte du fait qu’aucune théorie se rapprochant de la nôtre en son formalisme n’existe sur la planète TERRE.
Observez aussi que par la traduction de cette définition, nous avons exprimé que les IBOZOO UU intègrent un faisceau d’axes orientés qui ne peuvent se couper entre eux.
Ceci est très difficile à comprendre si vous continuer à maintenir l’image mentale classique d’espace Euclidien avec sa trame de points et de droites.
D59_FG10
Naturellement si l’IBOZOO UU était comme une sphère ou une hypersphère (D59_FG10), en son sein les axes différents pourraient SE COUPER en un point.
(Par exemple les rayons vecteurs se couperaient au centre). Aussi ce modèle mathématique NE REPRESENTE PAS VRAIMENT L’IBOZOO UU.
Si nous avons choisi le modèle d’une sphère dans notre description, c’est seulement pour obtenir une traduction plus fidèle des concepts en utilisant les algorithmes, les notations mathématiques et les concepts géométriques très familiers aux terrestres. (C’est un peu ce que vous faîtes quand, pour simplifier, vous considérez le Globe terrestre comme une sphère idéale alors que vous avez conscience qu’il s’agit d’un ellipsoïde (déformé) de révolution. (Ellipsoïde isocèle à trois axes)).
Supposons donc une sphère (D59_FG10) qui constituerait l’un des hyperplans infinis méridien d’une hypersphère d’ordre N = 4.
Si vous n’êtes pas familiarisés avec ce concept, imaginez que si nous donnons le nom de plan méridien à la section d’une sphère qui passe par son centre, à savoir la sphère d’ordre n = 3, pour une hypersphère de dimension 4, sa section sera précisément une figure de N – I dimensions, c’est à dire une sphère. Il faut donc que vous vous rappeliez le concept de l’ANGLE dans un HYPERESPACE.
Q = Q(P,Q)
soient P et Q deux HYPERPLANS définis par les coordonnées U = (U0 U1 U2 ….. Un) et V = (V0 V1 V2 …..Vn)
Ces deux HYPERPLANS déterminent un faisceau G.
Ainsi dans ce G il y a DEUX HYPERPLANS P¥ et Q¥ qui sont tangents à la quadrique fondamentale S.
L’angle Q = Q(P,Q) (dans lequel 0<Q<P) entre ces deux HYPERPLANS P et Q est défini par :
Q = Q(P,Q) = 1/2i Log R ( P , Q , P¥ , Q¥ )
Cet angle se définit par les équations : (nous ne pouvons représenter Q sur une image. Nous reproduisons seulement la projection Qp de Q. Qp sera exprimé par deux plans méridiens au cas de Q pour un N – espace de l’ordre N = 4.)
D59_FG18 et D59_FG19
D59_FG20
Dans celle où e = +1 car nous supposons une HYPERSPHERE de courbure positive.
Souvenons nous de la différence entre SPHERE de courbure positive et une surface sphérique de courbure négative qui nous aide à comprendre les concepts d’HYPERSPHERE de courbure e = +1 et e = -1 (Fig D59_FG19).
Donc : quand R ( P Q , P¥ Q¥ ) = -1 nous considérons que les deux HYPERPLANS sont orthogonaux.
Si vous remplacez le concept de OOWAOO (Rayon Vecteur) linéaire de notre modèle antérieur simpliste, par celui de l’HYPERPLAN de l’ordre N = 4 et si vous supposez ces HYPERPLANS de référence non pas dans le propre IBOZOO UU étudié, mais dans un autre qui lui est lié, nous pouvons imaginer trois cosinus directeurs que nous appellerons
COSY COSX COSW
qui nous définirons autant d’autres angles (YXW) que nous définissons comme IOAWOO (ANGLES DIMENSIONNELS) qui définiront chacun les valeurs respectives de l’espace tridimensionnel tel que nous le concevons. On suppose qu’une variation infinitésimale dans les valeurs de ces cosinus directeurs entraîne une paire liée d’IBOZOO UU.
Une fois arrivés là, nous allons utiliser pour les frères terrestres peu compétents en mathématique une image pédagogique d’un WAAM (UNIVERS) représentée par un immense essaim de papillons.
Vous pouvez supposer que ces insectes sont multichromes. Nous pouvons aussi constater qu’il n’existe pas une seule paire qui ait les mêmes tons de couleurs. Nous pouvons les voir virevolter de manière telle que nous ne saurons jamais où se trouve l’un deux à un instant donné car ils se trouvent en même temps ici et partout. Ils sont verts, magenta, oranges, bleus, dorés, etc. tous mélangés entre eux.
Supposons que nous ayons un organe de la vision si aigu et spécial que d’un coup d’oeil nous puissions localiser les millions de libellules d’une seule couleur : vert par exemple et que de plus notre cerveau soit si développé qu’il soit capable de les ordonner par nuance, du VERT CLAIR jusqu’au moins lumineux.
Mais c’est ici que le cerveau nous fait faire un mauvais jugement. Au lieu de percevoir une pléiade ordonnée d’insectes formant une riche gamme de tons verdâtres, nous contemplons une froide et abstraite ligne droite : la paire de libellules vert clair, plus lumineuse, acquière pour notre cerveau le caractère prosaïque de l’extrémité la plus proche de ce très long segment de droite.
La paire de libellules bleues-verdeâtres sera représentée comme le point limite et lointain de cette immense droite D59_FG21 (NDS : dessin illisible dans le document photocopié).
Pour comprendre notre Modèle PHYSIQUE du WAAM, les terrestres doivent adopter d’autres images mentales différentes de celles qui leur sont topiques depuis l’enfance. Vous devez étudier d’autres formes plurivalentes de Logique mathématique. Vous devez aussi comprendre que cette image d’un Monde Physique composé d’atomes eux-mêmes composés d’une multitude de subparticules atomiques occupant à chaque instant des positions probabilistiques, est une VERITE insuffisante et peu approfondie ; vous devez rejeter cette image mentale absurde consistant à dire qu’une particule se déplace à une vitesse instantanée V constitue le passage matériel de cette même particule d’un POINT P à un autre adjacent P’, séparés par une distance infinitésimale, en un intervalle de temps élémentaire dt.
Il faut laisser la place au VERITABLE CONCEPT DE VITESSE qui implique des rotations diverses dans deux IBOZOO UU liés, rotations par lesquelles le premier IBOZOO UU de la paire, en inversant ses axes, cesse de se présenter sous forme de particule subatomique, pendant que le second oriente ses OAWOO (AXES, RAYONS VECTEURS) pour se transformer en une subparticule (ainsi que vous la nommez) identique à l’antérieure (il se produit ainsi un effet illusoire de translation, un peu comme si deux prestidigitateurs terrestres séparés par dix mètres dans un scénario, opéraient en mettant (l’un des deux) un lapin marqué dans la poche, lapin qui serait sorti par son compère quelques instants après).
Toute personne intelligente comprendra facilement que le lapin n’a pas voyagé dans les airs et qu’il s’agit de deux lapins identiques.
Nous sommes surpris d’observer qu’après avoir étudié exhaustivement la Mécanique ondulatoire et observé que tous les phénomènes fonction de temps peuvent se réduire en dernier lieu à une série de fonctions sinusoïdales, c’est à dire cycliques, les Physiciens de la Terre n’aient pas deviné un WAAM (UNIVERS) ANGULAIRE en s’appuyant sur le Modèle mathématique (rigide) scalaire postulé par EUCLIDE et ses successeurs.
Une correction de ces concepts à l’heure actuelle ne serait guère positive pour vous. Il vaut beaucoup mieux que les physiciens de la Terre découvrent la vérité plus lentement en laissant le temps aux valeurs spirituelles de prendre le dessus sur les instincts agressifs de certaines Oligarchies économiques qui règnent dans certains pays.
Sur l’image D59_FG21 vous pouvez voir d’une manière symbolique comment le neuroencéphale réalise un travail de synthèse en classifiant les IBOZOO UU en une échelle ordonnée en fonction de leur longueur angulaire par rapport à l’un d’eux pris comme référence.
Quand l’OEMII regarde dans une direction déterminée, son champs visuel englobe l’ensemble des IBOZOO UU dont les OAWOO s’orientent avec des angles différents dans un Champs que vous pourriez symboliser mathématiquement avec un HYPERPLAN.
Cette image simpliste est destinée aux OEMII peu férus en mathématique. Les initiés comprendront que les IBOZOO UU ne sont pas localisés en des points définis et que le terme DESORDRE ou ENTROPIE ne conviennent pas pour ce modèle.
Si des sphères vertes symbolisent un champ visuel dans une direction déterminée, les bleues, rouges, représenteraient autant d’autres rayons dirigés par l’oeil humain dans ses orientations différentes. Dire que les IBOZOO UU sont comme des petites sphères ou « qu’entre eux existe le vide » ou qu’ils « sont tangeants entre eux au sein d’un espace dense rempli d’IBOZOO UU », tout cela n’a pas de sens. De telles images mentales sont celles qui apparaissent chez un UUGEEYIE (enfant) quand on lui parle pour la première fois sur UMMO de la conception de l’ESPACE composé par les IBOZOO UU. Sa mentalité infantile, habituée aux perceptions familières, tend à matérialiser ce concept d’IBOZOO UU et à lui assigner une corporalité.
Il s’imagine le WAAM comme une immense frai de UYAAYAA (espèce d’arthropode qui traîne une grande poche remplie de ses petits oeufs transparents).
Dans l’image D51_FG21 vous pouvez donc voir comment apparaît, dans le champs de la conscience, l’image d’un segment, d’une droite, traduction codée des stimulis arrivés à la rétine.
Un tel stimuli se transforme dans l’image mentale en DISTANCE quand, entre l’oeil de l’observateur et le corps contemplé, il n’existe aucune MATIERE.
LE CONCEPT DU OAWOO
En définissant au préalable l’IBOZOO UU comme une entité élémentaire composée par un faisceau d’axes orthogonaux qui ne peuvent se couper entre eux, nous avons précisément introduit (à des fins pédagogiques) un concept que vous devez rejeter à priori : celui exprimé avec un mot très familier sur Terre : L’AXE.
Si vous associez notre mot OAWOO (AXE ou DIRECTION) avec une ligne droite orientée, nous retournons au point de départ car, à ce moment là vous n’aurez rien compris de nos précédentes explications.
Evidemment il y a là un obstacle sérieux car nous parlons des langages mathématiques différents. Langages qui sont conditionnés par un ensemble de conceptions psychologiques différentes entre vous et nous. Quand, dès ses premières études, le UUGEEYIE a été éduqué à l’intérieur de7 moules logiques étroits et définis, en respectant des postulats mathématiques irréels, il lui sera très difficile, pour ne pas dire impossible, d’éduquer ses mécanismes mentaux pour dissocier les images illusoires enchevêtrées dans son monde de perceptions.
Donc, si nous invitons les profanes en mathématiques à imaginer l’IBOZOO UU comme une série d’axes (lignes droites indéfinies, idéales)
D59_FG22
DIRECTION, ne pourra jamais être assimilé à des axes ou droites réelles ou idéales.
Nous désirons insister sur le fait qu’un IBOZOO UU isolé n’a pas de SENS d’être conçu, c’est à dire qu’il n’a pas de réalité. Nous, nous disons AIOOIEDOO (faux concept, absurde, qui ne peut pas avoir de réalité).
Nous allons prendre un exemple pour les profanes de la Terre.
Imaginez que nous désirions obtenir une ENCEINTE FERMEE (récipient) et que nous disposions d’un certain nombre de vases cylindriques. Evidemment, un vase isolé ne constituera jamais un espace fermé, mais si nous fermons son ouverture par un autre (D59_FG23)
D59_FG23
Nous obtiendrons une petite ENCEINTE CLOSE. Une chaîne de vases formerait, si nous les unissons comme sur l’image D59_FG24, un chapelet d’enceintes closes.
D59_FG24
Avant de continuer, il faut vous préciser d’avantage le concept de LIGNE DROITE, la distance d’un point à un autre doit être interprétée comme une succession d’IBOZOO UU dont les EIDIIU (ANGLES) ou pour être plus exacts, dont les IOAWOO (1) diffèrent entre eux dq.
(Voir D59-FG17du document précédent).
(1) La différence entre EIDIIU et IOAWOO est très importante : EIDIIU est la version dans notre langue du concept familier d’angle. Ainsi un EIDIIU serait l’angle droit que forment un mur vertical et le dallage d’une pièce.
IOAWOO serait « L’ANGLE » que forment deux OAWOO (« AXES ») de deux IBOZOO UU associés (D59_FG11) ; si dans les deux cas nous utilisons le mot espagnol « ANGLE » alors qu’il s’agit de deux concepts si différents, c’est PARCE QU’IL N’EXISTE PAS DANS VOTRE LANGUE un mot correspondant et l’utilisation du mot « ANGLE » semble préférable.
Nous vous disions qu’entre deux points (D59_FG15) nous pouvons considérer non pas une, mais une infinité de chaînes différentes d’IBOZOO UU (pour différents systèmes référentiels tridimensionnels). Autrement dit, il semblerait que l’une d’elle soit en réalité une « géodésique » (ligne plus courte que suivrait un mobile entre deux points d’une hypersphère située dans un cadre à quatre dimensions) D59_FG25 A.
D59_FG25
Mais ceci est insuffisant. N’importe quel autre arc situé dans cette sphère (représentant par exemple une distance apparente plus grande D59_FG25 B ) serait représenté par la MEME chaîne d’IBOZOO UU et dont la dénomination de GEODESIQUE serait incorrecte et nous avons donc préféré la qualifier de GEOIDE, même si les deux mots ont une étymologie liée sur Terre.
LE CONCEPT DE TEMPS.
L’écoulement du temps introduit pour l’OEMII une perception de type psychologique. Il s’agit d’une autre illusion. Au sein de notre organisme se produit tout une série complexe de phénomènes périodiques, de la circulation sanguine jusqu’à des processus comme le métabolisme des graisses. Si nous fermons les yeux, nous continuons à percevoir que le Temps s’écoule grâce à la périodicité rythmique de ces milliers de phénomènes physiologiques.
Mais le concept de temps pour le physicien de la Terre diffère à un niveau élevé de la perception analysée par les psychobiologistes. Vous considérez le Temps comme une dimension, du moins est-il ainsi accepté par les adeptes de la théorie relativiste d’EINSTEIN.
Notre concept de TEMPS présente sans doute des facettes nouvelles qui vous sont inconnues.
En premier lieu nous ne pouvons considérer le Temps comme une dimension ou continuum, comme vous le faîtes vous-même.
Ce n’est pas que le temps soit quantifié, mais on ne peut concevoir un instant comme un point dans l’axe du temps. L’intervalle dt, bien qu’il puisse tendre vers zéro, nous ne pourrions jamais le concevoir aussi petit que nous le voudrions.
Il existe de plus un aspect lié à cette question que nous désirons énormément souligner. Vous considérez que la plus grande vitesse que puisse atteindre une subparticule dans le WAAM (Cosmos) est de 299 780 km/h (vitesse de la lumière) et vous considérez cette vitesse comme « CONSTANTE ».
Indubitablement vous n’avez pas mal réalisé cette mesure. En effet : c’est cette même vitesse que nous avons enregistrée … dans ce même cadre tridimensionnel.
Mais il suffit de changer de cadre ou de système à trois dimensions pour que cette Vitesse Limite change notablement jusqu’au point où l’unique référence qui puisse refléter le changement d’axe soit précisément la mesure de cette vitesse ou constante C.
Nous aurons ainsi une famille de valeurs :
C0 C1 C2 C3 ………….. Ci …………..Cn
qui s’étend de C0 = 0 (zéro) à Cn = ¥ (infini).
Chacune représentant un système référentiel défini.
Dans le premier cas, (vitesse de la lumière nulle), nous vous dirons en avançant des concepts, que des phénomènes déterminés que vous associez à la parapsychologie se produisent comme par exemple les communications télépathiques. Le WAAM analysé sous ce système tridimensionnel de référence présente une uniformité absolue (vous diriez Entropie maxima). (1)
(1) Même si cet état d’ENTROPIE MAXIMA ou DEGRADATION pourrait se produire dans n’importe quel système référentiel où la vitesse de la lumière est « NON NULLE ».
Dans le cas limite ce la vitesse de la lumière infinie, le WAAM peut être considéré comme non existant, car on pourrait l’assimiler à une identification de tous les IBOZOO UU avec lui-même, c’est-à-dire à un seul IBOZOO UU qui, comme vous le savez, N’A PAS DE REALITE PHYSIQUE.
Il faut que vous compreniez cela avant de continuer plus loin. Même si c’est difficile à accepter à cause de vos raisonnements logiques habituels.
Si vous imaginez dans l’espace une gamme infinie de petites sphères ou de petites boules polychromes, chacune différente de la suivante par la couleur et à l’intérieur de la couleur par les nuances, vous aurez alors une grossière image du WAAM.
Imaginez maintenant que vous localisez deux sphères exactement de la même couleur. En utilisant les mécanismes logiques en usage vous diriez que ces deux petites boules sont à des endroits différents. Qu’elles représentent des entités différentes. En somme, ce sont deux boules, et que cette pluralité de sphères différenciées par la couleur a échoué lamentablement.
Mais si nous déplaçons ce raisonnement au cosmos, si vous localisez deux IBOZOO UU qui étaient jusqu’à maintenant distincts puisque leur « axes » (OAWOO) étaient orientés dans des directions différentes, et si maintenant vous les contemplez avec cette perspective et que les deux IBOZOO UU sont égaux ; vous devrez alors utiliser un autre raisonnement dissocié de la logique divalente et affirmer que ces « deux » IBOZOO UU sont le « même » IBOZOO UU.
En effet : une paire d’IBOZOO UU qui, dans un système référentiel, apparaissaient différenciées, s’agissant par exemple d’un neutron et d’un pion, en changeant d’axes de référence, ces deux subparticules qui dans l’autre cadre semblaient très distantes pour l’observateur, appartenant même à deux galaxies différentes, et bien dans un autre système tridimensionnel il faut les considérer comme un même IBOZOO UU.
Mais la probabilité pour que cela se produise pour une paire d’IBOZOO UU (?) et (?) est pratiquement nulle quand le nouveau système référentiel diffère « angulairement » très peu de l’antérieur.
Nous nous éloignons quelque peu de la question centrale mais c’est volontaire : nous définissons un intervalle de temps AT comme une succession d’IBOZOO UU dont les IOAWOO diffèrent entre eux par des quantités constantes (D59_FG26)
D59_FG26
C’est à dire que nous considérons dans un IBOZOO UU les quatre « axes » (OAWOO) (faites attention au véritable concept de OAWOO) que nous appelons OAWOO UXGIGII car ils représentent précisément le cadre tridimensionnel de référence (D59_FG27).
D59_FG27
OAWOO UXGIGII qui en réalité n’existent pas car ils sont aussi conventionnels qu’un symbole, mais ils servent au mathématicien pour fixer la position du véritable OAWOO.
Si le véritable OAWOO (U) oscille à l’intérieur de ce cadre idéal, imaginez maintenant un nouveau système référentiel de DEUX OAWOO UXGIGII, chacun d’eux formant 90° avec les quatre antérieurs (Voir D59_FG27).
Ce nouveau cadre d’action d’un T (OAWOO) réel et ceux antérieurement définis, définissent respectivement l’ESPACE et LE TEMPS D59_FG28 :
D59_FG28
Vous pouvez observer que les OAXOO (AXES RECTEURS) V et T qui définissent l’ESPACE ET LE TEMPS possèdent des degrés de liberté différents. Le premier peut parcourir IOAXOO (Angles-Espace) dans trois orientations différentes qui correspondent aux trois dimensions typiques de l’ESPACE, le second étant « condamné » à se déplacer sur un seul plan.
D59_FG29
Deux IBOZOO UU dont les axes OAXOO T1 et T2 diffèrent par un angle tel qu’il n’existe pas dans le WAAM un autre IBOZOO UU et dont Ti soit situé entre les deux, définiront le plus petit intervalle de TEMPS. Nous appellerons cet intervalle UIWIIOO (INSTANT) (D59_FG29).
En quoi consiste le flux du temps ? Est-ce une illusion ?
Prenons un objet quelconque : un fruit. Même si nous n’avons pas encore développé le concept des subparticules atomiques, nous avons par contre déjà suggéré dans d’autres documents que chaque composant atomique est en réalité un IBOZOO UU. Le fruit sera composé d’eau, d’hydrate de carbone, de protéines et d’autres composants chimiques organiques. Ceux-ci à leur tour seront composés de NIIO A (ATOMES) et ceux-ci par des subparticules ; chacune d’elles étant un IBOZOO UU avec ses (OAXOO) (AXES) orientés d’une manière particulière.
Quand nous mesurons sur notre montre un intervalle d’une microseconde : l’orange que nous avons dans la main est-elle identique à celle que nous tenions l’instant d’avant ? Un chimiste de la Terre dira : en réalité ce n’est pas la même car en son sein, dans ses cellules le processus de métabolisme a modifié ses caractéristiques.
Le physicien dira : NON, ses électrons varieront de position au sein des orbites (ndt ? « orbitales »). Mais si nous lui demandons maintenant si ces électrons, qui ont une position différente, sont les mêmes qu’auparavant ; il répondra peut-être : OUI.
Mais c’est une erreur : il s’est produit un saut de l’IBOZOO UU qui avant représentait l’électron E1 de l’orbital O1 de l’atome A1 et ce n’est plus le même.
Un profane en physique comprendra mieux avec cet exemple. Imaginez un cadre formé par une mosaïque d’ampoules électriques (D59_FG30).
D59_FG30
En un instant T1 sont allumées des ampoules pour former un A majuscule. Mais un instant après, t2, le temps semble s’être déplacé. Le A est le même mais ses composants ont varié. On a éteint des lampes pour en allumer d’autres. L’illusion de continuité est la même, mais le A semble s’écouler le long de la mosaïque de lampes.
D59_FG31
L’une ne s’est pas encore éteinte que commence à s’allumer la suivante. (D59_FG31) ; l’électron Eb de notre exemple qui n’était qu’un IBOZOO UU I1, devient un instant après Ec.
D59_FG32
Si vous considérez le WAAM comme l’intégration de tous les IBOZOO UU « (passés, présents et futurs »), ce que nous nous appelons (Moi, maintenant) nous pouvons le représenter sur un plan sur l’image D59_FG32.
Si MOI ; je me trouve en un « point » P représenté par un IBOZOO UU avec son Tp (OAXOO) orienté verticalement, que se passera-t-il demain ? « JE » serai en T’p (un autre IBOZOO UU) que j’appellerai futur. (1)
(1) En disant MOI, nous ne nous référons pas à un OEMII (Personne) composé de trillions d’IBOZOO UU, mais à une subparticule élémentaire de mon organisme : un proton par exemple. Vous pouvez observer que le physicien de la Terre Einstein avait conçu un univers qui d’une certaine manière n’était pas tellement éloigné de celui que nous sommes en train de vous décrire. Vous devez seulement remplacer le « CONTINUUM » ESPACE-TEMPS par l’ensemble sensé des IBOZOO UU. De plus Einstein coïncida avec nous sur d’autres points essentiels. Mais Einstein ignorait que ce que lui considère comme VITESSE CONSTANTE DE LA LUMIERE n’est que l’un des systèmes de référence possibles. Il ignorait qu’il y avait d’autres cadres tridimensionnels que celui qui nous est familier.
Notre conception du WAAM explique certaines contradictions que les physiciens de la Terre ont cru trouver entre la Mécanique quantique et la conception relativiste comme nous vous l’expliquerons dans d’autres documents.
Mais ; que se passe-t-il sur le plan de « MOI MAINTENANT » pour un autre point éloigné de moi par une distance d, c’est à dire une chaîne d’IBOZOO UU ? tout simplement que l’orientation de son (OAXOO) Tu (axe de temps) sera différent. Je ne peux donc pas dire qu’il y a simultanéité de TEMPS. Je ne peux donc pas dire par exemple « MAINTENANT » se produit telle chose sur la planète VENUS car un tel concept de simultanéité n’a pas de sens (ET TOUT CELA POUR UN MEME CADRE DE REFERENCE).
La vitesse limite : pour un même système tridimensionnel, la vitesse de la lumière ou vitesse limite est constante.
UMMOAELEWE
Langue ESPAGNOL
Nombre de copies 1
ENRIQUE VILLAGRASA NOVOA
Madrid (Espagne)
RESUME PREALABLE.
Dans nos documents précédents, nous vous avons ébauché de la manière la plus didactique possible le concept de base de l’IBOZOO UU.
Il n’est pas facile de trouver des images perceptibles de certains éléments ou facteurs (il ne nous semble pas correct de les dénommer particules) qui peuvent seulement se concevoir analytiquement à l’aide d’algorithme mathématique.
Mais nous vous répétons que certaines libertés pédagogiques entraînent un risque très grave. Ainsi quand les professeurs d’un UUGEEYIE de la OYAAAGAA lui représentent l’atome comme « un modèle planétaire en miniature » et l’incitent à se représenter le Noyau comme une espèce de « soleil » et les électrons orbitaux comme des « planétoïdes » tournant autour, le UUGEEYIE assimile un concept aberrant qui, s’il n’est pas dépassé par des études supérieurs, demeurera toute sa vie et l’empêchera de concevoir un Cosmos Physique plus proche de la réalité.
Nous vous disons tout cela pour vous mettre en garde contre les préjugés simples et erronés. Il nous parait très important que le concept de OAWOO (AXE ou DIMENSION ORIENTE) ne soit pas identifié par vous avec la matérialisation d’une droite. Ni même avec un vecteur rotatoire ou axial représentatif de magnitudes orientées. Le OAWOO n’est pas mesurable, c’est à dire qu’il ne s’agit pas d’une longueur, qu’il n’a pas de dimensions comme les physiciens de OYAGAA (Planète Terre) le conçoivent. Pour toutes ces raisons nous vous demandons de ne pas essayer de l’identifier avec la dimension LONGUEUR.
Sans doute un profane en mathématique essaierait en connaissant notre théorie de chercher ingénument une représentation PERCEPTIBLE d’un tel « AXE » mais nous savons que chez vous une telle représentation mentale est actuellement impossible. Et ceci nous amène à vous dessiner des graphiques de ce document sous forme de représentations sphériques et axiales qui sont aussi puériles que le concept de l’atome expliqué par quelques humbles maîtres d’enseignement scolaire.
D’autre part, le OAWOO N’EST PAS UNE CONVENTION, ce n’est pas un simple paramètre, une forme arbitraire de représenter un IBOZOO UU (comme pourrait l’être le nombre Leptonique idéalisé par les physiciens de la Terre).
Le OAWOO n’existe pas sans l’imaginer lié ou « connecté » à un autre OAWOO avec lequel il forme un ANGLE ELEMENTAIRE que nous appelons IOAWOO.
Toute la confusion que nous pourrions provoquer en essayant par tous les moyens de vous présenter ces concepts de notre Physique, est provoquée précisément par notre désir de vous apporter ces références d’une manière didactique et compréhensible. Sont alors inévitables les apparentes contradictions, tout comme il y en aurait à la question d’un enfant terrestre, concernant la manière selon laquelle un transistor peut capter une émission lointaine si votre réponse était « les paroles viennent de l’air ».
Il est évident que cette réponse candide adaptée à la mentalité primaire de l’enfant présentera de sérieuses contradictions avec la formulation de certains postulats de la Théorie Physique des Champs et de la Mécanique des Fluides.
Par contre il sera beaucoup plus simple d’imaginer le concept de IOAWOO (nous pourrions traduire par (« ANGLE FORME PAR DEUX OAWOO ») si vous vous souvenez comment nous avons dans des documents précédents identifié cette IOAWOO avec certaines magnitudes qui vous sont familières (LONGUEUR DE TEMPS).
Malgré tout il ne vous sera pas facile de concevoir un ANGLE NON formé par des droites ou des plans qui se coupent. Une telle conception de l’Angle diffère de la convention des mathématiciens terrestres.
En résumé : si vous essayez d’appliquer vos propres schémas mentaux impliqués dans l’orthodoxie de la Logique Formelle, et même si nous vous apportons toute la formulation scientifique de notre théorie, il vous sera impossible d’assimiler ces concepts. Ceci est donc la raison évidente de notre tentative de faciliter la compréhension des IBOZOO UU avec des comparaisons grossières.
D’autre part ceci ne semble pas raisonnable. L’OEMII non formé est habitué à contempler des objets délimités par des lignes, à matérialiser mentalement des angles délimités par des droites et des plans et à positionner des objets en tel point ou tel endroit.
Il sera donc difficile à cet OEMII d’imaginer un IBOZOO UU qui ne puisse pas se définir par les trois coordonnées qui définissent, dans un espace euclidien, le point ; il lui sera difficile d’imaginer qu’en plus il n’a pas de masse et qu’il ne peut donc être assimilé à une quantité en mouvement. Qu’il n’a pas d’énergie en lui ainsi que de charge électrique car de tels concepts (MASSE, ENERGIE ET CHARGE) sont des élaborations mentales associées à une orientation particulière de tels éléments. Un « ESPRIT » expert en logique de OYAGAA le définirait peut-être comme le non-A (*) de la logique divalente (c’est-à-dire CE QUI N’EXISTE PAS)
Mais l’IBOZOO UU n’est pas un simple postulat mathématique, une entéléchie (? ndt) composée par d’étranges concepts d’ « axes » qui permettent d’ébaucher une nouvelle hypothèse de Conception Physico-cosmologique.
Au contraire, nous vous avons confirmé empiriquement la Validité de cette conception. Nous savons que le IBOZOO UU EXISTE REELLEMENT et nous reconnaissons seulement que nous ignorons d’autres aspects de telles entités et que par conséquent nous ne sommes même pas arrivés à la moitié de la VERITE COSMOLOGIQUE et peut-être nous n’y arriverons jamais même si nous nous y approchons d’une manière asymptotique.
Par conséquent nous n’essayons pas de vous faire accepter, Monsieur Villagrasa, cette conception inconnue des physiciens de OYAGAA (Terre). Sinon il nous faudrait ébaucher au préalable nos principes logiques et que nous accompagnions cette divulgation non seulement de leur formulation mathématique mais aussi de certaines preuves empiriques.
Il serait puéril de prétendre qu’un physicien de la Terre puisse accepter des prémisses à l’aide d’un texte essentiellement didactique sans un bagage d’arguments cohérents et sans l’aide d’un témoignage digne de foi. Jamais des OEMII qui restent cachés et qui opèrent dans l’ombre, pour des raisons que nous vous avons déjà expliquées, pourraient prétendre à être crus grâce à des conversations téléphoniques mystérieuses ou à l’aide de documents dactylographiés sans signature identifiable.
En somme, nous essayons de vous DECRIRE UNE THEORIE et non de la DEMONTRER.
Vous pourriez nous objecter, Monsieur Villagrasa , qu’il serait nécessaire d’ajouter à nos documents des arguments mathématiques pour les avaliser. Notre attitude consistant à refuser de coopérer pour que notre identité se clarifie révèle qu’il s’agit soit du fruit d’une supercherie soit de la conséquence d’une attitude égoïste tendant à monopoliser notre Science et notre Technologie pour ne pas la transférer à la planète Terre.
Comme vous êtes déjà au courant de nos arguments, il est inutile donc d’engager une polémique. Mais nous vous rappelons quand même que vous n’arrêtez pas d’insister dans ce domaine. Vous insistez toujours dans vos invocation d’un vice à l’origine ce qui voudrait dire que vous considérez que NOTRE CONTACT AVEC VOUS A POUR OBJET L’ACCEPTATION DE NOTRE IDENTITE.
Il est clair que si cela était notre objectif, il existe une multitude de moyens pour y arriver, et naturellement vous et les deux centaines de scientifiques plus quelques autres frères de profession variée avec qui nous sommes en contact, ne constitueraient pas les objectifs les plus adaptés pour nous faire connaître. De même à l’heure actuelle nous ne pensons pas que les Administrations d’Etat des différents pays de cette planète soient en état de nous causer des préjudices.
En ce qui concerne l’égoïsme apparent que nous pourrions révéler en gardant notre Science et nos Techniques, nous regrettons d’être en désaccord avec votre appréciation. Nous SOMMES CERTAINS que cet apport serait gravement préjudiciable au réseau social. Consultez, Monsieur Villagrasa, ce point avec un véritable expert en Sociologie, s’il est intelligent et objectif, il vous apportera des explications corroborant notre position.
LES SUBPARTICULES ELEMENTAIRES
Si nous voulons vous décrire nos conceptions sur la MASSE et l’ENERGIE il faut établir à chaque instant les différences et les ressemblances entre les idées actuelles d’un physicien de la planète UMMO et un autre de OYAAGAA (TERRE).
Avant tout, nous vous indiquons que malgré certaines différences concernant la véritable signification de facteurs qui vous sont familiers (comme le SPIN), nous acceptons comme valables de nombreuses découvertes terrestres, même si nous les interprétons d’une manière différente.
Pour illustrer le paragraphe précédent voyons quelques exemples concrets de coïncidences conditionnées.
Vous avez mesuré la Masse du PROTON, de l’ELECTRON, de nombreux MESONS et HYPERONS ou vous avez constaté la MASSE nulle du NEUTRINO ou du PHOTON.
Nous corroborons l’existence de ce que vous appelez PARTICULES, et nous confirmons que la mesure de leur masse en repos relatif, réalisée par vous, est correcte. Notre différence apparaît au moment d’interpréter la véritable nature de ces prétendues particules (nous serons plus explicatifs tout à l’heure).
Voyons maintenant un exemple de différence quant à la mesure de CONCEPT.
Vous connaissez un paramètre important que vous appelez SPIN ou MOMENT INTRINSEQUE et vous « savez » qu’il est quantifié en cinq mesures. (Quelques Physiciens de la Terre ont interprété ce SPIN comme ROTATION de la PARTICULE en lui assignant un MOMENT pour sa mesure).
Par contre, nous, nous savons qu’une TELLE ROTATION N’EXISTE PAS, et que la quantification de sa valeur est une erreur car si dans un cadre tridimensionnel le Nombre de valeurs est fini, les possibles orientations du « quadrique » de OAWOO que vous interprétez comme SPIN, ne pourront jamais être mesurées correctement sinon comme ce que vous appelleriez une longueur CONTINUE.
Enfin, nous vous signalerons une autre hypothèse en vigueur chez vous que nous avons rejeté comme entièrement fausse.
Ainsi certains physiciens de la Terre conçoivent actuellement le PROTON comme étant formé de MESONS.
Suivre cette voie erronée pourrait retarder la Recherche Terrestre dans le domaine de la physique pour de nombreuses années.
L’hypothèse primitive qui consistait à concevoir le Proton comme particule indivisible est plus proche de la réalité.
Il s’agissait donc de certaines différences prises au hasard que nous avons pu enregistrer.
UNE COMPARAISON POUR DES PERSONNES PEU VERSEES EN PHYSIQUE
Au long de ces dernières années, les physiciens de OYAAGAA ont percé progressivement la nature intime de la matière. Peu à peu vous avez obtenu un catalogue d’une série de particules à qui vous avez assigné une série de paramètres dont la mesure est possible à l’aide de vos actuels instruments de laboratoire.
Ainsi vous êtes capables de mesurer la MASSE en repos et en mouvement son énergie actuelle, sa charge électrique, son SPIN et son MOMENT ORBITAL. Vous ne connaissez pas la situation d’une particule en un instant donné mais vous avez la possibilité de la localiser en un point défini.
Cependant de nombreux physiciens supposent qu’une particule a une réalité (soit comme phénomène concentré dans un environnement de rayon limité, soit comme quantité réelle ou Quantum d’ENERGIE sans pouvoir en définir la taille et la position).
Cependant sans l’existence d’INTERACTIONS et avant la possible collision avec une autre particule, celle-ci peut se déplacer en une trajectoire que vous pouvez visualiser dans une chambre de NIELLE par exemple en conservant cependant des attributs initiaux de MASSE, SPIN, ORBITE, CHARGE et ENERGIE.
Avant de continuer, nous allons vous donner deux comparaisons didactiques.
Vous employez pour vos fêtes populaires une chaîne de fusées entourées par une mèche continue (en Espagne vous appelez cet artifice un CHAPELET (de pétard (ndt))
Imaginez qu’un observateur contemple de très loin un rue sur laquelle on a étendu un de ces chapelets.
D59_FG33 (NDS : dessin illisible sur le document photocopié)
Quand commence l’explosion du premier pétard, un OEMII court en portant un feu de Bengale dans la direction parallèle au chapelet. Les pétards du chapelet en explosant les uns après les autres et très vite, peuvent provoquer l’illusion optique pour notre observateur qui voit de loin ce phénomène qu’il s’agit d’une LUMIERE qui court le long de la corde.
Il croira voir deux LUMIERES qui se déplacent avec des trajectoires parallèles :
– le coureur avec son feu de Bengale
– la mise à feu séquentielle des pétards.
Il ne verra peut-être pas la différence et même il pourra croire qu’il s’agit de deux coureurs avec des feux de Bengale.
Vous voyez donc la différence entre ces deux conceptions PHYSIQUES. Les PHYSICIENS de OYAAGAA accepteraient la « version » du coureur avec son feu de Bengale. Les Physiciens de notre Planète savent que le déplacement des particules pourraient être assimilé à la métaphore du chapelet de pétards.
Si un fragment de minéral radioactif émet des rayons b (Bêta), vous croyez que l’électron qui est parti d’un grain de la substance est le même qui, après quelques centimètres, provoque un collision avec par exemple une molécule d’oxygène.
Notre conception diffère énormément de cette image formelle. L’ELECTRON EN LUI-MEME N’EXISTE PAS (tout comme on ne peut pas dire qu’un éclair ou un scintillement existe dans le pétard). OUI il existe une chaîne d’IBOZOO UU inaccessible à nos sens et à nos appareils de mesure à cause de l’orientation particulière de ces OAWOO (AXES) (tout comme seront inaccessibles pour l’observateur éloigné les rouleaux de cartons pleins de Nitrate potassique et de soufre d’Antimoine, cachés dans la nuit).
De plus certains OAWOO de chacun des composants de cette série ou chaîne s’orientent consécutivement. (Pour ensuite revenir à leur orientation primitive).
Ceci constitue l’illusion du mouvement de quelque chose qui est sous-jacent à nos organes des sens externes et qui échappe au contrôle de vos instruments de mesure actuels.
Il n’est pas possible de concevoir une PARTICULE ISOLEE EN DEHORS DU WAAM (COSMOS) comme il serait inimaginable de concevoir une VAGUE de l’océan qui ne soit pas associée à l’EAU.
Non seulement l’ENERGIE est quantifiée (sur ce sujet les physiciens terrestres ne se sont pas trompés) mais la MAGNITUDE « DISTANCE » l’est aussi dans un ordre inférieur à 12^(-13) centimètres (relation angulaire entre deux IBOZOO UU « CONNEXES » (LIES) et précisément une PARTICULE SUBATOMIQUE a comme base un IBOZOO UU et un autre CONNEXE).
(Nous employons le mot CONNEXE car nous n’en trouvons pas d’autre plus adapté dans votre langage).
Nous croyons que le mot ADJACENT suggérerait un positionnement de l’IBOZOO UU et nous vous avons déjà dit qu’un IBOZOO UU existe mais qu’on ne peut le positionner.
Nous allons essayer de représenter un AYUU (RESEAU) d’IBOZOO UU dans un plan idéal.
Un profane en physique comprendra mieux avec cet exemple. Imaginez un cadre formé par une mosaïque d’ampoules électriques (D59_FG30).
D59_FG34
de manière telle qu’aucun IBOZOO UU n’oriente l’un de ses OAWOO (AXES) qui le composent perpendiculairement au Plan Fictif que nous avons tracé à l’aide de crayons de couleurs (D59_FG34)
Nous disons que a est « connexe » avec Vj (DUU OII) et que Vj est DUU OII (connexe) avec Y.
Un OEMII considérera ce réseau « VIDE » et l’identifiera illusoirement avec le RIEN.
Pour lui il n’existera pas de MATIERE, ni ni de CHAMP GRAVITATIONNEL ou ÉLECTROMAGNÉTIQUE, ni d’INTERACTIONS FAIBLES, ni d’INTERACTIONS NUCLÉAIRES. En somme il extrapolera ce AYUU (réseau) du COSMOS qu’il connaît.
Mais imaginez que l’IBOZOO UU représenté en ORANGE oriente l’un de ses OAWOO que nous appelons OAWOOYEY en un angle idéalisé dans l’image 33 D59_FG35 avec a = P/6.
D59_FG35 ( Manquant dans le document reçu).
???
UMMOAELEWE
A M. Enrique Villagrassa Novoa.
Madrid . Espagne.
(N° de copies = 1 (Espagnol)
Monsieur
Nous avons essayé de satisfaire vos souhaits formulés par téléphone auprès de mon supérieur en Espagne DEII 98, fils de DEII 97. Je n’hésite pas à qualifier le document que nous vous remettons comme quelque chose de TRES INTERESSANT POUR LES TERRESTRES.
Vous n’ignorez pas que les difficultés que représente l’apport d’une théorie sans précédent sur OYAGAA avec l’unique aide de quelques feuilles de cellulose imprimées à l’aide d’une machine à écrire et sans le support de l’assistance « a posteriori » d’un professeur spécialiste.
Les difficultés augmentent si l’on veut en faire bénéficier à certains de vos frères qui ignorent même les théories de l’ESPACE PHYSIQUE formulées par les scientifiques et chercheurs de OYAGAA (ASTRE TERRE).
Pour cette raison nous avons décidé de vous présenter ces paragraphes rédigés d’une manière telle que vous pourriez la qualifier « d’anarchique » ou tout au moins de « peu homogène » car aux textes d’une rigoureuse analyse d’initiation à la Théorie, nous avons ajouté d’autres plus superficiels (du niveau de la pédagogie infantile) avec une profusion d’images coloriés qui serviront à vos frères profanes dans le domaine de WAA (mathématiques) pour s’initier plus facilement sans avoir besoin d’un cours de préparation long et difficile.
Nous avons aussi résisté à la tentation d’ajouter une argumentation mathématique plus proche de nos WUUA WAAM car cela exigerait une initiation de votre part au niveau de notre UWUUA IEES (LOGIQUE MATHEMATIQUE TETRAVALENTE) ; c’est pour ces raisons que la rigueur scientifique des concepts que nous vous exposons est irrémédiablement mis à mal. De ce fait la rigueur scientifique des concepts que nous exprimons reste irrémédiablement mise à mal..
Nous vous laissons juges du mode de divulgation de ce document et des suivants (que vous recevrez tous les 21 jours) ; SI VOS FRERES EXPRIMENT DE LA LASSITUDE NOUS VOUS CONSEILLONS DE LIRE CE DOCUMENT SUR DEUX OU TROIS JOURS.
Comme nous vous le disions antérieurement, nous avons entouré EN VERT les paragraphes dont la lecture pourrait être aride pour les non initiés même si les connaissances mathématiques sont très élémentaires et à la portée d’un simple étudiant.
Ce que nous conseillons d’avantage, c’est D’EVITER QUE LES TERRESTRES NE REPRODUISENT LEUR NOCIVE ET ANTI-EDUCATIVE HABITUDE DE LIRE D’UNE SEULE FOIS LE TEXTE. Chaque paragraphe homogène d’une demi-page à deux pages doit toujours être COMMENTE avant de procéder à la lecture du suivant.
Le dialogue entre le lecteur et ses frères développe une série de réflexes neurocorticaux qui stimulent chez l’OEMMI une forte conscience sociale et élabore avec le temps de nouvelles formes de canaux d’information nécessaires au RESEAU SOCIAL TERRESTRE.
Ce conseil n’est pas seulement destiné à nos rapport, mais il est aussi valable pour chaque réunion, congrès ou conseil que ce soit pour la littérature la science ou l’information.
Les règles doivent toujours être respectées. C’est une condition TRES IMPORTANTE : personne ne doit rire, se moquer ou s’exprimer avec une ironie caustique quand un autre frère expose noblement sa pensée ; même si celle-ci parait aberrante, si l’expression verbale est pauvre en vocabulaire ou si la construction des phrases est incorrecte, puérile ou cacophonique.
Ces moqueries des plus intelligents exprimées à haute voix et leurs commentaires agressifs provoquent des réactions d’inhibition chez vos frères peu dotés culturellement. Apparaissent en eux alors des formes mentales de conscience d’infériorité et cela bloque des impulsions neurocorticales déterminées. Ainsi de telles personnes préfèrent se taire et ne pas exprimer leur opinion par peur de ne pas être comprises et de provoquer des réactions agressives de la part de leurs frères.
Ces OEMII terrestres intolérents avec le jugement de l’expression orale des idées des autres frères doivent savoir que non seulement leur conduite est immorale mais que de plus ils se portent préjudice à eux mêmes.
En effet : Qui détruirait les propres meubles de la chambre sachant que ces instruments qui l’entourent sont utiles pour ses besoins ?
L’OMEII qui profite de son intelligence et de sa culture pour blesser ses frères, leur imposer ses propres idées par la force ou les maintenir dans l’ignorance pour pouvoir les DOMINER, collabore incongruement à créer autour de lui un cadre social hostile et peu constructif QUI FINIRA PAR SE RETOURNER CONTRE LUI.
Pouvez-vous concevoir qu’un homme soit heureux s’il vivait entouré d’enfants mongoliens retardés mentaux, avec l’unique satisfaction de se sentir SUPERIEUR ?
Ainsi, l’unique voie qu’il vous reste si vous désirez developper vos facultés mentales est de pouvoir provoquer une réflexion chez ceux qui vous entourent. Non pas en imposant par le force de votre dialectique les idées (les votres ndt) et en discréditant ostensiblement leurs critères quand ils parlent. (1)
(1) : Vous pourriez vous familiariser avec ce proverbe : celui qui fabrique des imbéciles autour de lui finit lui même par devenir IDIOT.
Donc dans les réunions il faut inviter les plus réservés à s’exprimer, pour qu’ils se sentent importants si on les écoute, pour qu’ils découvrent eux-même la riche gamme des possibilités intellectuelles de leur propre dynamique corticale.
Vous observerez alors que ces personnes qui vous étaient hostiles auparavant, se convertiront en véritables frères, prêts au dialogue et à s’intégrer dans les actions de la petite communauté.
D60
UMMOAELEWE
COPIE OFFICIELLE
Dictée à MADRID (ESPAGNE)
Le 27 mai 1966, par DEI-98, fils de DEI-97
Idiome : ESPAGNOL
N° de Copies : 3
Les notes suivantes ont été remises avec une rédaction distincte mais en des termes semblables
N° de copies
Anglais : 4
Français : 2
Slave-Tchèque : 1
Italien : 1
Monsieur,
Une demande de Fernando Sesma Manzano fut satisfaite en lui communiquant qu’au cours des mois de l’année terrestre 1966 -1967, l’on prévoyait l’arrivée de l’un de nos OAWOOLEA UEUA OEEMM (astronef).
Il nous est impossible de prévoir avec beaucoup d’anticipation les conditions optimum pour ces déplacements. De telles conditions sont liées à des caractéristiques spéciales de l’Espace Physique que nous avons exposées d’une manière didactique en d’autres occasions. Nous les dénommons UUXAGIXOO (G-USAAGIXOO) (peut se traduire par ISODYNAMIQUES). Quand l’espace se « COURBE », ou exprimé d’une manière plus fidèle: quand les composants de l’Espace que nous nommons IBOZOO UU orientent leurs « ANGLES » dans une direction distincte de celle qui est habituelle dans un environnement du WAAM (univers), vous pourrez considérer que la courbure s’est effectuée, quoique l’expression « Orienter ses Angles » serait très confuse pour un technicien terrestre, mais nous ne trouvons pas d’autres termes plus spécifiques dans votre langage.
Ces plissements ou courbures de l’espace sont apériodiques ce qui rend très difficile, pour ne pas dire impossible la réalisation de prévision à long terme.
NOUS DÉSIRONS VOUS COMMUNIQUER OFFICIELLEMENT QUE :
L’arrivée sur la planète OYAGAA (Terre) de trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (G- OEEMM) provenant de notre OYAA (PLANETE) UMMO est imminente. Nous rappelons que la distance (que vous pourriez appeler Géodésique) en ligne droite depuis notre système au système solaire est approximativement :
DISTANCE DE IUMMA AU SOLEIL. Distance apparente que suivrait un quantum énergétique d’un faisceau cohérent d’ondes dans l’Espace de trois dimensions. Mesurée par nous le 4 janvier 1955 : 14,436954 années lumière.
La distance réelle mesurée dans le cadre tridimensionnel (S60-1) à cette même date durant le plissement (S60-2) 45|77|76
3,68482 années lumières terrestres.
(V- Notre OYAA UMMO tourne autour de IUMMA en une orbite elliptique d’excentricité 0,00783 avec IUMMA comme foyer. Masse de UMMO : 9,36.1024 kilogrammes-masse terrestres. Accélération de la gravité sur UMMO : 11,88 mètres/secondes2.)
Nous calculons que la descente des vaisseaux provenant de notre UMMO se réalisera (en tenant compte de la marge d’erreur prévisible) entre 21 heures 28 minutes T.G.M. le 30 mai 1967 et 23 heures 6 minutes (G et V- 21 h 28 m le 30 mai et 23 h 5 m le 3 juin) T.G.M. le 3 juin 1967. (La probabilité pour que cela se produise le 30 mai ou pendant les dernières heures du 31 mai est si faible que l’on peut estimer comme limites l’intervalle entre zéro heure le 31 mai et 8 heures du soir le 3 juin, selon la fonction d’erreur probable que nous avons étudié.)
D’autre part, les intervalles d’arrivée des trois UEWA ne dépasserait pas 7 heures ± 20 minutes.
Les points approximatifs où se produira la OAWOOLEIDAA (1) (G – OAWOOOLEIDAA ) ont été prévus.
1- OAWOOLEIDAA est un terme scientifique intraduisible qui décrit le phénomène technique dans lequel les particules subatomiques IBOZOO UU du vaisseau et ses membres d’équipage permutent leur orientation, ce qui suppose un changement de système tridimensionnel de référence, par rapport à un autre de référence, c’est à dire: un changement de dimension. Un spectateur verra le vaisseau disparaître devant ses yeux a l’instant de l’OAWOOLEIDAA
(G- Phénomène physique provoqué par notre technologie, par lequel les particules subatomiques du vaisseau permutent leur orientation, ce qui suppose un changement de Système tridimensionnel de référence. De cette manière peuvent être réalisés nos Voyages. Un spectateur situé sur Terre verra apparaître ou disparaître le Véhicule, au moment de la OWOOLEAIDAA)
Ces points (comme nous ne précisons pas le niveau au sol ou la côte zéro, nous nous référons non pas au véritable point de l’OAWOOLEIDAA mais à la référence de l’altitude où l’axe de gravité coupe une référence géodésique) sont :
BOLIVIE
ZONE DE ORURO. La descente aura lieu en un point situé dans l’aire circulaire qui a comme centre la ville de ORURO, son rayon sera de quelques 208 kilomètres avec une marge d’erreur dans cette dernière mesure de moins de quatre kilomètres.
ESPAGNE
ZONE DE MADRID – La descente est prévue au sein d’une aire circulaire qui a pour centre les coordonnées suivantes :
Longitude : 3° 45′ 20,6″ W
Latitude : 40° 28′ 2,2″ N
Et un rayon de 46 kilomètres avec une marge d’erreur de 1,6 km.
BRÉSIL
ZONE DE RIO GRANDE DO SUL, aux alentours de Santo Angelo. La marge d’erreur trop élevée nous interdit une plus grande précision.
Ces prévisions furent réalisées en date du 27 mai à 11 heures et 38 minutes. Nous pourrons, conformément à l’avance du temps, préciser avec moins d’étendue les marges d’erreur. Cependant d’autres facteurs pourraient modifier, dans ce cas, les points réels de la descente (et non les instants d’arrivée). Quelques-uns de ces facteurs sont , comme vous pouvez vous en douter, de nature tactique : sécurité et éviter des risques, perturbations imprévisibles durant la dernière phase de la navigation, ordres modificateurs de route émanant en dernière minute de notre hiérarchie, etc.
Ces points de descente ont été choisis pour des raisons très complexes parmi lesquelles on trouve : un risque minimal de détection par les organismes techniques des gouvernementaux de ces pays malgré leurs faibles moyens de localisation ainsi qu’à la prédisposition psychologique de leurs habitants à éluder toute attitude d’intérêt, concernant de tels phénomènes. D’autre part ces pays et les zones choisies résultent des meilleures marges de sécurité citées, comme les voies d’accès déterminées à nos bases d’action sur la Terre, bases que nous ne pouvons révéler pour des raisons évidentes.
Nous vous donnons cette information exceptionnelle: Exceptionnelle car jamais nous n’avons averti collectivement un groupe terrestre concernant nos arrivées sur Terre (les précédentes annonces sont très limitées et circonscrites à des personnes isolées). Nous vous PRIONS de suivre les spécifications suivantes: Nous reconnaissons que nous ne pouvons obliger à suivre celles ci compte tenu que nous n’avons pas de relation d’autorité, mais ne pas les respecter provoquerait évidemment la rupture définitive des contacts avec vous jusqu’à l’emploi de sévères mesures de dissuasion si l’attitude consciente tendait à provoquer une agression contre nos frères récemment arrivés, hypothèse fort improbable comme nous l’avons à peine mentionné.
Nous estimons que vous vous apercevrez de la gravité pour nous et sans exiger les garanties prévues pour sa réalisation, nous demandons et estimons que vous parviendrez à remplir les conditions suivantes:
Primo : Ne révéler le contenu de cette note à aucun organisme officiel de l’administration espagnole, ni à aucun cabinet technique privé du pays, avant que soit réalisée l’arrivée de nos nefs. Ce compromis sera annulé après zéro heure le 4 juin 1967. De toutes façons nous préférerions qu’aucune information de cette nature sorte de votre groupe vers les milieux gouvernementaux.
Secundo : Aucun membre du groupe ne devra faire aucun genre de confidences aux représentants de la PRESSE, RADIO, TÉLÉVISION, publique ou privé d’Espagne et autres pays accrédités dans cet État. Ce compromis sera caduc à l’arrivée de UEWA OEEMM en Espagne.
Tertio : Nous ne vous autorisons pas à divulguer l’annonce de notre arrivée (descente de nos frères) en utilisant les moyens normaux de diffusion. Restent hors d’interdiction les commentaires réalisés confidentiellement à l’intérieur des cercles familiaux et sociaux des composants du groupe.
Quarto : Vous pouvez si vous le désirez à titre de preuve officielle faire des photocopies de cette note pour les remettre à un Notaire patenté (toujours sous la mention confidentiel).
Vous n’êtes pas autorisés à informer par voie postale ou entrevue personnelle de ce (???) les délégations ou ambassades de la république de Bolivie et de la République Brésilienne.
Quinto : En général nous répudions tous les actes de votre part qui pourraient entraîner une intervention consciente et coordonnée des forces aériennes du pays, corps de police, organes de contrôle et de radiolocalisation, détection et analyse du gouvernement AVANT QUE NOS NEFS SOIENT ARRIVÉES.
Il est certain que le risque est minime dans le pire des cas, puisque nous n’avons réellement aucune attitude agressive envers les Gouvernements terrestres. Nous connaissons cependant le climat créé dans les organes de Gouvernements de certains Pays, nous contrariant à reconsidérer quelques types d’investigations de cette classe pour lesquels nos craintes ne sont pas dissipées. Mais nous ne savons pas cependant si de telles marques favorables d’indifférence peuvent changer si se créait un état de l’opinion publique excité devant la seule annonce de l’arrivée de nos frères. L’imagination populaire extorsionnée par les affabulations de certaines littératures malheureusement habituelle chez les terrestres insère des notions exaltés concernant les êtres provenant d’autres astres. Ils ne savent pas par exemple qu’un groupe de frères de UMMO nous trouvons avec vous depuis 1950, ayant assimilé les langues et la culture de cette planète, ignorent notre mission sur la Terre purement technique et informative et que notre respect est notoire pour les Institutions terrestres envers lesquelles nous utiliserions seulement des moyens de défense en cas de réelle et et consciente agression. Si d’un coté cette image mentale ingénue que l’OEMII terrestre s’est forgée en imaginant les êtres d’autres astres comme des Monstres a favorisé l’incrédulité des personnes intelligentes, et de ce fait a créé pour nous un climat apte à travailler impunément avec vous sans risque de soupçons, d’autre part si une telle hypothèse valorisée par beaucoup comme fiction se voyait confirmée d’une manière bruyante et inhabituelle, cela pourrait provoquer des réactions imprévisibles qui abîmeraient le Réseau Social de la Terre et nous causeraient secondairement préjudice.
C’est la raison de notre réserve et de notre préoccupation formulée dans les demandes précédentes.
Nous ne pouvons pas contrôler personnellement l’exécution de ces demandes, mais nous disposons de contrôles de certains Organismes qui détecteraient n’importe quelle fuite de cette notice.
Une fois que notre UEWA OEEMM sera descendue sur le territoire espagnol (l’intervalle entre la descente et l’envol sera très bref) et accomplie sa mission, et seulement dans le cas où le point d’atterrissage ait pu être observé par des OEMII espagnols non informés, vous pourriez considérer comme annulées les mesures de précaution développées dans les paragraphes précédents. Malgré tout, vous devez éviter une diffusion excessive de cette notice. Nous voulons parler du cas où vous ou quelque autre frères terrestres seraient témoin de notre arrivée, ou que nous soyons détectés (raison plus difficile) par les équipes de radiolocalisation, ou prévenus par les avions civils ou militaires de l’Etat.
Nous pensons ne pas pouvoir satisfaire plus précisément votre curiosité sur l’heure et le lieu où se produira l’événement. Il est probable qu’il se réalisera dans une zone proche de la zone urbaine de Madrid. De toute façon la descente se fera probablement pendant les heures de luminosité minimale. Cette urgence est cependant la plus probable (sic)
Il n’y a pas d’objection à ce que vous particulièrement vous vous procuriez des témoignages à votre choix de la descente de notre UEWAA. Vous pouvez également l’enregistrer avec des caméras photographiques.
Notre nef possède une forme circulaire de diamètre maximal de 7,1 ENMO ( 13,177 mètres ), elle se distingue facilement par sa structure lenticulaire et par le diagramme de notre UMMOAELEWE apparaît sur la couronne inférieure , en contraste avec la luminosité du reste de la surface luminescence du reste de la superficie). Notre diagramme est ainsi )+( ( G- L’appui sur terre se réalise au moyen de trois pieds extensibles pourvus de panneaux rectangulaires à leurs extrémités).
Les perturbations magnétiques générées par les nefs peuvent être enregistrées à grande distance si vous disposez de magnétomètres de précision car leur fréquence est très basse. Ordre de variation du champ: ENVIRON 4,6 cycles par seconde.
Seulement dans le cas où, malgré ces avertissements ou par le biais d’autres canaux d’information, les organismes officiels seraient avertis de la descente de nos frères (un tel état d’urgence sera facilement détecté par nous), nous changerions au dernier moment le point d’atterrissage qui pourrait dans ce cas avoir lieu dans un pays voisin.
D61
D 61 | T4-64 | ajh corr: avril 2004 |
Titre de la lettre: | Message pour les destinataires des lettres | |
Date : | Juin 1969 | |
Destinataires : | Monsieur Garrido | |
Notes : |
UMMOAELEWE
Nombre de copies / 1
DIONISIO GARRIDO BUENDIA
MADRID ESPAGNE.
Ami apprécié,
Bien que ce soit la première fois que je me mette personnellement en contact postal avec vous, je désire vous redire toute l’affection que mes frères éprouvent pour vous, et vous exprimer aussi que la « syntonie » spirituelle qui a commencé depuis quelques mois, n’a pas cessé malgré un long silence postal dont les causes seraient trop longues à détailler dans une simple lettre.
Nous désirons vous saluer, vous et vos frères , parmi lesquels Juan M. AGUIRRE, Alicia ARAUJO, Jorge BARRENECHEA, Alberto BORRAS, Calvo MARTINICORENA et Calvo RODES, Angel Del CAMPO, Rafael FARRIOLS, Santos GARCIA, Frederico GUIBERRAU, Jaime IMBERT, José L. JORDAN, Enrique LOPEZ, Antonio LLOBET, Joaquim MARTINEZ, Francisco MEJORADA, Franco MUELA, Lansano PASCUAL RUBIELLA, Mauro PLAZO, Antonio RIBERA, Regina SENDRES, Fernando SESMA, José Manuel VERGARA, Fernando VILLALBA, Enrique VILLAGRASA, tous ceux qui ont manifesté l’intérêt à un degré quelconque pour nous, ainsi qu’à d’autres frères terrestres dont la relation vous a été faite et dont l’énumération rendrait cette lettre trop longue ou bien ceux dont il est plus prudent d’omettre les noms.
Un respectueux souvenir pour la famille de celle qui fut votre sœur Maria Térésa AYMERYION.
Pour vous et votre gentille femme et enfants, notre cordial salut.
D62
Lettre 1 – Annonce de la série.
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol- Nombre de copies : 1
DIONISO GARRIDO BUENDIA – Madrid – ESPAGNE
Vous avez sollicité de nous une série de rapports sur des thèmes aussi hétérogènes que GRAVITATION, PARAPSYCHOLOGIE, ASTRONOMIE, PHOTOGRAPHIE, et PSYCHO-PÉDAGOGIE INFANTILE.
C’est nous mettre dans un véritable embarras, déjà que n’importe quelle monographie spécialisée dans n’importe lequel de ces très vastes domaines de la Science, vous pouvez le présumer vous-même, exigerait des centaines de pages et un grand effort de synthèse.
Notre situation d’autre part est on ne peut plus délicate puisque n’importe quelle donnée inconnue des Terrestres doit être préalablement censurée par notre supérieure à qui nous sommes subordonnés.
Nous devons nous limiter chaque fois à résumer sous forme schématique certains concepts et descriptions ; les schémas et graphiques doivent être tracés maladroitement de façon que le risque d’une analyse de la part de présumés spécialistes de la Terre reste réduite au minimum. Nous pouvons seulement vous apporter sur les sciences physicochimiques et biologiques une information mathématique à un niveau accessible pour vous sur des thèmes qui, bien qu’ils soient inconnus de vous, ne puissent constituer unes véritable révolution dans l’état actuel de la technique terrestre.
Ainsi il est possible que nous vous envoyons prochainement une petite étude mathématique sur les champs gravitationnels négatifs (mais non à un niveau de vulgarisation véritablement scientifique). Ce travail peut être présenté comme inédit à n’importe quel spécialiste terrestre mais pas au point de modifier sur un mode transcendantal l’évolution actuelle de la science, sur – par exemple – la si désirée par vous Théorie générale d’unification des champs.
Notre problème vis-à-vis de vous se situe par conséquent à savoir si, en plus de quelque travail vraiment scientifique que nous pourrions vous remettre comme preuve de notre niveau intellectuel, vous désirez que nos rapports concernant ces thèmes suggestifs que vous nous demandez soient rédigés à un niveau de vulgarisation tel que ces notes que nous vous avons remises sur les appareils UULODOO (CAMÉRAS PHOTOGRAPHIQUES) ou les rapports que nous rédigeons à un niveau plus superficiel encore, remis périodiquement à M. Fernando Sesma Manzano.
Vous restez seulement obligation, sauf instructions contraires, de ne les divulguer que par lecture à vos (seuls) amis croyants (sic!).
De toutes manières, nous répétons ce que dans une conversation téléphonique indiquait notre supérieur dans la Péninsule Ibérique, DEII 98 fils de DEII 97, dont nous sommes les subordonnés.
N’oubliez pas que ce type de croyances est considéré au sein de certains secteurs sociaux terrestres avec méfiance et hostilité. Une telle attitude de la part des personnes sceptiques est justifiée dans de nombreux cas.
Soutenir des témoignages en faveur de notre identité, M. Garrido Buendia, peut provoquer des réactions et des attitudes très désagréables dans votre vie sociale et même professionnelle. Nous vous conseillons donc de ne pas insister à défendre notre réalité devant certaines individualités. Même, en cas extrême, nous verrions très justifié que vous-même niez la véracité de tels contacts en recourant à l’argument si simple et trivial de nous attribuer le caractère de simples farceurs ou de perturbés mentaux. D’autre part, vous devez être logique et comprendre que nous ne pouvons pas demander à tout le monde sur Terre de croire à des affirmations qui non seulement sont basées pour eux sur une lecture rapide et non analysante de textes que des mentalités peu critiques ont identifié avec des paragraphes de ces nouvelles de science-fiction si en vogue chez les Terrestres
L’envoi d’études scientifiques sérieuses ne constituera pas non plus la preuve définitive, comme nous avons pu le vérifier quand elles furent remises à des spécialistes d’autres nations, car on pourra toujours les interpréter comme de géniales conceptions d’autres scientifiques terrestres voulant occulter leur identité sous un humour original en se faisant passer pour des EXTRATERRESTRES.
Vous aurez un exemple avec des lames d’AOXIBOO AGODAA un produit synthétisé par nous de couleurs blanc et vert cendré, dont la ressemblance avec les plastiques terrestres est seulement apparente. Cette substance offre une grande résistance à la traction . Le sieur Sesma Manzano en possède un fragment provenant de notre atterrissage au village d’Aluche près de Madrid (6 février 1966), qui lui fut envoyé par un ami. Bien plus, cette substance est inconnue de vous. Seuls certains gouvernements au pouvoir desquels tomberaient ces lames en feraient faire une analyse par leurs départements spécialisés, mais bien sûr des professeurs dans les mains desquels tomberaient des échantillons semblables se limiteront à commenter la curiosité du cas et à reconnaître qu’ils ignorent l’origine de cette substance. La seule suggestion qu’elle proviendrait d’astres éloignés les remplirait de joie. Il est clair qu’on pourra ironiser sur une si étrange logique suggérant que :
PEUT-ÊTRE QUE LE GROUPE DE DÉMENTS OU DE FARCEURS QUI, POUR TOUT LE MONDE, SE FONT PASSER POUR DES HABITANTS D’UNE PLANÈTE INCONNUE, POSSÈDENT DES USINES SPÉCIALES DE SUBSTANCES MYSTÉRIEUSES SUPÉRIEURES AUX PLASTIQUES CONNUS, DISPOSENT DE MYSTÉRIEUSES ÉQUIPES CAPABLES DE RÉALISER DES RECHERCHES MATHÉMATIQUES OU PHYSIQUES POUR LE SEUL PLAISIR DE SE DIVERTIR.
De plus cela ne vaut pas la peine que vous épuisiez vos énergies à convaincre les incrédules. Au contraire si vous y parveniez vous nous causeriez un sérieux dommage car, en réalité, nous ne désirons pas une attitude de croyance (Ndt: en notre véritable identité) à l’échelle terrestre ou macrosociale. Ce n’est pas un secret pour vous que les quelques personnes qui ont eu des contacts avec nous constituent un groupe TEST pour nos études psychosociales de l’humanité terrestre. En échange de ce service nous vous donnons des informations parce que nous jugeons que la dette mutuelle de gratitude qui nous englobe doit se solder à égalité pour les deux parties.
Nous vous invitons à abandonner toute attitude d’hostilité envers les personnes qui nous traitent de malades mentaux, d’aventuriers ou de spécialistes de la fraude. Cela ne serait pas charitable et vous affronterait par notre faute à vos frères qui agissent avec une indéniable bonne foi en se refusant à donner du crédit à une si extraordinaire affaire..
Il nous reste à vous indiquer, M. Dionisio Garrido Buendia, que nous vous remettrons une série de notes sur le thème : QU’Y A-T-IL DE CERTAIN DANS LES PHÉNOMÈNES PARA-PSYCHOLOGIQUES ENREGISTRÉS PAR VOUS ? ET QU’Y A-TIL DE FRAUDULEUX EN EUX?
Nous vous remettrons un solide rapport sur le champ gravitationnel et quelques notes de vulgarisation sur comment nous utilisons les ondes gravitationnelles (DONT LA NATURE DIFFÈRE DES ONDES ÉLECTROMAGNÉTIQUES) dans le domaine des communications sur UMMO.
Lettre 2 | T1C-45/48
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
DIONISO GARRIDO BUENDIA
Madrid – ESPAGNE
COMMENT VOYONS NOUS LE PANORAMA DE LA PARAPSYCHOLOGIE TERRESTRE EN SON ÉTAT ACTUEL?.
Avant tout nous devons vous avertir que le concept topique terrestre de Parapsychologie en tant que tel, est inconnu sur UMMO. Nous expliquerons pourquoi.
Vous mettez sous le terme de phénomènes parapsychologiques toute une série d’observations concernant par exemple, la télépathie, la clairvoyance, la précognition, l’ectoplasmie, la suggestion hypnotique, la psychotélékynèse, etc… en essayant d’apporter une explication scientifique aux différentes nouvelles ayant un rapport avec les maisons hantées, les merveilleux prodiges obtenus par les brahmanes de l’Inde, la photographie de matérialisations réalisées par les spiritualistes (anciens spirites) ou la radiesthésie, parmi tant d’autres phénomènes enregistrés par la civilisation terrestre.
En ce qui concerne ces phénomènes qui sont uniquement enregistrés et analysés sans AUTHENTIQUE démonstration, de leurs causes et des lois qui les régissent, aussi on ne peut donc les classer dans le domaine des PSYCHOLOGIQUES et il faut encore être méfiant au niveau de leur réalité scientifique.
C’est pour cette raison que les psychologues terrestres se refusent à admettre une grande partie de ces phénomènes. Il n’a pas manqué de scientifiques comme Richet, Reichembach, Crookes, Dra Da Silva, pour essayer de systématiser, d’analyser et défricher de la fraude les véritables phénomènes qui jusqu’à maintenant avaient été péjorativement classés dans les doctrines occultistes, de magie, d’alchimie, de démonologie, etc… pour les incorporer dans le domaine des disciplines scientifiques.
Sur ce point précis, il n’y a pas de doute : si vous mettez un phénomène dans la catégorie de la parapsychologie, c’est parce que les scientifiques terrestres doutent de son authenticité ou tout au moins qu’ils ignorent son origine et ses lois ; sinon il serait classé automatiquement dans la Science de la Psychologie officielle. Ainsi en est-il de l’hypnose dont la réalité et les causes ont longtemps été mises en doute par les scientifiques terrestres avant d’être pleinement admise au début de ce siècle terrestre.
Ceci ne veut pas dire que les autres phénomènes soient frauduleux ou irréels mais ils sont simplement dans la phase de critique et d’étude. Vous avez un bon exemple de démonstration dans un autre domaine de connaissance: ce que vous appelez les UFO, OVNI ou plus vulgairement Soucoupes Volantes ou plus concrètement encore : ce groupe d’hommes de UMMO qui est en contact avec quelques douzaines d’hommes terrestres.
Quelle posture doivent adopter les experts terrestres face à notre identité ou face à la réalité de ces vaisseaux du Cosmos vus par des milliers de témoins ?
En toute logique, la première réaction plausible doit être d’un prudent scepticisme, d’une incrédulité préalable.
Mais cette incrédulité ne doit pas présenter des traits immobilistes, propres aux personnes de faible niveau mental (faible indice d’intelligence) qui NIENT PAR PRINCIPE sans essayer d’analyser, d’étudier, de comparer et sans réaliser une CRITIQUE sévère avec des éléments de jugement.
On ne doit pas croire « à priori » un TÉMOIGNAGE UNIQUE tant que l’on n’a pas écarté toutes les possibilités de fraude. Ainsi par exemple, il ne suffit pas qu’un témoin assure avoir vu une soucoupe, sans avoir avant écarté systématiquement les hypothèses suivantes :
– Le témoin ment délibérément pour plaisanter, pour obtenir un bénéfice économique ou simplement pour des motivations mégalomaniaques (comme paraître dans la Presse, être admiré par les amis etc…)
– Le témoin ne ment pas délibérément. Il est victime d’un délire de type paranoïaque. Il fabule librement pour des motivations pathologiques.
– Le témoin, sans souffrir d’aucun trouble psychopathologique, ou bien en en souffrant ou sous l’effet d’un agent psychogène anormal (drogues, gaz, terreur, etc…) tombe sous les effets d’une illusion optique ou d’une hallucination.
– Le témoin attribue à certains éléments techniques, météorologiques ou physiques en général, le caractère de cosmonef mystérieux. Par exemples : avions à réaction, ballons sonde, autogyres, missiles, aérolithes, grands oiseaux, phénomènes de turbulence particulière, rayons sphériques (ces derniers très rares).
Le scientifique, avec raison, exigera des preuves plus efficientes (TÉMOIGNAGES COLLECTIFS), photographies (EN ANALYSANT LES NÉGATIFS POUR DÉTECTER LA FRAUDE). En analysant des traces laissées par les présumés astronefs (en mesurant la profondeur, les charges dynamiques, la température, les pressions statiques etc…). Une seule n’est pas suffisante, il faut les exiger toutes simultanément pour vérifier leur vraisemblance.
Ou bien en se référant à la présence d’un groupe d’extraterrestres mélangés avec les êtres de cette planète, il serait inadmissible ou puéril qu’un spécialiste, ou même une personne de moyenne intelligence, accepte notre témoignage par le seul fait de vous remettre des feuilles dactylographiées ou des dessins mal faits, réalisés avec de vulgaires pinceaux, ou crayons de la Terre. C’ est seulement lorsque ces documents ont un contenu idéologique, scientifique ou technologique utile que l’expert, ou la personne d’un coefficient intellectuel élevé, devra avoir une ATTITUDE DE DOUTE ACTIVE. En accumulant de nouveaux faits, en exigeant de nouvelles preuves, en critiquant avec précision et méthode ces points obscurs dont la concordance dans le champ scientifique terrestre est contradictoire ou suspecte : EN ANALYSANT TOUS LES DÉTAILS ET SURTOUT EN ÉVALUANT SYSTÉMATIQUEMENT L’ENSEMBLE.
Nous avons pu prendre ces exemples très intéressants pour vous en ce moment pour que vous essayiez de comprendre la SAINE attitude de scepticisme des scientifiques terrestres. Si nous, en tant que représentants d’une civilisation plus vieille et plus avancée, nous vous reprochons une série de maux qui troublent la structure sociale de cette belle planète, NOUS NE POUVONS en échange accuser les intellectuels de la Terre d’adopter ces postures sévères de scepticisme face à certains phénomènes NON DÉMONTRÉS EXHAUSTIVEMENT..
Mais, pensez vous vraiment que sans ces barrières mentales opposées par les physiciens, par les biologistes, par les psychologues et par les mathématiciens, entre autres, vous auriez atteint ce niveau culturel pour faible que soit sa spiritualité ?
Si à cause d’une version populaire concernant une maison hantée, du simple témoignage d’une « séance » de spiritisme, de la relation d’une ailleule concernant une vision télépathique, des mystérieux écrits de prétendus êtres extraterrestres, ou la simple narration des témoins qui voyaient grimper sur une corde le petit « chela » dirigé par un « saddu » Indien, les scientifiques se dépêchaient de leur accorder le caractère de phénomènes réels, vous pouvez imaginer l’exubérance des imposteurs, des hallucinés, des malades psychiques qui voudraient être inclus dans l’Histoire de la Science.
Toute cette sorte de verbiage abrutirait la lente mais progressive avance de la psychophysiologie. Les scientifiques terrestres sont très échaudés par les faux médiums, les individus hystériques, les illuminés sans nombre qui ont peuplé votre planète.
Il est vrai que cette attitude réticente, méfiante à outrance, entraîne le risque de déprécier, de minimiser, et de laisser sans analyse certains phénomènes véritablement dignes d’être étudiés. C’est pour cette raison que nous vous invitons à ne jamais avoir d’attitudes dogmatiques.
NI NON PLUS UNE ATTITUDE FANATIQUE DE CRÉDULITÉ QUAND IL MANQUE DES PREUVES EFFECTIVES.
NI LA POSITION D’INCRÉDULITÉ SYSTÉMATIQUE QU’ADOPTENT CERTAINS INDIVIDUS DE FAIBLE NIVEAU D’INTELLIGENCE EN REFUSANT DE RÉALISER UNE ANALYSE EXEMPTE DE PRÉJUGÉS.
Ainsi l’homme objectif et intelligent ne doit jamais se laisser entraîner par le découragement quand après avoir vérifié plusieurs fois qu’un médium est un imposteur, il sent la tentation d’abandonner l’étude.
Vous avez apporté un exemple merveilleux avec le cas des phénomènes TÉLÉPATHIQUES.
Durant de nombreuses années la « Society for Psychical Research » de Londres a recueilli des milliers de faits, récits, et analyses concernant des voyances télépathiques obtenues par des personnes de différentes situations sociales et niveaux de formation professionnel.
Les résultats furent désolants selon les aveux des psychologues même, qui classèrent et étudièrent un si énorme matériel. Le pourcentage de fraudes, de récits dont l’unique base consiste dans le désir de certains de sortir de l’anonymat et de leur morne existence, en révélant de pseudo-phénomènes extraordinaires, ce pourcentage donc fut si stupéfiant que les spécialistes furent sur le point de qualifier la télépathie de mythe semblable à la nécromancie.
Mais alors surgit l’École du Docteur RHINE en utilisant une technique statistico-mathématique et un rigoureux contrôle de la télépathie, utilisée aujourd’hui prudemment par les Etats-Unis et l’URSS, à partir des fameuses expériences du sous-marin « Nautilus » que vous connaissez maintenant par la Presse.
Que se serait-il passé si, avec découragement et dégoût, les scientifiques, devant les farceurs, les aliénés, les paramnésiques, et tant d’autres malins et mythomanes qui prétendent posséder des facultés télépathiques, avaient fermé leurs « dossiers » et abandonné le terrain ?
A notre arrivée sur la Planète Terre, et après avoir traversé une série de vicissitudes jusqu’au moment où nous nous sommes adaptés à la langue et à la civilisation terrestre, nous avons entamé une série d’études concernant votre culture.
Logiquement notre attention a été attirée par le champ de cette science embryonnaire. Certains phénomènes que vous appelez parapsychologiques ou métapsychiques comme la télépathie, nous étaient très familiers et nous avions souris, compréhensifs, en lisant les explications qu’apportaient les psychiatres spécialistes de l’Université de Duke.
Mais nous nous trouvâmes face à des descriptions et des phénomènes comme la régurgitation ectoplasmique ou la photographie spiritiste qui nous remplirent de stupeur car elles sont totalement inconnues sur la planète UMMO.
Un groupe de frères dirigés par YOA 6, fils de UNOO 532, commença immédiatement ses études en se déplaçant à NEW-DEHLI et à BOSTON. Ce furent les débuts d’une étude qui a été close par un rapport envoyé à la Section d’Investigation de l’UMMOALEWE de UMMO.
Tout au long des prochains rapports, nous résumerons notre point de vue concernant certains mystérieux phénomènes analysés. Les explications accompagnées de graphiques, la réalité et la fiction, la fraude et la rigueur scientifique de nombreuses expériences seront décrites selon NOTRE POINT DE VUE EXCLUSIF
Lettre 3 | TIC-49/52
UMMOAELEWE
Nombre de copies : 1
Langue : ESPAGNOL
DIONISIO GARRIDO BUENDIA
Madrid , Espagne.
LES PHÉNOMÈNES DE MATÉRIALISATION : L’ECTOPLASMIE.
Les premières références que nous avons trouvé concernant le phénomène de l’ECTOPLASMIE furent localisées par nous dans une bibliothèque de PARIS en lisant une collection de la REVUE MÉTAPSYCHIQUE de René Warcollier. Nos frères déplacés en France ignoraient encore de nombreuses choses de la Civilisation Terrestre et une grande partie des recherches terrestres autour des Sciences Psychologiques nous étaient familières. Notre objectif consistait à mesurer jusqu’à quel niveau vous aviez approfondi ces études.
Une référence aux expériences réalisées par le Docteur Geley avec le médium Franck Kluski (postérieurement nous avons lu l’ouvrage de ce spécialiste : « L’Ectoplasmie et la Clairvoyance ») stupéfia nos frères. Nous n’avions jamais connu sur UMMO des phénomènes aussi extraordinaires. Enfin nous trouvions sur la Planète Terre une découverte qui, malgré notre vieille culture, n’avait pu être réalisée par nos spécialistes en BIEEWIGUU (PSYCHOBIOLOGIE) (Sur UMMO toute l’étude du comportement mental des êtres vivants est rassemblée sous ce terme).
Comme nous ignorons jusqu’à quel point vous ignorez l’état actuel des critères terrestres concernant l’ectoplasmie, nous commencerons par vous résumer nos informations à la suite de nos propres expériences, pour enfin terminer en exposant notre point de vue.
Nous commencerons par décrire quelques faits étudiés en les accompagnant d’explications apportées par des parapsychologues et par la doctrine spiritualiste (Anciens spirites).
Diverses analyses réalisées par Richet, Geley, Crookes et Cramford, entre autres, montrent comment un médium en état de transe est capable de régurgiter, c’est-à-dire d’émettre par la bouche, certaines fois par le ventre, les seins, l’anus, les yeux et même entre les jambes, une étrange SUBSTANCE en forme de filaments fluides, nébuleux et blanchâtres, susceptible d’être pesée certaines fois et toujours photographiée, capable de provoquer des forces de traction et de compression sur les corps, et même de lever des tables et d’adopter les formes les plus curieuses.
Parfois, l’ECTOPLASME adopte la forme d’une étroite bande qui serpente et qui se traîne au sol devant l’attente et l’émotion des assistants à la session.
D’autres fois il s’agit d’un subtil fil capable de soutenir de petits objets (nous n’avons pu vérifier cette forme, nous l’avons lue décrite dans le livre du Docteur RICHET « Traité de Métapsychique » concernant la médium polonaise Stanislava Tomcyck (voir page 557).
Mais en grande partie, dans les expériences décrites dans les traités de la Terre et vérifiées dans les sessions auxquelles mes frères ont participé, l’ectoplasmie présentait des pseudoformes de membres humains : têtes, pieds, mains et même de seins féminins.
Nous fûmes très impressionnés par une fameuse expérience réalisée par les Docteurs Richet et Geley qui se déroula de nombreuses fois avec les matérialisations suivantes (nous décrivons l’une d’elle).
Dans une pièce on mettait les éléments suivants : voir le mobilier dans l’image 1.
S62-1
A un bout de la pièce une chaise pour le MÉDIUM, près de lui un interrupteur électrique pour une lampe à incandescence. A quelques sept mètres de distance, près du mur opposé, une table sur laquelle on dispose un fourneau électrique parfaitement couvert pour éviter que la faible luminosité n’affecte la pièce.
Sur celui-ci, un récipient rempli de paraphine fondue ; produit dont le point de fusion, comme vous le savez, est presque aussi bas que celui de certains stéarates, cires, etc…
Les scientifiques avaient pris soin d’additionner à la paraphine fondue un marqueur chimique secret qui permette de l’identifier postérieurement, « évitant ainsi toute forme de fraude ».
La pièce est fermée hermétiquement en laissant à l’intérieur la MÉDIUM avec les deux observateurs. Au préalable on avait vérifié que l’entrée dans la pièce était impossible à toute autre personne, même par les murs, portes, toit et sol.
La MÉDIUM s’assoit et demande que l’on éteigne la lumière. Une fois cela obtenu, elle demande à l’un et à l’autre en les prenant par les manches de leurs chemises, qu’ils tiennent à leur tour les mains de la médium.
Débute alors un chant spirite, dirigé par la médium, en demandant aux deux observateurs de continuer après qu’elle ait cessé (après qu’elle soit entrée en état de TRANSE).
Pendant cinq minutes on entend des bruits divers dans le fond de la salle, l’obscurité est absolue. Longtemps après (évalué à la fin de l’expérience à 40 minutes), la MÉDIUM se réveille et demande qu’on lui lâche les manches et qu’on allume la lumière immédiatement après.
Sur la table apparaissent, à côté du récipient de paraphine, deux moulages parfaits de main de femme et d’enfant (toutes les deux droites) sans paraffine, révélant l’impression d’empreintes digitales d’une personne différente de la MÉDIUM. Il était impossible de réaliser le moulage en plongeant la main dans la paraphine chaude en la sortant immédiatement et après avoir laissé refroidir la pellicule, se détacher d’elle en la coupant dans le sens de la longueur pour la recoller par la suite.
Un examen au microscope révéla que ce n’était pas le cas et que le moulage était tout d’une seule pièce. De plus, la médium ne pouvait introduire facilement de tels moulages aussi volumineux à l’intérieur de la pièce. Elle avait été fouillée au préalable de l’extérieur par une licenciée en médecine et les moulages si fragiles se seraient cassés durant la fouille.
D’autre part, les spécialistes avaient tout le temps tenu la médium par la chemise durant la session. La fraude était « presque » impossible d’après les chercheurs qui réalisèrent l’analyse.
Nous, les frères déplacés depuis UMMO, nous avons cette étude et d’autres documents (beaucoup plus explicites et méticuleux que le passage que nous avons extrait) concernant de nombreuses expériences sur la régurgitation ectoplasmique. Il semblait évident que la main d’un esprit s’était matérialisée, introduite dans la paraphine et redématérialisée.
Tout ceci était très surprenant pour nous. Notre science a révélé l’existence du BUUAWAA (ÂME), mais il est assez puéril d’imaginer cet esprit adimensionnel, pourvu de bras et de mains prêts à s’imprégner de paraphine selon le bon vouloir d’une femme. Malgré tout, nous ne niions pas les hypothèses, ni la possibilité des expériences étrangères.Nous avons l’habitude de vérifier périodiquement de telles expériences pour corroborer périodiquement leur existence. Il est arrivé une multitude de fois que sur notre planète, nous ayons fini par vérifier en perfectionnant des techniques empiriques (qui auparavant avaient atteint un degré de fiabilité respectable) de même qu’en les appliquant de nouveau en les vérifiant par des Lois apparentes, elles s’écroulaient.
Avec encore plus de raisons, nous voulions vérifier vos expériences de Terrestres.
En 1959, nous eûmes l’occasion de refaire l’expérience que nous vous avons décrite (longtemps avant nous en avions réalisé d’autres semblables avec divers MÉDIUMS. Nos frères, GIIA 64 fils de GIIA 63 et AARAA 7 fils de UEWEE 91 localisèrent aux États-Unis une médium Madame Mac Lean qui se prêta à reproduire le phénomène de matérialisation cité.
Nos frères mirent au point, avec un cercle spiritiste de Los Angeles, la réalisation de la session. Ils se présentèrent comme deux spiritistes convaincus, médecins norvégiens.
L’expérience se déroula aussi en pleine obscurité. Nos frères introduirent secrètement deux caméras UULODOO sensibles aux fréquences comprises entre les gammes 3,7.1012 – 4,6.10 11 cycles/secondes (infrarouges) et 7,9.1011 – 8,2.1015 cycles/secondes (ultra violets). L’équipement était complété par un générateur de fréquences correspondant à la gamme déjà citée. Les images en mouvement furent gravées sur un XANMOO à mémoire de Titane.
L’examen postérieur des images révéla parfaitement la fraude. Nos frères, dans l’obscurité, observèrent la ruse de Mrs Mc Lean, qui, grâce à une manoeuvre habile, et pensant aussi que la suggestion exercée par le cantique empêcherait nos frères d’exercer leur esprit critique, les obligea à ce qu’ils se prennent mutuellement les manches de la chemise comme s’ils jugeaient devoir l’appréhender elle-même.
La MÉDIUM se dirigea vers la table, elle sortit de sa culotte trois gants (dont bien que l’examen photographique ne permit pas d’identifier la composition, on nota parfaitement l’élasticité). Cette femme les gonfla avec la bouche un après l’autre, les mit dans la paraffine fondue et les sortit plusieurs fois attendant le refroidissement des diverses pellicules successives.
Il est curieux d’observer les gestes d’inqiétude que, malgré l’obscurité, elle manifestait en regardant (sans voir) dans la direction où nos frères, simulant ne se douter de rien, étaient face à la chaise vide.
Une fois que la croûte de paraffine sur le gant, présentait une certaine épaisseur, la médium le dégonflait et laissait le moulage sur la table. Les papilles correspondant aux empreintes digitales, avaient été obtenues sur le gant élastique avec un moulage préalable de plâtre sur une main naturelle qui servit ensuite pour confectionner le gant pour la fraude.
Nos frères firent semblant d’être satisfaits de l’expérience de matérialisation ectoplasmique. Trente-deux autres expériences réalisées au Mexique, Etats-Unis et Angleterre, nous ont démontré que TOUTES LES MATÉRIALISATIONS FURENT EXÉCUTÉS AVEC DES SUBTERFUGES SEMBLABLES. Les médiums employaient de la gaze et de la mousseline accrochée à un fil d’acier extensible. Un médium anglais employait une mousse de polyuréthane imprégnée d’une substance fluorescente. En deux occasions fut employé un vulgaire composé de mercure qui a des propriétés d’expansion comme une structure spongieuse.
Les résultats comme vous le voyez, furent négatifs. Nous n’avons pas pu obtenir, malgré nos efforts, un seul cas réel de matérialisation ectoplasmique. Et bien qu’une gamme restreinte d’expériences ratées ne démontre pas définitivement l’inexistence d’un tel phénomène, nous pensons que si vous n’avez pas les moyens techniques de détection de la fraude que nous avons utilisé, les conclusions des anciens métapsychistes ont encore moins de raisons d’être fiables. Les parapsychologues actuels nord-américains qui critiquent sévèrement la réalité de l’ectoplasmie corroborent notre avis.
D’autre part, l’explication que de nombreux terrestres donnent de la matérialisation n’est pas satisfaisante et insuffisante. Comment un être sans dimension peut-il se transformer en être dimensionnel ? Toutes les explications spéculatives manquent de consistance et nous paraissent exagérément ingénues. Démontrez nous un seul cas d’ectoplasmie et nous l’accepterons. Même les expériences de Crawford, Professeur de mécanique appliquée du « Municipal Technical Institute » de Belfast, réalisées avec la médium Mlle Goligher, révèlent l’inconsistance d’une telle théorie.
Tous ces échec ne doivent pas nous amener à délaisser l’étude des phénomènes parapsychologiques. Tout au long de ces pages, nous allons vous révéler des fraudes qui ne sont même pas connues des scientifiques terrestres. Ainsi dans le prochain rapport nous décrirons comment nous avons démasqué la manière dont des Hindous pratiquent la fameux coup de la corde qui se dresse en l’air pendant qu’un enfant grimpe sur elle.
Mais un tel cumul d’impostures n’empêche pas de temps en temps qu’apparaissent d’authentiques et véritables phénomènes parapsychologiques que nous sommes en train d’analyser sérieusement. Le scepticisme à outrance est aussi irrationnel que la crédulité fanatique de quelques personnes terrestres, qui admettent sans le moindre esprit critique tous les contes et légendes relatés par leurs amis et familiers concernant de surprenants phénomènes dont ils auraient été les témoins.
Lettre 4 | T1C-53/61
UMMOAELEWE
Mr DIONISIO GARRIDO BUENDIA
Langue : ESPAGNOL
COMMENT VOYONS NOUS LA PARAPSYCHOLOGIE DE LA PLANETE TERRE ?
LES PHÉNOMENES MAGIQUES DE L’INDE.
En 1957, notre frère YOA 6, fils de UNOO 532, recevait l’ordre de se diriger vers New-Delhi et ensuite à Hyderabad pour réaliser une grande étude concernant des mystérieux phénomènes réalisés par les fakirs de l’Inde.
A la vérité, l’étrange mentalité des hommes de la Terre déconcerta énormément les frères de la planète UMMO. Dès le moment où nous avons assimilé quelques langues (Le Français et l’Anglais furent les premières), la riche gamme des pensées, des mythes, des faits contradictoires ; l’exubérance des formes de conduite et des coutumes liées aux différentes cultures de cette planète; nous déconcertèrent et même nous découragèrent au début.
Nous arrivions sur une planète où, au début, nous pensions que le niveau culturel et scientifique, inférieur ou supérieur à celui atteint sur UMMO, l’unification des religions, de la pensée, des coutumes nous faciliteraient l’étude et l’analyse. Il n’y a pas de doute qu’en présumant de vos conditions sociales, nous appliquions un crière égocentriste en pensant que le réseau social terrestre devrait ressembler au nôtre, sauf au niveau du degré du niveau culturel.
Nous nous rendîmes immédiatement compte de l’erreur de notre jugement prématuré. La dissociation mentale de l’homme terrestre provoquée par des facteurs biologiques, sociaux et historiques et même géographiques, devint évidente pour nous. Face à une somme de vérités et de réalités scientifiquement comprises par un petit groupe d’intellectuels et de scientifiques terrestres, la superstition, le mythe, la version populaire des lois biologiques, psychologiques et scientifico-physiques, divisent et fragmentent le réseau social de cette planète.
Je me souviens que quand nous avons lu, dans diverses publications, la série immense de croyances en certains phénomènes mystérieux, nous restâmes perplexes. Comment débroussailler le RÉEL de la FICTION ? Nous établîmes un plan méthodique d’étude pour ne pas nous perdre dans les méandres de cette pléïade d’affirmations gratuites concernant « le mystère ».
Et nous avons sélectionné dans ceux relatés ceux qui avaient atteint la plus grande diffusion.
Les pratiques du YOGA et les surprenants phénomènes d’enterrés vivants, la floraison instantané de plantes végétales, la capacité de marcher sur des braises ou des cendres incandescentes , la lévitation, la bilocation, etc… etc… attirèrent puissamment notre attention.
Le 12 février 1957 arrivent YOA 6 et un frère subordonné, UURIO 79, fils de IYIAA 5 à Hyderabad pour se rendre jusqu’à des villages voisins de la rivière Godovary où, selon des nouvelles extraites de sources dignes de foi, il était possible de trouver quelques hindous capables de répéter ces effets. Surgirent cependant des difficultés imprévues. Nos frères voyageaient avec des passeports au nom de supposés citoyens irlandais et les autorités de la capitale durent observer une irrégularité car elles demandèrent des renseignements par téléphone à l’Ambassade de l’EIRE. Ils durent fuir l’hôtel en déjouant la surveillance de la Police après avoir détruit le matériel scientifique qu’ils avaient avec eux, et retournèrent après de nombreux incidents à Singapour pour tenter de nouveau l’opération qui se réalisa cette fois-ci sans encombres jusqu’à Sholapur. (avec de nouveau un matériel scientifique adéquat).
Nous avions des références sur la manière dont se déroulait la merveille de la corde enchantée « Hindoue ». Et même nous avions lu un récit d’un certain Juan Weyer qui, au 16 ème siècle, l’avait publiée dans un livre intitulé « Prestiges des démons ». Nous savions qu’un fameux prestidigitateur nord-Américain, Hovard Thurston, se rendit en Inde en 1920 pour chercher un fakir qui veuille bien lui apprendre le moyen de réaliser cet effet. Il ne put même pas assister à une seule session. La reine Victoria d’Angleterre qui était très intéressée pour être témoin du surprenant phénomène, ne put pas non plus, pendant son voyage , satisfaire son désir bien que les autorités d’occupation aient déplacé des centaines de soldats à diverses cités pour convaincre les natifs les plus qualifiés. On attribua cet échec à la haine que les hindous ressentaient pour le dominateur Anglais.
Un reportage du journaliste étatsunien M. Keel, qui fut publié dans la revue « Argosy », essaya de révéler le secret et attira l’attention de mes frères. L’écrivain n’avait pas pû présenter de preuves mais il spéculait d’une manière très ingénieuse sur de possibles explications qui nous parurent peu convaincantes.
Nos frères recensèrent beaucoup plus de matériel documentaire sans qu’une seule des études, reportages et analyses puissent apporter une hypothèse plausible. Quelques prestidigitateurs notaient timidement que parfois l’explication pourrait être qu’entre deux arbres, un fin câble suspendu puisse soutenir la corde. L’argument était faible en lisant comment s’effectuait la démonstration, quelques fois dans les esplanades où l’arbre le plus proche se trouvait à 40 mètres (cas de E.Laigher en 1903.).
Étions-nous devant un véritable cas de pouvoir surnaturel inconnu sur la Planète UMMO et obtenu par les Terrestres ? Nous ne comprenions pas pourquoi aucun scientifique important de la Terre ne se préoccupait pas d’étudier sérieusement un cas si suggestif. C’est la première fois que nous révélons aux Terrestres un secret soigneusement gardé par les Saddus hindous. Un document analogue que nous envoyâmes à Dionisio Garrido Buendia fut rédigé en langue allemande dans l’intention de prendre des contacts avec les organisateurs du Congrès International de Prestidigitation célébré du 27 au 31 août à Vienne en l’an 1958. Les appels téléphoniques préalables à M. Hans Trunk, président du club de magie de Vienne furent déplorables. Notre frère qui était à Vienne décida de ne pas remettre le document où nous apportions une explication scientifique à seize phénomènes de ce type.
Les rapports qui circulent sur la célèbre épreuve de la corde hindoue sont variés. A l’inverse de qu’on croit vulgairement ce ne sont pas les fakirs qui la pratiquent le plus souvent (en réalité cette dénomination est seule correcte pour les ascètes mahométans) mais les ascètes hindoustaniques ou saddus.
LISEZ AVEC ATTENTION LE « MODUS OPERANDI » : comme il est exécuté RÉELLEMENT et comme l’enregistrèrent nos frères. Je tiens devant moi une description très détaillée phono-imagée pour en donner une traduction excessivement méticuleuse et technique en langage vulgarisateur.
Comme je ne peux pas non plus accompagner le récit des photographies prises à 600 et 233 mètres d’altitude par notre UULUEWA (équipement sphérique d’environ 2,19 centimètres de diamètre), pourvu d’une chambre UULOODOO (photographie électrostatique) avec une propulsion magnétodynamique qui peut l’élever jusqu’à une hauteur de 0,1 KOAE (Ndt: 870 mètres) pour obtenir des vues qui ressemblent à celles que vous appelez photogrammétriques et capter des sons.
Comme mes frères échouèrent dans leur première tentative en se faisant passer pour des touristes irlandais, ce qui provoqua la naturelle méfiance des habitants, le 2 Avril 1957 ils se présentèrent dans un autre village vêtus et typés comme des agents pakistanais d’une firme commerciale spécialisée dans l’exportation de thé pour Madras, qui, « dès l’enfance avaient été attirés par l’envie d’assister à l’enchantement de la corde ».
Durant quatre jours, ils restèrent dans le village en attendant un vieux Saddu dont le fils se déplaça personnellement pour le chercher. Ce n’était pas un véritable saddu, mais les deux autres qui vivaient près de la rivière n’étaient pas capables de réaliser le prodige. Une bonne rémunération en livres sterling stimula ces bonnes gens.
Vers les 8 heures du matin du 7 avril 1957 le saddu, ses deux fils, le délégué gouvernemental du village et vingt-deux natifs, hommes, femmes, enfants, accompagnèrent nos frères jusqu’à un lieu situé à 1,8 km. Ils leurs expliquèrent que c’était un endroit où se retirait l’ancien pour méditer.
Le UULUEWA les suivit à 800 m au dessus de leurs têtes, sans que les naïfs accompagnateurs ne s’en aperçoivent.
Je vous transmet un grossier calque de quelques photographies. Les croix sont des IBOZOO (points) de référence qui dans l’original sont signalés avec un chiffre de codage. Une étude géologique réalisée secrètement révéla une structure à base d’ardoises, de sables très craquelés. La couche que vous appelez phréatique se trouve à grande profondeur.
Le terrain très rocailleux avec des gravats abondant présentait une végétation inculte. Un petit bosquet se trouvait à quelques 36 mètres du point où nous étions assis. » Le Saddu nous invita à former un arc de cercle en nous demandant, quelque soit la raison, de ne pas nous lever, nous approcher ou fuir. Il enleva sa tunique sale et s’avança avec deux de ses neveux à 10 mètres de l’endroit où nous nous trouvions » (c’est YOA 6, fils de UNNOO 532, qui parle).
Le Saddu et son aide s’agenouillèrent pour prier, pendant que son autre neveu revenait près de l’endroit où étaient nos frères. « Un fils du Saddu nous fit examiner la corde pendant ce temps » (C’est notre frère qui parle). URIOO 79 avait mis dans sa bague la cellule terminale d’un UAXOOGOINNUU (détecteur qui sert à enregistrer la nature et les caractéristiques topologiques de corps solides cachés) ; notre frère fit passer toute la corde (quelques 13 mètres, tressée grossièrement, de 4 centimètres d’épaisseur) par ses mains. Ils furent surpris en observant qu’il n’y avait rien à l’intérieur, ceci détruisant l’hypothèse qu’ils avaient élaborée.
« Les spectateurs entonnèrent des chansons pendant ce temps. Le délégué du Gouvernement une espèce de maire et d’administrateur, entoura, en compagnie de deux autres habitants qui le connaissaient, l’hymne du Pakistan en notre honneur, pendant que nous saluions ce geste avec référence ».
Cependant (continue toujours notre frère) tout en faisant semblant d’être distraits, nous observions avec attention les mouvements de l’enfant qui avait emporté la corde. Nous attendions que celle ci soit substituée par une autre par un quelconque artifice. Mais avec surprise, il ne se passa rien de celà. Le Saddu continua à demeurer prostré. Son aide déposa le lourd enroulement et le mit devant tout le monde en écartant quelques petites pierres et en arrachant des plantes végétales qui gênaient la vue.
S62-2
Il enroula de nouveau la grosse corde en formant un cylindre dextrogyre et les images obtenues secrètement révélèrent qu’il avait un diamètre de 54 centimètres et une hauteur de 32 centimètres. Le bout noué de la corde fut mis au centre du rouleau (image 1 – S62-2).
Durant quelques UIW, le Saddu ne bougea pas. Son aide se maintenait comme lui à environ deux mètres de la corde. Enfin il se redressa, mit ses mains sur la nuque et fixa le rouleau. Ses lèvres ne bougeaient pas.
On entendit quelques cris d’admiration quand du centre du rouleau commença à émerger le nœud de la corde. Celle-ci s’élevait en ondulant légèrement, à vitesse lente et presque constante. Quelques sept mètres en 4,37 minutes. On voyait très bien comment elle se déroulait de l’intérieur en montant lentement.
L’ancien ne bougeait pas, demeurant avec l’enfant à cette même distance. Enfin l’élévation cessa. Il attendit encore deux minutes et ensuite avec un geste, il donna un ordre à l’enfant, qui en avançant, monta agilement sur la corde pendant que celle-ci ondulait à l’extrèmité supérieure de l’ordre de 40 cm selon les images obtenues.
Enfin l’enfant redescendit. Le Saddu regarda de nouveau la corde qui commença à descendre lentement. On voyait une boucle qui se formait au ras du sol. La corde s’accumulait maintenant sans ordre ni enroulement régulier, au fur et à mesure qu’elle descendait. Le Saddu s’avança, chercha l’extrémité annulaire et nous invita à nous avancer. « Le chahut nous empêcha de réaliser un examen méticuleux, mais nous pûmes vérifier que la corde était la même ».
Nos frères confessèrent qu’ils restèrent perplexes avec les circonstances. Ils avaient assisté à de nombreuses sessions spiritistes en découvrant de nombreuses fraudes. Ils s’étaient spécialisés dans les techniques de prestidigitation et d’illusionisme terrestre et ils avaient pensé que sans l’aide des appareils, ils pourraient découvrir la fraude.
Vous les hommes de la Terre, vous avez l’habitude d’adopter dans votre psychisme le désir instinctif vers le mystère. Il nous faudrait de nombreuses pages pour faire une analyse scientifique de ce phénomène psychologique. Mais il existe une corrélation évidente entre le manque de formation scientifique et le désir inconscient que les faits naturels adoptent une forme que vous appelez magique.
Quand l’homme de la Terre n’a pas suffisamment d’intelligence pour découvrir par lui-même l’essence des Lois qui régissent notre WAAM (Univers), quand son esprit n’est pas capable de réaliser des études techniques sérieuses qui le consacrent devant ses contemporains dans la catégorie des philosophes, des scientifiques, quand sa capacité mentale n’est pas capable de réaliser des études fondamentales de hautes mathématiques, il se sent complexé et mis à l’écart devant la Société. Apparaissent alors des mécanismes de défense inconscients qui le poussent à se faire connaître et être populaire, admiré par les autres membres de la Société. Cette position est, nous le répétons, SUBCONSCIENTE, nous ne pouvons qualifier ces pauvres personnes de menteuses (sauf dans quelques cas). Elles-mêmes se suggestionnent en s’arrogeant le caractère d’hommes et de femmes dotés de pouvoirs étranges. Phénomènes qui, pour un quelconque physicien, psychologue, prestidigitateur ou mathématicien, sont parfaitement explicables s’ils pouvaient les analyser soigneusement, et qui pour eux adoptent le caractère de magiques, de surnaturels.
Ils se consolent en les racontant, en les exagérant volontairement, en les entourant d’une auréole de mystère pour impressionner les assistants. Un quelconque chercheur en calcul de probabilités, connaît la facilité qui fait que, parmi un million d’éléments différents, l’un d’eux adopte une forme curieuse. Il ne manquera donc pas des personnes avec une mentalité hystéroïde qui attribuera à ce fait, un caractère surnaturel et magique.
Vous qualifiez de magique tout ce que vous ne connaissez pas, comme vos ancêtres attribuaient un caractère magique à l’éclair ou à l’éclipse de soleil. Vous pouvez observer comment les personnes les plus superstitieuses se trouvent parmi les individus qui n’ont pas fait d’études universitaires. Vous avez tous écouté des récits surprenants de prémonitions, de voyances, de guérison miraculeuse, de cas de lévitation, d’apparitions fantasmatiques. Observez les personnes qui narrent ces faits surprenants. Si on leur pose des questions de physique élémentaire, de Mathématiques, de Physiologie, de Médecine fondamentale, ils ne savent que répondre. Incapables de dominer dans des secteurs de la culture qui exigent un quotient intellectuel élevé, ils désirent se faire admirer par leurs amis en se faisant passer pour des protagonistes et témoins de ces faits surprenants. S’ils ne savent pas répondre aux questions les plus simples sur les Sciences physiques et cosmologiques : comment auraient-ils pu analyser ces événements pour écarter toute possibilité d’explication naturelle… ?
Pour ces personnes, le fait que le magique et le surnaturel fassent partie de leur vie constitue une véritable drogue. Ils vivent heureux ainsi sans se rendre compte que de telles idées sont aliénantes. Vous possédez une belle phrase évangélique : « SEULE LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRES ». Vous n’avez pas mesuré le merveilleux sens scientifique de cette phrase. La magie, la superstition sont d’autres facteurs qui en s’emparant du réseau social, le rendent malheureux. Si vous continuez à suivre les pratiques magiques des guérisseurs sauvages, l’indice de mortalité continuera à être élevé.
Nous savons combien seront douloureuses ces phrases à certaines personnes qui s’affairent dans ce monde merveilleux des songes. Apparemment, il y a une beauté singulière de penser que quelque chose de mystérieux et de magique se cache derrière certains faits. Apparemment vous croyez que la vie n’a pas de sens si nous ne croyons pas à la magie. Vous pensez également que l’individu vicié par le L.S.D (acide lysergique) et plongé dans le monde effrayant des hallucinations, ne voudra pas sortir de celui-ci même si la drogue est en train de détruire son cerveau. Il est esclave de son habitude.
Vous ne vous rendez pas compte que la plus merveilleuse « magie » se trouve précisément dans la nature, dans les Lois du WAAM que ni vous ni nous n’avons encore découvert. Mais pour y parvenir, l’étude et l’analyse de laboratoire sont nécessaires. Le chemin facile de la superstition, de la magie et du mystère ingénu vous conduira à un chemin sans issue. Vous-même avez été les témoins du fait que le verbiage magique des alchimistes ne les a absolument pas conduits à la découverte de la pierre philosophale qui convertit le plomb en or. Seuls les scientifiques spécialisés en Physique nucléaire pourront en toute clarté, sans fraude, obtenir cette transmutation.
Il existe encore un ensemble immense de Lois et de principes merveilleux, crées par WOA (DIEU) et qu’il faut découvrir. Les charlatans profitent d’appeler « magiques » ces principes inconnus et ils les embrouillent continuellement en les mélangeant avec des faits pleins de fantaisie comme ceux que l’on attribue aux fakirs. De nombreux voyageurs racontaient que le « Saddu » « obligeait son aide à monter jusqu’à l’extrémité de la corde : ensuite l’enfant disparaissait dans l’air. L’ascète brûlait la corde et de ses cendres apparaissait de nouveau le jeune assistant ».
Voyez vous même la différence que présente une narration faite par une personne ignorante, aimant le mystère et la magie, qui exagère inconsciemment le fait réel et la version strictement scientifique qu’apporte l’expert ou le scientifique et qui narre objectivement et avec précision les faits en les ajustant à la réalité. Il est clair qu’il est plus « beau » de créer un mensonge poétique que de réaliser de froids calculs avec un ordinateur.
Nos frères partirent cette même après-midi et firent semblant de retourner à la Capitale. En réalité, ils retournèrent à l’endroit où s’était produit le surprenant phénomène. Ils attendirent la tombée de la nuit pour effectuer un premier examen du terrain.
L’aire analysée présentait comme accident tectonique le plus accusé une petite faille à quelques 300 mètres. Ils préparèrent le petit XOIMMA UGII récupérable dont ils disposaient. Vous ne connaissez pas cet appareil. Nous en avons quelques-un sur Terre pour nos études.
Ils ont la forme d’un ellipsoïde de révolution. Les équipements utilisés sur notre Planète sont beaucoup plus grands. Le dispositif possède un générateur multiple de fréquences comprises dans la gamme de 5.10 20 cycles par seconde, en plus de quelques détecteurs de température, intensité des champs magnétique et gravitationnel.
L’appareil est contrôlé par un fasceau de fréquences de 6,77.1020 cycles/seconde. Il se dépose au sol et commence alors à se créer tout autour une couche gazeuse de GOONNIAOADOO (vous l’appelez PLASMA). La température très élevée des pellicules extérieures de cette couche de plasma contrôlée magnétiquement, capable de vaporiser la silice, fait s’enfoncer le dispositif au sein des différentes couches ou strates du terrain comme une pièce de monnaie chaude s’enfonce au sein d’une barre de glace. (voir image 2)
(S62-3)
Une fois enterré à des profondeurs de l’ordre de 50 à 100 mètres, il est contrôlé pour pouvoir se déplacer horizontalement (image 2A) en occupant une série de points correspondants à un réseau idéal, à partir desquels il émet un faisceau tronconique d’ondes (fréquences citées) capables de traverser les différentes strates. Simultanément un UULUEWA situé dans l’air à une hauteur de 20 ou 30 mètres capte en autant d’autres points du réseau les impulsions émises par l’appareil qui les lui envoie de sa grande profondeur.
Le système présente une certaine ressemblance avec les appareils radiométallographiques que vous utilisez pour examiner les métaux avec les rayons Rœntgen. La différence consiste dans le fait qu’au lieu d’utiliser un écran géant pour enregistrer la radiographie du terrain, un élément explorateur aérien balaye tous les points de l’image idéale en les enregistrant et en les intégrant dans une mémoire de cristal de titane qui nous donnera à la fin une vue en trois dimensions du sein de l’écorce terrestre explorée avec tous ses accidents internes obtenus grâce à leur contraste d’opacité au passage de ces radiations. Avec des équipements miniatures comme ceux utilisés par nos frères en Inde, on peut découvrir ainsi des filons de minéraux, des courants d’eau ou d’hydrocarbures, des roches enterrées, des tunnels et des tubes enterrées, des ruines de cités préhistoriques et différents objets de diamètre supérieur à 5 cm (avec les équipements miniatures tels que ceux que nos frères utilisèrent en Inde).
L’examen du terrain révéla une première couche de micaschistes granitifères et de calcaires cristallisés, avec une densité élevée, dans la zone la plus profonde, d’ardoises micacées. La couche la plus extérieure était composée d’ardoise mélangée à de l’argile, et présentait une végétation peu riche en variétés.
Pendant les derniers UIW de l’après-midi les appareils réalisaient l’exploration et nos frères localisèrent le point exact où le Saddu avait posé sa corde. Il y avait encore les plantes arrachées et les traces de pas des spectateurs. Il ne semblait y avoir personne bien que l’examen se soit effectué avec la lumière adéquate. Une épingle rustique qui était sûrement tombée d’un des assistants de l’après-midi (puisqu’elle ne présentait pas de signes d’oxydation) fut l’unique élément trouvé. Il n’était pas possible d’examiner et de comparer tout le matériel informatif obtenu ce jour-là. YOA 6 et URIIO 79 retournèrent quelques jours plus tard à Singapour où résidait à ce moment-là notre ancien chef des hommes d’UMMO en mission sur Terre.
Les résultats nous stupéfièrent. L’analyse des photographies de la surface de la zone, les enregistrements de l’intérieur de la corde, l’analyse chimique des fibres, les échantillons de terre et encore moins l’aiguille ne servirent à rien parce que l’examen de la structure géologique de la zone montra clairement la fraude.
On pouvait voir parfaitement trois galeries, renforcées grossièrement par des planches, qui partaient du petit bosquet (image 3).
(S62-4)
Le dessin joint démontre parfaitement comment se déroulait la fraude.
(S62-5)
Des trois galeries, l’une d’elles arrivait à deux mètres de l’endroit où avait été posé la corde. Les deux autres galeries avaient pour but de pouvoir refaire l’épreuve en d’autres points pour endormir la méfiance des assistants à la scène. La série successive d’images illustre suffisamment cette fraude et il n’est pas nécessaire d’approfondir les explications.
A partir de la galerie souterraine, un compère secret attend que l’assistant introduise par un des tubes qui mène à la surface, l’extrémité de la corde. En s’aidant d’un crochet B de fil de fer, il attrape le noeud et le tire. En même temps il élève la barre de fer D enterrée en A et recouverte de fibres tressée pour imiter la corde. Les spectateurs ne voient pas l’opération car le rouleau de corde les en empêche, par contre ils peuvent observer comment la corde se déroule (tirée par l’assistant « souterrain » et comment « elle » s’élève dans l’air. (En réalité, c’est la barre de fer, couverte de fibres végétales de la même couleur, qui s’élève).
Quand il a élevé la barre au maximum, l’assistant la bloque avec un autre crochet de fer (E), image 4, et une autre poutre transversale en bois. L’enfant peut alors monter sans problème.
Maintenant que vous le savez, vous devez penser que c’était trop facile. Et rester décontenancés. Souvent les jeux d’illusionnisme que réalisent les prestidigitateurs terrestres ont une base simple. Cependant nous n’avons jamais lu une seule explication à ce sujet comme une substance chimique pour durcir la corde instantanément, des procédés magnétiques etc…
Mais la réalité était cependant plus simple tout en étant ingénieuse. Si tout le génie gâché par les Terrestres pour tromper leurs frères était utilisé pour mieux organiser la société……
Lettre 5 | T1C-69/71
UMMOAELEWE
Nombre de copies 1
Langue : Espagnol
Dionisio Garrido Buendia
Madrid Espagne
Suite L’ ENCHANTEMENT DES SERPENTS
Le 17 septembre 1957, notre frère en mission sur OYAGAA (planète TERRE) YOA 6 fils de UNNOO 532 accompagné de EMEE 48, fils de EMMEE 44, arrivèrent dans un hameau des environs d’AHMADABAD.
A des dates antérieures, le premier des frères cités avait pénétré en Inde avec des missions d’études définies. La première pour analyser certains phénomènes supposés parapsychologiques et la seconde pour élaborer un rapport sur le développement du TANTRA ainsi que l’analyse du BHUTASSUDDHI ou purification (SHUDDHI) des cinq éléments (bhuta) qui composent le corps, condition requise indispensable dans tout rite tantrique. Les motivations internes de type subconscient qui soustendent ces pratiques du Tantra revêtent pour nous une énorme importance car, en elles, se présente avec toute sa pureté une réaction neurocorticale dénommée par nous OOGOOIAA IXWEE qui apporte assez de lumière sur le comportement des OEMII terrestres sous l’effet de la suggestion provoquée par les liturgies religieuses.
Cette fois cependant, l’objectif était semblable à celui correspondant du premier voyage. Nos frères débarquèrent alors dans la colonie portugaise de Goa et passèrent la frontière coloniale en direction de Bombay et de là à AGMADABAD
Nos frères portaient des passeports finnois en se présentant comme des agents consulaires de Finlande dans la ville portugaise, en voyage de loisirs vers Damao, Goa et le Pakistan.
Nos frères visaient trois objectifs concrets dans l’intention d’interpréter de tels phénomènes. L’un d’eux était de résoudre concrètement ce qu’il y avait de certain dans une des plus anciennes traditions hindoues concernant les « enchanteurs » de serpents.
Dans cette cité (AGMADABAD) des conversations téléphoniques eurent lieu avec un commerçant anglais dans l’électro-ménager, en nous présentant à lui comme des OEMII de UMMO. Ce commerçant licencié en mathématiques reçut postérieurement une série de rapports sur la Théorie des Processus et l’algèbre de Boole qui le surprirent grandement. Sans arriver à accepter que nos frères soient réellement des habitants d’une planète lointaine, il montra sa reconnaissance en apportant une série de données des plus précieuses, grâce auxquelles il fut possible de réaliser un court voyage dans une des petites villes voisines et d’entrer en contact avec deux Shagat (espèce de fakirs) qui gagnaient leur vie en réalisant divers effets surprenants, comme avaler du plomb fondu et des grenouilles ou manger du verre (ensuite nous avons su qu’il s’agissait en réalité de lames de sucre candi transparentes) et mettre les mains dans une boite pleine de scorpions.
Le 19 septembre 1957, différents voisins se réunirent avec nos frères et un accompagnant portugais qui servait d’interprète, car nos frères feignaient d’ignorer le dialecte de la région bien que YOA 6 était un spécialiste de la sémantique hindoue à cette date.
La placette où eut lieu cette action était située à une extrémité du village, très mal pavée de calcaire avec une boue abondante due aux pluies récentes ; un des Shagat s’avança avec un grand panier tissé d’une fibre semblable à la jute vulgaire provenant d’une liliacée du genre « Corchorus » très abondante dans cette région.
Pas très loin, il y avait une source qui servait d’abreuvoir aux animaux. Nos frères obtinrent secrètement des images non seulement de la source mais des environs, ils prirent des échantillons de terre qui contenait un grand pourcentage de limon, des matières fécales de vaches séchées et du sable avec beaucoup de quartz.
Un de nos UULUEWAA, préalablement lancé, se maintenait à une hauteur de 940 mètres au dessus du sol. Il s’agit de nos équipements sphéroïdes capables d’enregistrer des sons et aussi des images optiques susceptibles d’être amplifiées en trois dimensions. Notre frère dit dans son rapport :
» A la première heure de l’après-midi le Shagat s’assoit avec son panier au sol et commence à prier les bras croisés, les yeux entr’ouverts, murmurant des paroles inintelligibles. Nous contemplions la scène à une distance approximative de 14 mètres. A nos côtés l’autre Shagat nous regardait avec curiosité, deux voisins écoutaient de la musique dans un récepteur à transistors et plusieurs enfants presque nus jouaient avec de la boue. En apparence, nous bavardions et lisions une revue portugaise éditée à Goa, mais sans manquer d’observer les assistants. »
A la quarantième minute, le Shagat qui priait se lève et adresse la parole aux spectateurs qui s’assoient et le regardent en silence. Le fakir se rapproche pour montrer son panier. Il avait la forme approximative de la coupe que nous présentons dans la figure 1.
(S62-6)
Nos frères arrachèrent, sans que le Shagat s’en aperçoive, quelques fibres du panier, dès qu’ils les laissèrent examiner le récipient. De l’intérieur sortait un morceau de corde d’alfa qu’il montra aux assistants. Un de nos frères demanda la permission d’introduire la main et d’examiner un à un les morceaux de corde, profitant de nouveau pour arracher de petits fragments.
Le Shagat, une fois satisfaite la curiosité méfiante de nos frères, se retire à nouveau auprès de la source. Il laisse le panier au sol et s’assoit en tailleur posant les mains sur ses joues.
Ensuite, il commence à siffler en cadence. Il modulait le sifflement en mesure de façon que l’harmonique fondamentale de 750 cycles par seconde faisait fluctuer son niveau trois fois par minute de quelque 0,5 décibel. Nous avons conservé le phonogramme complet, décomposé en ses harmoniques principales, comme souvenir de cette date.
Tous purent observer étonnés comment les segments de corde se redressaient de l’intérieur, sortaient du panier, serpentaient lentement en se traînant dans la boue et s’approchaient du Shagat, se maintenant dressés parfois, pour revenir finalement à l’intérieur du panier.
Il s’agissait des mêmes segments de corde qui avaient été examinés quelques minutes auparavant. Il n’y avait aucun doute qu’à l’intérieur il n’existait rien, puisque tout avait été soigneusement analysé.
Comme si ça ne suffisait pas, l’individu envoûteur de cordes apporte de nouveau le panier à nos frères qui sondent une à une les cordes sans rencontrer rien d’anormal.
Dans la nuit on examina les photographies (UULAYA) faites à l’aide de l’UULUEWAA, malheureusement les images étaient déphasées et ne permettaient pas d’analyser ce qui était arrivé à l’intérieur du panier. Cependant les mouvements des cordes pouvaient être vus avec une grande précision. Elles apparaissaient déformées dans leur section. Les mouvements serpentants n’étaient pas brusques comme ils auraient dû l’être par utilisation d’un artifice, tel un fil invisible ou une baguette cachée dans le sable. D’autre part, l’absence de ces fils était certaine car l’amplification des images aurait révélé des câbles ou fibres d’un calibre supérieur à 0,0006 millimètres terrestres. On voyait cependant les extrémités des segments de corde très effilochés et mouillés. Un examen soigneux révéla même des torsions des cordes et des contractions rythmiques qui ne pouvaient être provoqués facilement par une commande souterraine des cordes, à moins que cette commande soit très complexe (d’au moins 438 canaux d’information, ce qui aurait supposé pour le Shagat un véritable computeur électronique connecté au moyen d’au moins 437 conducteurs électriques ou 438 câbles de connexion mécanique). D’autre part les images révélèrent de longs déplacements des cordes (l’une d’elles rampant comme un serpent faisait un véritable cercle de sept mètres sans qu’on voit sortir du sol des câbles de contrôle.
Pour diverses raisons, on écarta une commande par ondes électromagnétiques. En premier lieu il était difficile qu’un humble hindou dispose d’appareils de commande aussi perfectionnés. De plus aucun niveau appréciable de telles fréquences ne fut enregistré dans la gamme des ondes moyennes jusqu’aux ondes centimétriques par notre UULUEWA. Enfin nos frères à l’examen des cordes d’avant et d’après l’expérience, s’acharnèrent à essayer de détecter des corps étrangers métalliques ou non dans l’intérieur de la trame d’alfa sans rien observer d’anormal. Il n’était pas possible de cette façon d’obtenir de tels mouvements en se servant de champs magnétiques. Et d’autre part, la fraude était très difficile car on observait parfaitement que le fakir posa doucement le panier sur le sol sans y mettre ses mains et était éloigné en permanence de quelques deux ou trois mètres terrestres, tranquille et sifflant.
Ceci était réellement surprenant. Cette même nuit le terrain fut examiné sans résultat positif. Les traces de reptation de la corde avaient disparu. La fraude ne fut pas détectée. Malgré tout on élabora une hypothèse qui s’avéra correcte comme nous l’expliquerons dans un prochain rapport.
Lettre 6 | T1C-72/75
UMMOAELEWEE
N° de copies 1
Langue : Espagnol
Dionisio Garrido Buendia
MADRID, ESPAGNE
Suite : L’ENCHANTEMENT DES REPTILES
Dans le rapport précédent, que nous vous avons envoyé, nous faisions un résumé des recherches faites par nos frères YOA 6 et EMEE 48 dans une petite ville près d’AHMADABAD (INDE) tendant à analyser une des plus prodigieuses démonstration connues des prétendus mages hindous. L’enchantement de bouts de cordes qui rampent et se balancent au rythme de la musique « comme s’ils étaient des serpents. »
L’étude de nos frères fut infructueuse. Ni les images obtenues secrètement à l’aide de nos UULUEUUA (appareils utilisés par nous qui peuvent s’élever à une grande hauteur et dont les mouvements automatiques sont programmés en interne), ni les analyses postérieures du terrain et des petites fibres de corde, dont nos frères purent seulement découvrir qu’elles étaient tressées de filaments d’une plante, enregistrée par les botanistes terrestres sous le nom de « Corchorus capsularis ». On ne trouva rien de particulier dans les échantillons, bien qu’on les soumit à une étude approfondie. Quelques fibres étaient attaquées par une espèce de champignon connu sous le nom de « Macrohominia phaseoli » et par quelques bactéries inoffensives. Les fragments de terre adhérents correspondaient au terrain exploré et quelques résidus d’esters gras ne paraissaient pas être en relation avec le phénomène. Seule chose anormale : la fibre examinée était mélangée à un certain pourcentage d’alfa, plante qui n’est pas utilisée généralement dans la région pour la fabrication des cordes.
Le 23 septembre 1957, nos frères décidèrent de vérifier l’unique hypothèse plausible, obtenue par voie intellectuelle après l’échec des méthodes empiriques à détecter la fraude. Il restait bien sur une autre possibilité : qu’on se trouvait enfin devant un authentique phénomène parapsychologique, d’importance transcendantale. Mais la triste expérience des épisodes antérieurs, en rapport avec d’autres prétendus cas qui s’étaient avérés ensuite frauduleux, et la nature du phénomène qui était étudié faisaient prévoir que cet effet pourrait s’expliquer par le biais d’un processus naturel dans lequel la prestidigitation ou l’illusionnisme arrivent à provoquer une distorsion perceptive. Restait à écarter la possibilité d’une suggestion collective de nos frères, sauf que les images obtenues corroboraient l’inviabilité de cette ultime hypothèse
Pour cela, ils concertèrent une nouvelle entrevue avec le SHAGAT qui avait réalisé le prodige trois jours avant. Le prix convenu fut de cent dix livres sterlings. Les soupçons de nos frères furent confirmés et enrichis de nombreux détails.
Voyons comment opérait cet hindou :
Il se rend tôt le matin sur le terrain où il doit plus tard réaliser son exploit. Là il pratique une série de préparatifs que nous vous décrirons ensuite. Cet homme a coutume de réaliser ses enchantements de cordes aux premières heures de l’après-midi. Il porte le panier dont nous avons reproduit le dessin dans le dernier rapport. Souvenez-vous qu’à la base apparait un orifice circulaire de quelques trois centimètres de diamètre.
A l’intérieur se trouve une corde, grossièrement tissée avec différentes tresses de jute et d’alfa, qui a préalablement été coupée en fragments de soixante à septante centimètres de longueur.
Le Shagat montre librement les cordes aux personnes assistantes qui naturellement ne trouvent rien d’anormal. Les spectateurs se disposent à une distance suffisante pour qu’ils ne puissent percevoir le contenu du panier. Ce qui d’autre part n’éveille ni soupçons ni méfiance puisqu’un moment avant ils ont pu mettre la main à l’intérieur, la remuer entre les cordes et examiner le panier s’ils le désirent. Comme de plus l’hindou met tout de suite le panier adroitement au sol sans toucher en rien son intérieur et qu’ensuite il s’en sépare, plus de précautions semblent inutiles.
Il est regrettable que les images obtenues par notre UULUEWUAA n’aient pas enregistré l’intérieur du panier durant les opérations. Vous comprendrez ce type d’erreur si nous vous expliquons à grands traits comment fonctionnent nos UULUEWUAA. Ce sont généralement des dispositifs de forme sphéroïde et de taille différente (de l’ordre de quelques centimètres). A l’intérieur sont disposés divers dispositifs de contrôle.
Un UULODOO: capable d’enregistrer des séquences d’images en trois dimensions et de les retransmettre instantanément ou à intervalle différé
Un UAXOO IXINAA : espèce de microphone différentiel composé de 734 cellules de résonance sensibilisées chacune pour une gamme très restreinte de fréquences acoustiques. Le champ d’audition s’étend de 16 à 19.500 cycles par seconde. Les niveaux (à réponse pratiquement plane) ont un seuil inférieur à six décibels et un niveau de coupure à 118 décibels. (Les cellules enregistreuses de fréquences infrasoniques à cause de leurs dimensions réduites, ne travaillent pas à une résonance propre ).
Un IBOAYA NOA UAXOO : détecteur d’hélium liquide (ponctuel) capable d’enregistrer les fréquences électromagnétiques qui s’étendent de la gamme appelée par vous centimétrique jusqu’à la bande bêta environ. L’appareil d’enregistrement discrimine fréquence, amplitude et phase, en contrôlant simultanément le temps de vérification de la détection.
L’émetteur de bande multiple, générateur d’ondes gravitationnelles pour la communication avec les organes de contrôle et retransmetteur de l’information enregistrée par les différents appareils.
De plus, il est pourvu d’un appareil de niveau gravitationnel, qui permet à l’UULUEWUUA de se maintenir à diverses altitudes programmées, grâce à l’enregistrement du champ gravitationnel et du dispositif propulseur correspondant. La mesure du champ se réalise grâce à un accéléromètre miniaturisé qui évalue la constante « g » en chaque point, en contrôlant le comportement en chute libre d’une molécule de (SCN)2 Hg (thiocyanate de mercure). Voir appendice 1 (document D977).
Donc: l’appareil se déplace au moyen de deux modes de contrôle. Dans des cas déterminés un transcepteur de champ gravitationnel à haute fréquence émet des impulsions codées de contrôle qui sont automatiquement corrigées quand l’UULUEWUA se trouve aux abords d’un obstacle. L’opérateur à terre qui prend en charge l’appareil peut voir sur un écran tout le champ visuel détecté par le petit UULUEWAA. Cette méthode néanmoins s’utilise rarement car elle exige une surveillance continue par un OEMII.
En général, le parcours spatial de l’appareil est programmé préalablement dans l’UULUEWUAA. Pour cela, on lui fournit une séquence d’images, correspondant à la topographie du terrain, qui doit servir de guide à l’appareil. Cette succession d’images porte, mémorisée, la trajectoire prévue que doit suivre le véhicule miniaturisé. Cette information est mise en mémoire dans une cellule de titane cristallisé chimiquement pur.
Comment la UULUEWUAA parcourt-il cette même trajectoire fixée d’avance ? Rappelez-vous qu’il est pourvu d’un UULODOO (espèce de caméra cinématographique connue par les terrestres dont les différences essentielles avec elle sont que l’objectif optique n’est pas composé de lentilles de verre et que le film sensible à sels de platine est remplacé par un écran qui traduit la réception de photons en influx électrique, comme un iconoscope de télévision mais par un processus différent).
Car pendant que la caméra se déplaçe, elle corrige peu à peu les images successives de la topographie des lieux qu’elle traverse. Cet UULODOO étend sa sensibilité sensitométrique jusqu’à des fréquences de 7.1012 cycles par seconde (spectre infrarouge), afin que l’orientation en pleine obscurité subjective soit assurée.
Ces images sont « superposées » à celles enregistrées dans la mémoire et qui avaient été préalablement prises par un autre UULUEWUA télédirigé depuis la base de commande. L’appareil optique explore peu à peu les deux séquences d’images. Quand les premières ne coïncident pas avec celles mémorisées, des impulsions de contrôle corrigent la trajectoire de l’appareil de propulsion et la direction. Le dispositif est conçu de façon que de petites variations topographiques (changement de mobilier, véhicules, changement de position des rochers, etc) ne changent pas le résultat à moins qu’ils créent un sérieux obstacle pour la trajectoire du mobile. De cette façon, l’UULUEWUA peut orienter ses propres mouvements sans contrôle conscient extérieur, et en n’importe quel point de sa trajectoire il peut de nouveau être repris en mains. Nous utilisons rarement sur UMMO les ondes électromagnétiques pour le contrôle à distance. L’emploi d’ondes gravitationnelles, bien qu’il souffre de l’inconvénient que leur énergie est extrêmement réduite, présente l’avantage de se voir exempt de perturbations parasites.
Ainsi vous pouvez mieux comprendre qu’un de ces UULEEWUAA non dirigés à vue faille à sa mission d’enregistrer des images, si préalablement sa route d’exploration n’a pas été programmée avec exactitude. C’est précisément ce qui arriva dans le cas qui nous occupe.
Une fois que le SHAGAT s’est éloigné de son panier, il commença à émettre, en le modulant avec ses lèvres, un sifflement pauvre en harmoniques (fréquence fondamentale : 750 cycles par seconde).
Du panier sortent les supposées cordes rampant avec difficulté.
Qu’en est-il ? Réellement ces prétendues cordes qui sortent du panier ne sont pas les mêmes qu’il y avait dans le fond de celui-ci. Il s’agit de serpents à écailles verdâtres, connus des ophidiologues terrestres qui les cataloguent dans la famille des colubridés du genre OPHEODRYS, et dont la longueur oscille entre 40 et 70 cm (non pourvus de crocs toxiques) et faciles à domestiquer.
Les mages hindous les soumettent à un long processus d’apprentissage par réflexes conditionnés. Très sensibles à la chaleur, ils les incitent, avec une série de punitions quand ils n’obéissent pas, à se plier à des mouvements rythmiques imposés quand ils entendent les modulations du sifflement, le Shagat utilise aussi de l’eau bouillante pour les effrayer.
Une fois qu’ils ont été éduqués de cette façon, commence un second processus de dressage. Pour cela on les recouvre d’une housse d’alfa ou de jute tressée qui laisse seule libre la zone ventrale de l’ophidien (image 1)
(S62-7)
Cette housse adhère aux écailles au moyen d’une substance gélatineuse très adhésive que les hindous obtiennent en faisant macérer et bouillir deux espèces végétales (le Shagat ne fournit alors plus de données et demande plus d’argent, ce qui est refusé). De cette façon, de loin, le reptile avec sa peau artificielle semble être un bout de corde normal.
Le Shagat, le matin, cache ses serpents dans une petite excavation dans la terre. Il la couvre d’une planche perforée et dissimule la surface avec de la boue et des pierres (image 2).
(S62-8)
Préalablement, il les arrose d’une solution hypnogène qui les endort pendant des heures. Quand il doit accomplir une prestation, il place bien soigneusement le panier en faisant coïncider son orifice central avec le signe qui, sur le terrain, indique la position du trou. De façon dissimulée, il ouvre avec le doigt la perforation de la planche (obturée de façon appropriée par une pellicule de boue humide). Les serpents peuvent sortir sous les ordres acoustiques du maître et se remettent de nouveau dans le terrier artificiel une fois l’action magique terminée.
(Suit l’appendice 1 – T1C-76 à 78 – document D977)
Lettre 7 | T1C-62/68
UMMOAELEWE
Langue : ESPAGNOL
Nombre de copies : 1
PARAPSYCHOLOGIE ET PRESTIDIGITATION.
Il est nécessaire, comme nous vous l’avons dit au long des documents antérieurs, quand nous nous trouvons sur la planète Terre, d’analyser avec une prudence et un tact extraordinaire tout témoignage humain concernant un prétendu phénomène parapsychologique.
C’est de cette manière qu’il vous sera possible de rencontrer, parmi une large gamme de faits rares ou invraisemblables, quelques merveilleux exemples du comportement humain non régis aujourd’hui par les lois énoncées par la science officielle.
Le véritable drame dont sont protagonistes les scientifiques terrestres consiste justement dans le fait que l’objet de ce type de recherches est justement un être humain terrestre, avec les défauts inhérents à ceux du réseau social dans lequel il doit vivre. C’est-à-dire avec son égoïsme qui l’empêche d’accorder sa collaboration désintéressée à des études analytiques dont l’unique objet serait d’élargir les frontières de la connaissance. Ses tendances mythomanes, mégalomanes ou exhibitionnistes, le poussent à raconter des faits imaginaires (fruits de son esprit ou de son imagination) pour être le centre de l’intérêt morbide et de la curiosité malsaine de vos frères de la Terre.
Combien de cas avez-vous déjà enregistré de GEE et de YIE qui racontent d’extravagants et non moins incitants épisodes de faits dont ils affirment avoir été les témoins dignes de foi : guérison miraculeuse, apparitions étranges, prémonitions sur des faits futurs qui se seraient produits par la suite avec une précision mathématique ? Le plus probable est que de tels faits ont été racontés par un familier ou un voisin, et pour renforcer le témoignage, ils jurent et parjurent les avoir vus. Le narrateur arrive jusqu’au stade histéroïde d’autosuggestion et il croit vraiment en avoir été le témoin authentique.
De plus : comme vous mettez beaucoup d’emphase dans le faux concept de l’honneur personnel, en déclarant devant une personne avoir été témoin de l’un de ces merveilleux épisodes pseudoparapsychologiques, et en observant le geste d’incrédulité de l’interlocuteur, vous vous sentez automatiquement offensés, vous oubliez pour un moment la narration elle-même pour défendre contre tout l’honneur personnel outragé. Quelques terrestres, en trouvant cette attitude sceptique de la part de ceux qui écoutent se font le raisonnement suivant sans l’exprimer :
« En effet, je suis en train de mentir, mais il est nécessaire, une fois que j’ai pris cette attitude, de conserver mon prestige personnel. Si je confesse avec humilité que j’ai menti, je subirai l’humiliation correspondante et jamais je ne pourrai récupérer un crédit quelconque. De plus ce n’est pas la vérité, mais celà aurait pu se produire réellement et en doutant de ma parole, je suis offensé de toute façon ».
Nous voyons alors votre frère terrestre traverser un long processus de déséquilibre temporel de son système nerveux (FRUSTRATION). Dans lequel l’individu se congestionne, cri et dynamise son énergie nerveuse en forme de mouvements harmoniques des mains, gesticulant et bredouillant d’une manière désordonnée. Il perd le contrôle de sa raison et il peut à peine formuler des raisonnements convaincants pour appuyer son témoignage. Il se limite à insister sur des affirmations gratuites que rien ne prouve et à proférer des menaces contre ceux qui n’acceptent pas son témoignage.
Aussi vous trouvez des gens qui réfèrent à des cas de lévitation durant le processus cataleptique (HYPNOSE) en jurant qu’ils possèdent même des photographies et des documents de spécialistes ou des témoignages écrits de notaires les confirmant.
Faites l’expérience de leur demander à ce moment-là cette documentation écrite ou graphique en insistant pour qu’ils montrent ces preuves. Dans la grande majorité des cas, ils commencent par émettre des objections, font semblant d’avoir perdu ces preuves, de les avoir prêtées ou de ne pas avoir le temps de les montrer. En définitive leurs excuses constituent des preuves pour identifier le mensonge ou la fraude.
Ajoutons à cette mégalomanie et manque de sincérité, l’attitude de certains syndromes psychopathiques, de paraminésies, et d’hallucinations spécifiques de quelques perturbations neuropsychiatriques et vous vous apercevez de la difficulté de recherche dans ce domaine.
Les gens peu doués intellectuellement, les débiles mentaux et les OEMII avec un coefficient d’intelligence moyen, en général, dans ces cas glissent sur deux pentes :
Il arrive que (comme dit une expression populaire d’ Espagne) les « petits malins » proclament aux quatre vents leur scepticisme se moquant avec âpreté de ces expériences parapsychologiques et apportent pour les réfuter des arguments simplistes, naïfs, pseudoscientifiques avec une structure dialectique très pauvre et vulgaire.
Nous avons rencontré parmi les individus de nationalité espagnole de nombreux et variés exemples de cette sotte attitude. Presque tous ceux de formation intellectuelle médiocre avec des études de niveau du secondaire et même universitaire (il s’agit d’individus dont la formation universitaire s’est limité à présenter frauduleusement des preuves d’aptitude), mais sur un fond de structure neurocorticale déficiente.
Bien plus : de telles personnes se moquent impitoyablement de tout ce qu’ils n’ont pu vérifier de leurs propres yeux. Pour elles l’existence de fakirs marchant sur les braises est une pure légende. Ils doutent des yoguis qui atteignent certains états d’automaîtrise somatique, des communications télépathiques réalisées par des chercheurs militaires, l’existence d’autres civilisations sur des astres du UAAM (UNIVERS) et ils doutent parfois de l’existence de personnages historiques de cette planète.
Nous le répètons: leur argument suprême est celui-ci : JE NE L’AI PAS VU ET JE NE CROIS QUE CE QUE JE VOIS. N’importe quel licencié en philosophie universitaire pourrait rapidement réfuter cette erreur si stupide. Car en effet, s’ils sont conséquents avec ce sophisme, ils devraient douter de l’existence des aurores boréales, vu qu’ils ne se sont jamais déplacés aux latitudes (où elles sont visibles), du virus filtrable qui provoque la poliomyélite parce qu’ils n’ont jamais approché un microscope électronique, et de l’existence de Pascal, de Newton ou de Quevedo, parce qu’ils ne vivaient pas à cette époque pour les contempler. Cela ne mérite pas, bien sûr, de nous étendre à réfuter un argument manquant tellement de solidité.
En effet, l’exploit que certains ascètes hindous et beaucoup de jeunes de différentes régions d’Europe et d’Asie qui réalisent la marche sur des braises en état d’ignition n’est pas du tout une fraude.
Il est évident que dans ce cas, à l’encontre de l’opinion populaire, il ne s’agit en aucun cas d’un véritable phénomène parapsychologique. En effet, la température élevée provoque une forte exsudation des pieds. Vous savez, d’autre part, que les liquides peuvent être de bons conducteurs de la chaleur, comme le mercure. Il n’en est pas ainsi de l’eau bien qu’elle tende à dissoudre certains sels comme dans le cas de la sueur humaine. L’eau est un magnifique isolant thermique quand elle se trouve à l’état de gouttelettes (quasi microscopiques). Ces sphères aqueuses de petit rayon (de l’ordre de 0,07 mm) ne peuvent conduire la chaleur par convection comme dans le cas d’une grande masse d’eau. (Rappelez-vous que vous appelez convection des courants internes de liquide qui se produisent quand des gradients de température existent entre deux points de cette masse). Donc, une goutte d’eau est au contraire (quand de telles conditions se réalisent) aussi isolante que certains plastiques (chlorure de polyvinyle). Mais il se produit un autre effet répertorié par les physiciens de la Terre sous le nom d’EFFET PARTICULIER.
Effet particulier : phénomène qui consiste dans la répartition inégale des courants de haute fréquence dans des conducteurs massifs (ou; solides) qui offrent une plus grande densité électrique à la surface (extrait de E. Salvat)
Vous pouvez le vérifier en versant quelques gouttes d’eau sur une plaque chaude (à quelques 300° C). Celles-ci paraissent rebondir plusieurs fois sans s’évaporer. Ce qui se passe c’est que la périphérie des sphérules aqueuses s’évapore. Cette couche gazeuse est si isolante et élastique qu’elle protège très bien le noyau liquide de la goutte (froide).
Les gouttes de sueur passent à un état sphéroïde protégeant l’épiderme de la plante du pied. Vous obtenez le même effet si vous introduisez dans l’intérieur de la bouche une allumette enflammée. Si la langue est en permanence humide, il ne se produit aucune blessure.
Nous vous disions un autre jour comment les charmeurs de serpents arrivent à animer des bouts de cordes, et comment des spirites rusés procèdent pour obtenir des photographies spirites sans recourir à une double exposition.
Dans les rapports précédents nous avons glosé sur certaines expériences appelées parapsychologiques par les Terrestres et dont nous avons été témoins.
Au long de ces lignes dactylographiées, malgré nos objections réitérées, vous en avez déduit d’une manière érronée que nous, frères d’UMMO, sommes systématiquement réticents à admettre l’authenticité de tels phénomènes. Il peut sembler qu’en démasquant quelques fraudes typiques réalisées par des fakirs et médiums imposteurs, nous voulions ridiculiser les frères terrestres pour leur fatuité et leur insistance.
Mais une telle appréciation, si on prend la peine de vérifier nos références et de réaliser une analyse critique élémentaire, manque de consistance.
Notre humanité au sein de l’OYAGAA (PLANÈTE) qui nous héberge est parvenue à atteindre un niveau scientifique et technologique très élevé si vous la considèrez d’un point de vue relatif au réseau social de la planète Terre ; mais vous-mêmes pourriez, sans grand effort, déduire qu’en termes absolus cette évolution est minuscule face aux possibilités de l’être humain. CONNAÎTRE LA VÉRITÉ ABSOLUE est probablement inatteignable. Nous pouvons l’approcher asymptôtiquement et seulement WOA ( Générateur ou Dieu) est capable de s’identifier avec elle, et si nous pouvons être sûr de quelque chose c’est de l’existence de quelques limitations insurmontables pour l’homme sur son chemin de connaissance du WAAM (COSMOS) et du WAAMWAAM (PLURICOSMOS).
Pour cela même il serait insensé d’ignorer qu’il existe des facettes de la Nature qui constituent des arcanes inaccessibles même pour nos méthodes scientifiques. Si nous entendons de la bouche d’un terrestre qu’un guérisseur de banlieue d’une grande cité italienne a été capable d’éliminer un néphroblastome du rein en appliquant les mains sur le côté du patient, nous ne pouvons en toute rigueur scientifique nier sans étude préalable une telle possibilité, et de fait nous avons reconnu dans quelque cas isolé la réalité de tels types de cryptothérapeutique.
Mais si malheureusement, utilisant des moyens de contrôle inconnus de vous, nous vérifions parfois la fraude et d’autres fois que la prétendue guérison est la conséquence de facteurs hallucinogènes et de suggestion qui permettent le recul temporaire des symptômes, spécialement de la douleur (et vous tous savez qu’existent des moyens d’éliminer celle-ci par des procédés étudiés en médecine psychosomatique) alors que la tumeur persiste. Que croyez vous que sera notre conclusion ?
Les scientifiques et les étudiants de la Terre se montrent, comme nous, prudents avant d’accepter allègrement de telles procédures occultes. Vous mêmes pouvez ajouter mille exemples. Dans les années terrestres correspondant à l’après guerre de 1939 à 1945 proliférèrent aux États-Unis beaucoup de guérisseurs qui prétendaient guérir la poliomyélite.
Admettons pour un instant qu’aucun d’eux n’était un imposteur, admettons (puisque il serait impossible de rechercher cas par cas si la guérison fut réelle ou fut une pure suggestion) que tous les UUGEEYIE (enfants) furent traités efficacement jusqu’à la disparition totale du syndrome.
Maintenant examinez les données quantitatives du nombre de malades pour paralysie infantile de ces jours et comparez-les aux statistiques de poliomyélitiques de 1967 après l’application réitérée de vos vaccins modernes réalisés non par les guérisseurs mais par de vrais scientifiques.
L’évidence est si accablante que seule une personne aveugle ou un fanatique ou un aliéné pourrait admettre que la voie ésotérique est plus efficace que la claire (voie) scientifique classique et ceci sans les voiles de mystère qui l’occultent.
Dit autrement : nous admettons que dans les arcanes de la Nature existe, latente, cette possibilité de guérisons inaccessible aux vulgaires scientifiques et ouverte à certaines personnes (incluant des ignorants) possédant des facultés merveilleuses. Mais ces personnes « merveilleuses » n’existent pas sur Ummo et, sur la Terre, quand elles se manifestent elles ne sont pas capables d’élaborer un vaccin qui préviendra une invasion virale chez des millions d’enfants. Au mieux on obtient une série réduite de guérisons dont beaucoup, pour ne pas dire toutes, sont démasquées comme étant des impostures.
Et nous vous demandons maintenant : Est ce que le mépris des personnes terrestres intelligentes envers tout ce qui suppose d’admettre les hypothèses vagues et floues des défenseurs de l’ésotérisme et des guérisseurs n’est pas logique ?.
De plus voici un nouveau point de vue de divergence avec ces personnes intelligentes qui « nient le pain et le sel » (une expression espagnole) de telles hypothèses. Il est sans doute tout aussi aberrant de s’enthousiasmer pour les théories infantiloïdes de la nécromancie, de l’occultisme, de l’astrologie, du spiritisme, etc , en croyant ponctuellement et sans la moindre critique leurs postulats,.. en admettant toutes les croyances populaires superstitieuses transmises de génération en génération par les groupes sociaux rustres de certaines tribus retardées, que de les rejeter en bloc en les estimant manquer de tout sens rationnel.
Nous mêmes avons vérifié et, bien sûr beaucoup de scientifiques terrestres ont été forcés de l’admettre, qu’un pourcentage, quoique réduit, de telles croyances ont été vérifiées sur une base réelle sérieuse .
Nous pouvons rapporter quelques cas, bien que vous tous connaissiez une riche casuistique de cas qui confirment notre observation. Ainsi aucun d’entre vous ne doit ignorer que les pêcheurs de certaines îles grecques utilisaient du pain moisi pour soigner les blessés, ce qui provoquait le sourire pédant de certains médecins grecs informés de cette vieille coutume, jusqu’à ce qu’Alexandre Fleming applique certaines souches de champignon Penicillium notatum dans ses expériences destinées à la destruction des germes appelés par les Terrestres gram-positifs.
On peut multiplier les cas puisque de nombreux médecins norvégiens méprisèrent la coutume populaire des habitants côtiers des fjords d’administrer à leurs enfants en bas âge du foie de morue…
Et beaucoup de scientifiques qui ridiculisaient les légendes germaniques sur les individus lunatiques, durent admettre l’influence du champ gravitationnel du satellite terrestre sur certaines tumeurs du cortex cérébral en trouvant qu’elles se trouvaient comprimés par l’action de la Lune dans la boite crânienne.
Nous vous disons que nous avons analysé en quelques mois les bases scientifiques de certaines de ces croyances. Ainsi par exemple, au Japon il existe une antique tradition thérapeutique très enracinée parmi certains campagnards.
Ce procédé rural se nomme KHUROYAKI. Les natifs fabriquent des récipients grossiers de céramique qu’ils remplissent d’un grand nombre de substances selon la maladie qu’ils veulent guérir. Ainsi ils peuvent introduire certaines espèces de reptiles, des œufs de tortue, feuilles et racines végétales, mâchoires de certains vertébrés, tiges de bambou, vers de terre, etc, etc. Ils ferment immédiatement et hermétiquement l’orifice du vase avec de l’argile et quand il est sec ils chauffent le récipient dans la terre à très haute température, le vase est finalement cassé et son contenu carbonisé est utilisé comme remède thérapeutique « efficace ».
Notre analyse a montré la présence anormale de certains isotopes radioactifs à un taux plus élevé que celui obtenu avec ces mêmes substances soumises à la crémation en présence d’oxygène . Les éléments chimiques, qui disparaissent par évaporation dans ce cas, se retrouvent toutefois dans le KHUROYAKI. En effet nous avons vérifié qu’il était naïf de penser que de tels sousproduits de la combustion seraient efficaces dans autant d’affections que le postulaient les paysans, mais que dans certaines maladies ils avaient réellement une valeur thérapeutique.
Nous ne pouvons donc pas déprécier « A PRIORI » les croyances populaires des Terrestres. Nous vous exhortons au contraire, avant d’en rire, de les analyser avec attention. Un pourcentage indéfini d’entre elles ONT SANS DOUTE DES APPLICATIONS EFFICACES bien que dans de nombreux cas les techniques modernes soient supérieures aux faibles effets de celles-ci. Aucun d’entre vous n’ignore l’efficacité de nombreuses plantes médicinales ingérées en infusion, mais seule la science est capable d’atteindre un rendement maximal par la synthèse ou l’extraction des composés chimiques qui constituent leur véritable essence pharmacologique.
En somme, oui, nous vous suggérons cette idée : ne dépréciez pas les possibilités cachées du WAAM. Chercher à expliquer scientifiquement la réalité des faits est une erreur car, continuellement, nous entrevoyons que le domaine des lois connues de l’univers est toujours plus immense à nos sens au fur et à mesure que nous avançons timidement dans leur étude. Mais pour que vous sachiez avec mesure et objectivité vous orienter dans cette immense forêt des croyances terrestres où, au delà du malheureux mélange inconscient de fraudes et de superstitions, il est sans doute possible de trouver de rares et belles plantes qui reflètent un peu de cette VÉRITÉ ABSOLUE que nous cherchons tous jour à jour.
Fuyez donc les EXTRÊMISMES. Fuyez autant la crédulité excessive qui vous incite à accepter comme bonne n’importe quelle affirmation d’un de vos frères sans auparavant réaliser une étude sérieuse et impartiale, que le scepticisme fanatique qui vous pousse à railler impitoyablement tout ce qui ne passe pas directement par le contrôle direct du toucher, de la rétine ou de l’organe de Corti (Ndt: neurones de l’oreille interne). Croire que l’on doit seulement accepter ce qui se touche ou se voit est le propre des mentalité oligophrènes (Ndt: débiles mentaux légers) et si vous pour des raisons professionnelles ou par manque de temps vous ne pouvez ou n’êtes pas capables de réaliser de telles études, de telles vérifications systématiques ou scientifiques, adoptez une prudente attitude d’écoute en vous montrant ouverts à la vérité possible sans nier ou accepter catégoriquement une telle possibilité.
D63
UMMOAELEWEE
nombre de copies : 1
langue Espagnole
- DIONISIO GARRIDO BUENDIA
MADRID
Monsieur :
Lors d’une communication téléphonique que nous avons eu avec vous, vous sollicitiez l’envoi d’une série de documents concernant les thèmes astronomiques.
La difficulté consiste à choisir dans la gamme de nos connaissances dans ce domaine, les faits ou les thèmes qui vous soient le plus accessibles, dans le domaine de l’astrophysique analysée par les scientifiques de la Terre.
Peut être vous sera t’il agréable que dans ce qui va suivre, nous allons vous donner des renseignements concernant les caractéristiques de quelques structures situées dans notre galaxie, et pratiquement inconnues des Astronomes de la Terre . (Du moins nous n’en avons pas trouvé trace dans les différents bulletins et publications périodiques de divers observatoires la moindre référence à ceux ci).
Nous commençons aujourd’hui par les IAGIAAIAOO . Il s’agit de nébuleuses que vous n’avez pas répertoriées et dont la forme, dans les cas que nous connaissons est annulaire (en réalité toroïde). Ceux d’entre vous qui ne seraient pas spécialisés dans les thèmes touchant à l’astrophysique auront peut-être une vague idée des diverses nébuleuses étudiées jusqu’ici par les Terriens.
Dans ce cas concret, vous ne devez pas inclure ce type de nébuleuses parmi celles que vous appelez NÉBULEUSES EXTRAGALACTIQUES. Bon nombre de celles-ci sont, comme vous le savez, de véritables Galaxies formées par un nombre élevé d’astres chauds de température élevée. Il existe aussi une multitude immense de nébuleuses beaucoup plus petites que celles qui sont répertoriées et dont la composition, la structure, la température et le rayonnement diffèrent notablement de l’une à l’autre. Dans certains cas il s’agit de conglomérats immenses de petites particules solides, dont le diamètre moyen est de l’ordre de trente centimètres. (Dans ce genre d’étude nous établissons un profil densitométrique qui donne les abondances de ces micrométéorites en fonction de leur calibre).
Dans d’autres cas décelés et analysés par vous, les Nébuleuses sont formées de poussières cosmiques (nous utilisons la terminologie qui vous est familière). Nous sommes persuadés qu’une telle terminologie, utilisée par les scientifiques terrestres, ne s’adapte pas réellement dans certains cas à la réalité.
Ainsi, par exemple, à quelques mille parsecs de la Terre, dans l’axe qui unit votre planète à la constellation du Sagittaire (axe qui passe très près du centre de notre galaxie) existe une nébuleuse dont la plus grande dimension est 0,00017 année-lumière, composée de cristaux d’hélium et d’hydrogène; la dimension moyenne des éléments étant de 0.43 mm.
Dans d’autres cas la structure raréfiée de telles nébuleuses est simplement moléculaire. Le gaz peut-être si raréfié que dans un centimètre cube peut seulement être localisé la valeur moyenne de 26 molécules.
Dans le cas le plus fréquent, les nébuleuses sont des conglomérats de particules solides dont la composition granulométrique s’étend de 0.00003 ENMOO à 0,08 ENMOO (Un ENMOO équivaut à 1,87 mètre terrestre) (N.D.T : De 0,0581 mm à 14,96 cm).
Un type de nébuleuse dont les astronomes terrestres subodorent l’existence, tout en ignorant la composition, est formé de grandes masses raréfiées d’ammoniaque à si basse température que les particules sont cristallisées en formant des petits filaments prismatiques. Ces nuages polarisent fortement la lumière.
Dans le cas qui nous intéresse aujourd’hui, et dont nous allons vous parler, il s’agit d’un des corps galactiques qui nous a le plus intrigué dans le temps et à qui nous accordons maintenant une importance transcendantale car son étude nous permet de mesurer ( bien que malheureusement avec une marge d’erreur considérable) les altérations de l’Espace de notre WAAM (cosmos) provoquée par notre UWAAM (cosmos jumeau).
Depuis de nombreux XEE nos experts en Cosmologie avaient localisé une série de conglomérats nébuleux dont la structure topologique correspondait à la forme d’un anneau ou tore de section elliptique, et très turbulent.
(S63-f1)
Ces nébuleuses (comme vous les nommez) furent dénommées par nos spécialistes sous le nom de IAGIAAIAOO.
On put rapidement en préciser la composition : Hydrogène à si basse température, proche de l’état d’entropie minimale (que vous appelez le ZÉRO ABSOLU DE LA TEMPÉRATURE). Nos scientifiques, sans être à même de déterminer la température, avaient de bonnes raisons de penser que l’HYDROGENE était à l’état solide sous forme de très petits cristaux. Ceci était déterminé par l’analyse de la lumière qui traversait le milieu; quelques XEE plus tard, YOOGOO 75, fils de YOOGOO 72, découvre la présence d’un faible champ magnétique dont les lignes de force se trouvaient sur des plans perpendiculaires à la Section toroïdale.
Naturellement, l’hypothèse émise immédiatement consistait à considérer que ces particules d’Hydrogène cristallisé étaient ionisées et se déplaçaient en régime laminaire ou en régime turbulent au sein de la Nébuleuse . Dans ces conditions ces particules constituent un flux de particules chargées électriquement, un véritable Courant Électrique créateur de ce Champ Magnétique . Cependant les analyses soigneuses (faites à distance car la plus proche IAGIAAIAOO évaluée en unités terrestres se trouve à quelques 7,884 années-lumière de UMMO) déterminèrent qu’un tel flux de particules n’existait pas. Par contre une série d’étrange phénomènes furent successivement révélés. Par exemple : le plan de polarisation de la raie D du Sodium était polarisé d’un angle de 0,8 radians et par contre toute autre longueur d’onde lumineuse n’était pas polarisée. De plus, au sein de la nébuleuse furent localisés des conglomérats lenticulaires de grande densité qui irradiaient fortement des trains d’ondes gravitationnelles de fréquence /5833 Kilocycles par seconde (Ndt: il y a bien un « / » devant 5833). En échange, il ne fut pas possible de détecter à aucun niveau d’intensité le moindre signal d’émission radioélectrique. Tout ce que nous savions sur de telles nébuleuses était dû au passage en leur sein d’émissions lumineuses et Électromagnétiques provenant d’autres Astres et Conglomérats galactiques. Même si le comportement de ces IAGIAAIAOO était finalement peu surprenant, on découvrit vite que le champ magnétique, qui d’ordinaire se maintenait en plans perpendiculaires au Toroïde même, se modifiait brusquement, son plan se mettant à osciller sans que son intensité varie, sous une forme apériodique et apparemment anarchique. Ensuite, l’oscillation diminuait jusqu’à disparaître définitivement.
Ce fut UDII 24, fils de UDII 28, qui découvrit avec surprise que ces variations dans le plan du champ magnétique apparaissaient quelques mois après que se soient produites une de ces énormes courbures de l’espace tridimensionnel qui sont provoquées par le UUWAAM (COSMOS JUMEAU), et qui, comme vous le savez par diverses informations antérieures, sont utilisées par nos Vaisseaux pour se déplacer dans d’autres points de notre Galaxie avec des durées qui, sous une autre forme ou en utilisant la ligne droite dans l’Espace Tridimensionnel, nécessiteraient de si grandes durées qu’il ne nous serait pas possible de songer à les franchir. Régulièrement, de telles altérations magnétiques se succédaient tous les deux XEE (0, 42 années approximativement) après que nous ayons enregistré de telles distorsions tétradimensionnelles.
A ce moment là notre technologie commençait à initier les premiers balbutiements (après la sensationnelle découverte qui nous permit d’inverser l’orientation des IBOZOO UU) en ce qui concerne les voyages galactiques à de grandes distances. Un des objectifs fixés fut précisément l’exploration directe de ces étranges nébuleuses. A ce moment là les premiers voyages étaient réalisés à l’aide d’équipements autonomes. Un peu comme les fusées dirigées radioélectriquement que vous, les terrestres, utilisez dans la phase actuelle vos explorations spatiales. L’unique différence consistait dans le fait que le processus d’étude et de route qui devaient suivre les premiers OAWOLEA UEWA (NEFS) était programmé au préalable dans un cristal de titane mémorisant toutes les instructions. Les équipements à bord du vaisseau étaient donc contrôlés pendant l’exploration sans qu’aucun de nos frères ne voyagent à l’intérieur. Ceci pourra peut-être vous étonner car vous pourriez penser qu’il aurait été beaucoup plus facile de réaliser ce processus par un contrôle au moyen d’ondes radio-électromagnétiques, mais n’oubliez pas qu’un tel contrôle est impossible une fois que le vaisseau à subi l’OAWOLEIIDAA, processus pendant lequel ses particules sousatomiques subissent une phase d’inversion dans un autre système tridimensionnel. Dans ces conditions un train d’ondes électromagnétiques se propage au sein du système tridimensionnel antérieur (celui qui nous est familier) et son champ de radiations est maintenant inaccessible pour le vaisseau. Bien entendu, une fois arrivé à destination, l’équipement revient dans le milieu tridimensionnel abandonné, mais à ce moment là, la distance qui le sépare de notre Planète UMMO est peut-être de douzaines d’années-lumières, et le contrôle radioélectrique dans ces conditions est très difficile et il ne faut pas non plus songer à un contrôle à l’aide d’ondes gravitationnelles (Technologie que vous ne connaissez pas encore) car l’énergie de ces émissions est infinitésimale.
En effet: le premier OAWOOLEA UEWAA qui se déplaça vers cette nébuleuse la plus proche, que nous appelons IAGAIAAOO UO car elle fut la première détectée, avait à son bord toute une série d’instruments pour son étude et son exploration. Ainsi, nous pûmes découvrir une des plus fascinantes caractéristiques de ces nébuleuses.
Les équipements d’étude de température révélèrent un phénomène qui laissa, au début, nos scientifiques perplexes. Ils révélèrent que la température au sein de nébuleuse était de -270° C (270° en dessous de zéro selon l’échelle centigrade terrestre) c’est à dire un peu supérieure à trois degrés Kelvin . Durant 0.7 XEE (un XEE équivalent à 0.21 an terrestre, (Ndt: 76,65 jours)) cette température demeura constante . Mais, subitement elle subit un brusque abaissement, arrivant à atteindre 273,14 ° C en dessous de zéro . C’est à dire deux dixièmes au dessus de ce que vous appelez le zéro absolu.
Cette énigme demeura longtemps sans réponse. Sous une forme apériodique se produisaient ces violentes altérations de la température du noyau gazeux. Mais, nos chercheurs furent surpris en constatant qu’il existait un indice significatif de corrélation entre cette baisse thermique et l’apparition ultérieure de plis dans l’espace tridimensionnel provoquée par l’autre UUWAAM . Malheureusement l’intervalle qui séparait ces deux moments (baisse thermique et plissement tétradimensionnel) souffrait d’une latitude considérable, de 0,4 XEE (31 jours) à 3,3 XEE (253 jours). Ainsi, une fois observée la chute de température, on pouvait prédire dans « un futur proche », des conditions ISODYNAMIQUES dans l’espace très favorables pour des voyages galactiques déterminés, mais avec des marges d’erreur dans le temps aussi larges que nous venons de vous l’indiquer.
Précisément en ce moment (document écrit en 1967, NDR) nous, les frères qui sommes sur Terre, espérons une phase de plissement favorable durant laquelle un de nos vaisseaux se déplacera jusqu’en Espagne, un autre en Amérique du Sud et enfin un troisième en Australie ou aussi en Amérique du Sud . L’intervalle d’erreur s’étend jusqu’au 6 ou 7 Juin 1967. Ce phénomène que l’on ne peut observer que dans ce type de nébuleuses constitue pour nous, malgré son extrême imprécision, l’unique forme scientifique d’estimation ou de prédiction des possibilités de nos voyages.
Nous allons maintenant vous révéler le procédé technique que nous utilisons pour mesurer l’instant où se produit cette chute de température. Cet appareil, que vous pouvez construire avec des moyens techniques qui sont à votre portée, constitue un véritable thermomètre capable d’enregistrer la moindre altération du champ des températures proches du zéro absolu.
(S63-f2)
Nous utilisons une petite barre cylindrique de TANTALE. Ce métal que vous connaissez a la propriété de devenir supraconducteur à une température, exprimée en Kelvin, de 4,4° K. Si vous ne connaissez pas la propriété de SUPRACONDUCTIVITÉ, vous pouvez vous documenter dans n’importe quel traité d’électrotechnique : certains métaux, qui à température ordinaire présentent une certaine résistance au passage du courant électrique, présentent une chute de celle-ci près du ZÉRO ABSOLU, perdant brusquement leur résistance. Le courant circule sans obstacle de sorte que dans un anneau de ces métaux (tantale, plomb, nibium, aluminium, etc) peut se maintenir des années une circulation perpétuelle du courant en son sein. Merveilleuse expérience que tous les Terrestres doivent connaître qui fut découverte par vos physiciens il y a de nombreuses années. Vous avez la preuve au laboratoire. Soumettez une barre de TANTALE à une basse température. Une fois atteint l’état de supraconductivité elle devient un AIMANT. Le galvanomètre accuse brusquement une baisse de courant. Le TANTALE a récupéré sa RÉSISTANCE et se transforme en conducteur normal avec sa RÉSISTIVITÉ caractéristique. C’est-à-dire : au sein du champ magnétique le métal perd sa SUPRACONDUCTIVITÉ. Si nous cherchons de nouveau à avoir une résistance nulle nous devons de nouveau abaisser la TEMPÉRATURE approchant plus l’ÉTAT D’ENTROPIE MINIMALE appelé par vous ZÉRO ABSOLU.
Maintenant vous pourrez comprendre Monsieur Garrido le comportement de notre dispositif. La barrette de TANTALE est entourée par un filament (S63-s1) et enfermée dans une enceinte ISOTHERME. A travers ce bobinage circule un fort courant capable de créer un CHAMP MAGNÉTIQUE de quelques 500 œrsteds. D’une part le TANTALE au travers duquel circule un courant électrique est maintenu à l’intérieur d’une capsule cylindrique non isolante qui contient de l’HYDROGÈNE SOLIDIFIÉ à la température de 3,5 degrés KELVIN c’est-à-dire quelques 3,66 degrés au dessus du zéro absolu. Dans ces conditions LE TANTALE EST UN CONDUCTEUR NORMAL débitant un fort champ magnétique. Mais si dans le milieu ambiant la température s’abaisse de nouveau jusqu’à ce que cet état soit inférieur à trois degrés kelvin, LE TANTALE DEVIENT UN CONDUCTEUR où circule un fort courant électrique et on enregistre aussi l’échange thermique.
Ce THERMOMÈTRE cependant a quelque chose d’antique. A partir de dispositifs macrophysiques nous évaluons la température au moyen d’un contrôle moléculaire au sein d’un cristal de chlorure de cérium.
Ces Nébuleuses comme on dit constituent de véritables organes qui entrent en RÉSONANCE syntonisante avec les premiers symptômes de torsion spatiale. Votre frère, M. Sesma Manzano a reçu à des dates passées une série de rapports dans lesquels nous décrivons ce phénomène cosmique. Dans un entretien téléphonique avec lui nous demandions que tous ces rapports soient à la disposition des Scientifiques et du restant des humains de votre planète, nonobstant qu’il conserve les originaux. Ils peuvent se renseigner avec ces rapports bien que leur rédaction soit réalisé sur un mode de vulgarisation.
Comment ces Nébuleuses sont-elles capables d’être sensibles à un phénomène qui affecte rien moins que la trame de l’espace pluridimensionnel ? Dans un prochain rapport nous apporterons plus d’informations sur ce problème. Il nous reste seulement à vous exhorter maintenant à ce que les Spécialistes en astrophysique prêtent une attention spécialissime à ces nébuleuses qui, bien que petites dans la grande échelle de notre cosmos et d’impossible localisation par vos Instruments Optiques et Radiotélescopiques actuels sur Terre, ne tarderont pas à être localisées par vous.
Bien que vous ne soupçonniez pas sa transcendance nous félicitons les scientifiques nord-américains des départements photographiques de la NASA qui dans leurs laboratoires ont réussi à mettre au point une ÉMULSION SENSIBLE PHOTOGRAPHIQUE qui peut être considérée VÉRITABLEMENT ORTHOPHOTIQUE (ndt: « ortofoticas ») DE GRANDE LATITUDE (car la majorité des émulsions ne sont pas vraiment orthophotiques mais anorthophotiques). Ce terme s’emploie en sensitométrie pour spécifier l’inconstance de la valeur gamma ou pente caractéristique d’une émulsion. En effet, nous attirons l’attention des spécialistes de technique photographique de la Terre sur l’EXPRESSION INCORRECTE « ÉMULSION », puisque les physiciens définissent comme émulsion une suspension liquide dans n’importe quel milieu chimique. Cas qui ne correspond pas à une suspension de granules d’halogénures d’argent en gélatine.
Bien. La découverte de cette « émulsion » facilitera dans un futur pro (Ndt: Cette page se termine ainsi. Il manque donc une ou des lignes ou pages )
D66
- DIONISIO GARRIDO BUENDIA
CONFIDENTIEL
MONSIEUR,
Il conviendrait que le rapport semi-technique ci-joint soit donné et connu par vos frères intéressés, qu’ils le lisent en entier avec le risque que, faute de formation en électronique, il soit aride ou inintelligible.
On éviterait ainsi de fausses interprétations d’égoïsme personne, le soupçon que vous désiriez exploiter seul l’idée.
Pourtant il convient d’arriver au paragraphe où on s’interroge sur la possibilité que se trouvent sur cette planète des appareils capables de reproduire les sons sans organes mobiles. Les frères réfléchiront à ce point particulier avant de poursuivre la lecture.
Si quelque frère répond affirmativement, il devra donner un témoignage sur le système suivi pour le comparer avec celui que nous proposons.
Nous vous conseillons instamment D’INVITER à la LECTURE n’importe quel frère INGÉNIEUR EN ÉLECTRONIQUE ou au moins TECHNICIEN EN LA MATIÈRE pour qu’il exprime objectivement son point de vue. |
Nous répétons que dans notre rapport, nous avons voulu développer totalement le circuit et les autres caractéristiques de l’APPAREIL et non pas seulement l’idée. De façon que les circuits reflétés dans ces graphiques ne soient pas seulement évaluateurs et indicatifs puisque son développement réel serai facilement soluble pour les experts terrestres. Il serait riducule que nous vous aidions dans des techniques parfaitement connues par les Terrestres.
De là que nous ne pouvons pas dénommer TECHNIQUE le rapport. Nous insistons : vous pouvez fabriquer les composants de l’appareil.
Le plus spécial : c’est le tube de rayons cathodiques qui comme vous a été conçu seulement pour cette finalité parce qu’il n’existe sur le marché terrestre aucun qui satisfasse à ces caractéristiques. Vous devez vous projeter soigneusement sur l’idée que nous vous avons apporté.
Dicté au dactylographe
DA 3 fils de EYEA 502
UMMOAELEWE
Nombre de copies: 1
Langue ESPAGNOL
Dionisio Garrido Buendia
ESPAGNE
Monsieur,
Souvent les hommes de la Terre avec qui nous sommes en contact, posent invariablement la même question :
Si vous êtes si en avance techniquement : pourquoi vous ne nous donnez pas une fraction de votre « science »… ?
Je crois que dans des documents antérieurs envoyés à Fernando Sesma Manzano, nous avons fournis des arguments sérieux qui sont évidents pour un quelconque esprit équilibré.
En voici quelques uns:
– si nous vous envoyons des documents techniques de nos équipements actuels, vous seriez incapables de les interpréter avec le niveau physico-mathématique que vous avez aujourd’hui.
– si nous essayons de vous remettre des documents dont le développement mathématique est à la frontière de votre connaissance scientifique (des experts terrestres), vous n’allez pas croire à l’authenticité de leur origine et vous n’allez même pas daigner les analyser quand nous les avalisons de notre témoignage surprenant (pour eux).
– si nous envoyons ces même documents à des hommes peu préparés, logiquement ils vont être incapables de les juger à leur valeur même si les symboles algorithmiques sont connus des mathématiciens terrestres.
– si on veut un peu compléter la question, nous devons filtrer soigneusement nos documents pour éviter de vous communiquer tout ce qui, directement ou indirectement, pourrait porter préjudice au rythme de votre progrès.
Cependant, quelques fois, nous recourrons à une solution intermédiaire. Avec un langage « semi-technique », accessible à des personnes d’un certain niveau technique ou intellectuel, nous apportons des idées que vous pouvez développer en utilisant LES MOYENS ACTUELS DE LA SCIENCE TERRESTRE.
Par exemple, la description d’un récepteur d’ondes GRAVITATIONNELLES ne vous servira à rien si vous ignorez la technique de GIIUULOO (modulation) de ces fréquences, et si vous ne disposez pas des accessoires pour son développement.
Aujourd’hui nous avons voulu vous donner une de ces idées : pendant l’exploration de cette planète, notre attention fut fortement attirée par le fait que tous les appareils utilisés pour l’enregistrement et le contrôle du son (magnétophones, tourne disques, systèmes optiques mécanographiques, thermoplastiques etc, ) ont besoin d’organes mécaniques MOBILES et de moteurs pour leur fonctionnement.
Nous avons accepté de communiquer à Mr Sesma Manzano que nous, nous utilisions des anciens appareils dont la technique, avec de petites variations sans importance, pourrait être utilisée par les Terriens.
Bien que nous ne soyons pas très optimistes sur l’utilisation que vous allez faire du système (nous avons remis des douzaines de documents semblables en suggérant des utilisations intéressantes, mais dès que l’on savait leur origine: un groupe d’homme originaires d’une autre planète, ils finissaient dans les corbeilles à papiers), nous faisons encore un essai.
Nous vous offrons l’essentiel de l’Idée. Nous avons bien vérifié que les accessoires nécessaires sont déjà sur le Marché terrestre ou qu’il peuvent être construits comme le tube cathodique spécial, en utilisant des techniques déjà connues sur cette Planète. Sinon notre description serait stérile . |
Nous avons essayé de synthétiser le plus possible l’idée . Si nous l’avions offert à des laboratoires d’électronique, nous aurions été plus consciencieux dans la description technique . Mais, nous n’avons pas l’habitude de traiter avec les groupes financiers de la Terre qui sont en train de maintenir sur cette planète des structures économico-sociales injustes et criminelles à leur seul profit . Si quelqu’un doit profiter de cette idée, autant que ce soit des hommes simples comme vous. Cherchez des conseils et si une telle réalisation n’est pas viable, nous vous en enverrons d’autres.
(Ndt: Cette partie en rouge qui suit corresponds aux pages III-I-200 et 201 d’Aguirre. Nous n’avons pu leur donner une référence « T »)
CONFIDENTIEL
Nous aurions aimé offrir à vous et à vos frères, une idée technique dont il nous a semblé observer qu’elle n’a pas été réalisée sur la Terre (à tout le moins nous ne connaissons pas de tels appareils). Pour vous en assurer, procurez-vous l’assistance à votre réunion de communauté un ingénieur ou un technicien en électronique quelconque. Et invitez-le à exprimer son opinion. Le sieur Garrido Buendia recevra plus d’informations à ce sujet. Entrez en contact avec lui.
Dans la petite étude que nous vous remettons nous ébauchons ce que pourrait être pour vous un nouveau système différent des magnétophones, reproducteurs sur disques, systèmes optiques et thermoplastiques d’enregistrement du son.
INFORMATION ACCESSOIRE
Au long de notre histoire nous avons utilisé diverses méthodes d’enregistrement et de reproduction de l’IXINAA (fréquences audibles ou son). Avant que soient utilisés les équipements modernes qui mémorisent les voix, la musique, les différents sons et l’information codée à petits cristaux de DIIO (TITANE)
Un de ces appareils se nomme IBOTZOOIXINAA. Un faisceau lumineux parcourt un tracé en AUAIIAUDOO (SPIRALE) dans lequel le son s’inscrit par un procédé optique.
Il nous est arrivé de nous inspirer de ce vieil appareil pour transmettre une idée de ce que pourrait être un appareil de reproduction du son qui pour vous cette fois serait très nouveau. Comme vous-même, M. Sesma Manzano n’êtes pas spécialisé en technologie, nous les remettons à D. Dionisio Garrido Buendia à qui nous sommes uni par l’amitié. Prenez contact avec votre frère.
TECHNIQUES UTILISÉES AUJOURD’HUI SUR TERRE
Les systèmes d’enregistrement du son utilisés sur Terre sont de genres très différents. L’enregistrement s’effectue par des principes et des techniques diverses. En résumé vous captez les fréquences acoustiques au moyen d’un transducteur qui convertit les faibles pression, exercées sur une membrane, en variations de tension électriques. Surgit ainsi une variété extraordinaire de microphones (magnétiques, dynamiques, de capacité, de polarisation diélectrique, de carbone, etc) … Ces faibles fréquences électriques – plus ou moins distordues – sont amplifiées par des circuits électroniques (à valvules ou à transistors) jusqu’à arriver au véritable équipement d’ENREGISTREMENT ou de GRAVURE: une valvule ou TRANSISTOR (ou bien un couple pour les circuits push-pull) fournit une puissance suffisante pour le nouveau transducteur.
Quels sont les transducteurs ou équipements d’enregistrement utilisés aujourd’hui sur Terre? Nous allons faire un résumé.
ENREGISTREMENT DYNAMIQUE SUR DISQUE:
L’enregistrement se fait sur des disques de VINYLE ou d’autres substances plastiques, au moyen d’un sillon sinueux qui s’inscrit sur leur surface, en trajectoire spirale (DISQUES MICROSILLONS).
ENREGISTREMENT OPTIQUE:
Se fait sur les rubans cinématographiques le long d’une bande marginale adaptée à cet effet. Les sons se traduisent ainsi en une gamme d’opacités susceptibles d’être postérieurement reproduites à l’aide d’une cellule photo-électrique.
ENREGISTREMENT MAGNÉTIQUE:
L’enregistrement se fait sur une bande plastique sur laquelle on a déposé une suspension de composés ferriques. La magnétisation de ces petits dipôles reflète avec une certaine exactitude les fréquences acoustiques. On utilise des bandes standard pour magnétophones, des bandes sur film cinématographique, des bandes pour magnétoscopes, des disques et cylindres pour ordinateurs et des anciens fils ferriques aujourd’hui démodés.
AUTRES TYPES D’ENREGISTREMENT:
On a utilisé aussi des bandes perforées ou des bandes imprimées optiques par réflexion (à l’inverse des optiques normales en « moule ») et les modernes enregistrements thermoplastiques . Nous ne devons pas inclure les cylindres et disques pourvus de dents ou protubérances utilisées dans les boîtes à musiques (maintenant anachroniques).
Mais ce qui nous surprend, c’est précisément la caractéristique commune de TOUS ces systèmes pour l’enregistrement de la voix et de la musique.
TOUS, sans exception, NÉCESSITENT des organes mécaniques mobiles.
TOUS exigent l’utilisation d’un moteur (électronique ou à ressort) pour leur fonctionnement :
– Dans certains cas : comme l’enregistrement des DISQUES, il requièrent une rotation à vitesse constante.
– L’entraînement de la bande magnétique, bande thermoplastique ou film cinématographique, exige divers mécanismes complexes et le moteur correspondant.
Mais, vous connaissez les graves inconvénients de tout système mécanique sur celui purement ÉLECTRONIQUE :
– pertes par FROTTEMENT
– usures dues à la FRICTION
– INERTIE EXCESSIVE pour les MASSES mises en jeu.
Avant de continuer, nous aimerions vous demander s’il existe un système terrestre capable d’enregistrer et reproduire des sons (PHONIE, MUSIQUE, CODES) au moyen d’un équipement TOTALEMENT ÉLECTRONIQUE, TOTALEMENT exempt de tout organe mécanique et de moteur. Comme nous n’en connaissons pas, nous sommes peut-être en train de vous orienter d’une manière aberrante, auquel cas le système que nous préconisons est peut-être inutile. Mais sinon il présente le grand avantage d’être réalisable avec la TECHNIQUE TERRESTRE ACTUELLE (DEMANDEZ A VOS FRÈRES) (écrit à la main N.D.T).
L’idée que nous allons vous présenter est inspirée de nos très anciens IBOTZOOIXINAA dont un élément essentiel ressemble vaguement aux actuels rayons cathodiques utilisés par vous. Nous ne voulons pas allonger le document en les décrivant, car les différences de TECHNIQUES ne vous permettent pas de les réaliser. Cependant nous pensons qu’en remplaçant ses composants par d’autres de la TERRE, le résultat et le fonctionnement seront similaires.
Nous allons vous décrire deux projets : nous essayerons de résumer l’idée essentielle de ces deux équipements car n’importe quel ingénieur ou technicien spécialisé pourra résoudre facilement les problèmes posés par certains accessoires ( cellule photo électrique, amplificateurs électroniques, format du tube cathodique, etc, etc..) ..
PROJET DE L’APPAREIL ENREGISTREUR DE SONS (gravure)
Il requiert le concept d’un tube cathodique qui réunisse les conditions exigées pour le projet. La modulation du faisceau électronique se réalisera bien au moyen de la grille (Wehnelt) ou par des anodes. La condition indispensable ( vous pouvez le supposer), est que le spot (IBOZOO) sur l’écran fluorescent doit être du plus petit possible, annulant ainsi tout effet secondaire de radiation. Par exemple, l’appareil serait irréalisable si vous ne ne pouviez pas neutraliser grâce à des « pièges ioniques » ce que vous appelez TACHES IONIQUES (mais selon mais selon nos renseignements vous savez déjà le faire).
L’IBOZOO (spot ou POINT) doit être de diamètre constant. Seule son intensité pourra varier entre zéro et la valeur limite.
La déflexion du faisceau peut être réalisée grâce à des plaques déflectrices électrostatiques et par commodité de description, nous allons le faire de cette manière. En pratique, il faudra remplacer cette déflexion par une autre qui sera électromagnétique, en utilisant des jougs (? N.D.T: jugos) qui ressemblent aux tubes à images pour télévision.
La finesse du spot exigera naturellement que vous fassiez une étude préalable de ce que vous appelez « phosphore » de l’écran, ou substance fluorescente adaptée, dont le calibre du grain doit s’adapter à ces exigences.
La mise au point du faisceau cathodique doit être plus exacte que celle obtenue par les tubes à images ou par les oscilloscopes d’analyse que vous utilisez. Mais ces problèmes secondaires qui peuvent être résolus par vos techniciens ne doivent pas nous écarter de notre objectif primordial.
ENREGISTREMENT OPTIQUE
Si vous analysez le système, vous observerez qu’il utilise trois principes de base combinés dans l’appareil.
(1) Un enregistrement optique : au moyen d’une image gravée sur une plaque photographique normale (base plastique et émulsion de sels d’argent) qui doit être révélée pour sa reproduction ultérieure, en utilisant des émulsions réversibles (si on le désire directement) ou négative pour obtenir des copies.
(2) Un balayage d’image que nous jugeons devoir être spiral.
(3) La plaque photographique est immobile, à l’inverse de l’enregistrement optique de pellicules cinématographiques. C’est le faisceau cathodique (d’inertie quasi nulle) et non un organe mécanique qui réalise l’enregistrement (image 1)
(Image 1 / S66-f1)
DESCRIPTION DE L’ÉQUIPEMENT
Vous pouvez parfaitement distinguer trois parties dans l’appareil:
– un circuit amplificateur : les caractéristiques de ce circuit électronique sont semblables à celles de vos CIRCUITS AMPLIFICATEURS DE VIDÉO . Dans le graphique (IMAGE 1) nous avons signalé l’un d’eux, sans en spécifier les valeurs. Vous pouvez utiliser indifféremment des transistors ou des valves. Nous acceptons aussi que ne soit pas indispensable un amplificateur dont la fidélité de réponse s’étende à une si grande marge de fréquences (de 10 cycles à 4 Mégacycles) car dans la pratique cette marge se réduira seulement aux fréquences audibles dont les harmoniques les plus élevées ne dépassent pas les 25000 cycles/seconde.
Il n’est pas nécessaire d’avoir une absence totale de distorsion de phase car l’ouïe de l’OEMII (corps humain) est peu sensible à une telle anomalie. ((S66-s1) ) Il y a un préamplificateur microphonique dont les caractéristiques seront fonction du transducteur phonoélectrique (MICROPHONE) utilisé par l’appareil.
CIRCUIT DE BALAYAGE
De la même manière que vous utilisez en télévision, pour la déflexion du faisceau cathodique, des circuits générateurs d’onde en forme de « dent de scie », comme vous les appelez, il faudrait que le balayage de l’écran ne soit pas réalisé par un double tracé de ce système, mais plutôt par une trajectoire AUAIIAUOO (appelé sur Terre; spirale d’Archimède).
Vous avez déjà conçu plusieurs circuits oscillateurs qui utilisent deux paires de bobines déflectrices ou plaques déflectrices donnant un trait de balayage spiral.
Nous vous suggérons le procédé suivant, qui simplifiera l’obtention du balayage spiral.
(image 2 / S66-f2)
Les plaques déflectrices (de gauche) image n° 2, signalées par la lettre A, sont affectées par les générateurs « D » et « Z » capables d’administrer une fréquence de la forme :
générateur « D » : => Vy = Vo Sin( t)
générateur « E » : => Vx = Vo Sin ( t + M/2)
(image 3 / S66-f3)
Dans ces conditions, l’IBOZOO (spot) décrira un tracé parfaitement circulaire (image 3) . Si le générateur F est capable d’osciller en fournissant une fréquence en « dent de scie » (image n°4) en supposant nulle l’action de D et de E le tracé sera droit (radial)(image 5)
(image 4/ S66-f4)
(image 5/ S66-f5)
(Observez que la déflexion est obtenue au moyen d’une électrode axiale et d’une plaque déflectrice de forme tronconique).
En combinant les trois fréquences et en graduant la dernière citée en fonction du pas de la spirale désiré (celui-ci doit être très petit si l’on désire un enregistrement de longue durée; (de l’ordre de 0,001 mm) (ndt: manuscrit).
(image 6 / S66-f6)
Nous obtiendrons ainsi un tracé spiral (image 6) (en réalité l’image dessinée exagère le pas réel qui devrait être de quelques douzaines de microns terrestres).
Voilà donc, la description de cet équipement; le fonctionnement est simple à comprendre et il est plus facile encore si vous imaginez un disque microsillon sur lequel vous remplacez L’AIGUILLE de grande masse ou inertie, par une autre « aiguille d’électrons » (faisceau cathodique) qui n’a pas besoin de moteur pour défiler à grande vitesse.
Le microphone capte les sons qui sont amplifiés pour « attaquer » la grille WEHNELT du tube cathodique. Les variations d »intensité sonore se traduisent ainsi en variations d’intensité électronique du faisceau . Le spot lumineux va glissant sur sa spirale pendant que varie le rythme de sa brillance ( N.D.T: une flèche relie ce mot au cadran de l’image 7 ). On obtient ainsi sur la plaque UULIXINAA (plaque photographique pour l’enregistrement du son) un tracé spiral qui, après le processus normal de révélation (il est nécessaire d’utiliser une émulsion photographique de grain fin et de sensitométrie adéquate), présenterait un aspect que nous dessinons dans l’image 7. Tracé qui vous rappelera l’aspect de la bande sonore d’un film cinématographique commercial.
(image 7 / S66-f7 )
Pour éviter des distorsions dans l’enregistrement et reproduction, le support photographique doit être rigide ou au moins pourvu d’un cadre protecteur qui empêche tout effet aberrant dû au gondolement de la pellicule.
DESCRIPTION DE L’APPAREIL POUR LA REPRODUCTION (AUDITION DU SON)
Le même équipement peut-être utilisé pour la reproduction . Nous schématisons l’appareil dans l’image 8.
(image 8 / S66-f8)
La grille Wehnelt ou de contrôle ne sera pas soumise à des variations de tensions comme dans le processus d’enregistrement . Ceci signifie que l’ IBOZOO (spot ou point) maintiendra un régime constant rigoureux, sa brillance glissant aussi sur une trajectoire spirale aux caractéristiques décrites dans les paragraphes précédent, car le régime des signaux engendrés par les oscillateurs de DÉFLEXION n’auront pas variés (CONSTANCE DE FRÉQUENCE DE BALAYAGE ET DE TENSION MAX).
Si maintenant nous intercalons l’UULIXINAA (plaque optico-phonique) entre l’écran du tube cathodique et le disque de même diamètre dessiné dans l’image 8, composé par une CELLULE PHOTO-ÉLECTRIQUE ou PHOTORÉSISTANTE, celle-ci recueillera le spot lumineux à travers de la piste optique gravée en traduisant la gamme d’opacité de celle-ci en signaux électriques qui seront AMPLIFIÉS par un circuit transistorisé et diffusés par le haut-parleur.
Pour mieux le comprendre, imaginez le processus de reproduction par une cellule cinématographique (image 9).
(image 9 / S66-f9)
Ici la lampe excitatrice a été remplacée (image 10) par le faisceau cathodique, et la valve détectrice photovoltaïque par une cellule photoélectrique.
image 10 – (S66-f10)
D67
UMMOAELEWE
LANGUE : ESPAGNOL
Adressée à Dionisio Garrido
MADRID – ESPAGNE
Monsieur Dionisio Garrido,
Mon premier désir repose sur l’expression de mes plus cordiaux saluts à vous, à votre honorable épouse, à vos enfants, spécialement au plus cher, que nous savons déjà rétabli de sa douleur circulatoire, et à vos frères attentifs à l’analyse de notre information offerte jadis par ces expéditionnaires qui les écrivent.
Monsieur : de mes frères non présents j’ai obtenu aujourd’hui ce flux informatif vous concernant. Je me considèrerais heureux de vous connaitre personnellement ou au moins en maintenant quelque conversation cordiale par le biais du circuit téléphonique. Des raisons de discipline de groupe m’en empêchent, mais je garde sauf mon désir sincère que le cher pont spirituel avec notre peuple ne se déchire jamais.
Bien qu’ils ne soient plus sur Terre, je pressent que mes frères AXOO trois engendré par AGUU vingt-huit, DAA trois engendré par EIEA cinq cent deux , DEI nonante-huit engendré par DEI nonante sept, seraient heureux de partager ce trait d’alliance symbolique.
Mon désir préalable est de m’excuser devant vous de continuer à maintenir un contrôle particulier sur certains aspects de votre intimité sacrée. L’occulter serait ignoble. Seuls les arguments éthiques impliqués par notre propre sécurité avalisent notre conduite. Mais si votre conscience vous cause ou cause de ce fait à vos frères un certain degré d’inquiétude, je m’empresse de vous informer que cette surveillance ne servira jamais à vous provoquer des préjudices et que ses limites se profilent seulement sur ce qui nous concerne en particulier.
Par ces moyens techniques de surveillance nous avons suivi le cours de vos activités pendant l’intervalle de ces cent jours et nous savons de vos alliances avec vos frères de la ville de Barcelone, nous avons enregistré certaines de vos conversations et nous connaissons les dialogues entretenus par les habitants de cette ville vis-à-vis de vous et de nous.
Je désire vous révéler quelques-unes des raisons d’abstention dans la toile de nos relations mutuelles. Si dans les années où nous établissions des liens oraux et écrits avec des citoyens de la noble nation Espagne mes frères s’interdirent de se connecter avec ces frères de Barcelone, ce fait ne doit pas être interprété comme un symptôme de sous-estimation mais par la crainte que ces liens avec un groupe spécialisé puissent canaliser dangereusement pour nous une information digne de foi sur notre existence, provenant autant des classes macrosociales que des départements gouvernementaux à qui d’autre part nous gardons notre profond respect.
Vous pressentez parfaitement la situation d’équilibre instable que souffre n’importe quel type des relations avec les membres du réseau social terrestre (humanité de la Terre).
Jusqu’à présent, notre technique, simple et improvisée, a consisté à demander aux hommes et aux femmes, avec lesquels nous avons établi des ponts ou rameaux de flux informatif, qu’ils gardent une réserve prudente, les priant avec fermeté d’éviter de se lier entre eux même pour échanger documentation et opinions, adoptant des attitudes d’anonymat par autodiscipline, et toute tendance qui puisse devenir une prise de conscience publique embryonnaire ou l’état de l’opinion sociale sur nous.
Seulement dans des cas isolés, et vous monsieur Dionisio Garrido furent témoins d’une preuve, mes frères se risquèrent, après un contrôle rigoureux préalable, à tenter l’expérience avec de petits groupes sociaux encadrés dans des domaines culturels distincts (scientifique, profane, religieux, et politique) chez diverses nations de cet astre solidifié.
Mais considérez que nous ne devons pas exercer une pression matérielle ni même morale sur vous empêchant que se rompent ces barrières de réserve mentale et la discrétion de sécurité qui sert seulement notre stratégie de défense personnelle.
De cette façon, certains de vos frères échappés à notre surveillance peuvent faire tort à notre mission pacifique d’étude dans ce qu’elle a de plus profond, quoique sans chercher consciemment à nous nuire.
Ainsi il est arrivé avec d’anciens collaborateurs de mes frères, animés par l’enthousiasme et leurs mécanismes mentaux obnubilés par cette réaction affective sans doute bien intentionnée, oublièrent les normes de protection minutieuses et divulguèrent, les ayant offertes ingénument dans le cadre d’une correspondance privée et incontrôlée, des éléments qui peuvent faciliter leur identification.
Maintenant vous comprendrez que nous poussions à l’extrême une surveillance dont la praxis est seulement orientée vers notre propre autodéfense.
Pour cela je me vois obligé d’invoquer votre honorabilité et, sans le moindre désir d’exercer un quelconque type de pression, quelle que soit votre attitude future, je vous supplie humblement de respecter, vous et vos frères, l’unique désir que nous avons exprimé en échange de notre flux informatif : le respect de l’incognito de nos assistants et autres frères terrestres qui ont maintenu ou maintiennent avec nous les liens des documents, bien que sachant qu’une telle inviolabilité soustrait les arguments en faveur de notre existence qu’en aucun cas il nous importe de corroborer par la présente.
Si vous sollicitez mon opinion sur votre conduite à suivre par vous avec les frères avec qui j’ai initié des connexions antérieures, je vous indiquerai qu’avant le fait consommé vous mainteniez toujours une prudente expectative sur l’usage à faire de tels documents et que vous partagiez les exhortants compte-rendus en respectant la discrétion et l’incognito. On doit convenir que les priver d’une telle information transgresserait peut-être quelque norme éthique de vie communautaire.
IXEEI quatre généré par OAA douze
sous couvert de
IIOEXOO un, fils de OBEEI soixante-sept
D68
Lettre D68 -1 | T9-40 à 47
UMMOAELEWEE
Nombre de copies : 1
Langue : ESPAGNOL
Monsieur D. Manuel CAMPO
MADRID
NOTRE RÉSEAU SOCIAL.
Monsieur,
Lors de notre dernière conversation téléphonique, vous vous êtes montré très intéréssé par la connaissance des fondements juridiques de notre structure sociale et vous m’avez exposé toute une série de suppositions concernant de supposées « déficiences de base » que vous croyez deviner dans notre système; comme par exemple « D’UN ÉTAT DE DROIT » expression très en vogue parmi les experts terrestres en législation internationale.
Je vais développer notre modèle d’AYUYISAA (ÉTAT ou STRUCTURE POLITIQUE DE NOTRE RÉSEAU SOCIAL) pour essayer de défricher toute une série de malentendus ou d’erreurs d’appréciation.
Je laisse ( pour des impératifs de réduction de texte) sans réponse vos autres questions concernant les régimes pénitentiaires de ceux que vous appelez délinquants contre la sécurité de l’état; ainsi que vos questions sur notre régime d’alimentation, que nous avons déja exposé par ailleurs à d’autres frères de votre planète.
En premier lieu je vous invite à réfléchir avant d’anathémiser une structure sociale, la mettant dans un modèle stéréotypé que vous avez vous même fabriqué mentalement. Pour nier ou affirmer la « légalité » d’un régime politique, il est nécéssaire de se mouvoir à l’intérieur de ces trois suppositions de base :
1 – Les droits fondamentaux et basiques de l’OEMII (homme) sont une chose, LA CONNAISSANCE QU’EN ONT ACTUELLEMENT LES EXPERTS EN PHILOSOPHIE DU DROIT en est une autre. La recherche des philosophes de la Terre est en pleine évolution et de nombreux concepts en sont encore à un stade embryonnaire.
2 – Même si ces postulats juridiques de base ont été appliqués à différents niveaux par des spécialistes d’autres civilisations assises dans autant d’autres OYAA (ASTRES FROIDS) leur formulation présente un polymorphisme énonciatif spécifique à chaque Planète habitée que nous connaissons.
3 – On ne peut considérer antiéthique, ou non conforme avec les formulations juridiques du DROIT NATUREL et même avec un code Moral particulier ou conventionnel, UNE FORME DE GOUVERNEMENT ou un AYUYISAA (ÉTAT) sans préalablement analyser et étudier soigneusement tout son engrenage culturel.
Nous estimons que vous n’avez pas tenu compte spécialement de ce dernier postulat. Et vous vous êtes lancé allègrement à nous juger sans avoir eu l’occasion d’avoir obtenu des faits suffisants pour comprendre notre RÉSEAU SOCIAL complexe.
Sans cette information, vous qui êtes expert en Sciences Sociales et en contact avec les universités américaines plus qu’avec celles de votre pays, vous n’auriez pas du formuler une critique manquant de cohérence.
Voyons notre première accusation : vous nous avez dit par téléphone : « Votre UMMOAELEWE ne semble pas présenter les traits typiques d’un « ÉTAT DE DROIT » comme ceux que nous connaissons sur notre Planète Terre. Je le cataloguerai plutôt comme une Technocratie de caractère Dictatorial ou Totalitaire accentué »…
Monsieur Campo : c’est avec une certaine ironie que nous remarquons qu’un habitant terrestre du pays Espagne accuse de Totalitarisme le régime d’État d’une autre planète. Mais nous allons satisfaire vos objections.
Avant tout nous sommes surpris que vous même, malgré votre formation universitaire acquise dans un pays qui n’est pas le votre, paraissiez ignorer les différentes nuances des trois formes d’ÉTAT DE DROIT analysées par les juristes de la Planète Terre. Il est possible qu’en raison des circonstances spéciales de votre pays, soit censurée la bibliographie de Droit politique qui analyse de telles normes LÉGALES d’État, mais vous, vous avez pu acquérir dans d’autres pays les sources dignes de foi pour vous documenter.
Nous vous rappellerons que les juristes de votre propre astre, distinguent trois modèles de l’ÉTAT DE DROIT.
ÉTAT LIBERAL DE DROIT
ÉTAT SOCIAL DE DROIT
ÉTAT DEMOCRATIQUE DE DROIT ou ÉTAT DE JUSTICE.
Nous croyons donc que vous commettez une grave erreur en utilisant le terme « ÉTAT ORGANIQUE DE DROIT », expression que nous savons inexistante dans la Documentation Juridique internationale. Ceci est logique si vous tenez compte du contresens résultant des deux mots
« ORGANIQUE », « DROIT »,
aussi contradictoires que si vous exprimiez cette connection grammaticale « JOUR NOCTURNE ». Car le terme ORGANIQUE s’applique historiquement et juridiquement à des ÉTATS TOTALITAIRES déterminés (voir notre appendice 2).
Alors que l’attribut de » DROIT » est assigné UNIQUEMENT et EXCLUSIVEMENT aux États qui respectent LES DROITS BASIQUES DE L’HOMME consignés dans la Charte des Nations Unies de la Terre, par le CONCILE DU VATICAN II de l’Église Catholique Romaine, etc… les concepts ou libertés tels que la liberté de penser, droit d’expression, liberté de réunion et d’association etc… (voir appendice n°1); Sans ces conditions un État est considéré illégitime et immoral.
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Alors maintenant: notre AYUYISAA de la planète UMMO est-il un ÉTAT DE DROIT comme vous le définissez, vous les OEMII de la Terre ?
Nous désirons faire une remarque, Monsieur CAMPO, pour vous rappeler les grandes difficultés qui se présentent à nous quand nous essayons d’utiliser les modèles de la Terre en les transposant aux notres.Nous maintenons des contacts avec divers OEMII de la Terre, Théologiens, Physiciens, Biologistes, Juristes, Ingénieurs, Sociologues etc … et nous butons sur de sérieux problèmes de communication : en effet quand il s’agit de traduire par exemple des Unités terrestres de grandeurs physiques, (accélération, reluctance, viscosité etc) … il n’y a pas de difficultés car le facteur de conversion est un simple chiffre suivi de décimales. Ainsi un UDIXAA (unité de charge électrostatique) équivaut à 0,61446 microcoulombs.
De graves obstacles de communication commencent à surgir quand il s’agit d’obtenir des versions en langue française, anglaise, espagnole, etc …de mots utilisés sur UMMO qui sont intraduisibles s’ils ne sont pas accompagnés d’une explication préalable.
Par exemple :
ANNOIUXII OII : sensation voluptueuse que les OEMII de UMMO éprouvent quand ils sont soumis à une accélération (cette sensation est de type érogène).
Mais là où les barrières au libre flux de l’information sont presque infranchissables et rendent plus difficiles la compréhension de notre culture, c’est dans le domaine de la LOGIQUE ( nous utilisons deux types de logique : une divalente comme la terrestre et une autre tétravalente). ( Voir notre appendice n°3). Ceci est grave car à la lumière de la logique tétravalente, des postulats valablement acquis par le Philosophie du Droit, acquièrent de nouvelles dimensions, facètes et même des contradictions apparentes qui vous paraîtrons paradoxales si vous transposiez leurs formulations dans le contexte philosophique familier aux terrestres.
Mais nous n’allons pas exiger que vous étudiez la LOGIQUE TÉTRAVALENTE ni notre PHILOSOPHIE, ni notre JURISPRUDENCE (ainsi que vous la nommez) c’est à dire nos UAA (LOIS).
Nous allons donc jouer le jeu de juger notre propre RÉSEAU SOCIAL à la lumière des principes philosophiques et sociaux, juridiques et éthiques de la Terre, même si c’est aussi injuste que si une entreprise industrielle terrestre était accusée d’utiliser des méthodes coercitives contre la concurrence, c’est-à-dire des pratiques monopolistiques et qu’elle était jugée avec le code législatif de l’ancienne Asie de l’époque d’Assurbanipal.
STRUCTURE DE NOTRE AYUYISAA.
L’OEMII (être humain) de UMMO jouit sur notre planète d’une liberté plus grande que sur n’importe qu’elle Nation de la planète Terre connue par nous.
Dès qu’il est UUGEEYIE (enfant) , il est considéré comme bénéficiaire des droits de base qui DANS LA PRATIQUE sont ÉGAUX POUR TOUS SANS EXCEPTION. C’est seulement quand l’individu transgresse CONSCIEMMENT (et nous avons des moyens efficaces pour différencier les actes compulsifs de ceux qui sont activés par le libre arbitre) SES OBLIGATIONS DE BASE ou le mutuel respect envers ses frères qu’il mérite une sanction et qu’il purge sa transgression en servant docilement la communauté. Nos Lois sont spécialement sévères dans ces cas où sont transgressés les régles de base du RÉSEAU SOCIAL.
Tous les frères de notre planète sont régis par trois organes de Gouvernement suprême dont les pouvoirs atteignent plusieurs niveaux et domaines .
Le UMMOAELEWEE (S68-s1) Groupe composé ordinairement par quatre membres de sexe différent
Le UMMOALEWEEANNI (S68-s2) Groupe formé par 116 GEE YIE comme chiffre maximum.
Le UMMOOEMII (S68-s3) Groupe composé par tous les OEMII (êtres humains) en pleine possession de leurs facultés psychosomatiques.
Il est difficile de vous résumer les degrés d’influence et de compétence de chacun de ces organes de l’AYUYISAA (ÉTAT). Nous avons obtenu jusqu’à maintenant un équilibre serein du réseau social, très stable – même si l’on peut considérer qu’il est encore perfectible – en assignant à chacun d’eux une attribution et des fonctions essentielles.
L’UMMOOEMII
L’UMMOEMII possède la faculté de créer les lois de notre Planète. Périodiquement, chaque groupe de 12 habitants autosélectionnés librement choisit par vote explicite un représentant ( AOUIAOEMII ). A leur tour, 1728 de ceux-ci élisent par vote secret un OUIAOEMII qui a le droit de proposer des projets de création ou de modification de ces UAA (Lois) et de les voter au sein de l’UAAYUBAA
Ce UAAYUBAA est un organisme localisé dans la région de OAROO AAXAA à 3,62 KOAE de la grande colonie de ce nom, située dans l’immense forêt de NAANAA et de OBUANAA (grands arbres inconnus sur Terre, aux feuilles cardioïdes). Tous les OUIAOEM (ndt: fin de ligne, le OEM est peut être coupé à la photocopie) vivent dans les environs avec leurs familiers dans les XAABI (Tours Maisons) qui se distinguent par leur couleur jaune. Au centre d’une vallée se trouve la structure métallique d’un grand édifice hémisphérique.
En réalité vous pouvez comparer nos OUIAOEMII avec vos députés ou représentants parlementaires de la Terre, et un tel rapprochement est plausible car ceux-ci sont aussi des représentants légaux et librement électionnés par l’ AYUYISAA (groupe humain). Mais leurs fonctions et méthodes de travail sont différentes de celles de leurs collègues de la Terre.
L’UAAYUBAA ne ressemble en rien aux classiques salles parlementaires terrestres. Au contraire, il s’agit d’un véritable laboratoire d’études, doté de connections ou équipements terminaux de la XANMOO AYUBAA (réseau d’ordinateurs qui s’étend sur tout UMMO).
Les OUIAOEMII sont de véritables chercheurs qui travaillent à longueur de journée pour l’étude.
Tous les jours ils reçoivent là, en provenance de tout UMMO, des millions de faits de type sociologique sur la conduite de tous les frères de UMMO. Ces faits statistiques sont recueillis par le XANMO AYUBAA, mais ne croyez pas que les frères de UMMO se sentent esclaves jour et nuit d’une espèce d’espionnage mécanique et sans pitié qui enregistre automatiquement toutes leurs réactions, en perturbant leur liberté. Cet enregistrement existe, oui, mais nous nous apercevons qu’il ne nous perturbe pas car le Xanmoo Ayubaa n’enregistre pas les noms des OEMII qu’il analyse parce que ces équipements de calcul comptent seulement les chiffres statistiques globaux (on ne réalise pas d’études par échantillons).
L’anonymat est donc parfait quand à ceux à qui il se réfère. De tels faits sont soigneusement enregistrés et permettent d’apprécier jusqu’à quel point une UAA (LOI) continue à être juste (n’oubliez pas que l’humanité évolue), et qu’elle doit donc être modifiée ou annulée. Mais ces équipements complexes n’apportent que des résultats quantitatifs. Les lois finales et les décisions importantes doivent être adoptées par les spécialistes. Ils présentent parmi de nombreuses solutions possibles celles qui auront un meilleur niveau de viabilité statistique. C’est alors que, parfaitement informés, les OUIAOEMII discutent sérieusement et votent la décision à adopter.
Par exemple :
Il y avait auparavant une UAA (NORME) dans les XEE ( années) 317 de notre temps, en vertu de laquelle les UUYIE (fillettes en phase de puberté) qui n’avaient pas atteint 17 ans terrestres d’âge et qui étaient affectées par leur OAGOOU (période MENSTRUELLE) n’étaient pas obligées de réaliser leurs habituelles tâches scolaires pendant un intervalle avant et après l’EIWOO [Ovulation : phase critique évalué ainsi: de -1270 UIW à +2380 UIW (Ndt: environ 2 jours avant et 4 jours après)], car les études réalisées jusqu’alors montraient les risques susceptibles de provoquer dans le futur de profondes altérations psychiques de type subconscient.
Mais le 317/26604 on adopta la nouvelle UAA en diminuant ces intervalles : -1106 UIW à +1875 UIW ( 1 UIW = 3,092 minutes).
Les faits rapportés de type psychique et physiologique correspondant à toutes les UUYIE (fillettes) de UMMO, montrèrent que la probabilité que se produisent de tels troubles était devenu plus réduite. Et cette UAA a continué à être transformée jusqu’à maintenant. Aujourd’hui on applique ces normes avec des intervalles de temps différents pour chaque enfant en fonction de sa propre personnalité et des circonstances.
Les UAA ( LOIS ) émanant de cet organe (UMMOEMII) doivent être respectées par TOUS les frères de notre UMMO sans exception, même par les quatre chefs suprêmes du UMMOAELEWEE .
Jamais un OEMII ne peut alléguer ignorer la LOI , car quand il a des doutes dans certains cas concrets, il a à sa disposition une connection avec le XANMOO AYUBAA (Réseau d’ordinateurs) qui lui fournit phonétiquement et graphiquement tous les renseignements sur ses droits civils et ses obligations envers l’État.
LE UMMOAELEWEANNI
A 13,6 années (terrestres), chaque enfant de UMMO, sans exception, se soumet à une analyse (la troisième de sa vie) beaucoup plus complète que les précédentes, dans un centre spécial « d’études psychologiques ». On évalue toutes ses facultés, mentales, intellectuelles, mais aussi celles concernant l’affectivité et la structure neuronique . Ce diagonostic n’est pas réalisé avec les méthodes psychométriques habituelles des spécialistes terrestres. Exceptant l’anamnèse prévue à chaque exploration, l’étude est réalisée par l’évaluation d’une série de fonctions biologiques portées par les champs électrostatiques et magnétiques créés par le système nerveux du sujet ( cette méthode a une lointaine ressemblance avec les électro-encéphalogrammes bien connus des neurologues terrestres).
De cette façon on sélectionne un total de 120 enfants dont la UMMOGAIA DO DA ( formule d’identité psychosomatique) présente les traits d’une grande aptitude (vous direz : les individus qui ont le plus grand coefficient intellectuel ou les plus superdoués ou les plus aptes).
Ces enfants, sans discrimination de sexe, sont destinés à un ONAWO WUA (centre ENSEIGNANT) spécial où ils reçoivent une formation adaptée aux fonctions transcendantales qu’ils doivent développer. Il n’y a pas de problème d’inadaptation à ce type d’études car leur sélection fut réalisée précisément par rapport à de telles aptitudes. En plus des hautes études de ces UUAA (Ndt: fin de ligne; peut être UAA) , sociologie, psychobiologie etc…, on leur inculque profondément un esprit particulier de service envers leurs frères de UMMO. Ils arriveront à avoir une grande autorité et ils seront respectés par tous les OEMII de UMMO.
En même temps ils doivent se considérer comme étant au service de ces derniers. Ils savent qu’une simple observation de leur part provoque des réactions prévisibles de soumission de leur entourage, mais il est interdit d’humilier pour le simple plaisir de se sentir obéi. Dans les circonstances habituelles de leur vie, ils doivent accepter au contraire les tâches les plus ingrates et les plus humbles. S’ils n’ont pas assez de forces pour s’adapter à cette situation, ils le confessent modestement et ils sont respectueusement exclus du groupe.
Une fois terminée cette formation, dont la durée n’est pas la même pour tous les membres du groupe, on réalise une nouvelle sélection de quatre membres qui par leurs facultés exceptionnelles vont composer le UMMOAELEWEE comme nous vous l’expliquerons plus loin. Théoriquement, il reste 116 membres qui vont immédiatement former le UMMOAELEWEEANNI
Cette espèce de CONSEIL a deux prérogatives. L’une : OMMOI DOOXOO (vous pourriez le traduire par JUDICIAIRE) et l’autre: veiller à ce que l’équilibre de forces soit maintenu dans le CONSEIL GÉNÉRAL DE UMMO ( les quatre membres du UMMOAELEWEE ) .
Ils veillent à ce que les UAA (LOIS) de UMMO soient respectées, et ils interprètent les transgressions des UAA ( LOIS) en appliquant les sanctions pertinentes.Leur fonction judiciaire présente cependant des particularités différentes de celles du corps juridico-judiciaire comme sur la Planète Terre.
En premier lieu pour se prononcer en accord avec les UAA, ils tiennent compte non seulement du témoignage du frère soumis à leur juridiction, mais aussi des faits apportés par le XANMOO AYUBAA. N’interprétez pas cela comme un jugement du XANMOO AYUBAA. Ce serait tellement monstrueux d’être esclaves des propres créations mécaniques de l’OEMII.
L’aide du XANMOO AYUBAA, quoique beaucoup plus objective, scientifique et avec un degré de précision élevé, peut être comparé à l’aide occasionnelle d’un appareil-photo ou d’un magnétophone devant les Tribnaux terrestres. De telles méthodes sont infiniment plus impartiales et exactes que le témoignage des êtres humains faillibles qui peuvent être polarisés par la haine ou l’affectivité déséquilibrée.
Avant de continuer , Monsieur CAMPO , nous désirons attirer votre attention sur le fait qu’à partir de l’ébauche que nous sommes en train de faire de notre AYUYISAA , vous réussirez à vérifier que ses caractéristiques s’adaptent aux traits fondamentaux d’un état légitime de DROIT.
Il existe le POUVOIR DE LA LOI comme expression de la volonté de tous les êtres humains au-dessus même du plus grand organe de la Nation (le UMMOAELEWEE).
A l’inverse de ce qui est observé dans les États Totalitaires, les pouvoirs LÉGISLATIF, JUDICIAIRE et ÉXECUTIF ne sont pas soumis au même organe de commandement. Dans notre cas ils ont une autonomie totale.
Et quand par la suite nous vous ferons un exposé abrégé de nos Droits de base, vous vous apercevrez que les LIBERTÉS et DROITS FONDAMENTAUX SONT ASSURÉS pour tous les OEMII de UMMO.
Pour cette raison dans l’appendice n°1 nous essaierons d’opposer deux synthèses :
– en premier lieu la déclaration des droits humains acceptés par l’ONU et finalement ratifiés, après des siècles d’intolérance par l’Eglise Catholique de Rome.
– en second lieu notre série d’UAA protectrice de l’OEMII qui, globalement considérée, peut être comparée aux principes terrestres précédents.
Vous oberverez qu’à part certaines particularités, l’analogie est très significative.
(APPENDICE 1)
SYNTHÈSE DE LA DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME (Déclaration Universelle de l’ONU: Convention Européenne : Pacem in Terris: Concile Vatican 2)————- DROIT À LA VIE ET À L’INTÉGRITÉ DE L’HOMME. DROIT À LA LIBERTÉ DE CROYANCE, DROIT À LA MANIFESTATION PUBLIQUE DU CULTE DANS L’ÉGALITÉ DES CONDITIONS. DROIT À LA LIBERTÉ DE RÉUNION ET D’ASSOCIATION. DROIT DE FORMER DES PARTIS POLITIQUES ET SYNDICATS LIBRES. DROIT À LA LIBERTÉ DE RÉSIDENCE ET DE LIBRE CIRCULATION. INVIOLABILITÉ DE LA CORRESPONDANCE. DROIT À OBTENIR UN NIVEAU DE VIE ÉCONOMICO-SOCIAL SUFFISANT. DROIT DE GRÈVE. DROIT AU TRAVAIL. DROIT AUX INSTITUTIONS D’UN ÉTAT LÉGAL DÉMOCRATIQUE. DROIT DE PARTICIPER À DES ÉLECTIONS LIBRES. DROIT DE NE PAS ÊTRE DÉTENU ARBITRAIREMENT ET DE BÉNÉFICIER AU CONTRAIRE DE LA PROTECTION JURIDIQUE ADÉQUATE. ————— Nous n’avons synthétisé que quelques droits qui distinguent un État Totalitaire d’un autre considéré légalement comme ÉTAT DE DROIT, suivant la convention terrestre. Les juristes spécialisés en Droit Politique considèrent ces notes comme preuves objectives pour qualifier l’immoralité et l’illégalité d’une structure sociale terrestre ou pour, au contraire en agréer le degré de légalité. |
SYNTHÈSE DE LA SÉRIE DE UAA PROMULGUEES POUR LA PROTECTION DE L’OEMII SUR LA PLANÈTE UMMO ————–L’OEMMII est libre d’adhérer à n’importe quel critère de Pensée, de Science et de Technologie. La structure physiologique de l’OEMII est inviolable L’OEMII peut intégrer librement tout INNAYUYISAA (Petit RÉSEAU SOCIAL ou GROUPE) L’OEMII est libre d’adopter n’importe quelle fonction active en considérant que son efficacité sera plus réduite s’il n’accepte pas les orientations professionnelles proposées par l’UMMOAELEWEE. L’OEMII peut exiger que l’AYUYISAA (la SOCIÉTÉ ou RÉSEAU SOCIAL) lui fournisse dans n’importe quel cas : XAABI (habitation), UAMII (ALIMENTATION ADÉQUATE), formation en ONAWO WUA (enseignement), AARGIAGOO (PROPHYLAXIE ET ASSISTANCE MÉDICALE), WOAII OO (ASSISTANCE RELIGIEUSE) XANMOO AYUBAA (accessoirement au moyen d’ordinateurs). L’OEMII peut communiquer comme il le veut avec un autre OEMII par voie télépathique, phonique ou par n’importe quel autre moyen physique. L’OEMII est libre d’accéder à toute information au sein de l’ AYUYISAA L’OEMII est libre d’exiger d’un supérieur les raisons de sa conduite et discuter rationnellement ses ordres. Tout OEMII est libre de s’intégrer sans aucune contrainte dans un INNAYUYISAA (petit groupe) dont les membres renoncent consciemment à tous les privilèges de l’OEMII exprimés antérieurement, en acceptant comme raison suprême, pour le bien de l’AYUYISAA (tous les autres frères de UMMO), une discipline rigoureuse et un dévouement total de sa structure physiologique supérieure. Tous les OEMII, en tant que propriétaire d’une partie aliquote de sa planète, peut exiger des organes du Gouvernement, le degré de liberté suffisant pour en profiter. |
(APPENDICE 2) (note du traducteur: Difficile de trouver des renseignements sur cette « théorie organique ». Le texte espagnol utilise le mot « organico » dont la traduction est bien « organique », mais aussi le mot « organicidad » qui ne semble pas plus exister que la traduction que nous lui avons donné d' »organicité ».. Nous aurions pu utiliser « organicisme », français, ou « organiciste », pas français. Mais ce n’est pas trés important, le sens général est trés compréhensible)
Les penseurs politiques de la Terre qui ont élaboré la Théorie Organique (organica) de l’État postulent tous une structure Totalitaire de l’État.
Nous pouvons, Monsieur Campo, vous donner quelques exemples:
Conrado GINI: « Le Néo Organisme » (organicismo) – Catane 1927 – pages 15 à 24
René WORMS: « Organisme et Société » – Paris 1895
Sergio PANUNCIO: « Théorie Générale de l’État Fasciste » – Padoue 1939
Ils considèrent l’État comme un corps ORGANIQUE en établissant une comparaison naïve et antiscientifique avec la Structure Biologique de l’Homme. Ainsi, par exemple, le principe qui anime l’Organisme National est l’ÂME DU PEUPLE. Le système circulatoire est représenté par les communications. Le système nerveux par le réseau de transmissions. Le cœur serait la Bourse du Pays. La Tête serait représentée par le Chef Suprême de l’État (Führer ou Duce). Les bras par l’unique parti légal (en masquant ce mot par une autre dénomination puisque le vocable PARTI répugne à l’État Totalitaire). Le chef de l’État incarne l’esprit du Peuple et par conséquent ses ordres NE PEUVENT PAS ÊTRE discutés.
Le vocable ORGANIQUE apparaît avec profusion dans tous les États autoritaires non socialistes. C’est à dire Racistes ou Fascistes.
Cette conception d’ORGANICITÉ (organicidad) est pourtant incompatible avec les fondements d’un légitime ÉTAT DE DROIT, et c’est pourquoi, M. Campo, nous vous avertissons de l’erreur que vous commettiez dans vos propos.
Comme l’ont exprimé divers Juristes Internationaux Terrestres spécialistes en DROIT POLITIQUE, « la seule expression d’ORGANICITÉ dans un État place celui ci en marge du DROIT NATUREL ». Les citoyens sont alors libres de DÉSOBÉIR à ceux qui s’autodésignent AUTORITÉ, et alors tous les composants des ORGANES EXÉCUTIFS de la NATION deviennent de simples DÉLINQUANTS.
Le défunt Pontife JEAN XXIII dit dans « PACEM IN TERRIS »: « Pour cette raison, ces magistrats qui ne reconnaissent pas les droits de l’Homme ou les approuvent, non seulement faillissent eux même à leurs devoirs, mais aussi ils manquent à L’OBLIGATION qu’eux-mêmes prescrivent ». (Partie 2)
Le CONCILE VATICAN II signale; (La vie dans la communauté politique – paragraphe 75): « Il est de toute façon inhumain que l’Autorité politique prenne des formes Totalitaires ou Dictatoriales qui lèsent les droits fondamentaux de l’Homme ». Et dans le même paragraphe 75: « Il est juste de lutter contre l’injustice et l’oppression, contre l’intolérance et l’absolutisme d’un seul homme et d’un seul parti politique ».
Et AARON (James) dans son traité de DROIT POLITIQUE, page 155 dit: « Tous les États Totalitaires, aussi bien ceux d’orientation marxiste que ceux d’ORGANISATION FASCISTE, disposent de très puissants moyens de propagande en soumettant le peuple à un lent processus de « lavage » de cerveaux ». Les citoyens vont peu à peu insensiblement s’autosuggestionner et croire de bonne foi que ses gouvernants sont des personnes respectables, des héros au service du peuple, quand en réalité leur tête ne se différencie absolument pas de ces gangsters qui dans les années 20 s’approprièrent certains leviers du pouvoir aux États Unis d’Amérique du Nord.
C’est, Monsieur Campo, l’opinion des plus autorisés de vos frères de la Terre. Vous-même, en tant qu’intellectuel, pouvez en déduire les conséquences éventuelles.
Lettre D68-2 | T9-48 à 53
UMMOAELEWEE
Langue: Espagnol
N° de copies: 1
D. Manuel Campo
Madrid
STRUCTURES DE L’UMMOAELEWEE
Dans mon dernier rapport, Monsieur Campo nous avons fait un résumé de la structure de l’UMMOEMII et de UMMOAELEWEANII, nous allons maintenant vous synthétiser les fonctions de l’UMMOAELEWEE (CONSEIL GÉNÉRAL D’UMMO).
Le UMMOAELEWEE est composé par quatre membres au maximum, dans des circonstances normales ce chiffre peut être plus réduit (3 et même 2), mais il existe une UAA qui édicte qu’en aucun cas ce Conseil ne peut être monocratique. En cet instant (très récemment un nouveau changement a été réalisé) le Conseil est formé de trois OEMII. Un GEE (homme) de 28 ans terrestres, une YIE (femme) de 21 ans terrestres et un autre GEE (homme) de 18 ans terrestres.
Deux UAA régulent l’accès à l’UMMOAELEWEE en impliquant des facteurs temporels. La première limite la durée du mandat de chaque membre à une durée maximale de 6,41 ans terrestres. Une fois que cette période est dépassée le membre du Conseil réintègre l’UMMOEMII comme n’importe quel frère, mais sans qu’il ne puisse être réélu comme membre actif d’aucun organe gouvernemental. Le fait d’avoir fait parti du Conseil Suprême ne lui donnera dans le futur aucun genre de prérogative. L’ancien Conseiller mènera ensuite une vie simple, dévoué à sa profession attribuée. Il est clair que généralement les anciens membres occupent des postes d’une relative importance dans le Réseau Social, mais ceci n’est pas étonnant si vous considérez que la capacité intellectuelle de ces OEMII est vraiment exceptionnelle.
L’autre UAA régule l’intervalle d’âge qui rends possible l’intégration de l’OEMII sélectionné dans le Conseil (cette UAA a été modifié très récemment). Aucun membre de l’UMMOAELEWEE ne peut avoir moins de 15,8 ans ni plus de 34,7 ans terrestres. Cette loi a été élaborée en prêtant attention aux spécifications des experts en psychobiologie qui considèrent comme valeur modale dans le rendement psychosomatique de l’OEMII, l’âge de 26,553 années terrestres. C’est à dire que cet âge représente statistiquement un indice maximal de corrélation des capacités maximales intellectuelles et physiques de l’individu de UMMO.
Bien que du point de vue intellectuel, nous tous sur UMMO comprenons que les marges de sélection doivent correspondre à ces âges juvéniles, la vérité est que tous les OEMII se sentent effectivement humiliés de se sentir dirigés par des frères si jeunes. Ce préjugé de type sentimental n’a pas encore pu être déraciné des mentalités des OEMII. Néanmoins les raisons statistiques citées expliquent peut être que le rapprochement spirituel entre l’AYUYISAA (Peuple ou Réseau Social) et nos Gouvernants Suprêmes est parvenu à un niveau satisfaisant.
En général les membres de l’UMMOELEWE se montrent respectueux et affables avec leurs frères subordonnés; ils savent que l’expression de n’importe quel caprice ou désir doit être satisfait par leur entourage. Non parce que ceci serait obligatoire, (ni par flatterie), mais parce que l’esprit de discipline et de service à la communauté est tellement enraciné en nous que d’une manière inconsciente nous identifions nos Supérieurs avec cette communauté.
Les membres de l’ UMMOAELEWEE résident dans quatre XAABI qui ne se différencient en rien des autres similaires sur Ummo. Il s’agit de « tours-maisons » qui peuvent émerger ou pénétrer dans le sol à volonté.
Ces membres cependant ne peuvent vivre avec leurs familles. Leurs parents et leurs frères et sœurs continuent de résider dans leurs lieux habituels, livrés aussi à leurs tâches habituelles souvent assez humbles. Par exemple, le père de UIWAA 4 fils de UIWAA 1, le plus jeune de nos Chefs Suprêmes qui n’a pas atteint les 18 ans terrestres, exerce actuellement les fonctions de perforateur (terrassier) pour planter des arbustes. Le maniement d’un des équipements de contrôle à distance pour ce travail est un des emplois des plus humbles sur notre OYAA.
Très récemment, UIWAA 1 fils de EESAA 38, accompagné de sa femme et d’une de ses filles, a sollicité d’être reçu par son Supérieur Suprême, son fils UIWAA 4. Peu de XII (Jours d’UMMO) après, il reçut l’autorisation de l’ UMMOAELEWEE pour une entrevue avec lui. Chaque membre de l’UMMOAELEWEE reçoit tous les matins dans le DOUIAMOO (espèce de jardin qui entoure l’habitation) les frères qui, de tout UMMO, sollicitent une audience. Notre Supérieur pendant qu’il discutait en se promenant avec un de ses visiteurs, savait qu’à quelques enmoo (Un ENMOO= 1,87) de là attendaient ses parents, qu’il n’avait pas vu depuis plusieurs XEE (un XEE= 0,212 anées terrestres) et qu’avant eux attendaient leur tour deux YIE (femmes) et un autre jeune ménage, ainsi qu’une commission technique. Soudainement le bruit couru que ces modestes personnes qui attendaient étaient les parents et sœur du Chef, et tous d’un commun accord se dirigèrent vers lui et lui assurèrent que cela leur importait peu d’attendre.
UIWAA 4 eut les larmes aux yeux et il eut un geste véritablement surprenant. Il se dirigea vers les frères qui firent cette concession et, les yeux baissés, toucha avec ses deux mains leurs genoux (Note 1).
Note 1 : Sur UMMO le salut habituel consiste à poser les mains sur la poitrine de l’autre frère. Cependant il reste encore entre nous des reliquats de coutumes passés. Par exemple, bien que ca ne soit jamais obligatoire, quant un frère désire exprimer à un Supérieur important sa bonne volonté, il pose ses mains sur la cuisse de son interlocuteur. Réellement un tel geste a des antécédents dégradants, qui se perdent dans les plus anciennes périodes de notre planète. À l’époque des grands OGIIA (Chefs Suprêmes d’UMMO), l’OEMII qui devait exprimer sa soumission appliquait ses mains sur les parties génitales de ses supérieurs, et l’une des prérogatives de ceux ci (des deux sexes) était de pouvoir jouir capricieusement sur le plan érotique avec les personnes soumises.
L’anecdote précédente (ndt: l’attitude de UIWAA 4) peut illustrer peut être à propos du respect mutuel qui existe entre les divers niveaux hiérarchiques de notre AYUYISAA (Réseau Social). L’esprit de service envers le Supérieur n’est pas considéré comme incompatible avec la dignité de l’OEMII. Ainsi il apparaît un bizarre phénomène social qui serait chaque fois mal compris par les terrestres éduqués dans un milieu social différent.
Au point de vue de la loi, de nos normes éthiques, c’est le Supérieur qui doit faire face au devoir de servir humblement ses frères.
Le Supérieur écoute d’abord les raisonnements de ses subordonnés, il doit se faire conseiller au moyen du XANMO AYUBAA et par les conseils des spécialistes. Ensuite il adoptera une décision qui même si elle est erronée et discutée librement par ses frères qui lui sont soumis, doit être observée. Mais en ce qui concerne d’autres questions marginales à cet ordre (décision?), il devra se sentir impulsé pour SERVIR ET ÊTRE UTILE À CEUX CI (ses subordonnés). Dans n’importe quelle circonstance, que ce soit une tâche ingrate et même répugnante, elle doit être affrontée car nos normes éthiques dictent que ce soit le supérieur qui doit s’humilier, magré l’autorité dont il est dépositaire.
Il surgit ainsi une forte tension quand un OEMII subordonné désire librement servir et être humble devant le supérieur, et il ressent une satisfaction affective quant à son tour son attitude de service est acceptée courtoisement (d’autre part le sentiment d’humiliation de se sentir méprisé par le frère situé sur un échelon hiérarchique supérieur est encore plus grand).
Ceci a une explication élémentaire ; nous voyons en nos supérieurs un OEMII structuré physiologiquement en fin de compte comme nous. S’il occupe un niveau supérieur c’est simplement pour des facultés naturelles qui ont été donnés par WOA (Dieu) et ceci ne suppose aucun mérite de sa part … mais nous voyons incarné en lui la société que nous appelons AYUYISAA, et ceci, en plus de supposer un plaisir esthétique et éthique réconfortant, présente de profondes résonances religieuses.
C’est ainsi que dans cette vague lutte pour nous servir mutuellement nous sommes arrivés à un merveilleux équilibre social. Inconsciemment, et aussi faisant suite à une évolution neurocorticale de notre RÉSEAU BIOLOGIQUE, nous avons surmonté les impulsions d’ÉGOISME de caractère régressif qui minent les sociétés primitives et en empêchent leurs progressives évolutions .
Quand les individus à ce stade biologique de la société (les terrestres se trouvent dans une de ces phases naissantes) adoptent des attitudes antigrégaires, antisociales, égoïstes, ils se créent un milieu social d’adversité qui les rend malheureux. Ils se croient « libres » parce qu’ils ne veulent pas se subordonner aux intérêts suprêmes du groupe et le Milieu social les étouffe, puisque les autres pensent de la même manière.
Il nous reste encore des réminiscences ancestrales d’attitudes psychosociales des époques passées que nous n’avons pas dépassées totalement. Ainsi les adultes se sentent honteux quand ils se savent dirigés par un OEMII plus jeune et nous les GEE , malgré le nivellement de droit en vigueur pour les deux sexes, ressentons tous une indéfinissable humiliation quand nous devons nous subordonner à une YIE (femme).
Nous vous informions, Monsieur Campos, que les quatre membres de l’UMMOAELEWEE ont été sélectionnés en fonction de leur capacité mentale élevée. La garantie est ainsi assurée que le Suprême Organe de l’AYUYISAA se voit représentée par les meilleurs cerveaux d’ UMMO. Sur ce point nous n’avons jamais observé une accusation tendancieuse concernant l’un ou l’autre sexe (nous devons vous indiquer que tous vous êtes dans une lamentable erreur quant vous jugez que la YIE (femme) est moins intelligente que l’homme. Ceci est du au fait que vous intégrez vos femmes dans un milieu éducationnel adverse, qui place ce sexe en condition d’infériorité face au mâle).
La fonction de l’ UMMOAELEWEE consiste à planifier et impulser les moyens nécessaires pour que les lois (nous les appelons UAA) soient respectées. Ils contrôlent les organes d’inspections (AGOO) et dirigent l’ UOOAMAII (un genre de police). Leurs fonctions peuvent être comparées à celle du gouvernement de votre planète, avec plus de prérogatives dans certains cas et certaines restrictions qui ne sont pas usuelles dans vos Nations.
Vous pourrez donc conclure correctement que notre UMMOAELEWEE contrôle ce que, en terminologie politique terrestre, reçoit le nom de Pouvoir Exécutif.
L’unique chose qui peut vous surprendre est que théoriquement les limitations de ce pouvoir sont si grandes, que si l’UMMOAELEWEANII ou l’UMOOEMII le souhaite, l’autorité des quatre membres sera purement symbolique.
Dans la pratique ce n’est pas ainsi; la vénération et le respect que nous ressentons tous pour eux nous conduisent à leur permettre d’adopter des décisions les plus graves dans le Gouvernement d’UMMO. Son pouvoir effectif que nous tolérons pourrait être comparé par vous à celui de n’importe quel État Totalitaire, en ce qui concerne l’amplitude d’action. Mais de la façon suivante, on empêche que les membres du UMMOAELEWEE puissent avoir la tentation de juguler leurs frères. Si un tel danger apparaissait, les deux autres puissants Organes de Gouvernement juguleraient instantanément la tentative de tyrannie en les destituant d’une manière foudroyante. La vigilance des 116 membres du UMMOALEWEANNI est si active, qu’aussitôt ils observeraient une décompensation d’autorité entre les quatre chefs (ou entre trois ou deux OEMII du conseil), dans le sens que n’importe lequel influence les autres en les subordonnant à ses critères, pour qu’instantanément soit renouvelé l’UMMOELEWEE.
Vous-mêmes, Monsieur Campo, quand vous interprétiez cette structure comme « TECHNOCRATIQUE » une telle interprétation était d’une part blessante et d’autre part juste. Ce mot peut être flatteur ou insultant, selon les intentions cachées avec lequel il est prononcé ou selon le cadre social ou linguistique dans lequel il est exprimé.
Parce que entre vous les terrestres, et pour les juristes de votre Planète experts en Droit Politique, les interprétations de TECHNOCRATIE sont chargées de résonances TOTALITAIRES. Vous savez très bien que les États Dictatoriaux de la Terre tentent de préférer, à la conception d’un État de Droit librement érigé par le Peuple, une conception TECHNOCRATIQUE. Les théoriciens du TOTALITARISME s’efforcent de prouver que vous êtes arrivés au déclin des idéologies et que par conséquent les PARTIS POLITIQUES ont été dépassés. Le POUVOIR, disent-ils, s’est tellement « technifié » que l’avenir est dans un Gouvernement des Techniciens.
Mais cette idée, au stade actuel de l’évolution terrestre, est une authentique erreur. Et tous les idéologues Terrestres savent bien pourquoi. Les Gouvernements Totalitaires non Socialistes sont dirigés par des Groupes Oligarchiques déterminés. Seuls leurs enfants ont accès aux Universités et Écoles Polytechniques. Ce sont précisément les descendants de ces groupes qui dominent le RÉSEAU SOCIAL, ceux là qui arrivent à obtenir leurs diplômes comme Juristes, Ingénieurs, Économistes, etc. . Dans un gouvernement TECHNOCRATIQUE sur la Terre, et dans les circonstances actuelles ce type de gouvernement constitue la forme la plus astucieuse pour perpétuer le totalitarisme de ces Oligarques, les composants de la nouvelle TECHNOCRATIE continueront de protéger logiquement les intérêts privés de leurs progénitures délinquantes.
Bien que d’un niveau moins immoral qu’en d’autres pays Totalitaires, la TECHNOCRATIE dans les États Socialistes Marxistes étouffe les libertés basiques de l’homme en jugulant l’évolution des IDÉES et par conséquent l’évolution du propre RÉSEAU SOCIAL.
Si ce type de TECHNOCRATIE est celui auquel vous vous référez, Monsieur Campo, vous reconnaîtrez vous-même que notre AYUYISAA n’a rien à voir avec les tyrannies de quelques techniciens imposant leurs propres intérêts économiques ( TECHNOCRATIE ULTRA CONSERVATRICE) ou leus dogmes politiques et sectaires (TECHNOCRATIE MARXISTE).
Nous devons donc reconnaître que notre forme de gouvernement est vraiment TECHNOCRATE, en ce qui concerne les méthodes Législatives, Judiciaires, Exécutives et administratives qui ont atteint un niveau scientifique et technique élevé. C’est seulement quand est atteint un stade supérieur de moralité sociale, quand le profond respect envers WOA, envers les frères OEMII et envers le RÉSEAU SOCIAL, en préférant les intérêts de la collectivité aux tendances égoïstes et égocentristes de la personnalité, qu’il est possible de confier aux TECHNICIENS les leviers du pouvoir, avec la garantie que leurs actes sont régis par l’amour de leurs frères.
C’est alors, comme cela nous est arrivé à nous-mêmes, quand les idéologies religieuses distinctes se sont transformés d’un mutuel accord en une seule et quand les différents groupes politiques finissent par perdre leur signification puisque leurs postulats ne sont pas imposés aux autres mais qu’ils proposent des raisonnements convaincants, qu’est permise la germination d’autres groupes différents.
Mais ceci requiert d’atteindre peu à peu divers niveaux de maturation dans le réseau social. Vous, les terrestres, vous vous souviendrez que des siècles auparavant les penseurs discutaient de diverses doctrines concernant la forme de la Terre, certains la supposaient rectangulaire, d’autres discoïdale, les plus intuitifs sphérique, mais les uns comme les autres apportaient des » AFFIRMATIONS » car ils n’avaient pas atteint un niveau scientifique suffisant pour apporter des arguments convaincants en faveur de l’une ou l’autre théorie scientifique. Tous accusaient les autres d’hérésie et de peu d’intelligence, sans s’apercevoir que si le reste des scientifiques d’adhéraient pas à leur propre doctrine concernant leur modèle géodésique, c’était parce que les postulats n’étaient jamais clairs. Les GROUPES DISSIDENTS arrêtèrent de l’être et le consensus universel d’une seule théorie apparut le jour ou les dogmes se changèrent en ÉVALUATIONS de DIMENSIONS, de MESURES, ou de LOIS évidentes. Aujourd’hui, aucun terrestre sérieux et intelligent ne doute de la sphéricité de son astre. Que se serait-il passé si les partisans de la conception géodésique en forme de Disque avaient imposé par la force leurs propres thèses sous prétexte que la pluralité de groupes ou d’idées rendaient les choses « nocives » ?
Vous pouvez peut-être suggérer, Monsieur Campos, après avoir lu ces paragraphes suggestifs, que la TERRE est un peu différente de UMMO, que le RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE ne pourra jamais se structurer comme le nôtre. Si vous pensez ainsi vous commettez une erreur scientifique de première grandeur. Nous ignorons si le futur économico-politique de la Terre sera un calque de notre système actuel, (mais) ce que nous pouvons vous assurer c’est que, après avoir étudié l’évolution Biologico-Sociale des OEMII Terrestres depuis l’année 1950 en laquelle nous sommes venus sur OYAAGAA (Planète Terre ), nous pouvons avancer un diagnostique favorable après l’analyse de l’actuel stade évolutif.
Si dans les années proches, vous-même et vos politiques arrivent à surmonter la menace d’une agression nucléaire (nous pouvons dire d’une manière confidentielle que les États-Unis réalisent actuellement des études pour contrôler la turbulence gazeuse qui suit une explosion atomique, de manière à ce que le propre champ magnétique terrestre permette la diffusion de la masse radioactive sur des zones immenses, avec une masse minime de Tritium H I3, et que les services de sécurité Soviétiques, Israéliens, Anglais, Français et en Indous ont conscience de ceci).
Les possibilités d’une destruction de la civilisation terrestre ont fortement diminué. La véritable tragédie de cette humanité tient à ce que, à notre avis, les avances technologiques dans le champ de l’obtention de l’Énergie par Fusion et Fission nucléaire se développent avant que le RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE ait obtenu une agglutination globale en un seul ÉTAT au NIVEAU PLANÉTAIRE. Nous craignons sérieusement que vous n’atteigniez, dans votre étude progressive sur la matière, une phase qui permettrait la fabrication des armes au plasma. Je vous dirai, Monsieur Campo, (et cette nouvelle a déjà commencé à filtrer dans les milieux diplomatiques de plusieurs pays), que les scientifiques de la république populaire de Chine ont réussi à soumettre des éprouvettes de Germanium à des pressions STATIQUES de 2.400.000 atmosphères. (Note2)
Note 2: Vous-mêmes (Ndt: pays occidentaux ?) aviez déjà obtenu des pressions INSTANTANÉES bien supérieures, mais dans ce cas l’analyse de la structure de la matière est presque stérile. Seuls des paramètres comme PRESSION, VOLUME, TEMPÉRATURE, DENSITÉ sont alors mesurables. Nous félicitons les chercheurs Chinois pour leur triomphe (car) à notre avis la principale démonstration n’a pas consisté à obtenir cette PRESSION, mais dans la TECHNOLOGIE DES ÉQUIPEMENTS DE CONTROLE DE LA STRUCTURE DU NOYAU, sans introduction de sonde dans l’échantillon ou l’éprouvette.
Ceci, pour vous qui êtes spécialisé dans d’autres branches de la culture, ne vous dira sans doute rien, mais cela revêt une importance Transcendantale. La matière soumise à des pressions à peine supérieures perds sa structure atomique, comme vous le savez déjà. Une pression de 16 millions d’atmosphère (15 445 680 atmosphères), appelée par nous AADAGIOOU (pouvant se traduire par PRESSION CRITIQUE), inverse simultanément toutes les subparticules atomiques (IBOZOO UU) . La masse se transforme INTÉGRALEMENT EN ÉNERGIE. L’EXPANSION qui en découle ensuite est incommensurable (Celle ci fut la pression initiale de toute la masse de l’Univers). Nous sommes confiants que quand les recherches des Physiciens Chinois auront avancé, les circonstances politiques de ce Pays et le fanatisme de leurs dirigeants seront sur une pente de modération importante.
Ces taches qui assombrissent l’avenir de la Terre se voient compensées pour une part par le processus continuel de Neurocorticalisation Biologique chez les nouvelles générations et pour une autre part par la perspective encourageante que les orientations de la pensée terrestre permettent d’entrevoir. Les entretiens entre intellectuels Marxistes et Catholiques (les prochaines auront lieu à Marienbad en Tchécoslovaquie) permettent la possibilité d’ententes futures à un niveau élevé. Les trois courants les plus important de la philosophie Terrestre CHRISTIANISME, MARXISME, EXISTENTIALISME, convergent à pas accélérés vers une phase de nucléarisation unitaire. Il est symptomatique que des penseurs communistes comme le français Garaudy admettent la possibilité que le Marxisme reconnaisse l’existence de Dieu, et que l’Église Romaine vire vers le socialisme.
Sans le triste poids des Totalitarismes et des groupes conservateurs ou intégristes, vous seriez déjà à deux pas de passer au-dessus des ultimes barrières de l’Unification. Vous-même, Monsieur Campo, ne vivrez pas la lumineuse étape de l’intégration dans le Champ Économique, Politico-religieux et Philosophique à l’échelle Terrestre, mais nous savons que ce stade arrivera.
En attendant, nous vous félicitons (spécialement les États Unis et l’Union Soviétique) pour la mise au point de leur Système de Planification (véritable démonstration scientifique), qui empêchera dans le futur une erreur de calcul déclenchant une Guerre Mondiale.Vous avez déjà surpassé la phase dans laquelle une folie instantanée d’un Militaire ou Politique pourrait provoquer une agression irréparable.
Lettre 68-3 | T9-54 à 57
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies: 1
Monsieur Manuel Campo
MADRID
Monsieur,
Dans la dernière conversation que nous avons eue avec vous, vous nous avez sollicités des références sur la gestation de notre science, ainsi qu’une série de données complémentaires concernant le processus historique qui a culminé avec la destitution du gouvernement monocratique de notre Planète.
À propos de vos doutes réitérés, exprimés dernièrement par vous en ce qui concerne notre identité, nous ne pouvons qu’un peu vous éclairer en plus sur les raisonnements que nous vous avons exposés dans notre avant-dernier rapport.
Analysons deux de ces doutes les plus significatifs.
« C’est inconcevable que vous vous exprimiez aussi correctement en français ou en Castillan, en affirmant venir d’un autre astre habité « .
Nous ne comprenons pas la valeur d’une objection qui, formulée en ces termes, manque de tout sens dialectique. Nous croyons avec de bonnes raisons que le fait que nos frères s’expriment en ce moment dans n’importe lequel des groupes linguistiques terrestres, n’apporte pas de preuve ni en faveur ni en défaveur au sujet de notre provenance. Dans une autre occasion nous vous donnerons un résumé historique de notre première arrivée sur cette Planète, qui a eu lieu dans une région du sud de la France en 1950. Ce ne fut pas trop difficile pour nos frères d’apprendre d’une manière rudimentaire les premiers mots de la langue française, grâce à la collaboration d’un paysan natif, quasi-adolescent. Cette première base a facilité la reconstruction idiomatique ultérieure.
« Si vous veniez, comme vous le dites, de cet astre que vous appelez UMMO. Quel intérêt vous pousse à rester dans l’anonymat ? Comment se fait-il que la presse et les cercles gouvernementaux n’en soient pas informés? »
C’est intéressant de constater que cette interrogation nous est formulée par presque 100% des OEMII (Êtres Humains) terrestres avec lesquels nous avons établi une communication.
Ce qui surprends le plus est que vous, comme la grande majorité des correspondants de plusieurs nationalités avec lesquels nous établissons le contact, disposez d’un quotient intellectuel supérieur au standard, alors qu’une objection exprimée dans de tels termes est évidemment puérile.
Indubitablement les motivations qui vous poussent à orienter vos éléments polémiques dans ce sens devraient être recherchés dans l’influence que la littérature de science fiction a exercée sur le subconscient de tous les Terrestres.
Vous avez stéréotypé l’image de quelques visiteurs extraterrestres envahissant la Planète avec une flotte exubérante et spectaculaire d’astronefs, pendant que des êtres anthropoïdes ou peut-être monstrueux descendent de leurs véhicules devant les yeux stupéfaits des masses humaines.
La forme la plus simpliste de ce raisonnement est celle qu’un de vos frères nord américain nous a déjà exprimé dans des termes similaires:
Comment se fait t’il, que pouvant le faire, vous n’attendez pas qu’il y ait une concentration face au Capitole (Il faisait référence à celui de WASHINGTON) pour atterrir sur la grande esplanade? De cette manière personne ne douterait que vous veniez de UMMO !
Indépendamment du fait que nous avons de sérieux doutes qu’une aussi spectaculaire arrivée avalise réellement notre origine, l’aimable nord américain ne parait pas avoir trop médité à l’excès de travail que, dans cette même après midi, toutes les ambulances et cliniques de la capitale devraient supporter.
Il est clair qu’il existe des moyens moins drastiques et moins romanesques pour nous faire connaître… Seulement nous avons des raisons très puissantes d’essayer d’éviter que le Réseau Social terrestre connaisse notre présence à travers les canaux habituels de diffusion. Les personnes comme vous qui ont entendu ou reçu nos rapports atteignent à peine le nombre de deux centaines réparties entre les diverses nationalités, et nous pouvons vous assurer que mises à part de rares exceptions, tous vos frères correspondants se maintiennent dans les limites d’un doute raisonnable.
Il doit en être ainsi et ceci correspond logiquement aux typiques schémas mentaux de tout OEMII intelligent qui doit rejeter « a priori » tout dogmatisme et sonder la vérité en se protégeant par une saine attitude de suspicion.
Votre méfiance, ainsi que celle de vos frères, ne nous porte pas préjudice et vous avez parfaitement raison d’exercer cette critique orientée à démasquer l’imposture, la fraude ou l’aliénation.
Pour notre part, intéressés à coexister avec vous dans l’anonymat, un tel climat de scepticisme joue indubitablement en notre faveur.
Nous avons donc trouvé la formule permettant de dialoguer avec vous sans franchir un seuil qui nous serait préjudiciable. Nos contacts avec les Terrestres sont suffisamment subjectifs que pour vous, plongés dans un état modéré d’intrigue et d’intérêt, ne coupez pas vos relations avec nous… Même en résistant à accepter notre origine, en essayant au contraire de ne pas fournir des indices fiables qui constitueraient un signal d’alarme pour le Réseau Social de OYAAGAA (Terre).
Aussi bien vos frères que nous-mêmes profitons de cette intéressante collaboration, jusqu’à ce que dans un futur non lointain, nos Supérieurs modifient la politique à suivre avec vous.
En résumé M. Campo: Notre conseil impartial et objectif après vous avoir résumé votre situation actuelle est celui-ci. D’après ce que vous dites, vous avez été surpris par notre érudition en Droit International, en Droit Politique, en Sociologie et en Philosophie du Droit au cours de nos conversations.
Vous n’arrivez pas à emboîter cette expérience vécue avec l’hypothèse sensée que nous pourrions être des Juristes aliénés ou peut-être même des étudiants en Droit (Comme vous le signaliez dans notre dernière conversation) qui désirent plaisanter. Vous-même concluez que vous ne concevez pas des gens si intelligents se décidant à appeler au téléphone avec comme seul objectif celui de se divertir.
D’autre part, vous assurez « que cela rompt tous les schémas logiques que d’accepter ne serai-ce que la possibilité que nous soyons natifs d’un autre astre habité ».
Nous ignorons, si vous acceptez cette dernière position (Position extrémiste que les bases physiologiques ou scientifiques ont du mal à soupçonner), pourquoi vous continuez à être aussi intéressé à ce que nous vous envoyons plus de récits détaillés sur notre histoire, à moins que sa compilation ne constitue pour vous un motif de distraction intracendant.
Une fois vous avez indiqué que vous commenciez à reconsidérer à nouveau la possibilité que nous ne mentions pas sur ce point. Vous l’exprimiez comme en craignant de nous avoir offensés.
Non, Monsieur Campo. Ces doutes et états cycliques de crédulité et incrédulité ne nous offensent absolument pas. De plus, notre conseil loyal est le suivant:
Ne nous croyez pas. Tenez-vous en à étudier nos conversations que vous avez enregistrées sur une bande magnétique, analysez nos notes, comparez les informations que nous vous avons données. Si elles ont une valeur pour vous, alors une telle valeur transcendera le fait secondaire que nous soyons natifs de UMMO ou que soyons des frères terrestres. De notre coté, nous pouvons vous affirmer que notre contact avec vous a été TRÈS PRÉCIEUX pour notre étude de l’OEMII terrestre
Si vous jugez au contraire stérile et topique (NdT: relatif aux lieux communs) le contenu de ces feuilles dactylographiées et ces longues polémiques téléphoniques, dites-nous comment nous pouvons vous indemniser du temps perdu, puisque nous serions seuls à en avoir tiré profit.
Il s’agit d’une situation bizarre dans laquelle vous et vos autres frères terrestres, s’ils sont fidèles aux postulats classiques de la logique, doivent nourrir certains doutes au sujet de notre témoignage. Il serait irrationnel d’identifier comme un homme venant d’une lointaine planète, le premier individu qui vous appelle par téléphone, malgré l’importante érudition qu’il révèle posséder dans le domaine de la Jurisprudence ou de la Politique Économique.
Mais nous, même en ayant conscience que nous ne serons pas cru, nous ne pouvons pas transgresser notre propre vérité dans ce cas. Si nous provenons d’UMMO, nous ne pouvons pas, par exemple, adoucir cette affirmation déconcertante, en insinuant que nous sommes natifs du Tibet. En résumé, nous ne vous informons pas sur notre origine pour que vous acceptiez une telle assertion, mais parce que proclamer la réalité doit être une position indépendante de la crédulité ou du scepticisme de ceux qui nous entourent.
D69
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
N° de copies : 1 original
Monsieur:
Pendant la conversation téléphonique que nous avons eu la nuit dernière, vous me demandiez des éclaircissements sur certains concepts concernant nos OAWOOLEA UEWA OEMM (VAISSEAUX SPATIAUX). J’essaierai de satisfaire votre naturelle curiosité jusqu’aux limites permises et dans l’espace restreint de feuillets dactylographiés, tout en vous prévenant que ce rapport résumé n’a qu’un caractère purement descriptif.
Mais avant permettez-moi de vous présenter nos excuses pour ne pas pouvoir vous donner les noms que vous demandez. Votre insistance réitérée de la nuit dernière me fut pénible, mais des raisons de sécurité à l’égard de notre petite communauté de frères explorateurs de cet OYAA (astre froid) nous poussent à adopter certaines formes de conduite qui peuvent peut-être vous paraître extrêmes et même absurdes et inconséquentes, mais qui – n’en doutez pas – font partie de notre stratégie par rapport au Réseau Social Terrestre.
Les coupures que vous notez pendant la communication téléphonique ne sont pas dues à de simples débranchements. Elles sont la conséquence inévitable (techniquement, facilement explicable) du procédé émergent que nous sommes obligés d’adopter pour établir des dérivations anormales avec vos circuits téléphoniques. Ces contretemps ne peuvent être neutralisés que quand le central téléphonique est dotée d’un système de communication transistorisée ou éventuellement avec les équipements de barres croisées (pentaconta) ou techniques semblables.
STRUCTURE DE NOS UEWA OEMM
Un croquis de nos vaisseaux tracé au moyen de crayons de couleur, expliquera grossièrement leur morphologie essentielle.
Vous comprendrez Monsieur &&&&&&&&& qu’on ne peut vous offrir une description complète ou exhaustive de sa constitution structurelle, du système de propulsion, de la technique de l’inversion de l’ IBOZOO UU , des systèmes de contrôle, etc,. Les schémas descriptifs et graphiques que nous vous envoyons sont suffisamment aseptisés et abrégés pour que leur éventuelle divulgation soit dépourvue de tout risque. Toute information de type vraiment scientifique, susceptible d’être utilisée en révolutionnant la Science et la technologie terrestres (avec la distorsion que cela supposerait pour l’évolution normale) a été soigneusement censurée.
Je me suis efforcé, sans exception, dans les schémas que je joins, d’assigner des chiffres correspondant à des caractères numériques qui vous sont familiers. Ainsi, j’ai essayé de restreindre au maximum l’inclusion de phonèmes autochtones de caractère technique en les remplaçant par leur équivalent terrestre, pour arbitraires et peu fidèles qu’ils soient. Seuls les composants qui, à notre avis, sont les plus caractéristiques sont associés dans la présente description avec le mot original.
L’image 1 montre, dans son croquis de base, une coupe frontale de la structure d’un UEWA.
Détails de l’image 1
1 – ENNOI : protubérance, tourelle ou coupole située dans l’hémisphère supérieur de l’UEWA OEMM (sa membrane est transparente).
2 – ENNAEOI : corps central de la superstructure du vaisseau
3 – DUII: anneau ou couronne équatoriale qui entoure l’UEWA.
4 – AAXOO XAIUU AYII : toroïde générateur de champ magnétique.
5 – NUUYAA : réservoirs toroïdaux d’eau oxygénée et lithium fondu.
6 – IDUUWII AYII : équipement propulseur situé dans une enceinte de forme annulaire encastrée dans la DUII.
7 – Générateur d’énergie. Transforme la masse de lithium et de Bismuth en énergie, après sa transformation en plasma.
8 – IBOZOOAIDAA : équipement central de contrôle pour l’inversion des IBOZOO UU.
9 – XANMOO : calculateurs périphériques autonomes [le XANMOO central est situé (sphère centrale dans l’image 1) au centre géométrique du « 12 » AYIYAA OAYUU ].
10 – Censurée dans la copie.
11 – TAXEE : gelée ou masse gélatineuse (occupant l’intérieur de la AYIYAA OAYUU en utilisation).
12 – AAYIYAA OAYUU : cabine flottante.
13 – YAAXAIIU : peut se traduire par « cavité magnétique ».
14 – Dans cette structure toroïdale sont englobés de nombreux équipements de l’UEWA. Une partie du générateur de champ magnétique, les organes de contrôle pour la XOODINAA, les réservoirs d’aliments et équipement mobile transporté, les équipements pour la fabrication d’accessoires, etc.
15 – IMMAA : quelques-unes des écoutilles d’accès.
16 – YAA OOXEE : réservoir de mercure.
17 – Enceinte annulaire complexe qui est située parmi d’autres éléments, pieds sustentateurs émergents, transmutateurs d’éléments, etc.
18 – XOODINAA : membrane, écorce, paroi externe ou cuirasse protégeant l’UEWA. Elle est opaque et d’une grande complexité structurale, sauf l’ENNOI, qui est transparent et homogène.
19 – YUUXIIO : équipement toroïdal pour le contrôle de l’environnement gazeux.
20 – UAXOO AAXOO : centre d’émission et de détection, blindé.
21 – ENNOI AGIOA : coupole ou cône d’assemblage. Peut se dissoudre ou se régénérer sous le contrôle du xanmoo central.
Un observateur extérieur distinguera trois parties clairement différenciées : (IMAGE 2)
Le ENNAEOI (corps central de la superstructure)
Le ENNOI (espèce de tour ou de coupole)
Le DUII (aile annulaire située sur le plan équatorial de la structure principale)
Image 2
Le profil de nos UEWA n’entraîne pas l’adoption de formes qui, pour la technologie aéronautique terrestre, montrent un coefficient balistique élevé (formes ogivales, etc) et dont la finesse est nécessaire pour atteindre de grandes vitesses au sein d’un fluide visqueux. Ceci est dû à ce que notre technique de déplacement est radicalement distincte des méthodes embryonnaires utilisées sur la planète Terre :
.) Le déplacement sur une trajectoire très étendue se réalise dans un cadre tridimensionnel distinct de celui qui nous est familier dans le WAAM (cosmos).
.( Notre propulsion de base, en plus d’être différente de celles connues par vous, jouit d’une capacité énergétique supérieure à celle prévue dans vos futurs programmes spatiaux.
.) Comme nous vous l’indiquerons plus loin, les problèmes posés par la couche limite du fluide sont résolus avec des techniques spéciales.
LE ENNAOEII (corps central : image 2 numéro (2))
Le noyau central de la UEWA (ENNAOEI) est une structure de configuration cylindroïde. A l’intérieur (cavité centrale : IMAGE 1 numéro (13)) on trouve l’ AYIYAA (image 1 numéro (12)) (sa traduction correcte serait « toroïde flottant »). Cette seconde structure est une grande cabine de type toroïde (IMAGE 9) susceptible, dans des limites restreintes, de se déplacer à l’intérieure de l’enceinte creuse (image 1 numéro (13)) de l’ENNAEOII (IMAGE 4).
Image 9
Image 4 |
Quand le vaisseau décolle ou quand il arrive près de l’objectif fixé, et en général quand il est prévu durant son trajet (trajectoire) de fortes accélérations (changements brusques de vitesse ou de direction) l’AYIYAA flotte au sein de l’YAAXAIUU (CAVITÉ MAGNÉTIQUE image 1 numéro (13)), c’est-à-dire, à l’intérieur d’un champ magnétique de haute fréquence et très énergétique (fréquence : 3,26.104 Hertz).
Pendant la phase appelée OEE (IMAGE 4), qui signifie « suspension ou flottement », la cabine jouit d’une autonomie programmée et ses mouvements relatifs sont subordonnées aux changements brusques de type dynamique, comme nous l’indiquerons plus loin.
La cavité entre l’AYIYAA et l’ENNAEOI contient un mélange formé par quelques isotopes d’argon et d’oxygène à pression élevée.
La masse colorée en vert (IMAGE 4) correspond à une masse gélatineuse qui, durant cette phase OEE remplit la cabine AYIYAA, protégeant les corps des membres de l’équipage et le reste de l’équipement mobile du voyage (VOIR LA NOTE 6 EN APPENDICE).
Note 6 :
Le EEWEANIXOO constitue ce que vous appeleriez un « scaphandre » ou vêtement. En réalité cette protection est progressivement remplacée par d’autres aux caractéristiques différentes pour certaines conditions de vol.
Le EEWEEANIXOO OOE est précisément utilisé pendant la phase dans laquelle la AYIYAA OAYU ou CABINE TOROIDALE (Image 1 numéro (12)) est remplie d’une gelée que nous appelons DAXEE. Cette masse gélatineuse, en dehors d’autres fonctions, agit comme un amortisseur pendant les procédures d’accélération ou de décélération de l’UEWA. L’OEMII voyageur est ainsi encastré au sein de cette masse visqueuse, directement isolé de ses frères et soumis à la dynamique d’accélération qui ont quelquefois dépassé les 245 mètres/s2 (bien que ces pics d’accélérations durent peu de fractions de UIW ).
La description aussi bien de ces « vêtements » que du système BIEWIGUU AGOYEE (contrôle psychique et physiologico-biologique) exigerait sur le plan de la divulgation autant de pages qu’en contient ce document. Comme résumé nous vous indiquerons que le EEWE (vêtement ) est une membrane complexe qui entoure d’une manière périphérique le corps du voyageur sans que sa surface établisse un contact quelconque avec l’épiderme de l’OEMII (corps humain).
L’ensemble se trouve situé dans la masse gélatineuse d’une façon telle, qu’au moment où va se produire une accélération dans une direction déterminée, la substance gélifiée se liquéfie dans l’environnement, et le corps du voyageur adopte avec l’aide extérieure une posture apte à rendre les effets minimes. L’espace qui sépare la surface interne du EEWEEANIXOO OOE de la peau humaine, est rigoureusement contrôlé en fonction du degré de vasodilatation capillaire de l’épiderme et de la transpiration de celui-ci. De cette façon, la chaleur métabolique du corps adopte les valeurs normales dans les conditions habituelles du vol. Pression, absorbtion de dioyde de carbone, régulation de l’azote, oxygène, vapeur d’eau et autres composantes des constituants internes, sont autorégulés en fonction de l’information que proposent les détecteurs qui contrôlent à chaque instant les activités métaboliques et physiologiques de l’appareil respiratoire, circulatoire et épidermique.
Les équipements de contrôle physiologique ont été dotés de sondes transductrices non invasives qui vérifient presque toutes les fonctions organiques, à l’intérieur des tissus organiques, sans que l’introduction de tels xxxxxxx (mot barré et note du mécanographe:je ne sais pas bien s’il a dit UAXUOETY ou OAXUOETT) soit nécessaire.
Depuis l’activité musculaire et l’évaluation des niveaux de glycogène et acide lactique, jusqu’au contrôle complexe de l’activité neurocorticale qui fournit des données précises sur l’état psychique du sujet, toute la gamme des dynamismes biologiques est enregistrée et fournie ce courant informatif à travers près de 2,16.106 canaux informatifs jusqu’à un XANMOO qui, après les avoir comparés avec des modèles standard, « dicte » les réponses effectrices ou motrices aux organes du BIEWIGUU AGOIEE.
L’alimentation s’effectue par l’introduction de pâte par voie orale. Quelques aliments et l’eau sont introduits sous forme de capsules avec un emballage insipide qui se dissout au contact de la salive. Le gradien thermique varie dans les différentes zones périphériques de l’enceinte. La sensation que nous éprouvons dans le voyage pendant la phase OOE durant les intervales où l’accélération est nulle ou modérée, peut se définir comme étant une paisible sensation de flottement dans un matelas d’air tiède. On ressent à peine les effets vestibulaires provoqués par la rotation de la AYIYAA OAYUU pour créer une gravité artificielle, grâce à l’introduction à proximité du labyrinthe membraneux de deux dispositifs de contrôle grâce à une simple opération chirurgicale (deux implants en forme d’aiguille sont introduits sans abîmer les tissus ni le réseau artériel et neuronal).
L’enceinte qui sépare l’épiderme du EEWE subit, au niveau du visage, un élargissement considérale de forme tronconique. La base d’un tel tronc cernant depuis l’oeil jusqu’à une distance de 23 centimètres, avec un angle de 130° sexagésimaux, représente un écran pourvu sur sa surface de quelque 16.107 centres excitables capables de diffuser chacun, avec divers niveaux d’intensité, tout le spectre électromagnétique entre 3,9.1014 et 7,98.1014 cycles/seconde. La définition des images obtenues est suffisamment élevée pour que les deux yeux ne puissent faire la différence entre les perceptions visuelles normales et celles engendrées artificiellement par cet organe. La vision binoculaire est réalisée grâce à la disposition prismatique de chaque centre émetteur. L’excitation de faces opposées, pour que un des deux yeux n’ait pas accés à l’image de l’autre, se réalise d’une manière très complexe (Image A – manquante). Un transducteur enregistre les champs électriques engendrés par les muscles oculaires des deux globes (véritables électromyogrammes). Le XANMOO connaît ainsi, à chaque instant, l’orientation de l’axe de la pupille. D’autres part, les prismes excitables qui composent le panneau (ces derniers étant de dimensions microscopiques) sont situés sur la surface d’une couche d’émulsion visqueuse qui leur permet de tourner librement. Ces prismes sont contrôlés mécaniquement par un champ magnétique double, de sorte que la moitié d’entre eux obéissent à une composante horizontale et l’autre moitié à une composante transversale. De cette manière l’un et l’autre groupe orientant leurs faces indépendamment comme des stores vénitiens utilisés par les terrestres orientent indépendamment leurs lames quand on tire sur les cordes qui règlent l’angle pour l’entrée de la lumière (dans ce cas les « cordes » seront les deux champs magnétiques, et le facteur moteur la réponse du XANMOO aux micro-mouvements musculaires du globe oculaire).
La perception binoculaire offre des images en relief normal, pour que le sujet croit qu’il est en train de vivre un monde réel loin de l’environnement et de la masse gélatineuse qui l’entoure. Il peut essayer de prendre les objets qu’il « voit près de lui » et comme la liberté de mouvement est large malgré la résistance du milieu visqueux, il est conseillé « d’essayer » pour éviter l’inactivité musculaire. Les stimuli acoustiques sont synchronisés avec l’image. Le voyageur peut voir les visages de ses frères, parler avec eux ou se plonger dans le paysage figé d’ANAUGAA (espèce arborescente) de nos lointaines forêts de UMMO. Deux YOYGOAAXOO logés dans les fosses nasales fournissent en séquences, moins riches que dans le milieu naturel mais suffisamment rapides, des programmes d’ IAIKEAI (stimuli olfactifs ) synchronisés aussi avec les images. Ceci est un des aspects du contrôle psycho-biologique auquel est soumis le frère voyageur. Nous pouvons à volonté visualiser les équipement de contrôle de l’ UEWA ou lire un texte d’étude. Un des moyens parmis les plus intéressants est BOOGOO. Grâce à ce système les mouvements musculaires imitant la préhension d’un stylet (vous l’appelleriez crayon ou pinceau) sont injectés après leur enregistrement au XANMOO. Celui-ci ordonne les réponses de la main comme si celle-ci avait effectivement fait un dessin, un graphique ou un texte. L’image artificielle de cette composition fictive apparaît sur le panneau binoculaire comme si nous avions effectivement dessiné sur une surface de tels caractères graphiques.
Un dispositif intégré dans le rectum recueille la défécation du voyageur. Celle-ci est en premier lieu déshydratée, les résidus sont ensuite, par une analyse chimique rigoureuse, dissociés et transmués en oxygène ou autre élément chimique gazeux. Quelque chose de semblable est réalisé avec l’urine pour que l’eau chimiquement pure des deux excrétions ajoutée à celle qui reste de l’enceinte gazeuse du EEWE (dont le degré d’humidité est une fonction continuellement régulée) soit renvoyée aux réservoirs centraux sous forme de vapeur.
Mais quand le déplacement de l’UEWA se déroule loin des champs gravitationnels intenses ou au sein d’un autre cadre tridimensionnel ou simplement dans une zone spaciale libre d’agents physiques dangereux, à une vitesse quasi constante en phase « AGIOOA », la cabine (IMAGE 3) s’emboite dans le ENNOI AGIOOA (image 1 numéro (22)) (Peut se traduire par COUPOLE D’ASSEMBLAGE). Alors la masse TAXEE (gélatineuse) passe à l’état « hydrosol » (très fluide et de faible viscosité), et elle est expulsée en dehors de l’AYIYAA (cabine toroïde) en augmentant la pression du mélange gazeux de la cavité YAAXAIUU (image 1 numéro (13)) et permettant ainsi aux astronautes de se déplacer plus librement à l’intérieur de celle-ci. Alors le fort champ magnétique vibratoire nécessaire pour maintenir en suspention cette dernière structure s’annule aussi.
Image 3 (document original) | Image 3 (image recréée par Nicolas Lecot) |
LES SYSTÈMES ET ÉQUIPEMENTS
Tous les équipements auxiliaires de l’UEWA sont régulés au sein d’une AYUU (réseaux) et sous le contrôle d’un XAANMOO [équipement qui réalise les fonctions semblables à celles d’un ordinateur électronique terrestre, sauf que sa technologie n’est pas basée sur les propriétés de tubes à vide ou de circuits imprimés comme les vôtre (VOIR LA NOTE 1 EN APPENDICE) dont la programmation et les décisions peuvent être modifiées dans des cas extrêmes par les membres de l’équipage.
Note 1
Il existe de grandes différences entre les systèmes de contrôle utilisés dans la technologie d’OYAAGAA et les nôtres, en dehors de leur plus grande complexité et précision.
Les XANMOO (vous les nommeriez calculateurs, ordinateurs ) ne sont pas composés par des circuits électroniques comme les terrestres, c’est à dire, tubes de vide, composants à l’état solide comme des transistors ou diodes solides, conducteurs et semi conducteurs, inducteurs, capacités, entre autres, mais par des organes intégrés topographiquement dans des cristaux stables, que nous appelons ODU GOOA (amplificateurs nucléiques).
Leur caractèristique principale est constituée par le fait que ce ne sont pas les tensions ou intensités électriques qui sont amplifiées comme sur vos amplificateurs terrestre, mais la puissance. Une fonction énergétique d’entrée injectée dans le ODU GOOA , se traduit à la sortie par une autre fonction analytique identique, mais avec des valeurs énergétiques à chaque fois plus élevées. La libération contrôlée d’énergie s’effectue aux dépens de la masse intégrée dans l’amplificateur et le phénomène se réalise dimensionnellement à une échelle moléculaire. Dans le processus interviennent le nombre d’atomes suffisants pour que la fonction puisse être considérée macrophysiquement comme continue.
Note 2
La mémorisation de données numériques ne s’effectue pas de la même manière que pour les unités périphériques mnésiques des calculateurs numériques terrestres : c’est -à-dire au moyen de deux états de magnétisation de noyaux toroïdaux de ferrite ou en bandes et disques recouverts d’émulsions ferromagnétiques ou électrostatiques, etc., mais par l’altération, rigoureusement contrôlée, des états d’exitation électronique dans un cristal pur de titane techniquement équilibré.
La codification s’effectue au moyen de trois faisceaux orthogonaux de haute fréquence.
L’énorme capacité de mémorisation par unité de volume dans ces organes du XANMOO permet d’accumuler une information dépourvue de tout critère restrictif, allant des images avec une définition supérieures à celle obtenue par l’œil physiologique de l’ OEMII (homme) jusqu’à une immense gamme de chiffres représentatifs d’une matrice statistique.
Le problème majeur est constitué par la programmation distributive de cette information en fonction de sa nature, de manière à ce que les critères d’accès permettent un flux d’information de vitesse et d’intensité élevées.
La coordination entre les systèmes de :
– IDUUWIIO (propulsion)
– OAWOOLEIBOZOO (inversion dans un autre système tridimensionnel)
– KEOYEEOO XAIUU (compensation magnétique)
– TAXEE XUANOO (transvasement de substance gélatineuse)
– UAXOOAXOO (équipements de détection et d’émission)
– OOXENNUU (extension des pieds de sustentation)
– BIEWIGUU AGOIEE (contrôle du milieu psycho-biologique)
– YUXIIO (contrôle du fluide visqueux extérieur, gaz ou liquide)
est telle, qu’un quelconque paramètre relatif au comportement d’un de ces systèmes en un instant donné, est calculé par anticipation, pour réguler les temps de réponse du reste des équipements concernés.
La technique est similaire, dans sa phase opérationnelle, au système dénommé par vous sous le nom de « contrôle par rétroaction avec l’aide d’un ordinateur » . La différence se situe dans le fait que nos « ordinateurs » ( XAANMOO ) opèrent dans une première phase par une analyse des fonctions continues (analogiques) et ensuite par un processus automatique d’échantillonnage statistique et sélection des paramètres de base (séquence de données), en réalisant les calculs numériquement et offrant ainsi une réponse quantifiée définitive. La fiabilité de la réponse est pratiquement égale à l’unité (exprimée selon votre propre langage mathématique).
Dans l’IMAGE 5 (cette image semble manquante, mais peut être celle de la note 5 – image D , ou de la note 7 – image A), je vous offre un diagramme résumé et abrégé de l’AYUU (réseau) qui coordonne toute la dynamique de l’UEWA. Les équipements en connexion ne peuvent être contrôlés directement par les membres de l’équipage, bien que ceux-ci aient le choix de laisser les XAANMOO prendre les décisions comme le feraient des « organes-sensomoteurs » ou bien de modifier leurs réponses logiques, à condition toutefois que les décisions de nos frères ne soient pas contestées par le XAANMOO à cause des risques non prévus par le cerveau de l’OEMII (HOMME).
IDUUWII AYII (propulsion)En ce qui concerne la technique que nous utilisons pour l’inversion de toutes les subparticules atomiques inclues dans l’enceinte géométrique de l’UEWA, nous nous permettons d’omettre toute information susceptible d’être immédiatement appliquée par vos physiciens et ingénieurs terrestres. Je dois censurer aussi la transmission de documents (bien qu’elle soit simplement indicative) concernant les bases scientifiques de leur application au système de propulsion de nos vaisseaux. Dans ce cas, donc, je peux seulement vous offrir une description purement topographique de l’emplacement des équipements correspondants. L’équipement IDUUWII AYII (propulsion) est réparti à l’intérieur d’un toroïde de révolution assemblé (embouti) à l’intérieur de la DUII (ailette ou couronne: Image 1- 6) qui entoure le vaisseau sur son plan central. La source énergétique de celle-ci est située dans l’ENNOI (tourelle ou coupole). Ce générateur énergétique présente aussi une morphologie toroïde. Son élément le plus caractéristique est constitué par un treillis de gaz fortement ionisé dont la circulation est contrôlée par un champ magnétique complexe de très haute fréquence (j’utilise dans ce cas le mot « treillis » comme synonyme de Réseau ou Grille spatiale). La température du gaz ionisé quand il est en résonance avec la fréquence de l’environnement magnétique atteint les 0,7.106 grades Kelvin (j’utilise naturellement les unités physiques terrestres). Le contrôle de la propulsion est très complexe : la direction, la vitesse de croisière et le contrôle automatique des accélérations à chaque instant donné, dépendent du XAANMOO AYUUU (réseau central d’ordinateurs ). La fonction cinématique est très compliquée, fonction dont les multiples paramètres correcteurs dépendent par exemple de : |
IBOZOOAIDAA (inversion des particules)Image 1
Cet équipement est présent dans toute la masse solide de la structure, bien que le centre de contrôle soit fixé dans tous nos modèles de vaisseaux dans l’ENNOI, espèce de tourelle cylindroïde qui couronne nos vaisseaux – Image 1 – 1 ). C’est peut-être, si nous exceptons l’équipement IDUWII AYII , le facteur vital de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (dont les racines phonétiques : OAWOO = dimension; OOLEEA = pénétrer, percer; UEWAA = véhicule, vaisseau; OEMM = entre les astres; sidéral; de masse spérique; à masse sphérique ). [Note: Le phonème OOLEA a un sens différent en fonction du contexte verbal dans lequel il est intégré. L’acception la plus correcte quand il s’applique au champ technique est la suivante : changer, passer d’un milieu physique à un autre. En langage scientifique il signifie: augmenter ou diminuer la valeur d’un angle en un autre angle infinitésimal. Ceci serait, dans le cas que nous étudions, la version la plus fidèle de la racine phonétique.] Toute la superstructure du vaisseau, comme nous l’expliquerons plus loin, est protégée par une substance céramique finement perforée, qui recouvre le blindage extérieur. On délimite une couche spatiale de sécurité dont l’épaisseur atteint une valeur de ΔU = 0,0176 ENMOO (1 ENMOO équivaut à quelques 1,873 mètres) (Ndt: donc 33 mm) et qui entoure toute l’UEWA. Nous appelons IITOOA la couche externe idéale dont la morphologie est semblable à celle du vaisseau (image 7) et qui sépare l’enceinte du reste de l’Espace. Image 7 (IITOAA) —————-
Toute particule subatomique ou « quanton » énergétique (IBOZOO UU) située à l’intérieur de cette enceinte peut être inversée dans un autre système tridimensionnel.
Image 6 (IITOA, XODINAA) —————- Par exemple (image 6) : un neutron « A » correspondant à une quelconque masse de l’intérieur du vaisseau, ainsi que les masses des membres de l’équipage, les gaz, les radiations ioniques, etc. Ainsi par exemple un autre proton « B » appartenant à l’enveloppe ou blindage, ainsi que toutes les sousparticules atomiques et énergétiques « C » d’une quelconque molécule de gaz ou particule de poussière cosmique contenue dans le mince environnement cortical d’épaisseur ΔU délimité par l’IITOA, sembleraient « disparaître » à la vue d’un observateur imaginaire pourvu d’un exceptionnel équipement d’observation, situé à l’extérieur de l’enceinte délimité par l’ITOOA. Cette transformation instantanée que nous appelons OAWOOLEAIDAA est provoquée par le même équipement IBOZOO AIDAA (image 1 – 8) qui inverse simultanément les « axes » orientés de tous les IBOZOO UU y compris ceux de sa propre structure. Je ne peux même pas vous suggérer quelle est la base technique de ce système dont, sans doute, la seule allusion doit représenter aujourd’hui pour vos ingénieurs terrestres une fantaisie entourée de science-fiction. Mais en revanche, je peux vous offrir quelques faits complémentaires : l’apport d’énergie nécessaire pour cette transformation physique est très grand, et se trouve représenté pour nos UEWA par la représentation graphique de la fonction P = phi (t) (image 8). Image 8 ————— L’énergie nécessaire mise en jeu jusqu’à l’instant t0 OAWOOLEAIDAA (instant où toutes les subparticules subissent leur inversion) est restituée intégralement sans perte, de tel manière que ΔW1 = ΔW2, représentés tous deux par les surfaces hachurées (mauves) du graphique, et se transforment dans le nouveau cadre tridimensionnel sous forme de MASSE (ΔW2 représente l’équivalent énergétique de la Masse engendrée). Vous comprendrez mieux sa signification physique si je vous indique qu’immédiatement après t0, dans le nouveau cadre tridimensionnel, l’UEWA se déplace à une vitesse supérieure sans que le changement brusque de vitesse (accélération infinie à l’instant t0) soit accusé par le vaisseau et son équipage. P0 représente le seuil de Puissance nécessaire pour transformer toute la masse m0 de l’UEWA (m0 représente non pas la masse au repos absolu mais la masse réelle par rapport à un système référentiel en l’instant t0). La puissance limite P0 = phi(m0) n’englobe pas seulement la masse de l’ UEWA mais aussi celles des particules contenues dans l’enceinte de la ITOOA (image 7) (lire aussi la note 10 – voir page 69-5). |
AYIYAA OAYUU (Enceinte pour les membres de l’équipage)Image 1
Comme nous vous l’avons indiqué, l’équipage de l’un de nos vaisseaux ne se trouve pas dans l’ENNAOEI même (image 1- 2). Au contraire, cette structure en forme de cavité possède à l’intérieure une seconde structure « flottante » annulaire et creuse que nous nommons AYIYAA OYUU ; à l’intérieur de laquelle se trouvent non seulement les voyageurs, mais aussi toute la gamme d’équipements auxiliaires transportés et une série de dispositifs de contrôle et de détection directe (image 9). La situation de cette CABINE FLOTTANTE pourvue de sorties ou écoutilles que nous appelons IMMAA (image 1-15) à l’intérieur de la cavité YAAXAIUU peut présenter deux Phases. (Voir Phase OEE et Phase AGIOA, çi-dessous).
Image 9 |
Phase OEE
Supposez une première phase de « vol » ou déplacement de la UEWA, dans laquelle celle-ci ne se déplace pas à une vitesse de croisière modérément constante ou avec des pointes d’accélération supportables. C’est-à-dire, un intervalle pendant lequel le Vaisseau pour atteindre de hauts niveaux de vitesse, est obligé de subir de grandes « pentes » de la fonction vitesse « t »
Image 1
L’intérieur de la AYIYAA UU se rempli au préalable d’une masse visqueuse à l’état de « GEL », comme l’appellent les physiciens chimistes de la Terre. Il s’agit d’un composé de faible degré de gélification en suspension « hydrosol » (NdT; solution colloïdale dont le solvant est l’eau) contenue au départ dans le YAAXAIUU (image 1 -13). Sa coagulation dans certains cas et sa régression ultérieure à l’état de solution colloïde s’effectue grâce aux caractéristiques du dissolvant employé, car pour un seuil de température de 24,611°C, il se convertit en électrolyte de forte conductivité. Ses propriétés thixotropes sont nulles, de façon qu’aucun effet dynamique en son sein (agitation) ne provoque sa transformation en « SOL ». Nos frère voyageurs ont aussi revêtu au préalable l’EEWEANIXOO (vêtement protecteur hermétique – note 6, vue précédemment, page 69-1) de manière à ce que les OEMII restent en suspension au sein de la gelée à indice élevé de viscosité (TAXEE) qui, entre autres fonctions, agit comme protecteur ou amortisseur face aux pointes d’accélération que subit la structure dans des occasions déterminées. Simultanément l’AYIIYAA OYUU « flotte » à l’intérieur de la superstructure de l’UEWA, au sein d’un champ magnétique très énergétique généré dans la membrane de l’AAXOO XAIUU AYII (situé dans un autre toroïde plongé dans la DUII (image 1- 14 ). Ce champ de moyenne fréquence engendre, dans la membrane de la AYIYAA OAYUU (membrane dont le coefficient de résistivité électrique est très bas quand elle est maintenue à des températures de l’ordre de 0,000825° Kelvin), des courants électriques circulaires dont le champ magnétique axial, en s’opposant à l’inducteur, maintient en suspension la cabine toroïdale dans laquelle voyagent les membres de l’équipage protégés par la masse gélatineuse. Cette suspension magnétique n’a pas été spécialement provoquée pour compenser les actions gravitationelles qui sont naturellement quasi inexistantes dans les espaces intra-galactiques, mais en maintenant un contrôle rigoureux sur tous les points de la cavité, quant à l’intensité du champ, fréquence et gradient, cette YAAXAIUU se comporte comme un « matelas parfaitement élastique » qui amortit les effets dynamiques brusques subis par le vaisseau. De cette manière, nous jouissons pendant le voyage de la double protection que représentent d’une part la TAXEE (gelée) et d’autre part le milieu élastique contrôlé magnétiquement. Il est clair qu’une telle protection ne suffirait pas pour certains taux d’accélération, mais ceux-ci ne sont jamais dépassés même si certains effets semblent montrer le contraire comme je l’expliquerai à la fin de ce document. |
Phase AGIOA Image 3Pendant la longue trajectoire de notre voyage, et une fois atteint un régime cinématique stable, tous les moyens de sécurité décrits antérieurement sont inutiles. Le processus de stabilisation est le suivant : par un contrôle rigoureux du champ magnétique, la cabine AYIYAA OAYUU se situe exactement dans l’axe de la UEWA, en descendant son centre de gravité par rapport à celui du vaisseau jusqu’à s’assembler ou s’emboîter dans une protubérance située à la base, appelée ENNOII AGIOAA ( image 10 – 22 ). Image 10 Cette connexion ou assemblage ne suppose pas un contact mécanique entre les surfaces, au contraire, il reste une séparation de quelques 0,6 douzièmes d’ENMOO (image 10 – 58) qui se remplit, comme nous le verrons plus loin, d’une suspension colloïde qui agit comme lubrifiant. En effet, un second processus a commencé simultanément à l’intérieur de la cabine. La masse gélifiée est amenée par un double effet (changement thermique et ionisation contrôlée) à l’état d’hydrosol, comme le dénomment vos frères scientifiques (autrement dit la gelée protectrice adopte de nouveau la structure liquide initiale de suspension colloïde). Cette masse liquide est pompée à l’extérieur, c’est à dire dans l’YAAXAIUI ( cavité magnétique remplie d’ARGON-OXYGENE ). Cette masse liquéfiée peut se diviser en l’absence de champ gravitationnel en une multitude de corpuscules sphéroïdes qui flottent au sein de la cavité. Nous, les membres de l’équipage, pouvons alors nous déplacer librement à l’intérieur du long couloir annulaire, après nous être débarrassés d’une partie de notre EEWEANIXOO. On nomme cette phase l’AGIIOA. Image 1 Dans l’image 1- 9, vous pouvez observer que nous avons représenté les voyageurs marchant en maintenant leurs corps parallèles au plan équatorial de l’AYIYAA toroïde. Ceci est dû au fait que dans la phase AGIIOA et dans celle de OOE, la cabine annulaire maintient un régime de vitesse angulaire constant afin de provoquer une gravité artificielle (force centrifuge). Les effets secondaires provoqués sur le système vestibulaire de l’ouïe interne et autres petits troubles psychophysiologiques, ont été résolus. Dans des cas déterminés, il faut que la vitesse relative des deux structures (ENNAEOI et AYIYAA OAYUU) soit nulle. C’est-à-dire que la cabine intérieure annulaire forme un seul corps avec l’enceinte extérieure. Cela est nécessaire quand il faut avoir accès aux différentes zones de la superstructure (n’oubliez pas qu’elle renferme de nombreux équipements vitaux et aussi des réserves de produits nécessaires pour le long voyage) et dans d’autres occasions pour sortir à l’extérieur grâce aux IMMAA (écoutilles hermétiques). Dans ce cas, le vaisseau tourne autour de son axe central pour adapter son moment angulaire avec celui de la cabine de manière à ce que l’accélération centrifuge (gravité artificielle) continue d’être constante. Mais dans tous les cas, le contrôle automatique du système est autocompensé. Le XAANMOO central (ordinateur) n’est pas seulement informé à chaque instant des variations du Centre de Gravité et du Centre d’Inertie de l’UEWA, mais il a aussi un enregistrement permanent de toutes les déformations et micro-déformations de la masse structurale ; par exemple, si un quelconque élément du vaisseau commence une rotation, provocant, par le principe que vous connaissez de « Conservation de la quantité de mouvement », une rotation opposé dans l’UEWA, le XAANMOO contrôle la dynamique des autres composants en les stimulant pour compenser cet effet. |
XOODI NAA revêtement structural (image 11)Image 11 (lire: 57 au lieu de 17, 58 au lieu de 52, 38 au lieu de 48) Ce que vous appelleriez « revêtement de la structure » est qualifié par nous sous le nom ou phonème intraduisible de XOODI NAA . Assurément le vocable espagnol le plus proche pour la désigner serait » membrane » mais ce terme peut suggérer des propriétés purement statiques de protection, de barrière, alors qu’en réalité, comme vous pouvez le constater, elle possède des caractéristiques fonctionnelles dynamiques très complexes. Cette « MEMBRANE » possède des propriétés de résistance structurale très caractéristique car, grâce au UYOOALADAA, elle peut modifier ses coefficients d’élasticité et de rigidité mécanique à l’intérieur d’une ample marge de valeurs (UYOOALADAA – réseau vasculaire possédant des conduits à l’intérieur desquels s’écoule un alliage liquéfiable). (Voir image 11-58. Voir aussi la note 15 en regard). Mais par dessus tout, elle a été conçue pour supporter les tensions dynamiques élevée qu’elle subit durant le vol. Il ne faut pas oublier que tout le long de sa course, les effets de résonance dynamique pour des fréquences déterminées peuvent provoquer de sérieux troubles dans les organes complexes intégrés dans la XOODI NAA (membrane) à tel point qu’il faut dans certaines occasions engendrer des oscillations en déphasage avec les perturbatrices, pour les compenser. Je vais vous décrire sommairement, à un niveau de divulgation technique superficielle, une section de la XOODI NAA, avec les réserves d’usage et en vous prévenant que j’omets délibérément l’allusion et le dessin de certains dispositifs ou systèmes et même de l’un des composants fondamentaux du XOODI NAA. La configuration de cette XOODINAA présente des caractéristiques que vous pourriez appeler « modulaires ». Les différents organes ou dispositifs détecteurs exposés à un environnement spatial défini, se répètent dans des zones adjacentes d’égales grandeurs, et subissent, comme je vous le disais plus haut, des modifications graduelles chaque fois plus accentuées dans les différentes zones de la UEWA. Enfin je vous signale que dans le graphique (image 11) de la membrane du vaisseau, les organes sont été représentés comme si dans toute la section il n’y avait qu’une seule unité. En réalité la densité de distribution est différente dans chaque cas pour une unité de volume déterminé. |
Note 15 Ces radiateurs thermiques liquéfient la masse d’AALAADAA (mélange cristallisé de métaux ) située à l’intérieur. L’alliage est prévu pour avoir un coefficient d’élasticité élevé, un bas niveau de fusion et une grande conductivité thermique. Les conduits du RÉSEAU sont de section circulaire et elliptique selon les zones de la XOODINAA où ils sont intégrés. |
Image 11 (lire: 57 au lieu de 17, 58 au lieu de 52, 38 au lieu de 48)
Section schématisée de la XOODINAA
31 : UOXOODINAA. (UO = 0, donc: première couche en partant de l’extérieur) Il s’agit d’un revêtement poreux de composition céramique de point de fusion élevé (7260,64° C. Terrestres); son pouvoir d’émission externe est également élevé et sa conductivité thermique très basse (2,07113.10 -6 cal/(cm) (s) (°C). Il est très important pour la XOODINAA que l’ablation se maintienne dans une marge de tolèrance très large. Pour cela on utilise un système de refroidissement par transpiration à base de lithium liquéfié (voir 35). Malgré le fait que les tensions internes de type mécanique que doit subir la MEMBRANE soient élevées, celle-ci ne se détériore pas facilement. Cependant les fractures et fissures sporadiques peuvent être auto-réparées (voir Note 7 en regard). (Ndt: le paragraphe qui suit n’était pas traduit antérieurement) La UOXOODINAA est pourvue d’une fine couche intermédiaire de platine coloïdal situé à 0,006 ENMOO de la superficie externe. La fonction de cette pellicule métallique est en relation avec un système de protection contre l’abrasion due à la poussière cosmique ( voir note 19 en regard). 32 : IASXOODINAA. (IAS = 1 => seconde couche en partant de l’extérieur) formée par un matériau très élastique de conductivités thermique et électrique très faibles. A l’intérieur sont disposées des capsules [50] (YAAEDINNOO) contenant une dose du même matériau nommé UYOOXIGEE (produit céramique ) qui forme la couche externe déjà citée [UOXOODINAA – 31]. De chacune de ces capsules part un réseau de tubes quasi capillaires et une série de canaux d’information ULNII (voir note 3 en regard) connectés avec le YAEDINOO jusqu’à une série de UAXOO (détecteurs) situés dans la masse de la première couche [31]. Quand celle-ci se crevasse ou quand apparaissent des micro-fissures ou enfin quand elle est perforée par l’impact de petits métorites, ces détecteurs sont excités et activent le YAEDINNOO. Le produit céramique est fondu jusqu’à une température de 7655.8° C et il est conduit, fluide, en s’écoulant par le réseau vasculaire, jusqu’à la crevasse correpondante, pour souder ou pour remplir la cavité de la perforation. Chaque capsule du système protège une petite zone située au-dessus de la couche céramique, et les connexions vasculaires compensent les pertes du produit qui a pu être utilisé après une urgence. 33 : IENXOODINAA. (IEN = 2. Donc troisième couche en partant de l’extérieur) Il s’agit d’une couche ou sub-membrane cristallisée de bioxyde de silicium et modulée en forme de mosaïque hexagonale. 34 : IEVOOXOODINAA. (IEVOO=3. Donc quatrième couche en partant de l’extérieur) Il constitue la couche ou écorce la plus interne de la XODINAA. C’est aussi la plus épaisse. Sa constitution est complexe, mais son composant principal est un alliage dont les éléments de base sont ceux que vous nommez Coulombium (Niobium) et Tungstène (Wolfram) 35 : Il s’agit de senseurs réfrigérés intégrés dans l’IEVOXODINAA. Un conduit émerge de l’UOXODINAA. Sur l’image on peut distinguer une couronne flottante dans la masse céramique de cette couche qui détecte les gradients thermiques, activant l’émission d’un isotope de lithium quand la température atteint un certain niveau. Alors, ce fluide s’écoule à l’extérieur, se vaporisant en absorbant la chaleur. Dans quelques zones de l’UEWA le lithium est remplacé par du césium. Ces éléments sont postérieurement mis en réserve dans un réseau vasculaire, le lithium s’écoulant à une température de 318,622°C. 36 à 49 : UAXOO (détecteurs ou récepteurs). Sur toute la surface de la XOODINAA se trouvent une série étendue de UAXOO. Ce sont des organes détecteurs ou sensitifs activés par divers stimuli de nature physique, chimique ou biologique. (Par exemple : fréquences électromagnétiques, tensions élastiques, champs magnétiques et gravitationnels, gradients électrostatiques, pressions statiques et dynamiques, présence moléculaire de gaz, existence de moisissures et virus, etc.). Les techniciens en électronique et les ingénieurs des systèmes terrestres diraient que ce sont des transducteurs susceptibles de transformer la fonction énergétique excitatrice en une fonction équivalente de nature : » Optique, gravitationnelle ou de résonance nucléaire » (voir note 3 en regard). Vous utilisez, vous aussi, des transducteurs dont la caractéristique commune est la transformation des stimuli en une fonction de nature électrique, mais en ce qui nous concerne les spécialistes eurent à faire front simultanément à cinq types de problèmes qui soient compatibles quant aux solutions qui s’y rapportent : 36 : UULUAXOO. La gamme de transducteurs sensibles au spectre magnéto-électrique qui s’étend de 2,638.1014 à 5.32.1016 cycles/secondes est très variée. Ils sont tous inclus dans la couche la plus externe du UOXOODINAA, protégés par des sphèrules de verre transparent. Chacun de ces transducteurs est sensible à une bande très étroite du spectre et certains sont en résonnance avec une seule fréquence. Leur base est différente de celle des cellules photos-résistives ou photo-émissives utilisées pas vos frères ingénieurs terrestres. Les transducteurs enregistrent les altérations de l’état quantique des couches électroniques dans les molécules diatomiques d’un gaz quand il y a absorption d’IBOAYAA OUU (quantons énergétiques). 37 : Réseau vasculaire pour la fourniture de lithium et césium. 38 : Transducteurs pour l’évaluation de la pression externe du gaz; leurs marges de mesure s’étendent de 2,9.10-10 milibars à 1116,53 atmosphères. (il y a aussi d’autres transducteurs non représentés « enregistreurs d’impacts de molécules » capables d’enregistrer des niveaux inférieurs de « haut vide ».) 39 : Sondes pour la mesure des différents gradients thermiques dans la zone enveloppante limitée par la ITOAA. 40 : Capteurs de gaz et de poussière cosmique. Ils pompent le gaz par un canal de structure en « U », dont une des branches capte des molécules de gaz et de particules de poussière, qui sont ensuite expulsées sous pression par la seconde branche. Sont analysés à chaque instant : densité du gaz, composition chimique, présence de composants biologiques (virus, micro-organismes, acides aminés, chaînes organiques complexes), en fragmentant les structures complexes (particules de poussière, restes de tissus organiques), et en captant leurs images pour une analyse postérieure ). 41 : « Grappes » de transducteurs thermiques qui mesurent la température en divers points de la XOODINAA. La mesure s’effectue par le changement de perméabilité magnétique d’une fine baguette (échantillon ferromagnétique) en fonction du changement de température en ce point. Ils sont connectés directement avec les réfrigérants de Lithium et de Césium. 42 : Détecteurs différentiels du spectre électromagnétique délimité par les fréquences (3,71 à 2,66.1014 cycles/sec. 43 : Séparation des modules hexagonaux dans la mosaïque de IENXOODINAA (bioxyde de silicium) . Vous les appelleriez « joints de dilatations ». Ils évitent que les hautes tensions dynamiques puissent fracturer cette couche protectrices. La composition de ces « Joints » présente des caractéristiques de grande élasticité et de faible conductivité thermique. 44 : AAXOO (émetteur) d’ondes gravitationnelles. C’est un des seuls dispositifs qui maintienne la communication par voie UULNII (voir la note 3 en regard) avec les organes centraux du XOODINAA (XANMOO périphériques situés dans la membrane). Leur densité de distribution est très basse : 16,8 unités par ENMOO EE ( 1 ENMOO EE environ 3,5 m2). 45 : « cette information a été rayée au dernier moment par les messieurs d’UMMO, même dans la seconde copie que je fis. » [Note du dactylographe du document original]. 46 : Détecteurs de radiations ioniques. Ils sont intégrés dans des cavités sphériques situées dans la zone la plus externe de l’ IBOXOODINAA. Ces micro-enceintes sont pleines d’un ester très visqueux et contiennent des modules d’un métal cristallisé très pur taillés en forme de polyèdres. Les altérations dans le réseau cristallin du métal, provoquées par l’action des radiations corpusculaires, sont détectées par un second organe sensitif situé à la base de la cavité. 47 : Détecteurs de fréquences gravitationnelles, formés d’une pile de capteurs résonants. L’information est amplifié et retransmise au XAANMOO central. Chacun de ces transducteurs exige un puissant générateur d’énergie situé à la base (structure toroïde comme on peut le voir sur le croquis). La déterioration de ces appareils est fréquente car ils sont situés dans une cavité tronconique de la UOXOODINNAA sans aucune protection et soumis à l’érosion des agents extérieurs. 48 : Grappes de Transducteurs tensodynamiques inclus dans la masse du XOODINAA. Ils sont formées de baguettes encastrées dans les diverses couches de cette MEMBRANE et orientées dans toutes les directions. Leurs fonctionnement est basé sur la variation que subit la perméabilité d’un alliage de bismuth cobalt quand il est soumis aussi bien à des faibles compressions qu’à des tractions imperceptibles. Ces dispositifs, répartis avec une grande densité sur toute la structure de l’UEWA, enregistrent toutes les tensions déformantes aussi bien apériodiques que périodiques (vibrations) que subit le Vaisseau. Leurs informations sont très précieuses car elles permettent au XANMOO Central de corriger à chaque instant les conditions de vol quand de telles tensions peuvent provoquer des phénomènes de fracture, de fissure ou de gondolement dangereux de n’importe quel élément de la structure. 49 : Ces organes sensitifs transmettent une information semblable à celle des transducteurs cités en 48. Ils sont beaucoup moins sensibles aux vibrations de très basse fréquence, mais ils réagissent aux trains d’ondes acoustiques qui se propagent le long de la masse du XOODINAA, très souvent provoquées par l’impact de « COSMOLITES » et d’autres fois par des fractures brusques de composants, etc. 50 : Petits dispositifs appelés YAEDINOO remplis d’un produit céramique pour sceller les possibles fractures ou fissures de la membrane externe. 51 : Réseau de canalisation pour le lithium fondu. Il en existe un second pour le rubidium fondu et dans certaines zones, un troisième pour le césium. Ces métaux de bas point de fusion sont utilisés indistinctement pour les fonctions de réfrigération, au cas où certains systèmes de protection thermique auraient échoué. 52 : Réseau très dense appelé NOURAXAA. Il est connecté avec l’IBOZOOAIDA, équipement inverseur de particules. Nous ne pouvons rien vous dire sur ce système. 53 : XOOGUU-AYUBAA. Faisceaux de canalisations pourvus, aux points de convergence réticulaires, de modules de pompage. Ce réseau très important amène des micro-éléments depuis les réserves aux points qui ont subi un quelconque dommage (voir note 7 en regard). 54 : (censuré dans les deux documents originaux). 55 : (rayé également). 56 : IBOO (centre coordinateur du Réseau XOOGUU ) (voir note 7 en regard). 57 : Générateur d’ions pour la protection de la surface contre l’abrasion des poussières cosmiques et atmosphériques (voir note 19 en regard) 58 : UYOOALADAA AYUBAA. Conduite pour un alliage susceptible de se fondre ou de se solidifier en une densité de branches, variable par unité de volume. Elles confèrent ainsi à certaines zones de la membrane différents degrés de rigidité mécanique. Ainsi à partir du XANMOO (ordinateur), les caractéristiques élastique de la structure de la XOODINAA peuvent varier à « volonté ». Les canaux de section circulaire et elliptique selon les cas, sont pourvus axialement d’une chaîne de générateurs thermiques contrôlés pour la fusion de la masse métallique statique qui remplit le réseau vasculaire. |
Note 3 : Les canaux de transmission d’information au seins de nos équipements sont de deux types : NIIUAXOO (canal récepteur ou transmetteur de données) et NIIAXOO (canal effecteur, transmetteur d’ordres ou de séries d’impulsions) pour la mise en marche des différents organes exécutifs de la AYUU (Réseau). Les terrestres utilisent presque exclusivement des conducteurs et semi-conducteurs pour connecter les différents éléments d’un réseau. Ces circuits, qui ont en même temps des caractéristiques de résistivité, de capacité et d’inductance et qui sont aussi capables de porter des messages codés au moyen d’un flux d’électrons, ont l’inconvénient de déformer l’information en fonction de leur longueur. Pour ces raisons, nous utilisons rarement ce type de transmission électrique sauf pour les cas où la réponse n’exige pas un degré élevé d’intégrité et de fidélité. Nos systèmes sont programmés de manière à ce que chaque message codé soit transmis simultanément par trois canaux ou systèmes physiques de transmission informative, radicalement différents à la base afin que la fiabilité de la réponse soit pratiquement l’unité, et que la probabilité pour que les trois systèmes tombent en panne en même temps soit très réduite sauf dans le cas de destruction mécanique des organes transcepteurs de l’AYUBAA (Réseau). D’autre part, en supposant même que des facteurs physiques externes perturbent le contenu de l’information dans l’un des canaux, la réponse non perturbée ou perturbée différemment des autres, permet de reconstituer dans toute sa pureté le signal de départ. Le premier système UULNII (transmission d’information optique) utilise une fibre de verre (image A – n3a)(Filament vitreux (NII), IBOAYAA OOAA (amplificateur photonique)) à travers de laquelle peuvent se transmettre en même temps de l0.3 à 8.l0.6 canaux simultanés ou flux distincts d’informations dans un spectre électromagnétique qui s’étend de 6,72.l0.14 à 8,96,10.14 cycles/secondes. Note 4 (L’effet OAWOENNIUU) : Imaginez que nous essayions de désorienter, au sein de l’atome Mo1, un seul nucléon (un proton par exemple) ; il peut arriver que l’inversion ne soit pas absolue, dans ce cas l’effet observable par vous serait la conversion de la masse du proton en énergie. On obtient ainsi l’isotope du Niobium (comme vous appelez cet élément chimique fondamental). Mais nous pouvons forcer la désorientation des » axes » de l’IBOZOO UU (inversion absolue) d’une manière telle qu’un physicien observateur verrait, surpris, que le proton semble s’être ANNIHILÉ sans libération d’ÉNERGIE. Ce phénomène vous semblerait contredire le principe universel de conservation de masse et d’énergie (conservation mise justement en doute par d’autres physiciens de la Terre) ; en effet les Hypothèses formulées par quelques TERRESTRES sur l’actuelle CRÉATION DE LA MATIÈRE DANS L’UNIVERS se basent en réalité sur le fait qu’effectivement des ensembles d’IBOZOO UU s’inversent totalement dans notre cadre tridimensionnel, devenant observables par ceux qui y vivent. Vérifiant que : R1 = Distances radiales à l’atome de Niobium de chacun de ceux qui restent. Ainsi, si nous arrivons à exciter un atome de Molybdène (Mo1) situé dans un organe émetteur () en intervertissant un de ses nucléons, nous noterons dans un organe récepteur () contenant un autre atome Mo2, une altération quantique dans ce dernier, d’autant plus élevée qu’il y aura moins d’atomes parasites en résonnance à proximité. Il faut préciser que le transfert d’énergie ne s’est pas fait grâce à un champ excitateur afin que le temps de transmission soit nul (nous parlons alors de vitesse de transfert ou de flux informatif INFINI).
Note 7 : (LE RÉSEAU DYNAMIQUE DE L’UEWA) Comme je vous l’ai déjà expliqué dans le résumé que je vous ai remis il y a dix-huit jours à propos du XOOIMAA UGII , la complexité des modules structuraux est arrivée à un niveau si élevé que l’accès direct à ces organes vitaux devient presque impossible avec les moyens que vous avez vous, Terriens. Dans un décimètre cube, par exemple, il peut y avoir entre 400 et 23000 organes ou dispositifs autonomes, chacun d’eux pourvus de centaines ou au moins de dizaines (pour les moins complexes) de micro-éléments fonctionnels, composants dont le volume, dans quelques cas, ne dépasse pas les 0,0006 millimètres cube, et même quelques éléments peuvent se réduire à quelques molécules, pour ne rien dire de certains équipements dont un seul atome ou un corpuscule atomique isolé exerce une fonction essentielle. En premier lieu la fiabilité du AYUU (Réseau), car bien que de nombreux composants travaillent en parallèle de sorte que la panne de l’un soit compensée par les autres, il ne faut pas oublier que la détérioration d’un quelconque micro-élément peut paralyser tout un système qui est plusieurs millions de fois plus grand en volume. Le degré de fiabilité statistique exprimé en langage terrestre, est une fonction inverse (comme vous le savez) du nombre de composants, et bien que naturellement les systèmes soient simplifiés au maximum permis par notre niveau technologique du moment, les limitations fonctionnelles sont évidentes. Le second problème dramatique consiste en ce que vous appelez entretien ou maintien du système. Une fiabilité unité (100 %) n’est jamais atteinte. Ainsi se posent trois nouveaux problèmes : IDENTIFICATION, ACCÉS et RAPIDITÉ dans la réparation du composant sont les problèmes qui, sans une solution satisfaisante, inhabiliteraient ou condamneraient sans rémission un progrès technologique qui par supposition exige chaque fois une plus grande complexité fonctionnelle dans une AYUBAA (sous la dénomination de AYUU, font partie non seulement ce que vous appelez les graphes, mais aussi une grande partie des structures que vous intégrez sous la dénomination terrestre d’ingénierie des systèmes). – XOOGU AYUGAA. – Ce système résout chacun des problèmes supposés typiques d’un système à liaisons complexes. Il s’agit d’un RÉSEAU vasculaire compliqué plongé au sein d’une quelconque structure fonctionnelle. Sa similitude avec le RÉSEAU artériel et capillaire sanguin de quelques êtres pluricellulaires est évidente, bien que son fonctionnement soit différent, comme vous allez le voir. Des milliards de petits canaux relient tous les organes avec l’AYUBAA. Ce réseau est réticulaire-radial (image 7c). Vous pouvez l’assimiler à un graphe connexe, quelques-uns de ces sous-graphes sont arborescents. D’autre part, ses branches sont orientés seulement dans ces derniers et non dans les circuits ou mailles. Un centre expéditeur englobe les nouveaux composants, qui doivent remplacer ceux qui sont en panne, dans une masse gélatineuse cylindroïforme (NUUGII, image n7b) (NUUGII, NUUGII IADDUU) Ce cylindre se déplace au sein du conduit vasculaire jusqu’à un IBOO (point ou noeud du réseau). Le NUGII est poussé par la différence de pressions ΔP = P1 – P2 du gaz Hélium contenu dans la canalisation. Les IBOO (points ou noeuds) sont de véritables centres névralgiques de communication qui réalisent les fonctions suivantes : Tous les IBOO sont contrôlées par un centre XANMOO coordinateur. Enfin le NUUGII arrive à destination (l’organe en avarie). Au préalable, le composant en panne a été retiré de son emplacement et ensuite réexpédié dans un autre NUUGII pour être enfin éliminé par fusion, décomposition et transmutation nucléaire. Le nouveau micro-élément est débarrassé de son enveloppe gélatineuse (par oxydation de la gelée au moyen d’oxygène liquide). Il est ensuite soumis à l’action d’un champ gravitationnel contrôlé qui l’oriente spatialement. (Ce champ se réduit à un petit environnement, il ne s’agit pas d’un champ uniforme: au contraire des gradients dynamiques complexes en chaque point du champ permet l’orientation de la pièce et provoque des rotations et des déplacements linéaires). Bien que la description qui précède soit très sommaire (vous pouvez imaginer qu’une étude exhaustive du système occuperait des milliers de pages de ce format), elle permet de vous montrer de quelle manière nos systèmes sont » auto-réparés « . Tout cela présente une autre série de problèmes de type topologique car il faut positionner les composants les moins fiables à la périphérie pour qu’ils puissent être facilement récupérés. Les éléments de la structure qui peuvent être abîmés, fondus ou simplement subir une abrasion ou une corrosion chimique et qui, en même temps à cause de leur volume excessif, ne peuvent être transportés au travers de canaux de la XOOGU sont réparés d’une autre manière : C’est pour cette raison que de nombreux dispositifs de tous les équipements techniques de la planète UMMO ont une structure cylindrique et leurs éléments ou composants sont situés dans les parois internes du cylindre. Sa forme permet le passage du NUUGII qui, à son tour, a accès à n’importe quel composant parmi ceux qui sont situés dans la périphérie interne. Toutes ces opérations sont réglées et planifiées par le XANMOO correspondant. Les voyageurs de la UEWA n’ont pas à se préoccuper des multiples micro-avaries qui se produisent à chaque UIW dans un point quelconque de la structure du Vaisseau. En somme nous connaissons, convenablement ordonnées, » a posteriori « , les fréquences avec lesquelles eurent lieu ces avaries. Si leur distribution statistique est anormale on en tient compte dans le futur pour les nouveaux projets de dessins de structures et systèmes. Note 19 : Système NIIO ADOGOOI. (Ionisateur de la membrane) (XOODINAADOO, ADOUAXOO ) constituée par de très fines particules colloïdes de platine en émulsion dans un milieu au coefficient diélectrique élevé. Distribuées sur la périphérie du vaisseau, on trouve les NIIO ADOUAXOO (cellules ionisantes) qui ont une double fonction : Supposez le premier cas : c’est-à-dire neutres. Les particules s’orienteront vers le Vaisseau car le gradient gravitationnel est favorable à ce flux (image n19b). Les systèmes de détection que nous vous avons décrits dans ce document ont enregistré à l’avance la densité spatiale de ces particules, leur spectre gravimétrique (c’est-à-dire la distribution statistique en fonction de leurs masses et morphologies), leur composition chimique et leur charge électrostatique moyenne (nulle dans le cas présent) ainsi que leur fonction cinématique par rapport aux centres galactiques émetteurs de référence (vitesse relative de déplacement et direction, coefficient d’expansion de la nébuleuse, etc.). Toutes ces données sont analysés dans le XANMOO central provoquant la réponse de la NIIO ADOGOOI (système de protection antiabrasion). Des cellules génératrices d’ions (NIIO ADOUAXOO) émettent des électrons impulsés avec une énergie élevée qui sont projetés en trajectoires paraboliques vers l’extérieur (image n19C). Simultanément, la membrane de platine colloïdale (XOODINNADOO) est chargée avec un potentiel électrostatique qui peut atteindre des valeurs entre 180000 et 900600 volts (potentiel négatif). Chaque particule qui se dirige vers la membrane (image B, voir plus haut) à une vitesse U capte un ou plusieurs électrons, provenant du flux émis par l’UEWA. La particule devient alors ionisée. Comme le gradient de potentiel électrique est très élevé à proximité du vaisseau, la répulsion électrique compense aussi bien l’énergie cinétique que la force d’attraction gravitationnelle de façon telle que la particule assaillante est déviée dans sa trajectoire et n’établit pas le contact avec la surface de l’UOXODINAA. Dans le cas où la poussière cosmique est (déjà) ionisée, la sousmembrane de platine s’électrise avec une charge identique à celle du nuage agresseur. Observez que la XOODINAADOO est protégée par une autre couche supérieure de même nature ou matière céramique que l’UOXOODINAA. Un effet secondaire de transfert de charges entre la superficie libre de la membrane et la souscouche de platine colloïdal, crée une émission photonique de la croûte céramique à l’intérieur du spectre visible pour nos rétines en longueurs d’ondes dans le vide de 596,9 millimicrons terrestres et 602,34 ou 612,68 millimicrons. Cette électroluminescence n’est pas provoquée par l’impact d’électrons sur la masse mais sur le champ électrique qu’ils engendrent en passant dans la masse céramique translucide. Un observateur extérieur note une intense luminosité dont la nuance dépend de la longueur d’onde émise, oscillant du vert-jaunâtre au carmin. Ces tons chromatiques ne sont pas toujours les mêmes car ils dépendent évidemment de la composition chimique de la couverture céramique. La luminosité de nos UEWA OEMM vus de loin n’est pas due dans tous les cas à cette électroluminescence. Dans certaines occasions l’UOXOODINAA, dans sa couche périphérique, est activée thermiquement jusqu’à atteindre une température suffisamment élevée pour arriver au niveau rayonnant que vous dénommez rouge-cerise. Ceci se fait pour deux raisons : brûler l’oxygène déposé dans les pores et d’autre part libérer sa surface de micro-organismes et autres restes organiques avant de quitter l’atmosphère pour d’autres destinations. Ce dernier moyen fait partie du programme d’asepsie générale du Vaisseau qui précède toute navigation interplanétaire (le processus reçoit le nom de AIAIEDUNNEII). Nous évitons ainsi de perturber le milieu écologique de chaque OYAA par l’apport de structures biologiques d’origine étrangère. Le contrôle du potentiel électrostatique dans chaque unité superficielle de la XOODINAADOO est prévu de façon telle que la distribution de charges (densité superficielle électrostatique) puisse varier d’un environnement à l’autre jusqu’à ce que dans une zone, la densité atteigne à peine quelques dixièmes de microcoulomb, malgré le fait que celle-ci soit entourée par d’autres de potentiel très élevé. |
UAXOO AXOO
C’est un centre névralgique à bord de l’UEWA. Comme vous avez pu le voir, une grande partie des organes sensitifs est disposée uniformément sur toute la zone de la XOODI NAA (membrane). Mais il existe beaucoup d’autres équipements dont la position est centrée sur ce noyau sensitif, situé dans la base même de la UEWA OEMM . Il y a aussi quelques dispositifs de défense. Je vous énumère les principaux: Le XAANMOO réalise alors un processus de recherche dans son modèle de mémoire jusqu’à trouver une entité intra ou extragalactique qui présente une somme de traits physiques très semblables à celle qui est étudiée. Ce processus d’identification atteint à peine une période de quelques millièmes de UIW. La gamme de coïncidences est si importante quand on compare les faits correspondants qu’une erreur est pratiquement improbable (de l’ordre de 10 -16). Un second problème de type inverse peut être résolu par nos équipements : Identification dans un hémisphère sidéral d’une entité intra-galactique mémorisée dans la XAANMOO. Pour cela on « balaie » avec le détecteur tout l’angle solide de 2 p stéréoradians en suivant une trajectoire spirale idéale de pas réduit (0,002 secondes sexagésimales terrestres) jusqu’à localiser l’entité recherchée. Mais pour cela on utilise notre système UULXOODII OEMM qui permet l’enregistrement optique d’astres à grandes distances (Voir note 16 – manquante). Un autre dispositif essentiel intégré dans le noyau UAXOO AXOO permet à la UEWA de connaître sa position dans le système galactique de référence (Voir note 8 – manquante). |
Note 5 : (NdT: la position de cette note n’est pas repérée dans le texte de la lettre, mais semble ici à sa place) Les trois systèmes de transmission du flux informatif sont utilisés simultanément dans les branches du Réseau et les réponses exigent une fiabilité élevée pour que la probabilité que les trois canaux tombent en panne en même temps soit sensiblement réduite. Dans le schéma de l’image D (n5d),nous simulons un AYUU (réseau) avec deux organes () et () entre lesquels doit s’écouler une information. Les trois canaux représentent respectivement des transmissions par voie optique, gravitationnelle et en résonance nucléaire. et représentent respectivement un dérivateur et un intégrateur de signaux. Ce dernier exerce une fonction importante : il compare le contenu du même message reçu par les trois voies en éliminant les perturbations provenant d’une source parasite étrangère au système. (N’oubliez pas que les temps de transmission varient pour chaque système, étant nuls pour ceux en « résonance nucléaire »). xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Toutes les branches du réseau ne permettent pas une communication par les trois systèmes. Dans de nombreux cas il est impossible de canaliser le flux informatif par voie optique car les faisceaux de fibres de verre (voir note 3) constituent un élément mécanique perturbateur. N = nombre d’impulsions par seconde |
Navigation intersidérale et atmosphérique
Nos OAWOOLEA UEWA OEMM utilisent comme système de référence notre propre système de coordonnées galactique (de type que vous dénomez « polaire »). Le procédé pour matérialiser un tel cadre référentiel consiste à sélectionner quatre sources de radiation dans la galaxie, situées respectivement à une distance de IUMMA (notre astre solaire) en unités terrestres : Il s’agit de noyaux émetteurs intra-galactiques que nos XAANMOO ont sélectionné parmi les plus stables (et pour d’autres caractéristiques). Leurs déplacements par rapport au système référenciel galactique sont parfaitement connus, et ainsi de simples fonctions de conversion permettent, grâce à un procédé de calcul approprié, de situer un quelconque « point-problème » à l’intérieur du cadre de référence idéal, si l’on connaît avec assez de précision les distances aux noyaux émetteurs. Dans la pratique, ce n’est pas cette distance que l’on mesure mais les rapports trigonométriques des angles que forment, entre eux, les rayons idéaux depuis le « Point-Problème » (dans notre cas :le Vaisseau) jusqu’aux sources radiantes proprement dites (voir note 8 Ndt: non jointe). Pour cela, comme nous vous l’expliquerons dans la note, l’UEWA possède quatre équipements d’acquisition de données (UAXOO) qui livrent leur information au XANMOO central. Une fois les coordonnées polaires de position « connues » par celui-ci, il intègre la séquence de faits relatifs à une trajectoire que suit durant un certain temps l’UEWA, et il est alors capable d’afficher à un instant donné la distance par rapport à n’importe quelle entité galactique (notre UMMO par exemple). De plus, ces données servent pour corriger automatiquement la trajectoire en évitant les zones connues comme dangereuses (haute densité de cosmolites, radiation intense, température élevée à proximité des étoiles, etc.). Naturellement, une telle information est ajoutée (simultanément) aux données qu’apportent les autres organes UAXOO (détecteurs). Le XANMOO compare les deux trains d’information. Quand apparaissent des discordances (ceci peut être dû au fait que les éléments mémorisés par rapport à la configuration galactique étaient erronés ou que les UAXOO [transducteurs] soient perturbés), à ce moment-là d’autres UAXOO se mettent en service pour confirmer la fiabilité informative des premiers. Les frères cosmonautes sont de plus informés de l’existence de cette anomalie et peuvent agir en conséquence. Quand la UEWA OEMM se trouve en un point où il faut recourir à un changement de cadre tridimensionnel, on provoque alors artificiellement un phénomène appelé par nous OAWOOLEIDAA. Alors, toutes ses particules subatomiques situées au sein de l’enceinte, limitée par une superficie idéale nommée ITOOA (voir figure 7), s’inversent en pouvant disparaître du contrôle physique d’un observateur situé au sein de l’autre « cadre primitif ». Dans le nouveau système – réel – de référence, les sources émissives que j’ai mentionnées antérieurement et qui servaient de « phares » au vaisseau, n’ont plus d’existence pour le Vaisseau transporté dans ce nouveau cadre tridimensionnel; notre galaxie même cesse d’être une entité perceptible au moyen d’un quelconque instrument détecteur aussi sensible qu’il soit (tout au moins notre science ne peut imaginer comment on pourrait concevoir un système physique capable d’avoir accès à un autre cadre tridimensionnel et qui apporte simultanément sa réponse au premier)]. Mais pour les voyageurs spatiaux, le nouveau cadre, la nouvelle » perspective » du Cosmos [vous ne devez pas interpréter ce changement d’axes comme le passage à un second WAAM (univers ou cosmos) mais comme une nouvelle perception de celui-ci] n’est cependant pas isotrope. La nouvelle présence de champs gravitationnels due à la distribution de masses, champs électromagnétiques et grandes nébuleuses de corpuscules « infinitésimales » fortement ionisés, servent maintenant de nouvelles références provisoires de route. La UEWA OEMM avait atteint, avant la OAWOOLEAIDAA, une vitesse de régime qui, avec l’accroissement correspondant dû à l’augmentation de masse subie au ras de ce phénomène, constitue l’étape cinématique initiale dans le nouveau système tridimensionnel. A cet instant le XANMOO central mémorise les ultimes références de position par rapport aux quatre centres sidéro-émetteurs cités, pour, immédiatement après, sélectionner six points provisoires de référence dans le nouveau cadre, lesquels servent pour fixer la position de l’UEWA dans un système qui lui est étranger. Toute cette information est informatisée pour calculer à chaque instant quelle serait la nouvelle position du vaisseau s’il retournait dans l’ancien cadre tridimensionnel (c’est-à-dire la Galaxie qui nous est familière). Naturellement on connaît avec une relative exactitude la fonction mathématique du » plissement de l’espace » que nous appelons UXGIGIAM ONNOXOO . Les erreurs d’évaluation dans une telle situation de retour sont de grandeurs variables [de l’ordre de centaines de KOAE (1 KOAE = 8,71 kilomètres terrestres) jusqu’à des marges d’erreur de l’ordre de 10.5 KOAE). Quel que soit le cadre où elle se trouve, l’Uewa doit être accélérée tout le long de sa trajectoire, aussi bien pour atteindre des régimes de vitesse qui lui permettent d’arriver dans le temps prévu à ses différents objectifs, que pour éviter une quelconque entité physique perturbatrice (un cosmolite gigantesque par exemple). Les taux d’accélération atteignent rarement des valeurs de 24500 GAL, exprimées en unités terrestres (NdT: GAL: Unité spéciale employée en géophysique pour exprimer l’accélération = 0,01m/s2. Donc 24500 GAL = 245 m/s2 = environ 25 « G »). Des accélérations supérieures provoqueraient non seulement des effets désastreux de type biologique sur les OEMII voyageurs malgré leurs systèmes de protection, mais aussi sur la structure et infrastructure du vaisseau. [Je vous ai déjà décrit dans la note 6 et dans les paragraphes précédents se rapportant à la phase OOE la nature de ces systèmes de protection]. Les problèmes les plus importants qui doivent être résolus en route sont ceux dérivés de la présence de quatre types de facteurs qui constituent un indiscutable danger pour l’UEWA OEMM : La meilleure solution pour les trois premiers cas consiste en une nouvelle OAWOOLEAIDAA, quoique dans le troisième cas, comme la présence de cosmolites dangereux peut être détectée facilement à une certaine distance, on peut faire une modification de trajectoire pour l’éviter. L’effet d’abrasion continue que subit la zone externe de la XOODINAA (membrane) à cause de la poussière cosmique constitue un autre inconvénient grave. Une telle perturbation est négligeable pendant les voyages « courts », mais il n’en est pas de même en ce qui concerne les longs trajets. L’usure par friction peut endommager gravement les organes intégrés dans la XOODINAA. Nos vaisseaux possèdent un système protecteur que je vous décris dans la note 19 (page 69-3). Comme expliqué dans cet appendice, la luminescence de couleur orangé que l’on observe sur nos UEWA n’est qu’un effet secondaire de cette protection technique. L’entrée de nos vaisseaux dans l’écorce gazeuse qui entoure quelques très rares OYAA (astres froids) présente, comme vous pouvez le supposer, un autre ordre de problèmes graves. Comme je vous l’ai expliqué, monsieur, le profil de nos OAWOOLEA UEWA OEMM n’est pas dû au hasard et n’obéit pas à des motifs d’esthétique ou de présence de voyageurs (voir note 10 en regard). Leur morphologie correspond au dessein d’être la plus proche possible de la structure idéale qui permet une OAWOLEAIDAA (transfert du système tridimensionnel) avec un minimum de puissance nécessaire à l’instant to, mais pour cela il faut sacrifier une configuration structurale qui par ailleur serait idéale (finesse aérodynamique) pour le déplacement dans un fluide visqueux comme peut l’être l’air atmosphérique. Cette forme géométrique du vaisseau, peu en accord avec les postulats de l’aérodynamique, pour une structure qui doit dans de nombreuses occasions se déplacer au sein de couches gazeuses aux caractéristiques très différentes (composition chimique, température et densité), doit absorber une nouvelle série de problèmes inévitables qu’un dessin aérodynamique réduirait considérablement. En effet, quand une de nos UEWA pénètre dans les couches les plus denses d’une atmosphère quelconque avec des vitesses que vous qualifieriez d’hypersoniques pour ce fluide, la chaleur transférée à la XOODINAA tant par la couche de choc que par la couche limite (j’utilise des termes qui vous sont familiers car nos concepts de la mécanique des fluides se formulent d’une manière différente) ne pourrait être absorbée – malgré ses capacités élevées d’ablation – dans des cas limites sans que de nombreux organes ne se détériorent et même sans que sa surface ne fonde. Les pertes énergétiques seraient de plus très élevées étant donné qu’il n’est pas possible de conformer géométriquement le profil de la UEWA pour que le régime laminaire de la » couche limite » soit contrôlé, ce qui fait que dans certaines phases il deviendrait turbulent. En résumé, tout le problème se réduit à contrôler ou à obtenir une maîtrise rigoureuse de ce que vous appelez » COUCHE LIMITE et ONDE DE CHOC » sans modifier le profil du vaisseau, de telle façon que : Malgré tout cela, il faut obtenir des valeurs de refroidissement élevées avec l’aide de l’évaporation du lithium » transpiré « . La technique qui nous permet ce contrôle efficace du contour gazeux ou liquide du vaisseau est censurée dans ce document simplement descriptif et ses bases scientifiques ne sont pas connues par les spécialistes de la Terre (voir note 11 en regard). L’équipement YUXIDOO dont la fonction consiste à modifier le profil des gradients dynamiques dans les couches gazeuses voisines, se trouve dans une section annulaire dans la DUII (couronne du vaisseau, voir image 1 – 20 ). Les performances de vol sont aussi assurée à l’intérieur de larges limites de tolérance. Par exemple, une vitesse standard sélectionnée pour des vols dans une atmosphère de type UMMO, est de 12,08 MACH (traduite en unités terrestres). A ce régime, la compression de l’onde de choc est telle que la température dépasse les 3500° C. Les molécules de gaz en se dissociant sont fortement ionisées et la chaleur transférée aux couches environnantes est très élevée. |
Figure 7 ——————- (IITOAA) Note 10 : Si la YONNIANNAA était exprimée par un volume, la surface hachurée de l’image B serait la résultante de la reproduction sur un plan de symétrie A,B, du solide de révolution en tournant sur l’axe de rotation des ordonnées y,-y. Le plan équatorial serait défini par la valeur y=1 et le volume s’étendrait théoriquement jusqu’à l’infini. Note 11 : On peut réaliser un transfert d’énergie dW à la molécule, transfert qui modifiera son état d’inertie (vitesse, masse et direction). = paramètre du rendement du YUUXIO et de la masse moléculaire: « d » exprimé dans l’image n11-A (plus haut) comme la distance représentée par notre caractère Il est évident que si l’on désire contrôler des strates gazeuses très éloignées du Vaisseau, il faudrait des énergies d’activation très grandes, ce qui fait qu’en pratique le contrôle de masses importantes de fluide est irréalisable. —————————- |
(OAWOLEAIDA, UEWA OEMM, YONNIANA)
Explications concernant le comportement apparent des UEWA OEMM
Je vous ai déjà expliqué, monsieur, que nos UEWA OEMM (astronefs) se déplacent au sein de l’atmosphère à grande vitesse (bien que les plus grandes valeurs dans ce cas ne puissent être comparées avec les régimes cinématiques possibles dans l’espace dépourvu de fluide visqueux). Les sauts brusques que certains de vos frères terrestres ont cru percevoir dans la vitesse d’astronefs similaires appelés par les journalistes terrestres : soucoupes volantes, OVNI, UFO, etc., exigent une analyse plus objective. Avant tout, je désire vous signaler qu’un pourcentage très élevé de ces témoignages se rapportent (en dehors de la multiplicité des cas frauduleux, erreurs optiques, hallucinations, erreurs de perception, attribution d’un caractère interplanétaire à de simples structures terrestres, etc.) à des vaisseaux mystérieux étrangers à notre civilisation d’UMMO. Mais tant que de tels vaisseaux sont structurés avec des bases technologiques semblables aux nôtres, comme semble le suggérer leur morphologie externe – et nous l’avons vérifié dans certains cas -, vous pouvez élargir les déclarations que je vais vous faire non seulement en ce qui concerne nos UEWA OEMM OAWOOLEA mais aussi aux structures provenant sans doute d’autres astres froids, bases de réseaux sociaux très évolués (voir la note 12 en regard). Disparition du vaisseau Un observateur qui se trouve à une distance qui n’est pas excessive, peut observer l’apparente » annihilation » instantanée d’un vaisseau de ce type. Cette pseudo-disparition peut avoir deux causes : comme je vous l’ai dit dans les pages précédentes, à l’instant (OWOALEAIDA) où tous les IBOZOO UU correspondant à l’enceinte délimitée par la ITOOAA changent « d’axes » (OAWOO) dans le cadre tridimensionnel où se trouve placé l’observateur, toute la masse qui est intégrée dans cette enceinte cesse d’avoir une entité physique. Ce n’est pas qu’une telle masse soit » annihilée », car le substrat de cette masse est composé par les IBOZOO UU ou autrement dit la masse s’interprète comme un PLISSEMENT DE LA CHAINE DES IBOZOO UU. Notre Physique interprète ce phénomène comme si l’orientation de cette dépression ou le plissement des entités constitutives de l’espace changeait de sens de telle manière que les organes sensoriels ou les instruments physiques de l’observateur ne sont plus capables de percevoir un tel changement (note 17 – manquante). A cet instant to, le vide dans l’enceinte est absolu. Il n’y a pas une seule molécule gazeuse et bien entendu aucune particule solide ou liquide, ni même une particule subatomique (proton, neutrino, photon, etc.) qui puisse être localisée probabilistiquement dans cette enceinte. Dit de votre manière : la fonction de probabilité est nulle en to. Toutefois une telle situation instable ne dure qu’une fraction infinitésimale de temps. L’enceinte se voit « envahie » consécutivement par des IBOAYAA (quantons énergétiques), c’est-à-dire que se propagent en son sein des champs électromagnétiques et gravitiques de diverses fréquences, elle est immédiatement traversée par des radiations ioniques et enfin se produit une implosion quand le gaz extérieur se précipite dans le vide laissé par la structure » disparue « . Cette implosion constitue l’explication de ces » détonations » ou » tonnerres » que quelques observateurs terrestres d’OVNI ont cru percevoir dans certaines occasions après la disparition apparente du véhicule. Cette disparition de l’UEWA OEMM au regard du spectateur éventuel ne doit pas toujours être interprétée comme un effet de ce processus d’inversion dans un cadre tridimensionnel différent. Quand l’observation est nocturne, les vaisseaux (tout au moins les nôtres) peuvent être parfaitement observés grâce à la luminescence générée secondairement par la XOODI NAA (voir note 19- page précédente ). La lumière émise par nos UEWA se situe dans la bande spectrale optique qui, pour la rétine de l’OEMII, corresponds à la gamme chromatique du jaune à l’orange. (Parfois d’autres vaisseaux présentent une autre bande chromatique car ils possèdent une XOODINAA d’une autre composition chimique comme nous avons pu le vérifier dans d’autres voyages que nous avons réalisés dans d’autres points galactiques.) Ainsi donc, en accord avec ce phénomène secondaire, une telle luminescence peut être annulée par la même UEWA, ce qui fait que le véhicule semble « s’estomper » , « s’éteindre » ou « disparaître » . |
Note12 : Nos relations avec quelques civilisations établies sur d’autres OYAA (ASTRES froids) datent d’assez longtemps. La structuration biologique de telles Planètes habitées suit les mêmes lois que celles que nous connaissons vous et nous. La gamme des espèces et subespèces vivantes y est d’une richesse considérable, sans que l’on enregistre de grandes ressemblances parmi les phylums de chaque milieu écologique; au contraire, les schémas phylogénétiques respectifs présentent dans leur multiplicité phylétiques de profondes différences bioconfiguratives même en ce qui concerne les êtres les plus semblables d’un autre milieu planétaire.Cela ne se passe pas toujours ainsi avec les organismes moins développés (oligocellulaires et monocellulaires) et avec les plus évolués (anthropomorphes). C’est-à-dire avec les extrêmes de l’échelle biologique. Ainsi nous avons constaté l’existence sur UMMO d’espèces de cyanophites (algues bleues [NdT]) et de certains flagellés parfaitement connus des biologistes de la Terre. La ressemblance des êtres anthropomorphes est également évidente en dehors de quelques petites différences dans la pigmentation épidermique, dans l’atrophie de certains organes disfonctionnels, dans des différents degrés de développement musculaire, métabolique et par dessus tout neurocortical. Le développement de l’épiderme constitue aussi un signe progressif. Des récepteurs nerveux qui y sont intégrés peuvent subir de profonds changements qui leur permettent d’être sensibilisés à d’autres sphères de stimulus physiques ou en agrandissant l’extension dans le spectre jusqu’à des fréquences qui étaient jusqu’alors inaccessibles. En arrivant sur cette Planète en l’an terrestre 1950 (les circonstances de notre arrivée sur Terre furent intéressantes et Je vous les narrerai un jour comme complément au document que vous avez reçu concernant notre arrivée en Espagne) et une fois assimilés la langue et les coutumes, nous pûmes nous mélanger aux OEMII terrestres. Nous pûmes nous informer, grâce aux publications imprimées typographiquement, des observations réalisées par des témoins éventuels qui purent observer des véhicules spatiaux avec une configuration semblable à celle de nos UEWA OEMM . Naturellement nous étions certains que presque toutes ces descriptions n’avaient rien à voir avec nos propres Vaisseaux (nous nous référons à la décade comprise entre 1950 et 1960). Mais quelques éléments attirèrent fortement notre attention : En effet : nos propres analyses révélèrent que la masse sociale de la Terre, s’appuyant sur le centre de cristallisation de quelques témoignages, véritables et vérifiés, s’était lancée dans une spéculation fébrile autour des narrations d’OEMII farceurs, journalistes sans scrupules, malades parano-mythomanes, névrosés… sans oublier la collaboration ingénue ou intéressée de frères avec une faible formation culturelle et un esprit critique peu élevé, frères qui, avec leurs illusions de perception et même victimes de croyances hallucinatoires, rendirent encore plus touffu et sombre un panorama déjà lourd et confus. Face à cette perspective chaotique, il est clair que les OEMII sensés et équilibrés de votre Planète, qui au début abordèrent le problème sérieusement avec une méthodologie orthodoxe, furent déçus non seulement en découvrant la supercherie de quelques cas (nombreux sans doute) mais aussi en constatant qu’avec leurs moyens de contrôle, de détection et d’analyse limités, l’accès aux cas réels probables était totalement impossible. En ce qui nous concerne, nous fîmes unilatéralement nos propres enquêtes sur Terre. Comme inconvénients il faut tenir compte du fait que nous n’avions pas un accès facile aux dossiers secrets qui étaient aux mains des organismes de l’administration Gouvernementale de quelques pays et que nous ne pouvions pas atteindre les hypothétiques témoins de la Terre sans risquer d’être démasqués ou de soulever de sérieux soupçons. De plus, nous n’avions pas assez de frères à consacrer à cette tâche car pour nous l’objectif fondamental qui nous a amenés sur cet OYAA, c’est-à-dire l’étude de la civilisation terrestre, était beaucoup plus important. Mais par contre, en notre faveur nous avions le manque de préjugés qui inhibe toute tentative sérieuse des Terrestres au niveau de ces recherches, et surtout de pouvoir compter sur des moyens techniques de prospection et d’analyse inconnus de la technologie de vos frères. En effet, nous pûmes localiser à proximité de cet Astre, la présence de structures navigantes qui n’étaient évidemment pas construites par des pays terrestres.., pas plus que par UMMO. Ces structures n’étaient pas préalablement identifiées dans nos mémoires. En réalité les faits codifiés à ce sujet par nous sont très rares; cependant, en observant une nouvelle UEWA (véhicule), la similitude de ses traits techniques avec ceux d’autres vaisseaux différents et d’une civilisation déterminée qui sont analogues peut servir comme critère d’identification pour nos XANMOO AYUBAA . Autrement dit, si par hypothèse nous voyions sur une autre Planète un nouvel avion à réaction encore non enregistré par nous, nous l’identifierons malgré tout comme originaire de la Planète Terre – même s’ils n’ont pas de signes distinctifs – car nos XANMOO » trouveraient » en lui des traits techniques propres à la seule Planète Terre. Je vous disais donc, qu’au contraire, de telles découvertes ne purent être identifiées comme originaires d’un Réseau Social connu. De tels vaisseaux utilisaient cependant – ce qui était évidemment prévisible – des bases technologiques de navigation spatiale semblables aux nôtres. Nous » nous sentîmes » observés par eux (je ne peux vous expliquer ce point) et en aucun cas ils ne répondirent à nos codes d’identification. Dans un des cas, la finesse résolutive des faisceaux d’ondes gravitationnelles émis par eux, avec sans doute comme objectif l’obtention d’une image fidèle de la structure interne de notre vaisseau, était si extraordinaire (à tel point que nos propres équipements UAXOO [détecteurs] furent incapables de la mesurer) que, conscients de notre infériorité technique, nous dûmes recourir à l’OAWOOLEAIDAA (inversion de la masse). Très récemment, deux épisodes d’un autre ordre ont complété nos observations précédentes. Nous croyons, avec un degré certain de fiabilité, que nous avons vraiment obtenu des contacts personnels dans cette même écorce de OYAAGAA (Terre) avec des OEMII originaires d’autres OYAA qui, par une démarche similaire à la nôtre, semblent s’être intégrés sans éveiller de soupçons dans le Réseau Social Terrestre. De tels contacts ont surgi dans un climat de mutuelle méfiance, car ces êtres ne peuvent être vraiment qualifiés de véritables membres d’un autre Réseau Social étranger à la Terre, jusqu’à ce qu’un apport de preuves soit plus convaincant. A ce niveau, nous nous montrons beaucoup plus méfiants que vous malgré que les épreuves auxquelles ils ont été secrètement soumis ne présentent pas un caractère négatif. |
» Changements brusques » de vitesse
Certaines fois nos vaisseaux, que l’on a vu se déplacer à des vitesses même supérieures à Mach 15 , semblent changer brusquement de direction (Image 16). Il est fréquent que ce changement soit orthogonal, virant brusquement sa trajectoire de quelque 90° sexagésimaux terrestres sans enchaînement ou sans virage, et souvent un tel angle peut être encore plus aigu. Parfois le vaisseau semble même inverser sa vitesse tangentielle » en s’arrêtant instantanément » et en revenant par la même trajectoire (image 17). La mission d’exploration peut exiger aussi une immobilisation instantanée de la UEWA OEM en vue de l’efficacité d’analyse. Dans ce denier cas, un quelconque observateur étranger au véhicule qui observerait le déplacement hypersonique de loin, peut être surpris en assistant à l’immobilisation brusque de la UEWA comme si elle avait heurté un obstacle invisible. Pour cet OEMII, son illusion visuelle sera pour le moins interprétée dans les termes précédents. Je traiterai donc, monsieur, ce qui se passe vraiment dans ces cas. Le changement » si spectaculairement interprété » du régime cinématique de nos UEWA (modification du gradient de vitesse aussi bien en grandeur qu’en orientation ou sens) peut être provoqué durant la navigation par des incidents imprévus (véhicules étrangers qui se rapprochent, tempêtes qui peuvent perturber une observation intéressante, nécessité d’éviter des champs électromagnétiques dans des zones dont l’intensité de propagation peut être aussi perturbatrice, faisceaux de radiation déci ou centimétrique que vous utilisez en radiolocalisation quand notre système d’absorption de telles fréquences pour annuler les échos doit être bloqué pour éviter les risques d’altérer d’autres mesures intéressantes, etc.). Généralement c’est le XANMOO AYUBAA de l’UEWA qui adopte la décision de changer rapidement de cap, après l’analyse logique des multiples paramètres-réponses recueillis par les organes sensitifs (UEWA) du vaisseau . Comme de tels agents perturbateurs se trouvent dans le cadre tridimensionnel dans lequel se déplace la UEWA, il est clair que l’efficacité maximum sera obtenue par un changement brusque et réel de la route et même de la magnitude de sa vitesse tangentielle Uo. La solution, telle que nous l’exposons, n’est pas viable physiquement. Les effets immédiats seraient l’annihilation du vaisseau. |Uo| ne se modifie pas, un virage brusque de 90° sexagésimaux terrestres suppose un accroissement instantané de l’accélération centripète, si brusque (n’oubliez pas que nous nous référons à un rayon de courbure presque nul au sommet de la trajectoire), que la masse du véhicule subirait une compression annihilatrice. D’autre part arriver à paralyser instantanément la masse de l’UEWA, dont la quantité de mouvement due à la haute vitesse à cet instant est très grande, équivaudrait à un choc semi-plastique si catastrophique que la chaleur développée vaporiserait et ioniserait tous les composants de celle-ci (inutile de parler du sort des voyageurs) . Voyons comment notre technique nous permet alors d’obtenir cet effet identique sans provoquer un bouleversement si grave. Premièrement, voyez dans la notice de l’image 18 le cas où l’UEWA doit changer brusquement sa trajectoire » m-p » à cause de la présence d’un agent perturbateur . Au point « P » est provoqué alors le changement de système tridimensionnel (de XYZ à X’Y’ Z’) c’est-à-dire la OAWOLEAIDAA. De plus le véhicule suit une trajectoire P-P’, formant une boucle, et presque à la même vitesse de régime (Uo subit un léger accroissement). La rentrée au cadre tridimensionnel « habituel » est maintenant beaucoup plus précise si elle se produit au même point P (P <-> P’) car le choix d’un quelconque autre point dans le second système tridimensionnel pourrait donner lieu à des erreurs considérables de position et de situation. La seconde branche de la trajectoire P-N peut être de nouveau visualisée par un observateur situé dans le XYZ, mais qui n’a pas pu » voir » la boucle P-P’. De plus, comment a-t-il pu commettre l’erreur de croire que le vaisseau inversait brusquement sa direction ? Un profane quelconque pourrait argumenter que l’OEMII (observateur) a pu voir que le vaisseau disparaissait un instant au point P pour après » réapparaître » de nouveau au même point, continuant son vol dans la nouvelle orientation. Mais cela ne se passe pas ainsi pour un œil structuré comme celui d’un être humain, qu’il soit de OYAAGAA (Terre) ou d’UMMO. Car l’intervalle de temps entre P et P’ (trajectoire en boucle dans le cadre X’Y’Z’) est si court que [par un effet psychophysiologique bien connu des psychologues de la Terre comme de nos spécialistes (vous le nommez persistance rétinienne des images optiques) et qui permet à vos frères terrestres de contempler les images télévisées et cinématographiques, de visualiser des phénomènes avec un appareil que vous appelez stroboscope et même d’obtenir plus de beauté des spectacles de feux d’artifice] le phénomène apparaît comme CONTINU ou sans intermittence sans l’être réellement. L’image 19 et l’analyse, faite par vous, monsieur, en appliquant une justification technique semblable à celle qui est décrite, vont servir à vous montrer comment une UEWA peut » s’arrêter brusquement » comme si elle défiait toutes les Lois Physiques constantes pour tous les points de notre WAAM (univers), c’est-à-dire sans que la soudaine régression de vitesse annihile la OAWOOLEA UEWA OEMM (la pente du gradient vitesse est alors égale à 90° sexagésimaux terrestres quand le vecteur décélération atteint une magnitude infinie).
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Fin de la lettre sur les UEWA
Dans un prochain document je vous donnerai, Monsieur, une réponse concernant votre question sur notre technique de soudure et de sectionnement ou coupure d’alliages et métaux. On n’utilise pour cela ni flamme ni arc électrique ni un effet que vous appelez Joule, car cette technique est toujours réalisée en présence d’une couche ou fine pellicule de gaz inerte (Xénon et Hélium de préférence). Le processus de fusion dans les couches externes de l’alliage est si rapide et le contrôle moléculaire de la structure cristalline si rigoureux qu’en évitant les tensions d’origine thermique les propriétés d’élasticité ne sont pas altérées, évitant de plus la formation dendritique dans la direction du refroidissement. (Je vous expliquerai ce point extrême dans le document.)
Je vous expliquerai aussi, jusqu’à un certain niveau, dans quelle mesure les membres de la UEWA peuvent établir des inter-relations avec d’autres vaisseaux et avec notre UMMO. Cela nous surprend et nous flatte que vous soyez intéressé par ces thèmes plus que par ceux en rapport avec votre profession. Quant à l’étonnement manifesté par le fait que dans la dernière conversation téléphonique nous sachions le nom de cet ami qui se trouvait à votre domicile et qui a décroché l’écouteur téléphonique, je désire vous indiquer qu’en réalité l’événement est parfaitement explicable techniquement. Il ne s’agit d’aucune transmission de caractère télépathique, comme vous l’appelez, et encore moins d’un effet transcendant et ésotérique.
L’autre question de savoir si nous possédons une méthode qui permette de mémoriser des nombres simples par un procédé purement électronique sans utiliser des noyaux de ferrite, trouve sa réponse dans la note 1 correspondante de l’Appendice.
La voix « électronique » est très ambiguë et demande une explication. Pour ce que j’ai pu en déduire au long de votre conversation téléphonique (je vous demande de m’excuser si vous avez des difficultés pour comprendre mes paroles), vous vous référez à une méthode basée sur une valvule spéciale de vide, pour mémoriser des chiffres. Non. Nous n’utilisons pas une telle méthode car dans notre technologie les propriétés électroniques des enceintes de haut vide ne sont pas utilisées. Mais je vous demande de me pardonner de vous objecter qu’en réalité vous pouvez formuler cette question à un quelconque frère de la Terre spécialisé en ordinateurs car vous ne savez pas qu’en effet, comme je vous l’ai dit dans notre presque inintelligible conversation, vous, les terrestres, avez utilisé des tables de mémoire électrostatique capables d’emmagasiner des nombres binaires grâce à l’incidence d’un faisceau d’électrons sur une plaque pourvue de » phosphore » située devant la grille collectrice. L’accès à un digit s’effectue en quelques dix micro-secondes. Et bien que ce système vous paraisse étrange, il est encore plus ancien que celui des noyaux toroïdes magnétiques. Lisez « Automatic Digital Calculators », 2° édition, 1957, de A.D. Booth. Comme vous le voyez, en réalité le système est déjà ancien sur la planète Terre.
Votre insistance par rapport à l’attitude à avoir face à ce que vous avez qualifié la nuit dernière de cas le plus étrange que vous ayez vécu, ne nous gêne absolument pas. Notre conseil objectif est celui-ci :
Vivant dans un cadre social opposé à la croyance de ce type d’expériences, je vous conseille de maintenir secrètes vos conversations téléphoniques avec nous. Je comprends parfaitement la réaction de votre collègue ingénieur dont il est question. Ce fut une imprudence de lui permettre la lecture des documents dans ces conditions.
Cependant certains de vos frères terrestres, parmi lesquels vous figurez, peuvent montrer un sérieux intérêt pour ce cas (s’ils se trouvent toujours dans le cercle de vos amis intimes et familiers) et peuvent aussi recevoir des copies de ces documents (en restreignant comme je vous l’ai dit, les paragraphes soulignés en vert pâle).
La publication des documents suivants :
– Alliages légers .
– Technique de nos XlNIBOOA .
– Histoire de notre arrivée en Espagne .
– Document (ci-joint) sur OAWOOLEA UEWA OEMM
(en aucun cas les autres) est autorisée avec les restrictions suivantes:
– Les dates pour chaque document cité qui pourrait faire l’objet d’une publicité imprimée (revues spécialisées ou textes monographiques) sont respectivement : janvier 1970 ; avril 1968 ; sans limitation de date ; octobre 1967. (Jamais avant les dates citées.)
– Sous aucun prétexte, ces textes imprimés relatant nos documents ne seront signés par vous et encore moins sous votre titre professionnel de sorte qu’ils pourraient constituer une garantie scientifique de leur aptitude là moins qu’ils soient inclus dans le contexte d’une quelconque publication périodique ou monographique en relation avec la divulgation de thèmes hétérogènes, OVNI, etc., dont la fiabilité ait un niveau modéré. Même ainsi n’y figureront ni votre nom ni votre sigle.
De toute manière partez de ce principe : nous préférons (et le conseil est bénéfique aussi bien pour nous que pour vous) que votre identité ne soit jamais liée publiquement à ces documents pour le cas où ils seraient insérés dans un quelconque moyen de communication sociale terrestre.
Au cas où ils seraient publiés, nous vous prions instamment de mettre un soin extrême dans la transcription des termes pour que la fidélité du texte original soit respectée. Les graphiques et images seront photocopiés et jamais publiés en seconde copie manuelle.
Comme vous le savez, quelques paragraphes et pages des documents cités sont, dans les feuillets dactylographiés, entourés d’un trait à l’encre noire. Quelle que soit la raison, vous ne ferez jamais une transcription de leur contenu sous forme de textes typographiés. Cette restriction ne concerne pas vos frères intéressés.
Comme il serait trop complexe de vous exposer en détail tous les cas restrictifs, nous vous présentons en résumé la portée de notre exhortation :
– Sous aucun prétexte vous ne devez adopter des mesures qui puissent provoquer la suspicion d’organismes ou secteurs d’opinion responsables qui ont des moyens de perturber notre activité sur OYAGAA (Terre).
– Et cela même si nous pensons que la publication de textes cités (en dehors des paragraphes encadrés) ne présente pas de risques de provoquer de fortes réactions d’opinions dans les milieux scientifiques officiels car leur caractère purement descriptif et expurgé d’un contexte véritablement scientifico-technique les préserve dans ce sens.Bien entendu, il ne serait pas non plus tolérable d’insister excessivement sur leur authenticité ou aptitude.
Jusqu’à présent, dans les rares cas où vos frères de la Terre ont publié des fragments de nos documents, l’écho a été faible et donc peu dangereux pour nous. Il n’y a aucune raison technique pour penser que ceux qui vous ont été envoyés vont constituer une exception si vous respectez l’esprit – plus que la lettre – de nos prières.
Mais si malgré tout cela, vous vous décidiez un jour à les publier et que vous observez alors une réaction de curiosité excessive dans des milieux autorisés, nous vous prions de compenser cette position par une attitude de scepticisme apparent ou d’incrédulité. Sinon le danger que vous pourriez causer à nos investigations serait très élevé. Comme nous ne vous avons jamais rien demandé en échange de ces documents, nous croyons en votre honorabilité et en vos valeurs morales.
Mais en connaissance de cause, notre supplique est surtout orientée vers vous. Nous connaissons le psychisme social de l’humanité terrestre. Nous savons que dans votre pays, l’Espagne, l’OEMII qui se risque à avoir une attitude de crédulité face à ces thèmes est très peu considéré professionnellement. Comme nous vous l’avons déjà dit, votre prestige serait mis à mal si vous désirez vous porter garant de notre authenticité par votre signature. Nous vous assurons, monsieur, qu’en aucune manière nous avons besoin que le Réseau Social Terrestre sache que nous sommes provisoirement intégrés dans celui-ci pour réaliser une simple mission d’étude. Ce qui fait qu’un quelconque effort honorable de votre part pour nous » défendre » serait non seulement stérile mais de plus contre-indiqué pour mes frères.
Un cordial et respectueux salut pour votre épouse et votre fille ; leurs paroles courtoises nous émeuvent d’autant plus qu’elles proviennent de dames du beau pays d’Espagne.
Écrit sous la dictée de DEII 98 fils de DEII 97
Approuvé par YU 1 fille d’AIM 368
Et par UMMOAELEWE
ummo-sciences: D69-5 | T2-44/92
D70
OUMAUAELEWEE
Courrier*.
M. ANTONIO RIVERA JORDA
Barcelonne – ESPAGNE*
Cher Monsieur :
Nous osons vous envoyer ce texte mécanographié sans avoir avec vous un lien préalable d’amitié personnelle, comptant sur le fait que, possédant vous-même par d’autres canaux discrets d’information, quelques faits ambigus sur notre existence sur TERRE, vous prêterez pour le moins attention à notre salut.
Permettez-nous, monsieur Antonio Rivera, de nous présenter sans autre explication pertinente.
Cette lettre est dictée par Xoodou sept fils de Xoodou quatre et je suis un élément individuel d’un groupe social réduit, expéditionnaires arrivé sur ce globe solidifié et originaire d’un autre dont les caractéristiques physiques sont semblables à celles de la TERRE et dont le graphisme approximatif peut être traduit à partir d’un phonème qui nous est familier, Oumo (« m » prolongé pour la prononciation).
Sa situation relative à la planète TERRE était, le 8 juillet * 1967 à 21h. 18m. T. M. G.de 14,421 années-lumière (distance apparente dans le milieu tridimensionnel habituel).
Nous sommes intégrés au groupe zoologique humain de ce Globe solidifié.
Cette présentation, Monsieur Antonio Ribera, devrait être déconcertante pour votre esprit, car vous n’avez pas reçu d’envoi préliminaire, comme ceux attribués à d’autres frères terrestres d’Espagne, faisant allusion à notre identité.
Nous vous invitons à évaluer tous ces faits, avec impartialité et méthode en fonction de la logique opérationnelle connue sur TERRE. N’oubliez pas que pour accepter une révélation sans doute surprenante, il faut qu’elle soit accompagnée de preuves convaincantes, en évitant les aspects de l’affaire qui peuvent vous induire en erreur par leur éclat et leur coté suggestif.
Naturellement, le seul témoignage énoncé par le canal postal et venant d’humains inconnus, ne doit jamais être adopté comme seul élément valable. Il est donc clair que nous ne désirons pas modifier votre propre jugement bien intégré dans votre esprit, que ce soit en faveur ou en négation de notre identité. Si par conséquent, vous adoptez une attitude hypercritique ou même sceptique à outrance, celle-ci nous paraîtra toujours orthodoxe et intelligente.
Assurément, cela constituera une surprise pour vous que de savoir qu’au mois d’avril 1965, certains de mes frères résidant en Espagne, ont ajouté votre nom à ceux de vos frères Monsieur Buelta et Monsieur Danyans, au sein d’une liste de présumés correspondants destinés à recevoir nos informations concernant notre existence dans le milieu social terrestre.
L’omission de cette intention ne devra pas être attribuée à l’oubli ni à une attitude méprisante ou la peur de possibles réactions d’incrédulité logique.
Mais vous mainteniez certains liens avec un réseau organisé pour l’analyse des « Objets spatiaux sans identification » avec un degré de prestige et de possibilité d’accès aux moyens de diffusion sociale non négligeables, notre critère de relation sociale avec des hommes de la TERRE a été d’établir seulement des liaisons avec des individus sélectionnés appartenant à différents niveaux socioculturels, qui, par leur silence probable, leur réserve mentale équilibrée ou dans d’autres cas, par leur oligo-prestige (Sic! Ndt: « oligoprestigo ») intellectuel, ne constituant un risque présumé pour nous.
Vous-même pouvez déduire sans arguments plus spécieux, que notre mission d’étude de ce globe solidifié exige un degré de réserve élevé. Nous croyons que nous maintenons une marge de sécurité étendue, en ne nous faisant pas connaître officiellement, en n’apportant pas de preuves tangibles qui puissent aider les organes techniques gouvernementaux à confirmer notre existence (les documents écrits qui proviennent de nous sont toujours élaborés avec un matériel connu).
Une quelconque indiscrétion de l’un de vos propres frères serait d’autre part facilement rendu stérile.
Ces mesures sévères ne sont en aucun cas un indice de « complot » * à l’échelle internationale, ni une preuve d’une quelconque intention perverse de mes frères.
Ne doutez pas Monsieur Antonio Rivera , qu’une prise de conscience de notre présence réelle parmi vous provoquerait de très graves altérations dont l’illicité morale entre dans nos codes d’éthiques respectifs. Nous vous assurons que nous n’avons pas l’intention d’intervenir dans l’évolution de votre milieu politico-social terrestre et que nous pouvons apporter les preuves de notre conduite aseptique dans le cours de notre coexistence parmi vous
Mais d’autres frères compatriotes ont aussi reçu nos documents. Nous comprenons que dans le cours du temps il était inévitable qu’une filtration de telles références ne parvienne à votre connaissance et à celle de vos frères de la ville de Barcelone. Ce fut le prix d’une tentative semi-frustrée d’intégrer dans Madrid un groupe réduit d’hommes et de femmes terrestres pour étudier (à une micro échelle collective) l’impact que provoquerait une telle information sur des mentalités latines.
Maintenant nous désirons vous adresser une supplique, loin de toute intention occulte de contrainte. Nous invoquons seulement pour cela votre raison et votre sensibilité spirituelle. Et non pas le respect pour des êtres que vous ne connaissez pas et qui pourraient même n’être que des imposteurs. Nous vous invitons à analyser ces situations et leur objectivité.
Si en effet nous sommes des imposteurs, déments, farceurs ou membres d’une organisation militaire, secte ou groupe terrestre (religieux, scientifique ou commercial), un quelconque témoignage de votre part garantissant notre identité s’écroulerait tôt ou tard quand nous serions « démasqués » en discréditant votre renommée.
Si en effet notre témoignage est orthodoxe, fidèle à la réalité objective, une diffusion de l’information à l’échelle macro sociale perturberait gravement l’actuel contexte géopolitique, assez difficile pour les terrestres, et entraînerait des troubles incontrôlables parmi vos frères, en provoquant en ce qui nous concerne, de graves bouleversements car nous serions obligés d’évacuer ce globe solidifié en abandonnant une pacifique mission d’étude.
Une troisième hypothèse, pour que ce jugement ne puisse présenter des éléments tronqués, pourrait être formulée par vous : nos intentions cachent, sous la couverture d’un mouvement pacifique, des plans belliqueux et des idées d’extermination de vos institutions et des habitants de ce Globe terrestre.
Observez que si cela était, nos messages ne s’expliqueraient pas, pas plus que cette lettre. N’importe lequel de vos frères spécialisé en logistique militaire vous conseillerait la réserve la plus absolue comme prémice indispensable pour de telles manœuvres romanesques.
Ces considérations vont-elles dans le sens de notre cordiale supplique ?
Nous ne voyons pas d’objections à ce que vous fassiez des allusions concernant notre existence, nos institutions, notre Culture, Religion, origine… dans vos propres publications ou déclarations au niveau des moyens de communication social ; il en est de même pour l’insertion des fragments de nos écrits ou reproductions de nos graphiques, en respectant toujours la fidélité de la transcription. Au moment d’émettre votre propre jugement sur notre problématique existence et sur la validité de nos témoignages, nous vous prions de ne pas vous efforcer à l’accepter positivement mais de simuler toujours un certain degré modéré de scepticisme et de vous abstenir de ratifier avec des arguments convaincants vos propres transcriptions.
Et n’oubliez pas que l’infiltration de certains faits jusqu’aux organismes officiels peut provoquer de sérieux préjudices pour nous.
Un véritable appui vous sera offert dans le cas peu probable où la diffusion de tels documents provoquerait une effervescence sociale indésirable. Il ne nous serait pas difficile de simuler la nature frauduleuse de ces témoignages, en les discréditant efficacement. Votre renommée en ressortirait intacte.
Recevez, monsieur Antonio Rivera, mon salut respectueux, j’espère que vous recevrez d’autres informations dès que ceux qui constituent notre Hiérarchie nous en donneront l’autorisation.
D71
Langue : ESPAGNOL
Nombre de copies : 1
Il n’est pas possible de faire un résumé succinct des caractéristiques physiques de nos « XANMMO BAA » (on pourrait traduire par ordinateur).
On peut néanmoins faire ressortir les différences basiques entre les équipements que vous utilisez et ceux d’UMMO.
En premier lieu, vous faites la différence entre ordinateurs numériques et ordinateurs analogiques.
Les processeurs de données emmagasinent l’information en l’encodant en système de numération binaire, qui est mis en séquences sous forme de mots ou caractères qui se réduisent à des « bits ». La structure des unités arithmétiques est dessinée de façon à réduire la complexité des circuits.
Sur les ordinateurs analogiques de la TERRE, une série de modules convenablement interconnectés et avec des circuits spéciaux (intégrateurs, différenciateurs, etc.) interprètent un quelconque processus physique sous forme de fonction analogique, mais projetée avec des potentiels électriques, ce qui en résumé se réduit à une série de fonctions sinusoïdales d’amplitude, fréquence et phase différentes.
Au point de vue fonctionnel, nos XANMMO BAA sont simultanément numériques et analogiques. Par exemple, quand se pose un problème de géométrie analytique, les XAN ELOO (organes ou unités de sortie) procurent aussi bien des résultats quantitatifs discontinus (digitaux) fournissant par exemple, en ENMOO EE, (unités de superficie) l’aire d’une hyperbole de révolution, que le graphique de son équation et la visualisation en 3 dimensions de son image (opérations analogiques).
Bien entendu la sélection de l’équipement analogique qui intervient dans le traitement a été pré-programmé dans ce que vous appelleriez des « routines intégrées dans une unité de mémoire périphérique » bien que le processus physique et les dénominations sont très différents, et par une opération de type digital en base 12, ces unités sont à leur tour projetées dans le processus global.
BASE OPÉRATIONNELLE
Il est certain que si vous utilisez des valvules électroniques ou des transistors dans vos circuits, il faut alors un type de codage que vous appelez BOOLÉEN du type TOUT- RIEN (> | – ) ZÉRO – UN. Les unités arithmétiques travaillent avec un meilleur rendement et un degré de fiabilité que vous n’obtiendrez pas en employant votre système de base 10.
Ainsi des opérations en système binaire comme : 101 + 111 = 1100 ( 5 + 7 = 12) peuvent nécessiter, si les chiffres sont élevés, un grand nombre de bits pour être exprimés.
Les unités IYOAEE BOO et les XANWAABUUASII (mémoires de TITANE) peuvent par contre opérer en base réelle d’UMMO (c’est-à-dire 12) comme nous allons le voir.
« CIRCUITS AMPLIFICATEURS » – IYOAEE BOO (CIRCUITS DE CALCUL)
Les dispositifs amplificateurs de voltage ou d’intensité de la TERRE sont basés sur les propriétés de l’émission cathodique dans le vide, commandée par une électrode auxiliaire (grille) ou sur les caractéristiques de l’état solide comme dans le cas des diodes et transistors de germanium ou silicium, ingénieuse invention que nous ne connaissions pas.
Il faut observer que de tels circuits N’AMPLIFIENT PAS L’ÉNERGIE, de plus, la puissance de sortie est toujours inférieure à celle de l’entrée (rendement inférieur à l’unité). Ils amplifient seulement la tension aux dépens de l’énergie engendrée par une source énergétique auxiliaire (PILE OU REDRESSEUR DE COURANT ALTERNATIF).
Les éléments ODU – GOAA (amplificateurs nucléiques) ont des caractéristiques totalement différentes:
Primo : La base n’est pas électronique (ni de vide, ni en état de cristal solide) ; elle est nucléique (noyau de l’atome). Une faible énergie d’entrée (neutrons ou protons unitaires tombant sur quelques atomes) provoquent par fission du noyau une grande énergie.
Secondo: Nous voyons donc que le rendement est nettement supérieur à l’unité. A la sortie de l’amplificateur élémentaire, nous obtenons cette énergie sous forme THERMIQUE et non ÉLECTRIQUE, quoique dans un processus postérieur, cette chaleur se transforme en ÉNERGIE ÉLECTRIQUE.
Tertio: La base de ces éléments étant purement atomique (seules quelques unités entrent en jeu au lieu de trillions d’atomes), le degré de miniaturisation est extraordinaire, pouvant emmagasiner de très complexes circuits dans des volumes très réduits.
Sur le dessin vous pouvez observer l’analogie symbolique entre une TRIODE ( (S71-s0) valve amplificatrice de la Terre) et un ODU GOAA (élément amplificateur d’Ummo).
S71-f1
Vous pouvez observer qu’une énergie d’entrée (flèche verte) peut déclancher une grande énergie (flèche rouge) mais seulement la déclancher!
Elle n’engendre pas de l’énergie : elle extrait cette énergie électrique provenant de la batterie (S71-s1).
Au contraire, dans l’ODU GOAA, une très faible énergie (NEUTRON) (flèche verte) provoque une scission nucléaire en un seul atome (S71-s2) dont la fission libère une énergie énorme (flèche rouge) captée par l’AASNEII (S71-s3) et transformée de chaleur en électricité en (S71-s4).
En principe, ce processus est analogue à celui que vous utilisez dans les réacteurs nucléaires ou piles atomiques mais il est commandé par un seul atome dans notre ODU GOAA.
Dans les ordinateurs numériques de la Terre, des équipements appelés unités arithmétiques effectuent à grande vitesse des opérations élémentaires (sommes, soustractions, etc.) en employant des modules transistorisés.
UMMO utilise des IYOAEE BOO, basés sur des réactions chimio-nucléaires à échelle microphysique à la place des transistors.
Pour cela nous employons quelques centaines de ces réactions basiques, choisies spécifiquement, pour que les nombres simples utilisés soient exprimés en système de base 12.
Par exemple : la codification de cette addition et la vérification correspondante, 12 +1 = 13, se réalise au moyen de cette réaction (S71-f3), dans laquelle interviennent des micromasses parfaitement contrôlées et non pas des billions d’atomes comme si les masses en réaction étaient grandes.
Le résultat de la réaction est analysé avec une trés grande précision et de nouveau codé pour une opération ultérieure en séquence.
LA STRUCTURE BASIQUE DES XANWAABUASII DIIO (MÉMOIRES DE TITANE)
Les ordinateurs numériques de la TERRE utilisent généralement une mémoire centrale de noyaux magnétiques de ferrite et diverses unités mémoire périphériques, de bande magnétique, disques, tambours ou baguettes avec une bande hélicoïde. Ces unités sont capables d’accumuler, codés magnétiquement, un nombre très limité de » bits » (quoique les chiffres soient de plusieurs millions).
Les temps d’accès sont par contre très acceptables.
Voyons maintenant d’une manière élémentaire la base technique de nos XANWAABUASII (mémoires de données en TITANE).
Le problème se posa quand les antiques mémoires de type photo-électrique (grandes superficies de sélénium dont les valeurs étaient mémorisées sous forme d’impulsions lumineuses , lesquelles projetées sur ces plaques étaient enregistrées sous forme de points chargés électrostatiquement) furent insuffisantes. Insuffisantes à cause du grand volume exigé pour leur positionnement, nécessaire pour accumuler les milliers de trillions de chiffres qu’elles exigeaient, des millions de OBXANWAII (on peut traduire par « ROUTINES ») et DONNÉES NUMÉRIQUES d’un programme de CALCUL. ( Nous n’avons jamais utilisé une quelconque mémorisation magnétostatique.)
DAOO/6 (FILS) de DAOO/4, projeta pour la première fois de codifier micro physiquement (ni optiquement, ni magnétiquement) les données numériques ou caractères, avec une base IBOAAYANOA (pourrait se traduire par » QUANTIQUE « ).
Nous savons que l’écorce électronique d’un atome peut s’exciter quand les électrons atteignent différents niveaux énergétiques appelés quantiques sur Terre. Le passage d’un état à un autre est réalisé par libération ou absorption d’énergie quantifiée qui possède une fréquence caractéristique. Ainsi un électron d’un atome de TITANE peut changer d’état dans l’écorce en libérant un IBOAAAYA OOU (PHOTON) mais dans l’atome de DII0 (titane), comme dans d’autres éléments chimiques, les électrons peuvent passer par différents états en émettant divers types d’IBOAAYA ODU (PHOTONS ou « QUANTUMS « ) de diverses fréquences. Vous appelez ce phénomène « spectre d’émission caractéristique de cet élément chimique » ce qui permet de l’identifier par mesure spectroscopique.
Ainsi, si nous réussissons à altérer à volonté l’état quantique de cette écorce électronique du DIIO (titane), nous pouvons le convertir en porteur, stockeur ou accumulateur d’un message élémentaire, d’un NOMBRE.
Si l’atome est susceptible, par exemple, d’atteindre 12 états (ou plus), chacun de ces niveaux symbolisera ou encodera un chiffre de zéro à douze.
De plus : une simple pastille de TITANE comprend des billions d’atomes. Nous pouvons donc imaginer l’information codée qu’elle sera capable d’accumuler. Aucune autre base MACROPHYSIQUE de MÉMOIRE ne peut lui être comparée.
Les blocs de titane que nous utilisons doivent présenter une structure cristalline parfaite et un degré de pureté chimique de rendement 100 %. Il suffirait qu’il y ait certains atomes d’impureté (fer, molybdène, silicium…) pour que ce bloc soit inutilisable.
Vous pouvez alors vous demander : comment peut-on avoir accès à ces atomes un par un pour les coder en les excitant ou pour extraire l’information accumulée (décodage) ?
Un schéma ou un dessin élémentaire éclairera les idées:
(S71-f2)
Sur un bloc de titane tombent trois faisceaux, de section infinitésimale et de fréquence très élevée, capables de traverser le bloc sans affecter les noyaux de ses atomes bien qu’en affectant les couches électroniques respectives. On utilise par exemple des fréquences de l’ordre de 8,35.1021 cycles/seconde et différentes pour chaque faisceau. | | ,(S71-s5,6,7) sont les trois générateurs de fréquence.
Ces fréquences très élevées tombent en dehors du spectre caractéristique du TITANE car ces faisceaux considérés indépendamment ne sont pas capables d’exciter un par un ses électrons corticaux.
Mais cela ne se passe pas ainsi quand les trois rayons tombent simultanément sur un ATOME spécifique (le (S71-s8) du dessin). Alors la superposition ou mélange des trois fréquences provoque un effet que vous connaissez depuis très longtemps. appelé BATTAGE ou HÉTÉRODYNE, et qui donne comme résultat une fréquence beaucoup plus basse qui coïncide avec n’importe quelle raie spectrale du TITANE.
L’atome est donc excité et comme les trois faisceaux orthogonaux peuvent se déplacer dans l’espace avec une grande précision, ils localisent ainsi tous les atomes du bloc, un par un.
Le processus décodeur qui oblige l’écorce électronique à revenir à son état quantique initial se réalise d’une manière inverse.
Nous devons faire les déclarations complémentaires suivantes car dans un travail simplificateur nous avons schématisé infantilement le système.
1° – Dans la pratique, on utilise pour chaque atome de TITANE seulement dix états quantiques qui correspondent aux 10 raies spectrales suivantes (exprimées en unités terrestres) :
323 452
334 902
334 940
336 122
337 280
399 864
430 591
453 324
453 478
453 558
Ceci signifie que pour chaque chiffre codé quantiquement (base 12) nous devons exciter non pas un, mais deux atomes (10 + 2).
2° – Comme une fois codé l’atome est réduit à son état initial, à l’inverse d’un noyau toroïde de ferrite qui donne son information (sans perdre son excitation magnétique) un nombre indéfini de fois, chaque chiffre codé se répète des centaines et des milliers de fois pour posséder une accumulation suffisante d’information.
3° – Il est très important que les atomes aient une grande stabílité spatiale dans le cristal de TITANE, car une quelconque oscillation thermique rendrait impossible sa localisation par les trois faisceaux de haute fréquence. Le cristal de Titane travaille à température pratiquement égale au zéro absolu.
ENTRÉES ET SORTIES DANS LES XANMOO (CERVEAUX ÉLECTRONIQUES)
Dans les ordinateurs numériques de la Terre on utilise divers codes de programmation ou langages intelligibles par des équipements hétérogènes. Ainsi vous avez envisagé des LANGAGES MACHINE comme le FORTRAN, COBOL, PAF, ALGOL, UNCOL…
Vous introduisez cette information codée au sein de l’ordinateur au moyen de cartes perforées, de bande perforée, de bande magnétique ou bien de lecture optique et magnétique de caractères typographiques.
Les résultats ou résolutions du problème sont obtenus dans les ordinateurs numériques ou analogiques par divers équipements de sortie (oscillographes de rayons cathodiques, inscripteurs typographiques, perforateurs de bande ou traceurs de courbes).
Les XANMOO d’UMMO acquièrent directement les données du problème et sa rédaction de l’exposé (il faut que ce denier soit toujours très bien formulé) en langage standard d’UMMO et fournit les résultats en caractères typographiques ou phonétiquement.
Une pré-programmation complexe accumulée dans le XANMOO, ou bien dès la fabrication de l’équipement, interprète les éléments logiques de l’exposé, absorbe les données typographiques et en cas de doute l’expose grâce à l’équipement de SORTIE des données.
L’obtention des résultats est obtenue par trois types de GAA EIBIENEE (visualisateurs d’images).
(GAA OBEE A) : Imprimeurs (typographie, ligne et encre dégradée, polychrome ou blanc et noir).
(GAA DNMAAEI) : Visualisateurs numériques (simples compteurs de base 12).
(UUEIN GAA EIMII) : Visualisateurs tridimensionnels d’images.
D72
Référence : | D72 |
Titre | Diffusion avec précaution des rapports UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | Monsieur Ribera le 22 mars 1969 |
Commentaires | Introduction à D74 : « Nous nous présentons et précisons d’où nous venons » |
UMMOOAELEWE
N° de copies : 1
Adressée à Don Antonio Ribera Jordá
BARCELONE. Pays ESPAGNE
Monsieur Ribera Jordá.
Vous vous souvenez sans doute que nos congénères séjournant en France, vous ont adressé un document dactylographié à votre domicile de Barcelone. Une information concernant notre identité vous ayant été promise n’a pu vous être envoyée pour des motifs évidents.
En effet, une diffusion trop large de la réalité de notre présence parmi les habitants de la Terre, ne nous paraît pas souhaitable, comme vous avez pu le deviner à la lecture de nos documents.
Nous ne redoutons pas que cette information soit communiquée à certaines personnes (réseaux de petite taille ou personnes seules), mais nous redoutons les impacts négatifs que cela pourrait avoir sur l’organisation socioculturelle de vos structures terrestres, si la réalité de notre présence vous était révélée.
Nous vous demandons donc d’adopter une attitude indulgente à notre égard, car le fait de vous communiquer les preuves irréfutables de notre existence, risquerait de nous mettre en danger selon nos critères de protection.
Aussi, cette précaution élémentaire nous ayant permis de trouver un équilibre satisfaisant, nous pouvons apporter à une minorité de vos frères intéressés par le phénomène extraterrestre, des vérités relatives à nos traditions, aux caractéristiques de notre planète UMMO, à notre passé, ou à nos capacités technologiques et scientifiques. Toutes ces révélations vous sont communiquées de telle façon qu’un doute puisse subsister à leur lecture pour diminuer l’aspect extraordinaire qui s’y attache, ceci afin de ne les réserver qu’à ceux à qui elles doivent être destinées. Cependant, si nos informations étaient trop fiables au sein de vos systèmes de communication, cet équilibre serait gravement menacé par vous en tant que IOGIOEMMII (êtres pensants libres), même si ceci est loin d’être satisfaisant à nos yeux, en tant que INAYUYISAA (minorité isolée).
Le désir incontrôlé, animé par une exaltation compréhensible du fait que le prêtre Enrique Lòpez
Guerrero, habitant la localité de Mairena del Alcor en Espagne, ait appris notre existence par des sources d’information en provenance de vos frères de Madrid, Barcelone et Paris, dont vous faites partie, l’a entraîné à faire ses propres confidences à vos frères journalistes.
Mes frères ont estimé que les limites raisonnables ont été franchies du fait de cette révélation. Nous avons donc décidé de quitter l’Espagne et de suspendre tout contact jusqu’à la clarification de la situation, par soucis de méfiance et d’autodéfense, bien que nous n’ayons jamais imposé quoique ce soit à cet homme, et ce, sans esprit de remontrance.
Nous nous sommes aperçus à cette occasion fort utile, que nous avions vraiment surestimé le risque d’une diffusion excessive de cette nouvelle.
Des précautions supplémentaires ont donc été prises, à cause de cet événement. Nous avons appris que des systèmes d’enregistrement sur bande magnétique, branchés sur le réseau téléphonique, ont été installés par certains d’entre vous. Une importante agence de services secrets a été contactée par ces derniers, qui poussés par une curiosité tout à fait naturelle, ont entrepris des recherches spécifiques afin de pouvoir nous localiser. De plus, un de nos correspondants réussit à identifier l’hôtel d’une ville du sud de l’Espagne, dans lequel nous avions décidé de loger pendant quelque temps, à cause d’une malheureuse mais excusable imprudence d’un de nos collaborateurs sur Terre.
Nous aimerions vous expliquer dès à présent nos hésitations et nos réticences, tout en comprenant parfaitement que vous vous adonniez à cette activité pour d’impérieuses nécessités humaines liées à des aspirations légitimes comme la connaissance objective de la réalité.
En conséquence, nous ne pouvons, Monsieur Antonio Ribera Jordá, que renouveler une fois de plus nos recommandations qui vous ont été déjà faites dans la lettre de mon frère SOODU7, fils de SOODU4.
Sachez que nous vous remettrons certaines informations concernant la situation, les caractéristiques astronomiques de notre OOYAA (astre à basse température de surface), ainsi que la physiologie du UMMOEMMII, la structure socio-économique de notre société, etc…, sauf si des événements contraires nous obligeaient à cesser nos envois.
Nous désirons vous adresser nos plus respectueuses pensées.
mmo-sciences: D72 | T1-73/74
(Ndt: signature suivie des chiffres 6,3, et 6,4 )
(S72-s1)
D73
Référence : | D73 |
Titre | Hypothèses explicatives de l’énigme UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | Mr Guerrero le 27/03/69 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Langue: ESPAGNOL
Nombre de copies : 1
Monsieur Enrique Lopez Guerrero
MAIRENA DE ALCOR (Espagne).
Monsieur,
Vos déclarations dans la presse espagnole, concernant nos frères en mission sur la planète Terre, ont été suivies avec grande attention par nous.
Sachez que vos premiers articles parus dans l’édition ABC de Séville, ainsi que la diffusion future de votre témoignage exagéré, nous ont troublé quelque peu, sans gravité excessive. Nous avions craint que, de par votre fonction ecclésiastique de grand renom en Espagne, il y ait eu une énorme réaction dans l’opinion publique.
Jusqu’à aujourd’hui, n’ayant jamais reçu directement de notre part, d’instruction explicite de devoir de réserve, nous comprenons parfaitement que vous ne vous sentiez lié moralement à aucune obligation envers nous. Nous n’avons aucune envie de nous immiscer dans la vie privée des OEMMIOYAGAA (c’est ainsi que nous vous appelons), c’est pourquoi nous désirons garder absolument le silence sur les engagements que vous honorez ou non envers vos frères informateurs.
Devant notre réaction qui a pu vous paraître erronée ou expliquée par des motivations inconscientes, mais qui, sur le plan conscient était motivée par de pures intentions, nous ne pouvons qu’imaginer la souffrance morale que vous avez dû ressentir face à l’incompréhension de vos frères et de vos supérieurs hiérarchiques. Étant responsable indirectement de cette situation, nous vous prions instamment de nous pardonner.
Nous aimerions, sans pour cela vous convaincre forcément, vous écrire pour vous faire partager notre point de vue avec le maximum d’objectivité, maintenant que les effets se sont tassés.
La nouvelle de notre existence a dû provoquer chez vous un grand enthousiasme que nous comprenons. Bien que notre prudence proscrive toute tentative de notre part de divulguer notre présence sur Terre, ce qui pourrait constituer un danger pour vous, nous ne pouvons vous reprocher d’adhérer fortement à vos convictions sur notre sujet, mais vous connaissiez déjà, grâce aux copies remises par vos correspondants, nos règles strictes.
Le fait de garder exagérément notre secret a provoqué des réactions diverses de votre part, et c’était prévisible. Ne vous méfieriez-vous pas de personnes qui, tout en vivant quotidiennement avec vous, se cachent sous des faux noms avec de faux passeports et des faux papiers, qui envoient des lettres bizarres dactylographiées à des personnes de différentes nationalités, qui ont de longues conversations téléphoniques sur des thèmes très diverses et qui se prétendent venir d’une planète lointaine, alors que la science actuelle n’admet pas sérieusement qu’il soit possible d’effectuer de tels voyages dans l’espace ?
La prolifération des différentes hypothèses relatives aux raisons pour lesquelles un groupe d’hommes se soit permis d’agir de cette manière étonnante, est inévitable (nous avons résumé quelques unes des ingénieuses interprétations que nous avons pu récolter auprès de vos frères dans une note jointe).
Il nous est malheureusement impossible d’éviter de telles spéculations au sujet de faits inhabituels et contre toute logique scientifique admise sur Terre, et nous regrettons sincèrement d’avoir mis la zizanie entre vous.
De la même manière que nos frères ont décidé d’éclairer certaines minorités existant dans d’autres pays de la Terre, nous avons décidé, Monsieur Lopez Guerrero, de clarifier nos agissements et de vous expliquer certains aspects de notre séjour en Espagne.
Ce que nous faisons actuellement n’a pas besoin d’être tenu secret. Cependant, ce qui pourrait servir à nous localiser, et à démontrer les preuves irréfutables de notre existence, doit absolument être évité. C’est uniquement dans une zone limitée à l’Espagne et au Portugal, à vos amis de Séville, Barcelone et Madrid, ainsi qu’à ceux dont vous connaissez l’identité, que nous vous brossons cette brève description historique.
ACTIVITÉS EN ESPAGNE
Ce fut à Albacète, petite agglomération tranquille, que nous avons choisi de séjourner pour la première fois en Espagne. Mes deux frères ont été hébergés chez une dame aimant les animaux, et ils ont pu réaliser leurs premières expériences psychophysiologiques sur des mammifères terrestres pendant leur isolement nécessaire jusqu’à ce que certaines rumeurs de la part des voisins nous contraignent à les évacuer.
Ils décidèrent alors de s’installer à Barcelone avec un des nôtres arrivant d’Australie, et fut établi le premier contact avec un intellectuel espagnol, auprès duquel nous avons révélé notre identité. Bien qu’il ne nous ait pas cru, il est cependant resté fidèle à ses promesses.
Nous avons utilisé ensuite les villes de Bilbao et de Madrid : nos centres d’intérêt se sont portés principalement sur les musées, hémérothèques, églises, bibliothèques, archives et centres officiels.
Nous établîmes les premiers contacts avec des OEMMI espagnols qui furent soit des amateurs, des intéressés ou des chercheurs en ufologie. Nous avions à gérer une masse énorme d’imprimés. Jusqu’alors, ce n’est qu’avec quelques intellectuels espagnols, non familiers de ces thèmes, que nous avions tenté d’établir des relations, et ceci peu souvent. Nous avions donné des preuves objectives de notre présence à un professeur d’université qui parut seul, porter quelque intérêt. Ce fut jusqu’en juin 1967, que nous avons prolongé notre relation avec lui.
Nous n’avons pas obéit aux seules motivations à caractère émotif ou spirituel, pour choisir des personnes étudiant les OVNI, UFO ou VED. En effet, nous nous sommes aperçus qu’OYAAGAA était témoin d’un nombre plus important d’apparitions de vaisseaux lenticulaires que vous appelez vulgairement « soucoupes volantes », et ce, peu après notre arrivée en France.
Il était alors absolument évident qu’à part nous, vous étiez l’objet d’étude et de recherche de la part d’autres civilisations galactiques aussi bien inconnues de vous que de nous, et ce, en éliminant les nombreuses erreurs, fabulations, illusions d’optique et exagérations des médias. C’est en détectant plus tard des OAWOLEA UEWA dans l’espace orbital de la Terre, que nous avons pu le confirmer.
Si comme nous, ils ne présentaient pas de différences anatomiques majeures par rapport à vous, nous pouvions penser que dans certains cas, ils agiraient comme nous, en osant se poser et mélanger leurs OEMMI avec les hommes de la Terre.
Si cela pouvait être vrai, alors notre seule chance d’entrer en contact avec eux, était d’utiliser des intermédiaires dont les plus probables pouvaient être soit des scientifiques et philosophes, soit des personnalités religieuses, soit des ufologues ou encore des membres d’organisations gouvernementales.
En supposant naïvement que vous ayez accepté de servir d’intermédiaire, il a fallu reconnaître que nous avions une chance assez faible de pouvoir réussir dans cette entreprise. C’est pourquoi, nous avions décidé de ne pas écarter la possibilité d’utiliser quelque ruse psychologique, pour que vous puissiez servir nos desseins à votre insu, sans vous porter préjudice.
Notre intuition se manifesta à deux reprises. Mes frères, en mission aux États-Unis d’Amérique du Nord, ont découvert par un récit bibliographique de l’atterrissage d’un « Flying saucer », des faits irréfutables qui nous ont permis de confirmer que nous n’étions pas dans l’erreur. Cependant, ils avaient déjà évacué le pays lorsque nous avions essayé de les localiser.
C’est à la fin de l’année 1965 qu’une seconde découverte fut faite par mes frères de Madrid. Un Espagnol du nom de Fernando SESMA, écrivait périodiquement un article intitulé « Les extraterrestres parlent » dans une modeste publication nommée « Diez Minutos ».
Il va sans dire que pour nous, le contenu de ces textes nous paraissait quelque peu fantaisiste, d’un faible niveau intellectuel, plein de redites, de plagiats, d’idées farfelues de magie et d’ésotérisme. L’auteur nous a paru crédule, d’un certain niveau philosophique, mais sans aucune formation scientifique.
L’auteur glissait parfois de curieux messages « symboliques », qu’il attribuait à des entités extraterrestres. Au début, notre analyse ne nous a pas permis d’en déterminer réellement l’origine.
Mais, en soumettant l’un de nos frères à notre unité d’analyse, quel ne fut pas notre étonnement lorsque nous découvrîmes un contenu insolite crypté ! Ce n’était pourtant pas un système de chiffrage compliqué. Il fallait simplement associer les nombres de lettres paires dans les mots espagnols au chiffre zéro, et les impairs au chiffre un.
Même des réseaux de haut niveau culturel et technique avaient peu de chance d’élaborer une version aussi sophistiquée. L’auteur des articles avait une chance infime d’écrire ce message. Aucune personne d’origine terrestre, ne peut à notre avis, en connaître le sens dans l’état actuel des choses.
Cependant, il manquait quelque chose dans ce message codé. Les écrits successifs furent analysés avec frénésie par nos soins. Nous avions craint un moment, que les originaux aient été altérés par l’auteur, ou par étourderie de la part du linotypiste.
La correspondance de Fernando Sesma fut l’objet d’une discrète intervention de la part de mes frères, à son insu (puisse-t-il nous pardonner pour la violation de ses affaires privées). Nous n’avions pas à attendre beaucoup. Une entité nommée Saliano diffusa le reste de l’information chiffrée dans un second message (alors que le sujet même n’offrait aucun intérêt pour nous, et nous pensions que l’apparente symbolique n’était qu’une simple excuse).
C’est à ce moment que nous établîmes un contact téléphonique avec Monsieur Fernando Sesma. Tout en gardant un esprit critique, nous avons pu déterminer de sa bonne foi et de son scepticisme tout relatif grâce à un simple test. Un billet de banque avec un anagramme ainsi qu’un fragment de céramique émaillée sur lequel nous avions gravé des caractères à côté de notre insigne lui furent donnés.
Nous avons pu déterminé sa véritable personnalité grâce à ses réactions. Mes frères se mirent alors, à lui remettre régulièrement des rapports sur notre culture, rédigés dans un langage facile à comprendre par lui et ses amis, grâce à son ouverture.
Cinq expériences de contact, à caractère limité dans votre société, furent entreprises progressivement par une de nos jeunes sœurs, chef d’expédition, envers vos compagnons espagnols, canadiens, australiens, ainsi que ceux appartenant à deux autres pays dont nous tairons le nom par discrétion car encore en service.
C’est grâce à la gentillesse de votre frère Fernando Sesma que nous avons pu réalisé ce test psychosocial. Dans le sous-sol d’un établissement de Madrid, il tenait des conférences à l’attention d’hommes et de femmes passionnés par le phénomène OVNI
Un témoignage objectif de la réalité de notre existence fut réclamé par Monsieur Fernando Sesma. Nous lui firent remettre, par l’intermédiaire d’un messager, un document décrivant un de nos procédés parmi les plus simples d’UULAYANAI (voir note 2) (celle-ci est la note 2 de la page D41-14).
Afin d’examiner la réaction d’un petit groupe d’OEMII- Terre face à la réalité de notre existence, nous commençâmes ainsi l’une de nos expériences les plus passionnantes.
Les témoignages écrits que nous avons fournis ont été moins bien accueillis par les Espagnols que par les Canadiens. Les auditeurs espagnols sont devenus plus sceptiques du fait de la chute de la réputation de F.S.M. (ndt : Fernando Sesma Manzano) dans ses réunions. C’est pourquoi, dans le cas où nos relations se seraient élargies, mes frères ne craignaient plus le danger d’être acceptés ou crus.
Sans altérer notre témoignage, nous pouvions alors communiquer avec vous en toute impunité. Le comportement social des Espagnols nous fut alors plus familier grâce à de précieuses informations que nous avions recueillies.
Le fait d’évacuer tous mes frères d’OYAGAA en juin 1967 nous obligea à stopper cette expérimentation.
Nous vous communiquons cependant, les six conséquences à l’exception de deux autres tenues secrètes, lorsque nous avions recherché l’identité de l’étrange personnage en contact avec F.S.M., et ce, parallèlement.
- Un contact a bien été établi entre des OEMII extraterrestres sur OYAGAA, sous le pseudonyme de Saliano, et F.S.M.
- Cependant d’autres congénères de F.S.M., abusant de sa bonne foi, et s’appropriant quelque fois ce pseudonyme, lui ont envoyé de faux messages pour créer la confusion.
- Des expériences à caractère psychologique très dangereuses pour vous, ont été réalisées sur des cobayes humains par des OEMII venant d’autres planètes, en contact avec votre frère Sesma, en provoquant des effets pathologiques difficiles à diagnostiquer.
- Les messages codés que nous avons déchiffrés par hasard, ne devaient vraisemblablement être adressés ni à Mr Sesma, ni à nous, car nos tentatives de communiquer avec eux sont restées infructueuses.
Votre frère Sesma délaissa nos avertissements sur les risques encourus à cause de tels contacts. Cet homme simple, intelligent, amoureux de la nature et complètement ouvert à de nouvelles expériences relatives à la spiritualité, nous a doublement peiné. Les intentions douteuses de quelques êtres qui se sont servis de lui en tant qu’objet d’expérimentation, et sa noble attitude, l’ont transformé en victime vis-à-vis de ses frères.
Les informations reçues par Sesma Manzano relatives à toute une série de soit disantes planètes (AUCO, NIQUIVIL, etc…) sont absolument fausses à notre sens.
À notre retour sur Terre, nous avons décidé de changer complètement nos méthodes d’analyse que nous avions adoptées initialement. Mes frères spécialistes ont choisi de nouveaux objectifs que furent les pays africains, sud-américains et du Moyen-Orient, et ont décidé d’éliminer les nations d’Amérique du Nord, de l’Europe occidentale (Espagne comprise), l’Union Soviétique ainsi que l’Australie.
Un incident aux Etats-Unis, qui a failli nous faire découvrir notre technique d’intercommunication, obligea notre actuelle hiérarchie à prendre des mesures draconiennes quant aux envois postaux ou aux communications téléphoniques qui ont été pratiquement suspendues.
Vous connaissez l’identité, Monsieur Lopez Guerrero, de vos frères, qui, habitués du café où avaient lieu les fameuses réunions expérimentales, ont révélé à leur tour la nature de vos informations aux chercheurs de Barcelone. D’inévitables fuites ont permis à l’opinion publique d’être peu à peu informée. Néanmoins, la prudence de vos frères Garrido, Ribera et Villagrasa fut très appréciée.
Ce n’est pas parce que, porté par un enthousiasme bien naturel, vous avez divulgué de vraies informations, que vous deviez attaquer ceux qui étudient, et qui se montrèrent réticents à notre égard durant ces derniers mois, d’autant qu’ils constituent un précieux contrepoids.
Vos frères et nos bons amis Farriol Calvo et Jordan Peña doivent absolument comprendre qu’ils modèrent leur ardeur bien compréhensible, à procéder à des enquêtes sur nous, et nous vous prions de bien vouloir les en informer.
Vous devez prendre en compte, et ce, en toute logique, deux aspects du problème nous concernant, bien que nous comprenions tout à fait que vous soyez aussi passionné par la recherche et l’analyse de cette étrange série d’événements dans lesquels nous sommes impliqués :
- Nous ne croyons pas qu’il vaille la peine d’enquêter, surtout avec des moyens aussi dérisoires que les vôtres, si toute cette affaire concernant notre planète était fausse ou explicable par l’une ou l’autre des hypothèses figurant dans la note 1***.Seules les autorités ont cette capacité d’analyse, et non un amateur.
- Nous vous demandons de cesser toute investigation qui serait susceptible de promouvoir encore plus l’idée de la réalité de notre existence, ce que nous ne souhaitons pas, si vous prétendez être nos amis et que vous savez que nous venons réellement d’UMMO.
Vos esprits doivent être certainement perturbés par de multiples questions. Une expérience aussi intéressante ne doit pas conduire à la frustration de ne pas pouvoir y trouver des réponses.
C’est avec grande tristesse que nous n’avons pu répondre de façon satisfaisante aux questions posées par téléphone de votre frère F. Donis.
Nous ne voulions pas nous entourer de mystère. Ne penseriez-vous pas, que si cela ne dépendait que de nous, nous aurions eu une très grande joie de partager l’ensemble de nos connaissances avec tout le monde ?
Nous aimerions que vous puissiez comprendre qu’il nous est impossible, pour des raisons d’intérêt commun, de vous donner ce que vous nous réclamez, même si notre amitié devait en souffrir.
Ce document ne doit pas être publié maintenant. Nous pourrons, dans un futur proche, nous passer de cette précaution.
En temps voulu, nous vous le ferons savoir.
Veuillez recevoir, Monsieur Lopez Guerrero, l’expression de nos plus profonds respects. Nous saluons par cette lettre, vos frères que nous n’oublions pas.
mmo-sciences: D73 | T4-51
D74
Référence : | D 74 |
Titre | Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? |
Destinataire(s) et date(s) | Ribera le 22/03/1969 |
Commentaires |
D’OÙ VENONS-NOUS ? QUI SOMMES-NOUS ?
Une OAWOLEA UEWA OEM (vaisseau spatial lenticulaire) s’est posé sur Terre pour la première fois dans l’Histoire, le 28 mars 1950 à 4 heures 17 minutes 3 secondes GMT selon votre convention de temps terrestre.
Ce fut dans le département des Basses Alpes en France, à environ 8000 m du village La Javie, que la descente vers la Terre fut entreprise.
Le premier corps expéditionnaire « INAYUYISAA » de UMMO à rester sur cette planète « OYAA » fut composé de six de mes frères sous la direction de OEOE 95 (ndt : ODOEE sur la lettre D57-1), fils de OEOE 91, dont deux YIEE (femmes).
Il est très difficile de résumer en quelques lignes le processus d’adaptation que nous avions dû faire, et qui comprenait alors l’assimilation du langage, le recueil d’informations sur vos coutumes, les comportements sociaux et professionnels, la culture, etc… .
Les caractéristiques géologiques externes de l’astre tellurique dont nous venons, sont à peu de choses près, équivalentes à celles de la Terre. UMMO (avec un U fermé) est le nom, traduit en espagnol, par lequel nous désignons notre OYAA sur lequel nous vivons.
Nous pouvons assimiler sa forme à un ellipsoïde de révolution dont les rayons sont :
- R max = 7 251, 608 10 ³ m
- r min = 7 016,091 10 ³ m
Sa masse est de 9,36 1024 kg.
En utilisant des unités de mesure qui vous sont familières, nous avons déterminé que son inclinaison par rapport à l’écliptique est de 18° 39′ 56,3″ (subissant une variation périodique de 19,8 secondes d’arc sexagésimales).
L’accélération de la gravité mesurée à AINNAOXOO est de g = 11,9 m/s².
La rotation sur son axe est de 30,92 heures ce qui correspond à 600 UIW (cela équivaut à 1-XII voir note 1).
Note 1 : Les marées de UMMO ont provoqué un ralentissement plus prononcé de sa rotation que pour la Terre, mais les vitesses angulaires enregistrées y furent supérieures que celles de votre OYAA.
(Nous formulons l’idée de durée « du jour de UMMO », ou de « cycle », ou de « révolution » ou de « rotation unitaire » etc… par le vocable XII).
La Terre et UMMO ont des caractéristiques très différentes l’une par rapport à l’autre.
Des propriétés géophysiques très diversifiées ont été remarquées par les nôtres dans ce qu’on appelle neuf XOODIUMMOO DUU OII (traduisibles par « strates superposées »). Cependant la transition entre deux couches n’est pas brutale, et il existe des strates de transition d’épaisseur variable.
S74-f1(d’après Aguirre)
(image origine: S-74-f1-e.jpg)
(XOODIUMMO OANMA, XOODIUMMO UO )
Les épaisseurs des XOODIUMMO de notre OYAA (planète) sont aisément identifiables sur la figure 1. Il est à noter la variété de la composition chimique de ces strates. Le cobalt à 88,3%, le nickel à 6,8%, le fer à 2,6%, le vanadium à 1,2% et le manganèse à 0,7%, composants bien connus de vous, composent par exemple, la couche XOODIUMMO UO (ndt : la première couche partant du centre est indiquée 0) avec une densité moyenne de 16,22 g/cm³ (unité terrestre).
Par contre, la composition de la couche immédiatement supérieure appelée XOODIUMMO IAAS (ndt : indiquée 1), est faite de 52% de fer, 33,5% de cobalt, 12% de nickel, 2,1% de manganèse et 0,3% de silicates métalliques.
Ces deux couches de structure solide, sont soumises à une très forte pression par les deux suivantes de structure semi fluide que sont la XOODIUMMO IEN (n°2) et la XOODIUMMO IEBOO (n°3, ndt : identique IEVOO de la D69-3), qui contiennent une grande quantité d’oxydes de titane, de silicates de fer et composés divers d’aluminium et de magnésium.
La plus importante des couches sphéroïdes, est la sixième (notée n°5 sur le schéma d’UMMO). Son épaisseur approximative est de 28,8 KOAE (environ 251 km). Préservées des fortes pressions absorbées par les zones adjacentes, se trouvent d’énormes IOIXOINOIYAA (cavités géologiques), dans lesquelles existent d’énormes quantités de substances organiques solidifiées, liquéfiées ou gazéifiées, surtout du propane, du méthane ou de l’oxygène. De grandes colonnes de gaz enflammés sont expulsées jusqu’à la surface atmosphérique à partir des OAKEDEEI que l’on pourrait comparer à des activités volcaniques.
Il y a longtemps, des processus orogéniques à caractère métamorphique très intense ont affecté les dernières enveloppes que sont XOODIUMMO OANA , (et ?) OANMAA. La structure très accusée des plissements et des failles a cependant été modifiée par l’érosion alors que le relief continental est peu accidenté.
Seulement 38% de notre planète UMMO possède des terres émergées dont un seul continent et une faible proportion d’îles. Les compositions des atmosphères au niveau du XOODIUMMO OANMAA, sont semblables sur les deux planètes.
Autour d’une OYIAA (étoile de faible masse) que nous appelons IUMMA (c’est notre »soleil »), UMMO se déplace sur une trajectoire légèrement elliptique, quasi circulaire avec une excentricité de 0,0078. UMMO est distante, en moyenne de 9,96 1012 cm par rapport à IUMMA (ndt : la distance Terre-Soleil est de 15 1012 cm).
Dans un passé très lointain, une erreur de calcul en astronomie fut à l’origine de notre façon de procéder dans l’évaluation des grandes périodes, et n’a pas variée depuis, ce qui explique qu’elle soit différente de la vôtre. La fraction 1/18 de l’orbite de notre OYAA autour de notre IUMMA constitue ce qu’on appelle le XEE (« année » UMMO) (le phonème XEE désigne également le concept de « trajectoire cyclique »).
En effet, le fait que le plan de l’écliptique de UMMO soit différent de celui de la seconde OYAA, orbitant autour de IUMMA était ignoré de nos anciens astronomes qui ont pris cette dernière pour référence. Ils en ont alors déduit que la trajectoire de UMMO était hélicoïdale sur la surface d’un cylindre imaginaire (figures 2 et 3).
S74-f2
( IUMA )
Ils ont imaginé que notre OYAA effectuait un cycle complet comprenant 3 révolutions descendantes (fig.2) suivies de 3 montantes (fig.3). 0,212 année terrestre (77,38 jours) correspond à 1 XEE (année UMMO).
Nous en avons déduit que 1/3 de la véritable période de révolution correspondait à un XEE (ndt : l’année réelle UMMO correspondrait donc en réalité à 232 jours terrestres environ). Le très ancien cycle complet XEEUMMO équivaut donc à 18 XEE, soit six révolutions au total.
La masse de notre étoile IUMMA est de 1,48 1033 grammes (ndt : masse du soleil =1,99 1033 grammes). La distance IUMMA-SOLEIL était au jour du 8 juillet 1967 de 14,421 années-lumière.
Les tables astronomiques terrestres ne permettent pas d’identifier aisément notre OOYIAA. En effet, le système référentiel galactique établi conventionnellement par nos spécialistes, est différent du vôtre (voir note 2).
Note 2 – Notre référentiel est basé sur les coordonnées polaires à partir de notre propre système planétaire. Quatre radios sources dont les positions sont extrêmement stables par rapport au centre de notre système et situées respectivement à 12 382, 1 900 264, 899,07 et 31,44 parsecs (unités terrestres), servent de centre de coordination.
Si vous n’aviez pas fait d’erreurs, nous n’aurions eu aucune difficulté à effectuer le changement d’axes référentiels. C’est grâce à l’identification mutuelle d’astres par vous et par nous, que nous nous sommes aperçus des différences notoires relatives à la masse, la magnitude, la position et la distance. Il nous est pas encore possible, pour cette raison, d’identifier formellement notre IUMMA parmi votre répertoire astronomique.
En utilisant vos références, les coordonnées équatoriales polaires de notre étoile IUMMA pourraient être :
- Ascension droite 12 heures 31 minutes 14 secondes (à + ou – 2mn 11s)
- Déclinaison 9°18′ 7″ ( +/- 14′ 2″).
En utilisant ces données et en les comparant à vos tables astronomiques, l’étoile la plus proche de ces valeurs serait WOLF 424. Elle correspondrait peut-être à notre IUMMA. En effet, ses caractéristiques répertoriées par vous, montrent une distance d’éloignement de 14,6 années lumière, une magnitude visuelle absolue de 14,3, une magnitude apparente de 12,5 et un spectre de classe M.
Cela ne correspond pas tout à fait à la réalité. Une accumulation dense de poussières cosmiques (spectre gravimétrique complexe de particules solides métalliques ionisées inférieures à 0,6 mm), pourrait être à l’origine de l’erreur d’évaluation de la magnitude. Vous avez enregistré une perception atténuée de la lumière émise par l’astre. Notre soupçon est conforté dans cette valeur aussi faible de magnitude (14,3 à 10 parsecs).
S’il n’y avait pas eu de poussières cosmiques, vous auriez dû trouver une magnitude de 7,4 selon votre échelle, à une distance équivalente de 10 parsecs.
De plus, vous avez mesuré une température moyenne superficielle de IUMMA inférieure à ce que nous avons trouvé, soit 4 580,3 ° Kelvin (ndt : soleil à 5 780 °K). Or, le spectre n’étant pas modifiable par des poussières accumulées au moment de l’observation, nous avons du mal à trouver une explication à cette erreur.
Il est difficile de résoudre ces problèmes. En effectuant de notre côté, des mesures de luminosité en tenant compte d’une forte densité du nuage de poussières et de gaz, nous trouvons une valeur de magnitude proche de 26, valeur ne vous permettant pas une observation aisée avec vos instruments actuels, et cela nous paraît encore plus incompréhensible.
Cependant, une magnitude de l’ordre de 12 ou 13 pourrait être enregistrée si l’observation s’effectuait dans des zones moins exposées, et cela correspondrait tout à fait à ce qui a été répertorié pour WOLF 424.
Une autre hypothèse serait que WOLF 424 pourrait désigner l’un des deux OOYIA (petits astres), que nous avons codifié comme : (S74-s2) , situé à 2,07 années lumière d’IUMMA avec une température superficielle de 3 210°K, et comme (S74-s3) situé à 0,62 années lumière d’IUMMA avec une température de 2 575°K.
Il nous est difficile de prévoir à longue échéance les altérations du champ magnétique de IUMMA. Nous détectons sur UMMO, des valeurs d’intensité de ce champ, que vous jugeriez incroyables. L’oscillation est comprise entre un minimum de 3,8 gauss et un maximum de 216 gauss.
Il est possible que vous puissiez, en observant le spectre de notre IUMMA, noter le dédoublement de raies dû à la polarisation provoquée par ces perturbations, en considérant que le champ propre d’UMMO est plus faible que celui de la Terre, avec des valeurs extrêmes comprises entre 0,07 et 0,23 gauss.
Notre OYAA est très sensible à de si fortes variations. Mais grâce à des couches fortement ionisées de notre atmosphère, le milieu écologique a pu être protégé des fortes radiations. Les organismes vivants ont subi moins de mutations avec une faune et une flore moins riches que sur Terre.
Cependant, la nuit, vous seriez agréablement surpris par l’aspect fantastique de notre ciel qui vous ferait penser aux aurores boréales.
Nos orientations technologiques furent totalement différentes que sur Terre. Ce ne sont que dans des cas bien précis que nous utilisons les fréquences électromagnétiques pour les communications, et la grande variété d’équipements à fonction croissante de potentiel magnétique, doit être compensée pour éviter les fortes perturbations de l’extérieur.
Nos ancêtres, au cours de notre histoire, ont utilisé de grands tores métalliques déroulés dans les champs (des restes de câbles de cette période ont été trouvés enterrés) dans lesquels des courants électriques intenses apériodiques circulaient, et grâce auxquels on accumulait de l’énergie pour utilisation ultérieure (comme pour vos batteries) (note 3).
Note 3 – Des travaux grandioses réalisés avec de gros efforts par nos ancêtres sont à l’origine de la modification de la géographie de nos continents afin d’obtenir et de stocker de l’énergie.
Nous exploitâmes quatre sources importantes que sont l’énergie thermique tirée des zones à forte densité de OAK EOEEI (sortes de volcans), le gaz naturel (riches en propane et autres hydrocarbures), l’énergie des radiations fournies par notre IUMMA, en fabriquant des milliers de canalisations dotées de réflecteurs couvrant de grandes surfaces, et enfin, en combinant la rotation de UMMO avec le champ magnétique de IUMMA, on récolta de l’énergie en utilisant de grands conducteurs en alliage de platine et de cuivre enterrés à faible profondeur formant des spires de très gros diamètre ou de réseaux de tores (bobines toroïdales) réparties en zone désertique.
Le faible débit des rivières associé à un relief peu accidenté n’a jamais favorisé l’énergie hydraulique, et les hydrocarbures liquides se trouvaient à trop grande profondeur pour pouvoir être exploités à l’époque, n’offrant plus d’intérêt lorsque la technique aurait pu le permettre.
D75
Référence : | D75 |
Titre | NOTRE CRITÈRE QUANT AUX RELATIONS AVEC LES HOMMES DE LA TERRE |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en Novembre 1969 |
Commentaires |
NOTRE CRITÈRE QUANT AUX RELATIONS AVEC LES HOMMES DE LA TERRE.
Il est impossible de synthétiser notre culture actuelle sans que nos conceptions risquent de paraître peu convaincantes, n’étant pas accompagnées d’une argumentation suffisamment développée.
Nous souhaitons vous donner un panorama superficiel des fondements de notre structure sociale rassemblé dans les concepts suivants qui vous sont familiers :
COSMO PHILOSOPHIQUE
RELIGIEUX-MORAL
PHYSIQUE
Pour nous, cette classification est artificielle puisque nous considérons le cosmos comme l’harmonie d’un « tout » qui ne peut être divisé en disciplines ou sciences sans altérer la vérité gravement. Les liens entre les différents concepts de l’univers sont si intimes que l’idée de les compartimenter pourrait paralyser l’action du chercheur.
L’élaboration de ces idées devient difficile dans la mesure où vos schémas mentaux sont différents des nôtres. Nous ne pouvons utiliser un langage commun intelligible. Ainsi en m’efforçant d’utiliser en espagnol des mots qui vous soient familiers, je retiens les mots trop complexes que je pourrais employer. C’est un peu comme si vos frères Rilke, Neruda, Garcia Lorca, avaient pu exprimer leur poésie avec un vocabulaire extrait de l’index d’un manuel d’électronique.
Il ne nous est pas nécessaire d’employer un mot espagnol analogue à celui de notre correspondant. Dans le cas contraire les expressions que nous employons pourraient cacher des significations autres que celle employées par la pensée terrestre. Pour cette raison, les idées que nous vous avons soumises sont nécessairement « géotrophes », c’est-à-dire avec une connotation prononcée « d’orientation culturelle terrestre », mais ceci est dû au moyen de communication sociale choisi.
La puissance évocative des mots qui vous sont familiers bloque toute intention sérieuse de transfert culturel exogéognostique
L’idée de vous transmettre ces conceptions qui risquent de devenir de nouvelles doctrines sapant les piliers de la pensée terrestre, n’est pas du tout notre intention.
Des textes analogues à celui-ci mais avec un contenu autre, ont été postés à des philosophes, des représentants des différentes religions, des universitaires, des techniciens, des publicistes et également des personnes ordinaires dans les différents pays composants l’OYAGAA (Terre).
Nous avons remarqués que beaucoup de vos fréres ont traité cela par mépris en refusant d’admettre notre véritable identité. C’est une appréhension logique classique et habituelle.
Mais même le OEMII de la terre qui ont conservé, avec une curiosité qui nous encourage, ces pages dactylographiées en différentes langues et qui ont su faire la synthèse entre notre exigence quand à la réserve mentale et le secret, avec une attitude approbative quant à notre témoignage ; n’ont jamais été obligé de substituer leur idées aux nôtres.
Nous ne voulons en aucune manière, même par l’exhortation que vous soyez tenté de substituer vos idées religieuses, scientigfiques et politico-économiques aux nôtres. Vous reconnaîtrez le bien-fondé d’un tel avertissement :
– En premier lieu : parce que nos rapports sont purement DESCRIPTIFS. Nous vous offrons un compte rendu dépouillé d’arguments positifs, rationnels et convaincants.
– Il serait aberrant pour vous de greffer nos idées, concepts et affirmations dépouillées sur les concepts idéologiques de vos éducateurs sur TERRE.
– Si cela était, vous commettriez une entorse grave au rythme normal du développement de la société des hommes de la terre. Le processus technologique normal se trouverait altéré endommageant ainsi gravement la chaîne géosociale actuelle.
– Une révolution de vos structures doit se construire au niveau de votre propre réseau social. Une ethique cosmique que nous partageons nous interdit respectueusement d’intervenir, sauf en des cas limites imprévisibles.
Nous ne venons pas – tout au moins mes frères de UMMO – en prophètes descendus du ciel pour vous apporter une nouvelle doctrine, une nouvelle physique, une nouvelle religion, des conceptions mathématiques nouvelles, des panacées pour vos maux sociaux ou patho-physiologiques, en nous appuyant pour cela sur notreavance culturelle. Aussi, il ne viendrait pas à l’idée à un ingénieur spécialisé en constructions terrestres en visite dans une école de jeunes enfants, d’essayer d’expliquer aux UYIIE comment on construit un pont en encorbellement au moyen de voussoirs en béton armé.
Naturellement ce spécialiste pourrait utiliser des comparaisons et des expressions accessibles à ces jeunes cerveaux afin qu’ils puissent comprendre la technologie qui permet de franchir de grandes portées par la construction de ces structures. Il n’est pas nécessaire de souligner qu’une leçon de cette nature est inopportune dans une école primaire.
La pureté de nos intentions peut être constatée par la façon dont nous prennons contact avec vous. Si nous désirions vraiment introduire notre propre démarche, nous exercerions notre démonstration en illustrant nos textes par des démonstrations, même sophistiquées. Nous n’insisterions plus sur le fait que notre séjour sur TERRE est dû exclusivement à une nécessité vitale, que vous comprendrez, d’étudier et d’analyser votre évolution. C’est seulement après avoir compris que vos propres réticences nous protègent que nous avons décidé cet essai de symbiose intellectuelle.
Nous vous offrons maintenant ces documents tout en sachant qu’ils seront accueillis avec réticence et nous en faisons dépositaires des hommes de la TERRE comme vous, qui, imprégnés par l’intérêt pour des thèmes extra-biologiques, Ies conserveraient au moins jusqu’à ce que des preuves objectives et vraies sanctionnent l’authenticité de leur genèse.
Ceci est la seule chose que nous préconisons : Ne nous croyez pas. Accueillez avec méfiance ces concepts. Ne les divulguez pas pour l’instant dans les médias. Montrez-vous même sceptiques face aux OEMII non familiarisés avec cette science (celle qui analyse ces faits), mais ne détruisez pas ces feuilles imprimées. Avec quelques milliers d’autres distribuées secrètement, elles constituent le précédent historique des relations débutantes entre nos deux civilisations.
D76
Référence : | D76 |
Titre | NOTRE CONCEPTION DE L’AIOOYAAIODI |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en Novembre 1969 |
Commentaires |
NOTRE CONCEPTION DE L’AIOOYAAIODI
Tout penseur de la TERRE reconnaîtra l’insurmontable difficulté qu’entraine la projection de concepts abstraits sur les esprits non préparés, ces concepts reflétant toute la richesse idéologique des différentes écoles philosophiques.
Notre prétention de vous offrir de telles conceptions condensées en quelques paragraphes empéche d’emblée toute possibilité d’homogénéiser les critères, en leur donnant la forme adéquate que nous acceptons. Mais au moins elle vous servira pour ébaucher par petites touches rapides une image de la structure de notre pensée.
Dans le domaine de la cosmologie, les progrès obtenus sont suffisamment importants pour que les pensées de nos idéologues abandonnent le terrain de la spéculation intellectuelle et s’appuient sur un des considérations qui nous a permettent de formuler des hypothèses beaucoup plus conséquentes que celles d’autrefois.
Nous pouvons vous révéler que le premier « choc » ressenti par les anciennes conceptions mécanistes de l’univers eut lieu quand nos astrophysiciens arrivèrent à constater la véritable nature de l’espace physique.
Notre modèle de Cosmos est capable de répondre avec satisfaction à toutes les interrogations qui se posent non seulement en Physique mais aussi dans le domaine biologique et psychophysique. Il est compatible avec la riche phénoménologie dont nous sommes les observateurs optionnels.
Il ne s’agit pas cependant d’un modèle définitif, parfait et réaliste car bien qu’il réponde à nos propres formulations : qu’est-ce que l’être? qu’est-ce que le non-être?… pourquoi sommes-nous ici ?… qu’est-ce que « l’entité »-nécessaire ? (Observez que j’essaie de refléter les formulations qui vous sont les plus familières en satisfaisant toutefois harmonieusement nos aspirations subjectives de connaissance) nous introduisons sophistiquement des convictions erronées.
Par exemple, celle qui consiste à dire qu’il existe un modèle objectif pour nous. Celle qui, pour satisfaire à nos propres schémas mentaux envers des êtres dotés d’intelligence, nous pouvons qualifier de HORS DE MON ESPRIT comme concept « appréhendé » dans sa totalité, sans tenir compte du fait qu’une autre entité pensante DIFFÉRENTE DE MA STRUCTURE puisse satisfaire aux même critéres mais toutefois en arrivant à des résultats incompatibles avec mon MOI-STRUCTURAL, tout en restant valables pour lui.
Mais ceci est une conséquence de l’inquiétante question exposée en premier lieu. Existe t’il un modèle objectif du » Cosmos » ? Si la réponse est négative, la confusion introduite rendra impossible toute espérance de certitude.
Mais avant d’exprimer nos idées sur les êtres, sur l’AIOOYAAIODI (entité dimensionnelle), voyons comment nous envisageons le problème de l’information dont l’altération interdirait toute possibilité de nous entendre.
D77
Référence : | D77 |
Titre | LE LANGAGE ET NOTRE LOGIQUE |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en novembre 1969 |
Commentaires |
LE LANGAGE ET NOTRE LOGIQUE
Notre premier objectif de notre pensée fut d’élaborer à partir des bases dialectiques, une logique qui fût indépendante du langage et de la langue. Ceci était d’une importance vitale si vous tenez compte du fait que notre forme d’expression est bisynchrovalente et que la codification verbale de la pensée en deux modes d’expression capables d’être phonétiquement simultanés (l’une par un mécanisme linguoguttural semblable aux langages de la TERRE, et l’autre par un code impliquant des répétitions séquentielles des phonèmes ) prédispose à des interprétations fausses et est une source d’erreurs à cause de l’ambiguïté des termes utilisés et à la composante émotive lors de leur expression.
Ceci explique le choix de notre OIYOYOIDAA (façon d’exprimer des idées par une répétition codée de différents mots dans le contexte d’une conversation normale) pour servir de base à une communication verbale de nos concepts AADOO-AUGOOA (logiques). Ainsi les idées transcendantes sont exprimées par un langage à base mathématique.
De cette façon, nous, les OEMII d’UMMO, pouvons employer à volonté trois instruments verbaux, utilisés en fonction des besoins de l’individu à chaque instant .
Le premier, DU-OI-OIYOO (on peut le traduire par langage de liaison) utilise des images et des groupes de phonèmes liés ou connectés et représentant des concepts, des valeurs et des objets concrets et même des idées complexes ordonnées. C’est un véhicule qui sert pour les questions quotidiennes (langage domestique, technique, macrosocial vulgarisé) (voir note 8).
Durant le cursus d’enseignement, dans les réunions transcendantes, dans les dialogues entre ceux que vous nommeriez des intellectuels, quand les hiérarques de notre société (nos autorités suprêmes sont situées sur trois niveaux : UMMOAELEWE, UMMOAELEVEANI et UMMOEMIl ) doivent s’adresser aux membres du réseau social pour des raisons transcendantes et dans des cas plus communs, quand une grande rapidité d’informer est nécessitée par l’urgence du cas, deux ordres d’idées peuvent être projetés simultanément sur notre interlocuteur. Des deux communications, la plus transcendante, la plus complexe, celle qui requiert une grande précision, s’élabore à l’aide d’un codage numérique dans laquelle chaque nombre est saisi par la répétition » n fois » du même phonème, avec l’aide d’une modulation particulière de ceux-ci (voir note 4).
C’est cette dernière modalité qui sert de base pour un troisième type de langage qui, en profitant de la codification fondamentale des propositions très élaborées (codage numérique), établit des règles souples dans la communication d’informations, beaucoup plus complexes et précises.
Ainsi quand nous devons dialoguer ou exprimer des idées transcendantes de caractère logique, mathématique, « métaphysique » ou physique, nous utilisons une codification particulière des propositions, formulées de telle façon que notre dialectique ne rencontre pas d’obstacles idiomatiques, phonétiques ou émotionnels. Le gain important en quantité d’informations compense la lenteur ou la pauvre fluidité du flux de communication verbale.
Nous observons des divergences notables entre les bases de logique qui vous sont familières et les nôtres.
Nous nions le principe terrestre du tiers exclu (exclusion du moyen terme énoncé par Aristote) selon lequel les propositions ne peuvent être que VRAIES ou FAUSSES.
Une telle ligne dialectique déterminée exige de même que l’on refuse ce que vous nommez le principe de CONTRADICTION (par exemple dans le domaine que nous appelons théorie de BIEEWIGUU, qui peut se traduire par psychophysiologie).
Dans tous les cas nous respectons le principe que vous appelez IDENTITÉ.
Ce que nous venons d’exprimer exige un éclaircissement. Dans notre « devenir » normal, dans notre vie quotidienne, notre dialectique peut se confondre avec la vôtre. Si je dis que OUI, je me suis réveillé à 26 UIW, une telle proposition est VRAIE ou bien je peux avoir falsifié la réalité, auquel cas un autre type d’énonciation distincte de VRAI ou FAUX n’est pas possible (et ceci ICI dans mon cadre tridimensionnel de mon WAAM (Univers)).
Pour des actes normaux de la vie quotidienne, ce principe artificiel dual, est valable ou utile (vous ne faites pas non plus, au marché, des corrections relativistes sur la masse d’une marchandise déplacée du commerçant vers le client).
Mais quand nous désirons spéculer au sujet de valeurs transcendantes ou quand nous tentons d’étudier des concepts que vous appelleriez gnoséologiques, ontologiques, physiques, biologiques, théologiques… ce principe doit être totalement rejeté.
C’est précisément le grand obstacle auquel nous faisons allusion dans les paragraphes précédents. Comment vous exposer nos fondements métaphysiques si nos « langages » respectifs sont basés sur des principes logiques contradictoires? Le problème ne peut se résoudre par une simple transcription des significations de phonèmes comme vous pouvez vous en douter.
Ceci est la raison pour laquelle (en dehors de celles inhérentes aux impératifs de censure) nous nous voyons obligés, dans nos rapports, d’utiliser des comparaisons terrestres, des propositions mutilées et étroites qui entravent toute la richesse informative de nos expressions dialectiques. Déjà la seule utilisation du verbe ÊTRE limite nos possibilités. Toute l’ontologie des penseurs de la Terre est saturée d’expressions comme » ÊTRE « , » JE NE SUIS PAS », » J’EXISTE « , sans possibilité de choix pour d’autres formes de contenu distinct.
En ce sens, l’orientation de penseurs néopositivistes de la TERRE comme Russel est clairvoyante, non pas par le rejet de toute métaphysique mais comme exigence d’une révision du langage. Tant que vos formes de communication ne seront pas clarifiées, le processus de recherche de la vérité sera lent et très laborieux.
NOTE 4 : Illustrons cette modalité de communication verbale de l’information avec un exemple concret.
Pour ce type de langage nous n’utilisons pas » des vocables ou des mots » : les propositions se constituent en agglutinant les éléments de la phrase (sujet, prédicat et verbe comme vous dites ) en forme de proposition codée. L’euphonie importe moins que le sens véritable de la pensée.
Ainsi la proposition « cette planète verdâtre paraît flotter dans l’espace « , serait exprimée dans notre langage topique (DU‑OI‑OIYOO) de la manière suivante :
AYIIO NOOXOEOOYAA DOEE USGIGIIAM
Mais si nous désirons l’exprimer par le truchement du OIYOYOIDAA, il ne faudra que trois symboles:
PROPOSITION : (cette planète flotte dans l’espace).
CORRECTIONS : (verdâtre), (paraît; semble).
Trois chiffres (en système duodécimal) sont utilisés, la proposition requiert sept digits et les corrections cinq et quatre digits respectivement. De cette manière, dans un bavardage non transcendant tel que :
UAEXOOE IANNO IAUAMII IE OEMII + UAMII XOA AALOA
s’intercalerait l’information précédente :
AEXOOE IANNOO IANNO IAVAMII IE IE IE UAMII XOA AALOA AALOA AALOA.
dans laquelle les digits peuvent s’exprimer de deux façons : en répétant certains phonèmes et en modulant ou en accentuant certains de ces mots de forme caractéristique.
NOTE 8 : Nous vous parlerons une autre fois de notre forme de communication OANNEAOIYOYOO (vous diriez » TÉLÉPATHIQUE « ), qui nous permet de connecter les éléments de notre RÉSEAU SOCIAL, à de grandes distances. Deux difficultés dégradent cependant ce canal informatif:
- L’initiation du contact entre deux OEMII nécessite un certain délai.
- Des concepts complexes de caractère logique transcendantale ne peuvent passer par cette voie qui ne sert que pour la transmission d’idées simples et caractéristiques.
D78
Référence : | D78 |
Titre | NOS BASES EAAIODI GOO (Ontologiques) |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en Novembre 1966 |
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NOS BASES EAAIODI GOO (Ontologiques)
Comme vous n’êtes pas, Monsieur Ribera Jordá, un spécialiste en philosophie de la TERRE, nous essaierons d’utiliser une terminologie plus familière et compréhensible, avec un vocabulaire analogue à cette discipline.
Le problème de l’ « ÊTRE », tel qu’envisagé par les penseurs de la TERRE, a une formulation radicalement différente sur UMMO. Nos ancêtres ne doutèrent pas un instant de l’existence de la réalité externe à la propre conscience. Les « choses » existent par elles-mêmes, » en dehors de moi » mais leur essence nous est masquée par leur codage dans nos canaux sensoriels (voir note 7). Ce principe est resté le même jusqu’à ce que de nouvelles formes de dialectique enrichissent nos schémas primitifs.
Une synthèse de notre EAYODI GOO (ontologie) actuelle pourrait être formulée ainsi :
Il n’est pas possible de définir dans un premier temps le concept de l’ÊTRE.
« POUR-MOI » qui suis une pure conscience de mon IGIO UALEEXII (MOI) et des « choses » qui AIOOYA (existent dimensionnées) autour de moi, je suis plongé dans un WAAM (univers) qui me transcende.
Les » choses « , les objets de mon processus mental ne « sont » sans doute pas comme je les perçois, ni comme je les traite au moyen d’un mécanisme très complexe. Les relations causales sont des relations » EN-MOI » traitées selon un ordre élaboré par de tels mécanismes. Un végétal est perçu par « moi » selon ses attributs « réels ». « Mon » impression sensorielle arrivant au niveau de la conscience est sans doute une illusion basée sur des constantes extérieures. Ainsi la couleur sera l’impression psychologique liée à une stimulation électromagnétique et le concept de masse imprimé dans ma conscience est très loin de pouvoir s’identifier avec l’attribut physique réel qui le génère. Jusqu’ici, Monsieur Ribera, de telles idées concordent avec la pensée des théoriciens des idées de la TERRE.
Mais, même si les « ÊTRES » se masquaient en accédant à notre MOI et même si nous ne pouvions savoir comment ils » SONT » réellement, leur essence EXTÉRIEURE-À-MOI est-elle constante ? Je peux ignorer comment » EST » réellement une molécule de camphre qui stimule mon organe sensoriel olfactif en provoquant la sensation consciente, mais chaque fois que je perçois cet arôme, suis-je assuré qu’il est l’attribut du seul camphre et non pas qu’il puisse s’agir d’une illusion ou d’une hallucination?
Exprimé autrement :
Même si je ne savais pas comment « est réellement le WAAM » , le WAAM est-il « ICI », dynamique ou statique, changeant ou rigide, engendrant des idées qui se reflètent dans ma conscience sans que mon » MOI » soit capable d’en changer l’essence, son » ÊTRE » propre?
Notre réponse est NON.
Les OEMII avec une structure neurocorticale et mentale définie (vous les hommes de la TERRE, nous les hommes d’ UMMO et tous les êtres semblables du WAAM) ne pouvons jamais accéder à la vérité, à l’essence du WAAM, non pas parce qu’un tel WAAM »n’existe pas » ni parce qu’il y a une barrière qui nous en empêche, mais parce que EN PENSANT À L’ÊTRE NOUS MODIFIONS SON ESSENCE (Une comparaison grossière illustrera notre proposition : quand un physicien de votre Planète prétend observer une éprouvette micro métallo graphique pour constater ses propriétés optiques, il produit une altération dans le processus en utilisant de la lumière pour l’observation. Ceci est un obstacle insurmontable puisque l’observation elle-même altère la véritable nature de ce qui est observé). Quelque chose de semblable se passe avec l’ÊTRE : celui ci « EST-AINSI » quand il N’EST PAS PENSÉ ET QUE SON IDÉE N’EXISTE PAS DANS MA CONSCIENCE.
Dés que nous, ÊTRES PENSANTS, tendons vers l’ÊTRE, celui-ci n’ [EST] , ni [N’EST-PAS] (ici votre logique ne nous permet pas une solution informative pour développer ce concept).
Nous OEMII « créons » le WAAM en pensant à lui, le Cosmos se présente à nous avec une configuration d’IBOZOO-UU (voir plus loin le concept physique du WAAM). Sans doute ces IBOZOO-UU existent en tant que représentation de QUELQUE-CHOSE-QUI-N’ÉTAIT-PAS-IBOZOO avant que nous le pensions et, comme (penser c’est ÊTRE), avant que nous, les OEMII, n’existions.
II s’agit là d’une espèce de » SYMBIOSE » entre la Réalité extérieure et nous. La réalité extérieure se plie à notre processus mental, elle est modifiée dés que nous focalisons notre conscience sur elle. Nous élaborons alors un modèle de WAAM binaire composé de facteurs physiques IBOZOO-UU qui est notre « CRÉATION » et en même temps cette Réalité conforme notre MOI, le crée, l’engendre.
En arrivant à ce stade, vous pouvez penser que notre système est une espèce de panthéisme qui exclut l’idée d’un ÊTRE NÉCESSAIRE ou WOA (Dieu) TRANSCENDANT-AU-COSMOS. II n’en est rien comme vous pourrez le constater plus loin.
Imaginons d’autres êtres » pensants » différents de nous ( EESEEOEMI ). Nous ne nous référons pas à des êtres avec une structure physiologique différente, mais à des « JE » dont les schémas mentaux ont une configuration différente. Sans aucun doute « ceux-ci » tenteront de PENSER-LE-COSMOS (bien entendu le processus de « PENSER » ne doit pas être interprété dans un sens anthropomorphique) , et » ce faisant » ils modifieront son ÊTRE. Ainsi leur WAAM NE SERA PAS notre WAAM [Notez: CECI EST IMPORTANT que nous ne disons pas que le WAAM ne sera pas OBSERVÉ ou SENTI ou PERCU ou SCHÉMATISÉ de différentes manières – ceci est évident -. Mais par contre nous disons que l’image de ce Cosmos doit être différente comme peut l’être une image optique captée par un insecte diptère par rapport à celle perçu par la rétine humaine).
II n’y a pas seulement le fait que l’image de ce WAAM soit distincte par l’intervention d’un processus mental de configuration différente des nôtres. C’est que l’ÊTRE même, l’ESSENCE même du WAAM sera perturbée. Cette relativité de l’ÊTRE, cette polyvalence de « l’ÊTRE », demeure reflétée dans notre logique par ce que nous nommons AAIODI AYUU (gamme ou réseau de forme de l’ÊTRE).
Supposons que nous ordonnions symboliquement toutes les possibilités ontologiques (pour cela faites abstraction du principe du tiers exclu aristotélicien) relatif à « QUELQUE CHOSE » transcendant à mon » JE « .
( EST UN ÊTRE )1 – ( N‘EST PAS UN ÊTRE )2 – (EST UN ÊTRE )3 – (EST UN ÊTRE)4 ….. – ….. (EST UN ÊTRE)n
Il s’agit d’un ensemble ou série de possibilités non tautologiques que nous pouvons coder encore plus synthétiquement ainsi: S1; S2; S3; S4 ; S5 ; ….. ; Sn
Nous arrivons à la signification de l’AIOOYA dont la transcription en langage terrestre est impossible. AIOODI est « ce » qui est susceptible d’adopter une infinité de possibilités « d’existence » (S1, S2, S3; .. . . . . ; Sn). Ainsi, par exemple un IBOAYA OU (quantum énergétique, photon) peut S1(ÊTRE) ou S2 (NE PAS ÊTRE, dans le cas où il se transforme en masse), mais les deux possibilités sont des déformations d’un AIOOYA provoquées par mon « JE » (être pensant).
Nous, OEMII, voyons donc le WAAM et ses facteurs intégrés dans les possibilités S1; S2 ; ……; Sk. Vous, les hommes de la TERRE, vous n’acceptez pour l’instant que les possibilités S1 et S2,.
Mais d’autres hypothétiques êtres pensants capteront des AIOODI sous les possibilités différentes des nôtres Sk + 1, Sk + 2 …….. Sm.
Le drame de I’OEMII ou d’un autre EESEEOEMI réside dans le fait que sa recherche de la vérité, sa recherche de l’AIOODI, sera infructueuse puisque celle-ci se présentera toujours sous les caractéristiques S1 ,S2, S3 . . . . . . . . Sn.
Mes jugements, mes actes, ordonnés par les objectifs à atteindre et par les moyens utilisables, constituent de plus « EN-EUX » autant de S1, S2, . . . . . . . . Sk auto-déformées par leur propre processus pensant.
NOTE 7 : Sur ce point les penseurs de la TERRE acceptent aussi la difficulté d’accéder à la réalité extérieure, dont les images mentales s’intègrent au travers du codage utilisé par nos organes extérocepteurs et propriocepteurs.
D79
Référence : | D79 |
Titre | LE CONCEPT DE WOA |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en novembre 1966 |
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LE CONCEPT DE WOA
Vous disposez d’un beau mythe: Tantale, le roi de Lydie condamné à ne pas pouvoir satisfaire son appétit tout en disposant de plats à sa portée. Tout EESEOEMI IGIO (ÊTRE PENSANT) doit subir aussi les conséquences de ce qu’il est. Le WAAM est inaccessible. Le WAAM qu’il voit, qu’il touche, dont il sent la chaleur, qu’il pense en somme, est transformé par lui dans ce processus pensant.
Mais le AAIIODI avec ses multiples formes « d’ ÊTRE »: EST-ICI-DANS-MON-WAAM. Est-ce que quelque chose ou quelqu’un peut y accéder , « penser » à lui sans le déformer ? Quelqu’un ou quelque chose peut-il pénétrer le AAIIOYA sans que celui-ci se permute en S1, S2, S3 ……Sn ? Ce quelqu’un ou quelque chose est WOA ou le Générateur, celui auquel sur TERRE vous donneriez le nom de DIEU, si le « DIEU » de vos écoles théologiques était moins humanoïde que notre concept d’ « ENTITÉ NÉCESSAIRE ».
Nous disons que WOA engendre le WAAMWAAM (Cosmos multiple). Nous utilisons arbitrairement le mot » engendrer » non pas comme synonyme strict du verbe « CRÉER » mais comme transcription du mot IIWOAE. Je vous ai dit que WOA est l’unique « entité » « pensante » qui ne déforme pas le AIIODI. En utilisant des mots de la TERRE avec encore un risque de rendre plus humanisant le concept que nous sommes occupés à vous exposer, nous dirons que WOA coexiste avec AIIODI, que AIIODI ne lui est pas transcendant. AIIODI est « ACTE » de WOA, il est généré sans que WOA l’ait préalablement rendu possible. De cette façon « LA PENSÉE DE WOA » ne garde aucune relation avec notre processus pensant d’êtres dimensionnels.
Nous affirmons donc que l’ ÊTRE n’est pas IMMANENT, qu’il n’est pas un terme de notre conscience subjective bien que cette conscience soit celle qui le conforme en extorquant une réalité (AIIODI) qui se cache derrière notre vision intellectuelle déformante de L’ENTITÉ. WOA engendre ainsi toutes les formes possibles de S1, S2, S3. . . . . … Sn et leurs sous-groupes constituent autant d’autres WAAM. Autrement dit, WOA engendre une infinité de cosmos, en engendrant une infinité de types d’êtres pensants, mais la proposition « IL Y A UNE INFINITÉ DE WAAM » n’est valable que pour nous, EESEOEMII (êtres pensants) qui, en déformant autant de fois le AIIOYAA que nous sommes des classes de « JE pensants », nous nous créons l’illusion d’une très riche gamme de possibilités ontologiques.
Exprimé d’une manière triviale; » vu du côté de WOA » le WAAM (Univers) ne présente pas la large gamme de formes qui est familière à notre entendement, WOA ne l’apprécie même pas comme quelque chose qui EXISTE ou qui N’EXISTE PAS ou qui EXISTE; pour WOA il est simplement AIIODI éternel et immuable comme lui. (nous utilisons ici le mot » éternel « , mais pas comme synonyme de temps infini).
NOTRE IDÉE DE WOA
Il est véritablement difficile de parler de WOA dont nous ignorons l’essence, tout en étant contraints d’employer une langue étrangère dont les bases logiques sont bivalentes. Sur UMMO, quand nous employons l’expression phonétique AIOOYA AMIIE (dont la transcription littérale serait « N’EXISTE PAS ») nous nous référons bien à des concepts abstraits ou à des idées ou bien à WOA. Nous cherchons à exprimer quelque chose de différent de AIOODI (ÊTRE INACCESSIBLE ) puisque AIOODI se présente à nous avec des « dimensions » et que WOA est ADIMENSIONNEL, c’est-à-dire, qu’il n’est pas susceptible d’être déformé par notre pensée. Ainsi nous disons AIOOYA IBONEE (les radiations cosmiques existent) ou AA-INNUO-AIOOYA-AMIE (la symétrie n’existe pas).
WOA est intemporel. Sur ce point nous sommes en accord avec les théologiens de la TERRE. Cela n’a pas de sens de parler « d’Eternité », de temps, de pensée ou d’esprit dans l’essence de WOA.
De plus, sa raison de AIOOYA AMIIE est précisément celle d’être à l’origine de l’idée de AIOODI. Nous vous avons dit que AIIOODI est l’Entité qui ne nous transcende pas puisqu’il est extorqué, fractionné en multiples formes (WAAMWAAM).
C’est dans ce sens que nous pouvons (sous notre angle familier) imaginer que dans WOA « il y a » un esprit créateur d’idées, d’une infinité d’idées, dans la mesure où ces idées ne sont pas incompatibles avec l’essence du WAAM .
De plus nous n’attribuons pas à WOA des qualités, ou nous n’associons pas à son AIOBII (voir note 10 – Ndt: cette note est manquante) des fonctions hominoïdes qui anthropomorphisent son concept comme l’ont fait malheureusement les théologiens de la TERRE dans des époques passées. L’attribut de BONTÉ, de CRÉATEUR, de JUSTE, de CRUEL et autres, n’ont pas de sens s’ils se rattachent à « ce qui AIOBII » (C’est le cas de WOA) .
Quand nous traduisons le phonème IIWOAE par le mot d’Espagne » générer » nous violons la signification authentique, étant donné que notre concept de IIWOAE N’EST PAS synonyme « d’ ENGENDRER » ou « de CRÉER » au sens où vous l’entendez, c’est-à-dire « la fonction qui permet à une Entité avec une existence préalable de faire surgir un ÊTRE CONTINGENT dont les éléments constitutifs ne préexistaient pas » (voir note 11 – Ndt: cette note est manquante).
Nous nous rendons parfaitement compte de la confusion qui peut vous gêner pour essayer de comprendre ces paragraphes. Ce n’est pas de notre faute.
En utilisant votre logique familière, nous symboliserons ce concept:
Vu depuis la perspective de l’homme, WOA (Dieu) « crée » les bases des atomes, génère les lois qui régissent le Cosmos, mais pour la perspective de WOA, la fonction « générer », « créer », et même « COÉXISTER », n’a pas de signification.
Il est nécessaire d’insister sur la grande différence que nous observons entre notre concept de genèse par WOA (vu par un OEMMI) et ce concept de génération tel qu’il serait appréhendé si nous nous situions (possibilité absurde) du « point de vue » de WOA.
Pour nous, WOA engendre une infinité d’idées, idées qui en tant qu’excroissances d’un « ÊTRE SUPRÊME », doivent SE RÉALISER, EXISTER EN DEHORS OU EN DEDANS DE NOUS. Ainsi il est capable d’engendrer autant de cosmos que nous pouvons imaginer d’entités pensantes.
Mais sous l’hypothétique angle de WOA, tout est différent. Lui, il (coexiste-engendre) avec le ou les (utiliser un qualificatif quantitatif n’a pas de sens) AIOODI, mais un être pensant est simultanément AIOODI car, à son tour, en pensant en « lui », il le déforme en mille facettes ontologiques, générant son propre WAAM, son propre COSMOS. Ainsi surgissent autant de WAAM que d’ EESEOEMI compatibles avec « l’esprit de WOA ».
Pour WOA le pluri-cosmos (WAAM-WAAM) n’aura donc pas de sens mais il n’en sera pas de même pour nous, hommes pensants.
Mais continuons avec notre procédé « vu » par moi (JE-PENSANT).
WOA, parmi l’infinité d’idées qui coexistent avec son essence, imagine celle d’un « ÊTRE » sans dimension capable de léser (ndt: « extorsionar ») son propre AAIODI (c’est-à-dire : penser, engendrer des idées). Un tel « ÊTRE » (ÊTRE pour mon concept; AAIODI pour WOA) doit donc être libre. (Observez que s’il ne l’était pas, sa genèse d’idées n’aurait pas de sens puisque celles-ci seraient attribuables à WOA et ne seraient donc pas des IDÉES (au sens conceptuel que vous attribuez à un tel mot) mais AAIODI ).
Il n’est pas logique non plus d’imaginer que cet » ÊTRE » libre et générant un autre AAIODI, puisse être un double de WOA. (WOA ne pourra pas engendrer un tel ÊTRE).
C’est ainsi « qu’a été généré » BUAWE BIAEI (peut se traduire par » ESPRIT COMMUNAUTAIRE ou SOCIAL « ) qui représente, comme nous l’expliquerons plus loin, la collectivité des EESEOEMII (êtres pensants) incapables de pénétrer l’essence du AIODI, puisque leur tentative provoque une « mutation » en lui, comme nous vous l’avons expliqué antérieurement.
Combien de BUAWE BIAEI « existent-ils » ? C’est-à-dire combien y a-t-il de catégories de groupes pensants? Est-ce que tous les BUAWE BIAEI sont identiques en leur essence ? Le BUAWE BIAEI terrestre est-il le même que celui d’UMMO ?
Nous essaierons de répondre dans l’ordre à toutes ces questions, mais avant il est nécessaire de clarifier la double interprétation que représente pour nous le phonème BUAWE BIAEI : une première acception (l’ancienne) est synonyme de « COLLECTIVITE d’ EESEOMI ». La seconde représente notre concept actuel « d’ ESPRIT COLLECTIF ». Sans cette clarification nous pourrions arriver à une tromperie de caractère amphibologique (Ndt – ROBERT: » amphibologie » : double sens présenté par une proposition ) qui rendrait encore plus difficile la compréhension de notre pensée.
Si nous nous en tenons à la première acception, il est évident que nous ignorons par voie empirique combien de catégories d’êtres CONSCIENTS ET PENSANTS peuvent exister dans le WAAM-WAAM (ensemble d’Univers coexistant avec WOA).
Si nous acceptons la définition du WAAM-WAAM au sens strict, il doit y avoir autant de WAAM que de catégories d’êtres pensants capables de déformer le AAIODI.
En adoptant aussi le mot BUAWE BIAEII comme synonyme de collectivité homogène, vous les hommes de la TERRE, nous les OEMII de UMMO et TOUS les humains qui ont la même structure cérébrale que nous et dont les processus mentaux se déroulent sous des bases analogues, nous lui appartenons; mais en suggérant l’autre signification (âme collective) nous vous confessons que nous n’avons pas encore pu résoudre cette énigme. (Une des raisons, parmi d’autres, de notre venue sur votre OYAA s’appuie sur la réalisation d’une étude profonde du problème.)
D80
Référence : | D80 |
Titre | NOTRE GNOSÉOLOGIE |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en Novembre 1966 |
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NOTRE GNOSÉOLOGIE
Nous n’avons pas élaboré une théorie de la connaissance qui soit séparée de notre propre WOALA OLEASS (Philosophie-Théologie) et avec sa propre identité.
Notre source de connaissance est empirique. Convaincus que l’AAIODI (l’entité réelle) nous est inconnue, convaincus que le WAAM accessible par nos voies intellectuelles et sensorielles est un « fantasme » créé par notre JE-PENSANT, nous optons pour au moins tenter de pénétrer cette image déformée par nous de l’AAIODI . Sur UMMO, il existe une ancienne légende qui illustre cette attitude:
L’ IGOONOOI (ouragan chargé de sables abrasifs, dangereux, qui parvient à détruire la végétation et à éroder fortement les roches) voulut un jour lire l’OUDEXIENOO (voir note 6) des OEMMI « des lacs », car il se sentait « faible et malade » (sa vitesse était en baisse selon le texte original).
Cette nuit-là, il descendit des » déserts » et souffla en ouragan terrorisant les OEMMII, détruisant la BAAYIODOVII (flore et animaux) et limant les roches et la terre. Mais quand arriva le lever du jour et qu’il voulut lire les inscriptions, celles-ci avaient été érodées par la poussière en mouvement (déformant les textes) et ainsi l’ IGOONOOI mourut (il s’arrêta de » souffler « ) en interprétant mal les graphismes qu’il avait lui-même à moitié détruits.
Ce mythe peut illustrer le drame de I’OEMMII de UMMO. Conscient que le WAAM que nous » contemplons », que nous « pensons » n’est pas le véritable WAAM engendré par WOA, puisque la fonction « pensante » distord, déforme sa réalité, l’être humain, et par extension n’importe quel EESEOEMII (ENTITÉ PENSANTE), est condamné à gommer la véritable inscription guérisseuse qui assouvirait son angoisse dans le domaine de la connaissance.
Nos ancêtres découvrirent progressivement que les formulations scientifiques élaborées sous des prémices et sous des conclusions basées sur une logique simpliste n’avaient pas le caractère apodictique (NdR – ROBERT: » qui a une évidence de droit et non pas seulement de fait » ) qu’ils leur attribuaient au départ. Dans la dynamique du WAAM existaient des principes incapables d’être envisagés sous les qualifications que vous appelez « FAUX » ou « VRAI ». Surgissent ainsi des voix (Ndt: « voces » : voix ou termes) qui réclament une nouvelle logique capable non seulement de dépasser les limites de certaines formes rudimentaires de communication informative, mais d’enrichir aussi la gamme des AIGAEGAA (propositions) possibles. Sinon comment rattacher à la phénoménologie scientifique des réalités comme l’AMMIOXOO (mal moral), IUAMMIO DII (cruauté), YIISA-OO (félicité, bien moral, satisfaction intime), OANEEAOIYOOYO (transmission télépathique), OENBUUAU (lien soma psyché). Tous ces termes ne peuvent être mesurées analytiquement et insérés dans le cadre de la réalité objective avec des concepts tels que GOODAA (état liquide de la matière), IBOSOO UU (voir le paragraphe consacré à la structure du WAAM) ou IBON-EE (radiations de très haute fréquence).
Il était nécessaire de libérer l’OEMMII qui se consacre à la science de sa tendance inconsciente à imprégner ses conclusions de manière affective, en pervertissant ainsi la conscience de la réalité objective.
Surgirent ainsi de nouvelles techniques pour accéder à des phénomènes que vous qualifieriez de « SPIRITUELS » en utilisant une méthodologie rigoureusement scientifique (au sens que vous accordez à ce mot, c’est-à-dire en vérifiant les faits et en formulant analytiquement leurs lois). Il y a seulement une différence avec les scientifiques de la TERRE : Vous, vous acceptez une hypothèse en l’élevant au niveau d’explication rationnelle quand ses postulats (énoncés sous des formes aristotéliciennes) ne contredisent pas la loi exprimée mathématiquement – généralement de type statistique – jusqu’à ce que la découverte de faits nouveaux entre en conflit avec l’ancienne formulation.
Notre « agnosticisme » (comme vous l’appelez vous-mêmes) nous pousse non seulement à nous abstenir de définir et de sonder quelque chose d’aussi transcendant que WOA ou AAIOODI, mais aussi nous pousse à élaborer une théorie et à la vérifier. NOUS N’ACCEPTONS PAS pas son authenticité malgré tout.
Ce flot de concepts, explications, hypothèses, nous sert comme gymnastique mentale pour épurer constamment les idées. Quand un penseur de UMMO formule par exemple une nouvelle hypothèse concernant l’influence de l’UWAAM (cosmos jumeau) ratifiée par les faits et par sa formulation analytique, IL NE LA CROIT PAS lui-même et ne l’accepte jamais. La propre dynamique de la fonction pensante est plus importante que le stade » plat » d’une théorie stagnante qui engendre une école, comme parmi vous. Un exemple, bien qu’absurde, illustrera ce que je dis. Si Freud avait eu notre mentalité d’UMMOENMII, il n’aurait jamais accepté dogmatiquement sa propre théorie du « complexe d’œdipe « .
Cette conduite pragmatique, étrange pour vous, nous est utile car elle évite aussi bien la mutiplication d’écoles qui divisent le Réseau Social en provoquant des situations conflictuelles, que les postures narcissiques et non objectives de celui qui accepte ses propres genèses mentales comme vérités ultimes, en oubliant qu’un autre oemmi du futur, plus intelligent et expert, perfectionnera encore, sans les nier, les propositions précédentes. C’est pour cela que nos oemii penseurs n’essaient pas de spéculer autour de la nature de ce qui est inaccessible (par exemple WOA et l’AAIODI).
NOTE 6 : Les OUDEXIONOO étaient des monolithes de roche poreuse et tendre en forme de baguettes que l’on érigeait dans les champs et où nos ancêtres effectuaient des inscriptions relatives à des « recettes ou conseils thérapeutiques ». Ils voulaient perpétuer ainsi une médecine de caractère empirico-magique. Nous conservons encore quelques-unes de ces longues colonnes.
1 ere CONVERSATION AVEC UN UMMITE – LUIS JIMÉNEZ MARHUENDA, 10 MARS 1987, 14 h 45 , durée 1 h 55′
La veille, ma femme reçoit un appel, mais je n’étais pas chez moi, il n’y a pas eu de conversation. Bien sûr, elle croit à une plaisanterie.
Ummo – Luis Jiménez Marhuenda ?
Luis – Devant les difficultés d’audition, il insiste, répète, réitère la question. Je pense qu’il s’agit d’un canular et je le dis : C’est très mal fait. Vous les imitez très mal.
(La question est répétée plusieurs fois avec insistance. Malgré tout je décide d’enregistrer la conversation, rien que pour tenter de découvrir la supercherie.
U – Monsieur Aguirre recevra une lettre.
(J’ai fait un essai de conversation avant d’enregistrer. dont je ne me souviens pas, bien qu’il ne s’agisse de rien d’important. Je commence à me convaincre de la possibilité que ce soit réel. Je lui demande son nom.)
U – Mon nom est (quelque chose comme) OUA 5 fils d’OUA 2. Nous enverrons une lettre à Juan Aguirre. Elle contiendra une bande jaune scellée à la marque ou timbre d’UMMO.
L – Ils m’enverront une lettre qui contiendra une bande jaune et marquée de quelque chose de spécial (je dis cela pour vérifier s’il sait ce que ce sera).
- Oui. Radioactivité.
- La lettre reçue de Mandchourie est-elle fausse ?
- Elle est fausse.
- Qui l’a écrite ?
- Nous ne savons pas.
- Je voudrais parler plus amplement avec vous. En une autre occasion, j’ai parlé avec un de vos frères (je fais référence à l’appel reçu à ma maison de San Vicente de Raspeig en avril 1980). Était-ce vous ou un autre ?
- Ce n’était pas moi.
- A quelle occasion me promettez-vous un contact personnel ?
- Préjudiciable pour vous.
- Pourquoi ?
- Ligne sur écoute. (J’entends mal)
- Pourquoi ?
- Agents.
- Mais, croient-ils que vous êtes extraterrestres ?
- Ils croient que nous sommes RUSSES.
- Ils se douteront de quelque chose un jour.
- Cela n’a pas beaucoup d’importance.
- Savez-vous quelque chose de Farriols ?
- Votre frère Farriols est bon.
- Pourquoi m’appeler et ne pas appeler Farriols ?
- Nous ne pouvons pas l’appeler.
- Je crois que je suis le plus modeste de tous, le dernier venu à cette affaire.
- Ce n’est pas le critère.
- Je considère mériter moins que d’autres d’être appelé.
- Nous… (suite incompréhensible)… préjudiciable pour lui.
(RF. Je suppose qu’ils disent ne pas m’appeler pour ne pas provoquer une situation qui bien qu’indirectement pourrait me nuire)
- Que penser de la lettre qui parle de l’attentat en Autriche dont furent victimes vos frères ?
- Elle est authentique. … (?)
- Pourtant le groupe de Madrid considère que non.
- Si, elle l’est.
(R.F. Quelques mois plus tard, Antonio Ribera, qui avait reçu la lettre en question, me dit avoir eu une conversation téléphonique avec une jeune femme d’Alicante qui prétendait être l’AUTEUR de cette lettre. En fait, elle affirmait être la « fille » d’un Ummite, et que sa mère était TERRESTRE. ?
De plus, le sceau caractéristique UMMITE, frappé sur les lettres écrites d’Espagne de couleur violet, apparaissait sur cette lettre déformé et flou. J’avais pensé moi-même que l’origine en était frauduleuse).
- IL y a des connotations externes, des doutes surgissent. Quelle preuve pourrions-nous avoir pour déjouer les faux ?
- La machine actuelle est de reconnaissance facile. La typographie a des déformations… (suite inintelligible, je suppose qu’il a dit que c’était la machine utilisée pour les premières lettres à Sesma. Puis il me dit le principe de la conversation qui ne devait pas être enregistrée)… De plus… la bande jaune.
- Avez-vous enregistré la conversation que vous avez eu il a quelque temps avec Juan Aguirre et moi… et plus tard avec Rafael Farriols ?
- Nous avons enregistré celle de Farriols et Barrenechea… (il dit aussi quelque chose comme qu’ils discuteront et nous préviendront de la prochaine réunion. Ils ne disent pas la date au téléphone).
- (Insistant) Avez-vous la communication entre Aguirre et moi, où nous parlons de vous ? (J’insiste sur cette question parce qu’il y a quelque temps Aguirre et moi sommes parvenus au téléphone à une conclusion : ils pourraient avoir négligé de nous écrire ? ils pourraient nous avoir oubliés ? ils pourraient faire beaucoup de choses, mais il y a quelque chose qui nous est propre et où ils ne pourraient intervenir : que nous cessions de les admirer. L’affection que nous sommes parvenus à leur réserver, c’est quelque chose qu’ils ne vont pas nous enlever. Aguirre tout comme moi avons beaucoup sublimé cet aspect. De là mon insistance à savoir s’il avait écouté cette conversation.
- Il ne fut pas possible de capter cette conversation.
- Avez-vous écouté la conversation entre Farriols et moi ? J’insiste sur elle parce que Farriols a participé à la précédente, a parlé de ma conversation avec Aguirre et affiche la même emphase à les admirer)
- Nous n’écoutons pas toutes les conversations.
- Aviez-vous regagné votre planète.
- Non. Nous étions sur OYAGAA.
- Dans quel pays ?
- Je ne peux le dire.
- (J’insiste de nouveau sur la conversation entre Aguirre et Farriols sur celle dont il a parlé plus haut). Aguirre et moi avons eu une conversation et aussi ensuite avec Farriols et nous étions préoccupés de ne rien savoir de vous. Nous pensions que peut-être vous étiez retournés sur votre planète ou au pire que vous ne intéressiez plus à nous…
- (La première partie inintelligible)… vous avez été contrarié par notre faute. (Il répète « par notre faute » et me paraît avoir du chagrin dans ses propos. )
- Je ne me souviens pas avoir été contrarié. Au contraire.
- Non. Ils ne se portent pas très bien.
- Mais non, je me porte très bien avec tous.
- Mais parmi eux, il y a eu des contrariétés.
- Votre amitié nous a beaucoup enrichi.
- (Inintelligible)
- La peine de quelque petite contrariété sans importance se mérite en compensation de tout ce que vous nous avez apporté.
- Nous avons altéré votre paix.
- Vous n’altérez pas la paix ! Au contraire vous nous avez donné une grande paix, une grande harmonie.
- Aux autres non.
- Juan Domínguez a écrit un livre sur vous. Quelle opinion ?
- Excellente.
- Cela ne vous a pas dérangés ?
- (Inintelligible)
- Quelle opinion du Père López Guerrero ? Il est mon ami et présente des arguments qui ne sont pas toujours en accord avec les vôtres.
- C’est naturel.
- Parmi les domaines qui le séparent de vous, il y a le Diable et la Parapsychologie. Quel opinion avez-vous du Diable ?
- Le Diable n’existe pas.
- Je pense que oui.
- Il n’existe pas.
- Mais les forces du mal existent. Les Papes ont dit que le Diable existe. Oui.
- Il n’existe pas.
- Je crois que oui. J’ai le droit de penser, et je crois que oui.
(Ici, il parle de la liberté de penser que doit avoir chaque personne et prononce aussi quelque chose comme un encouragement à maintenir mon indépendance de choix.)
- Pourriez-vous avoir quelque étude ou preuve de l’inexistence du Diable.
- Ce qui n’existe pas ne peut se démontrer.
- Et Saliano ? Existe-t-il ?
- Oui.
- Est-ce un extraterrestre ?
- Nous avons eu des contacts avec lui.
- Quelle opinion de lui ?
- Mauvaise.
- Est-ce un extraterrestre ?
- Nom générique.
- J’ai des questions à faire maintenant à l’improviste.
- Pensez avant de les faire… qu’elles ne soient pas enregistrées.
- Mes questions sont d’ordre moral et philosophique. … Vous connaissez mes travaux envoyés à tous ceux du groupe.
- Oui.
- Quelle opinion ?
- Très noble.
- Ce que je dis est-il certain ?
- En partie oui, en partie non. (La suite inintelligible)
- Quelle est la partie équivoque ?
- Je ne peux répondre.
- Pouvez-vous me le dire par lettre ?
- Vous devez être libre de penser.
- Mais j’aimerai profiter de ce que vous dites.
- (Inintelligible : il dit quelque chose comme « obéissance »).
- Il ne s’agit pas d’obéissance !
- Nous ne devons pas vous donner d’ordres.
- Mais nous pouvons respecter ce que vous dites… faire cas de ce que vous nous dites.
- Sous votre responsabilité.
- Nous vous considérons comme de chers amis, et vous ne pouvez empêcher notre affection.
- C’est correct. Nous avons du sentiment pour vous… (suite inintelligible).
- Merci beaucoup. Il doit en être ainsi parce que au cours d’une conversation en direct j’ai entendu quelque chose dont je me souviens pas mais il doit s’agir d’une démonstration d’affection envers nous). De toutes façons, vous dites que vous ne pouvez rien faire pour notre humanité.
- Nous ne pouvons la perturber… (Inintelligible. Vous devez l’écouter en direct et ne pas l’enregistrer du tout. Il est sûr qu’il se réfère à un désaccord entre nous parce que je me souviens qu’il répète une fois de plus « par notre faute ». Certainement UMMOAELEWE a insisté beaucoup : ils ne doivent pas permettre que naissent des désaccords entre nous, motivés par leur présence. Quelque chose dont je ne me souviens pas et que l’on n’entend pas sur la bande mais qui m’a fait répondre) :
- Mais il y beaucoup de temps de ce… (Ici il parle de Ribera, de son livre, etc..)
- Bonne personne (il parle de Ribera) il n’a pas prétendu nous faire du mal.
- Évidemment. Au contraire. Autre chose. Nous aimerions vous recevoir dans ma maison, vous accepter comme amis… (Je crois qu’il répond que « à nous aussi bien que… » et le reste n’est pas audible.) Vous ne croyez pas que sous quelque forme que ce soit notre amitié sera plus solide en prenant contact les uns avec les autres?
- C’est impossible actuellement.
- C’est dû aux ordres que vous recevez d’UMMOAELEWE ?
- (Réponse inaudible)
- Je crois qu’un jour nous pourrons avoir une conversation personnelle.
- Un jour.
- Cela me plairait de vous donner une accolade avec beaucoup d’affection.
- Nous aimerions recevoir un manuscrit de vous … de tous les… (inintelligible) pour le musée d’Oyagaa. (Ici il donne la liste envoyée dans la lettre reçue plus tard).
NOTE PERSONNELLE : Ces notes anciennes ont été tirées de l’enregistrement conservé. Mais toute la conversation n’a pas été gardée. La bande est interrompue, il y a des pauses, le début de la conversation n’a pas été enregistré, etc.
Il me coûte de l’écouter que beaucoup de passages n’aient pas été transcrits, par défaut d’enregistrement. Mais de la partie non enregistrée, je me souviens des données suivantes.
Il me demande de ne pas enregistrer quand il me retéléphonera. Évidemment j’accomplirai son vœu bien que je lui demande de me permettre d’enregistrer seulement pour que cela serve de référence. Il me paraît ne pas vouloir que son enregistrement ou leur voix soit entendue par d’autres personnes. J’ai effacé la bande une fois bien écoutée et jusqu’à ne plus réussir à déchiffrer quelque chose de plus. Ma femme écoutait à l’autre téléphone et laissait l’écouteur au magnétophone. Peut-être, la puissance du téléphone a diminué à tenir les deux décrochés, peut-être qu’elle (ma femme) a posé l ‘extrémité microphone au lieu de l’audiophone.
Il m’a dit quelque chose de plus sur notre liberté et notre indépendance de jugement, de sorte que je lui répondis que, usant de cette liberté, j’étais en désaccord avec son opinion selon laquelle ils nous seraient préjudiciables.
Il insiste pour que je réfléchisse à mes questions et m’invite à le questionner sur ce qui m’intéresse. Mes nerfs me joueront un mauvais tour, et je crains de lui paraître idiot ou débile, parce qu’il est évident que je n’ai pas beaucoup brillé. Mais me rappelant les questions que m’ont envoyées quelques amis, quand en 1980 j’espérais avoir un contact personnel, j’en ai sorti une qui je crois était de Farriols, parce que je crois que le thème nous intéresse tous :
Qu’y a-t-il après la mort ? Y a-t-il un ciel ou un enfer comme dit la religion ?
Il me dit que c’était pareil mais pas comme nous l’imaginions. A la question sur les contacts avec les morts, il me dit qu’ils n’existaient pas. A la question sur le spiritisme, il me dit que c’était une imposture, qu’après la vie on ne pouvait prendre aucun contact.
A la question si le catholicisme était la religion la plus authentique, sa réponse fut : le christianisme. Je me souviens aussi qu’à l’évocation de Farriols, il me dit que c’était le plus dévoué de mes amis. Je crois qu’il employa cet adjectif.
Je ne me souviens plus d’autre chose. A la prochaine conversation, s’il me permet d’enregistrer (ce n’est pas une question d’obéissance mais de courtoisie amicale) je lui ferai répéter toutes ses paroles pour qu’elles soient bien enregistrées. Comme on le voit dans cette transcription, il y a beaucoup de MOI et plus clairs, parce qu’évidemment ma voix est celle qui est la mieux perçue.
Puis conversant avec ma femme et mon fils, je me suis souvenu d’autres choses. En parlant avec mon fils, je me souviens qu’à la question s’il pouvait écouter les conversations par un autre téléphone, il me dit que oui. A la question sur lui parce qu’à la fin et au bout il s’agissait de mon fils dont les études me préoccupent et tout le reste, il me dit : » Il doit étudier beaucoup. Que les hommes étudient, ils sont faits pour cela. Il s’attend à ce que mon fils à la suite de cela commence à s’adonner aux livres et réaffirme son idée d’étudier la philosophie et les lettres, le journalisme, la radio, et tout ce qui touche à la communication humaine ». Affaire à suivre.
Je prépare un lot de questions à poser s’il rappelle. Beaucoup avec votre collaboration. J’espère que la prochaine fois avoir moins de déception qu’aujourd’hui. Une accolade.
2° conversation avec un Ummite – Luis Jiménez Marhuenda,22 mars 1987, de 12h45 à 14h45 : 2 heures
Appel sur les 12h45. J’étais à l’émetteur et il a d’abord parlé à ma femme. Elle lui a dit que je reviendrais vers 1h15 et elle en a profité pour parler un peu avec lui. Les paroles qu’elle a recueillies sont plus ou moins celles-ci : Nous sommes très tristes en voyant la situation que subit la femme sur votre planète. Elle est en état de servitude et de marginalisation. Nous sommes très tristes de voir que certains de vos frères maintiennent cette attitude malgré nos recommandations.
A la question de Mari : Que peuvent faire les femmes pour l’éviter, il dit : Vous devez étudier beaucoup, apprendre, et vous efforcer d’atteindre le même niveau culturel que l’homme.
Il lui demande quand je serais là et lui dit qu’il rappellerait. Quand se termine mon programme à 1h de l’après-midi, ma femme m’appelle à la station sans m’y trouver. J’avais déjà raccroché et j’étais parti pour la maison. Précisément ce jour là, nous nous étions donné rendez-vous vers une heure avec ma mère, ma sœur, ses deux garçons de 14 et 11 ans et un autre couple ami avec deux fils du même âge, pour aller au Rio Safari d’Elche. Quand il a commencé à appeler la maison, ils étaient prêts à sortir et passer l’après-midi dehors. Donc, quand je reçois l’appel (sur les 13h20 plus ou moins) je suis enfermé dans mon bureau et tous m’attendent. Comme je téléphone de la salle de séjour, ma mère d’abord et ma sœur ensuite entendirent aussi la conversation.
Il a commencé à dire mon nom avec une certaine difficulté, bien que cette fois je l’entendais beaucoup mieux que la fois antérieure.
Il me demande de ne pas enregistrer la conversation et je lui dis que la dernière fois je l’ai enregistrée mais que je l’ai effacée et que l’unique motif de l’enregistrement est de retenir toutes les données de la conversation.
Je ne me souviens pas bien du début, parce qu’il n’était pas demandé de notes. Vu qu’au moment de prendre le papier la première parole du sieur d’Ummo que j’ai écrit fut : Vous avez exagéré. Je ne me souviens pas à quoi il faisait référence. Mais je suppose que c’était en référence à ce que j’avais dit d’eux. Je suis entré en plein dans les questions que j’avais préparées. La majorité suggérées par Dominguez et Farriols. La première portait sur les trous noirs. Il me dit de prendre des notes et qu’il allait me dicter. Mes notes étaient écrites avec trop de hâte et peut-être que maintenant à les transcrire surgit quelque confusion, mais c’est ce qui a été pris.
UMMO. – En réalité le Trou Noir est impossible, parce que quand une étoile collapse, arrive un moment où elle se convertit en étoile neutronique. Si elle continue à collapser, arrive un moment où elle disparaît de notre univers par « effet frontière ». Le trou noir cesse d’exister et l’univers réduit sa masse dans la masse de l’étoile collapsée. Ce que vous considérez comme des trous noirs sont en réalité des étoiles neutroniques et non des authentiques trous noirs. Par exemple, une des premières étoiles neutroniques est dans la constellation du Cygne à 8.365 années lumière. En réalité c’est une étoile neutronique, pas un trou noir. Le rayon de (ici j’ai des doutes sur ce nom mais il me dit que mes amis le connaissaient) SCHWALLITZ (NDT : rayon de SCHWARSCHILD) apparaissait et disparaissait instantanément C’est instantané. En cet instant la masse du trou noir s’est convertie en masse NEGATIVE dans l’autre univers. La masse a disparu, entendue comme masse négative, masse avec une charge négative c’est-à-dire charge électrique différente. Et l’énergie du trou noir s’est convertie en masse.
Vue ma méconnaissance de ces thèmes et connaissant l’extraordinaire amabilité de nos amis d’UMMO, il ne m’étonnerait pas qu’ils envoient un rapport complétant ces données qui, comme je l’ai dit au début, peuvent contenir quelque erreur de transcription.
La question suivante : Quand l’âme s’incorpore-t-elle dans le corps humain ?
Je tente de transcrire plus ou moins sa réponse :
UMMO. – Au moment même de la copulation. Ce qui se passe c’est qu’au début, l’âme n’est pas « cristallisée ».
LUIS. – Je crois qu’il a utilisé l’adjectif « blanche » pour chercher à dire que c’était une âme qui n’était pas encore forgée, comme à l’état embryonnaire. Comme il pressentait – ou savait – que la question touchait au problème de l’AVORTEMENT (ou peut-être que c’est moi qui l’a dit) il aborde ce thème sans aucun scrupule, en posant cette comparaison :
- – Pensez à un édifice. D’abord on fait le plan, puis on pose les fondations, on se met à construire et on termine. Selon l’avance de l’édifice en construction sa destruction aura des conséquences plus graves. Que croyez-vous être le pire ? détruire un édifice terminé ou à moitié construit.
- – Logiquement, détruire ce qui est terminé.
- – Le modèle peut servir également dans ce cas. Il est licite pour une mère de détruire un embryon à ses débuts, pourvu qu’elle ait un motif très justifié. Si une mère sait qu’elle ne peut s’occuper de son futur enfant, qu’elle ne pourra le nourrir, l’éduquer, etc, elle a le droit de le détruire. Mais selon l’état avancé de gestation le fait de sa destruction sera plus grave. Dans les premiers temps, ce n’est pas très grave parce que l’âme n’est pas encore « cristallisée » comme telle.
(Devant un type d’information aussi intéressant je pensais ne pouvoir être limité à la transcription écrite rapide, – je ne suis pas tachygraphe – et je lui demande si je peux enregistrer, non pas sa voix mais seulement la mienne répétant ce qu’il me disait. Il était d’accord bien que ça me crée des problèmes, parce qu’il parle et je répète ce qu’il a dit, il continue, et en répétant je perds ce qu’il dit pendant ce temps. De toutes façons, il déduit quelles conséquences il y a à les transcrire. Au final, j’ai fait une compilation de tout et j’ai recherché s’il me reste quelque chose de ce que nous avons dit sans graver.)
Luis. – Connaissez-vous d’autres planètes habitées ? (Moi, je savais par un rapport antérieur qu’ils avaient visité d’autres planètes et avaient établi des contacts.)
- – Oui, nous connaissons d’autres planètes habitées et nous les avons visitées. Le contact a été du même type qu’avec vous. Nous prenons grand soin de ne pas interférer dans l’évolution de chaque planète. Et non plus, les êtres des autres planètes n’interfèrent ni avec la nôtre ni avec les autres, ce serait violer la loi.
Luis. – Oui, c’est ce que vous avez déjà dit, mais parfois n’envisagez-vous pas que vous pourriez établir un contact officiel avec notre planète.
- – Pour l’instant non
- – Mais n’y a-t-il pas un certain lien entre UMMO et OYAGAA due à la similitude entre UMMOWOA et Jésus-Christ.
- – Oui, c’est certain. Mais sur d’autres planètes aussi la même est présente.
- – Alors nous demandons qui est UMMOWOA ou Jésus-Christ, parce que si le même ÊTRE doit souffrir physiquement les tortures subies par Jésus-Christ sur Terre et par UMMOWOA sur UMMO…
- – Non, ce n’est pas le même ÊTRE. C’est un fils de Dieu, mais ce n’est pas le même ÊTRE. C’est un ENVOYE. Parce que WOA envoie l’information. Cette information est WOA L’information qui existe dans le WAMWAM est WOA, est DIEU. Pour cela le Verbe est DIEU. (L. – Il m’a expliqué la raison de l’évangéliste quand il dit « Au début était le Verbe… ».)
Dieu créa le WAMWAM, en générant l’information. Quand il la mande à travers un ÊTRE HUMAIN, cette INFORMATION se fait CHAIR : c’est la figure du Sauveur, dans notre cas Jésus-Christ. Mais, ce n’est pas une spécialité d’UMMO ni de la Terre. D’autres planètes l’ont aussi. Dans ce cas il a donné l’occasion que sur UMMO et sur Terre il se soit identifié. (L. – Je suppose qu’il fait référence à l’identification à la vie et à la mort d’UMMOWOA et de Jésus-Christ.)
Luis. – Mais sur toutes les planètes habitées aussi il a souffert des tortures ?
UMMO. – C’est une loi. Parce que la souffrance cristallise en l’homme et l’élève spirituellement. Quand nous souffrons nous contribuons – (illisible dans le texte)… – à l’univers.
Nous l’expliquons dans un rapport que nous vous enverrons. C’est le plus important de tous ceux que nous vous avons envoyés. (L. – Il explique que seulement certaines personnes le recevront, je crois quatre.)
Luis. – Regardez. Si vous nous donnez un concept neuf et rénovateur de l’Univers de l’Ame et que nous croyons qu’il peut être bon pour nous, il sera bon pour l’humanité. Ne convient-il pas qu’en quelque sorte, sans citer son origine, nous tentions de le rendre public…
UMMO. – Il ne convient pas.
Luis. – Que pouvons nous faire pour appuyer...
- – Cela se découvrira sur votre planète peu à peu.
- – Ne pouvons-nous l’impulser un peu avec nos moyens.
- – Vous ne devez pas le faire. Seulement dans votre microréseau social.
- – Si c’est pour nous, à notre niveau, à notre bénéfice… vous dites dans un rapport que nous pouvons faire une chose seulement pour surpasser la problématique mondiale et les tourments que vit notre planète et agir sur l’âme collective.
- – Vous devez agir sur votre propre réseau social. Il est très important que vous vous réunissiez souvent et que vous renforciez votre affection entre vous-mêmes. C’est TRES IMPORTANT. Si vous voulez rembourser ce que nous vous avons apporté, vous pouvez simplement nous payer par l’AMOUR entre les composantes du réseau social. Cet amour a une INCIDENCE sur l’âme collective.
Luis. – Nous coïncidons totalement parce qu’à tous les moments de ma vie je l’ai introduit dans les programmes de radio et dans les moyens de communication… J’ai cherché à intensifier ces sentiments.
- Pourquoi croyez-vous que nous vous avons choisi ? Parce que nous connaissions quelles étaient vos intentions… parce que vous coïncidiez avec nous dans cette inquiétude avant de nous connaître. Vous avez fait un grand effort pour réussir…
Luis. – Mais je dois travailler plus…
- – C’est une obligation. (L. – Ici une série de phrases très aimables pour moi que je ne répète pas pour enregistrement et aïe de moi, je les ai oubliées. Un châtiment pour avoir pêché par vanité… et c’est un péché excusable dans notre race.)
- – Cependant, je ne crois pas que je puisse être le meilleur dans ce sentiment. Il y en a d’autres qui peuvent faire beaucoup plus.
- – Non vous êtes très précieux. (L.- Voyez comme, quand il dit quelque chose d’élogieux pour moi, cela reste gravé, aussi je le mets. Mais ici pas de péché de vanité c’est seulement un encouragement pour me stimuler et ne pas me sentir un idiot faisant le synopsis du film.)
Luis. – (Devant d’autres phrases aimables de lui.) Merci beaucoup cela me remplit de satisfaction de savoir qu’il n’y a pas d’équivoque.
UMMO. – Mais ne tombez pas dans le péché de vanité. Ne vous enorgueillissez pas de cela. Efforcez-vous de pratiquer l’humilité.
Luis. – Mais je suis un être humain ! Comprenez que ce vous me dites est une satisfaction. (Ici sans fausse modestie, je crois que « ça a passé »)
- – Mais, préoccupez-vous avant tout de votre YIE et ensuite de vos enfants. Ceci est primordial, avant tout votre YIE et, après, vos enfants.
(L. – Je crois que cela signifie que nous devons avoir les pieds sur terre être pragmatiques et ne pas viser la sublimation de l’absolu, qui nous porte préjudice dans la vie normale.)
- – (L. – Il insiste) En premier, c’est vous, votre épouse, vos enfants… et ensuite tout votre réseau social. Spécialement votre microréseau social. Vous ignorez l’importance du microréseau social de 9 personnes dont on a parlé. (L. – Je ne transcris pas celui des 9 personnes qui recevront un rapport dans les 80 jours parce que je n’ai pas enregistré cette partie de ma voix, mais ça a été à moitié noté antérieurement.)
Vous devez informer vos frères de l’importance de ce microréseau social. TRES IMPORTANT.
- – Mais vous ne considérez pas que nous nous aimons déjà beaucoup entre nous ?
- – C’est insuffisant.
- – Vous me voyez surpris.
- – C’est précisément un niveau majeur d’affection. Intensifiez entre vous le courant d’affection. C’EST TRÈS IMPORTANT.
- – Nous le faisons… et, de plus, c’est très facile parce que ce sont tous des personnes charmantes. Pour moi c’est très facile… et je crois que pour les autres aussi.
- – Veillez à intensifier le courant d’affection entre vous.
- – Nous suivrons cette norme.
- – Surtout ce réseau, ce microréseau… vous devez développer votre contact spirituel… ces 9 noms que nous vous donnons doivent développer ce courant d’affection spirituel.
Ici, coupé. J’ai formulé la question s’ils pensaient appeler Juan Domínguez. Il a du me surgir un tas de questions et malgré les deux heures de conversation, je n’ai pas eu le temps de les faire. Il a coupé sans préavis.
Dans la suite de cette conversation que j’ai transcrit, j’ai une partie de questions sur des thèmes familiers, éducation des enfants etc. De même, j’ai transmis la question de mon fils à propos d’une parole qu’il avait dite à son collège sur le thème UMMO, s’ils lui avaient paru bien ou si ils étaient nuisibles. Je réponds qu’ils lui avaient paru bien et qu’à ces niveaux, il n’y avait rien de nuisible.
Sur l’éducation, il me dit un bain.
Il dit que la pédagogie terrestre est très moderne, elle donne des normes très valables pour l’éducation. Que les parents ne devaient jamais discuter devant leurs enfants, qu’ils devaient éviter de se disputer devant eux, qu’ils devaient maintenir une opinion commune de respect des normes, qu’ils ne devaient jamais se contredire, parce dans les têtes d’enfants cela cause un grand trouble ; qu’ils devaient être toujours d’accord devant eux. Surtout il doit exister une grande harmonie entre les époux, parvenir avant à un accord parce que le contraire cause un trouble terrible aux enfants. Trop de laxisme ne convient pas. La discipline est très importante. Mais ne rien laisser passer, jamais un dommage physique. La sanction doit être privation de quelque chose.
J’ai oublié aussi qu’il dit à ma femme que nous ne devons pas abandonner nos valeurs de la Terre pour les leurs. Qu’il n’est pas permis que nos enfants les laissent trop transporter par les valeurs extraterrestres, qu’ils pensent qu’ils sont de la Terre, qu’ils se doivent à cette planète et qu’ils ne doivent pas se laisser remorquer par des doctrines, normes et modes extraplanétaires. Inclus qu’il est bon que se maintienne un doute sur l’authenticité de leur origine extraterrestre.
Autres question formulées et non transcrites A quoi sert la prière ? La prière sert quand c’est un acte de dévouement et d’amour. Non comme une DEMANDE. Il est absurde de demander à Dieu, qui sait ce qui nous convient. C’est quasi un blasphème de penser que Dieu peut modifier ses desseins, qu’IL ne va pas nous concéder l’adéquat. Il ne nous paraît pas ainsi mais ils sait nos desseins et il va plus loin que ce que nous demandons pour le moment immédiat. La prière est bonne comme méditation, comme acte d’amour, elle sert toujours de vibration harmonieuse de générosité
Pourvu que je puisse transcrire ses paroles intégralement parce que c’est quelque chose de très beau et d’obscur.
Sur Jésus-Christ. La figure de Jésus-Christ a été très altérée par les Evangiles. Les évangélistes ne sont pas coupables parce qu’ils n’étaient pas des historiens. Mais elle a été très altérée.
Sur la communion. C’est un symbole. Un bon symbole.
Connaissez-vous Anthar Sherat ? Tout ce qu’on a dit sur lui est faux.
Connaissez-vous le cas de Miguel Herrero de Alcalá de Henares ? Un monsieur qui conduit des camions, qui se voue à la profession de conducteur… Oui, nous le connaissons. C’est absolument un imposteur.
Connaissez-vous le cas investigué par Antonio Ribera sur les êtres souterrains avec inclus des photos ? Nous n’avons pas encore étudié ce cas
Et le cas de Julio F de Madrid. Nous ne le connaissons pas. Il promet qu’il se le fera parvenir de toute façon.
Que pensez-vous de Jean-Pierre Petit ? C’est un homme très intelligent Nous respectons son intelligence. Nous ne nous sommes pas pas mis en contact avec lui parce qu’il appartient au pays de France. Le microréseau de France a été très prudent dans la divulgation de nos informations
Où est le corps de Jésus-Christ maintenant ? Dilué dans l’espace. Ses atomes se dilueront dans le cosmos. Ici il donne une explication plus complète, mais je ne la détaille pas parce que je ne l’ai pas gravée bien qu’elle traite comment ils se diluent dans le cosmos.
Thème de la sexualité posé dernièrement par le Vatican. C’est une erreur gravissime qui va causer un dommage terrible. Elle ne s’en tient pas dans l’absolu à ce que postulait le concile Vatican II. Tout a été suggéré par un théologien catholique, il me dit le nom et je ne m’en souviens pas, je sais qu’il est connu et je pourrais rechercher dans mes livres, mais ce serait perdre du temps et vous le connaissez déjà. Il sonne comme Shelingen ou Salinger ou quelque chose comme ça. Cet homme est un paranoïaque
Il nous semble étrange et incongru que vous ne désiriez pas que se propage la nouvelle de son existence, cependant se décantent pour saluer des personnes comme Jimenez del Oso, Benitez et moi-même, consacrés aux moyens de communication. Nous ne les choisissons pas pour leur condition de personnes de moyens de communication mais pour leur « cœur », leur inquiétude cosmique. Il ressort que tant Benítez que Jiménez del Oso ont une grande inquiétude cosmique.
Je me souviens aussi d’avoir parlé de l’avortement. Il insiste que c’est seulement la mère qui doit prendre la décision.
La question s’ils ont le sens de l’humour et il me dit que oui, mais que c’est très différent de la Terre. Et qu’ils ne comprenaient pas bien le nôtre par difficultés sémantiques. Ils rectifieront une erreur sémantique commise par eux dans un rapport, mais je ne me souviens pas de la phrase à laquelle ils font référence.
Enfin je crois que je dois avertir qu’il s’agit d’une transcription littérale selon que se reflète dans ma voix gravée qui répète ce qu’il a dit. Mais je ne répète pas tout parce qu’il continue de parler et si je répète je perds la suite. C’est pour cela qu’il y a des trous. Si vous allez les enregistrer, vous leur communiquez. J’ai noté qu’ils employaient le « vous » ou le « nous » par erreur alors que moi je répète à la première personne.
Enfin je crois que c’est tout. Ça dura deux heures, parce que c’était terminé à 3h de l’après-midi. Peut-être les deux heures les plus enrichissantes de ma vie.
Salut à tous
3eme CONVERSATION AVEC UN UMMITE – LUIS JIMÉNEZ MARHUENDA, 31 MARS 1987, 18h , durée 2h-21′
UMMO. (Après m’avoir appelé plusieurs fois par mon nom) – Nous attendons un texte de plusieurs de vos frères…
Luis – Je sais, nous allons nous réunir pour le préparer.
- – Nous savons que vous avez beaucoup de travail et nous ne voulons pas insister avec précipitation.
(Après que je lui ai dit que nous nous efforcerions de le faire le plus rapidement possible, la communication est coupée et rétablie quelques minutes après)
- – J’ai coupé parce que je craignais des interférences d’agents.
- – Vous n’utilisez pas la voie téléphonique normale ?
- – Nous faisons une dérivation.
- – Puis-je vous poser des questions ?
- – Oui.
- – Que pensez-vous de la Vierge Marie ?
- – Ce fut une femme exceptionnelle par ses dons et sa pureté. Et aussi par sa simplicité. Nous admirons beaucoup sa simplicité. Le fait que WOA l’ait choisie est la preuve qu’il s’agit d’une femme exceptionnelle. LE CHOIX NE S’EST PAS FAIT AU HASARD. De même, nous non plus nous ne vous avons pas choisis au hasard. Cela suppose une série de questions.
- – Que pensez-vous du culte de la Vierge Marie ?
- – Il ne doit pas être supérieur à celui de Dieu. Certaines personnes le placent au dessus du culte de la Divinité, et ceci est très grave. Ce doit être un culte respectueux et servir de voie d’accès au culte de Dieu. De cette façon, il est bon. Mais, s’il vous plaît, personne n’est au dessus de Dieu. Dieu est au dessus de tout. L’amour de Marie doit être comme un pont de l’amour vers Dieu.
- – Et les miracles et les apparitions ?
- – Ils se produisent toujours en état d’exaltation mystique. Nous avons étudié le cas de Garabandal qui est une imposture. Il s’agit d’un phénomène d’exaltation mystique, qui produit les phénomènes que vous appelez parapsychologiques. Il existe BEAUCOUP DE PHÉNOMÈNES PARAPSYCHOLOGIQUES qui, si vous les étudiez, s’avèrent toujours être la conséquence d’une exaltation psychique (ou mystique ?).
(RF. – Puis, il en existe d’AUTRES dont l’origine et la promotion proviennent d’un autre champ de connaissance. – Pardon pour l’interruption.)
- – Et les psychophonies ?
- – Elles sont produites par des radiations électromagnétiques.
(RF. – Non, mécaniques…)
(Avant d’entrer dans cette explication technique, je me souviens d’autres données de la conversation préalable et, comme cette transcription est faite immédiatement à la fin de la conversation, elle n’est pas structurée dans les règles, aussi permettez-moi d’interpoler ces paragraphes qui relèvent du début de la conversation.)
- – (Je me réfère à la petite lettre avec nos dessins.) Nous nous efforçons de le préparer bientôt quand nous nous réunissons pour le faire.
- – Nous vous en sommes très reconnaissants.
- – C’est nous qui sommes vos débiteurs reconnaissants.
- – Je désire poser ma main sur votre poitrine, en manière de geste symbolique.
- – Je comprends le geste et vous en suis infiniment reconnaissant. C’est un geste qui n’est pas dans nos coutumes, mais parce que je le connais je l’agrée énormément.
- – Vous présentez une petite maladie ces jours-ci.
- – Oui c’est vrai. Je suis presque guéri.
- – C’est une affection de peu d’importance que nous détectons au ton de votre voix.
- – Puisque vous l’avez deviné…
- – Il n’est pas question de deviner. Nous avons un appareil qui analyse et détecte tout type d’affection, même psychique ou psychosomatique (peut-être vous dites : psychophysiologique).
- – Vous pouvez l’analyser ? Par la voix ?
- – Oui. Vous souffrez d’une affection, mais de peu d’importance. Certainement vous terminez une grippe qui a commencé le dimanche 29, par conséquent le 31 mars elle touche encore le corps bien que très atténuée.
- – Écoutez, le dimanche 22, je parlais avec un de vos frères et je n’ai pas eu l’occasion de lui demander son nom…
- – Nous préférons ne pas dire notre nom, parce que certains agents connaissent nos noms, c’est pourquoi nous préférons ne pas les donner.
- – Bien, mais c’était simplement par une attention de courtoisie que j’aurais aimé le faire. (Ici j’ai commencé à l’interroger sur le thème de la Vierge)
- (Se référant à la Vierge Marie) – Pour nous la simplicité intellectuelle est un DON. (Je place maintenant les fragments de ce que j’ai retenu, bien que je n’arrive pas à répéter ce qu’il m’a dit, parce qu’il n’arrêtait pas de parler et j’ai perdu une partie de ses paroles). Vous vous demandez parfois pourquoi nous vous avons choisis… Ce choix n’a pas été fait au hasard.
Honorer la Vierge Marie, la mère de Jésus-Christ est bon, mais vous ne devez jamais élever le culte, comme certains le font, jusqu’à l’idolâtrie. L’adoration doit être réservée à DIEU. En honorant DIEU, nous honorons cette femme et nous honorons son fils. Mais par dessus tout DIEU. - – Mais le fait de ressentir de l’amour envers la Vierge Marie… ? (Ici il a donné une longue réponse que j’ai oubliée, sauf la référence à ce que tout sentiment d’amour est bon, et je crois qu’il a dit que c’était clair dans le rapport sur l’Âme Collective. Il dut terminer par quelque éloge de moi dont je n’ai retenu que le mot MERCI.)
- – Mais le corps de Marie, est-il comme celui de Jésus-Christ ?
- – Nous ne savons pas où il est. Nous n’avons pu vérifier le dogme de l’Ascension, parce qu’il n’a aucune confirmation scientifique.
- – Avez-vous étudié les apparitions de la Vierge Marie à Lourdes, Fatima, etc ?
- – Très peu. (Ici voyez la page 1 où il dit qu’ils se produisent dans des conditions de «suggestion mystique») Dans ce cas se produisent des phénomènes parapsychologiques, psiphénomentaux. (Ici l’explication du phénomène parapsychologique avec son étiologie de «suggestion mystique»).
- – Donc le phénomène parapsychologique se produit sur notre planète ?
- – Oui, mais vous pouvez être conditionnés par des suggestions mystiques, alors que D’AUTRES DONNENT UNE EXPLICATION SCIENTIFIQUE qu’aujourd’hui vous ne connaissez pas, bien qu’un jour votre science pourra l’expliquer.
- – Par exemple, les psychophonies…
- – Sont un phénomène PHYSIQUE, parce que l’appareil enregistreur peut dans des conditions déterminées se convertir en récepteur. (Ici, il me dit une série d’explications techniques que j’engrangeais de façon un peu incohérente. Il dit aussi quelque chose comme…) – Une induction, une bobine, reliée à un condensateur, forment un circuit oscillant capable de recevoir les ondes électromagnétiques d’un émetteur. Dans l’émetteur que vous fabriquez, il se fabrique, dans certaines conditions, une résonance dans le circuit oscillant. Si un autre circuit oscillant a les mêmes caractéristiques… c’est-à-dire que l’induction a le même nombre de millienries, la capacité le même nombre de faradays ou bien, combinaison des deux, l’induction de capacité a les mêmes caractéristiques… dans ces conditions la transmission et la réception de fréquences électromagnétiques est possible parce que les deux circuits sont en résonance.
Dans un magnétophone se produisent parfois des effets de résonance avec un émission électromagnétique dont la fréquence est captée. Bien que le magnétophone n’ait pas été conçu pour capter les ondes électromagnétiques cependant il est capable de les capter. C’est dans ces conditions qu’on reçoit la psychophonie. Avez-vous compris ? - – Bon je comprends vos mots… l’aspect technique non. Mais des gens comme Juan Dominguez les comprennent parfaitement.
- (Il me semble qu’il dit qu’il l’enverra par écrit) – Un élément capable d’émettre des ondes électromagnétiques peut émettre aussi une PSYCHOPHONIE… et être capté par un magnétophone… La «majorité» des psychophonies sont captées au travers d’oscillations électromagnétiques.
RF – Mais d’autres non. Seules peuvent être captés les sons d’origine mécanique à travers un microphone. Beaucoup de psychophonies sont captées sans microphone branché au magnétoscope. Mais, en outre, l’explication large des UMMITES, se référant aux captations au travers d’ondes magnétiques, n’est pas valable et ne fait pas la moindre mention à l’autre option : captation de vibrations transmises mécaniquement et enregistrées par le microphone. Ceci fait suspecter qu’une minorité de psychophonies relève d’une autre origine scientifique que nous ne pouvons nous expliquer aujourd’hui.)
- – Je crois que le problème des psychophonies reste à éclaircir. (Ici je le questionne sur un travail fait par un de mes amis et basé sur les rapports d’UMMO, et il me dit qu’il ne connaissait pas ce monsieur mais me demande son nom et s’y intéresse pour l’étudier. Il s’agit d’une série de spéculations à base d’informations de type scientifique. Cet homme n’a pas fait d’études mais son esprit est très incisif et, bien qu’elles soient de forme fruste et avec des fautes d’orthographe, ses spéculations me paraissent intéressantes et pour le moins curieuses.)
- – Nous aimerions posséder ce travail pour l’étudier.
- – Comment pouvons-nous faire pour vous les remettre, celui là et d’autres travaux que quelques-uns d’entre nous peuvent réaliser et dont nous aimerions que vous preniez connaissance ?
- – Vous pouvez le donner à Jorge Barranechea. Il recevra la visite d’une personne qui le récupérera. Vous pouvez ajouter qu’il recevra, pour nous le donner, d’autres instructions complémentaires.
- – Est-ce que je peux écrire quelque relation de la conversation que vous avez eu avec le Père López Guerrero… qui est en désaccord avec vous.
- – Nous le regrettons beaucoup.
- – Je me l’imagine. Moi aussi cela m’affecte beaucoup.
- – En quoi consiste le désaccord ?
- – En ce qu’il croit fausses le dernier envoi et les deux dernières lettres parce qu’elles sont en grand désaccord avec les principes catholiques.
- – C’est naturel. (Ici il donne une explication en regrettant le désaccord de López Guerrero) et dit quelque chose de semblable à ceci : – Il est regrettable qu’un homme bon et intelligent n’ait pas l’esprit ouvert aux erreurs éventuelles que peut avoir commises l’Église catholique qui, composée d’êtres humains, est exposée à commettre des erreurs. C’est un danger qui peut le mener au fanatisme. Quand des croyances sincères deviennent fanatiques, elles commencent à nuire. Mais nous comprenons son attitude, parce qu’il doit être fidèle à soi-même et à son for intérieur et agir conformément à ce qu’il croit être juste. C’est dommage parce qu’il s’agit d’une personne bonne et honnête mais il n’a pas l’esprit ouvert aux autres éventualités qui pourraient enrichir son esprit face à l’idée d’un DIEU plus cosmique très puissant et en même temps très bon. Vous ne devez pas le blâmer parce qu’il est sincère et fidèle à soi-même, mais il serait bon qu’il reconsidère sa position et évite le fanatisme.
Est-ce qu’il y a d’autres points de désaccord ?
- – Oui. Mais je préfère qu’il me les mette par écrit. Je ne me crois pas capable de discuter avec lui sur des thèmes théologiques. Il m’a expliqué hier son point de vue mais comme je n’ai pas tout compris, parce que je ne crois pas mon intelligence assez grande pour pénétrer dans ces profondeurs… je lui dis qu’il vaudrait mieux qu’il m’écrive une lettre d’explications. Il était aussi d’accord que la lettre que vous avez envoyée après ces journées que nous avons faites en votre hommage, ici à l’hôtel Babieca, était authentique.
- – Elle était authentique.
- – Oui. L’on sait que deux de vos frères se trouvaient là à ce congrès…
- – Exact. Nous l’avons dit dans cette lettre.
- – J’ai dû les voir, mais je n’ai pas pu les reconnaître…
- – Je n’étais pas l’un d’eux. Mais ils y étaient.
- – Je me suis efforcé d’accomplir ce qui avait été promis par télévision, ne pas révéler leur identité si nous les avions reconnus.
- – Dites à votre frère Rafael Farriols qu’il peut parler de nos messages en rapport avec les dernières lettres au cours de conférences. Mais qu’il ne les publie pas ni dans des livres ni dans des articles. Il peut en parler verbalement dans une conférence.
- – Et moi je pourrais demain, au cours de mon exposé dans les salles du troisième étage ou en un point de ces…?
- – Vous pourrez le faire. A ces niveaux nucléaires discrets, peu importe qui le dit.
- – J’ai un dilemme avec JJ Benitez et Antonio Ribera parce que la revue Planète prétend publier tous vos rapports…
- – Elle ne doit pas le faire. Vous devez l’en empêcher parce que vous êtes les dépositaires de ces rapports. Nous n’avons pas de personnalité juridique, nous ne sommes pas des objets de droit. Les uniques objets de droit c’est vous, les PROPRIÉTAIRES des rapports. Les lettres qui parvinrent à Jorge Barrenechea, Juan Aguirre, Juan Dominguez, Rafael Farriols et à vous même, etc… sont votre propriété et personne, sans votre autorisation, n’a le droit de les publier. Ce serait une spoliation et cela risque de nous amener à ne plus vous envoyer d’autres rapports. Ce serait comme rompre le contact pour toujours.
- – Bon, je peux m’efforcer de l’empêcher, mais j’ai un problème de conscience avec Antonio Ribera, parce que Ribera a une entente avec la revue Planète… et vu qu’il doit six livres à Planète… Planète dit que s’il les annule alors elle publiera. Quelle solution me suggérez-vous pour cela ?
- – Nous aimons beaucoup votre frère Antonio Ribera. Mais il doit empêcher de les publier. Si ces lettres sont publiées nous cesserons tout contact avec vous définitivement. (Ici une coupure de ligne, au retour de la ligne il dit : – Je regrette beaucoup d’avoir dû couper brutalement, je le fais quand je vois un risque d’être détecté.
- – Vous m’appelez de Madrid vraiment ?
- – Oui.
- – Mais vous n’utilisez pas la ligne téléphonique normale ?
- – Nous avons une dérivation.
- – Puis-je faire plus de questions ?
- – Faites-les mais attention à la possibilité que je doive couper la communication si j’observe quelque danger. Ne le prenez pas pour une grossièreté si à un moment je me vois obligé de couper sans dire adieu. C’est une mesure de précaution qui a déjà fait couper deux fois la communication au cours de cette conversation. Mais ne le prenez pas comme une grossièreté.
- – Ne vous en faites pas. Je sais que vous êtes incapables de faire une grossièreté.
- – Parfois nous devons couper la communication si nous détectons un risque d’être découverts.
- – Nous vous avons interrogé souvent sur les autres races extraterrestres qui nous visitent. Y a-t-il d’autres races vraiment ?
- – Oui.
- – Et comment pouvons-nous savoir si ces races sont authentiques ou sont une imposture ?
- – Nous le savons, mais vous non.
- – Et le triangle des Bermudes ? L’avez-vous étudié ?
- – Il s’agit de perturbations magnétiques. Des tornades électromagnétiques très fortes se produisent dans cette zone qui provoquent des altérations des équipements gyroscopiques. Les avions ont des appareils électromagnétiques appelés gyroscopes qui peuvent être altérés par de fortes tempêtes électromagnétiques. (Peut-être que cela n’a pas été transcrit avec une fidélité absolue mais du plus près possible)
- – Donc il n’y a rien d’extraordinaire en cela.
- – Si, il y a quelque chose.
- – Il y a quelque chose qui n’est pas de cette planète ?
- – Oui. Mais je ne peux vous l’expliquer. (Ici je crois qu’il m’a dit qu’ils l’expliqueraient dans un rapport, mais bien que cela vous semble mentir, je ne m’en souviens pas. Je pense que oui parce que mes paroles furent) :
L. – Ce sera très intéressant pour nous. Je vous remercie beaucoup. (Ici il y a un bref commentaire tangentiel qui est destiné uniquement à Juan Dominguez. Il n’est pas important mais très personnel) – Écoutez… Et les feuilles qui manquent à ce rapport et que nous vous enverrons par l’intermédiaire de cette … (Il ne me laisse pas terminer. Il savait à quoi je me référais.) - – Ces feuilles furent censurées.
- – Nous ne pouvons les avoir ?
- – Les lettres sont la propriété de qui les a reçues. Et si cette personne pour des raisons personnelles désire les censurer, nous ne pouvons l’en empêcher. Ici il me fait des prévisions tragiques sur les relations avec d’autres pays mais, à la vérité, je me souviens seulement avoir dit :
- – Espérons que rien de cela n’arrivera…
- – Nous ne pouvons intervenir. Nous n’avons pas de personnalité sur cette planète. Nous sommes équivalents à un insecte et à ses effets.
- – Cela m’afflige beaucoup que vous fassiez cette comparaison.
- – Ce n’est pas péjoratif. Jésus Christ lui même, s’il vivait aujourd’hui n’aurait pas de personnalité juridique, officiellement il n’existerait pas, il ne serait pas objet de droit.
- – Beaucoup m’ont demandé si la théorie de la réincarnation était admissible…
- – Oui et non.
- – Pourquoi ?
- – La nouvelle âme qui naît peut être imprégnée… elle peut recevoir une information procédant de l’Âme collective. En ce sens l’information qu’elle reçoit procède des autres âmes. En ce sens, oui la réincarnation serait admissible. Cela d’une certaine façon, c’est en elle une information de l’Âme Collective. C’est une information très importante, très importante. Nous avons seulement envoyé cette information à vous et en Australie. Nous n’avons pas envoyé d’autre information de cette importance dans aucun autre lieu de la planète
- – Écoutez, j’enverrais les copies de vos lettres à certaines personnes que je pense qui doivent les recevoir… et parmi elles à Antonio Albaladejo, de Murcie. Vous le connaissez, vrai ? Dans certain rapport vous dites que vous lui enverrez une lettre…
- – Dites à votre frère Antonio Albaladejo qu’il ne pense pas que de n’avoir pas eu de lettre signifie que son image s’est effacée de notre cerveau. C’est un homme très bon. Il est très intéressé par nous. Il peut l’envoyer mais non la lettre du sieur Farriols Calvo.
- – Non, je sais qu’elle est confidentielle… Écoutez, en conclusion tout ce que je sais et que je crois bénéfique à mes frères de cette planète procédant de vos informations… Y a-t-il un inconvénient à ce que je le divulgue sous la forme que je crois la plus opportune ?
- – Vous pouvez le faire au cours de conférences. Ne le faites pas par écrit. Et à la radio faites-le avec beaucoup d’attention. Vous savez ce que vous pouvez faire et ce vous pouvez dire. Vous avez un bon jugement, vous savez ce que vous devez dire et sous quelle forme le dire. C’est vous qui devez le faire.
- – Oui, mais je demande conseil.
- – Vous savez ce que vous devez faire. Nous avons confiance en vous.
- – De plus, je crois qu’il y a une symbiose entre vous et nous. Si vous me recommandez qu’une chose ne se fait pas, c’est que vous le faites pour mon bien. (C’est pourquoi, lui dis-je, je me dois de dire quelque chose en rapport avec la liberté que je peux avoir sans être soumis à vos ordres ou quelque chose pour le style). Ainsi il n’y a pas d’inconvénient à ce je suive vos indications.
- – Ne le faites que si nous vous indiquons pourquoi c’est préjudiciable pour vous.
- – (Permettez ici une digression. Je ne crois pas qu’il y ait une télépathie entre ce monsieur et moi, mais c’est comme si, en quelque sorte j’avais reçu l’indication qu’il était bon de propager leurs idées, leur philosophie, leur éthique et leur enseignement, sans trop utiliser l’anecdote extraterrestre. Peut-être qu’à la divulgation les récepteurs potentiels, se montreront sceptiques non seulement vis-à-vis des idées mais aussi de leur authenticité, de leur origine extraterrestre et jusqu’à peut-être de notre santé mentale. Donc transmettre le message, oui, mais être très discret sur son origine.) Puis-je vous interroger sur la macrobiotique ? Connaissez-vous ce système d’alimentation ?
- – Oui mais il faut faire attention si l’on suit un régime macrobiotique. Il faut une attention extrême. Cela dépend du métabolisme de chaque sujet. Pour certains, ce peut être optimal et pour d’autres non. Il en est de même pour d’autres méthodes thérapeutiques, inclus avec les médicaments eux-mêmes. Vous savez que les antibiotiques font beaucoup de bien mais il y a des gens allergiques aux antibiotiques.
Le problème de la médecine sur votre planète c’est que vous vous croyez obligés de généraliser. Mais chaque individu a un métabolisme propre et est donc une singularité quant aux méthodes qu’on doit lui appliquer. Nous autres, nous individualisons chaque cas. Vous, vous ne faites pas de spécificités et vous généralisez. On ne peut faire d’une seule autre façon mais de multiples façons ce qui est bon pour beaucoup et qui peut être préjudiciable pour certains. La plus grande erreur de la médecine est d’appliquer des modèles universels. Vous devriez développer un système de spécificités. Vous avez des cas comme l’homéopathie qui dans nombreux cas donne de bons résultats et dans d’autres est préjudiciable.
Dans le cas de la macrobiotique vous devez être très prudent avec les aliments choisis. Il manque encore 150 ans pour acquérir les connaissances précises en vue d’obtenir un système spécifique pour chaque personne. Attendez un nouveau type d’ORDINATEUR qui ne se basera pas sur les ordinateurs actuels, ne suivra pas les principes des systèmes informatiques actuels. Et qui seront alors capables de dessiner un système de réaction pour chaque être humain.
3e CONVERSATION AVEC MARISOL, 26 octobre 1987
Sur les 4 h de l’après-midi le lundi 26 octobre, MARISOL me rappelle pour me dire qu’elle était celle d’Ummo et que nos amis l’avaient chargée de nous dire que le jour suivant, vers les 5h, ils nous rappelleraient pour répondre à nos questions de dimanche matin.
J’étais toujours convaincu qu’il s’agissait d’un canular et fus très sec. Je lui dis : – Bien sûr, Mademoiselle. Et ni merci, ni rien d’autre. Je lui offrais si peu de crédit que je ne m’inquiétais même pas de l’heure à laquelle ils allaient nous appeler le jour suivant. Carmenchou entendit mieux à l’autre téléphone.
CONVERSATION AVEC UN UMMITE, 26 octobre 1987
Un moment après la conversation précédente, un vrai UMMITE appelle.
UMMO – Jorge Barrenechea ?
J.B. – Oui. Ummo, Ummo.
- – Vous recevrez demain les réponses à vos questions. Rien pour aujourd’hui.
J.B. – Nous pensons que la jeune fille qui m’a appelé est un imposteur.
- – Non , elle est notre amie (ou quelque chose comme ça, je ne me souviens pas bien).
L’appel me laissa complètement étonné. Mais je fus convaincu qu’il s’agissait de notre ami d’UMMO. Cela ne faisait aucun doute.
RELEVÉ DES QUESTIONS TRANSMISES À MARISOL AU COURS DE LA CONVERSATION DU 25 OCTOBRE 1987, DE 1H45 À 3H05
- Faut-il s’associer avec le CIRSA de Juan Dominguez Montes ?
- Est-il sensé d’associer CRITESA avec REPSOL et RESART ? A quoi se rapporte la phrase : bien choisir la ligne d’inversions ?
- … ?
- Les mouvements d’indépendance du pays Basque et de la Catalogne sont-ils croissants ?
- La probabilité d’un coup d’état militaire est-elle en croissance ?
- Votre collaboration et vos conseils sont-ils réels ?
- Avez-vous enregistré nos conversations (réunions) dans le sous-sol et la maison de Farriols ?
- Quel est l’intérêt des fibres optiques ?
- Antonio Ribera. Peut-on publier ce qu’il a publié avec J.J. Benitez dans la revue Planète ?
- José Maria Pons Rafols… ?
- Le génome de l’homme ?
- … ?
- (R.F.) Faut-il favoriser le département de l’exportation avec une personne de plus ? Il a lancé un grand programme. Est-ce sensé ?
- Genèse des gisements ?
- … ?
- Genèse du diamant ?
- Quantification de l’amour ?
- Avez-vous enregistré ce qui est arrivé dans la maison de Juan Dominguez et de Jorge Barrenechea ?
- Villagrasa, Mejorada, Borrás. Doi-t-on les convoquer à chaque réunion ? Pouvons-nous tout raconter à Javier Muela ?
- Comment bien informer le B.B. ?
- La date de la naissance du Christ est-elle la bonne dans le synopsis historique ? (nuit ancienne) !?
- Pourquoi la phrase : Et le verbe s’est fait chair est-elle une vérité historique ?
- Qui est responsable du changement d’orbite des électrons dans un atome de krypton ? Est-ce la MASSE IMAGINAIRE ?
- Pourquoi faut-il que soit cruelle la mort d’UMMOWOA et du Christ ?
- Selon elle, de fait le Christ n’est pas mort (?)
- Y a-t-il eu un Christ femme ?
- Égalité des droits des femmes sur UMMO, mais elles participent moins que sur certains pays de la Terre, par exemple la Norvège et l’URSS.
- La parapsychologie peut-elle devenir une science ? Rafael Fariols a fait des expériences. Peut-il continuer ? Pouvez-vous l’aider dans ses essais ? (télépathie, télécinésie, téléportation, radiesthésie, phénomènes provoqués par Uri Geller…).
- IMMII 28, fils d’IMMII 22. Psychologie moderne ?
- Pouvez-vous nous raconter la véritable histoire du Christ ?
- Cette demoiselle est-elle en relation avec vous depuis 1962 ?
- Existe-t-il actuellement un Christ dans l’humanité de la Terre ?
- Est-il né plus d’un envoyé de WOA ?
- Pourquoi WOA envoie-t-il ses envoyés à des moments historiques si différents ? Y a-t-il eu un autre UMMOWOA antérieur ?
- INDOO 33, fille d’INDOO 29, est-elle la plus ancienne des expéditionnaires ummites ? Est-il vrai qu’en 1943 une nef a atteint la Terre par phénomène de téléportation ?
- Qu’est-ce que le mal ? Que doit avoir (fait) une âme pour être condamnée au solipsisme éternel ?
- Qu’est-ce que dormir ?
- Que sont les rêves ?
- Quels sont les différents niveaux d’entropie générés par : suicide, euthanasie, homicide simple, avortement, assassinat ?
- Description la plus didactique possible des 10 dimensions du pluricosmos.
- Pourquoi ne pas vous faire connaître personnellement d’aucun membre du groupe et le faire avec le dactylographe et avec d’autres ?
4E CONVERSATION AVEC MARISOL, 27 OCTOBRE 1987, DE 17H15 À 17H45 : 30 MINUTES
Depuis 16 h, Julíán et moi nous nous attendions à un appel.
Effectivement, à 17h15 Marisól appelle et commence à nous lire les réponses. Elle nous dit qu’ils avaient dicté les réponses par téléphone depuis l’Argentine, qu’elle les avait enregistrées sur une bande de magnétophone mais qu’elle doit la détruire après les avoir transmises.
Elle nous dit que ces mêmes UMMITES lui ont suggéré d’user avec nous du pseudonyme de Marisól… Elle nous dit qu’elle était une intermédiaire et que son téléphone était protégé par les Ummites au cas où, mais ce cas n’est pas survenu.
Elle m’a dicté les réponses qui suivent, excepté les quatre premières qui ont été prises rapidement.
- Les réunions que vous avez organisées dans le sous-sol de sa maison peuvent être excellentes, mais un rythme de deux par mois est suffisant.
- Elle me dit qu’ils pouvaient nous enregistrer seulement s’ils étaient en Espagne, mais qu’ils ne devaient pas l’entendre, comme nous l’avons vu après.
- Le nombre minimal de personnes nécessaire pour informer le BB est de 4.
- A la question sur la possibilité pour eux de nous enregistrer, elle répond oui, avec une certaine équivoque sur ce point. Je suppose qu’ils se réfèrent à leur système de captation. Ce n’est pas clair.
- Non, votre frère Antonio Ribera n’était pas autorisé à publier nos rapports dans la revue espagnole Plaza y Janés.
- Pour Rafael Farriols : Nous comprenons les graves difficultés que lui impose sa liaison avec Repsol Chimie.
- Pour Rafael Farriols : le sous-secteur de fabrication des fibres optiques offre des perspectives brillantes. L’électronique sur Oyagaa est en train de mourir. Les prochaines étapes seront consacrées à la photonique.
- Il nous est impossible de nous prononcer sur votre frère Antonio Roca. Nous manquons de l’information fondamentale pour vous conseiller avec objectivité. Pour l’instant la possibilité de gestion de l’exportation est suffisante
- Pour votre frère Juan Dominguez : son contrat avec la firme espagnole CIRSA nous préoccupe gravement.
Nous avons enregistré les dialogues du sieur Lao, parce que nous savons qu’il tente de s’emparer du système de reproduction stéréochromique iconographique, c’est-à-dire d’un modèle de reproduction en quatre dimensions.
Son plan vise les laboratoires pour tenter de créer parallèlement un brevet plus perfectionné, monopolisant le système. Ses intentions ne sont pas honnêtes. Il faut adopter des solutions avec exigence de dotation de moyens suffisants et de surveillance du laboratoire, s’il est impossible de rompre le contrat, chose qui serait très désirable.
- En ce moment, les autorités de l’état espagnol connaissent au travers du CESID les intentions du Groupe militaire et les possibilités qu’elles se cristallisent sont faibles.
- L’OEMMII de la Terre non seulement peut, à moyen terme (moins de 100 ans), connaître la séquence des nucléotides dans le génome humain, mais aussi le synthétiser en laboratoire.
- L’évolution de la Terre est polygénique. Ce ne doit pas être interprété comme un argument en faveur du racisme.
- L’amour projeté par l’OEMMII, de n’importe quel point du pluricosmos, n’est pas paramétrable par des critères mathématiques.
- En ce moment, il n’y a pas d’inconvénient à inviter Enrique Villagras, Alberto Borrás et Francisco Mejorada, et il est justifié de remettre les derniers rapports sur le cosmos à ces personnes. Mais dans l’étape actuelle, ils sont seulement pour les destinataires. Ils peuvent être lus et commentés mais NON photocopiés.
- Ne pas lire ni commenter les lettres faisant allusion au groupe des élus qui ont un caractère intime, car ils pourraient se sentir blessés et marginalisés.
- Les orbitales des atomes de krypton sélectionnés dans le cerveau se modifient non directement par la masse imaginaire mais par le biais d’un effet secondaire, dans le cadre physique cérébral, PAR CETTE MASSE IMAGINAIRE.
Après cette série de réponses, je confesse à Marisól que nous l’avions prise pour un imposteur et qu’elle nous pardonne. Elle nous dit qu’elle s’en était rendue compte la veille et qu’elle en avait pleuré.
Elle nous conseille de préparer d’autres questions et de les ranger par ordre de priorité.
Je lui dis que j’étais étonné qu’ils tardent tant à ramasser le PAQUET de questions, etc. Elle me dit que nous devions nous accoutumer (ou quelque chose de semblable) à avoir beaucoup de patience, beaucoup de discrétion et beaucoup d’amour.
Nous avons alors décidé de nous tutoyer et nous nous sommes séparés avec une très forte accolade.
Ce même jour 27 octobre, Juan Dominguez et Juan Aguirre étaient aussi chez moi. Ce dernier se dressa violemment contre Juan Dominguez, l’accusant de s’être approprié (il se réfère au contrat de valeur quelque chose qui n’était pas à lui ou quelque chose de même).
Juan Dominguez pour éviter la discussion sortit de la maison. Comme conséquence de cette affrontement le jour suivant, mercredi 28 octobre, Marisól m’appelle.
CONVERSATION AVEC MARISOL, 28 octobre , 14h20
Elle me dit que cet après-midi ou demain matin, un de mes amis recevra une lettre adressée à moi. Effectivement, José Luis Jordán Peña à 21 h, bien qu’elle n’arriva chez moi qu’à 22h30
1ère CONVERSATION AVEC UN UMMITE (Résumé) Jorge Barrenechea, 11 mars 1987, de 15 h à 16 h 25 (1 h 25)
UMMO: Juan Aguirre recevra une lettre. Luis Jiménez Marhuenda recevra une lettre.
Plus tard il en recevra une sur l’Âme collective.
Vous avez reçu des lettres apocryphes venant d’Alicante et de Barcelone avec des timbres étrangers.
Nous ne connaissons pas ceux qui les ont remises. Ce sont une femme d’Alicante et un ami de Rafael Farriols.
A cause d’elles (ces lettres) des dissensions, inquiétudes et angoisses ont surgi.
Pour éviter les falsifications, nous écrirons avec la même machine qui a servi pour écrire à Fernando Sesma Manzano, modèle Hispano Olivetti : Estudio 46.
Vous pouvez vérifier. Il s’agit d’une machine ancienne avec des « pressions » différentes et des caractères déformés.
De plus sur une rame de papier jaune fabriqué sur OYAGAA difficile à imiter. Le papier porte le sceau d’UMMO.
Nous avons abandonné l’Espagne (Ce qui confirme la lettre de mars 1984).
La personne (qui a apporté les rapports)… que nous envoyons à une de vos sœurs. Ne la dérangez pas s’il vous plaît. Elle même veut garder ses distances… Cette personne dépend de l’Université. Si cela se sait, cela peut nuire à sa carrière.
Demande… Nous désirons avoir sous forme manuscrite une série de graphismes calligraphiés des frères cités dans la lettre que nous avons envoyée. Nous vous prions d’être assez gentils d’accéder à notre demande simplement en souvenir de vous. Apportez nous quelque manuscrit au stylobille, à la plume, etc.
- Vous considérez donc la graphologie comme efficiente ? comme méthode d’analyse de la personnalité ?
- Non elle est intéressante comme évaluation psychométrique mais de fiabilité très faible.
Les traits personnels ne se déterminent pas avec précision. La détermination biochimique de la sueur est très fiable comme le taux d’acide butyrique, de chlorure de sodium, des restes d’acides aminés, qui dépendent de l’état psychophysique du sujet, non seulement de sa personnalité mais aussi de son état occasionnel.
On peut le faire par chromatographie gazeuse.
La conscience ? statistique parfois… les analyses du niveau de résolution des oligoéléments chimiques ( ?), nous dépassons des 2/3 les indices du taux en milieux chromatographiques plus fiables … ?… ? - Comment voyez-vous le panorama de la Terre ?
- Très sombre. Nous sommes… confrontés (?) à la séquence des nucléotides qui forme le genre humain, nous pouvons l’optimiser si l’on peut injecter de nouveaux gènes et éliminer d’autres polypeptides de l’être humain.
- Que pouvons-nous faire de l’encéphale actuel qui coactive l’agressivité humaine ? Améliorer l’espèce c’est améliorer la sécurité.
- La tension URSS – USA a diminué. Une nouvelle forme de défense stratégique en association avec Israël et la R.P. de Chine. L’arsenal de missiles stratégiques sera détruit. Les missiles tactiques de 2000 km de portée ne seront pas détruits.
- Quel rôle joue l’Europe dans le concert des nations ? (L’Europe au mois de mars 1985 compte à peine).
- Allemagne occidentale, France, Italie, et Grande Bretagne ont atteint un niveau de poids important.
La domination des USA en ce moment est en baisse à cause de la désarticulation…, des diverses forces en jeu. Maintenant comptent en plus Europe, Japon, Israël et R. Populaire de Chine. - Comment va l’Espagne face aux USA ?
- Les USA en ce moment disposent d’une arme extraordinaire contre l’organisation terroriste ETA. Ils aident ces mouvements Le gouvernement espagnol a les mains liées ; le rôle de l’Espagne est faible (l’articulation de l’information est mauvaise). En France l’information est excellente comme on l’a vu avec le bateau écologiste.
- Quelle opinion de Gorbachof ?
U: Il est intelligent et sincère. Le Capital est nécessaire, le vrai socialisme est incompatible avec le capitalisme. Le socialisme est excellent, juste et éthique.
La liberté… l’ère soviétique est caduque.
La Hongrie modèle pour l’URSS.
Donnera lieu à l’apparition de petites entreprises privées.
En premier le marxisme léninisme
Nicaragua, l’ONU… Somoza. Les troupes de Somoza sont dépréciées par les crimes et tortures qu’elles ont commises.
La nouvelle stratégie des USA est de créer une nouvelle opposition au sein du pays mais sans renoncer aux sabotages.
- Cuba ?
- Stabilité très grande mais virage politique à la mort de Fidel Castro.
Le gouvernement de Fidel Castro n’est pas souple Bien qu’il ait un bon niveau de justice, la corruption y est à peine moins qu’en Espagne. - Qu’est ce que le niveau démocratique ?
- Indépendance de l’Exécutif, du Pouvoir Judiciaire et du Pouvoir Législatif.
Une minorité d’intellectuels a accès aux moyens d’expression: la liberté est une illusion. - Les Philippines ?
- L’armée sympathise avec Marcos et avec Imelda dans leurs rêves de passé comme d’avenir. Ils ont l’image de la femme. Il y a des risques d’involution.
- La Chine ?
- C’est un socialisme rigoureux. Il maintient une série d’îlots ou régions économiques de marché limité, semblable à celui de la Hongrie. Les autres sont de niveau d’expression différent et la pression des intellectuels est très élevée
URSS … il est permis de freiner ces libertés… d’avoir des formes capitalistes … La fin justifie parfois les moyens.
Le mal…
Courbe de Lorentz
Revenu
pourcentage de population
C’est beaucoup mieux dans les pays socialistes
Les pays socialistes ont de hauts niveaux de bureaucratie.
- Tout ce que vous m’avez dit est si intéressant que je vous saurais gré de nous le confirmer par écrit pour approfondir des points, ce que j’ai très mal fait.
- Cela dépend de ma sœur à qui je suis subordonné.
Une remarque : nous sommes très meurtris par le traitement infligé par les hommes de la Terre à leurs YIES. Le poids de la femme… nécessite le même niveau de dignité…
Les lois morales dans ce contexte… le respect des droits de la femme… la co-inculcation des droits.
Autre demande : Évitez par tous les moyens les dissensions internes, n’ayez pas de conflits. Pas d’HÉTÉROHUMILIATIONS. Vous ne devez pas vous humilier mutuellement.
Complexe de culpabilité. NON. Au final… des Querelles. - Nous sommes vos amis (Je dis) Nous nous considérons comme vos amis et vos disciples.
- Des disciples. Non ! S’il vous plaît. Vous devez suivre votre civilisation…
Une perturbation intense se produit.
Interprétation biaisée…
Pas de dissensions internes.
Demande : Éviter la DIFFUSION de nos écrits. Éviter de faire notre apologie et une sympathie excessive violant la convention du secret. Il y a diffusion dans toute l’Espagne
Rappelez-vous que nous fixons le niveau ou le volume des données :
– La plus grande réserve
– La plus petite diffusion
Photocopies accessibles à 1000 personnes…
Souligné ( ?) par nous.
Nous ne pouvons sanctionner personne, c’est la collectivité…
Vos frères : Lòpez Guerrero, Antonio Ribera… diffusèrent…
Bien qu’Antonio Ribera (ait diffusé) pour obtenir des résultats économiques perturbant les lois de l’entropie.
L’entropie d’un réseau se mesure au niveau d’information atteint.
Le trouble… régime turbulent… égal au régime laminaire d’un tuyau…
Dans un réseau social qui doit s’autogénérer… les perturbations procédant des autres réseaux sociaux… violent la loi morale.
Ribera diffusa pour avoir des résultats économiques (financiers ?). Vous ne pouvez savoir le mal qu’il a pu faire.
Vous n’avez aucune obligation de me croire. Nous sommes…
- Croyez-vous que nous devrions éviter le (trop grand) nombre des photocopies ?
– Juan Aguirre Ceberio
– Rafael Farriols Calvo. - Ils ne sont pas coupables. C’est comme l’espièglerie d’un enfant qui joue avec le feu.
… Juguler….
Dans quelques jours vous recevrez une information sur le psychisme collectif.
(SI) DIFFUSION TROP ÉLEVÉE NOUS COUPERONS COURT DE NOUVEAU
Donnez des copies seulement à vos plus proches, les avertir qu’ils n’auront pas de nouvelles copies.
De toutes façons, pas de contrainte, mais je vous avertis des dommages que vous pouvez vous faire.
Le flux se mesure.
- Le marxisme ?
- De toutes les doctrines politiques, c’est la plus pure.
Le marxisme souffre de défauts. Le matérialisme dialectique est très dogmatique. La naissance soudaine d’une grande révolution, Marx et Engels, une grande réussite, l’éradication de certains postulats sociaux qui étaient antiéthiques. - Lénine ?
- …Travail considérable.
- Le communisme scientifique ?
- Il contient des erreurs.
- Le matérialisme dialectique ?
- Bonne méthode. L’annihilation de l’état bourgeois fut une grande réussite.
- L’Analyse dialectique ?
- L’analyse biologique de l’évolution de l’Univers présente des défauts. Elle fait abstraction du point de vue transcendant. Critique de la praxie.… Instrument de domination détruisant les bases idéologiques du christianisme. Elle nie l’existence de Dieu. La négation du transcendant.
- Vous avez le divin UMMOWOA.
- Oui, mais c’est un envoyé de Dieu. Dieu est coparticipant…
Inspiré par Dieu
Envoyé par Woa
Cet envoyé est divin.
Il n’est pas (identifiable).
Il ne faut pas le dire à tout le monde, cela peut en blesser beaucoup. - Alors le Saint-Esprit… ?
- Non WOA est la somme de toute l’information qui existe, toute la forme d’information est l’Esprit Saint ( ?) (Il représente le symbole de l’intelligence).
JB Donc la Très Sainte Trinité ?
- Non … Dans d’autres univers on a le polythéisme. Les Chrétiens ont choisi d’être monothéistes et polythéistes
- Quelle opinion avez-vous du Vatican ?
- Très mauvaise. Le Pape est une personnalité paranoïde. Il est intelligent et bon mais c’est un malade mental. Il est bon et noble… déchiré par l’ouverture du Concile Vatican II.
- Bien que nous reviendrons aux thèmes religieux, pouvez-vous me dire quelque chose du sida ?
- Le sida a été fabriqué dans un laboratoire d’ingénierie génétique de l’OHIO. Un groupe choisi de singes africains… un de ces singes s’échappe et provoque la diffusion du virus. Quelque chose de semblable à ce qui nous est arrivé à Albacète. Le virus qui affecte les lymphocytes est artificiel. Le génome du virus des possibles infectés…
Comme arme bactériologique ou virologique, nous ne voudrions pas le G2 (? – Como arma bacteriologica o virologica no quisieramos G2). Une preuve de Rh … deux des gardiens étaient ivres… Le mâle put s’enfuir et contaminer d’autres simiens.
Guerre bactériologique en Afrique et en Asie (pays amis des USA). L’expérience ne s’est pas faite aux EU parce que les lois y sont très sévères. Ils ont commis des erreurs. - Éthiopie ?
U: La famine. La distribution des services ne suit aucun modèle scientifique. L’accroissement de la population… la croissance des biens et des services… Les changements de répartition… Dans ces conditions… une situation ponctuelle…
JB Contrôle de la natalité ?
- Les lois morales des vieux modèles de la scolastique. Ce n’est pas un mal. Les modèles théologiques de la scolastique (préscolastique ?) ne sont pas capables de… Les théologiens actuels… Des gens qui étudient dans leurs séminaires et sont formés à la vieille scolastique.
JB L’avortement ?
- Il est complètement justifié chaque fois que nous déterminons ceux qui doivent naître… C’est une question d’éthique conventionnelle dont on doit fixer les prémices…
La nature humaine du fœtus, de la morule ou morula, de l’embryon.
Ces conditions de nature restrictive…
La population actuelle de la Terre est de 4.875.000.000. Dans ces conditions…
Mais… dans certains cas… des cellules humaines amputées d’un bras (d’un chromosome ?) (égal à) : dans le fœtus un génome peut se greffer dans un autre noyau… extirper cette membrane. Pour des raisons supérieures, une cellule, une morule, un embryon…
En ce moment la guerre entre antiabortistes et abortistes est une guerre démentielle.
J.B. Avez-vous quelqu’un de semblable à la Vierge ?
- Du point de vue scientifique, c’est irrationnel. Cela doit avoir une fonction symbolique. L’erreur est de lui donner une interprétation littérale. Voir Bullman.
Vous avez une constellation de MYTHES que vous devez analyser en profondeur. - Selon ce qui semble découler de vos rapports UMMOWOA est-il ressuscité ?
- Non il a subi une désintégration, une vaporisation de son…
- Un miracle ?
- Non. Il n’y a eu aucun viol des lois physiques. Aucun miracle. WOA ne l’a pas annihilé. Cependant (cela peut se faire)… la résurrection peut se produire, vous savez que votre conscience universelle persiste dans un autre cerveau Ce n’est pas une réincarnation. La conscience peut persister dans un autre corps (quand les caractéristiques de l’individu coïncident, comme un gant peut aller bien à une autre main).
JB Comment différencier l’âme de la conscience ?
- Lorsque l’énergie ( ?)… le Krypton, se produit un reflet injecté dans cette âme collective. C’est la capacité…
Lorsque l’on compare les modèles, lorsque vous êtes capables de choisir l’image, cela se produit dans l’autre univers WAAM de vitesse de la lumière infinie. Un cerveau gigantesque…
Dans le WAAM WAMM de vitesse de la lumière infinie… c’est alors que se produit la réflexion de la conscience… celle-ci est injectée quand elle s’injecte dans l’âme ( ?).
- Comment se pérennisent toutes les âmes de tous les êtres rationnels dans le WAMM de c = infini. Ne pouvons-nous communiquer télépathiquement avec elles ?
- Parce que le WAAM WAMM de c = infini est divisé en cellules, c’est en quelque sorte comme une galaxie et d’autres galaxies dans un univers. Par exemple la galaxie Constellation d’Andromède qui est approximativement à 2 millions d’ans lumière (exactement 1.825.626 années lumière) (c’est un exemple métaphorique) correspond à une civilisation. Il est possible que la communication se fasse entre plusieurs âmes collectives.
- Y a-t-il quelque possibilité d’engendrer une être hybride UMMO-TERRE ?
- Il y a une double impossibilité :
1° La structure chromosomique est différente.
2° Il y a une impossibilité de nature éthique, nos YIE ne peuvent coucher avec les hommes.
On pourrait créer par manipulation génétique un monstre physique et psychique, avec le syndrome de Down (mongolisme).
- Avez-vous quelque projet d’aide à l’humanité ?
- Nous ne pouvons pas. Nous avons guéri quelques cas de leucémie, par exemple la sœur de la femme qui va porter les messages (MARIS) et le fils d’un commissaire de police.
- Comment va la santé de notre sœur Hiltrud Franz ?
COUPURE
D 3890
A 17 h (J’avais parlé avec Juan Aguirre et Dionisio Garrido tout le temps) une dame m’appelle (c’était MARIS, la même qui a parlé à Jiménez Marhuenda) pour me dire que celui qui m’avait parlé était extraterrestre et qu’il allait m’écrire sur une feuille de papier jaune (avec l’empreinte) comprenant un élément de composition extraterrestre. Qu’on ne peut me dire le nom (ni que je le lui demande) mais qu’elle lui transmettrait nos amitiés. De me préparer ensuite à un nouvel appel (une minute) pour me faire répéter ce qui m’a été dit. Comme elle était très impressionnée par la conversation ummite, elle ne m’entendait pas bien. Ce que je n’ai pas compris c’est de la partie extraterrestre. Il me semble qu’elle a dit qu’elle ou sa sœur s’appelait Mari-Sol.
2e CONVERSATION AVEC UN UMMITE (parlant mal) – J. Barrenechea, 17 mars 1987 de 12h à 12h25, 25 minutes
1ERE PARTIE
UMMO. – Nous avons envoyé une lettre à votre frère Rafael Farriols Calvo avec un rapport sur le PSYCHISME COLLECTIF.
Vous aimez vous réunir en signe de réconciliation. Vous pouvez le faire en signe de réconciliation.
Nous ressentons beaucoup les troubles dus aux lettres apocryphes.
Nous ne fumes pas responsables de la mort du sieur Panadero d’Albacète, administrateur de Madame Margarita Ruiz de Lihori. La mort ne fut pas provoquée, mais malheureusement… nous ne fûmes pas responsables. Il a livré une information à un sujet nordaméricain, mais ce n’est pas nous. Il a livré un instrument de chromomanganèse volé dans les sous-sols du 58 de la rue Mayor à Albacète. Cet instrument est dans les mains de l’Administration nordaméricaine.
Une lettre vous a été envoyée, destinée à Rafael Farriols Calvo, en évitant que la lettre soit communiquée à d’autres de vos frères, et pour cela nous utilisons une voie indirecte. Nous ne l’envoyons pas directement au destinataire. Elle mettra des jours.
Il est dangereux pour vous d’adopter nos doctrines ; c’est prendre des risques.
(Intervention de JB) – Pardon, Monsieur ! Le jugement que vous portez sur les doctrines de la Terre, après les avoir disséquées d’une façon qui ne doit pas nous inquiéter, nous intéresse fondamentalement.
- – Dans la conversation du 11 mars avec un de vos frères, la vaporisation et la désintégration d’UMMOWOA n’était pas claire.
- – Il y a des difficultés de langue. Le frère qui parlait (le 11 mars) connaît bien (l’espagnol), et moi non. Voulez-vous qu’il s’explique par écrit ?
- – Pouvez-vous m’expliquer le mécanisme de fonctionnement du OUI-JA ? Connaissez-vous le OUI-JA ?
- – Je connais le OUI-JA : des mécanismes moteurs musculaires réfléchissent les contenus inconscients, ils peuvent recevoir des influx télépathiques et les «motoriser» par le médiat musculaire… les pressions tactiles…
- – Connaissez-vous l’expérience qui a été faite avec des volailles à qui l’on a supprimé totalement le calcium dans l’alimementation ? Et à qui ensuite on donne du MICA (silicate de potassium) et qui retrouvent alors la coquille d’œuf qu’elles avaient perdue ? Y a-t-il eu transmutation du K en Ca ?
- – Il n’y a pas eu transmutation, il y a eu variation du métabolisme osseux du calcium. La perte en calcium du système osseux peut être mesurée.
La transmutation peut se produire aux niveaux microquantiques par apport de fortes quantités d’énergie, pour divers noyaux atomiques (excision par fusion).
Dans les éléments de la table périodique de Mendéléieff : Na, Nd (néodyme), Ca, Fe, K, Na et inclus C et Si, il y a perte de protons et de neutrons, les transmutant en d’autres éléments, mais en quantités infinitésimales, très petites. L’énergie de la coenzyme adénosinethiosulfate (ATP) (NDT. Non ATP = adénosinetriphosphate), l’un des composés les plus importants du métabolisme des êtres vivants, il y a des quantités minimes d’énergie dans les trois atomes de phosphore, affecté aux atomes voisins (?). Mais en quantités minimes. Il n’y a pas de relais. (NDT. Cette phrase n’est pas claire, ce sont des bouts de phrase notés sans continuité. L’ATP met en réserve l’énergie dans les trois atomes P pendant les réactions catabolisantes et la restitue atome par atome (P) en permettant les réactions anabolisantes )
- – Comment alors survivaient les galériens dans des conditions si dures et un régime si pauvre ?
- – Parce qu’ils réduisaient la vitesse du métabolisme, les pertes étaient minimes. Mais en plus il n’est pas certain que le régime était pauvre. La perte d’un galérien était grave pour la galère. (Peut-être pas beaucoup de protéines et de lipides mais beaucoup d’hydrates de carbone (glucides)… (Métaboliser). Très bien, je vais couper.
POURSUITE DE LA CONVERSATION, DE 13H30 À 14H40, 1h10
2E PARTIE
- – Un de mes frères vous a appelés. Nous aimerions recevoir des copies des lettres que nous vous avons envoyées. Vous devez mettre à chaque page un n° de code pour que nous nous y référions quand vous formulez des questions.
En outre, nous avons les photocopies de quelques lettres, dans de nombreux cas le dactylographe a conservé des copies sur papier carbone.
Dans les premiers temps, quand nous écrivions à Fernando Sesma Manzano, le dactylographe a détruit 270 feuillets par peur de la Police qui fit une enquête dans son immeuble (mais pas dans son appartement).
- – Le dactylographe est vivant ?
- – Oui. Nous aimerions avoir ces copies :
1° – Pour les envoyer à UMMO.
2° – Pour les classifier, parce que la dispersion… (?)
Nous paierons le montant des photocopies si vous le désirez.
Nous n’avons pas de difficultés d’argent, s’il vous plaît, l’argent ne nous coûte rien, mais nous ne voulons pas vous offenser. Vous, que me conseillez-vous ?
- – S’il vous plaît, n’insistez pas, parce que c’est le moins que nous puissions faire.
- – Une femme ira chez vous le récupérer (le paquet).
- – C’est la dame qui m’a appelé qui viendra ?
- – Peut-être elle ou une autre. Elle livrera cette collection au 57 rue Goya à gauche. En réalité elle nous intéresse très peu mais elle sera très intéressante (sic) parce que quelques lettres nous manquent. Quand croyez-vous que le paquet sera prêt ?
- – Je ne sais pas. Il me semble bien le 27 ?
- – Cela dépend de la personne qui ira les chercher. Il est précisé qu’il n’y ait pas de témoin important.
- – Je serai seul pour la recevoir et, si vous le désirez, je ne verrai même pas sa figure.
- – Prière de me conseiller ce que nous devons faire pour vous payer le montant des photocopies. D’un côté nous voudrions les payer mais de l’autre nous craignons de vous offenser.
- – Je vous ai déjà dit de ne pas parler de cette chose.
- – Vous devez faire un paquet enveloppé dans une feuille de papier attaché par une corde de chanvre enveloppé pour que cette personne puisse le recevoir, mais vous ne devez pas remettre ces copies sans les avoir codifiées.
Lettre ou message, un chiffre suivie d’un trait d’union et du n° de la page. Cela servira à les identifier mutuellement. De plus, faîtes nous une faveur parce qu’il nous manque 30 ou 40 copies qui furent détruites par le dactylographe qui a détruit plus de 270 feuilles des rapports.
En une certaine occasion deux agents de police montèrent (dans l’immeuble) pour une affaire politique et, terrorisés, lui et son épouse brûlèrent les photocopies sur un réchaud de butane.
Il est nécessaire que nous ayons les rapports codifiés. Nous avons fait de même au Canada et en RDA.
Nous sommes restés trois ans hors d’Espagne. Aujourd’hui nous résidons dans un hôtel de Madrid. Nous ne pouvons dire lequel.
Nous avons détecté des lettres apocryphes. Leur contenu ne nous intéresse pas, c’est sans importance.
- – Avez-vous le traitement du sida ?
- – En réalité il y eu des essais de guerre bactériologique. L’incidence sur la population sera grande. Nous pensons que le vecteur principal serait la salive, parmi les trois possibles : sang, salive, sperme. Mais le VIH salivaire est faible comme arme bactériologique et très problématique par manque de maîtrise. Ils étaient très près de trouver un vaccin, mais il y a eu de nouvelles mutations du virus, le même comportement que celui de la grippe. Les problèmes : types successifs de vaccins, antigènes très variables…
- – Qu’arrive-t-il à une personne après sa mort ?
- – Nous préparons en ce moment un rapport sur le rôle des êtres (vivants) dans le Cosmos, qui répond à cette question.
- – Quel est notre rôle dans l’Univers ?
- – Il est très important. Peut-être le plus important. Étudiez-le avec attention. Ne considérez jamais qu’une information est destiné à une personne, elle est pour tous les membres du groupe. Vous devez empêcher que circulent des copies avec votre nom en travers sur toute la page ou un numéro codé, pour identifier le rapport ou la lettre qui a diffusé. Faites en sorte qu’ils ne soient pas diffusés.
Dites à Luis Jiménez Marhuenda qu’il ne nous enregistre pas, car nous allons l’appeler de nouveau.
- – Je n’ai pas enregistré…
- – Oui, mais lui il a enregistré.
- – Je n’ai pas compris dans la conversation du 11 comment s’est produite la vaporisation ou la désintégration d’UMMOWOA.
- – NOTEZ. Il existe une pression critique de 15.445.680 atmosphères. Cette pression critique est celle qui a été atteinte quelques microsecondes après l’explosion initiale de l’Univers.
Elle correspond à celle exercée par l’autre WAMM, elle correspond à la perturbation exercée par un univers adjacent, et elle est cause que l’expansion n’est pas uniforme. S’il n’était pas passé par cette pression, l’Univers aurait été comme un cristal isotrope. Croyez à l’importance de cette valeur de la pression parce que c’est la même qui produit un changement d’IBOZOO UU, rendant possible le passage d’un univers à l’autre.
Grâce à cette pression nous pouvons, nous les UMMITES, passer d’un univers à l’autre et voyager dans l’espace ; grâce à cette pression et à un autre facteur SECRET.
Bien sûr, notre Christ… (?) La pression existe depuis (le début de) l’univers… (aussi ?). Nous pourrons vaporiser… L’effet est toujours limité à l’environnement immédiat, alors il disparaît automatiquement, il ne se produit pas de vide, parce que les IBOZOO permutent automatiquement, se convertissent en molécules gazeuses. L’inversion des IBOZOO UU peut se réaliser des deux côté de la frontière des deux univers adjacents. Si vous savez en quel point elle se fait, vous pouvez en induire que ce point passe de lui à vous et vice-versa (?…).
C’est un simple changement des axes d’IBOZOO UU, d’un réseau d’IBOZOO UU à un autre. Vous pouvez vous imaginer une membrane (didactique) qui sépare les deux univers.
Effet frontière typique, c’est celui des atomes de krypton qui relient l’Âme au collectif.
Les effets frontière entre les univers adjacents c’est… Frontière commune pour des milliers de millions d’univers.
Dans le rapport en question nous faisons une synthèse partielle de ces problèmes. Dont l’un est le rôle des êtres vivants dans le WAMM-WAMM.
Il existe deux univers limites :
Masse = infinie
c = infinie
PSYCHISME COLLECTIF
Masse = zéro
c = zéro
ÂMES INDIVIDUELLES
Vous devez pardonner à mon frère qui vous a appelé auparavant et qui n’a pu vous expliquer tout cela parce qu’il est depuis peu en Espagne et ne parle pas bien l’espagnol.
- – Quand la conversation s’est interrompue, a-t-il coupé délibérément ou pour un autre motif ?
- – Délibérément ou pour des raisons techniques.
- – Pouvez-vous m’éclairer sur ce qui est arrivé avec le COLZA ?
U.- La confusion au sujet de cette huile provient de ce que, quand se produisirent les premières morts, quelques personnes sont mortes aussi par ingestion de produits chimiques organophosphorés.
Mais ce lipide contient de l’anilide. La révision des lois fiscales est justifiée : il contient de l’anilide. Mais d’autres sont morts du fait des insecticides organophosphorés. Les avocats de la défense se basent là dessus, mais cette thèse ne réussira pas à s’imposer.
Dans le document nous vous expliquons ce qui arrive après la mort, le corps disparaît… Âme collective… Âme individuelle… Eschatologie… TRÈS IMPORTANT, vous devez accepter celui (?) du Ciel (Ciel, Enfer, Limbes). (La question pour les trois – JB)… comme reflet lointain… ce sont des métaphores, non un langage scientifique. Mais nous avons peur de trop vous influencer. (NDT Même remarque plus haut)
- – Au moins quantifiez les aspects et les dogmes terrestres filtrés par vous (ce qui réussi, ce qui est faux, etc…)
- – Oui. Mais il est inévitable que nous les polarisions (stigmatisons ?) avec excès… livre… et choisir. Écouter et réfléchir. Ne pas se laisser manipuler par les idées, quand on élabore les siennes par simple réflexion (réflexe ?).
- – Un jour j’ai demandé à l’un de vos frères (c’était moi-même, me répondit-il) s’ils avaient l’intention d’intervenir sur la Terre, mais j’aimerais lui dire que votre intervention serait à même d’influencer l’URSS et les USA pour éviter une guerre.
- – Regardez. Nous avons la capacité de tuer quand nous le voulons le Président des États-Unis et le Président du Praesidium d’URSS mais nous n’allons pas le faire, nous ne devons pas le faire. Nos lois morales nous en empêchent. Nous pouvons obtenir toute l’information que nous voulons de ces deux états…
La situation s’est améliorée sensiblement, parce que l’image sociale de Reagan (a détérioré l’image du totalitarisme…). Le modèle soviétique est un modèle plus juste. Il est certain qu’il lui arrive de violer les droits de l’homme. Mais beaucoup plus graves sont les droits violés en Occident. La propagande fortement polarisée contre l’URSS provoque un effet multiplicateur qui doit déformer la réalité. Par exemple quand un avion en Corée du sud sert les intérêts des USA en ayant reçu l’ordre de violer la frontière de sécurité. Le pilote reçoit 360.000 $… (les soviétiques ne trouvèrent pas d’autre solution que de l’abattre). Tout cela ne se dit jamais en Occident.
JB.- Maintenant un autre cas, il y a trois ans nous avons reçu une lettre mutilée que nous devions vous remettre. Pouvez-vous me compléter l’information qui nous fait défaut sur Felipe Gonzalès ?
- – Nous vous disions que Felipe Gonzalès est un vrai gouverneur des USA.
Il sied de le dire, et c’est ainsi. A la prise de pouvoir il subit un changement copernicien. Tout son programme… un coup d’état militaire… changement radical de politique.
Peu de jours après la prise de pouvoir, il reçut la visite de l’ambassadeur des USA qui lui remit un mémorandum secret (pour faire court) risque de socialisme (il lui indiqua) les (lignes) directrices d’un modèle économique. Nous avons les photocopies du susdit mémorandum. Pour ce mémorandum le PSOE se vit obligé à un changement radical. Les dirigeants importants (?)… le pouvoir arrogant et la corruption ne pouvant suivre avec ses vieux idéaux. Je répète, Felipe Gonzalès vrai gouverneur des USA. Les traités intéressés à Yalta, se répartissant le monde, ont seulement été rompus à Cuba et en Turquie.
JB.- Pourquoi la Turquie ?
- – Parce que selon Yalta, elle devait tomber dans l’orbite soviétique. Mais les USA ont provoqué un coup d’état.
La Grèce, par exemple, a été négociée (?) par la CIA. Soutien clair de la part des USA.
L’URSS à Cuba a violé le pacte d’Yalta.
- – Je crois que le Nicaragua est considéré comme un danger pour les USA ; il est comme la graine qui propage le marxisme ? n’est-ce pas ?
- – Exactement.
- – Mexico. Situation explosive: le peuple mexicain, qui est fatigué du PRI, peut faire une révolution.
- – Au Mexique la situation est explosive, comme dans d’autres pays.
JB.- Par exemple ?
- – Par exemple : le Salvador et le Guatemala.
L’Argentine est plus stable mais il s’y prépare un coup d’état militaire qui échouera.
Le Brésil : mieux stabilisé, bien que situation économique très grave.
Nous étions déprimés mais il y a un signe favorable. Le risque de guerre nucléaire s’est dissous mais tend à réapparaître.
Bombe au plasma : la Chine a paralysé ses recherches par suite de difficultés techniques difficiles à surmonter. Ses travaux continuent sous secret militaire, mais les l’URSS et les USA surveillent ces recherches. De toutes façons, ce sont les physiciens chinois qui en savent le plus dans ce domaine.
L’URSS a fait une série d’erreurs par manque d’ordinateurs.
Information sur l’URSS : Ils ont utilisé de l’arséniure de gallium comme substitut du silicium et sont très avancés en alliages supraconducteurs. Ils travaillent à la substitution du silicium dans les transistors… OPTIQUES… Ainsi l’électronique serait luxée par l’OPTONIQUE.
L’électricité, pour la lumière…
En transistors optiques, les plus avancés sont en URSS.
Par contre, en électronique et circuits intégrés, les plus avancés sont aux USA.
Dès aujourd’hui, la modulation des électrons se fait à la valvule. Mais dès maintenant une petite quantité de photons peut réguler un haut flux de photons.
OPTONIQUE en URSS : Les sels de néodyme seraient un élément clef du futur, lorsque les circuits intégrés auront disparu. Jusqu’à maintenant on pouvait transmettre mais non moduler les photons.
Le futur de l’électronique est sombre. L’OPTONIQUE va naître.
- – Cette fois il y a équilibre des forces.
- – La distance hémisphère nord / hémisphère sud augmente sans cesse. L’équilibre se maintiendra mais sous tension.
- – Je me réfère au cas où l’équilibre entre USA et URSS serait meilleur.
- – Ça oui.
Japon : Très importante technologie de pointe, comme vous dites. Ils collaborent avec les USA contre l’URSS. Ils tentent de dépasser les USA mais peinent à les suivre.
- – L’URSS et la Chine populaire. Comme elles ne s’entendent plus ?
- – Maintenant non. Pourtant elles suivent le même modèle socialiste, mais elles se méfient mutuellement à cause de divers contentieux.
- – En Chine le développement est lent.
- – Oui et en URSS beaucoup plus rapide. Il y a des paradoxes. Par exemple le Pakistan a la bombe nucléaire. L’Iran en est à la fusion, après quoi il est facile de passer à la fission. L’Espagne a un prototype de fission.
- – Mais n’a-t-elle pas signé le pacte de non prolifération ?
- – Oui mais elle peut le dénoncer à tout moment. L’Union de l’énergie nucléaire a une bombe à fission. Le gouvernement des USA a différentes agences de renseignements en plus de la CIA. Certaines opèrent constamment des opérations de déstabilisation.
Les USA exercent sur le gouvernement espagnol une double pression :
1° – Menace de coup d’état avec des militaires disposés à le faire qui n’attendent plus que les USA donnent le feu vert. Ils se réunissent tous les mois pour réactualiser le plan du coup d’état et attendent le feu vert.
2° – Aide aux mouvements terroristes. Le gouvernement n’y peut rien. Il y a une désinformation interne.
Abandonnisme, corruption très forte. Décomposition. Politique libérale. Niveaux très hauts de corruption interne.
- – Alors, il n’y a pas de solution.
- – NON. Tout gouvernement sera une marionnette des USA.
(La conversation se termine sur ces mots)
Commentaires J.C.
La phrase
« La inversion de UBOZOO UU se puede realizar desde los dos lados de la frontera de dos universos adjacentes. Si ustedsabe en el punto donde se encuentra, puede inducir QUE ESE PUNTO PASA AL DE USTED Y VICEVERSA. «
pose un problème, particulièrement ce que j’ai mis en majuscule
J’ai consulté J. F. : l’absence de sujet ne permet pas de trancher entre le sujet locuteur et le sujet quelque chose.
Je pense que ce quelque chose est « l’inversion ».
3° conversation entre un UMMITE et Jorge Barrenechea, 21 mars 1987, de 18h25 à 18h30 : 5 minutes
L‘appel se produit alors que Juan et Camila sont à la maison (57, rue Goya), et au milieu d’autres événements.L’UMMITE me demande si j’ai reçu par courrier la lettre qu’il m’avait annoncée qu’il m’enverrait le 17 mars (j’étais sorti). Étant donné qu’elle ne m’était pas parvenue, ils m’avertirent qu’ils interviendraient par téléphone.Il me dit qu’ils allaient tenter de joindre José Luis Jordán, Joaquin Martínez, Luis Jiménez Marhuenda et Dionisio Garrido. La ligne sera établie dans 2 ou 3 jours (J’ai cru comprendre).
A 18h40 j’appelle J.L. Jordán (j’avais tenté de joindre les autres mais ils n’avaient pas répondu). J.L. Jordán me dit que les Ummites venaient de l’appeler.
A 19h40, José Luis me rappelle pour me dire que les Ummites, par le biais d’une demoiselle de 30 ans à l’accent andalou, avait fait baisser le portail de sa maison pour lui remettre une enveloppe avec un rapport destiné à Rafael Farriols. A ce moment, Juan Aguirre était déjà avec moi et nous disons à José Luis de prendre un taxi et de venir avec l’enveloppe. Il arrive à 19h30. Nous commençons à lire le rapport à toute vitesse, ce qui nous prit deux heures.
Carmenchou et moi allâmes dîner avec la famille à Biers. J’étais « sonné » par une migraine.
Dimanche 22 mars 1987
Sur les 10 h, j’appelle Juan Aguirre puis Juan Domínguez pour discuter de la décision de nous réunir l’après-midi pour lire le rapport au restant de nos frères. Donc nous nous partageons les appels puis j’appelle Villagrasa à qui je dis de me rappeler à midi pour confirmer l’heure ; il me dit de prendre en compte que je ne devais pas faire suivre les appels sur mon téléphone. Je le dis à Juan Aguirre et finis de compléter les appels. A ce moment, Juan Domínguez ne répond pas.
Ma femme et moi, à 13 h passées, allons au Retiro et revenons à 14h30.
CONVERSATION AVEC UN UMMITE (de bonne élocution) 22 mars 1987, 14h45, durée 30 minutes
Il me demande si nous avons reçu la lettre–rapport destinée à Rafael Farriols. Je lui dis oui.
Il me demande si nous avons des interrogations sur les instructions qu’ils donnent dans la lettre. Je lui dis qu’il n’était pas clair si nous devions lire le rapport à Villagrasa, Borréas et Mejorada. Il me dit que NON. Je demande si je peux le lire à mon neveu Julián. Il me dit oui mais de ne pas le photocopier.
Ensuite il accepte de répondre à quelques questions. Auparavant il me dit qu’ils comptaient ENREGISTRER la réunion de l’après-midi.
TÉLÉCINÉSIE : Dans l’immense majorité des cas, c’est une fraude. Mais CE N’EST PAS IMPOSSIBLE.
PSYCHOPHONIE : Origine très différente, mais c’est de même dans tous les cas c’est une tromperie.
QU’EST DEVENU LE CORPS DU CHRIST ? C’est un cas d’effet frontière. Le corps s’est transformé en masse négative (masse électrique). Il est allé dans l’Univers – M. La phrase évangélique : le Verbe s’est fait chair est une vérité scientifique.
La preuve qu’un UMMOWOA, un CHRIST, sont des envoyés de Dieu, c’est que, quand ils meurent, ils disparaissent. C’est un mythe que le corps de Jésus soit VIVANT. Les Évangiles déforment la vérité, déforment la réalité. C’est une histoire basée sur les traditions et des relations orales. Ainsi l’Ascension est un mythe.
ASCENSION. Autre mythe. Le culte si exagéré à la Vierge est le produit d’un complexe de culpabilité de la civilisation judéochrétienne provoqué par sa MYSOGINIE. Mais mieux ils oublieront la Vierge, mieux ils traiteront leurs femmes.
TÉLÉPORTATION : La condensation de masse provoquée par un univers adjacent est possible, mais en pratique TOUS LES CAS sont des impostures.
TROUS NOIRS : Ils n’existent pas. Ce que vous appelez trous noirs, ce sont des étoiles de neutrons. C’est bien décrit par l’auteur terrestre « Raz Tuarkill » ( ?). Un effet frontière se produit. Toute la masse M devient – M dans l’autre univers. L’énergie se convertit en racine carrée de –M, qui est la masse imaginaire dans l’autre univers. Elle ne peut exister dans notre univers. Par exemple dans la constellation du Cygne… qui peut être confondue avec un trou noir.
A QUOI SERT LA PRIÈRE ? : A rien et à beaucoup. Cette réponse est faite à la question de votre frère Luis Jiménez Marhuenda.
LE SAINT SUAIRE DE TURIN : Il est authentique. C’est celui de Jésus de Nazareth. C’est son linceul ou suaire. Il n’y a aucun miracle. Il a été préservé par les croyants et il se conserve très bien.
MÉDECINES ALTERNATIVES : Dans la guérison par passes magnétiques, les résultats sont temporaires mais non définitifs. (Cette question m’a été transmise par notre sœur Hiltrud Nordlin). La magnétothérapie est effective mais on ne peut en dire plus sans remettre en cause votre science.
QUELS PASSAGES DES ÉVANGILES CONSIDÉREZ-VOUS COMME ANHISTORIQUES ? : la Crucifixion et la Résurrection sont très déformées, en ce sens que son apparition aux Apôtres après sa disparition de la tombe sont des mythes.
Nous ne désirons plus de questions.
(La conversation est terminée)
J’ai demandé son nom à cet UMMITE, qui est celui qui m’a aussi appelé les 11 et 17 (2e fois) mais il m’a dit que pour des raisons de sécurité il ne pouvait le dire.
Il m’a rappelé le lundi 23 mars.
Le dimanche 22 mars après-midi, nous avions eu une réunion pour lire le rapport avec Rafael Farriols à laquelle assistaient Juan et Camila, Juan Aguirre, J-L Jordán, Garrido, Carmen et moi. Au dernier moment il a été décidé que Julián ne devait pas y assister bien qu’il ait commencé la réunion avec nous.
6e CONVERSATION AVEC UN UMMITE (loquace) – Jorge Barrenechea, 23 mars 1987, 12h45, durée 30 minutes
Il me demande comment nous parvenons à la compilation et l’indexation des rapports pour les distribuer aux autres par l’intermédiaire d’une de nos sœurs qui les range 57, rue Goya 4e étage à gauche.
Je lui dis que j’étais un peu en retard.
Il me dit à plusieurs reprises que nous ne nous inquiétons pas, qu’il n’était pas pressé.
Pour lui donner une date je lui dis le 27 avril, mais sous réserve de confirmation.
Il insiste sur ce qu’il doit nous payer.
Je lui dis que nous étions trop payés en échange de peu de chose.
Il me répète les instructions et la nécessité d’un papier de qualité supérieure pour envelopper le paquet.
Il me demande si j’aimerais faire une déclaration sur la réunion de la veille et je lui dis pourquoi avoir exclu trois de nos frères :
Enrique Villagrasa. Pour manque d’intérêt pour le thème. Pour manque d’enthousiasme. Pour prendre tout à la légère.
Francisco Mejorada. Caractéristiques biopsychiques (inadaptées au groupe).
Alberto Borràs. C’est un bon frère. Mais son psychisme ne cadre pas avec celui du groupe.
Le dernier document était interdit à ces frères y inclus sa lecture, mais vous ne devez pas les considérer comme des pestiférés. Vous devez les inviter en d’autres occasions.
La cohésion du groupe est très importante et nous serions favorables à plus d’information.
Il est important de les exhorter à la discrétion.
Les membres constituent un micro réseau social idéal.
Jorge B. Pourquoi considérez-vous comme provisoire le noyau central de cette petite communauté ?
UMMO. Parce quelques-uns s’autoexclueront et d’autres nouveaux s’y intégreront.
- – Alors il me refait les portraits de JL Jordàn, Juan Dominguez et LJ Marhuenda. Arrivé à Juan Aguirre, il ajoute qu’ils savent comment a été aidé leur frère Franco Muela, malade psychopathe… Bien qu’il fasse étalage de n’être dominé par personne, le fait qu’il se sente libre nous émeut.
Mais dorénavant, si l’information se répand, elle sera coupée au groupe. Cela nous ferait gravement tort. Ce que nous apportons est NOTRE propriété d’UMMO. On ne peut en utiliser les idées, elles sont nôtres. Nous les apportons par lettre privée. Tout homme est obligé d’en tenir le secret mais, de plus, comme le médecin, on doit prendre en compte le secret professionnel.
C’est l’homme le plus difficile du groupe. Il répète l’argument du secret professionnel plusieurs fois et me dit qu’il fallait l’exhorter à la discrétion la plus absolue avec cet argument. Il répète Juan Aguirre est l’homme le plus difficile du groupe.
Il me dit qu’il était sûr que R. Farriols, Juan Dominguez, moi, JL Jordàn, LJ Marhuenda, leurs serions fidèles mais qu’ils ont des difficultés avec Juan Aguirre et Dionision Garrido… idées archaïques, stéréotypées,… par exemple son opinion sur l’avortement manifestée à la réunion d’hier. Nous ne sommes pas partisans de l’avortement mais nous sommes tolérants vis-à-vis des conditions difficiles de la mère. Pseudo-amour de la mort. La vie dans ces conditions est mort et destruction. Dionisio Garrido est incapable de saisir ces concepts.
Il me dit que Juliàn ne devait pas le prendre comme une radiation (il le répète plusieurs fois) mais que j’avais bien fait de l’exclure de la réunion.
A ne pas interpréter comme une radiation mais comme une suspension…
JB : Je lui demande alors si je peux lui demander d’autres choses.
U – Oui mais peu.
- – En théorie, si un hybride des deux humanités pouvait exister, à quel subconscient collectif appartiendrait cet individu ?
U – A celui dont il aurait le plus de gènes.
- – Si l’évolution progresse en triomphant du mal et finalement de la mort, comment cela se peut dans un polyunivers qui va vers la mort. ( ?)
- – Le polyunivers ne va pas vers la mort. La néguentropie* finit avec la mort. Nous devons tous lutter contre l’entropie. Le manque d’amour… (parce que c’est grave).
- – Pourquoi n’existe-t-il pas d’êtres vivants de masse imaginaire ?
U – Le temps s’écoulerait en sens inverse. S’il y avait des êtres de masse imaginaire, la mémoire serait le futur. Ce serait aberrant, le temps s’écoulerait à l’envers, de sorte que le présent fabriquerait le passé.
- – Pourquoi cette masse imaginaire influe-t-elle sur le cosmos jumeau et non sur le nôtre ?
- – C’est difficile à expliquer par téléphone.
- – Quand vous êtes arrivés sur Terre en 1950, la ressemblance entre UMMOWOA et le CHRIST vous a surpris. Mais, si vous ne connaissez que deux UMMOWOAS, comment pouvez vous extrapoler que la preuve de tous les envoyés de WOA soit la disparition du corps à la mort ?
U – Nous avons connaissance d’autres UMMOWOAS.
JB- Que pensez-vous de l’éthique du suicide et de l’euthanasie.
U – Seul le suicide est une maladie mentale et ne peut se réclamer de justifications éthiques. (Le suicide d’un sage provoque de graves troubles dans le WAMM).
L’euthanasie sous certaines conditions et avec la volonté du patient peut être considérée comme licite, l’euthanasie quand la vie est irréversible.
- – Sans moyens exceptionnels, comment la télécinésie, la télépsychophonie et la téléportation sont-elles possibles ?
U – Ce n’est pas possible sans une perturbation apportée par un univers adjacent, chose que seul peut réussir un EXTRATERRESTRE ? Un Terrestre ne le peut pas aujourd’hui.
- – Juan Dominguez a développé une technique de photographie en relief inspirée par vous. Qu’en pensez-vous ?
U – Il faut l’étudier à fond. Nous savons qu’il l’a fait breveter mais nous n’en connaissons pas les bases.
- – Quels aspects de ma personnalité considérez-vous comme parascientifiques, comme il est dit dans le portrait de la lettre à R Farriols ?
U – Nous savons qu’aujourd’hui non, mais il y a quelques années vous avez fait quelques expériences de OUI-JA et c’est très dangereux.
- – Le corps du Christ a disparu dans le WAMM de masse M = infinie. Va-t-il accomplir quelque mission là-bas ?
U – La chair disparaît, le VERBE continue. La chair va dans l’autre univers de masse négative (-M) non dans celui de masse infinie (M = « ‑). C’est l’autre univers adjacent où il n’y a aucune mission à accomplir… Dans chaque OYAGAA apparaît un Christ distinct. Une parole, une information s’est fait CHAIR. C’est une vérité scientifique.
- – Au niveau d’UMMOWOA et du Christ, à supposer qu’ils soient égaux, mais on ne peut le prouver scientifiquement.
- – Le mode de production capitaliste touche à sa fin pour donner passage à un autre mode neuf, ou au contraire a-t-il encore une longue vie devant lui ?
- Oui. Il a encore une longue vie, bien que surgiront des systèmes mixtes : capitalisme / marxisme.
- – L’hégémonie des États-Unis comme grande puissance durera-t-elle longtemps encore ?
- – Elle sera remplacée dans quarante et quelques années par le bloc Japon – Australie.
- – Allons-nous ou non vers le Socialisme dans le monde ?
- Oui nous allons. Mais c’est très freiné par les États-Unis, la Grande-Bretagne, etc. Malheureusement lentement.
- – Vues les perspectives d’accroissement démographique mondial, est-il certain que nous commencerons à subir une pénurie de ressources alimentaires vers l’an 2000 ?
- – La pénurie sera très grave quand seront atteint les 6.800 millions d’habitants.
- – Sommes-nous entrain de détruire la Terre de façon irréversible ?
- – Ce n’est pas encore irréversible.
- – Mais si nous continuons ainsi, la chose sera irréversible … couche d’ozone… biodégradation… Méthode prévisionnelle d’Elnovan (?) Histor… (?)
- – Connaissez-vous la méthodologie de Bob-Jenkins ?
U – Oui. Mais pourquoi me demandez-vous cela ?
- – Parce que mon gendre m’a suggéré cette question.
U – C’est une bonne méthode.
- – Concernant votre histoire, nous ne savons presque rien sauf que vous étiez sous l’autorité d’une fille cruelle, etc Et presque rien de plus. Pourriez-vous nous donner un schéma de votre histoire et de votre préhistoire ?
U – Vous voulez un synopsis. Nous vous le donnerons avec plaisir.>
7° CONVERSATION AVEC UN UMMITE (loquace) – Jorge Barrenechea, 10 avril 1987, de 17h45 à 18h40 : (55 minutes)
Nous entrons à la maison avec Rafael et Carmela et en franchissant la porte, le téléphone sonne
UMMO. – Jorge Barrenechea
Jorge B. – Oui.
- – A reçu une lettre.
- – Oui. (Je l’ai reçue peu avant 14 h : Synopsis historique de la planète UMMO, celle que j’avais demandée.
Je remercie vivement votre sœur INDOO 33 fille d’INDOO 29 de la gentillesse de nous avoir envoyé ce rapport très intéressant. Je suis avec notre frère Rafel Farriols et son épouse Carmela et il désire vous parler.
Rafael. – Comment allez-vous ? Je suis très heureux de vous parler. (JB. -Je ne me souviens pas bien, mais il le tutoyait depuis longtemps.)
- – Monsieur, je pose ma main sur votre poitrine en signe d’amitié…
(JB. — C’est aussi exactement ce que je lui dis, parce que je n’ai pas écouté. De toutes façons, Rafael est ému et ne peut parler, c’est pourquoi il m’a repassé le téléphone. Auparavant Rafael a demandé quelque chose comme ceci) :
Rafael. – Allez-vous continuer à envoyer des informations comme maintenant, de qualité et en quantité.
- – Oui.
- – Pouvons-nous vous envoyer des questions par écrit jointes à l’indexation des rapports ?
- – Oui. Toutes celles que vous voulez, mais nous ne répondrons qu’à celles que nous considérerons convenables.
Je prends le téléphone et je demande :
- – Puis-je poser des questions ?
- – Oui. Mais une seule.
Parmi les 82 questions que je m’étais préparé à faire, je dois en choisir une et je me décide rapidement pour la suivante :
- – Si vous ne pouvez communiquer avec les morts, comment avez-vous appris tout ce que vous nous dites dans les rapports récents à Juan Dominguez et Rafael Farriols ?
- – (JB. Il me fait un laïus assez embrouillé mais, en résumé, il s’agit de chercher ce qui se passe dans les chaînes d’atomes de Kr de milliers de personnes et les interférences que provoque en elles le WAAm de C = infini). Analyser les résonances mutuelles qui s’établissent. C’est quelque chose comme lorsque vous pouvez connaître la composition du Soleil par analyse spectrale et que vous pouvez obtenir des données de la structure interne des autres étoiles et astres chauds,… ainsi comme de la vitesse et la distance.)>
Après cette réponse, comme il ne raccroche pas et ne me dit pas qu’il ne continuera pas, je fais l’imbécile et continue à questionner.
Mais alors, je me souviens qu’avant il m’exhortait à la discrétion, je me dis qu’il s’agissait d’un pacte entre gentilhommes.
Je lui demande s’il pensait ramasser les séries de rapports indexés à la maison de Juan Aguirre et dans la mienne, il me dit que seulement dans la mienne 57, rue Goya 4e étage.
Alors je le lance sur une affaire et continue à demander :
- – Nous sommes surpris que vous n’ayez jamais connu l’institution de l’argent.
- – Non. Parce que dès les époques très précoces les communications se firent très fluides et que le crédit se généralisa.
- – Mais avant cela, que se passa-t-il ? Pourquoi si vous vous attribuez une ancienneté de plus de 9 millions d’années, n’auriez-vous pas eu des objets précieux de petit poids pour faciliter le troc.
- – Oui. Effectivement. Ils utilisaient des pierres précieuses.
- – Vous parlez souvent de l’importance de l’amour pour freiner l’entropie croissante. Comment pouvez-vous quantifier cet amour, c’est-à-dire, combien d’amour est nécessaire de la part des humains pour que par exemple ne disparaisse pas leur univers.
- – (JB On n’entendit pas la réponse d’UMMO.
Après avoir consulté Rafael et Carmela , je le requestionne. Je dis des choses comme « des centaines de personnes », « extase mystique », « corrélat physiologique ». J’ai demandé à Rafael et Carmela, ils ne savaient pas plus (que moi) quel fut le contenu même approximatif de la réponse.
- – La méthode de production capitaliste : combien de temps va-t-elle durer ?
- – Beaucoup de temps encore.
- – Deux cents ans ?
- – Non moins. Elle évoluera vers un système hybride marxisme et capitalisme ou socialisme capitalisme. (JB. Une fois il emploie le terme hybride et une autre, éclectique.)
- – L’épisode de l’Évangile de la multiplication des pains et des poissons fut-il un phénomène de téléportation ?
- – Non, il s’agit d’un récit mythique pour population ignorante. Ce n’était pas une époque à développement scientifique. Figurez-vous qu’en Palestine, il n’y avait pas de porc parce qu’il était considéré comme un animal impur et pourtant il y a un épisode évangélique où est racontée l’expulsion de démons représentée par un troupeau de porcs.
- – Est-ce que la théorie de la panspermie est vraie (comètes porteuses de vie) ?
- – D’une certaine façon, oui. Parce que, sous la masse gelée, il peut y avoir des composés hydrocarbonés qui peuvent être des précurseurs de la vie…
- – La convergence de l’évolution vers l’homme : par polygénisme ou par monogénisme ?
- – (JB. Ce fut une dissertation magistrale que je ne suis pas capable de reproduire, pour ce que je crois qu’il a répondu. J’ai discuté avec Rafael et Carmela. De toutes façons, il semble qu’il disait que la pensée humaine a été bridée par l’apparition d’autres espèces d’hommes pour l’évolution ( ?)…
Il me semble qu’il a dit que le cerveau de tous les hommes de toutes les races est le même.
- – Combien de types d’extraterrestres connaissez-vous qui visitent la Terre ?
- – Je ne peux le dire par téléphone.
- – Et l’âme d’UMMOWOA ? est-ce WOA ?
- – Oui. Mais il existe parallèlement une âme engrammée dans le WAAM de C = 0 (il me semble que c’est ce qu’il a dit ) qui mémorise et encode toute l’information.
- – Le plissement pour faire le voyage d’UMMMO à la Terre est seul à réduire la distance quelque centième partie ?
- – Oui c’est ainsi. Cela donne le paradoxe qui nous réussit, parfois il est plus facile de voyager par l’autre univers que par le nôtre.
- – Rencontrez-vous la vie dans d’autres univers ?
- – Nous avons rencontré la vie et des êtres pensants ( ?) bien sûr.
- – Est-il possible d’améliorer l’intelligence des enfants ?
- – En la manipulant, on améliore la structure neurocorticale. Vous ne pouvez le faire encore ni essayer pour le moment. Les premières réussites arriveront dans moins de 150 ans. Mais, oui par les méthodes pédagogiques, elles réussissent très bien.
- – Vous dites dans la lettre à Juan Dominguez et Rafael Farriols que, si nous comparons ces rapports avec ceux reçus au Canada ou en RF Allemande, nous compléterons le corps de notre doctrine scientifique. Comment pouvons-nous établir ces contacts ?
- – C’est votre affaire. Ce sont des communautés très secrètes et de peu de membres.
(JB. – Je crois qu’il me dit que le manque de discrétion de la communauté espagnole a été une exception. Mais si vous voulez… ( ?).
- – Les âmes intégrées dans le subconscient collectif peuvent-elles générer des idées ?
U – Oui (JB. Je n’ai pas compris la suite)
- – Savez-vous ce que nous allons faire pour empêcher que Ribera et JJ Benitez publient un livre aux éditions Planète.
- – Non, nous ne le savons pas.
- – Et bien, nous pensons l’enregistrer à la société des auteurs à la bibliothèque nationale etc, au nom de Rafael Farriols, Juan Aguirre, Juan Dominguez, José Luis Jordán Peña et moi-même.
- – (JB. il répète les arguments que j’ai donné ( ?) Il nous paraît le croire.
- – Considérez-vous que la solution du problème de la DROGUE pourra consister à en baisser le prix (la mettre à son prix) pour éviter assassinats, vols et prostitution.
- – C’est un problème très complexe. Mais si vous nous demandez : que feriez-vous à notre place, nous vous dirions que OUI. Restriction des ventes, éducation des gens pour qu’ils ne se droguent pas. Rappelez-vous ce qui est arrivé avec la loi SECA (de prohibition) aux États-Unis. Le problème de la drogue a été abordé de façon équivoque.
- – Pourquoi les gisements apparaissent dans la lithosphères de façon ponctuelle en paraissant contredire les lois de la thermodynamique.
- – Ceci procède de ce que la Terre et tout le Système Solaire procèdent d’une NOVA il y a 6.000.000.000 d’années et que cette NOVA avait une répartition analytique très ponctuelle dans des zones isolées.> (JB. – Je n’ai pas entendu la fin et j’ai recommencé à le questionner.)
- – Comme vous savez, les continents actuels de la Terre, selon Wegener, procèdent d’un continent unique qui s’est disloqué. Mais en UMMO se maintient un continent unique. Sur les planètes que vous avez visitées, quel est le cas le plus fréquent, celui d’Ummo ou celui de la Terre ?
- – La dérive des continents……… de la structure du manteau et du magma… ( ?)… et nous avons visité des planètes à un seul continent et à plusieurs..…. vous ….
- – Que pouvez-vous me dire du sacrement de la pénitence ?
- – Que c’est une institution interne du catholicisme que nous respectons, née au Xe siècle. Ils ont …. biopsychologie… Nous n’avons rien de semblable.
- – Les âmes des UMMOWOAS ou du Christ peuvent-elles générer des idées contradictoires ?
- – Non. (JB. Il ajoute une explication que je ne suis pas capable de reproduire.)
- – Si toute mort est une augmentation d’entropie, pourquoi n’en est-il pas de même avec les morts d’UMMOWOA et du Christ ?
- – Oui, l’entropie augmente avec les morts d’UMMOWOA et du Christ, mais dans un autre univers.
- – Une mort volontairement acceptée comme celle du Christ, pourquoi n’est-elle pas considérée comme un suicide ?
- – Ce ne fut pas une mort volontairement acceptée, mais ASSUMÉE. Le Christ n’a pas cherché la mort…
- – Quand s’est produite la mutation de l’homme blanc en homme jaune ou en homme noir ou vice-versa ?
- – C’est très dangereux… (JB. Je n’ai pas bien entendu mais je crois qu’il dit que ce n’est pas une mutation unique et que le cerveau est le même chez tous les hommes.)
- – Dans 40 et quelques années, parce qu’il a dit que le Japon et l’Australie seront la première puissance mondiale, mais de façon éphémère et l’Australie prendra la suite. Les peuples puissants subsisteront mais plus faibles, comme c’est arrivé à l’Empire britannique et à l’Espagne.
- – Est-ce que le poids spécifique de l’Europe augmentera ?
- – Oui, parce qu’en plus elle s’incorporera les pays du COMECON et du pacte de Varsovie.
- – Comment les Espagnols ne s’affolent-ils pas du Coup (d’état) Militaire, dont vous m’avez parlé en d’autres occasions. Que peut-on en dire ?
- – Que les conspirateurs ont des appuis internationaux importants.
- – Mais, l’Europe occidentale cherchera à éviter et freiner le coup ?
- – Pas nécessairement.
- – Pour quand est prévu le Coup.
- – Dans le programme des Coupistes, la date est avant 1988 et conditionnée par des circonstances qui doivent se produire au pays basque après la mort d’une personne (éminente). L’affaire peut être très grave, on peut prévoir une involution. Un retard de développement de l’Espagne pendant de longues années et un retour à l’état de fourgon de queue de l’Europe. L’Espagne serait isolée internationalement et les conséquences en seraient funestes.
- – Mais comment est-ce possible que les nations européennes le tolère ?
- – Peut-être oui. Les nations respectent l’indépendance de l’Espagne et craignent qu’elle finisse par plonger dans l’environnement africain.
- – Quelle probabilité attribuez-vous au succès du Coup ?
- – Entre 32 et 36 %.
- – Nous conseillez-vous de tenter de fuir à l’étranger ?
- – C’est difficile à conseiller, mais les progressistes seront persécutés.
- – Quelle opinion du gouvernement actuel ?
- – Qu’il a très mal fait. Marche sans direction, avec des idées qu’il a oublié de tester et de soumettre aux conceptions conservatrices, comme l’économie de marché. Votre mentalité progressiste devra se plier devant les États-Unis qui exerceront des pressions très fortes. Il y a un divorce total entre ce qu’ils ont fait et ce qui doit être fait. Les conservateurs seront plus en cohérence avec leurs idées, mais s’ils sortent élus, il y aura une involution très grave. Le prix sera élevé.
- – SI l’A.P. sort élue, que se passera-t-il ? Est-ce que le peuple subira une involution très grave.
- – Le peuple subira une involution très grave. Le prix à payer sera très élevé.
- – Et si c’est la C.D.S qui sort ?
La communication est coupée.
9e conversation avec un ummite loquace, J. Barrenechea 8 juin 1987, 11h à 11h15 : 15 min
UMMO – Nous tardons à recupérer le paquet parce que votre frère qui devait le faire n’est pas actuellement en Espagne. Peut-être convient-il de penser à un de vos frères dont la maison a une gardienne, mais nous vous aviserons à temps. Il convient de compléter les adresses ( ?)* commandées par tous vos frères.
- Quelle très grande JOIE de vous écouter.
- Je vous demande de resserrer les liens d’amitié entre tous les membres du groupe sélectionné et d’avoir des réunions régulières. Il nous plairait beaucoup que vous agissiez ainsi. Vous êtes libres de nous satisfaire mais cela tourne à NOTRE avantage.
Quand vous aurez tous envoyé vos questions, nous ramasserons le paquet. Quand viendra le moment nous vous aviserons. Cela dépend de votre frère qui le ramassera.
- Nous craignons l’indiscrétion d’un de nos frères et de ne plus avoir de nouvelles de vous pendant des années.
- Nous ne vous abandonnerons pas. Nous savons que Darnaude a divulgué un rapport envoyé à Juan Dominguez.
- Et aussi Moya Cerpa.
- Oui, nous le savons. Nous ne croyons pas qu’ils soient capables de nous trahir. Nous n’enverrons plus d’informations à aucun des deux. Prenez bien soin d’eux. Les autres ont observé de la discrétion. Votre frère Juan Aguirre l’a respectée aussi. Nous ne vous oublions pas. Vous avez été sélectionnés parce qu’il existe une certaine correspondance avec vos systèmes cérébraux.
- Nous avons eu une période de difficultés pour nous réunir parce que par exemple Juan Aguirre a eu à opérer deux membres de sa famille.
- Et de plus il a changé d’appartement.
- José Luis Jordán Peña est resté sans travail.
- Et était très angoissé.
- Et Juan Dominguez était très occupé avec son programme de photographie en relief. C’est pourquoi je me suis permis en une occasion de convoquer aux réunions mon neveu Julián ; est-ce que vous l’autorisez à lire le rapport envoyé à mon frère Rafael Farriols ?
- D’accord. Votre neveu Julián est un homme intelligent, sensé et bon et nous sommes très contents que vous l’ayez incorporé au groupe.
- Il y a quelques jours, j’ai eu la visite de José Maria Pons Rafols que nous avions accusé d’être l’auteur des lettres apocryphes. Pouvez-vous me dire si c’est lui ?
- Nous savons qui c’est, mais nous ne pouvons le dénoncer.
- Puis-je demander quelque chose ?
- Aujourd’hui je ne peux, la prochaine fois oui. Nous allons être loin de Madrid un certain temps.
- Quand ?
- Nous le savons, mais je ne peux le dire. Vous êtes nos amis. Nous savons avec quelle foi, avec quelle onction vous vous réunissez pour parler de nous en syntonie spirituelle
- Je vous demande de transmettre à vos YIES notre dévotion et notre très profond respect.
- Je dis de même ? (La communication est coupée)
13e conversation avec un ummite (loquace) de J. Barrenechea, 18 novembre 1987 durée : 4 minutes
Le thème se réfère aux recherches de José Luis Jordán Peña à Cáceres, en rapport avec une question sur le phénomène paranormal.
UMMO. – Vous avez effectué un excellent travail.
- – C’est notre frère J.L. Jordán Peña.
- C’est un vrai professionnel.
Nous apprécions vivement sa collaboration, nous posons nos mains sur vos poitrines. Il n’est pas nécessaire de poursuivre les recherches. Les lettres peuvent être communiquées à vos frères Rafael Farriols et Julián Barrenechea. Prière de maintenir le secret. Nos regrets pour les dommages que nous vous avons occasionnés.
- – Nous nous sentons très honorés de toute chose, aussi modeste qu’elle soit, où vous nous faites confiance, parce que nous sommes à votre disposition inconditionnelle et pour nous c’est un motif d’orgueil de faire quelque chose pour vous.
- – Ne diffusez pas ce texte sauf à vos frères Rafael Farriols et Julián Barrenechea. Maintenant laissons tomber.
- – S’il vous plaît une seule chose C’est que je dispose d’un appareil fax avec le même n° que mon téléphone pour que, à l’occasion, vous puissiez m’envoyer quelque message.
- Ce ne sera pas faisable à cause d’un autre risque, mais si nous en avons la nécessité, nous le ferons.
14e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE loquace et J. Barrenechea – 4 janvier 1988 de 12h35 à 13h22 : 47 minutes
L’appel vient hors d’Espagne : CORDOUE (ARGENTINE).
(R.F) J’étais à Madrid avec Carmela les 26, 27, 28 décembre 1987. Le 27 étant chez Jorge, j’appelle Marisól qui ne veut pas noter les questions, annonçant qu’il y avait une lettre dans la boite du 57 rue Goya à 19h45.
La lettre était TRIPLE :
1°. Conseils particuliers pour Jorge Barrenechea y Juan Domínguez : Ne pas faire de copies. ne pas lire en public.
2°. Responsabilité de l’OEMMII (Copies pour R. Farriols et Luis Jimenez Marhuenda).
3°. Mécanisme du raisonnement avec dessin des fonctions du cerveau réalisé pour José Luis Jordán Peña. (Copies libres pour les frères éventuellement intéressés.)
Maintenant, Jorge Barrenechea, narre les étapes du processus. J’étais sorti faire des copies et je suis revenu, la nouvelle assistante María-José me dit qu’un monsieur dont on ne comprenait rien avait appelé plusieurs fois. Je lui demandais s’il parlait comme quelqu’un qui a été opéré de la gorge et elle me dit oui. Quand il m‘appela peu après, il commença à parler très mal au point que je crus que ce n’était pas le loquace. Il me dit qu’il pouvait répondre aux TROIS questions de mon frère Rafael Farriols, qu’il procurerait les réponses tapées à la machine, et je pose les questions suivantes :
1°. Vous dites dans une lettre adressée à lui (R. Farriols) et à notre frère Juan Dominguez que le sous-secteur concret des polymères SOUFFRIRA DES SÉRIES DE PERTURBATIONS DANS LE FUTUR, dues précisément à une concentration massive de son activité. A quoi vous référez-vous : à une concentration de produits ou à une concentration de l’activité géographiques ?
2°. Si vous choisissez avec soin votre ligne d’investissements vous allez au succès.
Vous vous référez à :
– des investissements matériels ?
– une association avec d’autres entreprises ?
– une diversification de produits ?
3° Notre frère Rafael Farriols doit-il partager avec les hommes et les femmes de son entreprise ses pensées, c’est-à-dire la partie de la lettre adressée à R.F. et à J.D. qui peut être diffusée librement ?
UMMO. – Maintenant parlez.
J.B. – Puis-je donner à mon neveu Julían copie de la lettre adressée à notre frère Rafael Farriols envoyée le 20 mars 1987.
- – Oui.
J.B. – Puis-je poser des questions ?
- – Une seulement.
Commentaires de J.B. J’avais avec moi l’enveloppe contenant les questions faites par tous les nôtres, que je savais en contenir 500 ou peut-être mille.
La seule question, je crois, qui n’était pas dans l’enveloppe mais en réalité il m’a accordé qu’eux-mêmes l’avaient suggérée :
J.B. – Quel rôle jouent UMMOWOA et JÉSUS-CHRIST dans toute cette cosmologie que vous nous racontez ?
- – Très bien, très bien.
Commentaires J.B. : Je crois qu’il voulait me dire que si seulement il pouvait n’y avoir qu’une question, ce serait très bien et il me semble qu’ils y répondraient aussi par écrit.
Alors je lui demandais pardon pour notre maladresse qui désharmonise le groupe et je dis croire pouvoir promettre qu’on ne recommencerait pas.
- Vous avez commis une faute grave. Certainement votre conduite fut involontaire. Efforcez-vous de maintenir l’harmonie dans le groupe. C’est très important pour vous. Vous ne pouvez pas imaginer l’importance qu’il y a à maintenir la concorde et la fraternité. Il est très important de maintenir cette harmonie. Vous êtes très excités. Votre système limbique exerce une forte tension. Votre système inconscient et votre système limbique exercent de très fortes tensions.
Vous ne comprenez pas que la conduite de vos frères est incorrecte. Parfois, il existe des raisons puissantes …
(J.B.- En réalité, je n’ai pas évoqué la suivante parce que ce sont des choses qui me semblent déjà dites par écrit dans les lettres privées qu’ils nous ont adressées à Juan Domínguez, Juan Aguirre et à moi, et que j’ai conservées.
J.B. – (La question : s’ils préfèrent que nous nous réunissions au sous-sol ou en haut dans ma maison).
- – En haut, où nous disposons de plus de facilités pour enregistrer. Si vous vous réunissez à 4 ou 5, jusqu’à 7, votre maison conviendra. Si plus, le site qui vous est destiné dans le sous-sol de la maison conviendra mieux. C’est très difficile pour nous de placer nos équipes de façon à les camoufler et que vous ne puissiez les détecter, parce qu’il n’y a pas de meubles.
J.B. – Mais êtes-vous actuellement en Espagne ?
- – Nous ne sommes pas en Espagne. Mais même ainsi nous pouvons placer des systèmes d’enregistrement (JB – Il me semble que c’est ce qu’il a dit).
- – En vue d’informer le BB, sommes nous également efficaces en haut et en bas ?
- – Oui, oui, clairement.
J.B. – Sur le rapport du 20 mars 1987 à notre frère Rafael Farriols et à moi, à propos de quand nous vivons nous sommes morts et la vie commence quand nous mourons… Ces paroles pour moi me remplissent de réconfort et d’espérance. Maintenant la chose a changé avec ce Purgatoire par manque d’information dans le B.B.
- – Purgatoire ? NON ! La souffrance intellectuelle est terriblement dramatique. Si vous ou nous, n’accomplissons pas les OUA, alors nous devons opérer une reconversion qui efface nos actes de violation (des OUA).
- – J’ai sur la conscience des actes qui peuvent peut-être rendre nécessaire cette reconversion et cela me fait souffrir.
- – Si vos actes ne sont pas VÉRITABLEMENT volontaires, il n’y a pas de nécessité de reconversion. Par l’influence du génome humain et par la pression du système limbique, l’ÊTRE est mû par une tension supérieure au SEUIL.
(JB. – Avant la question que j’ai lancée antérieurement, je lui ai dit qu’il y avait un parallélisme entre les paroles du Christ, – promettant à qui le suivrait dans cette vie le CENT POUR UN, et dans l’autre, la vie éternelle, – et ce qu’ils nous disent : à ceux qui accompliront cette mission, elle nous AIDERA dans cette vie et dans l’autre.)
- – La vie future sera beaucoup plus transcendante, mais celle là l’est aussi.
- – Pardonnez-moi d’insister, mais comme nous devons vous remercier pour ces lettres et ces conversations, nous aimerions connaître votre nom ou votre pseudonyme.
- – Cela ne convient pas. Parce qu’en ce moment, cette conversation est enregistrée par nos services occasionnels.
- – Pouvez-vous me dire quelque chose sur Juan Domínguez et sur l’entreprise avec laquelle il négocie.
- – Qu’il prenne des précautions sans aller jusqu’à annuler un investissement possible avec cette firme. Qu’il soit très PRUDENT, énormément PRUDENT. Ils sont très intéressés et continueront de tout tenter.
- – Quant à la FIBRE OPTIQUE, que pouvez-vous me dire ?
- – C’est très intéressant, tant sur le plan commercial que technologique (la transformation optique des signaux).
L’introduction dans le champ de la production requiert de forts investissements. C’est beaucoup plus rentable que la production de polymères. Il devrait monter un embryon à Madrid. Des dynamismes forts dans le domaine de cette technologie y convergent.
La PHOTONIQUE a un futur prometteur pour vous. L’entreprise qui saura le voir sera une affaire en POINTE.
Il devra se préoccuper de monter une ligne commerciale avec des vues sur la PRODUCTION FUTURE, et il sera FACILE de contacter des firmes étrangères. Il pourra monter un bureau à Madrid ou près de Madrid. Ce serait une ligne d’investissement très intéressante avec des collaborateurs choisis. Juan Domínguez pourrait l’aider et vous-même pourriez collaborer (participer) avec votre expérience commerciale, Jorge Barrenechea, vous pourriez monter une ligne très importante. Vous devez étudier ce domaine de la technologie.
- – Vous avez dit que l’électronique était mourante. Jusqu’à quand durera-t-elle encore ?
- – C’est difficile à apprécier avec exactitude. Elle mettra longtemps à mourir complètement, mais l’OPTONIQUE jugulera progressivement l’activité de l’électronique. L’OPTONIQUE dominera la transformation des signaux dans le champ des 600 millimicrons de longueur d’onde jusqu’à 250 millimicrons. Et dans une autre gamme des 960 millimicrons (dans l’infrarouge) jusqu’aux fréquences visibles de 840 millimicrons.
- – Alors les communications utiliseront à plein l’OPTONIQUE.
- – Naturellement : communication, robotique, TOUTE L’ÉLECTRONIQUE et encore plus, les amplificateurs, les ordinateurs…
Dans une troisième phase après l’électronique et la photonique viendra la BIONIQUE. Vous ne la verrez pas. La bionique avec des éléments biologiques ARTIFICIELS. Vous vivrez la PHOTONIQUE.
En ce qui concerne le comportement du groupe
- – Évitez toujours la rancœur qui détruit le dynamisme du groupe.
- – Pourquoi dernièrement ne citez-vous pas dans vos lettres notre sœur Hiltrud ?
- – Nous ne l’avons pas marginalisé du tout. Les lettres sont sélectionnées. Nous n’avons pas marginalisé votre sœur.
Nous avons fait pour elle ce que nous n’avons pas l’habitude de faire..
- – Je le sais, parce qu’elle me l’a dit.
- – Nous l’apprécions beaucoup pour sa résignation dans la souffrance. Elle a étudié notre langage et nous avons pour elle une affection spéciale.
- – Mon frère Rafael Farriols m’a donné photocopie des autres questions qu’il pensait vous faire en plus des trois qu’il a déjà faites. Puis-je les faire ?
- – Non.
Dès lors il n’a plus parlé, bien que j’ai entendu des bruits et insisté pendant 8 minutes, il ne me dit rien. Puis le téléphone sonne occupé
15e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE loquace et J. Barrenechea, 10 janvier 1988, 11h15, durée : 4 minutes
UMMO. – Vous recevrez une lettre message à 21 h. Ne surveillez pas le messager de 9h à 9h30 (de 21h à 21h30). Ne surveillez pas le messager.
- – Ni même aller dire l’heure ou le mode de réception.
Depuis cela, on cesse de l’entendre mais la ligne reste ouverte.
Carmen chou se mit à dire qu’elle aimerait lui parler.
16e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE et J. Barrenechea – 13 janvier 1988 à 11h55, durée : 5 minutes
UMMO. – Vous recevrez aujourd’hui un message chez vous. La messagère appuyera sur la sonnette d’en bas (porte automatique). Ne la surveillez pas.
- – Je jure de ne pas bouger de ma maison et ne dire à personne qui doit venir ici.
- – Avez-vous une question ?
- – Je désirerais que vous nous disiez quels sont les passages non historiques des Évangiles ?
- – Dans la 3e partie du rapport vous recevrez quelque inédit sur l’histoire proche des premiers Chrétiens avec des aspects inédits. Mais nous le ferons plus tard.
- – Puis-je poser une des questions de mon frère Rafael Farriols ?
- – Oui.
- – Pouvez-vous vérifier les intentions profondes de REPSOL vis-à-vis de CRITESA ?
Maintenant je me méfie de son honnêteté. Je crains l’influence négative de Lecumberri.
- – Nous avons inclus dans notre message une lettre pour votre frère Rafael Farriols.
Et il raccroche.
- – Il ne m’a pas laissé le remercier vivement de tout ce que nos amis ont fait pour nous. Des amis de l’âme !... (Et je raccroche)
En réalité ensuite la messagère ne vint pas, mais un messager professionnel en moto qui remit la lettre dans une enveloppe fermée à mon assistante.
J’étais au téléphone quand il arriva et n’ai pu le voir. Il était 13 h.
17e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE et J. Barrenechea – 19 janvier 1988, de 18h20 à 18h45 : 25 minutes
J’étais dans ma cuisine buvant un verre d’eau quand nos chers et aimables amis me rappelèrent. Au début j’écrivais dans une posture très inconfortable mais quand il me dit de poser les questions de mes frères, je lui demandais la permission de m’asseoir à la table.
UMMO. – Nous allons vous envoyer la 3e partie du rapport d’UMMOWOA. Un de vos frères le recevra dans son immeuble, mais IL EST POUR VOUS. Il faut que l’immeuble ait un gardien pour que notre messagère puisse entrer sans difficulté. Lequel de vos frères, qui devra à l’avenir recevoir le rapport, pensez-vous, présentera la condition d’avoir un gardien ?
Jorge. – Bien, je pense à José Luis Jordán Peña et à Juan Aguirre. De plus je me réjouis beaucoup que vous vous adressiez à eux pour qu’ils puissent avoir la même joie que moi.
- – Pour des raisons très puissantes, l’enveloppe vous sera adressée. Vos frères seront seulement les intermédiaires du moment. Dites à votre frère Rafael Farriols Calvo que pour l’entreprise REPSOL il faut AGIR AVEC PRÉCAUTION, CAR ILS NE SONT PAS DE BONNE FOI. NOUS RÉPÉTONS : AGIR AVEC PRÉCAUTION.
Quel est votre avis sur le dernier rapport que nous vous avons envoyé ?
- – Bien, que vouloir lui dire ? C’est le sommet de tout ce qu’ils sont venus nous dire depuis 22 ans. Nous vous sentons si honnêtes que nous ne nous tenons pas de joie dans notre corps. De plus tout ce que vous nous dite est source d’espérance et de réconfort.
- – Mais nous craignons que quelques-uns de vos frères se sentent blessés par tout ce qui viole leur corpus de croyances.
- – Je crois qu’ils ne doivent pas s’en inquiéter.
U – Il nous est agréable à un degré maximal que votre frère Rafael Farriols assiste aux réunions du dimanche. Nous ressentons pour lui une affection profonde.
- – Moi aussi et pour le même motif… (Ici je lui dis une chose que je ne devais pas dire ni par téléphone ni par téléfax, c’est pourquoi notre ami me coupe).
- – Pas d’allusion à ça par téléphone.
- – Avez-vous enregistré les dernières réunions ?
- – Oui. Nous sentons plus honnête la présence de votre frère Rafael Farriols.
- – Puis-je poser une question ?
- – Oui.
JB – Que pouvons nous faire dans cette vie pour adoucir et éliminer les souffrances intellectuelles de la RECONFORMATION ?
- – Nous répondrons de quelque façon à cette question. Vous devez maintenant nous questionner sur les projets de vos frères Juan Dominguez et Rafael Farriols.
- – Permettez-moi de changer de téléphone.
(Déjà, à cette place, j’ai posé la question n° 5 de Rafael. En réalité, je me suis trompé, parce j’ai posé la n° 4 mais je croyais l’avoir déjà posée. Ce qui se passe c’est que j’ai j’avis abandonné la 4° pour poser la première. Ainsi donc la question posée fut) :
– Mon projet sur la nouvelle fabrique est-il encore rationnel ? Dois-je le modifier ? Dans quelle direction ?
(Je crois que c’est l’occasion de poser la question n°4)
Quant à mon frère Juan Dominguez je n’ai en main aucune question concrète de lui mais je sais que l’entreprise est en pourparlers.
- – Oui. Avec CIRSA
- – Car toute information sur ce point sera d’une grande utilité pour mon frère.
- – Avez-vous quelque question sur un AUTRE PROJET à vous ?
- – Oui. Voyez-vous, je crois comprendre de la conversation que j’ai eu avec vous le 17 mars que vous nous suggériez pour la FIBRE OPTIQUE de nous adresser à l’URSS, et j’ai pris langue avec l’ambassade et l’association Espagne – URSS dont je suis membre pour qu’elle m’appuie.
- – NON PAS SEULEMENT CETTE SOURCE, n’importe quelle autre source aussi.
Nous considérons très intéressant un noyau commercial situé dans le centre de l’Espagne. Vous rencontrerez des difficultés MAIS VOUS VÉRIFIEREZ LA PERTINENCE de cette décision. Vous devez collaborer avec plusieurs de vos frères. Il est FONDAMENTAL QUE TOUS AIENT UNE AFFINITÉ PSYCHIQUE. Vous ne devez pas placer votre confiance en des frères étrangers. Le futur de ce sous-secteur est très intéressant. Ne recourrez pas seulement à l’industrie SOVIÉTIQUE, bien qu’il ne faille pas non plus l’écarter.
- Est-ce que nous ne connaissons pas plus de sources que les États-Unis, le Japon, et Israël.
- – Aussi l’Allemagne.
Tous ceux de vos frères familiarisés avec la gestion de l’entreprise, s’ils le veulent, (il n’insiste pas). Parce que cela évitera des tensions internes avec des personnes non affines à votre psychisme. Votre frère Rafael Farriols en a souffert les conséquences.
- Quelle opinion avez-vous de « P » ? (Il ne me répond pas et poursuit)
- – Ce frère (RF) doit s’orienter vers le sous-secteur dont nous parlons. IL ne convient pas de le mélanger bien que, dans une première phase, il pourra démarrer avec CRITESA. Cela n’est pas très sûr. L’idonéïté du personnel est fondamentale. Nous les conseillerons.
- – Alors je crois comprendre que bien que nous commencions avec CRITESA nous devons nous en dégager tout de suite.
- – D’une certaine façon oui. Votre frère Rafael Farriols doit exercer la gestion au sommet.
- – Je crois qu’ils sont tous d’accord sur ce point.
- – CRITESA doit se consacrer aux polymères et déléguer l’activité des autres secteurs. En principe il n’y a pas d’inconvénient à ce que CRITESA fasse les premiers pas dans cette gestion en organisant un bureau indépendant. De façon que CRITESA se limite aux POLYMÈRES mais il doit abandonner les premiers pas à l’autre sous-secteur.
- – Puis-je poser quelques questions de mon frère Rafael ?
Il coupe court et se tait cinq minutes au téléphone malgré mes invocations.
18e CONVERSATION ENTRE UN UMMITE loquace et J. Barrenechea, 22 janvier 1988, de 13h30 à 14h15 : 45 minutes
A mon arrivée chez moi, Marie-José l’assistante, me dit que le monsieur opéré de la gorge avait appelé. Il m’appelle tout de suite.
UMMO – Nous sommes dans la capitale de l‘Espagne. Nous serons à Madrid pour quelques jours. Ensuite nous retournerons à Albacète. Je ne dis pas combien de jours, parce que nous nous gardons.
Monsieur, je vous demande de ne pas ouvrir l’enveloppe avant 14 h du premier jour autorisé, c’est-à-dire le 24 janvier. Je vous demande ne pas inviter plus que personnes signalées dans le message que nous vous avons envoyé antérieurement.
- – Nous ferons ainsi.
- – Ne remettez pas de copies qu’à vos frères autorisés. Nous avons très peur que ce document se répande.
- – Nous accomplirons vos instructions avec la dernière rigueur.
- – N’ouvrez pas le document avant 14 heures. Vous pouvez vous réunir mais n’ouvrez pas le document avant les heures spécifiées, nous exercerons une surveillance à partir de 10h30 du matin, comme nous le spécifions dans l’enveloppe. Mais vous pouvez le lire à voix basse à n’importe quelle heure. Parce que nous aimerions surveiller personnellement tous les jours à partir de cette date.
Si vous vous réunissez au sous-sol, ouvrez les fenêtres la nuit précédente et n’y fouillez pas les meubles. Ne fouillez pas ces meubles. Si vous trouvez une petite SPHÈRE MÉTALLIQUE : NE LA TOUCHEZ PAS. C’est très important. Laissez là à sa place où qu’elle soit.
Écoutez bien. Il y a un aspect de la vie de Jésus que vous n’avez jamais élucidé. Nous avons réussi à localiser deux documents. L’un d’eux fixe la date 8 ans après l’année ZÉRO, c’est-à-dire que l’année ZÉRO est celle que vous attribuez par erreur à la naissance de Jésus. Un autre document fixe cette date en l’an 3. Votre échelle historiographique fixe la date 4 ans avant le point ZÉRO.
Comme vous voyez il y a trois dates, parce qu’aujourd’hui aucun de vos spécialistes n’admet l’an 1.
Dans le document que nous vous envoyons, nous risquons comme date probable l’an 8, mais il n’y a pas de certitude et elle présente de plus certaines contradictions qui sont à étudier. Donc nous ne la donnons pas comme date définitive parce que nous-mêmes ne sommes pas sûrs, dans l’attente de réussir à déterrer de nouveaux documents qui éclaireront l’énigme. De toutes façons nous rejetons l’année 4 avant ZÉRO. L’intervalle le plus probable est entre 2 et 8 après ZÉRO.
Ajoutez cette NOTE au document reçu, quand vous pourrez l’ouvrir. Quand nous serons certains, nous vous informerons.
- – Vous avez parlé en une occasion de la figure pour vous SACRÉE de Jésus. Ne le considérez-vous pas ainsi ?
- – L’adjectif sacré comporte des connotations idéologiques spécifiques. Si SACRÉ est l’équivalent d’OINT, qui est le sens de CHRIST en grec, alors nous ne pouvons assumer ce concept. Si vous considérez qu’il est SACRÉ parce qu’en union directe avec Dieu, alors nous pouvons être d’accord. Ce thème est exposé avec plus de clarté dans le dernier document.
- – Pourquoi dites-vous que quand apparaît l’éclosion des UMMOWOAS l’humanité dure peu ?
- – Parce que les UMMOWOAS se reproduisent très rarement. Alors le taux de mortalité est supérieur au taux de natalité et l’humanité est en voie d’extinction et de disparition.
- – Avez-vous écrit la lettre que CROSIGNANI ANGELO m’a demandée ?
- – Quand nous serons en Italie nous lui enverrons un rapport. Maintenant nous ne resterons que quelques jours à Madrid. Nous ne disons pas la durée parce que nous pourrions être écoutés.
- – Alors cette fois en étant indiscret je pose des questions de politique intérieure.
- – Posez votre question et je verrai si je peux y répondre ou non.
- – Que pouvez-vous me dire du retrait des F-16 ?
- – Les autorités américaines elles-mêmes ont imposé le retrait des avions F-16 parce qu’ils ne sont plus intéressants. L’opinion a cru à un triomphe de la diplomatie espagnole, mais stratégiquement cela n’intéressait déjà plus les États-Unis. La nouvelle politique stratégique a changé radicalement. Ce sont les ÉU qui n’étaient plus intéressés.
- – Alors le problème de l’ETA s’améliorera ?
- – OUI. En ce moment les atouts du gouvernement espagnol sont assez bons, mais l’action de l’ETA ne va pas cesser de quelque temps.
- – Bien, le risque de COUP (d’état) militaire a-t-il diminué ?
- – Oui, il a diminué. Mais par contre, il a augmenté en Argentine, aux Philippines et en Uruguay.
Cela ne veut pas dire qu’il se produise, mais le risque existe que les forces militaires et certaines forces civiles aident un COUP futur.
Il existe un secteur de la Banque, du Clergé, et des grands propriétaires terriens qui apporteraient une aide à un COUP, pas aussi cruel que le précédent, à la répression moins violente, pour ne pas produire une image aussi dégradée que le suppose le COUP antérieur.
- – Une amélioration de la confrontation USA – URSS ?
- – Notablement meilleure. Le risque d’une guerre diminue pour le moment.
- – Et le désarmement ? favorisera-t-il le développement du tiers monde ?
- – Pour le moment NON. La situation des pays du sud est très anormale et très injuste.
En ce moment l’Union Soviétique et les EU sont préoccupés par les nouvelles technologies de destruction et se désembarrassent des autres préoccupations.
D’où la marginalisation des pays du sud.
Les nouvelles techniques de destruction sont terribles. Les deux sont très inquiets.
- – Croyez-vous que les Soviétiques abandonneront l’Afghanistan ?
- – OUI. Ils s’en iront. Mais avec la garantie que la guérilla ne sera pas aidée à partir du Pakistan par les EU. Il se créera un gouvernement neutre (les EU influeront pour le neutraliser, pour que les exilés ne prennent pas le pouvoir). Si les EU garantissent qu’ils n’aideront pas les exilés, l’Union Soviétique retirera ses troupes.
- – Nous avons fait des démarches dans les Chambres de commerce de différents pays pour toucher les directions de fabricants de FIBRE OPTIQUE.
- – Ne vous limitez pas à la FIBRE OPTIQUE, mais (pensez aussi) aux composants liés à cette technologie qui sera très intéressante pour vous.
- – Tous sont d’accord pour que Rafael Farriols dirige ou préside la future entreprise.
- – Commencez avant, c’est mieux. D’autres firmes peuvent avancer et arriver à saturer le marché. Si vous êtes habiles un embryon commercial, pour modeste qu’il soit est très intéressant. Tout le futur des communications se verra affecté par l’optoélectronique primaire. Car tout le processus d’information sera optique, de l’amplification à la transmission de données.
- – Si Jésus est apparu sur Terre par hasard, il serait surprenant qu’il soit venu à naître précisément dans le peuple qui avait le plus de préoccupation religieuse.
- – Vous vous polarisez en pensant que le peuple juif était un peuple très religieux. CE N’EST PAS CERTAIN. D’autres peuples étaient plus religieux qu’Israël. Par exemple l’Iran avec le Mazdéisme (ou Zoroatrisme) fut celui qui a inspiré les Juifs.
En réalité le peuple d’Israël s’imprégna des enseignements du Mazdéisme. Le peuple d’Israël créa la figure de Jéhovah, copie d’ORMUZ. Les traditions d’Israël procèdent de Mésopotamie.
- – Avec le B.B. sommes-nous libres ?
- – Oui. La connaissance profonde des lois, s’interdire de violer les lois.
- – Existe-t-il quelque manière de reconnaître quand un processus mental, une pensée, procède du B.B. ?
- – NON. L’information atteint les couches les plus profondes du cerveau et il est très difficile de les distinguer des informations de l’enfance.
- – Pourriez-vous nous éclairer sur l’amour dans les différents conditions des hommes OEMMI ?
- – C’est un sujet très complexe. Si nous le pouvons, nous vous enverrons un rapport.
- – Notre frère Dionisio Garrido insiste pour savoir si la communication avec les morts existe. Il la croit certaine comme beaucoup de personnes sur Terre.
- – Nous sommes en contact avec le B.B. par le biais de notre subsconscient. Dans ces conditions la communication est possible, mais dans la pratique il est difficile de le savoir (de le vérifier).
Les phénomènes médiumniques de communication ne sont pas toujours réels, mais ils peuvent l’être. Il s’ensuit qu’il est difficile de savoir si elle a passé par le canal télépathique et l’on peut se tromper.
- – Une AME dans le B.B peut-elle voir le futur de la Terre ?
- – NON.
- – Si c’est possible il nous serait agréable que vous nous donniez un synopsis des autres mondes habités, ainsi cela prolongera le synopsis de votre histoire.
- – Si vous accomplissez vos engagements de DISCRÉTION, vous aurez plus d’information.
Nous ne les exigeons pas mais nous vous en prions. Nous vous demandons la DISCRÉTION, nous ne vous demandons rien de matériel.
Maintenant coupez.
- – Non sans vous avoir encore remercié, avec mes pauvres paroles, pour tout ce que vous avez fait pour nous, mes amis, amis de l’âme !
- – Je pose ma main sur votre noble poitrine en signe d’amitié, et sur celle de votre excellente épouse pour qui nous ressentons une grande affection.
Coupez, s’il vous plaît, la communication.
19e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE loquace et J. Barrenechea – 28 janvier 1988 de 13h35 à 13h50 : 15 minutes
J’étais au TXOKO avec Juli et Carlos et j’avais averti l’assistante María-José que si le monsieur de la gorge appelait de lui dire de téléphoner au TXOKO. De toute façon je cherche une chose : quand M-José a-t-elle parlé avec lui. (Car) elle me le passe en un éclair.
UMMO. – Vous recevrez une lettre.
Vous pouvez la lire en la présence NÉCESSAIRE de :
Jorge Barrenechea
Alfredo Lara
José-María Pilón
Juan Domínguez
Dionisio Garrido
qui doivent nécessairement être présents.
D’autres frères peuvent aussi être présents, mais la séance ne peut être ouverte SANS LA PRÉSENCE DES FRÈRES CITÉS. Si l’un des CINQ manque l’enveloppe ne peut être ouverte.
Vous recevrez la lettre en poste restante. Vous pourrez aller la chercher le samedi précédent. Vous ne pouvez la lire avant le 7 février. C’est très important parce que nous y révélons des plans futurs pour OYAGAA. Ce rapport est très important. Les personnes invitées peuvent amener un autre frère de confiance qui soit honnête, intéressé par notre civilisation et qui promette de se tenir en réserve.
Nous tenons beaucoup à ce que vous invitiez les frères nommés dans la lettre sur une autre liste, mais leur absence n’implique pas que la réunion puisse ou non avoir lieu. Seuls les hommes cités sont indispensables : Jorge Barrenechea, Alfredo Lara, José- M Pilón, Juan Domínguez et Dionisio Garrido. Si l’un d’eux MANQUE, nous vous prions de ne pas ouvrir l’enveloppe. Vous pouvez ouvrir l’enveloppe de couleur blanc qui contient le rapport dans une enveloppe jaune paille. C’est cette enveloppe que vous ne pouvez ouvrir qu’en présence de vos frères sus-cités. Il conviendrait donc que vous vous consultiez avec ces personnes sur la date éventuelle qui doit être un jour de fête en soirée.
ÉCOUTEZ BIEN. La réunion peut se faire au domicile d’un des frères cités, ou en tout autre point choisi par eux, mais vous devrez le dire par téléphone à votre frère Lara pour que nous sachions le lieu de la réunion en interceptant la communication téléphonique entre vous et votre frère Lara.
Ce document est très important. Il nous plairait que votre frère Rafael Farriols soit présent, bien que ce ne soit pas indispensable.
Le dernier rapport vous a-t-il intéressé ? (Il parle d’UMMOWOA et de JÉSUS DE GALILÉE)
- – (J’y vais avec la louche, lui disant qu’il était magnifique, exceptionnel, et je ne sais quelles autres choses encore. En outre, comme il était signé par EIYOO 2 fils d’AIXI 36 et que cet UMMITE loquace n’a pas voulu donner son nom les deux fois qu’il a téléphoné, j’ai fait l’imbécile et je lui ai demandé s’il était l’AUTEUR du rapport.
- – NON. (Il se réfère à l’auteur du rapport)
VOUS NE DEVEZ PAS RENONCER À VOS IDÉES.
- – Écoutez cher ami. J’ai renoncé à toutes les « sottises » qu’on nous a conté dans l’enfance et votre version bien qu’elle ne soit pas prouvée scientifiquement pour nous est l’unique sensée, rationnelle et cohérente que nous ayons entendue sur Jésus de Galilée.
– – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – (A cause de la rapidité de la conversation j’ai oublié de noter les changements formidables de sujet de ce cher ami)
UMMO. – Nous posons notre main sur votre poitrine.
Il nous plairait aussi que Julio Cesar Iglesias, que vous connaissez, soit présent, bien que ce ne soit pas indispensable.
Et il raccroche.
20° CONVERSATION AVEC UN UMMITE (peu loquace) – Jorge Barrenechea, 31 janvier 1988, à 10 h 30
UMMO – Comme nous vous voyons préoccupés par l’organsation de la réunion à partir du 7, nous vous disons que vous pouvez inviter seulement les nouveaux frères. Les frères les plus assidus (ou un autre aussi) qui sont :
– JORGE BARRENECHEA, qui est, en ce qui concerne les rapports que nous vous envoyons, la personne la plus DÉSIGNÉE
– JUAN AGUIRRE
– RAFAEL FARRIOLS, s’il est présent
– JUAN DOMINGUEZ
– JOSE JORDAN
– JOAQUIN MARTINEZ
– HILTRUD NORDLIN, si elle est présente
Plus personne. Seuls peuvent être invités ceux en qui nous avons pleine confiance et seulement s’ils assistent à la réunion. Quelque question là dessus ?
J.B. – Monsieur, seulement s’il m’est possible, par exemple j’aimerai inviter deux de mes fils. Puis-je le faire (même) si quelqu’un est en EXCÉDENT à l’invitation ?
- – Oui. Tout ceci est dû aux difficultés que vous rencontrez à obtenir un local idoine.
J.B. – Bien, pourquoi, par exemple, le local des Jésuites du Père Pilon ne serait-il pas intéressant pour que n’importe qui d’autre ne se mêle pas à nous de la part des Louis ou des Borja ou du frère portier…
- – Je vous ai dit le critère de sélection des invités.
21° CONVERSATION AVEC UN UMMITE (peu loquace) – Jorge Barrenechea, 2 février 1988, de 14 h 05 à 14 h 10 : (5 minutes)
A l’arrivée à TXOKO (J. Barrenechea) où était mon frère Paco préparant le dîner du service de l’Urbanisme et de la Commune de Madrid, il me dit au bout d’un moment que quelqu’un avait appelé en se faisant passer pour un extraterrestre. Il avait rappelé et parlé à Marie-José, l’assistante, qui m’a confirmé qu’effectivement elle avait eu un appel de M. Henkel, l’opéré de la gorge, et il avait dit qu’il rappellerait. Alors au bout de deux ou trois minutes il appelle.
UMMO – S’il vous plaît j’aimerai vous dire qu’un de vos frères a, placée dans sa boite à lettres, une enveloppe contenant un rapport dans la lignée de ceux que vous avec reçus. C’est tout. Quelque question sur la réunion de Dimanche ?
Jorge – Oui donc. Quelques-uns de mes frères ont grand’peur que le journaliste Julio César Iglésias ne garde pas le secret.
- – Vous devez l’inviter.
J.B. – J’aimerai aussi rapporter que le curé Lopez Guerrero m’a dit qu’il considérait les rapports reçus depuis l’an 1980 comme apocryphes. Je lui ai dit que cette lettre de convocation à la réunion du 7 possède le même sceau que celles que nous avons reçues il y a 22 ans et pour nous mérite les mêmes bénédictions et sacrements.
- Il n’y a pas d’inconvénient si quelqu’un ne veut pas venir. Un de vos frères a reçu dans sa boite à lettres une enveloppe contenant la suite de la lettre – rapport.
JB – Merci beaucoup.
22° CONVERSATION AVEC UN UMMITE – Jorge Barrenechea, 8 février 1988 de 14h30 à 14h40 : 10 minutes
- – Jorge Barrenechez ?
JB – Oui, oui.
- – Nous nous prions de retarder la lettre pour votre frère Antonio Ribera. Nous considérons comme très grave l’attaque contre votre frère Fernando Sesma. Nous allons tenter de faire en sorte que sa mémoire soit défendue et nous prendrons les moyens pour qu’il en soit ainsi. Nous allons envoyer une lettre à la revue INTERVIU. Ne remettez pas la lettre à votre frère Antonio Ribera tant que nous n’avons pas envoyé cette lettre.
Tenez-vous à faire quelque commentaire ?
COUPURE
Voulez-vous faire quelque commentaire ?
JB – De ce côté nous n’avons pas encore beaucoup d’information. Nous envisageons de comparer l’INTERVIU d’où viennent les déclarations de Juanjo Benitez et de Lara (fils) . Nous n’avons pas une connaissance complète. Si vous désirez que je parle de la réunion d’hier on pourra dire que l’intervention que vous projetez en cas d’extrémité nous couvre de réconfort et d’espérance. La situation semble comparable à celle d’un enfant dont les parents sont syphilitiques et alcooliques et qui rencontre un couple généreux qui veut le protéger sains et intelligents.
- – Écoutez bien. Nous n’enverrons pas ce rapport tant que nous n’aurons ps encore la probabilité que notre PLAN se réalise. Nous vous prions de déconnecter l’auriculaire.
23e CONVERSATION ENTRE MARISOL et Jorge Barrenechea – 25 mai 1988, lettre ummite dictée par téléphone
OPTONIQUE
A mes amis Jorge Barrenechea et Rafael Farriols :
Au nom de notre amitié, permettez-nous de mettre notre main sur votre poitrine.
Nous avons capté vos conversations par voie téléphonique au moyen de notre système (d’écoute). Nous considérons URGENT une fusion secrète des membres que nous citons ci-après :
Rafael Farriols et Juan Domínguez se mettront en rapport avec une firme exclusivement occidentale qu’ils choisiront eux-mêmes. Le contact réalisé par Monsieur Farriols est valable.
Juan Domínguez se chargera de monter son centre d’opérations à Madrid avec une infrastructure minimale.
De son côté, Monsieur Barrenechea, en totale indépendance et assisté de son neveu Julián, se focalisera sur le marché oriental (la firme Zeis est valable) en fonctionnant en autonomie.
Jusqu’à ce que nous donnions des conseils de fusion, vous devez conserver les deux groupes.
Les autres membres du groupe sélectionné (il s’entend que son le reste = Marisol) devront attendre nos conseils pour intervenir.
Ces instructions sont très transcendantes . Leur importance doit primer sur les autres priorités. Les deux groupes doivent opérer indépendamment du flux de CAPITAL apporté. Ceci force à supposer que le projet de Barranechea est le plus fragile. Jusqu’au moment de la fusion ou à un moment dangereux le consortium et la firme choisie n’effectueront aucun transfert de capital.
24e CONVERSATION ENTRE MARISOL et Jorge Barrenechea – 13 juin 1988, lettre ummite dictée par téléphone
Jorge dit : – Rafael, vue le difficulté de te joindre par téléphone (j’ai fait quatre tentatives), je t’envoie une copie littérale (FAX) de ce que m’a raconté MARISOL hier à 15 heures.
(COPIE AU PIED DE LA LETTRE DE CE QU’ONT DIT LES MESSIEURS D’UMMO)
Merveilleux hommes du secteur espagnol, notre respectueux salut.
Vous recevrez une lettre prochainement .
Nous participons au traumatisme douloureux souffert par votre frère Juan Domínguez par la mort d’un être cher et nous respectons sa douleur qui ne sera pas apaisée de savoir que son âme, dès sa conformation, contribuera à la formation du WAAM-WAAM comme tous les êtres analogues que vous avez perdus.
Pour cette raison nous respectons votre douleur et nous osons poser la main sur votre poitrine, Monsieur Juan Domínguez.
Transmettez ce message à votre frère Juan Domínguez.
*** Note 1
Voici de multiples versions au sujet de l’éventualité de notre existence, recueillies durant ces dernières années.
Nous avons tiré les différentes idées exprimées :
- de conversations téléphoniques avec vos frères
- de commentaires parus dans la presse, revues et bulletins spécialisés
- de commentaires oraux captés par nos propres moyens.
Le contenu original, même dans leur version idiomatique initiale, a été préservé autant que faire se peut. Nous avons relevé quelques légères variations dans quelques-unes des interprétations. C’est la plus représentative que nous avons choisie. Les commentaires exprimés viennent de vos frères dont les nationalités sont :
– États-Unis d’Amérique.
– France.
– Australie.
– Suisse.
– Canada.
– Espagne.
– Angleterre.
– Yougoslavie
– Argentine.
Seuls ceux dont on peut reconnaître l’identité de par leurs opinions, ont été censurés.
OPINIONS
…Une convention internationale des organisations de recherche d’UFO pour rehausser le prestige de leur point de vue devant l’opinion publique.
Il n’y a pas de doute qu’OUMMO renferme sa véritable signification dans une association d’intellectuels qui tentent d’inquiéter d’autres collègues avec un sens subtil de l’humour ou peut-être de s’imposer à eux en utilisant une méthode ne manquant sans aucun doute d’originalité.
… et ne pourrions-nous penser que ce soit un groupe de scientifiques qui tentent d’explorer l’impact social de leurs découvertes avant de les projeter vers la société… ?
… je continue à croire, comme je te le disais dans ma dernière lettre, que ce sont les mêmes autorités de la principauté (se réfère à Monaco) qui utilisent un récit de science-fiction avec le but d’augmenter dans le futur le flux touristique (version de l’un de nos correspondants après avoir reçu une lettre depuis Monte-Carlo).
… Il pourrait s’agir de la société Théosophique. Ils ont été spécialistes en talentueux subterfuges pour faire du prosélytisme. Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi ils n’ont pas choisi une étoile plus proche pour rendre plus crédible leur affirmation. Alpha Centauri par exemple…
… Je vois une autre possibilité dans un de nos partis (politique). Il peut résulter effectivement pour quelques politiciens qu’une utopie extraterrestre puisse servir de véhicule à certaines idées si nous nous en tenons au prestige que ces fictions représenteraient pour des esprits simples.
… Ummo peut « to mask » une organisation de psychologues de caractère international – peut-être seulement d’anglais – qui sont en train de réaliser une grande enquête par un test, matérialisé dans ce récit inspiré de la « Guerre des Mondes ».
… L’accent de celui qui parlait (il fait référence à l’un de mes frères) était Yankee. Ne serait-ce pas une commission nommée par le Pentagone pour imaginer un beau roman basé sur une supposée planète, en le cautionnant par des riches témoignages et en polarisant l’opinion publique vers des sujets qui ne rappellent pas la tragédie du Vietnam ?
– Que pensez-vous de ce rapport qui dit provenir d’UMMO ?
– Qu’il nécessite de l’intelligence et de l’argent. Parfois j’ai pensé que ce serait un truc de la CIA nord-américaine.
– Dans quel objectif ?
– Avec celui de convaincre et ensuite de faire la lumière sur une fraude en discréditant les chercheurs crédules.
… requiert beaucoup de temps et d’importants moyens économiques. Ceci ne peut être réalisé que par le ministère de …. Les buts… ? Et qui donc connaît les buts des chancelleries… ?
… Je pense que vous m’appelez parce que j’appartiens à une commission patronnée par l’UNESCO pour sonder l’opinion publique concernant le mythe des UFO.
C’est parfaitement clair : Une habile manœuvre du gouvernement soviétique pour orienter l’opinion publique occidentale vers des thèmes extraterrestres, en dépréciant ainsi la science et la culture des pays capitalistes.
… Et je crains que sous le pseudonyme d’OOMO se cache un gouvernement mondial secret formé de » super cerveaux » et qu’il essaye de préparer les citoyens des différents pays, par des messages qui cachent leurs véritables intentions.
Bien. Pourquoi ne serait-ce pas la CIA nord-américaine camouflant les expériences de son gouvernement. Expérience de vaisseau ou avion secret ; en amenant à penser le grand public et les témoins de ces vols, afin qu’ils croient qu’il s’agit d’UFO de provenance extraterrestres… ?
Pardonnez-moi si je vous dis ce que je pense de vous. Vous me direz au final si j’ai raison ou non. C’est sûrement une firme industrielle qui est en train de développer une grande campagne publicitaire internationale. Ensuite quand le nom commercial de cette planète aura été divulguée, et ils se feront connaître…
– … Et si ce n’était pas le gouvernement canadien ?
– Si ce n’était pas le gouvernement canadien il pourrait s’agir de journalistes intelligents qui, conseillés par des scientifiques, prétendent développer une série sensationnelle d’article, en se fondant sur une rumeur qu’ils ont préalablement créée.
Bien. Cela peut aussi être une organisation d’espionnage. Le 2e bureau par exemple ou la mafia ou un réseau clandestin de trafic d’or ou de drogue.
… Un ami me fait remarquer la possibilité que ce groupe allemand qui se fait passer pour des extraterrestres de l’astre UMMO opèrerait à proximité de la Sierra Tahua (Bolivie) puisque le rapport provenait de… donc ni dans le Rosario, ni dans un autre lieu de l’Argentine à ce que nous savons…
Des intentions ? Ha ! Et quelles intentions pouvons-nous leur attribuer ? Tout ceci leur coûte beaucoup d’argent. Et s’ils souhaitent capter de nouveaux partisans pour leur néonazisme… ?
Nous terminons pour ne pas rendre interminable cette relation, en incluant d’autres interprétations avec lesquelles on a voulu nous identifier.
– Une série d’universitaires blagueurs.
– Un groupe de lamas tibétain.
– Des sectes spirites allemandes.
– Les Rosicruciens ou des groupes sectaires similaires.
– Les communistes de la République Populaire de Chine. Le PC européen.
– Le gouvernement d’Israël. Le sionisme international.
– La compagnie catholique de Jésus. Le Vatican.
– La communauté juive de Yougoslavie.
– L’institution catholique de l’Opus Dei.
– Un groupe de brahmanes tentant de dominer l’Occident.
– Un groupe de » mutants » ou cerveaux privilégiés.
– Une association de « Coven » anglais de sorcellerie.
– Les « Lion’s ». Les « Rotary ». Une loge maçonnique de rite écossais.
– Les » Camelots » français. Les anarchistes.
– Les » chevaliers de Colon » nord-américain.
– Une secte cosmique qui encadre les meilleurs cerveaux de la TERRE.
– Les partisans d’un » Canada français » entendant augmenter leur prestige comme correspondant d’authentiques extraterrestres.
– Une organisation d’espionnage commercial.
– Le conseil oriental des alchimistes.
– D’authentiques extraterrestres, qui ne viennent pas d’UMMO et camouflent leurs véritables buts.
– Une organisation criminelle tendant de se valoriser devant les scientifiques pour les dominer.
– Les rédacteurs de la revue The Punch pour révéler le manque d’humour de certains intellectuels.
– La NASA nord-américaine pour vérifier les réactions possibles face à une hypothétique invasion extraterrestres.
– Un groupe de scientifiques paranoïaques qui se croient réellement » d’origine étrangère « .
– Des producteurs de cinéma qui font un boom publicitaire avant de diffuser un film dont le thème est une planète imaginaire.
– UMMO est un symbole, il n’a pas d’existence réelle.
– Les habitants d’UMMO ne sont pas ici. Ce sont des esprits qui utilisent un moyen parfait avec lequel communiquer avec nous.
– Un subterfuge capitaliste pour introduire leurs idées anti-marxistes.
– De la vulgaire propagande religieuse sous un autre masque.
– Des pays capitalistes provocants un climat psychologique de terreur pour justifier la production massive de matériel de guerre.
– C’est un puissant groupe financier. Ils offrent les idées d’une planète imaginaire pour qu’elles soient copiées par les » terrestres » et développer ainsi leur propre projet.
– « … nous revenons au gangstérisme, cette fois se camouflant intelligemment avec des habits extraterrestres « .
D81
Référence : | D81 |
Titre | NOTRE « UAA » (MORALE) |
Destinataire(s) et date(s) | RIBERA en Novembre 1966 |
Commentaires |
NOTRE « UAA » (MORALE)
Ainsi notre WOA n’est pas un Dieu avec des attributs anthropomorphes (bon, sage, puissant…) tout au moins au sens littéral que vous accordez à de telles qualités. Il n’existe pas pour nous « un problème du mal » que nous devons imputer à WOA. Le « mal » moral et physique est « vécu » (aussi) par les OEMII d’UMMO quoique dans des formes différentes de celles de la Terre. Mais ce « mal » est engendré par notre « JE-PENSANT LIBRE », qui en déformant ce qui est transcendant (le AIIOOYA) reflète sur notre conscience toute une très riche variété de formes physiques et de formes d’existence plus ou moins « belles » quelquefois, plus ou moins « mauvaises » d’autres fois quand elles perturbent notre affectivité.
La tendance à chercher la sécurité en Dieu, topique dans le contexte socio-religieux actuel de l’homme de la TERRE, en tant que réponse à sa propre anxiété et angoisse, angoisse de l’insécurité de son existence, n’est pas partagée par nous. Nous, nous ne « supplions » pas WOA, nous lui « transmettons » seulement notre gratitude. Nous aimons le Créateur, mais comme il ne nous est pas accessible, comme il transcende notre conscience comme nos concepts du WAAM, et que l’échelle des valeurs psychiques ou idéaux ne peuvent ressembler en rien à l’AIIOOYA, nous projetons cet amour sur les autres EESEOEMI (nos frères) et cet amour se traduit par une morale sociale épurée et des contrats sévères envers l’AYUYISAA (Réseau Social) (voir note 5).
Nous élaborons ainsi cette morale à partir d’une double source : L’une, éternelle, non modifiable et statique, proposée par la révélation de notre UMMOWOA, une autre grâce à la participation active de nos frères, (dans) l’élaboration continue de nouvelles interprétations et de formes soigneusement adéquates au temps et à l’espace, conditionnées par une culture en plein progrès par le lent processus de la reflexion mentale (et) par l’application de la technologie à nos formes de vie. Ainsi notre morale est changeante, adaptée à chaque moment aux circonstances de l’OEMII et de son entourage social. Jamais sur UMMO les WOALAOLOO (experts en Philosophie religieuse) n’ont invoqué une régression à des stades de civilisation ancestrale. Le mythe terrestre du » bon sauvage » n’a pas de sens sur notre OYAA.
Notre éthique ne se sent pas non plus liée par une pression du milieu social qui l’étrangle et la sature par un contenu creux d’habitudes irrationnelles et de « tabous », de conformismes figés qui étoufferaient l’OEMMI, lésant sa liberté.
Nous pouvons vous offrir, monsieur Ribera Jordà, une synthèse de notre définition de la Loi morale.
L’UAA est la gamme de lois imposées sans contrainte mentale ou physique à l’ EESEOEMII par une constellation d’idées fondées sur le stade actuel de la connaissance. Lois qui s’articulent en normes spécifiques en fonction de la situation et du niveau mental de l’ OEMII, situation et niveau toujours en plein processus de progression.
L’authenticité de notre Éthique changeante est évaluée en fonction de l’équilibre obtenu entre les exigences d’une morale de l’individu et d’une morale de l’AYUYISAA (Société).
Nous illustrerons plus tard notre concept de l’ IGIOI (liberté).
NOTE 5 : Nous assimilons l’ensemble des OEMMI à un Réseau dont les connections représentent les organismes physiologiques, et les « branches », les liens d’ordre physique, psychologique, moral… Un flux informatif mesurable entre deux IBOO (noeuds ou centres) définira analytiquement cette relation en degré ou étape du Réseau.
Note 9 –
Bien que vous soyez injustes quand vous attaquez les Religions ou les Écoles philosophiques, en les accusant de prostituer la vérité:
– Le catholicisme de Rome est-il coupable pour ne pas avoir interprété fidèlement la pensée de son maître, et, en l’institutionnalisant et en compliquant sa structure, de s’être vu dramatiquement « encerclé » dans ses propres filets pour déboucher sur une triste crise avec de graves tensions internes?
– Les églises évangéliques sont elles coupables de s’être atomisées, angoissées, en trouvant dans les textes bibliques une interprétation littérale qui a nécessairement provoquer des interprétations désordonnées ?
– Le Matérialisme Dialectique marxiste est-il coupable pour son refus de l’hypothèse d’un Dieu anthropomorphe qui ne put jamais satisfaire un homme de science, un Dieu qui semble protéger les puissants et les riches, face à la misère des OEMII humbles?
– La philosophie existentialiste, qui a conscience du tragique problème posé à l’homme convertissant sa propre TERRE en enfer et incapable d’entendre ou d’être entendu par ses semblables, est elle coupable?
Note 10 – Manquante
Note 11 – Manquante
D82
UMMOAELEWE
Langues : Français, Anglais, Russe, Espagnol, Italien, Allemand
Nombre de copies : 18
à Antonio Ribera Jordà
Hommes de la Terre :
Nous avons contemplé avec un profond respect cette étape de votre progrès technologique. La rupture du cordon ombilical qui vous permettra de quitter votre mère pour explorer notre galaxie. Les membres expéditionnaires de l’astre solidifié UMMO vous saluent avec émotion.
D83
UMMOAELEWE
Monsieur Dionisio Garrido Buendia et Monsieur Antonio Ribera Jordà
MADRID ESPAGNE – BARCELONE ESPAGNE
(Copie unique)
Monsieur: Garrido. Monsieur: Ribera.
Les échos de vos paroles arrivent jusqu’à nous. Expressions qui synthétisent vos doutes, vos inquiétudes, vos états d’anxiété, votre curiosité insatisfaite.
Toutes les implications psychosociales perturbatrices concourent à déformer les critères que vous avez sur notre existence, (c’est-à-dire) chacun de ceux qui parmi vous savent quelque chose d’une manière ou d’une autre concernant notre réseau microsocial déplacé sur votre planète.
Nous désirons aujourd’hui vous préciser quelques points : accueillez-les toujours avec une réserve raisonnable. Acceptez les avec le degré qui convient à votre réseau d’intelligence morale.
Bien que mes frères aient envoyé en des termes semblables quelques lettres à d’anciens correspondants résidant dans différentes nations, le présent texte a été rédigé spécialement pour quelques connaissances que nous avons en Espagne. Ce texte original contient quelques paragraphes de caractère personnel pour Monsieur Dioniso Garrido Buendia . Nous vous supplions de les extraire du contexte (ils sont signalés par une marge coloriée verte) et d’envoyer le contenu commun à votre frère Monsieur Antonio Ribera Jordà. Nous ne voyons pas d’objections à ce qu’un tel contenu soit accessible à vos frères intéressés par le problème de notre résidence sur Terre et en qui vous avez toute confiance.
Amis : ces derniers mois, dans quelques nations et dans des secteurs sociaux plus intéressés à l’aliéno-biologie se sont développées des polémiques ouvertes au grand jour concernant notre probable existence. Nous sommes les seuls responsables de ce transfert restreint d’informations jusqu’à des organismes et à certains de vos frères jusqu’à maintenant étrangers au dossier. (Information qui, jusqu’à maintenant, fut le propre de quelques cercles d’humains répartis dans les continents Européens, Américain et Australien).
Cela constitue une phase de plus dans la séquence de prudentes expériences de caractère psychosocial que nous réalisons parmi vous pour découvrir jusqu’à quel point nous pouvons nous faire connaître sans perturber votre réseau macrosocial terrestre. Les réactions des organes de diffusion aux masses sociales et les expériences d’individualités et couches sociales qui, à travers eux, accèdent à cette information – généralement déformée par les éditeurs – sont soigneusement analysées par nous et l’examen des résultats indique la ligne à suivre pour notre future stratégie de communication avec la civilisation autochtone. Si la réaction à ce flux informatif atteint un certain niveau que nous estimons dangereux, nous avons des moyens pour non seulement suspendre les envois – mesure évidemment facile – mais pour neutraliser aussi l’agitation provoquée en insérant des éléments pseudo-informatifs qui discréditent les versions qui circulent. Ne craignez pas que nos expériences perturbent votre Réseau social.
Nous étudions actuellement la nouvelle orientation que nous devons donner à nos envois de documentation. Nous estimons que dans la nouvelle situation implantée, nous devrons dans un futur proche suspendre les envois destinés à des personnes terrestres de formation intellectuelle de différents niveaux et les envoyer à des groupes bien différenciés.
Mais comme nous vous l’indiquons dans les paragraphes suivants, une telle attitude de notre part pourrait être interprétée (et même une telle version pourra malheureusement arriver à avoir une base réelle) comme la cristallisation de noyaux de prosélytisme embryonnaire, de sectes de caractère plus ou moins ésotérique qui assimilent notre flux informatif à une doctrine – ce que nous rejetons vivement.
Pour cela nous ne voyons pas d’autre moyen que celui d’offrir un tel matériel informatif à quelques Organisations (en Espagne leur localisation pourrait se trouver dans les centres urbains les plus importants : Madrid et Barcelone) qui disposent de l’autorisation légale de l’administration gouvernementale et dont les activités sont centrées sur l’analyse objective et scientifique de problèmes en rapport avec de possibles communications intra-galactiques et dont la résolution quant à l’étude dépassionnée des données qui leur sont accessibles, les immunisent de tout ferment dangereux de dérive doctrinale.
Quelques-uns uns parmi vous peuvent penser qu’il serait plus logique d’établir un contact plus direct avec les organes techniques de l’État. Nous, nous ne pensons pas ainsi, car cela constituerait une présentation officielle de notre existence, ce que nous jugeons prématuré pour le moment.
Si ces organisations pouvaient atteindre un niveau minimum de stabilité fonctionnelle, nous préconiserions alors un régime d’échange de données et bien que cela vous surprendra, certains types de recherches sont plus viables pour vous que pour notre groupe réduit de frères, pour parfaite que soit notre équipe technique de prospection. (Pour nous seraient valables non seulement certaines informations se référant à des faits réels, mais aussi des données correspondant à des informations vérifiées par vous comme frauduleuses ou sans base réelle.)
Maintenant nous désirons vous exposer quelques-uns de nos critères, faire le point sur quelques conseils, qui avant d’être acceptés devront être médités par vous sans passion et avec l’esprit critique. C’est pour cela que nous vous prions d’étudier ces commentaires. Nous nous en féliciterons vraiment si votre pensée arrivait à s’adapter à la nôtre sur ces aspects .
Quand un jour tous les humains de la Terre qui nous ont connus sous des diverses mais inévitablement étranges circonstances, parviendront à compiler et à unifier l’énorme information diffusée par nous ces dernières années, vous formulerez sans doute certaines questions:
- A) Que cherchent les membres de ce groupe qui se prétendent extra-terrestre, en nous remettant ce matériel informatif ?
- B) Devons nous accepter ou refuser la version de cette identité qu’eux-mêmes s’arrogent ?
- C) Jusqu’à quel point devons-nous admettre la véracité des données remises et qui s’étendent à divers secteurs de la connaissance : pensée spéculative, information historique de notre civilisation et de nos contacts avec la Terre, science, technologie, etc. ?
- D) Quel usage licite pouvons-nous faire de telles données dont l’authenticité n’est pas certaine ?
- E) Si nous acceptons, malgré vos avertissements, la vraisemblance de votre origine alienoplanétaire et avant une hypothése conjecturale qui nous ferait opter entre suivre vos pas, vos conceptions idéologiques ou au contraire suivre les directives et les idées des hommes de la Terre – nos vrais frères -, quelle décision éthique devrons-nous adopter ?
- F) Si nous arrivons à vous admettre en tant qu’entités aliénophysiologiques, c’est-à-dire non greffées sur l’arborescence des espèces géologiques générées dans le cadre écologique terrestre, devons-nous bravement le faire savoir à vos proches frères terrestres?
- G) Quelles sont les intentions des membres du groupe microsocial » issu d’UMMO » durant leur séjour sur TERRE pour les prochaines années et quelle est la probabilité pour qu’ils se manifestent d’une manière plus visible ou qu’ils interviennent dans quelques domaines pour résoudre quelques problèmes graves qui frappent notre Société ?
- H) Comment les hypothétiques hommes de UMMO – explorateurs sur notre astre solidifié – jugent-ils la situation actuelle, géopolitique et idéologique de notre Humanité et comment entrevoient-ils les étapes que doit franchir notre civilisation dans les années à venir?
Nous désirons vous offrir, bien que ce soit sous une forme inévitablement synthétisée, des ébauches de réponses de notre part à chacune de ces interrogations éventuelles. |
- A) L’envoi de ce matériel informatif est conditionné par un ensemble de motivations que nous pouvons vous révéler dans une certaine mesure.
Les habitudes mentales des hommes de la Terre sont fortement liées à leurs structures socio-économiques. Pour un individu dans un réseau social, les réponses du soma obéissent évidemment à son éducation et aux habitudes acquises dans le cadre où cet individu s’est développé. Ceci n’est pas un secret pour les psycho-sociologues de la Terre.
Nous comprenons qu’il doit vous coûter d’admettre que » quelqu’un » puisse offrir simplement une information, une documentation de caractère technique par exemple, sans solliciter quelque chose en échange et sans essayer d’hypothéquer la liberté mentale ou dynamo-physiologique du destinataire.
Nos motivations sont sans aucun doute conditionnées par des mobiles d’ordre divers. Elles obéissent en partie à la praxis de normes éthiques auxquelles nous désirons rester fidèles. Durant ces dernières années, nous avons sondé avec une avidité explicable toutes les sources de votre culture. Quand cela était possible nous avons accédé à vos archives et à vos documents imprimés, nous avons enregistré optiquement des images de vos modes de vie sociaux, de vos manifestations optico-artistiques ; nous avons aussi enregistré des scènes de votre folklore ou coutumes. Nous avons analysé les conceptions actuelles des chercheurs de la Terre grâce à leurs publications scientifiques. Nous avons sondé votre Réseau Social pour étudier la phase actuelle d’organisation économico-sociale et élaborer ainsi un modèle de votre futur probable.
Nous avons enregistré une multitude de manifestations phoniques (voix et conceptions musicales). Toute cette énorme information convenablement classifiée et codifiée, a été enregistrée d’une manière modulaire par nos éléments techniques d’enregistrement de données (la densité de l’information évaluée en unités qui vous sont familières est, pour les éléments mnémoniques de cristal de titane utilisés couramment par nous, de l’ordre de 8.1017 à 5,3.1020 bits/cm3 . Notre codification n’est pas de type binaire mais duodécimal avec comme base physique les états quantiques des composants moléculaires d’un cristal thermostable de titane pur).
D’autre part ces structures matérielles n’ont été endommagées en aucune manière (toiles peintes, sculptures, céramique, ustensiles, appareils, véhicules historiques, etc.) lorsque leur valeur artistique ou scientifique les rendit aptes à ce que leur constitution soit enregistrée avec pour objet une reproduction de leur morphologie originale sur notre UMMO (voir note 1 – manquante).
Bien qu’en principe l’enregistrement de tout ce courant informatif ne constitue pas une spoliation au regard de nos principes éthiques, puisque le complexe d’éléments primaires qui ont été décalqués n’a pas été endommagé, et sa reproduction et son utilisation ultérieure à des fins artistiques et d’analyse historico-graphique et scientifique ne pourront jamais constituer un préjudice pour ses légitimes propriétaires (Vous) (voir la note 2 – manquante), nous nous voyons obligés de vous donner une compensation d’une manière ou d’une autre pour cet apport sélectionné par nous sans l’autorisation expresse de la part des organes officiels autorisés des divers pays concernés. Cette compensation consiste à vous offrir, bien que sous une forme d’extraits, des éléments sur notre civilisation, ainsi nous équilibrons d’une manière précaire notre dette envers la TERRE.
Mais, greffée à celle-ci, existe véritablement une autre motivation que nous pouvons qualifier d’intéressée.
Comme nous vous l’avons dit dans des messages précédents, un des processus d’étude le plus intéressant que nous avons mis en branle par rapport à vous est celui d’une analyse minutieuse de l’évolution qui se déroule actuellement dans tous les secteurs de la turbulente société terrestre.
Bien que, comme nous vous l’avons dit dans d’autres paragraphes, il ne nous est pas permis de vous extorquer gravement, nous devons nous intéresser logiquement à vérifier quelles sont vos réactions face à la prise de conscience de l’existence véritable d’une autre civilisation ultra-étrangère dont les représentants sont clandestinement mélangés avec vos frères, en profitant de la similitude des traits anatomo-physiologiques.
Vos polémiques à ce sujet, votre résistance à admettre comme valide cette possibilité ainsi que l’acceptation à divers niveaux de notre témoignage, sont pour nous d’une valeur que vous ne pouvez soupçonner. Ceci peut nous servir, comme nous vous le suggérions antérieurement, pour asseoir les bases d’une possible communication plus directe dans le futur et en fait cela apporte des éléments inestimables pour étudier les processus mentaux de vos structures neurocorticales. Cela constitue, en utilisant votre terminologie scientifique, un « test » indispensable pour nos études psycho-sociales.
- B) La formulation d’une réponse valable à ce doute, peut présenter, face à une mentalité peu préparée, un aspect paradoxal difficilement résoluble avec les éléments sémantiques topiques de la Terre.
Pour une part nous rencontrons un sérieux problème de notre propre perspective: les relations avec des personnes déterminées résidant dans une « Planète » étrangère que nous sommes venus étudier. Quand le 28/3/1950 à 4 h 16 mn et 42 s approximativement (T.M.G.) descendit notre premier vaisseau dans un secteur géographique proche de l’Espagne (prés de Digne: France) suivi peu de Uiw après par deux autres OAWOOLEA UEUA OEM, nous ignorions à ce moment-là de très nombreuses choses sur vous malgré les périodes préalables d’exploration intra atmosphérique réalisées par quelques-uns de nos frères pionniers. Nous ignorions même si vos molécules protéiques pouvaient présenter une structure énantiomorphique distincte de la nôtre, auquel cas il ne nous aurait pas été possible de nous mélanger avec vous à cause des problèmes complexes d’alimentation qui pouvaient se présenter à nos frères dépourvus dans ce cas d’un équipement adapté pour synthétiser les aliments adéquats.
Nous n’imaginions pas alors que nous décidions un jour l’établissement de liens graphoraux avec vous, étant donné que la stratégie de mes frères à cette époque tournait autour de l’étude secrète de votre civilisation sans vous dévoiler notre présence.
Modifiant les critères primitifs, nous avons élaboré une nouvelle formule que nous avons mis en pratique depuis quelques années. Pour éviter un facteur de distorsion de votre Réseau Social, il fallait que les communications avec quelques terrestres se fassent de telle manière que, bien que vous puissiez atteindre un degré élevé d’évidence concernant notre réelle existence, le système devait fonctionner d’une manière » auto-corrective » en se réalimentant de telle sorte que si sa réponse (diffusion sociale de notre existence) atteignait des niveaux limite, on pourrait réintroduire des facteurs régulateurs négatifs (contestations, versions discréditantes) pour freiner l’indice de crédibilité de ces informations.
Le système a parfaitement fonctionné jusqu’à maintenant.
Si, du point de vue social de tels mécanismes de contrôle peuvent partiellement s’expliquer, il y a un aspect qui vous concerne personnellement. Celui de l’attitude que doit adopter un homme de la Terre dans le cadre des schémas logiques classiques face à nos attestations.
Nos domaines respectifs d’appréciation doivent être radicalement différents. Naturellement nous savons que nous existons réellement, que notre Astre solidifié est appelé par nous par un mot que nous pourrions exprimer en code linguistique espagnol ainsi : UMMO (avec » U » presque muet). Nous savons aussi que les versions que nous vous avons remises, les unes exprimées avec un langage simple et didactique quand elles étaient destinées à vos frères ayant une formation intellectuelle moyenne, et les autres rédigées en utilisant un lexique familier aux hommes de Science dans les rares cas où cela s’est produit, sont vraies et non déformées. Bien que nous ayons naturellement omis soigneusement de nombreux éléments informatifs que nous avons jugé inconvenants de vous révéler.
Mais tentons pendant un moment de nous placer dans votre situation. Hommes de la Terre à un stade culturel dont les progrès scientifiques ne vous ont pas permis de vous mettre en contact par des moyens matériels avec d’autres civilisations, dont les instruments de détection n’ont même pas enregistré l’existence d’autres astres galactiques à milieu écologique apte au développement de structures biochimiques, dont la physique n’est pas arrivée à interpréter l’intime essence de l’Espace, du Temps, de la Matière, de l’Énergie…, et qui pourtant repoussaient en toute logique, fidèles à vos propres principes en vigueur, la possibilité qu’un vaisseau puisse venir vers vous d’un astre situé à plus de 14 années-lumière. Sans pour cela atteindre une vitesse fantastiquement proche de la vitesse limite.
Pour rares que soient ces objections, il existe le problème d’une protection contre une imposture. Vous êtes tous conscients du fait que fréquemment apparaissent des fraudeurs, des « pseudo-discours » paranoïdes, des organisations politiques, religieuses, financières qui, en utilisant les moyens de diffusion affinés par les spécialistes en communication de masses et en guerre psychologique, projettent dans des esprits peu préparés, des idées et des versions déformées avec d’inavouables mobiles politiques, économiques ou idéologiques.
Ceci constitue un danger de type aliénant que toute personne intelligente et équilibrée se doit d’essayer d’éviter. Il n’existe pas d’autre solution face à ces facteurs traumatisants pour l’esprit, que de refuser TOUT TÉMOIGNAGE ALIÈNE qui n’est pas GARANTI par DES PREUVES CONVAINCANTES.
Naturellement, l’échelle des valeurs qui établit le niveau de certitude de ces preuves existe en fonction du degré de formation intellectuelle des êtres humains terrestres. Pour certains, un simple appel téléphonique de l’un de mes frères peut constituer une démonstration « irréfutable » de notre témoignage. En revanche, un chercheur préconisera la compilation systématique de tous les faits, leur confrontation ordonnée, le contrôle par un équipement technique – adapté – de l’un de nos vaisseaux, l’analyse biologique de nos corps à la recherche de singularités anatomiques qui corroborerait d’une certaine façon notre biogènèse anautochtone, l’étude détaillée de nos documents à la recherche des apports scientifiques qui s’écarteraient sensiblement des voies actuelles suivies par les spécialistes terrestres… Tous ces éléments de jugement, coordonnés entre eux, pourraient servir à établir la fiabilité de notre existence réelle.
C’est cette dernière voie qui nous semble la plus sensée et en fonction de ses résultats vous devriez constater ou non si notre témoignage est apocryphe.
De plus, nous désirons vous faire observer que ceci est précisément ce que nous voulons : éviter à tout prix maintenant de vous offrir de telles preuves définitives. Vous possédez déjà de nombreuses et précieuses données qui peuvent vous servir pour élaborer une hypothèse plausible de notre existence. Cela doit suffire pour l’instant.
Naturellement nous n’essayons pas de jouer avec vous ou de nous divertir en contemplant, réjouis, comment vous essayez avec angoisse de découvrir la vérité sans que nous apportions les pièces maîtresses qui vous permettraient de résoudre ce » casse-tête « . Ailleurs nous vous avons justifié cette stratégie et admettez qu’elle vous est plus favorable qu’à notre groupe.
L’attitude la plus conséquente est d’ATTENDRE (Ndt: « esperar » = attendre, espérer) , prudemment protégés par un certain degré de scepticisme. En adoptant des positions de critique ouverte face à ce qui pourrait être une fraude gigantesque. Sans jamais vous responsabiliser face à la parole de certains inconnus avec qui vous n’avez même pas pu traiter directement.
Vous devez tous convenir que plus tard (ou plus tôt s’il s’agit d’une imposture) nous serons démasqués si nous sommes des perturbés mentaux, une secte mystique, une organisation financière, un parti politique, un groupe de farceurs, la C.I.A. nord américaine ou une organisation de discrédit des recherches sur les U.F.O. (vous pouvez multiplier des hypothèses semblables jusqu’à un chiffre insoupçonnable).
Mais avec la même objectivité nous vous exhortons, avant d’émettre des jugements négatifs sur nous, à étudier avec impartialité et attention nos informations. Une information fragmentaire et mal assimilée peut vous amener à formuler des déclarations excessives et d’un simplisme frivole. De telles versions ne peuvent pas, non seulement nous porter préjudice, mais de plus elles favorisent notre stratégie en évitant une diffusion excessive de l’affaire. Mais il ne nous paraît pas noble de laisser tels de vos frères se discréditer en leur nom propre en exerçant peu scientifiquement leur droit de critique.
- C) Durant de nombreux mois passés sont arrivés jusqu’à vous des écrits dictés par nous à un petit nombre d’anonymes collaborateurs terrestres qui se sont prêtés avec plaisir à ce travail. Ces textes authentifiés par notre sceau sont arrivés aussi à des hommes et femmes de diverses nationalités en provoquant chez tous des réactions : de stupeur dans quelques cas, de léger étonnement dans de nombreux cas et aussi, fréquemment, de prudent scepticisme en ayant conscience de notre prétendue identité.
Le contenu de ces textes a été très varié. Isolément chacun d’entre vous ne peut suspecter encore toute la richesse informative qu’apporte tout le matériel élaboré par mes frères pour les hommes de la Terre. De toute manière, tôt ou tard, vous arriverez à le compiler et à juger que sur ce point non plus nous ne déformons pas la vérité.
Dans ces textes nous vous avons fait un large panorama de notre civilisation. Nous avons développé devant vous les bases de notre théodicée, notre morale, notre pensée sur l’origine et la structure ontologique du WAAM (UNIVERS), nos fondements actuels de la physique, notre structure économicopolitique, nos coutumes et quelques étapes de l’histoire de UMMO. Nous vous avons montré quelques avances technologiques…
Et leur analyse par vous a provoqué inévitablement des polémiques passionnées; quand elles ont excédé certaines limites, nous l’avons vivement déploré.
Nous comprenons que certains d’entre vous se soient sentis intensément concernés par la cohésion de ces composantes documentaires pour la structure de notre culture et la pensée qui filtre au travers des paragraphes dactylographiés. Naturellement pour quiconque d’entre vous plongé dans une société en turbulence, plaquée d’injustices sociales, insuffisamment programmée, sentant sur son esprit les fortes tensions engendrées par la dysharmonie existant entre les conceptions idéologiques les plus pures et la pratique réelle, pesant sur vous la menace d’un holocauste à l’échelle planétaire, et conscients des terribles difficultés qui se présentent à vous pour accéder à un type d’équilibre qui permette aux humains de la Terre d’évoluer plus harmonieusement, l’image de notre planète à un stade plus avancé avec une sociomorphologie qui doit vous paraître utopique, doit évoquer nécessairement de fervents désirs de l’imiter dans un cas et une admiration sans bornes pour le restant.
Bien sûr nous avons soigneusement filtré tout ce matériel descriptif. Observez que nous employons le qualificatif DESCRIPTIF et non DÉMONSTRATIF. Car si vous relisez avec soin nos écrits de caractère scientifique il ne vous sera pas facile d’y relever des données qui corroborent pleinement notre existence.
Il est certain que de nombreux rapports envoyés à des spécialistes contiennent une rigoureuse base démonstrative de caractère mathématique où nous avons eu soin d’utiliser les algorithmes et les notations qui vous sont familières.
Mais pour la rédaction de tous ces documents nous avons pris en compte constamment deux critères :
Éviter que dans leur contexte puissent filtrer des indices qui prêtent une excessive fiabilité à notre témoignage. Empêcher que certaines de nos révélations puissent être utilisées par vous avec un caractère transcendant, altérant ainsi l’évolution naturelle autochtone de la culture.
Nous croyons que ces deux mesures ont une explication que vous comprendrez. Il ne s’agit pas de vous nier orgueilleusement la possibilité de profiter de quelques-uns de nos progrès scientifiques et techniques. Mais la simple exécution de ce transfert d’informations apporterait avec elle d’insoupçonnables problèmes difficilement résolubles.
On pourrait arguer que la communication de formules efficaces pour combattre un sarcome, pour synthétiser d’une manière économique des glucides ou des protéines, pour éliminer les risques d’une guerre nucléaire ou pour contrôler le code génétique des caractères héréditaires, ne peut constituer une déformation négative pour l’évolution d’un Réseau Social comme celui de la TERRE.
En effet, si l’on juge ainsi avec simplisme de telles mesures notre censure peut même sembler monstrueuse. Deux possibles interprétations à notre intransigeance « s’imposeraient » seulement: Ou nous sommes des imposteurs, ou nous constituons une race cruelle dépourvue de sentiments qui préfère assister impassible au spectacle d’une Humanité qui se tord dans les douleurs de l’accouchement sans essayer au moins de les calmer.
Le second jugement nous causerait beaucoup de tristesse par son injustice et son manque de critique sereine. Vous savez bien qu’un quelconque apport de type technologique par exemple constitue un complexe incalculable de données scientifiques.
Imaginez que vous ayez l’idée d’offrir à une tribu semi-sauvage de l’Amazone la formule qui leur permette de fabriquer eux-mêmes des électroencéphalographes pour diagnostiquer les syndromes épileptiques des personnes qui naissent. En principe une telle initiative paraît digne d’éloges.
Mais en y réfléchissant, on apercevra les immenses difficultés que présente une telle entreprise. Combien de temps faudra-t-il pour former ces gens au niveau Mathématique et Électronique ? Et combien de temps aussi pour développer une industrie qui leur permette de fabriquer les composants ? Et comment éviter que les plus doués n’exploitent la technologie des amplificateurs, des valvules ou transistors, des alliages, non pas pour uniquement construire des électroencéphalographes mais pour la production d’armes et de systèmes qui leur permettraient de subjuguer les tribus voisines? Et dans le cas où vous interviendriez en personne pour les guider, comment éviter (ce qui est véritablement arrivé) d’annihiler la culture aborigène sous prétexte que l’action colonisatrice est pleinement justifiée?
Mais le résultat d’une telle absorption de cultures à un niveau interplanétaire serait beaucoup plus monstrueux que les maux que le Réseau Social dominant chercherait à éviter dans la phase de domination. Vous ne tenez pas compte des sentiments de frustration qui alièneraient sans possibilité de remède toutes les races terrestres. Les perturbations provoquées par des millions d’individus qui se rebelleraient fort justement à cause de notre attitude paternaliste et qui accuseraient de traîtres tous ceux qui se prêteraient docilement à être soumis à une culturelle étrangère. Ceci obligerait au début les pacifiques voyageurs à adopter des mesures répressives et violentes pour protéger leurs amis. Vous ne pensez pas au traumatisme psychique qui altèrerait les enfants et adultes devant substituer leurs principes et leurs facteurs de jugement par d’autres, nouveaux, avec des caractéristiques sémantiques et logiques totalement étrangères. Et tout ceci rapidement si l’on désire obtenir promptement les moyens préconisés au départ.
Si vous méditez vraiment tous ces raisonnements, vous trouverez sans doute de nombreux autres inconvénients et vous conclurez avec justesse que notre attitude est plus ajustée aux impératifs d’un code éthique que vous partagerez sans doute avec nous.
Il apparaît tout aussi utopique de transplanter nos normes socio-économiques en vigueur pour l’humanité de UMMO au cadre politique capitaliste ou socialiste de la Terre dans son état actuel. Il serait dangereux, pour les scientifiques de la Terre, d’assimiler brusquement notre actuelle conception de la Matière ou de la quantification de l’Espace et du Temps sans avoir été l’effet d’une lente et progressive maturation. Il n’est pas faisable de substituer vos religions par une nouvelle mystique si celle-ci n’est pas spontanément accompagnée des bases conceptuelles de l’ontologie qui s’appuient à leur tour sur de différentes interprétations scientifiques de notre Cosmos. Vous ne pourrez vous imprégner de nos formes de conduite sans utiliser nos propres instruments sémantiques, notre logique, nos formes d’expression du flux informatif coulant entre les composants humains du Réseau.
De telle façon que la valeur que vous accorderez à nos écrits sera fonction de leur qualité et des éléments démonstratifs qui les garantissent. Quand ceux-ci seront purement descriptifs et exprimés sans données, d’une manière didactique, naturellement l’homme de science terrestre les considérera comme papier sans valeur.
Rien n’est plus éloigné de nos intentions que le fait de vous amener à substituer vos principes par notre idéologie. Si quelques-uns d’entre vous pensèrent » se convertir » en assimilant notre Philosophie, notre Éthique et Religion, notre Science, nous les avons, dès ce moment-là, avertis très sérieusement du caractère insensé de leur attitude. Naturellement certaines de vos conceptions pourront contraster avec les nôtres et amener à maturité de substantielles conclusions, mais récuser tout le patrimoine culturel de la Terre péniblement acquis durant des milliers d’années pour le remplacer brusquement par des doctrines dont vous ne voyez pas forcément le caractère idoine est une expérience que nous vous invitons fermement à rejeter.
- D) Cet aspect de nos relations postales unilatérales peut provoquer des doutes sérieux et des attitudes inhibitrices si vous ne tenez pas compte de notre conseil. Comme nous vous l’avons suggéré dans la réponse antérieure, bien qu’une partie de nos textes soit simplement narrative, nous avons remis à certains spécialistes des monographies et études qui possèdent dans certains cas les démonstrations analytiques et empiriques nécessaires pour valider l’information scientifique ou technique contenue en elles. Dans leur développement ont été utilisés des instruments linguistiques qui vous sont familiers (logique, vocabulaire, unités physiques, nomenclature mathématique et chimique…) en faisant attention au fait que de telles révélations qui vous étaient encore inconnues ne soient pas si avancées que vous ne puissiez les assimiler sans une information complémentaire préalable, ni susceptibles de perturber l’évolution naturelle de la Science de la Terre.
Qu’ont fait les destinataires de tels envois ? Dans quelques cas, en n’admettant pas notre identité et en méconnaissant pratiquement la mystérieuse (pour eux) personnalité de l’expéditeur, ils optèrent pour garder de telles études monographiques en les présentant comme » un cas curieux » dans leur entourage et en les utilisant tout au plus comme base pour des études ultérieures ou en les soumettant à une vérification empirique.
D’autres, sceptiques aussi quant à notre témoignage d’être des humains anaborigènes, modifièrent la rédaction initiale, en apostillant quelques paragraphes avec leurs propres commentaires et publièrent sous leur signature les travaux dans des revues spécialisées mais sans faire mention de notre origine ni du nom d’UMMO.
Dans quelques cas bien précis, leur origine fut spécifiée mais très vaguement et en faisant attention de ne pas insinuer notre prétention d’être originaires d’un autre astre habité.
Toutes ces attitudes nous paraissent correctes et licites même si l’une d’entre elles pourrait être qualifiée de » plus noble » ou sincère.
Tenez compte du fait que la libre utilisation d’une information que nous vous avons offerte sans contrepartie ne peut nous nuire le moins du monde. Elle ne peut affecter nos intérêts selon les principes juridiques énoncés par vous quant au droit de propriété. La culture est un patrimoine commun à tous les êtres humains dans la mesure où les individus sont qualifiés pour l’assimiler. Vous ne nous devez rien et vous n’avez pas à nous remercier dans l’absolu.
Nous vous avons seulement demandé expressément dans certains cas de ne pas publier ces documents jusqu’à un futur proche. Naturellement si vous ne tenez pas compte de notre conseil, vous ne transgresserez aucune norme éthique, et vous devez encore moins craindre un quelconque type de sanction de notre part, bien que nous reconnaissions que nos plans d’études (de votre civilisation) pourraient en souffrir. Mais c’est un risque que nous devons inévitablement affronter en faisant confiance à votre noble conduite.
- E) La situation hypothétique, dans laquelle certains parmi vous qui se considèrent comme nos amis auraient à envisager le problème de conscience de nous combattre pour être fidèles à leur discipline légale, est si improbable et non viable que nous préférons ne pas l’analyser pour éviter de futiles tortures mentales.
Nous avons largement assez de moyens de défense pour ne pas être amenés à vous poser un tel dramatique dilemme et ce à aucun d’entre vous. Si en une quelconque occasion hypothétique, l’un d’entre nous tombait au pouvoir d’un groupe social officiel, pris pour un délinquant ou un agitateur politique par exemple, il nous serait facile (au cas où d’autres moyens techniques de libération – non sanglants – échoueraient) de nous présenter officiellement aux chancelleries en apportant la preuve de notre identité et tout en sachant qu’une révélation aussi fabuleuse suffirait pour libérer notre frère mais vous pouvez être assurés que nous ne l’utiliserons pas, en sachant qu’une telle mesure détruirait toute la soigneuse protection que nous avons montée pour ne pas altérer le Réseau Social Terrestre. Nous ne voulons pas pour cela vous démontrer que nous sommes des héros protecteurs de la Terre. Tout simplement céder à un tel moyen n’est pas licite pour nous.
Si un jour l’un d’entre vous se voyait dans la désagréable alternative de nous combattre, le côté licite de cette attaque apparaîtra claire pour vos propres principes moraux et légaux. VOUS ETES OBLIGÉS D4ETRE FIDELE A VOS PROPRES LOIS ET NON AUX NOTRES. Sur ce point la droiture de ce critère est évidente.
- F) Nous croyons que notre jugement particulier sur vos comportements respectifs face à vos amitiés et relations socioprofessionnelles était clair dans nos lettres remises antérieurement. Que gagnez-vous à essayer de convaincre les sceptiques qui par ailleurs adoptent, comme nous vous l’avons dit, une attitude très raisonnable ?
En ce qui nous concerne, il ne fait pas de doute que nous continuerons à appartenir à la planète UMMO, malgré le fait qu’un grand nombre de vos frères s’obstinent à démontrer, armés de tout leur langage mathématique, qu’un tel astre froid n’existe pas ou que nous sommes en réalité une secte spiritualiste.
En réalité il serait plus sage d’adopter un scepticisme prudent ou un manque de confiance avant d’entamer de stériles polémiques qui peuvent sans doute nuire à votre prestige social et même à vos équilibres socio-professionnels.
- G) Malheureusement nous ne pouvons vous offrir une réponse cohérente à cette question. Nous avons nos propres plans programmés mais ceux-ci sont susceptibles de profondes modifications. Les éléments qui les composent sont adaptables à la tournure qu’adoptent les événements géopolitiques et sociaux de la Terre et les décisions émanant de notre Hiérarchie. Quelques programmes d’exécution immédiate sont très particuliers et nous regrettons sincèrement de ne pas pouvoir vous les communiquer car ceci provoquerait leur modification instantanée. En 1970 nous resterons seulement à deux à Madrid, Espagne. Beaucoup de mes congénères iront dans d’autres nations pour étudier de près leur culture. A cette date subsisteront seulement sur cet astre froid quatre-vingt-deux frères qui rapidement passeront à moins de soixante à la fin de l’été espagnol (septembre, octobre). A cette époque atterriront en un point non encore défini d’Ouganda ou d’Éthiopie trois de nos OAWOOLEA UEUA (vaisseaux) et l’arrivée de deux autres immédiatement après est probable.
H ) Dans un prochain envoi, nous désirons vous exposer notre jugement critique du moment social de la TERRE évalué par nous. Sans doute cela peut vous intéresser de connaître à un certain degré notre pensée par rapport au stade actuel de la civilisation dont vous faites partie.
D84
(S84-1, en tête ou enveloppe (?) de la version française)
Le saludamos respetuosamente
(S84-A| T4-66 : Joint à l’envoi à Pedro Romaniuk)
Le saludamos respetuosamente
(S84-B | T4-65 : Joint à l’envoi à Garcia Guirardo)
(S-84-B2. Au dos enveloppe, sur rabat)
Nous vous présentons nos respectueux hommages
(S84-C : Joint à l’envoi au « CISU » )
Nous vous présentons nos respectueux hommages
(S84-V | TP-77: Joint à l’envoi à Jacques Vallée )
Le saludamos respetuosamente
(S84-E : Joint à l’envoi à ??? )
D84 |TP- 87 | T4-65/66 pour les enveloppes et idéogrammes . La traduction qui suit est extraite d’Aguirre avec comparaison sur Ribera. La photocopie dont nous disposons est seulement celle de la version française. Les mots oummains en italique entre crochets sont ceux de la version française.
UMMOAELEWE [OUMMOAELAEWE ]
Centre : BERLIN-OUEST
Allemagne
Distingué monsieur,
Nous sommes conscients de la transcendance de ce que nous allons vous dire. Nous comprenons qu’une affirmation de cette nature est d’habitude formulée par un farceur, un perturbé mental aux idées délirantes ou peut-être même quelque journaliste, publicitaire ou agent de quelque organisation politique, ésotérique ou religieuse qui prétende exploiter la version ou la nouvelle pour le profit de son groupe.
Lorsqu’une hypothèse ou un récit s’écarte des aspects de vraisemblance et quand on manque de moyens techniques et d’éléments de jugement pour en témoigner la réalité, toute intelligence équilibrée a le droit, et doit adopter une attitude sceptique ou de méfiance. On ne doit jamais accepter le simple témoignage et moins encore lorsque, comme dans le cas présent, on en ignore l’origine, ce qui le rend suspect de supercherie.
Pour nous, il est évident que ce que nous allons vous révéler est certain. Toutefois, nous ne pouvons pas logiquement exiger que vous acceptiez une information aussi fantastique. Nous admettons qu’à votre place, nous réagirions de façon semblable.
Mais, cependant, l’attitude de celui qui tolère a priori toute version est admissible s’il l’analyse sans passion et objectivement à la recherche de la vérité. De fait, tous les chercheurs de la Planète Terre ont suivi ce critère. Si des concepts qui « hier » semblaient fantastiques et absurdes n’avaient pas été analysés par les spécialistes compétents, seriez-vous parvenus à l’état culturel actuel ?
Dans les dernières années, à l’occasion de l’apparition dans l’atmosphère terrestre des UFO, la fantaisie des hommes s’est débordée, et l’on a trouvé dans la presse des nouvelles souvent frauduleuses, authentiques quelques rares fois, concernant ces phénomènes.
Conscients que ces versions ont créé un climat logique de méfiance, nous savons que notre déclaration doit être accueillie avec une extrême réserve. Toutefois, notre objectif en vous envoyant ce document tapé à la machine par l’un de nos collaborateurs, n’est pas d’être crus sans plus de preuves que ces quelques paragraphes.
De fait, des communications analogues ont été envoyées il y a quelque temps, à des professeurs et à des spécialistes de divers pays. Le Canada, l’Australie, l’Espagne et la Yougoslavie ont des groupes de personnes cultivées qui connaissent notre existence bien que sur notre suggestion, ils gardent un silence discret sur ce thème. Et bien que nous devions reconnaître que de nombreux hommes de science avec lesquels nous avons établi une communication écrite ou parlée ont déchiré, indignés, les lettres envoyées, les confondant logiquement avec des mauvaises plaisanteries ou des coups de paranoïaques, dans quelques cas, l’étonnante sélection de données scientifiques apportée simplement finit par convaincre quelques-uns que notre attitude pourrait être sérieuse et dépourvue d’intentions immorales.
De ce fait, nous vous supplions de lire soigneusement notre déclaration. Peu importe qu’en principe, vous écartiez la vérité et le bien fondé de nos affirmations. Nous ne souhaitons pas non plus que la réalité de notre existence passe maintenant à la connaissance sociale sans préparation suffisante.
En somme, la situation est embarrassante et étrange. Nous, si nous sommes fidèles à la vérité, nous devons vous faire parvenir notre propre témoignage. Vous, en tant qu’homme équilibré et objectif, vous restez libre de l’accepter ou non. Mais nous vous prions de toute façon, dans un cas comme dans l’autre, de ne pas déchirer cette copie. Un jour, vous pourrez constater la véracité de nos affirmations,
A 4 h 17 mn GMT du jour terrestre 28 mars 1950, une OAWOLEA UEWA [OAWOLEA OUEWA] (astronef de forme lenticulaire) établissait le contact avec la lithosphère de la Terre pour la première fois dans notre histoire. La descente s’effectua aux environs du village de » LA JAVIE » dans les » BASSES-ALPES « , en France.
Le processus d’adaptation que comprit l’assimilation du langage, l’information concernant les coutumes sociales, etc., des êtres de cette planète est difficile à synthétiser dans une simple lettre. Certains de vos frères du Canada et d’Espagne connaissent en détail toute l’histoire.
Six de nos frères descendirent à cette occasion comme les premiers explorateurs d’un monde inconnu pour nous. Ensuite, nous sommes venus plus nombreux pour étudier et analyser la culture terrestre. Deux bases d’opération ont été établies pour le moment : ADÉLAIDE (AUSTRALIE) où réside notre frère chef d’expédition, et BERLIN-OUEST (ALLEMAGNE).
Nous provenons d’un astre solidifié, dont les caractéristiques géologiques diffèrent un peu de celles de la Terre, mais dont la composition atmosphérique est très semblable. (Nous utilisons les unités de mesure terrestres dans certains cas).
Équateur : rayon maximum R = 7 251,608.103 m
Masse de la planète : m = 9,36.1024 kg
Accélération de la gravité mesurée en AINNAOXOO [ AINNA.OXO] : g =11,9 m/s
Rotation sur son axe : 30,92 heures (nous mesurons en UIW [OUIW] ; 30,92 h = 600 UIW [OUIW] )
Nous désignons notre planète avec un phonème que vous pourriez transcrire ainsi : UMMO [OUMMO] . Un seul continent et la faible surface insulaire n’occupe que 38 % de la superficie de notre planète. UMMO [OUMMO] se déplace en trajectoire elliptique d’excentricité 0,078 autour d’un astre dénommé par nous IUMMA [IOUMMA] (notre Soleil). La distance moyenne UMMO-IUMMA [OUMMO-IOUMMA] est de 9,96.1012 cm.
IUMMA [IOUMMA] est une étoile de masse1,48.1033 g. La distance séparant IUMMA [IOUMMA] de votre Soleil est de 14,42 années-lumière environ. Nous calculons que vous localiseriez cette étoile à :
Ascension droite :12 h 31 mn
Déclinaison : 9° 18′
Mais le brillant que vous remarqueriez sera très atténué étant donné la présence d’un amas de poussière cosmique qui l’atténue et le réduit à une magnitude apparente de l’ordre de 26. La température superficielle de cette étoile est de 4580,3 degrés K. (Kelvin). Ses altérations de champ magnétique sont grandes. Nous enregistrons sur notre planète des valeurs atteignant 216 gauss très supérieures à celles de la Terre. Ces perturbations nous interdisent l’utilisation normale de fréquences électromagnétiques, raison pour laquelle nous devons utiliser des ondes gravitationnelles [Ndt: « ondes gravitantes » dans la version française] pour les communications.
Nous, les habitants de UMMO [OUMMO], nous avons un corps dont la forme physiologique est très semblable à celle de l' »HOMO SAPIENS » de la TERRE. Ceci est logique si vous considérez que les lois biogénétiques sont valables pour tout l’Univers et lorsque le milieu ambiant est analogue, la structure biologique ne subit que peu de variations. Nous sommes donc des êtres que vous ne qualifierez pas de « monstres ». Seules, quelques petites différences anatomiques nous distinguent de vous. Chez une grande partie de mes frères, les organes de phonation sont atrophiés (cordes bucales) (sic, pour « cordes vocales »… ) et nous suppléons à cette sclérose par des moyens artificiels d’expression verbale.
Nous sommes un peuple plus vieux que le vôtre et qui a atteint un niveau de civilisation plus élevé également. Notre structuration sociale est différente. Nous sommes gouvernés par quatre membres qui ont été choisis par des évaluations psychophysiologiques. Les lois sont réglées en fonction des constantes sociométriques mesurées dans le temps.
Notre système économique est également différent. Nous ne connaissons pas l’argent étant donné que les transactions des quelques biens de valeur qui existent sur UMMO [OUMMO] sont effectués par un réseau de ceux que vous appelleriez cerveaux électroniques. Les biens de consommation normaux sont à peine évaluables étant donné que leur production abondante dépasse de beaucoup la demande.
Notre société est profondément religieuse. Nous croyons en un Créateur (WOA) ou Dieu et nous avons des arguments scientifiques en faveur de l’existence d’un facteur que vous appelleriez « l’âme ». Nous connaissons un troisième facteur qui la lie au corps et qui est constitué par des atomes de krypton logés dans la masse encéphalique.
Nos coutumes sont également très différentes. Il n’y a pas de races différenciées et les espèces et les variétés zoologiques sont moins nombreuses.
Nous ne prétendons pas interférer dans l’évolution sociale de votre planète pour deux raisons transcendantes. Une morale cosmique interdit toute attitude paternaliste sur des réseaux sociaux planétaires qui doivent être formés graduellement et par chacun d’eux. Qui plus est, en plus de toute intervention publique de notre part – notre propre présentation officielle – produirait des altérations graves, des perturbations sociales incalculables et de cette façon, l’étude et l’analyse de votre société ne seraient pas possible dans les conditions actuelles de virginité.
Nos modestes tentatives de contact, comme celle que nous effectuons maintenant avec vous, ne causera pas, par contre, une grande altération, car nous prévoyons d’avance le scepticisme naturel qui les accueillera.
Notre système de numération est 12, et, comme renseignement curieux, nous vous incluons une table avec quelques algorithmes mathématiques tels que nous les transcrivons :
(S84-f2)
Monsieur, nos salutations les plus distinguées.
UMMO-SCIENCES: D84 |TP- 87 | T4-65/66 pour les enveloppes et idéogrammes
(S84-f1 -N’est pas retranscrit dans Aguirre. Tel que retranscrit par Ribera p.99 ci dessous; on peut remarquer le rajout d’un signe correspondant au 12 qui n’apparait pas dans l’original)
D87
UMMOAELEWEE
Monsieur ANTONIO RIBERA JORDA
Barcelone, Espagne
Transcription du texte original anglais
nombre de copies : 5
Australie
Canada
Mexique
Espagne
Yougoslavie
Hommes de la Terre :
Nous transmettons nos condoléances solidaires pour le décès de votre frère, le penseur et mathématicien BERTRAND RUSSELL.
Ce groupe expéditionnaire originaire de l’astre solidifié UMMO se trouve parmi les citoyens de diverses nations de la TERRE, juge que l’homme Bertrand Russell ainsi que quelques-uns de ses frères :
Moandas K. GANDHI
Ernesto GUEVARA » Che »
Helder CAMARA
JEAN XXIII
Martin Luther KING
Karl MARX
Emmanuel MOUNIER
Albert SCHWEITZER
Léon TOLSTOI et d’autres,
consacrèrent ou consacrent leurs vies à transformer la société dans laquelle ils étaient intégrés, l’orientant néguentropiquement vers des formes plus conformes aux normes éthiques de convivialité collective.
Parce qu’ils furent sensibles à l’injustice dont sont victimes leurs frères et qu’ils firent leur la douleur, la torture mentale et physique des humains opprimés et marginaux, faisant progresser dans ses conceptions mentales le stade historique qu’ils durent vivre, nous nous inclinons avec admiration devant eux et leur œuvre tout en admettant que certains facteurs conceptuels qu’ils ont soutenu soient fallacieux ou erronés.
Nous vous prions de transmettre cette note à vos frères réunis. La noble attitude de l’humain décédé envers ses frères massacrés au Vietnam par une structure sociale totalitaire et une nation étrangère, ses études profondes sur la sémantique, les mathématiques et l’ontologie, son indépendance de jugements, sa simplicité dans la vie quotidienne et son engagement constant envers les valeurs humaines de sa planète nous font juger qu’il mérite cet hommage.
D88
Référence : | D88 |
Titre | Message à Atienza de la planète URLN |
Destinataire(s) et date(s) | Monsieur Francisco Donis Ortiz le 17/01/69 ? (indiqué manuellement 1970 sur l’original) |
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UMMOAELEWE
Langue : espagnol
Copie unique
Monsieur Francisco Donis Ortiz
Bien cher Monsieur,
Nous vous demandons de bien vouloir nous pardonner de passer outre vos usages de votre beau pays, qui consistent à ce que nous vous soyons introduits par une tierce personne, appartenant à un cercle d’amis. Mais notre demande exige que nous ne pouvons respecter tout protocole à cause de circonstances particulières.
En effet, nous nous sommes aperçus que vous possédiez une information plus ou moins exacte concernant notre existence sur la planète, grâce à un récent article, paru dans une publication espagnole réputée, dont la base fut un ensemble de récits relatant un événement particulier sur lequel nous souhaitons communiquer avec vous.
Nous pensons avec quasi certitude, que certains membres appartenant à un groupe de Madrid, avec lequel nous avions des contacts amicaux et suivis durant ces derniers mois, sont à la source de ces révélations.
Cela a l’avantage de vous, et de nous éviter de longues pages d’explication sur notre identité.
Nous ne connaissons pas le degré de confiance que vous accordez à nos témoignages. D’autant que, ne pouvant obtenir les preuves définitives de notre existence parmi vous, nous vous demandons de garder, dans la mesure du possible, votre esprit critique.
En définitive, que vous nous acceptiez ou que vous nous rejetiez, vous devez comprendre que nous ne pouvons vous apporter d’éléments décisifs.
Vous penserez peut-être comme irréalisable d’accéder à notre demande en faveur de quelques inconnus qui vous paraîtront être des imposteurs (vus par autrui), des mythomanes ou de vulgaires individus ayant l’intention de jouer un tour pendable à leurs amis.
Cependant, même dans cet état d’esprit, convenez avec nous, que l’effort étant si minime, vous ne perdriez pas grand-chose à satisfaire notre désir.
Nous vous demandons avec insistance de bien vouloir nous aider. C’est notre seule exigence, en vous avertissant de ne pas tomber dans certains excès.
Vous affirmez que nous maintenons des contacts télépathiques de type idéographique avec votre visiteur Atienza, dans le rapport se référant aux relations que vous avez avec ce dernier.
Est-il possible que parmi les questions que vous lui avez formulées, il nous adresse une réponse sous forme binaire (puisqu’il nous a été impossible d’entrer en contact avec cette civilisation) ? Nous répétons : est-il disposé à satisfaire notre demande ?
Vous pourriez nous communiquer la réponse de Mr Atienza à l’aide d’un de vos articles, sinon, nous vous indiquerons un autre moyen de nous atteindre.
Nous avons actuellement de sérieuses raisons pour éviter toute communication par téléphone avec vos frères terriens.
D89
FRéférence : | D 89 |
Titre | À propos du message à Atienza |
Destinataire(s) et date(s) | Monsieur Donis le 01/03/1969 |
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UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 3
Francisco Doniz Ortiz
MADRID – Espagne
Cher Monsieur,
Votre aimable réponse à notre message a été reçue par nous. C’est avec satisfaction que, à travers son contenu, nous apprécions avec joie, que vous acceptiez notre demande. Nous vous en remercions très vivement d’autant que vous n’étiez absolument obligé de la satisfaire. Ceci est d’autant plus méritoire que, bien que les conventions de votre société vous incitent à ne pas donner suite à la requête venant de personnages se réfugiant dans l’anonymat et dont les véritables desseins restent obscurs, vous risquez votre réputation, même si vous convenez avec objectivité que la difficulté de cette action reste faible.
Transmettre des chiffres à votre mystérieux (en ce qui nous concerne) correspondant ne peut jamais être source de risque, évidemment, ni avoir de conséquence dommageable pour vous, d’autant que vous l’aviez déjà fait avec sagesse, sans être responsable à quelque niveau que ce soit, public ou privé du caractère idoine (ou non) de notre témoignage, et bien que nous soyons parfaitement conscients de votre situation embarrassante, notre demande a été telle, qu’en aucun cas votre réputation n’aura à en souffrir.
Nous comprenons parfaitement la logique et l’intelligence dont vous faites preuve, du soupçon que vous manifestez à l’encontre de l’identité de nos frères. À votre place, nous aurions adopté, nous autres, la même attitude. On peut comprendre, sans doute, que le fait que ces hommes aient certaines réticences à se montrer sans recourir à l’anonymat, peut toujours cacher quelque mobile d’une moralité douteuse. L’expression naturelle d’une extrême prudence se manifeste par votre méfiance. Et nous ne pouvons vous en porter grief.
Notre situation vis-à-vis des hommes de la Terre est au moins aussi embarrassante que la vôtre, et nous vous supplions d’essayer de le comprendre.
Notre présence parmi vos frères et notre existence authentique au sein de vos sociétés terrestres, ne peuvent être révélées objectivement, ni servir de preuves scientifiques irréfutables, et ce, par principe. Nos propres documents écrits ainsi que nos contacts téléphoniques doivent subir une autocensure de notre part, ce qui nous demande un gros effort pour la rendre efficace.
Certaines informations indiscrètes pouvant servir de preuve irréfutable de notre existence, cette façon de procéder nous permet d’éviter ainsi tout ajout involontaire.
Que vous croyez en notre présence parmi vous, n’est pas notre objectif. Il est favorable pour nous qu’une attitude de scepticisme et de doute se manifeste dans votre grande société. C’est de cette façon qu’une minorité de vos frères, ne portant que peu d’importance au manque de preuves concluantes et acceptant de fait jusqu’à un certain point notre témoignage, sont maintenus informés par nous. Cependant, bien que nous soyons obligés de falsifier le sens authentique de nos affirmations lorsque nous sommes confrontés avec des inconnus de la Terre, en nous faisant passer comme citoyens de n’importe quelle nation, à l’aide de faux papiers d’identité, nous ne vous mentons pas lorsque nous nous adressons à vous en privé de façon non officielle.
Nous cherchons à neutraliser toute réaction à caractère psychologique de votre société, pouvant engendrer de graves conséquences pour tous, ainsi qu’à susciter un sentiment d’incrédulité dans les cas où les informations nous concernant, circulant à travers les médias, dépasseraient une certaine limite dans la diffusion comme dans le cas de votre frère le prêtre catholique Enrique Lopez Guerrero, mais nous ne voulons pas vous causer quelque dommage que ce soit, à cause du caractère clandestin de notre conduite. Nous pardonnons et excusons l’enthousiasme manifesté dans ces situations. Mais une plus grande capacité de réserve et de discrétion intellectuelle s’est manifestée chez vos frères d’autres nationalités, dans leurs contacts avec nous.
Bien que nous ayons adopté des mesures sévères pour éviter qu’une indiscrétion ou un changement d’attitude vis-à-vis de nous, soit fait par des OEMMII, en violant gravement nos normes de réserves, il nous est arrivé de fournir des preuves irréfutables à caractère personnel, à certains de vos frères terrestres.
Si vous acceptez d’être l’intermédiaire entre F. ATIENZA et nous, nous sommes disposés, Mr Donis Ortiz, à vous les offrir. Il va de soi que tant que notre présentation physique n’ait été confirmée par des arguments que vous jugerez fiables, et que chaque fois dans l’avenir, des preuves irréfutables ne pourraient vous être présentées, nous ne pourrons exiger de votre part qu’un tel contact puisse avoir lieu. Nous avons déjà opéré de cette façon dans des situations bien précises, avec d’autres OEMI de la Terre, et il est donc parfaitement possible de procéder ainsi avec vous.
Monsieur, certaines mises au point sont nécessaires, et nous aimerions que vous les fassiez parvenir aux personnes humaines intéressées.
Votre frère a reçu cet insigne du « gouvernement » d’UMMO avec un verso brillant, et nous ignorons qui le lui a envoyé. Nous vous assurons qu’aucun de mes frères n’a fait un tel cadeau, et il doit s’agir sans doute d’un malentendu facilement explicable.
Nous vous adressons cette mise au point afin de prévenir d’éventuels abus pour de sombres desseins immoraux. Le fait que l’une des parties refuse de s’identifier complètement, ne peut ni ne doit vous offenser, puisque nous considérons que c’est normal en ce qui concerne le tout début de ces relations.
Notre conduite irréprochable doit être un préalable pour que vous puissiez tenir compte de nos protestations et nos déclarations d’honorabilité. C’est le recueil de notre témoignage par vos propres amis de la Terre, qui puissent confirmer notre honnêteté, que nous vous prions de recueillir, Monsieur.
Dès que se présentera un moment favorable pour une communication orale, télépathique, idéographique ou par n’importe quel autre moyen technique approprié, avec votre étrange correspondant Francisco Atienza venant d’une planète inconnue pour nous, appelée URLN, nous vous supplions de lui transmettre le texte codé qui suit, que nous vous faisons parvenir aujourd’hui.
1011010111 100101 101000100111 – 110101111110 0100111
De plus, si vous obtenez une réponse, nous vous demandons instamment de ne pas la divulguer au travers de n’importe quel type de média. Nous vous prions très vivement de maintenir une réserve, car nous pourrions faire pression pour que vous accédiez à notre demande. Aussitôt que vous nous aurez fait savoir qu’une réponse a été obtenue, nous vous informerons sur le moyen de communiquer avec vous. C’est grâce à cette réponse que nous pourrons savoir s’il désire de nouvelles communications avec nous (trois derniers chiffres), et si le témoignage de F. Atienza est digne d’intérêt.
Nous allons rassembler les preuves que nous avons déjà données, afin que vous puissiez nous identifier, car nous espérons que votre réponse sera favorable dans ce cas précis. Nous pouvons convenir d’un lieu qui soit toujours en milieu urbain, en centre ville, qui ne vous inspire pas de crainte, afin de réaliser notre première entrevue.
Il est très important, Monsieur, que vous nous accordiez cette faveur. C’est par l’article paru dans la publication périodique L’ACTUALITÉ ESPAGNOLE, non pas tant pour le contexte du témoignage qui, en fait, ne contient aucune preuve tangible dans son contenu, de son authenticité, mais par la personnalité de son auteur, Espagnol de renom, que nous accédons à vous, et ce, grâce aux moyens d’information qui nous conduirons jusqu’à vous.
Nous vous adressons de nouveau, Monsieur, nos salutations distinguées à vous, vos parents et frères de la terre qui composent votre cercle de connaissances. De nouveaux succès sont à souhaiter en ce qui concerne la nouvelle mission du programme APOLLO, ainsi que les expérimentations dirigées vers OYAA Vénus et OYAA Mars effectuées par vos frères américains et soviétiques.
D90
Référence : | D 90 |
Titre | Préparatifs d’un contact téléphonique |
Destinataire(s) et date(s) | 21/07/1970 Mr Farriols |
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UMMOAELEWE
M. Rafael Farriols Calvo
Barcelone, ESPAGNE
Monsieur :
Vous êtes informé, en ce moment, de la correspondance remise par mes frères de Londres à vos frères de la capitale espagnole.
Cela m’incite à compléter leurs notes de quelques données supplémentaires :
Avec une certaine exactitude, nous connaissons vos réactions suite à l’information que vous avez reçue et nous jugeons qu’elles méritent d’en éclaircir certaines limites. Comme vous pouvez le constater la situation interrelationnelle a toujours été confuse. Il ne faut pas oublier qu’il existe des raisons de caractère tactique qui nous demande de plus amples explications dans nos actions avec vous. Maintenant nous ne voyons aucun inconvénient à énumérer quelques aspects plus innocents qui ne modifient en aucune façon le siècle dans lequel nous nous mouvons.
Actuellement nous nous trouvons Espagne, un frère et celui qui écrit ceci, et couvrons aussi le Maroc, la Mauritanie, le Portugal et la Tunisie.
Depuis quelques mois et jusqu’à présent, l’histoire du séjour de nos frères sur Terre est bien remplie et nous ne pourrions pas fournir trop d’informations utiles. Nos plans ont été pas mal modifiés depuis un incident sérieux avec les autorités fédérales des USA à Miami. La vigilance croissante d’un organisme de ce pays a provoqué beaucoup de dérangements et à restreint notre facilité de mouvement dans certaines nations.
Avec un certain fondement, nous suspections que la correspondance de M. Ribera Jorda et de deux autres membres du groupe de Madrid a été interceptée. Nous ne croyons pas prudent que vous impliquiez les autorités espagnoles qui ignorent cette activité..
L’objectif – assez naïf dans cette approche – est de nous localiser, ne vous en alarmez pas. Vous servirez d’appât mais nous ne croyons pas que cette interférence gênante vous entraîne de conséquence nuisible.
Cette lettre sera interceptée très certainement, mais ne vous en préoccupez pas trop, nous prenons soin de ne pas inclure d’informations qui pourraient leur être utile. De plus, ils savent que nous sommes conscient de la surveillance dont nous faisons l’objet.
Au début, je confesse que nous nous sommes méfiés d’une de vos sœurs qui prêtait ses services en Espagne à l’ambassade de ce pays.
Aujourd’hui, vous pouvez sans risque continuer vos relations habituelles avec elle, car nous sommes sûrs qu’elle n’a pas été impliquée.
Pour cela nous sommes forcés de vous demander de renforcer vos précautions habituelles, ainsi nous vous invitons à mettre en pratique ces conseils :
1°. – Envoyer une photocopie de cette lettre à un de vos frères de Madrid les moins importants
2°. – Si vous décidez de vous réunir pour parler de ces questions, éviter les lieux publics.
3°. – Messieurs Ribera, Villagrasa et Garrido doivent faire preuve d’un certain niveau de prudence dans leurs conversations téléphoniques faisant allusion à nos relations.
En fait, il ne s’agit que de mesures prophylactiques dont l’inexécution ne pourra nous causer aucun préjudices grave car nous avons déjà adopté d’autres précautions beaucoup plus efficaces.
Nous connaissons votre réponse quant à l’avenir de ces relations. Nous devons donc clarifier les aspects de la première phase :
Tout document d’information générale sur notre civilisation sera à l’avenir remis à un seul de vos frères qui, lui même s’il le désire fournira des copies aux autres.
Nous aimerions éviter que cela constitue entre vous une source de tension si notre choix était considéré comme un privilège.
Soyez conscients que pour surmonter ces susceptibilités, une solution pourrait s’arbitrer de la façon suivante:
Réunissez-vous pour décider le nom de cet homme. IL pourrait être un membre du CEI ou d’ERIDANI.
Si vous échouez à sa nomination dans l’une de ces entités légales, les membres de l’autre association désigneront la personne (issu de cette même association) qui pourra se déplacer à Londres aux dates que nous fixerons.
De cette façon, les deux associations se trouveront être représentées dans nos contacts mutuels.
- A) Si aux dates désignées, tel dirigeant ne peut se rendre à Londres, nous vous signalerons une autre occasion opportune à partir d’octobre
- B) Il n’est ni prudent ni nécessaire que se déplace plus d’un représentant. Il s’efforcera de se loger dans une résidence fixée par lui-même à son arrivée. (en aucun cas elle ne sera choisie d’avance depuis l’Espagne). Il s’efforcera aussi de n’informer personne de sa date exacte d’arrivée, du numéro du vol et encore moins (nous le répétons) de son domicile éventuel, jusqu’à que la conférence soit terminée.
- C) Si la personne sélectionnée ressent quelques difficultés économiques pour son voyage, communiquez le aussi dans une lettre adressée par voie postale sur un bleu à M. Ribera Jordá et nous procurerons ainsi les indemnités pour son dérangement.
- D) Le dialogue que nous aurons pourra être enregistré sur bande magnétique à Londres mais nous vous indiquerons éventuellement de supprimer certains aspects de la conversation ou de sa totalité.
Mais nous vous avertissons clairement. Un tel enregistrement ne servira que d’information orale à vos frères qui restent en Espagne. A son retour, l’audition se fera au domicile de l’un d’entre vous. Nous n’acceptons pas de nouveaux enregistrements ou de copies et l’original devra être détruit ou effacé.
- E) Mais si nous pouvons établir avant septembre, sans aucun risque d’interférence, cette conversation par lignes téléphoniques situées en territoire espagnol, nous le ferons avec plaisir pour éviter toute gène inhérente au voyage.
Maintenant, nous devons ajouter de nouveaux avertissements.
Dîtes à chacun de vos frères que, ces derniers jours, nous nous sommes trouvés très préoccupés pour tenter d’identifier la marque de la machine à écrire qui a servi à mes frères de Londres pour écrire la lettre à M. Villagrasa et qu’il s’agit d’une machine de typographie portable adaptée aux pays latins : marque ADLER (type 1).
Pardonnez-moi pour les fautes de construction grammaticale, son opérateur n’est pas très habitué à traduire en langue espagnole.
Je vous offre mes cordiales salutations.
D91
Référence : | D 91 |
Titre | Préparatifs d’un contact téléphonique |
Destinataire(s) et date(s) | Villagrassa 01/07/1970 |
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UMMO AELEWEE
ESPAGNE
Honorables amis de la TERRE en Espagne,
Nous avons pu constater l’absence absolue de notes lors de notre part durant un nombre déterminé de mois.
Nous nous attristons de constater qu’un tel oubli pourrait être interprété comme une attitude méprisante de notre part. Bien au contraire tout cela obéit à une stratégie pleinement planifiée induite par les circonstances actuelles.
A la prise de conscience de la présence de notre groupe parmi vous et s’identifiant d’une certaine façon à nos structures mentales, quelques-uns de vos frères, ont généré avec excès un enthousiasme émotif que nous sommes les premiers à regretter.
Nous croyons que vous n’avez pas cerné soigneusement le risque qu’une telle attitude entraîne.
Nous n’avons jamais pensé que vous accepteriez notre existence avec un coefficient de probabilité élevé.
Bien au contraire, si vos frères récapitulent tous les événements qui ont jalonné l’histoire de nos relations avec vous, vous pourrez constater que notre affirmation possède une base solide et que nous programmons ces contacts en prenant un soin très spécial de ne pas donner de preuves vérifiables de notre existence. Mais ceci paraît entraîner une grave contradiction. Car offrir d’une part une version unilatérale de notre existence, en niant simultanément l’accès à sa vérification ne se justifie pas dans les bases d’une logique divalente, ni même en évoquant la nécessité d’accepter comme articles de foi des vérités déterminées.
Mais si vous relisez nos écrits, vous vous apercevrez que nous faisons une réponse valide à ces doutes. Nous indiquons en outre que des êtres comme vous, immergés dans un réseau social spécifique ne doivent pas refuser leurs obligations envers lui
Ainsi il ne résultera pas pour vous de perturbation à spéculer, avec les réserves de rigueur, sur une hypothèse qui englobe la possibilité de notre existence sur TERRE.
Même si vous n’y croyez pas, si nous encouragions le développement de cette spéculation jusqu’à qu’elle atteigne le stade de certitude, cela provoquera, un enchaînement de réactions psychosomatiques aux conséquences graves pour vos frères impliqués.
Nous ne prétendions pas devoir vous protéger d’un péril avec une attitude paternaliste. C’est qu’en n’agissant pas ainsi nos frères transgresseraient toute une série de valeurs morales.
Quand nous commencions timidement les premiers contacts avec des individualités et des collectivités de la TERRE, mes frères de UMMO ignoraient ces aspects gravissimes que nous vous exposons aujourd’hui. Ce n’est qu’après ces envois de communication, ces lettres, et de documents au niveau du groupe et que le contrôle de vos réactions, ont été nécessaires, que nous nous sommes aperçus de leur inquiétante importance.
Si vous pensez aujourd’hui, qu’il eut été plus logique d’adopter une quelconque de ces options : taire depuis le début notre arrivée de UMMO ou bien, une fois initiés les liens informatifs, apporter des preuves concluantes de nos assertions, nous avons constaté que, lorsque nous avons commencé, nous ignorions les implications de caractère aliénant pour vous. Comme tout ingénieur de systèmes parmi vos frères le comprendra, l’autocorrection en cours de procédure imposa de nouvelles formes à notre conduite.
Si ces relations avaient comme objet initial non seulement de compenser la cession involontaire par vous d’une information sur la planète TERRE, mais de sonder la possibilité future de relations plus ouvertes, l’épreuve nous fournit enfin les critères qui régissent notre tactique vis-à-vis de vous jusqu’à ce que nous abandonnions définitivement la TERRE dans un futur plus ou moins lointain.
Mais nous connaissons, amis d’Espagne, vos inquiétudes, vos doutes, votre sentiment de frustration et votre méfiance naturelle. Ce confusionnisme inévitable nous est imputable. Mais nous vous supplions de ne pas l’interpréter comme une attitude machiavélique tendant à vous léser, comme si vous étiez de simples marionnettes ou cobayes dans nos expériences. Ce serait injuste et sans doute manquant de bases réelles. Mais si une telle expérience a existé à l’échelle microsociale les motifs en étaient beaucoup plus purs que leur interprétation pourrait le faire soupçonner. Nous regrettons que, sous certains aspects, les résultats aient été décourageants.
La situation géosociale que traverse la TERRE, qui est imprécise et que nous qualifierions de critique puisque vous en prenez conscience, n’est pas la meilleure pour créer de nouvelles formes d’anxiété en vous impliquant dans nos affaires. Nous ne considérons pas ceci comme une vraie opinion. Nous possédons une certitude sur les risques qu’entraîneraient d’autres formes de conduite de la part de mes frères.
Nous préférons que vous nous oubliez, que vous qualifiez ces épisodes si singuliers comme une fiction, même au risque de provoquer l’inévitable désenchantement de certains frères de la TERRE. Mais cela vous incombe. Amis d’Espagne, analysez cette lettre et nous vous invitons à vous réunir pour étudier une décision. A la vue de notre attitude : Croyez-vous préférable de couper définitivement les ponts entre vous et notre groupe ? Jugez-vous au contraire qu’il serait intéressant de nous suivre en recevant nos notes sporadiquement et sans apport de preuves de nos affirmations ?
Nous vous prions de nommer un interlocuteur susceptible de pouvoir se déplacer à Londres en prenant un contact téléphonique avec nous. (Cela n’est pas possible en Espagne). Nécessairement il doit être membre directeur et représentatif de l’une ou l’autre des associations légales que nous considérons sérieusement introduites en Espagne : Centre d’Etudes Interplanétaires de Barcelone et ERIDANI de Madrid. Le contact aura lieu entre la mi-août et fin octobre, bien que cette fois il est possible qu’à ce moment, un déplacement si lointain ne soit pas nécessaire. Communiquez le à M. Antonio Ribera en lui envoyant une copie de cette lettre.
Nous lui remettrons une nouvelle information avant ces dates.
Nous vous félicitons tous pour l’intérêt que vous avez montré ces mois derniers. Nous jugeons intéressante la proposition de MM. Dominguez et Jordan, suite à une analyse détaillée de nos textes. Nous aurions désiré cependant plus de prudence de la part de MM. Ribera et Jordan dans leurs conversations avec quelques-uns de vos frères nous concernant. Mais nous comprenons que l’ambiguïté qui entoure notre cas engendre une attitude dynamique de la part de certains de vos frères intelligents. Ne considérez pas ceci comme un reproche mais plutôt comme une allusion aux risques que nous avons souligné auparavant dans ce qui pour nous transcende d’autres moyens d’une façon incontrôlée. Nous désirons nous mettre d’accord avec ceux à qui nous nous sommes adressés dans les deux associations existantes que nous avons mentionné, dans le cas où ils décideraient un renouveau des contacts avec nous.
Il nous agréerait que se réalise une réunion générale de vos frères intéressés, en les invitant tous sans discrimination. Si vous vous accordez au contraire pour annuler toute communication orale et écrite, vous restez libres de publier ou de diffuser nos écrits, mais nous vous avertissons que cela serait contreproductif à l’extrême. Notre désir se centre à éviter qu’une telle diffusion soit possible.
Nous vous envoyons nos respects. sciences: D 91 | T4-11/13
D92 93
Référence : | D 93 |
Titre | La Cia piste les Ummites contact à Londres |
Destinataire(s) et date(s) | Monsieur Martinez et ERIDANI 29/07/1970 |
Commentaires | La version envoyée à ERIDANI (D92) est identique sauf premier et dernier paragraphe |
UMMOAELEWE
Monsieur Don Joaquín Martínez
MADRID Espagne Madrid, 29 juillet 1970
Estimé monsieur,
Nous aimerions nous excuser de nous adresser à vous sans présentation préalable, nous pensons que vous avez pris connaissance de nos précédents échanges.
Comme vous le savez, nos dernières notes envoyées à vos frères de Barcelone et de Madrid sont arrivées en votre possession car nous désirons préciser quelques aspects additionnels en rapport avec le contenu de ces communications.
D’autre part, nous croyons que devant les nouvelles interrogations qui ont été exprimées parmi vous en réponse à nos dernières lettres reçues de Londres, León et Madrid, qu’il est nécessaire de formuler de nouvelles explications, même synthétiques.
Permettez-nous de vous indiquer que de nouvelles urgences surviennent, suite aux investigations menées par un organisme des États-Unis d’Amérique du nord. Veuillez ne pas interpréter cela comme un risque d’apport de risques éventuels ou de dommages sérieux, ni pour vos frères ni pour vous-même.
Les premières réactions de ce département commencèrent, pour être exact, des années auparavant quand inévitablement filtrèrent jusqu’à lui les nouvelles qu’un cryptogroupe de gens, qui assuraient en outre provenir d’une structure planétaire distincte de la Terre (Ummo), réalisaient des activités dans différents pays et même dans les états de la Fédération.
Bien évidement, dans le contexte sociopolitique du moment, ces nouvelles éveillèrent un certain degré d’inquiétude, surtout associées à l’insolite version exoanthropologique, interprétation qui ne fut pas prise aux sérieux par ces fonctionnaires.
Progressivement, ils durent accumuler de nouvelles références ainsi que des données relatives à nos communications postales et téléphoniques avec des citoyens d’Australie, Canada, Espagne, France, Grande-Bretagne, Israël, Yougoslavie… et les recherches sur nous s’intensifièrent parallèlement.
Ces analyses constituent une pratique topique quotidienne tout à fait normale et sensée, surtout que les États de la Terre possèdent des moyens techniques pour impulser et réaliser des prospections sur les groupes connexes qui, avec un caractère militaire, politique ou économique, s’étendent à différentes nations.
Actuellement, l’absence de preuves ne permet pas aux spécialistes de ce Gouvernement fédéral d’avaliser l’authenticité de notre témoignage. La méfiance surgi obligatoirement avec toute son énergie face à des hommes qui opèrent avec des formes de conduite, ainsi que des moyens techniques en tout points différent de ceux des autres organisations à caractère religieux, philosophique, politique, financier ou militaire.
Bien sûr, en acceptant notre propre version sur notre identité, une telle conduite paraît alors cadrée par des schémas logiques très précis. En partant de vos suppositions par contre, il est difficile de comprendre nos réactions et nos initiatives. Des cascades d’interprétations sont inévitables dont les régimes (versions et sous-versions) se multiplient à l’infini.
En définitif, notre autre objectif paraît encourager nos persécuteurs à engager des contacts plus directs avec nous pour établir une fois pour toutes notre identité et la vraie nature de nos mobiles.
Pour une nation de la Terre si importante, une telle prétention de la part ses fonctionnaires est logique et correcte. Par contre pour des raisons que nous avons pointées en de précédentes occasions nous ne la jugeons pas viable.
L’incompatibilité de nos points de vue respectifs, d’ordre moral et pragmatique, est pourtant inévitable avec ses séquelles d’activités respectives de caractère policier et d’autodéfense.
Pourtant il n’y a pas à craindre qu’on en vienne à des situations de violence tout simplement parce que nous possédons les moyens d’éviter ce type de tensions et bien que nous ne devons pas cacher que cette situation a des résultats très embarrassants, elle nous oblige à appliquer des mesures d’extrême prudence, aussi bien au cours de nos voyages que dans les éventuels contacts avec nos bons amis de certains pays.
Le 4 mai 1970, nous avions adressé à une haute autorité de l’Administration fédérale des États-Unis une note rédigée par notre propre Chef de la mission expéditionnaire de Ummo sur Terre qui, parmi d’autres paragraphes, incluait les suivants :
(C’est ma traduction de sa version anglaise)
… Nous comprenons qu’un témoignage écrit et remis par la voie postale ordinaire, ne peut donner de garantie sur l’origine de notre propre groupe, et n’a pas de consistance satisfaisante pour votre Gouvernement. Mais il ne nous est techniquement pas faisable de procéder d’une autre manière et, bien que contournant les routines diplomatiques habituelles parmi vous, nous venons d’une manière ou d’une autre faire entendre notre voix. Nous avons confiance dans la perspicacité de vos spécialistes pour le comprendre.
Ce gouvernement, ni vos respectables institutions, ni le peuple nord-américain, n’ont rien à craindre de nos activités et cette affirmation nous pouvons, sans qu’on en doute un instant, l’étendre aux autres états de tous les continents de la Terre.
Les craintes, nourries dernièrement par quelques membres responsables à propos de nos activités, peuvent s’interpréter comme étant liées aux intérêts de l’Union soviétique, ou de l’état cubain ou bien de la république de Chine; ou d’une des républiques populaires d’Europe et sont totalement fallacieuses et injustifiées. Bien que nous ne puissions présenter aucune preuve absolue d’une telle affirmation catégorique, nous vous invitons à réaliser un examen soigneux de ces données sur nos activités, pour vérifier qu’une telle hypothèse ne résiste pas au plus léger jugement critique.
Nos hommes se sont limités à réaliser un travail systématique de documentation sur les caractéristiques géophysiques et le milieu écologique de la planète, la culture de son peuple, prenant un soin spécial à ne pas léser volontairement les intérêts économiques ou des citoyens…
(et un autre paragraphe 🙂
… Quelque soit le jugement qui, aujourd’hui ou demain, se formera sur nous, vous conviendrez, monsieur, et nous pensons que les conseillers de… reprendront cette opinion, qu’il n’est pas prudent de transcrire, à un niveau facilement valable devant l’opinion publique, ni vos démarches pour nous localiser, ni notre activité, tant que nos deux parties n’éclaircirons pas leurs positions respectives…
Monsieur Martiñez, jusqu’à maintenant nous ne connaissons, aucune réaction officielle à notre note. Ainsi nous pensons que les divers fonctionnaires du gouvernement fédéral ont reçu des instructions concrètes pour collaborer avec ce service. Ils jouissent d’une liberté de mouvements dans la majorité des états latino-américains, en Espagne, et en Israël, qui en conséquence rendent plus difficiles nos missions. Nous nous sommes vus même obligés de transférer notre centrale d’Europe à Berlin ouest dans une autre ville européenne.
Nous nous référons maintenant à d’autres sujets.
Transmettez à votre frère, monsieur Villagrasa Novoa, notre déclaration que le document et le signal distinctif qu’il a reçu dernièrement ne venaient pas de mes frères. On peut l’informer également que la personne qui doit être considérée comme la source immédiate de cet envoi réside à Barcelone. Puisque ces faits ne nous concernent en rien, il ne serait pas juste de notre part de révéler l’identité de cet Espagnol.
Demande expresse à votre frère Mejorada Giménez : notre inquiétude devant sa participation à l’analyse d’un autre champ d’investigation concernant une autre constellation de faits associés au groupe que dirige votre frère Sesma Manzano. Nous possédons suffisamment d’informations pour qualifier ces études de très dangereuses, manquant comme vous l’êtes de défenses et de moyens adéquats. Nous étendons nos préoccupations à votre sœur Madame Araujo et à vos autres frères Aguirre, Jordán et Muela.
Nous jugeons que, ces derniers mois, que les actes de messieurs Ribera et Villagrasa, passant des informations à des personnes déterminées d’Espagne et autres pays, supposent une transgression de votre accord avec nous.
A condition que ces informations ne soient pas diffusées en totalité, ni qu’elles soient avalisées par l’autorité du monsieur Ribera, au cas où elles figureraient éventuellement dans un média de diffusion, nous considérons que de tels faits n’ont pas dépassé les limites tolérables. Néanmoins nous vous demandons d’être prudents avant de diffuser de telles copies. Nous insistons qu’il serait préférable de maintenir une abstention plus en accord à nos critères.
Nous devons maintenant mettre l’accent sur de nouveaux aspects de nos relations mutuelles futures. Nous avons observé parmi vous quelque inquiétude à trouver un certain degré d’ambiguïté dans notre proposition. Bien qu’à l’extrême limite nous vous laissons décider, nous vous exposons notre opinion en l’espèce.
A propos de l’identité du frère qui dans l’avenir doit recevoir nos éventuelles informations de caractère générique, nous désirons lui concéder un certain niveau d’autorité de décision, à l’effet de fournir des copies de ces documents à la personne qui ne remplit pas à un moment donné les exigences pertinentes minimales de discrétion. Naturellement cela exclut toute autre forme arbitraire de concession ou dénégation d’une telle information qui, de par sa propre nature, vous était destinée.
Ne condiérez pas comme une ingérence, ni pour une sollicitude excessive, le conseil qu’une telle personne doive réunir les plus grandes qualités en ce qui concerne l’âge, l’expérience et la formation en ce domaine, une autorité reconnue et documentée. Si vous évaluez ceci objectivement, vous devez reconnaître qu’une telle personne est votre frère Antonio Ribera.
Nous ne souffrirons pas que vos frères de Madrid se sentent marginalisés ou humiliés par notre évaluation. Vous qui avez constitué à une autre époque un groupe incalculement valable pour notre expérience psychosociale, vous ignoreriez alors nos sentiments envers vous.
De ce fait, en compensation, un directeur d’Eridani authentiquement représentatif pourra assumer la responsabilité des conditions des futurs contacts, à effectuer en préalable à la consultation des deux groupes.
Nous sommes désormais en condition de vos informer que la conversation téléphonique (une entrevue plus personnelle n’est pas possible) est fixée entre les dates des 5 et 8 septembre 1970 (inclus ces deux jours) et que si, à la date du 12 août, il n’a pas reçu de données qui modifient ce plan, cela se fera à Londres. Dans le cas où aucun membre ne pourrait se déplacer à ces dates, nous fixerons une nouvelle opportunité entre fin septembre et les premiers jours de novembre.
Dans les lettres précédentes, nous vous orientions sur la forme de développement d’un tel contact. Soyez sûrs que si nous croyons viable que cette conversation puisse avoir lieu en Espagne, nous le ferons avec plaisir.
Nous répétons avec insistance que votre frère sélectionné, doit retarder le choix de sa résidence à Londres jusqu’à ce qu’il se trouve dans cette capitale. Nous nous chargeons de le localiser. Un appel téléphonique aura lieu après 22 heures. Qu’il adopte alors la précaution de ne pas sortir de sa résidence élue (hôtel ou résidence privée) à ces dates.
Je vous envoie, monsieur, mes saluts affectueux.
D94
Référence : | D 94 |
Titre | Message d’Ummo à la CIA de Madrid , Ummites à Albacète |
Destinataire(s) et date(s) | ERIDANI le 12/08/1970 |
Commentaires |
UMMOAELEWEE
ERIDANI
Association d’études cosmologiques
MADRID, Espagne
Respectables messieurs,
Comme la note que nous avons récemment remise à une Agence située dans cette même capitale, au service d’un Département des États-Unis d’Amérique du Nord, fait dans l’un de ses paragraphes allusion à vous, nous avons pensé qu’il était correct de vous en fournir le contenu. Nous avons omis seulement quelques paragraphes pour des raisons que nous vous prions d’essayer de comprendre.
(Information en espagnol sur la lettre: Ceci est la traduction de l’original en anglais)
______________________
……………………….
………….MADRID (ESPAGNE) 24 août
…………………………
Estimé monsieur,
Nous vous prions de délivrer une copie de cette lettre à vos supérieurs, bien que nous pourrions le faire d’une autre façon. Nous nous référons, bien entendu, à vos supérieurs non de cette Agence ou Firme commerciale mais à………………………………………………………………………….
L’objet qui nous amène à nous adresser à cette Délégation est de vous faire savoir que nous sommes au courant de la mission « RED CASTLE 883 ». qui vous est confiée.
Dans des notes antérieures remises aux départements ……… et ……de la centrale à Washington, ainsi que dans la note remise à la date du 2 décembre 1969 à la représentation diplomatique des USA en Australie, mes compatriotes exposaient notre attitude à propos des recherches dont nous étions l’objet de la part des Autorités Fédérales de votre Pays.
Cette note doit être un avertissement qui clarifie en quelque sorte leurs activités en Espagne.
Vous pourrez en déduire que notre propre information est assez ample elle aussi. Nous déplorons que vous l’attribuiez aux fuites de nos propres « agents » dans votre section ou bien à d’inexistantes déficiences de nos subordonnés. Nous déplorons aussi de même que cette révélation de notre part sur de vraies fonctions de cette Agence dans la capitale espagnole ait forcé vos supérieurs à opérer des modifications substantielles dans sa localisation et son organisation. Nous sommes certains qu’à part celle qui nous intéresse, vos autres activités nous sont pratiquement inconnues.
J’expose ici les déclarations auxquelles je fais référence.
1° Bien que nous ayons la pleine conviction que notre version ne sera pas non plus acceptée, nous vous répétons que nous formons un groupe restreint de personnes originaires d’une autre planète habitée différente de la Terre. Qu’actuellement, nous sommes occasionnellement répartis dans différentes nations, accomplissant une mission dont le strict objectif est centré sur l’étude analytique de votre structure géologique, de l’atmosphère, de votre biosphère, ainsi que de l’ethnologie, l’Histoire et la culture actuelle de l’humanité qui peuple la Terre. Bien que nous suivions avec attention l’évolution géopolitique de vos structures sociales, nous ne pouvons prouver qu’en marge de ces fonctions prospectives nous n’exercions aucune activité de ferment idéologique politique parmi vos semblables ni ne canalisions une information cryptomilitaire pour de tierces puissances.
Nous déplorons que cette déclaration soit considérée comme « dérisoire ou démentielle ». Nous vous invitons à réfléchir que si ce n’était pas certain, il serait ridicule de nous cacher derrière une identité aussi invraisemblable pour vous.
D’autre part, à la vue de nos méthodes et de la planification de notre système de protection, nous vous confions que le bon jugement des techniciens de Washington rend très difficile de nous qualifier de déments, version qui d’autre part, si elle est acceptée, ne nous gênera absolument pas et servira au moins à ce qu’ils nous laissent tranquilles.
2°. Je m’en presse de suggérer que les recherches dont a fait l’objet l’Hôtel…. (BILBAO, ESPAGNE) n’ont pas donné de résultat. En effet, mes deux compatriotes résidaient à ces dates là-bas sous une fausse identité.
Eux, bien que cette affirmation fasse sourire, mais elle est véridique, ils ne se trouvent même pas sur cette planète, et je soupçonne, avec de bonnes raisons, qu’ils ne laissèrent pas de preuves précieuses, à part ces signatures que l’on a trouvées.
3°. Sur la fiche à en tête pour la signature :
Réf. 4460611 / SPAIN / RED CASTLE A4L. may 69
LLOBET DE ROBLES ANTONIO
républica argentina 249, BARCELONA, SPAIN
Mis à part d’autres inexactitudes contenues dans vos fichiers,, il a été noté : « a reçu des appels téléphoniques de nos agents… ».
Nous devons vous indiquer qu’aucun de mes compatriotes ni moi-même n’avons jamais adressé la parole à ce respectable citoyen espagnol.
4°. Nous ne croyons pas que vos recherches sur notre séjour à Albacète ne vous apportent quelques pistes éclairantes sur notre situation.
En effet, nous « résidions » clandestinement au domicile (démoli depuis comme on peut le vérifier ) de cette gentille dame espagnole Madame Marguerite Ruiz de Lihory, rue Mayor (à l’époque n° 58), qui nous facilita l’étude de quelques-uns de ses animaux qu’elle aimait tant. Quand, le 2 février 1954, la situation pour mes compatriotes est devenue intenable, à cause des inévitables commentaires du voisinage, ils abandonnèrent ce qui fut le premier séjour de mes frères dans ce pays depuis leur arrivée de France.
Nous vous déconseillons de faire des recherches auprès des parents et voisins qui ont survécu à cette dame, car ils ne savent rien ou pratiquement rien de notre existence.
5°. Enrique Lopez Guerrero, le prêtre catholique, résidant à MAIRENA DEL ALCOR (SÉVILLE), qui a aussi attiré votre attention, n’a pas eu plus de relations avec nous que quelques courtes lettres. Quand nous avons publié ces rapports, nous n’avions même pas contrôlé l’identité de ce sujet de nationalité espagnole.
6°. ………………………………………………………………………………………………………………..
7°. Nous croyons que vous avez subi une erreur qui selon nous est du, de notre point de vue à votre service d’interception qui s’est montré défectueux.
Le jeune D……… dont vous avez soigneusement contrôlé les mouvements durant son séjour actuel à LONDRES, appartient en effet à ce groupe de personnes vivant à Madrid, intéressé par notre témoignage. Mais ce n’était pas celui dont vous suspectiez le motif de son séjour accidentel dans cette capitale. Il s’agit d’une coïncidence circonstancielle non liée aux références qui ont filtré jusqu’à vous.
Je crois qu’à présent vous avez vérifié que ce noyau restreint de personnes de nationalité espagnole maintient avec nous de vrais liens amicaux, alors que nous ne les connaissons même pas personnellement. Tous, même, n’acceptent pas forcément ni totalement la réalité de notre identité et c’est quelque chose que vous, Monsieur, pouvez comprendre en raison de vos propres jugements.
En fonction des facilités que vos agents ont rencontré pour recueillir l’information à travers eux sans qu’ils les avertissent pourra vous permettre de juger la pureté d’intentions de ces gentils hommes. Mais vous êtes intelligent et au moins sur ce point, j’espère, que nous serons d’accord. J’ajoute qu’en échange, ils obtinrent quelques données utilisables pour notre identification provenant de nos correspondants. Croyez-moi que nous le déplorons.
8°. Nous regrettons vraiment que WISHAM KARL H, Virgen del Sagrario n° 34 MADRID, ESPAGNE, ait été gêné involontairement par notre faute. Nous n’avons jamais tenu de relations d’aucun type à cette adresse et nous ignorons totalement son identité. Nous craignons beaucoup qu’ici aussi ait été commise une erreur.
Nos salutations.
_______________
Ici se termine, messieurs, le texte de la note remise à cette délégation. Nous vous remercions vivement de transmettre cette lettre à M. DIONISIO GARRIDO BUENDIA pour être conservée. Nous vous supplions d’en fournir également et rapidement une copie à vos frères de BARCELONE et de SÉVILLE. Dans ce cas présent pour des raisons évidentes, sans les précautions que nous prenions autrefois pour le reste de la correspondance.
Recevez mes cordiales salutations.
D95
UMMAOELEWEE
Copies: 1
Adressée à Dionisio Garrido Buendia
MADRID ESPAGNE
Madrid 19 Août 1970
Notre estimé Monsieur : Nous vous adressons nos respectueuses salutations.
La lettre que nous vous avons envoyée il n’y a pas longtemps est connue pratiquement par tous vos frères intéressés par nos nouvelles. Nous vous remercions une fois de plus pour l’intérêt que vous nous dédiez et nous comprenons que les vacances d’été constituent un obstacle sérieux pour vos propres communications internes, c’est pourquoi nous excusons les quelques omissions que nous avons enregistrées dans la diffusion de notre écrit.
Je voudrais Monsieur, refléter d’une certaine manière avec toute notre sincérité nos idées actuelles au sujet de ces bizarres relations avec vous même au risque de répéter jusqu’à satiété nos concepts et nos points de vue particuliers qu’en leur temps nous avons versés dans des lettres précédentes souscrites par moi ou certains de mes frères.
Notre crainte actuelle se centre sur une série de considérations complexes qu’accepterait sans doute tout analyste subtil parmi vous. En premier lieu nous ferons allusion à la possible stérilité de nos relations. Il est indubitable que n’entre pas dans le champ de notre pratique, une intervention active de notre part qui violerait vos plus chères libertés, pas même en exerçant une fonction accessoire que constituerait inévitablement une manière voilée de contrainte ou de paternalisme. Il en est également ainsi quand vous mêmes en adoptant une attitude que nous qualifierons de masochisme intellectuel, vous nous demandez que nous acceptions quelque genre de soumission ne fut-ce qu’au niveau des individualités. Nous le répétons : ce ne sera pas accepté car nous le considérons comme une violation évidente de notre code éthique, qui postule le profond respect vers l’ idiosyncrasie et la dynamique évolutive des groupes bio-rationnels autochtones. [ndT : Tout ce paragraphe a été marqué d’une accolade manuscrite terrienne, accompagnée de l’indication: « Réponse à ma question »]
Mais vous êtes vous-mêmes témoins qu’en pratique cette idée est difficile à mettre en projet d’action par l’inévitable opposition des conditionnants psychosociaux qui sont en vigueur entre vous. Comment pourrions nous éviter – toujours dans l’hypothèse réelle que nous respectons vos formes de conduite et vos processus affectifs et d’élaboration rationnelle – qu’en recevant nos informations et nos lettres, vous soyez affectés sous notre influence ? Pour quelques uns parmi vous l’auréole de mystère qui nous entoure inévitablement, accroît notre prestige et si en plus est accepté avec une grande marge de probabilité notre témoignage de faire partie d’un Réseau social exoanthropologique provenant d’un lointain Astre froid, cela ne fait qu’augmenter encore plus notre réputation avec sa charge de suggestivité et son potentiel d’irradiation intellectuelle.
De cette façon, toute suggestion de notre part, la plus simple opinion, un conseil timide que nous ébauchons sans la moindre intentionnalité de contrainte, peut être convertie par vous en un puissant ressort de conduites qui vous force moralement à suivre une ligne ou une politique d’action au préjudice de vos plus valables libertés de choix. Le risque est tellement évident que nous ne croyons pas qu’il est nécessaire d’insister encore en l’accusant. Il serait injuste d’autre part de qualifier de néfaste ou d’aliénant une telle influence dans le sens où par exemple elle constituerait pour vous un embryon de perturbations psychopathologiques. Nous imaginons que vous êtes conscients que la signification de nos craintes n’est pas cela.
Pour pallier ces effets, nous pourrions dans nos écrits vous présenter des versions plus aseptiques – Et quelque chose comme cela est en vigueur dans notre stratégie concernant nos communications – ou interrompre pour toujours ces étranges contacts solution qui, bien que drastique, couperait à la racine les germes du problème. Mais nous estimons cette dernière alternative sous un angle affectif ou sentimental et nous savons que vous la qualifieriez de cruelle et pour cela nous n’avons pas voulu l’adopter unilatéralement sans votre consentement préalable.
Quelle que soit la solution définitive adoptée, elle ne peut être satisfaisante pour tous au niveau où nous nous trouvons, et c’est une chose dont il faut acquérir la pleine conscience.
Car le degré de complexité qu’ont atteint avec le temps les procédés de ce genre, spécialement quand ont été incrustées des formes sémantiques et des structures mentales si différentes des nôtres, rend inévitables les tensions et les implications perturbatrices qui détériorent le cadre général.
Une bonne démonstration de ceci sont les réticences et les divergences voilées, le mal-être en somme avec lesquelles ont été accueillies nos dernières insinuations concernant les futures relations avec les groupes de Madrid et de Barcelone. Insinuations dont nous pouvons maintenant vous rassurer qu’elles n’avaient pas le but d’être contraignantes, mais simplement orientées.
Ceci nous produit une sensation d’amertume. Il ne faut pas le qualifier de reproche envers vous. Ni vous ni vos frères ne sont coupables de ces esprits mal ajustés qui sont en limite finale un sous-produit de quelques schémas mentaux des hommes de la TERRE, déformés par une séquelle de traumatismes sociaux très complexes de différenciation étiologique difficile pour vous.
Pour cela nous préférons corriger. Nous corrigerons toutes les fois que ce sera nécessaire de façon à vous éviter des amères déceptions et des dissensions intestines entre vos frères. Nous répartirons notre correspondance entre les deux groupements : CEI et ERIDANI indistinctement et puisque le voyage à Londres a provoqué des inquiétudes parmi vous et de l’étrangeté, nous annulons ce contact qui d’autre part n’était pas indispensable, jusqu’à ce que des circonstances plus favorables que les présentes permettent dans les mois prochains de tenir cette conférence à BARCELONE ou à MADRID sans risques d’interception. Notre insinuation de contribuer économiquement aux frais de ce voyage n’étaient [ndt: nous respectons ici le texte et sa syntaxe originale] d’aucune manière une manière paternaliste de vous imposer nos normes. Vous ne devriez pas vous sentir humiliés par une offre dont l’unique objet était de compenser le grave dérangement associé à notre initiative de parler avec vous.
Nous comprenons et nous nous sentons coupables pour n’avoir pas mieux saisi vos propres sentiments. Nous nous efforçons encore plus d’aller plus loin en ne vous forçant pas à adopter des résolutions qui s’écartent trop de vos habitudes quotidiennes. Inévitablement une proposition comme celle dont nous parlons a provoqué des altérations dans vos vies privées ce à quoi nous faisions allusion au début de cette lettre et il est de notre devoir de corriger dans la mesure du possible nos premières suppositions. Pardonnez-nous pour cette transgression à notre propre morale.
Enfin, nous vous demandons de ne pas vous sentir complexés par ces manifestations un peu âcres, ni de vous générer à vous-mêmes un sentiment de culpabilité qui n’existe pas. Cela empirerait justement le cadre que nous essayons de purifier. Nous avons agi sous les suppositions d’une morale de situation qu’il est nécessaire de modifier en fonction de cette même situation changeante.
Il ne nous reste qu’à vous exhorter une fois de plus de maintenir l’indépendance de jugement par rapport à nous. Il vous faut rendre compatible, au niveau possible, le respect mu par une légitime curiosité envers ces très étranges – lettres- pour vous, avec vos propres rationalisations critiques du problème. Et puisque nous non plus ne le désirons ainsi, ne vous laissez pas entraîner par nos versions et conseils jusqu’à ce qu’un processus de mûre analyse et d’objectivation de ceux-ci vous rende leur acceptation viable.
Monsieur : je vous demande de restreindre à la limite du possible l’élaboration de copies de cette lettre et de futures, jusqu’à ce que les conditions d’insécurité aient changé. A ce sujet, nous continuons à maintenir une sollicitude impérative. N’envoyez qu’à vos frères de Séville et de Barcelone une reproduction, en cachetant la lettre et en la cousant ensemble avec une ficelle pour éviter une éventuelle violation de son contenu sans que vous n’en soyez informé.
D96
UMMOAELEWE
Monsieur Franco Muela
MADRID Espagne
Date : 12.XI.1970
Monsieur Franco Muela,
Nous désirons vous exprimer, d’une certaine manière, notre gratitude pour votre geste d’offrir une œuvre picturale réalisée par vous.
Nous pouvons vous informer que seulement trois de vos frères terrestres nous on offert des objets de leur propriété pour nous les donner.
Un citoyen yougoslave désira nous offrir des livres de sa précieuse collection. Un de vos frères de nationalité australienne mais d’origine anglaise nous offrit un exemplaire d’une céramique japonaise et maintenant, quelques mois après, vous avez eu la gentillesse de nous apporter cet inestimable cadeau.
Quelques-uns de vos frères aussi nous adressèrent quelques livres (Canada et Espagne) et un autre nous dédia une inoubliable poésie (Espagne).
Nous nous sentons honteux d’avoir à avouer que nous devons être fidèles à une norme stricte, relative au refus de toute action de réception consciente de cadeaux matériels, qui pourrait être un jour mal interprétée par les hommes de la TERRE.
N’oubliez pas cependant que votre attention nous a ému profondément. Que certaines personnes comme vous, qui ne peuvent vérifier notre vraie identité ni notre pureté d’intentions et doivent naturellement adopter une certaine dose de prudent scepticisme, se risquent à perdre leur prestige bien gagné, par leur présent désir de nous faire un cadeau, doit être compris par nous d’une façon sensiblement positive.
Monsieur : notre plus cordial et affectueux salut pour vous, notre respectueux et déférent complexe de meilleurs vœux pour votre épouse et pour vos jeunes enfants.
D97
UMMOAELEWEE
Monsieur Alberto Borras Gabarro
Espagne MADRID
Notre estimé monsieur,
Nous avons considéré qu’il était prudent de vous remettre cette lettre, considérant que nous réduisons d’un certain degré la possibilité qu’elle soit interceptée, comme sans doute il en arriva à une autre adressée à vos frères déterminés mais caractérisés.
Nous pensons qu’une telle liberté ne vous causera pas trop de colère si en effet vous avez été intéressé par notre cas, bien que sans lui concéder un crédit excessif. Attitude équilibrée et équanime que nous sommes obligés de louer.
Très récemment, nous sommes retournés en Espagne, bien que nous ne resterons pas dans votre nation trop de jours, et c’est la première lettre que nous vous écrivons, comme étant intéressés par notre existence. Nous espérons renouer notre canal informatif qui avait été circonscrit à de simples lettres informatives. Exprimez à vos frères de Barcelone que les premiers documents de cette nature que nous vous remettons depuis un autre pays d’Europe leurs seront probablement destinés.
Nous désirons aussi un prompt et définitif rétablissement au prêtre Enrique López Guerrero (don) Pouvez-vous lui communiquer que nous ne croyons pas que le traumatisme subi engendre des complications somatiques dans l’avenir.
A notre arrivée, nous avons pu capter quelques rumeurs qui ont pris corps, sur nous et sur vous mêmes. Ne supposez aucune nouvelle digne d’être analysée. Il doit nécessairement circuler des versions très variées nous identifiant vaguement avec d‘autres entités, et même affectant ces interprétations à vos propres amis et frères pour la seule raison d’avoir montré de l’intérêt envers notre identité. Il n’est pas nécessaire d’insister sur ce point particulier puisque l’imprécision informative dont nous nous entourons, l’absence d’apport de preuves inconstatables de notre part, et le caractère mystérieux dont vous-mêmes entourez tous les commentaires qui nous concernent, ont dû provoquer fatalement une saine méfiance qui se traduit chez vos autres frères par une ample échelle d’évaluations qui se nuancent parfois sarcastiquement, rationalisant les autres avec une crainte superstitieuse.
A chacun de vos frères intelligents il ne doit pas échapper qu’avec un tel manque de consistance, notre propre témoignage véritablement incroyable, peut être considéré comme une des nombreuses hypothèses qui ont circulé et ont été divulguées, faute de toute preuve cohérente et objective.
De nombreuses fois, nous avons donné à entendre qu’il ne s’agit pas de l’expression qui vous est familière du Jeu du chat et de la souris. La nature même de notre séjour parmi vous exige cette nouvelle stratégie qui doit engendrer chez vous un excès de confusion interprétative. Cette attitude entre-t-elle dans la catégorie des fins ? Par hypothèse NON. Il s’agit simplement d’une mesure de sécurité, qui pour nous est suffisante et nécessaire et qui nous permet, sans adultérer la vérité, de coexister avec vous sans que certains secteurs de votre société prennent conscience de notre vraie identité. Le même doute infiltré parmi vos propres frères intéressés par ce problème peut être qualifié de fonctionnel, si nous acceptons l’hypothèse de quelque future détection possible.
Nous croyons que vous nous comprendrez si, une fois de plus, nous vous exhortons à maintenir cette attitude préventive face à nous. (Nous maintiendrons cette attitude d’une manière indépendante, même dans le cas où nous nous efforcerions à vous convaincre de notre vraie identification génétique.)
Nous savions très peu de vous durant cet intervalle étendu que nous avons consumé jusqu’à la date. Des mois après, nous nous permettons d’exercer un certain contrôle informatif sur vous, en le rendant compatible avec le respect que nous portons à votre propre intimité. Notre absence temporaire d’Espagne et du Portugal (absence dont nous devons vous informer qu’elle est déjà définitive), nous rend difficile de posséder une information basée sur vos pensées, exprimées oralement, à notre propos. Sauf si vous le manifestiez expressément nous allons neutraliser cette chaude amitié qui a surgi éventuellement entre ces groupes espagnols dispersés et nous. Nous croyons seulement que ce courant affectif pourra juguler un risque manifeste que vous ou nous pouvons détecter, généré à l’extérieur de vos cercles privés, du départ définitif de ce groupe d’expéditionnaires qui à n’importe quel moment pourra s’exécuter, si ceux qui nous dirigent et dont nous sommes les subordonnés nous le demandent ainsi.
Ces longues périodes de silence que vous devez observez obéissent à un complexe de causes que vous avez présumées avec succès.
Nous qualifierons ce prologue épistolaire de secondaire puisque le motif essentiel de cette lettre est le suivant.
A la lettre, nous ajoutons deux cartes (ndt: d’identité) qui pour quelques-uns de vos frères peuvent se montrer révélatrices et ne pas manquer d’un certain intérêt. Elles appartiennent à un membre (respectable sous d’autres concepts) d’une Entité Etats-Unienne présente sur toute la planète Terre et qui développe un travail de compilation informative sur nous afin d’informer son gouvernement, déjà en une autre occasion nous vous avons averti de cette extrémité.
Cet agent opère habituellement seul, sous le patronyme de César suivi de différentes appellations arbitraires selon la mission commandée (comme nous le voyons sur deux des cartes lorsqu’il est intervenu dans une opération confiée antérieurement à des citoyens coréens et qui ne nous regarde en rien), il s’est autonommé Gómez. Il a usé aussi de noms comme Martínez, Augusto Lozano, Hardin Rock, Dumond, Fortaleza Salgado. C’est un homme très habile qui dans quelques cas adopte la personnalité d’un débile mental. Actuellement, il dirige la section N -17 destinée à investiguer sur nos « activités ». Il est convaincu que nous sommes un groupe dirigé par un ministère gouvernemental de la République Fédérale d’Allemagne, à l’encontre de ses propres supérieurs qui professent d’autres critères. En 1970, il se chargea de la surveillance d’un de vos frères, M. Francisco Mejorada, durant son bref séjour dans la capitale britannique, quand ils soupçonnèrent par erreur que son voyage en Grande-Bretagne obéissait à d’autres motifs.
Nous croyons que vous n’avez rien à craindre de ces citoyens nordaméricains, mais nous avons pensé qu’il pouvait être intéressant pour vous de connaître au moins l’identité de ceux qui éventuellement ont exercé ou exercent sur vous quelque mission plus ou moins intranscendante de surveillance. Constatez actuellement que même dans le cas où vous accepteriez librement une coopération, ils ne possèdent jamais aucun moyen de nous identifier et de nous intercepter. Pour tout cela nous conseillons de ne pas trop vous alarmer. Ne craindre ni pour vous ni pour nous et vraiment leur travail d’obstruction ne nous cause pas de gène dans nos fonctions d’étude.
Les présents documents joints avec beaucoup d’autres extraits par nous à ces respectables fonctionnaires ne doivent pas être rendus après leur reproduction, comme c’est notre habitude, puisque son absence n’a pas engendré de troubles graves pour vos propres fonctions professionnelles.
Vous pouvez les garder comme souvenir curieux et à la fois vous en servir chaque fois pour l’identifier. Nous devons augmenter la prudente réserve avec laquelle vous devez entourer sa possession, d’autant qu’il pourrait être ennuyeux pour vous en certaines urgences d’avoir à justifier la voie par laquelle il est arrivé entre vos mains.
Cela nous attriste vraiment que vos frères des États-Unis d’Amérique du Nord dilapident une partie de leur temps à nous poursuivre, quand les uniques fruits obtenus jusqu’à présent ont été une photographie de nos informations remises à des personnes de la Terre de personnalités mexicaine, canadienne, française, espagnole, australienne, des rapports, des photographies de deux de mes frères qui pour cette raison se sont vus obligés de quitter la Terre, mis à part quelques effets personnels des autres, sans le moindre intérêt technique pour eux. (Ceci) pendant que nous avons accès non seulement à vos différentes archives mais même à la documentation personnelle que gardent beaucoup de leurs agents.
Nous croyons que toute cette persécution est stérile puisque nous ne représentons pas un péril quelconque pour aucun oemii de la Terre, nous sommes conscients cependant de la difficulté qu’il y a pour vous à le comprendre ainsi.
Il est juste cependant de vous informer qu‘en réalité très peu d’effectifs de leurs forces ont reçu des instructions de se consacrer exclusivement à nous.
Nous vous répétons que nous considérons comme prudent de tenter de réaliser une investigation pour votre compte sur ces agents. Enfin, on doit reconnaître que vous avez été seulement fugacement impliqués et qu’ils ont obligation d’exercer sur l’un des vôtres la surveillance superficielle, dont il a été l’objet.
Une dernière prière : ne faites pas de cette lettre plus de deux copies indispensables pour informer vos frères de Barcelone et Séville.
Les cartes (d’identité) soustraites peuvent être gardées ou détruites, cela est indifférent. Les photographies peuvent être d’une certaine utilité. N’ayez pas d’elles plus que photocopies en couleurs ou en noir et blanc que nécessaire. Il n’est pas nécessaire d’insister sur les risques possibles qu’entraîne une diffusion trop généreuse de tels document privés.
Recevez, Monsieur Don Alberto, nos aimables et respectueuses salutations à étendre à Doña Mathilde et à vos intelligents enfants.
Permis de conduire et photo de « César » (S97-1.gif , S97-1b, et S97-2.gif)
(S97-3.gif – n’est lisible que sur Aguirre, page II-II-81)
(S97-4.gif)
D99
BIEUIGUU (Étude des facteurs immatériels liés aux facteurs biologiques).
Bien qu’une analyse de notre BIEUIGUU exigerai d’exposer les bases scientifiques sur lesquelles s’appuie notre conception de la Biologie, et comme nous préférons vous offrir une image anthropologique qui, au sein de nos sciences, doit se greffer nécessairement dans une systémique soigneuse qui englobe des disciplines très hétérogènes pour vous hommes de la Terre et qui d’autre part fut déjà exposée dans des résumés à d’autres frères de cet astre froid, nous désirons vous synthétiser notre concept de l’homme.
L’OEMII (peut se traduire par: ÊTRE RATIONNEL IMMERGÉ DANS LE WAAM)
Dans notre WAAM règne une série de lois que vous avez pu en certaines occasions qualifier de néguentropiques. Elles se caractérisent ainsi car elles paraissent s’orienter en sens inverse des principes statistiques qui règlent la dégradation de la matière. Dans une autre occasion nous vous suggérerons qu’en réalité « ENTROPIE » et « NÉGUENTROPIE » sont des termes synonymes et équivalents à l’intérieur de la conception de cet univers qui « EST-AINSI-POUR-MOI ».
Nous sommes certains qu’existe de multiples structures d’êtres vivants dont la morphologie et les fonctions héritées génétiquement de leurs ancêtres vous ont semblé dépendre de deux types de facteurs déterminants : Le milieu physique et écobiologique d’une part, et d’autre part de possibles altérations dans les acides nucléiques provoquées par l’agression d’éléments microphysiques (mutations provoquées par des radiations, etc.).
La composition phylétique, complexe et très riche que vous observez sur Terre (moins riche et moins variée sur UMMO) pourrait vous faire croire que le nombre d’espèces possibles est infini. Selon cette supposition (et à l’intérieur des limites imposées naturellement par des conditions physiques totalement défavorables au développement des composés complexes de carbone) vous pourriez croire que sur des planètes à différences » géophysiques » trés marquées (voir note 27) » peuvent exister » des êtres pensants fabuleux avec une structure somatique qui vous paraîtrait monstrueuse.
Note 27 : Bien que vous n’estimerez pas correct l’emploi du préfixe GÉO pour se référer à d’autres astres, nous l’utilisons pour éviter le torrent de néologismes qu’il faudrait employer à sa place.
Rien n’est plus éloigné de la réalité. En effet : les astres froids que nous avons nous-mêmes connus et dont les caractéristiques atmosphériques, de masse, de l’étoile autour de laquelle elle tourne, etc., différent de la Terre et d’ UMMO, abritent dans certains cas des êtres humanoïdes avec une structure mentale similaire mais dont les corps présentent seulement des différences anatomo-physiologiques accidentelles (différentes statures, épidermes variés, organes développés, circonférence crânienne et surface encéphalique étendues, etc.).
En réalité il existe des lois (que nous vous exposerons une autre fois) qui conditionnent l’orthogenèse des êtres en permettant tout au plus une quantité indéfinie de formes différentes, quand le cadre biophysique l’exige ainsi, mais il faut toujours que ces diverses formes soient compatibles avec un substrat biologique ou modèle universel qui tolère des modifications circonstancielles et superficielles (en réalité il s’agit d’une série complexe de modèle) (voir note 28).
Note 28 : Cette assertion peut être rendue compréhensible par une comparaison: Dans une grande vallée entre les montagnes, traversée par une rivière abondante, diverses générations civilisées peuvent construire des maisons, des ponts, défricher les terres et tailler ou reboiser des forets entières. La physionomie des paysages, pour des observateurs de différentes époques, sera changeante et même radicalement distincte si elle se limite à une zone précise : un village. Mais pour un aviateur qui réalise des photographies avec un appareil à faible résolution, la topographie du terrain en ce qui concerne ses traits généraux sera indemne. Et si les styles des édifices du village sont différents à chaque siècle, en s’adaptant au milieu culturel, vu à quelques kilomètres d’altitude, le village demeurera une tache blanche parmi le gris verdâtre des terres. De même les altérations phylétiques des êtres peuvent être perceptibles par un observateur qui a une grande résolution d’analyse mais le « macro-cadre » biologique du WAAM conserve des traits caractéristiques constants.
Quand le milieu est excessivement hostile, ce n’est pas qu’une espèce qui prétend se structurer en s’adaptant à celui-ci périsse après une mutation frustrée, mais c’est tout simplement que l’apparition d’une nouvelle espèce était impossible.
De cette manière il existe une multitude immense de planètes sur lesquelles on ne trouve pas d’êtres vivants, ou exprimé autrement, seules des planètes aux caractéristiques proches des nôtres abritent des espèces qui dans leurs formes évolutives moyennes diffèrent de celles connues par vous, quoique conservant les traits communs aux espèces maintenant familières (systèmes nerveux et circulatoire semblables, structures osseuses et tissus aux formes différentes mais avec une base physiologique et cytoplasmique déjà connue dans leurs lignes générales).
Mais les différences sont encore moindres chez les êtres oligocellulaires (Ndt: oligo= petit ou simple) ou primitifs et à une autre échelle dans les Phylums complexes (anthropoïdes).
Nous avons établi un critère de discrimination entre » l’anthropoïde supérieur ou intelligent » à l’animal inférieur même s’il possède des traits anthropoïdes comme les primates de la Terre : c’est la présence du troisième facteur OAMBUAM que nous décrirons plus loin. Et nous appellons OEMII le complexe somatique (matériel et par conséquent perceptible par nos organes sensoriels) de ce que vous nommez « Homo sapiens ».
Différences entre l’OEMII terrestre et l’OEMII de UMMO
Nous achevons de vous signaler que les êtres pensants qui existent sur les relativement rares planètes (voir note 29) habitées, ne diffèrent pas énormément de notre soma (nous avons été surpris par ces fantaisies créées par vos romanciers et même par des biologistes qui postulent l’existence d’êtres basés sur la chimie du silicium ou de monstres intelligents polypodes, monophtalmes (Ndt: à base de dérivés de naphtalène), à la peau gélatineuse, etc.).
Note 29 : Nous avons eu directement accès à quelques planètes et nous avons reçu des informations de quelques autres. Nos voyages ont à peine dépassé (quand les conditions de » courbure » spatiale ont été optimum) une limite de 1266 années-lumière. Notre Galaxie possède une dimension maximale de l17 312 années-lumière et nous ignorons totalement les autres civilisations qui se trouvent certainement en dehors de celle-ci. Si nous présumons que dans d’autres macro accumulations d’étoiles les conditions doivent être similaires, c’est parce que nous constatons ces lois biologiques par la preuve statistique d’enregistrement de planètes habitées. Le résultat fut favorable et les lois ont été confirmés par l’expérience. Les frères intelligents qui les peuplent possèdent des traits anatomorphiques très spécifiques (boîte crânienne étendue, organes génitaux avec un clitoris développé, doigts des extrémités réunis par l’intermédiaire d’une membrane, épiderme légèrement écaillé, paupières cornées, villosité sur les fesses, dans certains cas absence de molaires, poumons volumineux, pharynx protégé par des membranes perméables…).
Naturellement, comme vous ignorez cette série de lois, vous vous trouvez à un stade culturel où de telles hypothèses peuvent proliférer et provoquer la spéculation des scientifiques.
Nous savons qu’une hypothèse phylétique (Ndt: relatif au mode de formation des espèces) qui postule de nombreux degrés de liberté pour que le message génétique s’exprime dans toutes les classes de structures biologiques d’ordre supérieur est inexacte. Si le milieu écologique est adéquat et analogue à celui que nous connaissons sur nos OYAA respectives, l’apparition « d’humains » comme vous nous appelez ou bien OEMII selon notre idiome, sera possible. Si à l’inverse, les conditions biophysiques sont contraires, à un degré et une estimation que nous vous indiquons ci-dessous, OUI, l’apparition d’autres êtres (voir note 30) vivants non » doués de raison » sera possible mais jamais des ÊTRES PENSANTS.
Note 30 : Des conditions similaires d’un autre ordre existeront pour d’autres bio structures, mais il serait trop long de les énumérer. Des facteurs limitant ces spectres seront d’autant plus étendus (ou autrement dit : les limites supérieures ou inférieures les plus éloignées pour chaque condition physique) que la AYUUBAAYI ( réseau structurel biologique ou ensemble uni de cellules.) sera moins complexe.
Bien que le fait de vous offrir tous les aspects physiques conditionnants soit complexe, nous sélectionnons quelques-uns parmi les plus importants. Les planètes qui n’ont pas de traits définis à l’intérieur de ces limites, n’abritent pas en leur sein des êtres humains ou pensants qui doivent nécessairement nous être semblables au niveau de leur constitution anatomique.
Spectre des conditions physiobiologiques pour que soit possible la genèse d’OEMII à partir d’AYUUBAAYI (êtres vivants) inférieurs
Température superficielle de l’étoile « solaire » : 6170° K à 4552° K.
Excentricité de l’orbite planétaire : 0 à 0,1766 ± 0,0002.
Temps ou période de rotation : 16 h 31 mn à 84 heures.
Spectre de température sur la surface de la planète : 241° K à 319° K.
Masse de la planète : 2,65.1027 g à 12,01,1027 g.
Pourcentage de gaz atmosphérique à proximité de la lithosphère :
Oxygène : 18 % comme minimum.
Azote : 64 % comme minimum.
Radiation cosmique (valeurs moyennes) inférieure à 0,48 nucléons/cm2 (s) (stéréo-radiant) pour 1,8 GeV/nucléon.
Mais nous répétons que ce ne sont que quelques facteurs d’environnement parmi les plus importants, car les caractéristiques d’un écosystème influent fortement pour fixer le seuil qui permet l’apparition d’êtres humains. Le développement excessif de certaines espèces de micro-organismes a empêché dans certaines planètes la genèse de l’OEMII.
Dans un stade spécifique de l’évolution sur un OYAA, les OEMII présenteront des traits typiques qui les différencient d’autres OEMII vivants dans les autres planètes.
Voyez, par exemple, dans notre cas, quelques caractères qui nous identifient par rapport à l’Homo Sapiens de la Terre. (Pour des raisons de sécurité nous omettrons la partie de ceux qui affectent notre anatomie extérieure.)
Anatomie de l’OEMII de UMMO
Ces traits différentiels sont nombreux bien qu’ils puissent être qualifiés de peu importants si nous considérons seulement l’image exomorphologique ou externe, à tel point que mes frères et moi-même passons inaperçus parmi les autres habitants de la Terre. Ainsi, il serait facile de distinguer les différentes structures cérébrales correspondant au lobe antérieur et à celui que vous nommez faisceau spinocérébelleux de flechsing.
Dans le système limbique – plus développé que celui de l’Homo sapiens – on peut clairement constater des différences anatomiques de l’amygdale qui, et cela est certain, n’est pas connectée commechez vous, avec l’hypocampe. De même le septum occupe un volume plus grand. En général la relation :
Mn + Mg
————-
Mfm
Mn = masse des noyaux nerveux
Mg = masse des cellules de la névroglie
Mfm = masse des tractus myélinisés
est supérieur au vôtre de 17,6 % à 23,1 %.
C’est au niveau de l’hypophyse que les différences anatomo-physiologiques peuvent être qualifiées d’exceptionnelles. Nous avons noté chez vous l’absence de deux hormones secrétées par nous. Nous avons enregistré chez vous une meilleure stabilité et fixation de la mélanine cutanée. Dans notre cas la pigmentation peut varier dans des limites plus larges dans le temps et selon les zones considérées.
La production autorégulée de tyrosinase à un taux très variable n’a pas d’équivalent chez vous. Par contre les doses de carboxyhémoglobine enregistrées (appelé par nous WOODAA- Ndt: un espace d’environ 5 lettres en « blanc » ), sont énormément plus faible (de – 77,34 %).
Une pigmentation caroténique (jaunâtre) est typique chez nous dans une zone corporelle que nous ne vous indiquons pas pour des raisons de sécurité car cela faciliterait notre identification. Comme curiosité nous vous indiquerons que dans nos cheveux se trouve un composé que nous n’avons pas trouvé dans les vôtres ! Il possède la formule chimique suivante.
Une caractéristique véritablement discriminatoire, bien qu’elle ne soit pas l’apanage exclusif d’une grande partie des habitants d’UMMO, est l’atrophie vers l’âge de 16 ans terrestres, de l’épiglotte ainsi que du muscle thyroïdien (thyroarythénoïdien) et des cordes vocales. Un pourcentage notable de mes frères (mes compagnons voyageurs sur Terre et moi-même fûmes sélectionnés précisément pour ce caractère exceptionnel) possède un organe de phonation bien qu’il soit moins perfectionné que le vôtre.
La genèse de cette dégénérescence a des racines historico-biologiques très complexes et nous n’avons pas essayé de les corriger par modification génétique car aujourd’hui cela ne constitue pas un problème pour nous (mes frères utilisent des prothèses amplificatrices).
Parmi toutes les différences détectées, aucune ne vous paraîtra plus étrange que celle de nos sensibilités olfactives et cutanées ainsi que nos fonctions spéciales psychovestibulaires.
On peut observer dans notre épithélium olfactif une densité de 38000 cellules sensorielles par cm2 parmi lesquelles on peut en différencier quatre types : trois ciliés et une (AASNOOSAIWEE) sphéroïdale. Leurs fibres traversent le bulbe olfactif (d’une structuration différente de l’OEMII terrestre, sans l’existence de glomérules ni de fibres mitrales). Par rapport à vous, nous pouvons nous considérer comme hyperosmiques (Ndt; de l’osmologie: science des odeurs). Les seuils de perception sont plus bas. La capacité « résolutivo-discriminatoire » de sensibilité aux odeurs est certainement plus aiguë. Depuis de nombreux OIWI sur UMMO, nous pratiquons un art (intraduisible) que nous appelons » IAIQUEAI » (Ndt: seule écriture avec « QU » au lieu de « K » … voir IAIKEAI) qui consiste à mélanger des arômes pour obtenir de véritables « partitions » ou tableaux temporo-olfactifs.
La faible activité neuro-afférente de vos neurones sensoriels épidermiques des mains nous surprit, en particulier dans les UNIOBIGAA (bouts des doigts) et dans les paumes des mains et poignets. Nous avons classifié jusqu’à 37 récepteurs cutanés, l’un d’eux étant sensible à des fréquences mécaniques jusquà 26 600 cycles/sec, d’autres situés dans les couches les plus externes de l’épiderme sont sensibles à des radiations électromagnétiques correspondant aux bandes 6,23 à 9,8.104 c/s lumineuses et ultraviolettes de 4,2 à 4,8.1014. La sensibilité thermique est aussi plus active. Si nous ne pouvons pas distinguer avec les poignets des images nettes, par contre nous pouvons détecter des surfaces lumineuses (voir note 31). Les bouts des doigts sont particulièrement aptes pour l’intégration de schémas vibro-mécaniques car ils sont spécialement sensibles à ces fréquences.
Note 31: Avec notre poignet nous pouvons percevoir de vagues surfaces colorées, verdâtre, violettes, pourpre, pourvu que l’intensité lumineuse n’atteigne pas un certain seuil de blocage ou inhibition, dans ce cas, seuls les yeux continuent à être sensibles à la stimulation lumineuse. Nous pouvons ainsi nous orienter dans la semi-obscurité même avec les yeux fermés. La perception est monochrome quelle que soit la longueur d’onde.
Les paumes des mains sont aussi photosensibles mais à un degré moindre que les poignets. Ceci nous empêche d’effectuer avec les doigts certains travaux que vous pouvez réaliser. De fortes percussions dans les bouts des doigts et dans les poignets peuvent provoquer des lésions graves de nos organes sensoriels. Appuyer sur des boutons très durs, exercer des fonctions de préhension à grande pression, taper à la machine sont des exercices où vous êtes avantagés par rapport à nous. Personnellement je peux témoigner des véritables frayeurs que j’ai dû subir quand je suis arrivé sur Terre, dans des opérations aussi inoffensives pour vous comme appuyer sur certains boutons pour actionner des ascenseurs et des interrupteurs électriques. Quand aucun Terrien ne me voit, j’utilise encore les articulations des doigts pour ces actions.
Nous n’avons pu déceler des traits différentiels dans la constitution anato-morpho-physiologique de l’organe vestibulaire, hormis quelques variations dans le spectre granulométrique des otolithes et un moindre volume de notre utricule. Nous avons aussi pu constater que la sensation accusée par vous quand vous êtes soumis à certains niveaux d’accélération n’est pas associée comme chez nous à de fortes réactions émotionnelles de caractère sexuel très semblables à celle de l’orgasme (voir note 32).
Note 32 : Nous avons des réactions d’érection accompagnées de plaisir sexuel dans trois situations : orgasme durant le coït, lors de déplacements à des vitesses croissantes quand elles sont orientées » axialement à l’axe corporel » (de rares fois pendant les accélérations négatives) et quand nous sommes nus devant un autre frère de l’un ou l’autre sexe. Mais l’éjaculation ne se produit que dans le premier cas.
Il existe une autre caractéristique externe qui nous identifierait. Nous vous demandons de nous excuser de ne pas la décrire.
La fonction sexuelle parmi les composants de mon réseau social est semblable à celle des hommes de la Terre. Les différences les plus ostensibles apparaissent chez la YIIE (femme) avec un système endocrinien qui se distingue facilement de celui de la femme de votre planète.
La YIIE ( Note 33:YIE et GEE sont notés sous le même « genre grammatical ». L’identification du sexe dans l’information orale et écrite s’effectue, dans notre idiome, d’une autre manière.) possède un cycle œstral dont la période est équivalente à 19,262 VIW ± 11 VIW (environ 42 jours) . Ovulation et menstruation ont des aspects assez différents des vôtres. Nous avons pu obtenir une régulation exacte de tous ces cycles. La phase destructive de l’endomètre est soigneusement enregistrée par des capteurs placées dans le bas-ventre. Les résidus de la menstruation sont recueillis dans des capsules septiques que la femme met en place durant cette phase et les composants sont désintégrés, transformés en sodium et postérieurement en hélium.
Les ovules et spermatozoïdes ne peuvent être distingués de ceux d’un humain terrestre, malgré le fait que tout le processus de maturation de ce que vous appelez follicule se déroule suivant des constantes biologiques différentes. La femme n’a pas d’hymen, élément typique des terriennes.
Nous n’avons jamais tenté un coït avec un ou une terrestre. Nos normes interdisent actuellement une telle expérience (voir note 34), mais en tenant compte des différents traits physico-anatomiques qui nous caractérisent, malgré le fait qu’un observateur profane ne les trouverait pas facilement par un examen morphologique superficiel, nous pouvons vous assurer que le produit d’une semblable gestation souffrirait de graves déformations structurelles des hémisphères cérébraux et cérébelleux, de tout le système des glandes endocrines et, avec une grande probabilité, des systèmes nerveux autonome, digestif et rénal.
Note 34 : Une quelconque incidence directe de notre part qui affecterait le développement normal des hommes de la Terre au niveau biologique, nommé par nous AAEXEEBEE , est considérée par nos supérieurs comme anti éthique. Réaliser une expérience de fusion entre les êtres intelligents de deux planètes sans le consentement officiel de la Terre, constituerait à nos yeux une violation très grave. Nos frères ne pourront cohabiter avec des êtres de la Terre sans un accord tacite pris à des niveaux socio-représentatifs des deux planètes.
Ne pensez pas que la modification des bases génétiques en agissant à des niveaux nucléo-cellulaires, est facile. Nous possédons. des moyens efficaces d’altération du message génétique et cependant les perturbations artificielles, quand elles affectent spécialement la structuration du système nerveux, provoquent indéfectiblement de terribles altérations mentales parmi les êtres ainsi engendrés.
Le premier cycle de la femme de UMMO apparait entre 15,38 et 16,6 ans (années terrestres)
Vie sexuelle et conjugale de l’OEMII de UMMO
Durant une première phase dans la vie de nos enfants, les parents sont chargés de leur formation postnatale et adolescente. Mais à partir de 13,7 ans (terrestres) il se passe ce que vous appelleriez une « prise en charge par la patrie », le Conseil de UMMO (UMMOAELEWEE).
Les jeunes (garçons et filles) sont envoyés dans de grands centres d’enseignement UNAUO UEE , véritables villes pourvues de tous les systèmes possibles pour rendre viable l’intégration de l’individu dans un Réseau Social, un cadre, véritable modèle biosocial de ce qui sera plus tard pour eux le Réseau Social de UMMO.
La maturation de l’enfant se mesure en fonction de modèles mentaux standard. C’est notre Réseau SANMOOE AIUVAA (complexe d’ordinateurs qui régit en partie le développement d’UMMO) qui détecte pour chaque cas, les seuils de niveaux tolérés conventionnellement comme symptômes d’une telle maturation.
En même temps, le SANMOOE AIUVAA fournit aux parents les moyens phono-visuels pour l’éducation à tous les niveaux et sur tous les thèmes en les adaptant aux traits particuliers personnels de l’enfant en question. Ainsi l’éducation sexuelle est une topique respectée sur UMMO, et dans l’Histoire elle n’a jamais été considérée tabou – comme sur Terre – par la structure socio-culturelle.
Cependant une telle éducation présente des aspects différents de ceux qui vous sont familiers. Aussi bien l’on qualifiera d’absurde une quelconque restriction dans la présentation visuelle des aspects biophysiques de tels processus, chez les garçons et filles on induit un sentiment caractéristique de pudeur selon lequel on ne peut montrer son corps nu qu’au futur conjoint.
Garçons et filles apprennent que, dans des cas exceptionnels, le supérieur immédiat, quel que soit son sexe et son âge (parents, éducateurs, « chefs »…), peut s’il le désire (ce qui est relativement rare) leur ordonner de se dévêtir et c’est justement cette relative peu fréquente éventualité qui provoque une grande réaction de honte quand elle se produit (voir note 35). ‘
Note 35 :. Un supérieur n’a pas le droit de donner cet ordre en présence d’un troisième OEMII. Ce droit est le plus important que possède un OEMII avec un grade hiérarchique et c’est pour cela qu’il se montre prudent avant de l’ordonner.
Quand le supérieur appartient à l’autre sexe ou quand il est plus jeune, un tel châtiment constitue un affront humiliant, difficilement compréhensible pour les hommes de la Terre.
La femme cache toujours sa poitrine. Pour nous, les muscles, bras, tête, gorge, mains, pieds et lèvres ne sont pas des zones érogènes, c’est pour cela que le » baiser » n’a pas de signification. Sont générateurs de plaisir sexuel surtout les organes génitaux, les seins, le ventre, les fesses et le dos. Quand nous devons nous soumettre à un quelconque processus que vous appelleriez chirurgical – en cas de traumatisme qui affecte une zone corporelle – on recouvre l’épiderme d’UBAA SIAA , un pigment qui colore la peau de taches polychromes.
Une des » peines » graves prévues dans les UAA (législation) de UMMO consiste précisément à dépouiller publiquement la personne en infraction de ses vêtements et à l’exposer nue dans une enceinte transparente conditionnée thermiquement. Cette sanction bien que toujours en vigueur, ne s’applique actuellement jamais, mais elle fut relativement fréquente dans des époques proches.ummo-sciences: D 99 | T1-44/50
La suite sur les lettres D102
D100
Londres
12-6-1971 (manuscrit)
UMMOAELEUE
Chers amis d’Espagne,
Nous avons observé avec une préoccupation progressive la diffusion croissante que la nouvelle de notre existence a atteint dans ce pays historique de l’Europe.
Nous énonçons cette crainte, dans l’ordre des troubles hypothétiques que pourraient provoquer mes frères, puisqu’à présent nos séjours dans cette nation sont sporadiques et de brève durée.
Mais nous constatons avec tristesse que nos demandes antérieures n’ont pas été estimées à leur juste valeur. Nous vous l’assurons : que nous puissions qualifier sans crainte de sous-estimés et de très graves les troubles que pourraient provoquer aujourd’hui une adhésion à nos témoignages, notre pensée et notre propre science, n’est pas une simple appréciation subjective. La culture d’un réseau social ne peut, dans un état de développement inharmonieux, être violentée profondément par l’insertion de greffes étrangères sans un grand dérangement en son sein.
Ni notre philosophie, ni nos principes scientificotechniques, ni notre tissu social ne peuvent à ce stade historique de la Terre servir de modèles avant que vous dégagiez vos propres règles de civilisation. N’acceptez pas ce principe ; à évaluer les avantages obtenus et à les comparer aux dommages provoqués, vous constaterez un rapport en faveur de ces derniers.
Le mirage d’une libération de l’humanité terrestre, des misères inhérentes à sa propre évolution, par des êtres d’origine galactique, peut déclencher chez vos frères des mécanismes émotionnels très difficiles à contrôler. Nous refusons cela systématiquement ; et notre attitude se cristallise sur ce point, bien plus si possible, en apportant les données objectives qui appuient totalement notre vérité ; en remettant les preuves absolues qui avalisent notre témoignage ; en clarifiant les concepts qui apparaissent diffus dans nos écrits. De cette manière, nous évitons que l’information, éparpillée entre quelques OEMMII (HOMMES) de la Terre, atteigne un seuil de vraisemblance dangereux
Nous ne pouvons de ce fait vous apporter les arguments qui serviraient à sanctionner positivement pour vous l’existence hypothétique de ces voyageurs originaires d’Ummo.
Nous ne pouvons du moins que féliciter ceux d’entre vous qui, malgré la lecture de nos rapports, ont conservé leur indépendance de jugement, observant face à nous une attitude critique juste et valable, attaquant rationnellement notre propre version, après une exploration rationnelle analytique et systématique, quand celle-ci s’affronte aux théories aujourd’hui en vigueur sur cet astre solide.
– 1 – Bien que nous émeuve aussi, et engendre en nous une affection irrépressible envers ces quelques-uns de vos frères qui, guidés plus par leurs sentiments très nobles que par un processus de rationalisation logique, se sont vus impérieusement appelés à nous admirer en essayant même d’assimiler autant que possible nos idées. Pour que cela ne soit pas trop douloureux, nous nous voyons obligés de combattre, avec une dissuasion douce, leur comportement erroné.
– 2 – Il existe sur Terre des idéaux substitutifs aux nôtres que vous pouvez épouser sans crainte et avec une espérance solide. Une autre ligne d’adhésion vous submergerait dans un labyrinthe angoissant, pour enfin vous briser contre un miroir qui reflète avec des éclats trompeurs l’image d’une Utopie. Voyez, vous frères de la Terre, nos conseils tels que :
L‘ÉLABORATION D’UNE ÉPISTÉMOLOGIE PLUS OBJECTIVE, L‘ACCEPTATION D’UNE CONDUITE ILLUMINÉE PAR UNE MORALE SOCIALE ÉLEVÉE, LE REFUS DES FACTEURS QUI INHIBENT LE PROGRÈS IDÉOLOGIQUE ET SCIENTIFIQUE. L‘ÉTUDE APPROFONDIE DE VOTRE CADRE ÉCOBIOLOGIQUE SOCIAL EN PRIORITÉ SUR D’AUTRES RECHERCHES, LA DÉFENSE DE LA JUSTICE SOCIALE BIEN AU DELÀ DES PRINCIPES D’ORDRE, L‘ADHÉSION COURAGEUSE À UNE CAUSE QUE LA CONSCIENCE DES IDÉAUX DE CHAQUE HOMME SIGNALE COMME LA PLUS CAPABLE DE SATISFAIRE LES IDÉAUX D’UN RÉSEAU SOCIAL LIBÉRÉ DE L’OPPRESSION D’UNE MINORITÉ SUR LES JUSTES INTÉRÊTS DES AUTRES, L‘ACCEPTATION D’UNE TÉLÉOLOGIE QUI POSTULE UN PRINCIPE DE CAUSALITÉ DANS LE COSMOS ; LE RESPECT PROFOND ENVERS LES CONCEPTIONS MENTALES DES AUTRES OEMMII BIEN QUE JUGÉES ÉQUIVOQUES…
Vous pourrez les respecter si vous désirez une vraie évolution de la biosphère terrestre. Mais certains de vos frères de la Terre, d’une honnêteté sublime et d’une intelligence éminente, ont déjà formulé de telles exhortations. Nous nous limitons à signaler leur concordance avec notre pensée.
Ce préambule peut vous induire à penser que nous tentons de faire pression pour qu’on ne fasse pas de recherches sur nous ou bien pourrait faire suspecter que nous vous invitons à ne pas partager nos idées et à vous conseiller une grande réserve, constituant une pression subtile et rusée – pour vous inciter – pour que vous vous appliquiez encore plus à vous immerger en nous. De cette manière vous conclurez que notre conduite discrète n’est pas plus qu’un astucieux stratagème étudié psychologiquement pour gagner des adeptes suggestionnés par le mystère et l’ésotérisme.
Nous ne pouvons empêcher que vous acceptiez ce sophisme injuste et amer pour nous. Mais penser qu’il en fut ainsi, les faits à eux seuls démentent ce postulat. Depuis que la nouvelle s’est répandue, nous avons restreint nos contacts. N’importe lequel d’entre vous qui se fatigue à réaliser une étude, même superficielle, ne pourra prouver que nous avons créé quelque groupe de coreligionnaires et encore moins une opinion des masses, mais bien que nous avons jugulé précisément avec fermeté quelque tentative en ce sens, en faisant attention que ces différents hommes de la Terre dispersés dans de petits pays ne se connaissent pas entre eux. Précisément ce pays ESPAGNE constitue une exception due aux circonstances connues de vous, mais vous mêmes êtes témoins que notre flux informatif a été s’affaiblissant précisément en proportion inverse de l’alarmante diffusion de ces rapports.
On ne peut soutenir sérieusement que nous essayons de capter des adeptes parmi les OEMII de la TERRE, mais naturellement vous êtes libres de penser et d’agir comme vous voulez. Personne ne peut nous accuser d’avoir gravement violé cette liberté sacrée pour nous. En somme, au cours de nos relations nous avons formulé des prières qui naturellement ne vous compromettent pas face à votre conscience ou aux législations respectives de vos pays.
Mais si libres que vous soyez d’agir en raison de notre présence parmi vous : la liberté vous autorise à utiliser nos rapports de n’importe quelle manière pour réaliser des sondages et recherches, même pour nous attaquer, et nous sommes libres d’utiliser notre propre droit d’autodéfense, nous enveloppant dans un rideau de fumée, suspendant tout signal qui nous identifie, annulant les envois postaux comme nous l’avons déjà fait pour nos conversations téléphoniques depuis quelque temps après un incident dont fut le protagoniste un de mes frères aux États-Unis d’Amérique du nord.
C’est le seul équilibre valide et éthique dans nos relations propres avec les hommes de la Terre, faute, pour l’instant, d’un impossible instrument qui régularise officiellement une alliance mutuelle. Inutile de vous indiquer la simplicité des procédés que nous choisirons pour, en cas de péril, convaincre toute l’humanité de la Terre que notre existence parmi ses habitants est une imposture. Toutes les lettres d’informations que nous avons écrites ont été soigneusement étudiées en fonction d’une telle urgence. Si nous nous sommes vus obligés d’introduire des éléments de doute ce n’est pas pour vous tromper. Nous pouvons vous assurer que l’ensemble global de l’information à vous accessible est authentique et pure – sans présumer de la possibilité future que nous nous voyions obligés d’introduire un confusionnisme licite qui neutralise toute intention sérieuse de faire prendre sérieusement conscience à l’échelle macrosociale que nous nous trouvons dans votre biosphère.
HOMMES DE LA TERRE : Nous aimerions, une fois pour toutes, que vous soyez conscients de notre véritable objectif. Nous avons remis à quelques-uns de vos frères d’esprit très ouvert, répartis dans différents pays pour qu’ils les conservent comme PREUVE future inéquivoque de notre séjour en voyage d’exploration et d’analyse de cette planète. Les destinataires doivent se convaincre qu’ils sont de simples gardiens choisis au hasard parmi les personnes prédisposées à respecter ces rapports qui extraient quelques aspects de notre culture.
Mais cela ne les autorise pas à propager nos principes comme des substituts ni comme des compléments à ceux qui règnent parmi les Terrestres. Vous êtes obligés de suivre fidèlement votre propre évolution, de respecter vos lois aborigènes ; et même dans le cas où se poserait le pénible dilemme d’avoir à choisir en cas de conflit entre vos propres coterriens et nous, êtres étrangers à la corticosphère de l’astre solidifié Terre, vous devez sans hésiter un instant être fidèles aux vôtres. Nous disposons largement de moyens dissuasifs non sanglants pour nous défendre de vos injustes attaques mais nous ne tolérerons jamais l’infamie pour un seul homme de la Terre de devenir traître à ceux qui l’ont engendré.
Pardonnez-nous amis, si nous insistons en réitérant dans ces termes que nos relations mutuelles sont fondamentales :
Nous avons pris contact avec quelques hommes de la Terre, conscients de pouvoir passer inaperçus en nous mêlant à vous dans un programme destiné à envoyer à notre planète mère Ummo d’amples informations sur les aspects géologiques, biologiques, astronomiques et socio humains de cet astre solide. Ces hommes de la planète visitée ne seront pas troublés dans leur processus évolutif et cela, non pas par un concession gracieuse de notre part, mais en vertu des lois morales universelles que nous ne désirons pas transgresser. Ils sont libres de faire un usage arbitraire de ces rapports mais ils ont à suivre nos conseils à ce sujet. Ils sont libres de les garder secrets ou de projeter une persécution implacable contre nous, s’ils nous jugent équivoquement constituer un danger.
Mais, si en vue de se convertir en prudents et passifs dépositaires, ils accèdent à une quelconque conduite qui puisse transcender au niveau macrosocial le reste du réseau socio humain terrestre, l’alliance tacite que de notre propre initiative nous avons tendue entre vous et mes frères sera rompue. Le silence et l’hermétisme ont remplacé ces fuites informatives soigneuses et nous compléterons une telle mesure en injectant dans les milieux de la Terre des doses suffisantes d’information perturbatrice, pour que tout le reste de la documentation rétrospectivement accumulée apparaisse aux yeux des techniciens et des profanes comme manquant de valeur probatoire, la dépréciant en somme.
Ceci est notre vraie position, que nous savons sincère. Si vous préférez croire qu’à travers elle se cachent d’obscurs desseins, de ténébreux plans d’un hypothétique groupe dont les objectifs finals seraient immoraux et dont l’origine pourrait être terrestre ou extraterrestre, vous êtes naturellement libres de le faire. De ce point de vue, il nous est impossible de vous en dissuader sans léser notre propre et légitime défense. Si vous estimez devoir harceler les gouvernements de la Terre parce que nous constituerions un risque sérieux, – quelqu’un l’a déjà fait avec une grande dose d’ingénuité, – faîtes le avec une totale tranquillité de conscience. Pour notre part nous sommes sûrs que pas une seule preuve ne pourra montrer que nous ayons fait quelque dommage à nos nobles hôtes de la Terre.
D101
Référence : | D101 |
Titre | Régulation des envois en fonctions de leurs effets sur le réseau social |
Destinataire(s) et date(s) | Rapahel FARRIOLS le 16/10/72 |
Commentaires |
UMMOAELEUE
En Espagne
Mr RAFAEL FARRIOLS
Nombre de copies : une
Monsieur :
Nous vous faisons parvenir à vous de même qu’à vos frères d’Espagne nos respectueues salutations. Vous n’avez pas reçu d’informations de notre part depuis un certain temps et nous ne voulons pas que vous pensiez que nous vous méprisons, que nous vous oublions ou que nous vous délaissons par manque de temps. Simplement, nous dosons nos informations, car comme nous vous l’avions indiqué dans de précédents rapports, nous souhaitons faire preuve d’une discrétion la plus grande possible.
Nos informations sont ajustées en rapport des effets qu’elles pourraient avoir sur votre Réseau Social. L’Espagne, après une grande circulation de rumeurs dans les réseaux d’enquête sur les O.V.N.I., ne pense à présent plus à nous. C’est pour cette raison que nous reprenons contact, essentiellement si cela se fait par l’intermédiaire d’une association qui est officiellement reconnue par l’État espagnol.
Mais nous serions obligés, uniquement pour votre bien, si nos rapports continuaient à être distribués à l’extérieur, engendrant stupeur chez vos contemporains, de cesser de les envoyer. Notre soudain mutisme vous surprendrait peut-être, mais nous pouvons très bien constater de telles comportements chez vos frères.
Nous vous envoyons à nouveau des rapports, incomplets, mais nous continuerons à vous en transmettre systématiquement et sur des sujets variés.
Nous souhaitons vous féliciter pour vos études de nos rapports, ces analyses sont mémorables concernant nos relations avec le pays d’Espagne. Ces documents remis à des non-scientifiques contiennent des informations rudimentaires, faisant preuve d’un pouvoir pédagogique de qualité très modeste mais qui nous a été indispensable pour ce projet.
Voici maintenant des communications personnelles à faire parvenir à leurs destinataires.
IGNACIO DARNAUDE ROJAS MARCOS
Monsieur : Nous sont parvenues des nouvelles de vos recherches rigoureuses sur le passage ces dernières années de mes frères à Albacete, en Espagne, pour lesquelles nous vous complimentons. Nous vous saluons avec respect, que vous croyiez ou non en notre existence, et souhaitons vivement que vous interpétriez correctement les regrettables incidents qui eurent lieu à l’occasion de nos rapports avec cette aimable dame qui nous hébergea. Nous avons choisi le domicile de Doña Margarita car le mystère qui l’entourait pouvait servir à dissimuler efficacement les travaux et études de mes frères. Les bruits publics à propos de ses affections psychiatriques se trouvant être regrettablement avérés, les très compétentes autorités espagnoles ne pouvaient accueillir qu’avec défiance quelque suggestion incroyable d’enquêter sur notre supposée existence. Monsieur Darnaude, je vous certifie que mes frères n’ont en aucune façon enfreint les lois espagnoles car nous respectons profondément les structures sociales qui nous recoivent, sauf en cas extrême de légitime défense.
Révérend Père Lopez GUERRERO
Monsieur : Nous vous saluons avec sympathie et fraternité, si la compatibilité de nos codes génétiques pouvait le permettre.
Nous vous écrirons en personne si nous en aurons l’occasion. Nous n’ignorons pas que vous nous considérez avec une grande estime, ce qui nous encourage beaucoup. Permettez-nous donc d’aposer notre main sur votre poitrine.
Nous voudrions corriger beaucoup de méprises à notre égard car nous recherchons la précision, c’est pour cela que dans nos prochains rapports nous clarifierons des points dont l’importance vous a quelque peu échappé malgré vos vaillants efforts pour la saisir.
Monsieur DOMINGUEZ MONTES
Salut, cher ami. Nous avons suivi avec attention vos réflexions présentées lors de la réunion conduite par Monsieur Farriols. S’il vous plaît, ne pensez-pas que nous vous flattons obséquieusement en exprimant notre point de vue quant à vos études.
Mis à part des médecins australiens, quelques-uns de vos frères israëliens et certains chercheurs français qui ont approfondi plus que vous leurs recherches, nous pouvons vous garantir que vous êtes le seul à vous être autant investi dans une analyse probe et rigoureuse de nos rapports.
Nous vous demandons uniquement de faire preuve de circonspection en communiquant vos analyses car nous souhaitons que notre existence paraisse la plus hypothétique possible. Monsieur, nous vous remercions d’avance.
Monsieur DIONISIO GARRIDO
Monsieur : La prochaine lettre qui vous sera adressée sera transmise à une structure autorisée. Il vous est indispensable d’y adhérer officiellement. Du reste, il n’y a aucune bonne raison pour que vous vous en priviez. Nous ne pouvons pas entrer en relation avec des sociétés ou des individus qui n’ont pas été approuvés.
Saluez de notre part vos bons amis qui s’intéressent à nous, qu’ils soient sceptiques ou non.
Mesdames Gil Ramos, Angel del Campo, Alicia Araujo, Labro Begulé, Mesdames de Mejorada, Monsieur Villagrasa Novoa, Monsieur Martínez Andre, Monsieur Jordan Peña, Monsieur Villalba, Monsieur Ibañez Beleña, Monsieur Imbert, Monsieur Ribera Jordá, Monsieur Fernando Calderon, Monsieur Mingorance, Monsieur José Antoni Cezón, Monsieur José Maria Vergara, Don Andres Baretino, Monsieur Ortiz Sanchez, Monsieur Ramírez Gomez, Monsieur Federico Guibernaut, Monsieur Baretino García, Monsieur Borras Gabarro, Monsieur Aguirre Ceberio, Monsieur Plaza Beguernices, Monsieur Barrenechea, monsieur Gutierrez del Soto, Monsieur Quintana, Madame Nuria de Vera, Madame Gloria Martínez.
Nous ne voulons pas qu’il soit fait des copies de cette lettre. Nous vous remercions chaleureusement de la transmettre à ses destinataires.
D102
[[Catégorie:Caractéristiques Ummo]]
»’Coutumes sexuelles – éducation – mariage »’
Date : 16/10/72
31/10/72
11/12/72
Destinataires : ERIDANI pour Monsieur Farriols
Conservez cette copie Monsieur RAFAEL FARRIOLS C..
Les jeunes enfants, comme nous vous en avons informé antérieurement, quittent leurs parents à l’âge de 13,7 ans terrestres et sont envoyés à l’UNAUO UEEE.
Ils n’emmènent ni valise, ni effets personnels mais seulement leur tunique qui sera détruite à leur arrivée et remplacée par une autre (ceci n’est en rien exceptionnel compte tenu que quotidiennement le vêtement est d’abord dissous par voie chimique et qu’ensuite les résidus sont éliminés sous forme d’hélium et d’hydrogène).
UMMOAELEUEE leur procurera ce qui est nécessaire pendant leur stage d’enseignement et de formation dans les centres UNAUOOUE.
Note 37 : Selon notre conception de l’éducation, l’OEMII doit se débarrasser psychiquement de tout lien familial. L’adolescent cesse en ce moment d’être sous la tutelle de ses parents pour se convertir en un nœud du Réseau social avec tous les droits et responsabilités que cela implique comme être – qui – jouit – de – toute – sa – liberté au sein de la société d’Ummo. Il est certain que durant le processus de formation il doit se soumettre à une discipline de fer qui limite en grande partie ses autres droits, mais n’oubliez pas que l’OEMII d’UMMO établi une échelle de valeurs en ce qui concerne ses droits, dans laquelle le droit d’acquérir une FORMATION est inaliénable. Pas même l’individu lui-même en sa pleine conscience ne peut volontairement y renoncer. On évite ainsi que des facteurs externes puissent par suggestion le forcer à cette renonciation. Nous tendons à l’étendre au domaine juridique pour vous expliquer que cette norme s’est étendue à beaucoup d’autres droits auxquels sa propre volonté ne suffit pas pour y renoncer. Ainsi envisagée, l’UAA défend l’OEMII, même de lui-même.
Nous utilisons un exemple de manière que la portée de ces UAA vous soit familière.
Sur Terre un homme qui souffre d’un syndrome psychopathologique appelé par vous sadomasochiste peut, s’il le désire ainsi, s’humilier devant une autre personne du même ou de l’autre sexe, et établir par rapport à elle un rapport librement consenti de soumission qui peut aller de la flagellation à la coprophagie imposé par le sujet actif. C’est l’homme lui-même qui opte pour cette situation parce que son esprit estime que ceci lui procure rapidement un plaisir de caractère sexuel. Cependant n’importe quel neuropsychiatre vous apprendra que le malade qui agit ainsi se cause volontairement un dommage, facilement prouvé, dans la structure de sa personnalité.
Ne serait pas possible non plus sur Ummo n’importe quel modèle de relation de travail qui implique la subordination à un supposé chef d’entreprise qui obtiendrait à ce titre une plus-value au prix du travail du subordonné, même avec le plein assentiment de cet Oemii, puisque les deux violeraient ainsi l’UAA (législation morale à effet exécutoire).
Dans les deux cas décrits dans les paragraphes précédents, on détruit la liberté, même avec le plein consentement du sujet. De plus l’UAA distingue nettement entre l’OEMII physique, bénéficiant des droits inhérents à l’IBOZOO (dit du point ou nœud d’un réseau), du réseau social de l’être ou entité ESEE OOA (CONSCIENCE DE L’INDIVIDU), puisque les deux dans la pratique peuvent entrer en conflit ou en collision avec préjudice mutuel. Ce sont des aspects de caractère juridique inconnus de vous.
Durant un premier stade ou phase de caractère enseignant qui dure l’équivalent de 3,2 années terrestre comme valeur statistique moyenne, les deux sexes sont intégrés dans les mêmes groupes. Les directeurs de ces groupes peuvent aussi être des deux sexes et il n’est pas rare que leurs âges soient identiques ou même inférieur à ceux des membres de tels groupes.
Note 38: Avant de poursuivre notre rapport, nous désirons vous avertir de la grande gamme de risques que vous prendriez, si vous tentiez d’établir un modèle éducatif inspiré de nos propres patrons didactiques et pédagogiques. Le contexte psychosociologique est si différend entre les deux cultures qu’injecter certaines méthodes, qui ont pour nous un résultat optimum, dans vos systèmes de la Terre aurait pour effet avec une forte probabilité de produire une contre productivité extrême.
Ainsi dans certaines phase du processus éducatif, ainsi que nous le rationalisons, nous suspendons la mixité des sexes dans les lieux où se rencontrent les jeunes. Les motifs sont différents de ceux que vous pourriez présumer c’est-à-dire de ceux purement sexuel (plus tard ils reviendront fréquenter le centre mixte).
Mais dans votre cas nous jugeons que la coéducation est d’une importance vitale dans tous les niveaux de l’enseignement, sans voir aucun motif de devoir l’interrompre, même temporairement, comme dans nos UNAUUO UHEE.
—————————
Dans la première période, comme nous le disions, nous éduquons ensemble les petits et les petites dans la même « zone » (nous ne pouvons traduire autrement les enceintes en forme de cités champêtres semi-enterrées, modulés de telles formes qu’y apparaissent les caractéristiques communes aux étendues résidentielles industrielles et rurales des autres zones d’Ummo). En elles, sont condensés non seulement les structures d’habitations et de productions construites par les oemii, mais des configurations de caractère géologique et des cultures artificielles de végétaux ainsi que des exemplaires de notre faune.
Les jeunes doivent apprendre d’abord les schémas et fonctions corporels sans distinction de sexe. C’est ici où notre système enseignant rencontre un sérieux problème qui, s’il était transplanté dans le milieu humain de la Terre, serait difficilement résolu.
Nous accordons une énorme importance à la nudité (aussi bien les hommes que les femmes) au point que la plus grave sanction punitive sur notre planète est précisément de mettre à la disposition visuelle de leurs frères le corps du transgresseur de l’UAA.
Aucun OEMMII depuis ses 6 ans d’âge terrestre (âge approximatif de la pleine conscience) ne choisirait de permettre la vue de son corps, même de la part des familiers.
Mais d’autre part, le processus éducatif exige une connaissance intégrale des fonctions organiques et de la structure anatomophysiologique de l’OEMII.
Un jeune n’aura jamais honte de parler de telles fonctions ou de sa structure corporelle ou de généralités abstraites sur l’OEMII, du moment que, en ce qui le concerne, les zones érogènes de son propre corps soient toujours protégées.
Cet obstacle a été levé récemment au moyen d’images tri dimensionnelles, qui apparaissent dans un écran à structure en dôme, images correspondantes à des types physiologiques d’OEMII sélectionnés chez des inculpés pour transgression aux lois d’UMMO
Les jeunes assistent respectueux à ces démonstrations, embarassés par le sentiment de compassion que leur produit la vision de l’image d’un de leurs frères, malheureux de ne pas avoir pu respecter la loi et d’être utilisé dans ce type de démonstration.
Il est difficile que vous compreniez sur Terre la complexité de cette classe de sentiments. D’une part la fonction répressive que vous nommez « pouvoir exécutif judiciaire » sanctionne un frère en le privant de ce qui est le plus précieux pour lui : le vêtement qui protège son intimité personnelle.
Personne ne fuit au contraire, pour un faux concept de charité, de pitié ou de pudeur, la vision de l’image corporelle (réelle ou projetée). Nous comprenons tous que nous avons à contribuer à la justice en contemplant le corps d’une femme ou d’un homme victime de sa faiblesse vis-à-vis de la législation qu’il a transgressée. Mais personne ne se réjouira en son for intérieur, personne ne profitera en se distrayant de la terrible honte de l’accusé. Tous souhaitent que le caractère punitif – fonctionnel de la mise à nu soit bref et qu’il soit permis au frère disgracié de s’habiller à nouveau. Et c’est précisément en relation avec le système pédagogique, par lequel une telle formule punitive exerce une fonction très utile à la société, comme compensation au moins aux dommages qu’elle a subie par la transgression de ses lois.
Heureusement les punis sur UMMO sont peu nombreux. Actuellement le pourcentage de YIHIE (femmes) est supérieur à celui des JEE (hommes) de presque 23%.
Mais cette situation qui nous remplit tous de plaisir, comme preuve de la santé morale de nos frères, cause de sérieux problèmes dans le domaine de l’éducation, surtout dans les cours d’anatomie et physiologie, car les jeunes élèves ont besoin de tels condamnés pour leurs travaux pratiques.
NOTE MARGINALE.
Les expériences » in vivo » sont radicalement prohibées sur UMMO, aussi bien sur les OEMII que sur les animaux, à partir d’un certain niveau de structuration neurocorticale caractérisée. Les seules expériences tolérées, admises comme valides par la loi, exigent de ne pas léser la structure corporelle, ni produire de sensation douloureuse. Cependant nous connaissons des techniques qui permettent l’accès aux organes internes, sous blocage anesthésiologique des centres, sans perte de conscience et avec récupération de la structure histologique blessée.
Ces techniques sont tolérées par l’UAA. Ainsi même le condamné peut toujours être accéssible tactilement à n’importe quelle zone de son épiderme à la volonté de n’importe lequel de ses frères.
Tout ceci peut choquer la sensibilité d’un Oemii de la Terre qui aura du mal à comprendre comment un adolescent a le droit d’entrer dans l’enceinte conditionnée thermiquement de la « zone » où est gardé un condamné, comme s’il s’agissait d’un cobaye comme ceux utilisés sur Terre, et sans « parler » (c’est-à-dire sans communiquer) avec lui. Il peut s’agir d’un jeune du double de son âge. Il peut le toucher pour vérifier sa réaction sans que celui-ci n’ose se défendre ou le dissuader.
Cette situation, qui imaginée sur Terre scandaliserait les juristes d’un état de droit pour « transgression des droits humains », est complètement justifiée dans le cadre de notre société.
L’humiliation qu’entraîne pour l’OEMII condamné ces situations dramatiques, et la fonctionnalité qui les fait aller de pair avec un haut niveau d’utilité sociale , compensent par cette voie catharique le dommage qu’à un autre moment il fit à la société en violant les lois de son réseau.
L’accusé qui, pour une période déjà fixée, a été converti en propriété sociale de ses autres frères, et a pleuré sa terrible honte d’être « converti » en images visualisées devant des étrangers, familiers et amis, purgera sa faute jusqu’au bout. Il pourra maintenant réintégrer honorablement la société. Personne ne lui rappellera l’infamante période antérieure, personne ne pourra l’invoquer dans le futur afin d’exercer un quelconque type de discrimination. Cet enfant qui un jour a touché ses parties génitales, emporté par sa curiosité scientifique, sera aujourd’hui son élève ou son subordonné respectueux, sans que ne se mesure dans l’absolu chez l’ancien condamné quelque soupçon de vengeance au souvenir de l’épisode antérieur.
———————–
Nous disions que les jeunes dans l’UNAUOUEE, vivent ensemble entre eux en formant une population autonome, un RÉSEAU SOCIAL en petit où ils s’habituent à pratiquer leurs fonctions sociales. Les professeurs, comme vous les appelez, sont des éléments étrangers à ce réseau.
Le concept de professeur, ainsi que nous l’entendons, diffère largement de ce qui est familier pour vous, hommes de la Terre. Sur un seul plan semble exister une ressemblance avec les professeurs et maîtres qui prêtent leur service dans les universités terrestres : leur spécialisation.
Le groupe social des jeunes en processus de formation dispose d’un trio de tuteurs des deux sexes (jamais les trois ne sont du même sexe). Ces OEMII représentent l’UMMOAELEUEE c’est-à-dire la suprême hiérarchie d’UMMO dont la fonction est plus l’orientation que l’exécutif ou la répression. Les jeunes sont influencés à découvrir eux-mêmes la vérité en s’en approchant asymptotiquement et heuristiquement. Ils doivent découvrir par eux-mêmes comment s’articule un réseau social pour éviter les tensions internes qui le désagrègeraient et le rendraient malheureux. Ils doivent par-là même résumer en peu de XEE (période de temps) tout le processus de découverte des lois naturelles que nos ancêtres scientifiques réalisèrent. Mais naturellement des adolescents et jeunes abandonnés à leur propre dynamique psychophysique ne pourraient se structurer d’une manière parfaite. Ils ont besoin non pas tant qu’on dogmatise les enseignements des différentes disciplines, mais qu’on leur enseigne la voie rationnelle pour arriver à elles par la voie spéculativo-empirique.
En résumé de ce que nous avons détaillés précédemment, le processus de tout notre système éducatif présente ces aspects singuliers qui:
– Tendent à former chez l’Oemii des mécanismes neuro-réflexes qui le rendent capable de répondre au milieu physique et social.
– Tendent à structurer rationnellement la structure somatique, conformément au biotope ou à l’hérédité biologique.
– Tendent à développer les deux types de communication sociale (l’un de caractère télépathique et l’autre psychophonique, malgré les limitations de caractère phono-acoustique qui nous sont inhérentes.)
– Le jeune devra redécouvrir les lois de la nature par l’observation et l’empirisme, en étant doté des moyens nécessaires pour l’expérimentation et en comparant ce résultat avec les lois officiellement admises par la science.
NOTE MARGINALE
Nous désirons éclairer cet aspect éducatif d’un exemple, quoique grossier.
Imaginez qu’un groupe de jeunes, expérimentant dans le champ de l’optique, aient découvert à nouveau la valeur des paramètres qui interviennent dans ce que vous appelez la formule de Stefan. Néanmoins les mesures n’étaient pas soigneuses et les instruments improvisés pour celles ci peu précis.
Le professeur, tuteur, ne tend pas d’imposer les valeurs réelles plus approximatives de la science. Il les stimulera à comparer les résultats avec ceux obtenus par d’autres frères et il se soumettra à la discussion, et aux confrontations avec les valeurs officielles..
Le professeur n’a pas imposé ses critères. Ce sont les élèves qui au vu de leurs résultats empiriques, acceptent la logique des conclusions scientifiques. Le professeur signale cependant les différents chemins expérimentaux ou spéculatifs. L’élève décide d’une option pour une direction et s’il se trompe, auto corrige son propre processus d’auto-enseignement, avec les instruments que lui offre son tuteur. Il n’est pas rare par exemple que dans les premiers stades de l’enseignement, un enfant nie catégoriquement la structure quasi sphérique de notre planète, en l’assimilant par exemple à une plate-forme cylindrique. Aucun des tuteurs ou de ses compagnons ne rira de cette conviction. Le professeur correspondant lui enseignera les moyens les plus utiles que l’enfant pourra choisir pour affirmer son assertion. Ainsi de lui-même il se convaincra de son erreur.
– Il est inculqué à l’OEMII que même les lois les plus précises sont soumises à de possibles révisions de concepts qui peuvent altérer totalement leur formulation : on prétend ainsi déraciner n’importe quel type de dogmatisme de caractère pragmatique.
– Il est stimulé chez le jeune la faculté de spéculation par un processus dialectique continu. Il est créé chez les élèves le réflexe qui impose que toujours soient réunis en un jeu dialectique de dialogue et de discussion de différentes problématiques.
– Il est stimulé chez l’enfant la régulation de toutes ses fonctions et le développement à pleine capacité des fonctions corticales et endocrines.
– Il est poussé à atteindre, avec ses propres moyens, la prise de conscience de la nécessité des lois morales UAA et il est stimulé à les comparer avec celles inspirées par UMMOWOA, que nous considérons comme la matérialisation physiologique de WOA (le créateur) .
Nous prions que soit conservée cette copie pour votre frère Rafael Farriols Calvo.
C’est durant cette période que l’adolescent, traditionnellement, doit choisir son partenaire.
Une résolution préalable tacite intervient d’habitude entre les deux qui décident de la soumettre à l’avis de leurs supérieurs enseignants, mais ce n’est pas à ces derniers de décider. C’est le réseau de SAANMOO AIUVA (réseau d’ordinateurs qui s’étend sur tout UMMO) qui analyse les constantes psycho-biologiques et neuro-physiologiques des adolescents ainsi que d’autres données autobiographiques qui figurent dans leur anamnèse mémorisée par le réseau (Anamnèse : historique des événements cliniques, traumatiques, psychologiques et psychiatriques éventuels d’un individu depuis sa naissance jusqu’au jour de l’examen – ndt) .
C’est là que sera diagnostiqué la possible incompatibilité biomentale ou biogénétique, préalablement à la possibilité d’une future liaison.
Le rapport sera ensuite présenté aux adolescents, parfaitement adapté dans sa structure sémantique pour leur compréhension.
(Fréquemment, soit le garçon soit la fille, décide cette consultation préalable avant d’initier des relations avec son partenaire).
Mais la décision exécutive reste finalement celle des intéressés. Naturellement le diagnostic a seulement un caractère consultatif et n’est en rien coercitif, bien qu’on comprenne la faculté de les obliger à en assumer les conséquences.
Peuvent-ils néanmoins dédaigner les conseils des équipements informatiques qui offrent à la garantie d’un indice de fiabilité élevée ?
En fait le dernier compte consulté signale 0,0084 pour 144 cas (Ndt: soit 0,0058%, 58 pour 1 000 000) pour lesquels le couple a préféré continuer les relations en assumant la responsabilité d’un futur échec dans leur future vie conjugale.
Les deux doivent alors attendre le premier cycle d’ovulation de la jeune fille, dont la date est connue avec suffisamment d’avance et avec une marge d’erreur réduite. Jusqu’à ce moment-là ils ne peuvent communiquer par moyen phonique (naturel ou artificiel) ni par moyen télépathique. Ils sont entrés dans une phase que vous pourriez dénommer du terme de méditation pré-conjugale.
Une transgression de l’isolement serait cause d’une rupture ultérieure suivie de graves conséquences de caractère social, puisque sur UMMO on juge humiliant un tel comportement, et bien que tous rapidement oublieront la faute, une telle conduite présente la signification de faiblesse dans l’accomplissement des normes communautaires.
L’arrivée du premier cycle, vers les 15,5 années terrestres pour l’UUIEE (adolescente féminine), est accueillie avec une grande joie à laquelle participent les amis et familiers.
NOTA.
Nos conceptions quant aux relations sociales diffèrent de celles de la Terre. Pour nous il n’existe pas une distinction définie entre familiers amis et simples connaissances. Dès qu’on entre en contact communicatif avec un de nos frères et avons connaissance de son nom, nous l’incluons à l’intérieur de notre RÉSEAU micro social primaire sans distinction claire de catégories qui se traduisent par des relations avec divers niveaux d’intimité. Celui-ci est mon FRÈRE simplement et partage avec moi les joies et les autres sentiments par-dessus les liens de caractère génétique ou d’ancienneté de connaissance.
Les familiers et les autres frères connus (qui le souhaitent) sont autorisés à entrer dans les enceintes de l’UNAUO UEE, parfois en venant de loin, pour célébrer une espèce de fête intime à laquelle participent toutes les jeunes qui vivent leur première ovulation. Le futur conjoint adresse publiquement les premières paroles après la longue période d’isolement.
A partir de maintenant les deux jeunes participeront ensemble à tous les actes collectifs de caractère non pédagogiques (sauf s’ils réalisent des études de même caractère) et dormiront ensemble dans la même chambre, mais ils ne pourront voir leurs corps respectifs et leurs relations tactiles ne peuvent affecter les zones érogènes de chacun. Il est inconcevable pour les deux de violer l’UAA bien qu’une transgression ne serait pas punie dans l’absolu, ni socialement critiquée.
Les deux reçoivent à partir de ce moment une formation établie concernant leurs futures relations conjugales. Les deux connaîtront la plus intime anamnèse de l’autre et les faits quotidiens avec leurs frères professeurs et compagnons d’étude seront évoquées par les deux, dans l’intimité. Quand le réseau d’ordinateurs informe que cette phase d’enseignement pré-maritale a satisfait les exigences de formation dans les champs philosophico-religieux, sexuel et planification du foyer ou domestique, peut alors être fixée le moment de l’union.
Nous insistons auprès de vous que cette planification de la vie est très loin de nous convertir en simple machine programmée par un ingénieux cybernéticien. Au contraire le conseil de ces ordinateurs rend plus fécond spirituellement l’union, évite les conflits psycho-matrimoniaux toujours dus au manque d’informations sur les traits mentaux de l’autre conjoint, rendant impossible une plus authentique compréhension entre les époux, en nuançant avec une grande finesse tous les aspects somatiques, religieux, et philosophiques qui interviennent dans l’union sexuelle du couple et rend plus fécond la communion spirituelle en contournant les barrières mentales d’une faible information sur le mariage qui provoque, chez vous les hommes de la Terre, des situations si dramatiques.
Sur Ummo nous estimons que entre l’apparition de la puberté et l’union sexuelle doit s’écouler un temps minimum (l’idéal serait pour nous de faire coïncider l’ovulation avec l’acte sexuel, mais nous avons besoin de conditionner celui-ci nécessairement avec le dernier stade de formation ).
L’OMGEEYIEE (fusion corporelle).
Enfin : le moment du premier rapport sexuel est fixé, les parents sont officiellement informés de la décision librement adoptée par les jeunes (l’intervention des progéniteurs dans toutes ces relations est nulle. On ne tolèrerait même vu des critiques sur la libre décision de leurs descendants. Sur Ummo la vénération envers les parents atteint des niveaux que vous auriez tendance à qualifier d’idolâtre, mais jamais ceux-ci n’interfèrent dans le libre arbitre de leurs enfants).
Pour la seconde fois ils peuvent se rendre à l’UNAUO UII, pour assister au simple acte de la consommation conjugale :
Durant quelques 1800 UiW (3 jours d’UMMO ; le jour dure environ 31 heures terrestres) les époux sont libérés de leurs obligations éducatives.
Quand tous leurs frères connus sont arrivés, ils se réunissent en cercle, et ceux-ci les saluent avec émotion en pausant la main sur la poitrine des personnes présentes. Ensuite les deux se retirent dans une espèce de chambre nuptiale aménagée avec un niveau lumineux minimum, afin de méditer sans communiquer entre eux. Passés ces Uiw la chambre s’illumine avec une lumière suave de ton magenta (violacée) et les deux se dépouillent de leur tunique en fermant les yeux pendant qu’ils le font.
NOTE 40 :
ENTRE NOUS c’est considéré comme interdit d’observer comment se dévêtit l’autre conjoint. C’est seulement quand ils sont dénudés que peut s’illuminer la chambre et être admise l’ouverture des yeux.
Un geste imperceptible indique que les tuniques des deux ont été jetées au WIIWAAI (espèce de puisard pour transmuter les éléments chimiques en gaz de faible nombre atomique). Alors ils se contemplent mutuellement sans toucher encore leurs zones érogènes. C’est pour nous un moment surprenant qui nous impressionne plus que le premier coït. Aucun des deux promis ne prononce aucun son ni aucune autre classe de communication verbale ou codée. Aucun geste ne trahit ce que les deux pensent en cet instant, pendant qu’ils observent avec émotion les traits anatomiques externes de celui qui va devenir le compagnon de sa vie jusqu’à sa conversion en hélium.
L’illumination diminue de nouveau, ils s’habillent à nouveau avec d’autres tuniques et sortent à l’extérieur où les attendent leurs invités. (La tradition antique fixait à 12 de nombre des familiers).
Nous vous prions de transmettre cette copie à votre frère Rafaël Farriols Calvo pour être conservée.
C’est maintenant, une fois à l’extérieur, que les invitées touchent avec leurs mains les poitrines des deux et font connaissance du ministre représentant l’UMMOAELEWEE, lequel porte un équipement terminal réduit du SANMOOAIUVAA.
(Il s’agit d’un dispositif connecté à un immense réseau d’ordinateurs – mémoires qui permettent aussi bien la réception de données que la réception décodée d’éléments d’information).
Le ministre, désigné comme tous mes frères d’Ummo, exerce une fonction sur Ummo que vous pourriez classer en tentant de trouver une charge équivalente sur Terre comme Prêtre, Notaire, Juge de Paix.
Il représente officiellement le réseau social d’UMMO et comme tel possède des pouvoirs de caractères judiciaire et exécutif. C’est généralement un expert en UOALAAOOLEAX (théologie et cosmologie) et comme tel il s’efforce de vivifier aux yeux de nos frères la sublime UAA (législation religieuse) de Ummouoa (représentant incarné de Dieu).
Sa présence dans ce cas a le caractère de conseil en accomplissant en même temps la fonction d’enregistrement du mariage dans le SANMOOAIUVAA,.
Les données concernant les conjoints sont apportées à l’équipement et transmis à des modules de mémoire, qui a leur tour restituent par des chiffres de code « l’acceptation » ou « le refus » du mariage.
En effet : il peut arriver que des facteurs déterminants non enregistrés antérieurement conseillent de retarder ou annuler peut-être définitivement l’union. Dans ce cas le ministre recevrait l’information des raisons qui concourent à cet avis négatif et exhorterait les jeunes à annuler leur engagement. Mais un tel danger est peu probable puisqu’il est très rare qu’au dernier moment surgissent des variables avec un caractère aussi grave.
La série de chiffres rapportés par l’installation leur serviront pour n’importe quelle consultation technique qu’ils auraient désormais besoin de transmettre aux ordinateurs centraux concernant leur corps, leur union, leurs études, leur santé et leurs descendants.
Ils ont déjà accepté tacitement l’union conjugale. La réponse du SANMOO constitue le contreseing de la société d’Ummo. En fait ils sont libres de refuser un avis négatif hypothétique et de s’unir quand même. Ce n’est pas pour cela qu’un tel « ménage » sera considérée comme illégitime, ni que surgira un rejet social envers le couple et leurs descendants .
Mais dans ce cas toute la responsabilité d’un probable échec retombera sur eux. Le corps social d’UMMO s’abstient dans ce cas d’apporter certains types d’assistance sociale et de conseil et ceci constituerait une charge extrêmement forte pour les insensés qui assumeraient de tels risques. Il faut cependant vous informer que dans la pratique jamais la réponse n’est OUI ou NON, mais pour la simplicité d’interprétation c’est ainsi que nous l’indiquons. Le réseau d’ordinateurs donne des indices de caractère probabiliste qui évaluent l’opportunité ou non du mariage. C’est seulement quant les valeurs apportées s’approchent de chiffres seuils déterminés que le ministre interprète comme négative cette information. Ceci est l’explication que quelques couples rejettent un tel avis, en se basant sur le fait que de tels indices sont évalués à des niveaux seuils d’une certaine ambiguités ou incertains.
Tous attendent maintenant l’instant où les deux jeunes se regardent fixement et poseront leurs mains respectives sur la poitrine du conjoint. Ce geste simple est topique sur UMMO puisqu’il constitue notre habituel salut qui acquiert un symbolisme particulier en cet instant, puisqu’il scelle l’accord matrimonial. Le ministre enregistre ces données dans le XANMOO, dans l’attente d’un enregistrement beaucoup plus important. Celui qui marque l’instant de la première relation sexuelle, puisque c’est cette donnée qui constitue pour la SOCIETE d’UMMO le début de la fusion conjugale comme acte juridique. C’est-à-dire que, sur notre astre solidifié, l’UMMOAELEWEE considère comme situation légale de la nouvelle union celle qui se voit sanctionné par le premier coït, avec le hasard du destin réservé à la première éjaculation séminale.
Mettant fin à cet acte simple, tous se saluent et se séparent.
Peut-être, pour vous hommes de la Terre, habitués à certains rituels d’une noce, cette simple cérémonie paraîtra excessivement froide, mais n’oubliez pas que ce sont les traditions qui dirigent ces normes codifiées de la vie sociale et que pour notre humanité, au long de l’histoire, c’est la consommation corporelle du mariage qui a marqué l’instant du début de celui-ci et que même s’il existait une funeste époque en laquelle ces actes intimes pouvaient être forcés à être réalisés en public, d’après les UAA émanant d’une de nos ancêtres qui occupa, jeune adolescente, la fonction de dirigeante du gouvernement d’UMMO, les OEMII d’UMMO comme ceux de la TERRE (ndt: écrit TIEERRA) nt toujours considéré inconcevable de ne pas reléguer dans l’intimité cet acte sexuel.
Immédiatement le couple se dirige à nouveau vers la chambre privée dans laquelle sont maintenues les mêmes conditions physiques d’illumination violacée, température, humidité et pression gazeuse, et isolée des fréquences acoustiques et vibratoires. Actuellement on omet les stimulations olfactives qui jadis constituaient une véritable symphonie de parfums, spécialement étudiée pour cet acte.
La toilette personnelle par ablutions n’est pas conseillée non plus moins de 600 uiw (environ 30 heures) avant l’acte, pour permettre une exudation épidermique normale pour chacun des deux conjoints. Ce facteur est très important pour nous au point de vue sexuel puisque notre odorat, généralement très sensible, exige traditionnellement d’être stimulé par les composants particuliers de la sueur de notre conjoint. Jusqu’au point que dans le passé, quant était composé une séquence de parfums pour cet acte, on étudiait spécialement les échantillons de sueur de l’homme et de la femme afin que la composition olfactive jouisse d’un lien syntonique et esthétiques avec elles.
Le premier acte sexuel va se réaliser. Nous ne pouvons à proprement parler de défloration ou de rupture d’hymen puisque nos YIE (femmes) n’ont pas un hymen de caractéristiques semblables aux vôtres.
La technique du coït entre nous est plus uniforme, disons moins riche en modalités que chez les humains de la Terre. Certaines façons de copuler, qui en des époques passées étaient en vigueur en différentes régions de notre planète, on été abandonnées par nous.
A contribué à ceci des conseils de caractères anatomiques et psychiques, inculqués aux générations successives par nos spécialistes.
On rejette la coutume physique si étendu chez vous de placer la femme sous l’homme. Les deux commencent l’acte en s’explorant mutuellement avec les organes sensitifs de nos doigts. Les bouts de nos doigts possèdent, à la différence de ceux des humains de la TERRE, une structure histologique très spéciale dans l’épiderme, similaires en certains aspects à la rétine du globe oculaire. Des récepteurs photo – neuronaux se mélant avec d’autres capteurs de pression et de température, si sensibles que passer les doigts à une distance d’une dizaine de millimètres ou même plus sur la surface de quelque superficie, lisse ou rugueuse, colorée ou noire, exsudante ou non, produit un cumul de sensations que nous soupçonnons être de nature différente de celle expérimentée par vous.
Durant plusieurs Uiw, continue ce jeu amoureux exploratoire dans lequel c’est à peine si les mains des deux frôlent ou caressent la peau pour finir à être stimulés de la même manière que celle expérimentée par vous.
La caresse buccale des organes reproducteurs est plus fréquente entre nous qu’entre vous et on a aussi condamné comme dangereuse pour certaines zones du cervelet une pratique antique qui constituait à s’introduire dans une Chambre nuptiale rotative qui maintenait un régime spécial d’accélérations et de décélérations giratoires qui stimulaient l’orgasme en nous.
À part cela le processus a des caractéristiques similaires si nous exceptons quelque chose qui nous est plus habituel que pour vous. Le contrôle du moment de l’orgasme et de l’éjaculation est plus grand. Un capteur connecté par ondes gravitationnelles au XANMOOAIUBAA enregistre le moment de l’éjaculation et par conséquent de la consommation de l’union légale.
L’orgasme est très lent cependant. L’insémination effectuée, le pénis est retiré à l’instant et les doigts de l’homme continuent en explorant le vagin. Il n’y a pas de caresses buccales dans l’intervalle. Le baiser appliqué à d’autres zones érogènes manque de signification pour nous et sera considéré comme répulsif, en lui accordant le caractère de véhicule de transmission virale, bien que les effets pathogènes des virus aient été parfaitement identifiés chez nous.
D103
[[Catégorie:Événements]]
»’Les Ummites à Albacète – » la main coupée » »’
Date : 12/12/1972
Destinataires : Monsieur Darnaude
UMMOELEUEE
Monsieur Ignacio Darnaude Rojas-Marcos
SEVILLE, ESPAGNE
Cher Monsieur,
Il n’y a que quelques jours que mes frères, en déplacement dans votre nation, vous envoyèrent de Madrid, dans le cadre d’une lettre remise à votre frère Monsieur Rafael Farriols Calvo, un salut respectueux. Permettez-nous de le réitérer aujourd’hui avec une vraie dévotion et estime .
Le motif de cette lettre est exposé ci-après :
Nous nous sentirions heureux si vous faisiez un effort pour développer vos investigations à Albacète avec plus de discrétion. Nous constatons qu’elles ont transpiré dans un secteur réduit de la population qui est déjà consciente de certains aspects ambigus de cette histoire.
Mes frères gardent une grande sympathie et du respect pour cette grande dame, votre sœur d’Espagne : Madame Margarita Ruiz de Lihori qui eut la gentillesse de donner l’hospitalité aux miens.
Permettez-nous, monsieur Ignacio, de vous assurer que les versions qui circulent dans votre pays au sujet de cette dame sont en grande partie inexactes et douloureusement injustes. Nous acceptons la responsabilité qui nous revient, qui consiste à avoir créé une ambiance bizarre et ambiguë due à notre présence. Vous savez bien que n’importe quel enchaînement de faits, quand il s’entoure de facteurs énigmatiques et étranges, acquiert de nouvelles dimensions, que les profanes dans le sujet s’efforcent quasi inconsciemment de sortir de leur contexte pour les faire apparaître à la fois comme immoraux et même criminels.
Nous désirons apporter quelques preuves qu’aucun de ceux qui participent à ces critiques n’a agit en violant les lois de votre nation respectable ou poussé par des motivations malhonnêtes.
C‘est pourquoi cela nous fait de la peine que de nouvelles investigations de votre part lèvent de nouvelles blessures ; ou de nouvelles raisons fallacieuses de dépréciation pour votre sœur déjà décédée.
Ne considérez pas, monsieur Ignacio Darnaude, notre demande respectueuse comme une exhortation pour que cessent ces études. Vous êtes un homme libre et vous savez que rien ne peut ni ne doit faire pression dans ce sens. Ne considérez-vous pas raisonnable notre demande que de telles analyses se déroulent de manière que ces informations ne parviennent pas à vos frères peu préparés, qui, bien que sans méchanceté, pourraient les pervertir?
Le fait que votre personnalité montre des traits d’humanité prudente et raisonnable nous pousse à nous adresser à vous. Nous savons que vous avez formulé plus d’une fois de sérieux doutes sur notre identité et cela constitue une attitude sage face à des êtres inconnus comme nous.
Ne pensez-vous pas que faire une publicité excessive sur nous ne peut être utile en rien à vos frères?
Quel que soit le jugement que vous portez sur ceux qui affirment provenir de la planète Ummo, vous conviendrez sans doute sur l’inopportunité de leur accorder une attention excessive.
Voyons la raison :
Si, comme le pensent quelques-uns de vos frères, mes frères et moi-même appartenons à quelque groupe humain terrestre, à une organisation déterminée plus ou moins ésotérique, mus par des ressorts de caractère financier, politique, religieux ou philosophique, ayant des buts de moralité douteuse et de caractère militaire, prosélyte, délinquant, subversif … Vous comprendrez vous-même qu’en aucun cas il ne conviendrait de créer un alarmisme exagéré et de susciter dans l’opinion publique un intérêt dont le premier bénéficiaire serait cette hypothétique organisation. Au contraire il s’imposerait de nous dénoncer aux autorités respectives de vos nations, aux organisations de police internationale, avec le but de faire avorter ces activités présumées antisociales.
Si comme d’autres de vos frères le soupçonnent, nous étions quelque secte ou société qui utilise la fausse dénomination d’Ummo pour masquer des activités de caractère scientifique, d’investigation sociologique, etc., sans la moindre intention anti-éthique, ne pensez-vous pas que générer une publicité excessive à notre égard pourrait perturber leurs nobles fins?
Si nous sommes un petit groupe de farceurs répartis dans différentes nations, engendrer à notre égard une connaissance de notre identité frauduleuse équivaudrait à se faire complice de cette tromperie.
Et si finalement comme nous l’assurons formellement, parce que nous seuls nous savons l’authenticité et l’éthicité de notre témoignage, nous sommes des visiteurs provenant de notre planète, alors les raisons pour garder une réserve et le secret dans les déclarations qui pourraient filtrer dans les macrogroupes sociaux de la Terre sont évidentes et il n’est pas nécessaire de les résumer.
Parmi les rares citoyens d’Espagne qui connaissent cette affaire peu claire pour vous, nous voyons en vous un homme prudemment sceptique, procédant à des recherches anxieuses et sans limites. Quelque soit l’hypothèse que vous formuliez sur nous, péjorative ou admirative, elle se doit d’être en cohérence avec les raisonnements exposés plus haut : qui se résument à convenir de l’absence de preuve de notre origine, en nous concédant un crédit excessif pour une part, et en s’accordant parmi vous et vos frères à ne pas développer une publicité excessive. Nous pensons que vous pourriez agir comme modérateur prudent de quelques uns de vos frères enthousiastes d’Espagne, en leur faisant voir la nécessité de se montrer réticents à notre égard.
Notre objectif déclaré se mesure aujourd’hui en ce que vous êtes dépositaires de ces informations sur les êtres d’Ummo, ce que l’on pourra constater un jour sans ces doutes douloureux et désagréables. Pour cela nous ne pouvons éviter le contact avec vous qui serait la meilleure solution pour entraver tous les risques qui ont été exposés.
Comme contrepartie, vous prenez patience et vous ne nous concédez pas de crédit. Nous croyons que l’attitude la plus prudente est celle de l’homme qui conserve nos informations et expose sans se cacher, en même temps une critique sérieuse de notre exposé testimonial, tout en niant par principe sans plus de preuves l’acceptation de nos inévitables affirmations. Nous avons réitéré des centaines de fois ce conseil en différentes langues, et canadiens et espagnols ont été de ceux qui nous ont prêté le moins d’audience.
Recevez, monsieur Ignacio, nos plus cordiales salutations.
D104
UMMOAELEWEE
Nombre de copies:
En anglais:deux
En espagnol: une
Nous vous prions de conserver cette copie en espagnol, pour votre frère Dioniso Garrido Buendia
Passage préliminaire
Hommes de l’astre solidifié Terre:
C’est notre supplique que vous ne voyez pas dans cette lettre un manifeste exhortatif ni une gamme codifiée de conseils. Vous ne devez pas le qualifier de manifeste puisque nous sommes dépourvus d’autorité pour diffuser une quelconque doctrine. Nous n’appartenons pas au groupe humain de la Terre, puisque nous provenons d’une structure planétaire alienogéotopologique (Ummo selon l’expression phonétique intelligible dans votre langue) et bien que cela ne soit pas un obstacle suffisant pour prétendre nous définir, nous ne nous sommes pas présentés devant vous officiellement. Nous formons un groupe réduit d’êtres mentalement développés, greffés dans votre milieu social, qui étudie la culture du réseau social terrestre, mais nous restons dans le plus rigoureux anonymat. Cette attitude nous retire évidemment toute forme d’autorité pour prétendre nous adresser à vous de manière doctorale.
Mais bien que vous, Hommes, vous souhaitiez gentiment nous concéder une attestation de véritable autorité, sans que notre identification puisse se vérifier (position que, bien qu’elle soit accueillie par nous avec sympathie, nous ne jugeons pas intelligente ni scientifiquement objective), cette lettre ne devra jamais être qualifiée sous l’épithète de « conseillère ». Si vous observez les conclusions déductibles, elles sont évaluées sous notre optique très particulière de notre idiosyncrasie (ndt; « caractère individuel ») , dérivée de notre propre systématique idéologico-scientifique. Notre culture et notre structure sociale ne sont pas exportables. Elles ne peuvent pas s’imiter sans provoquer des troubles parfois plus graves que ceux que l’on veut corriger.
Mais il est également inévitable que nous, en vertu des données parfois très secrètes qui sont en notre possession, nous formulions un jugement de valeur au sujet des structures de la Terre, nous émettions notre jugement critique, que nous ne désirons pas être blessant, et que nous aventurions quelques pronostics qui seront d’autant plus opportuns qu’ils s’éloigneront moins de vos tendances actuelles, sur les processus que nous observons au sein de la société terrestre.
C’est donc pourquoi le présent tirage épistolaire pourrait s’intituler ainsi:
COMMENT, NOUS, LES ÊTRES PROVENANT D’UMMO, NOUS VOYONS LA SITUATION ACTUELLE DU RESEAU SOCIAL TERRESTRE.
Notre lettre est un résumé très abrégé du rapport remis à l’UMMOAELEWEE par nos frères, avec la signature pour insertion dans les mémoires du Sanmooaiubaa (complexe de calculateurs et de processeurs d’information installés sur notre astre froid) de:
(S104-f1)
Les paragraphes autonomes signalés entre guillemets sont une transcription littérale, reprise le plus fidèlement possible du rapport original. Cette précision de la version en langage qui vous est familier, s’entends avec les additions grammaticales et sémantiques qui la rendent intelligible, puisque nos textes sont extrêmement synthétiques, dépourvus de la morphologie syntaxique qui vous est familière, ce qui rend très compliqué leur décodage sans une addition préalable de formes verbales, d’adjectif, etc.
Le reste des paragraphes a été développé de façon à rendre plus compréhensible le contexte. En tenant compte que les lecteurs de la présente sont vous-mêmes et non nos spécialistes. Pour des raisons compréhensibles nous omettrons pratiquement 97,2 pour 144 (Ndt: 67,5%) des graphiques et images qui accompagnaient l’original.
Le rapport remis comporte 4352038 digits en système à base douze (en se référant à l’information orale) et 20782232.10 13 digits en base binaire en se référant à l’information graphique.
Les deux versions du présent exposé; anglaise et espagnole, sont d’autre part différentes. Le texte en anglais possède un caractère plus universel (en entendant par là l’acception terrestre), la copie en espagnol est plus attentive aux faits se référant à l’Europe, bien que nous y ayons inséré des références aux États-Unis d’Amérique du Nord et à la République Populaire de Chine.
Vous offrir une transcription complète du RAPPORT remis à Ummo, en dehors de l’extension que nous vous avons indiquée, aurait supposé une résolution préalable de deux autres problèmes:
– L’adresser aux organismes responsables des États de la Terre, ce qui impliquait automatiquement de nous faire connaître officiellement.
-Révéler la nature des sources et le contenu de documents statistiques et de données qualifiées par nous comme très confidentielles
D’autre part nous trouvons injuste de ne pas vous offrir au moins de manière concise, un extrait de nos jugements actuels. En vous faisant dépositaires de la présente version, bien qu’elle ne soit pas divulguée, nous accomplissons ce compromis moral.
« COMMENT NOUS VOYONS LA SITUATION ACTUELLE DU RÉSEAU SOCIAL DE LA TERRE »
peut d’autre part inciter votre frère lecteur à interpréter que le rapport original s’est limité à décrire des situations d’ordre économique, religieux, politique, scientifique, technologique, idéologique, etc… d’une rigoureuse actualité.
Il n’en est pas ainsi: en fait, les études les plus intéressantes se référent à une prognoséologie dans tous ces domaines, c’est-à-dire à une analyse prospective du futur immédiat (vingt-huit années) (Ndt: ceci nous mène aux années 2000) bien que dans cette version que nous vous avons remise aient été omis beaucoup des aspects les plus importants et des données quantitatives du document mère.
—————————
Nous avons fait remarquer, au début de cette lettre de présentation, que nous renoncions à toute attitude de caractère paternaliste envers vous. Nous nous limitons toujours à informer en faisant attention d’éviter dans la mesure du possible les expressions qui pourraient présenter des caractères d’exhortation ou des conseils insérés dans un cadre idéologique défini (le nôtre) puisque les idées de nos frères d’Ummo ne sont pas exportables à ce Réseau Social qui nous a accueilli.
Naturellement il y a forcément divorce entre le plan de nos désirs et le niveau de la praxis quand il existe un flux informatif. Nous ne vous révélons rien de nouveau quand nous vous affirmons que malgré les intentions délibérées de notre part de ne pas permettre des greffes idéologiques, le fait même de remettre à des hommes, dispersés dans de nombreuses nations de la Terre, ces mystérieuses lettres (mystérieuses par l’impossibilité pour vous de vérifier leur exactitude) entraînent une micro-altération dans les variables psychologiques de vos frères.
Ceci est une des explications à notre attitude de laisser inachevés beaucoup de nos rapports. De cette manière nous atténuons encore plus la probabilité qu’ils servent à créer des états larvés d’identification à nos idées, ce qui pourraient se traduire par la formation de groupes idéologiques qui seraient tentés de nous mythifier et de suivre de manière insensée nos propres modèles de pensée.
La nôtre n’est pas, bien sur, une constellation d’idées hermétiques. Notre pensée n’a aucun caractère ésotérique; au contraire elle est fondée sur des bases très rationnelles et encore plus mûrie que la vôtre. Ce n’est pas en vain que notre civilisation est, au point de vue chronologique, plus ancienne que celle de la Terre. L’illusion d’hermétisme provient donc de nos consignes délibérées de censure.
Mais nous ne croyons pas violer ces barrières protectrices que nous nous sommes imposées si nous vous conseillons d’une manière générique de vous appliquer à l’étude des disciplines suivantes: Prognoséologie (étude prospective de l’humanité de la Terre), Sociologie, Neurophysiologie, Théologie, Biologie moléculaire, Barostatique (étude des hautes pressions), Recherche opérationnelle, Électronique, Sémantique, qui seront les branches gnoséologiques qui auront la plus grande incidence sur le développement futur du Réseau Social terrestre.
« COMMENT NOUS, LES ÊTRES PROVENANT D’UMMO, NOUS VOYONS LA SITUATION ACTUELLE DU RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE »:
La qualification « d’actuelle » se réfère à l’état présent de développement du Réseau Social et de votre Culture. État que nous avons évalué pour environ les 28 prochaines années à partir de l’intervalle 3 UIW (dans l’original la datation se réfère à des temps mesurés sur Ummo) ( avec correction pour la Terre) équivalent à: 17 h 12 m G.M.T., le 23 novembre 1972, date à laquelle le rapport original fut envoyé sur Ummo.
————————————
Les hommes de la Terre se débattent aujourd’hui dans un état d’anxiété ou d’angoisse, et dans l’espoir d’un futur moins chargé d’ombre.
« Vous savez déjà, frères, grâce à nos rapports de périodicité programmée (S104-f2) comment la diversification des nationalités et des idéologies, rends plus difficile d’homogénéiser une information objective qui reflète le véritable sentiment des êtres humains de cet Astre solide. Nous vous ajoutons un rapport auxiliaire, qui contient des données au sujet des différents groupes ethniques à l’intérieur des structures étatiques distinctes qui composent la mosaïque politique de la Terre. »
Le développement d’un Réseau Social est conditionné par une telle multitude de variables que dans une première vision analytique il semble à peu près impossible d’élaborer un modèle qui satisfasse aux futures conditions d’évolution. Un seul Oemmii (humain) doué de la liberté de décision peut modifier profondément n’importe quel pronostic prognoséologique élaboré avec patience en se basant sur l’étude des tendances et sur les données scientifiques les mieux choisies. Staline, Hitler, Truman et Churchill parmi beaucoup d’autres, ont modifié par leurs décisions le destin du Réseau social, de manière plus puissante que les autres conditions de type biologique, économique, technologique ou psychosociale.
N’importe quelle analyse impartiale doit donc être subordonnée aux futures altérations provoquées sporadiquement par ces dirigeants de l’équilibre sociopolitique.
Cependant dans ces dernières années il est apparu une nouvelle particularité qui déjà dans notre histoire a également marqué la fin de la domination des individualités sur la base sociale. Nous commençons à observer sur Terre que le degré d’influence de ses leaders, idéologues ou scientifiques, perd de son niveau d’efficacité sur l’évolution bio-psychosociale, face à des conditions beaucoup plus puissantes.
Ainsi nous avons pu constater que dans l’actuel conflit indochinois, dans lequel une petite nation aidée seulement sous forme économique et d’équipements militaires par la République Populaire de Chine et l’Union Soviétique, lutte héroïquement contre une autre nation plus puissante: les États-Unis d’Amérique du Nord, lui infligeant défaite après défaite. La décision du président Nixon d’en finir grâce à une apparence d’un traité de paix, ce qui constitue la première déroute en beaucoup d’années, se heurte à une série d’obstacles objectifs placés par la structure économico-militaire de cette grande Nation. Et cependant les moyens de diffusion de toute la planète l’accusent directement d’être personnellement responsable de perpétuer cette guerre.
Dans l’impossibilité de recenser toutes les variables qui interviennent dans l’évolution, nous allons les regrouper (seulement celles dont l’indice d’incidence a une valeur supérieure à 0,00025) en constellations de facteurs, que nous classerions ainsi :
TENDANCES PSYCHOSOCIALES À LA SOUMISSION.
TENDANCES PSYCHOSOCIALES À LA CONSERVATION DES ATTITUDES.
SUBORDINATION DE LA TECHNOLOGIE.
CAPACITÉ EN RESSOURCES NATURELLES.
DÉVELOPPEMENT DÉMOGRAPHIQUE.
PRODUCTION ET DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL.
CONTAMINATION DU MILIEU ÉCOLOGIQUE.
ÉVOLUTION DES STRUCTURES SOCIALES.
DÉVELOPPEMENT IDÉOLOGIQUE.
DÉVELOPPEMENT SCIENTIFIQUE.
DÉVELOPPEMENT BIOLOGIQUE DE L’ESPÈCE.
N’importe lequel de ces puissants groupes de conditions, qui a son tour pourrait s’analyser en une multitude de composantes, exerce son action sur les autres. Il s’agit donc d’un réseau spatial d’onze nœuds, dont les interrelations offrent un modèle que notre rapport – mère analyse mathématiquement pas à pas. Ici nous nous limiterons à une description du problème qu’implique chaque nœud. L’évolution de chacun d’eux influence à un degré variable les autres. Ainsi nous observons que nous rencontrons l’incidence maximale dans la CONTAMINATION ÉCOLOGIQUE sur la PRODUCTION INDUSTRIELLE, avec une valeur moyenne de tout le flux d’enchaînement (ramification du réseau) de 0,068. Par contre nous évaluons l’influence du premier nœud: TENDANCES À LA SOUMISSION sur la CAPACITÉ EN RESSOURCES NATURELLES comme » tendant vers zéro « .
La future évolution sera donc d’autant moins anarchique et imprévisible que les hommes de la terre auront mieux pu élaborer un modèle mathématique qui contrôle les variables remarquables de ces nœuds.
TENDANCES PSYCHOSOCIALES À LA SOUMISSION :
La première chose qui surprend nos frères expéditionnaires sur la Terre, c’est la structure des groupes sociaux et leur régence par le chef.
Nous sommes accoutumés à la détection des bases neurophysiologiques de chacun de nos frères dès la période de gestation. Nous n’altérons pas, puisque nous violerions nos UAA, les facteurs génétiques qui conditionnent chaque être humain, mais nous évaluons depuis le premier moment la capacité intellectuelle et ergologique de chacun d’entre nous, classant les Oemii en fonction de ces bases. De cette façon, nous savons quand un de nos frères possède les traits mentaux qui le qualifie pour le commandement, et on l’y prépare dans les centres d’études pour accomplir cette dominance.
Ce qui nous effraie, ce n’est pas que vous ne soyez pas parvenu à cette évaluation précoce, mais qu’une fois l’Oemmii développé, et sa capacité intellectuelle reconnue, vos systèmes sociaux non seulement ne permettent pas de nombreuses fois la discrimination des mieux qualifiés, mais encore élèvent à des postes clefs des oemmii peu doués.
Une analyse que nous avons réalisée fait apparaître des résultats affligeants (ÉCHANTILLONS SOCIAUX SÉLECTIONNÉS AU CANADA, EN ARGENTINE, AU MAROC, EN MAURITANIE, GRANDE-BRETAGNE, ESPAGNE, INDE, PAKISTAN, AUSTRALIE, FRANCE, PHILIPPINES, TCHÉCOSLOVAQUIE). Les études furent réalisées par des moyens différents des enquêtes réalisées avec les techniques de la Terre puisqu’on ne soumit aucun questionnaire aux individus sélectionnés. Méthode qui d’autre part biaise les résultats à un degré élevé.
Il s’agissait de savoir qui ils choisiraient comme « maître » au cas où ils seraient forcés de se soumettre à un hypothétique esclavage.
L’option se réduisait à ces stéréotypes: UN INTELLECTUEL, UN HOMME D’INTELLIGENCE MOYENNE, UNE FEMME, UN MILITAIRE, UN ENFANT, UN PRÊTRE CATHOLIQUE, UN OUVRIER AGRICOLE, LE PREMIER MINISTRE DE SON PAYS, UN ARTISTE DE CINÉMA, UN BOXEUR.
Le niveau de sélection pour chaque élément de l’échantillon était situé dans ce que vous appelez le subconscient, et à l’intérieur d’une zone que nous pouvons considérer comme génératrice des volitions (Ndt: actes de volonté) .
Les résultats moyens (nous ne les détaillons pas par nationalité, quotient intellectuels, âges, professions et sexes) furent les suivants :
Désirent comme maître un MILITAIRE: 27, 409% (le pourcentage maximum obtenu)
Désirent comme maître un BOXEUR: 17,07%
Désirent comme maître un ARTISTE : 14,31%
Désirent comme maître une FEMME : 14,02% (parmi les hommes 9,78%)
Désirent comme maître un INTELLECTUEL : 8,38 pour cent
En dernier lieu nous avons mesuré :
Désirent comme maître un ENFANT : 0,12% (2,86% des femmes)
Cette analyse bien qu’elle ne représente pas toute la population de l’astre Terre, nous conduit à considérer que les résultats ne seraient pas très différents, étant donné l’uniformité observée dans les différents milieux nationaux. Vous pouvez en tirer vous-mêmes les conclusions.
Pour le moment nous conclurons à une très forte composante masochiste parmi vos frères, a une adoration mythique de la force apparaissant dans le haut pourcentage de désirs inconscients d’être soumis aux représentants de celle-ci. Ne nous paraît pas aussi grave l’acceptation de la femme comme » maître absolu » quant elle fut choisie par les mâles, puisqu’une telle attitude n’aurait pas eu une grave incidence sur le développement de la Société de la Terre.
D’autre part : la réalité de la scène socio-politique de votre planète corrobore la fiabilité de ces résultats. Les masses se laissent plus facilement entraîner par des strates de neurocorticalisation primitives (des militaires, des sportifs) que par des niveaux ayant un degré plus élevé de développement cortical (penseurs, intellectuels, chercheurs purs, pasteurs religieux, leaders sociaux).
Déjà parmi des groupes d’enfants prédominent plutôt les enfants développés musculairement que ceux doués intellectuellement: les premiers deviennent des chefs de clans ou de groupes.
L’un d’un des grands problèmes des structures démocratiques que vous avez installées et qui constituent leur échec, malgré qu’en principe et dans les tâches sociales actuelles ce soient les formes politiques les plus justes par leur inorganicité et leur respect de la primauté de la loi basée sur les droits de l’homme, c’est précisément le fait que nous avons fréquemment constaté et qui a été dénoncée par des penseurs de la Terre, qu’une grande partie des Oemii NE DÉSIRENT PAS ÊTRE LIBRES. Ils ressentent le désir impérieux d’être soumis à un maître absolu. Désir inavoué dans un grand nombre de cas, non pas par hypocrisie mais parce qu’il bat dans l’inconscient individuel. [nous savons aujourd’hui qu’il a son fondement dans ce que nous appelons le BUUAWEE VIAEII (NIVEAU SPIRITUEL COLLECTIF)]. Ce désir de soumission constitue une relique dont vous avez hérité génétiquement des époques passées (nous vous conseillons d’approfondir l’étude de la PALÉONTOLOGIE) où l’unique défense des humains primitifs de la Terre, face à l’hostilité du milieu physique et écologique (tremblement de terre, animaux) s’est appuyé plus sur la force musculaire que sur l’ingéniosité. Les plus faibles avaient besoin de la protection de ceux de forte constitution. Le prix en était la soumission aveugle.
Vos frères de la base subissent d’autre part les difficultés inhérentes à l’élaboration de schémas mentaux complexes. Ils vivent dans un monde technologique et de grande complexité. Il leur est impossible de comprendre intellectuellement aussi bien la structure des machines qu’ils utilisent journellement que l’hyper complexité des appareils administratifs, judiciaires, économiques, de l’entreprise … Même s’ils se spécialisent dans l’un d’eux il ne pourront jamais appréhender les autres. Ainsi un médecin trouvera aussi difficile de comprendre les circuits d’un vobulateur ou générateur de fréquences variables utilisé en télévision, que pour un technicien en électronique d’assimiler le processus de synthèse des aminoacides. L’ effort mental qui serait nécessaire pour sortir de son étroit domaine de connaissances professionnel indispensable pour pouvoir s’intégrer dans une société de consommation, n’est effectuée que par quelques rares humains. Les autres renoncent à PENSER, ils délèguent cette faculté à leur LEADER (qui est d’autre part choisi de manière irrationnelle par le subconscient). Ils se transforment ainsi en pions facilement manœuvrables par des dirigeants de mentalité totalitaire et par les manipulateurs de l’opinion publique (PUBLICITÉ, PRESSE). Le MAÎTRE pense pour vous. Et si au moins ce maître était un intellectuel, un sociologue, un pasteur religieux, la société pourrait encore se structurer mieux, bien que le fondement de L’AUTORITÉ continuerait à être vicié !. Ce qui est grave, c’est que le LEADER, le MAÎTRE, procède presque toujours des AIRES NEUROMOTRICES, ses décisions ne sont pas contrôlées par le cortex mais par le paléoencéphale, c’est-à-dire les zones les plus primitives du cerveau.
Requête pour que cette lettre soit conservée par votre frère Juan Aguirre Ceberio
Les hommes de la Terre se voient soumis de cette façon à l’influence de facteurs extrinsèques qui les empêchent, dans un pourcentage très élevé de la population totale, de développer leur propre capacité intellectuelle pour tenter de sortir de leur léthargie.
Si l’immense capacité de ce développement mental que serait l’addition de tous les individus de votre astre froid, pouvait s’intégrer dans le but de rationaliser vos propres programmes prospectifs et ne fut pas étouffé par cette volonté collective de soumettre sa propre intelligence à celle de vos propres maîtres, on pourrait espérer un changement révolutionnaire sans violence, qui transformerait en moins de douze ans les structures socio-économiques en des modèles réalistes scientifiquement acceptables.
Mais la mentalité de ces oemis (HOMMES) rend utopique une telle espérance.
Le déséquilibre engendré par cette tendance inconsciente vers la soumission atteint des limites que nos frères de l’UMMOAELEWEE ne pouvaient imaginer sans l’aide de ces données recueillies dans l’appendice (S104-f3) [ Ndt: 662 (en base 12)= 938 (en base 10)] (le rapport se réfère à un appendice que nous n’incluons pas dans ce résumé).
La vie moyenne d’un oemii d’une nationalité située dans la zone des pays à structure démocratique s’écoule dans le cadre de telles pressions coercitives qu’il lui est très difficile de développer en toute tranquillité un véritable entraînement mental à la synthèse, la réflexion et la création.
Il lui est impossible de savoir à un moment donné si ses frères cadres supérieurs du pouvoir national, exercent leur gestion publique rationnellement. Toute l’information à ce sujet luis sont offertes par l’intermédiaire de feuilles de cellulose imprimées avec des forme typographiques composant quelques textes dont la rédaction est contrôlée par de grands groupes de leurs frères possesseurs des grandes chaînes de moyens d’information, et avec une idéologie particulière qui imprègne toute cette information de nuances qui lui retirent toute objectivité scientifique. C’est-à-dire : l’OEMII est privé de ce dont l’être pensant a le besoin le plus essentiel pour développer sa capacité de penser, son attitude créatrice : DES DONNÉES EXACTES sur la RÉALITÉ qui l’entoure.
La déformation de ces données : leurs média d’information ne lui pervertissent pas totalement la vérité, une grande partie des faits décrits sont réels, mais les techniques utilisées pour perturber l’information sont les suivantes :
– omettre ceux des aspects de la description qui peuvent déplaire au Directeur du Média, à ses supérieurs ou à ses frères liés financièrement au groupe, ou à des dirigeants déterminés. Ainsi dans les nouvelles au sujet d’une guerre, on ressassera les atrocités commises par les adversaires du pays ami, en faisant le silence sur la barbarie des soldats servant dans la faction amie.
– en accentuant avec des types ou des caractères de grande taille et par l’emplacement de la nouvelle sur une page importante, celles des informations qu’ils désirent voir exercer un grand impact ; et de plus quand ils se voient obligés de publier une nouvelle indésirable, ils l’inscriront avec des caractères de petit format, en la reléguant en pages intérieures, ou en l’émettant sur des fréquences radioélectriques à des heures de faible écoute populaire.
– le commentateur forçant sur les adjectifs critiques, les commentaires ironiques de caractère mordant, les phrases méprisantes ou en utilisant des termes stéréotypes qui suscitent chez les lecteurs, auditeurs ou spectateurs d’une nouvelle qu’il veut discréditer, des réactions d’antipathie, de haine ou de mépris. Ainsi un périodique conservateur francophone édité dans la capitale du pays France commentait les sessions du Tribunal Russel, qui condamna comme criminel de guerre le Président des USA, en affirmant à l’intention de ses lecteurs que les scientifiques et les sociologues réunis dans le fameux comité, n’étaient rien d’autre que de pauvres dérangés mentaux.
Par contre, une revue de Tirana, publiait un reportage effectué en Suisse où étaient réunis ces éminents hommes de science jugeant les USA, dans lequel en changeant habilement quatre mots qui dans une mauvaise traduction pourraient passer comme corrects, ils transcrivent une phrase non réellement prononcée dans laquelle un fameux scientifique assurait que » les Américains du Nord devraient être castrés pour qu’ils ne continuent pas à faire tant de mal à l’humanité « . La phrase textuelle suggérait que « l’on devrait faire prendre conscience aux américains du Nord du mal qu’ils étaient en train de faire aux petites nations « .
Faute, donc, d’une information équilibrée ou totale, l’Oemii de la terre va acquérir lentement les habitudes, les modes de vie et les idées propres à ses maîtres. Le rythme inhumain du travail (en Europe l’Oemii travaille une moyenne de 5 heures 12 minutes par jour avec des variations dans les différents pays) lui rends impossible de pouvoir consacrer du temps à méditer et c’est donc pour lui une libération, par l’économie d’effort mental que cela suppose, le fait que les présentateurs et les journalistes lui fournissent les idées stéréotypées qu’il assimile comme si c’étaient les siennes et qu’il répète sans cesse comme si elles étaient le sous-produit de son esprit.
Toute l’économie structurelle des pays de l’Ouest de l’Europe, d’une partie de ceux de l’Asie, de l’Afrique et de l’Océanie et pratiquement de tous ceux de l’Amérique est basée sur des modèles perfectionnés de capitalisme en ce que les biens et le capital sont contrôlés par des groupes déterminés d’oemii qui offrent comme compensation aux secteurs de base un bien-être à base de possibilités d’acquisition de biens artificiels de consommation.
L’aboutissement que ce bien-être artificiel produit sur les malheureux hommes de la Terre est, si c’est possible, aussi lamentable que celui engendré par les modèles plus tyranniques dans lequel l’humain se voit soumis à l’esclavage.
Dans ces nations, l’oemii de la Terre vit dans l’obsession d’augmenter son environnement physique avec des objets qui constituent en réalité des besoins artificiels comme l’ont très bien dénoncé une multitude de sociologues intelligents de la Terre. Ils deviennent les esclaves du désir de quelques vacances payées, d’un véhicule luxueux, et d’une multitude d’accessoires engendrant une pollution de l’environnement : par le consommateur de tabac (la plante hachée utilisée sur Terre en combustion pour absorber par voie buccale ces émanations d’aérosols, et composés chimiques d’action thérapeutique mais qui, utilisés par eux de manière abusive, se transforment en toxiques).
Leurs maîtres les entourent ainsi d’un paradis illusoire, toxique pour l’esprit, qui, comme n’importe quel stupéfiant de nature chimique, les rend incapables de se développer pleinement comme homme intégral et entier. Ayant satisfait ses besoins immédiats : alimentation, thérapeutique au niveau des dernières avancées chimiotechniques et cliniques, habillement et un pouvoir d’achat limité pour satisfaire les besoins artificiels qu’un modèle économique monstrueux se charge de créer afin de pouvoir son tour s’étendre, l’oemii de la Terre, citoyen de ces pays, va former sans cesse de nouveaux et nouveaux modes de conduite ou réflexes sans lequel il pourrait parfaitement vivre puisque, au lieu de satisfaire d’authentiques nécessités vitales, il pervertit la fin en moyens, et engendre des conduites et des exigences qui le rendent esclave des artefacts acquis. Ainsi il s’obligera à maintenir les plis de son pantalon ( pièce de vêtement qui couvre les extrémités inférieures) tous les matins, pour pouvoir utiliser un dispositif électrique conçu à cette fin, et acquérera avec beaucoup d’assiduité certains animaux marins (langoustes, huîtres, etc…) de caractéristiques diététiques très douteuses, pour utiliser le dernier instrument d’acier capable de fracturer les carapaces de telles zooespèces.
Son goût pour les manifestations véritablement artistiques ira en s’atrophiant progressivement. Les nouvelles formes dégradées de plaisirs se substituent à celles de ses ancêtres. Dans beaucoup de pays le sport se pervertit en spectacle pendant que c’est à peine si l’oemii peut et a le temps de le pratiquer, et les formes de publicité pour toute cette gamme d’objets absurdes d’un paradis tellement cinglé, finissent par créer une confusion mentale qui le transforme en demi-humain, incapable de créer, de penser et de maintenir des critères indépendants. C’est une forme subtile mais pas moins insidieuse d’esclavage beaucoup plus terrible que celui que subirent ses ancêtres, puisque au moins ceux-ci étaient maîtres de leurs propres cortex cérébraux.
De cette manière les détenteurs des moyens de capital et de pouvoir politique peuvent accentuer leur domination avec les votes soumis de ces nombreux esclaves, sans crainte de révolution violente qui leur raflerait le pouvoir. Ces oemii, non seulement ont renoncé au contrôle de la gestion de leurs États et entreprises respectives, avec comme conséquence qu’ils se convertiront en esclaves définitifs, en ne pouvant pas participer au cadre de décision que trace par-dessus leur tête les humains détenteurs d’un tel pouvoir, mais encore ils bénissent eux-mêmes leurs maîtres qui leur permettent de posséder des véhicules à traction autopropulsés ornés d’embellissements chromés, d’acquérir des plisseuses de pantalon et de fumer des tranquillisants artificiels, et quant arrivent des journées de votes électoraux, ils voteront pour le candidat le mieux à même de bloquer les aires corticales de leurs frères en disgrâce qui restent encore autonomes.
(Le rapport originel décrit de manière plus extensive les aspects entrevus dans les paragraphes précédents. Dans ce texte, le document fait une exposition détaillée des réalités sociales, culturelles et économiques actuelles, en faisant des distinctions en fonction du groupe ethnique et national que l’on décrit. Vous êtes vous-même conscients de ce que beaucoup de ces affirmations et données vous sont familières, nous ne vous faisons rien découvrir. Si nous les insérons c’est pour rendre plus compréhensible le contexte de tout le résumé, et même ainsi nous avons omis une multitude de faits qui seraient instructifs et donc intéressant pour mes frères de Ummo mais qui pour vous seraient communs.)
Le mode de vie dans une autre des Aires importantes, l’une de celles de l’astre solidifié Terre qui est régie par des formes structurelles de caractère économique différent, diffère à très haut point de celui décrit précédemment.
Le cadre dans lequel se déroule la vie d’un citoyen des zones ayant des modèles socio-économiques de caractère socialiste, est conditionné par les différentes racines idéologiques qui prédominent dans certains pays par rapport aux autres. Il n’est pas possible de comparer un oemii résidant dans la nation Algérie (Nord de l’Afrique) à celui de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (ouest de l’Europe et Nord de l’Asie) ou avec celui résidant dans la République Populaire de Chine (Asie). Dans le chapitre (S104-f4) [Ndt: xxx429 (base 12)= soit xxx599 (base 10)] (on se réfère à une partie du rapport que nous ne vous avons pas résumé) nous vous avons exposé, frères de l’UMMOAELEWEE, tout le processus idéologique qui amena à la formation de semblables Nations. Nous vous disions que le souhait de beaucoup de penseurs de la Terre de mettre au point une structure sociale qui puisse libérer l’homme de cet Astre de l’esclavage que suppose pour lui de maintenir comme séparé du Droit Naturel le principe de la propriété privée, cristallisé dans la formation de grands groupes multinationaux (internationaux) composé d’intellectuels et d’ouvriers (esclaves) avec une conscience de classe, prêts à supprimer par des moyens violents le pouvoir tous azimuts des détenteurs des moyens de production, ceux-ci étant appuyés par les gouvernants et par les structures ecclésiastiques qui avaient déformé la véritable image de la religion aux yeux de leurs propres coreligionnaires.
Ces idéalistes, avec une respectable bonne foi indubitable, mais avec une grande ignorance des véritables mécanismes psychologiques de leurs frères, s’attelèrent à la tâche ingrate de créer un état de conscience collective qui soit capable de remplacer les modèles étatiques et économiques en vigueur pour d’autres, beaucoup plus humanistes, plus justes et exempts du caractère répressif que ces institutions capitalistes imposaient.
La première erreur prospective grave, ils la commirent quand ils prophétisèrent que la révolution triompherait dans les pays les plus avancés comme l’Angleterre (Europe) s’appuyant sur la thèse que la concentration de capitaux arriverait à un point où la base, dépossédée, finirait par se soulever contre le secteur minoritaire maître du pouvoir économique et exécutif.
Ce fut au contraire dans une Nation de structure agraire, miséreuse et totalitaire, dominée par une aristocratie immorale et corrompue, où, non pas par la dynamique propre de l’Histoire postulée par les penseurs socialistes, mais par le fait de circonstances imprévisibles parmi lesquels se trouva le fait important que Lénine exilé soit aidé par le gouvernement capitaliste allemand lui-même pour se transporter en Russie et à organiser la révolution, fut expérimenté le modèle, avec des résultats cependant incertains.
Le modèle chinois eut une autre genèse historique. Les hommes de la Terre, dans leur majorité, ne connaissent qu’une version irréelle de celle-ci. Ils pensent que l’armée communiste en lutte contre le Kuomingtang (une autre structure corrompue) progressa lentement sur le territoire national, face à la passivité des États-Unis qui se décidèrent à la fin à protéger Formose, une fois conquis par le peuple chinois tout le territoire aux mains de l’oligarchie.
La réalité, c’est que dans une réunion tenue à YALTA pendant la décade où se développait la guerre qui ravagea cet Astre froid, et par des contacts au niveau des ambassadeurs, Staline et Roosevelt, les dirigeants de l’URSS et des USA à cette époque, à l’insu de Churchill et de Tchang-Kai-Tcheck, dirigeants de la Grande-Bretagne et de la Chine libre de la domination japonaise, concertèrent la remise de cette nation aux forces de Mao-Tse-Tung, alors révolutionnaire inconnu, sans que cela suppose un lâchage du régime décomposé du Kuomingtang.
Les USA se sont alors engagés à :
– ne pas intervenir directement dans la guerre civile.
– limiter l’aide au gouvernement Nationaliste à des niveaux qui seraient supervisés par des représentants de l’Union Soviétique et des États-Unis.
– Interdiction pour un présumé gouvernement socialiste implanté en Chine d’étendre son aire d’influence, en cas de victoire des forces populaires (ainsi que cela arriva), en dehors du territoire chinois.
– engagement de la part des États-Unis de concéder des crédits pour un montant non encore déterminé, au nouveau gouvernement populaire en cas de triomphe.
– au cas où les troupes chinoises soviétiques seraient en déroute : promesse des USA d’exercer leur influence sur le gouvernement nationaliste pour obtenir une amnistie générale des révolutionnaires.
Staline exerça ainsi une contrainte sur son collègue des États-Unis, en le forçant encore à un compromis de plus : que si on ne le consultait pas, cela supposerait le retrait de l’Union Soviétique en ces jours si critiques pour cet astre solidifié !
Les États-Unis, sous la pression des autres alliés et de l’opinion publique des pays de structures capitalistes, violèrent l’accord en protégeant le dictateur chinois dans son réduit de Formose. La Russie et la Chine répondirent en intensifiant le refroidissement des relations entre les deux blocs, en imposant d’abord son influence sur le Tibet et en appuyant militairement la Corée, un petit pays au Nord de l’Asie.
Les États-Unis ne se sentirent plus obligés de respecter la clause prématurée d’aide pécuniaire à la République Populaire de Chine et celle-ci eut à affronter au début une série de graves difficultés internes dans son propre processus de reconversion.
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Comment vit un homme citoyen dans le cadre socio-économique de ces pays? En premier lieu, il faut analyser les conditions d’utopisme politique dans lesquelles se sont développées ces Nations. Ignorant de la véritable chaîne psychosociale que forment leurs frères, les intellectuels socialistes ont joué envers eux le rôle d’un paternalisme autoritaire.
(Naturellement quand nous nous référons aux hommes de la Terre, dans le rapport original envoyé sur Ummo, nous nuançons des aspects impossibles à refléter dans un document résumé comme celui-ci. Il n’est pas possible d’intégrer tous les êtres de la Terre où vous vivez, dans un stéréotype, comme si tous étaient perturbés par la société de consommation, et utilisaient des plisseurs de pantalon, ou étaient incapables de penser de manière autonome. Nous ne décrivons que des formes communes avec une valeur statistique modale, dans une distribution normale. Les affirmations recueillies dans ce résumé ne peuvent donc pas avoir de valeur scientifique étant donné qu’elles ne sont pas accompagnées de données quantitatives, et sont résumés en quelques concis schémas génériques.)
Les structures corticales des hommes de la Terre, comme celles de notre astre (Ummo), présentent des traits de morphologie, transmise par l’hérédité, très différents entre eux. Nous avons observé, en ce qui concerne la capacité intellectuelle et l’émotivité, des valeurs de dispersion beaucoup plus grande que parmi nos frères.
(Le rapport se réfère à la finesse de la distribution statistique de coefficients mentaux. En utilisant comme méthode de mesure de l’intelligence celle de la Terre pour vous rendre le résultat plus compréhensible, puisque sur Ummo l’intelligence se mesure par d’autres paramètres reliés également à la structure biologique moléculaire du cortex et de son réseau neuronal).
Il existe effectivement des Oemmii terriens avec une capacité de calcul, d’élaboration mentale et une potentialité mnémonique très supérieure en valeurs standards à celles de leurs frères. D’autres dans un état appelé par vous Oligophrénique, ont ces capacités très amenuisées. De la même façon on trouve sur Terre deux formes extrêmes de sensibilité émotionnelle. Chez certains, appelée par les techniciens de la Terre psychopathes sociaux, le mépris envers les vies et les entités spirituelles respectives de leurs frères est tellement accentué qu’ils n’hésitent pas les torturer ou à commettre des assassinats froidement calculés. D’autres, parmi lesquels on a coutume de compter les pasteurs religieux des diverses confessions, les sociologues, les penseurs humanistes, les révolutionnaires purs, beaucoup de médecins, les donneurs de sang, les objecteurs de conscience, et quelques politiques, ont une grande sensibilité devant les souffrances de leurs frères.
UMMOAELEWEE
Nombre de copie:une
Monsieur JORGE BARREBECHEA ABERASTURI
Monsieur :
mon souhait ainsi que celui de mes frères est de continuer à vous remettre un résumé d’information qui, bien qu’avec une multitude d’additions, d’omissions et de retouches dans sa forme, constitue un indice testimonial de notre opinion sur les formes socio-politiques et culturelles actuelles de l’astre froid Terre.
Le résumé que nous allons continuer à vous remettre est composé de deux parties pas très précisément définies : dans la première nous exposons l’état présent du réseau social humain terrestre. Celle-ci ne vous intéresse peut-être pas grandement, puisque beaucoup des nouvelles et des données qu’elle contient vous sont parfaitement familières.
Beaucoup de nos opinions sont exposées de manière explicite et avec une clarté beaucoup plus grande par des commentateurs, des journalistes, des penseur et des spécialistes de sciences sociales de la Terre, de sorte que les rappeler dans cet écrit pourrait être inutile, et serait stérile, si ce n’était parce que pour certains de vos frères cela pourrait leur sembler intéressant, à titre de simple curiosité, de connaître jusqu’à quel point de telles opinions sont partagées par nous et quel est notre point de vue impartial sur le sujet.
N’appartenant pas au réseau social terrestre, nous sommes en mesure d’évaluer avec une certaine dose d’impartialité les institutions qui régissent aujourd’hui vos frères.
Notre « critique » ne doit pas être considérée comme telle. N’appartenant pas à votre propre espèce biologique, il pourrait peut-être sembler humiliant que nous nous consacrions à couper au scalpel dans les tissus de la chaîne sociale d’autres êtres pour, avec un air doctoral, aller découvrir les tares, les tumeurs, les néoplasies et les cellules nécrosées qui endommagent ses structures histologiques, puisque en fin de compte c’est à cela que ressemblent les différents modèles de réseaux sociaux humains dont vous-même et jusqu’aux animaux inférieurs faites partie.
Croyez-moi bien, Monsieur Barrenechea, nous sommes les premiers affligés par notre impuissance. Nous voudrions pouvoir présenter un rapport moins sombre ; nous aurions voulu trouver ne serait-ce qu’un système ou idéologie de la Terre, qui en se cristallisant dans la praxis, aurait été parfait et aurait évincé les autres. Mais ce serait vous tromper et déformer la réalité scientifiquement observable si nous ne vous dévoilions pas les taches et parfois les ombres sinistres qui ternissent chacune de ces structures idéologiques.
Nous ne savons que trop que notre analyse est froide et dépourvue de toute polarisation émotionnelle en faveur d’une quelconque idéologie et système de la Terre. Nous ne vous jugeons que sur des faits établis, non sur les idées en tant que telles. Toutes les constellations idéologiques de vos brillants penseurs possèdent la beauté de la spéculation fulgurante, mais généralement non basées sur des raisonnements scientifiques, sur des lois empiriquement vérifiables et traduisibles en formules mesurable. Il est certain que vos sociologues actuels vont utiliser pas à pas des techniques sociométriques avant de définir les phénomènes de caractère humano-collectif, mais les conceptions en vigueur qui régissent actuellement les formes collectives de vie en commun, comme peuvent être les formes différentes de démocratie, les socialismes de types distincts, les fascismes, les conceptions totalitaires et libérales, sont engendrés plutôt de façon instinctive, romantique, viscérale, ou intuitive par les génies qui les créent, que basées sur le calcul et la froide analyse soigneuse des phénomènes sociaux. Le paléoencéphale des hommes de la Terre l’emporte sur le cortex. Le vécu et l’émotionnel oppriment la méthode et le rationnel. Le sentiment magique prédomine chez vous, passant devant la patiente recherche statistique qui vous sortirait du marasme et de la souffrance.
Quand vous-mêmes lisez ceux de nos rapports qui concernent vos propres conceptions religieuses et politiques, vous ne pouvez sûrement pas éviter un certain sentiment de malaise quand ils affectent des idées profondément enracinées et chères à votre propre MOI. Vous les hommes de la Terre, les critiques sur vos propres conceptions, mûries à travers de longues années d’influence des moyens de diffusion, des éducateurs, des amis et des familiers, et de l’observation de l’environnement ambiant, vous blessent plus que les analyses sur votre propre personnalité.
Et il est logique que cela se passe ainsi, et c’est pour nous élogieux puisque ceci démontre que l’égoïsme de l’être humain de la Terre n’est pas aussi développé que vous le croyez vous-même.
C’est pourquoi un lecteur canadien de nos lettres, nous a dit il y a peu d’années dans une conversation téléphonique : « Je ne sais pas qui vous êtes, mais j’aimerai bien savoir pour qui diable vous êtes… « . Effectivement celui-là de vos frères a pressenti la vérité » nous ne sommes pour personne, nous n’avons aucune doctrine à vous offrir, qui puisse vous servir ».
Quiconque nous identifierai à un groupe religieux ou politique ou financier ou philosophique, scientifique ou récréatif, commettrait une erreur naïve et compréhensible que d’une certaine façon nous aimerions réfuter.
Dans ces derniers rapports, nous nous limitions à vous présenter comme un reflet vos propres conceptions. Si l’image de vous plaît pas, croyez-moi, vous Monsieur Jorge, la faute n’en n’est pas au miroir.
Devez-vous déduire de nos analyses que les idéologies en vigueur sur la Terre sont également à rejeter, à cause des aberrations qu’elles portent dans leurs conceptions respectives ?
Nous vous répondons catégoriquement que non. Nous ne vous dévoilerons rien de nouveau si nous vous affirmons qu’elles peuvent toutes se situer dans une échelle de valeur dont le critère de mesure soit le résultat que ces différents systèmes ont donné dans la pratique. Ceci disqualifie automatiquement non seulement l’éclat de l’exposé de beaucoup de ces idéologies qui en théorie possèdent une brillance intellectuelle indubitable qui passionne ses partisans, mais encore TOUTES les nouvelles IDÉOLOGIES qui viennent à peine de naître parmi vous, tant qu’elles n’auront pas été soumises par voie empirique à une sévère analyse par un processus long et patient.
(Observez que ce principe nous empêcherait de vous proposer n’importe quel type de DOCTRINE bâtarde, ou de vous suggérer de transplanter sur Terre nos propres conceptions socio-politiques).
Si l’un d’entre vous nous demandait laquelle des formules de gouvernement en vigueur doit être considérée comme valide, nous lui suggérerions : » ami, continue d’accepter la tienne propre, mais soumet la à une analyse rigoureuse ». Respecte-t-elle l’être humain et sa capacité de création et de développement mental ? Protège-t-elle tous les citoyens sans distinction de croyances ou de caractéristiques raciales ? Favorise-t-elle la culture, la recherche et l’étude par rapport aux autres domaines de moindre importance ? Respecte-t-elle déclaration des droits de l’homme des conventions internationales ? Utilise-t-elle la violence pour réprimer les justes aspirations de justice ? Pense-t-elle que maintenir l’ordre par la force, et non au moyen de la persuasion et du consensus populaire, est plus important que la justice sociale ? Base-t-elle son système économique seulement sur le bien-être ?
Ces questions formulées et satisfaites de manière objective vous donneront, ami, une mesure de fiabilité approchée pour cataloguer l’idéologie dans cette échelle de valeurs.
Il n’appartient à personne d’autre que vous de choisir, éclairé par votre propre conscience et l’échelle des valeurs morales, la forme la plus juste parmi celles existantes. Nous n’allons pas l’indiquer aux hommes de la Terre. Nous oserons seulement vous assurer que : CE QUI EST COMPLÈTEMENT À REJETER C’EST JUSTEMENT L’ASEPSIE IDÉOLOGIQUE: le renoncement à contribuer par son propre effort à un RÉSEAU SOCIAL plus JUSTE. L’inhibition de celui qui vit frileusement en tournant le dos au compromis ci-exposé doit lui valoir d’être extirpé, au cas où les efforts de récupération seraient vains, de la société où il vit puisqu’il a cessé d’être un être humain pour se transformer en une structure biologique sans vie.
D105
UMMOELEUEE
Nombre de copie: 1
Senor JUAN DOMINGUEZ MONTES
MADRID – ESPAGNE
7 – 12 – 1972 – Londres
LE BUAUAA
Le concept de BUAUAA ne peut être envisagé qu’au moyen de certaines hypothèses qui exigent différents instruments sémantiques, une base logique différente de la topique et de la pensée des différentes écoles philosophiques de la Terre. Dans une première interprétation linguistique le phonème BUAUAAA, et l’entité ou facteur ontologique qu’il tente de représenter ou d’encoder pourrait se traduire dans la langue de la TERRE par : ÂME, ESPRIT, PSYCHÉ, ou MOTEUR VITAL.
En réalité le concept que sur UMMO nous étiquetons avec ce vocable possède des caractéristiques beaucoup plus complexes. Ce ne serait pas simple d’identifier notre idée de BUAUAA avec l’image idéale que les penseurs théodicistes (NdT-1) de votre humanité, les théologiens chrétiens et psychologues scholastiques se sont forgés de l’ESPRIT.
Sans aucun doute, beaucoup de caractères assignés par nous au BUAUAA s’identifient avec les qualités que certains de vos penseurs attribuent à l’âme. En règle générale nous savons que « l’âme » que nous appelons BUAUAA est adimensionnelle et donc le facteur ou dimension TEMPS n’a aucun sens pour elle. Elle est aussi indestructible et possède la particularité d’être GÉNÉRÉE par WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU).
Il apparaîtra sûrement un conflit avec les ontologistes de la Terre quant nous affirmons qu’elle ne peut pas être ÉTERNELLE du fait que ce concept implique automatiquement la dimension temporelle. Et la confusion pour vous se manifestera encore plus, si nous assurons en utilisant notre logique qui considère comme NON EXISTANT ce dont la chaîne ontique (Ndt: du grec ontos: l’être) ne comporte pas d’IBOZOO UU (essence du réel, du dimensionnel et par conséquent constatable par des moyens physiques), et si nous assurons – nous répétons – que le BUAUAA N’EXISTE PAS.
Pour les animistes de la TERRE, l’ÂME est créée au moment de la conception d’un nouvel être humain, l’âme va conformer, avec son libre arbitre, toute la conduite de l’homme jusqu’à sa mort. Après ce décès l’âme continue d’exister et elle est » remodelée » par le créateur, qui la sanctionne en vertu de cette ligne de conduite librement choisie par elle…. (Excusez-nous de résumer si étroitement une doctrine psychothéologique que nous savons être beaucoup plus complexe : mais nous ne tentons pas d’en faire quelque critique et d’autre part nous vous supposons informé de vos propres conceptions philosophiques à ce sujet).
Nous tenterons plutôt de vous esquisser nos propres conceptions.
En premier lieu nous distinguons entre deux classes d’ÊTRES existants dans le UAANM (COSMOS) en opposition à deux autres grands genres « D’ENTITÉS (Ndt: « seres ») NON EXISTANTES « . Ces dernières sont: AIOYAA AMMEIEE UAA , tels que WOAA (Le Générateur!), BUAUAA (Esprit Humain), BUAWEE BEIAEII ( Esprit Collectif) ou BUAUAA BAAIOO (Esprit de L’Être Vivant)] et AIOYAA AMMEIEE OUEE (Tels que: le contenu d’une information, la sensation du plaisir, ou une tradition populaire).
Les ENTITÉS (Ndt: « seres ») » EXISTANTES « , dont l’essence est définie par IBOZOO UU, tels une roche, un virus, une étoile, ou le flux du temps et qui, par conséquent, permettent une voie empirique d’analyse, alors nous les définissons comme
Existants: Pour nous, la distance entre deux points ou un intervalle de temps a la même nature ontologique qu’un cristal de sulfure d’antimoine ou un neurone. D’autre part nous ne voyons pas en quoi pourraient se différencier entre eux les concepts énoncés si ce n’est en ce qui concerne leur complexité comme chaîne d’ IBOZOO UU, et dans le contenu de l’information que de telles structures possèdent. Indubitablement la distance entre deux astres solides est matérialisée par un RESEAU d’IBOZOO UU, nous ne concevons pas la ligne droite comme une abstraction purement mathématique sans sa sous-base d’IBOZOO UU, car une telle entéléchie n’est pas contenue dans une gnoséologie d’UMMO
Mais c’est qu’aussi un intervalle entre deux » instants » (nous utilisons ici le concept d’instant pour faciliter notre exposé mais il n’a pas de réalité chez nous) possède une structure d’ IBOZOO UU.. De plus, nous pouvons vous assurer que la distance déjà citée entre des astres serait interprétée, par des êtres d’un autre cadre dimensionnel, comme un simple écoulement d’ UIW (unité de temps) mesurée par sa chronoscopie (NdT- 2)
Une distance et un intervalle de temps constituent des exemples de CHAINES avec un état minimum d’information possible.
À l’inverse : à nombre égal d’IBOZOO UU impliqués, un volume de sulfure d’antimoine possède une structure complexe qui impliquera un plus grand degré d’information. Déjà vous devez être conscient maintenant que la distinction que les mathématiciens de la Terre formulent entre GRANDEURS (NdT-3) CONTINUES ET GRANDEURS CONCRÈTES OU DISCRÈTES est fausse puisque cela n’a pas de sens d’assigner à la distance, vitesse, temps … un caractère de grandeur continue. Les » quanta » de vitesse, accélération, longueur, etc. … possèdent une personnalité propre dans l’univers des êtres AIOYAA (EXISTANTS)
Le degré de complexité informatif définit ces êtres. Comme vos propres frères biologistes de la Terre l’ont très bien pressenti, les virus (connus aussi sur Ummo) sont AIOYAA, dont le degré de complexité (celle-ci étant définie par la quantité d’information contenue par unité de volume et de masse) signifie un seuil entre les êtres vivants et non vivants. Nous préférons appeler les premiers (Ndt: les êtres vivants) d’ENTROPICONÉGATIFS ou NÉGUENTROPIQUE et les seconds (Ndt: entités non vivantes), ENTOPICOPOSITIFS (AAIODII EXUEE et AAIODII YOOWAAA respectivement) car pour nous un ÊTRE VIVANT est un RÉSEAU SOCIOIBOZOO capable d’enrichir son contenu d’INFORMATION « relativement à sa masse », se structurant au cours du temps vers plus de complexité. Et pourquoi est-ce ainsi ? Simplement parce que les IBOZOO UU qui forment la chaîne du TEMPS s’incorporent positivement à sa structure antérieure, en changeant leurs axes et en se permutant en quantités discrètes de volume et de masse.
Pour les êtres vivants l’écoulement du TEMPS ne signifie pas autre chose qu’une « conversion » d’un réseau d’IBOZOO UU potentiellement liés à eux (Ndt: aux êtres ), comme GRANDEUR TEMPS en autres GRANDEURS (telles que CHAMP GRAVITATIONNEL, CHAMP MAGNÉTIQUE, CHAMP ÉLECTROSTATIQUE, LONGUEUR et MASSE). En employant une comparaison grossière mais didactique, vous pourriez traduire ceci par le fait que les ÊTRES VIVANTS « s’alimentent » du TEMPS écoulé, le « digérant » et transformant, grâce à un curieux mécanisme métabolique, le TEMPS en MASSE et autres « sous-produits ». Nous observons ici un processus d’ADDITION. Au contraire, les entités (Ndt: « seres ») AAIODII iowaa (Entités (Ndt: « seres ») inertes comme vous diriez) tels que des molécules d’argon, un aérolithe, ou un faisceau de micro-ondes, se caractérisent en ce qu’ils dégradent leur propre complexité. Ce que les physiciens de la TERRE ont déjà observé quand ils définissent les lois de la thermodynamique et formulent des concepts tels que L’ENTROPIE ( variations de chaleur par rapport à la température) et DÉGRADATION THERMIQUE DE L’UNIVERS ont une signification un peu différente pour nous. Les entités (Ndt: « seres ») non vivantes se caractérisent parce que leur propre RÉSEAU d’IBOZOO UU subit un lent processus de » rotation » dans ses » AXES « . Les chaînes d’IBOZOO UU qui antérieurement possédaient des caractéristiques de masse se dégradent d’abord en énergie avec une longueur d’onde croissante et finalement en TEMPS. Selon ce concept, la fin du UAAMM (cosmos) ne serait pas comme le présument quelques cosmologues humains de la Terre, « un terrible océan de radiations thermiques », mais plutôt un univers déconcertant dans lequel seulement le TEMPS, comme dimension, aurait sa demeure, sans qu’aucune entité (Ndt: « ser ») vivante ou inerte, puisse subir son flux, « sa flèche ».
Mais ce n’est pas précisément cela la fin qui attend notre WAAAM , comme en une autre occasion nous vous l’éclaircirons.
Avant de continuer : permettez nous, Senor Juan, de vous proposer un modèle pédagogique qui rende plus compréhensible les concepts énoncés jusqu’ici. Naturellement cet exemple ne doit pas être trop pris comme l’image de la réalité, bien qu’il puisse contribuer à ce que vos frères assimilent de telles idées.
Imaginez une immense plaine, ou peut-être une table gigantesque, sur laquelle ont été répandu avec uniformité et symétrie des millions de cartes à jouer placées à l’envers. Dans un seul but, le joueur a distribué une longue file de cartes identiques. Peut-être que c’est l’AS de TREFLE qui d’entre elles a été placé sur le dos. Un observateur qui survolerait à quelques décimètres dans un hélicoptère imaginaire l’immense table de jeux, n’observerait qu’une grande superficie recouverte par la même couleur du revers des cartes et comme note de couleur dominante l’As de Trêfle, inversé positivement.
Les cartes représentent les IBOZOO UU.
Le joueur caché peut, sous la table, faire croire au pilote du véhicule, que la carte » avance « , » court « , sur la table. Avec une baguette et à travers des orifices de la table, en retournant successivement tous les AS DE TREFLE qu’il y avait sur la table, placés à la file, en prenant la précaution de rabattre les cartes retournées antérieurement.
Si le joueur est adroit et le fait avec une vitesse vertigineuse, l’observateur aura l’illusion optique que notre carte de référence, patine, glisse, quand en réalité pas un seul des cartons colorés n’a bougé de sa position d’origine.
Mais le joueur peut porter encore plus loin sa plaisanterie. Chaque fois qu’il relève un AS DE TREFLE, il retourne aussi une carte adjacente, deux dans la seconde opération, trois dans la suivante … de sorte que le pilote observateur contemple que l’AS DE TREFLE, non seulement » glisse » mais aussi que dans son entourage apparaît de façon magique, toute une polychromie de cartes.
Peut-être l’exemple aurait-il été plus parlant en substituant, aux cartes, des polyèdres à faces multiples qui représenteraient mieux des IBOZOO UU, mais ce modèle aurait perdu de sa simplicité d’explication .
Pourquoi des êtres: virus, protozoaires, végétaux, hommes … enrichissent-ils leur complexité informative aux dépens du même TEMPS, et au contraire des entités (Ndt: »seres ») inanimées comme une barre d’acier, un nuage de vapeur d’ammoniaque, ou une galaxie, réduisent-ils (bien qu’avec un rythme extrêmement lent) leur contenu informatif? L’explication n’est autre que le BUAUAA, comme nous vous en informerons dans une autre lettre, Monsieur Juan Dominguez . Montes.Ummo-sciences: D 105-1 | T4-3/5
Conservez cette copie Monsieur JUAN DOMINGUEZ.
Vous savez bien que pour un Oemii dont le processus de formation implique un degré élevé de complexité neurocorticale, le temps apparaît comme la sensation consciente d’un flux d’événements dont la flèche est définie par la comparaison de deux événements quelconques, pris comme référence. Nos mécanismes mentaux, en opposant ces états là, évaluent consciemment – inconsciemment le fait que l’un d’eux soit toujours plus complexe en informations accumulées que l’autre. De cette façon nous fixons la flèche du temps.
Nous exprimerons ceci d’une autre manière pour vos frères moins préparés: Comment saurons-nous aujourd’hui que le temps passe en avançant depuis le passé vers le futur ? Nous opposerons deux épisodes : celui du matin quand nous avons lu dans la presse une nouvelle concernant un accident catastrophique de train, et celui de l’après-midi quant une station radio a enrichi notre information, nous apportant les noms des morts durant le déraillement.
Observez que toute la mesure du TEMPS s’est circonscrite à constater des niveaux différents d’information. En un instant donné, la montre observée ou le pouls contrôlé suppose la comptabilisation d’un nombre déterminé de révolutions d’un engrenage ou d’enregistrement du nombre d’impulsions cardioïdes de pompage pour le plasma sanguin. Ce que vous appelez « un instant après » c’est observer une augmentation d’information, représentée par un nouveau nombre de tours du moteur ou par des impulsions nerveuses activant les fibres musculaires du cœur.
Dit d’une autre façon : la richesse ou l’incrément informatif c’est LE TEMPS, non LA FONCTION DE TEMPS COMME LE PENSENT QUELQUES THÉORICIENS DE LA TERRE.
N’importe quelle physique qui prétend mesurer une grandeur qui a son tour SOIT FONCTION DU TEMPS, est en réalité en train de mesurer UNE FONCTION D’INFORMATION. Un chronométreur qui prétend avoir évalué la vitesse à laquelle se déplace un JET dans l’espace, en réalité n’a pas mesuré plus qu’une distance et simultanément, lui-même s’est complexifié, il a enrichi l’information contenue dans les bases du registre mnésique de sa mémoire neurocorticale, et par conséquent (comme nous l’expliquerons plus loin) il a enrichi la masse d’informations contenue dans le BUUAUEE BIAEEII (Esprit du réseau social).
Dit d’une autre manière : l’intervalle de temps, représenté par une chaîne d’IBOZOO UU, inaccessible par les instruments de l’OEMII scientifique, subit une rotation de ses axes et en vient à se convertir en une augmentation d’information qui enrichit le système biologique « néguentropique » (réseau des êtres vivants).
Il importe peu que le chronométreur meure et avec lui disparaisse l’enregistrement codé au niveau moléculaire de cette information contenue dans son neuroencéphale. Le BUUAUEE BIAEII maintient indélébile le contenu informatif.
(Nous utiliserons un exemple grossier : il n’importera pas qu’une symphonie de Beethoven, enregistrée sur une bande de mylar avec une émulsion magnétique soit détruite, si la symphonie est gravée dans les esprits des millions d’auditeurs).
Mais l’exemple, nous répétons, est grossier: Mais si l’enregistrement n’avait pas été écouté (par personne), si ce n’est par le microphone d’un magnétophone, l’information serait détruite quand se produirait la combustion de la bande.
Ça ne se passe pas ainsi quand un seul OEMII reçois, même à un niveau subliminal, une séquence codée de stimulus (INFORMATION), alors l’information s’inscrit à trois niveaux. (Image A… NdT: pas d’image).
Ces niveaux sont :
NIVEAU (BIAEYEE IUEOO DOO) : il correspond aux bases physiques (moléculaires) de notre OEMII (facteur somatique : corps physiologique). L’information reçue par les transducteurs sensitifs neuronaux accède au cortex moyennant les influx nerveux transmis par les fibres nerveuses. Ce codage mnésique se réalise en base binaire à travers des altérations de la structure moléculaire des cellules que constitue le BIAYEEE IEUOO DOO
SECOND NIVEAU. l’information codifiée dans les IBOZOO UU qui forment la masse neuronale peut disparaître par la dégradation de la structure physiologique qui la soustend (mort physique de l’OEMII), mais c’est que simultanément se produit un processus complexe de triplication dans le stockage de l’information:
Les informations captées par nos voies sensorielles ne s’enregistrent pas seulement dans nos mémoires physiques.
Un réseau de DIUIAA (Gaz Krypton) reçoit du BIAMOASII (une structure biologique pas encore détectée par les anatomistes et physiologistes de la terre) cette information d’une forme très particulière.
Les impulsions nerveuses provoquent la décomposition d’une enzyme. Cette réaction est de caractère exothermique. À son tour la fonction thermique générée par ce processus induit une altération de caractère gravitationnel (NdT -1) d’une très haute fréquence, qui se traduit par l’excitation de ces atomes de krypton, à travers d’autres atomes d’HÉLIUM.
Le résultat est un effet de résonance entre un réseau d’atomes d’hélium et le réseau de krypton cité, et l’altération qui s’ensuit des états quantiques des deux réseaux d’ IBOZOO UU (nous autres nous concevons les atomes comme des réseaux d’IBOZOO UU).
Le BUUAUAA (esprit individuel) fixe ainsi cette INFORMATION, mais « non codée » en un système mathématique (codification digitale BINAIRE )
Le BUUAUAA est adimentionnel. Cependant il possède une composante que vous qualifieriez de MATÉRIELLE. Nous entrons, Monsieur Dominguez, dans un processus didactique très épineux. A partir de maintenant vos bases sémantiques familières ne suffisent pas pour vous l’expliquer d’une manière intelligible. La logique aristotélicienne ne vous aidera absolument pas à suivre notre raisonnement.
Voyons : dans cet écrit je suis en train de vous assurer que BUAUAA possède un composant, ou bien est affecté (pour nous exprimer avec plus de réalisme), par un composant physique. Même avant que nous vous parlions de lui, cela paraît appliquer une conclusion logico – binaire, en contradiction avec la conception scolastique des penseurs animistes de la TERRE.
Selon notre » affirmation » il s’infère que L’ESPRIT possède des » parties » et partant, il est divisible : fractionnable
Mais ce n’est pas cela dans l’absolu. Le BUUAUAA est une entité IMMATÉRIELLE même si ses processus internes sont, ou possèdent, un caractère physique.
Nous vous avons indiqué dans d’autres documents l’existence de ce que nous appelons PLURIUNIVERS (UAAM-UAAM). Une infinité de cosmos coexistent pour un hypothétique observateur qui pourrait observer le RÉSEAU d’IBOZOO UU qui constitue l’AIOYAA (dans notre logique: les Entités (Ndt: « Seres ») qui existent avec des dimensions) depuis diverses perspectives.
De même qu’une sculpture peut-être photographiée depuis différents angles en produisant des images distinctes sur la plaque photographique (pardonnez-nous, hommes de la Terre, la simplicité de l’exemple), ainsi un observateur idéal pourrait-il contempler le UAMM-UAAMM.
Dans la pratique un tel observateur idéal existe. Il est possible, en utilisant des moyens techniques, de passer d’un UAMM à un autre UAMM. Et de fait nous-mêmes le faisons dans nos voyages.
Quels moyens physiques nous permettront de prendre conscience que nous rencontrons un autre cadre tridimensionnel ?
Un seul suffit :
En l’absence de perturbation de masse, apprécier (NdT-2) un intervalle de temps : (le fait que nous concevions la prise de conscience du temps comme augmentation d’INFORMATION fera comprendre encore mieux notre affirmation). Cet intervalle de temps est celui qui s’écoule quand se déplace un IBOAYAA OOU (ce que vous dénommez » quanton énergétique ») sur une distance étalon.
Cet intervalle sera différent dans chaque UUAMM (COSMOS).
Après cette digression, nous continuons notre description du BUUAUA : nous, nous savons qu’il existe un UUAMM (inaccessible par des moyens techniques) dans lequel un hypothétique OEMII qui pourrait se déplacer en son sein (hypothèse complètement absurde) mesurera cet intervalle de temps comme NUL.
Observez que nous nous définissons l’intervalle de TEMPS (NON PHYSIQUE) comme une grandeur discrète définie par deux IBOZOO UU; De sorte qu’il n’y a pas de sens métaphysique de faire référence à un intervalle de temps nul, comme il serait absurde de faire référence à une distance nulle. Puisque dans l’un ou l’autre cas, les intervalles minimums de temps et d’espace sont des quantités définies, quand on les évalue avec un étalon, comme non nulles.
Et cependant (contradiction insurmontable avec les bases logiques binaires ) il existe un UWAAMM dans lequel la vitesse de la lumière, en l’absence de perturbation de masse, sera infinie. Dans ce cosmos tout ce réseau d’IBOZOO UU s’est réduit à un seul IBOZOO UU, autre absurdité apparente si nous le transposons à notre cadre tridimensionnel (dans lequel un seul IBOZOO UU isolé n’a pas de signification physique).
Et cependant ce UAAMM, analysé d’une façon simpliste, paraîtrait d’une simplicité déconcertante. Que peut représenter un seul IBOZOO UU isolé ? Il possède une importante transcendantale pour nous les OEMII de différentes provenances galactiques.
Avant de poursuivre : Peut-être pourriez-vous Senor Dominguez, nous poser une question parmi d’autres? Qu’en est-il du réseau d’IBOZOO UU qui composerait le UAAMM-UAAMM ? Pour le visiteur utopique de ce cosmos: une telle structure s’est-elle désintégrée ? Non: simplement cet IBOZOO UU est l’image de tout le RÉSEAU (constatable dans le reste du COSMOS).
En utilisant de nouveau une métaphore didactique puérile, c’est comme si l’observateur de la statue visite une nuit le musée pour la photographier et la trouve seulement illuminée par un spot lumineux. Sur la plaque photographique ne s’enregistrerait qu’un point brillant.
Nous vous l’indiquions quelques paragraphes auparavant, un tel UUAAM est transcendant pour nous les humains. En effet : nos processus télépathiques : l’information contenue dans le BUUAUAA (ÂME) et dans le BIAEYEE IUEOO DOO (Esprit du RÉSEAU SOCIAL) ne seraient pas possible sans son existence. C’est à lui que nous faisions référence, quant nous vous parlions antérieurement de « composant » physique de l’âme.
Le BUUAUAA lui-même ne peut encoder l’information. Il est adimensionnel. « IL N’EXISTE PAS DANS L’ESPACE NI DANS LE TEMPS « . Les théologiens de la Terre ont commis une erreur quand ils ont considéré que l’ÂME, selon la conception animiste qui les inspire, peut « connaître » ce que le corps réalise. Elle entraine la contradiction que l’âme serait capable d’accumuler de L’INFORMATION et en même temps d’ÊTRE INDIVISIBLE .
Dans le UUAMMM que nous mentionnons, vous pouvez considérer que la VITESSE DE LA LUMIÈRE, mesurée en son sein, est INFINIE. Bien que précisément dans ce cosmos le concept de VITESSE DE LA LUMIÈRE manque de signification, comme il serait aussi faux de définir en lui un quanton de longueur ou une mesure d’énergie. Cependant il possède des caractéristiques qui justement le définissent :
1- Il est capable d’accumuler de L’INFORMATION.
2- le flux d’information se réalise dans un temps NUL .
3- l’augmentation de L’INFORMATION n’a pas de signification (DT).
D106
UMMOELEUEE
Date 11.XII.1972
Monsieur Rafael FARRIOLS CALVO
ESPAGNE, BARCELONE
Nombre de copies : une
Respectable monsieur,
Il y a quelques jours mes frères récemment déplacés en Espagne purent capter une conversation téléphonique au cours de laquelle il fut fait allusion à un projet de réunion, conçue pour traiter de thèmes faisant référence à Ummo, semblable dans sa conception à celle qui s’est déroulée récemment à Madrid (Espagne) organisée par vous.
Nous nous sentons vraiment soulagés par l’intérêt que montrent quelques-uns de vos frères pour notre civilisation, et nous croyons de plus que, si nous nous étudions à votre place, nous nous sentirions tentés d’analyser dans un cadre social analogue ces informations qui parlent d’êtres vivants venus d’un autre astre solidifié.
Mais nous désirons confesser que nous ressentons de l’inquiétude pour vous. Que cette impression subjective ne serve pas à annuler la réunion projetée, mais nous vous avertissons qu’elle devra pour votre bien même éviter tout risque de prosélytisme. Nos principes actuels de caractère philosophique et social ne peuvent être injectés au sein de la société terrestre sans risques graves.
Des personnes peu préparées pourraient se sentir tentées d’assimiler des idées et des conceptions qui en eux-mêmes sont objectives et éthiques mais encore inexportables sur Terre.
Nous objectons que vous pouvez développer une analyse critique froide pour la simple finalité de satisfaire votre curiosité.
Nous vous exhortons de plus à soigner l’assistance à de telles concrétions de frères, en supprimant toute publicité sur elles et en évitant d’inviter les humains sans intérêt pour ce thème, par simple intérêt scientifique.
Nos respectueuses salutations.
D107
UMMOELEUEE
Date 11.XII.1972
Monsieur Rafael FARRIOLS CALVO
ESPAGNE, BARCELONE
Nombre de copies : une
Respectable monsieur,
Il y a quelques jours mes frères récemment déplacés en Espagne purent capter une conversation téléphonique au cours de laquelle il fut fait allusion à un projet de réunion, conçue pour traiter de thèmes faisant référence à Ummo, semblable dans sa conception à celle qui s’est déroulée récemment à Madrid (Espagne) organisée par vous.
Nous nous sentons vraiment soulagés par l’intérêt que montrent quelques-uns de vos frères pour notre civilisation, et nous croyons de plus que, si nous nous étudions à votre place, nous nous sentirions tentés d’analyser dans un cadre social analogue ces informations qui parlent d’êtres vivants venus d’un autre astre solidifié.
Mais nous désirons confesser que nous ressentons de l’inquiétude pour vous. Que cette impression subjective ne serve pas à annuler la réunion projetée, mais nous vous avertissons qu’elle devra pour votre bien même éviter tout risque de prosélytisme. Nos principes actuels de caractère philosophique et social ne peuvent être injectés au sein de la société terrestre sans risques graves.
Des personnes peu préparées pourraient se sentir tentées d’assimiler des idées et des conceptions qui en eux-mêmes sont objectives et éthiques mais encore inexportables sur Terre.
Nous objectons que vous pouvez développer une analyse critique froide pour la simple finalité de satisfaire votre curiosité.
Nous vous exhortons de plus à soigner l’assistance à de telles concrétions de frères, en supprimant toute publicité sur elles et en évitant d’inviter les humains sans intérêt pour ce thème, par simple intérêt scientifique.
Nos respectueuses salutations.
D108
UMMOAELEE
Nombre de copies 3
Langue : Espagnol
Pour M. xxxxxxxxx
BILBAO Espagne
Barcelone, 6 août 1971
MONSIEUR,
Dans notre dernière lettre nous vous exposions un bref compte-rendu de notre arrivée sur l’astre solide TERRE et notre premier séjour en France. En tant qu’Espagnol vous ressentez sans doute le désir de connaître l’arrivée dans votre pays, qui nous intéressait à cette époque pour deux raisons : D’une part nous permettre de connaître plus profondément les aspects en rapport avec l’Histoire, d’autre part la péninsule espagnole constitue une plate-forme tranquille pour certaines recherches fondamentales dans le domaine de la biologie des vertébrés.
Notre arrivée en Espagne (ce qui est écrit n’existe plus depuis sur l’astre TERRE) fut affectée par de sérieux obstacles.
Mes frères expéditionnaires essayèrent de trouver une région aux caractéristiques écologiques et climatologiques qui soit à la fois régie par une structure administrative suffisamment adéquate à satisfaire nos propres normes de sécurité de groupe.
L’affluence touristique commençant alors son actuelle apogée dans la péninsule et le fait que les autorités ne se montraient pas excessivement analytiques sur l’identité des étrangers qui traversaient la frontière pour ce motif, constituèrent une haute garantie pour les projets initiaux des miens.
Trois de nos frères parmi les déplacés d’UMMO sur Terre à cette époque s’étaient spécialisés pendant leur séjour en France à l’étude de la phonétique comparée des langues de racine latine et pouvaient parler avec une aptitude acceptable des langues comme le roumain, l’espagnol, le catalan, le sépharade et l’italien.
Malheureusement l’un d’eux avait (comme c’est très normal parmi les Oemii d’UMMO) ses cordes vocales atrophiées ce qui constituait un risque de plus à surmonter bien que nos dispositifs d’amplification acoustique rendent irreconnaissable un tel défaut par un humain peu observateur.
Pour cette raison il fut exclu de l’opération et remplacé par son supérieur par un autre frère plus jeune spécialisé en métabolisme animal et analyse des écosystèmes mais sans aucune connaissance linguistique en langue castillane, ce pourquoi il dut être soumis à une préparation minimale de forme intensive dans cette langue.
Les trois passèrent la frontière espagnole à Irun (un d’eux retourna plus tard) pourvus de faux passeports d’une nation du nord de l’Europe et de micro équipements d’investigation biologique. Ils avaient aussi de l’argent espagnol, un dossier d’information sur nombre de citoyens espagnols et une information sur les coutumes et les caractéristiques de la société espagnole. ABAEXII 4 engendré par ABAEXII 3 voyageait indépendamment avec un passeport au nom d’un prétendu professeur d’université spécialisé en zootechnie, et ses frères avec de fausses cartes professionnelles du domaine de la médecine.
Notre projet initial excluait comme résidence tant les grandes villes comme Madrid, Barcelone, Valence ou Séville que les petits centres ruraux car dans ceux-ci il aurait été très difficile de maintenir notre anonymat dans les limites exigées pour notre propre sécurité.
Quand mes frères arrivèrent, aucun lieu de résidence définitif n’avait été décidé. Il cependant avait été sélectionné une liste, parmi six agglomérations, de quatre spécialement optimales : Ségovie, Albacète, Avila, Jaen. Un aspect grave du problème se révéla alors: rencontrer des citoyens de nationalité espagnole qui puissent accepter le niveau de couverture (bien qu’ignoré d’eux-mêmes) pour le séjour de mes frères chercheurs.
Analysant l’information dont je dispose je sais qu’au début tout parut résolu. Par la presse espagnole lue à Marseille fut connue l’existence d’une propriété des environs de Jaen qui à cette époque se trouvait en vente. Par l’intermédiaire d’une agence française de transactions légales commencèrent les opérations d’acquisition. Il s’agissait d’installer apparemment une ferme d’exploitation avicole camouflant la vraie nature des recherches futures.
Le projet ne réussit pas à cause de la nécessité inéluctable d’engager des hommes espagnols dans l’exploitation.
Pour cette raison échoua aussi une tentative d’ouvrir dans la cité royale ou à Ségovie une clinique vétérinaire.
Mais d’autre part, mes frères avaient réussi à obtenir un rapport sur des citoyen espagnols avec des données « autobiographiques » de trois sources de documentation distinctes : d’un département lié au ministère de « l’extérieur » , d’une organisation d’exilés espagnols de la guerre civile 1936-1939 , et des archives personnelles d’un ex-fonctionnaire de l’époque de Thorez.
Cette information fragmentaire fut analysée par nos systèmes de traitement de données XAANNOOBAABUASII qui orientèrent nos recherches vers deux personnes, toutes deux de sexe VIE (femme). (Ndt: il s’agit bien d’un « V »)
La propriétaire d’une exploitation zootechnique d’Estramadour et une autre citoyenne espagnole qui bénéficiait de circonstances concomitantes d’un intérêt élevé qui pourraient en faire une excellente auxiliaire involontaire.
La source des renseignements de cette dernières était d’une copie de dossier d’un autre original venant d’archives du » Deuxième Bureau français » où étaient schématisés les services rendus comme agent de la Cinquième colonne nationaliste espagnole à la cause de l’armée nationale espagnole durant la guerre d’Espagne pendant les mois de juin, juillet et septembre 1936.
Le plus intéressant pour nous était une note marginale, sur la fiche de cette dame, qui évoquait certains troubles d’étiologie psychopathologique accusés par cette dame, et le compte-rendu succinct dactylographié de cette même fiche qui, parmi d’autres penchants, mentionnait son amour des animaux.
On planifia tout un programme pour connaître les amis de cette dame estimant que cela pourrait apporter une collaboration ouverte qui la récompenserait de son aide, mes frères estimèrent qu’en aucun cas ne serait révélée la vraie identité aliéno-terrestre des nôtres.
Ils se réservaient d’autres projets de liaison jusqu’à qu’ils entrent en contact avec elle et qu’elle nous montre mieux sa personnalité.
Mes frères réussirent cela à Albacète au cours d’une entrevue de l’un d’eux avec Madame Margarita Luiz de Lihori, alors qu’elle se trouvait atteintes de troubles douloureux (sans importance objective ) dans la région sacrée et aussi de céphalalgies permanentes.
Mon frère s’identifia comme médecin de nationalité nordique et il lui fut très facile non seulement d’obtenir la rémission des troubles mais aussi de neutraliser les crises d’anxiété psychique qui la tourmentaient fréquemment. Fut obtenue ainsi l’amitié inconditionnelle de la dame, marquise de Villasante, à qui en peu de semaines fut présenté un autre de mes frères impliqué dans l’opération.
———————————————————
Durant cette époque un très important programme touchait à l’analyse des immunoglobines chez les vertébrés ; étude de la vitesse électrophorétique (Ndt: migration différentielle des protéines dans un champ électrique, permettant leur identification et leur dosage) et évaluation correspondante des séquences d’aminoacides des chaînes polypeptidiques de différents anticorps.
Il s’agissait de vérifier si les données génétiques qui codent la zone appelée par les biologistes de la TERRE » partie variable » des réseaux en chaînes de globulines pouvait être l’objet de différents types de mutations, en utilisant nos techniques dénommées par les biologistes d’UMMO (UULYAGGXAA) [fréquences d’un milieu aérien élastique comprises dans un spectre ultra-acoustique obtenues en milieu réducteur, à cause de variations rapides du gradient thermique].
Cette technique permet de suivre à distance des variations de température qui suivent un processus codé d’avance. Si ce processus correspond à une fonction de temps élémentaire, comme peut l’être une fonction périodique (par exemple un train d’impulsions sinusoïdes amorties) on obtient en un tel point éloigné à grande distance de l’appareil générateur des impulsions thermiques irradiées depuis ce point comme foyer émetteur.
Si le milieu dans lequel se produit le phénomène est élastique, l’air par exemple, le gradient thermique variable se traduit en ondes à pression (acoustiques) de haute fréquence.
En pratique on localise deux points très proches l’un de l’autre (à la distance supposée de la longueur d’une molécule organique) là où ils sont excités avec deux fréquences différentes. La résultante sur l’environnement est par effet hétérodyne, ou battement, une fréquence capable de perturber et jusqu’à détruire la structure d’une chaîne protidique ou la séquence codée d’un réseau ou chaîne d’ARN, en altérant l’information codée en lui (mutation ou mort incluse).
—————————————–
Madame Margarita Ruiz de Lihori retourna à Madrid mais mes frères continuèrent à réaliser leurs études dans le sous-sol de ce vieil immeuble de la rue Mayor. Ils comptaient (et ceci était une partie de la stratégie étudiée avant d’entrer en contact avec cette respectable dame) que les rumeurs qui pouvaient circuler dans le milieu social de cette zone urbaine seraient facilement sous estimées ou écoutées avec indifférence par ces humains d’Albacète intelligents, autorités locales ou familiers qui connaissant les habitudes excentriques de Madame Margarita et provoquaient de fréquents commentaires parmi les voisins et connaissances. C’était donc la meilleure couverture pour le travail discret de mes frères.
De sérieux obstacles survinrent à la pratique de cette discrétion. Un homme très lié affectivement à Madame Margarita soupçonnait notre existence et finalement avec de grandes réserves et promesses de garder un silence absolu par Madame la marquise elle-même. Connaissait aussi notre présence une servante déjà vieille et très fidèle à sa maîtresse, ainsi qu’un voisin à qui il fut offert une récompense pour qu’il se montre discret.
D’autre part un visiteur assidu de l’immeuble, appelé M. Emilio Lopez, était sur le point de découvrir la présence de mes frères au point que d’un commun accord avec Madame Margarita, ses hôtes modifièrent leurs normes initiales de sécurité et durant le jour ne retournaient pas utiliser les étages supérieurs.
Le risque était surtout que quelque servante puisse faire des commentaires qui dévoilent la situation. Pour cela il fut nécessaire de surveiller leurs expressions verbales hors de la maison au moyen du registre phonétique. Aucun homme ne viola envers sa sœur d’Albacète la parole donnée à la dame de l’immeuble.
Ce fut alors que fut aménagée l’autre entrée qui faisait communiquer le sous-sol avec le jardin. Les travaux de mes frères continuèrent dans l’immeuble pendant les longues périodes où la marquise de Villasante et baronne d’Alcahali continuait de maintenir sa résidence provisoire à Madrid, Espagne.
En juin 1953 mes frères subirent un incident dans une quincaillerie de la ville d’Albacète, ce qui fit sérieusement penser à nos supérieurs l’opportunité d’annuler notre séjour en Espagne.
En août la situation devint insoutenable car alors deux enfants de Madame Margarita Ruiz de Lihori,: M. José Maria Shelli et Madame Margarita Shelli ,à ce moment là malade avec un tableau de néphropathie qui commençait alors à se compliquer avec les premiers symptômes non diagnostiqués par son médecin d’une leucémie lymphoïde.
Ils ne connaissaient pas l’existence des deux OEMII. Les relations de ces personnes avec leur mère étaient en crise depuis quelque temps pour des raisons intimes d’origine familiale. Ses enfants ne comprenaient pas que l’évidente conduite anormale de Madame Margarita Ruiz de Lihori était conditionnée par des traits spéciaux de personnalité d’altération psychopathologique, de sorte que l’état de frustration profonde de la dame se traduisait fréquemment par de tristes altercations qui rendaient difficile et intoxiquaient lentement le cadre familial.
Dans cette situation mes frères se transférèrent à Madrid et Madame Margarita traita personnellement l’acquisition d’une maison dans la rue de Menendez Pelayo, en fournissant aussi l’accès à des terres nommées La Zorilla, propriété familiale.
Fin août 1953 une amie intime de Madame Margarita Shelli communiqua à la Marquise que sa fille accusait une aggravation de son état, décidant cette dame, non sans auparavant vaincre la forte résistance de M.Bassols qui se refusait de façon inhumaine à apporter secours à la pauvre malade.
Mes frères se sont abstenus d’intervenir dans une affaire liée strictement à l’intimité des humains.
Nous pouvons alors constater que depuis une très forte contrariété subie par cette dame le 4 septembre de 1953, un de mes frères fut requis par elle pour la conseiller à l’occasion. Il se limita de suggérer d’agir selon les principes dictés par sa conscience morale.
Avec l’espoir que le transfert de la malade laisse libre l’immeuble, mes frères se déplacèrent de Madrid à Albacète . À la même date que cette dame voyagea vers la même ville, ils firent le voyage indépendamment dans un taxi loué à cet effet.
C’est précisément le jour où Madame Margarita arriva à sa résidence d’Albacète qu’arriva un fait gravissime que nous jugeons comme un des incidents les plus malheureux de notre séjour sur la TERRE. D’autant plus grave que nous admettons sincèrement en être totalement les responsables, sans que cette affirmation pallie l’objection que le déchaînement des faits postérieurs avait comme origine une imprudence explicable de la Marquise.
Pour des raisons de sécurité nous ne pouvons Monsieur être davantage explicites dans la relation de cette affaire trouble. Nous aimerions vous avertir préalablement que tous les aspects qui ont été découverts dans cette histoire sont rigoureusement fidèles à la vérité sans déformations délibérées. Mais nous omettons beaucoup d’autres données et diverses implications dérivées de ce triste événement. Vous pourrez connaître un jour (si nos supérieurs estiment que son dévoilement ne peut nous provoquer des troubles) toutes les facettes de ces arrêts qui pourront troubler tous les plans de mes frères expéditionnaires.
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Quelques mois auparavant (le projet avait été lancé dans un vieux chalet des environs de Marseille, France) mes frères avaient mis au point un programme de recherches lié à une entité virale inconnue sur l’astre solide Terre mais familier (bien que circonscrit) par les frères biologistes d’UMMO.
La structure de ces spécimens viraux a une certaine analogie avec la chaîne circulaire d’ADN correspondant au virus de la TERRE connu par vous comme » Poliomavirus du rat » dû à sa disposition spatiale mais cette entité était pourvue d’une capsule beaucoup plus complexe.
Mes frères ont découvert que le virus importé ne se multipliait pas dans les tissus animaux de la TERRE, quand le processus métabolique de ces tissus était normal. De tels virus que nous codifions comme [ blanc ] ne sont pas capables de perforer les couches de mucoprotéines de la membrane cellulaire dans des conditions biologiques normales.
Mais nous constatons aussi que cette protection cessait peu avant la dégénérescence des tissus histologiques, par la mort de l’animal ou par nécrose de la zone cellulaire. Dans ces conditions les cellules cessent d’être immunocompétentes.
Naturellement dans ces conditions le virus n’est pas dangereux pour les hommes ou les animaux de la TERRE, bien qu’on observe des états embryonnaires d’activation dans les animaux malades par d’autres facteurs étiologiques.
Nous savons aujourd’hui qu’il n’en fut pas ainsi : mais dans ces années nous ignorions si le virus auquel nous faisons référence pouvait muter en d’autres entités qui les convertissaient en agents pathogènes dangereux pour les êtres vivants de la TERRE.
Son transport sur cet astre froid se fit simplement aux buts de l’expérimentation pure.
On découvrit aussi que le virus (pour certain difficilement cristallisable) persistait à la surface de la membrane cellulaire huit mois et plus, et toujours quand il s’agissait de tissus internes. Les colonies survivantes dégénéraient ensuite rapidement, dans le cas où, comme nous vous en avons informé, ne se produisait pas la mort des tissus correspondants. D’autre part nous possédions les moyens qui nous permettent de détecter la position de ces autres colonies virales pour un nombre d’ individus supérieur à 128 individus par AXEESII (UNITÉ DE VOLUME POUR MESURES BIOLOGIQUES ÉQUIVALANT à 37,77 millimètres cubes) (équivaut à 11.693.818,24 individus par mm3), au moyen de techniques exploratoires à une distance inférieure à 78 mètres pour cette densité virale.
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MANQUE TRADUCTION ICI
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Mes frères localisèrent des foyers viraux de certaine importance et au nombre de dix-huit, dans le corps de Madame Margarita Ruiz de Lihori, chez une voisine de la rue Mayor, chez sa fille Margarita Shelli et chez trois animaux de la maison.
Il fut relativement facile de détruire ces foyers viraux dans leur apparente totalité. Vingt-six autres zones contaminées furent détectées quand on utilisa des techniques de résolution plus précises. Quatre autres frères, pourvus de l’équipement adéquat, vinrent de France de toute urgence en Espagne (violant même les normes de sécurité).
Ce qui provoqua une véritable angoisse à mes frères était d’ignorer jusqu’à quel point des foyers viraux de moindre extension pouvaient avoir échappé à notre contrôle. D’autre part ce même jour étaient arrivés des familiers et des amis de la Marquise qui s’intéressaient au voyage projeté pour transférer la malade à Madrid.
Ces hommes étaient alors témoins d’un triste incident du aux tensions familiales. Ils ignoraient le fond dramatique que tous vivaient à cause de circonstances étrangères liées à notre présence dans cette ville.
Bien que dès les premières heures toutes ces personnes furent examinées et, bien qu’ils ne présentaient pas les symptômes de porteurs de virus, rien n’empêchait de penser que des foyers infinitésimaux indétectables par nos méthodes aient échappé à ce contrôle rigoureux. On put réaliser une stérilisation quasi complète dans une large zone, mais une telle mesure ne garantissait pas que des éléments viraux situés dans des couches inaccessibles pouvaient échapper à nos précautions prophylactiques.
La preuve que ces augures furent malheureusement confirmés par le cas de Margarita Shelli, fille de Madame Margarita Ruiz de Lihori.
Tout paraissait oublié. Si les foyers viraux, après une certaine marge de temps, n’avaient pas fait acte de présence sur les appareils de détection….. nous soumettions néanmoins à leur vigilance les personnes et les zones topologiques de l’immeuble. (Les explorations périodiques s’étendirent dorénavant à toute la ville d’Albacète et pour des raisons de déplacement à des villes comme Valence, Almansa, Barrax et Murcie (Espagne). Il ne paraissait pas probable que puisse prospérer ce qui pouvait se transformer en une véritable catastrophe. (Nous insistons qu’une qualification plus grave aurait sa justification dans quelques années). Dans la perspective actuelle, de telles craintes, même dans le cas où n’aurions pu contrôler l’infection de l’astre Terre, se seraient réduites à l’enrichir d’une espèce virale, mais de caractéristiques de quasi innocuité.)
Mes deux frères restèrent en compagnie d’un troisième qui s’incorpora au groupe, mais résidant dans une autre point d’Albacète, renouèrent avec les expériences, cette fois poussant à l’extrême limite toutes les normes de sécurité (Bien qu’après avoir changé le programme d’études biologiques utilisant des espèces virales).
Mais le 18 novembre 1953, mes frères consternés découvrent un foyer viral de cette nature dans les fosses nasales d’un homme espagnol, époux précisément de la femme résidant rue Mayor, qui avait été contaminée durant l’un de ces jours, sans le savoir. Naturellement le foyer fut exterminé à distance car heureusement il était localisé dans des zones peu profondes.
Une exploration plus soigneuse détecta un second foyer très réduit dans un alvéole pulmonaire. A une telle profondeur, sans obtenir l’autorisation de l’homme, il était impossible de détruire le groupe infectieux mais en échange sa situation et le fait que cet homme de la TERRE jouissait d’une excellente santé (parce que le virus dégénérait avant de léser ses tissus) n’entraînant pas de plus grandes inquiétudes.
Mais par contre mes frères alertés par cette poussée recommencèrent une seconde investigation. Le 27 novembre deux d’entre eux allèrent à Madrid se rendre au domicile de Madame Margarita Ruiz de Lihori. Au début ils ne montèrent pas jusqu’à la maison. Depuis les toilettes d’un bar voisin et utilisant l’appareil qu’ils portaient avec eux ils découvrirent que leurs craintes étaient malheureusement confirmées. Jusqu’à six foyers viraux se formèrent dans le corps de la malade, tous suffisamment profonds pour ne pas craindre leur diffusion extérieure mais en échange présentant les difficultés inhérentes à leur localisation : Ils ne pouvaient être détruits à distance. Les zones affectées se trouvaient être les globes oculaires, le tissu épithélial de la langue, le derme des paumes (un septième fut découvert le 4 janvier, dans le palais).
En plus il n’y avait aucun signe d’altération mutationnelle dans la structure du spécimen viral. Cela provoqua une alarme plus grande chez mes frères qui se virent obligés d’avoir une entrevue avec Mme Margarita et de lui confesser leurs craintes en déformant en partie la vérité.
Il n’y avait en vérité aucun risque de contamination mais dans le cas où cette femme mourrait, étant donné l’état avancé de son syndrome pathologique, un développement (de conséquences gravissimes) pour une partie de l’espèce était prévisible.
Il serait alors très difficile de contrôler le processus de diffusion avec même, comme moyen extrême, de révéler l’affaire aux autorités sanitaires d’Espagne, qu’il aurait été, de plus, très difficile de convaincre.
En [ blanc ] mes frères étudièrent la situation et, de ce pays et de France, arrivèrent en avion de toute urgence six oemii spécialistes en biologie et disciplines voisines.
Il n’était pas possible d’autre part de parvenir à une rémission de l’état que présentait la fille de Mme Margarita sans faire venir un équipement adéquat, sans accéder jusqu’à la malade et nous faire connaître, ce qui aurait impliqué un risque grave pour notre programme de séjour sur TERRE.
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Bien que cette possibilité fut également étudiée sérieusement, nos supérieurs décidèrent d’adopter pourtant d’autres moyens. Un programme fut même mis en action pour s’emparer du cadavre si besoin était.
Le 12 janvier, onze de mes frères se rencontrèrent, venus à cet effet malgré les difficultés de tout ordre qu’entraînait notre présence massive à Madrid.
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Peu de jours après cette pauvre jeune femme mourait. Il n’est pas nécessaire de détailler les moyens d’ordre prophylactique que nous avons dû adopter.
Par dessus tout scrupule que vous ou vos frères de la Terre voudriez alléguer, primaient les considérations inévitables d’ordre moral ou sanitaire.
Vus les faits avec l’optique d’un homme de la TERRE non informé, ils seraient jugés comme répugnants et stupéfiants.
Nous n’espérons pas que vous acceptiez sans plus cette version. Nous savons qu’il est vrai que la simple énonciation de ces faits sans plus d’aval que l’anonymat ne constituent pas des preuves pour aucun de vous hommes de la TERRE.
Nous attendons qu’un jour vous confirmiez vous-mêmes par vos propres moyens notre témoignage.
D109
UMMOAELEWE
N° de copies : UNE
M. Ignacio Darnaude Rojas-Marcos
SÉVILLE, ESPAGNE
Monsieur,
Permettez-nous une nouvelle atteinte à votre liberté pour vous forcer de nouveau à lire cette lettre qui constitue un complément à notre dernière lettre.
Nous maintenons ces derniers temps la règle de nous abstenir dans l’envoi de nos rapports (et) de les adresser aux humains, non affiliés aux institutions légales, qui acceptent notre demande d’engagement de ne pas les détruire. Nous pensons donc qu’ils pourront, dans l’avenir, constituer un patrimoine documentaire précieux qui donnera un témoignage de ces relations étranges pour vous. Mais en vous se manifestent des signes d’une expérience d’importance suffisante pour nous permettre de modifier légèrement ce critère de discipline.
Pour des raisons familières pour vous et pour nous, on a (vous avez ?) entrepris la tâche de réaliser une analyse des décisions en relation avec le séjour de mes frères à Albacète, avec un niveau d’impartialité et de méthode que nous jugeons louable compte tenu des maigres moyens que vous possédez.
Ne pensez pas, monsieur Darnaude Rojas-Marcos que nous essayons de vous flatter. Ce n’est pas notre style et vous, dans votre dignité, vous ne le tolèreriez pas. Naturellement il résulte, du contexte des faits en relation avec notre présence parmi vous, un tel trouble et de nombreuses questions pour un quelconque observateur impartial de la Terre, si bien que n’importe quel frère intelligent se voit forcé de définir son jugement avec toutes sortes de réticences et de réserves mentales.
On ne peut concéder d’audience aux dires de quelques inconnus qui assurent venir d’un astre froid lointain en affirmant, de plus, quelque chose d’aussi anormal dans le domaine de la logique qui vous est familière, et d’aussi étranger aux conceptions orthodoxes de votre milieu culturel.
Il est bien engrammé dans nos circuits corticoéthiques que nous n’essayons pas, dans les paragraphes suivants, de faire pression pour que vous acceptiez notre version. Quelles preuves apportons-nous que nous ne sommes pas en train de vous couper l’herbe sous le pied ? Mais, c’est avec une humilité raisonnable que nous vous indiquons que nous n’essayons pas de vous forcer à accepter la vraisemblance de notre récit. Vous avez démontré une liberté de jugement suffisante pour ne pas vous laisser influencer par une lettre, de plus d’origine anonyme. Mais, cependant, nous ne croyons pas non plus que cela constituerait une offense à votre propre intégrité de raisonnement si, à titre de curiosité, nous vous transmettions – jusqu’aux limites qu’il nous est possible de développer sans affecter nos règles de sécurité – une information fragmentaire des faits liés à notre séjour à Albacète à cette époque là.
Que cela éclaire ou non des points obscurs (pour vous et vos frères) se rapportant à cette histoire dépend naturellement du degré d’adhésion qu’on concède à notre texte. Pour les quelques individus qui acceptent sans trop d’esprit critique la réalité de notre existence, cela constituera une espèce de dogme.
Pour vous et d’autres de vos frères intelligents qui, avec des modèles rationnels de jugement, se méfient de notre témoignage, les déclarations qui suivent seront qualifiées de stériles.
Seul nous reste donc l’espoir que vous atteignez la vérité par vous-même, porté par votre esprit investigateur et sans influences externes, en constatant alors pouvoir accepter avec impartialité scientifique l’authenticité de nos écrits.
Malheureusement nous ne pouvons faire autre chose qu’avaliser la vérité de nos informations.
L’information que je vous transmet est la copie d’un document remis à un de vos frères de Bilbao.
Permettez-nous, Monsieur Rojas, que nous exprimions notre plus authentique salut et que nous l’étendions à vos parents et à vos frères de BARCELONE, BILBAO, MAIRENA DE ALCOR, MADRID et OVIEDO qui, avec un étonnement explicable, suivent nos notes avec attention.
D110
OOM A-LEHWEH
M. Farriols Rafael
Barcelone ESPAGNE
Notre honorable ami:
Toute présentation mutuelle est aisée, puisque vous connaissez des références sur nous et mes frères d’Oomo vous connaissent. Mon nom est Aexiixoo 19, né d’Aeixoo16. Nous apprécions beaucoup une visite dans votre nation ensoleillée.
La question est : une information de mes frères étudiants en Espagne en référence à votre personne.
Je voudrais écarter de vous toute crainte de vous avoir provoqué un préjudice et vous ne devez pas traduire cette lettre dans le sens d’une plainte ou d’un reproche.
Notre demande n’est pas sans hardiesse : dans le futur, prendre l’habitude de ne pas enregistrer nos conférences par téléphone sur une bande magnétique.
Nous savons bien que vos frères conservent avec discrétion de tels enregistrements, de sorte qu’un risque de fuite de copies, ce qui pourrait nous gêner, est infime. Mais soyez conscients que nous renforçons nos mesures de sécurité.
Dans un texte antérieur, remis par mes frères de Madrid à votre ami Enrique López Guerrero, ils excusent notre attitude de limiter maintenant les réponses à vos désirs orthodoxes d’information.
Ils m’informent aussi de votre illusion, logique, en référence à l’annonce éventuelle de l’arrivée d’une nef d’Oomo
Une arrivée dans votre délicat pays n’est pas probable à court terme. Mais si cela ne se fait pas ainsi, les précautions préalables dont vous êtes conscients seront faciles à satisfaire. Il y eut l’annonce, à des dates antérieures précédentes.
Nous avons reçu la nouvelle de votre livre « Un cas parfait ». Votre délicate allusion à notre frère Dei 98, né de Dei 97, est réconfortante.
Il prendra connaissance dans notre lointaine planète d’une telle déférence.
Le fait qu’une dame d’Espagne ait la gentillesse d’analyser notre système linguistique nous a ému. Pour elle notre respectueuse admiration.
Puis-je oser poser symboliquement votre main sur ma poitrine en signe d’alliance ?
D111
C’EST CONFIDENTIEL NOUS DEMANDONS QU’ELLE NE SOIT LUE A PERSONNE
UMMOAELEWE
Langue espagnol
N° de copies 1
Mr Adolfo Gomez Contiñas
Monsieur,
Les échos de vos verbalisations arrivent jusqu’à nous. Des expressions qui synthétisent vos doutes, vos inquiétudes, votre état d’anxiété, votre curiosité insatisfaite.
Toutes les implications psychosociales perturbatrices concourent à porter préjudice aux critères qu’entretiennent sur notre existence chacun de ceux qui, d’une manière ou d’une autre, savent quelque chose concernant notre réseau microsocial déplacé jusqu’à votre planète.
Nous voulons aujourd’hui vous offrir quelques précisions : accueillez-les toujours avec une raisonnable réserve. Acceptez-les seulement au niveau qui correspond à votre canevas intellectivo-moral.
Le présent texte a été rédigé spécialement pour Monsieur Adolfo.
Nous n’avons pas d’objection à ce que ce contenu devienne accessible à ceux de vos frères qui, intéressés au problème de notre résidence sur Terre, jouissent de votre confiance.
Ami : Dans ces derniers mois, dans quelques pays et dans les secteurs sociaux plus intéressés aux thèmes proches de l’aliénobiologie ont été prodiguées quelques polémiques ouvertes à la lumière publique sur notre probable existence. C’est à nous seuls que l’on doit imputer ce transvasement réduit d’information jusqu’à des entités et vos frères jusqu’à maintenant étrangers à ce sujet (information qui jusqu’à il y a peu a été l’apanage de rares cercles d’humains répartis sur les continents européen, américain et australien).
Dans un prochain envoi, nous désirons vous exposer notre jugement critique du moment social de la terre, estimé par nous. Probablement qu’il pourra vous intéresser de connaître à un certain niveau notre pensée à propos de l’état présent de la civilisation dont vous faites partie.
D112
UMMOAELEWEE
Nombre de copies ; 1
Langue : ESPAGNOL
Adressée à JUAN AGUIRRE CEBERIO
Espagne
Date : 8 janvier 1974
Monsieur,
Je désire me présenter à vous, car c’est mon premier contact avec votre personne : mon nom patronymique est en expression phonique approximative DEEII QUATRE VINGT DIX -HUIT ENGENDRÉ PAR DEEII QUATRE VINGT DIX-SEPT. Ce n’est pas la première fois que je foule cet astre solidifié de la TERRE et, avant ce retour, j’ai vécu dans votre gentille nation avec vos compatriotes, durant de longs et agréables mois consacrés, dans le pays Espagne et le pays Portugal, au processus d’étude commandé par mes supérieurs.
C’est pourquoi, poussé par de beaux et émouvants souvenirs , permettez moi, en violant les usages habituels qui régissent votre milieu social en matière postale, de donner auparavant dans ces paragraphes un respectueux et affectueux souvenir à vos compatriotes que vous connaissez suivant l’information que j’en ai.
Ce sont : Monsieur FERNANDO SESMA MANZANO, dont nous n’oublierons pas l’hospitalité spirituelle et la bonté malgré ses réserves postérieures envers nous, réserves éclairées par des schémas plus logiques que ceux soutenus par une attitude de crédulité émotionnelle.
Monsieur DIONISIO GARRIDO BUENDIA, dont l’affection et le respect pour notre communauté nous a ému en ces jours où nous n’en finissions pas d’admettre que vous, êtres de la Terre, puissiez accepter notre témoignage seulement basé sur des affirmations exprimées par voie typographique. Ce frère a facilité ma difficile mission d’établir un noyau dans cette nation, ou microréseau qui puisse être capable de se transformer en réceptacle et conservatoire de nos documents. Pour cela, je vous prie Monsieur AGUIRRE CEBERIO, de lui faire parvenir mon salut chaleureux et ému.
Faisaient partie, aux dates où j’étais sur Terre pour la dernière fois, de vos autres respectables frères: Monsieur ENRIQUE VILLAGRASA NOVOA, qui appuya, avec une claire vision du futur, la thèse de notre identité en collaborant à l’organisation du microréseau espagnol, entouré de ses très chers amis : Monsieur MARTINEZ ANDRES, Monsieur ANGEL DEL CAMPO, Monsieur BORRAS GABARRO, Monsieur FERNANDO VILLALBA et Monsieur FRANCISCO MEJORADA.
Un salut ému pour la dame d’Espagne qui collabora le plus avec vous à cette période, ALICIA ARAUJO.
Je désire aussi remettre mon message de respect à ceux de vos frères qui ont maintenu une attitude critique aiguë envers nous, attitude motivée par des schémas mentaux positifs dignes de respect, sachant équilibrer leur scepticisme avec une activité de recherche unie à un profond intérêt pour nos frères. C’est pourquoi je salue en particulier vos frères JUAN ANTONIO CEZON ALONSO, JOSE JORDAN PEÑA, FRANCO MUELA PEDRALA et VICENTE ORTUÑO BOIX.
J’ai déjà transmis au moment voulu, à mes frères déplacés ici, mon agréable surprise quand on m’a informé que deux de vos frères avaient eu la gentillesse d’inclure une dédicace à mon nom dans un livre intitulé UN CAS PARFAIT. Faites parvenir de nouveau mon salut affable à MM. ANTONIO RIBERA JORDA et RAFAEL FARRIOLS CALVO. Je juge que son livre est un des rares spécimens bibliographiques qui traite de notre existence parmi vous sans violer le contrat de ne pas nous dénoncer explicitement. Pour l’attention exquise que les auteurs mirent en ne nous évoquant pas clairement, ce qui aurait causé des troubles à mes frères expéditionnaires. Merci, mes amis.
Je sais qu’après mon retour sur UMMO, beaucoup de vos frères perdirent tout intérêt pour nos frères et que d’autres, dont je connais les noms mais qui me sont inconnus, se polariserent avec une curiosité logique sur l’analyse de notre séjour parmi les hommes de la TERRE. A eux mon salut, puisque je vais vivre parmi eux quelques mois de plus dans la zone GRANDE-BRETAGNE, ESPAGNE-PORTUGAL, FRANCE-MONACO, IRLANDE. Ce n’est pas une tâche facile de m’acclimater de nouveau à vos coutumes si différentes des nôtres, mais au moins cela me réconforte de savoir que vos frères, qui un jour furent mes amis, continueront à tendre vers nous le lien désintéressé de l’alliance spirituelle, les deux parties conservant leur autonomie et leur indépendance idéologiques.
Ces années passées vous auront peut-être convaincu que le contact avec vous n’obéissait pas à des mobiles prosélytistes ou à quelque autre type de pression sur vos encéphales en modifiant vos propres idées philosophiques, religieuses, éthiques et politiques, même si elles les ont nourri quelque peu.
Si malgré tout, au travers de nos écrits , vos structures mentales se modifièrent, cela est la conséquence de tout un processus d’information et, en cela de tels changements ne pourront s’évaluer comme négatifs. Ceux qui ont pensé que vous pourriez vous transformer en membres d’une organisation sectaire ou en coreligionnaires d’une nouvelle doctrine, se trompèrent ostensiblement, puisqu’il n’a jamais été dans l’intention de mes frères, ni quand j’étais sur la TERRE antérieurement, ni dans celle de ceux qui nous succédèrent ensuite, de vous convertir en agents de notre cause laquelle n’a jamais été plus qu’une opération d’étude de la biosphère et de la sociosphère de la TERRE.
! ———————————————– !
Un long processus sociologique s’est déroulé dans le réseau humain de la Terre depuis que mes frères, auxquels je suis soumis, m’ordonnèrent l’abandon de votre astre froid. Et vous avez sans doute accusé, dans vos organismes et mémoire, les avatars de ce sociodynamisme. Mes frères explorateurs qui restèrent ici durent aussi s’adapter aux circonstances, en modifiant les critères dans la planification de nos études.
Notre départ de la planète Terre fut inévitable. Les marges de sécurité imposées par nos supérieurs, marges que d’autre part nous évaluons au moyen de l’assistance en une fonction de sécurité, par de multiples paramètres que nous quantifions au moyen de processus complexes de calcul, (ces marges, donc,) furent atteintes et même dépassées dans les mois critiques que vous avez traversé à la fin de l’année 1973.
Nous avions violé, pour une fois, notre régle de ne pas vous apporter des preuves de notre identité, quand mes frères vous ont prévenu d’avance qu’ils partaient. Symptôme, pour ceux qui nous connaissaient, qu’une guerre aux conséquences imprévisibles était proche avec un fort degré de probabilité. Ils décidèrent de violer la régle d’une manière encore plus grave quand, peu de jours avant, on vous communiqua que les plus grandes puissances préparaient une guerre nucléaire dans le cas où la partie la plus faible, ou la plus raisonnable, n’acceptait pas la pression que supposait une mobilisation logistique des armes dissuasives d’attaque atomique. Vous-mêmes avez pu vous rendre compte que notre information était tristement véridique.
On me dit que mes frères avaient soutenu un sérieux débat sur le problème suscité par la situation. Ne pas vous aviser du péril et omettre l’aide que nous pouvions vous offrir modestement en vous donnant l’opportunité de vous réfugier dans nos bases souterraines aurait été une option cruelle et injuste pour les quelques amis répartis sur la planète Terre, même en considérant que beaucoup n’auraient pas pu en bénéficier, aussi bien par l’impossibilité de se déplacer jusqu’à elles que par une attitude logique d’inhibition, induite par la méfiance, la peur, l’imprévision ou des motifs intimes de caractère moral.
En contrepartie, révéler le secret jalousement gardé par quelques chancelleries entraînait de sérieux risques pour vous si une inévitable imprudence diffusait ces données et qu’elles arrivent jusqu’à quelque ambassade ou organisme gouvernemental qui aurait sans doute été surprise au plus haut point en constatant comment un secret d’État arrivait à des niveaux habituellement incapables d’accéder à des données qualifiées de » très secrètes « . Ce n’est pas un secret pour vous que des moyens de pression existent entre les êtres de la Terre pour obtenir des profanes l’information sur leurs sources, ainsi que pour éliminer physiquement ceux qui la possèdent.
Mais c’est que, pour mes frères, vous révéler ceci supposait vous donner une preuve très solide de notre existence comme groupe capable de traiter une information, à l’encontre de nos efforts réitérés pour rester dans l’ombre.
Nous avons cependant détruit une de nos bases stratégiques utilisée lors de notre séjour sur Terre, base qui nous permettait de communiquer avec vous sans que cela ne constitue une preuve certaine de notre origine.
Pour cela, amis d’Espagne, nous osons vous demander quelque chose en échange de la bonne volonté que nous vous avions porté à cette heure amère. Heure amère qui heureusement ne se changea pas en tragique réalité.
Efforcez-vous « d’oublier » que nous vous avons donné ces preuves. Exprimé autrement: ne les invoquez jamais pour tenter de démontrer aux sceptiques que nous ne sommes pas ce qu’ils croient; une organisation de farceurs ou d’idéologues utopiques ou de scientifiques idéalistes ou l’une quelconque des centaines d’hypothèses qui circulent sur nous sur l’astre froid Terre.
Selon mes informations, la situation sociopolitique de la Terre traverse une phase moins grave, mais seulement en ce qui concerne une confrontation nucléaire. Bien que, en ce qui se réfère à d’autres aspects politiques, il n’est pas nécessaire que je vous révèle, puisque vous en êtes conscients, que l’escalade de la gravité ne va pas diminuer avant longtemps.
RISQUE NUCLÉAIRE : Aux dates du 21 décembre (1973) et du 3 janvier 1974, la République Française et la Grande-Bretagne ont adressé des notes très dures à l’administration nord-américaine, appuyées par les pays suivants : Allemagne Fédérale, Hollande, Italie, Danemark, Irlande, Belgique, Norvège, en menaçant d’un pacte avec le bloc de l’est, si les plans logistiques d’attaque nucléaire par surprise n’étaient pas modifiés immédiatement. Une des notes faisait directement allusion à l’alerte déclenchée par les USA dans les bases nucléaires du monde entier (inclues les espagnoles) et qui fut décidée sans l’accord des alliés européens.
Le gouvernement Nixon, harcelé par la grave crise interne provoquée par les preuves accumulées sur l’erreur du président (Ndt: Il s’agit du Watergate), n’a pu supporter la menace européenne et, dans une note adressée séparément à ces nations, il apporta la garantie que le mécanisme logistique était en train d’être révisé pour éviter une nouvelle initiative identique, tant que la république de Chine et l’Union soviétique ne prenaient pas des mesures agressives démontrées. D’autre part, il exprime son inquiétude devant les nouvelles qui arrivent de la R.P. de Chine sur une nouvelle arme au plasma en expérimentation.
MOUVEMENTS DE GUÉRILLA : L’escalade des actions terroristes qui commencent à se multiplier sous une forme incontrôlable, est évidente pour vous. Un grave déséquilibre social est provoqué par des structures injustes et qui refusent d’évoluer, des sphères de pouvoir qui se défendent par la répression. Ce déséquilibre atteint des minorités bien entraînées dont le désespoir se cristallise en actions terroristes, chaque fois plus perfectionnées. Les causes initiales de ces actions sont à chercher précisément dans la perpétuation de cette structuration politico-sociale. Notre information en la matière est que le processus est loin de diminuer et que de nouveaux contingents juvéniles recourent désespérément à ces gestes fous, par manque d’autres options. Vous lamenter sur une telle situation est stérile. Cela équivaut à condamner les tremblements de terre et les inondations.
Les sources financières très importantes sur lesquelles comptent ces groupes répartis dans le monde entier et qui se sont même débarrassés du contrôle qu’exerçaient, jusqu’il y a peu de temps, l’Union soviétique et la République Populaire d’Allemagne, sont actuellement :
République Populaire de Chine, Lybie, Arabie saoudite, Tunisie, Albanie, République de Cuba et des secteurs financiers déterminés des États-Unis, Irlande, Pays Basque français, Maroc, Égypte, Mauritanie, Argentine, Suisse.
Un risque très grave, à notre avis est constitué par l’information que, dans l’avenir, ils commenceront à utiliser des missiles (Ndt : « jets ») téléguidés pour des attentats contre les dirigeants politiques et autres objectifs. La fourniture de fusées de fabrication soviétique, issus des excédents du dernier conflit israëlo-arabe, ne donnera pas de grands résultats car leurs têtes chercheuses, basées sur la détection de spectre infrarouge, sont seulement efficaces contre les aéronefs et autres objectifs moins précis. Mais cette découverte de la possibilité d’utilisation de missiles a poussé les commandements des organisations terroristes a étudier d’autres modèles téléguidés.
Dans une réunion du comité central du parti de la République Populaire de Chine, à la date récente du 7 janvier 1974, on a débattu de la possibilité de fournir des têtes nucléaires compactes, susceptibles d’être transportées, démontées, jusqu’aux points assignés comme objectifs par les mouvements terroristes urbains.
Bien que les décisions aient été provisoirement négatives, nous prévoyons qu’une telle situation peut être reconsidérée dans un futur proche. Nous soupçonnons que vous allez vivre des journées bien sombres. Je répète ce que mes frères avancèrent dans les dernières lettres : tolérer des régimes sociaux injustes va provoquer une réaction aux conséquences gravissimes. Le binôme funeste « action – répression » a pu être freiné un temps, moyennant une évolution lente jusqu’à des formes sociales plus supportables par les strates sociales plus faibles et défavorisées. Une fois que les inhibitions acceptées jusqu’à ce jour (Religion, Éducation, Autorité reconnue, Milieux publicitaires) sont en train de faillir, une quelconque stimulation des leaders de masse sera positive pour une action désespérée de ceux qui, de toutes façons, ne peuvent trouver une vie supportable dans leur marginalisation.
Jusque ici ces strates sociales ne disposaient pas des instruments adéquats pour s’opposer à l’action technique répressive des États de la Terre. Cette situation est en train de virer dangereusement depuis le moment que des hommes de science comprennent qu’il est plus éthique de se mettre au service des dépossédés plutôt qu’aux ordres des oligarchies dominantes.
Nous pensons que les analystes de la Terre ont réussi à décrire avec une grande précision l’origine des maux qui accablent le réseau social humain de cet astre froid, c’est pourquoi tenter en quelques pages une synthèse fidèle de notre concept en la matière n’éclairerait pas davantage les idées exprimées par ces sociologues, vos frères.
Nous comprenons cependant que pour vous, embrumés par un tourbillon d’informations contradictoires, il sera très difficile de tenter de classer, trier les différentes versions et localiser celle qui, pour être la moins polarisée et se nourrir de données fiables provenant de bonnes sources, pourra être qualifiée d’impartiale et objective. Déjà mes frères, dans différents messages qui vous ont été adressés, firent allusion, bien que superficiellement, aux causes des crises qui secouent toute la culture de la Terre.
Crise dans les conceptions philosophiques parce que les penseurs de la Terre ont découvert que la logique aristotélicienne et sa dialectique sémantique ne leur suffit pas pour faire face aux problèmes les plus transcendants de la vie et de l’univers puisque, bien que cette même logique avec ses marges d’erreur reste parfaitement valide devant les problèmes de pensée quotidienne, de la sociologie domestique, de la technologie et de quelques parcelles de la science qui concernent seulement la macrophysique et la macrobiologie, elle déformera terriblement la vérité quand cet instrument logique prétendra s’appliquer aux problèmes théologiques, psychologiques, microbiologiques, cosmologiques et sociologiques en général. Cette distorsion se traduit en schémas scientifiques et sociopolitiques variés qui induisent les partisans de l’une ou l’autre conception (toutes les deux déformées) à entrer en conflit. Au fur et à mesure, l’apport de nouvelles données s’intégre peu à peu dans ces écoles ou conceptions et celles-ci acquièrent une structure complexe (mais déjà aberrante dans son origine). La psychodynamique des microréseaux sociaux auxquelles elles adhèrent atteint des niveaux de seuils qui doivent se traduire par des tensions graves en son sein (révolutions, abandon de systèmes, évasion ou fuite vers des formes magiques et irrationnelles). Ceci a toujours été le but des diverses écoles, ou champs, ou système de pensée. Mais jusqu’à maintenant vous connaissiez de telles crises isolées dans l’espace et le temps. Pendant qu’une religion ou doctrine scientifique faisait sa crise, les autres traversaient une phase normale ou peut-être d’apogée.
Pour nous le temps tel que vous le connaissez n’existe pas. C’est nécessairement un flux d’information croissante qui s’enrichit sans cesse et qui pourra en même temps être quantifié en le reliant à notre concept d’IBOZOO OUUU. Si cette information est accumulée selon des normes valables, c’est-à-dire si elle est condensée selon des règles sémantiques parfaitement cohérentes, c’est-à-dire si elle est pragmatiquement traitée en systèmes complexes qui offrent une image valable de la réalité cosmologique, une telle crise ne se produit pas puisqu’elle ne se transformera pas en source d’anxiété, de frustrations, d’aliénation, comme vous dîtes vous-mêmes.
Mais si le temps accumulé graduellement (l’information) est traité incorrectement (nous voulons dire en utilisant des voies logiques insuffisantes pour l’appréhender) et que l’utilisation de ces bases sémantiques pauvres altèrent ces données, le réseau de connaissances résultantes (Système Politique, Religieux, Moral, Social, Scientifique) finit par donner une image fantasmatique du monde sous-jacent, de la réalité. S’il ne s’ajuste pas à lui, ceci provoque premièrement la désillusion, l’angoisse ou l’anxiété, et ensuite la fuite irréfléchie et sans projet sérieux d’objectifs vers d’autres formes de vie et de pensée plus commodes et par conséquent encore plus irrationnelles.
En ce moment, et pour la première fois dans votre Histoire, tous ces courants idéologiques se convertissent simultanément en images fantasmagoriques. Dis plus correctement: pour la première fois tous les adeptes prennent conscience simultanément de ce que de tels systèmes sont quelque part aberrants.
Cela crée, comme de fait c’est en train d’arriver parmi vous, une réaction de panique à l’échelle mondiale. Les humains de la Terre sentent que les piliers idéologiques sur lesquels ils se sentaient stables se dérobent sous leurs pieds. Ce sont des sables mouvants. Le vertige qu’un tel vide suppose se traduit en projections suicidaires de désespoir. Le cortex cesse de réagir avec des schémas rationnels de conduite humaine, pour être remplacé par des strates plus anciennes du cerveau (paléocortex). Mais ils ne peuvent alors s’étonner que les premiers résultats de cette crise démolisseuse soit le terrorisme, l’évasion de grands nombres d’adeptes hors des grands systèmes idéologiques vers des mouvements sectaires naïfs et dogmatiques de caractère superstitieux qui promettent refuge et accès à la « Vérité » ou à la « Connaissance Supérieure » à leurs prosélytes. C’est pourquoi l’être humain, au lieu d’affronter son malheur et lutter pour l’atténuer, l’aggrave encore plus en se droguant avec des idées beaucoup plus aberrantes et absurdes que celles qu’il abandonne. Surgit ainsi une spirale d’expansion dans la déformation de cette information que vous êtes en train de vivre dans ces jours malheureux.
Les lamentations que vous lancez au travers des canaux de l’opinion publique et de vos conversations privées restent stériles, comme on l’a déjà noté au début de ce message. Condamner, comme le font certains auteurs, tel acte terroriste ou l’inclination pour des formes d’évasion comme certains sports, est naif et injuste puisqu’ils n’indiquent pas les vraies causes premières de ces anomalies.
Cette déformation des grandes conceptions que vous possédez sur le Monde (théorie macrophysique de la relativité, théorie quantique, doctrine économique capitaliste, doctrine politico-économique marxiste, hindouisme, christianisme, islamisme, existentialisme, socialisme d’État et autres), ont bien sur différents degrés de valeur. Cela signifie que vos frères devraient savoir opter intelligemment pour celles qui, dans leur structure perturbée, offrent les degrés les plus élevés de fiabilité, précisément celles qui comptent des arguments rationnels et humanistes très solides. De cette façon, nous pensons qu’avec du bon sens, vos frères angoissés doivent beaucoup réfléchir avant d’abandonner leur statut idéologique actuel, mais en analysant leurs croyances actuelles à la recherche des symptômes de décomposition ou de corruption sémantique, rationnelle ou cosmicoéthique. Ainsi tous concepts qui offrent des arguments à base de relations analogiques, substituées aux relations causales (vous appelez « magiques » de tels concepts), sont perturbateurs. Les concepts philosophico-sociaux qui gèrent une structure du réseau humain, basée sur le privilège des minorités ou la marginalité d’autres minorités, sont gravement intoxicants. Ceux qui ne supposent pas le respect envers l’être humain comme unité et le réseau social comme structure veillant sur les libertés de base, sont des concepts corrupteurs qui doivent être refusés.
On doit se méfier des doctrines nouvelles chargées d’usages et d’axiomes qui furent déjà formulées auparavant par d’autres écoles. Ils constituent des schémas éclectiques que vous pouvez comparer aux robes réalisées avec des rapiéçages provenant d’autres vêtements.
Et une prémisse doit toujours présider à cette option de changement : TOUJOURS SE MÉFIER de tout schéma idéologique qui promet des buts désirés comme Paix sociale, Tranquillité et paix intérieure, atteinte de la VÉRITÉ, conversion de l’esprit, atteinte d’une CONNAISSANCE SUPÉRIEURE, Sainteté, FÉLICITÉ, Harmonie Psychique et Sociale, AMOUR, et cætera, avec un minimum d’effort ou au moyen d’exercices mentaux ou mystiques. Pour être atteints, tous ces buts idéaux requièrent un effort énorme, une étude soigneuse et sont l’œuvre NON D’UNE SEULE PERSONNE mais du RÉSEAU SOCIAL et aussi le fruit de plusieurs générations.
Nous, humains venus d’un autre astre froid et spectateurs muets de votre tragédie, tomberions dans une erreur grave si nous vous mentions par compassion, vous faisant forger de vaines espérances.
Vous, Aguirre Ceberio Juan et vos frères, devez réfléchir que ces buts recherchés ne s’atteignent pas si facilement comme le postulent certaines idéologies orientales de la Terre (Hindouisme, Bouddhisme), en tentant de se psychodynamiser vers l’intérieur, en fuyant le Monde qui vous entoure, en essayant de modifier en premier votre » mental » avant de modifier le milieu.
Une telle supercherie illusoire peut entraîner la misère la plus épouvantable puisque l’humain qui, honnêtement mais aliènement , essaye par voie ascétique ou mystique de se transformer pour atteindre la paix ou une connaissance supérieure, oublie simultanément ses contrats avec la société, abandonne son Réseau et y provoque des troubles aux conséquences irréversibles qui génèrent faim, révolution, misère qui à leur tour auront une incidence sur lui-même, limitant le progrès somatique de son propre corps. Et comment un système nerveux central, base de ces processus mentaux qu’il désire transformer, peut-il évoluer sans les plus petites conditions d’Hygiène, Satisfaction de fourniture énergétique et protéique ou stabilité du milieu Physico-Biologique dont il a besoin? Vous mêmes avez été témoins de l’immense misère que ces idées provoquèrent dans des nations comme la Chine, l’Indonésie, l’Inde, la Péninsule Indochine, jusqu’à ce que l’influence d’autres Nations ait rationalisé et calmé un tel état.
Nous savons, nonobstant qu’une synthèse bénéficiant de ces conceptions est possible, qu’une fois que le contrat avec la société aura été satisfait, vos frères feront bien de tenter un certain degré de reconversion des esprits.
Nous réitérons, bien que notre affirmation reste sombre, qu’il est nécessaire de modifier de nombreux paramètres qui aujourd’hui régissent le processus sociodynamique de votre biosphère avant que vos descendants ne commencent à apercevoir la réalité de ces buts antérieurement cités. La paix de ce milieu social en bute aux tribulations devront se forger avec une persévérance et un travail très dur, dans lequel tomberont beaucoup de vos frères sacrifiés par l’égoïsme et la cécité mentale de vos autres frères malades.
La connaissance suprême ne s’atteindra jamais, mais des schémas cosmologiques plus fidèles peuvent seulement être l’œuvre de l’effort spéculatif empirique et analytique de millions d’êtres humains, augmentant l’information qu’ils possèdent déjà.
De ce point de vue, le plus grand trouble que nous observons parmi vous est que les humains avec une mentalité créative, scientifiques et penseurs, sont marginalisés au bénéfice des humains avec une mentalité d’applications (techniques). Pendant que les premiers, avec une sensibilité élevée envers le progrès de l’Humanité et la crise dont elle souffre, tentent de l’atténuer, les derniers sont dominés par les systèmes oligarchiques qui exercent un pouvoir néfaste structurant la société vers ces buts (consommation, bien être artificiel) qui la rendent de plus en plus malheureuse. C’est la mauvaise application de la science (c’est-à-dire la perversion de la technologie) qui provoque cette crise fatale dont les humains souffrent. Ce n’est pas la science pure qui provoquera le collapse qui approche avec une forte probabilité.
Vous, homme Aguirre Ceberio Juan, désirez sans doute m’interroger : Existe-t-il des solutions? Il est évident que vous et vos frères proches ne peuvent rien faire ou très peu.
C’est seulement si de grandes strates sociales et les minorités intellectuelles se rebellent contre l’oppression des centres actuels de pouvoir, en modifiant en partie la sociodynamique des systèmes, que pourra être évité ce collapse. Cela suppose de grandes modifications :
1 – Équilibrer offre et demande de biens jusqu’à atteindre un développement inférieur aux niveaux atteints aujourd’hui,
2 – Rééduquer les masses dans les principes humanistes qui supposent le respect des opinions de toute nature,
3 – Contrôle de la base sociale sur les centres de pouvoir,
4 – Éliminer les recours technologiques qui ne sont pas nécessaires,
5 – Redistribution de l’énergie aux secteurs qui en ont besoin, au préjudice des secteurs improductifs,
6 – Aide aux nations à faible produit national brut,
7 – Désarmement à tous les niveaux et répartition de ces budgets aux autres secteurs nécessiteux,
8 – Séparation des jeunes générations en centres de rééducation pour les préserver des schémas de pensée périclitant
Comme vous l’observez un programme utopique qui n’est pas simple à mettre en pratique sans la prise de conscience de grands secteurs de l’Humanité de la Terre.
D113
UMMOAELEWE
Année : 1973
AMIS :
Quand cette documentation arrivera entre vos mains, nous serons certainement prêts à partir de la Terre. Il est très probable que nous reviendrons, il est possible néanmoins qu’il n’en soit pas ainsi, non seulement à cause de quelques hypothétiques événements qui peuvent se précipiter sur votre Astre Froid, dans les prochains jours, mais aussi pour des raisons étrangères au Réseau Social de la Terre.
Prévenant les deux circonstances, nous avons adopté des mesures destinées à vous comme vous avez pu le constater dans les messages précédents.
En tout cas, il ne se révélera pas vain d’insister à propos des mesures de précaution pour le cas où la situation internationale atteindrait un niveau critique sur Terre. Une telle insistance pourrait être interprétée comme un symptôme d’une situation véritablement grave, fatalement grave : dans l’absolu, il en est ainsi, N’importe quel expert d’entre vous en sécurité du travail vous confirmerait que le fait d’adopter quelques mesures prophylactiques, quelques précautions prudemment sélectionnées, n’implique pas que l’ouvrier concerné, doit être nécessairement victime de circonstances malheureuses.
En vous faisant l’offre, en des moments critiques, des considérations à propos du possible état d’angoisse qu’elle peut provoquer ne doivent pas nous émouvoir. C’est vous qui devez, avec tout votre calme, parvenir à la conclusion que dramatiser plus que nécessaire la signification de cette proposition ou suspecter qu’à travers elle se cache une attitude miséricordieuse tendant à vous tranquilliser, manque de logique.
Quand nous dictions le message que vous avez reçu, nous ne pouvions vous révéler la véritable nature du conflit qui s’approchait. Par l’information topique que vous offrent les agences, vous êtes conscients de la situation internationale. Nous ne devons pas vous cacher que le conflit a beaucoup plus d’importance que ce que vous en reflètent quelques média d’information pour la consommation du grand public.
Dans le conflit indochinois passé, le cours des événements a suivi un processus d’accord avec la volonté des grandes puissances. On connaissait son propre cours et les conditions que provoqueraient sa cessation. A aucun moment les Etats Majors n’ont mis en place les mécanismes de défense et de dissuasion pour faire face au choc de guerre.
Ce qui confère de la gravité à l’affrontement présent est le manque d’accord concernant le déroulement de l’attaque souffert par l’ Etat d’Israel. L’alerte secrète décrétée par les Etats Majors à leurs forces de logistique nucléaire est un symptôme clair de la gravité de la situation. De plus, nous pouvons vous assurer qu’avant d’arriver à un affrontement nucléaire il y a plus d e 71% de probabilité que le cours du processus évolue différemment.
Nous ne pouvons pas non plus savoir, avec l’information que nous avons, quel va être le résultat final, mais nous pouvons vous assurer que la décision de la part des Etats Unis d’intervenir directement dans le conflit sera le signal que la probabilité d’une Guerre nucléaire aura atteint les 80%.
Vous ne pouvez rien faire sinon assister, désarmés, à ce gigantesque et monstrueux jeu d’intérêts. Mais au moins si le cas se présentait, vous pourrez compter sur notre aide pour autant que vos frères impliqués dans le processus décident immoralement de violer la promesse qu’ils nous ont faite très récemment. Nous ne pouvons faire plus pour vous dans un tel cas, croyez-le. Vous inviter à occuper ces bases dès aujourd’hui même, sans posséder auparavant la certitude qu’une heure catastrophique s’approche, peut avoir des conséquences très graves, oui. Ensuite comme c’est le plus probable, tout se révélerait être une alarme inopérante. Si au moins nous nous trouvions sur la Terre, nous disposerions des habituels moyens de contrôle qui nous permettraient de diriger personnellement l’opération. Une décision de nos supérieurs nous contraint à avancer la date prévue dernièrement pour notre départ. Nous pouvons vous avouer que même en possédant des données dignes de foi à propos de ce qui va arriver, les événements se sont précipités dépassant les estimations probabilistes que nous avions réalisées à leur commencement.
Il semble être que les services d’Information israéliens sont parvenus à obtenir en Union Soviétique l’accès aux plans prévus et en conséquence les états majors syriens et égyptiens, malgré le risque évident que suppose d’avancer les opérations, adopteront l’attitude unilatérale de conduire à terme l’attaque « même en s’opposant à leurs propres conseillers soviétiques ».
La date prévue pour l’offensive était le 17 novembre avec rupture du front en traversant le Canal.
On espérait alors compléter l’aide massive à la Jordanie, qui à son tour exercerait une attaque de la part des guerriers palestiniens suivie d’offensives parallèles par les forces régulières jordaniennes et syriennes sur leurs frontières respectives.
La précipitation par rapport aux plans, en exécutant ceux-ci avant que la Jordanie se trouve capable d’intervenir, joint à ce que ce pays malheureux est entre les mains d’un délinquant. Confère au conflit un cachet d’incertitude qui désoriente en ce moment non seulement les adversaires mais aussi les grandes puissances.
Elle n’est pas autre la raison qui fait monter le niveau probabiliste du risque à propos d’une conflagration nucléaire que nous vous avons signalé.
Une fois amorcée l’invasion des territoires justement revendiqués par les arabes, sur la cote de temps figée, nous avions estimé ce même niveau à environ 23% (+ 4,8. – 6)
D 214 Suite du document D 113 (indication manuscrite de Darnaude)
PARAGRAPHES NON CODIFIES :
Les présents paragraphes suivants n’ont pas le caractère de « Codifiés » par nos supérieurs. Ce sont des commentaires complémentaires aux normes que vous avez certainement eu l’occasion de lire. Commentaires qui par répétition vous aideront à mieux les mémoriser et à clarifier certains doutes. L’importance de ces mêmes [normes, ndT] rendrait conseillable cette addition.
Acceptez-les comme un résumé définitif Nous vous conseillons de les lire plus d’une fois. ( Ne pas faire de photocopies ou de reproduction par aucun procédé d’enregistrement, encore que : Tant que vous prenez des mesures pour qu’au cas où elles tombent en d’autres mains elles s’en révèlent ininterprétables, vos frères peuvent, sur feuille à part, extraire des points spéciaux en quelques graphismes. (Que conservent ces pages l’un ou l’autre de vos frères suivants : Jorge Barrenechea, Juan Dominguez Juan Aguirre)
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COMMENTAIRES : NORME UNE
Pour des raisons humanitaires évidentes vous ne devriez pas laisser certains de vos frères, auxquels vous empêchez l’accès à cette information, en avoir connaisance jusqu’au moment nécessaire où le signal de l’urgence pourra être reçu. Un devoir très sévère vous oblige moralement à communiquer avec eux avant de vous sauver. Nous insistons qu’avant de communiquer le contenu à votre épouse et à vos enfants, chacun de vos frères doit le méditer, (spécialement pour vos enfants s’ils sont mineurs d’âge) et pour votre épouse si elle souffre de quelque affection qui pourrait la perturber. Mais, quelle que soit la décision que vous adoptez personnellement, vous avez à vous assurer qu’ IL N’Y A PAS EU DE FUITE DE LA NOUVELLE.
COMMENTAIRES : NORME DEUX
Cette norme présente indubitablement les aspects les plus sombres et insolubles. Nous ne pouvons absolument pas solliciter pour nous-mêmes la très dure décision de fixer les noms des personnes qui se trouveront les bénéficiaires, les probabilités de succès étant fortement liées, en raison inverse du nombre de frères qui constitueront l’expédition.
Nous suspectons que cela pourrait créer en vous des réactions logiques et explicables fortement conditionnées par une attitude égoïste. Ce n’est pas pour une autre raison que mes frères vous ont orientés, préconisant un ordre de priorité pour des raisons de parenté.
Les décisions qui contreviendraient à cette règle ( inclusion de promesse pour quelque bénéficiaire célibataire, l’inclusion d’autres parents seraient sévèrement analysés par le conseil décisoire que vous formeriez et par vote secret pour éviter les situations violentes). Il pourrait se révéler également douloureux de définir les noms de ces dix-huit familles, avec un nombre moyen de neuf bénéficiaires. Si vous êtes d’accord pour réduire ce chiffre, cela ne devrait pas être interprété comme un incrément du niveau de bénéficiaires (Neuf) par famille, mais un moyen tendant à réduire au possible le volume de l’expédition.
Nous vous répétons que le chiffre de 196 global (162 places pour vous) est une limite permise, qu’il serait conseillé de NE PAS ATTEINDRE.
NORME TROIS
Il est prudent de faire des photocopies lisibles de la note chiffrée que nous vous remettons. Le contact avec d’autres de vos frères en conditions si critiques peut être soumis à des situations prévisibles, et multiplier les possibilités de déchiffrer ce document à un moment donné, c’est assurer les possibilités que le plan d’urgence soit exécuté sans anicroches.
Nous avons organisé ce projet de manière que le code de décryptage soit opérationnel seulement quand nos collaborateurs recevront le message qu’ils attendent en cas d’urgence. Maintenez-vous unis à partir de maintenant de manière que chacun connaisse de toute manière la façon de communiquer de façon urgente avec les autres. Il est prudent de fixer un point collectif de réunion, libre de n’importe quel risque surveillé.
NORME QUATRE
Si quelque inconnu se présente devant vous avec le code de décryptage, validé par notre tampon, recevez-le immédiatement, cessant toute autre activité et sans réactions inutiles de panique, vous procéderez immédiatement au déchiffrage. « Avec lenteur et sans hâte. L’opération peut prendre environ deux heures, pour des erreurs dues à la nervosité, demandez à un autre frère de répéter le processus de déchiffrage et confrontez vos résultats. Acte suivant faites-le savoir aux autres au moyen d’une clé que vous-mêmes devez choisir immédiatement.
NORME CINQ
Le voyage jusqu’à l’agglomération de Piedralaves (Région de AVILA) doit être planifié de manière indépendante comme vous le considérez avec prudence.
Vous pouvez vous organiser en le camouflant en excursion. Planifiez de parvenir jusque là où se concentreront les familles pendant qu’il conviendra que les têtes de celle-ci [l’excursion, ndT] mettent en pratique la localisation de la pochette contenant l’équipement et les instructions. Pensez qu’il s’agit d’une petite agglomération et qu’une réaction anormale de la part des expéditionnaires provoquerait peut-être de la part des voisins et autorités des conséquences gravissimes et irréversibles.
NORME SIX
L’opération de récupération de la pochette doit être réalisée par les chefs de l’opération. Prenez soin des détails d’ouverture que nous vous avons communiqués dans le document chiffré, forcer la pochette par une réaction de nervosité incontrôlée impliquerait la destruction d’une partie du contenu.
Les instructions concernant la manière de réaliser le voyage jusqu’au point éloigné de la base étant codifiées de manière très claire à l’intérieur [de la pochette, ndT] ainsi que l’heure à laquelle celui-ci doit commencer, selon le calendrier joint, il serait convenable que vous décidiez auparavant une quelconque excuse pour les étrangers en cas d’interférence ( Expédition culturelle, excavation archéologique etc..)
TOUS DOIVENT INGERER LES CAPSULES CALMANTES.
NORME SEPT
Mettez en œuvre des normes sévères d’inspection des bagages emportés pour qu’ils satisfassent les spécifications de limitation marquées dans la norme. Evitez de plus de porter des objets Superflus.
Si les moyens de transport que nous vous conseillons ne manquent pas, les véhicules doivent être abandonnés à proximité de PIEDRALAVES ou en d’autres points de l’agglomération, même au risque d’éveiller des soupçons ultérieurs.
NORME HUIT
Approximativement un kilomètre avant la base (cela est parfaitement expliqué dans les instructions et l’usage des détecteurs que chaque tête de groupe portera à son oreille).
Répartissez vous en groupes espacés et indépendants.
A environ cent mètres, vous vous rassemblerez de nouveau en simulant une halte d’une supposée excursion, jusqu’à attendre l’obscurcissement total. Prévoyez des gardes aux alentours pour éviter l’ingérence d’intrus aux environs du bois, pendant que trois ou quatre membres procéderont à la relecture des instructions pour l’ouverture de la base.
Comme on suppose que tous porteront des vêtements chauds, il n’est pas prudent que vous allumiez des feux pendant l’attente. Il n’est pas probable que cette zone apparaisse enneigée à ces moments critiques. De toutes manières ( Mise à part une neige exceptionnelle) même face à l’apparition de ce météore, l’opération de localisation ne sera pas difficile.
NORME NEUF: NON CODIFIEE . Simplement indicative.
Il est prudent de cacher aux enfants jusqu’à la fin l’authentique raison de l’expédition.
TRES IMPORTANT: Si à travers les moyens de diffusion vous arrivait la grave nouvelle que des opérations nucléaires avaient déjà commencé, ce serait le symptôme gravissisme que notre présent plan a échoué, ou bien par la trahison de quelque membre du réseau de vos frères ou pour quelque défaillance imprévisible dans le système.
Notre conseil est celui de vous maintenir sur l’expectative de nouvelles parvenues avec retard (c’est-à-dire le code) mais à partir de ce moment, donnez la priorité aux instructions (indications de vos Autorités de Défense Civile) sans attendre un instant l’arrivée du messager. Ou bien évacuez de votre propre initiative vers des points éloignés des bases nord américaines en Espagne, protégés par des accidents orographiques.
De toutes manières, vous ne devez pas vous abandonner à la panique. D’autres interprétations pourraient être que les hommes clés (vos Frères en Chine Populaire et Etats Unis) sauraient avec certitude que le conflit Nucléaire ne va pas affecter la Péninsule ibérique dans ce cas-ci, peut-être que d’autres de vos frères situés en un autre point du Globe recevront le signal d’urgence sans que cela ne vous affecte. Nous vous répétons que de toutes manières vous devriez obéir en priorité à des directives qui sont étrangères aux nôtres.
MEDITEZ SANS CRAINTE TOUTES CES INDICATIONS. Soyez assurés que sous quelques mois tout cela n’aura probablement été qu’un mauvais rêve. Les grandes puissances à leur tour sauront activer d’autres moyens avant de consentir un holocauste nucléaire qui constituerait la ruine définitive du Capitalisme régnant, et l’annihilation définitive de leur propres populations.
Il suffit qu’une occasion inquiétante rende cependant possible un tel conflit, la possibilité que certains contenants détectent et annihilent à temps les têtes de Fusion Fission avant qu’elles n’atteignent l’objectif avec des probabilités de neutralisation de 77 à 85 % De toutes manières le pourcentage restant a une capacité de dissuasion suffisante pour que les états majors réfléchissent sérieusement à une insertion dans cet affrontement.
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INFORMATION » DS »
Dans la procédure de décodage, il faut supprimer les lettres neutres qui séparent les mots selon la norme 3 du code.
Les chiffres ainsi que l’expression des degrés et minutes sexagésimales d’arc sont réels dans le contexte. Ils ne doivent pas être décryptés.
Ne pas décrypter les expressions entre parenthèses
D114
UMMOAELEEUEE
Nombre d’exemplaires : un
Adressé à D. Juan Dominguez
d’Espagne
Date : 11 mars 1976
Monsieur, Permettez-moi de me présenter à vous et à votre noble épouse. Je suis NOIUEYOO 62, fils de N. 59, et nous sommes dans votre pays depuis le 8 juillet 1975. Je vous communique à l’instant les raisons de vous écrire cette lettre. Une analyse d’une émission radio sur une de nos nefs, atterrie sur ce sol, comme vous le savez bien, en l’an 1967, a été programmée à la Télévision centrale de votre pays. Votre digne épouse était dans le studio ainsi que vos frères Rafael Farriols Calvo, José Jordán Peña, Jorge Barrenechea Aberasturi, et vous-même.
Grâce à votre frère Farriols, que nous suivons dans ses voyages, cette nouvelle a pu arriver en notre possession.
Nous regrettons vraiment de n’avoir pu connaître d’avance ce projet d’émettre ce programme qui nous évoque. Et je vous informere au sujet de ces regrets.
Cela constitue pour nous en ce moment une occasion unique de réaliser une prospection sur le degré de pénétration de la connaissance qu’a de nous la population espagnole, précisément à une date où nous pensions que nous avions déjà été oubliés. L’avoir su avant aurait facilité la rédaction de ce texte, qui ajouté au vôtre avec l’autorisation présumée du scénariste, aurait facilité notre travail de synthèse.
Je me lamente inutilement, c’est évident, puisque vous ne pouviez nous informer d’avance sur le programme projeté et qu’il ne nous a pas été possible de nous informer d’avance. Nous connaissons en ce moment le texte et l’image enregistrée. Nous espérons que, telle qu’elle sera injectée dans les appareils de (télé)transmission, elle pourra être utile pour notre étude.
Comprenez qu’il ne nous est pas possible de reproduire à volonté une telle situation. Aucune émission de télévision de nations n’est sous n’importe quelle forme de surveillance de notre part, et pour nous, tout examen macrosocial des humains de la Terre acquiert une grande valeur si, sous quelque forme que ce soit, il est fourni à mes frères.
– 1 – Nous avons beaucoup appris dans nos dernières années de séjour parmi vous. Notre crainte que la nouvelle de notre séjour sur Terre pourrait perturber gravement le réseau social s’est dissipée.
Aujourd’hui nous savons que les précautions adoptées par mes frères donneront le résultat prévu, c’est-à-dire d’éviter notre présence directe réelle, de ne pas apporter de preuves trop convaincantes et d’introduire quelques éléments dosés de confusion , afin que n’importe quel analyste de la Terre très scrupuleux ne puisse en sortir des conclusions trop embarrassantes sur notre existence.
Le scepticisme des masses imbriquées dans le réseau social constitue une protection évidente.
Un autre problème est constitué par un certain intérêt que nous portent certains moyens officiels définis, pensant en toute logique que nous nous dissimulons sous une identité d’extraterriens, pour dissimuler d’autres motivations. Face à eux, nous avons désiré vous préserver de tout risque, bien que déjà nous constatons que des informations dignes de foi parviennent à ces organismes bien que – c’est absolument certain – vous ignoriez nos points de chuteet que vous subissiez passivement l’envoi unilatéral de documentation. Malgré tout, nous croyons prudent de limiter encore très restrictivement nos envois.
Notre conseil est de continuer à maintenir cette passivité. Si quelqu’un vous demande une information sur nous, vous pouvez la lui fournir (exceptée celle qualifiée de confidentiel), mais il serait prudent que l’initiative de diffusion ne parte que de ceux qui comme vous reçoivent certains de nos rapports. Chacun de vous, en ce moment, sait comment prendre position suivant le degré de crédibilité qu’il nous accorde, mais nous jugeons que pour des raisons éthiques évidentes, aucune personne personne avec des frères étrangers au problème ou en contact avec les médiats de diffusion publics, ne devra fournir les noms de personnes impliquées dans ces contacts, sans leur permission expresse.
Cette condition, nous l’exigeons très sévèrement, avec la compensation rigide de cesser pour toujours notre contact avec l’homme qui l’aura violé. Pour le reste, nous ne pouvons exiger en ce moment un autre type de silence, ni qu’ils expriment ce que nous pensons du crédit qu’ils nous accordent. Nous vous recommandons que n’importe quel document, fourni à d’autres frères qui les demandent, devra être exempt de l’en-tête exprimant le patronymique et le nom de famille du récepteur. Sauf si ce frère autorise expressément sa diffusion.
Notre recommandation, en somme, est que vous soyez toujours impartiaux dans vos jugements. Exprimer un enthousiasme excessif sur notre existence hypothétique est irrationnelle. Vous démontrerez beaucoup plus d’intelligence en émettant l’opinion que de tels documents procèdent d’une source inconnue » qui dit venir d’Oummo « , et en exprimant ensuite le jugement de valeur que mérite leur CONTENU. D’ailleurs, vous ne pouvez savoir que peu de leur origine, si ce n’est pas par le moyen de spéculations téméraires.
Je vous demande, Monsieur Dominguez, après avoir effacé avec précaution votre nom de famille, de fournir copie de ce document aux frères (jouissant) de VOTRE CONFIANCE.
Exhortez-les, je vous en prie, en me répétant, à comprendre la prudence de ces mesures mais n’oubliez pas de dire à vos frères présents, que, ces années passées, les mesures de secret qui hier pouvaient être prudentes et nécessaires dans la diffusion des documents, a évité de générer des dangers. Nous considérons que la censure est levée pour toute information se référant à notre propre civilisation.
Il n’en est pas de même pour certains documents qui intéressent votre propre réseau social. Les frères qui les recevront devront se montrer rigoureusement prudents et refuser de les commenter ou de les diffuser à des étrangers
Nous vous exprimons ainsi qu’à votre intelligente épouse notre plus noble expression de communion spirituelle.
D115
Il n’est pas possible de réaliser une synthèse de notre culture actuelle sans courir le risque que nos conceptions puissent paraître peu convaincantes car n’étant pas accompagnées d’arguments développés avec l’ampleur désirée. Nous désirons vous offrir un panorama superficiel des bases intellectuelles de notre structure sociale à différents niveaux qui vous sont familiers :
COSMOPHILOSOPHIQUE
RELIGIEUX-MORAL
PHYSIQUE
Une telle discrimination est artificielle pour nous qui considérons la chaîne du cosmos comme un « tout » harmonique qui ne peut s’atomiser en disciplines ou sciences sans déformer gravement la vérité. Les liens entre les différents aspects de l’univers sont si intimes que leur projection mentale sous forme de compartiments étanches peut devenir aliénante pour celui qui l’étudie.
Mais la transcription de ces idées devient véritablement difficile si vous prenez en compte le fait que vos schémas mentaux sont conformés d’une autre manière que les nôtres. Nous ne pouvons utiliser un langage commun intelligible les deux à la fois. En ce moment, en m’efforçant d’utiliser en espagnol des idiotismes verbaux qui vous soient familiers, je tais le flux d’idées que je pourrais exprimer avec aisance, car les acceptions de vos phonèmes ne peuvent interpréter correctement ma pensée. Vos frères Rilke, Neruda, Garcia Lorca, auraient-ils pu exprimer leur exquise sensibilité avec le seul instrument verbal d’un vocabulaire extrait de l’index d’un manuel d’électronique ?
En ce qui nous concerne, il ne s’agit pas de chercher un phonème ou un mot espagnol dont la signification soit analogue à celle de notre mot correspondant. Même si ce premier cas était obtenu, et même avec la réalisation d’une analyse lexicographique complète de la langue, les expressions complexes intégrées par ces « mots » cacheraient des significations insolites pour les habitudes topiques de la pensée terrestre. Pour cela, les idées qui ont été proposées dans ces rapports à d’autres de vos frères de différentes nationalités sont nécessairement « géotropes », c’est-à-dire avec une saveur prononcée « d’orientation culturelle terrestre », mais ceci est dû au moyen de communication sociale choisi. Le pouvoir évocateur des phonèmes qui vous sont familiers bloque toute intention sérieuse de transvasement culturel exogéognostique.
L’idée de vous offrir ces conceptions pour qu’elles servent de base doctrinale se substituant aux piliers de la pensée terrestre actuelle est très éloignée de notre esprit. Des rapports analogues à celui-ci, mais avec un contenu spécifique différent, ont été remis par voie postale à des philosophes, des dignitaires de différentes Églises, des diplômés de diverses universités, des techniciens, des publicistes et des personnes de formation moyenne de différents pays d’OYAGAA (Terre). Nous constatons que beaucoup de vos frères méprisèrent de tels données en refusant de reconnaître notre véritable identité. Cette attitude est orthodoxe sous l’angle « de vision » de la logique habituelle.
Mais même les OEMII terrestres qui ont gardé avec une encourageante curiosité ces pages dactylographiées en différentes langues et qui ont su combiner, avec un équilibre louable, la réserve mentale et le secret que nous exigions, avec d’ailleurs une attitude ouverte d’approbation conditionnée de notre témoignage, n’ont jamais été contraints de remplacer leurs propres idées et conceptions géognosologiques par les nôtres.
Nous ne désirons en aucune manière – plus encore nous vous exhortons – ne tombez pas dans la tentation de permuter vos idées religieuses, scientifiques et politico-économiques avec les nôtres. Vous-mêmes reconnaîtrez la raison d’un tel avertissement :
– En premier lieu : parce que nos rapports sont purement DESCRIPTIFS. Nous vous offrons un compte rendu sans arguments positifs, rationnels et convaincants qui les étayent.
– Il serait aberrant pour vous de greffer nos idées, concepts et affirmations toutes nues sur la constellation idéologique conformée par vos éducateurs de la TERRE.
– Mais de plus, si cela était, vous commettriez une extorsion grave au rythme normal de convivialité sociale, au devenir de la culture de la TERRE. Le processus normal de la technologie serait altéré en endommageant gravement la chaîne géosociale actuelle.
– Une révolution de vos structures doit se forger au sein de votre propre réseau social. Une morale cosmique que nous partageons nous interdit respectueusement d’intervenir, sauf en des cas limites imprévisibles.
Nous ne venons pas – tout au moins mes frères de UMMO – en prophètes descendus du ciel pour vous apporter une nouvelle doctrine, une nouvelle physique, une nouvelle religion, des conceptions mathématiques nouvelles, des panacées pour vos maux sociaux ou physiopathologiques, en nous appuyant pour cela sur notre maturité culturelle plus avancée. Aussi, il ne viendrait pas à l’idée à un ingénieur spécialisé en constructions terrestres en visite dans une école de jeunes enfants, de dénaturer le cycle d’enseignement infantile en essayant d’expliquer aux UYIIE comment on construit un pont en encorbellement au moyen de voussoirs en béton armé.
Naturellement ce spécialiste pourrait utiliser des comparaisons et des expressions accessibles à ces cerveaux embryonnaires afin qu’ils puissent comprendre la technologie qui permet de franchir de grandes portées par la construction de ces structures. Il n’est pas nécessaire de souligner qu’une leçon de cette nature est inopportune dans un cycle puéri-pédagogique.
La pureté de nos intentions peut être constatée à travers le procédé utilisé pour prendre contact avec vous. Si nous désirions vraiment introduire notre propre monde mental, nous exercerions notre prosélytisme en étayant nos textes par des démonstrations, même sophistiquées. Nous n’insisterions plus sur le fait que notre séjour sur TERRE est dû exclusivement à une nécessité vitale, que vous comprendrez, d’étudier et d’analyser votre évolution bioculturelle. C’est seulement après avoir compris que vos propres barrières de scepticisme nous protègent que nous avons décidé cet essai de symbiose intellectuelle.
Nous vous offrons maintenant ces documents tout en sachant qu’ils seront accueillis avec réticence et nous en faisons dépositaires des hommes de la TERRE comme vous, qui, imprégnés par l’intérêt pour des thèmes exobiologiques, Ies conserveraient au moins jusqu’à ce que des preuves objectives et vraies sanctionnent l’authenticité de leur genèse.
Ceci est la seule chose que nous préconisons : Ne nous croyez pas. Accueillez avec méfiance ces concepts. Ne les divulguez pas pour l’instant dans les milieux de communication de masse. Montrez-vous même sceptiques face aux OEMII non familiarisés avec cette science (celle qui analyse ces faits), mais ne détruisez pas ces feuilles imprimées. Avec quelques milliers d’autres distribuées secrètement, elles constituent le précédent historique des relations débutantes entre nos deux réseaux humains.
Nous allons faire, monsieur, une critique sincère et impitoyable de toutes les versions plus ou moins données qui circulent parmi vos frères sur les miens. En fin de compte, de telles formulations possèdent une base logique indubitable puisque nécessairement les étranges relations que nous maintenons anormalement avec vous, doivent se soumettre à la spéculation. Sans pouvoir entrer dans vos propres schémas logiques, la probabilité que nous disions simplement la vérité doit recourir à des interprétations qui pour quelque analyste sérieux et impartial seraient si absurdes et bizarres et pour eux comme une hypothèses réfutable. Nous refusons de faire d’interminables cabales que rationnellement nous considérons stériles, car si, comme ils le pensent, notre origine est terrestre, le phénomène des « lettres anonymes remise à moins de 200 humains par des « savants fous » ou des « coreligionnaires d’un groupe idéologique » ne mérite pas d’y donner trop d’attention ; de nombreux champs vierges séduisants existent dans le monde encore à analyser et à étudier. Mais si votre hypothèse sur notre identité manque de consistance suffisante, nous ne pouvons malheureusement pas réfuter certaines accusations qui avec notre attitude influencent vos frères de la TERRE. On peut objecter naturellement que si nous sommes un groupe social, parmi les nombreux qui existent dans différents pays, il est de notre droit d’introjecter notre propre idéologie. Bien plus aussi, quand celle-ci ne viole pas les principes de base de l’ordre moral qui est considéré comme fondamental dans les classes actuelles de la Terre, et quand ils n’entrent pas en collision brutale avec les principes des nombreuses idéologies actuelles qui vous sont agréables. Si cette contestation manque de sens pour quelques-uns de vos frères en échange elle nous remplit de chagrin, parce que si elle a une base réelle elle viole et pervertit dans vos plus intimes racines notre vraie intention notre objectif qui se chiffre précisément au contraire : Respecter les multiples formes de culture qui règnent sur la Terre.
Une culture évoluée comme celle contraire à celle de la Terre que nous avons sur OUMMO, n’est pas injectable ni copiable sans provoquer de graves troubles parmi vous. Rêver de s’inspirer d’elles pour tenter de modifier favorablement vos propres schémas idéologiques est acceptable comme simple phénomène onirique. Tenter de mettre en pratique et de traduire vos schémas pour les accoupler artificiellement à vos schémas moraux, politiques et philosophiques, nous semble (avec des éléments de jugement suffisants) d’une ingénuité puérile et une expérience condamnée à l’échec. Nous inquiète aussi l’attitude aventurée de vos frères qui après avoir lu nos rapports anonymes, torturent leur esprit en tentant d’inhiber leurs croyances et d’y substituer des idéaux épurés régnant dans un cadre social aussi différent que celui d’OUMMO.
Nous ne pensons pas, qu’à en préjuger ainsi, notre affirmation implique une attitude méprisante envers les idéologies de la TERRE. Précisément nous avons insisté en toute simplicité sur le fait que, parmi les multiples idéologies de la TERRE et dans le groupe de penseurs de vos frères, peuvent être sélectionnés des principes éthiques d’un sublime que nous mêmes révérons. Nous ne pouvons rien vous enseigner dans ce domaine, comme nous ne pouvons rien vous enseigner en matière d’art, de coordination des sons ou de plastification des formes et des couleurs, matières dans lesquelles par rapport à nous vous êtes de grands maîtres. Une autre question est qu’en ce qui concerne notre idiosyncrasie spéciale et notre état évolutif avancé, nous avons assimilé socialement des schémas socioéthiques qui, pour vous, se présentent encore comme des idéaux inatteignables.
Apparemment il est facile de réfuter la nature de nos scrupules, quelques soient vos arguments simplistes apparemment chargés de raison, on objectera que la solution est bien simple : Si notre objectif se chiffre à éviter toute imprégnation de cultures externes à la Terre, rien de plus simple que de suspendre cette correspondance postale ou téléphonique avec les hommes de la TERRE. Quand nous avons initiés ces contacts nous jugions que nous avions rencontré la procédure idéale qui satisfesait toute une longue série d’exigences. Il nous est permis d’entrer en contact avec les OEMII de la TERRE sans perturber le RÉSEAU SOCIAL. Ce principe ultime est basique pour notre corps expéditionnaire sur TERRE et cela pour des motifs très importants. Altérer le processus biosocial qu’on tente d’analyser est considéré par nous comme une abomination.
Mais de plus nous considérons antiéthique une telle influence perturbatrice. Aucune civilisation ne doit influer sur le processus normal d’évolution qu’emprunte un autre RÉSEAU SOCIAL. Nous découvrions non sans étonnement à travers de timides essais pleins de réserve et de précaution qu’il était cependant possible de communiquer avec des OEMII de cet astre solidifié sans qu’une telle information se répande sous forme dangereuse au milieu social circonvoisin. Il nous était possible ainsi de dialoguer ou d’écrire nos informations aux hommes de la TERRE sans perturber le développement du RÉSEAU SOCIAL puisque le scepticisme (logique d’autre part) de ses nœuds ou membres agissait comme amortisseur efficace de la diffusion de l’information. Soumise à l’expérience cette immunité se révélait pleinement efficace. De cette façon nous satisfaisions deux nouvelles exigences. D’une part compenser de quelque façon pour LA SOCIÉTÉ DE LA TERRE le patrimoine informatif qu’elle nous fournit dans le cours de notre analyse systématique du milieu géologique, écologique et culturel de cet astre froid : avec la permutation d’autres informations dosées concernant notre civilisation et autres aspects d’OUMMO. Mais nous nourrissons l’espérance d’un futur contact avec la civilisation de la TERRE et nous tentons d’expérimenter à petite échelle les conséquences sociales sur vous d’une révélation de notre présence sur cette planète. Cette ultime prévision est frustrante puisque nous avons prévu qu’une telle présence serait traumatisante pour l’évolution culturelle de la TERRE mais il est aussi possible que vous arriviez à accepter que nous sommes scientifiquement parmi vous en mission d’étude depuis des années. Dans ce but, nous considérons comme valides les documents que nous vous remettons et qui pourront servir de témoignage dans un futur proche. Pour cela nous réalisons divers essais, choisissant vos frères de différentes couches sociales et culturelles, raciales et nationales. Nous avons besoin que les destinataires de ces documents choisissent au moins de les conserver par simple curiosité, même en adoptant vis-à-vis de leur contenu une réserve logique, jusqu’à rendre possible leur constat par voie scientifique irréprochable. Les premiers résultats furent décourageants. Ces hommes de science, penseurs et lideurs d’opinion avec qui nous établissions le contact ou déchiraient les textes sans les lire ou les trouvaient en contradiction avec leurs propres schémas culturels ou utilisaient certains passages de ces textes pour les publier avec leurs œuvres, sans accepter (sauf cas très isolés) de prendre en compte la demande de conservation comme au moins de rapports procédant d’autres êtres de la TERRE. Sauf les cas isolés cités, précisément les humains d’origines comprises dans les couches sociales de culture moyenne, les plus disposés à considérer sérieusement la possibilité que de tels textes puissent être rédigés par mes frères. Il s’établit ainsi un lien chaleureux avec des personnes, plus ou moins disposées et aussi associées, de différentes nations, sur lesquelles mes frères mirent plus d’attention. La consigne demandée de maintenir le silence fut respectée de tous les aborigènes de certains pays. Chez d’autres nations, due d’une part à ce que pour des raisons expérimentales cette réserve n’était pas sollicitée, et d’autre part à la psychologie spécifique de vos frères impliqués, la nouvelle transpira plus que nous l’avions désiré. Des raisons affectives s’interposaient en plus. Quelques-uns de vos frères s’attachèrent tant à notre présence anonyme, matérialisée par les textes qui leur parvenaient irrégulièrement mais avec une assiduité certaine, qu’inévitablement ils souffrirent un très fort impact sur leurs modules émotionnels.
Le mal était fait quand nous avons pris conscience du danger que cela supposait pour vous. Nos chefs pensèrent sérieusement que continuer de tels contacts violait nos plus précieuses lois UAA (lois morales) puisque sans l’avoir voulu nous avions, par nos écrits, perturbé vos frères. Et de ce fait les contacts furent suspendus avec ces OEMII. Consternés nous pouvions observer qu’une telle rupture présentait des effets plus traumatisants que ceux que nous cherchions à éviter. D’autre part apparurent aussi pour nos frères de nouvelles conditions qui altéraient de façon déplaisante notre présence parmi vous. Une puissance nationale prit conscience de notre existence en tant que groupe et se mit depuis à consacrer du temps à surveiller nos activités.
D’autre part le champ d’investigation programmé par nous subit de nouvelles orientations envers les nations de la TERRE. bien que quasi inédites pour nous. Tout cela contribue à ce que nous vous exposions une série de considérations en rapport. Il nous agréerait qu’aux sein de vos assemblées prévale un esprit de simple curiosité critique sur la réalité de cette expérience communicative. Les assistants doivent seulement considérer comme valide la seule vérité vérifiable : la réception par quelques OEMII de la TERRE de nos écrits, dont l’origine et les finalités qui animent leurs expéditeurs constituent pour le moment une inconnue irrésoluble.
Nous vous conseillerions de porter un soin spécial à exhorter les assistants à ne pas se laisser aller à la tentation de faire leurs les idées exprimées dans les textes de la documentation existante. Nous considérons comme à rejeter (et nous y mettons spécialement l’accent) n’importe quelle forme de pression ou de censure sur l’attitude de vos frères qui en usant de cette liberté désirent exercer une critique sincère et objective, soit de la thèse de notre existence et de l’origine de nos frères, soit des témoignages exposés sur la documentation analysée.
Éviter dans les sessions un quelconque type d’attitude coercitive, pour forcer les assistants à adopter le critère de ceux qui sous leur responsabilité particulière croient sincèrement notre témoignage, est à notre jugement une mesure prudente qui serait désirable de maintenir.
D116
UMMOAELEWEE
Nombre de copies : UNE
Langue : ESPAGNOL
Espagne, 23 mai 1978 (Ndw: Il s’agit bien de 1979 et non 1978.)
Monsieur,
Permettez que je me présente, même si cela entraîne une réaction de surprise, inclusivement une dose logique d’incrédulité de votre part. Mon nom est, dans votre transcription phonétique, EIDOUAA AA 42, fils d’EIMEII 12, et je viens d’un astre froid nommé UMMO. Vous pouvez vérifier la réalité de mon identité au vu de notre sceau dont l’authenticité pourra, peut-être, être avalisée par votre frère espagnol Rafael Farriols Calvo, résidant à Barcelone. Nous constatons que, dans différents pays, des lettres apocryphes sont attribuées à mes frères et, sans doute, vous préfèrerez-vous vérifier que ce texte possède une origine authentique.
Mes frères et moi nous adressons à vous, parce que des informations d’un haut degré de fiabilité nous sont parvenues selon lesquelles vous acceptez aimablement les données de notre existence. Il est certain que cette attitude est plus émotive que rationnelle puisque mes frères ont pris soin de ne pas apporter trop de preuves objectives sur notre identité et notre origine. Nous avons besoin du scepticisme humain de la Terre pour pouvoir convivre avec vous, mais nous fûmes surpris de vérifier que quelques-uns de vos frères de Yougoslavie, Australie France, Espagne, Canada et autres nations se laissant porter par des impulsions affectives, crurent en nous sans la médiation d’arguments d’ordre scientifique
Naturellement, cela est flatteur pour ceux de mes frères qui étaient alors sur Terre et ont mis au point une abondante correspondance unilatérale qui comprend un dossier étendu de rapports d’un nombre supérieur à six mille sept cent en différentes langues. Nous posons seulement comme condition que les groupes réduits qui s’intéressés à nous dans ces pays ne se mettent pas en contact mutuel avec ceux d’une autre nationalité, et que les documents ne transpirent dans le réseau social terrestre, de peur que cela implique un boum de publicité qui nous obligerait à quitter votre Astre froid. Cela s’est accompli, en partie, devant les inévitables fuites subies, bien qu’aujourd’hui déjà le risque soit quasi nul pour nous. Vous-même avez commenté publiquement des données sur notre existence et n’êtes pas tenu à un devoir de réserve mentale par aucun contrat.
Mes frères ont été hors de votre astre froid pendant un grand intervalle de temps. Une expédition retourna sur la Terre en octobre en atterrissant au Danemark. Une petite expédition sous mes ordres se rendit en Espagne centrale. Mes autres frères se trouvent au Danemark, Angleterre, Népal et Canada. Moi personnellement, c’est la deuxième fois que je me trouve parmi vous. J’ai étudié les langues anglaise, allemande et espagnole et je me suis spécialisé dans la culture et la pensée hispaniques. Mon métier sur Ummo est lié à l’analyse des systèmes biochimiques pour la synthèse des aliments. Concrètement, ma spécialité était dans le codage, dans ce que vous appelez les polynucléotides, des bases pour la genèse des organismes producteurs de chaînes protidiques. J’étudie maintenant l’évolution de la société espagnole dans ses facettes économétriques et je dicte cette lettre à un de vos frères du pays, qui était déjà connu des expéditionnaires qui me précédèrent. Ce frère à vous est un de nos admirateurs et nous a rendu de précieux services.
Nous désirons satisfaire quelques points d’interrogation soulevés par vos frères au long de ces temps. Ainsi, ils nous demandaient la raison de notre silence. En premier lieu, il est dû à notre absence de la Terre, mais auparavant des considérations d’un autre ordre étaient prises en compte. A l’encontre de notre exigence de secret, des xérocopies de nos documents avaient filtré vers d’autres milieux, et un risque était couru par mes frères qui se trouvaient encore ici. Spécialement en Espagne, il y avait une incontinence plus aiguë que dans les autres pays, où vos frères furent plus prudents et circonspects. Il fut nécessaire d’activer nos structures d’autodéfense, consistant à mettre en circulation des arguments contre notre existence réelle, que nous tenions déjà prêts pour une urgence semblable.
Des années plutôt, mes frères ont diffusé, conjointement à des arguments en faveur de la thèse de l’identité ummiaoo, de fausses preuves qui pouvaient servir de couverture face à un degré élevé de crédulité de la part du réseau social de la Terre. Je tente de vous expliquer cela très explicitement, monsieur Luis Jiménez Marhuenda.
Notre mission sur Terre est vraiment d’analyse et d’étude. Nous sommes arrivés en Espagne (Notre premier atterrissage se fit dans un lieu de France), comme dans d’autres pays, avec le désir de connaître la structure géologique, les mouvements orogéniques, la biosphère, la structure sociale des humains, toute leur histoire et leur évolution, les conditions atmosphériques et les structures de l’astre principal et des autres astres froids, incluse une autre planète située à 7898 kilomètres au-delà de Pluton (distance moyenne à votre Soleil).
Nos formes de pensée (philosophie) nous interdisent d’interférer avec votre évolution sociale. Tout apport transcendant de notre culture, qui dépasse de simples informations sur notre science et nos coutumes, impliquerait naturellement une ingérence dans cette évolution qui, dans notre optique déontologique, est nocive. Il ne serait pas possible par exemple de vous offrir une solution de la biogenèse des tissus atypiques (cancéreux), sans que cela implique de vous donner des données technologiques que les hommes de la Terre, de formation éthique faible encore dans des couches sociales déterminées, pourraient utiliser à d’autres fins en rien liées à la médecine mais probablement à la destruction. Même dans le domaine philosophique, une injection procédant de notre ontologie dans vos écoles de pensée vicierait l’évolution normale de la métaphysique humano-terrestre. Tout transvasement de culture provoque des dommages irréparables dans les lois normales de l’évolution d’un réseau social planétaire.
Rappelez-vous que quand mes frères, qui me précédèrent dans leurs voyages sur cette Terre, commencèrent à se mêler à vous, profitant de leur configuration anatomique très semblable à la votre (ce qui arrive par la loi de l’évolution sur des planétoïdes de structure et de dimensions similaires), ils omirent de vous faire connaître leur origine de l’astre UMMO. Leur crainte était exorbitante. Une meilleure connaissance du psychisme humain terrestre les rassura sur ce point particulier. Timidement au début, et avec plus de désinvolture ensuite, ils entamèrent des contacts avec quelques scientifiques à qui ils apportèrent des données déterminées qui ne pouvaient provoquer des dommages, et choisirent de plus dans différents pays une sélection de vos frères citoyens de standard culturo-social et de type économique moyen, mais qui avaient en commun un trait distinctif : Ils s’intéressaient au thème OVNI et ce dada, d’une certaine manière, les rapprochait spirituellement de nous. Mes frères de ces expéditions me rapportèrent qu’au début ils ne s’attendaient pas à être trop crédibles. Ils pensaient, au contraire, que vos frères garderaient ces rapports comme une vraie curiosité dus à quelques troubles mentaux, avec le but que si dans l’avenir notre hiérarchie optait pour un contact formel avec les gouvernements de la Terre (d’ailleurs une telle possibilité était sérieusement considérée par mes frères hiérarques), ces documents formeraient la protohistoire de ces relations avec les humains de la Terre.
Une de mes sœurs, YU 1, était alors sur Terre comme chef de l’expédition (malheureusement depuis morte par accident), femme intelligente qui savait comme personne comprendre votre psychisme, elle comprenait que le risque était minime, contrairement à WIIBEAA 43, fils de WIIBEAA 40, qui refusait avec emphase d’établir aucun contact. Les thèses de ma sœur prévalèrent à cette époque. Au début, vos réactions semblèrent donner raison au second. Un grand nombre de correspondants crurent en nous et arrivèrent à un degré de mythification de notre humanité frisant le danger du point de vue de l’hygiène et de l’équilibre mental. On courait le risque que la nouvelle filtrât en créant des courants de turbulence sociale autour de ces êtres procédant d’un autre astre froid. De fait, les informations sur l’UEUA OEEMM (nous appelons ainsi les OVNIS) créaient une grande psychose à l’échelle mondiale sur Terre, et nous n’aimons pas jeter de l’huile sur le feu, comme vous dites en Espagne. Comment pourrions-nous convivre avec vous si des rumeurs circulaient sur notre aspect ? Il était dangereux d’apporter trop de preuves de notre existence réelle. Alors, on mit en place une stratégie tendant à apporter de fausses données mêlées à des vraies, en avertissant noblement dans nos rapports que nous étions en train d’opérer ainsi, et que vos frères modèrent leur foi en nous. Cela, monsieur Luis Jiménez, peut paraître singulier et étrange. Si vous analysez impartialement les circonstances, cela ne l’est absolument pas. Vos frères se sont transformés en d’excellents amis à nous. Mais une vraie amitié comporte pour nous une attitude protectrice. Vous êtes de la TERRE. Vous vous devez spirituellement à votre culture, à votre histoire et à vos frères, nous ne pourrons jamais vous aliéner, et vous transformer en disciples serait quelque chose de récusable selon nos principes. Aurions-nous pu l’éviter, si nous vous avions offert la preuve irréfutable de notre existence ? Même ainsi certains se sentiront séduits par nos notes. Ummo se transforme dangereusement en un méta idéal de vos existences et en cela nous pose un difficile problème de conscience.
De nouvelles complications ont surgi depuis des années. Une agence d’Information des États-Unis vint à connaître occasionnellement l’existence du groupe UMMO. En conséquence logique de ces approches rationnelles, ils interprétèrent que nous étions une organisation aux ordres d’une autre puissance et entamèrent une recherche gênante pour nos frères. Il est vrai que nos frères avaient les moyens d’échapper malgré l’irritant de la situation. Mais cela exacerba encore plus leurs poursuites et leurs motivations. Ils en arrivent à exercer une surveillance des pacifiques canadiens, anglais et espagnols qui reçoivent nos lettres, comme s’ils étaient nos complices.
C’était plus que ce que nous désirions. Nous ne pouvons pas consentir que par notre faute les hommes de la Terre souffrent d’un encerclement inhumain par leurs propres frères et nous n’avions plus qu’à limiter nos contacts.
Pendant ce temps les hiérarques de l’Agence des États-Unis se demandaient intrigués, pourquoi » étant nous » un groupe d’espions (naturellement ils ne pouvaient prouver de quel pays), nous nous masquions en nous faisant passer pour des extraterrestres (paradoxe qui, en bonne logique, est insoluble si on se pose la question sur un mode rationnel).
Un moment critique se posa quand, en Espagne précisément, mes frères ne trouvèrent pas d’autre meilleur allié qu’une pauvre dame, votre sœur résidant à Albacète, d’un certain de degré d’aliénation mentale. (Ce qui apparemment constitue une excellente couverture, mais plus tard il n’en fut pas ainsi). La protection de cette dame – que personne n’arrive à savoir que nous étions d’UMMO ! – amena à mes frères des malheurs sans nombre. Une de ses servantes fit circuler dans certains milieux de la ville l’information que nous vivions dans le sous-sol et, pour comble de malheur, des préparations virales dont mes frères gardaient jalousement la culture, subirent par sa faute une diffusion infectieuse, qui aurait pu apporter à l’humanité de la Terre (par notre faute) des conséquences terriblement catastrophiques. Cela dériva en une opération rocambolesque de mes frères qui parvint à émerger dans les pages des média de diffusion de l’époque
Le second moment critique surgit quand nous eûmes l’information de la sinistre opération que les hiérarques nordaméricains préparaient. Ce fut depuis le fameux rapport secret qui expliquait que l’Union soviétique se trouvait en ce moment à un niveau accusé d’infériorité logistique par rapport aux États-Unis. Quelques experts estimaient que c’était le moment adéquat pour déclencher une offensive nucléaire et abattre d’un coup la puissance de l’URSS. Mes frères connurent la réunion secrète au cours de laquelle le président Nixon de mauvais grè donna le feu vert au projet. Nous étions atterrés. La première décision de prise allait dans le sens de gagner nos nefs et de quitter l’astre froid. Plus tard, le projet fut reconsidéré. Nos bases étaient aptes à résister à une conflagration de ce type, mais un problème de conscience se posait à nous : Comment abandonner nos amis de la Terre ? Nous décidâmes, malgré le risque que supposait le fait, d’offrir enfin une preuve objective de notre existence, en offrant dans différents pays nos bases souterraines pour qu’ils s’y réfugiassent. Aucune attaque, mais le président déclara, comme vous le savez, une alerte atomique à la date que nous annoncions et – en cela nous offrions une preuve très suspecte que nous étions plus que ce que nous voulions paraître… Le mythe UMMO se rendait déjà insupportable pour nous. Vos frères ne savaient pas garder le secret de notre existence, et nous nous vîmes obligés de cesser les contacts en France et en Espagne.
Ceci, monsieur, est la synthèse de nos relations avec vous. Je vous demande instamment, monsieur Luis Jiménez Marhuenda, de faire passer nos notes, en guise de salut fraternel, aux personnes suivantes, vos frères espagnols, qui ne nous oublient pas, vous donnant le domicile de l’une d’elles pour que, par son intermédiaire, ma lettre arrive à eux.
Messieurs espagnols : DIONISIO GARRIDO BUENDIA, calle Huesca 29 4° D Madrid, RAFAEL FARRIOLS CALVO, JUAN DOMINGUEZ MONTES, FRANCO MUELA PEDRADA, JOAQUIN MARTINEZ ANDRES, ENRIQUE VILLAGRASA NOVOA, ANGEL DEL CAMPO, FRANCES ALICIA ARAUJO, FERNADO JIMENEZ DEL OSO, ANTONIO RIBERA JORDA, ENRIQUE LOPEZ GUERRERO, JORGE BARRENECHEA, ALBERTO BORRAS GABARRO, HILTRUD NORDLIN FRANZ, FEDERICO GUIBERNAU
Cette liste serait interminable, si elle incluait vos autres frères à qui nous pensons ; pour eux notre gratitude émue et notre espérance. Mais j’espère que spécialement les personnes citées ne nous en voudront pas de leur faire passer de cette façon notre salut spécial.
Et vous, recevez en même temps notre accolade de paix et nos respects. Nous vous connaissons parce que, dans la ville où vous résidez, vous parlez élogieusement de notre existence, et cette rumeur est arrivée à notre oreille. Votre esprit ouvert et courageux mérite notre respectueuse considération. Notre noble salut à votre noble épouse et à ceux qui sont aimés par vous. Notre salut s’étend également à tous les humains de la Terre.
Monsieur, Je vous demande de faire savoir à votre frère ENRIQUE LOPEZ GUERRERO, qui réside comme prêtre à MAIRENA DEL ALCOR (SÉVILLE), que nous avons vu son texte dans lequel il a eu la gentillesse de mentionner et de transcrire nos rapports. Il est vrai que son geste réalisé des années auparavant nous porta préjudice. Aujourd’hui ce risque est quasi pratiquement inexistant, puisque il nous est prouvé que son geste n’a pas perturbé le réseau social. Personne, hors un secteur réduit de la population, n’est disposé à croire en notre existence, et cela est bon pour le réseau social.
Communiquez également à votre frère ANTONIO ALBALADEJO de (MURCIA) que nous envisageons de lui écrire un bref rapport. ummo-sciences: D116 | T12-2à5
D117
Référence : | D 117 |
Titre | Localisation de la basse Ummite au Danemark |
Destinataire(s) et date(s) | AGUIRRE le 5/6/79 |
Commentaires | Une lettre, et trois pages, l’original contenant les informations censurées |
UMMOAELEWE
1 copie
Langue : Espagnol
MADRID-( Espagne)
Cher Monsieur,
Je suis EIEEUEE 7, fils d’EIEEUEE 5, en compagnie de deux de mes frères, je suis en Espagne en ce moment. Nous sommes plus exactement dans une base située aux alentours de Madrid, dans une Sierra, ce qui nous donne la possibilité d’aller de temps en temps dans d’autres villes comme Madrid, Torrejon de Ardoz, et Segovia.
Personnellement, j’étais déjà venu auparavant en Espagne, où j’ai pu me familiariser avec le langage de ce pays. Je suis l’équivalent de ce que vous appelez un « zoologue », et je dois analyser les déplacements de certaines espèces d’orthoptères , venant d’Afrique et de pays d’Europe, vers l’Espagne . Pour cette mission, nous nous servons de marqueurs radioactifs, et ces instruments de haute précision nous servent à trouver ces espèces où qu’elles puissent se trouver.
Avec mes frères, nous n’étions plus sur Terre pendant un temps assez long.. Notre retour se fit il n’y a pas si longtemps, dans un lieu du Danemark ; Nous y avaosn installé notre base centrale , ainsi qu’une autre à Berlin.Nous ferons des études pendant notre court séjour sur Terre : Analyses des cultures nordiques, entomologie européenne, et aussi, une étude de l’évolution socio-économique des pays occidentaux durant ces dernières années…Nous étudierons aussiles Ethnies sud-américianes, et les enzymes dans les tissus hématopoïetiques.
Mes frères sont peu nombreux dans cette expédition. Nous n’avons également que très peu de temps devant nous, les contacts avec les humains de la terre seront ainsi écourtés. Veuillez nous excuser pour cela..Recopier cet envoi ne serait pas correct, mais vous pouvez cependant la lire aux frères qui vous paraitront dignes de confiance. Certaines données qui la composent , en étant lues par des experts en Physique appliquée à l’élaboration d’armes pourraient être appliquées à des fins non pacifistes.
Monsieur, dès notre arrivée sur terre, deux de mes frères sont allés jusqu’en (censuré) pour faire une étude en vue de relations de ce grand pays avec l’Occident. Ce genre de voyage représente pour nous des risques, étant donné nos grandes différences faciales entre mes frères et les oemii (HUMAINS) de ce pays. A partir de bases secrètes, dans les montagnes de (censuré), nous pouvons orienter nos instruments détecteurs pour différentes observations ;
Nous avons pu de cette façon, voir le développement technologique, dans une partie très spécialisée de l’armement moderne dont disposent les terriens.
Monsieur, j’ignore si vous prendrez comprendrez la gravité de l’information que nous allons vous dévoiler (censuré).
Nous pourrons donner une valeur de l’ordre de 60%, alors que les USA et l’URSS donneraient un chiffre de valeur inférieur à 7%.
Je vous parle des armes au plasma, et je vais vous faire un résumé de ce concept.
Ainsi que vous le savez,le plasma est un état gazeux, caractérisé par le fait que les molécules d’un élément chimique sont partiquement dépourvues de leur couche électronique.Les températures peuvent être très élevées au cœur des plasmas. Ainsi, une « bombe » de plasma n’est pas, contrairement à ce que son nom pourrait le démontrer , un explosif..
C’est en réalité un dispositif pourvu d’une sorte de rayonnement de quanta d’énergie, susceptibles de faire monter la température de masses énormes de gaz, jusqu’à ce qu’elles arrivent au niveau du plasma.
Normalement, la masse de gaz qui atteint cet état est proportionnelle à l’apport énergétique, et comme il ne peut atteindre des concentrations spatiales élevées, le volume du gaz affecté ne peut atteindre lui aussi des niveaux importants.
Cependant, nous avons également trouvé la nature intime de ces particules subatomiques.
On peut convertir une séquence d’électronsen un intervalle d’espace . ( Nous concernant, l’espace est quantifié)
Simplement en effectuant des rotations, nous pouvons changer également des sousparticules atomiques en d’autres.
Il peut également être possible de transformer un Hadron en un Lepton et vice versa.
On peut également changer la masse en charge électrique et apporter ainsi l’énergie à un système de leptons depuis un cadre spatio-temporel différent, en forçant la loi de conservation de la masse et de l’énergie que vous formuleriez de cette façon.
« La somme de la masse et de l’énergie à l’intérieur de n cadres spatio-temporels (univers) EST CONSTANTE ; »
Je ne crois pas que dans l’univers dans lequel vous et nous, sommes maintenant, un accroissement de masse se fasse aux dépens d’une perte analogue en énergie et inversement. Pour les réactions naturelles que vous avez découvertes, c’est vrai (Fission, fusion, avec un rendement de 100% dans la désintegration par interaction Matière-Antimatière,cependant, on peut provoquer un processus de réaction en chaîne, dans lequel l’espace d’un cadre tridimensionnelA serait transformé en ENERGIE, apportée à l’ensemble d’atomes correspondant à un cadre tridimensionnel A 2 ( c’est le nôtre)
(censuré)
En utilisant une image, vous imaginez l’effet, comme si les deux continuum spatio-temporels A et A 2 étaient séparés par une membrane symbolique ou idéale.
(censuré)
La membrane en question, « en se perforant », laisserait fuir de L’ENERGIE qui mettrait en vibration les noyaux atomiques situés en A 2 et aux environs de cette « déchirure ou perforation ». En réalité il ne s’agirait pas d’énergie proprement dite dans la perspective d’un observateur situé en A 1. Nous appelons IBOOZOO UU des entités dont la suite est reliée entre elles par diverses rotations angulaires. Elles peuvent présenter des caractéristiques énergétiques de masse ou d’espace, dépendant des rotations correspondantes aux éléments de cette séquence. Avec un minimum d’énergie mise en jeu (la majeure partie de celle-ci correspondant à (censuré), On peut provoquer une réaction en chaîne qui transformeraient des milliers de kms cubes de l’atmosphère terrestre proche ou contiguë à celle ci en plasma très élévé en température .
La France serait détruite en quelques secondes par un tourbillon de feu.
L’air , jusqu’à une altitude de 2 à 14 kms serait transformé en plasma. Son contenue en azote, en oxygène, ou les deux, pourraient provoquer la réaction.. L’expansion brusque en raison des gradients thermiques très élevés perturberait l’atmosphère d’une manière impressionnante , sur les pays voisins, affecterait gravement le pays attaquant. La vie et les structures matérielles du pays attaqué cesseraient d’exister, alors qu’elles seraient gravement endommagées dans le second. Les armes nucléaires que vous connaissez deviendraient peu de chose face à cette arme terrifiante que mes ancêtres ont connue mais en parvenant à ne jamais l’utiliser
(Feriez- vous la même chose ? )
Vous ne connaissez pas nos modèles physiques de l’univers basés sur les IBOZOOUU, mais quand vous arriverez à les connaître, de telles transformations de plasma seront un corollaire supplémentaire à partir desdits schémas. Il est curieux d’observer de ce fait, comment les scientifiques de (censuré) sans avoir d’idée de la vraie nature de la matière, telle que nous la concevons.
Une série de travaux qu’ils réalisèrent dans le domaine des très hautes pressions en fut la raison, travaux qui les menaient à la comprehension de la nature du neutron ( un état de la matière normal dans certaines étoiles de densité élevée)
D’un autre côté (censuré) …………………………………………………
Monsieur, ne comprenez pas par ces phrase que (censuré) sont arrivés à l’ARME DE PLASMA, mais que mon affirmation est celle-ci: (censuré) [ …………………………….. …………………………….. ……………………………………….]
Par là je vous disais au début de ce document qu’un effort ou le simple hasard peut vous mettre sur la bonne piste, sans que cela suppose que tant I’URSS que Ies USA peuvent avancer facilement étant donné que (censuré)[. .. . . . . . . . . . . . . . ].Les implications politiques, je crois Monsieur, ne vous sont pas cachées.
Et ainsi, le centre du pouvoir international se déplacerait vers l’ASIE , si cetta arme tombait dans les mains de cette nation très puissante..On ne peut prévoir les conséquences de la nouvelle structure des forces géopolitiques pour les terriens..
Les partis politiques espagnols tels que (censuré) passeraient rapidement au premier plan
(censuré)
Le cauchemar le plus terrifiant ne serait rien face à cette menace .
Jusqu’à maintenant, on peut dire que les armes les plus puissantes que vous possédez sont les MARV, ou projectiles balistiques , avec véhicules de rentrée dans l’atmosphère, maniables dans la dernière phase (avantage à l’URSS en ce qui concerne ce plan les ogives placées sur des Satellites, projectiles de croisière en vol rasant à peu de mètres d’altitude pour échapper aux faisceaux des radars (Les USA ont l’avantage sur celui-ci), l’émission de particules chargées de hautes énergies pour l’interception de projectiles. Les trois premieres peuvent être porteuses de têtes thermonucléaires de Fission-Fusion-Fission.
Monsieur. Dans une précedente lettre, que nous destinions à un de vos frères en Espagne, nous parlions à l’une de vos sœurs, ignorant son décès. C’est en cherchant son adresse actuelle, que nous avons appris il y a peu, sa disparition. Nous comptons sur vous pour faire parvenir à ses frères l’expression de notre profonde tristesse, ainsi qu’une demande de pardon pour cette erreur.
.
D118
[[Catégorie:Terriens]]
»’Situation socio-économique chaotique UMMO ne peut intervenir »’
Date :26/04/80
Destinataires :Monsieur Barrenechea
Notes :
UMMOAELEUEE
Langue: Espagnol
Copies: quatre
ALBACETE-MARSEILLE-OSLO-MONTREAL.
Tolérez que ne nous immiscions pas dans vos vies privées pacifiques en vous perturbant avec une nouvelle lettre. Monsieur de la Terre : bien que nous ayons répété ce geste avec trois autres de vos frères de France, Norvège et Canada, nous désirons vous exprimer – et aux autres de vos frères d’Oyaagaa – notre tristesse pour le décès de votre frère Jean-Paul Sartre. Son cerveau fut l’un des plus exeptionnel que nous ayons détecté chez les hommes vivant dans l’intervalle durant lequel nous avons visité votre astre froid.
Nous ne pouvons élaborer une apologie de nombreux aspects en relation avec son idéologie fluctuante que nous considérons formellement erronée, nous regrettons que, comme beaucoup de vos penseurs contemporains, il ait rejeté la thèse de l’existence d’un créateur (Dieu où WOOA), et que son dernier mode de vie l’inclina vers des positions proches de la pensée ANARCHISTE. Mais. Que peuvent faire des scientifiques honnêtes et des vrais philosophes qui observent comment le nom de Dieu est utilisé pour masquer les crimes les plus odieux contre le droit des gens et que les grandes structures de la religion se sont converties en empires économiques contribuant aux terribles injustices sociale que vous endurez ?
Mes frères – qui actuellement réalisent une analyse exhaustive des modèles socioculturels et socioéconomiques qui régissent l’évolution du réseau social Terre – ont été impressionnés par l’étude lucide et profonde que Monsieur Sartre a réalisé en captant tout son drame la terrible solitude de l’humain incapable d’établir des liens plus stables qui l’intègrent dans son réseau, et la tragédie des OEMII de la Terre, opprimés par une société non solidaire, qui se débattent dans les brumes d’une sphère émotive sauvage et déséquilibré.
Quand certains de vos frères qui nous connaissent, Monsieur Jorge Barrenechea, nous interpellent ainsi : pourquoi vous, qui dites venir d’une autre planète, ne nous donnez-vous pas la formule pour sortir de ce marécage ?.
Nous désirons avec ferveur vous offrir une réponse, peut-être frustrante mais cohérente, avec une logique qui vous soit familière.
Examinez la question : des frère au cerveau privilégié comme Marcuse, Fromm, Paul Lanchars, Sartre, Russell ont indiqué avec beaucoup de clarté les racines des maux qui corrompent la structure sociale de la Terre. Vos frères aussi, comme Jean XXIII, Granchi, Heldeer Camara, Che Guevara, Romero, Camillo Torres, Theilhard de Chardin, Ghandhi, Marx, Mao Tsé Toung, ont apporté avec leur idéologie un appel angoissé aux autres Oemmi de la Terre; tous ont compris que baser le bonheur sur un modèle socio-économique de consommation enfoncerait le reste de l’ensemble social dans la frustration et le désespoir. Mais qui donc les a suivis? Une grande fraction du réseau a préféré suivre Hitler, Pinochet ou un modèle aussi inhumain que celui des États-Unis, ou se courber sous le joug bureaucratique des États totalitaires d’économie socialiste dogmatique.
Monsieur Jorge Barrenechea: il n’existe pas de formule magique et mystérieuse pour faire sortir du chaos, en un temps court, un réseau social et le convertir en système composé d’êtres biologiques purs et heureux.pour chaque stade d’évolution d’un phylum biologique qui a acquis un système de signaux (SYSTÈME NERVEUX) suffisant pour traiter l’information et élaborer des réponses intelligentes (réseau d’OEMMII), il existe seulement un modèle optimal d’organisation sociale qui optimise aussi leur bien-être psychologique et matériel, mais si l ‘aveuglement de ses composants choisit un autre modèle éloigné de celui-ci, illogique, destructif, à cause de ses caractéristiques corrosives pour la stabilité du réseau, même si en ayant devant ses yeux une critique constructive et intelligemment élaborée par des cerveaux plus développés, quelle solution serait alors possible ?
Des milliers de voix se sont élevés en dénonçant la honteuse oppression dont soufrent vos frères inclus dans un environnement pauvre, des milliers de voix comme celle de l’intelligente YIE de Sartre, Simone de Beauvoir, se sont élevés en dénonçant la honteuse et très dangereuse oppression que les mâles de la Terre, en se basant sur leur brutale force musculaire, maintiennent sur la femme de la Terre, et très grave facteur du déséquilibre social à notre avis : qu’avez-vous fait, vous, humains de mentalité plus progressiste si ce n’est de continuer à violer les droits de la YIE et à mépriser au niveau inconscient les corps humains (plus développés physiquement et moins dotés de capacité intellectuelle) ? Comment pouvez-vous alors condamner vos autres frères d’idéologie plus rétrograde ?
Vos frères, Monsieur, nous demandent des SOLUTIONS :
Si votre ami Monsieur Jorge rejette la banane que vous lui offrez, pourquoi réclamer, avec une irrationnelle inconséquence, qu’un être extraterrestre lui offre une autre, d’aspect et de goût identique à celle qu’il a refusée?
Bien : nous sommes conscients Monsieur que le problème est plus complexe et que cette dernière parabole ingénue, si simpliste, ne le clarifie pas nettement.
Procédons en analysant synthétiquement la question. En principe nous pourrions, nous , ou une des autres civilisations de provenances galactiques avec un niveau de développement plus élevé qui sommes en train de vous observer, vous apporter un important volume de données qui théoriquement serviraient pour améliorer votre niveau de vie, réduire les terribles tensions internes et permettre de développer un modèle politico-économique basé sur des prémisses scientifiques.
Comme exemple de semblable apport nous pourrions corriger les graves erreurs dans l’estimation des variables économiques intégrées dans les modèles de Forrester Mead présentés devant le Club de Rome, qui offrent une image fortement dénaturée du futur économique de la Terre…
Nous pourrions vous offrir la clé pour l’obtention d’une énergie propre par fusion nucléaire, vous offrir un modèle primitif du système (intraduisible) que nous appelons IBOZZOOAEWEEA qui permet de reconvertir un intense faisceau de neutrons Pi obtenu de façon très simple dans un grand flux énergétique.
Nous pourrions vous apporter la solution dans chaque cas pour la synthèse à coût réduit de protéines et lipides comestibles qui réduiraient immédiatement l’horrible spectre de la faim lequel vous attend dans les années à venir si vous n’arrivez pas à réduire vos taux d’expansion démographique.
Nous pourrions vous offrira la technologie nécessaire pour produire par fusion nucléaire et presque sans dépense énergétique (la synthèse) nucléaire de métaux basiques.
Nous pourrions vous fournir la technologie indispensable pour éradiquer la genèse des tissus cancéreux et la totalité des maladies d’étiologie infectieuse résistantes même à la chimiothérapie d’Oyagaa.
Pour ne pas être ennuyeux, nous interrompons dans ce bref rapport l’échantillonnage que sans doute nous serions capables de vous remettre gracieusement mais nous voyons avec stupeur que vous ne paraissez pas vous apercevoir avec clairvoyance des conséquences que cette apparente prodigalité charitable entraînerait. Arrêtez-vous pour examiner, Monsieur Jorge Barrenechea, la situation actuelle de la Terre. Dans son réseau social d’aujourd’hui existent deux secteurs clairement différenciés , je ne vous révèle rien de nouveau avec ceci. L’un très minoritaire et bien sélectionné, est formé des » DÉTENTEURS DE L’INFORMATION « . Quasiment tout le patrimoine de données avec laquelle l’humanité de cet astre froid compte aujourd’hui est MANIPULÉ par les CLASSES DIRIGEANTES (militaires, politiques, techniques, scientifiques) et en particulier par les détenteurs des moyens de production. Il faut que vous n’oubliiez jamais que POSSESSION DE L’INFORMATION = POUVOIR. Car il y a parmi vous d’ingénieux analystes qui pensent plutôt au binôme POUVOIR – ARGENT et il est évident qu’il n’est pas ainsi. Une autre question est qu’en atteignant le pouvoir au moyen du monopole de l’information, ils obtiennent de monopoliser les sources d’un développement économique plus important.
En second lieu nous contemplons le second secteur de l’immense majorité du réseau social. Une énorme masse de population, incapable de traiter les informations, de les comprendre, de les ré – élaborer et les utiliser intelligemment. Je suis peiné, Monsieur, que vous ne vous soyez pas rendu compte que la technique la plus sophistiquée et cruelle utilisé par le premier groupe réside dans l’aliénation du second majoritaire et sans défense intellectuelle.
Comment se réalise cette perturbation de vos faibles mécanismes intellectuels ? Simplement en injectant dans vos cerveaux des courants de pensée basés sur des patrons magiques et irrationnels. Pendant que les détenteurs du pouvoir avec une astuce délibérée, monopolisent la technologie et sont dirigés par des patrons de logique scientifique, des milliers d’OEMII de la Terre se laissent intoxiquer par des superstitions, par des idées pseudoreligieuses, par des mythes irrationnels, fomentés depuis les centres de pouvoir détenteurs des moyens de diffusion, la dispersion de doctrines absurdes, de conceptions anti-scientifiques de l’univers, de l’occultisme sous toutes ses formes, en faisant taire les rares voix qui se risquent à dénoncer de telles déformations de la logique.
Parce que naturellement votre science est encore faiblement développée et se trouve en phase d’accumulation d’erreurs et de modèles encore insuffisamment aiguisés concernant le comportement de la matière inerte et de la biologie, mais le plus absurde et le plus psychopathologique est la somme des idées délirantes que les détracteurs de la science terrestre diffusent devant la joie mal contenue des composants du premier groupe qui observent avec délectation que, pendant que les masses sont droguées avec ces courants de pensée magique, elles ne seront pas capables de TRAITER L’INFORMATION.
Vos frères qui font partie du premier groupe, détenteurs de pouvoir, sont-ils malveillant ou sadiques ? Notre conception est différente. Ce sont seulement des être malades qui profitent de leur développement neurocorticoencéphalique pour se défendre des moins doués. Interviennent ainsi des processus et mécanismes ancestraux et viscéraux d’auto – défense d’origine animale, que vous appellez égoïsme ou psychopathies asociales et criminelles. La dénomination est sans importance, une simple question sémantique. Le plus grave est que ces intelligents mécanismes défensifs intelligents les poussent à s’approprier l’information, la manipuler, la corrompre, en contrôlant ainsi la technologie et avec elle les moyens basiques de production ; de cette manière et ils se droguent eux-mêmes dans un bien-être hédoniste et mènent le reste de l’humanité vers le chaos.
Compte tenu des considérations précédentes reconsidérez le problème en prenant de la hauteur. Imaginez que nos humains de l’Astre Ummo rassemblent pour vous ce volumineux dossier de données techniques qui apparemment vont apporter la libération du réseau social.
À qui le remettre ? À un humble paysan, un moine bouddhiste, un modeste professeur d’université qui ne serait pas capable de décoder un cumul de données si complexes et ne disposerait pas des données pour aboutir à leur application pratique.
Imaginez-vous, Monsieur, à qui ira au bout du compte tout ce précieux dossier. Supposons que vous nous vous le confions à vous, homme du Canada, de l’Espagne, de France, de Norvège, nos amis qui croient en notre existence avec un certain niveau de fiabilité. Le garderez vous dans un coffre-fort en le rendant stérile ? Et si vous le publiez en fascicule entre vos amis de la magie et de l’occultisme, à quoi servirait-il ?
Le plus probable est que finalement il arrivera au pouvoir de cette unique oligarchie capable de comprendre et de l’utiliser et : Que pensez-vous qu’elle en fera ? Vous êtes si ingénu, Monsieur, que vous croyez même qu’ils vont l’utiliser au profit du réseau social !
Quelques-uns de vos frères, conscients de leur monstruosité, élaborent un modèle économique de libre marché capable de brûler des tonnes de blé pour que se maintiennent les prix et favoriser ainsi quelques-uns au détriment de millions d’enfants mal nourris. Ils sont capables d’amener l’astre froid au bord de l’hécatombe nucléaire pour défendre l’un des leurs, un psychopathe criminel comme Mohammed REZA, ex chah d’Iran, pour la simple raison qu’il détient un des plus grands pouvoirs économiques, obtenu en spoliant ses frères. A qui confier notre dossier ? Que croyez-vous qu’ils feraient avec cet apport technologique ?
Voyons divers exemples :
Comment utiliser nos techniques des hautes résolutions qui permettent la mutation d’une séquence de polynucléotïdes au sein d’un noyau cellulaire ? Pour éradiquer le cancer comme nous l’avons fait ? Et qui nous le garantira ? On ne vous le dira pas crûment ; avec cette technique on développerait de nouveaux micro-organismes pathogènes autorésistants pour les utiliser dans une possible confrontation guerrière de caractère bactériologique ou, ce qui est pire, pour synthétiser des êtres hominoïdes quasiment décérébrés qui serviraient comme esclaves dans leurs chaînes de production.
A quoi servirait de vous confier une structure de 2070 équations capable de préparer un modèle de comportement futur d’une grande famille de variables: expansion démographique, accroissement des investissements, ressources naturelles, pollution du milieu, consommation énergétique, pour élaborer un ordre économique international non basé sur le libre monopole des moyens de production mais sur une juste répartition des ressources ? Ne soyez pas si ingénu ! Cette matrice serait immédiatement utilisée par des états aussi néfastes que les États-Unis, Israël, le Japon, l’Allemagne fédérale, pour dominer les marchés extérieurs en se battant entre eux et en marginalisant encore plus les misérables pays du Sud.
Et à qui croyez-vous que bénéficieraient nos schémas pour l’obtention de l’énergie de fusion ? À la république de Guinée ? Avec quoi construira-t-elle les réacteurs magnétohydrodynamiques de plasma ? Avec de la pulpe de cacao ? Ou au Kenya, avec des écorces de cacahouèttes ?
Pensez par exemple à une situation hypothétique. Nous livrons en secret à votre frère Luis Jimenez Maruhenda un équipement technologiquement conçu pour soigner n’importe quelle forme de leucémie. Nous pouvons construire pour vous un dispositif ainsi conçu, bien que notre système de thérapie utilise d’autres voies. Votre frère, enthousiasmé par la générosité de mes frères d’Ummo, lance un appel ému sur les ondes et des milliers de malades rejoignent son centre urbain. Combien de temps pensez-vous qu’il gardera en son pouvoir un appareil de ces caractéristiques, dont l’examen pourrait apporter un impressionnant volume d’informations ?.
Avec une profonde tristesse, Monsieur Jorge, nous vous confessons notre impuissance à vous aider; ce n’est plus la violation d’une éthique qui nous retient d’interférer dans votre évolution, bien que nous violenterions cette éthique. Comment franchir les autres barrières ? Cela nécessiterait d’abord de reconvertir toute l’industrie avant de pouvoir utiliser notre technologie. D’où obtiendrez vous les énormes apports de capitaux pour ceci ? Qui tolérera que le pouvoir passe en d’autres mains ? Vous devriez vous opposer à toute la puissance nucléaire de certaines nations qui avant de perdre cette puissance, réduiront en cendres nucléaires votre OYAGAA.
Monsieur ; si dans ces courtes pages nous avons résumé toutes ces difficultés, vous pouvez supposer le cumul des problèmes que nous pourrions présenter si nous faisions une analyse plus complète du problème. C’est pourquoi quand vous nous suppliez » Venez, hommes de l’espace extérieur, pour nous aider » vous me déchirez le cœur.
Des hommes comme celui qui vient de mourir ont la solution. Il y a longtemps un frère d’origine divine vous en a apporté d’autres et : qu’en avez-vous fait ? Vous avez transformé les sublimes apport de Jésus en un cumul d’idées superstitieuses avec le soutien de gigantesques structures ecclésiastiques dédiées au lucre. Vous avez transformé les intelligentes idées de Marx et de Mao en de gigantesques structures bureaucratiques, plus attentive à se défendre de leurs ennemis et à imiter les modèles de consommation occidentale qu’à obtenir cet idéal socialisant et sublime de leurs dirigeants. Vous assistez stupéfaits au spectacle d’un état qui se dit juste et socialiste, violant le droit d’indépendance d’un pays arabe voisin, pendant que le cynisme criminel de leur antagoniste, qui, des années auparavant massacra le peuple du Vietnam, lance d’hypocrites cris de douleur. Vous êtes gravement malades amis de la Terre; Nous assistons impressionnés et attristés à ce qui peut être l’holocauste final du réseau social de la Terre. Nous n’osons même pas conseiller, nous craignons que n’importe quelle parole soit mythifiée, distordue, corrompue, frivolisée. Nous vous voyons vous diriger en chantant, en jouant, en vous amusant comme des enfants inconscients, vers une décharge de déchets nucléaires. Que Woa s’apitoie sur vous !
Monsieur : pardonnez-nous à nouveau le discours décousu de cette lettre. Mon désir cette fois est que vous saluiez particulièrement votre intelligente épouse comme représentante des autres YIE, en vous demandant de nous permettre le geste symbolique d’appuyer notre main sur sa noble poitrine, ce désir spécial à une signification spéciale dans ce document. Nous voulons, avec ces paragraphes, élever notre désaccord et notre répulsion la plus ferme et coléreuse, notre protestation la plus dure et condamnante (jusqu’au point que vous pouvez tolérer de notre ingérence), pour la continuelle agression et violation que les hommes de la Terre, quasiment sans exception, imposent à leurs compagnes biologiques qui, dans de grandes proportions, dépassent en abnégation, intelligence et capacité de compréhension leurs brutaux oppresseurs.
D119
Langue : espagnol
Nombre de copies : UNE
ALBACETE, ESPAGNE
Ne touchez pas cette lamelle avec vos doigts
Monsieur Luis Jiménez Maruhenda :
Permettez moi d’intercéder pour que vos frères et vous nous permettent d’appuyer nos mains sur vos poitrines, accomplissant ainsi un geste symbolique qui invoque paix et respect mutuel profond.
J’ai pris le risque, monsieur de violer votre tranquillité en vous remettant par voie postale ces lignes dactylographiées qui résument l’information sur la récente rencontre entre frères humains, organisée par vous sur le thème d’UMMO.
Acceptant une invitation cordiale formulée par vous, deux de nos frères masculins se déplacèrent depuis Albacète jusqu’à l’immeuble ou se donnèrent rendez-vous vos frères pour cet événement consacré à notre civilisation. Il ne nous était pas possible de solliciter une mesure de faveur, vous comprendrez parfaitement le très grave trouble et la curiosité que cela aurait provoqué. Il ne nous fut pas difficile, d’autre part, de pénétrer dans l’enceinte et mes frères se fondirent parmi les assistants, bien qu’ils purent seulement rester trois heures et quarante deux minutes, temps suffisant pour placer dans la salle des appareils de petite taille pour la prise d’information visuelle et sonore ; nous avons pu aussi appliquer sur l’épiderme d’onze humains (six femmes et cinq hommes) des sondes pour mesure des paramètres physiologiques. Ces polytransducteurs, qui tiennent dans un volume minimal de 2,4 mm3, s’appliquent sur la peau au moyen d’un composé visqueux ni agressif ni gênant pour le porteur et, s’il s’en aperçoit, ils se confondent facilement avec une particule carbonnée adhérant occasionnellement avec du mucus, ce réseau et son module central de réception de données correspondant, de codage et de transmission ultérieure, fut l’unique système que nous utilisâmes pour suivre les événements au cours des séances.
Le mercredi deux avril, un de mes frères retourna récupérer une partie de l’équipement utilisé qui, pour des raisons tenues secrètes, ne jouissait pas de son autonomie de déplacement aérien pour mesure à distance.
Nous avons attendu de disposer de temps pour analyser le volume des données rapportées ; dans cet Uiw nous avons disposé aussi d’un schéma, ce qui me permet de vous écrire.
Monsieur Luis Jiménez : Permettez moi d’exprimer notre grande tristesse et notre amertume, jointe à la frustration subséquente, que l’analyse citée a provoqué chez nous tristesse et déception en constatant une fois plus le mal que nous vous avons infligé (bien que, croyez-moi monsieur de la Terre, cela n’a jamais été notre intention de vous perturber si gravement). Comme si vous, hommes d’OYAAGAA, ne souffriez pas déjà de très graves problèmes d’ordre socioéconomique et politique. Pendant qu’ils se débattent, angoissés, dans les râles d’une civilisation qui se lézarde dans des traumatismes, un réseau social qui était proche d’accoucher (dans un prochain accouchement dramatique avec des effets thanatogènes) d’un nouvel ordre de structures sociales à échelle planétaire de la Terre, nous, avec une bonne foi indubitable mais avec une maladresse que nous déplorons, avons généré pour un groupe réduit d’hommes, un nouveau flot de problèmes, d’attitudes génératrices de querelles entre frères, de méfiances mutuelles, de tentations dangereuses d’adorer notre culture Ummoao, de douloureuses attaques psychologiques mutuelles entre quelques frères, qui laisseront comme séquelles un plus grand accroissement dans un degré déjà élevé de haine latente et inconsciente, de peurs obscures mystifiées par de fallacieuses illusions.
Il est triste, sans doute, de penser que le détonateur de ce dangereux processus expansif est personnalisé par un groupe de mes frères.
Vous rappelez-vous que, dans les paragraphes des précédents rapports, nous évoquions les risques inhérents qu’entraîne toute interférence d’un réseau social aliénoplanétaire dans le processus évolutif d’une autre structure sociale humanoïde ?
Si à petite échelle vous avez été témoins des premiers troubles, qui comme des bulles dans un milieu fluide marécageux, firent une éclosion fétide, et cela malgré les doutes prudents et les soupçons sur notre propre identité, qu’arriverait-il si, dans un geste démentiel, nous osions nous manifester clairement à l’échelle internationale ?
Vous devez essayer de comprendre, monsieur Luis, le cadre dans lequel se déroulent ces réactions. Les humains d’OYAAGAA ne possèdent pas encore une organisation corticoencéphalique adéquate qui leur permette de trouver leur propre identité en assumant son ajustement dans la société pour la structurer de façon plus harmonique, comme l’ont fait d’autres biosphères planétaires dont la nôtre de UMMMO.
Les déséquilibres déchirants de ce pseudo ordre social apportent une immense charge de souffrances pour vous tous, et nous nous sentons saisis d’effroi, impuissants à remédier à l’énorme quantité de douleur et de souffrance mentale que vos frères expérimentent, plongés dans ce semichaos.
L’humain de la Terre est un véritable malade, ses fonctions psychiques complexes sont aussi anormales que celles d’une machine mal conçue. Vous humains savez que le vecteur conduite est la résultante d’une riche gamme de composantes, parmi lesquelles priment : un codage génétique en chaînes de polynucléotides, une information codée dans le tissu neuronique des hémisphères encéphaliques par action des afférences de données au cours de toute la vie, depuis sa mise en place dans l’utérus maternel, et les processus d’élaboration de modèles mentaux à partir de cette information stockée, plus la pression que dans l’UIW du délai de prise de décision, il y a la pression exercée par le milieu social et physique extérieur, le milieu biochimique interne, l’action physicochimique de toutes les structures anatomiques sur les noyaux cérébraux. Tout cet ensemble de facteurs détermine des modèles de conduite possibles, possibles mais malheureusement pour vous très réduits en nombre, de cette façon vos degrés de liberté sont saturés et limités. Quand au moyen des transferts d’atomes de krypton votre entité spirituelle doit choisir entre ces options parfois une seule option apparaît comme possible, engendrant une véritable réaction déterministe. L’humain d’OYAAGAA se comporte parfois comme un robot conditionné par les implacables pressions du milieu interne et externe, sa conduite se transforme ainsi en simples réactions réflexes.
D’autres fois l’OEMMI doit choisir entre des conséquences très erronées, modelés par des processus corticofrontaux défectueux et par l’action intensément perturbatrice d’un réseau endocrinien inharmonique. Cet aspect a une valeur que vous ne soupçonnez pas: l’importance que cette chaîne de composés biochimiques représente pour l’élaboration de la conduite humaine n’a pas été mise en évidence par les embryologistes de la Terre.
(Nous appelons réseau endocrinien, traduisant un vocable de notre langage, un ensemble lié de fluides et de concentrations ponctuelles de toutes les substances que vous appelez hormones présentes dans le milieu liquide tissulaire, sanguin, lymphatique, liquide cérébrorachidien, etc de l’enceinte somatique).
La sécrétion de quelques picolitres d’aldostérone associé à une augmentation inférieure à un millionième du taux antérieur d’ocytocine en relation avec le précédent, peut provoquer des polarisations radicales dans la prise de décision d’un individu.
L’ingestion de quelques dixièmes de microgrammes de sel commun, comme vous appelez le chlorure de sodium (ClNa), provoquant des altérations dans la concentration de certains minéralocorticoïdes, peut modifier profondément la conduite ultérieure de l’individu.
Mais il faudra beaucoup de décades avant que vous trouviez un régime scientifiquement ajusté à vos nécessités psychologiques et encore plus de temps pour que de nouvelles modifications dans votre réseau sécrétoire hormonal créent les bases d’un équilibre émotif endocrinien plus ajusté aux nécessités de l’OEMMII.
Aujourd’hui, ce réseau biochimique est encore grossier, les fonctions neurales et gliales peu spécialisées, et le transfert de données au travers des voies afférentes se produit avec une marge d’erreur élevée et un faible rapport signal / bruit.
Pour toutes ces raisons précédentes, l’adoption de décisions intelligentes se trouve liée à un haut degré à l’aura émotionnelle (endocrine), aux explosions sauvages des mécanismes biochimiques qui s’engrammèrent dans votre cerveau aux époques où vos ancêtres étaient encore des animaux et devaient se défendre d’un milieu hostile.
D’autres processus d’information beaucoup mieux élaborés interfèrent en suivant des modèles statistiques qui naissent dans les réseaux du néocortex. (Vous avez hérité ces mécanismes engrammés et ils ne disparaîtront pas sinon par l’action de nouvelles mutations dirigées par des lois précises de caractère orthogénique). Le résultat se traduit par des conséquences graves pour votre vie de relations: vos traits psychotiques et névrotiques, latents chez vous tous, projettent des ombres obscures et très graves sur le réseau social d’OYAAGAA, accumulant des charges d’angoisse et d’anxiété collectives insupportables et aboutit à ce que quelques nœuds de ce réseau, des êtres malades et psychopathes comme un Staline, un Hitler, un Franco, un Reza Pahlevi, un Komeini ou un Carter, pour prendre comme exemples de vos frères de l’histoire récente qui occupaient des postes clefs dangereux dans ce réseau, peuvent provoquer de terribles désajustements sociaux aux conséquences imprévisibles.
Ne pensez pas qu’il soit possible de prédire, même avec nos moyens informatiques, certains processus sociaux et économiques du futur dus précisément à l’incidence aléatoire des réactions endocrines sauvages de quelques éléments importants du réseau social.
Dans ces conditions d’anxiété collective exaltée (sous laquelle peut s’observer comme latent un impérieux désir de secours) n’importe quel éclat de lumière comme peut-être le mirage que des humains « aliénoterrestres » du cosmos pourraient arriver sur Terre dans le but de la sauver et de la racheter, doit susciter de dangereux (car fallacieux et délirants) modèles idéaux qui à leur tour donneront des troubles émotifs (c’est-à-dire endocriniens) aux conséquences fatales pour le lent processus de l’évolution humaine.
Nous désirons, monsieur Luis Jiménez que vous, expert en moyens de communication sur lesquels vous travaillez, soyez aussi conscient de l’immense péril qu’entraînerait l’injection dans le processus mental de vos frères de fausses espérances sur nos hommes d’Ummo ou des autres civilisations qui, en ces moments, vous explorent et qui sont régis par des modèles hautement intellectualisés, et dont il n’est pas prévisible qu’ils altèrent le pénible flux évolutif de la société d’OYOGAA.. Nous, peut-être, avec moins de doses de maturité qu’eux, nous entamons une timide attitude de rapprochement avec vous et quel mal nous vous avons fait! Aujourd’hui nous le regrettons et nous nous disposons à nous replier, sans brusquerie mais fermement.
Nous sommes inquiets et préoccupés: nous avons cru qu’en vous offrant de fausses pistes qui discréditent la vraie version de notre séjour sur Terre, cela suffirait pour que vos modèles logiques de raisonnement entrent en jeu et refusent cette croyance. Nos imprévisions, en offrant d’autres preuves, et l’astuce et les intuitions efficaces de vos autres frères, ont provoqué une persistance dans l’acceptation de notre véritable identité. ( Ndt: 5 lignes non traduites en page T12-24)
Comprenez, hommes d’Espagne, notre impuissance. Nous ne pouvons en droite ligne déontologique vous interdire de divulguer nos rapports qui sont déjà naturellement la propriété de vos frères. Vous êtes les uniques responsables de vos conduites, cette diffusion ne comporte pas non plus de péril pour nous, comme autrefois. Ce n’est pas un modèle égoïste d’autodéfense, pourtant, qui nous pousse à vous exhorter à la prudence.
Vous utilisez une expression » pour l’amour de Dieu « , et nous, nous osons invoquer respectueusement » pour l’amour de Dieu » et » pour l’amour de vos frères « , OUBLIEZ-NOUS. Ne faites plus de publicité sur notre existence, déjà une confusion chaotique de religions et d’écoles philosophiques existe entre les humains d’OYAGAA, assez pour qu’un nouveau culte d’Ummo soit inopérant et quasi stérile pour vous, puisqu’il n’est pas facilement injectable aujourd’hui dans votre biomonde, et troublera encore plus le difficile accouchement que vous êtes en train de subir. Nous resterons sur cet astre froid spectateurs devant ce cataclysme (surgissement d’un nouveau réseau social). Nous n’avons pas d’autre mission et nous n’interférerons en aucune manière dans le processus.
…………………………..
La réunion librement organisée par vos frères et vous-même à Alicante a été très précieuse pour nous, elle nous a permis de détecter les réactions psychophysiologiques des OEMII de la Terre par rapport à votre accumulation des connaissances UMMAAO . L’analyse du phénomène sociopsychique postérieur nous a extrêmement alarmé et préoccupé. Nous sommes bien sur, monsieur Luis, en train d’exagérer. Nous tentons noblement de vous le faire voir sans nous arroger un modèle paternaliste envers vous.
Monsieur, peut-être désirez-vous un raisonnement qui avaliserait notre cri d’alarme: comprenez que nous ne pouvons pas vous révéler tout le graphe complexe de l’étude réalisée. Si vous êtes convaincus que notre identité est véritable, il sera prudent de nous octroyer votre de confiance en acceptant notre exhortation à réduire au minimum possible toute diffusion de nos rapports afin de faire avorter un processus social dangereux. Si vous ne croyez pas en nous et acceptez la thèse intelligente que notre identité est frauduleuse, la raison pour empécher cette diffusion d’une fausse information est encore plus puissante.
Nous avons commis dans le passé malheureusement beaucoup d’erreurs, certains de vos frères reçurent une information technique qui leur a permis de développer des brevets et ils purent contempler nos dispositifs de technologie développée qui rendent évidente la vraie nature de mes frères. D’autres reçurent une information probatoire de nos connaissances se référant à des décisions secrètes de hauts dirigeants de la Terre. Pour beaucoup de ces personnes, dont quelques-unes ont maintenu un anonymat prudent dû à leur statut social, la certitude que nous venons d’un milieu aliénoterrestre est très élevée, et il n’y a malheureusement pas pour elles de solution. Mais au moins maintenant essayez de ne pas étendre cette dangereuse certitude et laissez les autres couches de la population penser que tout cela est une fantaisie fugace.
Monsieur : nous avons écouté quelques interventions de vos frères dans ce congrès, certaines d’un niveau excellent. Nous avons remarqué la thèse soutenue par votre frère José Antonio Corno et bien que l’opinion qu’il soutient sur nous nous attriste, dites lui, monsieur Luis Jimenez, que si nous pouvions le connaître personnellement et poser notre main sur sa noble poitrine il comprendrait mieux notre culture et ses suspicions se dissiperaient sûrement. Nous considérons le nazisme, qui dévasta les nobles terres d’Allemagne, comme une horrible aberration de l’esprit humain d’OYAGAA et partageons, bien qu’il ne le croie pas, son rejet de toute forme de totalitarisme cruel (que notre civilisation a connu aussi il y a longtemps). Votre frère Corno est un homme sensible, d’une grande bonté, prudent et incompris. Comme une fraction déformée de notre culture est arrivée jusqu’à lui seul, sa réserve est compréhensible et intelligente et il nous plairait de lui offrir notre véritable image. Ses opinions sur notre prétendue intentionnalité agressive nous attristent aussi. On comprendra que, si elle était réelle, notre stratégie serait plus dissimulée, mais en disant cela votre frère révéla ses qualités d’OEMMII prudent. Nous ne voyons pas la manière de le convaincre de notre pureté d’intention, mais par contre il nous a offert une occasion d’approcher vos points de vue idéologiques particuliers. Ceux-ci, utilisés avec habileté, pourraient vous servir pour nous démystifier. Je crois qu’il est licite d’avoir recours à une déformation de la vérité pour atteindre une praxis infiniment plus bénéfique que le mal provoqué par la corruption d’un tas de données authentiques.
D’autre part, votre frère Corno a raison, nous vous avons porté préjudice, mais pour les raisons apportées dans le texte précédent, et non pas pour celles auxquelles il pense.
Monsieur, mes excuses pour le fouillis de ce document. Votre tempérament noble et respectueux pour les opinions de vos frères, votre nature aimable, votre délicatesse exquise pour arrondir les angles et obtenir la paix et l’harmonie entre vos frères, votre idéalisme sincère et votre ouverture mentale exempte d’inhibitions, nous a impressionné. Permettez-moi de vous exprimer mes respects et mon admiration sincères, permettez-moi de l’étendre à votre excellente épouse et à vos chers, transmettez nos respects à votre frère Ricardo López Gómez .
Il n’est pas prudent de nous étendre plus, réitérant nos saluts à la longue liste de vos frères que nous avons mentionnés dans les lettres précédentes, faites leur parvenir notre salut, mais étendez-le aussi à vos frères intéressés par nous qui, bien qu’acceptant à différents niveaux de confiance notre existence, méritent un souvenir spécial.
Juan José Benítez, Jorge Saltierco, César Sánchez Boltoldrá, Raul Torres Herreros, Juan Antonio Vidal Planells, Fernando Jiménez del Oso, Antonio Moya Zerpa, Alejandro Vivanco Gómez, Germán de Argumosa, Manuel Pedrajo, José Ma Pilón, Simón Ferrero, José Amado Pérez, María Antonia Más et vos frères, dont la liste serait interminable, qui ont montré un rapprochement intellectuel mêlé d’intérêt rationnel et de curiosité et qui n’ont pu obtenir une information plus complète.
EIEEUEE-7, fils d’E 5
Sous couvert de la YIE , NOOA 452 fille de DIUWO NOOA 449
D120
UMMOAELEWE
Langues : Anglais, Français et Russe.
Groupe d’expéditionnaires de UMMO aux Etats Unis de Nord-Amérique:
Nombre de copies 7
Don LUIS GIMENEZ MARHUENDA, HOMMES DE LA TERRE,
Nous avons été récemment les témoins respectueux d’une nouvelle étape dans Votre développement.
Le lancement et la récupération subséquente de la COLUMBIA montrent un saut très important dans Votre technologie spatiale.
Les expéditionnaires de la Planète Ummo qui sommes encore sur la TERRE vous saluent avec émotion.
D134
UMMOAELEWE
Mr. Don Luis Jimenez Marhuenda
C/ ?ro. (1) N. Sala n° 5 Alicante, Espagne.
Cher ami :
Nous vous demandons de procurer une copie de cette lettre aux Messieurs dont les noms ci-dessous composent la liste suivante, nous vous demandons instamment que seuls lesdits messieurs reçoivent la copie de cet écrit c’est pourquoi nous vous procurons quelques « cartes de visite », que vous devrez remettre ensemble avec la copie.
-Mr Jose Luis Jordán Peña
-Mr Antonio Ribera y Jordá
-Mr Manuel Osuna
Nous considérons que le choix desdits messieurs tous possesseurs de rapports établis par nos frères antérieurs des première et seconde expéditions , a été le fondamental pour que notre UMMOAELEWE établisse pour vous le rapport qui suit, il est composé fondamentalement d’une série d’annotations comme vous vous en apercevrez dans lesquelles nous vous expliquerons le pourquoi de notre cessation de communications, à partir de maintenant, jusqu’à un temps non exact pour le moment. Pardonnez notre rédaction sinon qu’elle est du tout parfaite à cause de notre imperfection de la langue espagnole
NOTE Ière : Nous sommes le III IOAGUOEME (expédition), venant de l’astre solidifié UMMO distant du système solaire de I4′ 42I années lumière, orbitant autour de IUMMA 14’6 années lumière. Notre expédition se compose de trente membres de chacune des deux desquelles dix proviennent des Ière et 2ème expédition. Notre objectif principal réside dans la localité espagnole d’Alicante du fait que quatre de nos frères habitent dans cette même ville pour des raisons qui s’appuient sur l’étude de cohabitation avec des personnes étrangères à notre identité, c’est pourquoi nos frères résidant dans la cité d’Alicante ont séjourné pendant un an et six mois avec une identité terrestre.
Une fois passé le temps écrit cette expédition a considéré important que dans cette localité dans laquelle nous sommes maintenant dix de nos frères l’on rédige ces annotations lesquelles seront accueillies par vous avec scepticisme mais comme nous vous l’avons déjà communiqué notre but n’est pas que vous nous croyiez, mais seulement que vous receviez avec curiosité et que vous-mêmes en tiriez les conclusions.
L’expédition complète incluant nos frères qui ont résidé dans cette localité partira vers UMMO du 4 au 19 Novembre jours satisfaisants dans lesquels les conditions isodynamiques de l’espace seront en notre faveur pour le retour vers notre UMMO.
NOTE 2ème : vous recevrez ce communiqué quand notre expédition se trouvera encore sur Terre et plus précisément dans les localités de Alicante, Elche, Murcia, Madrid et Séville, comme donnée curieuse nous vous communiquerons qu’une de nos nefs (UEWAA) dans une dimension différente (OAWOOLEAIDAA) mot intraduisible en langue espagnole, s’est maintenue dans la localité de Murcia jusqu’à la fin du mois d’Août, vous pourrez le contrôler si vous faites un appel téléphonique au quotidien « Information » de ladite localité pour vérifier qu’un de nos frères appela le quotidien cité en donnant la nouvelle.
Nous avons décidé nous séparant de notre UMMOAELEWE que les communiqués avec la planète Terre seront légèrement cessés du fait de notre insécurité quand nous arrivions sur la planète, insécurité qui est dûe à certains gouvernements qui sont sortis lésés de leurs tentatives de tenir tête à certains de nos frères pendant leur séjour temporaire sur la Terre.
Nous avons légèrement combattu certains de vos frères du fait de la si problématique affaire d’Albacete vers l’année 1952, dans laquelle UMMO n’eut pas de participation directe dans ladite affaire et ce sont vos frères d’Allemagne qui sont intervenus lésant l’intégrité physique de l’un des membres de la famille Shelly. Pour une meilleure explication nous vous transcrivons une des lettres parvenues entre nos mains rédigée par un certain Mr Wilding Rumsey.
(Lettre reçue par certains voisins résidents de la Rue Principale de Albacete. Selon une information déterminée « information pour laquelle UMMo n’a pas trouvé de preuve », Mr. Wilding Rumsey, était hébergé dans la chambre n° 425 de l’hôtel Emperador de Madrid, du I au 4 Juin I97I).
« Chers Messieurs:
La présente lettre a pour motif de vous demander une information de très grande valeur pour moi, qui sera rémunérée dans l’éventualité où vous procurerez des traces à mes requêtes.
Dans l’année I952 et les mois suivants, et dans l’immeuble situé dans la Rue Principale, avec le chiffre n° 58 (immeuble maintenant rasé auquel succède un autre de construction récente), et qui appartient à Doña Maragrita Ruiz de Liori et Rosino, avec titre de noblesse, épouse de Monsieur Shelly, tous deux déjà décédés, deux hommes médecins de profession et de nationalité Danoise résidèrent dans ce même immeuble, invités par cette dame qui pendant un nombre indéterminé de mois, et pendant que Doña Margarita résida dans une autre ville, occupèrent certaines pièces de l’immeuble cité, en ayant une vie très retirée; et bien que certains voisins connaissaient leur existence, car ils ne sortaient de la résidence que la nuit, j’ai pu obtenir quelques rares notes supplémentaires.
Elles m’informent que les fils de Doña Maragrita Ruiz de Lihori ne connaissaient pas leur identification, pour la raison que leur mère ne les informa en rien sur leur séjour et sur les expériences histologiques de ces scientifiques.
Une autre note, bien que douteuse, rapporte que un au moins de ces Messieurs se déplaça secrètement à Madrid, après que la fille de cette dame, doña Margot Shelly, fut transportée gravement malade dans la capitale de l’Espagne/ en tout cas ces hommes de science abandonnèrent Albacete avant que le tribunal (espagnol) ait ordonné la fouille et l’inspection de l’immeuble.
Le motif de mon présent désir est de connaître le domicile de ces docteurs, que ce soit au Danemark, ou en Espagne pour obtenir des notes complémentaires de quelques études importantes de physiologie animale qu’ils ont réalisées.
Je suis disposé à remettre un don de I000 dollars, 69.000 pesetas au change, à qui me procurera l’information qui suffira à localiser ces médecins.
Acceptez mon salut tout particulier.
Si vous avez des informations, envoyez-les, s’il vous plaît, à cette adresse.
Mr. W. Rumsey
Room 402, Hotel Emperador-
Avenue José Antonio, 53, Espagne.
Madrid-I3 »
—————————–
NOTE 3ème : Ce monsieur, Mr. Wilding Rumsey, fut localisé par mes frères en Allemagne, et on obtint de lui l’information suivante.
Les deux présumés médecins de nationalité Danoise de fausse identité, puisqu’en enquêtant nous constatâmes que la nationalité de desdits Messieurs était allemande, et que leur véritable but dans la ville espagnole de Albacete et précisément dans l’immeuble cité, était d’établir d’harmonieux contacts avec le couple actuellement décédé, lequel se consacrait à des pratiques quelque peu anormales que certains d’entre vous appellent ésotériques; comme résultat desdits contacts, une des filles du couple Shelly, précisément Doña Margot Shelly, en sortit lésée puisque ladite dame réunissait une série de caractéristiques favorables pour être la victime d’une série d’ « invocations ». Quelques mois après qu’eut lieu la maladie de Margot, ce fut quand les médecins cités sortirent d’Espagne et il n’y eut personne pour pouvoir entrer en contact avec eux y compris ce monsieur Mr.Wilding Rumsey.
Nous avons préféré ne pas entrer dans des détails sur l’affaire, puisque des spécifications sur quelque chose qui nous a été injustement et si puérilement attribué ne vous serviront à rien notre bon ami, cela sera une des causes pour laquelle notre UMMOAELEWE, décida dès lors une cessation de communications en douceur.
NOTE 4ème : Nous sommes arrivés à la conclusion que parfois notre confiance envers vous a été plus de la prévision par nous, nous avons voulu en partie « nous ouvrir » amicalement à certaines personnes en laissant en-dehors notre véritable but sur la terre qui est l’étude de l’atmosphère, de la flore et de la faune, même si nous avons aussi prêté une grande attention à votre développement social-politique en couvrant un dossier histologique de grande valeur pour notre UMMO; dans cette localité espagnole de Alicante mes frères qui séjournèrent dans celle-ci couvrirent un grand dossier sur une relation qu’ils ont entretenue avec quelques personnes de cette localité grâce à un moyen de communication qui se compose d’un émetteur et d’un récepteur émettant en différentes fréquences d’ondes, comme nous avons pu savoir de ces personnes l’appareil est un instrument pour « radioamateurs », pardonnez notre mauvaise description de celui-ci. Les relations de ces personnes généralement adolescentes avec nos quatre hommes a été un document incomparable sur la relation Terre-Ummo puisque nous avons été peu à peu les observateurs des grandes différences de comportement, acceptation et dialogue parmi des personnes que nous croyions qualifiées et grands précurseurs dans la société sur diverses manifestations aliénigènes, et parmi ces jeunes étrangers la majorité de ceux-ci ont spontanément dialogué de notre véritable identité avec nos frères et les ont traités même de grands amis à eux avec des mots comme « collègues », « UMMI », etc..; vous ne pourrez imaginer bon ami notre allégresse à tous en captant de manière phonique et visuelle ces dialogues qui étaient généralement établis dans les heures nocturnes. Comme donnée historique nous vous dirons que nous savons les noms et adresses des jeunes personnes avec lesquelles nos quatre frères entrèrent en contact et que quelques-unes de celles-ci recevront comme vous-même un communiqué semblable à celui-ci, seulement celles qui ont été véritablement sincères dans les communications et même celles qui nous ont « critiqués ».
En une certaine occasion un des adolescents demanda à notre frère AOXIA-3, nom de l’un des quatre cités, si les UMMITES (il fait référence à nous) nous cachions nos véritables buts en les perturbant avec d’autres entités comme SALIANO, ou mieux exprimé, si les UMMITES étaient aussi les SALIANOS. Ce jeune pressentait la vérité vers notre véritable identité; pour voir avec quelle certitude il était en chemin vers la vérité avec la question suivante.
– Si on te donnait à toi du pain ou du blé, que choisirais-tu ? lui demanda notre frère AOXIA-3
– Partant que le pain est en son essence du blé, et que sans blé il n’y a pas de pain, avant de choisir il faudrait avoir du blé, je choisirais le pain, puisque c’est du blé déjà pétri et qu’il n’y aurait rien à préparer.
Cette personne aurait peut-être effectivement choisi le pain par commodité parce que c’est l’ensemble d’une série d’éléments déjà élaborés. Si vous cher ami réfléchissez sur cette même question vous vous rendrez compte qu’il n’est pas si difficile de découvrir ou expliquer quelque chose si on a une base solide.
Vous, Monsieur Luis Jimenez, avec eu l’opportunité de parler avec quelques unes de ces personnes et vous saurez parfaitement leur vérité, en plus de vous avoir remis une série de bandes magnétiques avec les voix de nos frères, reste en vos mains de les croire ou non, nous avons suivi pas à pas pendant une saison la réaction de ces jeunes, lesquels seront sûrs à partir de maintenant de notre amitié et respect, et ainsi que nous l’avons communiqué à chacun d’eux.
NOTE 4ème : La IIIème expédition en provenance de l’astre solidifié UMMO soumise à UMMOAELEWE et comme preuve de notre présence sur la planète Terre et plus précisément dans la localité d’Alicante, Espagne comme objectif de notre voyage, nous nous suggérerions monsieur Luis Jimenez Marhuenda que votre maison soit un lieu de réunion, dans lequel principalement seraient les personnes citées au début de ce communiqué, et deux des jeunes aussi cités, lesquels recevront un rapport aussi pour qu’ait lieu leur information.
Associées à cet écrit vous constaterez l’existence de quelques « cartes de visite » que vous devrez remettre aux messieurs cités dans cette lettre, à l’exception des jeunes lesquels amèneront la leur propre; le but de celle-ci est l’identification des personnes qui seraient présents dans votre maison. Le but de cette concentration sera fondamentalement de laisser la preuve de notre et peut-être ultime visite, pour le moment, à la planète terre. Ne vous préoccupez pas, si vous consentez à la réunion, un de ces jeunes vous expliquera le pourquoi de celle-ci.
Jour : trois Octobre (Dimanche) de I982
Heure : six heures du soir (PM)
Recevez notre plus cordial salut
UMMOAELEWE
D135
Ref. document : | E1 ( D135) |
Titre de la lettre: | lettre du dactylographe |
Date : | juin 1966 ? |
Destinataire : | Monsieur Sesma |
- D. Fernando Sesma Manzano MADRID
Très cher monsieur,
Avant tout, et comme je ne signe pas cette lettre, j’aimerais vous rappeler qui je suis. Vous m’accorderez certainement que je suis passé chez vous, il y a quelques mois, pour vous apporter des photographies extraordinaires qui se voient parfaitement en couleur et en relief.
J’ai écrit de nombreuses pages qu’ils vous envoyaient. Vous savez déjà à qui je fais référence. Ils me dictaient et je dactylographiais les feuillets. Ils me faisaient une commande que j’exécutais avec plaisir.
Ces messieurs ont dit qu’ils s’absentaient à l’étranger, bien que leur chef ou leur Directeur m’ai informé qu’ils viendraient passer quelques jours, car il était arrivé quelque chose d’important en rapport avec une affaire qui ne nous concernait pas. Il me donna différentes instructions concernant différents messieurs de Barcelone, Madrid et Valladolid, à qui nous écrivions habituellement. Pour vous, il me dit d’excuser cette interruption.
Je ne suis pas retourné vous parler, M. Sesma depuis ce soir où je vous ai visité. D’accord ? D’ailleurs, ils ont exigé de moi la plus grande réserve. Ensuite, il est arrivé beaucoup de choses et cette fois je brûle du désir de les conter à quelqu’un, car il me semble que je deviens fou
A part mon épouse et vous, j’ai seulement parlé de cette affaire à un médecin qui est professeur à la Faculté de médecine de Madrid, à qui ils envoyaient feuillets sur feuillets, mais avec plus d’assiduité qu’à vous. Ce monsieur que j’ai vu fréquemment me donna pour eux des cristaux rectangulaires avec des taches de couleur au centre, il est convaincu comme moi de l’authenticité de cette affaire.
Je n’ai qu’à lutter tout seul sans savoir quel chemin prendre. Entre ce qu’il y a de passionnant dans cette affaire et les craintes et angoisses de mon épouse, vous savez comment sont les femmes, elle croit qu’il va nous arriver quelque malheur et plus d’une fois elle a été sur le point, avec ses nerfs, d’envoyer tout promener et de tout raconter à sa mère. Elle s’est mis dans la tête que c’est une affaire d’espionnage, influencée par le cinéma ou par je ne sais quoi…
Cette affaire, M. Sesma, est passionnante. Moi-même, je ne saurais si je suis éveillé ou endormi, s’il n’y avait pas mon épouse qui les a vu avec moi à la maison toutes les semaines et parce je possède des preuves que je révèlerai un jour et que personne ne pourra nier. Je garde les noms et adresses de tous les messieurs à qui l’ai tapé leurs dictées, de plus je connais une autre personne qui comme moi écrit leurs lettres, un jeune dactylographe qui dit qu’il ne veut rien savoir et se dit effrayé, mais je suis sûr qu’il parlera quand tout cela aura passé.
C’est ce docteur aussi qui lui a parlé. Je sais qu’il n’aime pas reconnaître et exposer publiquement qu’il entretient des relations avec eux et lui-même m’a demandé aussi la réserve et a essayé de m’acheter mais je n’ai pas accepté, car cela suffit que quelqu’un me demande, s’il me plaît de garder le secret sur quelque chose pour que je le fasse sans compensation. Mais je suis sûr au moins que ce monsieur ne me prendra pas pour menteur sur certaines choses que je tais.
Quand je suis allé à votre maison, monsieur Sesma, Dieu sait bien que je ne vous connaissais pas et que le premier sceptique fut moi pendant de nombreuses semaines après.
Ils ont commencé par se faire passer pour des médecins danois qui étaient en Espagne pour je ne sais quel séminaire d’endocrinologie. Ils me dictaient beaucoup de choses que je voyais n’être pas de la médecine mais des mathématiques et vous savez que les mathématiques n’ont aucun rapport avec la médecine. (Il est sûr que quelques choses étaient de la médecine, mais maigrement.) Le jour où ils me remirent ces photos, portées, gardées, admirées, vous savez que je vous l’ai avoué et j’ai même parlé de l’affaire avec un photographe de mes voisins qui ne les a pas vu et dit qu’il est impossible de voir le relief sans un appareil optique.
Petit à petit, dans la nature des écrits, je me rendais compte qu’ils cachaient quelque chose de bizarre. Alors, le plus élevé d’entre eux vint seul, il se nomme DA numéro 3. J’ai connu le Directeur plus tard, il se nomme DEI numéro 98.
Je ressentais tout cela assez mal. D’abord la manière de parler. (Ensuite, allez savoir pourquoi). Avec des hommes affublés d’un numéro, il faut prendre des précautions. C’était une grave affaire de conscience, un conflit entre ce que croyions, ma femme et moi, être un devoir de dénoncer cette affaire aux autorités et d’autre part la promesse faite à ces messieurs qui me payaient et me payaient splendidement. Je voyais aussi en eux un air de noblesse, d’humilité et de bonté que vous ne pouvez comprendre sans les connaître.
Nous avons tout de suite écarté qu’il s’agissait de fous. Je tiens les preuves, monsieur Sesma, que nous sommes devant le cas le plus grand de l’Histoire. Ils apportèrent un appareil qui paraissait le quart d’un briquet à gaz. Ils écoutaient les conversations dans la maison avec une perfection et une intensité, que je n’ai entendu dans aucun magnétophone comme celui-ci. Si vous aviez vu l’écran grand comme un agenda, qu’ils transportent sur eux, vous seriez étonné. Ils disent que, bien qu’indépendant, il est commandé par un autre appareil. C’est quelque chose de merveilleux.. Ils y voient mon petit bureau et nous en train de parler, comme sur un film. La couleur est parfaite et tout en profondeur comme sur les photos que je vous ai montrées. Si c’est une fable, dîtes-moi que vous l’avez lu dans des nouvelles fantastiques du futur, sinon c’est à croire que tout ce que disent ces messieurs d’Oumo (comme ils nomment leur planète) est vrai.
Voyez, monsieur Sesma, Je n’ai pas beaucoup de culture, je le reconnais, j’ai une profession commerciale et, pour les comprendre bien, il faut être professeur comme ce monsieur dont je vous ai parlé. Un soir, nous étions depuis trois heures à parler du système français de comptabilité. Ils connaissaient le codage des comptes de ce système et m’en firent une critique que je n’ai pas pu suivre, parlant par exemple du système de comptabilité par décalque comme s’ils le pratiquaient tous les jours, parlant du système Pert appliqué à la rationalisation des bureaux, de même que du fonctionnement d’une perforatrice ou d’une machine classant les employés pour des travaux de statistique de bureau. Entre autres choses de celles que je n’ai pas compris cette fois, je dirais qu’ils m’ont raconté des fables..! mais dans cette affaire il y a « quelque chose » (comme on le comprendra pour ma profession).
Mon Dieu, si je disais à mon chef ou mes collègues de bureau qu’ils m’ont appris certaines choses qui les étonneraient, le jour suivant j’irai dormir dans un sanatorium de malades mentaux .
Parfois je me dis : cela ne peut pas être ; ces hommes doivent mentir, ou je rêve ou ils appartiennent à quelque organisation secrète ou à quelque secte de francs-maçons, mais je ne crois pas des fous capables d’inventer ces appareils qu’ils transportent avec eux.
J’ai avalé déjà différents livres qui parlent de soucoupes volantes, mais il n’en est rien sorti de clair car aucun ne mentionne la planète Oummo. Il y a cependant quelque chose qui m’a étonné chez l’un d’eux. Je ne sais pas si vous l’avez lu, il a pour titre « La grande énigme des soucoupes volantes » et se vend à la librairie de l’espace Calpe dans l’avenue de José Antonio. A la page 429 il y a le dessin d’une soucoupe qui est descendue à Aluche et dont toute la presse a parlé (Ils m’avaient dit qu’elle était d’Oummo, très bien, mais je suis étonné de vérifier que dans le dessin apparaît à la partie inférieure de la soucoupe un symbole qui est le leur. Je jure M. Sesma que c’est le leur. Il est vrai qu’il manque une barre horizontale pour être exact, mais c’est le symbole d’Oummo car je l’ai vu avec eux bien avant que cette soucoupe arrive (vous vous souviendrez que ma visite fut antérieure à la nouvelle que donnèrent les journaux ensuite).
En plus d’une preuve que je tiens (et que je sortirai un jour si quelqu’un cherche à me démentir) de ces messieurs, ma femme les a vus, mon beau-frère les a vus, bien que nous ne sachions dire qui ils sont, et c’est très intrigant. Ce qu’entre autres choses je ne m’explique pas, c’est la patience qu’ils ont en écrivant aux gens. Il y a des semaines que je dactylographie jusqu’à trente feuillets. Il y a aussi un auxiliaire administratif avec qui j’ai parlé et bien qu’il ne veuille pas lâcher le morceau et se dise effrayé, il doit vous écrire aussi et nous ne savons pas s’ils n’ont pas encore quelqu’un de plus !
J’envoie les enveloppes et, parfois, ils me donnent des feuillets écrits avec plus de trois types de machines à écrire différentes. Je ne peux dire leurs noms mais les correspondants sont de professions variées. Il y a beaucoup de professeurs, un ingénieur de l’ICAI, un ingénieur d’industrie, un commissaire de police, un professeur de médecine, un dramaturge très connu, deux prêtres, deux aides-ingénieurs, plusieurs écrivains, la femme d’un pharmacien, une autre femme, un astronome. Au début ils n’étaient que quelques professeurs de Barcelone et Madrid, ensuite ce fut vous, puis un prêtre et chaque fois un peu plus. A certains, ils écrivaient une seule fois et ne recommençaient jamais. Ils me dictaient les choses les plus variées que vous puissiez imaginer, de l’astronomie à la biologie, je leur ai suggéré d’acheter une machine IBM qui porte une tête de lecture pour écrire les signes mathématiques et les lettres grecques, car c’est qui me coûte et qu’il y a des signes qu’ils doivent faire à la main, mais ils ont souri et ont dit que l’on pourrait identifier ensuite la machine car elles se vendent peu.
Il y a certaines choses étranges. Pourquoi, M. Sesma, ces messieurs qui savent tant et sont si intelligents n’apprennent-ils pas à écrire à la machine et prennent-ils des risques avec l’un de nous qui pourrait les trahir. Je ne le vois pas le faire mais c’est eux ne peuvent en être sûrs.
Encore une chose.. Que gagnent-ils en écrivant ? S’ils désirent être crus, pourquoi ne donnent-ils pas des preuves à tout le monde ? Cela suffirait qu’on voit ce que j’ai vu ou qu’ils permettent aux journalistes de voir les fameuses photos que vous connaissez ou de se laisser voir tout simplement.
En effet, il suffit de les observer un peu ! Quand ils parlent à des étrangers, ils bougent un peu leurs lèvres pour tromper mais je les ai vu parler avec cette voix étrange qu’ils ont et ils ne bougent pas les lèvres. Ils disent (et je les crois) qu’ils ont un appareil dans la gorge mais je dis bien qu’un médecin qui les examinerait pourra vérifier qu’ils ne mentent pas. Quelle meilleure preuve ? quand je le leur dit, cela les fait sourire et ils ne le contestent pas.
Pourquoi se cachent-ils tant ? Je dis que le gouvernement ne peut rien leur faire. Au contraire. C’est ce qui me fait le plus les soupçonner. Pourquoi se cachent-ils ? pourquoi ne paraissent-ils pas s’en préoccuper quand les personnes à qui ils écrivent n’en font pas cas ?
Parfois ils me semblent d’une naïveté telle qu’ils paraissent des attardés mentaux, s’il n’y avait pas leur énorme culture qui ne cadre pas avec cette explication. Comment faire croire aux gens à qui ils écrivent. (qui ne sont pas précisément des moins que rien) qu’il s’agit d’hommes d’une autre planète. Le moins est qu’ils puissent se faire prendre pour des imbéciles. Ma femme a quelque raison de penser qu’il s’agit de quelque affaire d’espionnage.
Mais imaginez-vous des espions écrivant des lettres à tout le monde ?
Enfin, monsieur Sesma, je ne sais ce qu’il va advenir de tout cela. Si j’avais constaté quelque délit dans leur conduite, je serai allé les dénoncer. D’ailleurs, la police doit les connaître, puisqu’ils ont écrit à un commissaire de police. Quand ils n’agissent pas pour quelque être, quand le gouvernement n’agit pas pour quelque avoir, nous n’avons pas à être plus papiste que le pape…
Le salut à vous.
Pardonnez moi de ne pas signer, je crois que vous comprendrez.
D136
Sr D. Enrique Villagrasa
Madrid, 4 juin 1967
Très cher monsieur,
Il y quelques mois je vous ai écrit une lettre au sujet d’une réunion que nous avions projeté, réunion qui comme je le dirai plus loin n’a pu avoir lieu. Je suis la personne qui a écrit à la machine jusqu’à maintenant ce que les messieurs de la planète Ummo m’ont dicté. Vous êtes sûrement au courant de tout ce qui s’est passé ces derniers jours et je ne peux résister à la tentation de me confier à vous. Je crois que ce qui est arrivé dépasse tout ce qu’on peut imaginer.
Je veux vous rappeler que, dans ma dernière lettre, je vous ai raconté toute mon histoire qu,i si on la contait à d’autres, beaucoup me croiraient fou, mais vous les connaissez et pouvez me comprendre. Même ma femme était sceptique jusqu’à ces derniers jours et croyait qu’ils étaient des agents d’espionnage (vous savez que quand une femme se met quelque chose en tête, elle ne raisonne pas et on ne peut la convaincre avec des arguments). A la vue de ce qui est arrivé, elle a bien dû se rendre à l’évidence car ceux qui ne connaissent pas cette affaire feront peut-être bien de ne pas la croire, mais ceux qui l’ont vécue, et je crois que je l’ai vécue plus que vous, seraient fous de ne pas admettre les faits.
Depuis quelques mois et après que je vous aie écrit, il s’est passé beaucoup de choses. Vous souvient-il de la proposition que nous fîmes à cette personne à qui ils écrivaient beaucoup et qui était professeur de médecine et ne croyait pas non plus qu’ils venaient d’UMMO (je suppose qu’il a dû changer d’avis depuis) ?
Bon : à leur retour ils l’apprirent et furent assez fâchés, ils nous interdirent de programmer cette réunion, indiquant qu’ils rompraient toutes relations avec nous si nous la maintenions, partant du principe que nous avions promis fidélité au secret de cette affaire. Je rendis visite au Docteur et il me reçut, préoccupé par cette affaire.
Il me dit que tout était confus et étrange dans cette affaire (Je ne la vois pas si confuse et encore moins maintenant). Il me dit aussi qu’il admettait que les faits étaient très extraordinaires et qu’il était en correspondance avec un autre médecin d’Amérique du Nord qui recevait aussi des documents et que oui, celui-ci croyait qu’il s’agissait d’extraterrestres, mais lui ne pouvait l’admettre car c’était absurde (c’est peut-être absurde, mais moi personne ne me fera changer d’avis) . Il croyait qu’il s’agissait d’une quelconque commission secrète d’un quelconque État avec des buts qui nous sont inconnus. Quel besoin de chercher la petite bête; ce monsieur est professeur et très intelligent mais, si on ne croit pas certains faits, il faut alors les expliquer d’une manière plus logique et ne pas donner une explication encore plus absurde). De toute manière, il reconnut que c’étaient des étrangers exceptionnels avec une érudition et des méthodes inconnues de la médecine.
De toutes façons, il reconnut qu’il leur devait beaucoup et que l’attitude chevaleresque consistait à accepter la demande qu’ils nous ont faite de ne pas convoquer, comme nous l’avions prévue, une réunion de tous ceux d’entre nous qui les connaissons personnellement soit par lettres soit par téléphone. La femme de ce professeur qui était présente ( j’étais moi-même avec ma femme), était aussi d’accord pour respecter le secret qu’ils nous demandaient, par contre elle était plus croyante que son mari. Bien entendu, pour respecter la vérité, il ne disait pas que ce n’était pas vrai mais il hésitait avant de le dire.
Sur ce, d’autres messieurs d’UMMO vinrent à la maison. Je fis la connaissance d’un qui ne parlait pas et d’un autre qui paraissait très vieux et qui était resté très longtemps en Amérique du Sud. Ces jours là nous avons eu beaucoup de travail et je sais qu’ils dictaient aussi des lettres à un autre homme qui est auxiliaire administratif. J’écrivis à d’autres hommes à qui nous n’avions jamais écrit auparavant, tous de Madrid sauf un de Valence, celui-ci était aussi médecin, et les autres sont : un ingénieur de l’I.C.A.I., un écrivain, un professeur d’université en sciences exactes, et deux autres dont j’ignore la profession. J’ai parlé au téléphone avec le professeur des sciences exactes et celui-ci était très intrigué, il me posa plusieurs questions et, pour finir, il me dit qu’il croyait que c’était moi qui écrivait ces documents qui traitent d’ une chose qui s’intitule THÉORIE DES RÉSEAUX et son application aux processus stochastiques. (Si vous aviez vu son étonnement à la réponse qu’ils lui firent ! Ce fut laborieux de lui faire comprendre que je n’avais pas étudié les mathématiques et que je n’étais pas professeur comme il le disait). Par contre, ils ont cessé d’écrire à quelques messieurs qu’ils connaissaient avant, par exemple l’ingénieur industriel.
A ce sujet, mon beau-frère, qui était informé de ce qui se passait, eut une brouille avec moi; il pensait que cette affaire pourrait nous amener de sérieux ennuis, mais moi si on ne me donne pas de raisons je n’accepte pas de conseils. Je lui répondis en lui demandant quel type d’ennui il pouvait m’arriver. Car moi en tapant à la machine les choses qu’ils me dictent, je ne fais rien contre la loi. La vérité, c’est qu’il avait plus peur que moi, car il était persuadé qu’ils disaient la vérité au sujet de leur origine d’Ummo.
Mais moi à force de les fréquenter, je suis convaincu que ce sont les meilleures personnes que j’ai vues dans ma vie. Nous aimerions bien, nous de la Terre, avoir ce manque de méchanceté qu’ils ont et si compréhensifs et impartiaux pour comprendre les choses si intimes. Il suffit de voir la douceur et le sérieux avec lesquels ils réprimandent et disent les choses, font des dessins. Et n’allez pas croire qu’ils sont naïfs ; rien qu’en te regardant, il semble qu’ils te pénètrent.
Mais à la fin de l’année dernière, ils me dictèrent des choses dans lesquelles ils disaient à l’un de leurs correspondants que l’un de leurs vaisseaux interplanétaires allait venir entre janvier et mai.
Effectivement, lors d’une visite que me firent deux d’entre eux le dimanche 14 mai, ils me dictèrent une lettre qui m’étonna, c’était une lettre commerciale adressée en Australie, demandant des informations au sujet de panneaux isolants therrmoacoustiques. Ils ne m’avaient jamais rien dicté de semblable. Le plus curieux est qu’ils me portaient des feuilles et une enveloppe timbrée avec le nom d’une firme commerciale madrilène spécialisée en décoration de locaux commerciaux. (Bien entendu par curiosité je suis allé à cette adresse et je sais qu’il s’agit d’un architecte à qui nous n’avons jamais écrit).
De plus, ils commencèrent à venir à la maison avec plus d’assiduité pour me dicter des choses de nature scientifique, mais en revanche ils se désintéressaient davantage de cette affaire car, avant, dès qu’un document était écrit il était vérifié par leur supérieur qui s’appelait Dei 98 et qui m’ordonnait de l’expédier immédiatement par courrier. Maintenant à l’inverse, ils me dictaient plus de choses et me donnaient une espèce d’agenda avec des instructions pour que je les envoie séparément à des dates distinctes à chaque personne. Par exemple une chose que je vous ai envoyée au sujet de l’affaire mathématique des ibodoo uu , je l’ai gardée quelque temps en attendant la date choisie par eux.
Le jour de la Fête-Dieu, ils m’appelèrent le matin à 11 heures. Je n’étais pas là et ils eurent mon épouse. Ils dirent qu’ils rappelleraient à 14 heures. Le monsieur qui était leur supérieur, Dei 98, téléphona et me demanda s’il pouvait parler à ma « yie » (ils nomment leurs épouses yie) et avec moi à six heures du soir pour une affaire importante pour eux. Je leur dis que oui et j’en parlais avec ma femme très inquiète car il insista pour qu’il n’y ait personne à la maison à cette heure-là en dehors de nous.
A l’heure dite arriva Dei 98 avec un autre que je ne connaissais pas et qu’il me présenta comme IAUDU 3. Ce dernier ne prononça pas une parole. Nous nous réunîmes dans la salle à manger et Dei 98 nous dit à ma femme et à moi qu’ils attendaient, à partir du 31 mai ou peut-être un peu avant, un de leurs vaisseaux qui allait atterrir à Madrid et que, pour cette raison, nombre de leurs frères (ils se nomment frères entre eux, bien que ce ne soit pas de sang) étaient venus à Madrid. Il désirait de nous ce qu’il appelait une grande faveur. Il nous dit que le jour suivant arriverait à Madrid celle qui était leur supérieure ou chef de tous ceux qui étaient ici sur Terre. Il dit qu’elle arriverait de Singapour via Londres et qu’ils avaient commencé à prévoir son logement parce qu’ils préféraient qu’elle passe la nuit dans un domicile particulier plutôt qu’à l’hôtel, en subordonnant ce plan au fait que ma femme et moi acceptions, mais en nous suppliant de ne pas nous sentir du tout obligés et que si nous voyons un quelconque inconvénient, ou si nous avions peur, de le leur dire en toute liberté.
Ma femme s’empressa de dire qu’elle acceptait mais qu’elle était gênée car notre maison n’avait pas les commodités d’un hôtel et que la supérieure dormirait dans notre lit conjugal et que nous nous contenterions du sofa ou nous irions dans la maison de ma belle-mère si nécessaire. Moi, de mon côté, je dis que l’unique préoccupation était de chercher une explication au cas où les concierges viendraient à être au courant mais en réalité ce n’était pas un grand problème car il suffirait de dire, par exemple, qu’il s’agissait d’amis de nationalité suédoise que nous avions connu lors de nos vacances à Malaga.
Dei 98 fit remarquer que celles qui passeraient la nuit étaient deux femmes Yu un, fille d’Ain 368 et une autre « sœur » qui, comme je vous le dirai plus loin, devait être en même temps sa secrétaire et sa femme de chambre (je vous le conterai ensuite car nous eûmes le temps de parler avec elle) et nous dit ensuite quelque chose qui nous étonna : qu’en aucune manière elle ne dormirait dans notre chambre en nous mettant dehors. Que nous n’avions nous mêmes qu’à choisir une pièce libre et que sa sœur dormirait sur le sol !!! Quant à l’autre sœur, elle ne pouvait dormir en même temps que sa supérieure.
Le 26 mai à six heures du soir, arrivèrent Asoo3, fils d’Agù 28, que je connaissais déjà car il m’avait dicté des choses pour différentes personnes, et le même homme silencieux de la veille. Ils avaient une valise de modèle courant en cuir très moderne et de taille moyenne qui constituait peut-être les bagages des deux dames ou demoiselles qui allaient venir. Ils bavardèrent avec nous après nous avoir demandé de visiter toutes les pièces. Ils nous dirent qu’ils attendaient la nuit pour faire quelque chose. La supérieure arriverait vers les dix heures et demi. Nous apprîmes aussi que dans la rue attendaient « de nombreux autres frères ». Ils n’acceptèrent rien d’autre que de l’eau.
L’obscurité tombait quand ils nous prièrent d’éteindre la lumière de la salle à manger et d’ouvrir en grand le balcon. Celui qui ne parlait pas espagnol resta assis les yeux fermés et immobile comme s’il était hypnotisé, et l’autre sortit une sorte de plume stylographique et celle-ci commença à émettre comme un bourdonnement continu avec des hauts et des bas, car on était en train de leur communiquer quelque chose. Tandis que l’autre se réveillait de temps en temps et lui parlait dans sa langue. La nuit était déjà tombée. Il devait être dix heures moins vingt, ils mirent la valise devant le balcon et l’ouvrirent. Ma femme et moi étions assis sans dire un mot et très impressionnés. Comme en face de chez nous il y a une enseigne au néon d’un magasin d’électricité et d’appareils ménagers, on voyait bien ce qu’ils faisaient, bien qu’il n’y ait pas de lumière dans la maison. En premier ils regardèrent s’il y avait quelque un sur les balcons de l’autre côté de la rue, qui ne sont pas loin mais pas tout à fait en face du nôtre. Ensuite, ils commencèrent à sortir de la valise des boules d’aspect métallique de la grosseur d’une balle de tennis et d’autres plus petites. Moi j’en avais déjà vu une quelques mois auparavant. C’est quelque chose d’extraordinaire. Elles se maintiennent en l’air et se dirigent à toutes les hauteurs comme contrôlées par radio. Deux autres en sortirent qui ne se voyaient pas trop bien et qui avaient un forme semblable à celles-ci :
Au total ils en sortirent près d’une vingtaine de différents types. Ils les mettaient une à une sur le balcon comme s’il s’était agi de bulles ou de petits globes, et elles disparaissaient dans la rue. Au moins quatre boules de plus passèrent près du plafond en rasant la lampe et se postèrent dans le couloir de la maison. Ensuite après nous avoir demandé la permission, ils sortirent dans le couloir et on les entendit ouvrir la porte de la rue. Quand ils revinrent la valise était vide. Celui qui ne parlait pas espagnol manipulait une baguette métallique avec un disque au centre :
A onze heures moins le quart, on frappa à la porte. Le plus étonnant est que, tout en étant en train de parler avec nous, Asoo 3 nous dit qu’elles étaient arrivées et, bien que je sache que le portail ne ferme que plus tard, ils me dirent qu’il n’était pas prudent qu’ils descendent pour les recevoir.
Nous sortîmes ouvrir, très nerveux. Accompagnées par DEI 98 il y avait deux jeunes filles. Une très grande et l’autre beaucoup plus jeune et menue. Elles avaient des manteaux en daim très modernes de couleur marron pour la plus grande et vert paille pour la plus jeune. Nous savions déjà qu’il s’agissait de la supérieure car elle avait un sac à main, mallette en skaï ou plastique avec une inscription BEA des lignes aériennes. Elles n’avaient pas d’autres affaires. Les deux étaient blondes et la chevelure tombante. Elles portaient des vêtements très modernes mais discrets.
La plus menue (qui était le chef) avait l’accent anglais et parlait très mal l’espagnol bien qu’elle le comprît. Elle se dirigea vers ma femme et lui dit qu’elle la remerciait de tout cœur pour l’hospitalité du « pays Espagne ». Nous passâmes tous dans la salle à manger une fois que les deux messieurs furent partis. De toute ma vie je ne me suis jamais senti aussi gêné car au moment où nous nous sommes assis la demoiselle « Yu » un, ma femme et moi, la plus grande qui s’appelait quelque chose comme UUOO cent vingt et quelque chose et Dei 98 qui est l’homme qui m’a le plus impressionné dans ma vie par son intelligence infinie, restèrent debout, ce qui créa une situation pénible et à ce sujet je fais une critique, car bien qu’il s’agisse d’une de leurs coutumes de rester debout face à un supérieur, ils durent se rendre compte que ma femme et moi étions très gênés.
Par exemple moi, à qui rien n’échappe, je notais que chaque fois qu’elle leur demandait quelque chose ils répondaient en baissant les yeux comme s’ils n’osaient pas la regarder. C’était presque une enfant, d’après ce que nous savons, elle ne devait pas avoir plus de dix-neuf ans mais en paraissait seize. L’autre devait avoir vingt-trois ou vingt-cinq ans. Ensuite ce qui nous choquait, ma femme et moi, c’est que ce soit la plus jeune qui commande et nous ne nous sommes pas gênés pour le leur dire. Les trois se mirent à rire et elle me dit qu’il ne fallait pas croire que toutes les jeunes filles commandaient sur UMMO, et que cela dépendait de nombreux facteurs.
Nous parlâmes beaucoup des coutumes espagnoles. La seule chose qui lui répugnât était les taureaux. Elle nous posa beaucoup de questions sur le régime espagnol, elle était au courant de beaucoup de choses, du référendum et même des Cortès, et je lui dis que depuis la guerre où les rouges avaient tué mon père, nous n’aimions pas beaucoup parler de politique. Je fus stupéfait de ce qu’elle savait. Ma femme l’écoutait très intimidée, sans oser parler. Elle s’en rendit compte et avec beaucoup de douceur commença à parler de la cuisine espagnole et qu’elle était triste de savoir que les femmes espagnoles lisaient peu et qu’elles n’étaient pas formées intellectuellement comme les hommes, alors qu’elle était sûre que la féminité ne se perdait jamais avec une plus grande éducation. Ensuite, elle regarda l’autre en souriant et celle-ci ouvrit le sac et remit à ma femme une merveilleuse encyclopédie du foyer avec des planches en couleurs et en espagnol.
Nous mangeâmes là et ma femme fut étonnée parce qu’ils l’obligèrent à se laisser aider par elles. Ce qui nous a étonné le plus c’est qu’ils mangèrent comme nous mais refusèrent de boire du vin. Ils nous avaient dit qu’ils désiraient un repas sobre et ma femme avait préparé à l’avance des pommes de terre bouillies, des œufs durs et pour eux des fruits (oranges et bananes). Autre chose gênante qui nous mit au supplice, à la fin du repas la supérieure se mit elle-même à faire la vaisselle et sa secrétaire demeura debout sans l’aider, c’est ce que me dit ma femme dont la timidité avait disparu et, pendant qu’elles séchaient la vaisselle, elles parlèrent beaucoup. Nous étions resté dans la salle à manger à parler, Dei 98 et moi. Quelque chose d’autre nous choqua, avant de commencer à dîner, ils nous demandèrent la permission d’ôter leurs chaussures. La secrétaire se mit à genoux et, avec simplicité, elle ôta les chaussures de sa chef, ensuite ils ôtèrent les leurs. Ils s’assirent durant le repas mais ne parlèrent pas tant qu’elle ne les interrogea pas.
Le plus surprenant se passa ensuite : très discrètement, ils nous demandèrent la permission de se retirer. Nous les suppliâmes à nouveau de dormir dans notre lit ou au moins sur le canapé lit, mais ce fut inutile.
Dei 98 alla dans la rue. J’appris qu’il se rendait dans un hôtel voisin où ils avaient provisoirement installé une sorte de quartier général. Je crois que leur seule mission était de protéger la demoiselle Yu un.
Je crois aussi qu’ils furent quelques-uns à tourner dans les environs toute la nuit.
J’ai dit que c’était très surprenant, en effet elle ne voulut même pas accepter la couverture que lui proposait ma femme. Elle nous dit en souriant qu’elle allait tout simplement dormir sur le sol, dans la salle à manger même. Nous étions sans savoir que faire ni que dire. La plus grande qui parlait beaucoup mieux l’espagnol que sa supérieure nous demanda la permission de « mettre quelque chose par terre » et nous dit de ne pas nous inquiéter car le lendemain matin il n’y aurait plus de traces et cela n’abîmerait pas le carrelage. Elle sortit un cylindre d’aspect nickelé qui émit une quantité incroyable de mousse et qui laissa une grande tache sur le sol comme s’il avait été vernis. Nous n’osâmes même pas demander ce que c’était. La demoiselle YU se mit à l’intérieur et nous sortîmes tous les trois. L’autre nous dit qu’elle ne se coucherait pas et qu’elle resterait debout toute la nuit dans le couloir. En rentrant dans notre chambre nous étions ma femme et moi si nerveux et préoccupés que nous n’osions même pas nous déshabiller. Je ne sais pas pourquoi ma femme me rendit de plus en plus nerveux disant que la police risquait de venir, comme si nous étions en train de commettre un crime ou autre chose de mal.
Nous étions assis sur le lit sans parler quand au bout de vingt minutes elle se lève en disant qu’elle va demander si elles ont besoin de quelque chose. Au retour elle me raconta : la plus grande se promenait dans le couloir, les bras croisés dans l’obscurité. A voix basse elle lui demanda s’il était raisonnable de lui souhaiter bonne nuit et lui demander si elle avait besoin de quelque chose. L’autre lui dit qu’en effet c’était courtois et qu’elle n’avait qu’à entrer sans appeler; ma femme voulut frapper à la porte mais elle lui dit aimablement que ce n’était pas la peine car elle ne dormait pas encore. Les deux entrèrent. Notre salle à manger a une grande table et une petite dans un coin près du balcon. Le balcon était entr’ouvert. La lumière était éteinte mais ma femme dit qu’au sol à côté d’elle et de la petite table, il y avait une sorte de disque un peu plus grand qu’une pièce de cinquante pesetas qui était très phosphorescent et qui permettait de la voir assez bien. Elle se redressa et ma femme lui demanda si elle désirait quelque chose car elle était très nerveuse en pensant qu’elle manquait de confort. Elle me dit aussi qu’elle portait une espèce de maillot de bain. Comme la lumière était faible elle ne put en distinguer la nature. Elle était au sol sur la tache jaune. Elles échangèrent quelques mots et sortirent de nouveau.
Dans le couloir, elle parla avec l’autre. Elles restèrent un long moment à parler à voix basse. Cette « jeune fille » était mariée et son mari était sur UMMO et elle avait été sélectionnée pour venir sur notre planète. Sur UMMO elle était comme un professeur d’une spécialité de mathématiques mais ma femme n’arriva pas bien à m’expliquer quelle était sa mission sur Terre, mais il semble que cela avait un rapport avec l’étude de l’histoire des anciennes sciences physiques de la Terre. Étant au Mexique elle commit une désobéissance et il semble qu’elle subissait une punition en servant de femme de chambre à son chef. Bref une longue histoire.
Nous nous levâmes de bonne heure. Elles étaient et se parlaient dans la salle à manger. Elles nous demandèrent l’autorisation d’utiliser la salle de bains. La plus grande se baigna d’abord et YU resta dehors en parlant avec nous. Ensuite elles entrèrent les deux. Le plus curieux est que ma femme constata qu’elles n’avaient pas utilisé ni les serviettes ni le savon alors qu’elles avaient utilisé la baignoire. La tache jaune au sol avait disparu. Même avec une loupe il ne restait rien. Elles ne voulurent pas prendre le petit déjeuner mais insistèrent pour que nous le prenions, ma femme et moi. Il se passa autre chose : Yu un parlait avec nous et l’autre, qui était debout, se mit à regarder avec curiosité en tournant la tête vers les meubles de la salle à manger . La jeune s’en rendit compte et dans sa langue lui dit quelque chose sur un ton qui nous parut doux mais la plus grande, UUO, devint rouge, lèvres tremblantes et larmes aux yeux. Nous avons fait semblant de rien et avons continué de parler.
Elles partirent de bonne heure et revinrent à la nuit. Nous n’oublierons jamais les conversations que nous avons eu avec cette jeune fille. Ma femme était si impressionnée qu’elle me confia que maintenant elle croyait vraiment qu’ils étaient d’Umo. De plus, ce même jour, le 27, Dei 98 vint me dicter différentes choses parmi lesquelles des lettres que vous recevrez. Dans l’une il annonçait la nouvelle de l’arrivée au Brésil, en Bolivie, et en Espagne de leurs nefs interplanétaires. Il me dicta d’autres rapports et me dit qu’il continuerait à le faire dimanche et mardi car il ne savait pas si sa supérieure leur donnerait à tous l’ordre de partir mais il pensait que oui, car il était certain que personne ne débarquerait plus des nefs et que tous ses frères avaient reçu ordre de se regrouper au Brésil, Bolivie, et Espagne en quittant tous les autres pays où ils étaient. Je lui demandais s’ils reviendraient et il me répondit qu’il ne savait même pas s’ils allaient partir. Je lui ai demandé aussi si elle le savait ou s’ils attendaient des ordres de ceux du vaisseau et il me répondit qu’il n’était pas nécessaire d’attendre les vaisseaux pour connaître les ordres (ils appellent leurs nefs Oauelea-ueba-oemm) et qu’elle savait mais qu’elle n’était pas coutume de donner des explications à ceux qui étaient sous ses ordres. Mais qu’il préférait quand même me dicter certains documents pour que je les envoie à certaines personnes à des dates déterminées et cela pour le cas où l’ordre de partir serait donné. (Il me fit taper trois autres documents pour trois personnes qui résident à Paris et Lyon, écrits en français.) Le jour suivant dimanche après-midi, Yu 1 revint sans sa sœur mais accompagnée par Asoo trois et par un autre que je ne connaissais pas, très jeune et qui ne parlait pas non plus l’espagnol (ou qui ne voulait pas le parler). Ils me remirent des petits paquets à expédier et une enveloppe pour moi en me demandant de ne pas l’ouvrir et Asoo trois me dit en tête-à-tête que, quoi qu’il arrive, je garde le silence sur mon identité car, s’ils revenaient sur Terre, un autre monsieur et moi étions leurs seules relations en Espagne. Yu un nous fit ses adieux le mardi matin en disant qu’elle ne dormirait plus chez nous et qu’elle passerait la nuit aux alentours de Madrid. Dei 98 vint la chercher et ils montèrent dans un taxi dont j’ai noté le numéro d’immatriculation. Au moment du départ, nous étions très impressionnés. Je ne les ai plus revus.
J’ai appris l’arrivée de la nef par les journaux. Dans l’un il y avait même des photographies. Toute la nuit ma femme et moi avions passé la nuit du mercredi à nous promener près de « La Casa de Campo et Argüelles » car ils nous avaient dit que l’arrivée du vaisseau était plus probable le mercredi que le jeudi.
Le jeudi, nous restâmes jusqu’à onze heures du soir près de la cité universitaire et, comme il ne se passait rien, morts de sommeil, nous sommes rentrés. L’après-midi suivante nous avons appris la nouvelle par le journal Pueblo et nous avons acheté tous les journaux de l’après-midi pour avoir des nouvelles. De plus nous les avons appelé par téléphone mais ils ne répondaient pas.
Moi je n’avais aucun doute depuis longtemps, mais ceci s’il en restait finit de me convaincre ainsi que mon épouse. Je ne sais pas si je rêve et si vous n’étiez pas là, vous qui receviez leurs lettres, ma femme, mon beau-frère et les nouvelles des journaux, je croirais que je suis fou. Ceci est la chose la plus importante que j’ai connu dans ma vie et s’ils ne m’avaient pas demandé d’être discret, cela ne me ferait rien qu’on me prenne pour un fou et je le crierai aux quatre vents.
Une seule chose me préoccupe maintenant. Pourquoi sont-ils partis ainsi, si vite et tous ? Le dimanche soir nous eûmes ma femme et moi une longue conservation avec elle. Elle nous donna de merveilleux conseils sur la nourriture sur l’éducation des enfants. Nous avons parlé des voyages spatiaux des Américains sur la Lune et elle nous raconta des choses sur l’astronomie qui nous laissèrent bouche bée au point que moi qui étais complexé au début car c’était presque une gamine, je me sentis dominé par elle et je ne sais pas comment on en vint à parler de toute cette histoire entre l’Égypte et les Juifs. Je lui demandai ce qu’elle en pensait et elle nous dit de nous tranquilliser, qu’il n’y aurait pas de guerre mondiale. Mais ensuite elle resta pensive et elles se regardèrent entre elles très significativement. Ensuite comme elle s’était aperçue que nous avions remarqué ce regard elle répéta d’une voix assurée qu’il fallait être tranquillisée que cette guerre n’aurait pas lieu. Mais j’ai retourné cette histoire dans tous les sens. Pourquoi sont-ils partis tous et si rapidement ? On dit que les rats abandonnent le navire avant qu’il commence de couler. Ils faisaient leurs études, ils me dictaient leurs documents scientifiques et d’autres choses et puis subitement. Nous ont-ils dit qu’il n’y aurait pas de guerre comme on ment aux enfants avant un bombardement pendant la guerre ? Ils sont très au courant de la politique et des armements. Dei 98 m’annonça à l’avance l’heure exacte de l’explosion de la bombe chinoise, heure qui fut confirmée par les journaux (chose qui me fit penser que ma femme avait raison et que c’étaient bien des espions).
Enfin, je m’étais soulagé avec vous car cela était nécessaire. Je pense écrire ce soir une autre lettre à une autre personne parmi celles qui reçoivent des documents.
Je désire vous exprimer mon amitié puisque nous avons été vous et moi témoins de tout ceci. Pardonnez-moi de ne pas signer.
: E3 | D136-2
D145
TRANSCRIPTION D’UNE BANDE MAGNETIQUE SUR LAQUELLE M. ENRIQUE VILLAGRASA Y NOVOA ( DONOSO CORTES, 24. MADRID – 15) ENREGISTRA LES ENTRETIENS TELEPHONIQUES QU’IL EUT AVEC LES SOI6DISANTS AGENTS DE LA PLANETE « UMMO », A PARTIR DU 28 NOV. 1966 ;
(CET ENREGISTREMENT FUT EFFECTUE POSTERIEUREMENT PAR M. VILLAGRASA QUI, A L’AI6DE DE SA MEMOIRE, ESSAYA DE RESUMER LE CONTENU DE SES COMMUNICATIONS AVEC LES HOMMES DE « UMMO ».
Dans la nuit du 28 au 29 Novembre 1966, de 0h10 à 0h15 du matin, j’eus un entretien par téléphone avec M. Da 3, fils de Eillea 502 (NOUS NE REPONDONS PAS DE LA CORRECTION ORTHOGRAPHIQUE). Nous parlâmes des affaires suivantes :
PREMIERE : PREHISTOIRE DE UMMO. Apparition de l’homme il y a 44 millions d’années de UMMO, soit 9.318.000 années terrestres. Là-bas, l’origine est polygénique ; par contre, dans notre planète, il est monogénique. Au commencement de leur civilisation, les hommes exprimaient leurs histoires à l’aide de branches d’arbres liées en forme de chapelet. Plus tard, ils écrivaient sur des lames très fines de cuivre, avec des poinçons en bois, en appuyant ces lames sur une couche molle de feuilles mortes. Leur façon d’écrire rappelait celle de l’alphabet des grecs. Ils écrivaient idéographiquement, d’une manière très stylisée, en utilisant des figures géométriques. Un homme était représenté par un « V » à l’envers avec un petit cercle en haut. Ils n’enterraient pas leurs cadavres : ils les incinéraient. Les peintures des grottes de Altamira ont gandement attiré l’attention des habitants de UMMO.
DEUXIEME : MEDECINE. Je lui demandai de me parler de la cervicarthrose (Maladie dont je souffre), et il me fit une dissertation sur l’acide nucléique que j’ai comprise à moitié. Il précisa que les êtres de UMMO n’avaient pas les vices de conformation que nous avons sur terre.
TROISIEME : VOYAGES INTERPLANETAIRES. Je lui demandai le temps qu’il leur fallait pour venir sur la Terre : il me répondit que bien que la distance que parcours la lumièresoit de 14 années, eux, ils peuvent faire le voyage en 7 mois avec de très bonnes conditions isodynamiques. En lui faisant remarquer que cette durée était très longue, il m’indiqua qu’ils avaient fait des voyages qui avaient duré six ans. Je lui demandai alors s’ils ne souffraient pas de claustrophobie, et il me répondit que les conditions de vie à l’intérieur du vaisseau sont très bonnes : ils disposent d’une atmosphère propre et peuvent se servir de la télépathie pour se mettre en rapport avec leur famille. Ils possèdent une structure cérébrale différente de la nôtre, et, par conséquent, ils ne connaissent pas des névroses telles que la claustrophobie. Ils n’ont aucun trouble psychique mais ils se souviennent de leur famille pour prier. Monsieur Da 3 a 27 ans terrestres, il est marié et a un garçon de 4 ans.
QUATRIEME : CIVILISATION DE LA TERRE. Quand je lui demandai si la vie et la civilisation de la Terre étaient connues dans UMMO, il me répondit affirmativement en expliquant que cela était dû aux informations qu’ils envoyaient depuis la Terre parmi lesquelles certaines étaient pour eux difficiles à croire. S’ils les admettaient, c’était grâce à la solvabilité morale de ceux qui se détachaient sur la Terre. Je lui demandai alors ce qui avait le plus attiré l’attention de UMMO que sur notre planète ; il me répondit que sans aucun doute c’était la surprenante ressemblance entre leur UMMO-WOA et notre Jésus-Christ. Leur UMMO-WOA est né à la moitié de la première époque, c’est-à-dire il y a environ 4.700 ans. Il m’avertit qu’il y avait une difficulté à comparer la date d’un fait de UMMO avec celle de la terre, puisque les temps dans les deux planètes ne sont pas simultanés. Il m’apprit aussi que, depuis que la culture commença à se faire palpable dans UMMO, ils divisèrent le temps en époques. En ce moment, ils en sont à la troisième époque. Chaque époque est de 10.000 années-UMMO, équivalentes à 2.117,82 années terrestres, donc 1 an terrestre vaut 4,7218 ans-UMMO.
CINQUIEME : APPRENTISSAGE DES LANGAGES TERRESTRES. Je lui demandai comment ils s’arrangèrent, en arrivant sur terre, pour apprendre la langue du pays sur lequel ils atterrirent, et il m’expliqua qu’ils se lièrent d’amitié avec un jeune français avec lequel ils se faisaient passer pour des étrangers. Ils le faisaient lire des articles de journaux pour enregistrer sa prononciation. Plus tard, ils achetèrent un livre dans lequel se trouvaient des dessins d’objets avec leur expression graphique, et ils le faisaient lire. Il m’avoua qu’ils avaient eu plus de travail en apprenant à distinguer les diverses nuances sans se tromper en parlant deux langues aussi rapprochées que l’espagnol et le français, qu’en apprenant directement une langue terrestre. Je lui demandai comment ils firent audébut sans argent, il me répondit qu’ils furent obligés de le voler et dès qu’ils purent, ils le rendirent. Ensuite ils reçurent des billets de banque anciens français, falsifiés sur UMMO. Maintenant, ils obtiennent l’argent par des procédés licites. Il me promit qu’ils m’enverraient plus tard le récit de leurs premiers pas sur la Terre, que j’ai déjà reçu et qui est de 30 pages.
SIXIEME : CULTURE TERRESTRE. Après lui avoir demandé comment ils faisaient pour obtenir des informations sur les divers aspects de notre culture et les envoyer à UMMO, il me répondit qu’ils le gravaient sur du cristal pur de titane ; par exemple, pour graver « El entierro del Conde de Orgaz » (« l’enterrement du Comte de Orgaz) du Greco, ils durent s’arranger pour décomposer le tableau en petits points d’un micron carré, aujourd’hui appelé micromètre carré. Dans chaque atome de titane, ils codofient trois chiffres : le premier représente les ordonnées, le deuxième les abscisses et le troisième l’intensité du chromatisme. Ensuite, on peut reconstituer exactement le tableau. Pour graver sur du titane, ils utilisent d’après ce que j’ai cru comprendre (son explication était très complexe), trois radiations en forme de trièdre, lesquelles coïncident précisément en un point interne qui est l’atome qui doit recevoir l’information. Tout cela est expliqué en détail sur les feuilles que j’ai reçues postérieurement. J’ai cru comprendre que le titane devait être à une température voisine du zéro absolu, pour éviter que se produise une vibration continue de ses atomes. Dans les grands ordinateurs de UMMO, ils ont des cristaux de titane dont le volume atteint 2 m3. Cependant ceux qu’ils utilisent ici sont très petits, ils ont un volume de 1 mm3. Je lui demandai le nombre d’atomes qu’ils pourraient codifier dans un morceau de titane aussi petit, et il me répondit en me donnant des chiffres que je ne suis pas sûr d’avoir bien recueillis ; mais je crois qu’il avait dit qu’un micron cube contient approximativement un million d’atomes, et comme un millimètre cube a 10 puissance 9 microns cubes, cela veut dire qu’il y a 10 puissance 15 atomes, quantité suffisante pour codifier ce que l’on veut.
SEPTIEME : PROTEINES TERRESTRES. Une des choses qui les préoccupa le plus en arrivant sur terre, c’était de savoir si les protéines des aliments que nous mangeons étaient lévogyres ou dextrogyres, puisque nous (les terriens) nous avons dans notre organisme une structure lévogyre (comme eux) et si nous mangions des substances dextrogyres, nous serions mortellement intoxiqués. Au début, ils devaient utiliser leurs aliments synthétiques, mais maintenant, ils mangent de la nourriture terrestre, à laquelle ils eurent assez de mal à s’habituer, surtout parce qu’ils n’utilisaient pas de l’huile, mais des sauces lactées.
HUITIEME : THEMES DIVERS. Il parla ensuite de divers sujets que je lui suggérait au fur et à mesure, tels que la politique, l’économie et la sociologie. J’esueus l’impression qu’ilavait de grandes connaissances en médecine, en physique, en chimie, en mathématiques et sur n’importe quel thème, parmi lesquels certains étaient tellement complexes que je n’arrivais pas à la suivre.
NEUVIEME : VIE SUR D’AUTRE S PLANETES ; Il me dit que la vie n’existait pas dans d’autres planètes de notre système solaire sous la même forme que sur la Terre, mais que c’était une vie primitive. Je lui demandai s’il s’agissait de végétaux ou d’animaux, et il me répondit que dans ces cas-là, il est très difficile de distinguer à quelle catégorie ils appartiennent. Il choisit l’exemple des virus
(qui quand les conditions) ? mention manuscrite
sont défavorables, ils se cristallisent, c’est-à-dire qu’ils se transforment en minerai et quand elles sont favorables, ils se développent. Il m’apprit que les canaux de Mars étaient des erreurs d’optique dues à l’aberration de la lumière, et que là-bas, il n’existe que quelques lichens. Il me dit qu’ils fournirent des informations à un éminent scientifique allemand sur un thème de sa spécialité, et il le trouva tellement intéressant qu’il le publia dans une revue en disant que c’était un farceur qui l’avait aidé.
DIXIEME : ARMES PLASMATIQUES. Il m’exprima son regret pour le développement que connait la technique nucléaire à des fins guerrières et me dit que ce serait encore pire si dans dix ou douze ans, on arrivait à une plus grande connaissance du plasma et on parvenait à faire des armes de plasma, ce qui pourrait entraîner la fin de l’humanité, comme cela est arrivé dans une autre planète qu’ils ont visité et dont la surface était complètement vitrifiée.
ONZIEME : METHODE D’ENREGISTREMENT SONORE. Une méthode d’enregistrement sonore sans pièces mobiles, donnée à une personne de Madrid dont j’ai oublié le nom, fut méprisée et cassée par celle-ci qui croyait qu’il s’agissait d’une farce, et c’est pour cela qu’ils disent qu’ils ont choisi des personnes, pour envoyer ces messages, desquelles ils pensent qu’elles n’allaient pas les détruire.
Note : le mot « cassé » souligné est accompagné d’un mot manuscrit illisible.
D170
OUMMOAELEUEE
Pour l’Espagne
Nombre de copies : une
Association Eridani Espagne
A nos respectables amis :
Deux de nos frères et moi venons de retourner en Espagne, notre voyage a eu comme objectif de récupérer les équipements. C’est-à-dire les appareils d’étude géologique, la documentation, machines à écrire et échantillons artisanaux. Nous ne pouvions rester plus de temps pour des raisons de sécurité. Reste encore un de nos frères qui attend son départ pour un pays sudaméricain. C’est tout ce que nous pouvons dire sur notre récent séjour en Espagne.
Pardonnez-nous les fautes de typographie, si nos lettres antérieures contiennent quelques fautes de typographie. Nous n’avons pu disposer d’une machine construite dans votre pays, en outre nous comptions sur un cordial collaborateur de la Terre né en Amérique latine.
Nous avons suffisamment de rapports sur la réunion réalisée pour vous Espagnols à Barcelone. Nous confessons que nous craignions vous voir adopter par excès de zèle une position panégyrique qui, bien que compréhensible, porterait préjudice au cours de nos contacts avec vous. Nous ferons selon les dates qui restent à notre disposition. Le niveau d’objectivité équilibrée nous a conforté intensément. Nous ne cherchons pas à blesser les organisateurs restants mais nous désirons préciser que méritent des félicitations spéciales Farriols Calvo Rafael et Nordlin Franz Hiltrud.
Merci à nos amis pour cette démonstration d’impartialité. Comme toujours, nous réitérons que vous devez voir en nous un groupe incertain, revêtu seulement d’une valeur purement anecdotique, et ne pas compromettre du tout votre prestige en défendant notre identité. Nous vous supplions de bien vouloir excuser cette période de silence. Nous avons besoin de cette période de précautions jusqu’à que nous ayons constaté l’innocuité des conséquences de cette réunion.
Nous reprendrons rapidement l’envoi de ces rapports en cours d’expédition, adressés à vos frères MM. Dominguez Juan et Farriols Rafael, nous prévoyons d’autres envois à MM. Gil Antonio, Martinez Joaquin et d’autres de vos frères.
Il est possible que nous puissions fournir quelque rapport intéressant si l’un de vos frères pouvait se déplacer jusqu’à Londres. Parce que nous avons constaté que la quasi totalité des lettres sont interceptées quand nous les envoyons par le canal postal international. Si l’un de vos frères pouvait se déplacer entre le 26 septembre et le 8 octobre, nous lui remettrons cette information sans risque d’interception (voie postale intérieure Londres), nous pouvons aussi la lui remettre s’il se rend à Stockholm ou à Malmoë entre le 21 septembre et le 23 octobre.
Le message que nous vous remettons doit être conservé jusqu’au 20 janvier 1974 et si nous ne sommes pas revenus sur Terre, il sera ouvert et on le fera connaître aux frères intéressés.
Tous mes frères abandonneront la Terre entre le 29 octobre et le 15 novembre. La probabilité de retour est de 65,14 pour cent.
Ce document a été remis à un frère de nationalité australienne et à un frère de nationalité canadienne. Nous désirons aussi le remettre à un frère de nationalité espagnole et à un frère de nationalité indienne.
Si l’un des membres du groupe Eridani se déplace il devra écrire à
- Borel, Hotel Imporial, 22 rue Royal, Compiegne (Oise) (Ndt: ces six mots en français,) dans une enveloppe qui ne portera aucune nom et adresse de l’expéditeur ou une adresse fausse, on introduira une feuille de papier en spécifiant le nom de votre frère qui voyage dans ce but. Il est capital qu’il se déplace (Londres, Stokholm, Malmoë ) aux dates de séjour, sans donner par écrit le lieu de résidence.
De plus retenez un chiffre clef que nous fournirons avant six jours à votre frère Dionsisio Garrido ou bien à votre frère Jorge Barrenechea.
Recevez notre cordial symbole d’amitié.
UMMOAELEWE
Langue : espagnol
Nombre de copies : zéro
10 octobre 1973
Eridani
Respectables amis :
Je désire vous informer en urgence que notre collaborateur se trouve à Madrid, que nous lui avons ordonné d’apporter en ce moment le document que nous désirions vous remettre, pour des motifs de sécurité, dans une autre capitale européenne. De cette façon nous évitons les inconvénients inhérents à un déplacement trop long. Vous comprendrez que d’autre façon la remise serait difficile sans passer par le canal postal international, qui ne nous offre aucune garantie. Nous pouvons en ce moment que je me trouve en Espagne, réaliser l’envoi, à chacun de vous, d’un des documents, que nous déposons (quatre au total) aux mains des hommes de la Terre, à partir d’un texte commun apportant une information particulière indépendante.
Il n’y a rien à faire sinon attendre nos notes avant le 1er décembre, notre collaborateur a reçu des instructions bien que nous ne nous rencontrerons pas avec vous.
Seulement dans le cas grave, où il tenterait vainement de réaliser la livraison, pour raison de force, ce même collaborateur se transformera alors en dépositaire définitif.
Celui que nous remettrons, dans le cas contraire, devra être conservé caché jusqu’à la date retenue avec lui.
Nous ne désirons pas vous inquiéter du tout. Le document résume une série de points que nous exposons aux experts de la planète Terre dans le cas où nous en la quitterions.
D172
UMMOAELEWEE
Nombre de copies : UNE
Langue :ESPAGNOL
Date : 22 janvier 1974
Adressée à monsieur AGUIRRE CEBERIO JUAN
MADRID Espagne
CONFIDENTIEL
Nous vous demandons de ne pas photocopier ce document
Monsieur : Ce document n’est pas un rapport. Vous pouvez le lire, bien sûr, à vos frères, mais à cause de la nature de quelques suggestions et observations que nous formulons, nous préférons demander d’éviter sa diffusion générale. Conservez, monsieur, cet exemplaire dans le cas où vous décideriez de passer outre à nos conseils. Il est évident que vous et vos frères peuvent ignorer la nature de ces suggestions et refuser de les observer en tout ou en partie.
Si nous osons les suggérer, c’est parce que nous jugeons qu’elles sont fondées sur une information majeure que nous possédons sur votre cadre social et parce que cela ne supposera pas une obéissance à une quelconque discipline idéologique ou une adhésion à des principes philosophiques qui pourraient vous être nocifs.
ANTÉCÉDENT
Mon nom est DEEI 98, engendré par DEEI 97, et je classe cette lettre comme la seconde adressée à votre personne. A mon retour au pays d’Espagne, j’ai pu analyser toute l’information qui a été recueillie par les miens, au cours de ces années, sur vous et vos frères.
Ainsi, je sais que les premières réunions, qui avaient lieu dans l’établissement du café LYON de la rue Alcala, ont cessé, réunions organisées par votre frère Fernando Sesma, premier homme d’Espagne qui reçut l’autorisation de divulguer l’un de nos messages.
J’étais informé que des divergences de jugement, alliées à un virage dans votre attitude mentale envers nous, provoqua une scission au sein de cette petite communauté (nous l’appelons microréseau) isolant un noyau d’humains très intéressés par notre existence et par le contenu de l’information que nous continuons à fournir.
Simultanément, un troisième groupe d’Espagnols, composée pour sa plus grande part de jeunes, décida de fonder une association de caractère légal en vue de l’étude de la phénoménologie O.V.N.I.
Progressivement, tous vos frères décidèrent d’adhérer à cette association légale, après la déclaration de la part des miens que nous refusions de remettre données et messages à tout groupe qui ne serait pas articulé selon la législation en vigueur dans cette nation.
La mesure de prudence n’était pas une vraie obligation, mais une mesure adoptée par mes frères, connaissant les risques possibles que vous pourriez affronter, si vous continuiez à vous réunir de manière informelle sans aucune protection juridique.
On m’a informé que de sérieux ennuis étaient survenus à l’intérieur de la nouvelle société pour des raisons pas très bien connues de nous mais qui touchaient clairement au thème de l’intérêt montré pour nous par quelques membres. Nous déplorons, sincèrement, que ces querelles internes surgissent à cause de nous. Nous constatons que beaucoup de jeunes membres abandonnent ce groupe social et répandent une série de rumeurs sur les membres actuels de cette société.
Ces rumeurs et la mythification, qui a été postérieurement générée sur ces bases, sont le motif de cette lettre.
Si ces versions ne nous concernent pas ou ne font pas courir le risque que nos relations avec vous puissent en rester profondément altérées (de fait, dans une étape antérieure, elles eurent une incidence si grave que, pour vous éviter des troubles, nous nous vîmes obligés d’annuler longtemps les envois de messages), cette lettre n’aura pas de raison d’être et nous n’oserions pas essayer de vous influencer avec nos conseils.
N’oubliez pas qu’une des prémisses sur lesquelles nous basons notre relation avec la communauté des frères de la Terre est que cette correspondance puisse se réaliser de façon à passer inaperçue des autres humains non informés. Aussi, quand nous apprenons que certaines nouvelles sortent du circuit fermé de n’importe quelle nation pour transiter dans des milieux sociaux étrangers, d’une façon que nous pouvons qualifier de dangereuse, nous devons imposer notre interdit à ces relations.
La version qui, selon mes informations, circulait à votre propos, version procédant des anciens membres dépités et envoyée à différents ovniologues de la nation Espagne, était, dans ses traits les plus accusés, la suivante :
(Ndt: la partie qui suit en italique est en lettres droites sur l’original…)
» Une organisation ésotérique, qui prétend s’appeler » êtres d’une planète imaginaire Ummo » a réussi à gagner à sa cause une série de madrilènes et de catalans, enrégimentés par les personnes suivantes : Antonio Ribera Jordá, Dionisio Garrido et Rafael Farriols. Cette organisation internationale, possesseur de moyens de diffusion importants et soutenue par d’énormes fonds financiers, utilise comme » cheval de Troie » en Espagne un pauvre fou crédule, Fernando Sesma dont le délire ou la manie bien connue de tous consiste à se croire » homme contacté par les extraterrestres « . Le groupe international Oummo profite des délirantes réunions de la Baleine Joyeuse, nom sous lequel est connu le sous-sol du café Leon de Madrid, pour gagner des adeptes qui doivent recevoir de l’argent en grande quantité de leurs » maîtres « .
On ignore les véritables buts de cette secte ésotérique Les membres du groupe espagnol, commandés par les dits trois maîtres de Barcelone et Madrid (il semble que le grade de maître soit passé d’Antonio Ribera à l’industriel M. Farriols, depuis une lutte interne à laquelle les deux se livrèrent pour diriger la secte).
Ces buts semblent être religioso-philosophico-ésotériques, et non politiques, comme on le craignit au début.
Les membres de Madrid sont le groupe le plus nombreux, bien que la direction appartienne à ceux de Barcelone. Des noyaux ésotériques se sont formés à Séville, Alicante et Valladolid. A Madrid, le grade de maître est arboré par un certain Dionisio Garrido, qui a réussi des guérisons miraculeuses comme celles d’un enfant bleu et de deux cancéreux
Il semble que les guérisons soient de caractère parapsychique, mais les fanatiques du groupe les attribuent aux extraterrestres d’Oummo.
Ils sont totalement convaincus que les consignes mystérieuses sont reçues directement d’Oummo ou de ces êtres qui descendent d’O.V.N.I. périodiquement.
Les membres ne mangent pas de viande (ils sont strictement végétariens), ils gardent une chasteté stricte quand, à certaines périodes, les maîtres d’Ummo l’ordonnent, prêchant l’Amour et la Fraternité universelle et s’appelant entre eux » frères « . Tous les six jours (quelques fois ils passent des périodes plus longues sans consignes), ils reçoivent des lettres qui arrivent d’Australie, de Londres ou d’Allemagne qu’ils appellent messages et qui contiennent la doctrine de la secte. Ces messages sont signés par un personnage qui dit s’appeler DAA-trois. Certains révèlent un net savoir scientifique. Ils sont habituellement très bien rédigés, indubitablement leurs auteurs détiennent une certaine formation scientifique, procédant d’universités distinctes et se différenciant beaucoup des classiques textes de médiums, spirites ou des écrits théosophiques, rosicruciens, etc…
Il semble que ceux d’Ummo, – à l’égal de l’Opus Dei, autre secte plus importante que celle d’Ummo, – bien que cette fois avec moins de moyens financiers, tendent à choisir leurs membres, non pas dans les classes peu cultivées mais parmi les universitaires, d’où le langage technologique qu’utilisent les » maîtres d’Ummo « .
Les membres célèbrent d’étranges cultes de nature inconnue, puisque seuls les adeptes peuvent y assister, célébrés avec tout un luxe de précautions. Des nouvelles, pas trop claires mais précises et sûres pour ceux qui les reçoivent, signalent qu’un monsieur (NOUS OMETTONS LE NOM) a pu assister à l’un de ces cultes qui se célèbrent, à l’égal de ceux de Madrid, dans la capitale Barcelone. Madame Ribera, qui paraît y agir comme maîtresse ou prêtresse, initie le rite en murmurant une prière ummite. Ensuite, tous les assistants commencent à poser leurs mains sur les épaules et les poitrines des autres. Puis, ils s’agenouillent tous devant madame Ribera pour invoquer la présence d’un extraterrestre. Arrivés à ce point, il semble que les assistants souffrent d’hallucinations ou de suggestion collective, car tous pensent et croient qu’à ce moment leur apparaît un Oumite. Ensuite à la fin, l’assistance écoute, debout respectueusement, un rapport d’Ummo, M. Ribera commente la lecture et dirige le débat. Ce récit du culte actuel provient d’une personne dont nous omettons le nom, personne d’autre part très portée à la fantaisie et dont je ne réponds pas de la rigueur et de la véracité, mais il est certain que ces cultes ésotériques se célèbrent mystérieusement à Séville, Madrid et Barcelone.
Des informations nous sont arrivées qu’il y a quelques années existait aussi un noyau d’adeptes à Barcelone, où des rituels magiques pouvaient même se célébrer avec des corps humains. Un de ces fameux messages oumites était lu ensuite et cela constitue un démenti à cette rumeur. Il paraît qu’à Albacète une dame marquise accueillit à son domicile deux figures de la secte qui se faisaient passer pour des médecins nordiques.
Ce dernier fait est très significatif. Les origines de cette organisation provenaient probablement de pays du nord de l’Europe.
Quoiqu’il en soit, il est certain que les rares adeptes de Madrid, car il ne semble pas qu’ils excèdent de beaucoup une cinquantaine, sont de fanatiques adeptes des prétendus extraterrestres ou aliénogènes
Il semble que l’association Eridani soit un échantillon des manœuvres ésotériques de ces adeptes.
Un à un, sans révéler leur fidélité à l’organisation secrète, ils furent inscrits à l’organisation scientifique pour l’étude des O.V.N.I.S, jusqu’à en constituer la majorité.
Le président, un certain Peña, homme de formation scientifique mais de volonté faible, qui pensait naïvement qu’en se faisant ami des fanatiques il pourrait découvrir la vérité de la secte, leur permit l’entrée bien qu’en sachant qu’ils appartenaient à la secte, jusqu’à ce qu’il tombe dans leur réseau et se convertisse en un adepte de plus.
Alors, au cours d’une assemblée, ils expulsèrent le reste des jeunes qui jusque là s’étaient transformés en paladins de la lutte antioumite. Depuis, personne n’a entendu parler de cette association qui, auparavant, avait développé des études intelligentes sur les O.V.N.I.
D’abord, ils nous informèrent qu’elle était dissoute. Mais, des nouvelles récentes indiquent qu’ils ont recommencé à réapparaître dans un sous-sol de la rue de Bellen à Madrid (zone de Santa Barbara) et que les luttes internes continuent dans l’association entre ceux qui gardent l’esprit antioumite et les partisans d’Ummo, et que ceux-ci battent en retraite, non parce qu’ils sont plus faibles, puisqu’ils ont une forte protection économique, mais parce qu’ils considèrent peu secrète cette base d’opérations.
Plus tard, les adeptes d’Ummo dans toute l’Espagne (environ une centaine) célébrèrent un symposium à Barcelone organisé par le grand maître.
On compte parmi les adeptes des anciens et des jeunes mais avec prédominance d’un grand nombre d’intellectuels, ingénieurs, avocats, médecins, chimistes. Ils n’autorisent pas l’entrée aux journalistes et il semble qu’ils annulèrent finalement le projet de célébrer publiquement un de leurs mystérieux cultes ou rites, ce qui est le point très intrigant de cette histoire, car il semble qu’il se produise des guérisons miraculeuses ou que parfois une telle guérison se réalise par suggestion.
Nous savons qu’ils ne diffusent aucune revue, pas même clandestinement. Ils gardent jalousement quelques rapports et seuls les très vieux adeptes peuvent les lire. Nous avons parlé avec le fameux professeur Sesma et il se targue de ne pas croire qu’ils soient extraterrestres. Mais je ne me fie que très peu à ce vieux roublard. Nous n’oublions pas qu’il fut le fondateur. De plus, on le voit souvent en compagnie d’un des chefs de la secte, un certain Francisco Mejorada, qui est un des plus actifs et des plus mystérieux. Nous pensons que tout cela est une très astucieuse tactique et que le vrai MAÎTRE de Madrid est le » professeur » Sesma. Autres faits encore : Qu’un des adeptes d’Ummo, le fameux Sinod, qui est ingénieur de l’Opus Dei et aussi un grand financier (voir ses déclarations dans des revues argentines et espagnoles en faveur d’Ummo), est un signe clair des liens de l’Opus Dei avec ce groupe.
Comme vous voyez, rien n’est clair encore dans cette affaire des adeptes d’Ummo, mais il est extrêmement difficile et sûrement dangereux de se glisser dans leurs rangs, car ils comptent sur les moyens et l’appui de l’organisation étrangère. D’après nos informations, ils vont périodiquement à Londres pour prendre contact avec les » Maîtres « .
Il n’y a pas de doute qu’ils forment un groupe compact, bien plus intelligent que la » Société cosmique » et totalement imperméable.
J’ai pu parler avec quelqu’un qui les connaît très bien, puisqu’il fut membre d’Eridani avant qu’ils l’expulsent. Selon son opinion, ils ne sont pas dangereux, ce sont des pères de famille, de bonnes personnes éblouies par l’effet puissant du mythe des Visiteurs de l’espace. Tous en excellente position économique, car ils ne tolèrent pas d’ouvriers dans leurs rangs, chose qui les rend très odieux, ils voyagent souvent à Londres pour s’entretenir avec leurs maîtres, indubitablement nous pouvons les qualifier politiquement comme des conservateurs de droite. La grande tolérance sur laquelle ils comptent de la part du gouvernement et l’abondance, parmi eux, de fonctionnaires, industriels, catholiques, etc… en sont aussi la preuve
Je crois pourtant qu’ils se donnent trop d’importance, car ils sont une minorité malgré la grande force économique qu’ils possèdent, et ils portent beaucoup préjudice aux études d’ovniologie et créent des divisions entre nous qui nous occupons du thème O.V.N.I. De fait, de telles divisions sont déjà apparues entre Sesma et Lester, et Oummo a coulé les petits noyaux sérieux qui s’occupaient du thème. Il est très possible qu’une des consignes qu’ils suivent soit précisément de discréditer l’existence des O.V.N.I. Ainsi s’explique que leur chef Antonio Ribera se préoccupe de torpiller le CEI de Barcelone et, comme nous l’avons expliqué, le noyau de Madrid coule Eridani, s’emparant, par une manœuvre habile dont le cerveau gris est un certain Villagracias, de son bureau directeur. Ainsi, comme le CEI, résistant et marginalisé par Ribera mais avec plus d’expérience, ces vaillants jeunes très inexpérimentés se virent débordés par les ummophiles… «
Les textes ci-dessus constituent une partie d’une espèce de circulaire qui fut envoyée à différents spécialistes d’Espagne dans le domaine O.V.N.I. Vous-même, M. Aguirre Ceberio Juan, avait pu apprécier déjà, non seulement l’inconsistance de la version offerte, mais l’image que l’auteur de cette circulaire a de vous, que vous pourriez à juste titre qualifier de puérile et hilarante.
Il est vrai que ces textes correspondent à une des idées les plus extrêmes et inexactes qui circulent sur vous, et que d’autres versions sont plus modérées, bien qu’aussi exagérées et aberrantes. Mais elles représentent indubitablement des topiques qui ont été lentement forgées parmi vos compatriotes au cours de ces dernières années.
Avec beaucoup de bon sens, vous pourriez arguer qu’on ne doit pas trop attacher d’importance à des rumeurs disséminées sans base objective par des irresponsables qui adoptent le triste rôle de diffamateurs.
Mais, dans ce cas nous nous permettons de diverger de ce jugement, s’il était ainsi formulé. Une version, enracinée dans certains secteurs, qui souffre de graves déformations, a la vertu de troubler et d’empêcher la communication que nous maintenons avec vous pour des raisons très complexes que nous désirons souligner dans ce texte. N’oubliez pas que le groupe espagnol constitue, dans le contexte de nos relations avec les humains de la Terre, un cas spécial dérivé de raisons historiques que vous connaissez en partie. D’autres hommes de la Terre ont reçu nos rapports sans qu’ils transcendent dans d’autres aires sociales. On connaît l’existence d’Ummo plus par la version espagnole que par les fuites rarissimes émanées d’autres nations.
Je vous répète que cela ne constitue pas une quelconque critique. Au contraire, à son jour, nous tolérons de telles fuites et nous les voyons même comme une expérimentation sociale pouvant vérifier la solidité de notre stratégie envers le réseau social terrestre
C’est pourquoi, vous constituez un groupe limite, craint par nous car, d’une part, nous ne pouvons éthiquement faire pression pour le contrôler (fidèles que nous sommes au contrat de ne pas réduire la liberté de nos amis) et, d’autre part, on est soumis au risque qu’il se transforme en un désagréable point chaud qui annulerait tous nos efforts pour continuer nos contacts avec la Terre.
C’est pourquoi, rien de ce qui vous affecte ne nous est étranger. Nous avons la compensation que tout récit émané du pays d’Espagne sera toujours sous estimé dans d’autres pays, à cause de la triste image qu’ont les opinions publiques des autres nations de la structure de l’état espagnol.
Mais nous préférerions que vous-même nous aidiez à gommer quelque réaction épidermique qui nous affecterait. Ne vous préoccupez pas de ce qu’on dit de bien ou de mal sur nous mais seulement de ce qui SE DIT D’EXAGÉRÉ.
SUPPLIQUE
Réfléchissez, avec une entière liberté, si vous êtes disposé à suivre des règles simples et non compromettantes, qui de plus ont la vertu d’être hautement bénéfiques pour vous, si vous décidez de les adopter avec cohérence et planification. Normes qui ne supposent pas une soumission à des consignes idéologiques ou une subordination sectaire, comme le présument injustement les diffamateurs que nous évoquions dans les paragraphes précédents.
La condition que nous posons pour les mettre en place est qu’elles ne soient pas coercitives mais qu’elles s’imposent par un choix libre de les respecter en tout ou en partie. Cependant, nous vous avertissons que leur efficacité pourrait diminuer considérablement si elles ne sont pas acceptées en totalité.
PROGRAMME RÉSUMÉ.
Nous jugeons valides tous les efforts que vous faites pour reconvertir l’image du groupe de vos frères devant une opinion publique ignorante ; ces efforts peuvent servir en même temps à compléter vos structures intellectuelles respectives. Pour cela, il est nécessaire :
Que l’association que vous formez facilite sa propre dynamique d’activités selon les règles que nous vous exposons ci-après.
De mettre en œuvre une ouverture normalisée pour attirer de nouveaux membres, de ne pas tenter en aucune manière de les influencer pour qu’ils acceptent nos thèmes et de ne pas leur donner accès aux lectures de nos rapports
De s’en tenir à un ferme esprit critique, à de fortes réserves et à la méfiance, quand vous ferez allusion à Oumo face à de nouveaux membres ou à l’opinion publique au travers d’organes de diffusion de l’information.
En définitive, nous maintiendrons des relations avec vous, au travers de cette même association, mais seulement avec les associés qui nous connaissent déjà et que nous considérons comme des amis, mais en compensant par un TRÈS FORT INTÉRÊT pour d’autres activités cohérentes avec le véritable esprit qui anima en son temps la création de cette entité sociale légale
Pour continuer, nous vous suggérons ces conseils pratiques :
NORMES CONSEILLABLES
Vous devrez convoquer immédiatement une assemblée générale des membres et sympathisants qui servira à exposer le programmes des activités futures et réorganiser la structure de l association. Il ne conviendra pas dans cette première phase de modifier la composition du bureau directeur, car cela pourrait donner lieu à des interprétations erronées. En public, si des personnes étrangères sont présentes, évoquer Oumo comme un phénomène très digne d’étude mais sans que cela suppose de se concentrer sur un thème en définitive insoluble, suspect d’être frauduleux et sur lequel, en dernier lieu, on possède peu d’informations.
Vous devrez vous réunir avant cette assemblée, pour organiser et convoquer les sympathisants qui doivent être invités (inviter quelques anciens sociétaires et des amis). Nous vous conseillons comme programme d’activités de choisir deux autres thèmes culturels plus ou moins voisins, qui puissent attirer des personnes des deux sexes à l’association, mais sans abandonner le thème O.V.N.I.
Il est très important d’obtenir l’adhésion à l’association de jeunes pour qui on devra choisir une thématique idoine.
Si vous le désirez, prenez le temps de nous demander si les thèmes spécifiques choisis par vous nous conviennent ou non.
Nous vous suggérons de réaliser un GRAND EFFORT pour attirer de nouveaux membres, au besoin en créant une nouvelle catégorie de membres par l’encouragement d’une cotisation symbolique. Ils pourraient créer eux-mêmes des commissions de travail sur des recherches et études culturelles affectées aux thématiques choisies.
Nous considérons comme très importantes les activités que, selon mes frères, vous réalisiez dans l’ancien siège social. Convoquez des étrangers à l’association conjointement avec les membres actuels pour dialoguer et organiser un mélange de discussions et de conférences non seulement sur ces thèmes mais sur les suivants :
L’INFORMATION ET SES PROBLÈMES
ASTRONOMIE
SCIENCE ET SUPERSTITIONS
LES MÉCANISMES MENTAUX DE LA PERCEPTION
LE CONTRÔLE DU CERVEAU ET SES DANGERS
LES DANGERS DU TABAC
L’HYPERSENSIBILITÉ DES SENS
LES ÉNIGMES DE LA NATURE
LES ÉCOLES D’ART MODERNES
LE YOGA
SÉMANTIQUE ET SCIENCE
VIOLENCE ET AGRESSIVITÉ DE L’HOMME
Ces thèmes doivent être développés par cycles de conférence. Mais, écoutez bien, en alternant avec les autres thèmes, que vous aurez choisis, voisins DES THÉMATIQUES O.V.N.I. et les DEUX AUTRES THÈMES choisis par l’association. Thèmes qui comme nous vous le suggérions seraient développés indépendamment par les trois commissions culturelles créées à cet effet avec leurs présidents respectifs et leurs membres correspondants amateurs.
Ces commissions pourront fixer leurs dates respectives de réunion et vous ne devez pas interdire d’adhérer au moins à n’importe laquelle d’entre elles. Vous devez réserver des dates secrètes pour traiter les rapports secrets que nous vous remettons sans que le restant des membres y ait accès.
Si vous craignez que cela puisse transpirer avec excès, n’interdisez pas l’entrée à ceux des membres qui voudraient y assister, mais en prenant soin, ce jour là, de marginaliser la conversation centrale affectée à Ummo.
Quand vous le jugerez prudent, ou quand nous vous le demanderons, la lecture de certains documents devra être réalisée dans un autre lieu secret.
Nous considérons les thèmes d’étude que nous vous avons suggérés comme très importants. Alternez leur étude avec les thèmes évoquant mes frères. Comme indiqué, il serait à conseiller d’organiser des cycles de conférence qui pourraient être assurés par vos frères de l’association ou par des professeurs invités, si c’est faisable.
Si nos propositions sont acceptées, et si vous le désirez ainsi, nous pourrions aussi faire par téléphone une mise au point sur des thèmes plus spécifiques que ceux plus généraux que nous avons évoqués plus haut.
—————————————————
Si notre proposition est acceptée, nous désirons vous avertir que notre désir est d’écouter à l’intérieur du local (en utilisant nos propres moyens techniques) tout ce qui se dira dans son enceinte.
L’enregistrement des réactions des assistants serait très intéressant pour nous quand on traitera ces thèmes et d’autres.
Dans un prochain appel téléphonique, nous vous interrogerons pour savoir si ces propositions sont acceptées ou refusées et dans quelle mesure.
Nous répétons : vous ne devez pas photocopier le texte de cette lettre ni le reproduire ou le copier par d’autres moyens. Notre désir est que son destinataire conserve cette lettre et veille sur sa divulgation et son efficacité. Ne l’abandonnez pas aux mains d’un autre de vos frères, sauf causes très spéciales, à votre idée.
D173
UMMOAELEUEE
nombre de copies : 1
En Espagne
reçue : 1.12.1976
Monsieur;
A des dates antérieures, nous avons eu seulement trois communications téléphoniques avec vos frères AGUIRRE CEBERIO, GARRIDO BUENDIA et OCHOA SALUD. Aucune autre communication ne provient de mes frères. Nous vous prions d’exercer une méfiance prudente sur ce moyen de transmission de messages, en n’acceptant pas comme vrai n’importe quel message qui n’est pas ratifié ensuite par confirmation postale avec notre sceau. Le reste des appels vient de vos frères dont nous taisons les noms, car ils sont bien connus de vous. Nous ignorons les vraies raisons de leur façon d’agir.
Maintenant, on peut comprendre une des raisons de notre absence d’information. Si vos propres frères introduisent de nouveaux éléments de confusion dans un thème que, pour des raisons pertinentes à notre propre sécurité, nous rendons stratégiquement confus, on comprendra que nous ne pouvons en plus vous soumettre à des états nocifs d’incertitude anxieuse. Nous croyons sincèrement que notre contact avec vous est aujourd’hui réellement perturbateur pour vos vies simples. C’est pour cette raison que nous cherchons une bonne occasion pour présenter sous un jour favorable la nécessité de couper les liens – perturbateurs – qui nous unissent à vous et d’éviter simultanément l’état de déception et de tristesse nostalgique qu’une si brusque suppression génèrera sans doute.
Nous estimons, si vous ne pensez pas le contraire, qu’une formule efficace consisterait à chercher, dans la discipline et la solidarité entre vous, une façon de prendre conscience de la stérilité que supposerait toute intention de plagier nos modes de vie, philosophiques et scientifiques. Continuez de maintenir un léger scepticisme sur l’identité et la vraisemblance d’Ummo et évitez si possible les évocations nostalgiques des expériences passées.
En échange nous n’arrêterons pas définitivement notre information. Nous l’espacerons en la dosant lentement à un rythme mensuel. Et nous nous limiterons à vous informer de notre philosophie et de la culture UMMAAOO.
Nous désirons maintenant faire quelques mises au point
Nous ne pouvons vous interdire de divulguer l’information contenue dans les textes que nous vous remettons. Nous nous sommes toujours limité à vous avertir que si cette diffusion se faisait sans notre consentement et simultanément nous gènait, nous couperions les contacts unilatéraux. Aujourd’hui ce risque a disparu. Nous ne courons aucun danger. Vous pouvez faire usage de cette information aussi librement qu’avant, mais de plus avec la conscience libre de la crainte de nous porter préjudice. Réfléchissez cependant que c’est vous qui pourriez en subir des dommages, si vous n’agissez pas avec cette prudence. Nous pensons que vous violez le droit d’intimité en publiant, sans autorisation des intéressés, les noms inscrits sur les textes dactylographiés que nous avons remis à ces frères Vous devriez également supprimer nos jugements qui pourraient blesser les opinions contraires de vos frères, s’ils étaient publiés. Et, dans tous les cas, il est prudent que l’auteur du livre, dans son prologue, se montre méfiant sur nos témoignages et sur la vraisemblance de notre présence parmi vous, s’il ne veut pas que d’autres frères lui attribuent des facultés cérébrales perturbées.
On ne peut, en toute justice, interdire – sauf les limitations signalées – à un frère de courir un risque, inhérent à cette entreprise de publication de tels écrits.
Prenez en compte, de plus, ce qu’est la situation actuelle de notre séjour sur Terre. A ces heures, nous avons amplement éloigné tout risque que l’humanité de cet astre solide ne soit perturbée par notre présence. Nous avons très souvent remarqué qu’existent, latentes en vous, des défenses cérébrales complexes qui vous empêchent d’accepter socialement cette thèse perturbatrice sans preuves spectaculaires et publiques. Ce sont les mêmes mécanismes d’inertie qui vous empêchent de progresser trop rapidement. Votre réseau social est peut-être structuré ainsi, au contraire du nôtre, pour éviter qu’une trop rapide ascension vers des formes de vie plus avancées ne vous conduise à un désastre de dimension planétaire. Le manque de foi dans l’avenir, la méfiance et le scepticisme, latents chez les humains de la Terre, conduisent vers des formes sociales plus progressives. La peur de la liberté, le fait de vous vous accrocher à des formes de vie périmées et arriérées, le désir de dépendre d’un maître ou d’un dictateur, la ferveur inconsciente pour l’ordre même en violant la justice de répartition, sont d’autres facteurs de défense rétrogrades qui offrent le curieux paradoxe d’être immoraux et aberrants quand ils constituent le mode de vie d’un de vos frères. C’est pourquoi les meilleurs d’entre vous ne pensent pas ainsi. Les plus intelligents d’entre vous exècrent cette façon de penser, mais cependant vrai que, présente dans une société, elle vous protège des avancées excessives qui produiraient, en accélérant leur cours, des catastrophes subséquentes.
C’est pourquoi il n’y a pas de danger que l’authenticité de notre existence soit socialement acceptée, il n’y a pas de risque à ce que certains parmi les humains nous croient puisque, malgré le grand enthousiasme qu’ils pourraient mettre à propager nos idées, ils n’obtiendront jamais autre chose qu’un sourire méprisant ou d’être pris pour fous .
Au cas où cela ne suffirait pas nous avons déjà établi notre stratégie (et nous avons mis un point final à cette tâche il y a quelques mois) de façon que, si quelqu’un de plus sagace émet quelque soupçon que notre groupe est réellement puissant et possède une information difficile à expliquer logiquement sur Terre, on attribue notre identité à un puissant État de la Terre. De cette façon s’expliquerait que nous possédions une information fiable sur l’alerte atomique décrétée par votre président et que nous l’ayons transmise au bon moment à nos amis de différents pays.
Non. Ne craignez pas de nous porter préjudice. Nous disposons d’une astuce suffisante et d’une connaissance du psychisme de certains spécialistes pour introduire le niveau suffisant de bruit qui perturbe n’importe quelle conclusion intelligente qui pourrait nous atteindre. C’est vous qui devez faire attention. Puisque, si nous avons choisi comme couverture une fausse identité correspondant à certaines institutions d’une puissante nation (et nous avons fait, après réflexion, le choix d’utiliser les moyens les plus abjects à la lumière de la morale de la Terre). Il est naturel que ceux qui ont pris conscience que nous ne sommes pas » eux « , se sentent perplexes et désirent clarifier la vérité. Il est évident que dans cette guerre des nerfs vous êtes les plus faibles.
Mais le groupe espagnol de nos amis de la Terre est précisément celui qui est le moins protégé. Le plus exposé, puisque par notre faute (mes frères à la première époque du séjour réalisaient des expériences sociologiques que vous connaissiez à l’époque), c’est le seul qui a fait connaître nos contacts dans des publications, reproductions et réunions publiques. Vos frères du Canada, Angleterre, Australie, Tchécoslovaquie, et de tout autre pays, ont gardé, avec une plus grande prudence et en suivant avec discipline nos conseils, un secret si hermétique qu’il les protège pleinement de ces risques. Une fraction considérable de l’opinion publique vous connaît déjà et vos noms sont dans les fichiers d’organisations, qui pourraient un jour vous ennuyer. Comprenez-vous maintenant notre appel angoissé à la prudence ? Comprenez-vous maintenant que nous espacions nos informations écrites pour ne pas trop vous perturber ?
D174
UMMO-AELEWEE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : UNE
Date : 15.01.1981
Monsieur : En premier lieu, un salut distingué à votre YIIE (épouse) à qui nous désirons poser notre main sur sa noble poitrine si cette possibilité était envisageable…
Nous vous prions instamment de ne pas considérer la conduite de vos autres frères, vis-à-vis de nous, comme un foyer génésique de discordes entre vous. Sincèrement, nous ne nous considérons pas gênés par des attitudes manquant de discrétion, puisque quand elles se manifestent nous disposons d’un système polyvalent d’autodéfense qui nous protège de tels risques. Il n’est pas facile de demander à l’oemii de la Terre des noyaux de conduite rationnels et sensés, et en cela le plus souvent il ne s’agit pas de culpabilité, mais de déficience fonctionnelle neuroencéphalique. Ne soyez pas exigeants avec vos bons frères humains qui chaque fois travaillent transportés par un enthousiasme explicable, puisque d’autres fois vous mêmes commettez des erreurs graves par inadvertance, et aussi puisque, dans de telles conjectures, ils se sentiront humiliés devant des critiques étrangères fortement exigeantes. Nous préférons vous juger en fonction de votre honnêteté passionnée et de votre enthousiasme pour un noyau d’idées qui, en fonction de vos schémas intellectuels, nous paraissent aussi respectables. Ceci est l’explication triviale du fait, vérifié par vous, que parfois nous avons élu, comme vos frères humains, un oemii souvent immature intellectuellement, enclin à une philosophie irrationnelle ou magique, impulsif dans ses conduites réactive, incapable de garder peut-être un secret et des règles de vie simples et anuclées.
Parfois en vous des schémas rigides intellectuellement peuvent paradoxalement constituer un frein à la libre réflexion et à l’acceptation d’idées transcendantes. Si une mentalité encline à la magie peut sans doute étouffer une conception de l’univers sur des lois rationnelles, un cerveau excessivement quadrillé dans les modèles scientifiques en vigueur jugule parfois des voies ouvertes à une conception cosmologique correcte. Ne violez jamais le droit sacré des autres à penser, bien qu’on courre le risque de s’abandonner, comme c’est arrivé dans votre réseau social critique actuel, à des courants irrationnels très dangereux. Utilisons un exemple : Quelqu’un tente de corriger des mouvements orogéniques pour prévenir un tremblement de terre. Il pourra provoquer des troubles plus graves encore dans l’écorce géologique de cet astre froid. Nous ne pensons pas que la formule efficace pour combattre ces courants idéologiques très dangereux se réduise à intimider par la force le droit qui aide quelque cerveau à exprimer librement ses schémas mentaux, aussi malades qu’ils paraissent, mais de leur opposer, avec des arguments convaincants et accessibles à la majorité du corps social faiblement dotée intellectuellement d’autres schémas basés sur les sciences rationnelles, mais exempts de dogmatisme scientifique.
D176
UMMOAELEWEE
KUALA LAMPUR
Destination EESPAGNE
Nombre C. Un
27 février 1983
Adresse AGUIRRE CEBERIO JUAN
ESPAGNE MADRID
MONSIEUR AGUIRRE CEBERIO Nous vous envoyons cette lettre en tant que porte-parole de ce microréseau de vos frères de Madrid, Espagne. Exprimez nos saluts respectueux à Antonia, votre Y.
Par le biais de votre frère Jimenez Marhuenda (Luis), habitant Alicante, Espagne, nous avons eu connaissance de soirées-débats dont nous possédons en mains propres les cartes d’invitation qu’il remit à d’autres de vos frères et le photogramme de l’imprimé fournissant les horaires et les programmes des exposés.
Indubitablement, si ces colloques de débats évoquent notre civilisation, cela nous intéresse au plus haut point, et c’est la raison de cette lettre.
Nos frères et nous, déplorons de ne pas nous trouver en Espagne, mais d’être le contraire. Sans doute aurions-nous trouvé le moyen d’être présent en personnes, ou d’ entraîner une difficulté insoluble par le risque d’identification, en utilisant nos moyens techniques de recueil des images et des sons. Mais comme nous maintenons un contrôle discret de la correspondance et de votre canal téléphonique, monsieur Aguirre Ceberio et vos frères Farriols et Jimenez, nous vous connaissons en suivant et il nous est extrêmement agréable de recevoir des informations sur vos frères espagnols que nous ne sous-estimons pas en regard de vos autres frères du Canada, France, Australie, Pologne et autres nations de la Terre, amies de notre microréseau de frères provenant d’Ummo.
Avant de poursuivre notre texte, une modeste demande que votre honorabilité saura satisfaire avec une honnête onction.
Vous pouvez lire ces lignes dactylographiées et transcrire mot à mot sur une autre machine à écrire les fragments de texte qui sont signalés sur l’original par une ligne verticale noire et qui peuvent à leur tour être reproduits par les techniques de reprographie.
Prenez soin d’annihiler par incinération les feuillets originaux. Ils contiennent un reliquat de textes que nous ne désirons pas voir en diffusion multicopies, car ils pourraient blesser les sentiments d’autres de vos frères d’OIAAGAA.
Nous avons donné des instructions à l’une de vos sœurs de Madrid pour qu’elle vous remette cette lettre en personne en correspondance avec les dates des 19 et 20 des mois de février et mars 1983 auxquelles vous convoquez ces colloques. Nous avons préféré cette voie pour éviter de possibles interceptions par une Agence non espagnole qui a intérêt à s’emparer de nos lettres. Nous savons par le bottin et des appels téléphoniques que le directeur du Grand collège de Saint Augustin s’appelle Manuel Alvarez, de profession moine catholique augustinien, qui figure dans la liste des convocations comme coparticipant à la journée du 20 mars. En tant que moine catholique, nous lui recommandons cette lettre sans risque de méfiance et de fuites possibles vers d’autres intermédiaires.
Nous aimerions être présent de cette façon en cette occasion sinon physiquement mais en image symbolique respectée par vous et tous vos honorables frères qui vous accompagneront en ces journées lumineuses.
Nous désirons ardemment, monsieur Aguirre, que cette lettre, bien qu’adressée à vous, soit lue à vos autres frères à voix haute par votre frère Farriols Calvo, très apprécié par mes frères. Priez le de faire cette différence de lecture préférentielle.
Et maintenant acceptez ce bref message.
Honorables humains d’Espagne réunis à Madrid
Il est probable que vous vous interrogez: Pourquoi ces hommes d’Ummo ne nous envoient-ils plus de messages ?
La réponse apparaîtrait dotée avec densité de raisons complexes de nature distincte. Il est certain que la cause ne réside pas dans l’absence, nous sommes sur cet astre froid de Terre (OIAAGAA), bien qu’un intervalle de temps en 1982 se soit écoulé sans notre présence, et que nous abandonnions cet Astre avec une certaine périodicité.
Dans des messages précédents, nous vous avons exposé les raisons, encore valables, relatives au risque de vous provoquer des perturbations graves. Vous êtes des passionnés sans le vouloir et vous avez tendance à transformer en culte un globule de données structurées à propos d’une civilisation, oubliant que vous devez rester fidèles à votre propre culture, à votre propre civilisation, sans ingérences bâtardes qui pourraient faire préjudice au cours historique de votre réseau social.
Dans vos approches manichéennes se manifeste une double tendance: ou bien vous montrerez une attitude sceptique de rejet de notre version, Attitude qui mérite des éloges pour sa formulation logique, mais ainsi conçue qu’il n’existe aucune raison de notre part de continuer à maintenir un canal d’information qui sera systématiquement dédaigné et rejeté comme frauduleux; ou bien une partie de vos frères adoptera des postures mentales de respect, de vénération, d’étonnement et une compulsion aiguë à l’assimilation exaltée de nos propres coordonnées culturelles.
Cela implique le mépris des formes anciennes de la Philosophie, de la Religion, de la Science et de l’Histoire aborigènes de la Terre, le mépris du patrimoine culturel accumulé dans le BUAUUE BIAEI au cours de nombreux siècles par le réseau de l’homo sapiens sapiens.
Jamais, Amis d’Oiiaagaa, vous ne feriez semblable acte perturbateur. Jamais vous ne permuteriez un cumul d’informations, péniblement acquis par des générations successives, par des formes de pensées étrangères, même si elles sont comme la nôtre, fruit d’une élaboration intellective, générée par des masses encéphaliques mieux structurées.
Cette idée peut avoir des résultats fallacieux. Comment – Diriez-vous en attendant- quelques formes philosophiques, politiques, scientifiques et technologiques comme les nôtres, pleines de graves travers, hétérogènes et contradictoires, bourrées d’erreurs, saturées parfois de propositions dogmatiques sans fondement de logique rationnelle Pourraient-elles être meilleures ? Comment pourraient être meilleures quelques formes d’organisation politique qui agressent les principes éthiques les plus élémentaires liés à la liberté, des Principes qui plongent dans la famine des segments énormes de la société, l’accumulation des moyens dans un petit nombre de mains et la marginalisation de vos frères moins dotés et intelligents ? Comment une science et une technologie dirigées dans une certaine mesure vers la destruction de l’environnement écologique peuvent-elles nous rendre heureux?
C’est difficile à comprendre, mais la solution à vos maux ne passe pas par l’écoute de messages messianiques procédant d’humains d’autres Astres froids que vous appelez extraterrestres. Votre mythification de nos civilisations lointaines est fallacieuse et dangereuse. Vous recherchez une nouvelle Parousie dont le rédempteur soit la figure hiératisée et sublime de l’homme idéalisé du cosmos, l’Extraterrestre intelligent, et puissant porteur du baume thérapeutique, qui, possesseur d’une technologie de pointe, d’une science prodigieusement avancée et d’une idéologie morale irréprochable, arrive jusqu’à vous pour vous extraire du puits profond dans lequel vous êtes plongés.
C’est la raison pour laquelle, nous et d’autres êtres qui sommes arrivés à vous explorer, nous passons dans vos cieux et nous foulons vos structures édaphiques , sans pratiquement vous adresser parole, silencieusement, sans pratiquement tenter un transfert de données par le biais du moindre canal informatif.
Bien que nous ne connaissions pas l’identité de quelques-unes des civilisations qui vous visitent, nous avons des raisons suffisantes pour vous assurer qu’une intervention directe sur le cours de votre évolution est peu probable. Les unes font des expérimentations sur vous à des fins d’analyse physiologique et d’autres, dont nous sommes, se limitent, comme nous vous l’avons expliqué dans des occasions antérieures, à une étude ample et aseptique autant des caractéristiques morphologiques de cet astre que de sa biosphère et de l’ourdissage social humain dans son devenir historique.
N’attendez donc pas d’aide. Nous savons que cette assertion est extrêmement consternante et dure, comme si elle était formulée par des êtres sans entrailles et déshumanisés, mais c’est une réponse réaliste ajustée à la logique la plus impeccable.
C’est à vous qu’il revient de résoudre solidairement les problèmes aigus qui vous torturent. Calquer notre modèle de société ou celui d’une autre civilisation exobiotique provoquerait seulement des troubles plus violents, des déséquilibres catastrophiques plus déstabilisants que ceux dont vous souffrez aujourd’hui. Mais, croyez-vous en vérité que, si nous nous faisions connaître pour vous offrir nos propres règles fondées sur une éthique expurgée basée sur la fraternité et la solidarité entre composants du réseau, tout le reste de vos frères de toutes nationalités et croyances accepteraient de s’en tenir au modèle politique, religieux et social en vigueur sur l’Ummoaelewee (gouvernement en vigueur) ?
Parce qu’un modèle social, ou est adopté dans son intégralité, ou, s’il supporte des biais acceptant quelques conditions en omettant les autres, ne peut être opérationnel. Comment vaincre les réticences religieuses, les fanatismes idéologiques enracinés au plus profond de votre système neuronal ?
Comment surmonter les résistances chargées d’émotions et associées à des idéologies acquises dès l’enfance, face auxquelles n’importe quel argument logique de contestation suscite la colère, un mal-être psychophysique, une haine incontrôlée et une multitude d’évocations passionnées d’expériences vécues ? Demandez-vous à un marxiste de renoncer à ses conceptions de matérialisme historique assimilées après de longues journées d’étude ? Demandez-vous à un chrétien évangélique qu’il révise ses idées concernant l’historicité des textes bibliques ? Exigez-vous d’un hindouiste qu’il modifie ses arguments concernant ses dogmes réincarnationnistes ou encore à un catholique romain qu’il restructure ses idées sur la primauté de Pierre ou sur la transsubstantiation ?
ll est certain que beaucoup le feraient, s’adaptant à de nouveaux schémas sous la terrible influence de notre enseignement accordé, avec la marque de notre autorité, celle d’êtres venant d’un autre point galactique. Mais, à ce point, ils observeraient la résignation des grandes masses incrustées dans les vieux modèles, se débattant de toutes leurs forces. Auraient-ils recours à la force pour imposer une réglementation étrangère difficile à assimiler en une seule génération ? Vous vous comporteriez alors comme des dictateurs cruels qui violent les principes les plus élémentaires de liberté.
Et nous, croyez nous, nous ne pouvons pas non plus violer ce principe moral. On ne peut jamais imposer le bien par la force, seulement par les armes de la conviction.
Il n’existe pas de formules magiques pour transformer une société en plein processus évolutif, ni pour provoquer une mutation qui affecte simultanément tous les partisans ou composants de l’ensemble du réseau social. Les mutations sont provoquées sur les chaînes de nucléotides[6], non seulement par impact d’unités quantiques de haute énergie sur le génome, ou quand elles sont l’objet d’agression enzymatique d’agents étrangers ou d’inclusion forcée d’autres séquences codées issues de formes virales, mais aussi en suivant les modèles d’acceptation ou de rejet contrôlés par l’information contenue dans le BUAUEE BIAEEII (Âme collective).
En nous exprimant avec d’autres phonèmes, L’évolution des êtres organiques se règle par des mécanismes d’autocontrôle orienté. Choisissons à des fins didactiques l’exemple de vos préhominiens. Ils étaient unis par une masse d’informations que nous dénommons BUAUUE BIAEI (traduisez Âme collective). C’est la somme des données obtenues par les organes sensoriels de ces êtres et traitées par leurs cerveaux respectifs.
Ils ne possédent pas de livres, cependant la réunion de leurs expériences vécues reste non seulement engrammée dans leurs encéphales mais aussi codifiée dans ce B.B. (Âme collective)
A son tour, cette masse considérable de données interagit sur les mécanismes évolutifs pour améliorer l’espèce. Cette information ne produit pas par elle-même une mutation favorable, elle Agit sur une chaîne d’atomes de krypton qui à leur tour modulent la fonction des chaînes polypeptidiques dans le noyau cellulaire d’un gamète. Des chaînes de polypeptides enzymes qui freinent ou facilitent selon les cas l’agent mutagénétique qui agit par hasard.
Supposez que ces êtres hominoïdés aient découvert parmi tous les membres de l’espèce qu’il leur est utile de développer une zone déterminée du cortex cérébral, le lobe temporal, qui leur permet de traiter l’information dans le domaine de la symbolisation mathématique. Naturellement cette découverte n’est pas consciente mais collective. C’est la carence d’une telle fonction, celle qui perturbe leurs facultés dans la lutte contre les autres prédateurs.
Le Buauee Biaeeii, collectif, codifie ce besoin et attend l’occasion. Si quelque facteur mutagène, comme un proton cosmique de haute énergie qui pénétrant dans l’atmosphère frappe le noyau du gamète et va directement perturber la séquence d’ADN destinée à générer les enzymes qui pendant l’embryogenèse dirigent la formation d’un ourdissage neuronal de cette zone cérébrale, d’autres molécules-clapets serviront d’écran, détourneront ou faciliteront selon le cas l’action de tel facteur. Naturellement, Monsieur Aguirre Ceberio, cette fonction modulatrice n’est pas toujours efficace et parfois la mutation est régressive, soumettant l’espèce dérivée de ce gamète à une forme physiologique inapte à la survie, avec les conséquences tératologiques que vous connaissez bien.
Mais la tendance à l’union espacée de gamètes affectés est eugénétique c’est-à-dire génératrice d’individus plus bénéficiaires dans leur conformation organique. Ceux-ci pourront accumuler une meilleure information de leur cadre cosmologique, l’intégrant de nouveau dans le BUAUEE BIAEII qui à son tour rectifiera les futures mutations.
C’est un processus lent dans le temps, vu dans notre perspective d’humains. Nous, peuple plus vieux que le vôtre avons obtenu des formations réticulaires nerveuses plus élaborées.
Mais le cerveau de l’humain d’Oyagaa, si nous exceptons celui de certains individus mutés qui parmi vous passent pour des spécimens d’intelligence élevée et de qualité morale, est un encéphale qui conserve un excès de zones réticulaires nerveuses de vos ancêtres primitifs sauvages.
Ces restes d’animalité font de l’humain d’Oyagaa un authentique animal sauvage entremêlé de traits de rationalité. Je vous en supplie, ne prenez pas cette affirmation pour une insulte à votre espèce mais comme une définition biologique, une caractéristique du moi dont vous n’êtes pas coupables, comme l’enfant ou l’adolescent n’est pas coupable de son faible développement sur le chemin à venir de sa conversion en adulte.
Toute la somme de souffrances que vous expérimentez part de cette réalité biogénétique et ni les grands discours ni les merveilleux modèles – pour vous – d’êtres exobiotiques comme nous, ne pourraient convenir à une humanité qui jouit encore de torturer des êtres sans défense, tuant des frères pour des raisons idéologiques, économiques ou par pur plaisir psychopathologique.
Si quelque autre être étranger venu d’un autre foyer biologique galactique, transporté par des pseudosentiments charitables, choisissait de forcer lui-même l’évolution, opérant sur des génomes humains, sur les chaînes de nucléotides de quelque gamète jusqu’à optimiser toute la charge du code pour permettre la gestation d’un homme parfait, il provoquerait un cataclysme biologique d’une importance que vous ne pouvez soupçonner.
Il n’existe pas pour vous d’autre thérapie que l’action sur le BUAUEE BIAEII. Si des groupes d’hommes rompent avec leurs schémas irrationnels, grâce à l’étude rationnelle des bases biologiques et cosmologiques, en adoptant des modèles moraux de solidarité avec la souffrance des autres hommes, en s’efforçant de comprendre les schémas mentaux de vos interlocuteurs, en transférant l’information par le dialogue et par le contraste des opinions scientifiques, idéologiques et technologiques, sans se référer à des modèles préétablis de caractère dogmatique, en dénonçant l’injustice partout où elle se produit, en exaltant les figures d’hommes qui se distinguent par leur honnêteté et leur intégrité éthique, quelle que puisse être leur idéologie,… ils feront actes de contribution d’enrichissement du patrimoine de cette conscience collective terrestre associée à votre réseau social.
C’est seulement ainsi que vous pourrez diriger votre propre évolution vers des formes cérébrales consciemment intelligentes, progressivement dotées d’une plus grande conscience sociale et capables d’affronter les problèmes d’ordre énergétique de répartition des ressources, de planification politique rationnelle, de l’enfermement des individus malades -Nous faisons allusion aux sujets humains à encéphale enclin à une conduite antisociale-
Mais. Nous réitérons l’assertion précédente, ce processus sera long et pénible.
Des périodes historiques sombres pour l’humanité s’approchent. Cela n’ira pas jusqu’à provoquer la fin de l’espèce de l’Homo sapiens sapiens, mais vous subissez une étape régressive aux conséquences graves. Nous ne devez pas seulement accuser les hominiens malades qui dirigent le concert des nations puisqu’ils sont le produit d’une société involutive, mais la période progressive symbolisée par trois humains bons et honnêtes, Nikita Kroutchev, John F. Kennedy et Jean xxIII est survenue dans une phase réellement sinistre.
L’actuel dirigeant soviétique persiste à violer les droits du peuple afghan et prépare ses prototypes de vecteurs par satellite avec ogive nucléaire dirigée par faisceau hélicoïdal d’électrons sur un faisceau de flux magnétique terrestre.
Le premier des Etats Unis d’Amérique mène en l’accélérant un programme d’armes de fission-fusion-fission, polyvectoriel, qui permettra le lancement de milliers d’ogives de 0,3 mégatonnes en vol rasant à une altitude de 4 mètres au dessus du niveau topographique qui seront indétectables par les moyens de radiolocalisation qui permettent déjà la détection des missiles de croisière. Ces vecteurs de petite taille dotés d’une grande autonomie éviteront même les petits arbustes et les structures rocheuses réduites.
La République populaire de Chine continue à développer simultanément des armes nucléaires quasi obsolètes et une superarme au Plasma, bien que depuis novembre 1982 il s’agisse de résoudre un problème de réfrigération de vapeur d’Arséniure de Cadmium à l’ancre par manque d’équipes de programmation appropriées. L’arséniure de cadmium n’est pas le composé le plus approprié et bien que leurs spécialistes le soupçonnent, ils persistent heureusement dans cette ligne.
Entre temps, les horreurs génocides de cette étape commencent à presque égaler celles provoquées dans les décades des quarante mois à partir de 1938, dans le 3e Reich. avec l’assassinat massif de millions d’êtres victimes de l’animosité de la race germanique.
L’Union soviétique a employé l’ortho-1,2,2-triméthyl propylométhylphosphoro fluorhydrate sur les bandes de partisans, produit d’action horrible sur le système nerveux qui provoque de terribles convulsions mortelles à doses quasi infinitésimales s’infiltrant dans l’organisme non protégé par un scaphandre sophistiqué. Cela constitue une violation répugnante de l’intégrité de l’être humain.
Les États-Unis ont envoyé depuis avril de l’an terrestre 1981, quatre mille six cent quarante spécialistes en torture policière au Chili, Guatemala, Turquie, Salvador, Haïti, Argentine et Paraguay. Certains de leurs procédés techniques incluent des techniques comme l’emploi des curarisants, comme un dérivé de la tubocurarine qui produit d’horribles souffrances sur les malheureuses victimes interrogées.
Devant leurs propres mères, en Argentine et au Salvador, au Guatemala et au Chili, des enfants de six à huit ans d’âge sont soumis à des sévices par ces agents nord-américains leur extirpant leurs yeux et leur provoquant de terribles incisions à l’abdomen jusqu’à affleurer le paquet intestinal.
Vous mêmes, vous maintenez encore vos Yies (femmes) dans un état de semidomesticité humiliante les marginalisant jusqu’à des extrêmes inadmissibles. Tant que vous ne résoudrez pas ces problèmes, la sombre perspective d’une hécatombe vous menacera.
Saluez, Aguirre Ceberio Juan, vos frères Antonio Biosca (Ales), Juan José Benitez et Antonio Ribera qui réalisèrent ensemble un si grand effort pour exprimer leur admiration envers les frères galactiques, et dans l’impossibilité d’énumérer les autres patronymes de vos frères, je leur adresse nos vœux de paix et d’amitié.Ummo-sciences: D 176 | T12 – 28/33
UORII DIX-NEUF fille d’OBAA DIX-SEPT
D190
OUMOAELEWE
Nombre de copies 1
Estimé Monsieur Rafael Farriols Calvo,
Permettez-nous d’abord d’adresser nos cordiales et respectueuses salutations à votre conjointe Carmela dont nous gardons l’image présente. Nos paroles sont aussi adressées à elle dans un geste d’hommage symbolique aux Yie espagnoles.
Permettez-moi aussi que notre salut s’étende à Hiltrud Nordlin Franz dont le rétablissement de son ancienne symptomatologie nous produit une sincère satisfaction. Nous pensons que votre sœur mérite cette rémission temporaire de symptômes. Et croyez nous, Monsieur : En vérité cela nous attriste de ne pouvoir prodiguer une aide thérapeutique étendue à d’autres de vos frères qui souffrent les sévices de la maladie.
Nous voudrions prolonger cette relation salutatoire à tous vos frères aimés si ce n’était que nous craignons de rendre cette lettre excessivement aride. Mes frères se souviennent avec une affection spéciale de Monsieur Jimenez Marhuenda, de Monsieur Juan José Benitez, de Monsieur Aguirre Ceberio, de Monsieur Dominguez Montez , de Monsieur Garrido Buendia, de Monsieur Manuel Osuna, de Monsieur Rojas Marcos, de Monsieur Villagrasa Novoa, de Monsieur Antonio Moya Cerpa, de Monsieur Barrenechea, de Monsieur Lopez Guerrero, de Mme German de Argumosa, de madame Alberto Borras, de madame Camila Ochoa, de madame Carmen de Barrenechea, de madame Maria Teresa de Muela, de madame Vidal Lamiquiz, de madame Leonardo Marino et de tant d’autres dont la liste rendrait ce texte interminable.
Nous ne voudrions pas abuser de votre amabilité si vous faisiez parvenir notre salut à Josep Oliver Aguilera, Calle Clavell 44 3° Moncada 1 Reixao Barcelone Espagne, Ainsi qu’à Carlos Juan Gonzalez, La Palma 23 – Cartagena Espagne.
Une conversation au travers du canal téléphonique de Monsieur Jimenez Marhuenda nous informa qu’il désirait soutenir un colloque interpersonnel au mois de Mars dans la capitale de l’Espagne. Mais frères voyagent occasionnellement dans votre beau Pays bien que nous regrettons de ne pas être situés à ces dates près de l’endroit de la réunion, mais nous envoyons notre cordial salut à son gentil directeur Monsieur Manuel Alvarez. Nous espérons cependant que cette lettre rapide arrive comme salut à vos frères réunis, au moyen de laquelle nous désirerions transmettre ce texte à son destinataire Monsieur Rafael Farriols
TEXTE DU SALUT
Messieurs de la Terre : vous avez tant dialogué au sujet de notre Civilisation que nous craignons d’être excessivement répétitifs si nous abondons dans nos argumentations et qu’une partie d’entre vous se perd dans des soliloques spéculatifs au sujet de l’énigme de notre présence.
Il est bien clair , que notre témoignage n’a pas suscité de frustrations spéciales ni de dérangements dans le treillis de la société de la Terre. Au début, quand mes frères ne connaissaient pas encore la structure psychosociale de l’homme d’OYAGAA (Planète Terre) ils craignaient avec certaine raison de disperser parmi vous des inquiétudes angoissantes quant à la présence d’une expédition foraine.
Cette crainte initiale s’est éteinte. En dehors de quelques organisations policières et de certains services de Renseignements de quelques Nations, les échos de notre présence ont à peine préfacé des doutes, des spéculations frivoles, des commentaires journalistiques sensationnalistes, des suspicions et des commentaires méprisants.
Il devait en être ainsi et cela est une preuve de maturité mentale, car l’on ne doit jamais admettre pour réelle, une constellation de faits qui ne sont pas appuyées par des preuves convaincantes. Notre Stratégie de neutraliser certaines preuves par des arguments contraires et des « contre preuves élaborées artificiellement » a porté ses fruits dans le temps passé.
Sans doute quelques uns de vos frères excessivement enthousiastes à notre endroit le regrettent. Comprenez monsieur Farriols Calvo que nous ne pouvons pas faire autre chose et que votre domaine particulier d’intérêts émotionnels ne peut concorder avec notre critère particulier concernant le problème.
Croyez moi qu’une attitude exultante de notre part de présentation devant l’Ourdissage Social de la Terre aurait provoqué de sérieux dérangements. Au plus profond de l’esprit de certains d’entre vous doit battre la reconnaissance pour les enseignements reçus et quelques guérisons de cadres pathologiques réalisées comme geste obligé envers des amis d’un autre Astre solide. Mais ces sentiments intimes circonscrits à des personnes très déterminées ne doivent pas transcender au delà. Il n’est pas bon que vous extériorisiez excessivement votre état affectif. Vos autres frères de la terre ne vont absolument pas vous comprendre, puisque la version concernant la présence d’un groupe extraplanétaire est si exotique et incroyable que cela ne pourra pas prendre dans d’autres intelligences équilibrées.
Pour cela nous avons décidé de rompre cette continuité postale de nos primitives relations. Vous êtes arrivés à trop vous enthousiasmer. Les commentaires d’abord voilés se changèrent en textes bibliographiques. On vous a déjà averti que lorsque cela arriverait nous nous verrions forcés de restreindre ces contacts. Ne le considérez pas comme une menace. Ce n’était qu’une conduite de précaution puisque la diffusion excessive de nos textes générerait automatiquement une certaine perturbation dans les modules de conduite de l’homme terrestre. On ne vous le reproche pas monsieur Farriols, mais poussé par votre enthousiasme, vous avez peut-être divulgué trop généreusement ces textes.
C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas répondu de façon plus transparente à vos essais solitaires de vous mettre en contact avec nous à votre domicile. Des fois nos capteurs enregistrèrent vos paroles, pardonnez-nous si pour le bien de tous vos frères nous répondîmes par le silence.
Nous pourrions nous étendre en vous révélant quelques aspects captés par nous au sujet de la situation sociopolitico économique du conglomérat des Nations qui composent la Terre. Nous ne voulons pas vous rendre excessivement amers en ces journées de réflexion que vous allez tenir.. Les données que nous avons traitées sont hautement sombres.
En ce moment les Etats Unis de l’Amérique du Nord comptent sur un pouvoir dissuasif à caractère logistique supérieur à celui de l’Union Soviétique. Les services de renseignements de cette dernière connaissent les avances technologiques de cette grande Nation et attendent apeurés l’escalade arrogante de leur adversaire.
Les Etats Unis comptent déjà sur une première arme au Plasma que la Technologie de la République de Chine, n’a pas pu développer pleinement, faute de quelques moyens.
Concrètement le projet DSP-32 des USA permet de convertir en hélium ionisé UN volume de 1013 m³ de l’atmosphère après un laps de temps de quelque huit cents secondes où sont atteintes des pointes de quatorze mille degrés à des niveaux inférieurs à trois kilomètres au dessus du sol.
Le risque de provoquer des bouleversements écologiques à niveau planétaire par l’usage probable de ces armes qui mettrait fin à la vie des espèces animales et végétales de rang supérieur, est encore plus grave que dans le cas d’une dévastation avec des armes thermonucléaires.
Ce qui rend la situation encore plus dramatique, c’est que les Etats Unis sont disposés à mettre n’importe quel prix pour en terminer avec le modèle socialiste de l’URSS. Les conversations tenues par le Cabinet de crise des USA et que nous avons captées, révèlent que les dirigeants de ce Pays sont disposés à générer des points conflictuels qui forceraient leur opposant à intervenir et d’avoir ainsi une excuse à prendre en compte pour éliminer toute l’infrastructure
IL MANQUE LE RESTE DE LA FEUILLE.
D357
UMMOAELEEUEE
Langue ESPAGNOL Ce texte est remis à M. Rafael Farrriols
Pays Espagne pour être remis à M. Juan Dominguez
Nombre de copies : 15 une reproduction peut être faite
Señor Juan Dominguez Montes. Nous vous souhaitons paix et sérénité. Permettez, Monsieur, que nous vous remettions cette lettre jointe à un rapport sur qui est destiné à votre épouse Camila, à plusieurs de vos frères désignés dans le document et à vous-même.
Nous pensons que mon désir que vous envoyiez un salut spécial à notre ami et votre frère Rafael Farriols Calvo pour qui nous ressentons une affection spéciale. peut être satisfait sans gène spéciale pour vous.
Comme vous pourrez le vérifier, le rapport joint à cette lettre que nous vous remettons pourrait être qualifié de très intéressant parmi l’ensemble des messages remis à ce jour.
Il est important parce que, sous une forme descriptive, nous exposons une synthèse de notre doctrine scientifique sur le modèle du WAAM-WAAM (cosmos multiplanaire) qui contient les êtres intelligents OEMMI.
Jugez le comme un exposé didactique mais qui décrit notre conception de l’Univers, le rôle du cerveau, la psyché, l’âme collective et la mort de l’homme. Thèmes transcendants que vous, dans le contexte qui est le vôtre, tentez de décrire séparément en Psychologie, en Cosmologie, en Physique et en Eschatologie Théologique.
Nous avons élaboré un modèle synthétique de ces sciences. Et cela, bien qu’évidemment les OEMMII de la Terre n’aient pas maintenant désir ni obligation de l’assumer, peut présenter un certain intérêt : celui qui découle de la connaissance de notre pensée.
Nous avons préféré nous adresser à vous pour une raison évidente: votre frère espagnol qui nous dactylographiait ces rapports nous envoya un exemplaire (au pays (barré) où nous nous trouvions) d’un texte typographié (livre) signé par vous, intitulé « Le Pluricosmos ».
Mes frères qui l’ont analysé trouvèrent en lui une impartialité de jugement louable en ce qu’il fait état de l’opinion qu’il s’est faite d’après notre identité. C’est justement ce que nous avons désiré; que toujours vous fassiez allusion à nous.
Nous préférons ne pas vous fatiguer avec d’autres jugements de valeur vis-à-vis de votre conception du Pluricosmos. Il suffit de dire qu’en beaucoup d’aspects vous êtes en accord avec le modèle en vigueur sur notre OYAA.
Nous aimerions que vous révisiez néanmoins quelques notions. Par exemple celle du « Rayon » de courbure d’un Univers. Il est certain que nous pouvons parler de courbure et même de plissement, mais non dans le sens purement géométrique. Dans votre conception, le WAAM de masse infini « a un « Rayon nul », tandis que le WAAM de masse nulle (que nous considérons comme constituant de B.) a « un rayon infini ».
Nous craignons que ce soit un modèle mathématique simpliste. Dans notre conception étudiée, ces Deux Waam représentent les limites d’une famille infinie d’univers effectivement. Mais les deux Waam sont aussi limitrophes et il n’existe pas de centre de symétrie pour le WAAM-WAAM depuis lequel on pourrait mesurer les distances (Rayons) de chaque univers à ce centre. Cela n’a pas de sens de parler de « CENTRE » dans le WAM-WAAM.
Néanmoins, il [comprendre votre livre, ndT] nous a semblé un excellent artifice mathématique pour accéder à l’intuition des concepts de courbure de l’espace et à la déduction de masses réelles dans cette famille d’Univers.
Monsieur Juan Dominguez. Nous aimerions préciser une observation réalisée par quelques-uns de vos frères de nationalité canadienne.
Il est certain que mes frères qui résidèrent chez Madame Margarita Ruiz de Ligori à Albacète possédaient des pièces d’identité (passeports) canadiennes, comme il est certain aussi que quelques-uns parmi eux possédaient des passeports norvégiens, finnois et danois, avec la même photographie.
Mais ces passeports ne furent pas dans ce cas subtilisés, mais falsifiés par nous (D’autres fois, nous en avons effectivement subtilisés mais en indemnisant ultérieurement leurs vrais propriétaires)
.En ce qui concerne la version que votre frère Antonio Ribera a donnée de notre présence à Albacete, dans son texte typographique « Ummo, l’incroyable vérité », nous aimerions préciser quelques aspects de la chose:
Les termes de la lettre de l’ambassadeur du Canada ou de ses subordonnés citée et reproduite à la page 198 nous ont surpris.
Il est vrai que trois de mes frères (et non deux) se trouvaient dans la ville canadienne de Brandon. Mais il n’est pas vrai qu’ils retournèrent en Germanie [le mot espagnol utilisé est Germania qui n’existe pas, mais semble un néologisme dérivé de l’anglais, d’où la suite, ndT] Allemagne?. Deux d’entre eux se rendirent ultérieurement à Buenos-Aires (République Argentine). Mon autre frère alla à Hilversum et de là en Espagne. A Hilversum (Pays-Bas) il se consacra à l‘étude des caractéristiques géologiques de la région. En Espagne, il se consacra pendant deux mois à l’analyse de la région sismologique [sic,ndT] de Levante.
La description que les journaux et les enquêteurs firent des faits qui se déroulèrent à Albacete nous parait exagérément déformée. Un de vos frères qui lirait le compte rendu s’imaginerait votre sœur Margarita Ruiz réalisant des expériences « répugnantes » sur des animaux en compagnie de ses « mystérieux » hôtes.
Ce qui est certain c’est que Doña Margarita souffrait d’une obsession pathologique à posséder diverses espèces zoologiques, à l’intérieur de son cadre général de maladie mentale (Que vous avez classée comme personnalité paranoïde avec névrose réactionnelle obsessionnelle).
Il est certain que mes frères utilisèrent le dérangement psychopathologique de votre sœur comme couverture de leurs activités de recherche biologique.
Il était inévitable que filtrât dans le voisinage topologique de cette résidence de la rue Mayor la nouvelle qu’il existait un nombre anormal d’animaux et que des hommes, étrangers à l’entourage familial de la dame, entraient dans l’immeuble.
Les rumeurs de maladie mentale contribueraient selon notre jugement à dissiper les autres soupçons, et il en fut ainsi. De cette manière mes frères purent sortir et pénétrer librement en se faisant passer pour des médecins étrangers, comme le « savent » les voisins de rue.
Mais votre sœur Margarita s’est un peu immiscée dans nos études. Elle avait pleine confiance dans ses médecins « danois » et leur permettait d’utiliser ses sous-sols.
La description que firent les journaux des laboratoires est pour le moins, exagérée. Une partie de nos instruments (ceux que nous avions apportés d’OYAAAUMMO) avaient été retirés. Ne demeuraient que des restants de matériel éthicoclinique d’OYAAGAA. Le nombre des animaux vivissequés put impressionner les personnes non familiarisées avec les études biologiques sur cobayes, mais cela n’était pas pertinent. Une préparation anesthésique était injectée aux animaux par voie intraveineuse qui leur empêchait tout type de souffrance.
L’incident en relation avec Margarita, la fille de cette dame fut malheureux en vérité. Croyez-nous. La résection de parties anatomiques du cadavre de Margarita Shelli était nécessaire.
Le spécimen viral qui, par notre erreur, l’avait contaminée, était peu dangereux dans le milieu sanguin normal d’un mammifère vivant.
Un milieu riche en hématine, comme conséquence de la transformation de l’hémoglobine après la mort, produit des effets de type mutagène sur ce virus.
Peut-être que le souvenir pour vous de l’actuelle pandémie d’IMMUNODEFICIENCE ACQUISE vous fera réfléchir sur les effets que cet autre virus, importé de notre OYAA et ensuite muté sur un cadavre, pourrait avoir produit sur la population.
Il était naturel que mes frères envisagent avec effroi une telle possibilité. Il n’y avait pas de raisons éthiques pour opérer d’une manière différente et nous le fîmes voir ainsi à sa Mère, bien qu’en lui occultant une partie de l’inquiétante vérité.
Le fait que postérieurement les goûts morbides de la presse espagnole aient peint l’événement de couleurs aussi sombres est une autre question.
La première idée de séquestrer le cadavre fut envisagée sérieusement par mes frères. Il n’en fut pas ainsi décidé parce que les conséquences pour sa mère auraient été plus graves. N’oubliez pas qu’il nous était impossible de nous dire responsables. Un examen médical aurait identifié notre origine. C’est cela qui nous préoccupait et non l’emprisonnement. Mais le dommage à l’innocente Margarita Ruiz de Lihori était fait. Il nous restait seulement à mouvoir tous nos moyens pour que le procès de cette dame devant les tribunaux de la justice d’Espagne ne la lèse pas gravement.
Nous aurions pu, pour notre part, taire notre implication dans cet incident déplaisant, mais c’était justice de proclamer l’INNOCENCE d’une YIIE d’OYAGAA, victime de notre intérêt pour la recherche.
Tenez compte que, si nous n’avions pas agi comme nous l’avons fait, il se serait déclaré dans les années soixante-dix une épidémie de portée difficile à déterminer, par carence de vos moyens pour la combattre. Il est certain qu’étant nous-mêmes responsables d’une certaine façon de ce développement, nous serions intervenus pour vous offrir les moyens de la combattre, mais nous aurions, en même temps, violé notre norme basée sur une loi supérieure. (UN RÉSEAU SOCIAL PLANÉTAIRE NE DOIT PAS INTERFÉRER DANS L’ÉVOLUTION SOCIALE D’UNE AUTRE HUMANITÉ)
La morbidité psychologique de l’affaire d’Albacete a été créée ultérieurement par quelques intermédiaires sociaux irresponsables, amateurs de sensationnel avides de s’acharner sur n’importe quel événement de ce type.
D’autre part nous voulons nuancer les déclarations de votre frère résidant à Albacete, José (de Zor) Garcia Martinez.
On pourrait déduire de son contexte que les hommes qui rendirent visite à sa mère Consuelo Martinez, serrés dans des vêtements de cuir, pouvaient avoir été mes frères. Soyez assuré, Monsieur G.M., qu’il n’en est rien. Nous ignorons qui ils ont pu être, mais n’oubliez pas, José, qu’en ces jours-là beaucoup d’agents se démenaient, désireux de trouver la piste de mes frères et qu’ils développèrent une activité fébrile à Albacete. Le plus actif de tous: David M. Cook, se mit en contact avec votre frère, Monsieur Panadero, ami de Margarita Ruiz de L. Celui-ci possédait un instrument de Chrome manganèse fabriqué par nous qui nous fut subtilisé dans le laboratoire souterrain. En échange d’une quantité d’argent, 260.000 pesetas, David M.C. obtint pour son Agence d’Information quelques données sur les activités développées par mes frères dans la maison de la rue Mayor. Soyez assuré, Monsieur J (de Zor), que la mort de Monsieur Panadero ne fut pas provoquée par nous…(1)
Note (1) Que votre frère Darnaude et votre frère De Zor aient l’assurance que sur ce point nous n’occultons rien de nos responsabilités. Nous avons fait ainsi, jusqu’à un acte aussi déplaisant qu’une résection chirurgicale sur le cadavre de Margarita S. que nous aurions pu dissimuler. Si la mort regrettable de M. Panadero avait été de notre fait, nous l’eussions confessée.
Au cours d’une longue conversation par voie téléphonique avec votre frère et notre ami Jorge Barrenechea, il nous a supplié de resserrer plus les liens d’amitié en augmentant nos contacts.
Les incidents cités à propos d’Albacete, les morts provoquées par le déchaînement de tout un processus très complexe, sont suffisamment révélateurs du fait que notre présence parmi les hommes de la Terre provoque inévitablement des frictions et des problèmes. Nous devons être très prudents en établissant une stratégie pour minimiser ces effets. D’où nos longs silences.
Nous ne voulons pas, Señor Juan, abuser plus du temps que vous consacrez à la lecture de ce texte.
Nous voulons seulement réitérer notre désir que vous limitiez la diffusion par reproduction photostatique de ces écrits au nombre limité de personnes que nous avons cité dans leur contexte.
Nous nous référons à la reproduction répétée de copies, non à leur lecture, que nous ne pouvons interdire ni même limiter, pourvu qu’il s’agisse de personnes intéressées par notre existence.
Nous savons qu’il est difficile pour vous d’obtenir que vos frères respectent cette demande, car la tentation de distribuer votre texte à vos amis doit être inévitablement forte. Servez-vous comme facteur de frein qu’ils sachent que s’ils le faisaient, ils ne pourraient avoir l’opportunité de recevoir d’autres de nos écrits pendant un long intervalle de temps.
Notre main sur votre poitrine comme expression de notre amitié.
Signature probable: AOXIBOO 3 (fils de) IRAA 6 |
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Monsieur : Récemment: après avoir tapé à la machine le texte dont vous avez la photocopie en mains, nous avons eu une conversation téléphonique avec une de vos sœurs.
Elle nous a demandé : Comment pouvons-nous vous payer ce que vous avez fait?
Et notre réponse s’adresse à vous :
Oui: nous voulons un paiement, un abonnement à notre compte. Que vous et vos frères fassent le possible pour aider vos autres frères dans les moments difficiles et que cette aide soit mutuelle. Que se concrétise simplement l’idéal auquel vous a déjà exhorté simplement Jésus de Galilée sur OYAAGAA, cristallisé dans le principe de Charité. Vous formez un groupe d’OEMMI intéressés par notre culture. Tendez entre vous des liens d’authentique amitié. Que la rancoeur n’altère pas votre système limbique. C’est la modeste mais en même temps importante obole que nous « exigeons de vous » en échange de ces informations. En procédant ainsi, vous modifiez le WAAM-WAAM vers un niveau supérieur à celui que vous imaginez comme nous l’expliquerons dans un prochain rapport cosmologique.
Et n’oubliez pas que ces liens de fraternité et d’amitié peuvent seulement être générés grâce au respect mutuel des idées et des conceptions d’un autre frère à condition qu’elles n’impliquent jamais une imposition basée sur la contrainte et à la force.
UMMOAELEUEE
Langue ESPAGNOL
BUAUE BIAEEIII
Nous voudrions décrire un facteur humain inconnu de vous, hommes de la Terre, encore que des auteurs comme Jung aient postulé, avec des interprétations radicalement différentes, une entité qui du point de vue sémantique présente des caractéristiques similaires.
Nous nous référons à ce que nous nommons phonétiquement BUAUEE BIAEII , qui n’a pas d’équivalent dans les langues occidentales de la Terre, mais qu’en première approximation nous pourrions traduire par Âme collective.
En premier lieu, nous décrirons le OEMVUAUFB (Chaque fois que nous exprimons des vocables d’Ummo, nous essayons de trouver l’expression audiophonétique la plus proche en langue espagnole).
Après de longues années de présence parmi les habitants de la Terre, nous avons constaté la notion d’une entité intermédiaire entre le Soma et la Psyché. C’est ainsi que les théoriciens de la théosophie, comme les spiritualistes (ou spirites), parlent du Peresprit, et que les doctrines orientales se réfèrent à un supposé corps Astral, intermédiaire du psychisme capable de relier le corps et l’esprit.
Et il en est ainsi, puisqu’une entité adimensionnelle et atemporelle ne peut en aucune manière activer une entité spatiotemporelle et matérielle comme la structure anatomophysiologique située dans un autre plan d’existence.
Nous avons découvert l’existence de l’OEMVUAUFB (Note 0) quasiment par hasard. Un de nos frères chercheurs NOI 3, fils de NOI 2, en l’année ummite (nos années ont une durée différente) 3153750 , localisa grâce à son assistant SOOIE 996, fils de SOOIE 993, la présence d’une séquence d’atomes de krypton dans une structure souscorticale de l’encéphale.
Note 0 – L’OEmVUAUFFb peut être considéré comme un élément frontière entre notre WAAM (Univers) et un autre Univers beaucoup plus « lointain » ; un Univers qui serait à la limite supérieure ou inférieure, selon la manière dont on l’envisage, de notre faisceau ou ensemble d’univers existants.
C’est précisément le comportement de la couronne électronique de ces atomes de krypton, non sujet à l’indétermination probabiliste propre aux autres atomes de ce même élément chimique, qui fait de cet ensemble un « pont » entre ce Cosmos et le BUAUEE BIAEEII (esprit collectif ou Waam limite).
Ce gaz, comme vous le savez, est très stable. Il se combine seulement en de rares occasions avec les autres éléments que vous cataloguez dans la Table Périodique. Son existence dans un réseau neuronique hypothalamique ne pouvait pas être attribué au hasard.
Mais en soi-même ce n’était pas une surprise. Parfois, s’intercalent dans nos réseaux tissulaires des oligoéléments sans signe apparent de fonction dans la structure histologique.
La surprise consistait dans le constat que cette séquence d’atomes, en plus de présenter un certain ordre stéréospatial (plutôt insolite pour un nuage d’atomes qui n’ont pas de liaison électronique de valence), subissait une annulation spécifique de l’indéterminisme microphysique de ses électrons périphériques.
Ces IVOZSOO UHU (Note 1)sautaient d’une orbite à une autre sans stimulation, que vous nommeriez quantique, d’une orbitale à la supérieure ou l’inférieure, suivant une loi périodique. Parfois, quand il n’y avait pas d’activité fonctionnelle. D’autres fois, en cas d’intense activité psychophysiologique, quand l’activité neuronale n’était pas végétative mais volontaire.
Note 1 – L’IBOZSOO UHU est une entité inconnue de vous. Elle ne possède en elle-même ni masse, ni charge électrique, ni moment, ni couleur, etc. Cela n’a pas de sens d’isoler un I.U. puisque sa réalité physique exige au moins une paire d’I.U.. Nous pouvons vous révéler que l’I.U. peut se présenter sous forme de neutrino, d’électron, « de composant du proton », de proton, de quanton de lumière ou de quanton de temps, selon que ses « axes » sont orientés d’une façon ou d’une autre. Exprimé d’une autre façon : Nous considérons que notre WAAM est fait de particules subatomiques et de quantons énergétiques (jusqu’ici nous sommes en accord avec les physiciens de la Terre). Sauf que nous réduisons ou unifions tous ces êtres physiques qui portent associées, une masse, une énergie, une charge… et une onde, à un seul genre d’entités dont la structure est angulaire. Un réseau d’I.U. constitue le monde que nous percevons en trois dimensions, plus le temps (également quantifié).
Ainsi dans les états de coma, de paralysie du bulbe rachidien ou de désafférentation (Ndt : section ou destruction des nerfs afférents sensitifs) de ce que vous appelez le Système Réticulaire (Ndt: la réticulée ascendante) ; l’activité électronique pouvait être assimilée à une fonction sinusoïde pure sans harmonique, et de fréquence élevée.
L’apparition d’une activité volontaire dans le cortex moteur qui, chez vous, est localisée dans une aire prérolandique (mais pas dans notre cerveau) était accompagnée simultanément d’une gamme de fréquences très complexes (pas nécessairement harmoniques) et d’intensité variant avec le temps.
Les habitants des autres OYIAA (Planètes) présentent au cours de leur processus d’hominisation des traits structuraux similaires. Chez vous mêmes nous avons pu isoler des réseaux de krypton bien que de répartition spatiale différente.
LE BUAUAA
Nous ne pouvons aborder le concept de BUAUAA qu’avec les réserves que nécessitent des instruments sémantiques différents, donc une base logique différente, de ceux des penseurs et théologiens de l’OYIAA Terre.
Dans une première interprétation simpliste, les langues de la Terre donnent à cette acception d’âme, psyché ou esprit, une valeur ontologique qui la décrit comme une entité adimensionnelle et hors du temps et par conséquent indivisible et transcendante.
Notre conception (sans entrer dans une analyse philosophique et scientifique indigeste) est quelque peu différente.
En effet nous n’attribuons pas à l’âme une dimension de temps, ni (Note 1.1) de paramètres tels que masse, charge électrique ou dimension d’espace.
Note 1.1 (1 bis) Vous acceptez – dans votre version de la science – l’existence d’un seul Univers, bien que les auteurs de science-fiction de la Terre soient familiarisés avec la notion « fantastique » d’autres mondes et univers. Pour nous, la vision d’un cosmos multiface ou d’un multi-univers n’est pas qu’une simple spéculation mais, bien au contraire, est prouvée jusqu’à satiété. A tel point que nous réalisons nos voyages intragalactiques au sein du cosmos le plus voisin du nôtre.
Permettez-nous de nous étendre sur ce point. Nous appellons WAAa-WAAM le faisceau ou ensemble d’univers existants que nous estimons en nombre infini (bien que nous n’ayons pu le constater, n’ayant détecté qu’une partie d’entre eux). La caractéristique primaire qui les distingue chacun est la vitesse d’un quanton ou unité discrète d’énergie électromagnétique en leur sein.
En réalité, il s’agit d’une famille de paires de cosmos, de WAAN.
Chaque paire sera formée de « matière prédominante » ou « d’antimatière prédominante », sans que cela implique que dans un waam ne puisse exister en plus d’une masse positive, une masse négative, et dans un des deux membres du couple : une masse « imaginaire » dont la vitesse minimale est la vitesse limite du quanton E-M (électro-magnétique).
De cette façon est invariant, dans les deux WAAM cosmiques, tant la tridimensionnalité du système (longueur, largeur, hauteur) que l’existence de quatre types de masse :
+ m, – m, (+ √ – 1) m, (- √ – 1) m.
Observons cependant que: tandis que dans les deux se manifestent les dimensions de longueur et de temps et que les deux types de masse réelle peuvent s’isoler dans les deux WAAM, avec une prédominance élevée dans chacun d’eux de signes respectifs de masse, la « M – non – réelle » (Le terme « non » réel doit s’entendre sémantiquement sur Terre dans le langage mathématique, c’est-à-dire NON REEL, il ne faut pas l’interpréter comme NON EXISTANT, mais comme « situé dans un autre cadre »).
Il est clair qu’il peut exister autant de couples de cosmos que de vitesses du quanton électromagnétique (cosmos et anticosmos gémellaire).
Anticosmos gémellaire (Ndt: U-WAAM) ne veut pas dire que sa configuration galactique soit similaire à celle du nôtre. Dans notre anticosmos, il n’existe pas un Anti-UMMO ni une Anti-Terre jumeaux.
Dans la pratique, les scientifiques d’Ummo et également en partie nos voyageurs explorateurs (moi-même ai voyagé par un autre WAAM) connaissons une « vingtaine » de WAAM. Les uns par simple détection, les autres parce que nous les avons visité dans nos voyages et deux autres par inférence scientifique.
Nous sommes convaincus qu’il en existe beaucoup plus et rien ne s’oppose à ce que leur nombre soit ¥ (infini).
Deux de ces plans ou Waam (univers) nous sont inaccessibles physiquement. Ceci veut dire qu’aucune civilisation, aussi avancée soit-elle, ne pourrait les visiter avec ses UUAUUA (nefs d’exploration). L’un d’eux (unique dans la famille des faisceaux tridimensionnels) « est dépourvu » d’anticosmos (il est son propre anticosmos), est dépourvu de masse (imaginaire et réelle). Toutes ses particules sont annulées, c’est-à-dire : son réseau d’Ibozsoo UUHU est un réseau statique qui ne constitue ni temps, ni longueur, ni masse, ni moment, etc.., au point que parler de la vitesse d’un mobile en son sein n’a pas de sens. Exprimé sous une autre forme, philosophique, le WAAM dont nous parlons EXISTE et N’EXISTE PAS. Il est dimensionnel et il est NON-dimensionnel. Ce WAAM abrite toute la constellation des BUUAWUA (âmes ou esprits) de tous les êtres humains de notre Univers.
Dans l’Univers multidimensionnel, la BUAUAA ne possède ni largeur, ni hauteur et, bien sûr, ne possédant pas de masse, échappe à toute influence gravitationnelle. C’est dire que ses paramètres n’ont rien à voir avec ceux des autres IVOSZSOO UHU. Mais l’Âme est « dimensionnelle » et peut se situer dans un autre « plan » de l’Univers, de sorte que des perturbations dans le plan des choses d’ici-bas (autrement dit des objets matériels) sont corrélés au « plan dimensionnel » de la psyché.
Ceci veut dire que dans notre physique, » l’Univers » est multidimensionnel (Note 2) et que n’importe quelle variation dans un faisceau de dimensions se traduit par une perturbation jumelle dans un autre faisceau de dimensions.
Note 2 – En ce sens, vous nous entendrez dire que l’ÂME NE POSSÈDE NI DIMENSION NI TEMPS, tandis que d’autres fois nous parlons des DIMENSIONS DE L’ÂME. (La confusion vient de la pauvreté de votre vocabulaire terrestre qui nous oblige à utiliser le mot « dimension », qui dans notre langue est beaucoup plus riche).
La conception théologique terrestre de l’âme ou esprit est très pauvre et contradictoire. Si elle est dimensionnelle, comme le postulent divers auteurs, elle devrait se situer ICI, dans le Waam et pourrait se peser, se mesurer, se photographier. Quand des théologiens plus intelligents lui attribuent un caractère adimensionnel et atemporel, ils se rapprochent de la vérité mais : Comment peut-elle traiter de l’information, si elle est purement spirituelle et dépourvue d’énergie?
Si l’âme peut prendre conscience, par exemple, de la notion de Dieu, elle doit le faire par un acte de Réflexion, cela nécessite un processus mental et par conséquent un « Écoulement » (ou un flux) de données. Mais, comment un système de données peut-il s’écouler sans canal énergétique ?
Notre conception, déjà exprimée, est différente. Ce sont le cerveau de l’OEMII et le B.B. (BUAUUEE BIAEEII ) qui TRAITENT L’INFORMATION, c’est-à-dire : Des quatre facteurs de l’homme, seuls l’encéphale (à l’intérieur de votre cortex et du système limbique) et ce « cerveau » gigantesque, dont nous allons commenter quelques aspects et qui est le B.B., TRAITENT l’information (au sens d’élaborer, de combiner, de créer sur des données préexistantes).
Les deux, B.B. et cerveau (humain), contiennent des systèmes structurés pour TRANSFÉRER ET TRAITER l’information. De plus, le cerveau, plus complet bien que moins complexe que le gigantesque B.B., est capable de capter, par l’intermédiaire des neurocapteurs, la réalité du WAAM.
La chaîne d’atomes de krypton (OEMVUAUFB) exerce seulement une fonction de transporteur de données (canal).
Le Buawuaa (ÂME) n’est pas capable de traiter des données, de penser, d’élaborer de l’information, mais uniquement de CONSERVER, d’engrammer. (Greffée dans un WAAM sans « dimensions »). Un réseau d’IBOZSOO UHUU « gèle » l’information intellectuelle et émotionnelle qui vient de l’encéphale et du B.B..
Nous désirons vous résumer tout cela :
– LE CORPS (OEMII)
Il capte l’information du milieu ambiant par l’intermédiaire des organes des sens, c’est-à-dire : il traduit les patrons d’une information apparemment CONTINUE, mais en réalité discrète ou quantifiée, en provenance du WAAM (la vision d’un arbuste, l’odeur du camphre, la dureté d’une pierre) en patrons biochimiques à travers des neurocapteurs et, à partir de là, il les traduit en patrons bioélectriques transportés au cortex cérébral. Là, elle (l’information portée par la perception, Ndt) est traitée, en même temps que sa réflexion sur les noyaux souscorticaux du système limbique qui associent chaque perception avec un affect émotionnel. Cette information captée et élaborée est également provisoirement mémorisée dans le cerveau.
– OEMBUUAFWBUU (Troisième facteur)
Il est composé d’un réseau d’atomes de krypton. C’est un simple canal de transport de données. Mais un « canal » très singulier puisque son transporteur n’est pas une séquence de quantons énergétiques. L’apport de données se fait au travers des sauts électroniques sur différentes orbitales sans suivre un modèle aléatoire. De plus, la singularité du O. consiste en ce qu’il ne met pas en communication deux points du même WAAAM, mais au contraire qu’il représente un élément frontalier de transfert entre deux WAAM opposés (Ndt WAAM BB et WAAM B) et notre WAAM. D’une part O.. établit une liaison entre BIAMOSEAA (cerveau) et B.B.. D’autre part, il relie cet organisme vivant et rationnel que nous appelons l’OEMII (homme) avec le WAAM de masse nulle, c’est-à-dire le plan du WAAM-WAAM qui contient l’Âme ou Esprit ( BUUAWUA). Par rapport à celui-ci, il est l’unique « canal », bien que vous préfériez l’appeler valve ou porte.
– BUUAWUA (Psyché ou Âme)
La psyché de l’Homme de trouve dans un WAAM (univers) « lointain » . Nous disons « lointain », non parce que cela aurait un sens de parler de distances entre les différents univers, mais parce qu’il s’agit de l’un des deux WAAM limites. (Dans l’autre se trouve le B.B.).
L’Univers qui héberge l’Âme (vous préféreriez peut-être le dénommer « plan ») est singulier. Sa masse est nulle, ses éléments : statiques. Ici la lumière n’aurait pas de vitesse (Il n’y a que des Iboszoo uhu).
Une donnée élémentaire (une série de bits) pourrait y être enregistrée, mais cette donnée ne pourrait pas circuler en son sein, de la même façon que vous pourriez typographier sur cette feuille de papier et votre information serait statique.
Une analyse superficielle de cette notion de psyché pourrait faire conclure qu’une telle entité est gelée ou « morte ». L’âme serait comme un livre de la Terre couvert de poussière sur une vieille étagère.
D’une certaine manière il en est ainsi. B. (Buawua) est une cellule fermée sur elle-même parmi des billons (1012 N.d.t) de cellules semblables dans ce WAAM. Il n’existe pas de connexions entre elles, et chacune accumule toutes les expériences éprouvées par l’Homme pendant toute son existence.
Mais B. est paradoxalement très dynamique, contrairement à ce qu’il pourrait sembler. Une comparaison vous aiderait peut-être à comprendre.
Dans le noyau de n’importe quelle cellule vivante, il existe une chaîne d’ADN. Des bases, puriques, pyrimidiques, se succèdent et contiennent l’information du génôme. Ici également l’information gelée paraît statique, comme dans un vieux parchemin d’Oyagaa, et cependant les chromosomes d’une cellule peuvent mettre en marche de complexes mécanismes biochimiques.
Dans le plan WAAM de masse nulle, il se passe la même chose. L’OEMBUUAFWUU exerce une activité fébrile, explorant les contenus de B. les comparant avec ceux de B.B. et avec ceux contenus dans le réseau de neurones du cerveau. Cette réunion avec B. et B.B. constitue un système d’interactions qui module la conduite de l’Homme.
– BUUAWUAA BIAEII (Psyché collective)
Bien que dans ce rapport informatif nous nous y soyons déjà référé, nous allons faire une synthèse de sa structure et de ses fonctions. (B.B.) est intégré dans un autre WAAM (Univers) limite.
Ce plan cosmique possède les caractéristiques suivantes : les quantons ou photons se propagent à une vitesse infinie.
Son Anticosmos est identique à lui-même. C’est-à-dire que les quantité de masse positive et négative sont identiques en son sein, bien que de rares fois des particules de masse et d’antimasse se confondent pour produire de l’énergie. Quand elles le font, elles constituent la plus importante source pour ce gigantesque « pluricerveau ».
Il n’existe pas en son sein de masse imaginaire, c’est-à-dire (± √ -1) m. Ce WAAM s’appelle le WAAM ( Ndt: vous verrez parfois écrit « WAAM OU » (WAAM des B.B.) par similitude avec ce dessin, et « WAAM U » (WAAM des « B ») par similitude avec le dessin de l’âme… ne pas confondre avec le « U-WAAM » qui est notre univers « gémellaire »)
De même que dans le premier WAAM peut se voir une division en « cellules », « environnements » ou « enceintes » (de la même façon que notre WAAM est formé de Galaxies).
La masse de ce WAAM est infinie. Chacun de ces environnements ou enceintes est un Supercerveau correspondant au Réseau Social d’une humanité planétaire.
Dans le WAAM des B. (psychés) nous avons la certitude que les psychés distinctes ne peuvent pas communiquer entre elles, sauf au travers d’O. et de B.B..
Savoir si l’interconnexion entre les différentes Consciences planétaires est ou non possible constitue pour nous une énigme. Jusqu’à aujourd’hui nous n’avons pas trouvé d’évidence que cela soit possible.
B.B. explique :
* La conscience collective entre les OEMII de la même humanité.
* Les sentiments collectifs d’un réseau social.
* La survivance après la mort, comme nous l’expliquerons dans la note 10
* La psyché collective contient l’information qui module l’évolution des phylums biologiques sur chaque planète froide (OYAA).
* Il explique aussi la communication que vous nommez extrasensorielle entre les organismes vivants.
Dans le cas que nous commentons : les structures telles que les atomes de krypton agissent comme des connexions entre « plans » distincts de l’Univers. (N’en déduisez pas que les atomes de krypton possèdent une configuration spéciale pour cette fonction. Des atomes de sodium ou de néodyme auraient pu jouer un rôle identique).
Mais la cosmovision de l’homme ne se termine pas avec ces trois éléments fondamentaux. Il reste un quatrième élément non matériel. (N’oubliez pas que le OEMVUAUFB est seulement apparemment matériel en tant que substrat atomique de krypton).
Ce quatrième facteur humain est le BUAUEBIAEEEIII.
Quelle réalité y a-t-il derrière ce facteur inconnu de vous, hommes de la Terre ?
Le BUAUE BIAEEIII (B.B.) (Le nombre de lettres écrites signifie que dans notre phonétique nous étirons ces sons) est une entité capable de relier entre eux les éléments d’un réseau social humain ou animal.
Bien que vous pensiez que l’unique lien entre animaux du même genre ou espèce soit de nature acoustique ou tactile et chimique ou par phéromone, en plus de celui qui s’établit par les moyens visuels, il n’en est pas exactement ainsi.
Quelle est la nature de cette espèce de psyché collective : le B.B. ?
Bien sûr, elle n’est pas d’origine olfactive, visuelle, tactile, électromagnétique, ni conformée par les paramètres physicochimiques connus.
La « psyché collective » ne se réalise pas, comme le postulait ingénuement l’auteur de la Terre, Jung, par des voies génétiques. Il n’est pas possible d’enregistrer des souvenirs dans nos fondements biochimiques de l’acide nucléïque ADN, puisque ceux-ci transmettent par voie génomique uniquement des caractères structuraux physiologiques et anatomiques, c’est-à-dire de simples codages de chaînes d’aminoacides (protéines et polypeptides) qui donneront lieu à des configurations de tissus de cellules de morphologie et de distribution spatiale différentes. Mais pas de codage de souvenirs ou d’information liés à NOTRE CULTURE.
De sorte que si un de nos ancêtres étudia un passage de l’Histoire de Ummo ou si un de vos pères mémorisa un passage de l’Iliade, un tel souvenir ne peut pas être transmis à travers l’ovule ou le spermatozoïde légué à leurs descendants.
Vous avez vous-mêmes observé une riche phénoménologie associée à la suggestion des masses. Ainsi, de même, votre propre culture est bourrée de mythes universels, d’idées paradigmatiques que l’on n’arrive pas à expliquer par une interprétation simple de transfert culturel audio-informationnel, transmis simplement par voie orale.
Même au risque de sembler nous répéter nous utiliserons le mot espagnol SIMPLE pour étayer notre idée. Une évaluation aussi SIMPLE ou FACILE ne peut permettre d’expliquer qu’il existe tout un plan d’idées, concepts, métaphores, souvenirs, symboles, notions, seulement imbriqués, superposés comme des écailles, dans les livres, les cerveaux, les audiocassettes ou les disques.
Nous allons exprimer cette idée et la développer. En effet, l’information peut s’enregistrer de nombreuses façons. Un texte ou une image, une mélodie ou une séquence phonique verbale, un symbole ou une impulsion peuvent être codés, comme vous l’avez découvert dernièrement, en unités d’information (pas nécessairement binaires), se graver sur une feuille de papier en caractères que vous appelez d’imprimerie ou se transférer par un canal utilisant n’importe quelle forme d’énergie ou de réseaux atomiques. (Dans le premier cas, comme exemple, le canal acoustique ou ondes de pression dans un milieu gazeux, et dans le second cas : des lettres ou des cassettes envoyées par la poste)
Il est évident que vous, et nous également, gravons dans notre encéphale (Note 3) tous les stimulus que nous pouvons enregistrer en provenance de nos neurocapteurs.
Note 3 – Dans le WAAM tridimensionnel dans lequel nous vivons, les « choses » sont constituées d’IBOZSOO UHUU (I.U.). Une ronce de la Terre ou un IXIISII (animal volant de Ummo) ne sont rien d’autre que des réseaux d’I.U.. Mais, nous pourrions croire que de tels I.U. , dans leur réalité extérieure, sont situés dans le même ordre que les points de l’image que capte notre neurencéphale. Il n’en est pas ainsi. Nous captons des angles définis par des I.U. complémentaires. Ce flux (« désordonné ») de données arrive au réseau de neurones et c’est celui-ci qui les ordonne en référence à des patrons d’images mémorisées dans B.B. (Ndt: voir les D59) Dans ce cas, depuis la création du WAAM-WAAM, B.B. agit comme un organe universel générateur de formes et d’images, comme nous le nuançons dans la note 10.
De cette façon, vous pourrez comprendre que les formes que nous voyons, les configurations d’un carré ou la couleur NOOSOEE (verte) d’un arbuste de la Terre, n’existent pas dans le monde extérieur telles que nous les percevons, (mais) seulement dans le B.B., (mais par contre il est certain qu’il existe une relation ou correspondance que vous appelleriez biünivoque entre une couleur (image dans le B.B. et le cerveau) et un quanton électromagnétique photonique de notre WAAAM).
Les patrons séquentiels d’impulsions bioélectriques dans le réseau neuronique encéphalique ne ressemblent en rien à un triangle ou à la couleur orange.
Si B.B. n’existait pas, nous ne prendrions pas conscience des formes et des couleurs, mais seulement d’impressions purement « émotionnelles » confuses et diffuses.
En résumant notre compte-rendu abrégé : L’OEMII capte des patrons d’énergie correspondant à QUELQUE-CHOSE du WWAAMM. B.B. emprunte le cliché correspondant pour configurer ce qui a été perçu, en tant que forme, couleur, son, toucher, odeur, etc… et BUUAWUA (B.) (Âme), à l’égal de B.B., emmagasine cette information qui doit servir à diriger la conduite de l’OEMII. Mais observez que B. emmagasine uniquement les expériences d’UN CERVEAU, tandis que B.B. fond de telles expériences en un ensemble d’alluvions qui intègre des trillions (N.d.t. 1018) d’expériences d’êtres humains.
Nous hommes d’Ummo utilisons deux moyens de codage de l’information dans notre cerveau. D’une part, création d’unités synaptiques à médiation biochimique, et d’autre part, création de séquences de polypeptides, c’est-à-dire de petites séries d’aminoacides qui, quand elles ont besoin d’être décodées (évocation mnésique), activent le potentiel de la membrane neuronique. (Ndt : Changeux dans « L’homme neuronal » exclut la possibilité d’engrammes protéiniques de la mémoire)
Jusqu’ici nous n’avons rien dit de neuf que vous ne sachiez déjà, excepté le système polypeptidique d’information. Pour vous, une pensée de Pascal ou de Marx, une poésie de Rilke ou la description d’une machine à tricoter, une symphonie de Bruckner ou un symbole alchimiste médiéval, est soit contenu dans une encyclopédie, soit gravé sur une bande, soit codé dans les cerveaux d’érudits.
Et ceci est totalement certain, mais insuffisamment certain !
Que se passerait-il si votre cinglée de Société terrestre finissait par se consumer dans un épouvantable destruction due aussi bien aux bombes fission-fusion-fission, aux armes à plasma ou à une annihilation chimique?
Les livres, les bandes, les disques-lasers, les manuscrits anciens, les monuments et les cerveaux disparaîtraient peut-être ! (Nous sommes en train de parler de manière métaphorique, puisque n’est pas réalisable une hécatombe qui détruirait si bien la vie humaine sur la OYIAA, qu’elle désintègrerait absolument toutes les traces de votre culture). Mais accordez-nous au niveau de l’hypothèse que cela puisse arriver.
Cela implique-t-il que l’annihilation de l’information codée, annihilerait en même temps toute trace de la culture accumulée pendant des siècles de Réseau Social ?
La réponse est : NON.
Les feuilles de cellulose disparaîtraient par le feu, l’acétate de cellulose des bandes magnétiques fondrait, les sveltes structures du Parthénon, les pyramides égyptiennes et la cathédrale Notre-Dame, verraient leurs pierres de taille réduites à des particules de silice fondues, les neurones de milliers de millions de cerveaux d’Oemmii terriens se volatiliseraient… Mais les symboles, les images de Picasso ou les aquarelles de George Grosz, les anciens chants de guerre du peuple zoulou, les antiques mantras hindous, et les images poétiques de l’Apocalypse, les contes humoristiques de Masreddine Houdscha, les équations de Maxwell ou la configuration de la svelte tour du palais Vecchio, y compris les cent soixante-dix mille quatre cents deux feuilles mécanographiées (Note 4) que mes frères d’Ummo ont distribué jusqu’à aujourd’hui parmi les OEMMIIS de la Terre, et qui seraient dans ce cas réduites en cendres : elles ne disparaîtraient qu’uniquement dans leur aspect formel et matériel. L’énergie et la matière se seraient entropisées, mais l’information NON.
Note 4 – Nous avons envoyé un nombre de 3.860 pages, comprenant les textes, tables, diagrammes et graphiques en couleurs, à vos frères de diverses nationalités. De beaucoup de ces originaux ont été faites des centaines de copies qui constituent le montant de feuilles cité. Nous possédons dans beaucoup de cas des images obtenues par nos UULUUEWUA (« caméras photographiques » volantes ou lévitantes). Dans d’autres cas, nous pûmes obtenir des copies sur le papier carbone que vous utilisez en dactylographie, ou des feuilles photocopiés par les procédés d’OYAAGAA. Mais malheureusement nous avions perdu l’occasion de reproduire nombre de ces textes, dictés à des dactylographes de la Terre, ce qui aurait constitué un précieux élément pour l’histoire des relations entre les deux réseaux sociaux d’UMMO et de la TERRE.
Comment cela est-il possible ? Si le support de l’information disparaît, l’information disparaît.
Oui. Mais ceci n’est vrai que si la dite information n’a jamais été enregistrée par un cerveau. Imaginons dans une lointaine galaxie, un nuage de poussières cosmique. Un tel agglomérat de molécules gelées possède une forme à l’instant X. Et ceci représente une séquence informative. Imaginons deux situations distinctes. Dans l’une d’elles, les habitants d’une OYIA (astre froid) recueillent grâce à des instruments de mesure astronomique l’image de la Nébuleuse granulaire et la mettent en mémoire. Dans l’autre situation, bien plus probable, aucun être hominien ne peut capter son image (c’est-à-dire le spectre visible, ultraviolet, infrarouge, etc, de la configuration pulvérulente).
Nous avons ici, hommes de la Terre, deux situations radicalement différentes. Dans la deuxième, une fois que les tensions gravitationnelles internes ont déformé la structure localisable à l’instant X, l’information disparaît pour toujours dans n’importe quel plan de l’Univers (Nous appelons « plans », les faisceaux de dimensions).
Dans le premier cas, le cerveau de l’homme transfère la configuration (non telle qu’elle est dans le monde réel, mais codée) au BUAUE BIAEEII (B.B.), de sa constellation humaine, c’est-à-dire de son réseau social. (Note 5)
Note 5 – Nous ne pouvons pas dire que la perception du patron énergétique de cet arbuste, qui nous arrive à travers des neurocapteurs (en partant de la rétine), soit contemporaine de la réception IMAGE reçu par B.B., puisque le Temps n’est pas simultané dans les deux systèmes ou « waam ». Il y a donc communication mais il n’y a pas simultanéité. L’OEMMI est un continu spatiotemporel et ce TOUT (qui s’étend depuis sa naissance jusqu’à sa mort) se met en contact avec B. et B.B., mais pas tout du long du Temps, bien que les sauts quantiques des atomes de krypton pourraient nous le faire croire d’une manière illusoire. (Voyez, monsieur, la note suivante)
Cette perception d’un arbre d’eucalyptus à l’instant où il est cinglé par la brise se fait en un D t (Ndt : micro-instant défini), c’est-à-dire : en un couple d’I.U..
Et maintenant nous allons être plus explicites.
Nous appelons HAYIULLISAA une structure formée par des êtres humains reliés entre eux (Réseau socialisé). Le Réseau social n’est pas seulement un ensemble de nœuds représentés par les humains, dont les liaisons d’action sont de simples relations transactionnelles ou interpersonnelles d’échanges mutuels de stimulus, de signaux d’information, ou même d’argent, comme l’impliquent les relations de travail et de rétribution dans un système économique équivalent à celui de la Terre. Les branches entre les nœuds du Réseau représentent bien plus ; non seulement des flux informatifs, des flux de matière, comme quand nous remettons à un autre OEMII (Humain) un objet tel qu’une branche de santal, ou des flux d’énergie comme quand nous appuyons avec le coude sur le dos d’une autre personne. Nos cerveaux sont reliés entre eux par des canaux informatifs qui mettent en liaison les structures mnésiques (mémoire) avec un plan ou faisceau de dimensions différent de celui de la psyché et évidemment différent du faisceau de dimensions qui constituent le champ de forces qui constituent l’univers directement accessible à nos organes sensitivoafférents (le plan des choses matérielles que nous voyons, nous touchons ou sentons).
L’être humain terrestre comme l’OEMII de Ummo, tel que nous le percevons, est une section d’une structure pluridimensionnelle beaucoup plus complexe (C’est comme une tranche de fruit. Il nous est possible de percevoir la surface plane de la section, mais non sa structure stéréospatiale). Voyez le graphique tracé avec des mines de crayons de couleurs : dessin n° 0. (Mais tenez compte qu’il s’agit d’un graphique symbolique, puisqu’il est impossible que les canaux d’information qui nous relient au BUAUE BIAEII soient tubulaires ou cylindriques, comme ils sont représentés sur l’image graphique).
Deux types de flux informatifs nous relient à l’Âme Collective ou BUAUe BIAEII (le « e » se prononce comme une synthèse de A et E) :
L’un d’eux, afférent centrifuge, délivre l’information à cette psyché universelle.
Quand quelqu’un nous humilie, nous ne ressentons pas seulement le stimulus verbal, formé de séquences de phonèmes qui dans cette langue représentent une syntaxe et sémantiquement une insulte. Ce train de mots est entouré d’un halo émotionnel qui affecte le système limbique de l’OEMII ou « siège des affects » du cerveau. Notre cerveau lance alors un « cri » de douleur qui est véhiculé vers l’Âme Collective. En réalité, c’est une séquence de données qui est transférée. De sorte que cette entité accumule toute la charge d’informations composées par des milliers de millions d’expériences affectives correspondant à tant d’autres êtres humains.
Nous voudrions établir une grossière comparaison avec un lac, dont les eaux stagnent en provenance de millions de ruisseaux, si ce n’était que l’image où le modèle réel est bien plus complexe.
Et c’est bien le cas puisque existent d’autres canaux de transfert qui unissent les cerveaux du Réseau Social avec cette Psyché Collective. Nous devons préciser qu’il s’agit d’un flux centripète. Ce sont des cordons ombilicaux qui nous unissent à notre « mère » BUAUE BIAEII, au point de nous transférer une partie de l’information accumulée, bien que convenablement modulée. Avant de clarifier ce dernier point, il faut préciser les genres d’information qui s’écoulent depuis les OEMII (Corps humains) jusqu’à l’âme collective (B.B.).
Evidemment, ce ne sont pas seulement nos expériences affectives et traumatiques qui parviennent jusqu’à cette entité universelle. Non seulement nos souffrances et nos joies, mais encore n’importe quelle séquence de données obtenues grâce à l’accès au monde extérieur ou bien par l’intermédiaire de nos processus mentaux.
La perception (Note 6) d’un arbre d’eucalyptus ou l’arôme de quelques molécules d’éthyl-mercaptan est transféré au B.B. de la même manière que le processus intellectuel qui se produit quand nous réfléchissons sur le problème éthique de l’euthanasie.
Note 6 – La conscience est gérée par B.. En réalité, aussi bien l’arbre que l’OEMII est un TOUT spatiotemporel qui EXISTE en soi. La conscience est comme un projecteur explorateur qui illumine une vaste galerie, section par section, (c’est-à-dire instant par instant). Imaginez que ce long corridor soit plein de meubles et d’ustensiles et que vous avanciez lentement dans l’obscurité avec une faible lanterne qui vous permet seulement d’apercevoir un étroit passage idéal, c’est-à-dire progressivement une section de ce grand couloir.
Le futur est donc constitué (les meubles du corridor encore inexplorés). Mais, de cela nous pouvons – si nous prenons cette métaphore ou image au pied de la lettre – déduire que le futur est déterminé, et que par conséquent nous sommes privés de liberté.
Il n’en est pas ainsi. La forme de ce corridor, c’est-à-dire la somme des conduites de l’OEMII est une fonction complexe qui façonne sa propre structure spatiotemporelle.
Quels facteurs la façonnent ? En premier lieu, son environnement dans le WAAM, c’est-à-dire les patrons énergétiques qui interagissent avec le corps, y compris l’information dans le génome ou l’ADN des gamètes.
Mais, surtout le B. ou Âme, grâce à cette information qui est accumulée en même temps dans le B. (globalement pendant le temps total de l’existence).
Et le B.B. influence intensément aussi, c’est-à-dire l’action filtrée par B.B. de tous les êtres de l’humanité qui ont existé.
Le B.B. n’est-il donc qu’une simple banque de données ? Jusqu’à maintenant notre description semble représenter une gigantesque mémoire où s’accumulent des millions de gigabits en provenance de millions de capteurs terminaux périphériques. Mais, B.B. n’est pas uniquement une base de données macrocéphale. En premier lieu parce que le transfert d’information ne se limite pas à des configurations neutres de données qui permettraient par exemple de se contenter de reproduire dans le B.B. une toile de Léonard de Vinci, cet artiste de la Terre que nous admirons tant nous les OEMII d’Ummo.
Quand dans vos ordinateurs vous utilisez une matrice de diodes, par exemple, ou une mémoire à bulles magnétiques pour coder l’information, vous pouvez aussi, pourvu que sa capacité soit grande, stocker l’information contenue dans la Joconde, si vous explorez avec une résolution suffisante, point par point, la superficie en exprimant la nature chimique de chaque molécule de pigment, non seulement celle contenue sur le plan rugueux de la toile, mais aussi celles situées dans les plans inférieurs, qui peuvent se voir à travers les milieux gras déjà quasi solidifiés et semitransparents qui constituent l’huile.
Non ! Il est nécessaire de vous transmettre la notion que cette information est toujours associée à une note émotive paramétrisable.
Bien que ce soit difficile, nous pouvons vous dire que – de la même manière que, pour transmettre une photographie, vous représentez chaque point par deux chiffres qui indiquent la position dans un repère à deux dimensions, et par six autres destinés à fixer non seulement les trois composantes de sa couleur (chromatisme) mais aussi leur valeur respective d’intensité, – le B.B. ne recevrait pas seulement un plus grand nombre de données pour chaque point, mais encore une information complémentaire associée à la constellation émotionnelle des données apportées.
Observez que nous changeons de machine à écrire. Maintenant nous utiliserons un modèle Hispano Olivetti Studio 46, également employé pendant longtemps et qui servit en Espagne pour écrire les premiers messages dans ce pays. La raison en est claire. Au moyen d’une expertise, vous pouvez contrôler l’authenticité du graphisme typographié dont les erreurs de format typopgraphique, la distance entre les caractères, la déformation des lettres, les différents niveaux de pression, qui vous permettront de constater son authenticité, en évitant que ce texte soit confondu avec d’autres apocryphes).
LES CANAUX VERS LE BUAUEE BIAEEII (B.B.)
Ces canaux qui nous relient au plan psychique collectif, n’ont pas une nature énergétique, c’est-à-dire : la porteuse n’est pas un flux d’énergie comme celui que vous utilisez, par exemple, dans la transmission électromagnétique de télévision. Ce ne sont pas non plus des canaux discrets (NdT: « discret »: composé d’éléments séparés). Observez que ce que vous appelez des CANAUX CONTINUS (Note 7) ne le sont pas en réalité, puisque le Temps est discret, c’est-à-dire quantifié.
Note 7 – Les canaux auxquels nous nous référons sont constitués par une valve d’entrée (Atomes de krypton) et un flux d’information au sein de B.B.. Ce flux joue le rôle d’un neurone au sein de ce gigantesque cerveau qu’est le B.B..
Nous autres, OEMII de UMMO utilisons de nombreux types de canaux d’information. En général, ceux de caractère électromagnétique utilisant des porteurs de très haute fréquence, pour deux raisons : Pour éviter les perturbations du champ magnétique d’Ummo, qui, si sur OYAAGAA ne dépasse pas une valeur d’environ 0,5 gauss, sur Ummo atteint parfois des valeurs supérieures à 213 gauss. Mais surtout ils permettent d’émettre simultanément un grand nombre de messages. Les autres porteurs sont des quantons gravitationnels et des faisceaux de neutrinos. Et également des particules OOYIESOOA encore inconnues de vous. Mais tout cela n’a rien à voir avec ces canaux intercosmiques.
Ainsi quand vous utilisez le réseau téléphonique, vous pouvez croire que vous transmettez un patron ou une fonction continue, alors qu’en réalité il s’agit d’un échantillon à haute résolution. Sur Ummo nos canaux sont de fréquence très élevée (de l’ordre du gigahertz). Mais il s’agit aussi de canaux discrets dans lesquels on ne peut éliminer totalement le bruit de fond.
Les canaux OAWOO NIUASSOO relient deux « plans » distincts de l’Univers. L’un d’eux est constitué d’un faisceau de dimensions spatiotemporelles composé d’éléments IBOZSO UU (Particules subatomiques) ; les animaux que nous voyons, les faisceaux de lumière, les champs électromagnétiques, la force gravitationnelle ou les interactions entre particules nucléaires, en font partie.
Il est vrai que les choses ne sont pas telles que nous les voyons. Un objet réel, comme un arbuste plein de floraisons, nous apparaît comme une forme tridimensionnelle avec des couleurs vert sombre et peut-être mauves, si les fleurs le sont, en fonction des radiations chromatiques absorbées par ses atomes.
Mais, L’ARBRE-QUE-NOUS-VOYONS (Note 8)ou percevons, n’a rien à voir avec l’ensemble structuré d' »iboszoo uu » (particules) qui EXISTE-EN-DEHORS-DE-NOUS.
Note 8 – Les patrons bioélectriques de l’ARBRE-QUE-NOUS-VOYONS passent au BUUAUANN IESEE OA (SUBCONSCIENT) et de là à O., c’est-à-dire à la configuration de gaz krypton qui transfère l’information à B. et à B.B..
Les patrons énergétiques qu’il émet sont traduits par les neurocapteurs sous forme de patrons de potentiel électrique de la membrane neuronale et c’est notre cerveau qui intègre toutes les données. Jusqu’ici, nous ne vous disons rien de nouveau et vos spécialistes en Gestalt l’ont compris ainsi sur la planète Terre.
Mais, qui intègre ces patrons pour donner l’image universelle d’un « ARBUSTE »? La réponse est la : PSYCHÉ COLLECTIVE.
Il s’agit d’un autre plan de l’Univers multidimensionnel, formé aussi de faisceaux de dimensions. Ce n’est pas un Univers comme celui que nous percevons, plein de galaxies formées par des nuages de gaz et de poussières, d’étoiles en formation, de novas et d’étoiles froides, de planètes refroidies comme celles d’Ummo et de la Terre, de planètes quasistellaires, chaudes avec une croûte quasi incandescente où aujourd’hui la vie ne peut pas fleurir. NON.
Ce plan ou Univers PSYCHO-SOCIAL est lui aussi formé de singularités (Note 9) ou de concentrations de matière et d’énergie. Il est aussi anisotrope que le nôtre.
Note 9 – Il n’est pas possible de voyager jusqu’à lui. Sa masse globale est infinie. S’il n’y avait pas l’énergie quasi infinie apportées par les rares collisions de masses de signes différents, les mutuelles attractions gravitationnelles dans ce WAAM également en expansion, l’auraient fait se condenser de manière permanente en un noyau ponctuel et dense de « Ibozsoo uhu ».
WAAM est le patron (Ndt: modèle) du WAAM-WAAM.
Quand WOA (Dieu) engendra le WAAM-WAAM, en réalité il engendra les premières formes dans le WAAM
S’il n’y avait pas eu l’influence divine, WAAM serait isotrope, un « cristal » en expansion et compression continue (en un temps élémentaire défini par deux I.U.), il s’éxpanserait puis recommencerait à se comprimer, puisque son isotropie empêcherait que des masses de signes différents se rencontrent pour former de nouvelles expansions locales et maintenir ainsi une anisotropie. Mais l’infinitude de la masse empêcherait à son tour l’expansion isotrope de durer.
Quelle fut la cause de la formations de singularités dans notre Univers : galaxies, poussières et gaz intergalactiques ou galactiques, étoiles et astres froids ?
Tout simplement les perturbations que nous provoque l’Univers adjacent, qui à son tour est perturbé par un autre et ainsi de suite jusqu’à arriver à l’Univers de masse infinie que nous appelons WAAM
En ce sens, vous comprendrez pourquoi nous disons que WAAM est le patron de tous les Cosmos, patron dont l’information initiale fut engendrée par WOA (Générateur ou Dieu).
Ensuite : le WAAM se convertit en un cerveau cosmique divisé en une multitude de cellules ou d’enceintes que nous appelons B.B..
Ce n’est pas un « cristal », dans le sens où sa configuration dans son propre environnement ne présente pas de régularité géométrique. Cependant son degré de complexité est élevé. Nous pourrions dire que son niveau d’entropie est très bas. Sa densité d’information par WAALI cubique est de l’ordre de 8,345.1071 bits.(8345 par 10 élevé à la puissance 76) (Un WAALI vaut approximativement 43.700 années lumière).
Cette densité moyenne d’information est très proche de la densité en bits par cm2 de cette feuille mécanographiée.
Le BUAUEE BIAEEII est une structure immense comme peut l’être notre Univers, bien qu’elle ne puisse être mesurée en termes d’années-lumière, puisque cela n’a pas de sens d’évaluer une quelconque de ses dimensions en WAALII ou en mètres. De plus sa complexité organique est grandiose. Il est vrai que pour le mesurer nous avons utilisé l’artifice de prendre une de ses dimensions équivalente à la classique longueur dans notre Cosmos, et qu’encore ainsi sa densité d’information soit plus basse (votre cerveau atteint une densité de 1019 bits / cm³), tandis que le B.B. ne serait pas supérieur à 104 (10.000) bits/cm³.
B.B. est une « centrale cosmique » capable de traiter l’information.(Note 10)
Note 10 -Le WAAM non seulement mémorise et traite les patrons intellectuels et émotionnels des êtres vivants du multicosmos, mais de plus il régit toutes les formes et singularités du WAAM WAAM.
Ainsi, il dirige l’évolution des êtres vivants, c’est-à-dire des êtres néguentropiques (les êtres qui évoluent contre l’entropie ambiante du Cosmos qui les entoure). Cette évolution est gérée par des mutations et la sélection du milieu, comme l’ont découvert les scientifiques de la Terre, non pas de façon sauvage et aveugle mais modulée et dirigée par le WAAM qui interagit avec les êtres vivants en évolution par l’intermédiaire du BAAIYODUHU (Chaînes de Kr découverte dans un laboratoire d’Ummo par INNAEI 3 engendré par INNAEI 2).
Que se passe-t-il quand un OEMMII (humain) meurt ? Naturellement l’OEMMII se désintègre, comme vous savez, en ses atomes constitutifs en se confondant avec le milieu chimique environnant.
A l’instant de la mort, O., c’est-à-dire les atomes de krypton, cessent d’exercer leur fonction. Mais au contraire, B. (l’âme) se connecte complètement par l’intermédiaire des valves qui unissent les deux WAAM ( WAAM et WAAM ) de sorte que cela équivaut à une véritable intégration quasi totale de l’âme dans l’âme collective, où elle participe à toutes les connaissances accumulées par l’humanité.
Ceci est notre connaissance scientifique de la transcendance après la mort d’un OEMII.
Un réseau d’IBOZSOO UHUU agit comme une valve entre B. (l’ÂME) située dans le WAAM et le B.B. inséré dans le WAAM , permettant une « intégration » quasi absolue entre les deux entités. C’est WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU) qui fixe les caractéristiques de cette chaîne d’I.U. (valve d’information) en un « temps » déterminé.
Si l’OEMMII, dans les domaines où il est responsable et libre, tout au long de sa vie a violé les lois UUAA (ÉTHIQUES), il est nécessaire de transformer la structure de son information codée dans . N’oubliez pas que l’ÂME ne pense pas, que c’est une simple matrice de données gelée. Elle ne peut traiter son propre monceau d’informations qu’uniquement avec l’aide de B.B..
La psyché peut se voir condamnée à subir une « capacité » lente d’utiliser son propre EGO (information codée en son sein) et à ne pas participer à la complexité dense de B.B..
Mais WWOA peut, si l’homme a respecté les normes morales pendant son existence ou après la correction de sa structure une fois décédé (reconformation), permettre que ce réseau d’I.U. lui offre un flux de communication excessivement plus dense que celui que nous expérimentons dans le cours de notre existence comme êtres vivants dans notre WAAM.
Dans ce cas, « l’intégration » du (ÂME) dans le B.B. est si intense que celle-ci partage l’immense volume de données de l’ÂME COLLECTIVE. Sa vision intellectuelle de WOA (Dieu) s’accroît. Elle pénètre dans la connaissance profonde du Cosmos, de l’évolution des êtres, des vastes « connaissances » (information intellectuelle et affective ) contenues dans le B.B..
Observez que, d’une certaine façon, cette notion escatologique coïncide, avec une certaine exactitude, avec l’estimation théologique du christianisme d’OYAAGAA sur le salut.
Ce que vous appelez le Purgatoire est dans ce cas le processus de RECONFORMATION, qui se réduit au fait que WOA limite à un certain degré cette participation de B. dans B.B., en réduisant à des degrés différents la valeur du Canal ou valve qui sépare les deux WAAM : ( et ).
Ce que vous appelez « GLOIRE ou SALUT » est l’intégration complète de l’Âme, non pas exactement en DIEU, mais dans une si grandiose création de WOA comme l’est le B.B. (ESPRIT COLLECTIF). Nous pouvons imaginer la merveilleuse « extase » ou « jouissance » que notre esprit peut expérimenter, non seulement du fait que soit permis que l’information « enregistrée » en lui soit traitée d’une manière fluide (l’esprit par lui seul ne pourrait le faire), mais encore en participant et en bénéficiant de TOUTE l’immense information contenue dans le WAAM-WAAM
Par l’intermédiaire du il pourra communiquer avec les autres de ses frères décédés, et comme chaque participe de la matrice d’information imprimée dans le WAAM depuis le moment de sa création ou génération (N’oubliez pas que WAAM a pour but de conformer les singularités de tout l’ensemble du WAAM-WAAM.), son esprit pénètrera dans les secrets les plus intimes du Cosmos multiplanaire (les Univers).
Pourrait-on imaginer, – exprimé en language quotidien, – une plus grande joie ?
De plus le WAAM est éternel. Certains Univers, ceux qui possèdent une masse supérieure à la masse critique, collapseront puis entreront en expansion éternellement. D’autres, ceux de masse souscritique, continueront leur expansion éternellement. Mais quant au WAAM qui compense son attraction gravitationnelle, due à la masse infinie en son sein, par l’énergie apportée par l’impact de masses +m et -m et par la reconversion postérieure d’énergie en masse à l’intérieur d’un cadre où C = ¥ (infini), l’éternité de sa structure est assurée. (Son rayon est constant).
Le plaisir de l’ÂME ainsi « intégrée » (interconnectée) ne sera plus en rien « statique ».
Les théologiens de la Terre semblent oublier que si l’Âme participe à une connaissance même infinie, la situation « statique » de cette participation supprime toute possibilité de plaisir de découvrir de nouveaux aspects de la connaissance.
L’esprit réel au contraire bénéficie pleinement de cet « échange ». Parce que B.B. n’est pas une entité « statique ». Non seulement l’humanité accroît sans cesse le montant de ses connaissances pendant la vie, mais encore à mesure que le WAAM-WAAM évolue tout au long de son éternité (une partie de ses Univers en s’expansant éternellement perdent toute singularité et l’entropie devient maximale, mais, dans d’autres, l’entropie est fluctuante), le fond d’information de tout le WAAM s’enrichit. (Ne confondez pas le WAAM avec . Ce dernier est une partie cellulaire de cet Univers).
Et ceci en supposant la pire situation où n’existerait aucune communication entre les différents , correspondants à tant d’autres humanités planétaires, une énigme qui nous passionne et que nous n’avons pu percer.
Imaginez le degré de plaisir d’une Âme qui en plus de participer à l’immense information apportée par une humanité (la sienne) et aux secrets cosmologiques de milliers de Cosmos (sûrement en nombre infini) pourrait participer aux singularités spécifiques à d’autres civilisations planétaires ?
Peut-être en est-il ainsi, mais jusqu’aujourdhui, nos scientifiques et théologiens n’ont pas pu arriver à une réponse affirmative.
Vous ne devez donc pas vous cacher l’énorme transcendance de B.B. . Sans lui, l’esprit individuel serait comme un vieux manuscrit d’OYAAGAA enfermé pour l’éternité dans une cave obscure. Sans pouvoir penser, sentir, ressentir, se lire soi-même, traiter en somme le riche contenu des livres et des dessins d’art en couleurs enfermé dans leurs nobles pages de parchemin. Ceci est la raison pour laquelle, quand vous perdez « la conscience » à cause d’un traumatisme, de la désafférentation du système réticulaire par exemple, de l’anesthésie ou de certaines phases du sommeil, l’âme semble ne « pas exister ». Les Théologiens de la Terre s’en sont-ils demandé la cause?
Ces notions vous sembleront étranges et lointaines par rapport à vos propres idées. Mais, un jour, vos scientifiques les découvriront comme l’ont fait les nôtres.
En attendant ce moment, acceptez les comme une partie de l’information que vous possédez sur la culture d’OIAUMMO.
Le B.B. est constitué de GUU DOEE (contours ou cellules). Une image serait, pour nous comprendre, « les galaxies de notre Univers », sauf que dans le B.B. il ne s’agit pas de configurations nébulaires de poussières et de soleils, mais d’enceintes, de parties à cinq dimensions. Dit autrement : ce plan cosmique ou B.B. est subdivisé en d’autres B.B. ou psychés universelles, chacun d’eux correspondant à une humanité planétaire (La confusion que vous pourriez observer vient de ce que nous appelons B.B. (BUAUEE BIAEEII ) non seulement l’Âme collective de UMMO ou de la Terre, mais aussi le plan cosmique (c’est-à-dire du multiunivers) qui contient tous les B.B. des différents réseaux sociaux qui peuplent notre Univers tétradimensionnel. Nous l’appelons ainsi puisque ce sont les quatre dimensions les plus perceptibles.
Le plan cosmique B.B. contient des milliers de millions de B.B. correspondant à autant d’humanités. C’est le B.B. de l’humanité de la Terre qui, en connexion avec votre cerveau, traite l’information reçue, engendrant la conception des choses.
C’est un processus holistique. L’arbuste que vous percevez, non seulement vous évoque des souvenirs agréables (un buisson de jasmin peut s’auréoler de souvenirs agréables pour vous s’il vous rappelle un agréable voyage en Grèce dans votre enfance) mais le jasmin en soi est euphorisant pour vous.
Pourquoi l’est-il ? Pour la simple raison que des millions de jasmins ont pu évoquer des souvenirs agréables à tant d’autres personnes, tandis que d’autres millions de serpents ont accumulé dans le B.B. une charge d’angoisse que vous percevez, bien que vous n’ayez jamais touché un ophidien.
B.B. accumule des milliers d’années d’angoisse sociale, de souvenirs, de tortures, d’évocations de guerre, mais aussi des symboles universels, la remémoration d’agréables fêtes, la réminiscence de métaphores et de mélodies.
Quand de nombreux OEMII dansent dans le cadre d’une fête populaire brésilienne, il existe une harmonie évidente entre les composants de l’ensemble qui leur permet de coordonner leurs mouvements chorégraphiques, bien que les danseurs gardent les yeux fermés.
Au cours d’un incendie, la réaction collective ressemble apparemment à celle d’un organisme vivant dont les cellules se déplacent par un tropisme collectif. Quel facteur psychosocial coordonne tous les humains dans un regroupement grégaire? Depuis une manifestation politique (desquelles vous êtes si passionnés) jusqu’à notre grégarisme discipliné du Gouvernement Général de UMMO, depuis une communauté religieuse de l’Eglise Catholique Romaine jusqu’au suicide collectif des sectaires au Guyana (novembre 1978).
Les idées universelles de Dieu, l’âme, l’amour, la haine.., ne seraient pas en vigueur dans votre culture et la nôtre si elles ne venaient pas de nos B.B. respectifs. Vos anthropologues se sont parfois étonnés de la cause qui rend possible que des mythes comme le Déluge se soient développés dans des cultures diverses.
En première approximation, on pourrait croire que des voyageurs de l’une ou l’autre société auraient pu transmettre de l’une à l’autre la légende. Mais cette hypothèse s’écroule facilement quand de tels mythes primordiaux apparaissent simultanément sur des continents qui n’étaient pas en relation à ces époques où les voies de communication étaient presque inexistantes.
Les canaux OAWOO NIUASOOO NE SONT PAS DISCRETS !!! L’information se propage par des patrons qui sont d’authentiques fonctions continues, et le rapport signal-bruit est infini, ce qui lui permet de ne pas être redondante. Le bruit est inexistant, chose que nous n’atteindrons jamais même avec la technologie la plus sophistiquée. La vitesse de transmission est quasi infinie. A tel point qu’il est seulement nécessaire de tenir compte du temps peu rapide de propagation de l’information le long des réseaux neuroniques du cerveau, mais une fois que le OEMBUAUU (chaîne d’atomes de krypton) a codé le message, la psyché BUAWUAA et B.B. reçoivent simultanément les deux informations, celle appelée LAAIYAA (émotionnelle) et la EESEE OU (intellectuelle). Cette dernière se propage par résolution quantique ; la première est globalisée ou comme vous diriez holiste, intégrée ou gestaltiste.
C’est pourquoi B.B. traite l’information accumulée par votre humanité (vous savez déjà que nous, sur Ummo, avons comme réseau social notre B.B.) et l’élaboration définitive sous forme de grands paradigmes universels, il la retourne aux hommes de la Terre.
Il reste à mes frères spécialistes d’Ummo, à résoudre l’énigme passionnante de savoir si les différents B.B., correspondant à tant d’autres civilisations planétaires, peuvent s’interchanger l’information. Au jour d’aujourd’hui, nous n’avons pas trouvé d’indice fiable que cela se produise ainsi.
Signature probable:
AOXIBOO 3 (fils de) IRAA 6
Le graphique joint est réalisé par mon frère, en utilisant la feuille de cellulose et des crayons de couleurs en plus de feutres d’OYAGAA.
Le diagramme joint doit être interprété comme didactique et symbolique. En aucune manière, les images ne correspondent au système réel du WAAM-WAAM, puisque ses vraies formes sont trop complexes pour les représenter sur une feuille de papier et qu’elles en arriveraient à induire de la confusion.
Représente le WAAM-WAAM ou ses trois plans ou notre propre WAAM au milieu des autres possibles en nombre infini. | |
Le WAAM limite, de masse infinie, qui contient le B.B. ou BUUAWUA BIAEEII | |
BUAWUUA BIAEEI ou cerveau psychique collectif d’où émergent autant de paires de OAUOO NIAUXOO qu’il y a d’êtres humains dans le réseau social | |
Canal « centrifuge » (1) d’information, soit le OAWOO NIUASOO qui transfère l’information du B.B. dans le corps de l’OEMMII | |
Canal « centripète » (1) qui transfère les données depuis l’OEMMII vers les entités psychiques | |
Atomes de Kr qui agissent comme des vannes (relais) d’entrée et de sortie d’information entre les différents WAAM (univers) | |
WAAM dans lequel nous vivons | |
Flêche du temps | |
Cadre dimensionnel qui, avec le temps, structure le WAAM réel | |
OEMII tétradimensionnel, homme spatiotemporel | |
WAAM de masse nulle, qui contient les divers esprits des êtres humains (un réseau d’Ibozsoo uuhu). | |
Ces canaux n’existent pas en réalité. Ils se réduisent aux relais de Kr qui lient le WAAM réel que nous percevons avec le WAAM | |
Les « sphères » représentent les différents esprits humains , évidemment leur forme réelle n’est pas celle de volumes symétriques de rayon constant. |
Bien qu’ils n’apparaissent pas dans le graphique, on sous-entend qu’entre les trois WAAM existent une infinité d’Univers, supposés accessibles, qui contiennent des singularités de masse et d’énergie.
(1) le concept « centrifuge » ou « centripète » est relatif à la source d’information considérée, comme vous le savez.
« Diagramme »
Fin D357-2 | T13-36
Monsieur Juan, Nous avons tenté, avec ce rapport de forme très synthétique, de vous offrir une vision globale des interactions du WAAM-WAAM avec l’être humain. Notre désir n’est pas que vous assimiliez cette doctrine telle quelle (car nous prévoyons que les scientifiques de la Terre finiront par découvrir, dans les siècles à venir, ce que nous avec plus de XEE avons trouvé patiemment au cours de nos études, sans qu’ils possèdent une information sur nos concepts cosmologiques.
Nous désirons, Monsieur Juan Dominguez, que ces lignes ne soient pas trop diffusées. Nous savons que c’est difficile et qu’il ne dépend pas de vous que soient obtenues parfois quelques copies quand vos frères destinataires négligent notre demande. Mais si elle n’est pas acceptée par eux nous retournerons les submerger de silence.
Nous vous saurions gré d’envoyer une copie de ce rapport d’abord à notre aimable ami que nous aimons affectueusement RAFAEL FARRIOLS CALVO, en le priant de ne pas distribuer de copies de ces formulaires dactylographiés et écrits au crayon de couleur.
Il nous agréerait aussi que reçoivent des copies avec la même prière les OEMMII de la Terre :
GERMAN DE ARGUMOSA | JUAN JOSE BENITEZ | ALBERTO BORRAS |
DIONISIO GARRAIDO | LUIS JIMENEZ MARHUENDA | JOSE JORDAN |
ENRIQUE LOPEZ GUERRERO | JOAQUIN MARTINEZ | ANTONIO MOYA |
JAVIER MUELA QUESADA | MANUEL TRIGO GANDOL | RAUL TORRES HERREROS |
HILTRUD NORDLIN | JORGE BARRENECHEA | ENRIQUE VILLAGRASA |
Le critère de sélection des noms pour nos rapports est pratiquement aléatoire bien que parfois priment des considérations d’ordre technique pour l’exclusion d’un de vos frères. Les OEMMII non cités ne doivent pas se sentir humiliés. Nous répétons notre prière. Vous pouvez lire les copies mais non les reproduire. Naturellement, nous ne pouvons vous y obliger puisque vous êtes libres et ne violez aucune loi morale en refusant d’écouter notre demande mais comprenez que nous aussi nous jouissions de la liberté de cesser d’envoyer des rapports pendant plusieurs WEE aux hommes et femmes d’ESPAGNE.
Entendez que les copies non seulement sont envoyées aux hommes que nous citons par convention sociale du pays d’Espagne mais aussi aux YIIE auxquelles ils sont liés par des nœuds sentimentaux et conjugaux.
Permettez hommes d’Espagne que nous posions humblement notre main sur votre poitrine
D378
UMMOAELEUUE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
Monsieur Jorge Barrenechea,
Cher ami,
Par l’intermédiaire de notre messagère, comme à l’habitude jusqu’à présent, nous vous envoyons cette lettre document en vous priant que l’original soit remis le plus tôt possible à votre frère ANTONIO RIBERA JORDÀ,
Je vous prie d’envoyer aussi une copie de ce texte à votre frère susnommé.
L’accusation contre votre frère FERNANDO SESMA, incapable de présenter la défense de son honneur, car décédé, et contre ANTONIO RIBERA, nous paraît tellement triste et fallacieuse que nous prions fermement votre frère Ribera Jordà (Antonio) de faire une copie du document que nous lui remettons pour votre frère Joaquín Francès, rédacteur de la revue INTERVIU, dans le but de prêter ce service moral à votre frère mort.
La raison pour laquelle nous désirons envoyer cette lettre à Monsieur Joaquin Francès est évidente : Formuler publiquement une critique de la lettre en question de votre frère Juan José Bentez, associée à son propre texte oubliant de défendre la probité des deux accusés.
Autant ce texte dactylographié que la lettre jointe peuvent être lus ou reproduits par tout procédé de copie, pour n’importe lequel de vos frères que vous jugerez bon de désigner, et diffusés à un niveau que vous jugerez prudent. Une accusation grave exprimée contre notre ami décédé doit primer sur des considérations en rapport avec n’importe quelle stratégie de réserve mentale et de secret opérationnel.
Nous ne désirons pas que notre attitude soit dénaturée, interprétée comme une attaque contre votre frère Juan José Bentez. Il n’est pas possible de juger des intentions de cet OEMMII, rédacteur de cette défense – offense. Notre intention est diaphane. Éclaircir la lamentable erreur commise par lui, tout en respectant profondément son honorable personne
Recevez, vous OEMMI d’Espagne, notre salut très affectueux.
Albacete, Espagne, février 1988.
D379
UMMOAELEUUE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
Respectable homme d’OYAAGAA : ANTONIO RIBERA JORDÀ
Monsieur, Nous posons notre main sur votre poitrine en signe de fructueuse amitié. Vous savez bien, monsieur Ribera Jordà (Antonio) que, depuis l’an de la Terre 1968, nous nous sommes identifiés devant vous comme des OEMMII (humains) venus d’un astre froid dont le nom exprimé phonétiquement en langue espagnole est UMMMO.
Nous n’avons jamais tenté de vous convaincre de notre vraie identité, puisqu’il est évident que l’on doit adopter une attitude criticoanalytique face à n’importe quelle affirmation qui n’est pas avalisée par des preuves. Les raisons pour lesquelles, malgré cette contradiction apparente, nous continuons à expédier nos rapports à des groupes variés du Canada, Australie, Grande Bretagne, Espagne, Zimbabwe et d’autres nations de OYAGAA (Terre), sont implicites dans les documents antérieurs envoyés à vos frères.
Nous ne devons pas vous cacher que notre décision d’interrompre nos envois, tant à vous qu’à votre frère ENRIQUE LÓPEZ GUERRERO (prêtre catholique), fut due à la publication imprimée de nos rapports dans des éditions publiées avec les paraphes de vos signatures.
Mais, nous aimerions formuler une nuance importante. En aucun cas vous n’avez violé aucune loi morale. Vous êtes des hommes libres et rien ne vous lie dans l’absolu à aucun modèle d’obligations envers des êtres inconnus, comme ceux qui forment ce corps expéditionnaire éparpillés dans plusieurs pays d’OYAAGAA. Nous ne nous sentons pas offensés ni trahis par ces publications.
Mais, nous aussi sommes des OEMMII libres, nous estimons avoir le droit d’étrangler un canal d’informations quand, comme dans ce cas, nous estimons qu’une divulgation excessive de notre culture n’est pas dans notre intérêt, et nous désirons la canaliser exclusivement vers un microréseau social de vos frères sélectionnés par nous. Cette conduite pourrait s’interpréter comme une intention de la part de mes frères de créer d’authentiques sectes ésotériques adoratrices de ces présumés extraterrestres. N’importe qui connaît nos documents dactylographiés en langues anglaise, française, espagnole et allemande, et qui dialogue avec les OEMMII destinataires de nos bases de données, s’apercevra immédiatement que nous repoussons fermement toute tendance de la part de vos frères à épouser notre pensée et que nous admettons comme seule attitude logique d’analyser dans une perspective ethnologique l’étude de notre culture issue d’une civilisation intragalactique. (Les raisons profondes de nos contacts avec vous ont fait l’objet d’un document remis récemment à un groupe de vos frères connus de vous)
Monsieur Antonio Ribera : Malgré notre décision de suspendre jusqu’à nouvel avis tout contact avec vous, nous devons témoigner que nous ressentons pour vous une vraie affection. Croyez-nous : Ce n’est pas une simple affirmation de courtoisie. Nous savons que personne dans votre pays n’a, autant que vous, lutté par la dialectique pour ouvrir les esprits de vos frères à l’étude des civilisations intragalactiques. Ceci seulement vous fait mériter notre respect profond et silencieux.
A cause de cela, nous nous somme sentis attristés par les accusations, à notre avis, injustes et fausses qui ont été formulées sous la forme imprimée d’un média de communication de votre pays (Interviou, n° 612 du 3 au 9 février 1988, page 87) par un de vos frères. Compte tenu des allusions dans ces paragraphes aux textes de mes frères (distribués en d’autres temps) nous nous sentons forcés de leur exprimer notre sentiment de solidarité.
Le texte imprimé cité est cette affirmation : …mais des écrits oummites qui circulent par le monde depuis les années 60 et que curieusement ont tellement plagié les sieurs Sesma et Ribera.
Nous pensons, Monsieur, que vous n’avez pas besoin de notre défense puisque votre propre honnêteté est la meilleure arme que vous puisse utiliser devant une quelconque imputation à votre endroit, fondée sur des jugements alambiqués.
Mais votre frère Fernando Sesma, dont nous savons, bien que nous n’ayons pas pu le connaître, que nos frères en mission dans ces années là, avaient pour lui un affection spéciale, est mort et nous pressentons qu’aucun de vos frères ne va bondir pour sa défense. Nous considérons comme ignoble de lui attribuer une conduite inexacte quand le frère qui la lui attribue sait qu’il lui est impossible de démontrer son honorabilité.
Nous comprenons, monsieur Antonio Ribera, que nous ne saisissons pas aussi profondément que vous le sens sémantique de certains vocables de la langue espagnole, mais nous ne croyons pas nous tromper trop si nous attribuons au verbe «plagier» la signification de «copier ou transférer par des moyens typographiques ou phonétiques par l’intermédiaire d’un canal de communication pour la diffusion de l’information une production littéraire étrangère que l’on s’attribue comme sienne».
Il est évident que ni votre frère FERNANDO SESMA MANZANO (†) ni vous ANTONIO RIBERA JORDÀ, n’ont «plagié» dans vos livres, nos rapports, dès lors qu’ils ont eu l’honnêteté et l’intégrité morale de transcrire nos bases de données, critiquant avec équité et probité leur source UMMOOAO. Il est évident que vous les publiez librement puisqu’il n’existe aucune accord s’appuyant sur un texte juridique pour les garder secrets.
Nous désirons émettre un jugement de valeur sur la conduite de votre respectable frère Juan José Benítez, transcrivant dans plusieurs pages de l’œuvre LE CHEVAL DE TROIE, des textes et des concepts de notre système scientifique se rapportant aux IBOZSOO UHUU, sans citer strictement la source de l’original.
Il serait injuste de dire immorale sa procédure sans connaître les motivations intellectuelles qui l’ont amené à plagier un grand nombre de pages d’origine URANTIA et, en un peu plus de douze pages, la reproduction de données et de matrices de textes de nos rapports d’UMMO.
Votre frère JUAN JOSÉ BENÍTEZ n’a souscrit aucun accord avec nous l’obligeant à citer notre source. D’une part, nous n’avons pas de personnalité juridique, puisque nous ne sommes citoyens de droit d’aucune nation d’OYAGAA et, d’autre part, nous confessons que cette transcription ne nous a causé aucun mal. Votre frère est un homme libre et il n’y a rien qui l’oblige, devant des inconnus comme sont les OEMMII d’UMMO, à des actes qui relèvent strictement de sa conscience morale.
Par contre, nous considérons comme un acte irresponsable et de caractère frauduleux le fait d’accuser à tort et publiquement de plagiat (s’approprier la paternité d’un écrit) un de vos frères déjà mort, que nous considérions comme notre AMI. Nous préférons penser que le fait de méconnaître la signification de certains termes idiomatiques soulève une passion explicable dans son état mental perturbé. Nous ne pouvons oublier que c’étaient des jours amers pour lui, avec des problèmes familiaux et des accusations portées par diverses voies contre sa personne. Votre frère est un excellent journaliste, aimant comme vous les études cosmologiques, bon et noble, mais quand l’encéphale se voit soumis à de multiples pressions, il peut commettre des erreurs parfaitement explicables.
C’est pourquoi nous suggérons qu’il puisse montrer sa bonne foi et sa noblesse intellectuelle, en rectifiant publiquement son texte ou en expliquant qu’il a commis une erreur typographique. A moins qu’il soit en état de démontrer qu’il ne s’agissait pas du sens étymologique du verbe PLAGIER.
Albacete, Espagne
5 février 1988
Mon nom est AOSIIBOO 3, fils d’IRIRAA 6
Nous autorisons monsieur Ribera Jordà (Antonio) à utiliser ce texte comme il lui plaira et à diffuser des copies à qui il voudra
D381
(page précédente non traduite)
Il est réellement triste que nous, corps expéditionnaire étranger, qui n’avons rien en commun, ni aucun lien biologique, avec le Réseau social de la Terre, ayons à bondir à la défense d’un frère, lui même incapable de s’autodéfendre, même s’il vit dans le B.B., et d’un autre frère son aîné, dont les moyens économiques sont maigres et qui se voit soumis impuissant aux attaques cruelles d’un éditeur sans scrupules : votre frère Fernando Lara, et d’un autre frère, son disciple, qui profite de la vieillesse de son maître pour ternir son honneur gratuitement.
Mais nous avons observé avec tristesse qu’aucun de vous n’était prévenant envers les autres, PAS UN SEUL FRÈRE parmi vous ne s’est levé pour défendre des OEEMMI maltraités. Nous avons observé avec plaisir cependant une réaction communautaire d’appui moral aux offensés, mais sans ressentir la nécessité d’agresser ces agresseurs qui sont des malades.
Nous ne vous avons jamais rien commandé qui favorise les intérêts de nos frères, mais nous vous avons demandé fermement de renforcer entre vous les liens de solidarité quand l’un de vos frères se trouve soumis à un puits de désespoir ou menacé par un grave problème. Nous ne vous accusons pas d’avoir oublié nos exhortations. Et cette aide s’est cristallisée parfois entre vous. Mais reconnaissez, au moins, que le cas de vos frères Sesma et Ribera aurait dû requérir de votre part une réaction plus vive. Il nous est impossible de juger le degré de responsabilité morale de votre frère FERNANDO LARA, éditeur, concernant son attitude face à Don Antonio Ribera.
Son mépris envers un frère, qui a réalisé avec courage une œuvre intellectuelle pour gagner son pain, écrivant dignement ses œuvres sans plagier les autres auteurs et sur qui injustement plane l’accusation de plagiat, reprenant ainsi l’attaque parallèle de son frère Juan José Benitez, génère notre rejet et notre tristesse.
Si vous analysez avec objectivité toutes ces accusations, vous pourrez conclure qu’elle manquent totalement de fondement. Vos frères LARA et BENITEZ manient arbitrairement le verbe PLAGIER, comme l’exprime très correctement notre frère supérieur dans sa lettre envoyée à JOAQUIN FRANCÈS.
Ils prétendent donner deux sens, à ce verbe, que nous ne croyons pas acceptés par l’Académie royale de la langue espagnole.
L’un d’eux, utilisé par votre frère Bénitez, confond « reproduire » et PLAGIER. Nous savons, que dans tous les pays, il est permis aux auteurs de tout domaine littéraire de reproduire dans leurs pages un fragment littéral extrait du contexte d’une autre œuvre produite par un auteur connu ou anonyme, pourvu qu’ils mettent toujours un soin spécial à citer clairement l’origine du texte copié (titre de l’œuvre et, s’il est connu, le nom de son auteur).
C’est précisément ce qu’a fait honorablement votre frère ANTONIO RIBERA et ce qu’a oublié de faire votre frère JUAN JOSÉ BÉNITEZ.
L’autre fausse acception confond INSPIRATION avec PLAGIAT. Avec une surprenante méconnaissance de la langue de la part d’un professionnel du domaine de l’édition, votre frère LARA accuse de plagiat ceux qui n’ont fait parfois que s’inspirer d’autres œuvres.
Pour ce que nous avons pu étudier de l’ingénieuse production littéraire de toute l’histoire d’OYAGAA (Terre), il est évident qu’il est nécessaire de distinguer l’originalité thématique et l’originalité stylistique. Les thèmes princeps véritablement originaux sont réellement très peu nombreux et par définition ont été générés à l’aube de la littérature d’OYAGAA.
Tous les auteurs qui ont écrit depuis se sont inspirés les uns des autres, attitude considérée comme pleinement logique dans la mouvance littéraire. Autre façon de dire que, depuis l’époque hellénique il n’a pas été possible de créer de nouvelles œuvres.
Un de vos spécialistes, votre frère W. Kayser, signale que dans les fouilles de Babylone, on a trouvé une tablette écrite en caractères cunéiformes, dont le texte déplore que tous les thèmes poétiques soient déjà réellement épuisés !!! Et W. Kayser conclut : Si toute adaptation d’un thème doit être interprétée comme plagiat alors il n’y a pas un écrivain indemne de ce délit.
Ce qui est réellement important dans l’œuvre d’un auteur, c’est par conséquent l’originalité du style. Votre frère Middleton Murry le signale correctement quand il affirme que ce qui caractérise un auteur c’est la qualité du langage avec lequel il exprime sa pensée et sa gamme d’émotions. Il est évident que l’essence du style est la qualité de la métaphore et de l’image littéraire. Son originalité, sa plasticité, sa musicalité ou son euphonie, sa capacité à générer des ondes de résonance émotionnelles liées non seulement à l’affectivité qui auréole chaque vocable mais au renforcement sentimental qui parvient à la combinaison harmonieuse des mots. C’est ce qui caractérise le style de chaque auteur et pour lequel vos frères éminents, comme Rainer Maria Rilke, Pablo Neruda, Homère, Shakespeare, Paul Claudel, Federico Garcia Llorca, Dante Alighieri, Rabindranath Tagore… peuvent être catalogués comme les grands inspirateurs du Réseau social de la Terre.
L’indigne affirmation de votre frère Lara dit textuellement ceci. Quant au dernier livre que notre éditeur a publié de Ribera qui s’intitule « Le document, on dira que conceptuellement c’est un plagiat absolu du livre « Le cheval de Troie».
On ne peut introduire plus d’idées fausses dans un paragraphe semblable. L’assertion de votre frère Lara démontre qu’il ignore le sens du verbe PLAGIER, ignorance gravissime qu’un homme, qui se dit gestionnaire d’un éditorial, puisse confondre S’INSPIRER et PLAGIER.
Nos avons lu cette nouvelle de votre frère Ribera et, si vous le faites aussi, vous observerez qu’il y a seulement une association très lointaine avec le contenu de l’œuvre signée par votre frère JUAN JOSÉ BENITEZ.
Dans le cas ou il y aurait des indices d’INSPIRATION (que vous savez permise à tout écrivain), il l’aurait fait de l’œuvre tirée du Livre de l’Urantia, puisque ces livres signés par votre frère Benitez, oui eux, sont réellement un plagiat – (et non simplement INSPIRÉS DE) c’est-à-dire UNE REPRODUCTION, QUASI LITTÉRALE D’UN TEXTE ÉTRANGER SANS CITER SON AUTEUR LÉGITIME, – de l’œuvre d’Urantia en premier lieu et à un moindre degré de nos dossiers.
Nous considérons par conséquent l’affirmation de votre frère Lara comme une pure calomnie puisque en réalité l’accuser de plagiat le dénonce injustement comme voleur d’une propriété littéraire étrangère qui s’est, elle-même, limitée à rédiger une narration avec son propre style.
Il est bien triste que des comportements comme ceux développés par vos frères LARA et BENITEZ ne méritent pas le rejet réflexe et solidaire des frères touchés par les hommes calomniés.
Nous n’avons pas la personnalité juridique pour exercer une action légale que, d’autre part, notre éthique nous interdit de développer. Mais nous pouvons ainsi par notre silence exprimer notre amertume et notre déception.
Nous savons bien que les échos de ces déplorations ne peuvent servir que très peu de consolation à un OEMMII qui se sent humilié par un frère sans scrupule, sans qu’une seule voix se lève pour demander justice. Mais au moins, nous voudrions par ce texte que l’OEMMII ANTONIO RIBERA JORDA, que nous considérons comme un ami cher de notre groupe, prenne conscience que nous participons de son amertume.
Nous savons que nous lui offrons bien peu. Les flatteries et les exhortations émises par une source anonyme qui pour comble s’identifie issue d’un point intragalactique étranger à OYAGAA (Terre) font diminuer malheureusement sa force morale.
Permettez-nous, Monsieur RIBERA JORDA, de poser notre main sur votre poitrine en signe symbolique de notre respect envers vous.
(fin de la page et 3 pages suivante non traduite)
D392
UMMOAELEUEEE
Nombre de copies : UNE
Langue : ESPAGNOL
Adressée à l’Espagne
Monsieur l’ami :
Je désire en première instance me présenter à vous. Mon nom est AOXIBOO numéro 3 FILS de IRAA Numéro 6. Je suis EEMMII (humain) provenant de la planète froide UMMO.
Le motif de vous provoquer l’inconvénient de nous lire c’est ce que nous vous apprenons ci-après :
Comme vous le savez, mes frères ont durant ces dernières années prodigué une correspondance unilatérale avec vos frères de la Terre. Vous et une sélection de vos frères ont été les récepteurs de nos messages qui prétendaient n’avoir qu’un caractère informatif, sans jamais prétendre de les convertir en véhicules à caractère doctrinaire.
Nous pensons avec un certain degré de raison, que nos peurs que notre intentionnalité souffre une distorsion notable, se sont vu devenir des faits dans une certaine mesure.
Aujourd’hui nous croyons sincèrement que nous vous avons fait dommage sans le prétendre.
Nous avons capté des conversations maintenues entre votre frère Rafael Farriols et Jorge Barranechea et de leur contenu nous pouvons déduire le degré de discorde provoqué par notre faute.
Il était inévitable que des frères à vous profitent du degré d’attente provoqué par nos lettres, pour s’arroger le droit d’usurper notre nom de umooaeleuee et d’écrire de fausses missives pour introduire de la confusion dans vos esprits. Ceci était l’une des raisons qui nous incitait il y a des années pour vous recommander réserve et secret. La tentation de ne pas contenir votre admiration pour nous vous amena à diffuser nos messages même à l’encontre de nos prudents conseils et voici que vous en avez les inévitables fruits.
Nous pensons que dans la perspective mentale de vos frères, ces falsifications de lettres présentent une certaine logique. N’oubliez pas que sous les prémices d’un raisonnement sain sur base de la culture que l’homme de la Terre possède, il est difficile de nous octroyer du crédit. Quelles preuves définitives avons-nous apporté de notre identité ? AUCUNE. Nous avons même introduit des éléments de confusion pour ne pas être crûs.
On devait s’attendre à ce que le thème UMMO soit interprété par beaucoup de vos frères sensés, comme un mythe intelligent préfabriqué par d’autres frères de la Terre. Vous reprocher cela serait comme insulter votre intelligence.
Comme corollaire. Ils jugent votre croyance comme le fruit d’une idée délirante, et vous qualifient de dupes. La structuration de ce jugement, bien qu’excessivement dogmatique est d’autre part correcte sur base des principes de la logique aristotélicienne en vigueur chez vous.
Vos frères amis, en observant la passion que vous ne dissimulez pas pour le thème, ont cru intéressant de rédiger ces lettres.
La motivation était très simpliste. En premier lieu, en les écrivant et vous en les recevant et en les interprétant comme non apocryphes, ils obtenaient la la preuve tant espérée par eux, que vous manquez d’esprit critique. C’est-à-dire que la personnalité existentielle est excessivement crédule, ce qui pour eux expliquerait votre foi dans l’existence d’Ummo.
En second lieu, ces pratiques provoquent un morbide sentiment de diversion, d’amusement aux racines pathologiques. Puisque se moquer des nobles sentiments de Foi d’un autre frère enfreint les normes étiques les plus élémentaires. Même en supposant que notre groupe soit un noyau social d’imposteurs (Et ce jugement possède, oui, une certaine logique) cette violation morale, que nous supposons de notre côté ne justifiera jamais que d’autres personnes nous imitent, pour la même raison que l’existence habituelle de larrons dans votre société ne sera jamais un argument pour commettre un délit en s’appropriant les propriétés des autres.
Qu’ils sachent donc ces messieurs qui falsifient ces lettres, que par leur attitude ils montrent un niveau intellectuel insuffisant et qu’ils doivent se préoccuper pour leur santé mentale puisque leur conduite est catégorisée dans la psychiatrie de la Terre comme picopathie, (Dérangement de l’affectivité) Ce n’est pas tant la gravité de leur violation morale mais le niveau de perturbation dans leur système Limbique. Croyez-moi monsieur le falsificateur et les autres qui font comme vous. Peut-être êtes-vous sûr que nous ne provenons pas de Ummo, mais :
Au moins vous pourrez deviner ; qu’en tant que médecins que nous sommes nous avons des connaissances en Psychiatrie (EDDIOO EWWLAA)
Cela ne vous servira pas de consolation de nous accuser aussi de psychopathes (EDDIOO LAIIAA), car si vous nous accusez d’imposteurs, vous feriez à votre tour partie de manière automatique de la même qualification. Avec une différence évidente pour nous, la réalité de notre identité Ummite dont vous ne pouvez être certain mais nous oui.
L’autre raison qui vous incite à falsifier les lettres est celle-ci : Vous prétendez manipuler vos frères en ressentant le pseudo plaisir morbide de pouvoir être obéis par ceux que vous jugez comme des dupes crédules. C’est naturel. Vous avez été tant de fois les pantins d’intérêts des autres que maintenant vous prétendez vous convertir en apprentis du diable .
Pensez par vous-mêmes, le triste rôle que cela représente. Avez-vous vous-mêmes connaissance de quelque homme de Science, Artiste, Penseur de grande envergure qui se consacre à falsifier des lettres en perdant du temps dans cette occupation ?
Un homme mentalement équilibré n’agit pas de cette manière. Si vous falsificateurs croyez que nous le sommes, en premier lieu n’imitez pas notre supposée EDIO LAIAA (PSYCHOPATHIE) et en second lieu soyez originaux. Ce que le plagiat d’identité démontre par lui-même, c’est votre bas niveau intellectuel, c’est-à-dire : Votre pauvre intelligence. Vous pourriez pour cela créer la fiction d’une planète imaginaire avec un autre nom.
Par les résultats et l’attente qu’ils provoqueront, vous pourriez mesurer non seulement votre propre intelligence mais aussi la capacité de crédulité de vos frères.
Tenter de s’adresser à d’autres humains comme s’il s’agissait de de robots, sous la dénomination de UMMO sans être ummite, doit vous provoquer une piètre estime de vous-même, c’est-à-dire une estimation infime de votre image morale. Pour votre bien nous vous exhortons à corriger une si triste attitude.
Pour notre part nous vous remercions de votre attitude, car vous contribuez à créer la confusion concernant notre authentique nature, objectif que nous n’avons jamais essayé d’occulter, car nous avons toujours cru préjudiciable que les humains de la Terre croient en notre culture. Grâce à vous falsificateurs, mais laissez tomber cette attitude. Pour deux raisons, car il serait très facile de vous démasquer – ensuite votre objectif est stérile – et parce que comme nous l’avons pointé dans les paragraphes ci-dessus, la prolongation de votre conduite aggravera votre cadre pathologique psychopathe.
Maintenant une exhortation à nos véritables amis.
Ce qui est arrivé doit vous faire réfléchir. N’avions nous pas raison de vous avertir que vous deviez stimuler votre esprit critique et ne pas croire tant en nous ?
Pensez d’autre part que le contenu de ces lettres , en étant des messages nôtres tendant à créer la confusion, s’en trouverait d’une immoralité flagrante. Il est licite pour nous d’injecter des idées contradictoires, des données frauduleuses dans le but qu’un analyste les constate et en déduise la fausseté de notre message.
Mais il n’est pas éthique de vous inciter à adopter une conduite déterminée sur base de fausses suppositions. Cela équivaut à à jouer avec vos sentiments. Ce serait une attitude détestable et elle suffirait pour que vous nous méprisiez pour cela. C’est justement ce qu’ont fait les falsificateurs. S’ils croient que nous le sommes ; qu’ils considèrent au moins que nous n’avons pas essayé de profiter de la conjoncture du prestige que nous avons créé pour inciter nos amis à réaliser des actes qui les ridiculisent ou amoindrissent leur image sociale.
Par contre nous considérons comme licite toute critique et dénonciation valable qu’un sceptique émet par un moyen de diffusion. Dans ce sens, puisque nous parlons de l’Espagne, nous a plu l’honnête attitude de votre frère qui sous le pseudonyme de Antonio José Ales écrivit une intelligente critique dans l’édition espagnole de OMNI Numéro 3, qualifiant le thème de Ummo d’instrument d’évaluation sociométrique.
: nous vous avons fait dommage, Pardonnez-nous. Au moins nous vous demandons une faveur pour compenser cette perturbation ponctuelle. C’est que vous vous pardonniez mutuellement les attitudes agressives et les paroles offensantes que vous avez pu mutuellement vous adresser comme fruit de la nervosité provoquée par ces lettres apocryphes. Si nous observions que la rancœur a pris dans vos esprits, nous préférerions couper dorénavant toute communication. Regardez-nous d’une perspective plus éloignée N’ESSAYEZ PAS D’ASSIMILER NOTRE PHILOSOPHIE sauf si elle corroborait des idéaux moraux transcendants que les Penseurs de la Terre ont déjà avalisés par la conduite de leurs cerveaux.
Ne vous laissez pas entraîner par la rancœur. Rassérénez-vous et une fois de plus même si cela constitue une répétition fatigante, nous vous disons de NE PAS NOUS CROIRE.
Notre respect le plus profond à vous et à vos YIEE
D393
UMOAELEUEE
Langue ESPAGNOLE
Adressé au Pays Espagne
Pour Monsieur Luis Jiménez Marhuenda et son épouse Maria
Nous voulons être respectueux de vos coutumes. Celles-ci disent qu’une lettre doit être remise au chef de famille. Et même si nous l’interprétons comme une claire discrimination de la YIIE (FEMME), nous nous plions à vos rôles.
Nous voulons vous exprimer notre désir :
En premier lieu que vous fassiez parvenir notre expression de salut très respectueux aux personnes dont nous faisons la liste ci-après.
Nous avons cru efficace de changer la typographie de la machine en prenant celle du même modèle HISPANO OLIVETTI Studio 46 avec laquelle nous avons écrit en Version castillane nos premières lettres à ce merveilleux pays. Le but est évident, contribuer à ce qu’elles ne soient pas confondues avec des lettres apocryphes. Une expertise dactylographique, prenant en compte que ce modèle est très utilisé et que l’impression déjà déformée des caractères contribuera à fixer l’authenticité d’une impression dactylographique, rendra très difficile une falsification par des personnes techniquement non préparées.
Ensuite que vous fassiez parvenir l’expression citée à CES PERSONNES MAIS TRES SPECIALEMENT A LEURS EPOUSES ET COMPAGNES La raison est celle-ci :
Nous avons toujours été respectueux de vos coutumes et nous continuerons à le faire. Nous savons que dans le contexte culturel de OIYIA TIERRA ( GAAA) la prédominance du sexe masculin met de côté vos YIEE ( EPOUSE) Mais nous avons observé que parfois notre respect pour vos rôles et habitudes a été interprété comme un soutien moral de notre esprit étranger à cette attitude misogyne. Nous voulons compenser avec cette dédicace formelle, l’oubli apparent qui a pu naître d’une interprétation fallacieuse de nos textes. Un des aspects très tristes qui nous a causé une impression très affligeante de la merveilleuse Culture de la Terre est précisément cette attitude de marginalisation.
Nous savons que quelques unes de ces personnes comme FRANCO MUELA ou MANUEL ALVAREZ sont décédées, mais leurs souvenirs, non seulement restent gravés dans notre mémoire, mais leurs apports mentaux sont restés enregistrés au sein du BUAUE BIAEEII (PLAN PSYCHIQUE COLLECTIF)
Nous avons aussi exclu de la Liste des personnes respectées qui comme Fernando Baron Rojas Marcos, Pilar Gomez Aguirre, Vidal Lamiquiz, José Maria Navarro Lopez, Mario Rodriguez Aragon, Mario Serra Parera, Manuel Selva Dominguez, Ramon de Navia Ossorio, Eladi? Ortega Laria, José Maria Bañon Artigao, Angel del Campo Frances et José Antonio Frances, ont été intéressés de quelque manière à notre existence.
Tous ceux de vos frères dont nous citons les patronymes et noms de famille dans ces feuillets dactylographiés, méritent notre très profond respect. Certains gardent face à nous une attitude de doute prudent. Ce sont les plus sensés, d’autres qui aiment notre culture sont vos frères les plus aimés des miens, bien qu’il nous plairait de les exhorter à ce qu’ils adoptent une attitude plus critique. Notre main sur leur poitrine.
DIEGO MARTINEZ NAHARRO
ESTEBAN ALFONSO MARTINEZ FRANCISCO MEJORADA JIMENEZ
MANUEL ALVAREZ DE JUAN ANTONIO MOYA CERPA
ALICIA ARAUJO FRANCO MUELA PEDRADA
GERMAN DE ARGUMOSA JAVIER MUELA QUESADA
JUAN JOSE BENITEZ JOSE MARIA PILON VALERO DE B.
ALBERTO BORRAS GABARRO ANTONIO RIBERA JORDA
IGNACIO DARNAUDE ROJAS MARCOS BLAS
JUAN DOMINGUEZ MONTES MANUEL SALAZAR
RAFAEL FARRIOLS CALVO FERNANDO SESMA MANZANO
DIONISO GARRIDO BUENDIA REGINA SENDRAS GONSALVO
LUIS JIMENEZ MARUENDA RAUL TORRES Herreros
JOSE JORDAN PENA MANUEL TRIGO GANDUL
ENRIQUE LOPEZ GUERRERO JOSE DE ZOR G.N.
JOAQUIN MARTINEZ ANDRES SAJARDO LOPEZ
FERNANDO JIMENEZ DE OSO
Mon nom est AOSII 3 FILS DE IRAA Numéro 6 et je voudrais solliciter une importante- à nos yeux- faveur.
Nous voudrions apporter sur Ummo un souvenir de vos vies, Pour cela nous vous demanderions de nous écrire sur un bristol de couleur blanche (de dimensions 14,7 centimètres par 9,4 centimètres) un texte manuscrit à la main mais comportant en en-tête vos deux noms espagnols suivis (aussi en manuscrit) de ESPAGNE – PLANETE FROIDE TERRE (Si vous ne désirez pas les réduire à ces dimensions, faites votre tracé calligraphié sur une surface rectangulaire inférieure à ces dimensions et nous la redimensionnerons avec une matrice (la raison de ces mesures n’est autre qu’une norme de codification pour nos salles de musée (OBFUOVAA) .
Nous disposons d’images de vous (à l’exception d’Alicia Araujo et de Manuel Trigo : la première décédée) en reproduction stéréographique (tridimensionnelle) à haute résolution que nous avons obtenues avec nos UULUEWAA Nous avons pu obtenir de chaque OEMII cité des sensibilisations graphiques, habillées ou dénudées. Nous vous supplions de nous pardonner si nous l’avons réalisé sans votre autorisation, mais nous n’avons pour cela violé aucune de vos lois, de nature éthique.
Si l’un ou l’autre parmi vos frères dispose d’écrits des frères décédés, il nous serait agréable de disposer d’un échantillon REEL (nous n’en disposons que de Fernando Sesma et de Manuel Alavarez ), envoyez-les à votre frère JUAN AGUIRRE CEBERIO.
D399
UMMOAELEUEE
Nombre de Copies: 1
Adressée à Mr. JOAQUIN FRANCES. Magazine INTERVIU, Calle Roquefort 104, BARCELONA, Postal Code 08015.
Cher Mr. JOAQUIN FRANCES:
Nous croyons que vous ne nous connaissez pas, auquel cas l’affirmation que nous allons vous faire peut vous surprendre : Nous sommes OEMMII (des gens), membres d’un groupe expéditionnaire qui habitent OYAAGAA (LA TERRE)depuis le 23 mars 1950 (4 heures GMT),date à laquelle mes frères descendirent dans les approches de la ville de DIGNE (France), provenant d’un « Astro frio » (Planète), dont la prononciation en espagnol serait UMMO (en mettant l’accent sur la syllabe « m »).
Naturellement nous ne croyons pas une minute que vous prendrez notre histoire pour autre chose qu’une fiction. Une règle élémentaire de logique scientifique, exige qu’une preuve soit fournie dans toute déclaration de cette nature.
Vous comprendrez, Mr. Joaquin, que bien qu’il soit inévitable que vous puissiez penser que nous ne sommes rien que de positifs plaisantins, des excentriques ou des victimes de maladie mentale avec « syndrome délirant » de notre point de vue il nous est impossible d’adopter quelque autre identité qui pourrait se trouver plus acceptable pour vous, sans dénaturer la vérité.
De plus, pour éviter une discussion blessante, qui ne résoudrait pas la question de notre filiation, interprétez, s’il vous plaît, ce document comme ayant pour origine une « source inconnue, du nom de UMMO« .
Monsieur : Dans une « matriz tipografiada » publiée dans le magazine INTERVIU, une équipe éditoriale à laquelle vous appartenez, (Numéro 612 page 87),un de vos frères appelé JUAN JOSE BENITEZ dans une dans une lettre publiée avant l’édition de vos commentaires fait une sérieuse accusation( selon notre opinion)à l’encontre de ses frères FERNANDO SESMA MANZANO and ANTONIO RIBERA JORDA :
Dans une lettre comme celle-là, il déclare que ces auteurs « auraient plagié » (dans leurs livres) les rapports envoyés par mes frères de UMMO.
Monsieur : Naturellement, notre compréhension de la langue Espagnole n’est pas aussi bonne que la vôtre, mais nous comprenons que le verbe « plagier » a l’acception sémantique que nous expliquons ci-dessous :
« Transcrire dans une matrice de lettres « tipografiadas » ou par « via acustica et par propagation informative; un texte ou une production littéraire adressée à un Réseau Social, créé par un processus intellectuel développé par un esprit, dont la paternité est assumée par une autre personne. »
Dans ce contexte et si le verbe « PLAGIER » signifie assumer la paternité d’une production littéraire, il est aussi évident qu’il sera synonyme de « EXPOLIAR, ROBAR, USURPAR, … » une propriété littéraire, même si ses auteurs peuvent être anonymes. D’un autre côté, il serait légal d’assumer la paternité de versets du Pentateuque des textes védiques
L’accusation sérieuse faite contre votre frère FERNANDO SESMA MANZANO, que nous considérons comme calomnieuse, envers quelqu’un qui n’est pas capable de se défendre parce qu’il est décédé, et qui, à l’époque, était un ami bien-aimé de mes frères expéditionnaires, est particulièrement affligeante.
Il est évident que ni FERNANDO SESMA MANZANO dans son livre « UMMO OTRO PLANETA HABITADO » ni ANTONIO RIBERA dans ses ouvrages « EL MISTERIO DE UMMO », »UMMO LA INCREIBLE VERDAD » and « UMMO INFORMA A LA TIERRA », sauf d’autres monographies dans diverses langues, n’ont plagié nos rapports, même s’ils ne nous ont pas demandé la permission de les reproduire. (puisqu’ils citent de façon répétée leur source (UMMO)d’une manière totalement impartiale et qu’ils y allient avec objectivité les doutes qui émergent quant à leur origine.)
Nous ne tentons pas de juger les raisons qui ont conduit votre frère JUAN JOSE BENITEZ a écrire cette accusation arbitraire. Il « ha plagiado » des textes de nos rapports dans diverses pages de son œuvre, mais nous ne l’accusons pas du tout de nous avoir causé du tort par cette action. Nous avons conscience que c’est un OEMMII (être humain) de bon naturel; un excellent auteur, un amoureux des énigmes biologiques du Cosmos, et nous l’apprécierions s’il réfléchissait à sa faute et révèlait sa bonté de cœur en rendant son honneur à son frère décédé.
Monsieur, nous n’avons pas de «personalidad juridica», puisque nous ne sommes pas des citoyens légaux d’aucune nation de OYAGAA. Comme nous n’avons pas d’autre moyen, Mr. JOAQUIN FRANCES, nous vous demandons au nom de votre frère décédé, qui est de ce fait dans l’incapacité de se défendre lui-même, d’aider de quelque façon à rétablir la vérité.
S’il vous plaît, permettez-nous, par respect pour vous, de placer nos mains sur votre noble poitrine.
Plymouth (GB) Février 1988
D468
Référence : | D 468 |
Titre | Les ummologues ne sont pas parano… |
Destinataire(s) et date(s) | Mr Barrenechea Aberasturi pour destinataires multiples |
Commentaires |
Chers amis :
Barrenechea Aberasturi, Farriols Calvo, Dominguez Montes, Martinez Andres, Hiltrud Nordlin, Borras Gabarro, Garrido Buendia, Moreno Cabrera, Villagrasa Novoa, Javier Muela Quesada, José Maria Pilon, Jimenez Marhuenda, Alfredo Lara, Antonio Albaladejo, Julian Lopez Lerma, Antonio Ribera Jorda.
A tous les OEMMII cités dans cette lettre, je vous prie Mr Barrenechea Aberasturi, de faire parvenir cette lettre en y joignant la circulaire qui l’accompagne. Tout le contenu de l’enveloppe ensemble, je vous prie de l’envoyer en URGENCE.
La circulaire jointe sera remise directement photocopiée. Vous devrez copier la lettre que vous lisez avec une machine différente. La présence du cachet n’est pas indispensable.
Vous avez intérêt à vous réunir de toute urgence dans votre domicile. Concrètement dans le Sous-sol ou au domicile de votre Frère monsieur Lara Guitard – Calle Goya 99 -2° Droite. Quelques huit OEMMII comme minimum parmi ceux qui sont dans la liste du début.
A travers les appels téléphoniques nous vous avons informé de l’attaque directe au prestige des composants du groupe diffusée par différents de vos frères de votre pays Espagne. L’attaque manque de valeur probatoire et de transcendance pour notre cause, d’un autre côté ils ne vous accusent pas de violation de la législation en vigueur. Néanmoins vous devenez nos victimes ce qui produit chez nous une profonde amertume.
Nous vous prévenons de façon réitérée jusqu’à la fatigue que vous ne fassiez pas de publicité aux écrits en forme de rapports que nous vous envoyons. Il ne nous sera pas possible de vous forcer à garder le silence à cause du sens du respect mutuel et de l’indépendance que nous avons ressenti envers vous. Vous avez vu que nous avons été prévoyants devant cette émergence et que nous nous sentons impuissants pour vous forcer au silence.
A la fin s’est levé le bandeau que nous craignions. Mais nous contemplons avec tristesse la diffusion qu’ont réalisé monsieur Ribera et monsieur Aguirre. D’accord qu’ils n’ont réalisé aucun acte immoral, mais les conséquences sont là. Vous n’avez pas été les uniques imprudents en diffusant les informations malgré la répugnance que nous ressentons. Aucun d’entre vous ne s’est montré prudent, et ce faisant vous causez un grave préjudice à vous-mêmes.
Cela nous cause de l’amertume d’observer que vous êtes l’objet d’une calomnie et qu’en réalité nous sommes coupables de celle-ci. Et que pourrions-nous faire à votre place ? Vous rappelez-vous que nous vous avons paternellement menacés de suspendre tout contact si vous continuiez dans votre obstination ? C’est la raison qui nous a conduits à suspendre tout contact avec monsieur Ribera. Nous déclarons que nous éprouvons du respect pour son attitude critique envers nous et notre origine trouble et ignorée. Ayez ici un modèle d’objectivité équilibrée. Précisément celui qui fut accusé par vos frères de paranoïaque et de prudent et de distant par une partie d’entre vous.
Maintenant que vous ne pouvez presque pas vous défendre; vos frères sans pitié l’attaquent dans un spectacle qui nous donne de véritables nausées. Pour cela nous lui pardonnons son infraction de s’être converti en propagateur de notre doctrine, forcé à écrire parce que c’était son unique soutien. Ce qu’il a fait sincèrement sans se laisser aller à la tentation de s’arroger ce qui n’était pas à lui. Ses frères doivent en « leur cœur » (on comprend parfaitement quelle est la zone cérébrale touchée) ressentir leur amour pour le vénérable écrivain.
Votre frère Sesma ne peut vous entendre à cause de son processus de reconversion mais il mérite un profond respect de notre part. Lui aussi a été une victime de leurs attaques. L’homme qui se sentait à la fin de sa vie amer et sceptique est mort sans laisser à peine une reconnaissance de son travail. Le Frère Sesma sera dans notre mémoire comme un exemple sublime de personne (OEMMII) différente de la planète ou Astre Froid que nous habitons, et intime.
Maintenant écoutez attentivement notre conseil ;
Attendez, pour donner de la publicité à l’autre circulaire, le moment auquel vous vous verrez informés de la publication du rapport attaquant. Vous êtes libres de réaliser les copies du rapport circulaire cité à tous les nombreux spécialistes du rapport UMMO que vous considérez convenables. Seraient responsables de cette diffusion massive Monsieur Barrenechea ( JORGE) et Monsieur Aguirre ( JUAN).
Nous considérons comme prudent que vous contre-attaquiez. De plus nous laissons à votre propre critère de le faire. Evitez de donner une publicité excessive à notre affaire, d’ici là nous préférons votre silence.
Il est nécessaire de ménager l’énorme collection de rapports confidentiels qui sont entre vos mains. La pleine sincérité des dépositaires de ces documents est nécessaire. Vous déclarerez la vérité à toute personne qui s’occupera de s’enquérir de quelque nouvelle. La transcendance de ces documents conseille qu’ils soient conservés sous garde.
Nous vous exhortons instamment à ne pas croire notre version sur notre provenance. Votre attitude doit être inspirée par celle de votre Frère Sesma, le sujet vous intéresse parce qu’il contient des éléments de valeur qui sont étudiés avec attention. Cette attitude vous préserve immédiatement de vos attaques de paranoïa. C’est précisément l’information qui est qualifiée de secrète qui est celle qui vaut d’être étudiée.
Amis. Nous réitérons l’URGENCE et le SERIEUX que nous attribuons à l’envoi massif à toutes les personnes intéressées au sujet du rapport que nous vous joignons. Ne corrigez pas une lettre, vous observerez dans celui-ci diverses erreurs que nous assumons parfaitement.
Adieu, amis; à notre prochaine nouvelle attention
Note. Nous avons tâché de faire cette copie avec la meilleure fidélité, bien que nous ayons posé quelques accents qui n’étaient pas sur l’original.
D470
UMMOAELEWEE
N° de copies : diverses
Langue espagnole
Bien chers Messieurs :
Nous venons de Ummo et nous sommes sur l’astre solidifié Terre (OYAAGAA) depuis le 28-3-1950 date à laquelle nous eûmes l’honneur de prendre contact, dans une région du sud du pays France.
Nous savons que cette annotation ne disqualifie pas notre groupe de la part de certaines personnes. De plus, il est évident qu’en cet instant cela paraît une plaisanterie ou une réaction délirante de la part de ceux qui composent cet écrit.
S’il vous plaît, oubliez notre introduction et venons-en à notre message. C’est attristés que nous observons une fois de plus qu’ils sont convertis en nouvelle cible des attaques de vos frères.
Vous, en Espagne, avez violé les normes dictées pour la diffusion et vous trouvez maintenant avec des problèmes dérivés de notre correspondance.
Il est parfaitement normal que les accusations de fraude se retournent contre nous, mais il est regrettable qu’elles vous identifient gratuitement aux auteurs de ces rapports.
Il est nécessaire que vous tentiez de vous situer depuis la perspective du signataire de ce document pour comprendre les lignes maîtresses de son argumentation. D’accord avec le schéma fait, vous seriez quelques composants paranoïaques dirigés par un fou génial et une série de fanatiques dévoués qui tentent de diffuser sa doctrine basée sur habillage pseudo-scientifique. Malheureusement l’analyse est incorrecte et partiellement erronée et, appréciée dans son ensemble en survol, présente des apparences de réalité, mais analysée avec soin fait apparaître de graves erreurs qui disqualifient son auteur.
L’accusation qui est proférée à votre encontre a en principe une base inattaquable et impeccable. Il suffirait que vous vous fixiez sur les règles dictées par des épistémologues comme Popper, Bunge ou Bertrand Russell pour réfuter carrément n’importe quelle affirmation fondée sur les découpes aseptisées de la doctrine à laquelle vous avez eu accès à travers le livre de monsieur Ribera Jordá.
La vérité est plus simple et naïve. Depuis mars 1965 le frère à vous commentateur commence à recevoir nos messages depuis Albacete qui attirent l’attention de diverses personnes assidues aux réunions de monsieur Sesma Manzano. De cette époque viennent vos frères Garrido, Villagrasa et martinez. Le 6 février 1966 descend une de nos nefs jusqu’à la zone d’Aluche devant divers témoins, un de ceux-ci le frère Jordan Peña le confond avec un quelconque type d’hélicoptère provenant de l’aéroport voisin de Quatre Vents.
De cette période postérieure nous arrivons à compter les frères Atin, Borras, Cezon, Mejorada, Muela, de Vicente, Villalba, Gran, et autant d’autres.
Ce frère à vous, Jordan arrive à la cafétéria de Leon, conduit par un journaliste enthousiasmé par le sujet cliché de la phénoménologie ufologique, Déjà à cette époque on observait chez lui un esprit marqué par ce scepticisme, qui met à l’épreuve son frère Sesma convaincu qu’il se trouve devant l’auteur de ces rapports.
Peu après s’incorporent à l’ensemble des êtres intéressés, les Frères Ribera, Farriols, Dominguez, Ibañez, Gibernau, Barrenechea, Aguirre, Gil, jusqu’à compléter le reste des citoyens intéressés par ces lettres anonymes.
Il était prévisible que ces hommes (OEMMII) se montreraient intrigués par l’origine de ces missives rédigées dans une langue peu usuelle et que la gamme d’opinions embrasse un ample spectre que l’on trouvait du respect quasi superstitieux de monsieur Sesma au scepticisme plus équilibré de votre frère Atin.
Ensuite se sont incorporés à l’étude de ces rapports des frères plus qualifiés : Avocats, Médecins; Ingénieurs, ce qui nous a contraints à élever notre niveau d’exposé.
La situation à présent peut se résumer ainsi : D’abord nous avons sélectionné un ensemble de spécialistes du Programme qui ont reçu jusqu’à présent une information beaucoup plus profonde qu’ils ont jalousement gardée.
Il est faux que nous ayons tenté de fonder un groupe sectaire. L’accusation est si ingénue qu’elle ne tient pas debout au moment où nous avons essayé désespérément de juguler toute forme de propagation.
Cette contrainte était incompatible de notre part avec l’esprit d’authentique fantaisie que nous devons reconnaître à nos correspondants. Il est certain qu’une simple déclaration de principes ne suffirait pas à écarter notre responsabilité. L’unique façon d’empêcher la publication de notre information sans être accusés de violer votre liberté a supposé la suspension drastique des envois à ceux de vos frères qui se considèrent libres de diffuser nos comptes-rendus. Cela n’a pas été notre faute si les frères Ribera Jordá et Aguirre Ceberio ont diffusé la documentation que vous connaissez.
Monsieur Rafael Farriols et un groupe réduit d’OEMMII ont en leur pouvoir des document classifiés (très confidentiels) dont la qualité est nettement supérieure à ce qui a été publié. Il était logique d’attendre que le secret soit jalousement gardé pour élever le niveau de l’information.
Ne nous demandez pas de vous cacher plus longtemps que Messieurs Farriols, Madame Nordlin, Lara Guitard, Dominguez Montes, Barrenechea Aberasturi Garrido Buendia ont des rapports secrets dont la possession avec un extrême jalousie a justifié notre confiance.
Vous pouvez être sûrs que leur possession ne leur fera aucun tort et que leur contenu n’affectera pas la sécurité de l’Etat.
Vous voyez déjà que leur possession ne les dispensera pas d’une nouvelle accusation de pratiques ésotériques, ou de super secret au lieu de l’imputation contraire de diffuser une doctrine sectaire.
En réalité, ils sont accusés de former un groupe hétérogène de personnes qui se trouvent intéressées et intriguées par le contenu d’une information dont ils ne savent rien de son origine. L’intrigante modalité de réception les a contraints a suivre avec amusement le jeu, soupçonnant qu’il s’agit en réalité d’un noyau terrestre qui, avec des buts peu clairs, se fait appeler ummite. Un attitude très équilibrée a été maintenue par votre frère « Juan José Ales » dans la revue OMMNI, il a ici une opinion très sensée élaborée avec les éléments de jugement qu’il possède.
Seul le délire paranoïde de quelques apprentis enquêteurs leur a fait voir les ombres qu’ils s’apprêtaient à démasquer.
Etudions rapidement l’affaire depuis leur point de vue, pour voir quel est l’humain qui pourrait être classé comme affecté d’un trouble psychotique de contenu clairement paranoïde.
Nous assumons en toute rigueur notre « étiquetage » d’individus diagnostiqués comme affectés par une nosologie clairement paranoïde. D’accord avec les multiples inventaires du DSM ( DIAGNOSTIC AND STATISTICAL MANUAL) nous serions malades si nous souffrions une forme de falsification des faits (et de la réalité) en la dénaturant de manière qu’en délire systématisé nous nous verrions convaincus de venir et d’atterrir sur votre planète. Rien à objecter à cette affirmation, et il serait incorrect de la réfuter en bonne logique Aristotélicienne.
Si vous le préférez, embellissons l’hypothèse avec le fait que de tels OEMMII (médiocres spécialistes qui devraient rester reclus dans l’établissement psychiatrique correspondant ) furent capables de voyager aux Etats-Unis où un bon ami occupant un poste éminent à la NASA leur a procuré quelques fragments de polychlorure de vinyle (matériau classifié alors comme réservé pour ses applications militaires) en auraient profité pour visiter un OEMMII localisé à un niveau supérieur au Pentagone, qui leur aurait révélé la date exacte à laquelle se mettrait en marche une alerte nucléaire (Données qui furent utilisées par les enfants aliénés) Le montage s’étend par une courte visite à Digne (France) et la subtile collaboration de madame Margarita Ruiz et la collaboration de deux comparses vêtus de manière à être vus par tout Albacete
Mais on se situe mieux sous cette perspective. Une publication provinciale dédiée à l’Ufologie embarquée à démasquer la question ummite. Une revue liée au secteur spécialisé en Astrologie Esotérique Magique. Tarot, Ufologie, Umbanda, autant de superstitions populaires ou de Revues aussi « Scientifiques » qu’ « Epoca », Interviu. El Caso…. C’est le véhicule choisi par ces frères pour déverser en votre sein la question d’un groupe sectaire.
N’importe qui aurait espéré que ces OEMMII auraient été spécialisés en Physique Spatiale ou en Biologie Moléculaire pour qu’ils s’offrent d’opérer sous leur signature dans une publication prestigieuse à caractère monographique et scientifique couvert par la signature d’un de vos compatriotes prestigieux, le Frère Mr Oro ou n’importe quel de vos frères par exemple Mr Vallejo Najera. Leur opinion serait prise en compte respectueusement, sans qu’il soit question d’un article virulent contre vous.
Quelle opinion peuvent-ils avoir de ce que pensent les personnes de l’Ufologie superstitieuse (OEMMII) comme Catilla del Pino, José Luis Aranguren ou le docteur Barbacid entre autres, de cette série de Paranoïaques consacrés à dénoncer quelques articles non subversifs, (pour disparates qu’ils puissent paraître) adressés à d’autres citoyens (d’autres paranoïaques).
L’article-rapport de ce professionnel de la Médecine Psychiatrique ne mérite pas de commentaires sérieux à insérer dans un pamphlet aux caractéristiques signalées et pour autant si peu adapté. Les affirmations de paranoïa sans passer un examen clinique d’expert et les imputations à un passé troublé par la Presse Franquiste (Sans qu’il soit permis de se défendre des calomnies diffusées) prennent place à une époque que nous estimons heureusement dépassée.
Comment l’auteur sait-il que ce matériel complexe n’a pas d’autres visées qui cachent la vérité naturelle de l’affaire, ou qu’il s’agit d’une gigantesque plaisanterie ou qu’elle se convertit en une habile duperie à des fins publicitaires ?…. L’imagination de l’écrivain apparaît véritablement lente.
Il est clair (pour ceux qui le lisent) qu’une identification des auteurs existe (Nous) Aux membres du groupe, chose évidemment qui apparaît inévitable et qui, bien que nous favorisant, s’en trouve irritante pour certains de vous.
Le meneur apparaît être Jordan Peña ; un enquêteur inquiet qui aime se mettre avidement dans toutes les parties au point de se convertir dans le Frère plus signalé par les plus critiques. Paradoxalement un des plus sceptiques et iconoclaste impénitent. Ils le transmutent en un génie paranoïaque capable de composer un fabuleux montage. Maintenant il n’est pas avec vous, victime d’une thrombose de la carotide gauche qui le met en dehors de la « direction du complot ». Quelqu’un sera la prochaine victime de cette chasse aux sorcières. Déjà ce fut Fernando Sesma qui est « Chemin » dans le Buawaa Biaeii (N’oubliez pas que nous sommes des paranoïaques déclarés) Et le vénéré Frère Antonio Ribera qui a aussi de sérieux doutes sur l’existence de Ummo mais prudemment n’en parle pas. Plus tard viendront vos Frères Farriols, Barrenechea, Dominguez, Nordlin, Aguirre, Garrido, Villagrasa, Martinez, Borras; Lara, Pilon, Marhuenda, Vivanco : Pont Amoros, Albaladejo, Lopez de Lerma, Lopez Guerrero,…et tant d’autres.
Avec tout le respect laissez-nous poser notre main sur la poitrine. C’est ainsi .
D488
UMMOAELEUEE
Copies : 237
Nationalité
Switzerland
1-XI-1988 (note 0)
Hommes de OYAAGA,
Permettez-nous de nous présenter : Depuis le 28 mars 1950, date à laquelle nous avons pris contact avec « la Terre », près De La Javie (France), nous sommes parmi vous. Nous savons avec certitude que cette déclaration nous disqualifie automatiquement. Oubliez cela et écoutez notre doléance.
Il a été commis une fraude, que nous voulons vous dénoncer, bien que nous n’ayons pas d’identité juridique. Une affaire qui est plus regrettable si l’on considère que certains membres de la hiérarchie apostolique romaine et la totalité des croyants de cette confession en sont innocents.
Après la copie compte rendu de Secundo Pia en 1898 (note 1), l’académicien Yves Delage (note 2) découvrit que les taches de sang du SINDON révélaient la triste vérité. Les empreintes saignaient encore après le lavage soigneux auquel le corps fut soumis. Jamais le linceul ne fut enveloppé de bandes (PHAKIAI) comme il était prescrit.
Commence alors une habile falsification lorsque quelqu’un trouve une pièce de lin (croisé de 4 en épi) manufacturé en 1220 (Jaffa) de plus grandes dimensions (note 3), coupée en 4,371 x 1,116. La falsification de l’empreinte fut obtenue en utilisant une effigie en moule de fer surchauffé. (Pie X, Benoît XV, Pie XI, Jean XXIII et Jean-Paul 1er ignoraient tout de l’affaire. Nous ne Savons pas si Pie XII fut informé par A.Ottaviani). Le change frauduleux de linceul eut lieu en l’an 1928 (Turin) .
En 1985, Sa Sainteté le Pape Karol Wojtyla est discrètement informé grâce à une lettre codée du Cardinal Edward Cassidy, membre d’un petit groupe de Cardinaux et de prélats qui essayent désespérément d’empêcher l’arrivée de l’affaire à la lumière du public.
Avec une hâte maladroite, au cours d’une réunion, le Pape, Joseph Tomko, Joseph Ratzinger et Anastasio Ballestrero décident de profiter de la nouvelle technique spectrométrique A.de M (note 4). Le déjà nommé Ballestrero est chargé de soumettre les échantillons. Ils connaissaient trop bien le résultat de la datation médiévale du document archéologique si vénéré par toutes les communautés chrétiennes. Il n’y a pas d’erreur dans le rapport d’expertise des échantillons.
Le « Programme de Recherche sur le Suaire de Turin » (note 5) est bien sûr innocent en dépit de sa mauvaise réaction. Et avec eux, sont également innocents les nombreux fidèles tristement trompés pour « Raisons d’Etat ».
Notes des traducteurs:
Note 0 : la date d’en-tête semble écrite (manuscrite) 3-XI-1988, néanmoins, cachet de la poste faisant foi, la date d’envoi est bien au 1-XI-1988
Note 1 : « After the copy reported by Secundo Pia… » … en fait il s’agit de photos faites par l’avocat italien Secundo Pia de ce qui est donc, d’après les ummites, le véritable sindon: « a copy », c’est la véritable idée: des photos sont des « copies » logiques. C’est notre mot qui restreint le sens de « copie ». En fait une photo, un moulage, une sculpture, un dessin, une peinture sont tous des copies (ou voulues comme telles), plus ou moins fidèles. C’est tout sauf l’original. L’idée du mot employé par l’Ummite est de dire que ça rend compte et que ce n’est pas l’original. L’autre idée est exprimée par « reported » et nous n’avons pas de mot simple pour le traduire, car cela exprime qu’il a fait un « reportage » (photos sous plusieurs angles et se voulant exhaustives), qu’il a « rendu compte ».
Note 2 : »Yves Delage » ; écrit Ives Delage
Note 3: « de plus grande dimension » … probablement que le véritable sindon, soustrait (voir lettre 505), est plus petit.
Note 4: A. de M. : spectrométrie par Accélération des Masses, en français « spectrométrie de masse » : c’est une technique complémentaire de l’étude du C14. L’étude du C14 consiste à déduire l’âge par comparaison des teneurs de l’échantillon en C14 et C12 . La spectrométrie de masse est une technique qui permet de mesurer mieux, avec plus de précision, les deux isotopes dont les masses 12 et 14 sont différentes.. et leur proportion dans l’échantillon
Note 5: « Shroud of Turin Research Project » – Ce sont les scientifiques qui sont visés.
Note 6 ( J.C.) : Enfin, un moule surchauffé aurait élargi monstrueusement l’image de la face par calque de la surface 3d du moule sur la surface 2d du sindon.
D490
D491
Référence : | 491 |
Titre | A PROPOS D’UNE FRAUDE SUR LE SAINT SUAIRE DE TURIN |
Destinataire(s) et date(s) | 1988 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : N
Reçue le (1988)
Distingués OEMI (hommes)
Nous sommes d’origine étrangère. Nous sommes arrivés sur Oyagâ (planète Terre) en un point situé à la Javie (France) vers le 28 Mars 1950.
Nous savons avec certitude que cette présentation véridique suffit pour que le contenu de ce message soit automatiquement déprécié. Sans doute penserez vous que les signataires de cette lettre sont des déséquilibrés mentaux ou peut être quelques plaisantins ou qu’ils se cachent derrière cette étrange identité pour des raisons très troubles.
Pour cela nous vous supplions d’oublier ce déplaisant préambule et de nous identifier comme des citoyens de ce pays qui désirent avec ferveur entrer en contact avec vous et formuler une dénonciation très grave.
Nous savons qu’une affaire aussi trouble se doit d’être considérée avec beaucoup de réserve quand les signataires sont de parfait inconnus, sans plus de garantie qu’une lettre aninyme et sans plus de preuves que le camouflage d’une ^rétendue identité inadmissible pour des esprit sensés comme les vôtres.
Pour cela nous vous invitons à lire d’abord jusqu’au bout et à juger ensuite. Sans doute vous interrogez vous sur les raisons qui nous ont poussé à écirer cette matrice de données mécanographiques. Nous sommes attristé par la gigantesque fraude commise. Parce que cela concerne un homme singulier que nous identifions comme un Oumowoa. Une rareté biologique dans votre classification taxonomique qui serait identifié comme l’unique représentant d’une espèce différente, bien sûr, distincte de celle d’Homo Sapiens Sapiens.
Autour de son image, il a promu un mouvement social gigantesque nommé Christianisme sous des dénominations différentes, c’est une réalité indiscutable que tous nous efforçons de respecter quoique nous ne partagions pas vos croyance. Nous croyons cependant que la foi manifestée par tant de millions d’oémi exprime suffisamment l’importance que nous concédons à cet événement sociologique. Mis à part l’importance biologique que nous concédons à la naissance de l’Oémiwoa qu cours de l’évolution de vos espèces.
En effet, les données des génotypes des hommes diffèrent en nature de celle de l’Oémiwoa engendré et cette modification n’est pas le fruit d’une intervention divine, comme vous le croyez, entr’autes raisons parce que l’essence de Woa est radicalement différente de celle qu’imaginent les théologiens de la Terre.
La venue de cet Oémiwoa était régie par les lois du hasard quoique sa rareté intrinsèque l’a rendu plus précieux aux yeux des chercheurs et un cas d’étude obligé pour ceux qui s’intéressent de près a ces problèmes spécifiques.
Cette gestation a eu lieu sur la pluspart des astres froids évolués que nous avons visité. Et dans tous nous avons observé, avec une vraie curiosité, dans une attente superstitieuse et avec une rigueur scientifique, que le niveau scientifique de ces civilisation était très élevé (mais il y a des cas où un Oumowoa n’est pas apparu malgré un niveau avancé de développement technologique)
Pourtant le nouveau phénotype a des caractéristiques très fines qu’a pu découvrir Oyîa 64, augmentant de façon puissante la capacité de conscience du sujet et, en conséquence de sa liberté de libre arbitre, il a atteint la limite permise par l’évolution des espèces. Ici se révèle un phénomène impressionnant qui remet en question toute la physique connue de vous.
Quoique dans d’autres messages remis à vos frères du Canada, France, Espagne, Australie et Union Soviétique, nous ayons éclairci cette question, nous préférons préciser qu’ainsi s’explique qu’autour de cette image se soit développé un mouvement sociologique qui ne peut être comparé à aucune autre manifestation religieuse.
Ceci est un préambule obligé avant le thème que nous allons traiter : une grave dénonciation. Dans l’absolu, comprenez que notre tristesse a été induite par des motifs religieux qui quoique très respectables, n’ont rien de commun avec la raison éthique de notre indignation. La gravité de l’affaire se mesure bien si vous jugez que ce faus retarde de plusieurs années la solution historique d’un grand problème et diminue d’autant la possibilité de faire la lumière sur une énigme cosmologique.
Faisons un peu d’historique sur les antécédents de l’imposture que nous commentons. En effet, ces prolégomènes vous serviront pour comprendre l’attitude adoptée envers le sindon, éclairant au passage le génèse de la fraude.
Récapitulons avec précision les vicissitudes que ce tissu a subi jusqu’en 1929, date à laquelle se réalise la substitution. La gravité de l’acte est manifeste si l’on prend en compte que le sindon est un document inestimable qui prouve l’existence de Jossuah (Jésus comme nous le nommons plus haut dans cette matrice de données). Aucune autre pièce de cet événement n’a pu être retrouvée, et les autres reliques conservées sont le produit de fraudes ou de malinterprétations des faits. La plus anciennement conservée date du IIe siècle et beaucoup sont datables du VIIIe au XIVe.
Le lin enveloppant le corps de Jésus fut imprégné de produits, dont l’aloès pour soulager ses blessures, qui sont la cause de l’empreinte postérieure. La toile fut conservée secrétement par un de ses disciples, un travailleur agricole nommé Semah ou Semahel qui a été témoin avec d’autres de l’événement du énéssibiaêô (instant caractérisé par un niveau de conscience provoqué par un tableau dysthymique ou émotionnel qui lèse le système limbique et provoque la disparition du corps d’un homme-dieu dans un autre univers). Il est compréhensible qu’un événement aussi merveilleux entraîne la ferveur d’un peuple enclin au merveilleux et a donner à ce qu’il ne comprend pas une signification magique.
Le sindon fut conservé au début par Etienne, et après son assasinat, passa entre des mains inconnues y compris de nous, pour réapparaitre de nouveau dans celles de Proclus au IIIe siècle jusqu’à sa prise par les perses de la ville d’Edesse. A la fin, les templiers le sauvèrent, son secret fut révélé avec grande discrétion au roi Baudoin II et il resta caché jusqu’à ce qu’il soit récupéré par vous sous la forme déjà divulguée.
Surprenante votre crédulité quand suite à la réalisation de la fraude que nous allons commenter, la presse à sensation sortit le rapport naïf de Pierre d’Arcis de 1389 attestant que le sindon était un faux constitué par une peinture des traits qu’on dit être observés sur l’empreinte de la toile. La bonne foi de l’évèque de Troyes n’infirme pas l’authenticité reconnue tant par les pélerins que par les simples techniques modernes d’Oyagâ (astre froid Terre).
Etonnant de voir la sottise des journalistes qui expriment des arguments aussi absurdes aujourd’hui sans se documenter le moins du monde. Evaluation qui serait explicable au XIVe siecle avec une expertise rudimentaire mais résultat absurde en 1988.
Secondo Pia accomplit la tâche très difficile à cette époque de photographier le sindon à la lumière électrique. Ere propice alors sous le règne de Victor Emmanuel III.
Votre frère Secondo Pia fit une grande découverte en réalisant des négatifs de 50x60cm sur plaques photographiques orthochromatiques. Pendant le tirage au laboratoire, les deux plaques révéleront une image normale d’une très belle expressivité. Sa découverte fut impressionante et rapidement la nouvelle arriva aux oreilles de la hiérarchie vaticane.
Les membre de la Curie furent surpris, – jusqu’alors on le considérait comme un faux, par conséquent dévalorisé – et exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur la toile. Les vapeurs ammoniacales réagirent avec l’aloètine (ne pas oublier que l’OEMIWOA ETAIT BADIGEONNE D’ALOES COMME ONGUENT CURATIF) générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.
Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose! Le sang du « cadavre » était « frais »! En différentes occasions il y eut une expertise similaire, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur l’image du corps les marques de bandage correspondant à celles d’un cadavre, point qui a été « oublié ».
Se met alors en marche une opération d ’élimination des preuves avec le secret dessein de « découvrir l’imposture » dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DEMONTE D’UN COUP LES PREMISSE QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang incoagulé).
Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (docteur en sciences naturelles) est correcte (vaporographie) jointe à celle de René Colson (médecin, membre de l’académie des sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis qu’en 1532 le cardinal Louis de Gorrevod l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion.
Ce sont sans doute les découvreurs des preuves de l’authenticité de l’empreinte de Josuha, d’une précision manifeste et admirable, avant que le sindon ne fut changé au cours de cette éxécrable imposture.
Quelques cardinaux étaient au courant. Ils étaeint moins de quatorze à avoir pris connaissance de l’affaire. On ignorait à cette époque qu’on puisse dater le lin avec tant de précision et on se contenta de la seule élimination des taches de sang liquide. De plus on prétendit encore ajouter les marques qu’un bandage disparu aurait laissées, en falsifiant l’empreinte, déjà nous voyons qu’il en résulta un autre effet.
On utilisa une toile du XVIIe siècle en procédant à la falsification de l’empreinte au moyen d’une sculpture de bois prudemment traitée avec des matières aromatiques. Ensuite, on ajouta bandes et bandages au moyen d’une bande de toile d’environ 14cm.
Le lin final est photographié sur des plaques semblables à celles obtenues par Pia. Le résultat était profondémment grossier pour un vrai authentique. Les images surperposées coïncident à peine et les nuances de couleur ne sont pas possibles sans l’addition de produits qu’une expertise serait capable de démasquer. Par malheur, l’apparaition des traces de bandage révèlent en grand la supercherie.
Nous n’étions pas sur Terre à cette époque et d’ici nous voyons de graves lacunes dans le portrait vivant des faits. Nous connaissons pas vraiment la date exacte des événements qui ont eu lieu de 1911 à 1916; il semble qu’il y ait une nouvelle tentative en juin 1918. Et un temps après, le cardinal Gotti, préfet de l’oeuvre de la programmation de la foi, et le futur cardinal de Baltimore (E-U d’Amérique), Mrg Gibbons, sont convenus en 1911 de cacher à Pie X et à son successeur (Benoit XV) le scandale que supposait la permutation.
Est incompréhensible le scandale qu’on se borne à constater l’effusion de sang que porte manifestement le saint drap. A ce moment on tenait la certitude que cette preuve démentait la cruxifixion mortelle. D’ailleurs, vous mêmes avez constaté que dans des circanstances déterminées la rupture des grands vaisseaux permet la survie selon le débit d’écoulement. De toutes façons il était difficile d’expliquer l’écoulement des autres blessures à cause de l’hypostase. (Le blessé fut mis sur un lit incliné d’environ 28°). L’état actuel du faux sindon n’est pas compatible avec la fibrinolyse, entendu qu’on a eu recours à un artifice pour sauver un fait qui était incompréhensible.
Pour la deuxième tentative on utilisa un tissu quasi semblable du milieu du XIXe siècle. On utilisa aussi une sculpture de bois proche de la projection précise du sindon primitif. Au préalable on sensibilisa le lin avec du bromure d’argent qui a disparu par des lavages ultérieurs. L’impression s’obtint aussi par l’imprégnation et vaporisation reproduisant avec soin la figure obtenue par l’épreuve de Secondo Pia et le contraste du lin original. Adroitement on refit les brulures des deux lignes centrales et une reproduction exactes des coutures. Les différents virages de tonalité requièrent un traitement méticuleux et on supprima définitivement les traces des bandages qui n’apparaissent pas sur l’original et partant sont suspectes.
Le faux terminé fut soumis à une commission réduite qui malgré la perfection obtenue s’accorda à le refuser. Un virage chimique s’était produit dans le peu d’espace de temps qui rendait évidente la supercherie.
Des deux épreuves suivantes (de 1920 à 1922 la première et la seconde en 1926), nous savons qu’on changea la technique en utilisant une forme metallique surchauffée. Malheureusement les deux linceuls furent détruits. Parce que survint une baisse de chaleur, la comparaison avec l’ancien sindon ne résista pas. Il a été possible de reconstruire la procédure suivie pour la confection de la supercherie.
Enfin, se termine l’apocryphe définitif en novembre 1927; voyons les faits. C’était l’époque de Mussolini et les relations avec le dictateur étaient un peu délicates. En 1924 se négocient deux types de tissu obtenus à Jaffa (Palestine) et à Nantes (France). Le premier : deux lins de 4,6 et 5,0 mètres respectivement datant la fabrication du XVIe quoiqu’en réalité nous savons que le tissu était beaucoup plus ancien; le deuxième de 1220 sous forme de sergé de type 4 avec une structure nommé par vous en « arête de poisson » de calibre très irrégulier de 10’2 pour la trame et de 3’3 pour la chaine (le calibre est donné en Na de grande bretagne).
Les valeurs sont sensiblement différentes de celles qui constituent le sindon authentique (aujourd’hui dissimulé) dont les valeurs sont : trame de 8’3 et chaine 4’2; dans les deux cas le sens de la torsion est le même. La serge obtenue en France fut rejetée parce que les dimension de pièce n’était pas valide, 3,7 x 2,1 mètres ne suffisent pas pour la projection.
L’opération définitive de la fraude : L’obtention du lin comme on le sait aujourd’hui débute à Novare (Italie) en Mars 1927. On utilise une effigie de fer cribblée et soigneusement vidée en forme de coquille. A l’intérieur sont disposées une série de resistances électriques régulées chacune par un rhéostat, situées dans un grand pan de marbre avec beaucoup d’autres manivelles. La statue de taille naturelle se tenait en décubitus et supination avec un système descendant refroidi artificiellement par circulation intérieure d’eau froide.
Le lin est couvert d’une autre couche de soie sensibilisée par gélatine et iodure d’argent déjà révélée avec l’original de Secondo Pia, et recouvre le lin avec l’effigie. La temprérature variait de quelques 248° de moyenne avec un maximum de 410°. On obtin une empreinte de tissu qui fut réchauffée durant plusieurs mois au moyen d’une plaquette à résistance électrique. Sous la direction de Giovanni Coccioli, on prit grand soin que les tâches de sang n’impressionnent pas le tissu. Il ne fut pas possible d’obtenir un virage de couleur carmin dilué comme celui que laissa le sang liquide. On prit soin de dessiner sur les yeux deux pièces de monnaie (qui n’apparaissent pas sur l’original du sindon authentique), substituant aussi les bandages.
La restauration pour perfectionner l’image dura quelques temps comme nous l’avons dit. La retouche finale utilisa la technique d’un frottement dous et le lavage d’une seule partie du drap au moyen de sueur diluée. Et aussi un lavage en d’autres zones avec des solutions acqueuses différemment concentrées d’acide sulfurique.
Cette multiplicité de techniques a désorientée les spécialistes actuels, les techniciens s’acharnant à établir un seul mode d’explication du processus d’obtention de l’empreinte. Nous nous plaisons à féliciter les hommes peu nombreux et malconnus qui ont deviné : le Dr Casselli, Geofferey Ashe, le RP Busnelli, le Dr Rogers et surtout le Dr Vittorio Delfino Pesce qui, avant tout en 1987, signala que le saint drap avait été contrefait au moyen d’un bas relief de métal chaffé à 230°.
La température élevée de l’incendie de Chambéry produisit dans le sindon authentique une coloration de couleur léopard et sépia qui s’explique par la température élevée qui provoqua une distillation de la cellulose du lin qui se répandit dans la zone affectée.
La falsification des traces produites par l’incendie fut faite avec une grande maitrise. On disposait de toiles semblables à celles utilisées par les soeurs Clarisses au cours du malheureux événement.
Cette falsification fut possible grâce à la technique rudiementaire de reproduction utilisée par Secondo Pia. Il était impossible pour un profane de voir la différence.
Au mois de novembre 1927 le cardinal Gasparri et un autre cardinal non identifé par nous donnèrent leur approbation au linceul. La commision secrète se décide à informer Pie XI mais la proposition n’est pas considérée propice à un ralliement du Pontife au change frauduleux. Enfin au début de l’année 1929, l’échange de sindon se fait secrétement derrière le dos de la maison de Savoie propriétaire de la relique.
L’original est conservé dans la résidence du cardinal de Turin et son faux est mis sous clef sur l’autel de Bertola.
En l’an 1931 on attend avec inquiétude l’épreuve de Giusseppe Enrie mais aucune différence n’est détectée. L’imposture a réussi. Les responsables ne peuvent soupçonner que l’analyse du sindon sera aussi nette. Pierre Barbet ne pourra imaginer qu’elle réussisse autant. On présume que l’empreinte sera considérée comme un sousproduit de la vaporisation et la tache de sang comme un témoin de la coagulation sanguine.
Puis le STURP (Shroud of Turin research project, programme de recherche sur le suaire de Turin) se lance avec enthousiasme dans l’étude.
Les scientifiques commencent l’étude, ignorants de ce qui a été forgé dans leur dos. Ainsi le Dr Max Frei révèle par la palynologie en 1973 la présence dans le sindon d’échantillon de pollen.
Il se confirme qu’il était impossible au Moyen-Age de reproduire la véritable image de la Passion avec les connaissances anatomophysiologiques nulles de ce temps. Pourtant existent de graves doutes : ainsi Langton Fox estime qu’il est impossible de séparer un seul coagulat de sang d’une pièce de toile sans détériorer l’impression laissée par la liqueur sanguine.
D’ailleurs, le Dr Walter Mac Crone (1980) alerte sur la découverte d’oxyde de fer dans les microfibrilles du visage, tout cela emplit de gène les investigateurs honnètes qui ne soupçonnent pas la manoeuvre.
L’examen du sindon par la Nasa est concluant. L’empreinte est numérisée en trois dimensions en chaque point; c’est dire que chacun des points de l’image est représenté par deux coordonnées qui représentent la position (X,Y) et l’autre ordonée représente le ton ou la coloration de telle façon que le tout matérialise l’image. L’examen du VP-8 détermine finalement la tridimensionalité (potentielle) de l’image démontrant que la figure n’a pas été peinte et est le reflet des traces laissées par une « radiation » inconnue.
L’erreur reste flottante dans cette ambiance : si les traces ne sont pas biologiques ni le produit d’une corruption, comme peut-être par l’acide sulfurique, ni un effet du frottement, dès lors que se découvrent avec peine des restes de matériel entre les fines fibres de tissu, quelle peut être la nature de l’image laissée par le corps ? Supposons que les hommes d’Ummo soient comme vous ignorants de la fraude si magistralement faite.
Supposons qu’ils arrievent à la conclusion que l’empreinte laissée sur le sindon n’est pas due à des causes naturelles et se refusent à l’idée qu’elle soit produite par la présence d’un corps surchauffé tel qu’une statue métallique semi-incandescente. D’autre part, nous avons la certitude que le saint drap date d’au moins 1453. Ne pourrait-ce être qu’à cette époque qu’aurait été contre-faite la figure de Jossuah (Jésus) au moyen d’une statue surchauffée, ce qui expliquerait le mystère? Cependant l’effigie était flanquée de connaissance de pathologie médicale incroyable pour l’époque. D’un autre côté la datation par le radiocarbone (14C) renforce le soupçon.
Supposons qu’il n’y ait pas de datation ou qu’elle se trouve équivoque, nous ne pouvons que supposer qu’un corps radiant aimprimé son empreinte sur le sindon reproduisant celle d’une photographie identique.
Vous mêmes en viendriez à découvrir la fraude sans recourir du tout à notre aide. Oubliez notre origine et supposez que nous sommes des menteurs ou des malades mentaux atteint du délire systèmatique d’être d’origine extra-terrestre ou un groupe de plaisantins…
- les tests effectués à Zurich, Oxford, et Zurich (sic) au moyen de la spectrometrie de masse accélérée a donné un résultat définitif par datation au carbone 14. On peut alléguer, en suivant des correspondants mal informés, que des corps étrangers de type carbonique ont modifié le résultat. Les fragments furent lavés avec soin avant la détermination et la rigueur avec laquelle fut réalisé l’examen n’offre plus le moindre doute. On ne peut non plus spéculer sur des radiations imaginaires qui auraient perturbé l’échantillon. Si c’était le cas, le radio carbone tendrait à augmenter sa valeur et le résultat daterait le tissu d’avant Jésus. Pourquoi refuser la valeur de l’avis scientifique du carbone 14 et accepter les conclusion qui vous conviennent ?
- Si les déterminations de 1988 sont certaines, la conclusionest que quelqu’un du XVe siècle a falsifié l’empreinte.
- et ce « quelqu’un médiéval » avait des connaissances médicolégales prodigieuse pour :
– obtenir un négatif photographique parfait quand la technique de la photo était inconnue;
– introduire une information tridimensionnelle avant la découverte de l’analyse 3d par la Nasa;
– connaitre la forme exacte de la « couronne » d’épines;
– connaitre le point exact de la cruxifiction dans l’espace nommé par vous de Desdot alors qu’à cette époque les peintres représentait l’enclouage dans la paume du supplicié;
– connaitre les marques exactes des tortures;
– avoir osé peindre un Jésus nu à une époque où la pudeur interdisait une telle représentation;
– pouvoir contrfaire avec autant de précision et de connaissance érudites du XXe siècle une figure semi-incandescente.
Questionnez et étudiez à fond le cas et vous arriverez à comprendre, bien que vous nous méprisiez comme dénonciateurs anonymes.
La fin est très amère et dénouée en octobre 1988. Le cardinal Erdw. Cassidy osa informer pour la première fois un Pape, qui était en l’occurence Jean Paul II, lequel entra en colère puis en dépression. Il convoqua immédiatement un noyau très réduit de cardinaux qui apprirent la fraude.
Le cardinal Tomko était partisan de dire la vérité puisqu’il ne sera pas possible de changer le sindon. Jean paul appuyait timidement sa position tandis que le cardinal Ratzinguer s’y opposa fermement alléguant des raisons gravissimes de scandale.
En outre, restent de plus les raisons qui ont provoqué l’imposture, la découverte qu’il n’y a pas eu mort sur la croix. Le motif était gravissime et la décision de vérouiller le scandale s’imposait, sa divulgation devant le déclencher immédiatement, contrairement à ce qui se passe dans des circonstances semblables. Ce fut le cardinal Ballestrero qui fut chargé de livrer un échantillon du tissu aux laboratoires.
ATTENTION
Lors des faits qui ont conduit au changement du sindon, nous n’étions pas encore sur Terre (Oyagâ). Un pénible travail de reconstitution a patiemment rassemblé les pièces en une structure suffisamment consistante. Heureusement nous avons pu obtenir beaucoup de détails de la fraude répétée. Nombre de témoins sont morts sans avoir témoignés des faits cruciaux de la mystification. Ils nous pardonnerons toutes les omissions obligatoires. Ces témoins qui transcrivirent les faits ont été repérés au préalable. Nous sommes arrivés à l’époque où Pie XII occupait le siège pontifical avant 1964 (Paul VI lui ayant succédé). Nous sommes sûrs que les noms des pontifes ne sont pas (mot incomplet) dans l’absolu. Seul nous reste quelques doutes par rapport à Pie XII, une série de ragots imputés sans les moindres conditions. Seule fut possible d’obtenir une information digne de foi de Jean Paul II.
La question qui demande un éclaircissement est la date exacte de l’imposture. Nous l’avons sans trop de certitude. Quelque jour d’avril 1929 fut décidé le changement du sindon. Ce fut la décision du cardinal Gasparri, accompagné d’un autre compagnon de la curie, de changer le linceul. On considère la date de décembre 1928 comme constitutive de l’événement regrettable (Nous n’avons pu savoir le jour). C’est pourquoi nous considérons la date de 1928 comme celle où fut consommé le délit.
AVANT D’OUVRIR
Pour ouvrir le 20 novembre 1988 à 18h10 minutes devant l’assemblée (à l’hotel de Savoy de Madrid).
D493
Référence : | D493 |
Titre | Imposture au sujet de Rafael Herrera de Lopez |
Destinataire(s) et date(s) | 1988 |
Commentaires | De nombreuses fautes dans le texte original ! |
UMMOAELEWEE
Nombre de copies : 1
Langue : espagnol
Bien cher Monsieur,
Pardonnez nous de vous écrire ainsi. Nous tenions à vous signaler Rafael Herrera de Lopez n’a pas reçu notre enregistrement par téléphone. Nous sommes donc sur qu’il s’agit d’une imposture.
Nous appliquons notre main sur votre poitrine comme symbole d’Union.
D499
Référence : | D499 |
Titre | Vie d’UMMOWOA sur UMMO – SINDON |
Destinataire(s) et date(s) | 17 Nov 1988 |
Commentaires |
UMMOAELEWEE
NOMBRE Copies 42
Espagne
NOUS DIFFUSERONS CETTE LETTRE DANS DIFFERENTS PAYS AUPARAVANT NOUS VOUS REMETTONS CETTE COPIE POUR LE CAS OU VOUS DESIRERIEZ FAIRE QUELQUE CORRECTION S’il vous plaît LISEZ-LA PENDANT LA REUNION
Homme estimé d’OYAGAA
Nous sommes attristés devant la situation qui s’est créée sur votre terre par le fait du linceul. Mais ne jugez pas que notre tristesse a un motif religieux. Nous arrivons pour nous intégrer sur votre astre froid motivés par des raisons culturelles, étant persuadés que votre Réseau Social possède une riche histoire en valorisant le fait que vous vous trouvez dans un état moins avancé que le nôtre, que votre psychologie possède une variété typologique surprenante et que votre talent esthétique (pictural) est sans aucun doute beaucoup supérieur au nôtre (bien que l’OEMMII d’ummo soit sensiblement plus avancé). Tenez en compte que l’apparition des hominidés sur notre Astre Eteint fut antérieure à l’apparition de la vie humaine sur votre géoïde.
Ce n’est pas seulement la culture historicogéographique (Ndt : historiogafica ?) qui nous intéresse, sinon le réseau complexe de connaissances (Géologie Biologie Astronomie Et cetera) qui forment le YAANEEYA (LE COMPLEXE EXISTENTIEL) dans lequel vous vous trouvez intégrés. En tant que témoins de cette humanité, votre patrimoine, nous n’avons pas voulu intervenir fidèles à notre statut de simples observateurs. Nous formons une équipe de vingt-sept voyageurs situés en divers pays de la Terre et nous maintenons une correspondance avec des groupes réduits du Canada, Australie, Espagne, Union Soviétique, Zimbabwe et quelques autres. Notre information se limite à vous soumettre (Ndt suministrarles ?) notre culture, sans nous immiscer d’une façon active dans les problèmes internes. (Seule l’Espagne a été l’exception après que notre existence ait été rendue publique).
Les premières années de notre séjour ici (1950) furent très dures car nos notions près de vous étaient très limitées et vos langues que nos avons apprises étaient très rudimentaires. Mes frères de cette époque étaient vraiment paniqués que notre existence parmi vous soit découverte. Au fur et à mesure des années nous avons compris qu’il faut plus que quelques déclarations d’identité pour être crus. Il était nécessaire de valider par des preuves incontestables notre existence sur OYAGAA (Vérifications scientifiques constatables) sans lesquelles notre témoignage resterait réduit à seulement à peu de vos frères accusés d’avoir une mentalité irrationnelle. Ceci à supposé un alibi quasiment parfait. Pouvant passer parmi vous comme de simple perturbés avec un délire systématisé d’être des extraterrestres nous restions libres de tout harcèlement non désiré (On dit de nous que nous sommes un groupe d’Universitaires farceurs, ou une organisation internationale à finalités inconnues, que nous jetons un rideau de fumée – en jouant sur notre dénomination (Ndt : UMMO se prononce en espagnol comme » humo » = » fumée « ) – avec une finalité très différente comme l’étude sociométrique de la crédulité vis-à-vis des OVNIS, ou autres motivations peut-être plus troubles encore. Peut-être une association non avouable avec des fins criminelles. Maintenant on discutera de notre liaison avec une association religieuse défendant le Saint Suaire…).
Pourtant, nous répétons que notre intérêt pour le Linceul a une signification bien différente que nous allons vous exposer succinctement. Au long de l’histoire se sont forgés en votre sein divers courants de caractère mithyco-religieux comme exigence de l’homme a croire en une vie extraterrestre avec à leur tête un dieu créateur ou un ensemble d’entités déifiées qui régiraient la vie extracorporelle. Naturellement ce désir s’est manifesté dans le contexte universel, et nous ne pouvions être une exception.
Sur UMMO nous avons eu un autre OEMMIWOA (UMMOWOA) de caractéristiques similaires de ceux d’autres astres froids avec un niveau d’évolution comparable. Si l’état culturel est analogue, il est inévitable que les gens l’identifient comme un esprit divin. Et dans les quelques rares astres froids sur lesquels il n’en est pas encore apparu on attend dans l’expectative sa venue (si les gens sont informés au préalable).
Aujourd’hui nous savons qu’un être de cette conformation appartient à une autre espèce. Il se produit une profonde mutation, qui change son génome en profondeur. Cela revient à dire que le changement d’espèce contraint une série de fragments d’ADN à changer de structure. Il ne s’agit pas d’une simple chaîne d’acide Nucléique permutée par un agent chimique ou viral comme le contemplent actuellement vos experts en génétique (de Telle mutations sont réelles mais les biologistes de la terre refusent encore un agent qui puisse provoquer la téléonomie (Ndt : teolonomia) dirigée (théorie vitaliste) De cette façon il résulte impensable que l’on présume de tels changements génétiques ordonnés dans un seul couple. (Un groupe espagnol a été informé plus amplement) [NdT : renvoi fléché écrit à la main probablement par Darnaude: Document n° 792 = D792] Mais nous affirmons qu’un tel changement existe et la nouvelle espèce a été connue de vous comme Jessuha (Jésus).
Sa typologie ou phénotype est similaire à l’Homo Sapiens Sapiens, bien que diffèrent sensiblement son cerveau, son mécanisme reproducteur (Il ne put avoir d’enfants avec une femme normale) et certaines fonctions physiologiques. En plus c’est un individu plus évolué doté d’une capacité de conscienciation (Esp : concienciacion) très supérieure à la moyenne. Il est nécessaire d’insister qu’il n’existe pas d’intervention divine dans sa création. Son existence est explicable à la lumière de la Biologie. Sur un OOYAA (Astre Froid) où survient un tel OOMMIIWOA son sexe est indifférent, bien que dans nos humanités respectives (Terre et Ummo) a coïncidé la forme de GEE (Mâle). Nous connaissons des Astres refroidis sur lesquels OMMIIWOA fut une femme.
Il est nécessaire de vous signaler (bien que nous sentions que nous blessions votre sensibilité) que nous ne partageons pas la même idée de création que l’humanité d’OOYAGAA. Dieu serait une entité supérieure qui pour vous est à la fois créateur et responsable de toutes ses créatures. Dieu serait en principe une entité parfaite qui expliquerait la survie de l’homme sur la Terre. Ainsi que la vie après la mort. (A fins didactiques nous identifions Dieu avec WOA bien que les deux concepts soient radicalement différents).
Woa en revanche est un concept inséré à l’Univers lui-même et paramétrable par la science. C’est une conception très différente, dont nous expliquerons la notion en une autre occasion. Bien que la naissance d’un OEMMIWOA ne soit pas déterminée par la volonté expresse de la divinité, il se produit un effet physique incompréhensible pour l’état actuel de la science mais qui est une rareté comme peuvent l’être les rayons sphériques (NdT ???) ou l’explosion d’un supernova. C’est la raison pour laquelle nous étudions avec attention le personnage de Jésus, indépendamment des connotations religieuses que vous chérissez tant et que nous respectons profondément. Voilà notre intérêt purement scientifique en égard au cas.
Il existe de profondes différences entre vous et notre conception du Monde. Non seulement en ce qui se réfère à notre doctrine, mais aussi dans la base même de la Logique formelle. Vous acceptez le principe du tiers exclus en vous basant sur l’enseignement d’Aristote, au contraire, nous fondons notre existence sur une polyvalence logique très distincte. De là résulte notre difficile relation avec vous, ce qui nous force à un coûteux travail d’adaptation. Notre pensée se base sur des principes paramétrables et scientifiquement constatables. Le reste nous sert comme pure spéculation et source enrichissante de nos modèles futurs. Nous sommes donc très rigoureux avec nos croyances.
Mais pour vous ces raisonnements ne sont pas convaincants dans l’absolu. Cela exigerait plusieurs tomes pour vous exposer avec raison ce que nous avons exprimé. Nous sommes conscients que nos explications ne sont pas orthodoxes sur OOYAAGAA et vous devez les interpréter comme de purs éclaircissements sur notre position. Nous n’avions aucune motivation d’ordre religieux, et nous considérons le personnage historique de Jésus sous une perspective différente. Nous sommes simplement indignés par l’imposture commise, sous des coordonnées scientifiques. Cela nous peine de considérer que la seule preuve que vous aviez ait été malheureusement soustraite, donnant lieu a un fort retard dans l’évolution du Réseau Social dans lequel vous êtes immergés.
Votre phénomène religieux a été inévitable à votre niveau évolutif, certains de vos frères ayant considéré que tout a été négatif. Nous regrettons de diverger de cette appréciation. Bien que dans l’ensemble les appréciations religieuses aient été aliénantes et déformées, les positions de vos frères sincères ont enrichi le Réseau Social et nous qualifions (esp. tipificamos) leurs conduites comme néguentropiques. (ce qui veut dire ; non régressives, emplies de bonté).
En tous cas nous avons été surpris par le remous provoqué dans le monde entier par la datation par spectrométrie accélérée de masses et basée sur le carbone 14 (esp : radiocarbone) existant dans les échantillons. Nous avons admiré la passion et l’exaltation avec lesquelles la nouvelle a été accueillie. Les cléricaux et anticléricaux se lancent fanatiquement, sans connaissance de cause, à réfuter les positions antagonistes, sans aucune raison.
Ainsi nous pouvons voir que l’on attaque la mesure effectuée dans les laboratoires d’Oxford, Zurich et Arizona en alléguant que les scientifiques sont tellement stupides qu’ils ne se sont pas rendus compte que les échantillons comportaient des excroissances carbonées déposées au fil du temps. Ces commentateurs ignorent que les petits échantillons furent lavés chimiquement précisément pour annuler cette critique. Plus insensée encore est l’appréciation d’un journaliste disant que c’est la radiation présente dans le Linceul qui est coupable (Ceux-là continuent à penser que la trace laissée par le corps est de nature radioactive. Si les rayons ionisants avaient pu altérer le lin , l’évaluation au carbone radioactif donnerait une date plus ancienne. Justement le contraire de ce qui survient, et l’on aurait daté le linceul de plusieurs siècles avant l’an un (de l’ère de Jessuha).
Au contraire les ennemis du Linceul se rattachent à cette découverte de la fraude, en considérant que l’imposture est si manifeste qu’il ne vaille pas la peine d’insister sur ce cas. Les deux positions résultent monstrueusement trompeuses, Voyons pourquoi.
Dans le monde chrétien dans lequel vous évoluez (autant en faveur que contre) vos actes sont modulés inconsciemment par des sentiments occultes de caractère religieux et ceci distord gravement vos actes. Essayez de vous restreindre aux données objectives indépendamment de la sympathie ou de l’antipathie que vous suscitent les personnes et les idées : et raisonnez sereinement. Vous risquez-vous à nous suivre ?
Nous vous invitons à analyser avec objectivité. Commencez par nous-mêmes. Vous avez reçu une lettre étrange et signée par des inconnus qui assurent provenir d’un lieu plus étrange encore. Ceci est du plus improbable, et nous vous invitons à nous qualifier de malades mentaux, ou de simples personnes qui n’ont rien à faire d’autre que vous faire des blagues ou des délinquants sagaces avec des intentions inavouées (esp : ignotas ?). Oubliez-nous et suivez fidèlement les faits parfaitement connus.
Analysez posément le Linceul. Trois centres de grande fiabilité déterminent avec des déviations explicables que l’époque à laquelle fut tissé le linceul oscille (sur une courbe d’erreur normale) autour des siècles XI à XV.
Si vous avez une mentalité critique admettez cette évaluation. Une fois que la science officielle vous a fait voir la supercherie médiévale du Linceul on commence à voir » très clairement » l’énigme de l’empreinte des traces du corps. Alors s’expliquerait pourquoi une telle empreinte ne s’éclaircit pas au moyen d’un transfert de produits exogènes et secrétés par le corps en phase de décomposition. Au contraire il est prouvé que les traces laissées sur le drap sont dues à un virage des molécules du tissu causé par une forte température (Plus de 200 degrés). Ceci serait dû au fait que le linceul n’aurait pas été peint mais au contraire aurait été falsifié au moyen d’une reproduction de Jésus, construite en alliage métallique et chauffée jusqu’à la semi-incandescence. Ainsi l’on paraît élucider une imposture commise entre les siècles XI et XV au moyen de la crédulité des OEMMII croyants.
Cela s’expliquerait ainsi, que réfutent son authenticité ceux qui refusent d’admettre le surnaturel et que l’on n’accepte pas des influences thaumaturges sur un morceau de tissu. Vittorio Delfino Pesce fut le premier à dénoncer la duperie en 1987 à la télévision en s’approchant de la façon d’opérer, en suggérant qu’il avait été confectionné (le linceul falsifié) au moyen d’un bas relief de métal surchauffé à 230 degrés.
Mais l’énigme n’a pas été démontée si simplement. Analysons la question sans passion, froidement, scientifiquement. Qui est la personne, à une époque soumise à l’obscurantisme culturel, qui serait capable d’un tel prodige ? Cela aurait dû être un homme connaissant l’optique photographique, capable d’avoir conscience de ce que serait un négatif et prévoir ce que Secondo Pia allait découvrir en 1898, et que l’on obtiendrait en plein XXème siècle une image tridimensionnelle, en devançant les techniciens de la NASA. Le faussaire inconnu aurait également dû avoir une érudition, non seulement de comment les hommes se tressaient les cheveux à cette époque ainsi que la texture avec laquelle on confectionnait un tissage, élaboré avec du lin.
Le plus étonnant serait de constater les connaissances médico-légales d’un homme capable de situer sur une main le point exact de la crucifixion, en le situant sur la zone du carpe que vous appelez anatomiquement « Point de Destot ». N’oubliez pas que les artistes de l’époque ont peint le corps cloué dans les zones palmaires, et sa maîtrise de rendre compte au moyen de connaissances d’experts en criminologie, les sévices résultant de la torture dont la victime fut l’objet. En plus cela attire l’attention de quiconque pénètre dans la mentalité hyper puritaine de cette époque par le manque de pudeur démontré en représentant la trace de la nudité de son corps.
Nous dénonçons la triste réalité. Le Linceul a été permuté frauduleusement en 1929 (La décision fut adoptée en 1928) La falsification fut réalisée en environ huit mois (1927) Sa réalisation fut demandée par un nombre réduit d’hommes de la Hiérarchie Catholique. Elle est confectionnée par rapport à l’original authentique photographié par Secondo Pia.
En Espagne vous pouvez vous procurer de plus amples informations sur le ce sujet auprès de vos frères suivants :
JULIO CESAR IGLESIAS
Telefono 7336871 MADRID
ALFREDO LARA GUITARD
Calle Goya 99-2 derecha. C
28009 MADRID
Nous avons choisi ces messieurs parce qu’ils se sont caractérisés par leur indépendance de jugement et qu’ils nous repoussent globalement, en doutant sensiblement de notre témoignant. Tous deux sont des professionnels fiables. Le premier Journaliste, le second Psychiatre.ummo
UMMOAELEWEI
N de copies : N
Id : ESPAGNOL
Distingués OEMII
Nous sommes d’origine étrangère. Nous sommes arrivés sur OYAGAA en un point situé à la Javie (FRANCE) vers le 28 Mars 1950.
Nous savons avec certitude que cette simple présentation suffit pour que le contenu de ce message soit automatiquement déprécié. Sans doute penserez-vous que les signataires de cette lettre sont des déséquilibrés mentaux ou peut-être quelques plaisantins ou qu’ils se cachent derrière cette étrange identité pour des raisons très troubles.
Pour cela nous vous supplions d’oublier ce déplaisant préambule et de nous identifier comme des citoyens de ce pays qui désirent avec ferveur entrer en contact avec vous et formuler une dénonciation très grave.
Nous savons qu’une affaire aussi trouble se doit d’être considérée avec beaucoup de réserve, quand les signataires sont de parfaits inconnus, sans plus de garantie qu’une lettre anonyme et sans plus de preuves que le camouflage d’une prétendue identité inadmissible pour des esprits sensés comme les vôtres.
Pour cela nous vous invitons à lire d’abord jusqu’au bout et à juger en conséquence. Sans doute vous interrogez-vous sur les raisons qui nous ont poussé à écrire cette matrice de données dactylographiques. Nous sommes attristés par la gigantesque fraude commise. Parce que cela concerne un homme singulier que nous identifions comme un UMMOWOA. Une rareté biologique dans votre possible classification taxonomique qui serait identifiée comme l’unique représentant d’une espèce différente, bien sûr distincte de celle de « Homo sapiens sapiens ».
Autour de son image, il a promu un mouvement social gigantesque nommé christianisme sous des dénominations différentes, c’est une réalité indiscutable que tous nous efforçons de respecter quoique nous ne partagions pas vos croyances. Nous croyons cependant que la foi manifestée par tant de millions de OEMMI exprime suffisamment l’importance que nous concédons à cet événement sociologique. Mis à part l’importance biologique que nous concédons au surgissement de l’OMMIWOA au cours de l’évolution des espèces.
En effet, les données des génotypes des hommes diffèrent en nature de celle de OMMIWOA engendré et cette modification n’est pas le fruit d’une intervention divine, comme vous le croyez, entre autres raisons parce que l’essence de WOA est radicalement différente de celle qu’imaginent les théologiens de la Terre.
L’émergence de cet OMMIWOA était régie par les lois du hasard quoique sa rareté intrinsèque l’a rendu plus précieux aux yeux des chercheurs et un cas d’étude obligé pour ceux qui s’intéressent de près à ces problèmes spécifiques.
Cette gestation a eu lieu sur la plupart des astres froids évolués que nous avons visité. Et dans tous nous avons observé, avec une vraie curiosité, dans une attente superstitieuse et avec rigueur scientifique, que le niveau scientifique de ces civilisations était très élevé (mais il est des cas où un UMMOWOA n’est pas apparu malgré un niveau avancé de développement technologique)
Pourtant le nouveau phénotype a des caractéristiques très subtiles qu’a pu découvrir OYIIA 64, augmentant de façon puissante la capacité de conscience du sujet et en conséquence sa liberté de libre arbitre, atteignant la limite permise par l’évolution des espèces. Ici se révèle un phénomène impressionnant qui remet en question toute la Physique connue de vous.
Quoique dans d’autres messages remis à vos frères du Canada, de France, d’Espagne, d’Australie et d’Union Soviétique, nous ayons éclairci cette question, nous préférons préciser qu’ainsi s’explique qu’autour de cette image se soit développé un mouvement sociologique qui ne peut être comparé à aucune autre manifestation religieuse.
Ceci est un préambule obligé avant le thème que nous allons traiter : une grave dénonciation. Dans l’absolu, comprenez que notre tristesse a été induite par des motifs religieux qui, quoique très respectables, n’ont rien de commun avec la raison éthique de notre indignation. La gravité de l’affaire se mesure bien si vous jugez que ce faux retarde de plusieurs années la solution historique d’un grand problème et diminue d’autant la possibilité de faire la lumière sur une énigme cosmologique.
Faisons un peu d’historique sur les antécédents de l’imposture que nous commentons. En effet, ces prolégomènes vous serviront pour comprendre l’attitude adoptée envers le Sindon, éclairant au passage la genèse de la fraude.
Récapitulons avec précision les vicissitudes que ce tissu a subi jusqu’en 1929, date à laquelle se réalise la substitution. La gravité de l’acte est manifeste si l’on prend en compte que le Sindon est un document inestimable qui prouve l’existence de Jossuah (JESUS comme nous le nommons dans la suite de cette matrice de données). Aucune autre pièce (témoin) de cet événement n’a pu être retrouvée, et les autres reliques conservées sont le produit de fraudes ou de mauvaises interprétations des faits. La plus anciennement conservée date du II e siècle et beaucoup sont datables du VIIIe au XIVe.
La toile enveloppant le corps de Jésus fut imprégné de produits, dont l’aloès pour soulager ses blessures, qui sont la preuve irréfutable de l’empreinte postérieure. La toile fut conservée secrètement par un de ses disciples, un travailleur agricole nommé Semah ou Semahel qui a été témoin avec d’autres de l’événement du ENNESIBIAEEOO (instant caractérisé par un niveau de conscience provoqué par un cadre dysthymique ou émotionnel qui lèse le système limbique et provoque la disparition du corps d’un ommiwoa dans un autre univers). Il est compréhensible qu’un événement aussi merveilleux entraîne la ferveur d’un peuple enclin au merveilleux et à donner une signification magique à ce qu’il ne comprend pas, .
Le Sindon fut conservé au début par Esteban, et après son assassinat, passa entre des mains inconnues y compris de nous, pour réapparaître de nouveau dans celles de Proclus au IIIe siècle jusqu’à la prise par les Perses de la ville d’Edesa. A la fin, les templiers le sauvèrent, son secret fut révélé avec grande discrétion au roi BAUDOIN II et il resta caché jusqu’à ce qu’il soit récupéré par vous sous la forme déjà divulguée.
Surprenante votre crédulité, quand suite à la réalisation de la fraude que nous allons commenter, la presse à sensation sortit le naïf rapport de Pierre d’Arcis de 1389 attestant que « le Sindon était un faux » constitué par une peinture des traits qu’on dit être observés sur l’empreinte de la toile. La bonne foi de l’évêque de Troyes n’infirme pas l’authenticité reconnue tant par les pèlerins que par les simples techniques modernes d’OYAGAA (astre, froid, Terre).
Étonnant de voir la sottise des journalistes qui expriment des arguments aussi absurdes aujourd’hui sans se documenter le moins du monde. Évaluation qui serait explicable au XIVe siècle avec une expertise rudimentaire mais résultat absurde en 1988.
Secondo Pia accomplit en 1898 la tâche très difficile à cette époque de photographier le sindon en utilisant la lumière électrique. Était alors propriétaire alors celui qui allait être roi d’Italie, Victor Emmanuel III.
Votre frère Secondo Pia fit une grande découverte en réalisant des négatifs de 50 x 60 cm sur plaques orthochromatiques. Pendant le tirage au laboratoire, les deux plaques révéleront une image normale d’une très belle expression. Sa découverte fut impressionnante et rapidement la nouvelle arriva aux oreilles de la hiérarchie Vaticane.
Les membres de la Curie furent surpris; Jusqu’alors on le considérait comme un faux et par conséquent dévalorisé, et ils exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur le tissus. Les vapeurs ammoniacales réagissent avec l’aloètine (ne pas oublier que le OEMMIWOA ÉTAIT BADIGEONNÉ D’ALOÉS COMME ONGUENT CURATIF), générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.
Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose ! Le sang du » cadavre » était » frais » ! En différentes occasions il y eut des expertises similaires, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est-il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur le cadavre les marques de bandage correspondant à un cadavre, point qui a été » oublié « .
Se met alors en marche une opération pour « éliminer » des preuves avec le secret dessein de » découvrir l’imposture » dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DÉMONTE D’UN COUP LES PRÉMISSES QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang non coagulé) (Ndt: ajoutée à la main entre parenthèses ).
Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (Docteur en Sciences Naturelles) est correcte (Vaporographie) jointe à celle du Dr. René Colson (Médecin, membre de l’Académie des Sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis que, en 1532 le cardinal Louis Gorrevad l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion.
Ce sont sans doute les découvreurs des preuves de l’authenticité de l’empreinte de Josuha et il est nécessaire de le manifester avec admiration, avant que le Sindon ne fut changé au cours de cette exécrable imposture.
Quelques cardinaux étaient au courant. Ils étaient moins de quatorze à avoir pris connaissance de l’affaire. On ignorait à cette époque qu’on puisse dater la toile avec autant de précision et on se contenta de la seule élimination des taches de sang liquide. De plus on prétendit encore ajouter les marques qu’un bandage disparu aurait laissées, en falsifiant l’empreinte, déjà nous voyons qu’il en résulta un résultat différent.
On utilisa une toile du XVIIe siècle en procédant à la falsification de l’empreinte au moyen d’une sculpture de bois prudemment traitée avec des matières aromatiques. Ensuite, on ajouta bandes et bandages au moyen d’une bande de toile d’environ 14cm.
Le toile finale est photographié sur des plaques semblables à celles obtenues par Pia. Le résultat était profondément grossier par rapport à l’épreuve authentique. Les images superposées coïncident à peine et les nuances de couleur ne sont pas possibles sans l’addition de produits qu’une expertise serait capable de démasquer. Par malheur, l’apparition des traces de bandage révèle en grand la supercherie.
Nous n’étions pas sur terre à cette époque et d’ici nous voyons de graves lacunes dans le récit vivant des faits. Nous ne connaissons pas même la date exacte des événements qui ont eu lieu de 1911 à 1916; Il semble qu’il y ait une nouvelle tentative en juin 1918. Peu de temps avant le Cardinal Gotti, préfet de l’œuvre de la Programmation de la Foi, et le futur cardinal de Baltimore (E-U d’Amérique), Mgr Gibbons, conviennent en 1911 de cacher à Pie X et à son successeur (Benoît XV) le scandale que supposait la permutation.
Le scandale, qui s’est fait à la découverte de l’écoulement de sang que met en évidence le saint drap, est incompréhensible. A cette époque on tenait pour certain que cette preuve démentait la mort par crucifixion. Pourtant, vous-mêmes avez vérifié que, dans des circonstances déterminées (plaie des gros vaisseaux bien que postérieur à la mort), l’écoulement (de sang post mortem) était possible. De toutes façons, il était difficile d’expliquer l’écoulement des autres blessures par l’hypostase (note 1). (Le blessé fut étendu sur un lit incliné d’environ 28 degrés). L’état actuel du faux Sindon n’étant pas non plus explicable par la fibrinolyse (note 2), on comprends que l’on a dû recourir à un artifice pour contourner un fait qui était incompréhensible.
Pour la deuxième tentative on utilisa un tissu quasi semblable du milieu du XIXe siècle. On utilisa aussi une sculpture de bois proche de la projection précise du sindon primitif. Au préalable on sensibilisa a toile avec du bromure d’argent qui a disparu par des lavages ultérieurs. L’impression s’obtint aussi par imprégnation et vaporisation reproduisant avec soin la figure obtenue sur l’épreuve (photographique) de Secondo Pia et le contraste du tissus original. Adroitement on refit les brûlures des deux lignes centrales et une reproduction exacte des coutures. Les différents virages de tonalité requièrent un traitement méticuleux et on supprima définitivement les traces des bandages qui n’apparaissent pas sur l’original et de ce fait sont suspectes.
Le faux terminé fut soumis à une commission réduite qui malgré la perfection obtenue s’accorda à le refuser. Un virage chimique s’était produit dans le peu d’espace de temps qui rendait patente la supercherie.
Pour les deux épreuves suivantes (la première de 1920 à 1922 et la seconde en 1926), nous savons qu’on changea la technique en utilisant une forme métallique (?) surchauffée. Malheureusement les deux linceuls furent détruits. Parce que survint une baisse de chaleur, la comparaison avec l’ancien Sindon ne résista pas. Il a été possible de reconstruire (reconduire?) la procédure suivie pour la confection du faux.
Enfin, l’apocryphe définitif est achevé en novembre 1927; voyons les faits. C’était l’époque de Mussolini et les relations avec le dictateur étaient un peu délicates. En 1924 il est trouvé deux types de tissu obtenus à Jaffa (Palestine) et à Nantes (France). Le premier : deux pièces de 4,6 et 5,0 mètres respectivement datant la fabrication du XVIe quoiqu’en réalité nous sachions que le tissu était beaucoup plus ancien, de 1220, sous forme de sergé de type 4 avec une structure nommée par vous en » Arête de Poisson » de calibre très irrégulier de 10,2 pour la trame et de 3,3 pour la chaîne (le calibre est donné en Na de Grande-Bretagne).
Les valeurs sont sensiblement différentes de celles qui constituent le Sindon authentique (aujourd’hui dissimulé) dont les valeurs sont : Trame de 8,3 et chaîne 4,2 ; dans les deux cas le sens de la torsion est le même. La serge obtenue en France fut rejetée parce que les dimensions de cette pièce n’étaient pas valables, 3,7 x 2,1 mètres ne suffisent pas pour le project.
L’opération définitive de la fraude. Le traitement de la toile, comme on le sait aujourd’hui, commence à Novare (Italie) en mars 1927. On utilise une statue de fer soigneusement évidée et criblée (de trous) en forme de coquille. A l’intérieur sont disposées une série de résistances électriques régulées chacune par un rhéostat situés sur un grand panneau de marbre (extérieur) avec beaucoup d’autres manivelles (Ndt: pour rapprocher ou éloigner les résistances de la surface du linceul entourant la forme humaine de fer et reproduire les différences de roussi dues à la différence de distance du linceul au corps selon les zones ?). La statue aux dimensions d’un homme était placée en décubitus dorsal avec un circuit (? »vastago ») artificiellement refroidi par une circulation interne d’eau froide.
La toile est recouverte d’une autre plaque de soie sensibilisée avec de la gélatine et iodure d’argent déjà révélée avec l’original de Secondo Pia, et recouvre le linceul avec l’effigie. La température de celle-ci oscillait de quelques 248° de moyenne et à un maximum de 410°.
On obtint une empreinte de tissu qui fut réchauffée durant plusieurs mois au moyen d’une plaquette à résistance électrique. Sous la direction de Giovanni Coccioli, on prit grand soin que les tâches de sang n’imprègnent pas le tissu. Il ne fut pas possible d’obtenir un virage de couleur carmin dilué comme celui que laisse le sang liquide. On prit soin de dessiner sur les yeux deux pièces de monnaie (qui n’apparaissent pas sur l’original du sindon authentique), remplaçant ainsi les bandages.
La restauration pour perfectionner l’image dura quelques temps comme nous l’avons dit. La retouche finale utilisa la technique d’un frottement doux et le lavage d’une seule partie du drap au moyen de sueur diluée. Et aussi un lavage en d’autres zones avec des solutions à diverses concentration d’acide sulfurique dans l’eau.
Cette multiplicité de techniques a désorienté les spécialistes actuels, les techniciens s’acharnant à établir un seul mode d’explication du processus d’obtention de l’empreinte. Nous nous plaisons à féliciter les hommes peu nombreux et mal connus qui ont deviné : le Dr Casselli, Geofferey Ashe, le révérend P. Busnelli, le Dr Rogers et surtout le Dr Vittorio Delfino Pesce qui, avant tout en 1987, signala que le saint drap avait été contrefait au moyen d’un bas relief de métal chauffé à 230°.
La température élevée de l’incendie de Chambéry produisit sur le Sindon authentique une coloration de couleur brune et sépia qui s’explique parceque la température élevée produisit une distillation de la cellulose du lin qui diffusa dans la zone affectée.
La falsification des traces produites par l’incendie fut faite avec une grande maîtrise. On disposait de toiles semblables à celles utilisées par les soeurs Clarisses au cours du malheureux événement.
Cette falsification fut possible grâce à la technique rudimentaire de reproduction utilisée par Secondo Pia. Il était impossible pour un profane de voir la différence.
Au mois de novembre 1927 le cardinal Gasparri et un autre cardinal non identifié par nous donnèrent leur approbation à cette toile. La commission secrète se décide à informer Pie XI mais cette dernière ne réussit pas à considérer que le Pontife ne se refusera pas au change frauduleux. Enfin au début de l’année 1929, l’échange du Sindon se fait secrètement derrière le dos de la maison de Savoie propriétaire de la relique.
L’original est conservé dans la résidence du cardinal de Turin et son faux est mis sous clef sur l’autel de Bertola.
En l’an 1931 on attend avec inquiétude l’épreuve de Giuseppe Enrie mais aucune différence n’est détectée. L’imposture a réussi.
Les responsables ne peuvent soupçonner que l’analyse du Sindon sera aussi nette. Pierre Barbet ne pouvait imaginer qu’elle réussirait aussi bien. On présume que l’empreinte sera considérée comme un sous-produit de la vaporisation et la tache de sang comme une marque de la coagulation sanguine.
Puis le STURP (Shroud of Turin Research Project, programme de recherche sur le suaire de Turin) se lance avec enthousiasme dans l’étude.
Les scientifiques commencent l’étude, ignorants de ce qui a été forgé dans leur dos. Ainsi le Dr Max Frei révèle par la palynologie en 1973 la présence dans le Sindon d’échantillons de pollen.
Il se confirme qu’il était impossible au Moyen Age de reproduire la véritable image de la Passion avec les connaissances anatomo-physiologiques nulles de ce temps.
Pourtant existent de graves doutes : Ainsi Langton Fox estime qu’il est impossible de séparer un seul caillot de sang d’une pièce de drap sans détériorer l’impression laissée par la liqueur sanguine.
D’ailleurs, le Dr Walter Mac Crone (1980) alerte sur la découverte de fer (oxyde de ) dans les micro-fibrilles du visage, tout cela emplit de gène les investigateurs honnêtes qui ne soupçonnent pas la manœuvre.
L’examen du Sindon par la Nasa est concluant. L’empreinte est numérisée en trois dimensions en chaque point; C’est dire que chacun des points de l’image est représenté par deux coordonnées qui représentent la position (x,y) et l’ordonnée représente le ton ou la coloration de telle façon que le tout matérialise l’image. L’examen du VP-8 détermine finalement la tridimensionalité de l’image démontrant que la figure n’a pas été peinte et est le reflet des traces laissées par une » radiation » inconnue.
L’erreur reste flottante dans cette ambiance : si les traces ne sont pas biologiques ni le produit d’une corrosion, comme peut être par l’acide sulfurique, ni un effet du frottement, puisque qu’on ne découvre pas avec peine des reésidus de matière entre les fines fibres de tissu, quelle peut être la nature de l’image laissée par le corps ? Supposons que les hommes d’Ummo ne soient pas comme vous et ne soient pas ignorants de la fraude si magistralement réalisée.
Supposons qu’ils arrivent à la conclusion que l’empreinte laissée sur le Sindon n’est pas due à des causes naturelles et se refusent à l’idée qu’elle soit produite par la présence d’un corps surchauffé tel qu’une statue métallique semi-incandescente. Mais nous avons la certitude que le Saint drap date d’avant 1453. Ne pourrait-ce être à cette époque qu’aurait été contrefaite la figure de Jossuah (Jésus) au moyen d’une statue surchauffée, ce qui expliquerait le mystère? Mais l’effigie était accompagnée de connaissances de pathologie médicale incroyables pour l’époque. D’un autre côté la datation par le radiocarbone (14C) corrobore le soupçon.
Supposons qu’il n’y ait pas de datation ou qu’elle soit équivoque, nous ne pouvons que supposer qu’un corps radiant ait imprimé sa trace sur le sindon reproduisant une empreinte d’une photographie identique.
Vous-mêmes en viendriez à découvrir la fraude sans recourir du tout à notre aide. Oubliez notre origine et supposez que nous sommes des menteurs ou des malades mentaux atteints du délire systématique d’être d’origine extra-terrestre ou un groupe de plaisantins…
- les tests effectués à Zurich, Oxford, et Zurich (sic) au moyen de la spectrométrie de masse accélérée a donné un résultat définitif par datation du Carbone 14. On ne peut alléguer, en suivant des correspondants mal informés, que des corps étrangers de type carbonique ont modifié le résultat. Les fragments furent lavés avec soin avant la détermination et la rigueur avec laquelle fut réalisé l’examen n’offre pas le moindre doute. On ne peut non plus spéculer sur des radiations imaginaires qui auraient perturbé l’échantillon. Si c’était le cas, le radiocarbone tendrait à augmenter sa valeur et le résultat daterait le tissu d’avant Jésus. Pourquoi nier la valeur de l’avis scientifique du carbone 14 et accepter les conclusions qui vous conviennent ?
- Si les déterminations de 1988 sont certaines, la conclusion est que quelqu’un du XV e siècle a falsifié l’empreinte.
- Et ce » quelqu’un de médiéval » avait des connaissances médico-légales prodigieuses pour:
– Pour obtenir un négatif photographique parfait quand la technique de la photo était inconnue;
– Obtenir une image tridimensionnelle correcte avant l’analyse du XXè siècle par la Nasa;
– Commenétait en réalité la couronne d’épines;
– Connaître le point exact de la crucifixion dans l’espace nommé par vous de Desdot alors qu’à cette époque les peintres représentait l’enclouage dans la paume du supplicié;
– Connaître les marques exactes des tortures;
– Comment avoir osé peindre un Jésus nu à une époque où la pudeur interdisait une telle représentation;
– Comment pouvoir ouvoir contrefaire avec autant de précision et de connaissances érudites, du XXe siècle, une image semi-incandescente !.
Questionnez et étudiez à fond le cas et vous arriverez à comprendre, bien que vous nous méprisiez comme dénonciateurs anonymes.
La fin est très amère et elle est conclue en octobre 1988. Le cardinal Erdw. Cassidy osa informer pour la première fois un Pape, qui était en l’occurrence Jean Paul II, lequel entra en colère puis en dépression. Il convoqua immédiatement un noyau très réduit de cardinaux qui apprirent la fraude.
Le cardinal Tomko était partisan de dire la vérité puisqu’il ne sera pas possible de changer le Sindon. Jean Paul appuyait timidement sa position tandis que le cardinal Ratzinguer s’y opposa fermement alléguant des raisons gravissimes de scandale.
En outre, restent de plus les raisons qui ont provoqué l’imposture, la découverte qu’il n’y a pas eu mort sur la croix. Le motif était gravissime et la décision de verrouiller le scandale s’imposait, sa divulgation devant le déclencher immédiatement, contrairement à ce qui se passe dans des circonstances semblables. Ce fut le cardinal Ballestrero qui fut chargé de livrer un échantillon du tissu aux laboratoires.
ATTENTION
Lors des faits qui ont conduit au changement du Sindon, nous n’étions pas encore sur OYAGAA. Un pénible travail de reconstitution a patiemment rassemblé les pièces en une structure suffisamment consistante.
Heureusement nous avons pu obtenir beaucoup de détails de la fraude commise. Nombre de témoins sont morts sans avoir témoignés des faits cruciaux de la mystification. Ils nous pardonneront les omissions obligatoires. Ces témoins qui transcrivirent les faits ont été repérés au préalable.
Nous sommes arrivés à l’époque où Pie XII occupait le siège pontifical jusqu’en 1964 (Paul VI lui ayant succédé). Nous n’avions pas la preuve de la fraude . Nous sommes certains que les pontifes nommés n’étaient absolument pas impliqués . Seul nous reste quelques doutes par rapport à Pie XII, une série de ragots imputés sans les moindres conditions probatoires. Seule fut possible d’obtenir une information digne de foi de Jean Paul II.
La question qui demande un éclaircissement est la date exacte de l’imposture. Nous l’avons sans trop de certitude. Quelque jour du mois d’avril 1929 fut décidé le changement du Sindon. Ce fut la décision du Cardinal Gasparri, accompagné d’un autre compagnon de la curie, de changer le linceul. On considère la date de décembre 1928 comme constitutive de l’événement regrettable (Nous n’avons pu savoir le jour). C’est pourquoi nous considérons la date de 1928 comme celle où fut consommé le délit.
AVANT D’OUVRIR
Pour ouvrir le 20 novembre 1988 à dix-huit heures et dix minutes devant toute l’Assemblée
D505
UMMOAELEWEI
N de copies : N
Id : ESPAGNOL
Distingués OEMII
Nous sommes d’origine étrangère. Nous sommes arrivés sur OYAGAA en un point situé à la Javie (FRANCE) vers le 28 Mars 1950.
Nous savons avec certitude que cette simple présentation suffit pour que le contenu de ce message soit automatiquement déprécié. Sans doute penserez-vous que les signataires de cette lettre sont des déséquilibrés mentaux ou peut-être quelques plaisantins ou qu’ils se cachent derrière cette étrange identité pour des raisons très troubles.
Pour cela nous vous supplions d’oublier ce déplaisant préambule et de nous identifier comme des citoyens de ce pays qui désirent avec ferveur entrer en contact avec vous et formuler une dénonciation très grave.
Nous savons qu’une affaire aussi trouble se doit d’être considérée avec beaucoup de réserve, quand les signataires sont de parfaits inconnus, sans plus de garantie qu’une lettre anonyme et sans plus de preuves que le camouflage d’une prétendue identité inadmissible pour des esprits sensés comme les vôtres.
Pour cela nous vous invitons à lire d’abord jusqu’au bout et à juger en conséquence. Sans doute vous interrogez-vous sur les raisons qui nous ont poussé à écrire cette matrice de données dactylographiques. Nous sommes attristés par la gigantesque fraude commise. Parce que cela concerne un homme singulier que nous identifions comme un UMMOWOA. Une rareté biologique dans votre possible classification taxonomique qui serait identifiée comme l’unique représentant d’une espèce différente, bien sûr distincte de celle de « Homo sapiens sapiens ».
Autour de son image, il a promu un mouvement social gigantesque nommé christianisme sous des dénominations différentes, c’est une réalité indiscutable que tous nous efforçons de respecter quoique nous ne partagions pas vos croyances. Nous croyons cependant que la foi manifestée par tant de millions de OEMMI exprime suffisamment l’importance que nous concédons à cet événement sociologique. Mis à part l’importance biologique que nous concédons au surgissement de l’OMMIWOA au cours de l’évolution des espèces.
En effet, les données des génotypes des hommes diffèrent en nature de celle de OMMIWOA engendré et cette modification n’est pas le fruit d’une intervention divine, comme vous le croyez, entre autres raisons parce que l’essence de WOA est radicalement différente de celle qu’imaginent les théologiens de la Terre.
L’émergence de cet OMMIWOA était régie par les lois du hasard quoique sa rareté intrinsèque l’a rendu plus précieux aux yeux des chercheurs et un cas d’étude obligé pour ceux qui s’intéressent de près à ces problèmes spécifiques.
Cette gestation a eu lieu sur la plupart des astres froids évolués que nous avons visité. Et dans tous nous avons observé, avec une vraie curiosité, dans une attente superstitieuse et avec rigueur scientifique, que le niveau scientifique de ces civilisations était très élevé (mais il est des cas où un UMMOWOA n’est pas apparu malgré un niveau avancé de développement technologique)
Pourtant le nouveau phénotype a des caractéristiques très subtiles qu’a pu découvrir OYIIA 64, augmentant de façon puissante la capacité de conscience du sujet et en conséquence sa liberté de libre arbitre, atteignant la limite permise par l’évolution des espèces. Ici se révèle un phénomène impressionnant qui remet en question toute la Physique connue de vous.
Quoique dans d’autres messages remis à vos frères du Canada, de France, d’Espagne, d’Australie et d’Union Soviétique, nous ayons éclairci cette question, nous préférons préciser qu’ainsi s’explique qu’autour de cette image se soit développé un mouvement sociologique qui ne peut être comparé à aucune autre manifestation religieuse.
Ceci est un préambule obligé avant le thème que nous allons traiter : une grave dénonciation. Dans l’absolu, comprenez que notre tristesse a été induite par des motifs religieux qui, quoique très respectables, n’ont rien de commun avec la raison éthique de notre indignation. La gravité de l’affaire se mesure bien si vous jugez que ce faux retarde de plusieurs années la solution historique d’un grand problème et diminue d’autant la possibilité de faire la lumière sur une énigme cosmologique.
Faisons un peu d’historique sur les antécédents de l’imposture que nous commentons. En effet, ces prolégomènes vous serviront pour comprendre l’attitude adoptée envers le Sindon, éclairant au passage la genèse de la fraude.
Récapitulons avec précision les vicissitudes que ce tissu a subi jusqu’en 1929, date à laquelle se réalise la substitution. La gravité de l’acte est manifeste si l’on prend en compte que le Sindon est un document inestimable qui prouve l’existence de Jossuah (JESUS comme nous le nommons dans la suite de cette matrice de données). Aucune autre pièce (témoin) de cet événement n’a pu être retrouvée, et les autres reliques conservées sont le produit de fraudes ou de mauvaises interprétations des faits. La plus anciennement conservée date du II e siècle et beaucoup sont datables du VIIIe au XIVe.
La toile enveloppant le corps de Jésus fut imprégné de produits, dont l’aloès pour soulager ses blessures, qui sont la preuve irréfutable de l’empreinte postérieure. La toile fut conservée secrètement par un de ses disciples, un travailleur agricole nommé Semah ou Semahel qui a été témoin avec d’autres de l’événement du ENNESIBIAEEOO (instant caractérisé par un niveau de conscience provoqué par un cadre dysthymique ou émotionnel qui lèse le système limbique et provoque la disparition du corps d’un ommiwoa dans un autre univers). Il est compréhensible qu’un événement aussi merveilleux entraîne la ferveur d’un peuple enclin au merveilleux et à donner une signification magique à ce qu’il ne comprend pas, .
Le Sindon fut conservé au début par Esteban, et après son assassinat, passa entre des mains inconnues y compris de nous, pour réapparaître de nouveau dans celles de Proclus au IIIe siècle jusqu’à la prise par les Perses de la ville d’Edesa. A la fin, les templiers le sauvèrent, son secret fut révélé avec grande discrétion au roi BAUDOIN II et il resta caché jusqu’à ce qu’il soit récupéré par vous sous la forme déjà divulguée.
Surprenante votre crédulité, quand suite à la réalisation de la fraude que nous allons commenter, la presse à sensation sortit le naïf rapport de Pierre d’Arcis de 1389 attestant que « le Sindon était un faux » constitué par une peinture des traits qu’on dit être observés sur l’empreinte de la toile. La bonne foi de l’évêque de Troyes n’infirme pas l’authenticité reconnue tant par les pèlerins que par les simples techniques modernes d’OYAGAA (astre, froid, Terre).
Étonnant de voir la sottise des journalistes qui expriment des arguments aussi absurdes aujourd’hui sans se documenter le moins du monde. Évaluation qui serait explicable au XIVe siècle avec une expertise rudimentaire mais résultat absurde en 1988.
Secondo Pia accomplit en 1898 la tâche très difficile à cette époque de photographier le sindon en utilisant la lumière électrique. Était alors propriétaire alors celui qui allait être roi d’Italie, Victor Emmanuel III.
Votre frère Secondo Pia fit une grande découverte en réalisant des négatifs de 50 x 60 cm sur plaques orthochromatiques. Pendant le tirage au laboratoire, les deux plaques révéleront une image normale d’une très belle expression. Sa découverte fut impressionnante et rapidement la nouvelle arriva aux oreilles de la hiérarchie Vaticane.
Les membres de la Curie furent surpris; Jusqu’alors on le considérait comme un faux et par conséquent dévalorisé, et ils exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur le tissus. Les vapeurs ammoniacales réagissent avec l’aloètine (ne pas oublier que le OEMMIWOA ÉTAIT BADIGEONNÉ D’ALOÉS COMME ONGUENT CURATIF), générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.
Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose ! Le sang du » cadavre » était » frais » ! En différentes occasions il y eut des expertises similaires, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est-il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur le cadavre les marques de bandage correspondant à un cadavre, point qui a été » oublié « .
Se met alors en marche une opération pour « éliminer » des preuves avec le secret dessein de » découvrir l’imposture » dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DÉMONTE D’UN COUP LES PRÉMISSES QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang non coagulé) (Ndt: ajoutée à la main entre parenthèses ).
Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (Docteur en Sciences Naturelles) est correcte (Vaporographie) jointe à celle du Dr. René Colson (Médecin, membre de l’Académie des Sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis que, en 1532 le cardinal Louis Gorrevad l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion.
Ce sont sans doute les découvreurs des preuves de l’authenticité de l’empreinte de Josuha et il est nécessaire de le manifester avec admiration, avant que le Sindon ne fut changé au cours de cette exécrable imposture.
Quelques cardinaux étaient au courant. Ils étaient moins de quatorze à avoir pris connaissance de l’affaire. On ignorait à cette époque qu’on puisse dater la toile avec autant de précision et on se contenta de la seule élimination des taches de sang liquide. De plus on prétendit encore ajouter les marques qu’un bandage disparu aurait laissées, en falsifiant l’empreinte, déjà nous voyons qu’il en résulta un résultat différent.
On utilisa une toile du XVIIe siècle en procédant à la falsification de l’empreinte au moyen d’une sculpture de bois prudemment traitée avec des matières aromatiques. Ensuite, on ajouta bandes et bandages au moyen d’une bande de toile d’environ 14cm.
Le toile finale est photographié sur des plaques semblables à celles obtenues par Pia. Le résultat était profondément grossier par rapport à l’épreuve authentique. Les images superposées coïncident à peine et les nuances de couleur ne sont pas possibles sans l’addition de produits qu’une expertise serait capable de démasquer. Par malheur, l’apparition des traces de bandage révèle en grand la supercherie.
Nous n’étions pas sur terre à cette époque et d’ici nous voyons de graves lacunes dans le récit vivant des faits. Nous ne connaissons pas même la date exacte des événements qui ont eu lieu de 1911 à 1916; Il semble qu’il y ait une nouvelle tentative en juin 1918. Peu de temps avant le Cardinal Gotti, préfet de l’œuvre de la Programmation de la Foi, et le futur cardinal de Baltimore (E-U d’Amérique), Mgr Gibbons, conviennent en 1911 de cacher à Pie X et à son successeur (Benoît XV) le scandale que supposait la permutation.
Le scandale, qui s’est fait à la découverte de l’écoulement de sang que met en évidence le saint drap, est incompréhensible. A cette époque on tenait pour certain que cette preuve démentait la mort par crucifixion. Pourtant, vous-mêmes avez vérifié que, dans des circonstances déterminées (plaie des gros vaisseaux bien que postérieur à la mort), l’écoulement (de sang post mortem) était possible. De toutes façons, il était difficile d’expliquer l’écoulement des autres blessures par l’hypostase (note 1). (Le blessé fut étendu sur un lit incliné d’environ 28 degrés). L’état actuel du faux Sindon n’étant pas non plus explicable par la fibrinolyse (note 2), on comprends que l’on a dû recourir à un artifice pour contourner un fait qui était incompréhensible.
Pour la deuxième tentative on utilisa un tissu quasi semblable du milieu du XIXe siècle. On utilisa aussi une sculpture de bois proche de la projection précise du sindon primitif. Au préalable on sensibilisa a toile avec du bromure d’argent qui a disparu par des lavages ultérieurs. L’impression s’obtint aussi par imprégnation et vaporisation reproduisant avec soin la figure obtenue sur l’épreuve (photographique) de Secondo Pia et le contraste du tissus original. Adroitement on refit les brûlures des deux lignes centrales et une reproduction exacte des coutures. Les différents virages de tonalité requièrent un traitement méticuleux et on supprima définitivement les traces des bandages qui n’apparaissent pas sur l’original et de ce fait sont suspectes.
Le faux terminé fut soumis à une commission réduite qui malgré la perfection obtenue s’accorda à le refuser. Un virage chimique s’était produit dans le peu d’espace de temps qui rendait patente la supercherie.
Pour les deux épreuves suivantes (la première de 1920 à 1922 et la seconde en 1926), nous savons qu’on changea la technique en utilisant une forme métallique (?) surchauffée. Malheureusement les deux linceuls furent détruits. Parce que survint une baisse de chaleur, la comparaison avec l’ancien Sindon ne résista pas. Il a été possible de reconstruire (reconduire?) la procédure suivie pour la confection du faux.
Enfin, l’apocryphe définitif est achevé en novembre 1927; voyons les faits. C’était l’époque de Mussolini et les relations avec le dictateur étaient un peu délicates. En 1924 il est trouvé deux types de tissu obtenus à Jaffa (Palestine) et à Nantes (France). Le premier : deux pièces de 4,6 et 5,0 mètres respectivement datant la fabrication du XVIe quoiqu’en réalité nous sachions que le tissu était beaucoup plus ancien, de 1220, sous forme de sergé de type 4 avec une structure nommée par vous en » Arête de Poisson » de calibre très irrégulier de 10,2 pour la trame et de 3,3 pour la chaîne (le calibre est donné en Na de Grande-Bretagne).
Les valeurs sont sensiblement différentes de celles qui constituent le Sindon authentique (aujourd’hui dissimulé) dont les valeurs sont : Trame de 8,3 et chaîne 4,2 ; dans les deux cas le sens de la torsion est le même. La serge obtenue en France fut rejetée parce que les dimensions de cette pièce n’étaient pas valables, 3,7 x 2,1 mètres ne suffisent pas pour le project.
L’opération définitive de la fraude. Le traitement de la toile, comme on le sait aujourd’hui, commence à Novare (Italie) en mars 1927. On utilise une statue de fer soigneusement évidée et criblée (de trous) en forme de coquille. A l’intérieur sont disposées une série de résistances électriques régulées chacune par un rhéostat situés sur un grand panneau de marbre (extérieur) avec beaucoup d’autres manivelles (Ndt: pour rapprocher ou éloigner les résistances de la surface du linceul entourant la forme humaine de fer et reproduire les différences de roussi dues à la différence de distance du linceul au corps selon les zones ?). La statue aux dimensions d’un homme était placée en décubitus dorsal avec un circuit (? »vastago ») artificiellement refroidi par une circulation interne d’eau froide.
La toile est recouverte d’une autre plaque de soie sensibilisée avec de la gélatine et iodure d’argent déjà révélée avec l’original de Secondo Pia, et recouvre le linceul avec l’effigie. La température de celle-ci oscillait de quelques 248° de moyenne et à un maximum de 410°.
On obtint une empreinte de tissu qui fut réchauffée durant plusieurs mois au moyen d’une plaquette à résistance électrique. Sous la direction de Giovanni Coccioli, on prit grand soin que les tâches de sang n’imprègnent pas le tissu. Il ne fut pas possible d’obtenir un virage de couleur carmin dilué comme celui que laisse le sang liquide. On prit soin de dessiner sur les yeux deux pièces de monnaie (qui n’apparaissent pas sur l’original du sindon authentique), remplaçant ainsi les bandages.
La restauration pour perfectionner l’image dura quelques temps comme nous l’avons dit. La retouche finale utilisa la technique d’un frottement doux et le lavage d’une seule partie du drap au moyen de sueur diluée. Et aussi un lavage en d’autres zones avec des solutions à diverses concentration d’acide sulfurique dans l’eau.
Cette multiplicité de techniques a désorienté les spécialistes actuels, les techniciens s’acharnant à établir un seul mode d’explication du processus d’obtention de l’empreinte. Nous nous plaisons à féliciter les hommes peu nombreux et mal connus qui ont deviné : le Dr Casselli, Geofferey Ashe, le révérend P. Busnelli, le Dr Rogers et surtout le Dr Vittorio Delfino Pesce qui, avant tout en 1987, signala que le saint drap avait été contrefait au moyen d’un bas relief de métal chauffé à 230°.
La température élevée de l’incendie de Chambéry produisit sur le Sindon authentique une coloration de couleur brune et sépia qui s’explique parceque la température élevée produisit une distillation de la cellulose du lin qui diffusa dans la zone affectée.
La falsification des traces produites par l’incendie fut faite avec une grande maîtrise. On disposait de toiles semblables à celles utilisées par les soeurs Clarisses au cours du malheureux événement.
Cette falsification fut possible grâce à la technique rudimentaire de reproduction utilisée par Secondo Pia. Il était impossible pour un profane de voir la différence.
Au mois de novembre 1927 le cardinal Gasparri et un autre cardinal non identifié par nous donnèrent leur approbation à cette toile. La commission secrète se décide à informer Pie XI mais cette dernière ne réussit pas à considérer que le Pontife ne se refusera pas au change frauduleux. Enfin au début de l’année 1929, l’échange du Sindon se fait secrètement derrière le dos de la maison de Savoie propriétaire de la relique.
L’original est conservé dans la résidence du cardinal de Turin et son faux est mis sous clef sur l’autel de Bertola.
En l’an 1931 on attend avec inquiétude l’épreuve de Giuseppe Enrie mais aucune différence n’est détectée. L’imposture a réussi.
Les responsables ne peuvent soupçonner que l’analyse du Sindon sera aussi nette. Pierre Barbet ne pouvait imaginer qu’elle réussirait aussi bien. On présume que l’empreinte sera considérée comme un sous-produit de la vaporisation et la tache de sang comme une marque de la coagulation sanguine.
Puis le STURP (Shroud of Turin Research Project, programme de recherche sur le suaire de Turin) se lance avec enthousiasme dans l’étude.
Les scientifiques commencent l’étude, ignorants de ce qui a été forgé dans leur dos. Ainsi le Dr Max Frei révèle par la palynologie en 1973 la présence dans le Sindon d’échantillons de pollen.
Il se confirme qu’il était impossible au Moyen Age de reproduire la véritable image de la Passion avec les connaissances anatomo-physiologiques nulles de ce temps.
Pourtant existent de graves doutes : Ainsi Langton Fox estime qu’il est impossible de séparer un seul caillot de sang d’une pièce de drap sans détériorer l’impression laissée par la liqueur sanguine.
D’ailleurs, le Dr Walter Mac Crone (1980) alerte sur la découverte de fer (oxyde de ) dans les micro-fibrilles du visage, tout cela emplit de gène les investigateurs honnêtes qui ne soupçonnent pas la manœuvre.
L’examen du Sindon par la Nasa est concluant. L’empreinte est numérisée en trois dimensions en chaque point; C’est dire que chacun des points de l’image est représenté par deux coordonnées qui représentent la position (x,y) et l’ordonnée représente le ton ou la coloration de telle façon que le tout matérialise l’image. L’examen du VP-8 détermine finalement la tridimensionalité de l’image démontrant que la figure n’a pas été peinte et est le reflet des traces laissées par une » radiation » inconnue.
L’erreur reste flottante dans cette ambiance : si les traces ne sont pas biologiques ni le produit d’une corrosion, comme peut être par l’acide sulfurique, ni un effet du frottement, puisque qu’on ne découvre pas avec peine des reésidus de matière entre les fines fibres de tissu, quelle peut être la nature de l’image laissée par le corps ? Supposons que les hommes d’Ummo ne soient pas comme vous et ne soient pas ignorants de la fraude si magistralement réalisée.
Supposons qu’ils arrivent à la conclusion que l’empreinte laissée sur le Sindon n’est pas due à des causes naturelles et se refusent à l’idée qu’elle soit produite par la présence d’un corps surchauffé tel qu’une statue métallique semi-incandescente. Mais nous avons la certitude que le Saint drap date d’avant 1453. Ne pourrait-ce être à cette époque qu’aurait été contrefaite la figure de Jossuah (Jésus) au moyen d’une statue surchauffée, ce qui expliquerait le mystère? Mais l’effigie était accompagnée de connaissances de pathologie médicale incroyables pour l’époque. D’un autre côté la datation par le radiocarbone (14C) corrobore le soupçon.
Supposons qu’il n’y ait pas de datation ou qu’elle soit équivoque, nous ne pouvons que supposer qu’un corps radiant ait imprimé sa trace sur le sindon reproduisant une empreinte d’une photographie identique.
Vous-mêmes en viendriez à découvrir la fraude sans recourir du tout à notre aide. Oubliez notre origine et supposez que nous sommes des menteurs ou des malades mentaux atteints du délire systématique d’être d’origine extra-terrestre ou un groupe de plaisantins…
- les tests effectués à Zurich, Oxford, et Zurich (sic) au moyen de la spectrométrie de masse accélérée a donné un résultat définitif par datation du Carbone 14. On ne peut alléguer, en suivant des correspondants mal informés, que des corps étrangers de type carbonique ont modifié le résultat. Les fragments furent lavés avec soin avant la détermination et la rigueur avec laquelle fut réalisé l’examen n’offre pas le moindre doute. On ne peut non plus spéculer sur des radiations imaginaires qui auraient perturbé l’échantillon. Si c’était le cas, le radiocarbone tendrait à augmenter sa valeur et le résultat daterait le tissu d’avant Jésus. Pourquoi nier la valeur de l’avis scientifique du carbone 14 et accepter les conclusions qui vous conviennent ?
- Si les déterminations de 1988 sont certaines, la conclusion est que quelqu’un du XV e siècle a falsifié l’empreinte.
- Et ce » quelqu’un de médiéval » avait des connaissances médico-légales prodigieuses pour:
– Pour obtenir un négatif photographique parfait quand la technique de la photo était inconnue;
– Obtenir une image tridimensionnelle correcte avant l’analyse du XXè siècle par la Nasa;
– Commenétait en réalité la couronne d’épines;
– Connaître le point exact de la crucifixion dans l’espace nommé par vous de Desdot alors qu’à cette époque les peintres représentait l’enclouage dans la paume du supplicié;
– Connaître les marques exactes des tortures;
– Comment avoir osé peindre un Jésus nu à une époque où la pudeur interdisait une telle représentation;
– Comment pouvoir ouvoir contrefaire avec autant de précision et de connaissances érudites, du XXe siècle, une image semi-incandescente !.
Questionnez et étudiez à fond le cas et vous arriverez à comprendre, bien que vous nous méprisiez comme dénonciateurs anonymes.
La fin est très amère et elle est conclue en octobre 1988. Le cardinal Erdw. Cassidy osa informer pour la première fois un Pape, qui était en l’occurrence Jean Paul II, lequel entra en colère puis en dépression. Il convoqua immédiatement un noyau très réduit de cardinaux qui apprirent la fraude.
Le cardinal Tomko était partisan de dire la vérité puisqu’il ne sera pas possible de changer le Sindon. Jean Paul appuyait timidement sa position tandis que le cardinal Ratzinguer s’y opposa fermement alléguant des raisons gravissimes de scandale.
En outre, restent de plus les raisons qui ont provoqué l’imposture, la découverte qu’il n’y a pas eu mort sur la croix. Le motif était gravissime et la décision de verrouiller le scandale s’imposait, sa divulgation devant le déclencher immédiatement, contrairement à ce qui se passe dans des circonstances semblables. Ce fut le cardinal Ballestrero qui fut chargé de livrer un échantillon du tissu aux laboratoires.
ATTENTION
Lors des faits qui ont conduit au changement du Sindon, nous n’étions pas encore sur OYAGAA. Un pénible travail de reconstitution a patiemment rassemblé les pièces en une structure suffisamment consistante.
Heureusement nous avons pu obtenir beaucoup de détails de la fraude commise. Nombre de témoins sont morts sans avoir témoignés des faits cruciaux de la mystification. Ils nous pardonneront les omissions obligatoires. Ces témoins qui transcrivirent les faits ont été repérés au préalable.
Nous sommes arrivés à l’époque où Pie XII occupait le siège pontifical jusqu’en 1964 (Paul VI lui ayant succédé). Nous n’avions pas la preuve de la fraude . Nous sommes certains que les pontifes nommés n’étaient absolument pas impliqués . Seul nous reste quelques doutes par rapport à Pie XII, une série de ragots imputés sans les moindres conditions probatoires. Seule fut possible d’obtenir une information digne de foi de Jean Paul II.
La question qui demande un éclaircissement est la date exacte de l’imposture. Nous l’avons sans trop de certitude. Quelque jour du mois d’avril 1929 fut décidé le changement du Sindon. Ce fut la décision du Cardinal Gasparri, accompagné d’un autre compagnon de la curie, de changer le linceul. On considère la date de décembre 1928 comme constitutive de l’événement regrettable (Nous n’avons pu savoir le jour). C’est pourquoi nous considérons la date de 1928 comme celle où fut consommé le délit.
AVANT D’OUVRIR
Pour ouvrir le 20 novembre 1988 à dix-huit heures et dix minutes devant toute l’Assemblée
D518
Référence : | D518 |
Titre | La fraude du Sindon de Turin en 1929 |
Destinataire(s) et date(s) | Monsieur Barrenechea le 11/11/1988 |
Commentaires | Quasi identique à D490 |
UMMOAELEWEE
Nombre de copie 1
Messieurs, vous avez vu avec quelle préoccupation nous avons vu la Fraude commise sur OYAAGAA.
vous avez admiré à coup sûr notre indignation et vous vous demandez quelle est la raison de tant de scandale. Nous pouvons vous préciser que le thème nous préoccupe énormément, tellement que nous avons fait quelque chose d’aussi insolite que nous faire connaître publiquement. Cela est beaucoup plus grave que les violations des droits de l’homme en Argentine,Allemagne, Indonésie, Nazie avec l’extermination massive de Juifs, Chili, le meurtre de communistes héroïques par Joseph Staline, le génocide d’Arméniens par la Turquie et la froide extermination des aborigènes de la part des Etats Unis, pour donner quelques exemples, qui ont, vus dans une optique AAGEEEUWWE (intraduisible) un sens anti-évolutif (Nous ne nous référons pas à la souffrance humaine qui est infiniment plus grande).
Vous dites graphiquement que pour un clou on a perdu une bataille. Nous croyons que c’est la façon la plus clair de vous signifier jusqu’à quel point l’évolution se paralyse, en la renvoyant à l’époque gelée du moyen-âge. Vous comprendrez, que dans le cas où l’on clarifierait l’imposture, doucement se démonterait le gigantesque mythe de la passion de Jésus, réduisant l’infrastructure du Catholicisme, et son immense puissance et influence qui modulent la structure du système occidental (et avec lui, d’OYAAGAA toute entière). Ses racines sont si profondes qu’elles contaminent des branches marginales aussi différentes que le Protestantisme, les branches de la politique ultraconservatrice des USA ou les courants éducatifs qui corrompent l’encéphale des enfants, les contrôlant pour toujours.
L’anticléricalisme est un autre fruit issu du catholicisme et c’est une réaction logique aux abus perçus ou manifestes de sa doctrine. C’est donc le choc anaphylactique ou réaction mortelle aux antigènes sédimentés par les siècles d’assise doctrinale. L’anticlérical vascille entre ses attaques déséquilibrées, ou son indifférence devant des faits très dangereux pour le collectif de OYAAGGAA.
Ainsi le catholicisme se renforce face aux attaques sans aucune objectivité ou virulentes de ses ennemis. Les anticléricaux sont les meilleurs amis aveugles et inconscients que possèdent les doctrines pour leur tropisme. (Ndt: « trofismo » dans l’original, mot qui n’existe pas en espagnol. Interprétation possible: pourrait être un néologisme à partir de trophein « nourrir » . Cela signifierait qu’une doctrine se nourrit de, est renforcée par les attaques sectaires de ses adversaires idéologues).
Vous observez la lutte passionnée qui s’est déclarée sur le linceul, entre les cléricaux fanatiques qui désirent rendre patent un pseudo fait à l’encontre de la science officielle et les anticléricaux qui s’emploient passionnément à démontrer que TOUT est faux, ou ceux qui se montrent indifférents devant un événement par lequel se joue le Réseau Social terrestre tout entier. Ainsi s’explique que la relation signal-bruit cache la terrible vérité. Et l’on comprend ainsi que notre dénonciation se perde parmi le bruit de fond de ce vacarme.
Rien ne peut être comparable à l’hydre pourvue de multiples tentacules imaginés par certains anticléricaux, qui, du haut de leur pontificat, ont manipulé les masses au travers de leurs prêtres en soutanes. Ceci est la version la plus distordue du catholicisme dont l’image ainsi déformée les favorise. A l’occasion, un tel modèle serait un pâle reflet des faits.
La réalité est beaucoup plus complexe et profonde. L’église est formée parfois d’OEMMII héroïques et qui seraient disposés à donner leur vie au service des autres. Si l’on exclut les exceptions abondantes qui existent dans n’importe quel segment du réseau social de OYAGAA : Papes, Prélats, Prêtres et Fidèles mènent une vie consacrée à leurs idéaux, sans plus d’anomalies que celles qui existent dans n’importe lequel de vos encéphales. A l’occasion nous avons pu constaté des conduites sublimes qui ont un impact impressionnant sur le Réseau Social. Tous sont victimes sans le savoir de la WOAUAAYA (intraduisible, ce serait comme une perturbation dans la société due au degré évolutif inévitable).
Pour cela, la conduite dénoncée ici viole gravement L’EVOLUTION INEVITABLE de l’Histoire. Nous sommes atterrés que vous vous précipitez inconscients vers une régression, en augmentant l’entropie du système.
D520
Référence : | D520 |
Titre | CONDOLEANCE POUR LA MORT DU FILS DE DIONISIO GARRIDO |
Destinataire(s) et date(s) | Dionision Garrido BUENIDA 29/11/1988 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
Reçue le 22-11-1988
A mon frère Dionisio Garrido BUENIDA
Cher ami du groupe expéditionnaire tout entier,
Je ne vous ai jamais rencontré, mais mes frères se souviennent de vous avec une émotion frisonnante, franche, terriblement sincère, comme d’une relation semblable à aucune autre de toutes nos relations avec Oyagâ (la planète Terre).
Je ne vous connais pas mais ailleurs en un lieu lointain, j’évoque avec une certaine nostalgie, perdue dans les brumes sidérales, un souvenir que ne peut éteindre ni les distances ni les particules microscopiques de poussière galactique qui nous séparent.
Il est consolant d’avoir conscience qu’au travers de myriades de kilomètres, deux cerveaux comme le vôtre et celui de Déï 98, syntonisent leurs pensées pour vibrer dans l’amour du Cosmos.
Vous sublimez votre affectivité au plus profond de votre être au travers de peintures réunies dans une salle d’exposition. Et avec le sentiment vivant dans son rêve profond de rompre ce mystère inscrutable, là bas en terres lointaines, je trace sur votre main notre symbole qui nous rapproche plus profondément de notre calme environnement.
Et nous avons écouté les voix attristées presques inaudibles, sans entendre au moins une voix d’espoir, suppliant que nous portions secours. Sans que le grand silence se voit rompu par une parole aimable, sans que le baume de la vie se rappelle d’une lumière qui s’éteint lentement.
Et doux sera dans le lointain, le jour où votre bouaouâ (ame) se fondra en une étreinte serrée avec celle de votre fils aimé. Cette aurore s’illuminera irradiante pour toujours.
La soussignée, pleine d’attention, au nom de tous les expéditionnaires.
D539
UMMOAELEUUE
Madame l’épouse de Jorge Barrenechea nommée Carmen Maria.
Nous vous adressons cette lettre mais vous pouvez la reproduire pour l’envoyer à vos frères suivants :
DIONISIO GARRIDO
JORGE BARRENECHEA
RAFAEL FARIOLS (Barcelone)
JUAN DOMINGUEZ
JUAN AGUIRRE
JOSE JORDAN
ALBERTO BORRAS
LUIS JIMENEZ
JOAQUIN MARTINEZ
JAVIER MUELA
ANTONIO ALBADALEJO (Murcia)
FRANCISCO MEJORADA
JULIAN BARRENECHEA
HILTRUD NORDLIN (Barcelone)
- GARCIA MARTINEZ (Alicante)
Mais je voudrais hommes de la Terre que, tenant compte que dans votre pays vous seuls dirigez les destins de la structure sociale et que c’est la coutume que les lettres vous soient adressées à vos noms, vous considériez que ce rapport est surtout adressé spécialement à mes « Sœurs de sexe » les femmes. Cette fois, je peux les appeler sœurs quoiqu’elles appartiennent à un autre réseau social.
Que les épouses et les couples des OEMII cités considèrent que ce message n’appartient pas en propriété à leurs mâles mais à elles.
UMMOAELEUEE Adressée à l’épouse de
Langue Espagnol Jorge Barrenechea et à lui-même
Nombre de copies UNE que nous faisons dépositaire.
Monsieur Jorge,
Au cours de ces derniers jours nous avons été interrogés par vous concernant les thèmes très diversifiés. L’exposition de chacun d’eux occuperait énormément de feuilles de papier. Mais il nous a semblé observer un niveau de forte émotivité dans la question concernant l’arrêt volontaire de la phase de gestation de l’humain naissant.
Nous savons que parmi les Hommes de la Terre susciter cette question génère de hauts niveaux d’hypersensibilité émotionnelle et que vous désireriez notre opinion s’y référant, pensant que cela contribuerait à clarifier la nébuleuse polémique suscitée sur OYAAGAA concernant la légitimité ou l’illégalité de cet arrêt.
Avant tout nous voulons vous répéter avec une transparence sans équivoque que nous ne devons pas nous immiscer dans vos débats de caractère éthique. Nos concepts ne sont valables que pour notre communauté sur l’astre froid UMMO et ne doivent pas servir à établir des modèles moraux de comportement parmi les humains de l’astre froid Terre.
Pour comprendre notre idée morale sur le problème, vous devez d’abord renoncer à une soumission inconditionnelle à notre doctrine.
L’unique manière de focaliser la question sera : Que ferions nous si avec nos actuels schémas bio-éthiques nous avions à faire face à une situation semblable à celle de la Terre (Haut indice d’expansion démographique, risque élevé pour la mère et le conçu dans la phase embryologique, sombres perspectives pour la vie future de l’enfant naissant, pauvre niveau biotechnique dans l’assistance à la gestation, pressions idéologiques à caractère financier, religieux et politique…
Pour comprendre notre idée morale concernant la destruction volontaire du zygote diploïde, ou de l’embryon ou du fœtus au cours de son implantation utérine dans la YIIE (Femme) nous devons d’abord éclairer quelques concepts de base sur la vie, sur la bioéthique et surtout les facteurs transcendants liés à l’organisme.
Nous devons préciser que la supposition d’arrêt de la grossesse humaine est quasi inconnue sur UMMO à notre époque. Le contrôle biologique sur le génome de l’enfant, nos possibilités d’assister le cours de la gestation par la biotechnologie (Qui ne se fait jamais « In Vitro » c’est à dire en milieu externe à une matrice dans la YIE malgré la possibilité de développement de l’être en cours de gestation non seulement dans un équipement de laboratoire mais aussi implanté dans une réelle matrice biologique séparée de la femme qui sont parfaitement viables pour nos embryologistes) écarte toute la gamme de risques qui mènent à une déformation tératologique dans l’être à naître et d’atteinte pathologique pour la mère.
La situation sur OYAAUMMO n’est absolument pas comparable à celle de OYAAGAA (Ce mot signifie Astre froid du carré. C’est ainsi que nous appelons la Terre parce que les premiers signaux électromagnétiques reçus de vous rappelaient la figure d’un carré).
Nous pensons que le thème de la mort librement induite d’un être à naître quand il n’est pas encore sorti de l’utérus maternel fait sur la Terre l’objet d’une controverse passionnée, suscitant chez certains OEMMII des cris de douleur et chez d’autres de l’indignation pour le manque de liberté de la YIIE (FEMME) de disposer du fruit de sa matrice parce que toutes les parties du litige idéologique ont leur part de raison.
Définissons d’abord un principe bioéthique. Toute consommation de mort d’un être en gestation (1) (dans n’importe quelle phase de l’être en gestation; de son état de zygote diploïde jusqu’à sa phase à caractère fœtal développé) est rejetable comme violation des lois de WOA pour autant que cet anéantissement se réalise frivolement et sans nécessité, quand on ne craint pas des conséquences nocives dans le futur l’être à naître et quand la grossesse a été voulue et assumée avant que la fécondation ne soit consommée. Si la naissance et la gestation n’aura pas d’autres conséquences nocives pour la mère, pour le père ou la société, d’ordre supérieur à celles qui dérivent du préjudice à un processus néguentropique comme l’est l’embryogenèse.
Nous pensons que la discussion entre vous se centre sur deux concepts de base. Vous élaborez des définissions très troubles concernant les deux notions de VIE et de PERSONNE. qui est interprétée de façon différente par les laïques et par les humains religieux et croyants.
Pour nous, la vie se définit comme un système ou réseau moléculaire qui suit un principe néguentropique (Entropie décroissante dans le temps) et qui utilise pour ses réactions de contrôle du milieu entropique et néguentropique la codification et l’information engrammée au niveau quantique, biomoléculaire et mesophysique (niveau quantique sur atomes de gaz noble krypton, biomoléculaire au niveau des protéines et des acides nucléiques , mesophysique au niveau des microréseaux neuronaux.)
Tout être vivant est en correspondance de façon biunivoque avec deux Univers extrêmes dans la famille de Cosmos avec des vitesses de lumière C0, C1, C2, C3….Cn (Ces Univers extrêmes étant de masse nulle et de masse infinie respectivement)
La communication avec l’Univers de masse nulle n’est possible que pour l’OEMMII. C’est par ceci que nous nous différencions précisément des organismes NON HUMAINS comme dans le cas de la Terre un protozoaire ou un félin, une spore ou un rein, car nous n’appliquons pas le terme HUMAIN à un organe comme la rate ou le poumon de l’homme mais à la totalité de l’OEMII
Pour nous un organe isolé comme le tronc nerveux, le cervelet ou la vésicule biliaire, constituent des réseaux similaires à un mammifère ou à un conifère.
La vie est donc un concept holistique qui intègre un processus matériel, qui s’enrichit en complexité croissante, des entités dont le substrat capable d’engrammer de l’information est logé dans deux autres cosmos et des microréseaux atomiques dont la fonction est de décoder et de codifier. Emettre et recevoir de l’information intercosmique. Le dénominateur commun de tous ces facteurs est la néguentropie. Nous pourrions cependant tenter une définition simplifiée de la VIE
LA VIE EST NEGUENTROPIE
LA MORT est ENTROPIE.
Les caractéristiques les plus accusées sans doute d’un RESEAU biophysique VIVANT sont Primo : ENGRAMMER DE L’INFORMATION AU NIVEAU MESOPHYSIQUE ET MICROBIOLOGIQUE. Secundo : Se reproduire par ses moyens propres. Tercio : REAGIR face au milieu après captation de l’information. Tercio Traiter l’information. Quarto : METABOLISER la matière de l’extérieur.
Le concept de PERSONNE n’a jamais été défini sur UMMO. C’est une notion originaire de la Terre qui nous a surpris quand nous sommes venus sur votre Astre froid. En effet. Dans le Domaine scientifique il existe des concepts très diaphanes qui peuvent être compris par un Espagnol, un Anglo-Saxon ou un de mes frères de UMMO. Ainsi, une série de phonèmes comme «MICROONDES » « MICROWAVE » (« OOAYE SAUUA ») sont des mots qui dans les diverses langues ont une signification définie. Des oscillations de période très courte et une longueur d’onde centimétrique ou métrique.
Un physicien de n’importe quel pays de la Terre n’aura pas de difficulté pour comprendre ces (notions-ci) et d’autres notions comme « électron » ou « rotationnel » N’importe quel biologiste aura une idée suffisamment claire concernant ce qui s’entend par « Blastomère » ou « cordé ». Il ne s’agit pas de concepts conventionnels mais de correspondances biunivoques entre des paroles et des entités physicobiologiques réelles.
Mais le concept sémantique diffère quand il s’agit de symboles, de codes conventionnels ou de concepts juridiques. Vous utilisez comme symbole de danger le ROUGE nous le VIOLET, le ROSACE OU LE LILAS
Les nazis de l’Allemagne utilisaient la croix gammée et les concepts juridiques de « personne » « sévices » « époux » « Espace aérien » « Droit Naturel » sont si vagues et évanescents qu’ils recoivent des traitements antagoniques dans le cadre de divers codes législatifs séparés dans l’espace et le temps.
De cette manière, une notion comme PERSONNE ne se définit pas par elle-même sans qu’une commission d’expert juristes ou théologiens CONVIENNENT à une époque et dans un lieu spécifiques de lui octroyer une signification capricieuse.
C’est ici que l’être en gestation est considéré par certaines législations comme « objet de Droit » et qu’on lui refuse tout statut juridique dans d’autres cadres légaux.
Sommes-nous des personnes pour les juristes de la Terre, nous les frères de UMMO ?
Il est évident que nous n’avons pas de personnalité juridique comme les insectes et les champignons n’en ont pas. N’importe quel scientifique de la Terre, s’il nous capturait, pourrait faire de nous l’objet de ses expériences biologiques comme si nous étions des cobayes sans enfreindre aucune loi, car aux yeux du législateur les OEMMII d’un autre astre planétaire n’entrent pas dans son concept de personnes.
Toute discussion sur le fœtus est-il oui ou non une PERSONNE est aussi stérile et incongrue que de commencer une controverse sur le « danger est rouge ou lilas » Les juristes croyants affirmeront que l’embryon est une « personne », influencés par leur foi religieuse et les législateurs laïques matérialistes préconiseront qu’on ne peut lui concéder ce statut aussi longtemps que l’être à naître ne sort pas de la cavité utérine. Le sujet ne s’épuiserait pas car il y aurait un consensus généralisé pour (en faveur) ou contre puisqu’il ne cesserait pas de se convertir en une convention sans aucune corrélation scientifique,
Cela n’apporte pas non plus de lumière de définir l’être en gestation en termes associés à la VIE HUMAINE ou à la NON-VIE.
LA VIE HUMAINE est toute portion molaire ou moléculaire de tissus humain (un muscle ou le colon sont des portions molaires. Quelques cellules épithéliales sont des portions moléculaires.) En comprenant comme humaine celle dans le noyau cellulaire desquelles existent 46 chromosomes humains.
Mais un de nos doigts ou une cellule du tissu conjonctif du derme contiennent des chromosomes humains et personne ne doute qu’on peut extirper un pouce ou extraire une simple biopsie sans qu’on ne viole la loi morale.
Si l’on objecte que l’embryon ou le fœtus dans l’utérus maternel maintient dans ses noyaux des génomes distincts de ceux de la mère, la question continuera sans s’éclairer car dans le cas d’une greffe de rein ou d’une portion de l’épiderme provenant d’une autre personne la charge chromosomique est distincte. La loi sera-t-elle violée en accusant d’assassinat celui qui, pour des nécessités cliniques, en vient à extirper le tissus implanté ?
Comme exemples paraboliques de l’absurde qu’on encourt avec ces arguments fondés sur le concept de la vie humaine, imaginez deux situations qui pourraient se trouver dans l’avenir de la Terre pour autant que la Biotechnique ait acquis le développement suffisant.
Supposez qu’ils extraient d’une YIEE prisonnière qui purge un délit commis par la privation de liberté, une cellule de son corps par une biopsie. Ensuite en divisant par deux sa charge chromosomique et en sélectionnant les chromosomes ils fondent le semi-génome avec celui d’un spermatozoïde masculin au sein d’un ovule étranger vide d’ADN. Suit ensuite un processus de maturation en laboratoire et l’acte suivant, au moyen d’un simple intervention, avec préalable anesthésie et conditionnement du soma féminin pour qu’il n’y ait pas de rejet immunologique, ils implantent l’embryon dans l’utérus de la prisonnière .
Violera-t-elle la loi si une fois en liberté, si elle extirpe l’enfant non désiré ?
Dans une autre supposition un biotechnicien réussit à synthétiser au laboratoire comme nous l’avons fait une grande chaîne de gènes correspondant à celle l’être humain. Cela fait de nombreuses années que nous sur UMMO pouvons fondre une grande séquence de nucléotides pour synthétiser des êtres humains bien que dans la pratique le processus se réduit à des études biotechniques sans autres conséquences.
Il est évident que ce scientifique peut injecter cette charge dans un ovule ce qui en résumé constitue la structure d’un zygote diploïde.
Se poserait-il un grave problème bioéthique si le scientifique qui vient à bout de la création des chromosomes humains anéantit son œuvre par la suite ?
De cette façon, la controverse entre croyants et sceptiques dans le Réseau Social terrestre est tout à fait insoluble alors qu’on se centre sur des problèmes du genre est-ce que le fœtus est oui ou non une personne, est-il oui ou non une Vie humaine.
Mais pour les hommes qui acceptent un credo religieux, le problème se centre sur une autre importante question. Quand l’âme s’associe-t-elle à l’être à naître? Au moment de la fécondation ? Au moment où l’ancien zygote se transforme en morula ? Quand dans l’embryon commencent à se différencier les divers tissus ?
Pour certains croyants de la Terre, ils croient qu’il est clair que le zygote est relié à l’âme. C’est une affirmation téméraire dans l’état de la recherche scientifique et théologique qui ne s’appuie que sur des spéculations scolastiques sans aucun fondement empirique. Mais il est en outre clair que pour l’agnostique ce concept est vide de contenu. Le Dualiste croit à l’existence de l’âme. Le moniste prend en compte d’abondantes preuves du fait que ce que les croyants appellent esprit n’est autre chose qu’un processus mental qui peut s’expliquer par l’intermédiaire d’un traitement de données via le réseau neuronal du cerveau et que la conscience est une émergence dérivée de la complexité du système.
De cette manière, l’hypothèse que l’embryon est un être humain complet avec un statut juridique de Personne constitue un acte de foi qui ne peut pas être imposé en tant que tel aux non croyants par les croyants dogmatiques. Pour cela nous vous affirmons que la polémique est stérile et ne conduit à aucune solution avalisée par la Science.
Nous pouvons prouver scientifiquement que peu d’heures après la formation du zygote diploïde (fécondation) se forme le OEMBUAAUU (O) un réseau du gaz krypton. (séquence d’atomes non reliés par des connexions de valence qui met l’être à naître en contact avec son BUUAUAA (B) (AME) car déjà avant il avait une connexion comme entité vivante qui était, avec l’Univers de masse infinie qui engramme de l’information, fournie à tous les êtres vivants du multicosmos.
Cette affirmation semble donner raison aux croyants et c’est ainsi en partie; mais pas avant de l’avoir amplement nuancée.
En premier lieu, et au contraire de vous, nous affirmons que chaque être vivant depuis le viroïde jusqu’au mammifère complexe comme un orang-outang de la Terre en passant par toutes les cellules d’un homme sont associées par relation biunivoque à une AME bien que seul l’OEMII peut se connecter avec elle au travers des émetteurs-récepteurs de Krypton.
D’autre part, notre concept de l’Ame est singulièrement différent de celui des penseurs scolastiques et néo-scolastiques. Pour eux et d’autres croyants de religions différentes, l’âme ou l’esprit est une entité intemporelle, adimensionnelle immatérielle qui ne peut donc pas ETRE dans un continuum spatio-temporel et qui par conséquent n’a pas de Matière Energie et parties.
Un tel concept manque de logique parce qu’on ne comprend pas qu’une entité peut ainsi conscientiser de l’information qui est une entité quantifiée et donc « formée de parties ». Les dualistes religieux se voient dans l’impossibilité d’expliquer pourquoi, quand un OEMII souffre de lipothymie ou fait l’expérience d’une anesthésie, l’âme si elle existe cesse de conscientiser les images et les souvenirs. D’autre part une entité indivisible ne peut progresser ni varier sous forme d’états successifs. La contradiction est si diaphane qu’il nous étonne que n’importe quel scientifique intelligent de la Terre rejette cette notion comme superstitieuse et illogique.
Le Paradigme scientifique de UMMMO envisage un autre modèle très différent.
Un réseau de IBOZSOO UHUU peut se conformer comme particules atomiques, comme Temps, comme espace, mais aussi comme simple substrat de l’information capable de l’engrammer. De cette manière, et au contraire de ce que vous croyez, l’information ne doit pas nécessairement être portée par un flux d’énergie ou emmagasinée dans un substrat de matière.
Ceci ne survient que dans les Univers de masse non nulle. Il existe un COSMOS de masse NULLE capable d’emmagasiner des données sur le fondement non matériel formé par de longues chaînes d’I.U. Pour nous (B.) l’AME ne transcende pas l’espace et le temps. Elle jouit d’une localisation et il existe la possibilité constatée scientifiquement par nous qu’elle peut transférer de l’information avec notre Univers.
L’âme n’est pas seulement la RES COGITANS que postule Descartes. L’âme ne pense pas. LE CERVEAU PENSE. L’âme emmagasine des données et gouverne par inter action entre des séquences d’I.U. et des réseaux neuronaux corticaux, le comportement spatio-temporel de l’Organisme humain (VOLONTE)
Le (B.) Est capable de conscientiser seulement si les émetteurs-récepteurs du Krypton le mettent en relation avec le cerveau humain. Quand le corps humain s’établit une autre connexion de l’âme avec la (B.B=) PSYCHE COLLECTIVE localisée dans un autre Cosmos l’âme pourra poursuivre en conscientisant. C’est pourquoi quand vous êtes anesthésiés la connexion se perd (c’est comme si vous éteigniez votre émetteur récepteur) et il semble qu’il existerait une mort de l’esprit. Est-ce que par hasard un disque engrammé de musique peut manifester son contenu si on le déconnecte de son phono-capteur et de la chaîne d’amplification ou de transduction ?
Notre concept d’ »être humain » n’est pas dichotomique; se décidant en terme d’HOMME NON HOMME Il est surprenant que quelques OEMII de la Terre se laissent subjuguer par des schémas manichéens ou de simplicité dichotomique quand vos propres Ecoles philosophiques et l’Observation quotidienne de l’Univers vous révèle à chaque instant que les choses présentent une gamme de valeurs très complexes (Entre blanc et noir existe une constellation très compliquée et quantifiée de tons chromatiques et de gris.
Exposons notre idée avec une parabole.
Quand un architecte de la Terre dessine le projet de base d’un édifice, il établit des phases (des fois pas trop différenciées) depuis l’instant du tracé des plans et la reconsidération du terrain, la construction des fondations… jusqu’à la construction des divers piliers et fers forgés des divers niveaux, le chaînage de la toiture et la construction des huisseries. C’est tout un processus compliqué jusqu’à la réception de l’édifice et sa mise à la Lumière (l’Habiter).
Quand pouvez-vous dire qu’IL Y A EDIFICE ou NON EDIFICE ? en tenant compte que mille détails de celui-ci comme l’installation de sanitaires et d’appliques diverses durant toute sa vie utile ? (jamais « un « système » n’est entièrement terminé »)
Si ceci survient dans un réseau aussi simple qu’une structure de béton armé, comment est-il possible d’appliquer le critère restrictif HOMME NON-HOMME à un être aussi complexe que l’OEMII ?
Seule une conception holistique comme la nôtre peut éclairer la question si nébuleuse pour les Hommes de la Terre.
Il faut hiérarchiser les situations ; en les paramétrant. Pour nous il est clair qu’il est plus grave, vu d’une perspective bioéthique, de tuer un mammifère de la Terre déjà né, capable de souffrir, et qui accomplit DEJA une fonction dans la biomasse planétaire, qui jouit en outre d’une grande complexité organisatrice (Néguentropie) qu’une simple morula humaine qui n’est rien qu’un être en puissance. (N’oubliez pas que le chien de la terre aussi est un être de la Terre en puissance de pouvoir expérimenter une mutation transformant son espèce en ENTITE EN PUISSANCE pour une possible évolution vers les êtres supérieurs)
La gravité morale de l’interruption de la grossesse doit à l’évidence être hiérarchisée. Il est plus grave de détruire un embryon que d’anéantir un zygote diploïde, il est plus grave de tuer le fœtus que d’extirper un embryon et la législation Elle-même de la Terre hiérarchise ces hypothèses.
Qu’est-ce qui est plus grave pour un tribunal de la Terre, détruire les plans d’un édifice ou miner la structure déjà terminée de la structure? Peut-on dire que celui qui détruit les fondations d’une œuvre Détruit un édifice ? Peut-on affirmer que celui qui jugule l’implantation de l’ovule récemment fécondé assassine une PERSONNE ?
Les quelques fanatiques détracteurs de l’interruption volontaire de la grossesse ne s’aperçoivent-ils pas que dans beaucoup d’hypothèses la conséquence sociale, physiologique et mentale (pour l’être à naître et pour la mère) de la naissance est plus grave que la présumée infraction bioéthique qui suit toute perturbation d’un processus néguentropique ?
Ne comprennent-ils pas qu’ils devraient mettre autant de zèle à dénoncer les violations des droits aussi graves que la torture, la guerre, la violation de l’intimité de l’homme et sa liberté, son droit au travail, la famine et la misère de millions d’Oemmii qui manquent d’alimentation précisément par une super inflation de la population ?
Notre Bioéthique a comme fondement la défense du Flux néguentropique dans un Univers où la norme est le courant contraire entropique. Le principe de détruire un organisme est une violation de la loi divine mais cela ne peut pas s’exprimer ainsi d’une manière simpliste sans compter avec les autres interrelations et conséquences précisément pour la néguentropie globale du système. D’une autre manière, tuer des bactéries, sacrifier une Génisse sur Terre constitueraient une violation de la Loi morale. Mais n’importe laquelle d’entre vous peut comprendre que les bénéfices qui dérivent de ces actes sont évidemment licites par les bénéfices qu’ils entraînent.
Tuer un embryon humain par caprice, combattre avec souffrance pour l’animal un Taureau sur une place espagnole, permettre que des millions d’enfants meurent de famine, utiliser une bombe dans un attentat terroriste sont clairement des violations de la Loi morale.
C’est de vous que relève la compétence de hiérarchiser la gravité de ces faits abominables et de nombreux autres qui perturbent le flux néguentropique.
La Néguentropie dans un océan d’Entropie est comme une espèce rare qu’il faut protéger dans le MULTICOSMOS. De cela dépend que celle-ci se perpétue ou meurt. Cette affirmation cryptique pour quelques lecteurs de cette lettre a une signification révélée à d’autres de vos Frères hommes de OYAAGAA (Terre) dans des rapports précédents.
Nous vous souhaitons seulement de la Lumière mentale pour élucider sans passion ces grandes vérités, avec l’effort de vos scientifiques et penseurs.
Il ne nous reste qu’à vous regarder saisis et respectueux attristés par l’océan d’ignorance qui vous entoure. C’est naturel qu’il en soit ainsi. Vous êtes encore dans une phase précoce de l’évolution de l’OEMII. Un jour, l’aube d’une nouvelle ère illuminera de ses effluves phosphorescents l’obscurité de vos cerveaux tourmentés.
Je désire être Votre amie fidèle Carmen Maria, de votre époux et de vos frères. C’est à vous, en tant que femme qui a parfois souffert l’incompréhension masculine, que cette lettre est adressée. Mon nom est INDOO 33 Fille de INDOO 29
Emue, je pose ma main sur votre auguste poitrine
D540
UMMMOAELEUEE
N° de copies : Une
Langue : Espagnol
DÉDIÉ À TOUTES LES FEMMES DE L’ASTRE FROID TERRE
Femmes de la TERRE, Il nous serait extrêmement agréable que vous posiez votre main sur notre poitrine en signe d’alliance spirituelle, cette lettre adressée aux YIIE citées est en réalité dédiée à toutes les femmes de la TERRE. Nous, hommes et femmes d’UMMO, avons eu l’occasion de fréquenter vos sœurs. Franchissant limites et exceptions, nous pouvons constater que vous êtes plus compréhensives, cordiales et sensibles que vos frères les hommes.
Nous aimerions que ce message soit comme une longue lamentation de douleur pour l’injuste discrimination que subissent vos sœurs sur OYAAGAA .
Habitués à un astre froid où l’égalité des droits et des compétences concerne symétriquement les deux sexes ; nous sommes tristes en observant le degré de servitude auquel est soumis le collectif féminin, les racines sociales de ce phénomène nous intéressent tant que nous procédons à la réalisation d’une analyse historique de cette soumission. Nous avons été si abasourdis par le traitement vexatoire infligé à vos YIIE que nous n’avons même pas osé envoyer de messages qu’aux femmes célibataires par crainte de blesser les sentiments masculins et de nous aliéner votre amitié.
Mais nous ne pouvons passer plus de temps sans vous révéler ce que nous ressentons au sujet de ce traitement infamant. Nous avons conscience de ne pas interférer dans l’évolution sociale de la Terre puisque nos propos ne font que réitérer et confirmer ce que d’autres penseurs antimachistes de la Terre ont répété à satiété en dénonçant cette injuste discrimination sexuelle.
Nous le faisons pour que les lecteurs de ce message sachent au moins que nous: Oemii d’un astre lointain ressentons de l’aversion et une profonde tristesse envers le procédé de beaucoup d’hommes, à qui il ne suffit pas de faire publiquement étalage du sentiment de se vanter de ne pas maltraiter, dans les gestes ou les mots, l’épouse ou la compagne. Beaucoup d’hommes bien élevés, insérés dans le réseau social, des hommes comme vous qui lisez notre lettre, n’avaient jamais recouru à la répugnante pratique allant jusqu’à blesser d’insultes et d’humiliations publiques ; mais il existe beaucoup de façons d’humilier une femme et de rabaisser sa dignité intime, à la fois non subtiles et aussi blessantes que les formes évidentes de perfidie et de sévices, car la souffrance morale qu’elles provoquent chez les femmes sensibles atteint des niveaux insupportables.
En violant gravement (contre la fluide Néguentropie de l’Univers) les lois bioéthiques en ne considèrant pas votre compagne comme une égale qui mérite un profond respect précisément pour sa faiblesse somatique.
L’homme qui déprécie ce principe fait étalage de sa lâcheté puisqu’il profite que sa partenaire comporte une structure anatomophysiologique qui la rend plus perméable aux attaques du plus fort, et bien que parfois elle soit plus résistante et domine physiquement l’homme, bien qu’aussi elle soit victime de l’agression subtile qu’elle subit provenant du reste du réseau social dont les modèles de conduite sont misogynes.
L’origine de cette soumission ignominieuse paraît transparente ; déjà à la période correspondant à l’éclosion sur OYAAGAA de celui que vous appelez Homo habilis, le mâle tuait parfois la femelle après les premiers partages pour disputer le droit aux rares aliments.
C’est à partir d’une phase évolutive; Homo Néanderthalien, quand la femme de la Terre commença à être subjuguée « intellectuellement » par le mâle, l’accouchement avec ses bouleversements associés, la menstruation, le travail, les qualités physiques diminuées et de forme répulsivement égoïste ; l’homme va profiter des longues phases d’incapacité de l’YIEE pour imposer sa domination tyrannique.
La réalité est la même dans toutes les cultures et a pour racines les causes soulignées. Vous avez établi des castes soumettant les plus faibles, plus physiquement que non intellectuellement, à être le jouet passif de la dominance indigne de vos compagnons d’un autre signe gonadique.
Si aucun ne fut esclave comme elle, la YIIE a été serve et vassale, marionnette et diane désarmée de vos moqueries et de vos mépris, et parfois de vos agressions physiques docilement supportées.
Vous les hommes de la Terre avez monopolisé l’histoire, vous avez écrit et déformé la véritable histoire de l’étouffement infamant de la YIIE par le compagnon mâle. Mais nous avons déterré beaucoup de témoignages, nous avons réuni et découvert que de toutes les chroniques des iniquités commises dans les siècles passés par les OEMII de la Terre contre les siens, aucune n’égale en cruauté raffinée celle de la soumission de la femme par son partenaire.
Les races persécutées pouvaient s‘unir et lutter contre leurs prédateurs, les membres des différentes castes parvenaient à une affinité spirituelle et à la sublimation pour supporter la pression des êtres supérieurs, les esclaves purent en de multiples occasions s’unir contre leurs propriétaires… Mais la femme était un être isolé handicapé par une éducation imposée par les pères pour se révolter contre son triste destin. Seulement au XIXe siècle elles purent s’unir dans des courants suffragistes pour réclamer leurs droits civils, jusque là l’état, la patrie, le pouvoir, la tutelle des pères et des maris, les distinctes religions, et églises, étaient des établissements, qui pesaient comme des dalles sur les personnes fragiles des YIIEE et interdisaient tout réflexe de fuite et de libération.
Les hommes n’ont créé le mythe du matriarcat. Dans aucune phase de la longue histoire de la Terre, la femme n’a pu dominer le mâle seulement dans des cas ponctuels, des groupes de femme ont formé des escadrons guerriers d’amazones, parfois très cruels, comme mécanisme réflexe défensif, c’est seulement dans des cas isolés et en milieu rural qu’une femme s’est imposée comme matriarche ou Reine, comme dominatrice d’un réseau social, où paradoxalement les autres femmes ne furent pas délivrées de leur servitude bien que l’une d’elles occupât le trône.
Mais de toutes les cultures machistes, aucune ne dépasse en fanatisme antiféministe comme la Judéochrétienne. Elle était d’autant plus coupable quand, comme la grecque, elle conformait une forme de pensée beaucoup plus élaborée et supérieure par-dessus d’autres civilisations plus en retard, d’autant plus coupable qu’elle s’appuyait sur le monothéisme, forme de religion plus élaborée et intellectuelle, et qui pourtant était plus obligée de répudier toute manifestation d’esclavagisme, incluse celle de l’homme sur la femme.
Mais l’image de Dieu (JEHOVA) dans le peuple d’Israël est, par un premier blasphème, présenté dans les écritures comme une figure monothéiste cruelle qui ordonna à son peuple d’exterminer sans pitié femmes hommes et enfants vivants sur la vieille terre de Canaa et qui légitimement s’affrontèrent aux envahisseurs des douze tribus.
Jéhovah est un être masculin dominant tyrannique sans miséricorde, très loin de l’idée de WOA . L’unique apport intelligent de ce peuple qui s’invente un Dieu vengeur est la rupture avec l’aberration du polythéisme
Non seulement le peuple Juif déforme le concept ontologique de Dieu, le faisant apparaître comme un père vengeur qui en outre permet que ses créatures soient tentées par Satan, vieux reflet de l’Arizdman del Mazdeismo mais qui ensuite développe une grande constellation de mythes et permet l’assassinat de Jésus, déformant ainsi l’histoire de sa vie comme si elle n’était pas suffisante.
Le peuple Juif pousse le mépris de la femme à des extrêmes vraiment répugnants, la polygamie des patriarches leur permet de répudier leurs femmes puisque tout compte fait elles descendent selon le mythe hébreu d’une côte d’Adam.
Dans le Lévitique, on peut lire que la femme qui subit un flux de sang menstruel reste sept jour soumise à l’impureté, qui la touche reste impur jusqu’à la nuit, tout objet qu’elle touche sera également impur.
La femme adultère lapidée, les hébreux puritains proclament encore béni soit le Seigneur de ne pas nous avoir fait femmes.
Il n’est donc pas étrange que l’Église Catholique qui assume toute la loi écrite d’Israël accepte et favorise la haine subconsciente que lui inspire la femme, la misogynie et l‘aversion des prétendus Saints-Pères pour la figure féminine est réellement pathologique.
St Augustin va jusqu’à dire que la femme est une bête qui n’est ni ferme ni stable, et St Thomas d’Aquin dans sa grande œuvre se réfère à la compagne de l’homme en termes très dépréciatifs et dit ainsi » que la femme est un homme manqué, un être occasionnel incomplet, l’homme est la tête de la femme comme le Christ est la tête de l’homme. » et St Jean Chrysostome souligne qu’il n’existe au monde aucune bête sauvage aussi destructive que la femme, et il n’est pas nécessaire que nous vous répétions les exhortations que fait St Paul à la femme pour qu’elle se soumette au joug masculin. Tertullien arrive à s’exclamer » la femme est la force du démon « .
Le mépris des théologiens chrétiens envers le sexe féminin parvient à des extrémités aussi aberrantes pour que quelques-uns d’entre eux osent apporter au Conseil conciliaire l’idée que la femme est dépourvue d’âme. L’image mythique de la femme tentatrice dans le paradis a fait des ravages idéologiques chez ces hommes fanatiques imbus d’une interprétation littérale de la Bible. Il n’est pas étrange que la misogynie du clerc catholique débouche sur une des plus terrifiantes persécutions qu’ait connu l’Histoire d’OYAAGAA, des milliers de pauvres vieilles, adolescentes et jeunes furent brûlées sur le bûcher, torturées en présence de prêtres sadiques sur la terrible et absurde accusation d’avoir des relations sexuelles avec des incubes diaboliques. La responsable directe de ces horribles morts fut sans doute l’Église catholique qui de cette manière s’est dépréciée pour toujours. Dans les années de la dictature argentine encore, les prêtres catholiques assistaient et collaboraient au travail des militaires arrivant à l’extrême à appliquer la gégène à des nouveau-nés en présence de leurs mères. Ce procédé paraissait correct à l’Église, au point que Monseigneur Medina flattait la junte militaire déclarant que la torture est toujours licite à condition de ne pas dépasser 24 heures, les militaires catholiques argentins avec l’autorisation explicite de leurs confesseurs s’acharnaient spécialement sur les femmes, qu’ils violaient avec des pals, leur introduisaient l’électrode dans la matrice pour les faire avorter et leur coupaient les seins, dans l’école de mécanique de l’armée, un prêtre assesseur alla jusqu’à dire qu’il ne fallait pas appliquer l’électrode dans la bouche de la détenue car cela pouvait provoquer la fracture de la mâchoire, il était plus correct de l’introduire par voie vaginale ou rectale.
Bien sûr, le Saint-Siège était parfaitement au courant de ce qui était arrivé. Nous avons photocopié les lettres du Secrétariat d’Etat dans lesquelles ils conseillaient aux prélats argentins de collaborer activement aux œuvres de répression déchaînées par les autorités militaires argentines, ce même conseil est donné par l’actuel pontife J. Paul II aux évêques chiliens, avec la différence notable ces derniers, indignés, ne voulurent pas suivre ces règles et se sont affrontés courageusement au régime dictatorial de leur pays.
Quand un Evêque chilien, au cours de la récente visite du Pontife dans son pays, lui relata en privé (conversation enregistrée par nous) les horribles tortures auxquelles ont été soumises le 20 novembre 1986 par la police deux femmes( une agrégée et une licenciée en philosophie), Jean Paul II s’exclama « mais on doit prendre en compte que les deux appartenaient au parti communiste… » et quand un autre prélat lui relate indigné les détails d’un épisode où une journaliste fut brûlée vive par un carabinier, le Pape de mauvaise humeur observa « cela ne serait pas arrivé si elle était restée chez elle à faire les travaux du foyer comme toute femme chrétienne et travailleuse… ». Peu après ces commentaires, le Pontife, devant l’opinion publique internationale consternée a bénit le Dictateur Pinochet et, dans des lettres privées aux évêques du monde entier, les prévient avec sévérité qu’il doivent rejeter fermement l’idée exotique que la femme puisse accéder au sacerdoce.
Comment s’étonner que vous hommes de Terre adoptent une conduite machiste et répressive pour vos YIIE (femmes) si l’entité, qui s’érige comme interprète de la morale universelle, se montre méconnaissante des droits de la femme, tentant d’occulter son exécrable idéologie misogyne par la mythique adoration et le culte à Marie, mère éminente de Jésus, n’élude pas le respect à la femme et à ses droits passant par la vénération et le respect de la figure historique d’une femme, sauf le respect réel des droits de toutes les femmes vivantes d’aujourd’hui. C’est comme si une société esclavagiste qui réprime et jugule les droits humains de ses serfs essayait de laver sa culpabilité en adorant sur ses autels la figure mythique du premier esclave.
Mais la vraie faute n’est pas simplement celle des pasteurs de cette Église, mais celle des hommes fidèles qui permettent pareille iniquité ; il n’est pas nécessaire que nous, hommes de UMMO attristés, les dénoncions,. Tous les humains mâles ont pleine conscience qu’ils violent les droits à la dignité de vos compagnes, puisque de multiples penseurs hommes et femmes ont élevé leurs voix et dénoncé une telle injustice sans que leurs mots ne méritent plus qu’un haussement d’épaules.
Il n’existe chez vous, hommes d’OYAGAA, ni ignorance ni manque de conscience du problème, la violation des droits de la femme est si transparente que cette lettre attristée ne tente pas de rebondir sur ce qui est parfaitement su de vous.
Il est possible que quelques lecteurs de notre message se sentent visés en tant que mâles, s’excusant par l’argument qu’ils ne maltraitent pas physiquement leurs femmes, ne les violent pas, ne leur empêchent pas l’accès à des comptes courants, ne les humilient pas en les insultant, ne leur nient pas comme épouses le droit de sortir quand ça leur plaît
Mais il existe des formes voilées et subtiles de machisme dont probablement ils doivent se sentir coupables. L’époux qui n’aide pas sa YIIE dans les moments accablants des travaux du foyer, le mari dominant qui s’érige en oracle recteur de la famille, bridant le droit que détient sa compagne à prise de décisions et à l’expression de ses points de vue, les subtiles façons d’humilier sa femme en ridiculisant ses idées, son manque d’intérêt à s’intégrer en réunions et conversations de caractère intellectuel, sont autant d’autres formes voilées de machisme.
Hommes de la Terre, nous manquons d’autorité pour vous exhorter à adopter des formes éthiques d’ordre supérieur, cette dénonciation de la triste condition de la YIIE de OYAAGAA ne constitue pas une ingérence dans le devenir historique du réseau social de la Terre, puisque nous ne révélons pas quelque chose que vous ignorez et qui n’aurait pas été dénoncé par les femmes et les hommes justes et de condition morale élevée.
Mais oui nous pouvons dire qu’une grande partie des dérèglements terribles dont souffre le réseau social de la Terre est provoquée précisément par l’injuste violation de la dignité que vous devez octroyer à vos femmes. Le mouvement féministe mondial est inévitable si les hommes de la Terre ne progressent pas en concédant ce qui par droit propre correspond au sexe féminin, les femmes préparent sans le savoir une révolution aux conséquences graves pour l’équilibre des peuples de l’astre froid Terre. Les hommes vont payer brutalement des siècles de laisser-aller et de mépris envers leurs compagnes martyrisées, vous hommes avez tablé subtilement sur l’imposture de la condition masochiste de la femme, avez créé des mythes infamants comme la femme clitoridienne ou vaginale ou la légende psychanalyste sans fondement scientifique de l’envie du pénis, avez essayé de justifier pseudoscientifiquement la thèse de la supériorité masculine et avez tenté de vous immiscer dans les droits que la femme possède par principe sur son propre corps ; la pression de l’état, de l’église pour arracher au sexe féminin sa liberté, l’indigne attitude d’abandon et de désintérêt de l’ensemble masculin appuyant tacitement cette injustice vont provoquer dans les années à venir de gravissimes conséquences. Nous humains de UMMO, expéditionnaires sur OYAAGAA, il nous serait agréable que vous soyez plus conscients de ce problème futur, pour nous transparent.
D541
UMMOAELEUUE
Nombre de copies UNE
Pays Espagne
Langue espagnole
Monsieur de OYAAGAA Jorge Barrenechea (spécialement destiné à votre épouse Carmen Maria)
Monsieur Jorge : Nous sommes un peuple plus ancien que OYAGAA (Astre froid de la Terre) . L’apparition de l’OEMII sur les vieilles terres volcaniques de Ummo remonte à quelques 9,3.106 années terrestres, ce qui en mesure de notre OYAA s’élève à quelque 43,9. 106 années de Ummo.
Il est très difficile de déterminer parmi les différents « humanoïdes comme vous le diriez » qui se sont succédés en ces temps éloignés, quelle branche s’est convertie par une mutation très spéciale, en OEMMII ou homme rationnel avec tous ses attributs qui se centrent dans l’intégration de l’OEMBUAUFW (Réseau de krypton)
Quand l’humain « naît », c’est à dire: non à l’instant de la Parturition, mais quand les deux gamètes féminin et masculin fondent leur charge génétique se développe dans un Univers lointain une gigantesque cellule d’IBOZSOO UHUU (en réalité un réseau complexe de ces particules, formé par de grandes chaînes de relations angulaires). Ces grandes chaînes forment à leur tour un substrat étendu ou une matrice où s’engrammera toute l’information de notre vie dans un secteur du réseau pendant que le restant codifie tout un programme d’instructions qui conforment chaque OEMII tétradimensionnel. Remarquez que cet humain à quatre dimensions, y compris le Temps – est conformé comme une entité non continue (discrète) (pendant ce temps, le temps est constitué par quantum ou unités discrètes)
Le BUUAUUA comme s’appelle cette cellule cosmique modèle toute la conduite de l’homme librement et d’un seul coup, bien que nous expérimentons l’illusion que le temps coule lentement.
Mais il convient pour mieux comprendre le processus, d’accepter notre lente perception du temps et d’analyser au long de son axe ce qui survient en relation avec l’organisme et son BUUAUUA.
En principe, nous savons que tout organisme vivant, une algue, une bactérie ou une girafe de la Terre, quand il se génère, dispose d’un BUUAUUA (âme individuelle) (B.) dans ce « cosmos lointain ».
Cette âme est stérile. Son réseau de IBOZSOO UHUU n’est pas capable de codifier une quelconque information car il n’y a pas de lien qui l’attache à l’organisme qui est né sur un astre froid.
Seul l’OEMMII (humain) synthétise à l’instant de la fusion chromosomique, un ensemble d’atomes de Krypton qui, par un effet que nous dénommons (traduit: ) Effet Membrane ou Frontière, permet la communication entre deux Cosmos tellement distincts.
C’est ce qui s’est produit avec le premier hominidé qui se transforma sur Ummo en se convertissant en « réellement OEMMII. »
Nous ne savons pas avec exactitude quand ceci est survenu, ni qui était ce premier privilégié qui devait vivre à l’époque indiquée au début de cette lettre.
Nous avons évidemment pu reconstruire, avec plus de précision que la Paléontologie terrestre, les habitudes et les rôles de ces premiers habitants de notre OYAA (Astre).
Nous savons que vers les 11,8 millions d’années-Ummo parcourues (ndt: # 2,5 millions d’années terrestres) , nos ancêtres écrivaient avec un alphabet quasi idéographique et comptaient en utilisant le système décimal comme vous le faites maintenant (Pour le moment notre système de numération est à base 12). Même en l’an un de la première ère ils comptaient toujours en système décimal. En l’an Un on croyait que l’humanité ne vivrait que pendant six mille années-Ummo (mille deux cent soixante dix ans de la Terre environ)
C’est là qu’on trouve l’origine des ères actuelles de six mille années-Ummo. Parce que vous demandez de faire un calcul comparatif, nous dirons que l’année Une correspond à ce que nous appelons le Gouvernement monocratique (commencé à zéro de la première ère). Arrivé aux six mille années s’initia la seconde ère, appelée de UMMOWOA (Homme divin).
UmmoWOA naquit en l’an Ummo1282,03 de cette seconde ère.
Si nous pouvions synchroniser le temps avec vous sans perturbation des relations spatio-temporelles nous dirions que pour mes frères de UMMO nous sommes aujourd’hui en l’année de Ummo 5923 de la troisième ère et donc pratiquement sur le point d’initier la quatrième. Dans ce schéma idéalisé (il l’est parce qu’une synchronisation temporelle aussi parfaite n’est pas possible) La figure divine de Jésus de Galilée né sur OYAAGAA (Planète Terre) aurait surgi autour de l’année Ummo 2541 de la seconde ère.
Les dates importantes dans notre chronologie sont (exprimées en années U.)
Apparition des premières traces de thérapie médicale 390 première Ere
On découvre la véritable rotation de Ummo 3326 1e Ere
IUI 12 fils de IUI 11 meurt: 4331 1e Ere
On construit les premiers toroïdes gigantesques pour l’obtention de l’énergie électrique en partant du champ Magnétique de Ummo 5607 1e Ere.
On obtient les premières images réelles sur une surface sensibilisée dans l’année 402 2e Ere
On invente les premiers générateurs de force (rotatoires) au gaz méthane AACXBOUZZ 752 2e Ere
Naissance de la cruelle enfant IE 456 en l’an 1230 2e Ere
UMMOWOA naît en 1283 seconde Ere.
UMMOWOA se désintègre en 1405 2e Ere
Naissance de iMMII 28 fils de IMMII 22 et avec lui la moderne BIEEUIGUU (psychologie neurobiologique) 4100 2e Ere
On construit les premiers moteurs à plasma 5476 2e E.
Séparation sur UMMO de la Nouvelle Société IGIAAIUYIXAA 5902 2e E.
A partir de l’an 6000 suit une ère dont le calcul n’est pas pris en compte sur UMMMo. Elle a duré 11750 années Ummo et s’intitule AGFUIUU DUUA. C’est la « Nuit noire de Ummo »
Ensuite commença l’instant zéro de la troisième ère (Notre Temps)
En l’an 75 arrivèrent des nefs de l’Astre froid DOOCAIAA
On découvre les atomes de Krypton de l’OEMBUAUF 315 3e Ere
On fonde les principes de Biogénétique cosmologique 2906 3e Ere
Les débuts lointains de l’Humanité de Ummo ont laissé leur marque sur de nombreux restes archéologiques. Nos méthodes d’analyses stratigraphiques, qui nous permettent d’analyser n’importe quelle zone topographique sans aucune destruction, en explorant le terrain couche par couche à des épaisseurs laminaires de moins de 0,2 microns en utilisant de fins faisceaux de particules (note 1) neutriniques et un récepteur qui pénètre à grande profondeur dans le terrain en fondant au moyen de gaz ionisé à très haute température le milieu rocheux et en transmutant les résidus en hydrogène gazeux, nous ont permis d’étudier pratiquement tout le grand continent de OYAAUMMO (voir image 1)
Grâce à ce système, jusqu’aux petits restes osseux fossilisés et à des restes diminués des anciennes ferrailles peuvent être détectés. Leur forme est codifiée en modèles à trois dimensions et sont emmagasinées dans des mémoires biologiques. Il n’est pas nécessaire d’extraire ces restes de leur cadre au contraire de ce que font les paléontologues et archéologues de la OYAAGAA (TERRE). Nous supposons que vos descendants seront horrifiés quand ils analyseront historiquement la grande spoliation de la Terre que vos analystes ont réalisée, en extrayant ces restes de leur cadre topologique. (Nous ne sommes pas en train de critiquer la méthode, car dans le cours actuel de la technologie de la Terre, l’étude des civilisations passées n’aurait pas été possible sans exhumer ces restes, les restaurer et les déposer dans les musées).
Nous aussi disposons de musées où s’accumulent les restes qui de manière similaire à celle développée par vos actuels archéologues de la Terre, furent isolés par nos précédentes techniques.
Nous pouvons même déterminer la couleur d’un objet enterré à grande profondeur. Le faisceau de neutrinos est d’une résolution telle qu’il analyse non seulement la densité mais la composition chimique ou moléculaire, non seulement de la surface de l’artefact ou du reste anatomique, mais aussi de sa masse interne. Plus tard un système décodificateur permet de discriminer le milieu rocheux ou argileux qui entoure l’objet. Notre SANMOO AAYUBA (réseau d’ordinateurs) envoie ainsi à l’UULODASAABI (terminal de visualisation tridimensionnelle) une image qu’on peut amplifier ou réduire à volonté, de l’environnement topologique où se trouvent ces restes, qui sont visualisés comme s’ils flottaient dans l’espace (Espace: nous répétons; quil correspond au milieu de NIAA (roche) fangeuse, sablonneuse, etc, où se trouvent ces objets.
Une étude par traitement de toute l’information reçue, permet de reconstruire le cours historique de nos ancêtres, en partant de leurs propres restes fossilisés et des artefacts qu’ils construisaient (édifices, tunnels, ferrailles, récipients, armes, écrits, etc)
Ainsi nous avons pu isoler de très curieux documents qui montrent; comment des fibres entrelacées de diverses manières constituèrent les primitives formes de codification de l’information (écriture). Dans une autre forme postérieure d’écriture on voyait des boules grossières de boue séchée sur lesquelles étaient clouées des petites épines ou des petites tiges d’arbustes. Une troisième forme, plus avancée, intégrait de fines lamelles de cuivre martelé, que nos ancêtres appuyaient soit sur une surface d’argile semi fluide, soit sur une couche de feuilles fraîchement coupées. Avec des poinçons de bois ils traçaient leurs signes idéographiques.
On peut également observer en certains endroits de notre Continent, de grands monolithes de roche volcanique, formant de sveltes stèles sur lesquels les médecins de l’époque traçaient leurs écrits thérapeutiques. C’étaient de réelles encyclopédies publiques où toute personne pouvait consulter le remède à son mal.
La tendance de nos ancêtres était de se construire des maisons souterraines. Notre sol est volcanique, très friable dans les parties rocheuses et cela ne demandait pas grand effort d’aménager de grandes galeries dans les terres où les grottes naturelles n’abondaient pas.
Ils étaient, comme nous, de grands amateurs de la Nature et considéraient comme une authentique profanation d’altérer la physionomie du paysage avec des constructions sur la Terre bien qu’on en ait aussi localisées dans quelques régions.
L’alimentation était axée sur l’utilisation de la chair de OAGISUHUA Animaux qui rappellent les reptiles de la Terre et des œufs de UYAAIAAA, dont la structure vous rappellerait les arthropodes terrestres et surtout, comme aliment de base, la pulpe charnue du fuit correspondant à l’AIMOOAA.
Ils formaient des groupes très belliqueux quoique nous n’ayions pas trouvé des traces sérieuses qu’ils auraient pratiqué le cannibalisme, mais en revanche, certaines tribus s’acharnaient cruellement sur leurs ennemis. En cela ils n’avaient rien à envier aux sévices et cruautés de certains de vos lointains ancêtres.
Les plus anciens vestiges de technologie électrique remontent à 5300 de la 1e Ere où de grands conducteurs de cuivre étaient étendus sur le terrain et des plaques du même métal étaient enterrées pour utiliser les potentiels électriques que vous appelez telluriques. Ils étaient aussi obtenus en argent qui sur OYAAGAA est presque aussi abondant que le premier métal cité.
Mais le passé historique sur UMMO, bien qu’étant une civilisation plus vieille, a été moins turbulent que sur la Terre. Les groupes raciaux ont été moins nombreux, les expressions phoniques moins riches en singularités et la diversification de cultures beaucoup moins à poly-facettes que celle qui s’est développée chez vous.
Il y eut réellement des époques terribles; Durant une sombre nuit, le pouvoir omnipotent d’une fille très jeune. – Seulement adolescente, -jeta dans la désespérance et la souffrance des énormes multitudes d’êtres humains. Une partie très importante de la population féminine souffrit la torture de se voir obligée de souffrir des copulations successives et forcées par des viols planifiés. Les hommes étaient condamnés par cette adolescente cruelle, à ingérer leurs propres excréments et à faire l’expérience de supplices basés sur des principes technologiques raffinés. Cet être malade généra un quota élevé de douleur dans la société mais pourtant pendant son mandat se développèrent les études de la Nature et la Technologie éprouva une avancée remarquable.
A la fin nous tous les OEMMII de UMMO avons généré le même langage et développé notre capacité de communication OANEEAOII YOIO (télépathique).
Comprendre notre langage est difficile pour vous autres car normalement nous superposons au sein de la même série de phonèmes, deux flux simultanés d’expression. La modulation de ces sons et la répétition de phonèmes n’est pas redondante mais elle constitue un cours d’idées distinct de celui exprimé par la prononciation des mots et leur ordonnance. C’est comme si pour émettre la pensée « Nous fûmes à la campagne » vous profitiez d’une autre phrase ayant un contenu sémantique différent « TUEZ MOI CE SERPENT » Vous pourriez y parvenir en codifiant la répétition de syllabes et en changeant le timbre de voix dans les phonèmes distincts « TUeez eez moi Ce Ce ser SER pent pen T t »
Nous exprimons simultanément ces deux idées grâce à la bilatéralité des deux hémisphères cérébraux que vous appelez Zone latéro-frontale de phonation ou de Broca, et qui chez l’OEMMII de la Terre ne se localise que dans le seul hémisphère gauche alors que chez nous c’est dans deux zones symétriques. Le cours de notre pensée se double également ce qui nous permet d’entretenir une seule conversation (cette fois dans le simple sens de discours) et de simultanément méditer autour d’un sujet qui n’a rien à voir avec le dialogue. C’est alors comme si coexistaient deux EGO dans le même cerveau, mais capables d’échanger de l’information.
Je ne veux pas monsieur Jorge, abuser de votre aimable patience dans la lecture de quelque chose qui n’est en rien en relation avec l’homme de la Terre. Je suis une femme de Ummo (Nous prononçons IIEE pour exprimer notre sexe, et je suis directrice de la petite commission de douze OEMMII mes frères, qui sommes en ce moment en Europe. Desquels: Quatre êtres moi y compris, dormons en Espagne, votre beau pays. Mon nom est INDOO 33 fille de INDOO 29.
Vous avez récemment eu l’occasion de recevoir des rapports de mes frères, à moi soumis, qui vous expriment leurs propres salutations.
D731
Référence : | D731 |
Titre | Synopsis WAAM-WAAM – Le Pluricosmos – Les deux univers limites – L’âme collective planétaire |
Destinataire(s) et date(s) | Farriols et Barrenechea le 20/03/87 |
Commentaires | Ce document a été référencé par erreur (mea culpa) en D371 dans les documents gesto
La première partie de ce document est le D357 |
mars 1987
Synopsis WAAM-WAAM
Monsieur : nous vous prions de nous permettre de faire une synthèse du rapport sur , pour deux de vos frères qui trouvent confuse l’explication précédente sur l’ESPRIT COLLECTIF.
L’Univers réel se compose d’une famille de paires de Cosmos. Dans chaque paire d’UNIVERS-ANTIUNIVERS, prédomine un type de masse + M et – M (les signes sont conventionnels). De plus, chaque couple se caractérise par la vitesse qu’atteint dans le vide un quanton d’énergie électromagnétique ou photon.
Nous appelons WAAM-WAAM cette gerbe d’Univers. Nous soupçonnons qu’il existe réellement une infinité de paires de Cosmos (nous n’en connaissons vraiment que quelques-uns, une partie d’entre eux, accessibles dans nos voyages entre deux points de notre Galaxie. Nous savons que les Univers distincts ont des interactions entre eux. Les singularités de chacun d’eux (les masses concentrées) influencent les Univers adjacents (sans masse ).
Quatre de ces Univers nous intéressent spécialement, vous et nous, c’est-à-dire OYAGAA (Terre) et OYAUMMO (Astre froid Ummo). En premier lieu, notre propre anti-Cosmos.
En lui prédomine ce que vous appelez Antimatière (Masse ≈ – M). Il y a aussi de petites quantités de + M. Notre Cosmos jumeau provoque dans le nôtre des perturbations qui se traduisent par des plissements dans notre « continu » espace temps. Ce sont ces plis qui nous permettent d’effectuer des voyages entre OYAA (Astres planétaires non brûlants) en moins de temps qu’il faudrait en suivant une trajectoire photonique.
Les perturbations entre Cosmos sont produites parce que dans l’un d’entre eux se trouve un type de masse que vous qualifiriez mathématiquement d’IMAGINAIRE (dans un autre repère du faisceau tridimensionnel). Cette masse imaginaire (± √-m) a comme vitesse au « repos » (énergie maximale) la vitesse d’un paquet d’énergie électromagnétique (photon). L’existence de cette masse permet l’interaction, ou action mutuelle entre Univers, bien que la masse imaginaire mentionnée se trouve seulement dans un des membres du couple. L’interaction ne serait pas possible si la matière se trouvait distribuée isotropiquement (uniformément), ce qui évidemment n’arrive pas (sauf à l’instant initial du Cosmos).
Il existe une ∞ (Ndt : infinité) de paires d’Univers (beaucoup d’entre elles en phase terminale) avec une masse souscritique. Ces Univers (comme les autres) naquirent avec un rayon infini et une répartition de masse isotrope (cristal cosmique) et une densité nulle. Le rayon allait en diminuant (la direction ou sens du temps était négative par rapport à l’actuelle). Mais la perturbation des Cosmos adjacents fit que se produisirent des Singularités de masse (c-à-d : d’abord des Nébuleuses de gaz et de poussières, futures galaxies, cessant d’être isotropes ou cristaux cosmiques. (Nous appelons cristal cosmique un Univers dont la densité de masse est constante en n’importe quel point et qui présente les mêmes propriétés dans n’importe quel axe ou direction).
Dans une première phase de ces Univers (temps négatif) l’entropie diminue (elle était initialement infinie), la densité croît, leurs habitants observeraient dans leurs instruments spectroscopiques un déplacement vers le violet (couleur qu’ils percevraient certainement d’une autre façon), les galaxies se précipiteraient les unes sur les autres : la mort de ce Cosmos. (Pour celles-ci, nous pouvons parler de trois morts : la phase d’infinitude du rayon qui s’étend sur un Temps infini) (on ne peut donc parler de naissance comme d’une paire d’IBOZSOO UUHU (instant). Nous disons que la seconde mort survient quand le rayon vient à être Nul. La masse continue d’être constante, la densité infinie et instable.
Arrivé à cet instant, tout l’Univers est réduit à un réseau d’IBOZSOO UHU, tous ses composants orientés à angle nul (rayon zéro) qui, si nous « pouvions le percevoir », nous semblerait un point avec une densité de masse infinie (Ceci, vos frères cosmologistes de la Terre l’ont bien compris et c’est totalement certain).
Ce qui n’est pas certain, c’est que ce dit « Cosmion », ou Univers primordial, soit instable et par conséquent explose. Si n’existaient pas d’Univers adjacents et s’il n’y avait pas que deux types de masse (et non quatre), qui perturberaient cette hypermasse en la déséquilibrant, ceci serait le stade final du Cosmos décrit. Il survient donc une expansion accélérée par l’apport énergétique initial de cette perturbation (qui est inversement proportionnelle au rayon).
Si nous considérons les constantes S et Q qui dépendent du système d’unités employé (les valeurs de S et Q sont respectivement : la première, fonction de la vitesse du photon dans le vide pour cet Univers et par conséquent reliée à la masse. Q est une constante du WAAM-WAAM.
M est la masse globale du Cosmos considéré. R est le rayon de l’Univers spatio-temporel (R doit se considérer non comme linéaire, mais comme le rayon d’une hypersphère), (-)E est l’énergie apportée à l’Univers dans son étape initiale (la formule subit une déviation et cesse d’être exacte pour les grands rayons), c’est-à-dire dans une étape d’expansion avancée).
(NdT : B est fonction des unités employées)
E représente l’énergie apportée à chaque instant. L’énergie totale s’obtiendrait en intégrant entre R = 0 et R au temps : 0,680 UIW (l’UIW représente l’unité de temps utilisée dans l’antiquité sur OYAUMMO, ,qui équivaut à environ 185,5 secondes de la Terre).
(à partir de cette valeur du Temps de l’Univers, quasiment un « instant » après l’explosion, la fonction citée a besoin d’une grande correction)
Dans l’Univers de masse souscritique, son Rayon continue d’augmenter :
{En réalité, il s’agit d’un hyperespace à deux rayons de courbure (hypersphère (-)}, sa troisième « mort » est un hyperespace « cristallin » isotrope de densité nulle. Dans les deux phases du Temps (Entropie d’abord décroissante, et ensuite entropie croissante qui finit avec une entropie infinie) cet Univers a contenu des galaxies et des « cellules » néguentropiques. (Ndt : Lupasco a prévu des univers à hétérogénéité dominante où le biologique l’emporte sur le minéral) (Les humanités intelligentes et les OYAA à espèces biologiques non intelligentes) (quand nous nous référons à ces dernières espèces, nous voulons dire NON HUMAINES puisque le terme INTELLIGENT a ce sens dans ce contexte)
Que se passe-t-il avec les Univers de masse supracritique ? Son évolution est très différente .
Sa concentration de masse en un point évolue ensuite avec une densité décroissante au début et un rayon croissant mais qui n’arrive jamais à être infini comme dans les Univers précédents, mais qui atteint une valeur maximale jusqu’au point où le signe se renverse, où l’entropie commence à décroître, où la densité moyenne augmente jusqu’à ce qu’il collapse en un point de densité infinie.
Les considérations sur le WAAM décrit dans le paragraphe précédent peuvent s’appliquer à ces WAAM. Dans ces WAAM aussi, l’explosion est due à un apport d’énergie dont le rôle est identique. Et par conséquent dans ceux-ci également apparaissent des galaxies et des OYAA à réseaux biologiques. Nous-mêmes avons connu quatre de ces (types) caractéristiques.
Notre anti-cosmos nous est bien connu. Il est constitué d’une masse d’antimatière. Si nos UEWUA (nefs) n’intervertissaient pas leurs IBOZSOO UHU en (-M), elles pourraient se désintégrer par un impact avec n’importe quelle quantité de gaz ou de poussière cosmique en libérant une immense quantité d’énergie. L’interaction entre nos deux cosmos est très grande, de grands plissements s’observant dans les deux Univers dans leur surface tétradimensionnelle dus à cette cause mutuelle.
Nous ne pouvons percevoir avec nos instruments la Masse imaginaire qui est de deux types : + √- M et – √- M.
Nous détectons seulement une radiation secondaire produite par les paires d’IBOZSOO UHU qui constituent cette classe de masse. Radiation ou énergie que vous pourriez comparer à l’onde de choc d’un vaisseau aérien (avion) d’OYAAGAA (la Terre) quand il atteint une vitesse supérieure à un Mach (supersonique).
Sans l’existence de tels types de masse imaginaire les Univers du WAAM-WAAM existeraient mais seraient isotropes ; de rayon nul et de densité infinie. Le WAAM-WAAM se réduirait à une famille « d’hyperatomes » superdenses et ponctuels, l’interaction mutuelle ne serait donc pas possible. WOA ne serait pas « intelligent », générant un simple « cristal ». L’information serait nulle dans tout le WAAM-WAAM. Cela n’a pas de sens de parler d’un concept si aberrant.
Il existe dans l’ensemble des WAAM (Univers multiplanaire) deux univers « limites » qui sont cependant « adjacents » (en entendant comme adjacents non le sens géométrique habituel que vous donnez à ce mot, « ADJACENT » signifierait = INTERACTION MAXIMALE.) Ce sont (ce que nous décrivons par la suite) : le WAAM et le WAAM .
Le WAAM (dans la famille des univers existants) est un réseau d’IBOZSOO UHU qui est dépourvu de singularités ou de plissements.
Il n’existe donc pas de possibilité qu’il subisse une interaction avec un flux d’énergie » quelconque. C’est un univers dont le rayon est constant (il ne subit ni expansion ni compression). Cela n’a pas de sens de parler dans celui-ci, de poussière cosmique, de gaz, d’atomes ou de particules subatomiques.
Il n’existe ni galaxies, ni astres planétaires, ni par conséquent de soleil. Si nous mesurons sa masse globale, nous trouvons avec surprise qu’elle est nulle (c’est la raison pour laquelle il est impossible de lui apporter de l’énergie). Dans celui-ci il n’existe ni photon ni quanton d’autre type de champ, ce qui revient au même de dire que l’existence de champ n’a pas de sens ; on dit autrement, la vitesse d’un quanton de lumière serait nulle (s’il pouvait exister des photons). Il pouvait sembler que nous sommes en train de décrire le concept de « RIEN ». Pour un physicien d’OYAAGAA, un tel univers n’a pas de sens, il est synonyme de ce QUI-N’EST-PAS.
Mais en réalité le « WAAM « EXISTE ». Son rayon est constant, mais son temps est « gelé » (cela n’aurait pas de sens de dire que le temps s’écoule puisque l’entropie se réfère à une répartition de masses, et l’énergie est infinie et en même temps exprimer sa valeur n’a pas de sens). Cependant (bien que cela paraisse paradoxal) son réseau d’IBOZSOO UHU est capable d’enregistrer de l’information.
Si nous voulions le représenter à des fins didactiques, nous dirions aux enfants, que le WAAM ressemble à « une éponge », à un conglomérat alvéolaire de mousse de polyuréthane expansé, avec des quintillions de cellules ou à une pâte avec une multitude de cellules.
Le plus surprenant est que chacune de ces cellules (réseaux purs d’IBOZSOO UHU) est un ESPRIT, une ÂME comme vous diriez (nous les représentons par le symbole ).
Chaque établit une correspondance biunivoque avec un réseau d’IBOZSOO UHU, situé en n’importe quel point du WAAM-WAAM, (exceptés les deux Univers limites) qui ont cette caractéristique que nous allons citer :
Être vivant : « Réseau de particules matérielles capables d’enrichir son information interne au niveau biochimique aux dépens de l’information extérieure » (être vivant) appelé par nous : AIUUBAHAYII.
Être inférieur sans lien avec : Ceci n’implique pas nécessairement qu’un être inférieur puisse se mettre en contact direct avec son . Il existe un seuil de complexité en dessous duquel le lien avec est inexistant. Dans cette phase, l’esprit est vierge d’information (c’est un réseau « filamenteux » d’I.U. dont les éléments ont un angle constant) (information nulle).
Être OEMII à lien avec : Quand un être biologique dépasse ce seuil, il apparaît un réseau d’atomes de krypton qui le met en contact avec ce WAAM . Concrètement avec sa propre et il commence à lui envoyer de l’information. À partir de ce moment le dirigeant principal de la conduite de cet être : (HOMINIDÉ, OEMII) est sa propre .
Nous définissons un AIUUBAHAYII comme un réseau d’IBOZSOO UHU capable de s’autoreproduire et d’enrichir son information interne au niveau biochimique et aux dépens de l’information extérieure. Ceci est notre définition d’un ORGANISME VIVANT.
L’AIUUBAHAYII (être vivant) se caractérise parce que son entropie est négative (néguentropie comme vous dites). Il augmente son niveau interne d’information, l’extrayant par l’intermédiaire de flux afférents de données, en provenance d’un milieu externe (le WAAM lui-même {Univers}).
Normalement, les AIUUBAHAYII (A) ou organismes vivants, s’implantent sur les astres froids, c’est-à-dire sur les planètes ou les étoiles froides dont la température est superficielle est suffisamment basse pour maintenir l’eau en phase liquide (ou solidifiée) (à t° > 250° kelvin (-23°C) ou t°<116°C, selon la pression atmosphérique.
À l’intérieur de ces conditions, sans arriver aux limites extrêmes citées, on trouve OYAUMMO et OYAGAA (TERRE). Quand l’OYA possède une température « moyenne » extrême comme celles citées précédemment, le développement des êtres vivants est embryonnaire et ils ne sont pas capables d’évoluer vers des OEMMI (humains). Il s’agit d’êtres peu complexes capables de refroidir leur milieu interne aux dépens de l’énergie biochimique, de façon à ce qu’en leur sein l’eau reste en phase liquide (astres chauds), ou de fournir de l’énergie thermique quand le milieu est trop froid pour obtenir la phase liquide convoitée.
Bien que dans quelques univers nous ayons détecté des formes semblables aux vivantes, avec néguentropie et une certaine capacité de reproduction, non basées sur des structures carbonées (avec comme élément central le germanium et le silicium), les véritables A. (organismes vivants) fondent leur structure biochimique sur des composés carbonés hydrogénés. Les êtres apparemment vivants de composition fluorocarbonée et chlorurocarbonée sont rares et incapables d’évoluer vers des formes complexes.
Dans tous les WAAM, les lois biologiques se répètent. La base d’information moléculaire se fonde pour toutes sur des séquences de nucléotides et d’aminoacides. Ceci est un phénomène universel. Par contre, n’en est pas un le code génétique, c’est-à-dire la forme par laquelle les acides nucléïques sont capables de se répliquer en séquences polypeptidiques (séquences d’aminoacides).
N’est pas non plus universel le type d’orientation des chaînes protéiniques hélicoïdes (hélicoïdes et autres formes stéréocarbonées (un mot ummite effaçé). Dans certains réseaux biologiques planétaires les formes dextrogyres prédominent et dans d’autres, les lévogyres.
Normalement l’évolution des êtres vivants sur un astre froid subit un processus de multiplication de phylum ou d’espèces distinctes dont le réseau est arborescent.
Les premiers spécimens, c’est-à-dire les A. les plus simples, sont très semblables sur n’importe quelle planète. Ainsi un viroïde ou un virus encapsulé dans un réseau protéïque est peu différent sur OYAUMMO d’un autre similaire sur OYAGAA. Les chaînes d’ARN ou d’ADN codent les caractéristiques qui serviront à la réplication du spécimen.
En principe, une série d’agents (parfois biochimiques, parfois des radiations énergétiques, par exemple), peuvent modifier le message codé. Vous connaissez le phénomène sous le nom de mutation. La réplication des protéines suppose une configuration (A. = ORGANISME VIVANT) avec une structure spatio-temporelle qui lui permette d’affronter le milieu physique.
Mais le milieu ambiant est hostile. Le réseau « d’Ibozsoo uhu » externe lui apporte des données (information) qui lui permettent d’enrichir son information interne (s’il a une complexité suffisante).
Mais, cet environnement l’agresse, il lui est étranger, il tend à le détruire s’il manque de défenses suffisantes. C’est ce que vous appelez l‘AGRESSION DU MILIEU. Si l’A. n’est pas adapté, il périt. Si sa structure physiologique est résistante, il survit (vous nommez ceci SÉLECTION DU MILIEU).
Si dans les SAAXADOO (chaînes nucléiques), il ne se produit pas de mutation parce que, comme il arrive sur certains astres froids, l’encapsulement métallique et la protection biochimique est (sic) très résistant, l’espèce se perpétue pendant des millions d’années, mais il ne se produit aucune évolution. Les espèces inférieures « gèlent » et ne se convertiront jamais en OEMII.
Chaque chaîne séquence de nucléotides capable de répliquer une protéine reçoit dans notre prononciation le nom d’IGOHOAA (gène).
Jusqu’ici, de telles lois sont parfaitement connues de vos frères généticiens et nous confirmons leur validité sur les autres OYAA (astres).
BAA IODUHU est un réseau d’atomes de krypton. Sa fonction et le processus de captage d’information est analogue à OEMBUUAWU (O.) : il s’agit d’atomes d’un gaz très stable dont le cortège électronique ne se comporte pas comme ceux des autres atomes du système des éléments chimiques (c’est-à-dire géré par les lois quantiques du hasard).
Nous donnons de BAA IODUHU (B.I.) une interprétation ou une concept beaucoup plus complexe que celui d’un simple nuage de krypton.
BAA IODUHU (B.I.) est capable de capter l’information du WAAM, c’est-à-dire de l’environnement physique. Ces données sont confrontées avec l’information contenue dans le génome, et en fonction du « besoin » qu’éprouve l’organisme, ou bien il le protège d’une action mutagène (quanton de radiation, proton rapide, ion destructeur, neutron, etc), ou bien il provoque lui-même une mutation contrôlée.
Comment B.I. assure-t-il sa fonction ? Un réseau microphysique d’atomes de krypton agit comme une valve ou un canal d’information qui met en relation l’organisme avec le WAAM dont nous parlerons tout de suite. Ce WAAM encode toute l’information obtenue par les êtres vivants, c’est celui que nous appelons l’ESPRIT COLLECTIF.
Mais « l’Esprit collectif« , comme nous le verrons ensuite dans les paragraphes ultérieurs, est une matrice de patrons de formes et de conduites. Il module toute la structure des réseaux d’êtres vivants (AIUUBAAYI).
Le WAAM , que nous pourrions appeler en langue espagnole l’UNIVERS DES FORMES, dirige les modèles de la civilisation dans la chaîne arborescente du phylum (les branches ou espèces) des êtres vivants.
Quatre-vingt-six atomes de krypton sont capables d’encoder toutes les formes possibles et viables d’êtres vivants (étant toujours entendu que toute cette information n’est pas réellement enregistrée dans le nuage électronique des atomes de Kr, mais que celui-ci reçoit de le modèle dont a besoin chaque chromosome (séquence de nucléotides capable de répliquer plusieurs protéines).
Les modèles ne sont pas infinis. B.B. n’engrange que ceux qui sont possibles dans le cadre d’un milieu planétaire, dont les caractéristiques de
Masse de la planète froide
Champ magnétique
Intervalle de température
Composition de l’atmosphère
Sources d’éléments chimiques (milieu géologique)
Présence d’eau (en quantité) suffisante
Niveau de radiation de l’Etoile principale
Niveau de radiation géologique
Fréquence d’impacts extraplanétaires (aérolithes)
Niveau d’ionisation atmosphérique
rendent possibles divers modèles de structure biologique.
Seulement quelques billions de formes sont possibles dans chaque milieu d’une OYAA.
Normalement, un nœud d’un phylum (arborescence) peut donner naissance à environ deux cents vingt mille (en moyenne) nouvelles branches ou phylums grâce à une mutation dirigée, c’est-à-dire contrôlée. (Dans certains nœuds on a détecté (approximativement) 18.376.000 possibilités de mutations tolérées par . (Si malgré le contrôle de B.I. : c’est-à-dire si malgré la protection protéinique qu’il exerce sur la chaîne d’ADN, un neutron par exemple provoque une mutation prohibée, cet organisme mourra inévitablement et B.I. provoquera sa thanatos (mort).
Chaque saut d’un électron à l’intérieur d’une sous-couche orbitale représente (c’est-à-dire encode) un phylum possible. Les autres atomes de krypton décodent la structure anatomique de cette espèce. B.I. (c’est-à-dire le nuage de krypton et le ) contient toute la phylogénie possible sur un OYAA (Nous pouvons l’étendre à tout le WAAM-WAAM en disant que le B.I. de chaque être vivant dans le cosmos multiuniversel, recèle, grâce à son B.I. (sic), toutes les possibilités de vie organique, fondée sur le carbone comme atome vertébral, des AIUUBAAYII.
Pouvons-nous étudier la phylogénie possible sur les différents OYAA (astres froids) du WAAM-WAAM ? Evidemment non ! Il se peut que les êtres vivants potentiels se comptent par trillions ou quadrillons. (Nous avons calculé que le WAAM pourrait encoder jusqu’à 5,2.1018 modèles, mais l’imprécision du calcul fait suspecter qu’ils pourraient être beaucoup plus. De ces patrons primaires peuvent se dériver des milliers de millions de (individus ou exemplaires) de plus, de sorte que l’ordre de grandeur pour tout le WAAM-WAAM atteindrait un chiffre d’exemplaires « possibles » différents de 10526 (ordre de grandeur), mais en tenant compte des limites spécifiques aux différents OYAA, ainsi que de la restriction de la chaîne du génome de chaque espèce, le nombre d’espèces vivantes que nous pourrions rencontrer dans nos voyages extragalactiques ou extracosmiques les plus lointains se réduit sensiblement.
Nous pourrions arriver à la conclusion équivoque, que sur chaque OYAA, les êtres vivants et intelligents (OEMII) avec lesquels nous pourrions entrer au contact, revêtent une forme anatomique et une structure organophysiologique différente.
Ceci est une demi-vérité. Nous avons déjà dit dans un paragraphe précédent que les espèces élémentaires (viroïdes, virus, protozoaires : en employant vos mots espagnols) et jusqu’aux petits animaux pluricellulaires, sont très semblables. Ainsi, nous avons trouvé sur OYAUMMO des cellules que vous appelez eucaryotes et des cellules protocaryotes très semblables à celles qu’on isole sur OYAGAA (TERRE). B.I. dans les premiers stades de l’évolution, établit des modèles quasi identiques pour les astres froids (planètes ou étoiles quasi gelées) avec des caractéristiques physiques analogues).
C’est-à-dire : imaginez un astre chaud qui passe de l’état que vous appelez étoile de la « séquence principale » à l’état de géante rouge, ensuite d’étoile à haute température et à rayon réduit et, finalement, d’astre froid non planétaire.
Nous supposons qu’il n’existe pas dans son environnement une étoile principale qui lui apporterait un haut niveau de radiation lumineuse, mais que par contre la température superficielle, due au magma intérieur et au rayonnement géologique, est de 30° en moyenne.
Même ainsi la vie sera possible. Nous avons détecté une multitude d’astres froids avec ces caractéristiques. Des astres froids dont l’unique lumière est celle qui provient d’étoiles qui apparaissent avec une grande magnitude, mais malgré tout ils n’ont pas de saison : un chaud hiver perpétuel fait d’une nuit continue.
Les espèces qui s’y trouvent sont très élémentaires. Celles qui sont pareilles aux cellulaires ont une structure semblable aux algues terrestres. Quand elles ne sont pas immergées dans leurs océans, elles peuvent même présenter une épaisse membrane ou une « carapace » qui est riche à la fois en silicium et en éléments métalliques qui seront de protection.
Ainsi donc, la flore et la faune des étoiles froides étudiées de mêmes caractéristiques, sont quasi identiques (à celles de OyaUmmo). Evidemment, sur de tels astres, l’évolution est « gelée », dit autrement, la formation d’OEMII (humains) ne sera pas possible.
Mais, cette pauvreté en patrons possibles que le B.I. laisse passer, ne se présente que dans les premiers stades de l’évolution. Imaginez-nous sur nos OYAA respectifs (TERRE et UMMO). Leur masse est analogue (et donc la gravité en surface). Les deux sont des planètes autour d’un soleil (IUEOUMMA dans notre cas) et leurs atmosphères sont très semblables. Seule la température superficielle de nos soleils présente une déviation importante. Comme nous l’avons dit, les organismes végétaux, les animaux pluricellulaires, et d’autre part les bactéries, les champignons, les algues … se ressemblent beaucoup entre eux sur les deux planètes. Si vous visitiez Ummo à part les resplendissantes aurores boréales dues à l’intense champ magnétique et l’activité volcanique inusuelle pour vous, une exploration dans la campagne ne surprendrait pas outre-mesure vos frères peu familiarisés avec la botanique et la zoologie. En tout cas, vous surprendrait l’existence des OVUAANAA (arbres) dont la taille les rapprocherait des gigantesques séquoias de la Terre. D’ailleurs l’action chlorophylienne se déroule dans la sphère végétale, de la même manière que sur Terre.
Les mousses, les myxomycètes, les cormophytes, et d’autre part les flagellés, les mésozoaires, les plathelminthes, etc, avec lesquels vous êtes familiarisés, ont sur OYAUMMO leurs espèces quasi jumelles, en écartant quelques différences morphologiques, qu’un analyste de la Terre pourrait parfois classer comme de simples sous-espèces ou variétés, à tel point que nous-mêmes en comparant les deux taxonomies, avons été surpris de la similitude à de tels niveaux.
Mais au fur et à mesure qu’on avance en complexité, les différences morphologiques s’accentuent. Des classes, comme les crustacés n’existent pas à proprement parler sur Ummo, bien qu’y figurent des animaux que vous ne pourriez pas classer aujourd’hui, et qui leur ressemblent. Par contre, y figurent des classes comme les poissons, les amphibiens, les oiseaux, les reptiles et les mammifères, que vous n’auriez aucun doute à qualifier comme telles, et cependant, vous ne pourriez trouver aucune de leurs espèces dans un parc zoologique ou un aquarium de la Terre. Dit d’une autre façon plus simpliste, aucun des animaux ou végétaux complexes d’Ummo (à part l’homme) ne pourrait se rencontrer sur la Terre et vice versa.
La phylogénie « possible » du WAAM-WAAM peut donc se représenter ainsi :
Les nœuds IBOZSOO OAO représentent les divergences possibles par mutation.
Les phylums qui s’écartent de la morphologie de l’OEMII finissent par disparaître, puisque le « destin final » de cette arborescence de phylums est l’OEMII. Toutes les possibilités convergent vers lui, grâce à des mutations même dans les branches très éloignées des hominidés, qui apparemment s’écartent sensiblement de l’anatomie humaine.
Nous allons maintenant vous révéler un aspect de la biogénétique qui, si quelque expert d’OYAGAA le lisait, serait considéré par lui comme une inadmissible aberration, une hérésie inconcevable dans le contexte de la génétique terrestre.
La réserve génétique d’une espèce, d’un phylum, souffre, comme vous le savez, de dérives au long du temps, de mutations, de migrations, de phénomènes de sélection par l’action du milieu ambiant…
Il pourrait sembler que les différentes classes d’animaux pourraient évoluer, en se perfectionnant bien sûr, mais en s’éloignant chaque fois plus de la forme hominienne. Il ne semblerait pas étonnant à vos biologistes que les actuels équidés se transforment par des mutations successives en animaux plus sveltes et plus corticalisés mais très différents de l’anatomie des humains.
Il n’en est pas ainsi : les différentes espèces, par l’évolution, doivent converger nécessairement vers des structures hominiennes. Vous pouvez le constater sur le graphique. Si, sur OYAGAA une branche de protomammifères dériva en branches successives de mammifères, si l’un de ces phylums se transforme en primates, si de ceux-ci dérivèrent les divers hominidés jusqu’à arriver à l’Homo habilis et aux branches ultérieures, ce fut parce que des mécanismes de sélection et des patrons du B.B. accélérèrent la transformation dans cette dérive du génotype. Tôt ou tard les autres animaux auraient fini par se transformer en êtres très semblables à l’Homo sapiens.
Autrement dit : Si les OEMII de la Terre disparaissaient, en même temps que les pongidés, les cercopithèques, les platyrrhiniens, et même le reste des mammifères, les classes restantes finiraient par se cristalliser en nouveaux OEMII (grâce à une ramification plus accélérée au début).
Ceci ne veut pas dire que tous les OEMII soient identiques. Au contraire, il apparaît des différences anatomophysiologiques parfois très sensibles. Par exemple, nous autres OEMII d’UMMO, présentons des différences génotypiques et par conséquent phénotypiques accusées. Si un médecin de la Terre nous examinait, il observerait des particularités surprenantes. De la même façon, un hominien dérivé en plusieurs millions d’années à partir d’un gastéropode présenterait d’autres singularités anatomiques significatives.
Deux OEMII provenant de réseaux sociaux planétaires différents ne peuvent pas s’apparier pour la seule raison d’avoir un sexe différent et une morphologie quasi identique. Ainsi : une femme d’Ummo et un homme de la Terre seraient incapables d’engendrer des enfants sans caractères tératologiques. Seule une manipulation de notre part du génome des deux planètes pourrait donner comme fruit une espèce stable (Nos UA (lois morales) interdisent aujourd’hui une telle possibilité).
L’OEMII est donc l’ultime produit de l’évolution. Mais un humain peut à son tour évoluer en perfectionnant son neuroencéphale et, bien sûr, le reste du phénotype (vous-mêmes êtes précisément dans une phase précoce de cette évolution du phylum Homo). Ce qui se passe, c’est qu’à partir d’un point du processus de corticalisation (développement du cortex et par conséquent de l’intelligence), l’humain arrive à comprendre les bases biogénétiques du cosmos et atteint les bases théoriques et pratiques pour modifier son propre génome sans avoir besoin d’espérer que le processus normal de dérive, de mutation et de sélection, l’altère et le perfectionne.
AYUBAAYII : Nous avons déjà dit que c’est un être vivant, mais sur UMMO ce phonème représente beaucoup plus. Sa signification exacte serait :
AYUBAAYII : réseau d’entités dont l’entropie est négative, autoreproductibles,
et qui contiennent en leur sein une information codée au niveau biomoléculaire.
AYUBAAYII est par exemple un animal supérieur, comme l’OEMII lui-même, mais aussi une colonie de virus, un groupe de fourmis (c’est-à-dire son espèce), l’association d’un parasite avec son hôte, un groupe de personnes humaines, ou l’ensemble total des êtres vivants qui peuplent un astre froid. C’est-à-dire que l’AYUUBAAYII est mathématiquement « l’ensemble » mais aussi n’importe quel « sous-ensemble ».
Mais, ce qui caractérise réellement l’AYOUBAAYII, ce n’est pas d’être un simple agrégat d’êtres vivants, mais que ce réseau soit dirigé, modulé, guidé par la WAAM (UNIVERS DE MASSE INFINIE ET DE RAYON CONSTANT).
L’évolution d’un réseau d’êtres vivants sur une planète froide ou une étoile froide n’est pas régie par les simples lois du hasard. Les organismes envoient des données au sujet de l’environnement au WAAM . Celui-ci traite ces données et répond en envoyant des signaux (des patrons de comportement) pour l’évolution. Ce processus, nous l’appelerons en terrien en utilisant un néologisme (!) : ORTHOGÉNÈSE.
Ainsi un AYAUUBAAI comme l’OEMII est un agglomérat de cellules en unités histologiques qui constituent les organes et les structures de soutien, mais le RESEAU est supervisé dans sa structure par dont nous parlerons plus extensivement.
WAAM : c’est sans aucun doute l’Univers le plus important de la création de WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU). WAAM est un univers singulier, l’un des univers du waam-waam (adjacent cependant à WAAM et relié aux autres waam grâce à l’existence dans ceux-ci d’une masse imaginaire
WAAM a une masse infinie qui se divise en parties égales en MASSE DE MATIÈRE et MASSE d’ANTIMATIÈRE (+ m et – m). Son rayon est constant et il ne possède pas de masse imaginaire. La vitesse du photon en son sein est infinie. (Le concept de masse infinie se réfère à la totalité de cet univers ; cela ne veut pas dire que les singularités massiques de cet univers soient hyperdenses). C’est l’unique univers, en plus du WAAM , où le concept d’AYUUBAAYII (réseau vivant) n’a aucun sens. (Exprimé en termes courants : ici il n’existe aucune galaxie, planète, animal ou végétal, roche ou possière. Nous allons essayer de décrire le WAAM .
Si nous pouvions « voir » ou pénétrer dans cet Univers si étrange, nous apercevrions un conglomérat confus de filaments et de nodules flottants dans l’espace. Une partie de ces filaments est de masse (+ M) et une partie de masse (- M). Cela nous surprendrait d’observer que se produit une « explosion » quand certaines de ces fibres entrent en contact. (En réalité, c’est la dispersion de nodules et de filaments et la libération d’énergie qui contribue à ce que les filaments et les nodules voisins s’éloignent entre eux en compensant leur attraction gravitationnelle.) Cela nous surprendrait d’observer entre ces faisceaux de filaments des flux de quantons de grande énergie qui se propagent à une vitesse infinie. (Il est nécessaire de préciser que le concept mathématique d’INFINI ∞ a ici – monde physique – une signification réelle quelque peu différente. Un exemple pourrait peut-être illustrer ce que nous voulons dire. Une valeur telle que 12n, en prenant pour « n » n’importe quelle valeur supérieure à un quintillion [1030] -approximativement-, sera considérée par les physiciens d’Ummo comme AIGIOXAA « infinie » ; un concept différent d’AIGIOXUOC (l’infini mathématique) pour lequel « n » aurait une valeur supérieure à n’importe laquelle que vous pourriez imaginer).
Les GOOINUU UXGIIGII sont ces filaments pourvus de masse situés dans un cadre tridimensionnel.
Si nous pouvions les visualiser, leurs formes seraient approximativement ainsi :
Les nodules doivent avoir une densité (en unités de la Terre) de 1018,3 grammes/cm³ [Ndt : 2.1018] (densité se référant au cadre tridimensionnel de notre WAAM) valeur qui atteindrait dans notre Univers celle d’une étoile à neutrons.
La masse filamenteuse peut atteindre des densités entre 107,2 et 105,8 g/cm³ [Ndt : 1,6.107 <–> 0,63.106].
Le filament entre deux nodules peut entrer en vibration longitudinale périodique (propagation axiale) oscillant en onde stationnaire. Cette oscillation a une signification d’INFORMATION. Exprimé d’une autre façon : GOOINUU UGIIIGI (chaîne massique) code et décode l’information, la stockant dans sa zone filamenteuse et l’éjectant ou la consommant par chaque paire de nodules.
Nous disons qu’un observateur enregistrerait ces grandes chaînes se croisant dans l’espace sans se toucher -sauf en de rares occasions- et pourrait mesurer une température dans leur masse telle qu’elle leur permet d’émettre des quantons énergétiques (photons). (Observez que dans ces chaînes, la matière, sauf dans les sections filamenteuses, n’est pas formée d’atomes mais de particules fortement comprimées sans charge électrique. Il n’existe donc pas de couronnes électroniques ni donc d’orbitales dont les électrons puissent émettre de l’énergie quantifiée en changeant de niveau.) La source d’énergie thermique est constituée des impacts de masses (+) avec des masses (-).
Mais la conception globale de cette structure est plus complexe. Le cadre réel est pentadimensionnel. Un réseau d’ibozsoo uhu pourrait se concevoir dans l’hyperespace des trois dimensions plus le temps, plus OAWOO (dimension orientée des I.U.) comme de véritables « membranes » (XOODII) qui unirait les « nodules » cités entre eux.
Ce réseau hyperspatial complexe possède les fonctions suivantes :
– ENREGISTRER L’INFORMATION (la stocker),
– TRAITER LES DONNÉES (étant donné qu’il est formé d’authentiques amplificateurs photoniques).
De tels XOODII sont en réalité des réseaux d’I.U. qui présentent la particularité de fournir d’immenses quantités d’énergie !!! NON QUANTIFIÉE !!! quand le réseau est excité par un seul photon (quanton).
Nous appelons LEEIIYO WAAM (Effet Frontière) une famille de phénomènes qui se passent dans le XOODI WAAM (frontière ou membrane entre deux cosmos « adjacents » (qui peuvent intercommuniquer).
Les effets frontières « observables » sont nombreux :
[Il en existe beaucoup plus qui n’ont pas encore été observés par nos scientifiques]
Quelques LEIIYO WAAM :
– La masse « imaginaire » d’un WAAM peut provoquer des effets de plissement et de « pression » sur un autre WAAM.
– Une pression critique de valeur supérieure à quinze millions d’atmosphères en synchronisme avec un champ magnétique intense OXAAIUYU provoque un LEEIIYO (changement d’axes des I.U.), ce qui explique la OAUOOLE IBOZOO (Inversion corpusculaire qui permet à nos nefs de voyager par l’intermédiaire d’un autre WAAM).
– Le plus transcendant « LEEIYO WAAM » (effet frontière) se manifeste grâce à l’existence de deux facteurs attachés aux êtres vivants (des nuages d’atomes de Kr).
– BAAYIODUU relie le génome d’un être vivant au .
– OEMVUUAUW relie le cerveau à et à .
Aussi bien le BAAYIODUU que le OEMVUAUW, moyennant leurs sauts quantiques codés, excitent une région du WAAM . En réalité, ils excitent ou stimulent au moyen d’apport d’information la XXODII de cet environnement. Le transfert s’effectue par l’inversion d’un saut quantique codé (dans notre WAAM) en un photon dans le sein de l’autre WAAM .
Ce photon est « inversé » par XXODII et transformé en un flux macrophysique d’énergie (un peu semblable à ce qui se passe dans notre WAAM quand un photon tombe sur un cristal en provoquant une cascade d’électrons).
La première phase du processus consiste en un enregistrement de la DONNÉE. L’information se grave sur le GOOINUU UGIIGI sous forme d’ondes stationnaires au sein de la section filamenteuse. S’ensuit après un traitement complexe de l’information, que nous développerons dans un autre rapport.
En récapitulant : Quand nous voyons, sentons ou touchons un objet comme un coquelicot, l’information passe de nos neurocepteurs au cerveau. Celui-ci traite l’information et la stocke, mais en même temps il la transfère à une chaîne d’atomes de Kr dont les électrons périphériques la reçoivent et la transmettent à un autre univers (WAAM ) base du PSYCHISME COLLECTIF) et au WAAM base de l’Âme individuelle).
WAAM est un continuum pentadimensionnel avec des singularités de masse en forme de filaments à nœuds, divisé en ‘cellules » ou « environnements » séparés entre eux (Nous ignorons la nature de cette séparation et s’il existe réellement un transfert d’information entre eux). Chaque cellule reçoit le nom de BUUAUE BIAEI (B.B.) « Esprit ou Âme collective » ().
Il existe autant de B.B. que d’AYUUBAAYII (réseaux d’êtres vivants planétaires) dans tout le WAAM-WAAM. Il y a une correspondance biunivoque entre chaque ensemble d’êtres vivants sur un astre froid et son B.B. correspondant.
Exprimons cette notion avec une plus grande amplitude didactique.
Vous les hommes de la Terre, êtes intégrés dans un Réseau vivant (la biosphère terrestre qui contient depuis le plus humble viroïde jusqu’aux mammifères supérieurs de toute espèce y compris l’Homo sapiens.
Eh bien ! dans WAAM on peut localiser spatiotemporellement une « cellule » (« gigantesque », une véritable « galaxie ») appelée par nous d’OYAGAA (B.B. ).
Tous les êtres vivants envoient de l’information à ce grand CERVEAU COSMIQUE. Le ou ÂME COLLECTIVE est plutôt un encéphale extracosmique, étrange pour vous, qui emmagasine, code, décode et traite l’information en provenance de tous les êtres vivants de la planète froide.
Mais le lien qui l’unit à une bactérie, un crabe ou une gazelle est seulement le BAAIYOODU UHU (le codage d’information dont le concept ne comprend pas seulement le nuage d’atomes de krypton mais encore son intégration dans ). Un poisson envoie de l’information sur ses gènes et le milieu ambiant, et reçoit seulement des patrons de forme ou des patrons de génotype pour moduler ses mutation. Ceci est le seul lien qui unit un animal inférieur au B.B.
Mais l’homme (OEMII) est un être qui se distingue des autres en ce que, en plus du BAAIYODUU, son cerveau possède un autre nuage d’atomes de krypton : le OEMBUUAUW (O.). O. transfère une information beaucoup plus riche à B.B. et à l’âme .
Non seulement ce qu’il perçoit, mais encore ce qu’il symbolise, réfléchit, pense, ressent. Les Idées, les symboles, les sentiments, les élaborations intellectuelles, c’est-à-dire tout le processus mental est codé simultanément dans :
– l’Encéphale
– les mémoires de l’Âme ()
– la Psyché Collective ()
Les deux premiers enregistrent seulement les perceptions et les processus intellectuels de l’individu. Le B.B intègre cette information avec celle provenant de millions d’êtres vivants de la planète.
De plus, le cerveau reçoit :
– des INSTRUCTIONS (Information directrice de l’Âme )
– de l‘INFORMATION intellectuelle et émotionnelle, produit et synthèse des traitements immenses de toute l’information des êtres vivants de la Planète où il réside.
Voyons cela sur le dessin suivant :
Comment naquit le WAAM-WAAM ? Au début fut le WAAM coexistant avec WOA (Dieu). WAAM contenait toute la masse de son univers en un noyau initial de valeur infinie (infini physique). Mais ce noyau, au contraire de celui des autres WAAM, était formé de matière et d’antimatière. C’était un Cosmion instable et, par conséquent, il explosa. E = ¥ (énergie).
L’expansion d’un cosmos est comme une bulle qui se dilate. Une membrane hypersphérique dont le rayon augmente progressivement. Vous pourriez le comparer au front de l’onde d’hyperpression qui se crée après l’explosion d’une bombe de fission-fusion-fission. (La pression interne de cette bulle à l’instant initial est infinie, mais la valeur change progressivement).
S’il n’y avait pas eu l’influence de WOA, l’expansion aurait été compensée par l’action gravifique d’une masse « infinie ». Le « cristal cosmique » initial (isotrope et avec une densité constante de (+ m et – m) se serait collapsé à l’instant même où aurait commencé l’expansion isotrope.
C’est ici que WOA intervint en introduisant une anisotropie induite « intelligemment » : la CRÉATION.
WOA induisit uniquement une asymétrie. Nous verrons ensuite comment, en une boucle que vous appeleriez cybernétique, le COSMOS « se réfléchit sur lui-même« , c’est-à-dire « AUTOCAPTE de l’information sur sa structure » et s’autocorrige grâce à cet acte de réflexion interne.
Du fait de cette perturbation induite par WOA, cet Univers cesse de présenter la caractéristique cristallocosmique, les masses de signe différent entrent en collision et l’énergie résultante sert à (en contribuant à l’expansion du système) contrecarrer le collapse gravitationnel.
L’asymétrie ou l’anisotropie du WAAM exerce son influence sur les WAAM adjacents. Ceux-ci au moment de l’explosion, auraient également tendance à se transformer en cristaux cosmiques isotropes.
La perturbation ou plissement d’un WAAM se produit au moment de l’explosion quand, une petite fraction de temps après l’expansion initiale, la Membrane ou « bulle » présente une pression critique d’environ 15.445.000 atmosphères (unité de la Terre), Pression critique appelée AADAGIOUU (pression qui est sensiblement inférieure à celle qui apparaît à l’instant zéro, quand toute la masse du WAAM est concentrée en un point hypermassique).
Dans la naissance du WAAM (notre Univers) nous devons donc considérer deux instants critiques d’interaction avec le WAAM :
– Instant initial : hypermasse ponctuelle (elle explose sous l’action du WAAM ),
– Instant de l’anisotropie initiale
(Il se produit une pression au dessus de quelques quinze millions de kilogrammes-poids par cm carré (unité de la Terre) qui donne lieu à l’annihilation de l’isotropie initiale)
Cet instant est critique. Il apparaît les particules subatomiques et les quantons énergétiques qui formeront postérieurement par accrétion des nuages de gaz, de la poussière et les galaxies quand le gaz se condense en étoiles (cette phase est assez bien connue par les astrophysiciens d’OYAGAA (la Terre).
La fonction du WAAM est donc transcendante. Non seulement, il agit par l’intermédiaire du B.B. , comme nous le verrons ensuite, sur les êtres vivants, mais encore par dessus tout il rend possible l’existence du Pluriunivers.
Maintenant vous pouvez faire une synthèse de toutes les fonctions (connues) du WAAM . Nous utiliserons un langage didactique :
le WAAM rend possible la richesse organisatrice du pluriunivers. Sans lui, le WAAM-WAAM serait un réseau de points hypermassiques et il n’existerait ni galaxies, ni étoiles, ni êtres vivants, pas de « choses » en résumé. WAAM module grâce aux « LEEIYO WAAM » (les effets frontière ») les configurations du cosmos multiplanaire dans lequel WOA devient RÉALITÉ.
Le WAAM-WAAM divise en, multiples B.B., reçoit une INFORMATION très variée en provenance des êtres vivants qui peuplent l’Univers multiple. Observez qu’en RECEVANT de l’INFORMATION de ces êtres, il reçoit en réalité des données sur le WAAM-WAAM lui-même, observé par ceux-ci.
Chaque B.B. reçoit par dessus tout un flux d’information très important, celle émanant des OEMII ou êtres rationnels qui habitent le WAAM-WAAM, leurs processus intellectuels, leurs perceptions du monde qui les entoure, leurs sentiments, etc…
Le WAAM traite cette information, la morcelant dans ses différents B.B. , et élabore des patrons morphologiques, et des sentiments et symboles universels, des idées patrons…
Chaque B.B. envoie ses patrons biologiques aux êtres vivants pour guider (ORTHOGENESE) l‘évolution de chaque Astre froid. Chaque B.B. expédie aussi ses idées universelles, sentiments collectifs, inductions grégaires, idées patrons morales, etc, à tous les OEMII. OUI, les lois morales sont « écrites » avant l’Envoyé de WOA sur chaque planète à biosphère intelligente.
Ainsi s’explique la communication extrasensorielle, que vous appelez également télépathie, entre les êtres intelligents du même Astre froid.
Un dessin synthétise de manière didactique ces fonctions :
Parlons maintenant de la CONSCIENCE (que nous appelons de différents mots, usuellement EEXEE OA).
L’OEMII, comme n’importe quel être vivant, est un réseau d’ibozsoo uhu spatiotemporel et néguentropique. Dit autrement, son évolution dans le temps est telle que l’entropie interne (perte d’information) se réduit au lieu d’augmenter comme cela se passe dans un cristal, une roche ou une galaxie. Cela veut dire que nous percevons l’écoulement du temps en fonction de deux états E1 et E2 d’entropie dans lesquels le second est inférieur au premier. Il s’est produit dans l’intervalle une diminution d’entropie, c.à.d. une augmentation d’INFORMATION ∆I.
Nous ne percevons pas réellement le temps, mais l’enrichissement d’information. C’est la raison pour laquelle quand vous vous ennuyez le temps s’écoule lentement (l’augmentation d’information est minime).
La perception du temps est « inexistante » entre deux états dans une anesthésie totale où E1 ≈ E2.
Au contraire, quand nous vivons intensément (enrichissement en information), le temps paraît s’écouler plus vite. Pour certains malades à dégénérescence du tissu neuronique (par exemple ceux qui sont atteints de ce que vous appelez la démence sénile), le temps s’écoule en arrière (entropie positive) ; c’est pratiquement un cadavre, puisqu’il se transforme en être entropique.
L’information de notre esprit est transférée également à la psyché . Là-bas, elle est enregistrée sur des réseaux filamenteux d’IBOZSOO UHU. C’est à dire sur des chaînes d’IBOZSOO UHU. De même cette « structure filamenteuse » apparaît sur la séquence d’I.U. qui interagit avec nous ou nous dirige. Chacune de ces chaînes d’I.U. est composée d’une infinité (au sens physique) d’angles qui codent l’information.
Il existe, comme vous pouvez le voir sur le graphique, une correspondance biunivoque entre les instants de l’axe du temps (le temps est unifié en tant que discret) et les IBOZSOOUHUU de la psyché . Le temps dans l’Univers est formé d’une succession discrète de QUANTONS TEMPORELS ∆t, dont chacun est en relation avec la paire d’I.U. qui code les instructions que l’âme envoie.
&&&Sur le graphique, nous pouvons voir de manière didactique comment les instructions sont séquencées, instant par instant (I.U. à I.U.) ∆t, de sorte que, considérant notre « moi » comme un grand tunnel spatiotemporel, la conscience va en ILLUMINANT les sections successives de cette grande galerie. Nous pouvons imaginer que ce tunnel possède de nombreuses portes ; chacune d’elles représente l’organe neurocepteur lui-même tout au long des instants successifs.
Par la porte (les portes : au long du temps : la Vue par exemple) entrent des images successives. Notre cerveau va en s’enrichissant de perceptions visuelles. Chaque jour qui passe j’ai vu un nouveau visage, un objet que n’avais pas vu auparavant. La galerie va en s’enrichissant « d’objets », de « meubles ».
Quand un homme avec sa lanterne illumine une section du grand tunnel (OEMII OEVUMAEI : homme spatiotemporel), il capte non seulement le « meuble » qui vient d’entrer par cette porte (image nouvelle perçue) mais également par l’intermédiaire d’un « miroir » : la MÉMOIRE, les « meubles » qui sont DERRIÈRE (jamais ceux de devant : le futur).
La conscience est donc séquentielle, elle progresse dans le temps grâce à la structure filamenteuse (chaîne ou fil) des I.U. de notre psyché , (c’est comme un rosaire des catholiques ou une « japa » des hindous qui égrène les grains de la prière un à un séquentiellement).
LA MORT (ESCHATOLOGIE D’UMMO)
Quand se produit une destruction des derniers éléments du réseau de krypton (non pas l’annihilation des atomes mais celle des nœuds du réseau), la mort survient. Cette annihilation coïncide précisément avec la désintégration de certains réseaux neuroniques de l’encéphale. (un arrêt cardiaque implique l’absence d’irrigation sanguine, un manque d’apport d’oxygène et de glucose au réseau histologique neuronique, la dégénérescence tissulaire et la mort).
La mort de l’OEMII coïncide donc avec la désintégration de l’OEMBUUAAW (les atomes de Kr retournent à leur comportement quantique), UN EFFET FRONTIÈRE DISPARAÎT donc, et apparaît un quatrième effet « LEEIYO WAAM ».
Un réseau d’I.U. s’intègre entre les deux WAAM-WAAM adjacents : WAAM et WAAM , L’âme et B.B. se relient entre eux. Ceci veut dire, comme nous le révélons dans un autre rapport, que notre psyché accède au stade maximal d’intégration dans le psychisme collectif.
Ceci est le sens de la transcendance sur Ummo. Nous savons qu’à notre mort surviendra une fusion, une intégration, une liaison étroite de la psyché, de notre esprit (ni matériel ni immatériel mais matrice de toute l’information de notre vie) avec le psychisme collectif « universel ».
Nous pourrons nous connecter plus intensément avec les êtres chers, communiquer avec les esprits des autres frères décédés, participer à la connaissance planétaire de toute la biosphère, non seulement des OEMII qui viennent de mourir, mais encore avec tous les humains depuis que naquit la vie sur OYAUMMO (et, bien sûr, pour vous, depuis les Homo habilis jusqu’au dernier de vos frères).
Est également possible la connaissance du monde réel y compris des êtres vivants puisque B.B. est informé de tout le processus vivant des êtres qui ne sont pas encore décédés. Ceci signifie que l’OEMII décédé, par l’intermédiaire de sa psyché peut d’une certaine façon influencer ses êtres les plus chers grâce aux inconscients et, à un certain degré aussi les choses qui les entourent, dans la mesure où la biosphère modifie le milieu physique ambiant par l’intermédiaire des êtres vivants.
B.B. est le Psychisme collectif. Nous pouvons également l’appeler subconscient ou inconscient collectif, dans la mesure où ses contenus sont opérationnels mais ne sont pas rendus conscients à nous autres ÊTRES-VIVANTS.
Le Psychisme d’un être frère décédé peut, et de fait le fait parfois, nous assister, nous protéger et parfois en interagissant de façon TRÈS ACTIVE, mais la plupart du temps, en modulant doucement notre inconscient à travers l’information que nous recevons du BB .
Le psychisme ou l’âme, libérée des liens du O. et du OEMII (ou corps physique) – déjà décomposé -, commence une étape éternelle de connaissance joyeuse de B.B., non seulement il assimilera au fur et à mesure une culture millénaire accumulée par des siècles de vie de tous les êtres humains, mais encore il pénètrera dans la science, l’art, en somme toute la culture d’une humanité planétaire. Il resentira sans doute aussi les souffrances, mais compensées par la profonde connaissance des U.A. et vies morales et euthymiques des êtres.
De plus : comme participant au WAAM , il pourra accéder aux éternels secrets de tout le WAAM-WAAM, assistant à l’évolution perpétuelle de ses galaxies, étoiles et formations massiques diverses.
Qu’arrivera-t-il quand l’humanité de la Terre disparaîtra ? Nous ne le savons pas d’un point de vue scientifique ; mais la révélation d’UMMOWOA nous dit que le s’intégrera à son tour dans les autres B.B. correspondants aux nombreuses autres biosphères planétaires disparues. Nous pouvons noter cela dans les U.A. suivants : (les U.A. sont de sublimes maximes morales dictées par le divin Ummowoa).
UAA
TAAUU 1854 « Et l’inconscient planétaire dans ses lointaines régions nous illuminera d’une éclatante morale qu’il nous est difficile d’assumer. Puisqu’en lui est gravée toute la loi dictée par WOA pour tous les OEMII. En lui sont enregistrées les actions des OEMII, celles qui sont conformes à l’éthique et celles qui violent les principes sociaux inévitables, puisque tous ceux qui par leur conduite rompent avec mes divins TAAUU, provoquent une régression de caractère entropique ; avilissent leur propre WAAM »(cosmos = peut se traduire par CADRE SOCIAL, MILIEU physique).
TAAUU 1860 « Mais la désintégration de l’OEMII surviendra un jour, comme vous le savez tous. Comment pourriez-vous savoir quand cette minute (UIW) arrivera ? Votre âme se fondra alors dans l’Inconscient collectif, en participant à des joies planétaires et, hélas aussi à ses tristesses, mais aussi au plaisir d’appréhender toute la masse immense d’information intellectuelle et de voir réfléchie sur une surface d’argent–titane (alliage qui sert de miroir) toute la loi UAAA (morale)de l’Univers polynucléaire dans lequel vous êtes insérés ».
TAAU 1868 « De plus, un jour, toute la sphère vivante sur UMMO sera victime d’un terrible cataclysme qui annihilera les fondements, non seulement de votre civilisation, mais encore l’essence génétique elle-même des êtres vivants. La glace d’eau recouvrira la surface des continents, avec plusieurs ENMOO d’épaisseur (unité de longueur sur UMMO [note de notre part)] en de nombreux endroits, et la désintégration de la vie sera devenue réalité.
Ce sera le point d’inflexion à partir duquel l’inconscient collectif, qui au début flottait solitaire dans l’océan de son cosmos (« ‘il se référait à WAAM « ), se fondra avec les autres inconscients collectifs des humanités et des réseaux_animaux éteints qui habitaient sur de lointains OYAA (astres froids) et la participation de votre âme à l’œuvre de WOA atteindra un degré de perfection le plus sur le lent cheminement vers l’éternité ».
Quand ces TAAUU ont été dictés, nos scientifiques n’avaient qu’une vague conception de la Cosmologie. Ils ne savaient pas qu’il existait plus d’un Univers. Entendre parler d’autres cosmos semblait une métaphore qui représentait les autres mondes habités. Mais notre Science a confirmé au fur et à mesure les images divines et un peu métaphoriques de notre divin UMMOWOA.
Aujourd’hui cependant, de la fusion future des B.B. distincts, nous n’en savons que cet OEMII, bon et saint entre les saints, nous révéla d’une façon un peu ambiguë.
Vous les OEMII de la Terre, connaissez bien les interrogations des penseurs d’OYAAGAA. Pendant des siècles, vos philosophes se sont interrogés au sujet des questions les plus transcendantes qu’un être humain puisse se poser : Qui sommes-nous ? Où allons-nous ? D’où venons-nous ? Pourquoi sommes-nous dans ce monde ?
Nous désirerions maintenant vous offrir les demi-réponses que nos scientifiques (la science et la philosophie se sont fondues sur OYAUMMO) offrent à l’être humanisé.
LISEZ AVEC ATTENTION CES PARAGRAPHES.
Réponse philosophique à la première phase de notre conception :
Nous autres, nous PENSONS : (nous n’avons pas pu le constater scientifiquement, bien que les TAAU d’Ummowoa nous offrent en plus la réponse) que WOA se réalise ainsi lui-même en engendrant le WAAM-WAAM (Ummowoa a dit le Cosmos et l’Anticosmos). WOA et le WAAM-WAAM coexistent dans l’éternité, nous ne pensons pas que Dieu (générateur) soit « avant » ou « après » l’UNIVERS (polynucléaire, comme le dit Ummowoa de façon cryptée). (Parfois dans certains TAAU l’homme divin parle d’Univers-Anti-Univers, d’autre fois il parle d’IBOZSOCAOWAAM (UNIVERS POLYPONCTUEL ou POLYNUCLÉAIRE, cette dernière acception resta une énigme jusqu’à ce que les scientifiques découvrent le WAAM-WAAM.
WOA ne peut pas exister « avant », en premier lieu parce que le concept de temps est inadéquat pour un être adimensionnel, mais en plus parce que « WOA ne peut subir de changements« . Imaginez que dans une première phase Dieu n’a pas encore tout engendré, et qu’ensuite » oui, il le fait, équivaut à concevoir une unité changeante : plus imparfaite dans un premier stade.
WOA coexiste donc avec un WAAM-WAAM engendré par lui.
WOA existe. Pas dans le temps. Il existe et c’est tout ! L’Univers multiplanaire existe comme un tout décadimensionnel qui inclut le temps. (Cela n’a pas de sens de croire que le cosmos va en évoluant lentement pendant que WOA va en l’engendrant progressivement. L’illusion de l’écoulement du temps est propre aux êtres vivants)
WOA conçoit un multicosmos qui a ce profil :
.. et capable de s’enrichir ainsi soi-même en information (l’axe des abcisses représente le Temps. L’axe des ordonnées symbolise l’INFORMATION AUTOACQUISE.)
Comment peut-on concevoir qu’un système soit capable d’autogénérer l’information, se rendant ainsi intelligent lui-même ? Notre réponse philosophique est que cette information est « l’information » que WOA possède dans son infinitude, elle est un reflet de l’intelligence de WOA. (Observez que la fonction représentée dans ce graphique peut s’intégrer entre zéro et l’infini :
La différence réside en ce que le WAAM-WAAM ne peut pas être WOA et a besoin de progresser dans la « connaissance » tandis que, dans WOA atemporel, l’information est intégrée en lui (pleinement).
WOA engendre donc un Univers multiple AUTOCONSCIENT capable de s’autocorriger en une boucle cybernétique. Mais, comment une masse de galaxie et de poussière cosmique peut-elle devenir autoconsciente ?
Evidemment, un processus entropique ne peut jamais se rendre « conscient« . La conscience implique la complexité et un haut niveau d’information et d’intelligence (l’entropie est désordre). Un système entropique comme une étoile ou un nuage de gaz, centrifuge l’information, il se dégrade. Il ne pourrait jamais se rendre conscient.
Il est nécessaire de « créer » des systèmes néguentropiques (des systèmes qui vont en s’enrichissant en information, INFORMATION CENTRIPÈTE, aux dépens du milieu). L’intelligence élevée de WOA exige que ces systèmes se développent avec un effort intellectuel minimal.
La façon de l’obtenir est d’ENGENDRER UN COSMOS ANISOTROPE, irrégulier. Voyons un exemple : Agitez la poussière dans une habitation. Des millions de volutes de particules s’agiteront dans l’habitation. Dans certaines zones, la poussière se disperse, s’étend (Entropie), dans d’autres, – les moins nombreuses – la poussière peut se concentrer en formant des arabesques ravissantes, des volutes de formes variées (concentrations d’information = néguentropie)
CE QUE DIT NOTRE SCIENCE :
Effectivement, s’engendre WAAM qui, comme vous le savez, distord les autres Univers, créant des singularités de masse, les galaxies et les étoiles qui en font partie au moyen d’une flaque de gaz.
Mais, en des endroits spécifiques, surgissent PAR HASARD des êtres néguentropiques.
Parmi un flux sauvage d’entropie, de petites parties de l’Univers s’écoulent en sens inverse, gagnant de l’information au lieu de le perdre, et ces nodules {êtres vivants sur des OYAA (Astres froids)} arrivent à se perfectionner parfois jusqu’à se rendre CONSCIENTS.
Mais, à quoi sert la CONSCIENCE ? Nous croyons de manière illusoire que c’est pour notre service personnel. Nous sentons, nous visualisons, nous touchons, du jasmin – nous croyons que c’est pour votre plaisir (le plaisir joue ici le rôle de miroir aux alouettes pour nous inciter à goûter et sentir), mais en réalité, nous percevons, nous ressentons pour :
==> le service du WAAM-WAAM.
En effet :
les êtres vivants par l’intermédiaire de leurs transducteurs, c’est-à-dire les neurocepteurs récepteurs de modèles d’information (les organes des sens), captent la structure de l’Univers.
– Cette information est envoyée au B.B.
– intégrée et traitée dans le WAAM
– qui, à son tour, engendre des modèles d’action sur le WAAM-WAAM.
Se ferme ainsi une boucle cybernétique.
Vous pouvez maintenant comprendre la grandeur de la Création de WOA. Dieu a créé un univers autoconscient qui se corrige ainsi lui-même en se perfectionnant. Le Multicosmos est comme un gigantesque organisme, doté d’un cerveau, le WAAM ; d’organes sensoriels : les êtres vivants, d’effecteurs (organes moteurs) ; de perturbateurs (la masse imaginaire) capables de modifier la structure de l’univers en pliant spatiotemporellement son continuum dimensionnel ; et enfin de son propre corps : l’ensemble ou le réseau de Cosmos qui forment sa structure.
Tout ce macroorganisme possède une âme : le WAAM dont les psychés individuelles finissent par moduler la structure du WAAM.
Maintenant vous pouvez comprendre pourquoi nous vous avons dit, dans d’autres rapports, que l’OEMII peut modifier son propre Univers en l’observant.
Nous sommes de simples instruments d’un être grandiose qui naquit pour refléter tout le pouvoir infini de WOA, et en mourant, nous intégrer dans le savoir infini de WOA reflété dans l’Univers décadimensionnel et multiplanaire. Si nous ne voyions pas, ne sentions pas et ne touchions pas, le Cosmos se résoudrait en un chaos infini sans formes ni flux d’énergie. Ceci serait la preuve la plus palpable de « l’oligophrénie » de Dieu.
SYMBOLES ABRÉGÉS
A = AIUUBAHAYII (Réseau d’êtres vivants ou ÊTRE vivant )
B.B. = BUUAUWEE BIAEII (Psychisme collectif) O U
I.U. = IBOZSOO UHUU (Sous particules élémentaires )
B.I. = BAA IYODUHU (Facteur d’union entre B.B. et les chromosomes
- = OEEMBUUAW (Facteur de krypton qui unit B.B. avec l’encéphale d’un OEMII
WAAM-WAAM est la création de WOA, la création de l’OEMII d’une certaine façon puisque avec notre pensée nous contribuons avec les autres quintillions (1030) d’humains dans la pluralité de cosmos, à le remodeler. Notre fonction d’être conscient est de servir d’yeux, d’oreilles, d’organes olfactif… à ce grandiose cerveau qu’est WAAM à l’intérieur de ce non moins grandiose ORGANISME VIVANT qui est l’œuvre de WOA : le WAAM-WAAM.
Il est nécessaire de préciser le rôle que joue la masse imaginaire dans le Cosmos multiple.
De la même manière qu’un animal reçoit de l’information et ensuite la traite pour finalement exercer son action par l’intermédiaire de ses organes moteurs : pieds, bras, mandibules, sur le milieu (boucle cybernétique). Nous avons également vu que les êtres vivants agissent en recevant de l’information, et en la réexpédiant au B.B. dans le WAAM .
Il est déjà évident pour nous que la fonction transcendante de B.B. n’est pas précisément de coordonner un réseau d’êtres vivants dans ce développement de l’information que nous appelons Psychisme ou inconscient collectif.
La fonction véritable du WAAM est de servir d’ENCÉPHALE au WAAM-WAAM, mais tout être vivant reçoit de l’information, la traite et AGIT sur le milieu qui l’informe en le transformant.
Le WAAM-WAAM fait de même, et se sert d’une entité qui est, jusqu’à aujourd’hui seulement, pressentie par les physiciens de la Terre, et qui est la masse imaginaire.
Masse « imaginaire » ± √ – 1 m ne signifie pas (comme le savent vos frères mathématiciens) qu’il s’agit de MASSE « mythique » ou « imaginée ». Au contraire son existence est BIEN « réelle », c’est seulement que vous ne pouvez pas la toucher ni la sentir puisqu’elle ne se trouve pas dans le cadre tridimensionnel que vous percevez. Une propriété de cette masse est qu’elle peut se déplacer à des vitesses supérieures à celles d’un photon. La masse imaginaire est un réseau singulier d’I.U. (Ce n’est qu’en connaissant la théorie des IBOOZSOO-UHUU que vous pourriez comprendre sa fonction d’interrelation entre les Univers.)
Une particule de telle masse s’écoule dans le temps « à l’envers« , et sa situation stable ou d’énergie minimale est la vitesse infinie. Il n’existe pas d’êtres vivants de masse imaginaire, mais s’ils existaient, leur repos paradoxal serait la vitesse infinie (infini mathématique).
Le réseau d’ibozsoo uhu agglutine ensemble les Cosmos, il agit comme courroie de transmission d’énergie entre eux. (Quand se déplace à de « petites vitesses », la masse imaginaire se manifeste dans l’un des cosmos jumeaux mais en réalité elle opère toujours entre deux cosmos. Parfois, vous vous êtes demandé : comment un univers peut-il produire des plissements dans un autre ? Cet effet frontière, c’est la masse imaginaire qui le produit.
Ou bien vous vous demanderez : Comment est-il possible que les électrons d’un atome de krypton se comportent dans le B.I. et dans le O. de façon si particulière ? Ce sont les sousparticules de masse imaginaire qui, de « l’autre côté » de la frontière, exercent cette action.
C’est uniquement quand cette masse n’est pas dans son « état » d’énergie minimale (V=∞) que s’exerce l’action intercosmique (quand √ – m atteint exactement la vitesse de la lumière dans le cosmos qu’elle est insérée, son énergie associée atteindrait une valeur infinie, chose qui dans la réalité n’arrive jamais.
L’effet frontière IYODUHU (B.I.) est encore plus complexe que celui découlant de l’action intercosmique. BAA IYOODUHU était considérée dans l’Antiquité comme un réseau d’atomes de krypton capables de recevoir l’information et d’enregistrer des patrons phylogénétiques d’êtres vivants.
De façon évidente B.I. n’est pas uniquement un minuscule nuage d’atomes de krypton (86 pour chaque groupe de gènes) mais également une symbiose entre ce réseau d’I.U. et le B.B. .
Chaque paire d’atomes de Kr a une fonction spécifique. L’un d’eux code l’information qui est imprimée dans le WAAM sur l’orthogenèse des êtres vivants. Autrement dit, il code les patrons possibles de végétaux, d’animaux et d’êtres bioélémentaires.
L’autre atome de la paire capte l’information sur le milieu. Cette information arrive en provenance d’une petite masse d’eau intracellulaire ou cytoplasmique et aussi intranucléaire. Autrement dit, ce sont les molécules d’eau qui captent les trains d’ondes de diverses longueurs, non seulement celles de fréquence analogue aux dimensions de la molécule, mais également des longueurs d’onde métriques. La seconde source d’information est les biomolécules et les oligoéléments chimiques qui passent à travers la membrane cellulaire.
Ce même atome a une deuxième fonction. Les sauts quantiques au sein de cet atome altèrent le métabolisme du noyau, en ionisant l’eau du noyau et en modifiant ainsi le code du génome (en produisant, dans la séquence de nucléotides qui forment la châine de l’ADN, des mutations contrôlées.
Nous voyons que le génome d’un exemplaire de l’espèce est soumis à divers types d’influence : des mutations sauvages produites par exemple par une radiation ionisante d’origine extérieure, ou par un spécimen viral, ou par un ensemble de molécules mutagènes. Ceci en premier lieu.
Dans ces cas, le nouveau phénotype est normalement répressif, et l’individu meurt de ne pas pouvoir supporter la pression agressive du milieu écologique (il s’agit naturellement d’individus tératologiques).
D’autre part : des MUTATIONS dirigées orthogénétiquement par le B.I. qui donnent lieu à une gamme restreinte de phénotypes progressifs, plus résistants envers le milieu, puisqu’il s’agit d’êtres plus évolués (indice de néguentropie positif).
Naturellement, bien que rares, les mutations du premier ordre : les sauvages, peuvent aussi être positives, mais s’il n’existait pas cette modulation de B.B. , l’évolution des êtres vivants dans une biosphère attendrait de nombreux milliers de millions d’années pour se développer en s’appuyant seulement sur les lois du hasard, comme le postulent certains généticiens d’OYAAGAA (la Terre).
Pendant que nous « VIVONS », nous sommes MORTS. Ceci est la conclusion à laquelle nous
sommes arrivés. Pendant notre étape vitale, bien que nous soyons libres, nous participons de manière très restreinte à l’Univers. Nous ne sommes que des récepteurs d’une fraction des connaissances que notre environnement immédiat nous offre. Nous nous croyons des êtres indépendants et nous ne sommes que de simples instruments du WAAM-WAAM. Notre fonction est de servir d’ YEUX observateurs qui scrutent une fraction de l’Univers.
Mais, en mourant, nous sommes relevés de cet esclavage pesant. Nous nous intégrons dans le WAAM , nous participons pleinement au CERVEAU du COSMOS. Nous vivrons ainsi dans la plénitude de l’intelligence de WOA. Quand Jésus de la Terre vous promet la vie éternelle, ceci est le sens que vous devez donner à ses divines paroles. Maintenant vous pouvez comprendre toute la grandeur de la UUAA (Loi Morale) dictée par Dieu.
Quand nous violons une norme divine, nous le faisons en fonction d’une attitude entropique. Tout péché social, toute faute contre ce que vous appelez la Charité (l’amour) dissout à un plus moins grand degré la coordination d’un Réseau social. Si je provoque un préjudice à mon frère, je peux provoquer une inhibition de ses fonctions observatrices, je contribue à un certain niveau à ralentir le plan de captation d’information du WAAM , c’est-à-dire je contribue à créer de l’ENTROPIE, du DÉSORDRE, en ralentissant le progrès du Pluriunivers. Il existe un principe cosmique : celui d’énergie minimale. Dans le Cosmos deux énormes tendances luttent entre elles :
ENTROPIE et NÉGUENTROPIE
Le flux universel d’entropie « entraîne le pluriunivers à la mort totale » jusqu’à ce que toutes les singularités massiques soient converties en énergie de rayonnement. Mais contre elle, lutte la néguentropie. Apparemment celle-ci est plus faible (les environnements néguentropiques de l’Univers sont comme de petites îles dans une grande mer d’écoulement d’entropie). Mais nous avons vu que ceci est une illusion, puisque dans le WAAM se produit un effet multiplicateur. De petits flux d’information modulent de grands flux de masse imaginaire, une immense énergie, de la même façon qu’un faible courant dans un transistor contrôle une intensité élevée d’électrons.
(Très important)
Le péché que vous commettez contre la société ; la violation de la loi sociale, peut provoquer des troubles graves dans le WAAM-WAAM, c’est pourquoi le divin UMMOWOA nous parle de la « colère » de Dieu (WOA) :
TAAU 357 :
« Ah ! de celui qui n’aime pas, et viole la loi morale ! (UUAA), puisque la fureur de WOA se traduira par son abandon quand mourra son OEMII (corps). Si tu perturbes ton frère, tu provoques un dommage immense à l’Univers. Tu es en train d’endommager de manière sensible l’œuvre génératrice de WOA ».
Le principe d’économie (l’entropie) nous rend égoïstes, négligents envers l’amour que nous devons à nos semblables.
Quand Jésus vous parle du Diable, celui-ci « existe ». Bien que vous ayez interprété son image de manière métaphorique ou poètique. Le diable est en réalité « tentateur ». Il représente l’Entropie. C’est le mal absolu, l’annihilation. L’enfer n’est pas autre chose que la mort sous forme de radiation de basse énergie, qui se produit dans un WAAM qui périt quand l’entropie vainc les influences de la masse imaginaire provoquées par le WAAM . Ce Cosmos (s’il est de masse hypocritique) se dissout dans le cristal cosmique ; les âmes responsables restent gelées pour toujours dans un éternel solipsisme, privées pour toujours de l’intégration dans le WAAM . Il est difficile que cela se produise, mais c’est théoriquement possible.
Maintenant, vous comprendrez pourquoi nous considérons que l’Amour est un concept qui, pour nous, transcende les valeurs purement éthiques et humanistes, pour se transformer en un concept intégré de plein droit dans la Science. Le Démon, l’enfer, le mal… sont pour vous des concepts mythiques ou pour le moins échappés du contexte de la Théologie.
Vous les avez utilisés d’une manière si incorrecte, en les personnifiant d’une manière si naïve qu’ils semblent sans importance pour beaucoup d’OEMII. Mais, nous bien que nous ne les appelions pas de la même manière, nous savons qu’ils atteignent une valeur transcendante dans le WAAM TOA (Histoire de la Cosmologie).
Celui d’entre vous qui viole la UUAA mérite la condamnation de la part de tous les OEMII du WAAM-WAAM, puisqu’il NOUS porte gravement préjudice.
(20/03/87 – sur la page 5 uniquement sur Aguirre – T13-43):
Nous ne voulons pas fatiguer votre attention. Nous savons que dans le rapport beaucoup de choses restent à clarifier. Il se peut que soit énigmatique pour vous le fait que la masse imaginaire ne soit pas capable d’avoir une interaction avec la masse du WAAM dans lequel elle existe, et cependant puisse influencer par « effet frontière » le WAAM « adjacent ». Vous désireriez sûrement plus de données sur cet organisme vivant qu’est le WAAM-WAAM, ou sur l’UWAAN ou Cosmos jumeau, qui nous est adjacent et qui possède une masse négative. Sans aucun doute, dans cette vision cosmologique, le rôle d’UMMOWOA et de Jésus vous intriguera. Nous avons à peine précisé que, dans beaucoup de WAAM, il ne semble pas s’y trouver d’OEMII, bien qu’il y ait une vie primitive et qu’il n’existe pas d’êtres de masse imaginaire mais qu’il existe des êtres d’antimatière dans les WAAM où celle-ci prédomine. Et c’est à peine si nous avons fait allusion à l’origine du GÉNOME ou réseau d’ADN.
Si vous comparez ces rapports avec ceux remis au Canada et dans la République Fédérale Allemande, ils composeront le corps de notre doctrine scientifique, sur ces points.
D791
Nous vous demandons que ce message soit conservé par votre frère Jorge Barrenechea . On ne peut qu’en faire deux copies pour vos frères Luis Jimenez et Rafael Farriols. Sa lecture s’étendra à vos frères que nous spécifions : D. Garrido, J. Aguirre, J. Dominguez, J. Jordan, J. Martinez, J. Barrenechea et toutes vos Yie.
UMMOAELEUE
Langue espagnole
Messieurs Jorge Barrenechea Juan Aguirre Juan Dominguez Julian Barrenechea.
Au cours des récents mois passés nous avons établi un réseau de contrôle et d’enregistrement des signaux phoniques émis par les membres du groupe dont vous faites partie. Des appareils miniaturisés ont été logés au domicile de certains d’entre vous et nous avons capté un nombre important en pourcentage de vos transmissions bilatérales par voie téléphonique. Nous devons aussi vous avouer que nous avons toujours disposé de systèmes capables de paramétriser [sic] les variables psychophysiologiques correspondant à la fonction encéphalique de onze personnes membres de ce micro réseau social.
En somme : Ce sous-système détecteur nous permet d’obtenir des données de valeur sur l’évolution mentale de vos relations inter-individuelles. Nous sommes en train d’effectuer un contrôle analogue sur un petit nombre de groupes sociaux répartis au Canada, Australie, France et trois autres pays de OYAGAA (Terre).
Si nous étions des OEMII (hommes) du Réseau Social de la Terre, notre comportement pourrait carrément être qualifié d’immoral. Mais notre éthique d’explorateurs provenant d’un autre système planétaire nous autorise à nous immiscer dans l’intimité d’autres êtres pour autant qu’avec un soin scrupuleux, nous veillons à notre engagement de ne pas utiliser cette information confidentielle pour nuire au Réseau social planétaire hôte.
Le processus évolutif du comportement animique et neuronal du groupe formé par vos frères et vous a pour nous un intérêt très spécial -A l’égal de celui des autres groupes cités-. Il n’est pas facile d’expliquer la signification sémantique de cet intérêt. D’une part nous avons contribué de manière décisive à la structuration de ces groupes en forçant l’inclusion de certains membres et en jugulant l’entrée d’autres de vos frères. Les critères de sélectivité que nous avons suivis ne sont pas faciles à résumer en quelques feuilles quoique nous n’écartons pas de vous les expliquer lors d’une future occasion. Sans doute vous sentirez vous intrigués par les raisons qui nous ont conduits à vous choisir, alors qu’un examen apparemment logique mais faux sur le fond déterminerait que le plus naturel de la part de quelques êtres présumés d’une autre civilisation galactique supérieure serait de se tourner vers des personnalités éminentes de l’Univers des Sciences, de la Politique et des Arts.
Il nous suffira pour le moment de vous faire remarquer que les critères de sélection n’ont pas été d’ordre aléatoire et qu’en vous concourent des caractéristiques somato-animiques très spéciales pour nous. Simultanément à ces froides raisons d’ordre scientifique un intense courant d’amitié envers vous s’est développé. Un attachement spécial qui est évidemment difficile à traduire par des canaux graphiques et verbaux de communication, mais que. Soyez sûrs que ce n’est pas une simple et courtoise déclaration métaphorique.
Notre insistance à vous exhorter à suivre une sage morale de fraternité mutuelle et d’amour fraternel entre les membres de ce groupe, n’est pas une simple déclaration éthico-religieuse de plus. analogue à tant d’autres auxquelles vous êtes habitués et provenant de diverses écoles philosophiques de pensée et ce complexe écheveau de religions déroulé dans la société de la Terre.
Notre exhortation au contraire est fondée sur des racines spécialement scientifiques. Le réseau que vous formez est spécialement opérant. Ses membres n’ont pas été choisis par hasard et dans ces conditions les modèles de conduite de chacun de vous acquièrent une signification spéciale que vous-mêmes ne pouvez pas comprendre en ce moment. Ce n’est pas une simple expérience de notre part, indépendamment du fait que nous étudions naturellement son évolution avec la plus grande attention. Si d’autre part nous vous révélions les conséquences de vos actes. nous pourrions provoquer un très fort effet de biais qui bloquerait immédiatement l’opérativité [néologisme dans le texte, ndT] du groupe.
Nous sommes conscients que ce secret introduit un dangereux élément ésotérique difficile à éviter, en conflit franc avec ce que doit être toute analyse scientifique diaphane [sic] et modelisée mathématiquement. Pourquoi devriez-vous vous sentir obligés de suivre les conseils provenant d’êtres encore inconnus ? De quelle autorité pourrions-nous exiger de vous que vous suiviez quelques normes morales déterminées dans vos interrelations sociales ?
Nous pensons que nous devons être francs dans l’exposé. Sans l’aval de raisons dialectiques diaphanes [sic], il n’existe pas la moindre raison que vous suiviez nos instructions. Nous vous invitons simplement à « Jouer » à « vous aventurer ». Naturellement n’importe qui parmi vous est libre de s’auto-exclure de cette aventure s’il la considère stérile ou dangereuse ou s’ils se sentent [sic] participer à un complexe de « cobayes » manipulés par nous.
L’unique réalité constatable est celle-ci : Des êtres non identifiés – nous – qui déclarons venir d’un astre froid appelé Ummo, vous déclarons en toute honnêteté (Honnêteté dont nous sommes certains, mais pas vous) que cela mérite un intérêt spécial de suivre les règles du jeu avec des connotations éthiques claires au sein d’un groupe réduit de frères. Et nous vous déclarons (sans le prouver, du fait de raisons complexes) que votre conduite aura une résonance spéciale dans vos vies actuelles et futures, après la mort.
Il est évident qu’après une semblable invitation, ne tiennent que deux options intelligentes et respectables. L’une prudente et réflexive qui fait peu de cas d’une exhortation cryptique provenant d’instances quasi inconnues induira par pure logique l’abandon du groupe.
L’autre, qui possédera des racines instinctives et qui décidera de pénétrer sur un terrain spéculatif glissant, pariant comme dans un jeu en suivant ses règles sans crainte d’un risque hypothétique. Remarquez que cette option est aussi intelligence que la précédente. Au cours de la longue durée du devenir de l’humain de la Terre, les grands triomphes et les avancées sont été acquis en pariant sur le risque et en s’aventurant dans le domaine de l’inconnu. ummo-sciences: D791: T14 – 2/9
D791-2 | T14- 4/9
LA VIOLATION DE LA UUAA SUR UMMO
Nous OEMMII de UMMO, pouvons aussi, tout comme vous, violer les lois d’ordre moral. Il est évident que nous ne sommes pas des êtres parfaits. Vous devriez rejeter toute image diffuse qui nous représente comme des « hommes-dieux ». Une espèce d’ « anges ultra-gentils » incapables de nuire à un autre être intelligent.
Cependant, vis-à-vis de l’objectivité scientifique, nous devons vous faire allusion à notre structure mentale, car nous ne sommes pas aussi irrationnels que vous dans nos règles de conduite. Vous ne devez pas interpréter ceci comme une injure. C’est au contraire une dénivellation [sic] explicable au travers des différences évolutives de nos réseaux sociaux respectifs.
Notre logique est beaucoup plus fonctionnelle. C’est dû à ce que dans vos environnements religieux, l’idée qu’en ayant violé vos codes de morale, vous encourrez un châtiment divin, s’acquiert par des canaux émotionnels sans trop de conviction intellectuelle. Les images eschatologiques de l’enfer ou de la loi karmique compensatrice par exemple, se diluent à des niveaux quasi inconscients éclairés tout juste par de simples déclarations spéculatives et dogmatiques des leaders religieux qui se montrent incapables d’effectuer une démonstration diaphane [sic] de leurs affirmations concertant la justice divine.
De cette façon, la crainte de violer la loi morale s’amortit intensément surtout dans le contexte théologique des religions qui offrent une vague espérance de pardon divin.
Chez nous, la conscience des conséquences d’une violation morale est éclairée à la lumière de la Science. Nous savons non seulement qu’enfreindre les UAAA implique d’exercer une nuisance insoupçonnée dans le Multicosmos au travers des fonctions amplificatrices du B.B. (Lésion qui en outre se retournera contre nous dans la vie) mais aussi qu’après la mort le processus de reconversion pour nous intégrer dans le B.B. sera très douloureux.
Il ne s’agit pas d’un châtiment dans le sens que vous octroyez à la signification de ce mot. Il ne s’agit pas d’une souffrance physique non plus, mais de la terrible distorsion du flux informatif qui affectera vos âmes, la nôtre, ou celle de n’importe quel OEMII planétaire qui s’intègre dans le B.B. après une étape de vie avec des carences graves du comportement moral, que l’on pourrait métaphoriser [sic] par ces descriptions un peu naïves mais dramatiquement graphiques que l’ancienne eschatologie chrétienne a fait de l’avenir des condamnés (Quoique dans le cas réel que nous étudions une telle reconversion ne serait pas éternelle).
Quand mes premiers frères arrivèrent sur Terre et purent s’informer au sujet de vos coutumes et des règles de conduite dans les diverses cultures, ils restèrent étonnés de la différence radicale entre les exposés que vous aviez coutume de faire de la Justice exercée par les établissements sociaux et le traitement judiciaire de la conduite de vos frères exercée au niveau populaire par le OEMMI de OYAGAA (Terre) par rapport aux nôtres.
Voyons la nature des différences.
Il est certain que nous violons à l’occasion la UAA morale. Notre société dispose pour les transgresseurs des NORMES (mais non de la loi morale) de sanctions parfois presque aussi graves que celles envisagées sur OYAGAA et surtout plus humiliantes encore sur Ummo pour celui qui la subit.
Mais une nuance est nécessaire. Jamais l’intentionnalité de l’acte n’est punie, mais le niveau de nuisance UIWEEXII commis.
Attardons-nous sur ce concept. Toute violation d’une loi ou d’une norme entraîne deux sortes de nuisance.
L’une, explicite et manifeste, évidente (UIWEEXII) qui s’extériorise physiquement ou moralement dans l’esprit de certains frères. Si un homme lance une bombe dans une de vos gares de chemin de fer, il provoque les ravages visibles, nuisance morale et physique sur ses victimes, entropie proche dans l’espace et le temps.
Mais le dommage le plus grave est à peine perceptible : il Endommage la structure informative de cette conscience collective que nous appelons B.B. et à travers celle-ci il provoque de dramatiques altérations dans le Multicosmos., c’est ce que nous appelons le dommage WOAAWUUYAA.
Par suite des difficultés de transcription nous dénommons sanction le fait d’humilier le transgresseur. Mais en réalité nous sommes loin de « châtier » ou de « venger » la conduite du transgresseur.
Tout d’abord nous ne le jugeons pas quant au niveau de conscience qu’il a pu avoir de sa violation morale. Et cela pour deux raisons évidentes. Il est impossible (non seulement pour vous mais aussi pour nous) de savoir dans quelle mesure un autre OEMII a réalisé son action nocive, conscient ou inconsciemment de ce qui transgressait la loi. Il y a suffisamment d’évidence, et vous aussi le savez, que beaucoup des actes humains sont modulés, comme nous le commentions dans les paragraphes précédents, par des processus déterministes non volontaires, quelques fois d’ordre pathologique, d’autres fois par des pressions physiques, émotionnelles, par des erreurs, par le stress… Comment discriminer les divers niveaux de conscience morale vis-à-vis de la mise en œuvre d’une conduite ?
L’autre raison consiste dans le fait que châtier – si on le savait – la transgression morale serait l’équivalent de tenter de rectifier la fonction du B.B. Si vous commettez une violation. le B.B. la compensera dramatiquement en son temps après la mort par une reconversion et la terrible souffrance intellectuelle que cela comporte à faire pâlir n’importe quel ingénu châtiment que nous tenterions de vous appliquer en tant que transgresseur.
Sur UMMO « nous ne châtions ni sanctionnons » nous générons un choc d’aversion non dans l’esprit de vengeance ou de compensation du dommage commis, mais pour éduquer le transgresseur au moyen d’une réponse non gratifiante à l’erreur commise. Quand un juge de la Terre estime qu’il y a eu homicide involontaire il réduit la peine et au total on exige de faire compensations aux familiers de la victime pour sa responsabilité civile. on envisage même des circonstances absolutoires et atténuantes quand les experts psychiatres estiment un dérangement psychopathologique transitoire.
Cette façon de procéder nous cause de l’étonnement. Comment est-il possible d’arriver à la quasi certitude de volontarisme ou d’inconscience d’un acte ?
Sur UMMO nous évaluons le niveau de dommage commis, les circonstances dans lesquelles l’action s’est déroulée et les caractéristiques psychophysiologiques de l’OEMMII transgresseur.
Et on lui applique le réactif, sans estimer dans l’absolu quelque attitude mentale supposée qui appartient évidemment à la sphère de sa propre intimité, inaccessible quelque autre OEMMII. Il indiffère que la lésion ait été faite dans l’esprit de nuire ou menée par un dysfonctionnement de ses circuits nerveux. C’est la compétence du B.B. de déterminer les différentes alternatives par discrimination, non celle des « juges ». Ceux-ci se limitent à estimer, avec les données rapportées par Nos appareils de traitement de données, le degré de réactif éducateur à appliquer.
(La structure judiciaire sur UMMO est clairement différenciée de celle sur Terre. Ce sont les supérieurs de l’Oemmi qui dictent ces correctifs. La fonction de juge, de juré et d’experts est exercée par nos appareils intelligents).
Chez l’OEMMII de n’importe quel astre froid habité par lui, le libre arbitre est le déterminatif des réactions somato-psychiques. N’oubliez pas, vous, que le processus neural qui résout le traitement des données qui débouche sur une action, est dirigé par des facteurs quantiques indéterministes. Ceci veut dire qu’un processus électro-chimico-neural qui en principe a un caractère macrophysique et qui de ce fait devrait être rigidement déterminé, auquel cas notre conduite ne serait pas libre, mais modulée par des facteurs génétiques et par des influences externes, acquiert un niveau déterminé de degrés de liberté.
Imaginez que vous devez décider à propos du choix de quelques études universitaires. Plusieurs flux d’information concourent dans le réseau nerveux du cortex frontal qui intègre les données et conforme la décision, qui lanceront ensuite une série de réactions conduisant au début de ces études.
D’abord, Le tronc nerveux (cerveau archéo-acquis) et ce que vous appelez système limbique modulent des réponses conformantes. Ceci est la pression de vos instincts, c’est à dire l’influence du génome de l’OEMMI: (Une petite série de gènes hérités se traduisent en chaînes d’acides aminés qui dirigent l’architecture de vos formations nerveuses. Le caractère ou la personnalité intime et ses instincts seront fonction de cette structure qui joue toujours un rôle très important dans toute conduite. Ce flux informatif est déterministe et rigide.
Un autre flux d’information provient par les noyaux hypothalamiques. Ceux-ci intègrent toute l’information neurosensorielle en provenance de l’extérieur . Des Milliers de stimuli physiques (température, images visuelles, perception du milieu biochimique interne, odeurs… conforment des modèles très complexes qui sont constitués par des niveaux de complexité croissante et qui constituent un élément de double pression. D’une part la situation externe (un cadre de naufrage, terreur déchaînée par l’explosion d’une bombe ou l’influence hétéro-suggestive d’une manifestation de masses exercent une considérable pression qui intégrée dans l’hypothalamus agit ensuite sur le cortex frontal en modulant la conduite avec intensité. D’autre part les modèles proprioceptifs (faim, fatigue musculaire, équilibre hormonal, équilibre neural cérébral, etc…) s’intègrent dans l’hypothalamus à partir des signaux qui proviennent des terminaisons nerveuses sensibles de tout le corps.
Ce flux informatif, provenant de deux voies (stimulation interne et externe et qui affluent dans la structure hypothalamique pour s’intégrer à leur tour à cette dernière, a une importance transcendante. Si la pression de leurs signaux est très intense la conduite n’est pas libre. Elle sature l’action de quelques atomes de krypton comme nous le verrons ensuite, et la décision est déterministe, c’est à dire dépendante du milieu interne-externe de l’individu. Ainsi un déséquilibre biochimique de ce que vous appelez les catécholamines dans le cerveau – maladie mentale – un intense épuisement neuromusculaire, ou la pression brutale des conditions extérieures, défavorables (agression d’un homicide, tremblement de terre, blessure des sentiments par une humiliation publique etc…) exerce une action si énergique qu’il bloque le libre arbitre et détermine fatalement une réaction irresponsable.
Le troisième flux d’information envisage deux stades ou étapes. A un premier niveau ; la structure que vous appelez hippocampe, intègre de l’information provenant de la mémoire c’est à dire des réseaux des données constitués par engramme sur les bases mnémoniques neurobiochimiques du cerveau.
Une multitudes de souvenirs, de symboles, de règles de connaissances, affleurent dans les moments précédents avant de prendre la décision. Ainsi les connaissances de langue, de philosophie, d’Histoire….de l’OEMII influencent avant de prendre la décision d’étudier une carrière humaniste, les souvenirs inhérents aux amis qui optèrent pour cette profession, des informations concernant les options professionnelles une fois obtenus la licence ou le doctorat… toutes ces données coordonnées sont remises au cortex frontal. En vertu de cette information commence un processus de raisonnement dans le réseau nerveux frontal, comparant les données, les souvenirs, les schémas. Ceci est ce que vous appelez le processus intellectif [les espagnols ont le mot « intellectual » qui n’est pas utilisé ici, ndT] qui dépend de l’intelligence du sujet, c’est à dire de la complexité structurée de ce réseau nerveux. Il s’agit d’un processus conscient. Le BUUAWA est informé pas à pas de ce traitement.
Le quatrième flux d’information a également comme station relais ce que vous appelez l’Amygdale et d’autres structures de l’Hippocampe. Il canalise les données d’un niveau plus profond de la mémoire engrammée, c’est à dire ce que vous appelez subconscient [le niveau, ndT]. les règles, souvenirs et schémas provenant de ces niveaux ont été acquis au travers de quatre voies importantes (Nous voulons vous dire que l’information amassée dans le subconscient a quatre provenances) . En premier lieu les souvenirs de la vie du passé lointain. il s’agit d’épisodes infantiles, juvéniles et même certains relativement récents mais oubliés, des éléments culturels appris mais oubliés, etc.
En second lieu une série de modèles hérités qui sont engrammés dans des réseaux nerveux de ce que vous appelez la Protubérance du tronc et qui modulent deux vecteurs de la vie, c’est-à-dire deux tendances antagoniques. L’une d’elles vers l’entropie, vers la destruction, vers la mort -Quand sa pression est intense l’OEMMII tend à se suicider ou à des niveaux moins intenses il bloque les mécanismes biochimiques auto-immunitaires et génère des états émotionnels dépressifs.-L’autre tendance est de caractère néguentropique. Elle potentialise le système auto-immunitaire et module le ton émotionnel vers l’euphorie . Son déséquilibre génère des états pathologiques maniaques. Son équilibre fait naître ce que vous appelez « le désir de vivre ».
En troisième lieu, le subconscient accepte un flux d’information très important. Sa station réceptrice est formée par des atomes de krypton.
La provenance ultime de ces données est ce que nous dénommons « Conscience ou âme collective : BUAWE BIAEE. Un univers du Multicosmos à structure particulière. Le Subconscient est modulé par l’information provenant d’autres frères du Réseau social.
Une quatrième voie de données apportées au subconscient est moins importante bien qu’elle acquière parfois une certaine importance. Elle provient de canaux d’information que vous appelez télépathiques, provenant d’autres frères vivants.
La troisième voie est transcendantale. Une expérience culturelle collective dans une civilisation planétaire est constituée de modèles très importants dont le concept avoisine ce qui est étudié par d’éminents psychiatres de la Terre sous le nom d’archétypes bien que leur richesse soit beaucoup plus élevée. Des millénaires d’apprentissage social et culturel laissent un fond de données dans le B.B. qui revient ensuite, soigneusement modulé mais aussi intensément amorti, aux composants du réseau social vivant (il n’est possible de participer à cette richesse informative sans amortissement ni filtres qu’après notre mort). Au travers du B.B. et par la même voie nous arrive non seulement l’ensemble des règles de connaissance universelle mais l’information spécifique de nos frères déjà décédés et intégrés dans le B.B. Elles influencent à l’occasion, sans que nous nous rendions compte, nos modèles de décision.
Récapitulons d’abord les données que nous avons apportées:
Sur le réseau nerveux processeur de données du cortex frontal affluent les canaux suivants
Train de données du cerveau archéo-animal (pression des instincts engrammés par action de l’hérédité génétique)
Train de données provenant de l’Hypothalamus. Information du monde extérieur et du milieu interne de l’OEMMII. Une station relais de l’information extérieure est le noyau thalamique.
Le flux informatif de la mémoire active consciente. Cette information jointe à celle apportée par l’environnement externe est traitée de manière intellectuelle.
Le quatrième flux d’information provient des couches mnémoniques subconscientes qui a leur tour comprennent quatre voies de données. Celle provenant de l’amas mémorisé de vieilles expériences, celle provenant des modèles engrammés qui modulent la tendance vers la vie ou la destruction, celle qui provient de communications télépathiques et surtout, la plus transcendantale qui met le cerveau en communication avec le B.B.
Toute cette information est intégrée et traitée par le réseau nerveux dans l’attente d’une décision. Une fois conformée elle présente une série plus ou moins grande d’options possibles. C’est le BUAWA qui au travers d’un atome de krypton dans un processus microphysique et de ce fait régi par des lois de hasard, décide laquelle de celles-ci doit être acceptée pour ensuite déchaîner un train de réponses.
Mais la décision n’est pas toujours gérée par ce libre arbitre. Parfois la pression du second train (provenance : Monde extérieur et milieu interne) ou celle du quatrième flux d’origine subconsciente) sont si intenses qu’elles saturent le seuil d’action de BUAWA au travers de la structure quantique du krypton, et une décision libre est impossible. L’OEMMII agit comme un robot, conditionné de manière rigide par des influences physico-déterministes et n’est pas responsable de ses actes.
Ne croyez pas comme le pensent presque tous les psychiatres de OYAGAA que cette conduite déterminée et irresponsable s’exécute seulement au cours de dérangements mentaux ou sous l’influence externe de stimuli terrorisants, quand l’OEMMII en proie à la panique ou à la peur se laisse guider par ses instincts à caractère inconscient-défensif.
Chez vous hommes de OYAGAA seul un pourcentage entre quatorze et dix-huit pour-cent des décisions que vous prenez quotidiennement sont régies par le libre arbitre. Le reste se compose de réactions et de règles de conduite irresponsables par l’action puissante du milieu extérieur et interne et par des pressions sauvages du subconscient.
Dans notre communauté de l’Astre UMMO seulement entre 28 à trente sept pour cent de nos décisions sont libres.
L’ignorance de ces limites de liberté fait que vous vous montrez cruellement intolérants envers les actions de vos frères en leur attribuant une méchanceté consciente de conduite qui en réalité est purement imaginaire. Ainsi, chez vous tout jugement d’actes de votre prochain manque presque toujours de valeur scientifique et est la cause de constantes injustices.
Après ces premières considérations, on pourrait déduire quelques conclusions erronées. Si un pourcentage très élevé de réactions chez les membres du Réseau social manquent de l’attribut de liberté et sont déterminées par le fer des lois macrophysiques complexes, toute action tendant à corriger et à améliorer la néguentropie du système pourra paraître stérile. Il faudrait alors adopter une attitude fataliste face au devenir de la société en tolérant et permettant toute conduite humaine pour aberrante qu’elle paraisse.
Il est évident qu’une telle attitude demeurerait fallacieuse. Il n’est pas nécessaire que nous vous rappelions ce que vos propres physioneurologues de OYAGGAA connaissent bien. Que la conduite autant animale qu’humaine est réglée par l’apprentissage. L’organisme vivant essaye divers types de réponse aux stimuli externes et internes. Par exemple un enfant placé devant un bloc de glace tente divers types de réponses : le contourner, le renifler, le toucher. Il est évident que la dernière action lui rapporte une baisse intense de la température épidermique. Sa conduite a provoqué une réponse du milieu physique à caractère aversif [sic] et l’enfant apprend à ne pas répéter l’action. Si au contraire une réaction génère une réponse gratifiante (la stimulation gustative agréable après avoir introduit une pâte au chocolat en bouche) la conduite tendra à être répétée dans des cas semblables. Vous savez très bien que tous les processus d’apprentissage se fondent précisément sur le principe Essai-Erreur-Récompense.
Nous ne comprenons pas bien de ce fait l’incohérence de l’OEMMII de la TERRE qui s’obstine de manière aberrante à juger l’intentionnalité du délinquant au lieu de structurer comme nous un système de réponses d’aversion qui éduqueraient la conduite globale du Réseau social, pour corriger ses tendances entropiques sans qu’il soit question d’aborder le problème dans la prétention stérile d’élucider quand a il y a eu libre arbitre dans la violation de la loi.
Heureusement, les spécialistes du droit pénal de la Terre, réclament une réponse en ce sens. Nous objectons seulement que l’action éducative d’aversion ne doit pas s’étendre seulement au délinquant mais à toute la population humaine.
D792
D792-1 (1° partie)
Langue Espagnole
Nombre de copies: UNE
Chers Homme Jorge Barrenechea et épouse Carmen Maria.
Comme vous vous le rappellerez, dans la conversation téléphonique que vous avez eue avec l’un de mes frères, vous lui avez demandé que nous vous tenions informés sur UMMOWOA. Il est certain que, si on fait exception d’un document délivré à vos frères situés sur le Continent d’Amérique et rédigé en termes similaires, nous avions préféré ne pas insister excessivement sur un thème historique qui vous affecte aussi à travers la figure, pour vous sacrée, de Jésus. Et nous agissons ainsi pour ne pas blesser excessivement vos sentiments religieux.
Il est certain qu’à une période reculée de l’histoire, UMMOWOA est apparu parmi les habitants de UMMO entouré d’une auréole mystique. WOOAYII UMMOWOA pourrait se traduire par quelque chose comme « UMMOWOA divin », bien qu’il ne se soit pas développé une religion institutionnalisée autour de son souvenir comme cela s’est produit sur OYAGAA (Astre Terre)
La Cosmobiophysique moderne, jette suffisamment de lumière sur ce phénomène grandiose qui, parce qu’il ne se fonde, sur des lois cosmologiques, est moins merveilleux.
Avec cette nuance que les connotations émotionnelles et l’interprétation biophysique de cet événement sont très loin de la notion que vous avez élaborée sur le fait historique de la naissance de Jésus (Qui, comme nous vous l’expliquerons, est semblable à celui de UMMOWOA).
Pour vous, la figure de Jésus est « divine » et entourée de connotations mystico-religieuses. Il s’agirait d’un fait surnaturel, théologique et dans ce contexte, il est explicable que s’instaure une Église. Comme vous le vérifierez dans les pages dactylographiées ci-jointes, le phénomène d’un OEMMIIWOA s’inscrit dans un cadre scientifico-biologique, explicable quand on a une conception holistique du WAAM WAAM. Qu’au cours de l’évolution biologique, surgisse un OEMMIIWOA est aussi logique et nécessaire qu’une roche soit attirée par un Astre à cause de la gravité.
C’est pour cela que, pour un esprit religieux de la Terre, la notion d’un OEMMIWOA le laissera froid, le désenchantera et peut-être le décevra, entre autres aspects, parce que l’image de WOA que nous-autres acceptons n’a rien a voir avec la notion théologique que beaucoup de religions de la Terre ont forgé autour d’un type anthropomorphe sur le plan mental, paternel, qui punit et récompense, supra-intelligent et créateur.
Pour nous, par contre, toutes vos idées se situent dans le domaine des mythes, qui s’explique dans le cadre de l’évolution historique de votre Réseau Social Terrestre. A partir d’un fait réel qui, interprété comme étant de nature thaumaturgique (Miraculeuse) à cause de sa singularité physique, étonna les contemporains de Jésus, se développe un traité doctrinal qui donne forme à une nouvelle religion, le Christianisme, et l’édification d’églises variées selon les interprétations distinctes du message déformé de cet OEMMIWOA.
D 792-1 (2° partie) | T20- 10 à 19
UMMOALEWEE
Langue Espagnol
Nombre de copies: Deux
Messieurs de la Terre, Jorge Barrenechea, Antonio Ribera, Juan Aguirre, Rafael Farriols, Luis Jiménez. Le Señor Jorge décidera de la destination d’autres photocopies de ce rapport.
Notre conception cosmologique est fondée sur des bases scientifiques solides. Nous savons que nous sommes immergés dans un WAAM-WAAM (Univers multiple) et que les flux d’information qui rendent possible toute sa richesse configurative procèdent de deux pôles ou centres. L’un d’entre eux est générateur d’information par antonomase. Toutes les configurations possibles de la matière, toutes les possibilités de l’ÊTRE, c’est à dire toutes les modalités que vous pourriez concevoir de l’existence perceptible et non perceptible par nos sens et autres organes sensibles imaginables, tirent leur origine de ce pôle.
Il faut faire une mise au point que toutes les formes imaginables ne sont pas possibles en tant qu’êtres réels. Par exemple notre cerveau peut imaginer un OEMII ou être humain de la taille d’un millimètre, mais une telle entité biologique ne serait pas possible. N’oubliez pas qu’une réduction linéaire de 1/103 (un millième) se traduirait en volume d’organes internes à 1/109. La réduction du métabolisme biochimique serait ainsi proportionnelle à la masse. D’autre part, on observe que les molécules chimiques ne pourraient se réduire dans les mêmes proportions de façon à ce qu’une cellule de cet hommelet hypothétique ne pourrait abriter l’architecture complexe qui s’observe dans nos cellules. Pour de semblables raisons, un insecte parmi ceux que l’on connaît sur OYAGAA avec des dimensions atteignant des douzaines de mètres, ou une étoile composée exclusivement de chaînes protéiniques seraient inconcevables.
Les formes possibles de l’être doivent donc être cohérentes au corpus de lois physicobiologiques qui régissent le WAAM-WAAM.
Ce pôle ou matrice cosmique d’information rendra possible par transfert génétique toute la configuration des univers multiples. Sans son existence, le cosmos serait comme un gigantesque cristal de configuration isotrope, amorphe, dépourvu de configurations ou singularités et donc dépourvu d’information. (Le terme cristal, nous l’utilisons non pas comme synonyme d’architecture géométrique d’atomes ordonnés, corps qui ne serait pas isotrope, mais pour désigner une chaîne infinie d’IBOZSOO-UHU en complet désordre, dans lequel la transmission de la lumière n’est pas possible et l’entropie infinie).
Le centre cosmogonique codificateur de ces configurations possibles, nous l’appelons WOA. WOA coexiste avec AIODII, c’est à dire, avec la réalité formée. L’un configure; modèle, l’autre . (Ndt: Uno configura ; modela, al otro).
Mais il nous importe que vous identifiez notre version à une quelconque conception de DIEU. Un examen superficiel des deux notions peut accepter ce parallélisme. WOA = Générateur équivaudrait à DIEU = Créateur tel que vos théologiens le conçoivent.
Mais l’image de Dieu qui, comme vous le savez bien est assez différente dans le contexte des religions de la Terre, se révèle chez elles toutes comme un être anthropomorphe, doté d’infinie bonté, être pensant par excellence, parfait, père de ses créatures. Qui plus est, son existence suprême apparaît comme ayant été révélée à vos prophètes dans un contexte religieux et pieux.
Cela vous intéressera de savoir que notre idée de WOA a été induite par voie scientifique, et non par voie théologique. Il est certain que son existence fut proclamée par UMMOWOA dans un cadre historique où la Science ne pouvait être connue de lui. Mais pour nous, un concept « révélé » manque de valeur probatoire. La société d’UMMO n’est pas aussi sensible émotionnellement que le Réseau social de la Terre. Une religion, dans le sens que vous octroyez à ce terme (Union de l’être humain à son Dieu comportant foi et obéissance à ses lois et doctrines) ne pourrait pas se forger en son sein. Quant à nous, nous ne voyons pas en WOA un père, ni ne concevons que l’on puisse respecter ou accepter un concept quelconque par voie de la Foi. Seule la raison et la preuve scientifique permettent de forger le corpus de notre doctrine. (Remarquez que mes frères fidèles à ce principe, ont toujours insisté pour que vous ne croyiez pas à notre identité d’OEMMII, voyageurs en provenance de UMMO. Il en est ainsi, parce que nous partons du principe que l’on ne doit pas accepter dans l’absolu ce qui n’est pas prouvé).
Si nous arrivons à accepter avec le temps la parole de UMMOWOA, c’est parce que l’évolution de notre Cosmogonie nous permet d’accepter la fiabilité de l’origine de sa doctrine comme nous vous l’expliquerons dans des paragraphes ultérieurs.
UMMOWOA, tout comme Jésus, n’a pas prétendu fonder une Église ou une Religion.
Ce qui s’est produit sur les deux planètes distinctes est que UMMOWOA naît dans une société avancée dans laquelle la rigueur historique ne permet pas la création de mythes, et Jésus de la Terre, vit à une époque dans laquelle le langage est métaphorique, la Science n’existe pas, les idées dominantes sont irrationnelles et fortement imprégnées de conceptions magiques. Ainsi s’explique que son message se soit adultéré bien que ses éléments essentiels aient survécus et que sa figure historique souffre d’énormes distorsions. Cela, nous en parlerons ensuite.
Pour comprendre tout ceci, il faut que nous continuions à nuancer notre approche en ce qui concerne le concept de WOA.
WOA est source d’information cosmique. Mais, toute information est dépourvue de sens sans support matériel ou énergétique. D’où la symbiose entre WOA et le WAAM de masse infinie. WOA transforme en réalité cette information dans le sein de ce WAAM.
Comme nous nous exprimerons ultérieurement à ce sujet, WOA établit aussi une relation de syntonie avec ces structures que nous appelons cerveau humain, mais seulement dans des circonstances très spéciales.
Quel est le fondement scientifique de cette relation ? Vous comprendrez que dans le contexte de ces pages de divulgation, il soit quasiment impossible d’exposer le modèle mathématique très complexe sur lequel il se base. Nous emploierons donc la métaphore ou l’image. WOA entre en résonance avec le WAAM du BUAWA BIAEII (Univers qui codifie toute l’information), par un effet semblable à celui que vous connaissez en physique sous le nom de Résonance. (Si vous placez à une certaine distance deux cordes de violon et faites vibrer l’une d’elles, la propagation des ondes de pression interagit sur la seconde et la fait osciller. Un effet analogue se manifeste entre deux circuits pourvus d’une inductance et d’une capacité électrique).
Ce centre universel d’information pure que représente WOA, vous pouvez vous l’imaginer comme de gigantesques archives où vous pourriez trouver mathématiquement codifiées, depuis la configuration d’une plante végétale (sic) exotique, la résolution d’un système d’équations différentielles ou la structure d’un édifice et d’un matériel générateur de lumière cohérente (laser) et, nous le répétons, n’importe quelle entité ou être possible dans l’Univers multiple.
WOA coexiste depuis l’éternité avec le WAAM B.B., véritable cerveau du multicosmos et il le module grâce à cet effet particulier de résonance. Mais on observe qu’en réalité, il ne transfère pas toute l’information en une seule fois. Le multicosmos est comme un grand organisme cybernétique qui se corrige lui-même.
Au sein des Univers distincts, grâce à un courant néguentropique, naît la vie fondée sur la complexité biomoléculaire. Ces organismes vivants qui peuplent une multitude d’astres froids (souvenez-vous qu’un astre froid n’a pas forcément une origine planétaire mais quelques fois provient de vieilles étoiles qui se sont refroidies et qui conservent même une certaine chaleur interne) continuent à se perfectionner en complexité; en structures dont la densité d’information accumulée dans l’espace est croissante. Il s’agit des systèmes nerveux. L’aboutissement de cette complexité est le cerveau humain. Son architecture est donc suffisamment complexe pour que celui-ci accomplisse un saut qualitatif, se mette en contact avec son BUAWWA et s’enrichisse au maximum par sa connexion au B.B. (BUAWAA BIAEII) ou conscience collective engrangée dans ce grand cerveau de l’Univers. LE WAAM B.B.)
Remarquez que ce grand système dont l’architecture est intégrée par le CERVEAU-BUAWA-B.B. prend soudainement conscience de l’Univers qui l’entoure. Il est comme un capteur de B.B. qui capte les configurations de son Cosmos, C’est à dire les galaxies, les étoiles, les montagnes, les animaux, les rochers et les artefacts élaborés. B.B. s’informe de sa propre élaboration. C’est comme si le multicosmos était un être gigantesque dont le cerveau et les mains seraient le WAAM B.B. Celui-ci façonnerait l’argile de la matière dans les Univers distincts, la concentrant en forme d’atomes, de nuages d’étoiles, de planètes, de montagnes et d’êtres vivants. Mais pour façonner, il faut « voir ». Ses yeux seraient les cerveaux. Ceux-ci transmettent l’information à B.B. et il corrige à son tour les déficiences du système grâce aux modèles fournis par WOA. Les « mains » du WAAM B.B. ne sont autre chose que l’influence physique interunivers de la masse imaginaire qui se propage d’un cosmos à l’autre en produisant des plis de l’espace et donc des configurations de masse et d’énergie modulées par l’information du B.B.
Voyez comment chez WOA son centre d’information est statique, tandis que dans l’Univers multiple, le WAAM B.B. en résonance avec WOA, l’information est dynamique. Pour cela nous vous avertissons que la comparaison avec deux cordes de violon est seulement d’ordre didactique et métaphorique, car chez elles, l’effet de résonance se manifeste par une dynamique simultanée.
Nous avons utilisé le verbe de OYAGAA « générer » comme représentatif de l’action de WOA, parce qu’il vous est plus familier et vous rappelle de façon didactique le concept du verbe « créer » si cher aux théologiens de la Terre.
Mais nous pensons que vous êtes déjà avertis de la différence subtile. WOA n’est pas l’être que vous imaginez en tant que Dieu, paternel, intelligent, pensant, avec une structure anthropologique (sic: anthropomorphique), qui décide de CREER un Univers et d’y mettre des créatures à son image qu’il récompensera après leur mort si elles ont accompli ses lois. WOA n’a rien à voir avec cet être mythique créé par les esprits de l’homme terrestre.
Ici le verbe ENGENDRER pourrait se traduire comme « représenté » par un effet spécial de résonance cosmique, des modèles d’information qui se transfèrent au WAAM B.B. pour dynamiser de façon évolutive dans le temps, la configuration d’un réseau d’Univers. Une parabole simple pourrait contribuer à vous familiariser avec notre cosmologie.
WAAM B.B. est comme le cerveau d’un potier dont les yeux fatigués (les cerveaux des OEMMII) contemplent une masse d’argile (la matière et l’énergie). Ses mains (la masse imaginaire dont les « tentacules » traversent les frontières des Univers distincts) façonnent une amphore. Mais pour le faire deux processus intellectuels sont nécessaires. Premièrement, s’inspirer d’un dessin (modèle informatif) qui représente un récipient. Pour cela il regarde un vieux livre de poterie (WOA) qui lui suggère subtilement la forme que doit avoir l’amphore, mais surtout, il doit apprendre à corriger lui-même la forme de celle-ci, la manipulant avec ses mains, l’observant pendant qu’elle prend forme, prenant conscience des difficultés qu’entraîne le maniement d’une substance visqueuse.
Quand nous attribuons, dans nos écrits à des hommes de la Terre, la faculté de « générer », nous ne faisons pas référence pour autant à cette hypothèse qui est la vôtre de la fonction divine de « créer de la matière à partir de rien » mais d’engendrer des IMAGES ÊTRES IDÉAUX dans le WAAM B.B. que celui-ci se charge de dynamiser ou de modeler dans les Univers qui coexistent avec WOA (C’est à dire qu’ils n’ont pas été créés, dans le sens que vous donnez à ce mot, par Dieu).
Nous avons un profond respect pour vos conceptions religieuses d’entités appelées par vous Allah, Dieu, Jéhovah, Brahma… Mais comme vous venez de le remarquer, notre concept de WOA n’a rien à voir avec vos idées théologiques. Vous ne devez pas pour cela vous sentir forcés d’embrasser notre idée de WOA, qui pour nous est une conception scientifique, mais qui pour vous parvient par le truchement de feuilles dactylographiées dont la provenance est obscure. Pour cela, chacun de vous doit continuer à être fidèle à vos vieilles croyances comme nous vous l’avons toujours suggéré, et lire nos rapports, comme on étudie des coutumes d’un village tribal exotique et lointain.
LA CONFIGURATION CRITIQUE DU CERVEAU
Ce rapport, ainsi qu’un autre texte, nous l’avons fourni à vos frères du Canada, mais comme à vous, hommes d’Espagne, semblable information ne vous est pas parvenue, nous voulons en tracer les lignes essentielles dans ces paragraphes.
Dans le processus évolutif et pourtant néguentropique des architectures vivantes, le système nerveux animal atteint un rang très élevé. Observez comment la matière se constitue progressivement en structures de niveaux croissants de complexité. Ce n’est pas seulement la densité de l’information qui augmente chaque fois alors que les molécules continuent à s’organiser dans des espaces réduits, mais son architecture merveilleuse. Des millions de fibres nerveuses qui déjà en elles-mêmes sont complexes s’interconnectent au moyen de protubérances dentriques, se connectant entre elles pour faire passer l’information. Ces structures neuronales de base, dotées de différentes fonctions, s’interconnectent à leur tour en réseaux formés par des noyaux fonctionnels de complication croissante. La configuration finale est le cerveau de l’OEMII, capable de capter les informations de son milieu physique, de les intégrer, de les envoyer en partie au B.B. ou de les utiliser à son tour pour réagir à et manipuler son environnement physique. Jusqu’à présent nous ne vous révélons rien que vous ne sachiez.
Quel est l’aboutissement final de cette évolution du cerveau humain ? Avant tout, nous vous expliquerons que l’évolution du réseau nerveux comprend des étapes quantiques dont chacune donne lieu à un nouveau phénomène.
Pour comprendre cela, nous devrons vous rappeler au préalable quelques notions de notre AYUUUEAOIIDII (BIOPHYSIQUE DES RÉSEAUX).
Un réseau ou système est intégré par des nœuds ou pôles reliés entre eux par des canaux. Les nœuds peuvent êtres des points massiques simples ou des sous-système complexes. Les canaux sont à leur tour des flux de force, d’énergie ou d’information. Fréquemment, les nœuds et les canaux sont à leur tour des réseaux plus élémentaires. Des réseaux qui vous seront familiers peuvent être représentés par un système de téléphonie urbaine, dans lequel les canaux sont de simples conducteurs par lesquels circule une intensité électrique modulée pour l’information, par le téléviseur de votre domicile, le moteur d’une voiture de tourisme dans lequel existent des interconnexions compliquées, mécaniques, électriques, de masse-énergie (essence) ou de gaz (air, gaz de combustion, etc.).
Un autre type important de réseau est la société des OEMII, ses nœuds sont à leur tour des sous-systèmes complexes: des êtres humains, et les canaux d’information sont aussi importants que les canaux de masse et d’énergie. Les nœuds (hommes) se connectent au milieu biophysique et à d’autres nœuds (vos frères), par des flux divers. Un canal de transfert s’établit quand vous recevez une information olfactive ou optique, quand vous remettez un objet à un autre frère ou quand vous parlez avec lui.
Naturellement; les édifices, les avions, les gouvernements, l’outillage, les ordinateurs et les stylos, sont autant d’exemples de réseaux.
Il est évident qu’un organisme animal est aussi un réseau, et la structure la plus complète de tous ceux qui soient connus, le cerveau humain, se transforme ainsi en le plus parfait des réseaux connus.
Nous désirons vous faire remarquer qu’il existe des réseaux dont les connexions ne sont pas des canaux par lesquels circulent l’énergie, l’information, la masse (liquide, gazeuse solide ou plasmique). Un exemple de tels systèmes ou réseaux serait un polygone ou le système formé par les murs, le toit et le sol d’un logement.
Bien que nous nous écartions de notre objectif didactique, nous vous rappelons que Tout le WAAM-WAAM constitue un gigantesque macro-réseau, formé par les sous-systèmes ou réseaux qui à leur tour sont intégrés par des réseaux encore plus élémentaires. Notre effort dans le champ de la physique a été de créer un modèle mathématique complet qui explique le déroulement et les fonctions de ces réseaux. N’oubliez pas que beaucoup d’éléments de tels réseaux ont un caractère quantique. De sorte que leur comportement est aléatoire et donc imprédictible. Cela introduit un important facteur de caractère indéterministe dans de nombreux systèmes de ce type.
Maintenant nous vous invitons à prêter attention à une caractéristique importante des RÉSEAUX.
C’est précisément à ce point, que le développement de notre science se trouve bien plus avancé que celui de OYAGAA. Nous vous répétons : suivez scrupuleusement les paragraphes qui suivent.
La propriété la plus importante d’un réseau est ce que nous appelons EIDOAYUEE. (Le mot le plus proche en langue espagnole serait: Émergence (Emergencia).
Quand un système se structure de façon particulière, surgit alors la EIDOAYUEE. Il n’est pas facile d’exposer ses lois dans un espace restreint. Pour cela nous recourrons à des exemples didactiques.
La condition nécessaire mais non suffisante, est qu’il se produise un saut dans sa complexité ou concentration d’information dans ses éléments. Plus grande est la densité d’information plus transcendante est aussi la EIDOAYUEE.
EIDOAYUEE est le fait évident pour vous de ce qu’un Réseau possède des propriétés et exerce des fonctions que ne possèdent pas les éléments qui le composent.
Observez un réseau inerte. Un polygone pentagonal. Il est formé par cinq nœuds et cinq connexions rectilignes. Séparez les points et les lignes. Aucune d’elles ne jouit de la propriété pentagonale, vous ne pouvez pas dire qu’une droite segmentée possède une dixième partie de la propriété pentagonale. Mieux, le fait de les faire se relier entre elles engendre une propriété géométrique nouvelle.
Une de vos émissions de la radio diffusion n’est rien d’autre qu’un réseau dont les composants sont des câbles, des soudures, des semi-conducteurs, des tubes à vides, des condensateurs, des résistances fixes et variables, en plus des éléments de support. Le réseau est capable de moduler l’énergie et de la propager par une antenne. Mais essayez de décomposer le circuit. Pourriez-vous avec l’un de ses composants, une résistance de graphite, un condensateur de tantale, ou une diode zener rayonner, ne serait-ce qu’un millionième d’énergie modulée ?
Observez que sont en outre possibles des configurations infinies de réseaux mais que seulement un petit pourcentage d’entre elles sont vraiment fonctionnels ou significatives. Il n’est donc pas question de densifier l’information au hasard. Vous pouvez fabriquer une machine très compliquée avec des bielles, des ressorts, des vis, des balanciers, des barres de fer, des pignons, des courroies de transmission, des volants et des axes, des leviers et des balancines, qui ne servent à rien ni ne se mettent en mouvement bien que nous puissions mesurer une valeur respectable de la densité d’information.
Il existe des modèles mathématiques appelés par nous GUIXOEXOO et qui permettent à des réseaux d’être fonctionnels ou signifiants. Quand un ingénieur de la terre conçoit un modèle d’appareil photo, de robot ou de ciseaux, il utilise intuitivement son GUIXOEXOO, contrairement à l’inventeur fou qui crée par exemple, une machine fantastique à mouvement continu. Et ce, bien que les physiciens de la OYAGAA (Terre) n’aient pas développé une théorie générale de la AYUUEADOIDI (Ontologie des systèmes) qui permette d’engendrer le GUIXOOEXOO (Modèle d’Émergence)
Récapitulons jusqu’à ce point:
Un réseau : S’il est spécialement structuré, il engendre une EIDUAYUEE (ÉMERGENCE) ou une fonction ou signifié, dont les propriétés sont supérieures de façon significative aux sommes des propriétés de ses composants.
Au plus un réseau est complexe, c’est à dire, quand sa densité d’information est plus grande et avec la condition de GUIXOOEXOO (presque intraduisible), plus grande et plus transcendante est la fonction émergente ou sa signification.
Nous devons en outre vous avertir et vous montrer que cette ÉMERGENCE se manifeste de façon quantique « en sauts », en paliers. GUIXOOEXOO ne se développe pas comme une fonction continue, mais comme une fonction en paliers.
Voyez avec un exemple : Vous pouvez développer un simple moteur à explosion, formé d’un cylindre, d’un piston d’une bielle et de valves, d’un volant quelconque et d’un arbre, d’un carburateur élémentaire et de quelques composants supplémentaires. C’est un réseau duquel ÉMERGE la fonction de générer de l’énergie cinétique par rotation, en application des principes de la Thermodynamique connus de vous. A partir de là vous pouvez le perfectionner. Non seulement en y ajoutant des composants, un carburateur plus sophistiqué, de nouveaux cylindres synchronisés, un système d’allumage électronique, aussi en réduisant la taille des éléments, grâce à quoi le système croît en densité d’information.
Mais l’émergence ne varie pas. Il en résultera un meilleur rendement, une puissance supérieure, une meilleure stabilité dans la rotation, mais la EIDUAYUUE demeure constante. Vous n’obtiendrez pas que ce réseau, ce moteur émette des images télévisées ou forme des images sur une plaque sensible. Il faudrait un saut qualitatif considérable, une transformation essentielle dans ses composants pour obtenir qu’il se comporte comme un appareil photo.
Peut-être aurez vous une notion plus claire de ce concept en observant l’évolution d’un Réseau nerveux animal. Ici « l’ingénieur » qui élabore le GUIXOOEXOO, c’est à dire le modèle de comportement du réseau, est BUAWEE BIAEII (B.B.) c’est à dire l’Univers modèle ou Conscience collective.
Observez l’organisme d’un Cœlentéré, connu des zoologues de la Terre. Lui, il développe des cellules sensibles (protoneurones) capables de différencier les stimuli de l’extérieur. Voilà un système nerveux primitif dont l’ÉMERGENCE (EIDUAYUUE) est élémentaire, recevoir l’information et réagir par un acte réflexe.
Observez maintenant des organismes plus évolués. Par exemple, des échinodermes. Chez eux on constate un saut quantique, un GUIXOOEXO distinct, une fonction émergente radicalement distincte.
Le réseau des cœlentérés se réduit à des cellules-stimuli sensori-motrices- ACTION
Chez l’échinoderme, le réseau s’est fait non seulement plus complexe, mais il a changé d’architecture. Les neurones en ganglions de configuration spéciale s’y sont intégrés. Maintenant l’émergence est aussi distincte. Elle se manifeste en forme de conduite intégrée. Le réseau accumule l’information, mémorise des souvenirs, et l’animal, face à un stimulus ne réagit pas automatiquement par un acte réflexe, mais il module sa conduite en fonction de l’expérience engrangée.
Dorénavant, dans l’évolution, ce système nerveux ira en se compliquant de plus en plus. Les poissons, les amphibiens, les reptiles et les mammifères édifient les ganglions formant une masse encéphalique capable de prendre des décisions de caractère déterministe (sans libre arbitre), mais en fonction de ce que vous appelleriez « programmations de données engrangées ». Ces animaux captent l’information durant toute leur existence, l’emmagasinent, l’élaborent à un niveau élémentaire, édifient une formation cérébelleuse capable de mémoriser des automatismes et de prendre des décisions, non seulement en fonction de ce qu’ils observent dans leur milieu ambiant, mais qui les guident également pour leur programme interne et leurs souvenirs. Les modèles de conduite comme ceux que vous appelez des réflexes conditionnés, permettent à ces organismes de développer un apprentissage qui sera supérieur parfois au conditionnement de ses instincts.
Nous devons considérer maintenant un saut transcendant dans l’évolution cérébrale. Les mammifères hominidés transforment leur encéphale en un réseau complètement distinct. C’est ainsi que s’engendre le cerveau de l’OEMII (Homme).
Nous voulons insister sur le point que ce n’est pas seulement une fonction de complexité. Il est certain que pour arriver à accomplir ce saut, une densité d’information de 1019 bits/centimètre cube est nécessaire. Mais la clef du changement GUIXOOEXOO doit être une nouvelle structure du réseau. Il s’y est produit de nouvelles connexions (peu) entre elles, que vous désignez par Nucléon (Nucleo caudado ?). La formation ganglionnaire amygdalienne, l’hippocampe, appelé par les neurologues de la Terre aire septale et le cortex frontal pour que se crée un cerveau distinct qui engendre une émergence EIDUAYUUEE transcendante ; La CONSCIENCE. Cette fonction est comme vous le savez transcendante. En premier lieu, cette masse visqueuse qu’est le cerveau, se met en contact avec BUAWAA (Âme ou psyché) et avec B.B. L’organisme peut à partir de maintenant, adopter des décisions libres quoique le pourcentage en soit encore assez limité. Mais le plus important et ce qui échappe même aux neuropsychologues et aux théologiens de OYAGAA, est que ce petit cerveau se convertit en un capteur ( sensor) du WAAM-WAAM. A l’instant de sa formation, sa fonction transcendantale consiste à capter de l’information pour le B.B. et au moyen de ce transformateur grandiose qu’est le WAAM B.B., modifier, pas à pas, la structure de l’Univers.
Quand un OEMMII (humain) d’un quelconque astre froid situé à un endroit reculé quelconque de l’espace, dans le sein d’un Univers quelconque, observe, pense, agit ; simultanément sa conduite intellectuelle, pratique et en tant que captatrice d’information, induit une modification de la configuration du WAAM-WAAM (Univers multiple).
Arrêtez-vous pour penser un instant à la nature de ce changement morphologique expérimenté par un cerveau qui avant demeurait à l’intérieur d’un hominoïde peu distinct de l’un de vos gorilles ou chimpanzés, et qui maintenant occupe la cavité crânienne d’un humain.
Dans votre monde technologique, ces sauts dans la fonction des réseaux sont fréquents. Nous avons vu dans le sud de la France et dans quelques localités de l’Espagne, des rémouleurs ambulants qui utilisaient un véhicule moto pour transférer de l’énergie cinétique rotative à une meule de grains abrasifs. C’est à dire un réseau désigné pour transporter sous forme de véhicule un corps d’OEMII, se transformait au moyen des composants élémentaires, une courroie de transmission et un volant pourvu d’un cylindre recouvert de toile émeri, en un système dont la EIDUAYUUE (fonction, émergence) était un aiguiseur ou rémouleur de couteaux d’acier.
Vos ingénieurs électroniciens savent bien à quel point il est simple de transformer quelques circuits récepteurs, dont la fonction ou émergence consiste à amplifier des trains d’ondes magnétiques modulées en circuits émetteurs, capables de codifier et de propager l’information, par la simple modification qui suppose qu’on ajoute des condensateurs et des résistances, qu’on modifie quelque connexion et qu’on y ajoute une capsule microphonique.
LA FONCTION OIXOOWOA (Intraduisible)
Nous désirons maintenant vous révéler la nature du dernier saut quantique que peut expérimenter un cerveau. C’est le plus transcendant de tous. Inconnu des scientifiques de OYAGAA. Les conséquences, non seulement neurophysiologiques mais physicocosmologiques sont tout simplement étonnantes pour des réseaux sociaux comme la Terre qui n’ont pas encore atteint la maturité intellectuelle suffisante pour les comprendre.
Nous poursuivrons dans un prochain rapport. |
D 792-1 (3° partie – Reçu par Jorge Barrenechea le 13 Janvier 1988 ) | T20 – 24 à 33 | Notes: T20 – 34 à 40
LA FONCTION OIXIOOWOA
Une question anthropobiologique importante pour vous, c’est de connaître quelle sera la future ligne évolutive du cerveau humain. Comment seront vos descendants, s’ils viennent à l’existence, après que, par exemple, se seraient écoulés deux millions d’années ?
Nous, les OEMII de UMMO dont le cerveau est plus développé que celui de OYAGAA et qui avons connu d’autres réseaux sociaux planétaires, nous pouvons répondre de façon nuancée à cette importante question.
Le développement néguentropique du Réseau neuronal que vous appelez l’encéphale ou le cerveau, ne s’arrêtera pas encore. Deux voies se présentent devant vous pour ce développement. Une de celles-ci est régie par une loi qui vous est inconnue et que nous dénommons BAAYIOODISXAA (Équilibre cosmique biologique), et communément dénommé pour vous, processus d’évolution de l’espèce qui se régit par des règles qui émanent du B.B. (Orthogenèse) à travers des IDUGOOO (Changements ou mutations génétiques) successives.
Un simple changement dans la séquence de nucléotides d’une chaîne d’ADN qui intègre un quelconque IGOOAA (gène), se traduit par une nouvelle chaîne de polypeptides ou de protéines. Cette nouvelle protéine embryogène a pour mission de changer l’architecture du système, c’est à dire du réseau. Si ce Réseau est le cerveau et s’il s’agit d’une protéine spécifique modélatrice de structure (Les protéines embryogènes ont pour mission, non seulement de modifier histologiquement les bases du cytoplasme cellulaire, mais d’orienter le tissu dans l’espace, un peu comme un de vos maçons dispose tridimensionnellement les briques pour construire une maison.)
Cette mutation, si elle n’est pas régressive, implique un nouveau changement structurel [note 1] dans le cerveau qui deviendrait ainsi plus complexe. Par exemple, la structure du cortex frontal pourrait se développer permettant à l’individu d’être plus intelligent, étant donné que son réseau de dendrites est davantage capable de processus intellectuels compliqués (Traitant les données de son milieu physique et provenant de son engramme mnémique – mémoire).
[Note1] – Ce type de mutation peut être accidentel, par exemple quand une radiation ionisante crée un radical chimique qui affecte sérieusement le réseau de IGOOAA (gènes) provoque une légère variation dans la séquence de nucléotides de ce que vous appelez l’ADN, en quel cas, la formation ultérieure d’une protéine, sérieusement affectée par ce changement, provoquera des altérations dans le phénotype (positives ou négative pour la survie de l’individu) ou il s’agira d’une mutation ORIENTÉE PAR B.B., appelée par nous IDUUGOO. Dans ce cas, les nucléotides affectés sont variés, beaucoup d’entre eux correspondent à des séquences d’ADN qui par la suite, à travers des chaînes d’ARN appelé par vous messager et ARN de transfert, donneront lieu dans ses ribosomes à la formation des protéines embryogènes (c’est à dire d’architecture histologique)
Nous parlons de protéines VARIEES de cette classe, de sorte que le changement dans le phénotype sera plus profond que quand il s’agit d’une mutation accidentelle.
Dans ce cas, il se produit un véritable saut quantique dans l’espèce. C’est de cette façon que se modèle un nouveau réseau neuronal encéphalique du fait que sa structure change assez profondément.
En résumé : La mutation d’un cerveau d’un type à un autre plus parfait est dirigée par BUAWEE BIAEEII. Le moment de son apparition est régie par des lois de hasard qui exigent un perfectionnement progressif suivant des modèles d’évolution génétique très complexes engrangés dans B.B. Chaque phylum peut donner lieu approximativement à 218.000 mutations structurelles possibles qui correspondent à autant de modèles traités par B.B. Un réseau de Krypton décode les instructions de cette banque cosmique de données. [fin Note 1]
Ce cerveau supérieur, dont nous nous sommes dotés et même à un degré supérieur au notre, dont sont dotés d’autres réseaux planétaires, et que vos descendants possèderont aussi, aura une configuration quelque peu distincte de celle que vous connaissez. Mais ce n’est pas pour cela que s’est produit un saut qualitatif semblable à celui qui a été expérimenté quand un être humanoïde s’est converti en OEMII (HOMME).
Votre EIDUAYUUE (Emergence) sera identique. C’est à dire, il s’agira de cerveaux conscients, à un degré plus élevé, cela oui, de liberté de décision, beaucoup plus intelligents ; mais leur mission suprême sera de scruter l’Univers dans lequel ils vivent, de transférer ces données au. B.B. (BUAWAE BIAEII), ce lointain Univers codificateur d’information et à travers lui, de modifier le WAAM-WAAM (multicosmos).
Ici il nous faut nous arrêter pour essayer de vous faire réfléchir sur un aspect extrêmement important.
Au fur et à mesure que la capacité de conscience d’un cerveau continue à s’accroître et par conséquent son niveau de libre arbitre (en fonction de sa complexité croissante), il est évident que son action sur le B.B. s’accroît de même que son influence modélatrice du multicosmos.
Avant que mes frères AWUU 5 fils de AWUU 3 et OYIIAA 64 fille de UREE 11 aient fait la géniale découverte scientifique de l’existence de la fonction OIXIOOWOA (intraduisible), nous pouvions spéculer par voie de la logique, comme sans doute vous le ferez en lisant notre rapport, qu’il doit y avoir une limite à la fonction modèlatrice de l’Univers.
Si un cerveau aussi petit que celui qui loge dans votre encéphale, qui observe les galaxies, les fleurs et les volcans, ou bien qui philosophe sur la nature de l’être, transfère cette faible activité au B.B. et que celui-ci l’amplifie jusqu’au point de modeler la configuration de la poussière cosmique ou la forme d’une galaxie lointaine, vous pourrez prévoir que si l’évolution de cette masse de ganglions nerveux continuait et par conséquent son perfectionnement dans la fonction consciente, il arriverait un moment hypothétique où un macro cerveau n’ayant pas plus de quatre-vingt décimètres cubes et possédant une architecture interne suffisamment complète, serait capable de dominer le WAAM-WAAM, tout en entrant également en compétition avec le B.B.
Et de plus, il faut tenir compte – comme nous le savons maintenant – du fait que cette influence ne suit pas les principes d’une fonction linéaire. (Un accroissement double de la complexité neuronale peut multiplier par six son action cosmologique)
Bien avant que soit atteint ce niveau de complexité, les lois régulatrices du WAAM-WAAM, véritable organisme cybernétique, ont prévu des fonctions régulatrices qui vous paraîtront sûrement surprenantes, bien que dans l’histoire d’OYAGAA se soit manifestée au moins une fois nous le savons, cette régulation jugulatrice. [note 2]
[Note 2] – Quand la perturbation dans un Cosmos est très intense, il se produit une inversion dans l’action de résonance de sa masse imaginaire. B.B. (Univers) capte cette inversion car, ne pouvant pas entrer en résonance, il se produit un effet compliqué, dont l’image, plus compréhensible pour vous serait celle d’un train d’ondes stationnaires. Ceci produit un grave effet perturbateur dans WAAM . (C’est un peu comme si vous lanciez une balle, qu’elle rebondisse sur le mur et, qu’au retour, elle vous blesse à la tête.)
Il s’agit d’une véritable boucle de réalimentation. La perturbation provoquée dans B.B. se traduit par un effet frontière, WAMM élimine ainsi le responsable de la perturbation.
Nous allons maintenant vous expliquer ce qui arriverait si un vulgaire cerveau d’humain, par son action consciente et par conséquent modélatrice de variations dans le WAAM-WAAM, arrivait à dépasser ses fonctions, engendrant une distorsion très intense dans un Univers.
B.B., en ce cas, suivant des lois de caractère cybernétique, annulerait par effet frontière la configuration de cet organisme dans son propre Univers d’origine, dissolvant son réseau d’IBOZSOO UHU massique et le transformant en un autre réseau énergétique dans le sein d’un autre Univers, bien que la somme d’information traitée par ce dernier ne sera pas perdue. C’est cet aspect que nous développerons plus loin.
Cet évènement chez un homme de la Terre ou chez un OEMMII de UMMO est impossible en termes de probabilités. Ce serait comme si on s’imaginait qu’un athlète de la Terre pût être assez fort pour arracher l’Himalaya. Mais : Que se passerait si par mutation génétique s’engendrait un athlète de 70 kilomètres de haut ? Naturellement ce n’est qu’une simple métaphore, des anatomies aussi gigantesques ne peuvent se développer, mais en échange il est possible, comme vous le verrez plus loin, d’engendrer des cerveaux structurés, capables de créer de terribles perturbations cosmologiques.
Cette limitation de notre propre puissance à produire des distorsions dans le WAAM-WAAM nous protège. Nous pouvons mourir et notre corps se dissoudre dans le cadre physicobiologique qui nous entoure, mais non » disparaître en passant dans un autre Cosmos ». Au moins pendant que nous continuons à être de vulgaires OEMMII..[fin Note 2]
Mais avant de pénétrer dans la fonction OIXIOOWOA, nous vous rappellerons qu’il existe une seconde voie pour développer un encéphale : la BAAYIIBUUTD (cela pourrait se traduire par biotechonologie). Pour vous demain, comme pour nous aujourd’hui, il vous sera possible de synthétiser un réseau de chromosomes (génome) et le perfectionner ensuite pour obtenir des structures-réseaux beaucoup plus complexes, des organismes vivants différents y compris ceux que vous connaissez déjà, et évidemment, des OEMII dotés d’un cerveau plus complexe et par conséquent plus intelligent et plus conscient.
Mais ceci est un thème sur lequel nous vous donnerons des informations dans de prochains paragraphes et qui présente de graves implications éthiques et leur violation impliquerait de très graves bouleversements pour le réseau social si on osait franchir ce pas crucial.
Nous revenons donc au thème originel de ce rapport. Que se passerait-il si, en suivant la ligne évolutive naturelle ou par des moyens biotechnologiques, on atteignait un seuil spécifique dans l’architecture et dans la complexité de l’encéphale ?
Avant de répondre, nous vous informerons sur d’importants aspects de la nature de WOA.
Nous avons expliqué que WOA est un pôle transcendantal d’information. Non seulement il engramme les configurations de tous les êtres possibles, mais aussi les lois qui peuvent rendre possible la structure du WAAM-WAAM.
Ne pensez pas qu’il puisse exister un autre système de lois physiques distinctes de celles qui règnent dans le WAAM-WAAM.
Nous pouvons isoler deux types de lois :
EEWAOO – C’est une structure de lois qui régissent le cadre de tendances entropiques et néguentropiques. Il s’agit de lois physiques et biologiques, dont beaucoup vous sont familières, et dont l’application s’étend à tout le WAAM-WAAM. Elles se réduisent à un cadre très restreint de lois qui dynamisent le réseau universel d’IBOZSOO UHU. Naturellement, ces lois sont inviolables. Dans les structures macrophysiques, elles empêchent tout degré quelconque de liberté. Dans les structures microphysiques, il n’est pas possible d’en prédire le comportement. L’une des caractéristiques essentielles du WAAM-WAAM est que les configurations macrophysiques sont réglées et dirigées par des processus microphysiques.
Pour cela la ligne évolutive du WAAM-WAAM n’est pas déterministe. C’est la raison pour laquelle il est impossible de prédire son comportement futur. Tous les projets pour élaborer un modèle prédictif de la fin de l’Univers, sont condamnés à l’échec. [note 8]
[Note 8] – Il n’est pas possible de prédire avec certitude la fin des univers jumeaux, WAAM et UWAAM, qui nous sont familiers.
Nous pouvons, cela oui, déterminer avec un certain niveau de probabilités ce qui va se passer pour notre Cosmos (dans lequel nous « résidons ») en fonction de la ligne évolutive que nous observons.
Sa fin sera « probablement » un continuum spatio-temporel configuré comme une hypersphère de rayon quasi infini.
N’existeront plus dans « notre » futur les configurations de masse ou « tourbillons » : vortex énergétiques (ondes confinées).
Seule existera une distribution isotrope de radiations à un très bas niveau d’énergie, produit d’une mise en phase des trains d’onde que supposent ces structures d’IBOZSOO UHU, engendrées par WOA à travers le WAAM .
Ce modèle de la fin a été développé avec pas mal de succès par vos propres cosmologues de OYAGAA.
Il convient seulement de préciser qu’il n’existe pas de certitude que cette fin pour notre Univers doive nécessairement se produire, car il est impossible de prédire d’hypothétiques actions correctrices du WAAM-WAAM. [fin Note 8]
Le Multicosmos se comporte comme un organisme vivant auto conscient, intelligent (grâce à son B.B.), doté de libre arbitre pour évoluer. Si en son sein, l’un de ses Univers suit une ligne d’entropie croissante et par conséquent de dégradation et de mort, d’autres cosmos évoluent de façon néguentropique. Un exemple à titre didactique, pourrait être le suivant:
Le WAAM-WAAM ressemble à un OEMII (homme) qui ne serait doté que d’organes sensoriels propriocepteurs. C’est à dire, un homme à qui il manque les yeux, l’odorat, le toucher épidermique externe, l’organe de Corti, etc. Cet homme ne pourrait pas percevoir le monde extérieur simplement parce qu’un tel Univers externe n’existerait pas. Mais il serait conscient de son métabolisme biochimique, de sa température interne, de ses tensions musculaires, de son propre schéma somatique. Cet homme penserait et prendrait des décisions sur son propre corps, réglant son métabolisme biochimique, son développement histologique. Si en son sein apparaissait un néoplasme perturbateur, il serait capable d’en enrayer la croissance en ayant recours à des moyens immunologiques. Il détruirait ses vieilles cellules et régénèrerait en changeant son génome en d’autres entités cytologiques. Son âme serait WOA en symbiose avec B.B. Le premier lui soumettrait des modèles et idées informatives, le second permettrait son processus intellectuel, mais sa conduite et sa fonction neurosensorielle, seraient régies par des organes microscopiques distribués au hasard dans son corps, constitués par les cerveaux, encéphales humains résidents d’astres froids.
UAA – Mais dans le WAAM-WAAM il existe non seulement des réseaux ou des structures physiques susceptibles de souffrir la dégradation et la mort (Entropie), mais aussi des réseaux néguentropiques biologiques ; dont quelques-uns uns acquièrent le niveau d’êtres conscients (cerveau). Ces derniers sont susceptibles d’adopter des décisions LIBRES, non sujettes par conséquent au déterminisme des lois inflexibles de la physique. Il vous paraît évident que ceci introduit un facteur très sérieux d’insécurité pour le COSMOS MULTIPLE. N’oubliez pas que les cerveaux d’OEMII sont capables de modeler l’architecture des divers Univers. Si le comportement conscient de ceux-ci est déséquilibré, ils introduiraient des perturbations transcendantes dans cet organisme cybernétique qu’est le WAAM-WAAM. [Note 3]
[Note 3] – Vous pouvez nous demander la raison pour laquelle les UAA (que, les auréolant presque d’un caractère religieux mystique, vous qualifieriez de morales) ne sont pas aussi inflexibles et rigides que les EEWAO. (Lois physico-biologiques qui doivent s’accomplir inévitablement).
Il est évident que la Nature cosmobiologique se régit selon des modèles que nous pourrions décrire par une métaphore comme étant dotés d’un grand savoir.
Imaginez en raisonnant par l’absurde, que les organismes intelligents du WAAM-WAAM ne soient pas libres. (Naturellement, en ce cas, ils n’auront pas besoin de modèles idéaux de conduite UAA pour être régis, les lois physiques leur suffiraient. Leurs réseaux seraient par conséquent DETERMINISTES. L’action de ces cerveaux sur le Cosmos multiple, serait sclérosée par manque de créativité. C’est seulement au sein d’un système libre que l’information peut être dynamisée, en s’enrichissant continuellement dans un processus évolutif.
Un modèle rigide donnerait lieu à un WAAM-WAAM cristallisé, avec un niveau d’information initial qui rapidement dégénèrerait par entropie.
Imaginez un autre modèle : Les cerveaux sont libres, conscients, dotés d’un certain pourcentage de libre arbitre, mais non assistés par des modèles UAA, c’est à dire, incapables de capter des modèles de conduite morale, dans le cas où ceux-ci n’existeraient pas ou qu’ils ne leur seraient pas fournis.
Les réseaux sociaux d’Astres Froids, privés de normes, tomberaient dans un chaos néguentropique, s’autodétruiraient rapidement et leurs actions et comportements, provoqueraient un chaos dans le WAAM-WAAM.
Si vous réfléchissez ; les UAA sont aussi nécessaires que les EEWAO (lois physico-biologiques) pour l’existence de la nature cosmobiologique. Sans les unes et les autres, l’ensemble des Univers n’aurait pas de raison d’être, et nous arriverions à l’entité absurde d’un pôle d’information, WOA, qui ne peut se développer lui-même.
D’autre part, les UAA ne peuvent pas être rigides comme les EEWAO car elles doivent s’adapter à la structure d’un réseau social et muter avec lui. Nous désirons vous dire pour que vous le compreniez, que le corpus de lois que vous qualifiez d’éthiques (dont la finalité première, comme vous le voyez, est d’éviter l’entropie d’un système biologique intelligent, et par conséquent l’entropie du Multicosmos) n’est pas totalement universel. Il est certain qu’une partie de ces lois ont un caractère cosmique. Par exemple, on viole les UAA si on perturbe gravement l’évolution de l’humanité d’un Astre Froid faisant partie des habitants d’une autre entité planétaire.
Mais d’autres lois sont adaptées au moment historique d’un groupe humain. Si la structure du Réseau change, la loi morale change aussi.
Nous verrons plus tard dans le texte que nous vous avons rédigé, que ces lois UAA, sont injectées dans le Réseau social, par deux canaux. L’un très amorti et très faible qui procède de WAAM , et qui se connecte avec les structures subconscientes de nos cerveaux. L’autre canal procède directement du pôle transcendant d’information WOA, et c’est celui que nous sommes en train d’étudier pédagogiquement dans ce rapport..[fin Note 3]
Maintenant vous comprendrez le rôle que tiennent les UAA. Il s’agit de modèles idéaux de conduite. Des modèles qui ne sont ni interactifs ni conditionnant comme les EEWAOO. Ce sont des lois non imposées aux réseaux d’IBOZSOO UHU, seulement compréhensibles pour un réseau neuronal qui a atteint le degré de conscience. (cerveau de l’OEMMII). Il ne s’agit pas de lois imposées. Le réseau nerveux ganglionnaire peut décider de ne pas les suivre étant donné qu’à un certain niveau il est doté de volonté libre.
Ce sont des modèles harmoniques (ces UAA) qui régulent la néguentropie. Leur violation provoque une augmentation de l’entropie du système multicosmique. Son adaptation engendre un accroissement de néguentropie c’est à dire, de perfectionnement informatif.
Dans le plan grandiose du multicosmos, ces UAA peuvent paraître inopérantes, ou non pertinentes, puisqu’elles ne sont pas comme les EEWAOO (lois physico-biologiques), des règles qui fatalement doivent régir le comportement de la masse et de l’énergie.
Les UAA sont au contraire réflexives. L’organisme vivant intelligent les contemple comme dans un miroir, et les accepte ou non. Que se passera-t-il si l’ensemble des cerveaux refusait de leur obéir ? Il serait évident que le Multicosmos s’effondrerait.
Mais le schéma organisateur grandiose du WAAM-WAAM a sagement prévu cette hypothétique mais fausse émergence.
Il est évident qu’un cerveau ou une quantité limitée d’entre eux peut refuser de suivre librement les injonctions de la UAA. Il serait également prévisible que tout un réseau ou une communauté planétaire désire être régi par des modèles anti UAA (immoraux), mais le reste des organismes intelligents, conscients que les conséquences de leur conduite pourraient se retourner contre eux, accepterait ces modèles logiques de comportement.
De même un exemple grossier tiré de la Thermodynamique vous aidera à comprendre cette conduite collective.
Dans une enceinte fermée, les particules (molécules) d’un gaz se comportent de façon aléatoire. Il est impossible de prédire si une molécule s’oriente avec une vitesse déterminée jusqu’au mur de l’enceinte, ou si elle va percuter une autre particule sœur. Mais un observateur macrophysique peut en échange prédire avec exactitude le comportement de tout l’ensemble de molécules. Sa pression, sa température ou sa vitesse moyenne.
La Nature à travers les modèles universels engrangés dans WOA sait que fatalement l’ensemble des OEMII répartis sur des milliards de planètes habitées accomplira les UAA, rendant possible le développement harmonique du WAAM-WAAM bien qu’une fraction d’entre eux les viole en détruisant en partie son propre avenir. La terrible expérience de la (re)-conformation (Ndt: « Purgatoire ») préalable à son intégration dans B.B, agira désormais comme un facteur hostile terrible pour ceux qui se refusent à suivre de telles lois.
Nous avons connu des communautés planétaires dont les êtres intelligents qui adoptaient une conduite égoïste, agressive et destructrice pour leurs frères, se sont auto annihilés avec de terribles armes biotechniques. Mais leur mort et leur souffrance quand ils en ont expérimenté leurs effets sont de pâles images nées de la pure spéculation face à la souffrance intellectuelle épouvantable qu’ils ont expérimenté avant de s’intégrer dans le B.B. après leur mort.
Maintenant, après cet aperçu, vous pourrez comprendre plus clairement le OIXIOWOA.
Souvenez-vous que nous vous renseignons sur la double fonction de WOA.
Ce pôle cosmique (Vous pouvez l’appeler Dieu, si vous le désirez, en tenant compte des différences conceptuelles qui le séparent de vos conceptions théologiques) est capable d’entrer « en résonance » avec deux structures de base du WAAM-WAAM.
L’une d’elles, vous la connaissez par nos rapports. C’est le WAAM B.B. Cette dernière capte les modèles ou étalons suivants :
Patrons ou séquences d’information des configurations possibles (Etoiles, animaux, choses)
Patrons modelisés des EEWAOO (lois physiques et biologiques)
Mais WOA peut transférer – et il le fait – d’autres patrons importants de lois. Les UAA régulatrices de néguentropie . Et elles sont « en résonance » (n’oubliez pas que nous utilisons le terme résonance dans un but didactique) avec des réseaux déterminés qui s’engendrent par l’évolution sur des astres froids distincts et au sein de réseaux sociaux intelligents..
Nous vous parlions des sauts quantiques distincts que nous pouvons observer dans la configuration d’un système nerveux. Nous rappelions que ceux-ci pouvaient évoluer suivant les étapes suivantes dont chacune apporte un GUIXOOEXO et par conséquent une émergence différente.
Premier stade : Organisme qui a des réflexes simples, et qui réagit directement au stimulus du milieu physique.
Second stade : Organisme capable de traiter l’information et qui dirige sa conduite de façon déterministe non seulement en vertu du milieu, mais aussi de l’information mémorisée.
Troisième stade : Organisme (OEMII) (Homme) dont le cerveau a expérimenté un saut quantique qui lui permet d’être conscient, relativement libre, et connecté à BUAWAA (Psyché), à BUAWEE BIAEII et dont la conduite contribue à modeler le WAAM-WAAM.
Voyons le troisième stade: : sa durée peut se chiffrer entre un million quatre cent mille et trente huit millions d’années. La plupart de toutes les civilisations que nous connaissons ( quatre-vingt deux pour cent de celles ci, y compris le réseau d’OYAGAA et celui d’ UMMO), sont entre ces limites. Quand un réseau social de cerveaux humains meurt rapidement, ce n’est pas dû à une mutation de sa structure, mais au fait qu’il s’auto anéantit. Parfois par de terribles suicides collectifs comme sur l’astre froid dont le nom peut être rendu par les phonèmes FEEXEEEEE, situé sur une étoile de type spectral K située à trente-deux mille années-lumière de chez vous (constellation du Bélier) à la périphérie de notre formation galactique.
D’autres fois, le développement technologique et la violation de la loi UAAA, a provoqué une hécatombe planétaire après une terrible conflagration entre rivaux. . Parfois, des causes lointaines comme l’explosion proche d’une supernova ou de graves perturbations cosmologiques ont engendré la destruction de cette humanité.
Mais la fin naturelle d’une espèce humaine, s’il n’existe pas de variations dans son étoile principale, des cataclysmes géologiques très sérieux ou une destruction d’origine technologique, est le pas vers le quatrième stade : le OIXIOOWOA.
La probabilité que surgisse une mutation OIXIOOWOA (Une seule dans un cerveau déterminé) et au cours des dix premiers millions d’années d’un réseau d’ OEMMII, est très élevée (probabilité proche de un) et qui atteint l’unité si se sont écoulés au moins treize millions d’années.
Il est très rare que, sur une période de quinze à vingt millions d’années (si l’humanité survit), il se produise une mutation identique (Note 4).
[Note 4] – La loi de distribution de fréquences dans le temps suit une fonction très singulière, graphique que nous exposons ensuite. Dans chaque réseau social de n’importe quel astre froid, un seul individu de cette espèce nommée OEMMIIWOA, est engendré par hasard pour la première fois. Ensuite il s’écoule un large intervalle de temps sans que se produise le phénomène, dont l’éclosion ne se reproduira qu’au bout de plusieurs millions d’années.
( OEMMII )
La mutation OIXIOOWOA engendre par conséquent un type de cerveau radicalement différent de celui de l’OEMII dont il procède. L’OEMIIWOA ainsi conformé, est une espèce biologique nouvelle avec un génome distinct..[fin Note 4]
Passés trente huit millions d’années, il se produit un phénomène biologico-physique surprenant. Presque tous les cerveaux ont muté. Cependant six millions d’années avant cela, des centaines de milliers d’êtres OEMII avaient expérimenté cette mutation qui les convertissait en cerveau OIXIOOWOA. Au bout de quelques années (pas plus de cinquante ans), l’organisme humain qui abrite ce cerveau » DISPARAIT « . (Remarquez que nous ne disons pas qu’il meure mais qu’il « disparait »). Mais il est clair que si toute la population qui peuple l’astre froid arrive à ce stade, l’humanité cesse d’exister.
Nous allons vous expliquer cette énigme.
Quand un réseau de noyaux neuronaux (encéphale) poursuit son évolution, il devient plus intelligent, de plus en plus conscient, et par conséquent, de plus en plus influent dans le WAAM-WAAM.
Une mutation multiple dans le génome, peut donner lieu à un autre saut quantique (définitif).Il se crée un autre réseau nerveux supérieur (pas nécessairement beaucoup plus intelligent), mais dont l’émergence est totalement nouvelle. C’est la phase très rare, pour nous OIXIOOWOA, l’état supérieur que peut atteindre un cerveau. L’être qui l’abrite, en plus d’être un homme comme vous l’appelez, un OEMII comme nous autres l’appelons. C’est un autre être, quoique son anatomie soit identique. Nous appelons en général cet être nouveau : OEMMIIWOA.
Voici ses caractéristiques :
ANATOMIE : C’est l’unique phase connue, semblable à celle de l’OEMMII dont il a été engendré par mutation génétique. Son corps ne peut pas suivre l’évolution, car sa structure physique disparaît quelques années après sa naissance, quand se produit un état mental déterminé appelé WOAIRII (intraduisible).
NIVEAU INTELLECTUEL : La mutation se présente dans un génome correspondant à un futur phénotype d’intelligence élevée. Si son organisme ne disparaissait pas, on présume que sa descendance augmenterait en capacité mentale, mais ceci est indémontrable.
CONNEXIONS CONDITIONNANTES : Nous n’avons jamais eu accès au cerveau d’un OEMMIWOA pour des raisons évidentes. Le modèle qui se présente comme le plus probable, est celui d’un encéphale avec un développement spécial du noyau amygdalien, une hyperactivité de la glande pinéale. Probablement l’apparition de deux noyaux subtalamiques clefs.
STRUCTURE cosmobiologique : Dans un OEMMIIWOA se présentent les classiques réseaux BAAYIODUU intégrés par des atomes de Kripton qui mettent son encéphale en connexion avec son BUAAWAA et avec le BUAWWEE BIAEII. Mais, de surcroît, apparaît un nouveau réseau avec un nombre, inconnu pour nous, d’atomes de Kr (Krypton) qui établit une connexion informative avec le pole cosmique d’information WOA.
FONCTION DU OEMIIWOA : Dans le cerveau de l’encéphale ayant subi ainsi une mutation, se traitent à un niveau inconscient, les UAA de WOAA. La AYUUEAOIDII ou émergence (fonction) de ce réseau nerveux, se manifeste avec une intensité grandiose dans le plan merveilleux de la Nature Cosmologique. Cet encéphale a pour mission d’injecter dans le réseau social ces lois de régulation néguentropique, à des encéphales dotés de libre arbitre, capables de les accepter ou de les repousser. L’information concernant ces lois (morales, diriez-vous) se canalise à partir de ce cerveau, jusqu’au corpus global de données que forme le patrimoine culturel de cette société.
L’OEMIIWOA se convertit ainsi en récepteur direct de certains patrons d’ordonnancement contenu en WOA, et non seulement par le truchement du B.B. comme pour le reste des êtres humains.[note5]
[Note 5] – Il est très difficile de faire le profil, en quelques lignes brèves dactylographiées, de la structure mentale d’un OEMMIWOA, qui doit logiquement être distincte de celle d’un OEMII. D’une part il devient conscient de l’information qu’il reçoit, en provenance du pôle WOA. Mais la notion que cet être a de WOA procède de son environnement socio-culturel. Si celui-ci a un concept de WOA magico-religieux, ce nouvel organisme peut s’identifier à un Dieu anthropomorphe, bien que les valeurs UAA dont il est porteur lui donne la configuration d’un être doté de grande humilité, voué au service des OEMMII et disposé à n’importe quel sacrifice.
La structure chromosomique de l’OEMMIIWOA l’empêche de procréer avec un OEMMII puisque tous les deux sont d’espèces distinctes. En fait, il peut le tenter, car le fait qu’il ne soit pas né dans une humanité dont le développement scientifique ait suffisamment évolué de façon à avoir élaboré un modèle mathématico-biologique de l’existence de ce nouveau cerveau, cet OEMMIIWOA ignore que son organisme est distinct des autres humains intelligents, étant donné que son anatomie est très semblable. Jésus et UMMOWOA n’avaient pas, à leurs époques respectives, de telles données à leur disposition.
Par exemple, un OEMMIWOA peut être une femme. Et en fait, nous avons détecté des Astres Froids sur lesquels il en fut ainsi. Le fait que JESUS et notre UMMOWOA soient des mâles n’est qu’une simple circonstance fortuite.
Dans le cas de la Terre, il est difficile de prévoir ce qui se serait passé si Jésus était né femme, dans la mentalité judaïque machiste intransigeante. L’analyse historique qui suit pourrait vous éclairer sur la mentalité machiste judaïque intransigeante. Il s’agit de ce qui est arrivé à l’une de vos sœurs Hipacia, fille de Taon, née en l’an 368 à Alexandrie. Cette femme, l’une des plus intelligentes qu’ait eu OYAGAA, était une astronome et mathématicienne insigne de son époque. Son père l’avait initiée à la géométrie. Elle avait contribué au développement de la magnifique bibliothèque d’Alexandrie, dont la destruction par les chrétiens eut pour vous des siècles d’obscurité intellectuelle.
Le patriarche d’Alexandrie la haïssait pour sa double condition de femme et d’intellectuelle non chrétienne.
Les révoltes dans la ville avaient été fomentées par un moine fanatique, du nom d’Amonio. Les luttes entre chrétiens et païens s’aggravèrent. Une populace de partisans du Patriarche s’empara de la malheureuse femme et on envoya un messager au chef chrétien, qui donna des instructions pour qu’on la tue, sans spécifier de quelle façon. Ces fanatiques la dénudèrent, lui coupèrent les seins, introduisirent une baquette de bois dans le vagin, déchirant l’utérus et un exalté, appelé Zoido, au moyen d’une valve de mollusque lui sectionna les muscles des jambes et des bras jusqu’à ce qu’elle perde tout son sang et qu’elle en meure.
Le Patriarche Cyrille, qui fut par la suite sanctifié, en recevant le soir même ces fanatiques exécuteurs de Hipacia, les exhorta à poursuivre la lutte pour la Foi. Ainsi mourut une des protomartyres de la Science. Vous pouvez vous imaginer ce qui serait arrivé à une femme si elle s’était déclarée incarnée par Dieu. C’est à peine si vous lui consacrez quelques paragraphes dans vos livres d’Histoire, même si vous vous êtes préoccupés comme nous de sonder sa vie. C’est une attitude cohérente étant donné le mépris pathologique que vous, les mâles de OYAGAA, vous adoptez concernant l’intelligence des YIEE (femmes)..[fin Note 5]
« DISPARITION » DE L’OEMMIWOA : Un être avec ces caractéristiques est quelque chose d’exceptionnel dans le cadre d’un réseau social. Son degré de conscienciation tend à un maximum. Ce maximum se produit dans un état appelé par nous WOAIRII, d’altération émotionnelle très intense, ou soit à un moment de sa vie dans lequel le système limbique de son cerveau, soumis à des pressions mentales très puissantes, provoque chez lui un collapsus affectif.
Dans ces conditions, la fonction consciente du cerveau atteint un seuil inadmissible pour le WAAM-WAAM.
Souvenez-vous que nous avions indiqué dans des paragraphes précédents que le multicosmos ne pouvait tolérer qu’un cerveau atteigne un tel niveau d’activité consciente qui soit capable de modifier sa configuration au niveau, par exemple, de ce que fait le B.B.
Les lois Biocosmiques ont prévu un mécanisme cybernétique d’autodéfense dans l’Univers multiple. D’une part, une telle structure ne peut pas être annihilée, mais sa survivance ferait se produire cette chose absurde qu’un minuscule organisme vivant domine le multicosmos. Bien avant que ce seuil soit atteint, B.B. ASNEIIBIAEOO (peut se traduire par phagocyter, absorber, réduire à néant), cet être merveilleux.
Pour vous physiciens de OYAGAA, ce phénomène que vous qualifieriez de magique est encore incompréhensible. Nous reconnaissons que sa rareté rend difficile sa détection, cependant, son fondement physique appelé par nous LEIYOO WAAM (effet-membrane ou frontière), est quelque chose qui se manifeste continuellement entre deux Univers adjacents. En fait, le transfert d’information avec B.B. par les atomes de Krypton, est aussi un effet-frontière. [note 6]
[Note 6] – On comprend que dans un Réseau social qui n’est pas encore doté d’une base culturelle rationnelle et scientifique, tout évènement inhabituel qui apparemment n’est pas régi par des lois physico-biologiques connues soit interprété par les observateurs OEMMII comme étant surnaturels, d’origine thaumaturgique, ou le fruit de pouvoirs noumenico-transcendants [ Ndt: le mot espagnol est « noumenicotranscenntes » . Le noumène, dans la philosophie de Kant, est la chose en soi, telle qu’elle existe indépendamment de qui peut la connaître ou la sentir] . C’est chez vous l’origine des idées magiques. Concernant un fait qu’on ne peut comprendre par la raison et qui se produit avec une certaine rareté (de très rares occurrences dans le temps) vous pouvez penser qu’ils ont été réalisés grâce à une intervention divine, ou de celle d’un démon, ou d’un esprit. Parfois vous lui donnerez le qualificatif de « paranormal » comme si le déroulement du phénomène se faisait en marge des lois. Il est explicable par conséquent que dans le déroulement de son histoire, les éruptions de volcans, les impacts de météorites, les rayons de plasma globulaires, les apparitions de supernovae…. phénomènes qui sont tous peu fréquents, mais qui ne violent pas pour cela le cadre des lois EEWAO (lois physico-biologiques), furent interprétés sur le mode superstitieux comme étant surnaturels. Ainsi, l’apparition d’une comète dans la sphère céleste, a été chez vous le signal d’évènements funestes.
Egalement dans le cadre d’une société de technicité plus élevée, comme celle qui entourait notre UMMOWOA, son évanouissement dans l’espace par l’effet de cet effet frontière fut contemplé avec une saisissante terreur superstitieuse. [fin Note 6]
Nous appelons effet LEIYOO WAAM, un ensemble de phénomènes cosmologiques qui se manifestent dans ce que nous appelons XOODI WAAM. Ce mot exprime le concept de « membrane » ou frontière entre deux Univers (Comprenez par là, non pas la notion de proximité topologique ou géométrique, mais la « structure » qui rend possible le transfert d’IBOZSOO UHU)
Une image grossière vous permettra de comprendre ce concept. Imaginez deux enceintes ou récipients séparés par une fine membrane de porcelaine poreuse. Si on les remplit avec un mélange de liquides de poids moléculaire distinct, c’est le liquide dont la taille moléculaire est la plus réduite qui traversera.
Nous disons que c’est une image grossière, parce que le véritable LEIYOO WAAM est un phénomène de haute complexité qui implique la transformation d’un réseau d’ibozsoo uhu (entités élémentaires qui constituent la base de n’importe quel quantum de la nature) constitués en masse, en photons. C’est à dire : imaginez que sur la table vous aviez un petit cube de plomb. Si WAAMB. B.B , à travers un train d’ondes stationnaires, stimule la masse imaginaire des Univers « adjacents », il se produit un effet de résonance spécifique qui affecte un train de masses imaginaires dans une chaîne de Cosmos.
Cette séquence d’oscillations dans la masse Ö -m atteindrait notre Univers et en son sein, le point de l’astre froid où se situe notre cube de Plomb. La résonance avec le réseau d’IBOZSOO UHU qui intègre sa masse est telle, que se produirait alors le LEIYOO WAAM (effet-frontière). Devant les yeux de l’observateur de votre Astre, le cube disparaîtrait instantanément de sa vue, en produisant une légère turbulence gazeuse due à ce que le vide doit être rempli de l’air qui l’entoure.
Où sera allé se placer ce cube métallique ? La masse globale de notre Univers aura été réduite dans les mêmes proportions, mais l’énergie globale de l’Univers adjacent, aura été augmenté de l’équivalent énergétique de cette même masse, car en cet Univers il apparaîtra, en forme de réseau d’IBODSOO UHU formé de photons d’une fréquence qui sera fonction de l’énergie cinétique qu’ont les molécules du réseau cristallin du plomb, à l’instant de la mutation (c’est à dire, de sa température).
Naturellement, ce phénomène de conversion, il est très improbable qu’il se produise. Celui qui module les LEIYOO WAAM (effets frontière) c’est l’Univers de masse infinie qui codifie d’énormes quantités d’entités informatives. Grâce à ces effets, un tel Univers règle la configuration des infinis Cosmos « adjacents » .
Vous pouvez vous imaginer que ce WAAM , est comme un gigantesque processeur de données dont les organes périphériques de sorties, c’est à dire ses effets, ne sont autre chose que des quanta de masse imaginaire qui opèrent par effet-frontière, c’est à dire, par des bras étranges ou tentacules qui s’étendent jusqu’aux Cosmos les plus éloignés. Ceux-ci peuvent provoquer des plis dans l’environnement spatio-temporel de l’Univers, ou transférer masse et énergie et aussi l’information à travers les XOOIDI WAAM (frontières). Mais toute cette action cosmologique ne se réalise pas au hasard, mais soigneusement programmée par WAAM , qui à son tour comme nous vous l’avons déjà dit, est informé par une infinité de cerveaux des OEMMII.
Quand un OEMMIIWOA, c’est à dire, un humain doté de ce cerveau singulier, atteint un niveau insupportable de conscienciation (insupportable pour WAAM ) celui-ci réagit instantanément en provoquant un spectaculaire LEIYOO WAAM. Le corps de cet homme « disparaît » à la vue de ceux qui l’accompagnent. Sa masse est convertie en photons dans un Univers adjacent et sa psyché est intégrée instantanément dans B.B. sans reconversion, car sa structure neuronale dans la vie, ne lui a pas permis de violer la loi morale, les UAA, puisque son cerveau était un récepteur direct de ces étalons universels de conduite.[Note 7]
[Note 7] – ANESIIBIAEOOO est un processus au sujet duquel nous craignons de nous étendre pour ne pas dépasser les termes que nous avons utilisés dans ce rapport simple et élémentaire.
Pour un observateur OEMMII qui aurait la chance véritable d’être présent à l’instant où il se produit, le fait qu’un autre « être humain » disparaisse de sa vue comme s’il était instantanément devenu transparent, invisible, le laisserait abasourdi, lui faisant attribuer le phénomène à un acte surnaturel.
Mais ce Leiyoo Waam (effet-frontière), présente d’importants et différents aspects qui divergent du phénomène de « disparition » de ceux appelés par vous » étoiles noires », » trous noirs ».
Pour ces derniers, le colapse de sa masse au-dessus d’un seuil, il disparaît aussi de l’Univers actuel, à travers la « frontière », et réapparaît en forme d’énergie dégradée (réduisant son entropie) dans un autre Cosmos adjacent.
ANESIIBIAEOO, est un effet-frontière beaucoup plus complexe. La chaîne d’IBOZSOO UHU (qui, d’abord conformait le cerveau dans un quatrième stade de l’organisme OEMMIIWOA), se transforme d’abord dans l’Univers adjacent, en une chaîne d’IBOZSOO UHU porteuse, non seulement de l’information qui engrange la mémoire de cet individu, mais son stockage dans le subconscient procédant de WOA (UAA), plus celle qui se rapporte à la structure compliquée du système neuro-cérébral.
A partir de maintenant, il se produit une chaîne de transferts d’Univers en Univers (sans perte d’information) jusqu’à ce qu’elle soit absorbée par WAAM , contribuant ainsi à enrichir la structure complexe du B.B.
Nous observons ici un exemple de plus de la merveilleuse harmonie du WAAM-WAAM. Si vous faites une pause pour effectuer une analyse du processus, vous en ferez vous-même la démonstration.
D’une part, OEMMIWOA (mâle ou femelle) naît par mutation de l’espèce, comme une nécessité biologique, pour réguler le Réseau d’OEMII, et que celui-ci ne glisse pas dangereusement vers l’entropie. Pour cela nous vous indiquions au début de ce rapport que son existence était aussi inévitable et scientifiquement nécessaire que la loi de gravitation qui engendre l’attraction entre un aérolithe et un planétoïde. Mais son existence, si elle dépasse un seuil déterminé de conscientisation dangereux pour le WAAM-WAAM, n’est cependant plus possible dans ce cas. Le fait que WAAM le phagocyte, conduit à l’accomplissement de deux objectifs : annuler son effet nocif au niveau cosmologique, et tirer avantage de son extrême complexité au niveau de l’information pour contribuer au développement du B.B..[fin Note 7]
Ne pensez pas que cette « disparition » soit une sorte de punition de la part du WAAM-WAAM. Elle est simplement régie par une loi de survie du Multicosmos.
792-1 (4°partie – Reçue le 20 Janvier 1988 ) |
JESUS ET
UMMOWOA
Jésus et Ummowoa sont pour vos frères et les nôtres, deux exemples importants d’organismes d’OEMMIIWOA.Sur d’autres Astres Froids d’hominisation peu précoce, nous avons enregistré l’apparition d’autres OEMMIIWOA semblables.
Dans des civilisations très avancées, où il n’a pas surgi un de ces sauts quantiques cérébraux, le modèle cosmobiologique qui rend possible le phénomène s’est déjà élaboré, et on attend l’évènement avec une curiosité scientifique.
Il n’existe aucune présomption selon laquelle une telle mutation cérébrale est régie par une loi qui rende prédictible le phénomène. Il semble que, comme cela se produit pour les autres sauts quantiques de la structure nerveuse, celui-ci surgit par hasard, bien qu’orchestré depuis B.B.
Comme preuve de son caractère aléatoire, nous remarquons que l’un de ces organismes surgit dans des moments disparates de la civilisation. Jésus naît dans l’environnement d’une société encore peu développée culturellement, imprégnée d’idées irrationnelles et magiques, encore éloignée de l’ère scientifique.
Sur UMMO, notre OEMIIWOA (UMMOWOA) naît dans un Réseau social beaucoup plus ancien, où se développent une Science et une Technologie équivalentes à celles qui furent observées sur la Terre entre les XIXème et XXème siècles ; et sur d’autres Astres surveillés par nos nefs, leur apparition fut plus précoce, quand leurs habitants vivaient en s’abritant sous des espèces végétales arborescentes.
Comme preuve de ce que B.B. exerce un système de contrôle quelconque par réalimentation, nous observons qu’une fois qu’a surgi un OEMMIIWOA, le phénomène ne se reproduit plus ensuite avant des millions d’années.
Nous savons qu’un mécanisme de rétroalimentation (dont nous ne connaissons pas encore la nature exacte), active le B.B. et pendant longtemps celui-ci ne permet pas d’autre mutation.
C’est comme si une plante exotique naissait soudain dans un jardin, et que celle-ci émette une substance contaminante qui empêchera ses propres congénères de fructifier.
Pendant ce temps, le reste des cerveaux, encore au niveau quantique antérieur (hominisés), continue à évoluer et à se perfectionner. Plusieurs millions d’années plus tard, et soudain, comme si ce mécanisme de réaction inhibiteur avait cessé son action, surgissent alors dans le Réseau social des milliers de mutations OIXIOOWOA. Les hommes qui existent encore s’habituent rapidement à vivre avec des congénères supérieurs qui ne meurent pas, mais qui disparaissent dans l’espace. Il y a deux espèces distinctes : des organismes inférieurs, vivant en symbiose, non pas avec une autre race, mais avec l’autre espèce supérieure.
Rapidement l’ancienne famille d’OEMII s’éteint par réduction (de leur nombre), pendant que les nouveaux êtres, qui suivent des règles éthiques sublimes, forment une structure sociale parfaite, pendant peu de temps, puisque leur ASNEIIBIAEDOO (Absorption par le B.B. ou disparition) décime progressivement ce merveilleux Réseau social, jusqu’à ce qu’il disparaisse de l’Astre froid. C’est la « mort naturelle » d’une vieille humanité planétaire.[Note 13]
[Note13] – L’échantillonnage que nous avons pu réaliser sur des astres froids connus, montrent un profil-type de OEMMIWOA correspondant aux deux sexes, extraverti, loquace, mais peu enclin à établir des relations affectives intimes et sexuelles. Il est certain que, même s’il en avait l’intention, étant donné les caractéristiques de son bagage chromosomique, le résultat serait négatif. Probablement, son inhibition sexuelle constitue un puissant système défensif du B.B., face aux risques d’une prolifération excessive.
Dans les phases tardives de l’humanité où surgissent de nombreux OEMMII, les mécanismes d’interfécondation sont quasi inopérants, des phénomènes sociaux collectifs au cours desquels des milliers d’OEMMII se réunissent pour méditer profondément, atteignant un état émotionnel d’une telle intensité en magnitude, que tous ceux-ci « disparaissent » à l’instant même.
La procréation est presque inexistante au point que le taux de « disparitions » appelée par nous ASNEIIBIAEDOO, excède dans une grande mesure celui des mutations OISIOOWOA qui se montent à de rares naissances dans la nouvelle espèce. Le Réseau social de cet astre habité, tend en conséquence à s’éteindre en quelques centaines d’années terrestres. Nous désirons vous préciser que les astres froids qui atteignent cette étape finale n’atteignent pas 0,002 pour cent. Ce sont de véritables raretés biologiques dans le WAAM-WAAM..[fin Note 13]
Un tel évènement cosmobiophysique, dont nous venons de définir la rareté entre autres phénomènes naturels, il est logique qu’il crée surprise et étonnement parmi les contemporains de cet organisme singulier.
Son anatomie externe est semblable à celle des OEMII ; c’est pour cette raison qu’on le qualifie « d’homme ». (Nous avons déjà vu que sur le plan de la taxinomie, dans le cadre des espèces biologiques distinctes, sa structure doit être classée à part).
Son intelligence est très supérieure à la moyenne, ceci est dû au développement de son cortex frontal. Il le convertit en meneur d’hommes, son pouvoir de persuasion, de rayonnement affectif, de captation de volontés, est logiquement supérieur du fait que son enseignement verbal est recueilli et répandu avec un profond respect.
Les normes de conduite sont inévitablement impeccables. N’oublions pas qu’un être avec ces caractéristiques, non seulement atteint un niveau de conscientisation très élevé, mais qu’une nouvelle chaîne d’atomes de krypton lui transfère immédiatement des modèles d’ordonnancement à partir du même pôle cosmologique d’information : WOA. Bien que son libre arbitre atteigne une valeur proche de cent pour cent, il est quasiment imprévisible qu’il adopte des conduites qui violent ces mêmes UAA, qui sont si subtilement engrammés dans son subconscient, et qui affleurent facilement la conscience.
Dans un environnement parfois corrompu, dans lequel leurs vies se déroulent, la renommée de leur moralité sans faille se répand avec une grande facilité. Naturellement, les pouvoirs établis perçoivent le danger que peut représenter pour eux un meneur d’hommes dont la capacité d’entraîner les foules se retournerait contre leurs intérêts.
Et c’est ce qui s’est passé précisément dans nos Astres froids, bien que dans des contextes historiques différents. UMMOWOA est envoyé en prison par une fille cruelle et despote. Ceux qui l’ont capturé se disposent à réaliser des expériences biologiques sur son corps. Les premiers récits sûrement déformés, racontent que son corps « disparut » à l’instant de sa mort. Il est inutile de se lancer dans des spéculations sur la question de savoir si ASNEIIBIAEDOO (mutation par effet-frontière), s’est déroulé avant son décès ou non. Ceci se produit à l’instant où le degré de conscience, en raison d’un cadre émotionnel qui perturbe le système limbique, met le WAAM-WAAM en danger.[Note 9]
[Note 9] Bien que l’information qui nous soit parvenue au sujet de UMMOWOA soit plus précise et digne de foi que celle que vous possédez sur OYAGAAWOA (Jésus), nous souffrons d’une importante carence de données sur sa vie, due en partie aux sicaires de la jeune chef d’état de l’époque, qui ordonnèrent de détruire toute la documentation qu’ils pourraient trouver sur cet hominidé exceptionnel.
Il est nécessaire de faire allusion à la cruelle dictature d’une enfant WIE 1 fille de OOUUA 3. D’un âge tendre, elle se charge du pouvoir au décès de sa mère IEE 456, fille de NAA 312.
Celle ci s’était proclamée » reine absolue de UMMO » après avoir donné la mort d’une manière épouvantable à neuf hauts dignitaires, qui conjointement avec d’autres représentants, gouvernaient sagement le Réseau Social.
Elle était une fanatique de la recherche scientifique. Sa culture n’était pas très étendue, mais elle ressentait une crainte respectueuse et de l’enthousiasme devant le progrès.
Dans sa demeure fastueuse, elle s’entourait de chercheurs et fit en sorte que de nombreuses habitations soient destinées à être converties en laboratoires. De nombreuses matinées, elle se rendait secrètement, sans la compagnie de ses » policières « , dans les pièces creusées dans la roche, et si elle ne voyait pas d’activité, elle ordonnait d’exécuter les scientifiques et les collaborateurs responsables.
Elle eut une idée cosmologique brillante, bien que tordue, distordue, que la science a confirmé en partie, bien qu’elle s’avéra fallacieuse dans sa structure.
Elle fit écrire que les créateurs de l’univers sont les OEMMII .Quand l’un d’entre eux formule une loi physique, il la crée en cet instant même. Cela ne se pose pas exactement comme ça, mais son dogme servit beaucoup plus tard pour découvrir l’action (modélisatrice du cerveau pensant sur le WAAM-WAAM ( univers ).
Anthropothéisme !, penchant à croire que le Réseau Social d’UMMO est le dieu créateur de l’Univers lui-même, et que dans son propre corps s’abrite l’encéphale de WOA. Elle se présentait au pied d’un volcan, perchée et assise dans les branches d’un IXXISOO ( espèce arboricole très touffue), et faisait venir pour contempler sa figure infantile, des centaines de milliers de sujets, qui devaient se présenter devant elles dévêtus, et avec la tête et le visage recouvert de eyougii ( une substance gélatineuse qui produisait des brûlures sur leur épiderme).
Les serviteurs de son corps étaient tous des humains consacrés à la Science. C’était un honneur de lui mettre la tunique de couleur orange, symbole de son pouvoir, ou d’introduire dans sa bouche le XUUXU, un long tube flexible par lequel elle aspirait des jus.
Son égolatrie atteignit un sommet. Elle projette un plan grandiose d’industrialisation, visant à se procurer l’Energie provenant de IUMMA ( soleil ) pour la fabrication de biens de production, et d’immenses quantités d’instruments pour la recherche, dans différents domaines de la Physico-Biologie.
Des agents ( des policiers ) fouillaient les demeures souterraines de tout le continent, arrachant les hommes et les femmes de leur foyer ( à cette époque il était courant de vivre en communautés de quarante à quatre-vingts OEMMII, les YIEE ( femmes ) et leurs époux et enfants mélangées avec les membres d’autres familles, résidant tous ensembles dans un hall circulaire souterrain).
Les agents arrivaient, sélectionnaient les OEMMII au hasard, les dépouillaient de leurs vêtements, les entassaient dans de gigantesques véhicules multipodes vers un destin qui leurs était inconnu pour eux : des camps de travail.
Pendant le trajet, on les sélectionnait en leur marquant un numéro, avec des caractères métalliques incandescents sur le front et sur les fesses, et on leur fournissait un vêtement qui les couvrait seulement jusqu’à la taille. Ensuite on leur badigeonnait le reste du corps : les organes génitaux, les fesses, les cuisses et les jambes, avec une substance plastique transparente, n’épargnant seulement que les orifices qui leur permettaient d’effectuer leurs évacuations physiologiques.
Un de ces pauvres hères fut UMMOWOA. Mêlé à une multitude de GEE ( hommes ) et YIEE ( femmes ), et destiné à travailler à la construction d’une gigantesque centrale solaire, dans l’immense plaine de SIIIUU.
Ils devaient creuser de longues et énormes tranchées de sections paraboliques, qui recouvertes de métal réflecteur, serviraient pour concentrer les rayons de IUMMA et produire de l’énergie par conversion dans des circuits liquides.
On ne sait rien sur les progéniteurs de UMMOWOA. La police détruisit ultérieurement toutes les archives qui faisaient allusion à sa famille.
Des références indirectes de disciples contemporains de sa doctrine font allusion au fait que son père était un ingénieur spécialisé dans les dispositifs d’éclairage, et sa mère professeur de zoologie, ou peut être de biologie générale. Il semble qu’il avait une sœur qui fut destinée comme lui à une usine d’obtention de SUUX ( blocs poreux pour stocker des liquides), mais son frère ne réussit pas à reprendre contact avec les membres de sa famille après la brutale séparation. Il semble que son père se nommait soaii ( SOAII 41 fils de ?), mais le plus surprenant, est que nous ignorons le véritable nom de UMMOWOA ( on lui en attribue plusieurs, sans véritable rigueur historique ).
Ses disciples étaient si convaincus de sa divinité, qu’ils l’appelaient simplement UMMOWOA. Comme les travailleurs esclaves perdaient officiellement leur nom, il nous était parvenu seulement le numéro gravé sur l’épiderme de son front et de ses fesses, c’était ( en nombre décimal ) 2.332.874.
Nous ne connaissons que de maigres récits de la vie que menaient UMMOWOA et de ses malheureux frères, grâce à une de ses compagnes d’esclavage, une nommée YOODA 60 qui avait comme numéro gravé : 2.331.544.
Un de ses récits fait allusion à la dernière période, dans laquelle WIE 1 fille de OOUUA 3 était déjà arrivée au pouvoir. Celle ci, par un de ses frivoles caprices, et pour humilier les travailleurs esclaves, avait remplacé plus de 70% de ses policiers gardiens par des fillettes âgées de neuf à quinze terrestres.
Un après midi UMMOWOA et YOODAA 60 étaient en train de travailler ensemble, posant de grandes feuilles métalliques courbes sur les tranchées paraboliques, quand la fillette qui les surveillait eut un désir sexuel et ordonna à YOODAA, femme qui aurait été alors âgée d’environ vingt six années terrestres qu’elle s’agenouille devant elle et qu’elle lui fasse des caresses linguales.
La travailleuse soumise fit ce qu’on lui ordonna. Un refus aurait signifié la mort, accompagnée d’horribles tortures. La fillette a du être insatisfaite du zèle montré par la subordonnée et avec son UHULAA (verge d’acier pourvue d’aiguilles à son extrémité ) elle commença à frapper de manière barbare son corps sans défense.
UMMOWOA qui jusqu’alors avait assisté impuissant à la scène, courut vers le couple et regarda fixement le petit tyran. A cette époque ce geste était inadmissible, parce que fixer un supérieur était considéré comme quelque chose d’odieux et répugnant, mais dans ces circonstances particulières, poser son regard sur le surveillant entraînait aussi la mort.
La jeune fille ne put supporter le regard de son esclave, jeta la UHULAA et courut se cacher derrière d’autres travailleurs. Cet enfant se convertirait quelques jours après en une fidèle disciple de UMMOWOA.
IE 456 mourut assassinée dans des circonstances qui n’ont toujours pas été tirées au clair par nos experts en histoire. La version la plus probable est qu’une professeur de » technique de mélange de parfums » GOEEXOO 87, fille de GOEXOO 82, par vengeance pour avoir été châtiée en ayant eu les fesses plongées dans de l’eau bouillante, plaça un explosif dans la ESAAVII ( salle de bains ). Du moins fournit t-on des preuves, réelles ou fausses, de son complot. L’unique victime fut la tyran.
Une enfant faible lui succéda, sa fille WIE1, qui manifesta rapidement des traits pathologiques axés sur sa cruauté, dépassèrent de beaucoup ceux de sa progénitrice !
Son raffinement à faire souffrir ses sujets esclaves, dépassa tout ce qui était imaginable sur UMMO.
En premier lieu, elle ordonna que ses matières fécales soient ingérées par tous ses sujets comme signe de soumission. Ses tuteurs terrorisés par la réaction imprévisible de l’enfant s’ils s’opposaient à ces désirs, lui firent
voir avec des explications simples, qu’il était impossible de réussir à ce qu’une masse fécale si réduite, puisse être distribuée aux millions d’habitants de l’Astre froid.
Il fallut qu’une commission de serviteurs intellectuels se réunisse pour chercher une solution au problème, puisqu’elle menaçait d’effectuer un épouvantable génocide, ne laissant la vie qu’à ceux qui auraient eut la chance de consommer ses excréments.
Finalement on trouva la solution qui lui donna satisfaction. Les selles de ses serviteurs, des membres de la police, des hauts dignitaires locaux et de toute la structure sociale dirigeante du Réseau Social de UMMO, furent mélangés avec une dilution de degré infinitésimal, dans d’immenses quantités d’eau, des déjections du tyran.
Les ordres édictés pour exécuter cette exigence, furent à l’origine de nombreuses révoltes parmi les travailleurs esclaves, dont beaucoup de ceux ci étaient de brillants scientifiques. La brutale police étouffa le soulèvement, tuant des milliers d’innocents en leur enfouissant la tête dans du fumier d’animaux.
Les vagues du soulèvement arrivèrent aussi dans la vallée de SIIUU, et la police s’apprêta à les réprimer. UMMOWOA jouissait d’un grand ascendant moral, non seulement sur les ouvriers esclaves, mais aussi sur les gardiens eux-mêmes. Celui ci arracha un amplificateur phonique à l’un des sicaires, et imposa le silence aux nombreux groupes d’OEMMII qui l’écoutaient. Ses sublimes paroles apaisèrent les réactions émotionnelles de haine. Les esclaves obéirent aux ordres impériaux de mâcher tous les douze jours, les selles humiliantes, et les dignitaires et les surveillants décidèrent un pacte de silence pour oublier les provocations et manquer aux ordres d’exécution et de torture qu’on leur avait donné.
UMMOWOA s’entourait toutes les nuits de centaines d’OEMMII, parmi lesquels se mêlaient même des surveillants et des dirigeants du camp, qui recueillaient avec ferveur chaque TAAUU ( Maxime morale ) qui sortait de son organe de phonation. UMMOWOA, si nous devons accepter le témoignage de quelques-uns uns de ses auditeurs, parlait avec un ton persuasif. A cette époque, la proportion d’OEMMII qui jouissaient de facultés phono émissives était beaucoup plus grande qu’aujourd’hui, et UMMOWOA n’avait pas ses cordes vocales atrophiées.
A cette époque là commençait à se développer la faculté d’émettre un double message par la verbalisation, mais le second était beaucoup plus pauvre bien que doté de riches nuances émotionnelles. UMMOWOA n’utilisait presque pas ses facultés normales de transmission, que vous appelez télépathiques.
UMMOWOA écrivit le fameux WOABOOXII sur des lames transparentes.
Malheureusement après sa détention, les policiers s’emparèrent de l’original et des copies, et quand WIE 1 ordonna de détruire tout ce qui ferait allusion à UMMOWOA, son texte fut perdu pour toujours. YODAA 60 rapporte que le texte était illustré de beaux schémas de ce qui devrait être un système de relations morales entre les OEMMII du vaste continent de UMMO. Mais sa voix nous est parvenue par l’intermédiaire de bandes de ZUUROHO (Bandes capables d’enregistrer le son optiquement ), paradoxalement conservées par une des très jeunes surveillantes qui se refusa à suivre les ordres stricts de destruction.
Passé un certain temps, la renommée de UMMOWOA arriva jusqu’à l’enfant WIE 1 elle même, à travers son terrible réseau de surveillantes espionnes. WIE 1 avait à cette époque remplacé une grande partie des gardiens adultes par des fillettes approximativement de son âge. Le dressage auquel elle les soumettait les avait rendues plus cruelles que les GEE ( hommes ).
WIE 1 tentait de créer une terrible structure théocratique, dans laquelle elle s’arrogeait la fonction de WOA (Dieu, dans une conception mythique ) et dans laquelle la hiérarchie était composée de fillettes de son âge, les postes subalternes seraient concédés aux YIE ( femmes ), et les GEE (hommes ) exterminés à l’exception de quelques esclaves étalons.
Mais les fluctuations d’émotivité de cette jouvencelle malade neurologique, empêchèrent toute planification cohérente de ce monstrueux plan génocide. Il lui suffisait que n’importe laquelle de ses servantes commette une faute, pour non seulement la châtier d’une manière barbare, mais encore pour se hâter de dicter des lois cruelles contre les femmes. Sa fameuse instruction qui obligeait toutes les YIEE de UMMO à tomber enceintes de force, en supprimant les stériles, fut dictée par la OGIIA ( la Dignitaire suprême de UMMO ), quand YAA 63, une des esclaves destinée à boire la mixion de sa maîtresse suprême, renversa quelques gouttes de liquide, souillant les cuisses de la OGIIA.
Il se créa des tensions aiguës entre les nouvelles et brutales jeunes gardiennes et les agents mâles qui restaient encore dans la Vallée, ces derniers, fidèles à UMMOWOA. L’un d’eux avertit le sublime maître que les ordres avaient été donnés de le conduire jusqu’à la fillette gouverneur de la région, pour l’interroger sous la torture.
UMMOWOA fuit de la vallée, mais les surveillants adultes sont capturés et torturés. Pour ne pas compromettre ces malheureux OEMMII, cet OEMMIIWOA se présente volontairement aux autorités de sa zone.
WIIE 1 prit connaissance de sa détention par le IBAYAANII (Canal informatif consistant en des postes qui émettaient et décodaient de la lumière modulée. C’étaient de grands cylindres d’un alliage de chrome, qui agissaient comme relais des signaux lumineux ).
L’histoire relate que la fillette se trouvait dans l’enceinte du IAIQUEAII ( art de parfumer ) avec ses esclaves. Dans un cri ululant de joie, elle donna immédiatement l’ordre de l’écorcher vif, pour faire des recherches biologiques avec son corps.
Les derniers jours de sa vie, UMMOWOA émit ses TAAUU pour ses disciples, par émission de OANEEAOIYOIYOOO ( Télépathie). Sa fin vous la connaissez par un document que nous vous avons envoyé il y a quelque temps. [fin Note 9]
Nous pouvons imaginer l’impression que la disparition (d’UMMOWOA) pu provoquer chez ces biologistes corrompus. A une époque de développement scientifique rationaliste dans lequel il n’y avait aucune place pour des idées de caractère magique, et où le concept de miracle était donc inconnu pour des esprits logiques, Naturellement, la notion qu’un objet massique puisse soudain disparaître de la vue, ne pouvait d’abord s’expliquer que par un phénomène d’hallucination collective rarement crédible.
Un examen ultérieur du cours des évènements, et un examen de la doctrine répandue par cet OEMII étrange, obligea tout le monde à reconsidérer cette explication. Bien que la notion qu’on avait de WOA, ne fût pas aussi mythique que celle soutenue par les théologiens de OYAGAA, l’idée d’un « être divin » avait pris forme dans beaucoup d’esprits. Celui-ci parut être une preuve directe de l’intervention d’un être Suprême, et cette foi contribua à la diffusion d’UAA, indispensables pour le fonctionnement d’un Réseau social.[note 10]
Observez comme B.B., par une manœuvre que nous pourrions qualifier de géniale, se prévaut de mécanismes psycho-sociaux d’exaltation suggestive pour accomplir son objectif ultime.
[Note 10] Les idées cosmophilosophiques de cette époque étaient relativement développées. Il n’existait aucun corps doctrinal que vous auriez pu identifier comme une Religion. Mais, on avait de WOA une conception qui présomptivement pouvait s’associer à l’idée de Dieu de beaucoup de théologiens scolastiques de OYAGAA (Terre).
WOA était générateur de lois. Woa n’était pas éternel, selon cette vieille version. Il était né, s’était développé jusqu’à atteindre une intelligence absolue, en ce point il avait dicté ses lois, faisant la réalité.
De cette manière aurait été engendrée la nuée d’étoiles que nos frères de cette période identifiaient comme le WAAM ( Univers perceptible )
WOA désireux que l’Univers aussi possède l’intelligence décida ensuite de créer les êtres vivants. On pensait aussi que tous ceux ci possédaient l’ UYUUIYWE ( pourrait se traduire par intelligence ou esprit vital ), mais que l’OEMII l’avait plus développée. Quand les humains et les autres vivants mouraient, leurs UYUUIIWE se fondaient dans un être WOAUWI, qui était comme une espèce d’ange vitalisateur, donc la fonction serait de développer l’évolution des êtres organiques. Il n’existait pas de culte autour de ces idées, et on les acceptait sans enthousiasme excessif, comme une hypothèse plausible sur le transcendant.
Les idées de caractère Théo-cosmique, ou panthéiste comme vous diriez, lancées par décret par IEE 456 et par sa fillette WIEE 1 et, c’est un comble, visant à identifier les cruelles souveraines à WOA, ne furent prises au sérieux par personne, excepté au début par les écoliers qui recevaient une rigide éducation en ce sens. Personne n’osait les contredire en public, puisque WIE 1 avait même décrété que celui qui nierait sa divinité, soit exposé nu dans une sphère transparente.
D’autre part, il n’existait pas de précédent d’OEMMII qui se soient osés à s’identifier à WOA. Nos ancêtres, en apprenant le surprenant fait, thaumaturgique pour eux, de la disparition de UMMOWOA, pensèrent que WOA s’était incarné pour contredire l’affirmation blasphématoire des deux tyrans. [Fin note 10]
D792-2 | T20 – mi 46 à 51 (notes 10, : T20-57/65)
Naturellement, quand nous vînmes à OYAGAA ; mes frères, une fois qu’ils eurent maîtrisé les barrières linguistiques, et dès qu’ils purent s’orienter grâce à des schémas de plus en plus pointus concernant votre contenu culturel, ont immédiatement focalisé leur attention sur la figure étrange de Jésus de Galilée. Cela va sans dire, les personnages générateurs de religion avaient attiré leur attention (aussi), quelques-uns uns avec une plus grande richesse philosophico-doctrinale pour nous que la religion chrétienne. L’étude de Socrate, de Bouddha, de Confucius, de Mahomet. Le parallélisme de UMMOWOA avec Jésus était impressionnant, après une première lecture du Nouveau Testament.
Mais il existe des éléments historico-sociaux qui ne cadrent pas. La vie de Jésus apparaissait dans le contexte de ces livres, remplie de contradictions et d’erreurs historiques. D’autre part, il était impossible de trouver dans l’ensemble restreint des historiens de son époque, des allusions à l’image vivante de Jésus de Galilée.
Nous avons vite découvert également, que la brève citation sur le Christ faite par l’historien Josèphe est une interpolation hardie réalisée dans des copies ultérieures, par les mêmes chrétiens fanatiques. Josèphe ignorait ou méprisait cette figure juive. Trois de mes frères, OAROO 4 fils de YUIXII 48, YUU 1 fille de AIM 368 et ADAA 66 f. de ADAA 65, voyagent en Israël et en Égypte et ensuite en Jordanie pour capter des informations.
Avec les techniques UWOOLOO, ils purent localiser et déterrer de très importants documents formés de rouleaux métalliques et d’inscriptions sur pierre et sur argile, qui joints aux renseignements archéologiques recueillis par vos soins, nous ont permis de reconstituer une partie de cette passionnante étape de votre Histoire (Les documents archéologiques pris sur OYAGAA sont en notre pouvoir sur UMMO. Nous les rendrons à OYAGAA dans une de vos futures étapes de votre évolution culturelle.
Jésus naît en Galilée (pas à Bethléem, mais à une douzaine de kilomètres de l’emplacement de la ville de Nazareth), dans la huitième année de l’Ère, appelée par vous chrétienne.(et non la première année, l’année zéro). Ses parents étaient des pasteurs nomades (transhumants), et son lieu de naissance fut une modeste tente (Il a été impossible de déterminer le lieu exact de ce campement). Jésus avait, au moment de sa naissance, deux frères et une sœur. Par la suite il lui naquit un autre frère.
A partir d’ici, le récit post-testamentaire apparaît rempli d’erreurs grossières, d’additifs pseudo historiques postérieurs. Sur ce fond, parfois avec une certaine rigueur historique, se détache, bien que quelque peu déformée, la doctrine de Jésus, dictée par son subconscient. [note11]
[Note 11] – Beaucoup des récits de la vie de Jésus relatés dans le contexte néo-testamentaire sont de pures légendes, quand ce ne sont pas des versions qui ne sont que de pâles reflets fortement adultérés de la réalité. L’impact intense qu’engendra sa disparition soudaine entoura sa vie d’un halo surnaturel, et les profondeurs de ce halo illuminèrent les aspects vulgaires de son passage sur les terres palestiniennes, les transformant en évènements merveilleux. Par exemple : la version qu’il était mort se répandit à propos pour éluder la persécution des autorités, mais relatée dans des versions successives par les apologistes, elle se transforma en résurrection miraculeuse.[Fin note 11]
Jésus ne fonde aucune Eglise. Le récit relatif à la création du pape avec l’apôtre Pierre, comme premier Pontife, et les allusions variées à une congrégation de fidèles est également le fruit d’additifs postérieurs. Les termes hébreux tels que QAHAL, et le grec EKKLESIA, sont ensuite prodigués, éparpillés dans les écrits plus antiques.
Le mythe de la mort, a comme origine une fausse interprétation du martyre de Jésus. Il est totalement certain que ce OEMMIIWOA est soumis au tourment de la crucifixion, bien que les chroniques post-testamentaires soient sensiblement déformées jusqu’à se convertir en légende, mais Jésus ne meurt pas. Ses disciples obtiennent de récupérer son corps presque inanimé, bien qu’ils fassent courir le bruit de sa mort [note14] (lien note 14) pour éviter une autre persécution. Ils soignent ses blessures et une fois rétabli, le chef religieux reprend son activité doctrinaire. Peu après se produirait le ASNEEIIBIAEDOO (disparition) devant ses disciples abasourdis. Le récit de cet évènement fut ensuite déformé et interprété comme « Ascension au Ciel ». Le phénomène ne parut pas être si étonnant à des humains fanatisés convaincus de la Divinité de leur Maître. Nous avons prouvé que le linceul conservé à Turin a entouré le corps de Jésus. Nous vous recommandons une étude plus approfondie de ce vestige historique. La thèse vaporigraphique, consistant en l’imprégnation du tissu par des substances phyto-thérapeutiques avec lesquels ceux qui l’ont soigné imprégnèrent le corps de Jésus pour soulager ses blessures explique l’empreinte de l’image. La thèse que quelques-uns uns de vos frères ont émise concernant une hypothétique radiation mystérieuse est totalement absurde et antiscientifique. La tunique fut conservée par un paysan appelé ISMAHI, qui assista à la disparition « miraculeuse » du Maître Galiléen.
Il est important de signaler, que contrairement à notre histoire de UMMOWOA, le nombre de personnes qui contempla l’évènement prodigieux de sa « disparition » fut énorme. Il est possible, d’après les documents que nous avons localisés, qu’ils aient été de douze cents à quinze cents personnes. Si la version donnée au début par un petit nombre de biologistes fut qualifiée de psycho-nosologique par ceux qui écoutèrent le récit, bien qu’une investigation policière ait restitué le phénomène, ici des douzaines de pasteurs, paysans et pêcheurs se lancèrent remplis de fanatisme exalté à raconter avec un enthousiasme mystique ce qu’ils avaient vu de leurs propres yeux. [Note15]
[Note 15] – Bien que l’environnement idéologique de ces humains fût rempli d’idées superstitieuses sur les pouvoirs magiques des prophètes et des sorciers, les gens ne parvenaient pas à observer dans la pratique autre chose que des tours simples d’illusionnisme élémentaire. La disparition instantanée d’un être humain en plein jour, dût les surprendre profondément.[Fin note 15]
Immédiatement se forme une secte chrétienne qui atteint un apogée inhabituel depuis l’an 38 (Ère Occidentale), jusqu’à l’an 129 à 133. Durant cette période, les témoins de l’évènement, leurs fils et d’autres adeptes exaltés, confrontés aux doctrines dominantes en Israël, se lancèrent dans une campagne messianique, pour exposer, déjà quelque peu altérée, la doctrine éthique de Jésus.
A partir de cette date, on observe les premières scissions, la formation de sectes ; la formation – imaginée par les dirigeants plus ambitieux – d’une congrégation EKKLESIA – surgit avec force.
Jésus avait, durant sa vie, fréquenté des personnes remarquables qui dirigeaient les assemblées ou synagogues, et lié amitié avec eux. N’oubliez pas qu’en Judée, les hommes éminents les plus riches étaient intégrés dans la classe sacerdotale ; c’est-à-dire, les dignitaires du Sacerdoce Suprême du Temple. Le flux d’argent était immense, il provenait de dons de juifs et d’impôts religieux. De cette façon, le Sanhédrin comptait sur un pouvoir secret qui s’étendait jusqu’aux confins de la Judée.
Quelques-uns de ces hommes éminents s’étaient convertis en disciples secrets de Jésus et ils purent assister au prodige de sa « disparition ». Grâce à leurs nombreux biens, ils œuvrèrent à la formation de telles sectes, ainsi qu’à travers leurs fils et leurs petits-enfants.
Au début, surgissent deux groupes importants. L’un issu de sectes juives (minoritaires) et l’autre, de Réseaux Sociaux palestiniens (bien que d’une certaine façon fondée sur le judaïsme) . Il naît aussi un groupe essénien, qui déforme sensiblement la doctrine. Un rôle éminent, à des dates ultérieures fut tenu par les descendants d’une secte qui avait embrassé une forme de vie monastique, formée par quelques amis de Jésus et qui vivaient dans des grottes près de Jérusalem.
Les différences sur la signification des idées de Jésus deviennent chaque fois plus tendues. C’est seulement un souvenir commun qui unit ces hommes : leurs pères ou grands-pères avaient vu le prodigieux « miracle » d’un Maître divin qui » devient soudainement transparent » .
Le germe de l’idée ecclésiale apparaît précisément, reconduite par un groupe de moines de Jérusalem, fortement hiérarchisés. Parmi eux il y avait d’anciens disciples d’un autre OEMMII historique (bien que son histoire soit également déformée), JEAN LE BAPTISTE. [Note16]
[note 16] – Jean le Baptiste, joue un rôle historique très important dans la vie de OYAGAAWOA (Jésus). C’était une période triste et dramatique pour le peuple juif sous le joug des païens romains qui idéologiquement étaient beaucoup plus en retard que les monothéistes Yahevistes.
Longtemps auparavant, avait commencé l’expulsion des hiérarques portant le nom d’Hérode jusqu’à ce que le peuple ressente haine et répugnance. Hérode, fils de Antiphatre, s’était servilement offert à Octave à Rome et il débarqua en Judée avec ses armées infligeant finalement une défaite aux défenseurs de Jérusalem, imposant un nouveau Sanhédrin ayant à sa tête le nouveau Grand Prêtre Aristobule, jeune parent d’Hérode, et se proclamant Roi de Judée avec l’appui de Rome.
Les classes élevées le soutenaient, car Hérode, éduqué à Rome, planifia intelligemment le pays et inaugura une ère de nouvelles constructions basées sur les techniques architectoniques (sic) romaines.
Mais les couches populaires ressentaient de la haine envers lui. Ils le considéraient comme un traître qui avait vendu l’ethnie de fière tradition aux barbares envahisseurs en provenance de la péninsule italienne.
Des années plus tard, commencèrent à surgir des hommes inquiets et rebelles à l’esprit neuropsychique de chefs, qui se présentaient comme prophètes, prêchant la fin des temps, interprétée à la lumière des textes sacrés.
Jean était le plus intelligent et le plus fameux d’entre eux. Des adeptes fanatiques, esséniens et samaritains, le suivaient.
En ce temps là, un descendant d’ Hérode, Antipas exacerbait les commérages des paysans, des pasteurs, des artisans et des pécheurs. Ce dernier avait décidé de s’unir par le mariage à sa nièce par le sang. La loi de Moïse, très puritaine, considérait cet évènement comme étant incestueux, abominable et exécrable. Jean le Baptiste exhortait ceux qui voulaient l’écouter à purifier leur corps dans l’eau pour organiser un soulèvement contre les hiérarques maudits par Jéhovah, et les poignarder.
Parmi les tous premiers disciples de Jean, il y avait Jésus. Celui-ci s’était senti séduit par les idées plus pures prêchées par son Maître, qui exhortaient à un retour à une vie plus pure et à une interprétation plus fidèle de la loi de Moïse.
Jésus était un être beaucoup plus intelligent que Jean et doué d’une capacité de persuasion plus puissante. De nombreux adeptes du Maître, focalisèrent leur attention sur le jeune bras droit. Jésus s’opposa publiquement à Jean quand celui-ci commença à prêcher l’assassinat d’Hérode et des autres hiérarques juifs. Jean réagit en l’expulsant de ses rangs, et Jésus emmena avec lui une grande quantité d’adeptes. [fin note 16]
Ces différents disciples imposent ce qu’on appelle le sacrement du Baptême. C’est la même secte qui crée le mythe des douze apôtres. Non qu’ils n’aient pas existé, quelques-uns étaient parmi les disciples de Jésus, d’autres peuvent être rattachés au groupe des anachorètes, ils s’arrogèrent un rôle de protagonistes, qu’en réalité ils n’eurent pas. Ce serait les SHELIHIM, les dirigeants de la nouvelle congrégation hiérarchisée.
Autour d’Esteban, l’un des dirigeants d’une autre secte, qu’on appelle les hellénistes, s’agglutinent des juifs très cultivés qui embrassent la doctrine déjà très altérée de Jésus. Le conflit entre ces derniers et le vieux groupe monacal devient très grave. Les premiers partent du principe qu’il était nécessaire de souffrir la persécution et le martyre, comme Jésus. Leur dialectique était plus riche, c’étaient des hommes plus intelligents que les moines. Les zélotes eurent avec eux d’aigres disputes qui dégénérèrent en rixes sanglantes. Esteban fut sauvagement assassiné. Ils lui extirpèrent les parties génitales, ils lui arrachèrent les yeux et lui ouvrirent l’abdomen, vivant. Ensuite, la version des autres membres de la secte fut qu’Esteban avait été exécuté.
Le restant des partisans s’enfuit à Samarie.
Les Hellénistes continuèrent à se répandre sur le littoral méditerranéen, en Syrie, en Phénicie. Des congrégations ecclésiastiques se forment suivant cette ligne théologique, entrant en concurrence avec l’effort des moines qui au début ( ‘al principio’ au lieu de ‘en principio’), avaient été patronnés par les « douze » apôtres.
Un obscur OEMMII, du nom de Paul de Tarse, se distingua pendant la persécution des hellénistes. En principe, il avait adhéré aux Zelotas. Ensuite, il les trahit et ceux-ci jurèrent de le tuer. Un helléniste du nom de THAIS l’initia aux mystères de la doctrine de Jésus. THAIS avait aussi assisté à la « disparition ou ascension dans le ciel ». Après son intégration dans le groupe, il voyage en Syrie pour créer de nouveaux groupes, de nouvelles églises.
Dans ces communautés, il régnait un intense respect de la liberté des adeptes. La hiérarchisation rigide et les règles sévères qui devaient régir les communautés plus sclérosées pendant les siècles postérieurs y sont inconnues. On exhorte les fidèles à régler leurs actes en fonction de l’enseignement divin de Jésus pour ne pas violer gravement le droit des êtres les plus faibles. Ici la véritable UAA surgit dans toute sa pureté.
Jusqu’en l’an 49, les zelotas provoquent des troubles graves à Jérusalem. L’origine de la révolte doit être centrée dans le fait qu’une jeune zelota, une certaine « DHIFA ou DIVA » fut sauvagement violée par un soldat de Rome. La rébellion s’étendit à toute la Palestine. Rome vint à bout des rebelles, occupant Jérusalem et détruisant le Temple. Les sectes chrétiennes se voient gravement affectées à cette époque.
Plus tard Jacques meurt, et la secte de Jérusalem se disperse. Jusqu’en l’an 72, elle a souffert d’un déclin notable de son ancienne influence. Pendant ce temps les groupes hellénistes continuent à se reformer. Ils avaient écrit ce qu’on appelle l’Évangile selon Saint Marc jusqu’en l’an 52, et ils le répandaient avec rapidité. De son coté, un exilé palestinien du nom de NAUR, écrivit l’Apocalypse » selon Saint Jean » en l’an 79. Cet homme haïssait les juifs et il écrit son texte pour attiser le climat social qui existait chez les Palestiniens contre cette race.
Ce qu’on appelle les Epîtres de Jacques fut écrit entre les années 78 et 81. Nous pouvons vous révéler qu’elle non plus n’est pas écrite par Jacques. C’est l’œuvre de deux auteurs, dont l’un s’appelle Daniel le Juif, qui s’efforcent tous les deux d’amener au christianisme par leur texte des juifs dispersés après la destruction du Temple de Jérusalem.
L’Évangile selon Saint Mathieu est rédigé en l’an 82, il demeure inédit pendant deux ans, et il est réécrit avec des corrections en l’an 84 par un groupe restreint d’hiérarques dans une communauté de Syrie, située à Antioche.
L’histoire de l’Évangile de Saint Jean, est plus complexe. C’est précisément Jean qui raconte l’agonie de Jésus et sa vie, telle qu’il l’a connue à travers des versions adultérées d’autres disciples de Jésus, et comme il l’a vécue lui-même, à des adeptes variés de Smyrne. Ceux-ci recueillent les récits oralement et rédigent de mémoire l’Évangile, qu’ils ne feront pas connaître avant trois autres retouches. L’Évangile ne prend sa forme définitive qu’au bout de deux ans et cinq mois. Et son texte commence à être ((divulgué)) en l’an 96.
Dans la dernière période du siècle 1, les chrétiens se réunissent dans les demeures des dirigeants les plus éminents des sectes. Ici se célèbrent des scènes collectives en souvenir du Maître Jésus, au cours desquelles on lit des récits de sa mort. Cette coutume poursuivit sa ritualisation jusqu’au premier quart du 2 ° siècle (jusqu’en l’an 118) où l’Eucharistie apparaît déjà instaurée comme sacrement. Les anciens se chargent d’un culte qui alors s’était déjà ritualisé et également codifié dans certaines communautés. Les évêques, se chargent d’administrer les biens procédant d’un fond commun des membres des congrégations. Finalement, cela se fit par le contrôle des communautés.
La période médiane entre les années 170 et 243, se caractérise par la naissance de l’Institution de l’Église. Les évêques comprennent qu’il faut unir les communautés dispersées, sous un contrôle commun et un code uniforme de la doctrine, qui jusqu’alors était exposée de façon anarchique par chacune des congrégations indépendantes. [Note12] (lien sur note 12)
Mais les groupes ne se montrent pas tous favorables à cette fusion.
En réalité la secte dite chrétienne était scindée en une multitude de petits groupes, dont certains, suivant une ligne de pensée éclectique, amalgamaient des doctrines procédant de la mythologie grecque et romaine avec le christianisme; quand il ne se produisait pas une étrange symbiose d’idées juives, égyptiennes et chrétiennes. Le groupe le plus important des opposants à l’autre ligne, est celui formé par les écoles gnostiques. C’est une autre façon plus épurée de comprendre le Christianisme.
L’interprétation officielle falsifiée des historiens de l’Église Catholique Romaine rapporte avec une emphase particulière le conflit entre les deux idéologies. L’une, la serait représentée par le CHRISTIANISME à ses origines JERUSALEMIENNE et HELLENIENNE, et l’autre par une secte quasi païenne appelée le GNOSTICISME.
La réalité historique, telle que nous l’avons évaluée avec des documents qui ne vous sont pas accessibles est toute autre.
Il s’agit de deux interprétations mythiques du christianisme. Toutes les deux adultèrent le message originel de Jésus dont nous vous avons exposé l’origine cosmobiologique. Jésus voulait, influencé par son subconscient engrammé de modèles de comportement néguentropique, enseigner à ses disciples ces simples éléments d’Éthique.
La mentalité magique, les croyances exotiques en provenance des diverses cultures mythologiques et l’absence naturelle de rigueur dans la transmission de données par voie orale ou écrite, donnèrent naissance à deux grands corps de doctrines dites chrétiennes : la grecque plus pauvre, plus influencée par la terrible notion d’un Jehova vengeur et cruel, un Dieu protecteur de l’agressive ethnie juive et la Gnose avec une philosophie plus élaborée de logique qui voit en Jehova un être malin et élabore une idée de Dieu beaucoup plus pure.
L’histoire postérieure fut un choc brutal entre les deux conceptions. Finalement la première, qui imposa son concept d’Église et sa doctrine, est sortie victorieuse. Il est évident que si c’était l’inverse qui s’était passé, vous en Occident, vous auriez élaboré une philosophie chrétienne, également mythifiée et déformée, mais plus intellectuelle et avec un concept de la divinité plus conforme à la Science.
Albacete 8 Janvier 1988
EOYOO 2 FILS DE AXII 36
NOTES LONGUES
[Note 12] – Beaucoup de ces premières communautés chrétiennes étaient un modèle merveilleux de Réseau Social, fondé sur des modèles moraux. On y pratiquait la communauté des biens, et les membres qui avaient toujours présente l’image vénérée du maître sublime Jésus, mettaient en pratique ses nobles enseignements. Peu importait que la doctrine fût déjà viciée par une mythification historique de la vie du Maître. Ce qui était important est qu’il se pratiquait entre eux un régime de vie, qui par les données que nous possédons, ressemblait aux fondements éthiques qui régissent les coutumes de notre UMMO.
Pour cela l’étude de la civilisation occidentale de OYAGAA nous a grandement séduits. Ce n’est pas parce qu’en son sein le rationalisme scientifique s’est constitué à partir des formes de la pensée grecque, ni parce les nations de cette région ont, en conséquence, atteint un niveau de bien-être économique en rapport avec l’évolution de la technique qui en a résulté ainsi que celle de sa mentalité planificatrice, ni par leurs formes d’idéologie religieuse. En réalité, la religion structurée dans le christianisme présente une théologie beaucoup moins imaginative que l’hindouisme, le bouddhisme et d’autres formes exotiques de la pensée transcendantale.
Quelle est donc la raison qui d’abord suscite notre intérêt pour ce segment de réseau social ? Simplement les contradictions encore incompréhensibles qu’on pourrait qualifier de « brutales » et que l’on observe au sein de communautés de religion d’origine judéo-chrétiennes.
Si nous nous en tenons au catholicisme, il est déconcertant d’analyser comment ont coexisté dans l’OEMMII, dont les règles de conduite ont été régies par la loi morale la plus sublime, le fait que vous ayez été capable de donner votre vie au service de vos frères, avec celui de vos frères plus fanatiques qui au nom de JESUS, ont atteint les limites de la cruauté la plus abjecte. Ce n’est pas un secret pour vous que dans le cadre de cette religion institutionnalisée, les pages de son histoire sont imprégnées de sang et de souffrance pour ceux qui ne pensaient pas comme eux, mais aussi de bonté et de charité. Vous diriez, quant à vous, que le catholicisme est une saga d’anges et de démons.
Une étude objective que nous avons faite, donne une balance très négative. Le phénomène ecclésial a fait plus de mal que de bien a l’humanité de OYAGAA. Il a freiné le développement de la Science et de la Culture, il a jugulé la soif d’émancipation des conditions de pauvreté et d’esclavage.
Il n’est pas nécessaire que nous vous rappelions de nombreuses pages sombres.
Dans les premiers temps, les communautés de quelques villes étaient d’authentiques modèles de comportement sur le plan éthique, et les chrétiens de nombreux groupes souffrirent de terribles persécutions, de tortures inhumaines, donnant un témoignage honnête de leur FOI.
Mais le constantinisme anéantit les derniers vestiges d’un Réseau social fondé sur des principes communautaires et éthiques.
Le plus grave n’est pas qu’il se soit structuré sous le mythe du primat Pierre, hiérarchisant son organisation et édifiant sa doctrine au moyen de dogmes. Ce qui a véritablement corrompu l’Église fut le pouvoir temporel et les idées paranoïaques des dignitaires et des théologiens.
Le vieux mythe du démon plagié dans les pages bibliques d’autres religions ancestrales de OYAGAA, fut assumé avec une grande intensité par les penseurs de cette institution, car cela leur permettait de justifier n’importe quelle conduite abominable.
Ainsi on persécute de pauvres femmes par milliers, les accusant de cohabiter avec » satan « , dans une persécution nauséabonde que se partagent les chrétiens catholiques et protestants durant les siècles les plus sombres de votre histoire.
Tous les assassinats commis par les fanatiques (La nuit de la Saint Barthélemy, les assassinés de la Gironde, le génocide du prêtre Ante Palevic en collaboration avec les nazis, la mort de Giordano Bruno, les tortures et les crimes des franquistes espagnols, tortures horribles des militaires argentins soutenus par la hiérarchie catholique…), ont été justifiés par la morale de l’Église sous le motif que les victimes tentaient (en collaboration avec des forces inspirées par le pouvoir diabolique) de renverser l’ordre établi.
Cette Église, est donc coupable de pervertir le message de Jésus, de lui enlever son prestige et en conséquence d’empêcher un processus de mentalisation du Réseau social qui lui permettrait de suivre les UAA.
Quand des OEMMII remplis de bonté, nobles et désireux de suivre la doctrine pure de Jésus, ont prétendu, de son sein même, réformer l’Église, le système, ou bien a créé une barrière antiseptique pour les isoler, ou bien les a purement et simplement éliminés.
Vous pourriez choisir beaucoup d’exemples. François d’Assise, Jean XXIII l’archevêque Romero, les fondateurs de la doctrine théologique de la Libération et le cas inouï de votre frère Albino (Jean-Paul I), assassiné avec une double capsule d’un agent botulinique et de cyanure potassique, quand il projetait d’exiger des comptes des responsables des finances et d’instaurer son nouveau plan (Carpeta azul. Documento S/655 « Multa paucis » ) de réforme profonde de l’économie.
Les espérances naïves selon lesquelles une structure à l’origine viciée puisse expérimenter une conversion, en retournant aux sources primitives de l’évangile, vos frères ont déjà observé qu’elles se sont évanouies après l’éclat du Concile de Vatican II. Le Souverain-Pontife Jean Paul II s’est chargé de le faire avorter. Les anticléricaux doivent se montrer très reconnaissants à sa personne. En peu d’années il a fait plus de mal à son église que tous ses ennemis athés.[Fin note 12]
[Note 14] – Bien que la mort de Jésus traitée dans les documents du Nouveau Testament et officiellement admise par les Églises chrétiennes, soit la partie historique qui souffre le moins de déformations, la réalité concernant la succession des faits conserve de nombreuses différences avec les narrations transcrites dans les textes pour vous sacrés.
La véritable vie sociale de Jésus, commence quand ce OEMMIWOA, en compagnie de quelques pasteurs des environs de Nazareth, s’approche du groupe des Esséniens qui suivait Jean le Baptiste. Jésus suit attentivement la parole de ce chef . Beaucoup de ses harangues s’approchent idéologiquement des conceptions éthiques de Jésus. Mais celui-ci découvre à la fin de grandes différences et s’oppose publiquement au Maître.
Celui-ci, préoccupé, se rend compte que la rhétorique du disciple entraînait beaucoup de ses disciples et craint avec raison un schisme grave dans ses rangs, dont cet obscur galiléen pourrait entraîner presque tout le gros du groupe.
Jean réagit avec violence, jette l’anathème sur Jésus et l’expulse de ses rangs. Une grande partie de ses partisans choisit de suivre le nouveau meneur.
Jésus ne se laisse pas emporter par la rancœur. Il garde, malgré tout, un souvenir nostalgique du Baptiste et parcourt la Galilée recrutant des disciples qui voient secrètement en lui le futur hiérarque de Judée, oint par Dieu.
Jésus s’attire les membres du Sanhédrin. Ceux-ci sont habiles, puissants et riches. C’est plutôt le grand pouvoir de suggestion du nouveau maître et sa grande éloquence qui les séduisent que le contenu éthico-idéologique de ses messages. L’un d’eux : Jonan projette également de donner un coup au Sanhédrin et d’éliminer le Grand Prêtre, peut-être pour proclamer son maître ((à sa place))
Probablement OYAAGAAWOA ignore de telles conspirations, bien que l’un des documents obtenus par mes frères contienne un texte qui porte à penser qu’il répréhende les disciples compromis dans ce complot et les admoneste vertement.
Mais les rumeurs selon lesquelles Jésus est considéré comme le messie, celui qui est sacré comme futur roi de Judée, inquiètent les hiérarques. L’annonce que dans les rangs de ses disciples se prépare un complot, les alarme pleinement.
On l’accuse dans le camp de ses ennemis de pratiquer la magie contre Jehova, d’adorer de fausses idoles, de conspirer contre le pouvoir établi, d’être un imposteur qui se proclame le messie, en y mêlant des interprétations des livres sacrés. (L’Ancien Testament).
Josué (comme on l’appelle en Galilée) est déjà désigné, et choisi le moment adéquat pour le détruire. De tous les hommes qui sur les terres de la Palestine dirigeaient des mouvements populaires de caractère religieux, s’opposant au système établi, Josué (Jeschuaah) soit Jés-us, est le plus dangereux.
A ce moment là, Ponce Pilate avait été nommé procurateur par Rome en Judée, grâce aux intrigues de Lucius Elie Sejan ministre de Tibère, un humain qui détestait la lointaine province romaine de Judée et à qui étaient parvenues les nouvelles des troubles qui se fomentaient dans les classes populaires.
Pour Lucius, Pilate était la garantie qu’une discipline de fer serait imposée.
Ponce Pilate, arrive en Judée et renonce à résider à Césarée. Les légionnaires sont transférés à Jérusalem même, et lui-même fixe sa résidence dans la ville sainte.
Ce furent les mêmes disciples de Jésus qui poussèrent celui-ci à réaliser son prosélytisme à Jérusalem. Probablement avec le secret espoir de soulever les citadins contre la Rome détestée. A ce point, les tensions du maître avec les plus turbulents sont continuelles. Les esprits devinrent très exaltés à Jérusalem dès que les légionnaires furent entrés par les rues étroites de la ville avec des médaillons qui portaient en relief l’effigie de l’empereur Tibère. Les juifs détestent les représentations iconographiques prohibées par la loi de Moïse. Depuis les toits, ils lancèrent des pierres sur les soldats et ceux-ci réprimèrent brutalement les insurgés.
Le Sanhédrin était inquiet. Quelques-uns uns des leurs étaient avec Jésus. Les espions de Ponce Pilate l’informe sur le risque de révoltes si Jésus continue à s’adresser aux natifs de la Capitale. La légende de Judas a un fondement réel. Les romains avaient introduit parmi les disciples de Jésus des agents qui les informaient concernant les paroles du maître. Ce furent ces derniers qui leur indiquèrent quel était le moment le plus propice pour s’en emparer.
Pour éviter les intentions réitérées de ces hiérarques qui cherchaient à emprisonner Jésus, beaucoup de ses disciples avaient formé une armée. Jésus se présentait en odeur de sainteté ((sanctitud et non multitud)) dans ses harangues spirituelles, et les autorités craignaient de graves désordres si on procédait à sa détention dans ces circonstances.
Il ne semble pas que l’épisode du Jardin de Gesmanie, qui a été ajouté après le récit néo-testamentaire, ait le moindre fondement historique. Pas plus que les documents qui sont en notre pouvoir ne se mettent d’accord sur les circonstances de cette capture. Le texte le plus fiable écrit par l’un de ses nombreux adeptes, un certain Joram, décrit son maître comme étant entouré de dix-huit disciples, hommes et femmes dans la maison de l’un des membres du Sanhédrin, l’un de ses disciples (du nom de Zhacar, ou peut-être était-ce le fils du conseiller).
C’est immédiatement après le repas du soir, que les légionnaires de Rome, envoyés grâce aux renseignements obtenus des agents traîtres à Jésus, procèdent à sa détention ((arrestation)).
Zhacar accompagne Jésus. Des ordres stricts sont transmis à l’autorité religieuse juive. Zhacar et les autres conseillers du Sanhédrin discutent âprement avec leurs compagnons. La scission du Conseil menace d’ébranler gravement l’Autorité religieuse qui dirige le Temple. C’est précisément ce que désire Ponce Pilate dans sa stratégie pour diviser les juifs.
Le Grand Prêtre, prévoit le danger et ordonne de livrer l’accusé à l’autorité romaine, pour se débarrasser d’un homme dont la seule présence menaçait de faire vaciller le fragile édifice Juif.
Pilate désirait humilier Jésus devant le peuple de Jérusalem pour leur démontrer qu’il n’était pas le Messie, l’envoyé de Dieu. Il commença par le castrer, cautérisant ensuite la blessure. Ce sont les légionnaires romains qui se chargent des tortures du condamné. Ils l’habillent en femme, couvrent sa blessure génitale avec un faux voile et montrent son corps à la populace. Celle-ci se rit cruellement de cet homme épuisé et presque sans connaissance à force de coups.
Quelqu’un lui met sur la tête un cylindre d’osier avec des épines pointues, le couronnant comme « roi » . Fatigués de jouer avec un corps qui souffre un choc aigu, on décide de le crucifier.
Jésus est effectivement amené au Golgotha, pas avec deux mais avec cinq autres condamnés. Lui devait être le sixième sacrifié ce jour-là.
Pendant ce temps des membres du Sanhédrin œuvraient dans l’ombre. Ils gagnèrent avec de l’argent l’officier romain chargé d’exécuter le condamné. Ceux-ci sont des disciples du Maître et ils ont le pouvoir et l’influence. Cette nuit-là, les deux légionnaires qui sont de garde laissent passer trois excellents disciples et deux femmes qui secrètement récupèrent le corps presque agonisant de Jésus. Il n’a pas été possible de déterminer l’identité de ces YIEE. Nous ignorons encore si la mère de OYAAGAAWOA vivait encore à cette date et si elle fut aussi l’une des femmes qui aidèrent à enlever le Maître. Toute « l’hisroire mythique » de l’intervention de Marie dans la période de la crucifixion a été rajoutée dans les textes postérieurs. Cela a pu être une simple invention, mais nous n’oublions pas qu’elle était fondée sur une tradition orale, plus ou moins déformée.
La nouvelle que le corps récupéré était vivant avait été cachée au reste des disciples. Les notables du Sanhédrin savaient qu’il y avait parmi eux des espions, et craignaient donc la réaction des compagnons inflexibles du Sanhédrin et ennemis du Prophète, comme celle du proconsul Ponce Pilate qui en sentant qu’on s’était moqué de lui aurait cherché partout le rebelle Jésus.
La légende selon laquelle le nombre des disciples se réduisait à douze a déjà été éclaircie par nos soins. Mes frères avaient été surpris par la contradiction entre la version selon laquelle Jésus était suivi d’un si petit nombre de disciples et qu’un groupe supposé si réduit ait pu éveiller de telles craintes de la part du Sanadrin et des romains. Les documents archéologiques découverts par nous jettent suffisamment de lumière sur la question. Le mythe fut développé ultérieurement, quand douze de ses disciples forment la secte de Jérusalem, opposée aux Chrétiens grecs. Ceux-ci s’arrogent le mérite d’avoir été choisis spécialement par Jésus.
La réalité est que dans l’important ensemble d’acolytes, les tensions dérivées des interprétations distinctes des idées exprimées par le Maître, étaient très graves. La crucifixion et la nouvelle falsifiée de sa mort, engendrèrent la division en quatre groupes, dont un mené par Pierre, Jacques fils de Zébède et Jean qui étaient trois des sept dirigeants mineurs choisis par Jésus pour organiser ses armées.
Le groupe de Jérusalem développait également le mythe de la trahison de Judas Iscariote. Celui-ci était, avec Pierre et cinq autres disciples, l’un des adjoints les plus actifs mais différents des critères de Pierre. Judas apparaît non seulement dans les écrits de l’époque comme libre de toute faute, mais il dirigeait avec beaucoup de ses partisans une révolte dans les rues de Jérusalem contre les foules ennemies de Jésus et les hiérarques Juifs, tandis que d’autres disciples de Jésus et parmi eux Pierre, fuient et se cachent. La calomnie, élaborée dans les grottes de Jérusalem des années plus tard, atteint des aspects de vraisemblance grâce au fait vérifié de l’existence d’agents payés par Rome et le Grand Prêtre dans les rangs du Maître.
Judas Iscariote (son nom est correct), était un humble homme du peuple ; ennemi des disciples riches de Jésus, parmi lesquels on trouvait des hiérarques du Sanhédrin. Quand Jésus et ses partisans entrèrent dans Jérusalem, son groupe campa dans le jardin de Gethsemani. Le soir de la capture de Jésus, il n’était pas dans la maison où eut lieu le dernier repas. Les récits successifs des faits survenus durant ces heures-là se sont mélangés et déformés au fur et à mesure au cours des ans jusqu’à créer la légende de Jésus priant dans le jardin de Gethsemami. Un émissaire arrive à la tente de Judas avec la nouvelle de l’arrestation du Maître. Celui-ci harangue ses hôtes et commence à envahir les ruelles de la ville, pendant que Jésus est sauvagement torturé. Judas est pris, bastonné et son cadavre pendu. Les autres lieutenants abandonnent secrètement la capitale.
Récemment arrivés à OYAGAA, mes frères élaborèrent une hypothèse selon laquelle Jésus était un véritable OEMMIWOA, comme cela a été confirmé, mais ils pensèrent à tort que sa ASNEEIIBIAEDOO (disparition par effet frontière) avait pu se réaliser au moment de sa mort sur la croix, de façon que le récit postérieur de la résurrection soit une légende mythifiée dans les évangiles. Comme vous voyez, , une analyse ultérieure à la vue de la documentation obtenue réduit cette hypothèse à néant.
Nous sommes désolés de nous différencier des écoles historiques distinctes développées par vos frères de la Terre. L’école mythologique, dont des historiens ont élaboré un excellent travail en Union Soviétique, n’a pas raison de nier l’existence de Jésus.
L’école historique représentée par vos frères Renan, Loisy, Staton, Bultman, s’approche plus de la réalité, mais faute de documents, elle se débat parmi des ombres. L’école représentée par les historiens ecclésiaux, est totalement discréditée parce qu’elle essayait de développer une pseudo histoire christologique basée sur des textes que votre esprit critique rigoureux lui-même considérerait comme étant truffée d’éléments mythiques.
Tous vos frères de tendances distinctes, animés d’une excellente bonne foi, mais privés d’information suffisante, se débattent dans les affres du doute. Nos apports ne vont pas vous en libérer, d’autant plus que nous nous refusons à apporter les preuves que nous possédons. Le faire supposerait que nous soyons dans l’obligation de nous identifier comme OEMII de UMMO.[Fin note 14]
lettre 1
Ndt: La première partie de cette lettre est au début de la D792-1
Nous ne voyons aucun inconvénient à ce que vous divulguiez ce message, parce que nous laissons à votre discrétion le soin de remettre une copie à qui de droit. (Nous nous référons au rapport ci-joint, et non à cette lettre). De toutes façons, nous vous conseillons de remettre une copie aux frères suivants : Une copie dactylographiée sans timbre.
– JUAN AGUIRRE CEBERO
– LUIS JIMENEZ MARHUENDA
– ANTONIO RIBERA JORDA
– RAFAEL FARRIOLS CALVO
En plus des autres frères que vous choisissez.
A PROPOS DE CETTE LETTRE que vous lisez :
Cette lettre, vous la garderez avec suffisamment de précaution. (Il serait préférable de la détruire passé quelques jours, à cause de l’un de vos frères qui travaille dans un Service d’Information). Cette lettre, vous pouvez (et nous vous recommandons de le faire) la lire à votre domicile aux frères suivants y compris à leurs épouses :
Alberto Borras, Juan Aguirre, Dionisio Garrido, Julián Barrenchea, Javier Muela, José Jordan, Joaquín Martínez, Rafael Farriols, Juan Domínguez, Enrique Villagrasa, Francisco Mejorada, Luis Jiménez
Ne la lisez surtout pas au téléphone, ne la photocopiez pas, ne la transmettez pas par télécopieur. Attendez pour la lire que vos frères cités plus haut, qui résident dans d’autres villes, viennent à Madrid. Ensuite, nous le répétons, il serait prudent de la détruire.
Le rapport ci-joint concernant UMMOWOA doit avoir le traitement suivant avant d’en effectuer des photocopies. Le reproduire dactylographiquement de façon à ce que nos cachets n’apparaissent pas . La copie dactylographiée pourra être ensuite reproduite photostatiquement ou par fax et envoyée à qui vous voulez, y compris les quatre frères cités plus haut.
En ce moment, l’un de mes frères et moi-même, nous nous trouvons dans votre Pays. Nous pouvons vous révéler sans risque aucun, que nous sommes dans la ville d’Albacete. Nous n’osons pas vous envoyer nos textes par la voie postale. Quand nous déciderons de vous envoyer un rapport quelconque, nous le ferons par le truchement de l’un de nos collaborateurs, l’un de vos frères, qui se déplacera périodiquement à Albacete.
Ultérieurement, on ne fera parvenir le texte qu’au domicile de Jorge Barrenechea. Nous vous prions instamment, à moins qu’on ne vous autorise à effectuer des copies, de reproduire le texte à la machine ou par écrit, afin que n’apparaissent pas nos cachets. Ensuite vous pouvez les photographier.
Les originaux seront déposés dans les archives privées de Jorge Barrenechea. Vous assumez donc la responsabilité de ce que l’image de votre texte avec le cachet violet ne soit pas reproduite
Les conditions de cette responsabilité sont celles-ci : Nous nous verrions obligés de suspendre notre envoi de renseignements si notre requête n’était pas prise en compte.
Nous voulons vous avertir, Señor Jorge Barrenechea, qu’il existe un certain risque qu’on pénètre dans votre domicile pour vous dérober des documents.
Nous allons vous vous donner des éclaircissements sur ce point.
En ce moment, l’un de vos frères de nationalité britannique a été chargé de la surveillance de nos activités. Son nom est Norman H. WEST. Il semble être membre de l’une des lignes aériennes britanniques, cependant il ne travaille pas pour les Services Secrets de son pays mais pour ceux d’un autre pays (dont vous soupçonnerez bien évidemment le nom).
Nous vous envoyons sa photo jointe à un document que mes frères lui ont dérobé alors qu’il accomplissait une mission de surveillance sur notre activité. Il conviendrait que vous vous familiarisiez avec son visage. Ensuite il serait opportun que vous détruisiez ce document.
Il dirige trois hommes de la section Ibérique (Espagne et Portugal) instruite pour nous surveiller, nous et vous également. Les téléphones de Messieurs Jorge Barrenchea, Luis Jimenez, Juan Aguirres, Rafael Farriols sont sur écoute. Ils surprennent les conversations téléphoniques mais l’écoute se fait au hasard, pas de façon continue. Nous savons qu’ils projettent de pénétrer dans votre domicile, le vôtre, Jorge Barrenechea, quand vous en êtes absent. Nous tenons à vous tranquilliser parce que nous avons trouvé un moyen de faire avorter ce plan. De toutes façons, comme la fiabilité d’une seule et même personne n’est pas absolue, il conviendrait que, les documents que vous avez reçus depuis 1987, vous les transfériez à un autre endroit que vous aurez choisi secrètement sans en informer quiconque en dehors du frère impliqué dans le transfert. Vous ne courez aucun risque personnel. Ces agents savent que vous n’êtes que de simples récipiendaires de notre rapport, et les ordres qu’ils reçoivent sont très stricts en ce qui concerne l’intégrité physique des personnes sous surveillance. De toutes façons, nous comprenons que cela vous ennuie de vous sentir surveillés, par le biais des écoutes téléphoniques, de la recherche de domiciles possibles, de la filature de vos véhicules et des écoutes microphoniques quand vous êtes absent de votre domicile.
L’un des espions de nationalité USA, John Arthur Childs, est un excellent expert de la lecture des lèvres. Il vous a espionné, Messieurs Juan Aguirre, Juan Dominguez et Jorge Barrennechea, ainsi que vos épouses lorsque vous dîniez dans des restaurants de Madrid ainsi que Messieurs Pons et Farriols à Barcelone.
Nous croyons, qu’à part un acte possible mais peu probable de subtilisation de documents, son activité ne doit pas trop vous inquiéter. Il semble bien qu’ils croient que vous savez où nous sommes domiciliés.
Dans le cas où ils pénètreraient dans vos domiciles, ils sont spécialistes dans l’art de réaliser des enregistrements sans laisser de traces visibles. Probablement, ils se limiteraient à photographier des documents. Ils n’ont pas l’habitude de forcer les portes blindées. Ils accèdent par les patios intérieurs, au moyen de câbles d’acier ancrés sur le toit de l’immeuble. Auparavant, ils s’assurent habituellement que l’habitation ou le bureau à contrôler est inhabité pendant ce laps de temps. Ils ne portent jamais d’armes dans leurs missions et sont pourvus (les agents qui vous espionnent) de passeports ou de faux documents libanais, italiens ou Colombiens. Ces quatre frères (les vôtres) maîtrisent parfaitement la langue espagnole.
>>> <<<<
Vous faisiez référence à votre conversation téléphonique avec mon frère, aux conditions de votre domicile de la rue Goya à Madrid, pour y tenir des réunions. En ce moment, l’unique enceinte contrôlée par nos équipements miniaturisés d’enregistrement est le quatrième étage de votre immeuble, étant donné que la profusion de meubles permet leur camouflage. Il nous est très difficile de contrôler votre souterrain. Si le nombre de frères qui se réunissent n’est pas élevé, nous vous prierions de le faire au quatrième étage.
Nous avons sur écoute les téléphones de la plupart d’entre vous. En certaines occasions nous avons placé nos équipements dans les domiciles de vos frères Farriols, Aguirre et Dominguez mais maintenant ils ne sont plus sous surveillance.
Il est très important pour nous de connaître une gamme étendue de réactions paramètrisables de caractère biochimique dans le système limbique (limbico = nerveux périphérique???) de vos frères pendant que s’effectue la lecture de nos rapports.
C’est la raison pour laquelle, en maintes occasions, nous enregistrons ces données au cours des réunions que vous tenez.
C’est pour cela que nous vous prions, Señor Jorge Barrennechea d’adopter les règles suivantes pendant six mois au moins :
Il convient que la lecture à voix haute de nos rapports se déroule tout en commentant chaque feuille dactylographiée avant de passer à la suivante.
Nous préférons que ces réunions se déroulent dans un domicile que nous puissions contrôler. Dans cet intervalle c’est au quatrième étage de votre domicile de la rue Goya que nous rencontrons les plus grandes facilités ; il nous serait agréable que dans d’autres réunions que vous pourriez tenir en d’autres endroits de la ville, vous ne lisiez pas à voix haute nos documents. Naturellement vous êtes libres de faire exception, mais nous ne pourrions pas dans ce cas contrôler vos réactions.
Aussi nous considérons comme logique que dans d’autres réunions tenues dans des lieux divers, vous puissiez faire les commentaires que vous désirez concernant notre culture, car cela ne nous intéresse pas de les enregistrer.
Señor Barrenchea. Plusieurs fois nous avons eu des difficultés pour introduire dans votre domicile notre équipement qu’il nous faut renouveler. Un ou deux jours avant que se tienne une réunion à votre domicile nous vous serions reconnaissants de laisser un accès sur l’extérieur (fenêtre ou balcon). Il suffit d’une fente de trois centimètres environ en un endroit quelconque du quatrième étage qui donne sur la rue ou sur le patio intérieur. Vous devrez laisser ce passage ouvert toute la nuit.
Nous vous recommandons pour d’autres raisons (Risque d’infiltration par vos frères qui pourraient vous espionner) d’être prudents dans les lieux publics dans vos commentaires concernant le contenu des rapports plus secrets. Le meilleur canal pour nous informer au sujet de la dynamique de ce micro réseau social et de ses desiderata est celui du téléphone.
Appelez-vous entre vous, vous communiquant tous la même séquence de renseignements (il suffit de deux ou trois appels pour nous permettre de capter l’information). Les conversations téléphoniques de presque tous ceux qui composent votre groupe sont enregistrées par nous, pas tout le temps cependant.
Je vous supplie, Señor Jorge Barrenechea, mettez-vous en contact avec vos frères ====(nom rayé)==== et Alfredo Lara Guitart résidents à Madrid. Vous pouvez leur lire cette lettre confidentiellement mais pas par le canal du téléphone.
Nous savons que des agents qui vous surveillent, surveillent aussi sporadiquement vos téléphones. Ils croient qu’eux aussi possèdent des informations sur notre résidence.
Il est indubitable que tout cette question d’écoute et de surveillance ne vous affectera pas sérieusement, mais cela constitue une règle élémentaire de caractère éthique de vous informer au moins de cette surveillance. ((mais c’est la moindre des corrections de vous tenir informés de cette surveillance))
En ce qui concerne votre frère Lara, en l’appelant par téléphone, demandez-lui jusqu’à quel point il s’intéresse à cette campagne. S’il répond qu’il continue à s’y intéresser, invitez le à une entrevue avec vous en compagnie de son frère =(rayé)= (sans révéler par téléphone l’existence de cette lettre). Exprimez à vos frères = (Rayé) = et Lara notre profond respect pour eux et pour l’objectivité et l’impartialité dont ils ont fait preuve en portant de l’intérêt à notre culture et notre civilisation.
Nous insistons comme nous l’avons toujours fait, sur le fait que l’attitude la plus conforme à l’éthique et la plus intelligente, ce n’est pas de renoncer à ses propres convictions, même si l’on montre de l’intérêt pour d’autres formes structurées de pensée exogène.
A propos de la conversation téléphonique et de votre allusion à votre sœur Hiltrud Nordlin, nous réitérons ce que lui avait répondu mon frère. Nous éprouvons une affection spéciale pour cette Yie, et elle sait bien que nous le lui avons démontré à un moment difficile très pénible pour son corps.
Cela nous attristerait qu’elle se sentît mise en marge si son nom n’apparaissait pas dans certains rapports. Ces omissions se rapportent à des documents qui, pour des raisons complexes lesquelles affectent parfois la stabilité émotionnelle de vos frères, ne doivent pas être lus ou captés en toute connaissance par vos esprits pendant une période déterminée, parce que notre morale nous interdit d’en faire les participants de son contenu.
Albacete (Espagne) Janvier 1988
lettre 2
UMMOAELEWEE
Langue espagnole
Cette lettre devra être conservée sans être photocopiée par le Señor Jorge Barrenechea. Elle peut être lue à quiconque désigné par lui.
Señor Jorge Barrenechea,
Vous aurez observé des fluctuations et des changements brusques d’orientation et de décision dans notre conduite exprimée au travers de l’information délivrée sur des feuilles de papier.
Cette incohérence apparente obéit cependant à des changements de stratégie vous concernant qui, à leur tour, sont fonction du résultat de nos études successives concernant vos paramètres neuro-encéphaliques et sociaux.
Parfois, nous adoptons des décisions de contact ou de résidence dans des pays quand soudain il nous faut les modifier souvent lorsque l’information qui nous arrive nous conseille une nouvelle conduite.
Il faut vous habituer à cette versatilité comportant les déplacements rapides propres à un groupe qui, comme le groupe expéditionnaire que nous formons, est soumis aux multiples pressions que vous ne pouvez qu’imaginer, et qui est capable d’obtenir des quotas élevés d’information, nous permettant une telle rapidité de réponse.
La raison de ce bref préambule est celle qui suit :
À l’encontre de l’autorisation par laquelle nous vous avons concédé la divulgation de l’information ci-jointe sur UMMOWOA, comme vous avez pu vous en rendre compte avant sa lecture, des facteurs ont surgi qui en déconseillent la diffusion pendant un certain temps.
Limitez donc le nombre de photocopies exclusivement aux personnes suivantes de OYAGAA : Rafaël Farriol Calvo, José Jordán, Julián Barrenechea, Alberto Borrás.
Vous pouvez lire le rapport à vos frères que nous citons, en plus de ceux déjà signalés, y compris à leurs YIE: Dionisio Garrido. Luis Jimenez. Juan Dominguez. Alfredo Lara. Joaquin Martinez. Javier Muelaet leurs YIE
Une dernière prière : Ceux de vos frères qui reçoivent ce rapport ne peuvent la recevoir que s’ils s’engagent devant vous à de pas publier, sous forme de texte imprimé, son contenu ou une fraction du texte en question, et de ne pas photocopier la reproduction reçue qui, nous insistons, doit être dactylographiée avant d’être remise.
Vous remarquerez que c’est un changement radical par rapport à notre décision de tolérer une diffusion volontaire de votre part. Quoique les raisons en soient quelque peu compliqués.
Nous pouvons vous dire que nous avons détecté une intention de publier ce contenu aussitôt parvenu sous le contrôle de l’un de vos frères, et d’autres risques de caractère mental (psychologique ???) dans le cas où son contenu pourrait être réétudié à travers une première lecture.
Notre interdit cessera aux dates suivantes :
(vous pouvez remettre une photocopie aux autres frères cités à pârtir de) :
Luis Jiménez (à partir du 25 Janvier 1988)
Juan Domínguez (à partir du 25 Janvier 1988)
Joaquín Martínez (à partir du 1er Mars 1988)
Dionísio Garrido (à partir du 12 Mars 1988)
Alfredo Lara (à partir du 5 Décembre 1988)
Javier Muela (à partir de Février 1989)
Hiltrud Nordlin (à partir d’Octobre 1989)
Antonio Ribera (à partir d’Octobre 1989)
Nous voulons insister sur le point que, aussi obscures que puissent vous paraître des mesures apparemment aussi absurdes, vous devez les suivre à la lettre. Cet étalonnement des dates peut s’interpréter comme une discrimination offensante qui sans doute entachera les sentiments de vos frères concernés. Nous voulons exprimer qu’il ne s’agit pas de quelque manœuvre de mise à l’écart ou de mépris à l’encontre de vos esprits respectables. Vous savez que le groupe d’Espagne a rarement reçu des instructions aussi compliquées pour la diffusion de l’un de nos documents. Croyez-nous, cette fois il existe pour nous des raisons objectives pour adopter ces précautions.
Enfin nous vous rappelons que : Si quelqu’un parmi vos frères violait l’engagement pris de ne pas photocopier ou reproduire le rapport reçu par un autre système de diffusion de données, (Nous faisons concrètement référence à UMMOWOA Y JESUS) nous suspendrions nos contacts pendant un temps indéterminé.
Albacete (Espagne) Janvier 1988
lettre 3 Reçu par J.B. le 20 Janvier 1988
(Écrit sur l’enveloppe) : TROISIÈME FRACTION
RAPPORT SUR UMMOWOA
Nous vous prions de faire en sorte que cette lettre ne soit ouverte qu’en présence de huit de vos frères au moins, et de ne pas effectuer cette opération avant la date du 24 Janvier 1988, à partir de 20 heures et trente minutes et pas plus tard que 2 heures du matin ou bien tous les matins à partir de 10 heures trente jusqu’à 14 heures.
C’est à dire que la lecture à voix haute et les commentaires peuvent s’effectuer quotidiennement dans ces intervalles (10h 30 – 14h30) (20h30 – 2h), à n’importe quelle date à partir du 24 Janvier 1988 (y compris cette date), au quatrième étage de la rue Goya numéro 57 à Madrid.
La lecture sans voix (lecture mentale) peut se faire à n’importe quelle occasion et librement à partir de la date d’ouverture de l’enveloppe et n’importe où.
lettre 4
Reçue par J.B. le 20 Janvier 1988
UMMOAELEUEE
Langue Espagne
Bien cher ami Jorge Barrenechea,
Nous joignons à cette lettre, une autre fraction du rapport concernant UMMOWOA et OYAAGAAWOA que vous nous aviez demandé à une date antérieure au cours d’un dialogue par le canal du téléphone?
Nous avons des raisons de craindre que la lecture de ce texte provoque des chocs intenses, de l’indignation et qu’elle heurte les sentiments de quelques-uns uns de vos frères, dont les processus mentaux ont une affinité pour une foi religieuse déterminée.
Que ces frères ne croient pas un seul instant que nous avons cherché à blesser leur affectivité ! Nos jugements sont objectifs, fondés sur l’information que nous possédons. Ce n’est pas de notre faute si les faits historiques se sont déroulés de cette façon, ou si les versions de certains évènements ont souffert des interpolations littéraires, des mystifications, des déformations par transmission orale, ce qui est inévitable puisqu’elles étaient fondées sur des évocations mnémoniques peu fiables… processus qui tous se transforment en mythes.
Mais nous, nous ne vous invitons pas à croire notre version d’autant plus que nous nous abstenons d’apporter des preuves de nos affirmations. Nous pensons que vous devez être prudents et qu’il faudrait continuer à être fidèles à vos anciennes idées, si vous ne compreniez pas la nécessité de les réviser par un processus d’évolution au moyen de mécanismes rationnels.
Nous vous avons néanmoins demandé, que pendant un certain temps, vous vous absteniez de diffuser des copies des rapports que nous vous avons remis durant la dernière période de nos relations. Il est très possible que dans un futur proche, nous vous autorisions à les publier quand nous estimerons qu’il n’existe pas de risque sérieux d’influencer de larges strates de la population.
Nous ne trouvons aucun inconvénient à ce que vous puissiez lire les copies autorisées à vos familiers et amis intimes, mais ne donnez jamais de copies de ces lettres. Nous ne considérons pas non plus que puisse provoquer une perturbation sensible le fait que votre frère Luis Jimenez Marhuenda ou qu’un autre de vos frères expose, dans ses conférences, des points de nos rapports, à condition qu’il adopte toujours ces précautions. Ne pas lire directement les rapports reçus depuis 1987 (et encore moins, donner des copies de ces rapports). Ne vous portez pas garant pour la véracité de leur contenu, faisant toujours allusion au fait que sa source est inconnue. Pour le reste, on peut exposer de mémoire quelques-unes unes des informations cosmo-biophysiques, techniques, idéologiques et autres que nous vous avons communiquées.
Nous nous sentons affectés pour vos frères d’Italie associés à Monsieur CROSIGNANI ANGELO
dont nous vous donnons l’adresse à laquelle on peut lui écrire :
Via Concilio Vaticano
20157 MILAN (Italie)
Ne lui donnez pas une copie de cette lettre. Nous vous prions de lui écrire en l’informant qu’en Europe, en ce moment, c’est seulement à Bonn (République Fédérale d’Allemagne) et Albacete (Espagne) en Europe que se trouvent quelques-uns de nos frères.
Au cours d’une possible et future expédition en République Italienne, nous vous enverrons un rapport. Que nous sommes véritablement affectés pour CROSIGNANI ANGELO et que le dernier voyage en Italie, de Juin 1976 à Octobre 1978 a profondément impressionné mes frères, à un degré sensiblement plus élevé que les autres pays d’Europe. L’information obtenue sur sa richesse artistique, a été transmise à UMMO. Aucun pays, à part l’Inde et le Japon, a mérité de notre part tant d’attention, que la péninsule Italique quant à l’aspect relatif à la créativité artistique. Également, on peut vous communiquer que l’Italie ainsi que la Suède et le Danemark sont les pays européens où mes frères se sont déplacés avec le plus de liberté sans être dérangés. Nous conservons une affection particulière pour les OEMII (Hommes de ces nations).
Albacete (Espagne) Janvier 1988
D977
– APPENDICE 1 –
Vous aimeriez sûrement connaître les bases de ces altimètres qui sont totalement inconnus par les ingénieurs de la Terre.
En effet : les spécialistes en ingénierie aéronautique et les experts en géophysique ont développé sur votre planète une large gamme d’instruments capables de déterminer l’altitude à laquelle se trouve un aéronef, un véhicule ou un appareil quelconque; en prenant pour référence une base ou niveau de cote conventionnel: zéro.
Dans certains cas vous utilisez ce que vous appelez ALTIMÈTRES BAROMÉTRIQUES, dont les mesures de type différentiel se basent sur la baisse de la pression atmosphérique avec l’altitude. Pour celà, les instruments sont pourvus de différents types de transducteurs de pression, des classiques capsules à paroi ondulée et gaz raréfié, jusqu’aux très modernes « SOLIONES » que de nombreux ingénieurs espagnols ne connaissent pas encore (valvules semblables aux diodes à vide où celui-ci a été remplacé par un électrolyte) en dehors des détecteurs de type « capacitif » (condensateur d’armature sensitive), piezo-électriques, de mercure, de reluctance variable, etc…
N’importe quel expert en sciences physiques pourra adapter ce système de mesures de hauteur s’il désire un certain degré de précision.
Pour cela, les techniciens de la Terre ont utilisé d’autres procédés plus efficaces. Ainsi, ce que l’on appelle les ALTIMÈTRES D’IMPULSIONS sont basés sur la même technique que le radar. (en mesurant le temps de réflexion ou écho d’une série d’impulsions électromagnétiques de longueur d’onde centi ou décimétrique, après être « réfléchies » sur le terrain situé sous l’aéronef).
Ou bien les ALTIMÈTRES A FRÉQUENCE MODULÉE qui, après avoir émis un faisceau porteur modulé en fréquence, lequel se réfléchit sur la topographie du terrain et retourne au récepteur de l’aéronef, mesurent la hauteur en fonction de la fréquence reçue. Mais n’importe quel spécialiste en électronique terrestre fera de sérieuses objections sur ces systèmes dont les mesures peuvent être faussées par certaines caractéristiques topographiques ou par la présence de parasites radio-électriques.Malgré tout, les équipements conçus par vous, présentent d’indéniables avantages sauf l’impossibilité de réduire les dimensions de ces instruments même en utilisant encore les circuits miniaturisés par la technique moderne terrestre de l’électronique moléculaire.
Nous, sur UMMO, avons toujours préféré utiliser des systèmes de télémesure qui évaluent l’altitude en fonction de la valeur de « g » (constante de l’accélération de la gravité).
Comme vous le savez, la valeur de « g » n’est pas réellement constante car elle varie en fonction du point de mesure par rapport au centre de la planète considérée et elle varie aussi d’un astre à l’autre. Ainsi sur la planète UMMO, sa valeur à la cote « universelle » de référence est de 11,882 m/sec2 alors que sur la surface de la planète Terre, elle atteint quelques 9,8 m/sec2. Un voyageur qui s’élève avec une fusée à vitesse constante, observera toujours une réduction lente de la valeur de « g » qu’il ressentira comme une perte de poids.
Nos accéléromètres ou gravimètres capables de mesurer la valeur de « g », et donc du niveau ou de la hauteur, se basent sur une technique totalement inconnue des scientifiques de votre planète.
Notre exploration dans le domaine technologique de la Terre a testé une série d’équipements utilisés presque toujours par les spécialistes de géophysique sous le nom de gravimètres. Ainsi les classiques gravimètres à PENDULE, ceux à BALANCE A RESSORTS, ceux à GAZ SOUS PRESSION, et les accéléromètres de chute de gravité. Presque tous exigent des conditions de stabilité qui les rend inopérants à bord de véhicules en mouvement. Dans le cas contraire, il y aurait des erreurs de nombreux GALS (nous utilisons l’unité C.G.S d’accélération 1 GAL = 1 cm/seg 2). En dehors des gravimètres géodésiques dont la gamme de lecture atteint (comme par exemple celui de WORDEN) 5000 milligals, le reste des appareils sont seulement capables d’apprécier de petites différences dans la valeur de « g ».
————————–
Depuis de nombreux XEE (Nous appelons 1 XEE = 60 XII ou périodes de rotation de la planète). (durée du jour = 30,97 heures – Ndt: Dans d’autres textes nous avons 30,92), nos techniciens ont été obligés de concevoir des instruments basés sur la fonction gravitationnelle.
La nécessité d’inclure de tels instruments de mesure au sein de véhicules dont l’équipement de propulsion et contrôle était, chaque xii plus compact, exigea de résoudre simultanément deux problèmes.
.A) Réduire de tels instruments pour qu’ils tiennent dans un volume de l’ordre de 0,6 millième de ENMOO cubes (quelques petits millimètres cubes).
- B) Obtenir des mesures précises qui, traduites en unités terrestres, pourraient être évaluées en cent millièmes de GAL.
Nous allons vous décrire un de ces OXOEEOIADUU (MESUREUR DE CHAMP GRAVITATIONNEL) qui parmi d’autres applications s’intègrent dans les UULUEWAA (sphères de dimensions identiques à une noix terrestre et capables de se déplacer à n’importe quelle hauteur, pourvues d’organes photo-phono-détecteurs). Le volume total atteint par cet instrument n’atteint pas 29 millimètres cubes et leur conception présente plus de problèmes de type topologique que d’un autre ordre. Presque tous ses éléments ont du s’intégrer dans un minuscule cristal de bore (isotope stable de poids atomique 11). Il est certain que les spécialistes terrestres, même s’ils ne sont pas encore à un niveau technologique suffisant pour affronter tous les problèmes que poserait sa construction, peuvent s’en inspirer pour faire des projets similaires.
Voyons un schéma de son fonctionnement :
(images/S977.gif): IMAGE 3 -Schéma très symbolique d’une cellule de gravimètre OXOEOIADUU utilisé par les ingénieurs d’UMMO .
Les notules indicatives ont été annotées selon le texte et les instructions de DEI 98, fils de DEI 97.
La cellule de base est formée par une enceinte cylindrique (images/S977-s1) (capillaire de calibre 9 microns) perforée verticalement dans un module miniaturisé de BORE cristallisé, chimiquement pur et déshydraté. L’intérieur de l’enceinte cylindrique capillaire ne contient pas une seule molécule de gaz et ses parois sont maintenues fortement polarisées avec une charge électrostatique négative (voir image 3). Dans la zone supérieure, une enceinte sphérique (s11) thermostable contient une quantité infinitésimale de gaz raréfié formé par des molécules ionisées de TIOCIANATE DE MERCURE (s2) (SCN) 2 Hg (avec des charges négatives (-) (s3) . Une cellule discriminante sélectionne (s12) séquenciellement des molécules isolées de TIOCIANATE en les libérant au niveau extrême supérieur du capillaire (s4) .
La molécule abandonnée avec un niveau d’énergie cinétique nul, commence un processus de chute libre(s13) à l’intérieur du capillaire (dont l’axe reste vertical, tangent aux lignes de forces du champ gravitationnel).
La molécule (s5) n’arrive jamais à adhérer aux parois du capillaire à cause de la forte répulsion que le champ électrostatique, engendré par la répartition de charge négative (-), exerce sur la-dite molécule ionisée elle aussi négativement (-).
Dans un environnement proche (s6) (enceinte sphérique creusée dans le cristal de Bore) un dipôle magnétique (plaque elliptique « microscopique » formée par un alliage de chrome et de fer (s7): ), est obligé de tourner avec une vitesse angulaire w constante de quelques 60 radians par seconde. Le dipôle se trouve en suspension (s8) dans une masse liquide qui remplit la cavité (diamètre 0,74 mm) (émulsion lipide). On obtient ainsi un champ magnétique rotatoire très faible mais suffisant pour être détecté par un transducteur (s9) de bismuth (valeur de champ en (s9): H=0,00002 Oersted).
Quand la molécule de TIOCYANATE DE MERCURE ionisée descend il engendre à son tour un faible champ magnétique, Hp qui perturbe le champ rotatoire engendré par le dipôle antérieur. Cette perturbation est fonction de la vitesse instantanée de la molécule en analyse, à chaque point de son parcours. De plus, à son tour,la vitesse instantanée moléculaire dépendra de la valeur de « g » (accélération de la gravité). Une telle perturbation est détectée et mesurée même si son niveau différentiel est de l’ordre d’un trillionnième (Ndt: 10.-18) de milliœrsted.
Un petit XANMOO (vous l’appelez computeur) (s10) reçoit trois canaux d’information (s14) (.)
– : information par voie électrique du champ magnétique détecté.
– : information par voie optique (filament de verre) sur la vitesse de rotation du dipôle.
– : information par voie électrique sur les accélérations du véhicule sur lequel est installé le OXOEEOIADUU.
Cette dernière information est très importante pour neutraliser les erreurs dûes à d’autres forces, autres que la GRAVITATION, agissant sur la molécule de TIOCIANATE (s16). L’ ordinateur (s10 ) intégrateur envoie directement par le canal (s15)une information sur l’altitude.
D1378
UMMOAELEUUEE
Langue Espagne
Nombre de copies : 2
Chers humains de OYAAGAA ( Terre ) : Nous sommes un groupe expéditionnaire d’explorateurs provenant d’un Astre froid dont le nom exprimé phonétiquement peut se verbaliser ainsi en espagnol : UUMMO.
Nous vivons de manière transitoire sur votre monde, mêlés à vous puisque notre morphologie anatomique est semblable à celle que vous possédez.
Nous savons qu’il est difficile d’accepter cette affirmation de notre part. L’attitude la plus prudente pour vous est de ne pas accepter notre identité si nous ne vous apportons pas de preuves suffisantes.
Nous vous exhortons à agir toujours ainsi. Que jamais vous ne cautionniez une affirmation ou une hypothèse quelconque qui ne soit pas associée à un modèle mathématique de comportement, suffisamment prédictif ou qui ne puisse être constatée avec une véritable rigueur. Ne comptez pas uniquement sur les méthodes dialectiques inductives ou déductives. Ce que vous appelez, en espagnol, « sens commun » ne doit pas être considéré comme un étalon pour la formulation scientifique. Ce « sens commun » est obtenu par voie intuitive, et l’intuition bien qu’elle s’avère très valable pour vous parfois pour résoudre un problème ou créer des modèle et des idées, structurer des réseaux et des systèmes et jusqu’à engendrer des créations artistiques, est aussi la source de graves erreurs.
Le « sens commun » et l’intuition sont sources de graves erreurs. Ces formes de processus mental vous dictaient des notions phénoménologiques dont vous avez vous-mêmes découvert qu’elles sont fausses.
Ainsi les sophismes populairement acceptés qu’une boule d’acier tombe plus rapidement qu’un globule de coton, que le temps s’écoule avec la même fluidité pour un voyageur que pour son frère qui se tient relativement immobile, ou que la vapeur qu’une YIEE (femme) voit sortir d’un récipient d’eau bouillante est de la vapeur d’eau (la vapeur est invisible. ce qui est visuellement perçu ce sont les fines gouttes sphéroïdales d’eau liquide).
L’échec de beaucoup d’écoles de pensée de la Terre consista à accepter comme des vérités, des concepts qui provenaient du « sens commun », de l’intuition du témoignage humain, de la révélation hypothétique d’êtres inspirés ou de la perception sensorielle.
De plus, vous pouvez nous interroger sur les raisons pour lesquelles nous ne garantissons pas notre identité par des preuves consistantes.
En d’autres occasions nous avons insisté sur la famille de raisons qui nous empêchent de le faire. Observez que nos rapport sont toujours didactiques. Quand nous parlons d’IBODSOO UU ou de Multicosmos jamais nous ne vous offrons un modèle mathématique de celui-ci ni la manière d’isoler ou de mesurer les paramètres qui permettent de le conformer.
Evaluez les mobiles de notre inhibition.
Notre UAA (Loi morale) nous empêche d’interférer dans le processus évolutif de la culture d’une autre humanité galactique. Si nous le faisions, nous pourrions provoquer de terribles distorsions dans votre Réseau Social. Un ensemble de connaissances ne peut être assimilé brutalement. Il requiert un long intervalle de fluxion progressive dans le cerveau. Si nous vous apportions des modèles théoriques avancés du comportement de la masse, de l’information et de l’énergie, ceux-ci seraient aussitôt utilisés à des fins non éthiques. Par exemple, une technologie qui vous permettrait de résoudre le problème du cancer, fait le report d’une connaissance profonde de certaines séquences de l’ADN nucléaire et des moyens de contrôle pour leurs altérations, qui serviraient à leur tour pour créer de terribles armes biotechnologiques qui provoqueraient plus de morts dans la population et plus de souffrances pour le Réseau Social que ce qui est généré par ces formations histologiques atypiques.
Il est clair qu’on ne peut pas vous fournir seulement un fragment de connaissance très avancée, par exemple sur la cristallographie de nouveaux matériaux, sans vous apporter simultanément la dotation mathématique avancée, un nouveau paradigme de lois physiques, et avec lui une conception avancée des réseaux biologiques. C’est-à-dire que vous apporter une technologie de notre niveau n’est pas possible sans vous enseigner simultanément presque tout le corpus de nos connaissances. Imaginez-vous qu’il aurait été possible dans votre Moyen-Age d’enseigner à un alchimiste le comportement d’un supraconducteur sans lui fournir préalablement la dotation informative concernant le Calcul Différentiel et intégral, la Mécanique quantique, la Physique ondulatoire, les Lois de Maxwell, l’Electrophysique, la Thermodynamique et avec elles les applications technologiques en cryogénie, en électrotechnique et électronique, en plus d’idées claires sur la chimie, la cristallographie…? Et quelles personnes à cette époque auraient construit les composants du laboratoire sans une infrastructure industrielle, et avec celle-ci un système d’ordre politico-économique qui était impensable à ce stade de l’humanité médiévale? Combien de temps leur aurait-il fallu pour former un ingénieur à cette époque? De plus comment aurait été possible sa formation dans un environnement social où une quelconque idée ou phénomène qui s’écartait des conceptions de la pensée théologique de l’époque était considéré comme diabolique ?
Ceux de vos frères qui nous demandent un quelconque apport scientifique extrait de nos connaissances élevées n’ont pas la notion la plus éloignée des conséquences qui s’en dériveraient si nous nous avisions de les satisfaire.
Il est clair que nous pourrions doser ce flux de données, très lentement pour qu’il puisse être digéré progressivement.
C’est ce que nous sommes en train de faire à travers nos rapports. D’autre part c’est ce que vous êtes en train de faire à travers vos scientifiques et vos penseurs ; découvrir pas à pas, les lois de la Nature.
Nous n’avons donc pas le moindre intérêt à ce que vous croyez ou pas que nous venons de UMMO, nous préférons un scepticisme prophylactique qui vous permettra de suivre votre propre évolution sans perturbations neo-humanistes.
D’autre part, pour nous autres la tactique de travailler dans l’anonymat sans nous identifier est très valable. Nous avons besoin d’urgence d’étudier la turbulente évolution de votre culture, de vos institutions, de vos tensions géopolitiques, sans qu’elles souffrent d’interférences. Une intervention très ouverte de notre part, en nous faisant connaître, causeraient un tel trouble, et un intérêt exalté démesuré des journalistes, des scientifiques et des hommes d’état, qui supposerait une grave altération de l’échantillon que nous sommes précisément en train de traiter.
Il est nécessaire arrivés à ce point de vous révéler que malgré tout nous avons été obligés de procéder à des interventions importantes.
Lisez avec attention nos déclarations suivantes.
Hommes de la Terre. Notre éthique nous empêche de violer le principe de non interférence dans le libre cours évolutif du Réseau Social d’un astre froid habité par des cerveaux intelligents et humains. Nous venons d’une entité planétaire située à environ 14 années lumière de la Terre, et notre groupe explorateur réside parmi vous depuis 1950 le 29 Mars (Date de la Terre) mêlé parmi vous à la population de différents pays. En cette occasion mémorable, notre point topologique d’atterrissage se concentre dans les environs d’un petit noyau urbain du midi de la France.
Il nous fût possible d’étudier vos langages, vos rôles et vos coutumes, et dotés comme nous le sommes d’un corps anatomique ayant des traits morphologiques semblables à ceux de l’espèce « Homo sapiens sapiens » de la Terre, nous pouvons nous débrouiller sur la Terre sans avoir besoin de nous identifier.
Nous ne sommes pas venus pour vous perturber et encore moins avec des intentions agressives. Notre mission consiste à étudier la culture millénaire de la Terre, pléthorique pour nous de richesse exotique. Nous avons surtout été impressionnés par la variété multiforme de vos coutumes ethnographiques, votre prodigieuse avance dans le domaine des manifestations artistiques, unique aspect dans lequel vous nous dépassez avec de sensibles différences de niveaux.
En revanche, notre niveau de connaissances de la structure physico-biologique non seulement de l’Univers perceptible mais aussi du système global cosmologique auquel les astrophysiciens et les cosmologistes de la Terre n’ont pas encore accès, est beaucoup plus élevé.
Notre astre planétaire comporte un grand continent. Notre système social n’est pas désagrégé en sous-réseaux fragmentés, nous possédons un système de contrôle ou gouvernement central, régi par des OEMMII ( humains de UMMO ) sélectionnés en fonction de leur développement neuro-cortical et assistés dans leurs décisions par un réseau étendu de traitement de l’information, conçu pour adopter des décisions intelligentes, planifier le système complexe de relations économico-sociales et conseiller et diriger par des règles directives le réseau complexe des interactions dans des domaines aussi divers que la recherche scientifique, l’enseignement ou l’administration de facteurs correctifs pour la conduite morale de toutes les entités individuelles.
Notre étude de la Terre s’étend aux caractéristiques géologiques météorologiques de celle-ci, de sa biosphère et écosystèmes correspondants et en outre à l’analyse des caractéristiques du Système planétaire de l’étoile auxquelles vous êtes liés.
Nous avons emporté sur UMMO des Documents inédits d’une grande valeur archéologique, des échantillons d’artefacts élaborés par les diverses cultures et un échantillonnage de structures biologiques et minérales.
Les artefacts (petit mobilier, outils, pièces de machines composants de systèmes techniques….) de petites dimensions ont été transportés, reproduits par la technique IBOOUAXOO ONNEE (Système qui permet d’analyser molécule par molécule la structure d’un objet et de le reproduire avec précision) Les originaux ont été renvoyés sur la Terre. Nous conservons de nombreux objets découverts par nous qui auront un énorme intérêt historique pour vous et que nous vous restituerons en leur temps.
Nous n’avons emmené sur UMMO aucun humain de la terre. Il ne nous est pas possible pour des raisons d’incompatibilité biologique de projeter une expérience de fécondation mutuelle entre un humain de la Terre et un autre de UMMO.
Quelques uns de vos frères de différentes nationalités, au cours des dialogues téléphoniques que nous entretenons avec eux, nous ont demandé une intervention ou au moins une orientation qui permette de modeler une société comme celle de la Terre, abruptement disloquée qui génère une multitude de sources de souffrance physique et morale pour ses composants.
Il semble évident qu’un apport vous révélant des formules quasi-magiques pour combattre des maladies aussi graves que les altérations atypiques des tissus, les graves cardiopathies ou les attaques virales du système immunitaire comme dans le cas que vous appelez l’immunodéficience acquise (Syndrome de) des formules technologiques pour produire économiquement de l’énergie de manière non polluante, des schémas biotechnochimiques [pour la production massive et bon marché de protéines et de lipides alimentaires, et des systèmes pratiques de gouvernement qui permettent une configuration sociale en accord avec la justice distributive et le respect des droits fondamentaux…. permettraient de restructurer une humanité qui pourrait presque se comparer à un eden.
Vous pouvez être tentés de voir en nous des anges rédempteurs ou de nouveaux messies capables de vous libérer de la faim et la misère, de l’oppression, de l’injustice et de la méchanceté de vos congénères.
La contradiction avec notre inhibition consciente, en est plus paradoxale, incompréhensible et apparemment égoïste, d’autant plus que nous devons admettre en toute honnêteté que nous possédons de telles formules, que nous pourrions en principe vous céder.
Notre biotechnique a dépassé l’époque dans laquelle les maladies nous accablaient comme chez vous. Le contrôle génétique de nos tissus et les systèmes pour dominer tout organisme viral ou mononucléaire infectieux, c’est-à-dire que tout agent pathogène est surpassé depuis longtemps.
Nous pouvons aisément produire de l’énergie, en confinant (JPP a rajouté: » en synthétisant » ) de l’antimatière en suspension antigravitationnelle à l’intérieur d’une enceinte sous vide et en libérant graduellement sa masse, en la faisant percuter une masse équivalente de matière ordinaire, canalisant ensuite l’énergie résultante après le processus de fusion.
Avec une telle source d’énergie la transmutation d’éléments chimiques ne pose pas de problème. Nous pouvons d’autre part produire avec une grande économie des ressources, non seulement des protéines mais n’importe quelle masse moléculaire (Fer, Titane, Césium, Pentane, Hémoglobine, dérivés complexes du Silicium et du Germanium…) à partir de matières premières aussi simple que l’eau, l’Oxygène, ou le sable et plus encore ; nous pouvons produire les quantités nécessaires de tout artefact ou objet (Outillage, meuble, œuvre d’art, aliment élaboré) au moyen du système déjà cité iboouaxoo onnee. Il nous suffit de disposer d’un modèle original. L’appareil émetteur explore molécule par molécule leurs dispositions spatiales, couche par couche moléculaire et l’information est envoyée à de multiples récepteurs qui reproduisent à grande vitesse et également couche par couche la structure originale. Cette technique constitue l’architecture principale de notre système productif de biens de consommation et de production. Ses coûts sociaux sont minimes et l’énorme capacité de génération des produits les rend accessibles à tous mes frères de UMMO. Le problème de la faible offre de biens qui sur OYAGAA provoque de brutaux déséquilibres distributifs à cause de la pénurie et de l’enchérissement subséquent de ceux-ci, nous l’avons dépassé depuis très longtemps.
Evidemment nous sommes aussi parvenus à modeler un système d’organisation sociale monolithique non affecté par la division de nationalités et de formes linguistiques d’expression et régi par des formes de gouvernement hautement rationalisées qui empêchent toute tentation de dérive totalitaire.
Un panorama semblable a de quoi être pour vous un modèle enviable à plagier et il peut se révéler décevant pour vous que nous nous refusions à vous transférer des canons si idylliques capables apparemment de transformer OYAGAA (TERRE) en un paradis.
Nous vous invitons à réfléchir longuement sur cette hypothétique possibilité et à découvrir la grande tromperie qu’entraîne cette illusion évanescente.
En tentant d’abréger notre raisonnement, il est évident que si le cerveau de l’OEMII de la Terre était l’équivalent du nôtre , le transfert de notre modèle socioéconomique, technologique et culturel serait pleinement possible (que ce soit opportun est une autre chose). Le transfert devrait se faire avec lenteur pour éviter de dangereux déséquilibres, mais à la fin, cela rendrait possible la conformation d’un Réseau, très semblable au nôtre.
Observez cependant que même dans ce cas hypothétique (encéphale identique) un tel transfert serait inutile et vide de sens, car sans nécessité que nous vous apportions l’information, l’intelligence collective et la disposition harmonique des cerveaux, vous permettrait d’arriver à un tel résultat par vous-mêmes sur une période équivalente.
Mais l’erreur intrinsèque d’un tel raisonnement apparaît dans toute sa clarté si vous considérez qu’à un stade donné de l’évolution cérébrale il est impossible d’assimiler des schémas et des règles de comportement avancés sans compromettre gravement la stabilité du réseau social planétaire.
Précisément, la terrible tragédie de OYAGAA est centrée sur la disharmonie, très étrange pour nous, que l’on observe entre les différents cerveaux qui composent l’ensemble des OEMMII votre Humanité.
Dans la presque totalité des astres froids que nous connaissons, y compris le nôtre il existe des différences neurophysiologiques à l’intérieur du même schéma cérébral Ceci implique que les niveaux d’intelligence et de réponse émotionnelle des divers individus du réseau soient inévitablement différents. Mais cependant la dispersion n’est pas excessive. Les sujets affectés par des traits psychoneuronaux atypiques (très en dessous ou très au dessus de la moyenne) sont vraiment rares.
Parmi vous, la distribution est non seulement affectée d’une énorme dispersion mais elle est même multimodale.
En somme, nous évaluons sur Terre, dans le réseau nerveux des configurations non seulement dispersées mais aussi affectées de schémas de connexions internucléoganglionnaires différents. Non seulement représentées par les différentes ethnies mais encore au sein même de celles-ci.
Ceci n’est pas le plus grave. Le tronc nerveux aux niveaux du noyau réticulaire central et du fascicule cunéiforme, du noyau pontique caudal et du noyau réticulaire oral du pont ainsi que des noyaux déterminés intégrés à l’environnement du système limbique (Nous utilisons la terminologie familière aux neuroanatomistes de langue espagnole) présente des formations dendritiques classifiées comme paléoencéphaliques dans toutes ses caractéristiques, puisque ses réseaux engramment des règles d’actions instinctives héritées de vos ancêtres animaux.
Celles-ci modulent des modèles de conduite agressive ou compulsive si sensible au milieu physico-biologique que non seulement elle empêche la liberté de décision élaborée dans le cortex, mais elle pousse aussi vers des pratiques irrationnelles et sauvages très dangereuses, car elles sont dotées d’une auréole émotionnelle qui était inconnue chez vos ancêtres mammifères.
Ainsi s’expliquent les conduites sadosexuelles, les réaction psychopathiques criminelles, la génération de plaisir chez les tortionnaires, les compulsions délirantes de domination et d’accumulation de richesses au mépris absolu du droit qui pourrait secourir les frères préjudiciés…
Dans ces paragraphes, nous ne vous disons rien que vous ne sachiez déjà.
Une technologie avancée, des méthodes d’organisation, une assise étendue d’information en somme ; entre les mains de cerveaux irresponsables dotés d’un réseau neuronal paléoencéphalique animal, c’est comme d’abandonner un explosif de grande puissance entre les mains d’un enfant en bas âge.
Vous avez créé un « ordre » social structuré de manière délirante dans lequel le pouvoir technologique, le pouvoir économique et l’information sont manipulés non par les créateurs intelligents de systèmes ou réseaux émergents, mais par les cerveaux les plus malades ou paléoencéphaliques de la Société. On arrive même à l’ineptie délirante que les gardiens de la Loi morale (UAA) ne sont pas des scientifiques honnêtes, mais des leaders fanatiques de certaines communautés religieuses qui falsifient les UAA selon leur caprice et leur intérêt.
Le réseau social de OYAGAA est entre les mains de quelques foyers ou centres détenteurs du pouvoir économique. Toute idée, création ou modèle, qui au début peut être généré par un autre OEMMII ou groupe d’OEMMII étranger à ces centres de décision, finit immanquablement par être phagocyté, contrôlée par ces premiers. Si l’idée, la philosophie, le système, le modèle scientifique, la conception technologique n’est pas utile à leurs intérêts, ou tend à juguler leur capacité de pouvoir, à fissurer l’édifice de fer sur lequel est assise leur capacité de domination religieuse, politique ou économique, ces centres disposent de moyens puissants pour discréditer l’idée, bloquer le développement du modèle, empêcher sa diffusion ou son application.
Si l’idée ou le modèle de réseau leur est utile pour renforcer leurs intérêts, ils dénaturent brutalement le cadre d’application, et un système qui pourrait trouver comme application de résoudre la misère de ce que vous appelez le « tiers Monde » ou freiner l’avance ou la diffusion de quelques graves maladies, ou pallier le manque d’énergie et procurer ainsi de meilleurs niveaux de bien être, sont rapidement canalisés vers des applications technologiques voisines du pouvoir militaire quand elles ne sont pas monopolisées par de gigantesques réseaux industriels afin d’obtenir le maximum de profit, en générant d’intenses désordres dans les marchés et en annihilant la possibilité que d’autres systèmes qui pourraient bénéficier au Réseau social atteignent un plein développement.
Nous sommes en train de vous présenter dans un éclair fugace, une image qui vous est familière de l’environnement dans lequel vous vivez. Comment pouvez-vous nous demander aussi naïvement de vous fournir cette information classée, capable d’être technologiquement transformée ? Combien de temps croyez-vous qu’elle resterait entre vos mains ? Que croyez-vous qu’en feraient les politiciens corrompus, les patrons cupides, les réseaux d’espionnage et les infrastructures militaires ?
Au stade actuel de la Science, au sein de OYAGAA, une restructuration de votre politique dirigeante, selon des modèles éthiques dont la connaissance vous est familière et qui se changerait en une planification efficace de l’économie, une socialisation des ressources, une orientation efficace de la recherche et des applications technologiques, résoudrait efficacement la plupart des problèmes urgents que nous vous avons décrits dans les paragraphes précédents.
Le problème ne s’appuie pas sur un manque de ressources, ni sur une petite dotation de modèles scientifiques qui pourraient rendre possible le changement
Si une telle restructuration de votre ordre social est encore utopique et irréalisable, ceci est précisément dû aux graves déficiences structurelles de vos cerveaux.
UN MODELE DE SOCIETE PLUS SCIENTIFIQUE EST-IL CEPENDANT POSSIBLE ?
Une première analyse de cette situation, vous révélera qu’une telle inévitabilité n’est pas déterministe et rigide, et que des voies fragiles existent qui pourraient rendre possibles certaines manières d’atténuer une réalité aussi déprimante. Avant tout, abandonnez toute espérance que se produisent à court terme dans vos génomes des mutations qui permettraient de remodeler le cerveau en éliminant les réseaux nocifs qui vous poussent à une conduite aliénante. Il est également encore lointain le jour où vous pourrez procéder à une mutation contrôlée grâce à des techniques de biotechnocontrôle génétiques.
Une solution réelle, s’appuierait sur l’intervention d’un Réseau social intragalactique comme le nôtre, ou d’un autre qui peut vous visiter, qui consentirait à contrôler les ressorts du pouvoir sur OYAGAA.
Il nous serait facile de nous présenter à vous en apportant des preuves de notre identité. Nous détenons des moyens de coercition puissants et une expédition n’excédant pas dix-huit fois, le noyau des frères qui en ce moment visitons OYAGAA; pourvus de moyens techniques que nous apporterions de manière professionnelle de UMMO, suffiraient à « mettre à genoux » les dirigeants politiques des nations les plus puissantes de vos continents et à nous transférer le pouvoir de décision. Les entités nationales plus petites ne s’aventureraient pas à opposer la moindre résistance car nous disposons de moyens expéditifs pour juguler toute résistance même sans nécessairement provoquer la mort des opposants.
On procèderait immédiatement à la réunification des différentes nationalités, en une seule entité planétaire, dont le sommet directeur, pendant le temps que durerait le processus de reconfiguration serait régi par mes frères nommés par UMMOAELEUUEE (centre dirigeant de UMMO). L’immense majorité des organes directeurs subalternes au sein d’une infrastructure organisationnelle que nous imposerions selon un modèle scientifique développé spécialement pour vous, serait dirigée par des cerveaux d’OEMMIS de la Terre sélectionnés par nous en fonction de leur structure neurocorticale. Ces humains suivraient au préalable un cours rapide de formation dans des centres conçus par mes frères. Cela exigerait que dans une première étape de reconversion beaucoup des gouvernants actuels restent en place sous les ordres très sévères de notre gouvernement central. D’autres dirigeants seraient remplacés par des humains caractérisés par leur honnêteté.
Cette première étape serait caractérisée par l’apparition de nombreux foyers de résistance, de sabotage et d’hystérie nationaliste et religieuse. Mais à ce stade nous aurions multiplié nos effectifs provenant de UMMO. Des équipes spécialisées assistées par mes frères et qui constitueraient une inévitable (dans cette étape) force policière convergeraient vers les foyers de subversion. Nous disposons d’agents paralysants de l’activité neuro-encéphalique qui ne provoquent pas de lésions. Nous isolerions ces OEMMII qui passeraient par des centres de rééducation. Il est évident que le traitement global qu’ils subiraient serait très agréable pour eux.
Notre programme d’éducation pour les OEMMII de OYAGAA exigerait une première séparation rigoureuse des enfants de leurs progéniteurs, pour empêcher leur contamination idéologique.
La formation serait centrée sur une matrice culturelle qui comprendrait exclusivement des modèles de connaissances topiques de OYAGAA en excluant rigoureusement les apports en provenance de UMMO. Nous sélectionnerions simplement les éléments scientifiques, historiques, idéologiques, artistiques et folkloriques que mes frères dirigeants considèreraient comme non viciés par de graves erreurs conceptuelles. L’idéologie religieuse se concentrerait sur les enseignements moraux de JESUS de Galilée. Le reste des croyances serait enseigné dans le contexte des sciences historiques. Seraient respectées les coutumes ethniques et locales qui ne nuiraient pas à l’évolution culturelle, à la santé et à la structure harmonieuse du réseau social.
Bien sûr les moyens et les instruments techniques conçus pour la destruction, aussi bien stratégiques que conventionnels, seraient éliminés en reconvertissant la partie utilisable, à des fins civiles.
On procéderait à une lente reconversion de l’infrastructure industrielle en suivant les patrons d’un modèle économique fondé sur la socialisation du Réseau. Modèle qui serait élaboré par une convention de spécialistes de OYAGAA sous notre assistance.
La socialisation du parc international des moyens de production s’effectuerait en passant par des états intermédiaires. Dans une première étape que vous pourriez appeler coopérative, la gestion et les bénéfices des entreprises seraient gérés par les travailleurs de la chaîne de production, en fonction d’un modèle de répartition des fonctions et des utilités basé scientifiquement sur des paramètres psychophysiques des membres de cette entreprise.
Lentement on progresserait vers les étapes intermédiaires où la gestion, la coordination et les bénéfices seraient dirigés par des Réseaux sociaux régionaux, dirigés par un cercle d’OEMMII élu démocratiquement, mais contrôlés en temps réel par tous les citoyens.
Comme parallèlement un progrès notable aurait été réalisé dans la construction d’un réseau de traitement de l’information capable de s’auto-programmer ; La troisième étape permettrait une centralisation de l’activité économique selon un modèle fiable de gestion planétaire et de distribution des revenus basée sur des paramètres économétriques, météorologiques, sociaux, de pollution environnementale etc obtenus en temps réel qui permettraient de modifier quotidiennement la direction rationnelle de cette politique au niveau planétaire.
Durant ces phases, la fonction de mes frères se limiterait à un tutorat d’assistance, permettant la liberté de gestion économique et politique par des organismes dirigeants désignés (Démocratiquement dans les couches moyennes et inférieures, grâce à une sélection intellectuelle opérée par nous dans la coupole internationale) mes frères se limitant à signaler les erreurs les plus graves qui impliqueraient une certaine transcendance dans leurs applications.
Nos indications ne seraient pas astreignantes. Le régime d’interaction entre les deux foyers de direction (La commission de UMMO et le Gouvernement central de OYAGAA) se limiterait à des flux d’information vers mes frères et à une assistance consultative de notre part.
Cependant les forces de coercition (policières) seraient dirigées par UMMO, et assistées par des spécialistes de notre astre froid.
Ses agents seraient exclusivement humains, dotés de technologie spéciale (Ce serait une des très rares exceptions, où nous apporterions nos propres techniques) coercitive capable de paralyser la fonction neurocorticale pour un temps déterminé de tous les mammifères se trouvant dans un rayon d’action donné. (On tolérerait l’usage de cette technologie mais pas la révélation de ses bases technologiques, c’est pourquoi il a même été prévu que l’équipement s’auto-détruirait au cas où l’on tenterait de le soustraire de notre contrôle.
Nous imposerions en outre un nouveau modèle de cadre juridique et un modèle de réhabilitation pénale fondée sur des systèmes modernes et puissants de traitement psychologique et de rééducation, fondés sur des patrons moraux inspirés de la véritable doctrine de Jésus de Galilée.
Dans la première étape de notre intervention, comme vous pouvez le constater notre niveau de direction serait presque total. Nous avons prévu la décroissance progressive de cette fonction, en transférant petit à petit l’autorité aux organismes de OYAGAA, au fur et à mesure que se serait structuré un nouveau modèle de Société civile planétaire, plus en accord avec les lignes scientifiques et les enseignements moraux de votre OEMMIIWOA (Jésus) DANS QUEL CAS INTERVIENDRONS NOUS.
Ce modèle d’intervention est évidemment hypothétique. Nous; ne consentirons jamais à interférer dans votre évolution sociale dans les conditions d’un progrès naturel.
Seulement nous pensons sérieusement intervenir, et nous ALLONS LE FAIRE au cas où nous détecterions un risque imminent d’une destruction de votre Réseau Social par une conflagration nucléaire ou par des armes à plasma ou biotechnologiques (nous ne pensons pas qu’un conflit avec usage exclusif d’armes chimiques puisse provoquer l’extinction de l’espèce).
Nous insistons : Seule la certitude que l’OEMII de OYAGAA pourrait disparaître de son Astre froid, nous fournirait l’argument moral d’une intervention et déjà dans ce cas, nous ne nous limiterions pas à stopper le processus d’annihilation mutuelle, mais notre groupe expéditionnaire augmenté en effectifs et moyens techniques les mettrait en action selon le schéma résumé dans les paragraphes précédemment dactylographiés.
Il est difficile d’évaluer le niveau probabilistique pour que cela se produise, ce qui en outre fluctue avec le temps. Mais nous avons déjà préparé, dès 1975, un plan d’urgence définitif, (bien que son modèle soit périodiquement modifié dans ses lignes non structurelles) qui commença à prendre forme à partir du moment où DEEII 98, fils de DEEII 97 et YU 1, fille de AEIIMM 368 avertirent le UMMOOAELEUEE que l’évolution turbulente de l’humanité de OYAGAA rendrait prévisible bien que peu probable la nécessité d’une intervention de notre part pour éviter un suicide collectif qui entraînerait même l’élimination des espèces animales inférieures.
Il fut immédiatement convenu d’adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence.
PREMIEREMENT construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l’étanchéité et de moyens d’autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d’alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d’OEMMII de OYAGAA, qui assurerait leur survie en cas d’attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d’agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s’étendre à environ cinq cents jours terrestres)
DEUXIEMEMENT Equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes
- ) Etats Unis d’Amérique du Nord
- ) Union des Républiques Socialistes Soviétiques
- ) Canada
- ) Grande Bretagne
- ) République Populaire de Chine
Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d’importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d’Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.
On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive
(continuerade procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire, (excepté leur force policière), jusqu’à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères.
TROISIEMEMENT Déjà, alors que l’arrivée en France de nos premiers frères expéditionnaires était très récente et une fois que la connaissance de la langue française permit de connaître les grandes lignes de la structure socioculturelle des habitants de OYAGAA (dans notre langue Oyagaa signifie ASTRE FROID DU CARRE), ceux-ci considérèrent sérieusement la possibilité d’une destruction massive de la vie sur votre géosphère. Les spécialistes de physique théorique de la République Populaire de Chine n’avaient pas non plus encore élaboré une ébauche du modèle théorique d’une arme à plasma, l’arsenal mondial des bombes à fission était réduit et limité à de rares nations et les Etats-Unis et l’Union Soviétique (avec une certaine avance dans la recherche technique de la part de la première nationalité) se trouvaient en plein développement de la mise au point des armes de fission-fusion.
Quand nous pûmes avoir accès aux archives secrètes du D.B. français (Services de renseignement) mes frères s’aperçurent que le développement technique futur d’armes nouvelles et plus sophistiquées était déjà inévitable, que la connaissance théorique dans les domaines de la Physique quantique et de la Génétique moléculaire déboucheraient fatalement avant quarante-cinq années terrestres sur une dotatoin des moyens destructifs dont découlerait une destruction de la Biosphère terrestre au cas où vous ne parviendriez pas à perpétuer un équilibre socio-politique, facile, à altérer à tout moment si on tient compte des caractéristiques neuroencéphaliques de l’espèce Homo Sapiens Sapiens.
Pour notre part on modela immédiatement un premier projet embryonnaire d’intervention pour cas limite. Nous étions seulement venus disposés à réaliser une étude secrète de la biomasse intelligente et du substrat biologique et géologique qui l’encadraient et déjà vous nous créiez une complication. L’urgence n’existait pas en cette décennie des années cinquante. Une annihilation de l’espèce humaine était alors impossible, mais nos données prospectives, signalaient clairement que le danger deviendrait une réalité passé un certain temps ainsi qu’il en est advenu.
Le plan d’intervention (Aujourd’hui déjà remanié) envisageait la nécessité de placer sous notre supervision et contrôle rigides, les organismes dirigeants du Réseau Social terrestre déjà divisé et hétérogène.
Il se posait un grave problème. Au cas où l’on déciderait une rapide opération de neutralisation des organes opérationnels gouvernementaux nous ne pouvions pas compter sur un système de connexion sociale avec le Réseau de la Terre.
Nous désirons préciser avec les nuances pertinentes, cet aspect délicat.
Avec un modèle sanglant d’intervention, il n’est pas nécessaire, dans un premier stade, de créer des systèmes de relations. On procède à l’élimination physique ou on capture la coupole de pouvoir de l’ennemi, on neutralise ses moyens défensifs, en les paralysant par le démembrement de ses communications, l’annihilation du commandement et la destruction de ses sources d’approvisionnement, de ses unités opérationnelles et de ses services d’information. En lui imposant ensuite un nouveau centre d’autorité, un strict code de justice et des méthodes répressives tendant à dominer la population par la terreur en tuant dans l’œuf toute début de résistance.
Il est évident que si notre UMMOAELEUEE adoptait une décision draconienne tendant à usurper le gouvernement de OYAGAA pour le bien de son humanité, notre stratégie et notre modèle gouvernemental seraient très éloignés de cette hypothèse violente.
Nous sommes certains qu’il ne suffira pas de présenter notre identité et d’apporter des preuves de notre capacité coercitive devant les organismes internationaux, pour que les gouvernements abandonnent leur souveraineté, et c’est pourquoi nous ne perdrions pas non plus un temps précieux en le tentant, ce qui équivaudrait à augmenter la réactivité immédiate avec une réponse de résistance.
Notre concept de neutralisation implique certaines méthodes d’accès au pouvoir sans provoquer des traumatismes graves à l’organisation socio-économique, à travers des techniques sociopératives qui refouleraient la panique collective ou la paralysie de l’activité du travail et des rouages administratifs.
Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l’hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l’Etat. [5]
[note 5] Nous vous répétons que nous ne pouvons pour des raisons évidentes, vous révéler notre plan plus que d’une manière très superficielle. Oui, nous pouvons vous avancer que nous avons disposé le processus de manière que dans la première phase, les dirigeants de l’Etat affecté par notre intervention, ignorent l’origine de la manipulation de leurs cerveaux.
L’OEMMII affecté prend conscience de quelques altérations de son état mental qu’il attribue à des signaux de stress, épuisement anorexique, dépression, symptômes d’anxiété, de fugaces lipothymies suivies d’amnésie et des épisodes de courte durée qui vous rappelleraient, à vous, le syndrome de Ganser.
Les désordres seront si rapides que le gouvernant affecté, décidera certainement de les oublier ou feront l’objet d’une triviale consultation dans les cliniques spécialisées, qui probablement ne saisiront pas leur véritable pathogenèse.
Dans ces conditions, le libre arbitre est totalement annulé, et les modèles de décision seront soigneusement manipulés pour ne pas éveiller des soupçons chez les cadres gouvernants de rang inférieur.
C’est ainsi que nous préparerons la phase BIIEYUU XOOE . Dans celle-ci mes frères demanderont audience à ces chefs d’Etat, en les forçant à la concéder, dans le cours d’une crise générée par nous et soigneusement contrôlée. Au cours de ces entrevues, mes frères montreront ouvertement leur identité en apportant des preuves concluantes, et exigeant un transfert progressif et secret du pouvoir. Vos frères dirigeants, en pleine conscience de la gravité de la situation, mais sans capacité neuropsychique pour décider par eux-mêmes, consulteront leurs propres cabinets, la majorité de leurs membres aura subi une manipulation corticonucléaire similaire.
Dans une phase immédiatement postérieure, la zone des cadres gouvernementaux contrôlée par nous sera suffisante pour que toutes les décisions importantes des chambres législatives et de l’exécutif, se trouvent opérationnellement sous notre censure, et que les plus importantes lignes du pouvoir dirigeant du cabinet soient dictées par mes frères.
Le cadre du pouvoir judiciaire ne sera pas affecté dans ces premières phases, pas plus que les autorités ecclésiastiques ni les autres institutions indépendantes de l’état.
Suite au verso
Parvenus à ce point nous pensons que vous pourriez être pris d’une peur sérieuse. Sera-t-il certain que nous OEMMII de UMMO ne sommes pas en train de préparer un coup d’état planétaire pour supprimer vos libertés et atteindre la domination des structures du pouvoir, avec l’excuse de vous délivrer d’une hécatombe ?
Nous autres sommes conscients que ce n’est pas notre intention, mais nous comportons l’impossibilité de vous donner des preuves de notre attitude droite.
Réfléchissez néanmoins que si nous étions en train de planifier secrètement une usurpation impérialiste du pouvoir sans cause justifiable, il n’y aurait aucune raison de vous avertir en ces pages, alors qu’il est tout aussi certain que notre capacité technique de contrôler vos organes exécutifs, rendrait inopérantes toute tentative de s’opposer à ce projet, et que la fuite de ces pages dactylographiées vers des organismes gouvernementaux des USA, URSS, Grande Bretagne… ne servirait à rien.
Nous invoquons de toute façon votre capacité intuitive. Vos frères ont reçu depuis longtemps des informations au sujet de notre culture. Nous croyons que vous nous connaissez suffisament pour vous être forgé une idée schématique de notre moralité.
Soyez certains que nous n’allons pas recourir à l’usurpation de votre pleine souveraineté (Même en sachant que le concept de souveraineté populaire est faux dans vos pays) si n’intervient pas un terrible danger d’extinction de l’humanité.
Si ce cas se présentait : PREMIEREMENT Nous solliciterions de vous uniquement la fonction d’ exercer comme intermédiaires. DEUXIEMEMENT Nous demanderions des responsabilités à ceux qui n’ayant pas gardé le secret, auraient rendu difficile une action clairement focalisée à sauver l’espèce hominidée.
TROISIEMEMENT Une fois généré un nouveau modèle de société fondé sur des bases morales inspirées par l’OEMMIWOA Jésus de Galilée, nous cèderions graduellement le pouvoir à des organes exécutifs et législatifs, judiciaires et de tutelle morale composés exclusivement par des OEMMI de OYAAGAA.
Notre mission se serait centrée à structurer ce modèle et à créer un Réseau international de processeurs d’information basé sur de nouvelles technologies de commutation et de propagation de données, (photoniques) dont il n’est pas nécessaire de vous expliquer la fonction orientée vers le développement de modèles de décision (Gouvernement, recherche, contrôle économique… ).
Nous ne pouvons pas vous éclairer sur les probabilités d’un tel événement. Mais vous devez comprendre que si ceci était très incertain, nous ne vous aurions pas remis ce RAPPORT. [fin note 5]
On exercerait immédiatement un contrôle sur les moyens de diffusion, pour moduler pas à pas l’information publique au sujet de ce processus de changement de manière qu’il soit assimilé progressivement sans causer d’alarme.
Cette conscienciation graduelle de la Société, irait jusqu’à un seuil où les OEMMII les plus intelligents avertiraient que la souveraineté serait passée sous le contrôle d’une entité aliénanthrope .
Parvenus à ce point nous aurions besoin de l’aide d’êtres humains de la Terre qui agiraient comme relais entre mes frères et vos compatriotes, dans un double but de tranquilliser VOS frères en leur présentant une image réelle de nos buts, de notre honnêteté, de nos intentions Pacificatrices, et les raisons puissantes qui nous auraient amenés à usurper provisoirement votre souveraineté.
Ils nous aideraient à percevoir avec plus d’impartialité et de précision, les besoins, les frustrations, les niveaux d’anxiété et d’angoisse, les possibles situations d’injustice qui découleraient de notre action, pour s’occuper de les corriger sur la base des données apportées par ces OEMMII.
Vous devez comprendre que la capacité de communication entre deux humanités, l’une étant mise momentanément sous le joug et bien que cela soit sans effusion de sang par l’autre serait nulle, si nous n’avions pas prévu cette contingence.
Les cotes d’angoisse collective, en vous sentant dominés par des extraterrestres inconnus, provoqueraient des attitudes sociales compulsives d’agressivité, de terreur, de suicide, d’effondrement de l’organisation et de l’activité de la Nations, la paralysie sociale et des flux migratoires incontrôlés. Il ne suffirait pas que nous mêmes apparaissions sur les écrans de vos décodeurs de Télévidéo, pour essayer de vous tranquilliser, puisque la capacité de persuasion d’un être catégorisé comme « ennemi usurpateur » est minime.
Conscients de cette nécessité hypothétique, mes frères décidèrent de former dans diverses nations, des très petits groupes d’OENMMII de la Terre, pour [1] les préparer face à cette future éventualité en toute discrétion.
[note 1] Pendant les premiers jours sur OYAGAA nous avions pris la décision de créer des bases souterraines et de n’établir aucun type de contact avec les habitants du Pays France. Quand mes frères découvrirent qu’en utilisant des vêtements semblables aux habits des OEMMII de la Terre, ils pouvaient passer inaperçus dans les cités, le contact se fit habituel mais la stricte norme de ne pas nous identifier fut maintenue.
Nous commençâmes rapidement nos travaux archéologiques. Nombre de pièces de valeur furent découvertes et des objets localisés en musées furent façonnés en image. Toutes les pièces obtenues ont été envoyées sur UMMO pour être reproduites avec exactitude et pouvoir ; dans le futur ; vous être restituées.
Mais ceci nous créait un problème d’ordre éthique. Nous nous sentions obligés à vous payer de retour en vous apportant en échange, une information sur notre culture.
Cela fut au début la raison pour laquelle on décida d’établir un pont de données avec des OEMMII sélectionnés de OYAGAA.
Notre schéma concernant l’accueil que recevraient ces rapports était celui-ci :
« Une matrice de données (Rapport) peut être seulement acceptée si son information peut être avalisé au moyen de preuves. Si nous apportions la matrice, mais non les preuves, un cerveau intelligent l’archiverait provisoirement sans le mettre au rebut, mais sans non plus l’accepter comme valide, jusqu’à ce qu’il soit complété par des démonstrations ultérieures. De cette manière nous protégerions notre existence parmi vous (puisque notre témoignage ne serait pas pleinement accepté) mais nos apports sur des thèmes scientifiques, idéologiques, historiques…. seraient provisoirement respectés. »
Un tel schéma rationnel; cependant n’était pas transférable à votre neuroencéphale, comme il fut démontré. Beaucoup de vos frères jetèrent avec mépris les feuilles dactylographiées et d’autres de manière surprenante, acceptèrent notre identité, sans preuves, avec une crainte presque superstitieuse ou un profond respect que nous ne méritions pas, puisque les lettres ne contenaient pas d’apports convainquants consistants. Des frères à vous d’Australie et du Canada en arrivèrent à abandonner leurs croyances pour se plonger dans un culte à notre civilisation et même à nos corps ; ce que nous ne pouvions tolérer ; car nous savions que cette attitude mentale leur était dommageable. C’est pourquoi nous ne pûmes qu’en venir à de douces mesures correctrices (Vous devez continuer à être fidèles à votre paradigme scientifique et à votre religion et à votre culture).
Par contre nous avons immédiatement saisi la nécessité que ceux-là de vos frères se fondent en groupes réduits, engagés à conserver un secret absolu et à étudier avec attention les fondements de notre culture non pour l’assimiler en substitution de la leur propre mais comme information anthropologique émanant d’une autre civilisation intragalactique.
Mais pour nous il était très important d’initier un cycle d’expériences passionnantes anthropo-cosmologiques. Vous savez que dans nos recherches sur le Multicosmos, nous avons découvert la très importante fonction du cerveau humain dans l’Univers multiple.
Un comportement neuropsychique fondé sur les normes UAAA (morales) exerce des actions singulières sur l’Univers ,sur son BUAWEE BIAAEII et sur la structure de la matière cosmologique. (Ces principes vous pouvez les étudier dans les rapports que nous vous avons remis)
Vous ne pouvez vous imaginer l’importance d’un micro-réseau, structuré sur des bases sociales capables de produire de la néguentropie, c’est-à-dire sur des fondements éthiques.
Mesurer scientifiquement les effets d’un réseau social réduit, sur un autre Astre froid, sur le B.B. de ce Réseau planétaire avait pour nous une valeur incalculable.
Il était licite pour nous de réaliser cette expérience, puisqu’exhorter un petit groupe très réduit d’humains de OYAGAA à établir des liens d’amitié fraternelle, d’amour par l’étude et une conduite éthique, sans renoncer à leurs idées religieuses, patriotiques ou scientifiques ne violait aucun principe moral.
Cette expérience a été menée à bien (et son processus se poursuit), dans différentes nations de vos géocontinents. Il s’agit de néoformations sociales qui ne comptent pas plus de cinquante OEMMII pour le groupe le plus grand et de six OEMMII pour le plus réduit (incluant des GEE et YIIE, hommes et femmes). Leurs membres se sont engagés à conserver un secret absolu sur nos comunications, comme dans des compartiments étanches.
Après avoir initié ce projet, apparut une autre nécessité pressante de compter sur ces OEMMII pour une autre possible future mission. C’est de cela que parle le présent rapport. [fin note 1]
De puissantes difficultés se présentaient pour aborder ce projet avec succès. Nous ne pouvions pas choisir des politiciens éminents, puisqu’ils étaient précisément ceux qui devraient être neutralisés dans une éventualité de ce genre.
Le profil de l’OEMMII choisi exigeait aussi qu’il ne fut pas un éminent homme de Science, puisque sa capacité de critique exigerait des preuves de notre identité, preuves définitives que nous ne pouvons pas vous apporter pour des raisons profondes. Il n’aurait pas été non plus possible de convaincre ceux de vos frères provenant de couches socioculturelles de bas niveau, puisque leur capacité culturelle déficiente les aurait empêché de saisir le fond des données que nous leur aurions apportées et de les comprendre,
D’autre part il était nécessaire que les humains choisis, fussent relativement insérés dans leur milieu social. Un politicien ou un scientifique de la Terre est habituellement déconnecté de son milieu social et ne comprend pas bien ses besoins. Une personne de bas niveau intellectuel, bien que pouvant connaître son environnement, n’est pas apte à faire un examen lucide de la situation, et encore moins, de l’exprimer avec objectivité.
Il était nécessaire de choisir des Oemmi (hommes de la Terre) des couches sociales moyennes : ingénieurs, licenciés en disciplines sociales et scientifiques, chefs d’entreprises de niveau moyen, prêtres et pasteurs de différentes religions modestes spécialistes des administrations et surtout des médecins, des sociologues et psychologues, des journalistes et des spécialistes des techniques de communication.
Leur modèle psychobiologique devait présenter des traits de personnalités proches d’une intelligence élevée, ou au moins une conduite morale élevée, des aptitudes ouvertes à la connexion avec des intelligences intragalactiques, des intérêts pour divers domaines de la pensée et de la science et une conviction pleine de la nécessité que l’ordre social doit être fondé sur des règles morales et scientifiques.
Nous courrions le risque que nos rapports fussent méprisés comme étant l’œuvre de farceurs ou de personnes affectées d’idées délirantes, ou dans l’hypothèse inverse, dangereusement diffusés de manière que nous serions découverts ou que leurs contenus affectent le devenir social naturel et indépendant de votre Astre froid.
Dans un premier temps nous ne savions pas vers à qui nous adresser. Nous avons envoyé en France Grande-Bretagne et Australie nos lettres de présentation à des avocats, des médecins sociologues et des docteurs en Sciences physiques, noms trouvés dans des annuaires téléphoniques et professionnels. Lorsque nous tentions avec nos pauvres capacités phonétiques de vérifier par le canal téléphonique si le contenu des lettres-rapports avaient fait quelque effet, l’interlocuteur raccrochait son combiné avec indignation. C’étaient des textes qui nous avaient coûté beaucoup d’efforts à élaborer, car ce fut seulement en Australie (à cette époque) que mes frères purent trouver un britannique qui outre sa langue était familiarisé avec les langues française espagnole, et qui avait accepté de taper à la machine les textes qu’ils lui dictaient.
Ma sœur UORII 19 fille de OBAA 17, spécialiste en techniques thérapeutiques parvint en Grande-Bretagne à écrire avec de vos machine au moyen de ses jointures digitales [2]. Apprit aussi à dactylographier notre frère bien aimé ADAA 66, qui trouverait plus tard la mort sur cet OYAGAA, victime en 1957 d’un imprévisible accident.
[note 2] Parmi les particularités physiologiques de notre organisme, qui sur d’autres aspects ; bien qu’il diffère quelque peu de la structure humaine que vous avez, est en traits essentiels similaire à l’anatomique de OYAGAA, figure notre sensibilité photodermologique.
Nos doigts, dans leur troisième phalange et dans le derme, possède des capteurs neuro-photocepteurs, capables de visualiser des images diffuses (pas avec la même résolution que la rétine) qui nous sont très utiles dans notre activité investigatrice.
Tous les OEMMII de UMMO aussi bien YIIE (femmes) que GEE (hommes) nous naissons avec cette capacité sensorielle (les couleurs sont perçues d’une autre manière et avec moins de netteté).
Mes frères qui doivent utiliser les doigts pour d’autres fonctions (préhensions) voient ces fonctions perceptives réduites et mêmes annulées en quelques années (évidemment on n’éprouve pas de douleur en exerçant une pression digitale) mais ceux qui se consacrent à l’investigation ont été éduqués à ne pas utiliser les bouts digitaux, dans les tâches qui impliquent des pressions intenses sur l’épiderme.
Les tensions musculaires dans ces zones, accidentelles ou sporadiques, n’exercent pas d’action ana-neurale sensible sur ces photocepteurs, mais si nous malmenons nos doigts de manière répétitive par des activités du genre à taper sur le clavier d’une de vos machines, nous finirions par atrophier notre précieuse fonction optoneuronale. [note 2]
Du coup nous avons pensé le problème résolu. Nous emportâmes sur UMMO différentes machines à écrire provenant de sociétés fabricantes connues et nous les rapportâmes transformées avec un système transducteur qui permettait de les actionner au moyen de fluctuations décodées d’un paramètre physiologique.
En Mai 1962 mes frères OBOUU 1 et BIOO 14 se trouvaient dans un hôtel de Melbourne, ensemble avec un de ces équipements, lorsqu’ils furent avertis que la police avait des soupçons sur leur identité. Ils durent abandonner précipitamment le bâtiment en cachant comme ils purent la machine dans une caisse de vêtements sales qui se trouvait dans le local de laverie.
Ils purent cette fois-ci revenir et la récupérer. Mais le risque était trop grand et on décida de supprimer toute preuve technique qui pourrait tomber entre vos mains.
La construction de bases souterraines fit penser que la solution au problème serait définitivement assurée si mes frères expéditionnaires y résidaient.
Une étude ultérieure de notre planification résidentielle, montra que rentrer et sortir fréquemment de ces enceintes situées en zones sauvages et repérables à l’occasion par la population rurale, présentaient plus de danger que de se mêler à la population des grandes villes de OYAGAA.
De manière que nous cherchâmes des collaborateurs parmi vos frères qui puissent écrire la documentation sous la dictée.
Nous les avons trouvés en Grande Bretagne, Australie, Canada, Espagne et République Fédérale d’Allemagne. Dans ce dernier cas, une YIEE d’une prestigieuse famille, qui est aujourd’hui une de nos plus chères amies de OYAGAA, accepta même de se déplacer jusqu’à Berlin et de passer ensuite à grand risque pour elle dans la zone contrôlée par les Autorités de la République Démocratique Allemande. Nous n’oublierons jamais les services qu’elle a rendus à mes frères.
Nous commençâmes par une prudente tentative de contact avec des humains spécialisés en divers domaines de la recherche scientifique. Nombre d’entre eux acceptèrent d’examiner les apports dans des domaines aussi divers que la Topologie la Théorie des réseaux, l’Astrophysique et la Biologie, mais à quelque rare exception près, tous accueillirent avec beaucoup de méfiance nos affirmations d’identité UMMOAO estimant que les documents devaient émaner de quelque collègue perturbé ou d’universitaires dotés d’un subtil sens de l’humour.
A cette époque notre objectif prioritaire consistait à rendre d’une manière ou d’une autre l’apport que vous nous aviez fourni sans le savoir concernant le patrimoine culturel de OYAGAA (TERRE), mais nous voulions aussi analyser graduellement et en prenant de très prudentes précautions, l’impact qui pourrait être produit dans le Réseau Social si un contact ouvert entre nos deux cultures devenait inévitable (Au cas pas encore écarté où vous captureriez un ou plusieurs de mes frères, une franche identification deviendrait inévitable en provoquant des perturbations sociales qui s’avéraient alors difficilement évaluables par nos spécialistes).
Derrière cet objectif primordial se dissimulait un autre centre d’intérêt : Le plan d’urgence déjà réitéré (dans l’hypothèse de l’imminente destruction biologique sur OYAGAA). Comment connaître les inquiétudes de la masse humaine soumise subitement à la tutelle de fer de quelques êtres venant d’une autre entité galactique ?
Nous devrions préparer un réseau réduit et sélectionné de citoyens de différents pays. Des OEMMII appartenant à ce que vous appelez Mass media et de ce fait bons connaisseurs des inquiétudes et des problèmes de la société dont ils font partie.
Il était nécessaire que de tels humains
soient moyennement cultivés, intelligents, de moralité élevée avec UN penchant intellectuel vers les questions de civilisation galactique.
Qu’ils acceptent avec prudence mais sans l’écarter l’hypothèse de notre existence, notre identité.
Qu’ils connaissent par une communication fluide notre culture et notre histoire.
Naturellement le problème se présentait qu’ils se convertissent en partisans de notre idéologie, en esclaves intellectuels de nos personnalités. Ceci est inadmissible pour notre éthique. Il fallait les exhorter à rester fidèles à leurs idées et connaissances. Pour cela l’unique solution viable, consistait à leur exposer nos modèles scientifiques de manière didactique sans leur apporter des preuves définitives, et à introduire des éléments d’erreur qui les obligent à entretenir de raisonnables doutes au sujet de notre identité, en détournant leurs soupçons vers des pays, des institutions ou des personnes.
Nous ne pouvions pas les convertir en nos acolytes, traîtres à leur ancêtres et à OYAGAA. Notre intention dans le futur au cas où nous aurions recours à leurs services une fois déployé cet hypothétique Plan d’Usurpation du pouvoir, ne serait pas axé à les convertir en gouvernants marionnettes de nos organes dirigeants, mais en une chaîne nécessaire ou réseau de liaison, capable de tranquilliser leurs frères grâce à l’information qu’ils posséderaient sur notre culture et nos intentions, et de nous procurer des données précieuses sur les besoins urgents et les préoccupations d’un Réseau Social momentanément paralysé par l’incertitude et la terreur de se sentir dominé par des forces inconnues.
Ils agiraient donc, comme un canal bidirectionnel d’information entre notre coupole de pouvoir et une humanité sous le joug. Ambassadeurs à double vecteur.
Un événement malheureux survenu en 1966 nous fit réfléchir sur la possibilité qu’un quelconque autre évènement malheureux puisse mettre en péril notre plan pour maintenir un secret rigoureux sur notre présence sur OYAGAA.
A cette époque nous étions très préoccupés par le projet B-45 M 899 nord américain, de placer en orbite, des satellites dotés de charges nucléaires Ce qui nous intéressait spécialement était d’obtenir plus de données sur le lanceur SATURN 500 F dont les essais étaient prévus dans le complexe du centre spatial Kennedy. Nous avions même déjà subi un incident inquiétant quand OYII 62 fils de AANX 2 fut repéré une nuit à Merrit Island près du polygone industriel de la base secrète, celui-ci pouvant s’évader à la fin en se jetant dans les eaux de la Banana river.
Nous avions décidé de construire une base sécrète sur une île située à une distance pas excessive de Cap Kennedy.
Le projet impliquait une exploration méthodique de cette zone face à l’Océan Atlantique. C’était une nuit du mois de Mai 1966. A 4 h 12 m heure locale, quatre OAUOLEAA UEWAA OENMM (nefs de voyage interastral) de notre UMMO atterrirent au sud de l’île Great Abaco (grand Abaco), non loin de Marsh Harbour.
L’une d’elles, bien qu’elle eût détecté la présence inhabituelle d’un OEMMII de la Terre à ces heures avancées de la nuit, dans ces parages, ne put éviter l’accident lors de sa descente.
Le malheureux paysan se trouvait à quelques mètres du point de descente de notre véhicule. Il subit une très grave commotion cérébrale, du fait du niveau intense des fréquences Radioélectromagnétiques de courte longueur d’onde.
Il fut immédiatement transporté à notre Base du Canada. On dut effectuer une transplantation de tissu embryonnaire et réaliser une intervention chirurgicale complexe, en accédant à son aire hypothalamique à travers ses fosses nasales. Il fut également nécessaire d’accéder à l’Hippocampe pour effacer l’information engrammée et lui empêcher l’accès de données durant les minutes postérieures au rétablissement de ses fonctions conscientes. A sept heures quarante minutes de ce 21 mai 1966 nous l’avions laissé rétabli en un point du lieu pas très loin d’où s’était produit le malheureux évènement. Que serait-il arrivé si cet humain était mort par notre faute ?
Tous ces problèmes ennuyaient mes frères. N’était-il pas mieux d’abandonner un Astre froid autant au bord d’une hécatombe ? Il était prévisible que dans l’avenir se déchaîne même une attaque mutuelle d’une telle rapidité qu’il nous serait même impossible de contrôler la situation, allant jusqu’à affecter la vie de certains de nos expéditionnaires.
On décida pourtant de poursuivre notre travail d’étude et parallèlement de continuer les contacts en formant des groupes choisis d’humains de la Terre dans quelques rares nations.
En ce temps là nous avions découvert que des milliers d’OEMMII se montraient vivement intéressés par ce que vous appelez la phénoménologie UFO. Les conditions spécialement favorables de plissement spatial de ces années là, qui s’étendaient de 1943 jusqu’en 1978 avait permis d’accéder au système planétaire de votre Soleil non seulement à nous, mais aussi à d’autres civilisations galactiques.
Elles n’étaient pas nombreuses, et les contacts dont nos nefs firent l’expérience avec l’atmosphère terrestre et les atterrissages subséquents se réduisirent à un nombre réel bien plus réduit que celui estimé par de nombreux spécialistes de la Terre. Nos OAUOOLEEA provenaient de différents Astres dotés de Civilisations avancées. Nous ne nous connaissions pas à part soi à l’exception de rares cas, et nous suivions la norme de ne pas interférer dans nos missions respectives. Nous fûmes seulement trois civilisations galactiques à décider de laisser de manière permanente des corps expéditionnaires sur différents continents. Une quatrième, provenant d’un Astre situé à 96 années-lumières de la Terre, dont vous pourriez prononcer le nom comme GOHO, vous visita plus de fois que toutes les autres réunies, en nous y incluant, nous les OEMMII de UMMO.
La morphologie anatomique de ces êtres OEMMII, intelligents les trahissait. De taille réduite, les bras très atrophiés et une grande cavité crânienne qui leur fait une grosse tête, les empêchait de se mêler aux humains de OYAGAA. Depuis 1948 (Décembre) (avant notre première expédition sur Terre) ils sont arrivés sur votre Astre et se sont établis dans un nombre réduit de bases sous-marines. Ils étaient spécialement intéressés par l’étude de la biomasse de la Terre et spécialement la biologie de ses OEMMII et ils ont interceptés plusieurs YIIE et GEE (hommes et femmes) pour analyser leur corps sans les blesser. Quand au bout de quelques années leur curiosité se trouva satisfaite, ils émigrèrent. Malgré tout ils se sont laissés voir dans leurs rapides interventions beaucoup plus que d’autres expéditions..
Les deux autres groupes planétaires se mêlèrent à vous facilement par l’avantage que supposait, à l’égal de nous-mêmes, d’avoir une anatomie pas très différente de celle de l’OEMII de OYAGAA. Leurs buts étaient identiques aux nôtres, mais leur stratégie différente.
Ils maintinrent un silence strict sans jamais se faire connaître. Leurs vaisseaux furent inévitablement détectés comme les nôtres, et ils établirent des bases aux Etats-Unis et en Union Soviétique. (Les expéditionnaires de l’une d’elles : Astre ISSSSS, arrivèrent en Angola en 1962, ils se mêlèrent à vous vers 1969 aux Etats-Unis, en URSS et en Union Indienne et ont abandonné OYAGAA en 1980. ISSSSS est situé à 174 années lumière de OYAGAA.) Ils ont tous évité n’importe quel type de contact avec nous.
Aucune de ces civilisation ne vous causa de tort, suivant des normes plus ou moins différentes mais coïncidant pour l’essentiel, dérivées des UAAA universelles.
Il y eut une exception. Un groupe expéditionnaire envoya des agents dans différents pays d’Asie et d’Europe. Deux d’entre eux arrivèrent en Espagne avant que ABAEXII 4 fils de ABAEXII 3 mette pour la première fois son corps en contact avec la péninsule Ibérique. Des années plus tard grâce à leurs appareils de contrôle cérébral ils se connectèrent à un citoyen Japonais résidant à Madrid, puis, par son intermédiaire, avec un autre OEMMI appelé Fernando Sesma Manzano. Cette civilisation, très avancée dans les études du Réseau cérébral et sa fonction dans le Multicosmos, trouvèrent là une occasion très intéressante pour eux d’utiliser les humains de la Terre comme cobayes pour leurs expériences neuropsychologiques.
Dotés sur leur astre froid d’une civilisation structurée selon des bases morales strictes, ils rejettent les UAA qui nous obligent pour les autres à respecter l’évolution des autres Astres froids avec une civilisation inférieure. Avec un mépris absolu de l’intégrité biologique des hommes de la Terre, ils choisirent un vaste échantillon d’infortunés humains et les soumirent à des manipulations mentales.
Furent les victimes à différents degrés (certains YIEE et GEE furent aussi soumis à un contrôle leur induisant divers cadres pathologiques) des citoyens de République Populaire de Chine, de Thaïlande, d’Indonésie, du Japon, d’Italie, de Grèce et d’Espagne.
En Espagne furent affectés à différents niveaux vos frères dont les noms suivent. Franco Muela, Fernando Sesma, Victoria Iruretagoyena, Alicia Araujo, Clemente Dominguez Gomez, Isabel Nido, Jose Gonzalez Arenas, Regina Sandras, Julio Ferrrandiz Sanchez, Eduardo Buelta, Francisco Montesinos Lopez, Maria Asuncion Cibeira, Francisco Ramallo, Maria Teresa Aymerich de Tapia, Estanislao Gomez Marfil, Pedro Vivancos Garcia.
Quant à nous nous avions établi notre première base d’action à Albacete dans un laboratoire Souterrain situé au centre de la Ville, et ensuite nous nous sommes déplacés à Madrid.
A cette époque nous avions déjà établi dans divers pays une excellente source de contacts. L’attente internationale de la présence des UFO non seulement dans l’atmosphère mais en points d’atterrissage, avaient généré une intense psychose collective.
Très au-dessus de quatre vingt pour cent (des observations), étaient le fruit d’erreurs d’observation et des versions falsifiées de faux témoins. Les nouvelles imprimées dans les moyens de diffusion, créaient à leur tour de nouveaux rapports apocryphes, de telle sorte que dans les milieux universitaires et scientifiques, les humains qui s’intéressaient au sujet étaient qualifiés de semi analphabètes ou affectés de représentations mentales délirantes.
Ce désintérêt de la part de certaines couches des pouvoirs publics, des forces de police et des secteurs se rattachant à la Science, nous offraient un excellent alibi, pour pouvoir nous manifester sans risque grave, à des humains intéressés par la problématique extraterrestre. Si les milieux de la presse, ou radiophoniques prêtaient une attention excessive à nos rapports il nous serait facile de lancer un opaque rideau de fumée, empêchant l’irradiation excessive de la nouvelle, en diffusant le bruit qu’il pourrait s’agir des élucubrations de quelque perturbé mental.
Cette stratégie nous l’avions déjà utilisée au Mexique et dans votre propre pays : l’Espagne, en choisissant comme amphitryon à Albacete une excellente YIEE mais qui souffrait de troubles psychopathologiques. La renommée qui entourait votre sœur, nous protégea des rumeurs dangereuses, au cours du séjour de mes frères dans la ville castillane.
Il existait déjà des groupes dans différents pays, dont les membres recevaient périodiquement nos rapports, les étudiaient avec attention, et en échange avaient promis de garder un strict silence. Ils étaient presque convaincus de notre réelle identité.
Un de mes frères UDIEE 36 fils de UDIEE 34 eut une telle confiance dans le groupe du Canada que, comme premier précédent dans notre histoire en relation avec OYAGAA il consentit à tenir une réunion avec les composants du groupe. Celui-ci se composait de neuf GEE (hommes) et de douze YIEE (femmes).
Ceux-ci comme d’autres groupes d’Australie, de Grande-Bretagne, de République Fédérale d’Allemagne, du Zimbabwe… Ont été fidèles à la promesse de garder le secret sur notre existence.
Grâce à une publication dirigée par votre frère Joaquin Valdès Sancho, nous eûmes connaissance de l’existence en Espagne d’un autre de vos frères, Fernando Sesma Manzano. Un décodage de Texte nous avait révélé l’existence d’une message crypté, dont il était impossible que celui-ci en ait eu connaissance sans avoir établi un contact avec une quelconque civilisation extrasolaire.
A cette époque nous étions décidés à former un autre groupe en Espagne et nous avions déjà tenté d’autres contacts avec des résultats inégaux.
Fernando Sesma accueillit les premiers appels téléphoniques avec une certaine défiance. Nous captâmes beaucoup de données sur sa structure neuromentale grâce à sa phonalisation et nous comprîmes que ses modèles intellectoémotionnels pourraient être affectés très favorablement en lui remettant un message gravé sur l’émail d’une pierre. Ainsi commencèrent les premiers dialogues téléphoniques avec votre infortuné frère (en 1965), victime par la suite des manipulations infâmes émanant d’autres êtres intragalactiques.
Mais en dépit de nos suppliques réitérées de garder le silence quant aux rapports que nous lui remettions, rédigés par nos frères dans un langage qui lui soit accessible, il se consacra à répandre avec un enthousiasme viscéral le contenu de ceux-ci, en acceptant des entrevues avec des journalistes qui imprimèrent immédiatement ces données concernant notre existence dans quelques média de l’époque.
Au début, mes frères se sentirent inquiets et suspendirent quelques temps leurs envois. Ils voulurent même se mettre en contact avec votre frère peintre, Enrique Gran, dont ils avaient tant admiré les œuvres.
C’était un OEMMII intelligent et sensé et nous désirions qu’il agisse comme intermédiaire auprès de Sesma pour le convaincre de la nécessité d’affirmer à la Presse, que toute l’affaire Ummo était un vulgaire bobard.
Notre présence physique, et l’apport d’une preuve lui aurait fait prendre conscience de la gravité de l’affaire.
Mais votre frère Gran à qui nous avions donné rendez-vous dans un endroit spécialement étudié ne voulut pas accepter l’entrevue. Il dut ne pas la prendre au sérieux, la prenant pour une plaisanterie, ou bien il pensa prudemment qu’il pouvait s’agir d’un dangereux guet-apens.
Il était impossible d’influencer l’esprit de Fernando Sesma. Dans des dialogues téléphoniques successifs nous lui précisions l’énorme le danger qu’il courait en maintenant des relations avec le groupe qui se faisait appeler « Saliano » Immédiatement, ceux-ci agissaient sur ses formations amygdaliennes, lui provoquant une amnésie temporaire du contenu de notre conversation avec lui ou le forçaient à déchirer les lettres dans laquelle nous déversions ces mêmes avertissements.
Mes frères furent alors sur le point d’abandonner toute action en Espagne. La réalité de notre séjour dans la Péninsule n’avait pas pu générer plus d’événements malheureux. A Albacete nous avions été sur le point de provoquer une très grave épidémie aux conséquences incalculables pour n’avoir pas pris des précautions plus strictes, Par notre faute une YIEE innocente [4] se voyait impliquée dans un processus judiciaire. A Valence un de nos frères en se voyant obligé de résider dans une pension mal famée s’était vu impliqué dans une trouble affaire policière impliquant quelques pauvres prostituées et ils furent sur le point de nous identifier et voici maintenant que « tout le Pays » était informé par les indiscrétions de votre frère Fernando Sesma, de notre existence.
[note 4] Bien que nous soyons faits responsables du très grave incident qui eut lieu dans la Ville d’Albacete (Espagne) parce que nous aurions dû adopter des précautions plus sévères, il est nécessaire de noter qu’à ces dates-là, les expériences étaient réalisées dans des conditions très difficiles. Les tentatives pour placer des portes blindées au laboratoire du Sous-sol entrèrent en conflit avec le refus de votre frère José Maria Bassols selon lequel des éléments blindés entreraient dans l’immeuble de Mayor 58 (albacete) qui pourraient susciter la suspicion des livreurs et des voisins. Ces réparations paraissent si raisonnables, que les événements postérieurs nous ont donné raison. Si les accès avaient été blindés, ne se serait pas déchaîné un…. enchaînement de faits qui auraient pu déboucher sur l’une des plus terribles épidémies qu’aurait connu OYAGAA.
Une seconde erreur fut de charger votre sœur Luisa Ballery de l’acquisition dans une quincaillerie des serrures de sécurité pour les portes. Avant de les remettre à mes frères, sans doute mue par une curiosité naturelle, elle fit faire des doubles des clés.
L’entrée furtive de ces deux YIIE dans le laboratoire, probablement sans l’autorisation de votre sœur Margarita Ruiz de Lihory, fut un événement vraiment funeste, laissant l’une de celles-ci contaminée et transmettant ensuite l’entité virale à d’autres OEMMII de la ville d’Albacete.
Il nous est possible d’affirmer avec certitude ; que l’accusation disant que mes frères avant d’entreprendre leur voyage, laissèrent par erreur l’accès au laboratoire ouvert, est totalement sans fondement. De plus : il existait une seconde porte intérieure, qui fut forcée par les femmes, mues par leur curiosité exacerbée.
Il faut comprendre de toutes façons que le très grand secret qui entourait nos activités, pas même connues de la Maîtresse de l’immeuble ni de votre frère Bassols, intriguait notablement tous ceux qui de quelque manière avaient connaissance de notre séjour là-bas. Votre sœur Margarita Ruiz était affectée d’un caractère très autoritaire et parvenait à faire taire toutes les critiques que sa fille Margarita et d’autres humains formulaient, mais elle ne fut évidemment pas capable de faire échouer la malheureuse violation des pièces réservées.
Les accusations selon lesquelles nous avons dû recourir à la subornation financière pour essayer à Albacete et à Madrid, de freiner les confidences (qu’inévitablement certains OEMMII commencèrent à émettre concernant la réalité des faits) ne tient pas compte qu’il nous était nécessaire, d’empêcher à cette époque que la nouvelle de notre séjour s’ouvre un passage dans les canaux de communication. Il est vrai que mes frères ont dû débourser d’appréciables quantités, mais en revanche il est totalement injuste et faux, de nous accuser en insinuant des décès survenus depuis, et de nous les attribuer sans le moindre fondement. Il est certain que la nouvelle de l’amputation de la main de cette sœur à vous décédée si tragiquement et l’extraction d’autres structures anatomiques, et les rumeurs qui inévitablement se répandirent parmi les autorités qui entendirent parler dans le cadre de l’affaire de notre existence, attirèrent ensuite d’autres agents étrangers qui comprirent notre implication dans les études que nous réalisions à Albacete. Ce furent ces Frères à vous, de nationalité nord-américaine, qui causèrent un grave préjudice à un OEMMII de l’entourage de cette bonne YIIEE Margarita Ruiz de Lihory. Bien que nous n’en ayons pas de preuves, nous n’écartons pas que l’un de ces étranges décès pourrait être du à leurs activités, quoique nous n’écartons pas, que cette singulière chaîne de décès- Qui a aussi attiré aussi notre attention- ait été le fruit du hasard.
L’unique suspicion que ces agents, auraient été impliqués dans l’élimination physique d’humains espagnols est fondée sur un document reproduit par nous, daté du 22 octobre 1980. (Communication de service interne d’Une entité Nord-américaine) Communication datée à Albacete et adressée à un certain Michael F. Fowler qui résidait à cette époque dans un hôtel de Murcia (Espagne) en message chiffré décodé par nous et qui fait mention d’investigations réalisées par le ressortissant espagnol résidant à Albacete. José Garcia Martinez, (journaliste) bien que le document ne fasse pas allusion à sa profession. deux mots dans le rapport cité non décodés, peuvent signifier que tel « individu devrait être neutralisé ? dans l’hypothèse H-2 ». La traduction « neutralisé » est de notre fait et signifie peut-être autre chose. Nous n’avons pas non plus pu établir la nature de cette « hypothèse H-2 ».
En ces jours, toute la nervosité des agents des U.S.A. a pour origine :
En janvier 1954 mes frères abandonnèrent précipitamment le laboratoire souterrain de la calle Mayor. on fit un ratissage exhaustif pour récupérer notre équipement dont la technologie aurait suscité un intérêt intense en cas de découverte par les autorités. Des restes d’animaux durent être cachés précipitamment dans des bocaux et des caisses, et l’on n’abandonna que le matériel chirurgical topique d’origine espagnole.
Mais nous ne prîmes pas en compte une incidence qui se fit inévitable.
Le matin-même où se décida le transport de Margarita Shelly à Madrid mes frères avaient remis à la vieille servante, une caisse précieuse pour qu’elle la fasse parvenir par l’entremise d’une seconde YIIE, à une adresse déterminée. Mes frères devaient accompagner l’expédition de la malade et de sa Mère, dans un véhicule indépendant jusqu’à la capitale de l’Espagne. Ils ignoraient évidemment comment les événements à Madrid allaient se déchaîner.
L’intervention de la Police madrilène donna seulement le temps avant que les autorités d’Albacete n’interviennent, de déménager comme nous venons de le rapporter le laboratoire souterrain, mais ce précieux coffret ne put pas être récupéré.
Il contenait un chromatographe en phase gazeuse de taille très réduite. C’est un instrument très rudimentaire, mais utile pour la gamme de recherches que mes frères biologistes réalisaient à cette époque. En ces années-là nous n’apportions de UMMO que les instruments de recherche les plus indispensables, de crainte qu’ils ne tombent entre les mains des humains de la Terre. Le reste des appareils, ou nous les achetions directement à des firmes spécialisées d’Allemagne Fédérale et de France, ou comme ce chromatographe, nous eûmes recourions à un système mixte. La technologie en était entièrement de OYAGAA mais nous autres le fabriquions ex-professo avec des méthodes de miniaturisation qui même à cette époque, apparaissaient à vos spécialistes, très avancées.
Le chromatographe en référence était défectueux et mes frères de la ville d’Albacete avaient besoin qu’il soit réparé en urgence.
Au bout de quelques mois, mes frères reprirent contact avec la servante et ils ne purent élucider ce qui était advenu de la caisse. Ni les offres d’argent ni les prières ne suffirent pour venir à bout de l’attitude muette de celle-là de vos sœurs. Elle s’obstinait à assurer que depuis toute la dramatique histoire de Margarita, le coffret « s’était perdu » et qu’elle en ignorait le destin.
La réelle version de ce qui était arrivé, nous avons pu la connaître, paradoxalement non pas en Espagne mais aux Etats Unis d’Amérique.
En Février 1954 il y eut des commentaires dans les dépêches de la Direction Générale de la Sûreté de Madrid et au Ministère du Gouvernement au sujet des étranges circonstances qui concoururent à l’affaire de la calle Princesa 72, en référence à l’expertise légale de la main de la malheureuse Margarita Shelly. Il fut inévitable que les expert observent que la technique d’amputation n’était pas celle habituelle dans les milieux cliniques et encore moins si elle avait été pratiquée par un profane. De plus, la Police savait que dans toute cette affaire étaient impliquées des « personnes étrangères » à la famille de Margarita Ruiz de Lihory.
L’ambassade USA disposait comme à l’habitude durant les dernières 48 années de ses propres agents autant au sein du Ministère du Gouvernement que de la D.G.S. Immédiatement ils se rendirent compte que cette affaire était beaucoup plus importante que ce que la presse de l’époque laissait transparaître. Une équipe d’experts fut envoyée à Albacete, à Barcelone, et dans les propriétés de Doña Margarita. Nous ignorons dans quelles circonstances notre chromatographe fut confisqué par eux, mais c’est ce qui est arrivé.
L’examen du dispositif dans les laboratoires d’Atlanta, les déconcerta. Il fallait s’y attendre. L’appareil analyseur, bien que comportant quelques pièces de fabrication allemande, avait pratiquement été construit par nous autres.
Les alliages utilisés, les polymères et le verre était aussi de OYAGAA mais non pas sa conception sophistiquée et certains aspects de la mécanisation des pièces. De plus l’appareil ne portait pas de marque de fabrique et pas non plus d’anagramme d’identification.
Cette découverte généra une nouvelle politique de la part des services des renseignements nord-américains, qui intensifièrent leur enquête au sujet de notre groupe. Peut-être que ces faits les aidèrent à comprendre certains aspects de notre attitude sur OYAGAA. [fin note 4]
Mais cette fois avec une grande joie de notre part mes frères découvrirent réjouis, que non seulement il était faux que la diffusion se serait répandue comme ils le croyaient « dans tout le Pays » avec le risque que la nouvelle filtre à tout OYAGAA, mais qu’aussi l’irradiation de ces nouvelles s’était rapidement amortie et que le secteur du Réseau Social qui avait lu ces données les assimilait presque avec indifférence.
Pour nous c’était une nouvelle sensationnelle. Mes frères de cette époque ne connaissaient pas encore bien les mécanismes d’intellectualisation logique qui régissent le réseau des esprits sur OYAGAA. Les appréciations populaires agissaient comme frein sur toute donnée qui pouvait être apportée par des croyants de l’Ufologie.
Cela nous offrait un passionnant champ d’expérimentation, sur les niveaux de suggestion et de crédibilité dans le flux de données apportées à un Réseau Social. Nous comprenions qu’il était possible de proclamer avec tous les moyens techniques de résonance à travers les canaux diffuseurs d’informations ; une vérité, et de manipuler le degré d’acceptation de la part de larges couches de la population. Nous voyions clairement que même dans le cas où nous serions capturés et déciderions de révéler notre identité, nous parviendrions à ne pas être crus. Grâce à vos frères d’Espagne, nous découvrions que beaucoup des précautions laborieuses et coûteuses que nous avions mises en marche pour que ne filtre aucune information sur notre séjour sur OYAGAA, étaient inutiles.
Devant le fait accompli qu’une fraction du public espagnol aurait été informée de notre existence, nous décidâmes de continuer l’expérience sociale et de tolérer sous contrôle, la diffusion.
Nous savons déjà qu’il existe un seuil pour le rayonnement de ces données, qui malgré tout peut se révéler dangereux, c’est la raison pour laquelle nous sommes cependant restés préoccupés que trop de textes concernant UMMO aient été publiés surtout en Espagne. Nous ressentons une grande affection pour vos frères Antonio Ribera, Juan Aguirre et Enrique Lopez Guerrero et nous savons qu’ils ont usé avec justesse de leur liberté de publier une partie importante de nos rapports, mais qu’ils comprennent aussi que nous nous verrons contraints d’adopter des mesures correctrices, en suspendant ou en diminuant l’envoi de données, comme nous l’avons fait lorsqu’a été publié le texte intitulé UMMO, une Autre planète habitée (Editions Espejo Madrid 1967).
De ce fait vous comprendrez qu’ils nous intéresse en ce moment que la diffusion de notre identité s’atténue fortement. Il est vrai que le fait que nos plans de contrôle de OYAGAA en cas de grave danger pour votre biosphère et exposés sous une forme aussi élémentaire que nous l’avons fait dans cet écrit filtrent dans les départements opérationnels des différents états, ne nous préoccupe pas outre mesure : Pour deux raisons :
1°- Ils ne nous croiront pas.
2°- Même s’il prévoyaient ce risque et s’informaient sur notre projet nous disposons de moyens suffisants pour juguler toute résistance.
Mais ce qui nous préoccupe, c’est que les micro-réseaux de connexions si laborieusement créés dans différents pays et composés de frères à vous pacifiques et innocents, intéressés par notre culture, pourraient souffrir d’une forme quelconque de préjudice. [3]
[note 3] Nous désirons que vous soyez conscients que vos frères de nationalité Espagne, forment le groupe le plus perméable de ceux formés dans différentes régions de OYAGAA. Nous vous avons déjà fait remarquer que l’attitude de citoyens ibériques, ne nous a pas fait du tort (Bien que dans un premier temps nous en soyons arrivés à le craindre) mais au contraire nous a permis d’initier des expériences sociales de comportement face à la diffusion de ce genre de nouvelles, très intéressantes pour nous.
Mais en revanche, les lésés c’est vous, et ceci nous préoccupe pour les conséquences ultérieures qui pourraient vous advenir.
En plus de rendre impossible avec vous, une communication directe, dans laquelle un de mes frères aurait pu établir un contact personnel comme cela s’est produit dans d’autres groupes et avec quelques rares de vos frères d’Espagne, vous vous êtes convertis en point de mire de certains services d’information, comme vous avez pu le constater en certaines occasions.
Nous ne pensons pas sérieusement que des agents de ces groupes des renseignements, vous fassent quelque dommage réel, mais nous devons vous avertir que si vous décidez de poursuivre le contact postal ou téléphonique avec nous, vous ferez l’objet de surveillances désagréables et de possibles préjudices futurs. [fin note 3]
Albacete JANVIER 1988
ummo-sciences: D1378 | JS88 | T22-10 à 34 et notes T22-35 à 42
(Espagne)
D1492
Référence : | D1492 |
Titre | Manoeuvres pour arrêter de la guerre froide
Contacts avec G.Bush et M.Gorbatchev Conférence à ASSEN |
Destinataire(s) et date(s) | FARRIOLS 5/Fév/1990 |
Commentaires |
UMMOAELEWEE
Nombre de copies : 106
Londres, Italien.
Bien chers frères et sœurs de la Terre (OYAGAA),
Nous venons d’une planète que nous prononçons UMMO. Nous avons atterri dans le sud de la France le 23/03/1950, à proximité de la ville de La Javie. Nous avons délibéremment menti dans les précédents documents ; nous n’avons jamais certifié les dates. Vous pouvez consulter le rapport « dénonciation du Sindon ».
Nous vous demandons encore de rester attaché à vos croyances, à vos convictions politiques et à votre pays. Nos lettres n’ont pas d’autre but que de vous renseigner sur notre astre solide et le réseau biologique qu’il comporte. En aucun cas nous ne cherchons à recruter d’éventuels adeptes. Vous ne devez pas croire aveuglement ce que nous vous disons de notre supposée identité, disposition psychiatrique (EDIOO EWLAA) qui vous évitera des troubles.
Nous voulons participer au développement de la paix sur votre planète. Pour ce faire, nous sommes entrés en relation avec les dirigeants de deux importants pays. Le premier entretien s’est déroulé le 24/02/1989. Après que nous nous soyons présentés, nous avons fait 32 propositions en 2 étapes dont la première, très brève, s’est conclue le 01/02/1990. Les deux nations ont effectué leurs promesses de libération des populations assujetties.
Peuple d’OYAGAA, comme nous vous l’avions assuré, nous vous avons délivré du risque de conflit nucléaire qui vous menaçait.
Une réunion, qui sera le début de la seconde étape, sera consacrée à la dissolution des armes tactiques à rayon d’action modéré et des engins balistiques à long rayon d’action. Ces pays ont promis de démanteler les missiles balistiques lancés à partir de sous-marins et les systèmes antimissiles balistiques et d’arrêter les programmes SDI [« guerre des étoiles »].
Un groupe restreint d’Allemagne fut averti qu’aurait lieu en mars 1989 la libérations des pays de l’est, un groupe restreint situé en Espagne fut prévenu quelques jours auparavant d’une alerte nucléaire et un groupe australien fut informé à l’avance de la réussite de la jonction Apollo 18/Soyouz 19 entre soviétiques et américains. Ce qui fit croire aux OEMMI concernés que nos rapports était rédigés par un groupuscule secret des États-Unis d’Amérique.
Une de nos UEUAA OEEMM (nefs) fut entrevue la première fois le 21/05/1966 près de l’île américaine d’Andros. Ce fut la faute à un incident qui blessa et laissa pour mort un OEMII de votre planète. Le 27/09/1989, nous nous sommes par contre ouvertement montrés dans la ville de Voronez, située en URSS, et avons affiché le symbole du Conseil Général de notre planète. Nous avons voulu donner le plus grand retentissement possible à l’évènement qui coïncidait avec l’émancipation de nombreux pays dits socialistes.
Nous n’avons en fin de compte plus de raison de craindre d’avoir trop profité de la générosité de votre planète et de ses structures culturelles, biologiques, ethnographiques, climatiques, tectoniques et géologiques.
Nous n’avons jamais demandé à ce que vous nous imitiez, ce que pourront confirmer nos bons amis situés en Allemagne, Espagne, Hollande, U.R.S.S., au Canada, aux U.S.A., au Zimbabwe et au Mexique.
Ces personnes intéressés par notre civilisation sont libres de croire ou non que nous sommes vraiment des expéditionnaires de la planète UMMO. Nous ne tolérons pas que l’on nous fasse connaître, sous peine de suspendre immédiatement nos envois. Il n’y a qu’un seul pays dans lequel nous acceptons que l’on affirme très faiblement notre réalité.
Des entreprises que nous avons assistées se sont développées dans certains pays (industries, commerces, financements des outils économiques primordiaux, protection des inversions [?] et nous n’avons rien demandé en échange. Certains OEMII sont sceptiques quant à cette générosité désintéressée mais elle s’explique par le fait que nous nous assurons de leur silence. Nous avons choisi des domaines de haute technologie : semi-conducteurs, circuits hydromécaniques miniatures, servomécanismes.
Nous exigeons uniquement que vous gardiez le secret et conserviez nos lettres. Vous êtes peut-être étonnés par le fait que nous tenons à garder un secret absolu. Nous ne voulons pas que votre réseau social soit déstabilisé, c’est pour cela que nous interdisons que l’on copie notre culture et notre structure politique. (Nous déplorons de ne pouvoir fournir des informations complètes aux personnes s’intéressant à nos principes.)
Nous avons été très affectés par le décès d’Andreï Sakharov car c’est lui qui a le plus œuvré pour la paix sur OYAGAA. Nous avons été irrités en entendant certaines conversations qui affirmaient que nous aurions été derrière lui. Cette affirmation nous avantagent mais elle est totalement fausse car nous n’avons jamais été en contact avec cette personne et elle ne nous connaissait pas du tout.
Nous contredisons également la rumeur (entendue au Canada, en Espagne et en Australie) qui prétend que nous aurions usé de menaces afin de contraindre les deux grands pays à cesser la guerre froide. Nous nous sommes simplement immiscés et leur avons prouvé que leur conduite risquait de mener votre planète à sa perte.
Hommes d’OYAGAA : nous vous convoquerons pour la cinquième fois le 14/04/1990 à Assen, en Allemagne, à une réunion à laquelle vous ne nous verrez pas. Nous paierons pour cette fois les coûts de transport et de gîte. Nous vous communiquerons dans le plus grand secret le projet pour maintenir la paix sur votre astre solide. Seront présents les émissaires de Mikhaïl Gorbatchev et de Georges Bush et sera lu un document de premier plan. Nous signalerons avec exactitude les personnes qui seront présentes.
[Signature de AOXIIBOO 3 fils de IRAA 6]
D1751
Référence : | D 1751 |
Titre | Guerre du Golfe et entrevue entre Ummite, Bush et Gorbatchev |
Destinataire(s) et date(s) | Mr Farriols et 18 autres, le 14 janvier 1991 à Madrid |
Commentaires | Cette lettre commence par une liste de 18 destinataires non cités ici |
UMMOAELEWE
Nombre de copies: 1
Langue Espagnol
Pays Espagne
C’est avec la main tendue vers votre poitrine que nous vous souhaitons une grande paix et une grande sérénité, d’autant que nous n’oublions pas vos frères décédés que nous respectons profondément. Ils connaissent parfaitement les termes de cette lettre à travers l’esprit collectif (BUAUUE BIAEII). Nous souhaitons que, quelque soit l’idée que nous nous faisons du Dieu universel (WOAA), nous arrivions à trouver la voie de la droiture et de l’équilibre.
Bien que nous existions en tant qu’êtres vivants et habitions sur un astre froid appelé planète (UMMO), située proche de vous à l’intérieur de notre galaxie commune, nous avons appris que certains d’entre vous, après mûre réflexion, ont décidé de réfuter notre existence. Ils ont alimenté des doutes parmi vous, et se sont mis à accepter d’autres hypothèses. Notre tristesse est directement proportionnelle à vos différentes versions fantaisistes, émises par les noyaux de cette société (AIOODZII AAYUU).
Ayant accepté une certaine diffusion de notre culture (OMIBAA) parmi vous, nous nous sentons particulièrement responsables d’avoir ainsi perturbé le cours normal de votre évolution. En effet, vous vous êtes laissés influencer par nos propres schémas concernant la politique, la religion et la cosmogonie, malgré nos demandes répétées de ne pas tenir compte des informations que nous vous avions fournies.
Si vous aviez accepté ces informations telles qu’elles étaient, elles auraient pu servir à vous fournir les preuves de notre existence, et de notre passage sur la planète Terre (OIIAGAA). Mais hélas, il n’en fut pas ainsi. Nous avions donc décidé de respecter vos croyances en gardant respectueusement le silence. Cependant, l’ensemble des membres de notre expédition ayant décidé de partir, nous aimerions vous saluer avec la plus grande diligence, et rompre ce silence.
Nous nous étions engagés dans une mission auprès des grandes puissances de la Terre, mission qui s’achève actuellement. C’est à la suite d’un entretien avec les présidents d’URSS et des USA, que ceux-ci comprirent le danger imminent que représentait la menace nucléaire vis-à-vis de la planète (OOIAA) si la tension continuait à augmenter jusqu’au point de rupture (UUGAA).
Vous avez peut-être été surpris du changement brutal, à tel point que personne ne pouvait imaginer que des structures aussi solides subiraient un tel renversement. Le plus important est que les deux superpuissances en vinrent à réduire de façon significative leur arsenal destructeur. C’est ainsi que les États-Unis se sont engagés à ne plus intervenir de façon agressive auprès d’autres nations sans l’aval du président et du secrétaire général des Nations Unies. C’est en utilisant un IVOOSO AIIDA (inversion des atomes), système permettant de faire apparaître notre emblème sur la surface de notre vaisseau, dont l’aspect lumineux est dû à l’ionisation (AAWOLEEAA OEWE OEM), que nous avons pu signaler notre présence sur le territoire soviétique (Voronej). Cet emblème se compose de 2 barres croisées entre 2 arcs situés de part et d’autre d’un axe de symétrie.
La presse mondiale (OOIAA) a été prévenue par nous. Nous avons ainsi scellé notre collaboration entre notre civilisation, les États-Unis et l’URSS, représentés respectivement par Georges H. Bush et Mikhail Gorbachev. Nous considérons notre mission comme terminée depuis notre dernière entrevue le 18 avril à 15h06 avec le président Bush, et il n’y en aura plus d’autre.
Ce que nous voulons vous dire, Hommes de la Terre (OIIAGAA), c’est que nous n’avons pu chasser de vos yeux, ces brouillards, qui par bancs se déplacent au gré du vent, et qui vous aveuglent, vous provoquent des larmes du fait que vous deviez subir cette grande injustice de devoir choisir entre la guerre et la domination du totalitarisme. La société humaine ne pourra se libérer de cet esclavage que lorsque votre cerveau (OEMMIE) aura suffisamment évolué.
Ce sont les mesures prises par le président irakien Saddam Hussein depuis l’invasion du Koweït, qui sont à l’origine, malheureusement d’un sentiment d‘angoisse généralisée de la part de la communauté internationale. Nous avons réalisé une étude de l’évolution de la crise, trop complexe pour paraître dans cette lettre. Voici cependant, un résumé pour nos amis espagnols.
Tout le monde connaît parfaitement le rôle majeur d’un petit pays très riche en pétrole. Et nos amis ont bien compris que ceci constituait la cause principale de la crise. Il n’y a eu jusqu’ici quasiment aucun autre conflit sérieux dans une autre région que celle-ci, à gérer par les grandes puissances. Elles se seraient peut-être méfiées davantage, si elles avaient pu scruter l’âme (EESEE OOA BUAUUAA) de ce dictateur.
En effet, son comportement a évolué radicalement (UUW EYEYIIOXAA LEII) depuis le moment où il a décidé d’annexer ce territoire pour de multiples raisons (dont la croyance que les États-Unis n’allaient pas intervenir pour secourir ce pays), à tel point qu’il y a eu un véritable changement de sa structure mentale. C’est en se justifiant de la conquête de cette nation par l’injustice flagrante infligée à l’ethnie arabe par la grande puissance de la partie nordique de la planète (OIIAGAA YUUGIIXI), ainsi que de l’invasion des territoires palestiniens par Israël, qu’il a voulu se tranquilliser (BUUAUUAA).
C’est par le fait que cet homme, ne possédant pas de réelle conviction religieuse, n’hésitant pourtant pas à afficher son fanatisme dans la croyance islamique, le déterminisme des faits, le fatalisme du déroulement des événements et des phénomènes (XAII NUIOO), que l’on voit la complexité de sa structure mentale. Il croit vaguement en un hypothétique triomphe de son armée sous la protection d’un Dieu dont il n’a pas vraiment foi, ce qui le livre fatalement au risque de perdre son empire. Substituant à une divinité, un ensemble de personnes qui enseignent une foi ardente à tel point qu’ils manifestent réellement leurs désirs, il croit en fait en une conscience idéalisée de l’ethnie musulmane.
Chez les intellectuels intelligents adeptes des religions chiite et sunnite, cette façon de penser est courante. Bien qu’ils conservent un certain fatalisme dans leurs actions, dérivant ainsi vers l’athéisme, ils n’hésitent pas à faire illusion à cause du fanatisme de certains de leurs frères. C’est par l’aide militaire que lui ont fourni l’Union soviétique, les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l’Italie, le Canada, la Belgique ainsi que d’autres pays comme l’Espagne, que Saddam Hussein est devenu le leader d’une puissante nation.
Jamais depuis 52 ans, s’est manifesté un seul homme porté par le fanatisme d’un si grand nombre de personnes défavorisées. Nous pensons en effet qu’il existe environ 1,320 milliard de partisans de Saddam Hussein sur Terre. Il faut reconnaître qu’il possède un réel pouvoir d’action sur les pauvres.
Que pensez-vous de ce conflit ? Mis à part l’opinion tout à fait respectable de chacun, qui peut affirmer avoir raison ? Quel est le sentiment partagé par les membres de cette expédition étrangère ? Il est vrai que nous vous donnons une information très importante qui vous permet de comprendre de façon indirecte la nature du contentieux international (cela fut fait en toute innocence de notre part, en intervenant pour la suppression des armes nucléaires). Nous devons préciser qu’à l’heure actuelle, nous n’avons eu aucun contact direct avec quelque personnalité impliquée que ce soit, et qu’aucun de mes frères n’a mis les pieds sur le territoire irakien.
Il n’est pas possible d’expliquer simplement une situation aussi complexe. Qui a raison ? TOUT LE MONDE ET PERSONNE. Il faut cependant nuancer. Oublions le comportement de cet homme dont la personnalité peut être qualifiée d’instable. Vous courez un risque beaucoup plus grave, en Occident, que celui que nous avons éloigné, si vous le laissez envahir sans bouger en invoquant un pacifisme certes louable (les études d’une arme fusion-fission-fusion sont très avancées, à tel point qu’elle pourrait être opérationnelle de 1,6 à 2,2 ans, ou 2,8 à 3 ans). De plus il y a risque de fuite vers l’Égypte (les choses auraient changé si l’actuel dirigeant s’était fait assassiner).
On peut imaginer que trois ans plus tard, les Occidentaux (USIAA OIIAGAA) auraient été confrontés à un front musulman uni, possédant l’arme nucléaire, dont la Libye, la Syrie et l’Algérie. Sans parler du fanatisme grandissant de leurs dirigeants, un extrémiste à leur tête. Si au contraire, les occidentaux finissaient par remporter la victoire après un conflit, ils pourraient les accuser d’injustice envers les nations du sud plus pauvres et plus isolées que jamais. Vous serez encore plus dépendants de l’impérialisme américain et le déséquilibre nord-sud (AYUIISAAA) sera encore plus accentué.
Il faudrait environ deux ans pour que l’embargo soit opérationnel, et cela ne sert à rien de le prolonger. Est-il réellement possible de mobiliser une armée aussi longtemps ? Il est faux de penser qu’il existe une bonne solution. Comment les événements vont-ils s’enchaîner ? Cette lettre est dictée de Madrid le 8 janvier 1991. Nous sommes quatre frères qui habitons dans le sud de la capitale espagnole depuis le 29 janvier 1990. Les deux représentants des deux nations en conflit, se réuniront demain dans la ville de Genève. Il nous est cependant impossible de connaître avec certitude la décision finale de S.H.. Vous estimez sans doute que nous vous cachons la vérité. Pourquoi les voyageurs d’UMMO OIIAA ne le sauraient-ils pas ? À quoi pourraient leur servir autant d’informations, en étant des extraterrestres OEMMIE d’un autre endroit de la galaxie ?
Nous n’en savons rien. En utilisant des informations confidentielles, et en effectuant des extrapolations statistiques, nous avons pu, en d’autres circonstances, faire des prédictions avec un certain degré de fiabilité. Cette fois-ci, ni nos ULEEWAA (appareils miniaturisés nous fournissant des informations), ni nos frères n’étaient présents.
Vous vous êtes souvent plaints que nous nous étions adressés principalement aux pays occidentaux (USIIA). La raison en est que les hommes OEMMIE, issus d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du sud ont l’habitude de prendre des décisions spontanément sans réfléchir, n’hésitant pas à changer brusquement d’avis bien qu’ayant pensé le contraire, à cause d’un développement culturel moins élaboré (BIEWIIGGAE AABUUGUU), ce qui ne signifie pas qu’ils soient moins intelligents. Leur conduite est extrêmement difficile à prévoir et toute prévision devient aléatoire.
Nous saurons demain 9 janvier, quelle aura été vraiment la décision politique. Malheureusement, ils veulent absolument en découdre avec les pays de l’ONU, et nous savons parfaitement que la vraie puissance est les USA. Nous avons calculé une probabilité de 98,2 % qu’un conflit dégénère en guerre. En fait, il existe une chance infime impossible à déterminer pour qu’il y ait un changement d’avis de dernière minute, car S. Hussein est pratiquement sûr de vaincre. L’âme collective islamique (BUUAUE BIAEEI) est ainsi faite qu’elle recèle en elle des contradictions sur lesquelles nous vous invitons à méditer.
C’est avec une très grande précision que nous pouvons, en outre, vous communiquer les décisions prises par le haut commandement nord-américain. L’envoi de notre correspondance a été retardé à cause de cette information. C’est pourquoi nous demandons avec insistance aux deux premiers frères dont les noms figurent en tête de liste et à qui nous adressons ce message, de supprimer d’abord la totalité des noms écrits en début de lettre, puis après s’être mis d’accord entre eux, ils remettent aux autres,de toute urgence, une copie de ce texte, et ce, bien que nous nous réservions les informations les plus compromettantes. DONNER VOS NOMS est dangereux, et nous insistons vraiment pour que ceci soit fait de façon ANONYME.
- Cachez la liste avec un papier blanc après avoir pris l’original.
- Vous pouvez éventuellement faire des photocopies (en excluant les destinataires que vous voulez). Ne laissez pas de traces sur le papier, si possible. En principe, ils ne courent aucun danger, et nous vous le répétons ; cependant cette précaution leur permettrait d’éviter des problèmes dans le cas où les autorités nord-américaines viendraient à en intercepter une (il est peu probable que les Irakiens puissent en avoir également une).
- Utilisez le téléphone pour vous mettre d’accord avec ceux à qui l’on remettra les copies. Évitez de mentionner leur adresse. Par contre, la correspondance devant être recommandée et urgente, vous pouvez envisager de faire figurer le nom et l’adresse de l’expéditeur.
- Quinze jours doivent suffire pour les leur faire parvenir (en supposant que ce soit ce qu’ils veulent). Ce délai correspond à la fin de la période risquée.
ESTIMATION DE LA PROBABILITÉ DES ÉVÉNEMENTS.
Actuellement, seuls possèdent une arme mortelle, les États-Unis, l’URSS, la Grande-Bretagne, la France et Israël, alors que la Chine et le Canada en connaissent le principe. Son nom va vous être révélé. C’est un concept et non un objet matériel. Il s’agit de l’ISC ou Informative Satellite Coefficient (informations par satellite de renseignement). Les deux premiers pays sont les seuls à pouvoir s’en servir de façon efficace.
Il existe quelques points essentiels de la note confidentielle WEE-32 écrite par l’état-major lors d’une réunion avec le président G. Bush, adressée le 23/12/1990 au général Norman Schwartzkopf, que nous pouvons vous fournir et dont la Grande-Bretagne en fut la seule informée.
C’est entre le 16 et le 24 janvier 1991 que le jour J devrait être arrêté (nous estimons qu’il y a 68 chances sur 100 pour que l’ouverture des hostilités se produise avant le 19).
Ils entretiennent un certain doute que des techniciens aient mis au point une tête de missiles à fusion, bien que nous soyons certains n’avoir détecté aucun essai nucléaire même clandestin. Tel-Aviv pourrait être alors directement visée. La première attaque pourrait venir des bases de missiles d’Ar Ramadi (probabilité de seulement 0,5% qu’ils détiennent cette arme). Toutefois, à l’intérieur des silos, les têtes sont dotées d’agents VX et GD. Ce dernier agent est l’ortho-1-2-2-triméthylpropylméthyl-phosphoflurohydrate (gaz nerveux de Soman) dont les conséquences pour les personnes qui l’inhaleraient seraient catastrophiques. Il suffirait d’un centigramme de ce produit, environ, pour qu’il soit mortel.
La capitale de Tel-Aviv et la ville d’Haïfa pourraient être atteintes les premières (77% de probabilité). C’est la raison pour laquelle il est urgent de procéder à la destruction des sites d’Ar Ramadi, As Samawa, Kerbela et Ad Diwanilla (ces sites sont dotés de plateformes mobiles qui pourront être repérées précisément par l’ISC, puis grâce au système XM-3 d’image thermique associé à l’équipement secret ORR-1 de guidage laser, pourraient être détruites à l’aide de missiles).
Le lancement de missiles sera la première opération offensive. Les centres de recherche nucléaire situés au nord du pays, et plus particulièrement celui de Mossoul à grande profondeur, ainsi que les bases mobiles de lancement de missiles déjà évoquées et les bases aériennes, en particulier celles situées aux environs d’Ar Rutba et de Bassora, sont des objectifs prioritaires à détruire. Les Irakiens, pour sauver leurs appareils seront dans l’obligation de les avoir fait décoller.
Ceux qui seront restés au sol, seront détruits durant les soixante premières heures (P=80%). Et pendant les quatre premières heures, il y a une probabilité de 54% pour que les missiles sol-sol ne soient pas tirés.
Un ultimatum devrait être adressé seulement après les destructions partielles. Dans le cas où il n’y aurait aucune réponse, des chasseurs « stealth » indétectables accompagnés d’appareils dotés d’équipements de contre-mesures électroniques, entreprendront une seconde vague d’attaque de nuit. Ils seront accompagnés d’un tir de barrage fait de missiles, afin d’assurer la protection des frontières avec la Syrie et l’Arabie saoudite, et d’éviter les concentrations de chars de combat.
Nous estimons que cette attaque devrait durer entre 6 et 13 jours (P=93%).
On pourra observer pratiquement l’efficacité de l’ISC. Les quatre satellites espions ont une résolution d’image de 4cm exploitable en vision de nuit grâce à une amplification électronique de lumière issue de caméra à multiplicateur photonique (procédé plus efficace que l’infrarouge), alors que l’Irak ne possède aucun satellite d’observation, et ne peut que lancer à l’aveuglette ses quelques rares missiles par des unités mobiles très rapides à l’aide d’un système aléatoire ASS opérant dans le désert. Les satellites, dotés de capteurs de champ magnétique, ne pourront être trompés par les multiples leurres pris par photographie, et ce, en dépit des distances considérables entre objectif et capteur.
Les chancelleries de l’ONU ont soigneusement caché le risque bien réel d’une panique généralisée. Se sont répartis aux États-Unis, en Angleterre, Israël, Italie, Canada, Australie, et dans une moindre mesure, dans d’autres pays, quelques 62 commandos suicides.
Grâce à des virus élevés exprès en laboratoire par des techniques de manipulation génétique, ils ont la mission de contaminer les réseaux hydrauliques de distribution d’eau potable.
IL NOUS PARAÎT DONC URGENT QUE VOUS FASSIEZ DES RÉSERVES D’EAU POTABLE AVANT LE 19 JANVIER, bien que nous estimions une chance de réussite de seulement 27% (le risque est bien plus faible en Espagne).
Nous vous conseillons, provisoirement, de ne pas consommer des aliments et des liquides de provenance inconnue. Si vous vous approvisionnez avec de l’eau collectée à l’extérieur, la cuisine à l’eau bouillie sera inefficace.
De toutes façons, ne vous en faites pas. Pour vous, Espagnols la probabilité est vraiment faible (1,5%).
Pour sauver sa vie, le président irakien a choisi deux options. Tout d’abord, il a prévu de se réfugier en Iran dès le 13 janvier d’où il suivra les opérations (il pourra obtenir un endroit sûr dans ce pays autrefois ennemi, grâce à un protocole d’accord secret signé le 19 novembre), ou à défaut en Libye. Il a comme seconde d’option d’utiliser un avion climatisé de grande autonomie (un avion citerne le suivra en vol en permanence).
Cependant, il existe un ordre d’interception de tout aéronef voulant quitter l’Irak, ce qui fait que cette dernière option le contraindrait nécessairement à se réfugier en Iran.
Enfin, il est à regretter les conséquences de la déroute irakienne (nous pensons, avec une probabilité de 85%, qu’un cessez-le-feu interviendra avant 13 jours). En effet, la frustration générale des populations peut avoir des conséquences incalculables.
D2583
Référence : | D2583 |
Titre | Organiser une réunion à domicile |
Destinataire(s) et date(s) | Mr Farriols le 2 avril 1993 (expédiée de Cuba) |
Commentaires | Dite « de Cuba » |
UMMOAEELEUUEE
Nombre de copies: 3
Langue espagnole
Cher monsieur Calvo Rafaël Farriols,
Vous avez pu constater la longue période d’absence de communication avec vous et avec la plupart de vos frères OEMMI et OYAAGAA, et nous vous supplions de nous le pardonner.
Pour notre sécurité à tous, nous sommes dans l’obligation de vous cacher les raisons aussi profondes et puissantes soient-elles, pour lesquelles nous avons attendu si longtemps. Nous vous demandons, Mr Farriols, de bien vouloir annoncer à Mr Pons Rafols, qu’il a passé avec succès le très long test d’ostracisme auquel il a été soumis par mes frères qui m’ont précédés à OYAGAA, et par le groupe des 16 expéditionnaires qui résident actuellement sur votre belle planète et venant de UMMO.
Nous acceptons donc que votre frère J.M. Pons puisse recevoir des informations relatives à notre planète, informations que vous jugerez utiles. C’est sur la noble poitrine de votre ami, que nous apposons notre main. Nous avons une faveur à vous demander : il vous faut absolument et par n’importe quel moyen renouer des relations autrefois glaciales, avec votre frère Jorge Barrenechea Aberasturi. En effet, ne croyant plus vraiment en notre existence d’origine extraterrestre, ce qui nous satisfait seulement en partie à cause de notre ligne de conduite préétablie de nous discréditer nous-mêmes, cette personne généreuse se trouve dans un état émotionnel délicat.
JBA si dévoué et si travailleur, a décidé de cesser de croire en notre existence, ce qui démontre l’efficacité de notre plan. Mais à aucun moment, nous pensions qu’il ferait partie des premiers à nous abandonner. Cependant, il subsiste encore une lueur d’espoir non négligeable qu’il ait foi en nous, et nous le savons. Que JBA revienne pour continuer nos relations amicales, constitue une action de votre part absolument impérative, et nous vous en prions instamment.
Nous avons une autre demande à formuler : prévenir votre frère Jean-Pierre Petit de bien vouloir diminuer son anxiété de façon significative. Nous lui conseillons de réduire son niveau de EMMOOIAAGAAO (exigence psychologique envers lui-même), bien que nous lui ayons proposé un travail phénoménal.
Nous souhaiterions qu’une réunion soit organisée entre vos frères suivants :
Hiltrud Nordlin
Rafaël Farriols
JM Pilon SJ
Jean-Pierre Petit
JJ Pastor
Luis Jimenez Maruhenda
Jose Luis Jordan Peňa
Jorge Barrenechea
JM Pons Rafols
Antonio Ribera (manuscrit : « lorsque votre frère sera rétabli »)
(Manuscrit) : « Important : nous aimerions qu’au moins 8 invités soient présents. Leur participation nous paraît comme prioritaire. Vous pourriez ajouter à cette liste d’autres de vos frères comme Alfredo Lara, Alberto Borras, Julian Barrenechea, Joaquin Martinez, Enrique Villagrasa, Francisco Mejorda, M.A. Mas, Fernando Drago Sanchez, Enrique De Vincente, J.J. Benitez, Javier Sierra, ainsi que leurs YIIEE. Nous souhaiterions également que vous adressiez en notre nom, notre profonde amitié à votre ami Dionisio Garrido auquel nous tenons particulièrement.
Nous aimerions poursuivre l’expérience que nous étions en train de mener avec votre accord, expérience interrompue suite à une série de contretemps provoqués en partie par mes frères afin de discréditer le dossier UMMO.
Nous sommes actuellement dans un pays très éloigné du vôtre si merveilleux, cependant vous pourriez organiser cette réunion dans un lieu que vous choisiriez vous-même, entre le 28/02 et le 25/04, ce qui nous permettrait d’y assister, mais évidemment cachés.
Nous savons que de votre frère Jordan Peňa , vous essayez d’obtenir des informations. Aussi, très cher ami, nous vous supplions qu’auprès de JPP, vous insistiez directement pour qu’il vous communique tout ce qu’il connaît de nous.
Notre présence permanente en Espagne en dépend complètement.
Durant le symposium que nous lui supplions d’organiser, nous pensons qu’il serait judicieux que JPP, cet OEMMI bon et anxieux, prenne la parole. (Nous vous confirmons : communiquez-nous le lieu de la réunion que vous avez choisi librement avant le 28 février, en utilisant le même procédé qu’en d’autres occasions, au dernier étage de votre domicile habituel de la banlieue de Barcelone, ce qui avait très bien marché avec mes frères). Nous vous apportons l’information suivante en guise de rémunération symbolique et de ces dévouements désintéressés et en échange de tout cela. L’extrême cupidité du système d’économie de marché libéral, système injuste mis en place par vos frères terrestres pour favoriser leurs intérêts économiques et sociaux, est la cause d’une crise économique sur OYAGAA, et cela ne peut que s’aggraver principalement durant l’année de OYAGGAA 1993. Avant juin 1996, nous vous conseillons de ne souscrire à aucune opération capital-risque.
Noble ami, permettez-nous de poser notre main sur votre cœur.
D2655
D2655.DOC Page 1 sur 3 sauvé le : 01/05/2006 21:49
Référence : D2655
Titre Au sujet de la documentation ummite
Destinataire(s) et date(s) Mr Juan Aguirre Ceberio le 12/03/1987
Commentaires Signature de ohooa 5
Numérotation des pages écrite en manuscrit et en ummite
Envoi inhabituel en recommandé
UMMOAELEUEE
Langue : espagnol
Nombre de copies : 1
Pays : Espagne
Destinataire : Mr Juan Aguirre Ceberio avec recommandation de ne pas faire de copies, ni de faire lire à
ses frères, à l’exception du paragraphe concernant le décès de Franco Muela Pedrada.
Cher Monsieur Juan Aguirre Ceberio,
Je me présente comme étant un frère de ceux qui vous ont écrit des lettres au sujet de UMMO, et je
m’appelle uhooa 5, fils de uhooa 2, en provenance de OIYIA UMMO.
Vous n’êtes pas sans savoir que circulent des lettres apocryphes concernant notre identité, ainsi que de
nombreuses lettres falsifiées par de simples farceurs, ou par des enquêteurs voulant percer le secret de
notre identité de façon plus judicieuse, et pourtant cette lettre est destinée à vous faire part de nos
mésaventures causées par autre chose.
En effet, ce sont des conversations téléphoniques que nous avons captées, entre vos frères Calvo Rafaël
Farriols et Jorge Barrenechea montrant d’intenses frictions et tensions internes entre eux, ce qui nous a
attristé.
En tant que médecin, monsieur Aguirre Ceberio, nous vous serions gré de bien vouloir intercéder afin de
calmer cette animosité entre eux. Ce n’est qu’en cette occasion que nous vous le demandons
expressément. Exiger des faveurs ou des rétributions, n’a jamais été fait jusqu’ici, dans le but d’abuser de
votre gentillesse. Cependant, notre tristesse et notre désarroi relatif à cette situation pour laquelle nous
nous sentons fautifs, sont tels que nous vous supplions d’intervenir afin de faire baisser cette tension
interne parmi les OEMII composant le groupe de ceux qui étudient le dossier de notre OIYIA UMMO.
La transmission de notre sentiment, à votre soeur Maria Teresa Quesada, au sujet du décès de son époux
Franco MUELA PEDRADA, qui était foncièrement bon et très intelligent, est une autre faveur que nous
vous demandons. Cette YIIE souffre énormément et nous en sommes conscients. Elle a dû penser que son
mari devait souffrir d’une forme de maladie mentale, et n’était pas conscient de son comportement qu’il
pensait sincèrement honnête. Dans ce cadre dimensionnel, sa grande intelligence l’a conduit à agir
souvent par excès, ce qui a fait souffrir tout son entourage. Lorsque sa mort est arrivée, nous n’étions pas
sur OIYIA TERRE (GAA), puis à cause de forces majeures, nous n’avons pu vous contacter. Ce silence
ne doit être interprété par vous comme une désertion.
Nous aimerions vous solliciter pour une autre chose : en effet, tous les textes qui ont été adressés sous
forme de lettres à vos frères lorsque nous arrivâmes en Espagne (dont un professeur de faculté, un
fonctionnaire, un ufologue, un commissaire de police…), ont été enregistrés vocalement de façon à les
dicter à l’un de vos frères dactylographe.
Des copies au papier carbone ont été réalisées par cette même personne, et beaucoup de ces lettres ont été
photographiées par nous-mêmes par la suite. Même si les enregistrements de presque tous les messages
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aussi bien acoustiques que des écrits sont en notre possession, nous avons constaté malheureusement que
certaines reproductions graphiques nous manquaient. Ce fut pendant des journées consacrées à des
réunions sur notre avenir quant à notre présence sur Terre. Votre frère dactylographe devint nerveux à la
vue de nos UULUUEWAA (sorte de minis sphères capables d’enregistrer des informations grâce à des
capteurs, et virevoltant comme des insectes ; elles ont alors l’apparence de moustiques volant de façon
régulière et précise). Nous pûmes obtenir au moins le contenu vocal, alors qu’il n’osa plus photographier
certaines feuilles dactylographiées.
L’énorme quantité d’informations sous forme écrite et orale non enregistrée est extrêmement difficile à
récupérer, et nous en sommes conscients (nous vous avons fourni quelque 170 385 pages de texte dont
40% sont des originaux et le reste des copies). De plus vous devez savoir qu’au tout début, nous n’avions
qu’une ou deux pages que nous remettions aux dactylographes issus de certains pays qui cessèrent toute
communication avec nous, ou dont des tierces personnes se mirent vraisemblablement à détruire ces
documents.
Cette époque est maintenant révolue, et nous avons décidé de relater ces événements historiques dans nos
salles de OFUOOBAA (musées).
Nous aimerions vous demander autre chose. En ce qui concerne les documents que nous avons envoyés,
serait-il possible que vous nous en fassiez parvenir des photocopies ? L’explication de cette demande,
vient du fait que nous avons intercepté des communications téléphoniques qui nous ont permis de penser
qu’il était possible de les obtenir par vos soins. Si vous nous faites parvenir des documents dont nous
possédons déjà des copies par carbone, cela n’a aucune importance. Ceci ne doit en aucun cas vous coûter
quoique ce soit, aussi, nous vous demanderons de nous faire parvenir le prix des reproductions.
Elles seront récupérées par un frère ou l’un de vos frères de nationalité X, chez vous. Sachez qu’il ne
s’agira que d’un simple intermédiaire, ne nous connaissant absolument pas, et dont l’unique tâche sera de
nous les renvoyer à un hôtel. Aussi, il sera inutile de le perturber par d’éventuelles questions, ce qui
pourrait le troubler quelque peu.
Vous pouvez vous-mêmes fixer des conditions, car notre mode de pensée ne nous permet pas de savoir si
cette demande est susceptible de provoquer chez vous, quelque sentiment d’humiliation. Nous essaierons
alors de vous satisfaire.
Dans le cas où vous connaîtriez le montant de la somme au moment où l’une de vos soeurs vous appellera
au téléphone, vous pouvez la lui communiquer, et lui indiquer quand vous aimeriez être remboursé, car
elle s’en occupera.
La date de retrait des photocopies sera ensuite déterminée.
Nous pensons qu’il existerait de sérieuses raisons pour lesquelles vous refuseriez cette proposition, aussi,
sachez que nous ne serions en aucun cas vexés si cette requête ne pouvait être satisfaite.
Nous vous envoyons une autre lettre dans laquelle figure une liste de personnes à qui nous aimerions
demander pour chacune d’entre elles, une dédicace manuscrite sur nous. Nous possédons une image de
chacun de ces OEMII, qui y sera jointe, et le tout envoyé à notre OYIAA UMMO pour archivage dans
nos musées (nous n’avons pas besoin en plus de photographies car les images de vos corps habillés et nus
ont été captées en stéréographie).
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Nous savons parfaitement que des espions tenteront de localiser le messager pour l’intercepter et utiliser
des méthodes faciles à deviner pour le faire parler (par pure perte), aussi, nous vous demandons de ne pas
dévoiler à vos amis, la façon dont nous allons probablement obtenir tous ces documents.
Monsieur Juan Aguirre Ceberio, nous aimerions vous donner un dernier conseil. Vous pouvez lire cette
lettre à vos amis Jorge Barrenechea et Rafaël Calvo Farriols et notamment le paragraphe les concernant
ou bien le photocopier seul pour eux ou pour leurs enfants, mais nous vous prions de ne pas faire de copie
de cette lettre.
Que les autres lettres soient diffusées est inévitable. Nous continuerons à vous remettre des messages en
fonction du fait que cette diffusion reste ou non limitée à ceux dont les noms figurent dessus. Si celle-ci
continue à se répandre, les contacts seront moins fréquents.
Que la Paix soit avec vous et avec vos proches, et recevez Monsieur, notre modeste et désintéressée
salutation.
Pour différencier les lettres authentiques des apocryphes, il faut deux critères. Mes frères dictèrent les
lettres à Fernando Manzano Sesma en utilisant une machine à écrire de type Hispano Olivetti modèle
studio 46, avec une provision de papier jaune spécial difficile à trouver par d’éventuels malfaiteurs.
JPP
Extrait de « Le mystère des Ummites » p.103
« (Cette lettre) arrivait du Canada. Elle était abondamment illustrée de schémas composés avec un logiciel de dessin. Il y était question de transfert hyperspatial à travers une fenêtre « qui en aucun cas ne pouvait être un trou noir car dans ce modèle cosmologique les trous noirs n’existent pas ». La phrase était soulignée.
Un des passages de la lettre attira mon attention:
« Il existe un lien étroit, que les scientifiques de Oyagaa n’ont pas encore perçu, entre la logique tétravalente et la structure du cosmos. Ainsi nous pouvons dire que la masse du cosmos gémellaire est nulle et non nulle. En utilisant cette description primitive que vous nommez équation de champ – une description plus correcte ferait appel à des concepts angulaires et non métriques – ,le second membre de cette équation devrait comporter la différence de deux termes. Alors les solutions que vous engendrerez seraient plus conformes aux observations en particulier en ce qui concerne la structure à grande échelle du cosmos et la morphologie de certaines galaxies de même qu’un certain nombre de phénomènes que vous avez pu observer et qui déconcertent encore vos spécialistes »
JPP91
Référence : | JPP91_1 |
Titre | Appel aux scientifiques |
Destinataire(s) et date(s) | JP PETIT le 30/9/91 |
Commentaires |
NOUS NOUS FELICITONS, CE JOUR, DE LA POLITIQUE DE DESARMEMEMENT ENGAGEE PAR LES DEUX SUPER-PUISSANCES QUE SONT LES ETATS-UNIS ET L’UNION SOVIETIQUE.
DESARMEMENT DANS LE DOMAINE DES ARMES NUCLEAIRES.
NEANMOINS, HELAS, CE DESARMEMENT N’EST QU’UN LEURRE DE LA PART D’UNE DES SUPER-PUISSANCES CITEES CI-DESSUS A SAVOIR LES ÉTATS-UNIS, QUI ENTENDENT DOMINER LE MONDE.
EN EFFET, SI CE DESARMEMENT EST PROPOSE C’EST PARCE QUE CES FORCES SONT DEPASSEES, C’EST A DIRE QUE LES RECHERCHES TECHNOLOGIQUES ONT PERMIS DE DECOUVRIR DES FORCES PLUS PUISSANTES ENCORE.
LA COURSE CONTINUE, MAIS CETTE FOIS DE FAÇON OCCULTE.
C’EST POURQUOI NOUS LANÇONS UN APPEL AUX SCIENTIFIQUES POUR QUE LEUR SCIENCE SERVE ENFIN L’HOMME ET NON PLUS DES BUTS MILITAIRES ONT DES FINS BASSEMENT POLITIQUES ECONOMIQUES ET FINANCIERS.
LORS DE NOS PREMIERS CONTACTS AVEC LES HUMAINS NOUS AVONS EU DU MAL A LES COMPRENDRE.
DIFFICILEMENT, MAIS PROGRESSIVEMENT, NOUS APPRENONS A MIEUX LES CONNAITRE…
LES RECHERCHES MILITAIRES SECRETES CONDUISENT CHAQUE JOUR LES HUMAINS ET, PLUS PRECISEMENT, LES POUVOIRS, SUR LES CHEMINS DE LA FOLIE DESTRUCTRICE ET AUTO-DESTRUCTRICE.
COMME CERTAINS SCIENTIFIQUES DONT LES TRAVAUX CONCERNAIENT L’ENERGIE NUCLEAIRE EURENT LE COURAGE, EN VAIN, DE S’OPPOSER A L’UTILISATION DE CETTE ENERGIE EN TANT QU’ARME, NOUS DEMANDONS DE FAÇON URGENTE QUE LES HOMMES DE SCIENCE DOUES DE RAISON , DE TOUTES NATIONS, SE REUNISSENT ET FORMENT UN COMITE INTERNATIONAL POUR QUE LEURS DECOUVERTES ENFIN, SERVENT L’HUMANITE ET NON TENDENT A LA DETRUIRE.
NOUS ESPERONS EGALEMENT QUE LES HUMAINS COMPRENDRONT L’IMPORTANCE URGENTE D’UTILISER , COMME SOURCES D’ENERGIE , DES ENERGIES NATURELLES , TELLES QUE L’ENERGIE SOLAIRE , CELLE DES VENTS , DES MAREES NON DANGEREUSES CAR NON POLLUANTES.
NOUS DEMANDONS A DES SAVANTS TELS QUE VOUS DE CONTINUER D’INFORMER A GRANDE ECHELLE LES HUMAINS SUR LES RECHERCHES MILITAIRES SECRETES POUR LES SENSIBILISER AU DANGER QUE DEPRESENTE DE LAISSER DE TELLES FORCES DESTRUCTRICES ENTRE LES MAINS DE MINORITES QUE CONSTITUENT LES POUVOIRS POLITIQUES ET MILITAIRES.
AUSSI EST-IL DEMANDE AUX HOMMES DE SCIENCES DE RESTER MAITRES DE LEURS DECOUVERTES , C’EST A DIRE DE NE PAS EN FAIRE AVEUGLEMENT ETAT AUX PUISSANCES MILITAIRES.
CAR POUR CES PUISSANCES , VOUS N’ETES QUE DES PIONS.
COMME NOUS VOUS AVIONS FOURNI DES RENSEIGNEMENTS SUR LA GUERRE DU GOLFE, NOUS TENONS AUJOURD’HUI A VOUS INFORMER QUE VOTRE MONDE VA AU DEVANT D’UNE NOUVELLE GRANDE CRISE QUI SE DECLENCHERA FIN 1992, DEBUT 1993.
SI L’ANNEE 1992 SERA RELATIVEMENT PLUS CLEMENTE , L’ANNEE 1993 SERA PAR CONTRE SUJET DE GRANDES TENSIONS INTERNATIONALES.
LE MONDE NE SORTIRA DE CETTE CRISE SOUS DOMINANTE REVOLUTIONNAIRE QU’A LA FIN DE CE SIECLE.
LES HOMMES DONNENT BEAUCOUP TROP, A NOTRE AVIS, D’IMPORTANCE A L’ARGENT.
C’EST CE QUI LES CONDUIT A LEUT PERTE ET A DE GRAVES INJUSTICES.
L’ARGENT EST SUJET DE CONVOITISES QUI LES POUSSENT AU PIRE, AUX CORRUPTIONS DE TOUTE SORTE.
NOUS N’AVONS PAS CE GENRE DE PROBLEME SUR LA PLANETE UMMO.
NOUS AVONS EU DU MAL A COMPRENDRE QUE LES HUMAINS DEPENSENT TANT D’ARGENT ET DE FORCES, CECI POUR PROTEGER LES RICHESSES D’UNE MINORITE, ALORS QUE TANT D’HOMMES AU MEME INSTANT MEURENT DE FAIM.
CEUX QUI VOUS GOUVERNENT DOIVENT ETRE COMME DES MALADES. NOUS CONSIDERONS LEUR CAS COMME CELUI DE LA FOLIE.
LA GUERRE DU GOLFE EN FUT UN EXEMPLE ET C’EST POURQUOI ELLE A RETENU TOUTE NOTRE ATTENTION.
EN EFFET, AU MEME INSTANT, NOUS AVONS CONSTATE QUE DES MILLIERS D’HUMAINS MOURAIENT DE FAIM AU SOUDAN ET EN ETHIOPIE DANS UNE QUASI – INDIFFERENCE, TOUTE L’INFORMATION ETANT CENTRALISEE, DE CE FAUT, SUR LE CONFLIT DU KOWEIT.
NOUS AURIONS AIME INTERVENIR, MAIS UNE TELLE INTERVENTION POURRAIT PROVOQUER UN CHOC PARMI LES TERRIENS. NOUS PENSONS QU’ILS DOIVENT FAIRE UN EFFORT SUR EUX-MEMES POUR EVOLUER , C’EST A DIRE CHANGER LEUR MENTALITE
LES HUMAINS CONSIDERENT QUE LE MOT PROGRES A OBLIGATOIREMENT UN SENS POSITIF.
PROGRES, A CE QU’IL NOUS SEMBLE , SIGNIFIE CERTES PROGRESSER , MAIS NE DEFINIT PAS, PAR LUI MEME, DANS QUEL SENS VA CETTE PROGRESSION.
CETTE PROGRESSION PEUT ETRE NEGATIVE , C’EST A DIRE EN MAL ET, DE CE FAIT, ELLE PREND LE SENS D’UNE REGRESSION.
NOUS AVOUONS QUE , APPRENANT A MIEUX COMPRENDRE LES HUMAINS , NOUS EVOLUONS PAR -LA MEME SUR LE PLAN DE LA PENSEE.
NOUS APPRENONS DE NOUVEAUX CONCEPTS EN ETUDIANT LES TERRIENS
COMME NOUS VOUS LE DISIONS, VOUS SOUFFREZ DE VOTRE TECHNOLOGIE. VOUS NE SAVEZ PAS LA CANALISER DANS DES BUTS POSITIFS.
VOTRE SOCIETE DE CONSOMMATION POUR LA CONSOMMATION EST AVEUGLE ET DESTRUCTRICE.
VOTRE TECHNOLOGIE EST UNIQUEMENT ORIENTEE A DES FINS DE PROFITS FINANCIERS.
DES BUTS PLUS ELEVES , PLUS NOBLES , VOUS FONT DEFAUT.
VOUS SOUFFREZ D’UN MANQUE DE SPIRITUEL AU FOND DE VOUS
NOUS SOMMES ETONNES DE VOIR AUSSI LES HUMAINS DEPENSER DES MILLIONS POUR DES RAISONS FUTILES. NOUS PRENDRONS POUR EXEMPLE LA FETE DU BICENTENAIRE DE LA REVOLUTION EN FRANCE , GASPILLAGE DE SOMMES TRES IMPORTANTES DANS DES FEUX D’ARTIFICES ALORS QU ‘AU MEME MOMENT IL Y A TANT DE MISERES ET DE SANS-LOGIS.
CES ETATS D’INJUSTICE NE PEUVENT QUE CONDUIRE TOT OU TARD A DES MOUVEMENTS DE REVOLTE LEGITIMES ET LES HUMAINS , DANS DE TELS ETATS, SONT PRETS A FAIRE CONFIANCE A N’IMPORTE QUI.
CE QUI FUT LE CAS EN ALLEMAGNE AVEC LE NAZISME.
NOUS AVONS SUIVI D’AILLEURS DE TRES PRES CE CONFLIT, N’HESITANT PAS PARFOIS A EFFECTUER DES VOLS AU COTE D’AVIONS DE COMBAT.
LES HUMAINS NE SAVENT PAS PROFITER DE FACON POSITIVE DE LEUR TECHNOLOGIE.
EN EFFET , CELLE-CI EST DETOURNEE AUSSITOT A DES FINS MILITAIRES.
OR, SI VOUS VOULIEZ, VOUS POURRIEZ CONSTRUIRE DE GRANDS VAISSEAUX QUI AURAIENT POUR BUT D’EFFECTUER DES VOYAGES DE COURTE OU LONGUE DISTANCE DANS L’ESPACE POUR PERMETTRE AUX TERRIENS, A UN PRIX ACCESSIBLE PAR TOUS, DE S’EMERVEILLER EN DECOUVRANT LES DIVERS PLANETES DE VOTRE SYSTEME SOLAIRE.
IL EST GRAND TEMPS QUE L’ETAT D’ESPRIT DES SCIENTIFIQUES EVOLUE POSITIVEMENT ET QUE ENFIN, ILS OEUVRENT AFIN DE CONCRETISER DE TELS VOYAGES .
VOUS VIVEZ TROP REPLIES SUR VOUS-MEMES, C’EST A DIRE SUR DES BUTS BASSEMENT MATERIELS.
LE PRINCIPE DE LA M.H.D. VOUS PERMETTRA LA REALISATION DE CES VAISSEAUX A BUT D’EXPLORATION ET DE VOYAGES ORGANISES.
ENCORE FAUT-IL QUE VOS MENTALITES EVOLUE DANS CE SENS.
APPLIQUER LA MHD A DES FINS MILITAIRES NE VOUS CONDUIRA A RIEN DE POSITIF, BIEN AU CONTRAIRE.
A QUOI BON EFFECTUER DES DESARMEMENTS DES FORCES NUCLEAIRES SI, DANS L’OMBRE, C’EST POUR CONTINUER DES RECHERCHES PLUS POUSSEES COMME DANS LE DOMAINE DES LASERS, PAR EXEMPLE …
LE LASER N’EST PAS NEGATIF EN SOIT, LORSQU’IL EST UTILISE A DES FINS POSITIVES COMME DANS LE DOMAINE MEDICAL.
DE MEME, DANS LES VOYAGES SPATIAUX A GRANDE VITESSE, LES VAISSEAUX DOIVENT ETRE EQUIPES DE FAISCEAUX LASERS POUR VOLATILISER TOUT CORPS COMME LES METEORITES SE TROUVANT DANS LA TRAJECTOIRE.
LE LASER EST EGALEMENT UN PROCEDE DE COMMUNICATION ENTRE VAISSEAUX CAR POUVANT SERVIR A TRANSFERER DES INFORMATIONS.
C’EST POURQUOI LES SCIENTIFIQUES ANIMES PAR DES BUTS SAINS SE DOIVENT DE REVELER AU GRAND JOUR CE QUI EST TENU SECRET , DE METTRE A LA LUMIERE CE QUI EST TENU DANS L’OBSCURITE.
LA MAJORITE DES HUMAINS, DE TOUTES NATIONS ET DE TOUTES RACES PREFERERAIT GRANDEMENT QUE LA SCIENCE SOIT DEFINITIVEMENT ORIENTEE VERS DES BUTS CONSTRUCTIFS ET NON DESTRUCTEURS.
NOUS PENSONS SINCEREMENT QUE SI LE COMITE SCIENTIFIQUE INTERNATIONAL DONT NOUS AVONS PARLE ETAIT CONSTITUE, IL AURAIT L’APPUI DE CENTAINES DE MILLIONS DE TERRIENS.
SI LES HOMMES DE SCIENCE SONT DES PIONS ENTRE LES MAINS DES PUISSANCES POLITIQUES , MILITAIRES ET FINANCIERES , LES PEUPLES LE SONT ENCORE DAVANTAGE.
LA SCIENCE A ACQUIS UN GRAND POUVOIR DURANT CE SIECLE.
ELLE NE PEUT CONTINUER A ACCEPTER D’ETRE LE JOUET DES POUVOIRS POLITIQUES , ETC…
NOUS NE CESSERONS DE VOUS LE REPETER A PRESENT: VOUS DEVEZ SERVIR DES BUTS NOBLES ET EXCLUSIVEMENT CELA.
LES ANNEES DE GRANDS BOULEVERSEMENTS A VENIR VOUS FORCERONT A ALLER DANS CETTE DIRECTION, SINON L’HUMANITE IRA VERS DE GRAVE DANGERS DE CONFLITS AVEC REVEIL DE SENTIMENTS TELS QUE LE RACISME., ETC…
LA SCIENCE SE DOIT DE SE RAPPROCHER SUR VOTRE PLANETE TERRE DES DIVERS REPRESENTANTS SPIRITUELS QUI SONT , NE LE CACHONS PAS , BIEN SOUVENT EGALEMENT LES PIONS DES POUVOIRS POLITIQUES ET FINANCIERS TOUT COMME VOUS , SUBISSANT DE CE FAIT DES PRESSIONS.
NOUS NE TENONS PAS POUR NOTRE PART A FAIRE PRESSION SUR LES HUMAINS , MAIS NOUS ESSAYONS DE LES DIRIGER VERS UNE VOIE QUI SOIT AUTRE QUE CELLE QU’ILS ONT TENDANCE A SUIVRE ET QUI NE CESSE D’ENGENDRER PERIODIQUEMENT CRISES ET CONFLITS.
LES TERRIENS DOIVENT REALISER UNE TRES GRANDE REVOLUTION NON – VIOLENTE DANS LEUR FACON DE VIVRE ET DE PENSER.
DEE MEME , LES HUMAINS MANQUENT TOTALEMENT DE CE QUE VOUS APPELEZ LA SAGESSE.
AINSI, PAR EXEMPLE , VOUS SOUFFREZ DE DIVERS MAUX DONT VOUS ETES PLEINEMENT RESPONSABLES.
SI VOUS VIVIEZ DE FACON PLUS SAINE VOUS VOUS EPARGNERIEZ DU MEME COUP BON NOMBRE DE MALADIES !
L’INDUSTRIE AVEUGLE POUR DES BUTS FINANCIERS A CONDUIT A LA POLLUTION DE VOTRE ENVIRONNEMENT , D’OU CAUSE DE MALADIES DIVERSES.
DE MEME, TOUT ABUS OU EXCES EST FACTEUR DE MAUX.
CE QUI NOUS ETONNE , C’EST QUE LES HUMAINS EN SOIENT CONSCIENTS MAIS MANQUENT TOTALEMENT EN VERITE , DE FORCE DE VOLONTE POUR ETRE PLEINEMENT MAITRES D’EUX-MEMES.
LORSQUE VOUS PARLEZ DE PROGRES AU NIVEAU DE LA TECHNOLOGIE MEDICALE , CELA NOUS FAIT SOURIRE ET NOUS ATTRISTE EN MEME TEMPS.
EN EFFET, COMME JE LE DISAIS, LES HUMAINS SONT RESPONSABLES DE BON NOMBRE DE LEURS MALADIES. ILS EN DECOULENT QU’ILS ONT INVENTE DES TECHNOLOGIES TRES AVANCEES POUR SOIGNER CES MALADIES MAIS CES TECHNOLOGIES, EN VERITE , LOIN DE REVELER UN QUELCONQUE PROGRES REVELENT AU CONTRAIRE COMBIEN LES HUMAINS SONT FAIBLES.
CES TECHNOLOGIES N’AURAIENT PAS DE RAISONS D’ETRE SI VOUS, TERRIENS, VOUS VIVIEZ DE FACON PLUS EQUILIBREE, CAR DE CE FAIT VOUS VOUS EPARGNERIEZ DE BIEN DES MAUX !
ENFIN , NOUS TENANT REGULIEREMENT AU COURANT DES DIVERSES PUBLICATIONS, NOUS AVONS ETE SENSIBLES A L’OUVRAGE DE MONSIEUR PHILIPPE DESBROSSES, INTITULE : «Le Krach alimentaire » (aux Editions du Rocher).
NOUS CONSIDERONS QUE CE LIVRE FAIT PREUVE D’UNE GRANDE SAGESSE ET QUE LES HUMAINS SE DOIVENT DE FACON URGENTE AVANCER DANS CETTE VOIE.
NOUS VOUS DONNERONS PLUS DE DETAILS DANS L’AVENIR SUR LES EVENEMENTS MONDIAUX FUTURS.
NOUS NE POUVONS PAS TOUTEFOIS VOUS REVELER COMMENT NOUS AVONS CE SAVOIR.
LES HUMAINS NE SONT PAS ASSEZ EVOLUE, EN VERITE, DANS LA VOIE DE LA SAGESSE, POUR BENEFICIER DE CETTE CONNAISSANCE.
LORSQUE VOS BUTS NE SERONT PLUS BASSEMENT MATERIELS ET LORSQUE LA PAIX SERA EN CHACUN DE VOUS, LA PAIX SERA SUR LA PLANETE TERRE.
IL VOUS FAUT A LA FOIS EVOLUER PARALLELEMENT DANS LE DOMAINE DE LA SCIENCE ET DU SPIRITUEL, C’EST A DIRE DE LA PLEINE SAGESSE.
C’EST EN EFFET PARCE QUE VOUS N’EVOLUEZ PAS AINSI QUE VOTRE EVOLUTION ENGENDRE DES CATASTROPHES , DES CONFLITS ET , AU PIRE, VOUS CONDUIRA A UNE AUTO-DESTRUCTION.
JPP 93
Monsieur,
L’envoi des différents documents a pour objet un transfert dosé et progressif de connaissances scientifiques d’origine extraterrestre et s’inscrit dans le cadre de la deuxième phase dite « de préparation » du programme général élaboré par l’UMMOAELEIIIE en vue de l’établissement d’un contact officiel entre nos deux civilisations galactiques (1950-2050). La première phase dite « d’études’, qui va bientôt s’achever, a été menée de manière très concluante puisqu’elle a permis de stocker sur mémoire de titane l’essentiel des informations technico-culturelles de votre riche et passionnante civilisation terrienne, sans que, globalement, l’objet d’étude soit perturbé.
La seconde étape du programme (1970-2000) dite « de préparation » qui a pour but une sensibilisation et une maturation progressive des élites politiques, militaires, puis scientifiques, sociales et religieuses, vise à rendre rationnellement admissible et tolérable l’idée même d’une présence extraterrestre sur Terre et à favoriser la diffusion progressive à l’échelle macro-sociale de ce nouveau paradigme.
La réalisation de cette seconde phase est assurée par une intensification des survols des zones habitées, des atterrissages et des rencontres diurnes, l’intensification des contacts téléphoniques et des envois postaux et l’exécution inévitable d’opérations de désinformation jugées malheureusement indispensables.
La troisième étape, dite « de contact’ a pour objet la révélation macro-sociale officielle, l’établissement de contacts officiels entre vos gouvernements et l’UMMOAELEWE et le développement programmé et concerté d’une évolution biculturelle de nos deux civilisations.
Cette troisième phase devrait pouvoir en toute logique intervenir au début du troisième millénaire (sous réserve de modifications tenant à l’évolution des conditions sociopolitiques régnant sur Terre et à l’absence de choc culturel par trop préjudiciable pour vous, pouvant résulter d’un transfert excessif de connaissances), probablement entre 2030 et 2050, selon le niveau d’immunité et de résistance psychologique manifesté par les masses terriennes.
JPP93 NEBULEUSE
UMMOAEELEWE
N° DE COPIE : UNE
LANGUE : FRANCAIS
MONSIEUR,
NOUS VOUS PRIONS DE BIEN VOULOIR VOUS REPORTER A LA PAGE 61 DE LA REVUE « CIEL ET ESPACE » NUMERO DE SEPTEMBRE 1993 OU VOUS TROUVEREZ LA PHOTO D’UNE NEBULEUSE QUE VOS SPECIALISTES BAPTISENT « PROPLYD ».
IL S’AGIT EN FAIT DE LA PREMIERE PRISE DE VUE PAR LA TELESCOPE SPATIAL HUBBLE D’UNE NEBULEUSE TOROÏDE ET NON PAS D’UN DISQUE PROTOPLANÉTAIRE.
LES CARACTERISTIQUES PHYSIQUES DE CE TYPE DE NEBULEUSE SONT LES SUIVANTES :
– HYDROGENE A TRES BASSE TEMPERATURE
– PARTICULES CRISTALILISEES
– FAIBLE CHAMP MAGNETIQUE DANS LE PLAN PERPENDICULAIRE A LA SECTION TOROÏDE
– ANGLE DE POLARISATION DE LA RAIE D DU SODIUM : O,8 RADIAN
– TRAIN D’ONDES GRAVITATIONNELLES DE FREQUENCE : 5,833 KC/S
– ABSENCE DE SIGNAL RADIOELECTRIQUE
– VARIATIONS BRUTALES DE TEMPERATURE DE -270° A -273°,14
– OSCILLATIONS BRUTALES PAR ALTERATIONS PERIODIQUES DU PLAN DU CHAMP MAGNETIQUE
POUR COMPLEMENT D’INFORMATION NOUS VOUS RENVOYONS A LA LETTRE UMMOAELEWEE DU 25-VII- 1967 (lettre D63)ummo-sciences: NR-3 | TJP-157
JPP93 Nef
JPP93 STRUCTURE GEMELAIRE
UMMOAELEWE
Nombre d’exemplaires: 4
Pays: France, Angleterre, Australie
Monsieur,
Nous vous envoyons des schémas concernant la GENESE COSMOLOGIQUE
STRUCTURE GEMELLAIRE ENIANTOMORPHE.
JPP93 Tétravalence NR5
UMMOAEELEWE
n° de Copies: UNE
LANGUE: Français.
Monsieur PETIT, Jean Pierre:
Nous posons notre main sur votre noble poitrine.
Monsieur:Nous avons étudié votre personnalité à travers nos instruments UAAGOOAWEE (évaluateurs individuels du comportement psychique ) et nous avons reçu une forte impression par la haute valeur que votre coefficient d’intelligence abstraite y a atteint.
Nous pouvons vous affirmer sans aucune erreur que vous êtes parmi 2,9.10 -6 des hommes les mieux doués sur ce domaine à OYAAGAA (la planète terre). Nous vous supplions de ne pas croire que nous essayons de vous flatter (ce qui serait, d’autre part, inutile étant donné que nous ne vous demandons rien en échange ) mais nous voulons tout au contraire vous encourager à continuer vos études spéculatives sur la logique formelle, qui, vous l’avez deviné, constitue la clé pour la compréhension du Cosmos.
Le » théorème » de FERMAT, dont nous savons que vous avez connaissance, A UNE DEMONSTRATION et elle est à portée d’un homme de votre condition intellectuelle. Nous aimerions pouvoir vous aider (indirectement, bien entendu, car votre sensibilité a en effet compris que toute intervention directe à OOYAGAA nous est moralement impossible) à le résoudre.
Cela vous donnerait vis-à-vis de vos frères un prestige intellectuel dont malheureusement vous manquez à présent (et ceci est du à l’agressive incrédulité des scientifiques terrestres plus qu’à votre manque de mérite)
Vous devez suivre la pensée:
1=1
0=0
1#0
0#1
et croiser:
1=0
0=1
1#1
0#0
C’est à dire combiner d’égalités / inégalités binaires à logique tétravalente. Dans des prochaines lettres nous vous ferons connaître vos progrès et vos erreurs.
Nous vous supplions, Monsieur, d’être très discret sur le contenu de nos lettres; dans d’autres pays nous avons du couper le contact avec vos frères à cause de leur extrême indiscrétion. Nous désirons établir avec vous des dialogues épistolaires bi-univoques (nous vous donnerons des instructions sur le moyen de vous adresser à nous) mais nous vous demandons en échange d’être très discret.
Vous pouvez parler librement à vos frères:
FARRIOLS, Rafael (ESPAGNE)
PASTOR, Jean-Jacques (FRANCE)
JORDAN PENA, Jose-Luis (ESPAGNE)
Mais du reste, il serait très sage de votre part de ne rien raconter à personne d’autre.
Une prière:
Nous vous supplions de vous mettre en rapport avec:
Mr. Joseluis Jordan Pena
77, Avenida de bruselas
28028 Madrid-Espagne.
Ce monsieur a une très vaste connaissance de nos écrits, notre philosophie et notre science. Il a été pendant beaucoup d’années (et avant qu’une cruelle infirmité ne le frappe) notre intermédiaire principal dans le pays terrestre Espagne.
Il est à présent craintif et méfiant; cependant nous pensons que votre personnalité peut gagner la sienne en peu de temps et que votre intelligence et son information seront essentiel pour mieux vous aider à comprendre nos messages.
L’étape finale serait une rencontre de vous deux avec un groupe de mes frères; vous auriez alors une preuve définitive de notre identité.
La paix avec vous, Monsieur,
DXXX NR1
UMMOELEWEE
Langue : espagnol
Nombre de copies : 1
Monsieur Antonio Ribera Jord’a :
Permettez-moi de nous immiscer de nouveau dans votre vie pacifique, après cette longue période de temps, deux années terrestres, en vous perturbant avec une ingrate et malheureuse missive.
Monsieur de la Terre : nous voulons vous exprimer, à vous personnellement notre tristesse pour le fait désastreux et inhumain survenu dans l’agglomération de Vienne du pays Autriche (entre les collines de Leitha et le Wiener Wald on a observé dans l’année terrestre 1985 au mois de février une OAWOLEAIDA) dans lequel se sont vus affectés involontairement deux de nos frères. Il n’est pas besoin de vous rappeler à vous le nombre de victimes qui succombèrent dans cet impitoyable attentat à l’aéroport de l’agglomération terrestre citée.
Mes frères EIEEVEE 7 fils de ERAE 5, et OBAA 16 fils de IDUUOA 46 se dirigent vers Tel Aviv quand à l’aéroport du nom de Schwechat de Vienne, leurs corps de trouvèrent sérieusement blessés par la mitraille. Monsieur, excusez nous si nous ne précisons pas l’affaire en détail mais la profonde douleur devant un événement si inimaginable, fait que son souvenir assombrit mon état d’âme conscient qui est nécessaire pour rédiger cette lettre.
Il n’est pas non plus nécessaire de vous exposer le profond conflit qui se serait développé si notre UMMOALEWEE avait pris contact avec quelque organisme terrestre (bien qu’il s’en soit établi sporadiquement dans quelques pays comme la France, l’Australie et avec certains scientifiques importants des Etats Unis d’Amérique pour leurs qualités humaines ); demander des explications reviendrait à demander à un enfant en bas âge de cesser de jouer pour se vouer à la politique ou à l’exercice d’une haute charge d’entreprise.
Bon [gentil, ndT] monsieur, nous regrettons profondément que le rétablissement de nos contacts tant écrits que téléphoniques se soient vus perturbés et il est très probable que la rupture définitive de toute relation avec la Terre devienne effective. Malheureusement, un Gouvernement de la Terre possède déjà deux cadavres de nos frères morts accidentellement dans un pays centre-européen et nous ne voulons pas grossir de façon accidentelle le moindre laboratoire humain terrestre.
Grâce à notre technologie nous avons pu récupérer nos frères accidentés à Vienne en passant pour des médecins et conduisant une simple ambulance , vu que le départ de nos frères pour Tel Aviv était déjà enregistré visuellement à distance. Nous possédons un document filmé qui révèlerait l’authenticité de l’attentat et éclairerait deux gouvernements du Moyen Orient sur les véritables identités des agresseurs ainsi que sur leur groupe de revendications. Monsieur, tout esprit qui se voit induit à tuer, ne proclame pas la liberté mais sa propre destruction. Vous retournez à un monde primitif de sang que seule une autorité supérieure pourra pacifier.
Je vous en prie, cher ami, sachez excuser ce sentiment de rancœur envers votre espèce et plus encore quand vous aurez fêté la nativité de Woa en homme, ainsi s’exprime mon désir de bonheur à votre endroit ainsi que pour les personnes que nous aimons.
Notre demeure en Espagne se trouve dans une localité aux environs des provinces d’Alicante, Valence, Murcie, et Albacete. Il n’y a pas à s’étonner que l’oblitération soit enregistrée dans la ville côtière d’Alicante parce qu’en ce moment nous y sommes trois frères de UMMO provenant de Belgique et du Danemark.
La fin de notre séjour a été provoquée par une conversation téléphonique que José Jimenez Marhuenda a eu avec une personne que nous n’avons pas identifiée mais dont nous désirerions largement que son identité puisse être connue. Sans l’avoir été par l’incident, Luis Jimenez d’Alicante aurait eu connaissance de notre séjour dans sa belle ville. Il n’est pas non plus certain que nous attendrons plus de temps pour garder vivace le sens de la courte conversation de Monsieur Luis Jimenez Marhuenda avec son jeune interlocuteur. La phonation du dit monsieur à l’égal de celle de nos amis de la terre est on ne peut mieux connue de nos frères de UMMO. En analysant l’amplitude de l’onde émise par l’articulation [le mot utilisé est « gesticulation », ndT] des mots, nous sommes arrivés à la conclusion que l’interlocuteur inconnu est une personne jeune (de 20 à 25 ans d’âge terrestre) et de sexe YIEE résidant dans la localité d’Alicante. Son inquiétude envers notre existence nous a profondément intéressés et il semblerait qu’elle connaisse la manière de déchiffrer le message chiffré qui traite de la localisation de notre refuge atomique dans la région centre ibérique du système espagnol. Vous, gentil monsieur, vous avez une information chiffrée de l’existence du refuge cité. Je vous prie instamment de vous mettre en contact avec votre frère Luis Jimenez Marhuenda de Alicante afin que ce dernier puisse localiser notre jeune inconnue grâce au téléphone. Je vous demande de même d’envoyer une photocopie du contenu de cette lettre–rapport.
Durant notre absence du pays d’Espagne nous avons pu vérifier le grand développement intellecto neurocortical qu’a expérimenté la population infantile et juvénile durant ces deux dernières décades. Nous avons pu vérifier au travers de nos XANMOO AYUBAA (réseau d’ordinateurs) que les générations actuelles se sont développées à l’échelle des précédentes de trois pour un ; certains mécanismes évolutifs qui initient un perfectionnement de la structure somatique, empêchant une dégénération ou une régression de la structure vive ou corps. Ce mécanisme évolutif répond à une série de mutations possibles découvertes chez des enfants nés entre 1960 et 1980 de symbole . Nous devons féliciter la science génétique pour sa grande avance dans le domaine des mutations et des attractions magnétiques exercées par les molécules.
Mais sur vos vies se dessine [se cerne, ndT] un grave danger dû au fait que vous changez continuellement les conditions atmosphériques qui doivent suivre leur cours normal. Par exemple, lors d’une preuve d’attaque belliqueuse faire détonner une bombe H ou à hydrogène, elles sont capables de modifier d’un ordre de (1/26) 3 le délai normal dans lequel doit prendre naissance dans ce même lieu une tempête ou une période de sécheresse dans une région typiquement humide.
S’il vous plaît soyez conscients une fois de plus du grave problème qui vous concerne tous et chacun d’entre vous. Nous vous demandons aussi et ce n’est pas seulement symboliquement, de penser à vos enfants, à ces hommes et femmes qui un jour auront à résoudre vos problèmes, les problèmes de leurs propres pères.
Cette expédition provenant de l’Astre froid UMMO vous salue et en symbole de respect vous pose leur main sur votre poitrine.
Remettez nos plus respectueuses salutations à votre intelligente YIEE.
UROII 15 fille de AXOO 13
Soumise à OEOE 115 fils de OEOE 114
Soumis à UMMOELEWEE
DXXX NR2
UMMOAELEWE
Langue : espagnole
N. de copies: 1
- JOSE ALEX
RADIO ESPANA
Monsieur,
Une communication de notre Délégation en Espagne nous informe du flux d’inquiétude éprouvé par vos frères concernant des formes de pensées, qu’un OEMII clairvoyant a interprété comme un message de nous dans lequel on raconterais qu’il y aura, le 7 avril prochain, une manifestation de nos UEWA OEEMM (astronefs) au dessus du centre urbain de Marques de Valderas.
Nous nous voyons obligé d’expliquer que non seulement nous n’avons aucune intention de produire à cette date une OAWOOLEIDAA (peut se traduire par « orienter nos astronefs dans une géodésique perpendiculaire déterminée et produire un changement dimensionnel susceptible d’être détecté par vous ») mais que, en plus, nous sommes conscients de n’avoir pas émis de formes de pensée qui pourraient être captées par des frères terrestres ayant des facultés télépathiques.
Mais n’oubliez pas qu’existent diverses entités de divers plans, dont les projections mentales ou des manifestations diverses acquièrent parfois des degrés de similitude avec nos propres messages de concrétisation d’idées ou d’objets.
Un cas particulier de notre intervention fut, il y a quelques années, un texte en forme de plan (carte) détaillé d’UMMO, envoyé à un OEMII, un de vos frères, avec l’unique but de découvrir son niveau de développement à la réception télépathique et de le faire participer, à son tour, à notre réseau social. Ceci montre la différence avec ces entités là qui aiment interférer par désir de capter des adeptes, à diverses sectes occultistes ou, comme vous les appelez vous-mêmes, sataniques (dénomination quelque peu confuse pour nous).
Les messages qui vous arrivent dépourvus du niveau le plus basique de sécurité pour la tranquillité mentale de l’OEMII sont nombreux, lui produisant l’état pour lequel nous avons décidé d’intervenir.
Vous devez savoir que notre règle n’est autre que la non interférence dans les affaires sociales des planètes que nous visitons. Donc nos communications sont très restreintes, et nous ne contactons que s’il existe un motif qui le justifie, soit pour l’intérêt commun, ou, comme dans cette occasion, pour informer ou clarifier la désinformation ou l’erreur. Ainsi, pour des raisons évidentes, nous utilisons la correspondance officielle, en cette occasion.
Transmettez notre communication à Monsieur Ribera, en lui recommandant d’éviter le voyage à Madrid le 7 avril prochain, puisque il doit se remettre de ses maladies passagères et de ses problèmes éditoriaux.
Au dos de cette feuille, se trouve imprimée la copie du dessin original que nous utilisons comme expérience avec M. R.M. (nous omettons son nom car nous ne sommes pas autorisé à le diffuser et il s’agit d’une personne impliquée en ce moment dans la vie politique, et ce depuis plus d’une décennie terrestre).
Au verso:
NR3
UMMOAEELEWE
N° DE COPIE : UNE
LANGUE : FRANCAIS
MONSIEUR,
NOUS VOUS PRIONS DE BIEN VOULOIR VOUS REPORTER A LA PAGE 61 DE LA REVUE « CIEL ET ESPACE » NUMERO DE SEPTEMBRE 1993 OU VOUS TROUVEREZ LA PHOTO D’UNE NEBULEUSE QUE VOS SPECIALISTES BAPTISENT « PROPLYD ».
IL S’AGIT EN FAIT DE LA PREMIERE PRISE DE VUE PAR LA TELESCOPE SPATIAL HUBBLE D’UNE NEBULEUSE TOROÏDE ET NON PAS D’UN DISQUE PROTOPLANÉTAIRE.
LES CARACTERISTIQUES PHYSIQUES DE CE TYPE DE NEBULEUSE SONT LES SUIVANTES :
– HYDROGENE A TRES BASSE TEMPERATURE
– PARTICULES CRISTALILISEES
– FAIBLE CHAMP MAGNETIQUE DANS LE PLAN PERPENDICULAIRE A LA SECTION TOROÏDE
– ANGLE DE POLARISATION DE LA RAIE D DU SODIUM : O,8 RADIAN
– TRAIN D’ONDES GRAVITATIONNELLES DE FREQUENCE : 5,833 KC/S
– ABSENCE DE SIGNAL RADIOELECTRIQUE
– VARIATIONS BRUTALES DE TEMPERATURE DE -270° A -273°,14
– OSCILLATIONS BRUTALES PAR ALTERATIONS PERIODIQUES DU PLAN DU CHAMP MAGNETIQUE
POUR COMPLEMENT D’INFORMATION NOUS VOUS RENVOYONS A LA LETTRE UMMOAELEWEE DU 25-VII- 1967 (lettre D63)ummo-sciences: NR-3 | TJP-157
NR4
UMMOAELEWEE
Langue Espagnole
Nombre de copies zéro
Respectables amis:
Je souhaite vous communiquer d’urgence, que notre collaborateur se trouve à Madrid, à qui nous avons commandé de vous remettre le moment venu, le document que nous désirions vous confier pour des motifs de sécurité dans une autre capitale européenne. De cette manière nous vous éviterons les dérangements inhérents à un si grand déplacement. Vous comprenez qu’une autre manière de vous le confier aurait été difficile sans oublier que le canal postal international ne nous offre aucune garantie. Nous ne pouvons pas non plus en ce moment où je me trouve en Espagne réaliser cette remise car chacun des documents que nous déposerons (quatre au total) entre les mains d’hommes de la Terre, sauf un texte commun, s’additionne d’une information particulière indépendante.
Il n’y a plus rien d’autre à faire que d’attendre les nouvelles avant le premier décembre, Notre collaborateur a reçu des instructions à ce sujet bien que nous ne nous trouvions pas parmi vous.
Uniquement en cas grave et lorsque la remise ne peut se réaliser sans possibilité aucune pour des raisons forcées ce même collaborateur se convertira en dépositaire définitif.
L’enveloppe qui vous sera remise dans le cas contraire devra être conservée fermée jusqu’à la date indiquée dessus.
Nous ne souhaitons pas du tout vous inquiéter. Le document résume une série de points que nous exposons à la considération des experts de la Planète Terre dans le cas où nous ne reviendrions pas sur celle-ci.
NR5
UMMOAEELEWE
n° de Copies: UNE
LANGUE: Français.
Monsieur PETIT, Jean Pierre:
Nous posons notre main sur votre noble poitrine.
Monsieur: Nous avons étudié votre personnalité à travers nos instruments UAAGOOAWEE (évaluateurs individuels du comportement psychique ) et nous avons reçu une forte impression par la haute valeur que votre coefficient d’intelligence abstraite y a atteint.
Nous pouvons vous affirmer sans aucune erreur que vous êtes parmi 2,9.10 -6 des hommes les mieux doués sur ce domaine à OYAAGAA (la planète terre). Nous vous supplions de ne pas croire que nous essayons de vous flatter (ce qui serait, d’autre part, inutile étant donné que nous ne vous demandons rien en échange ) mais nous voulons tout au contraire vous encourager à continuer vos études spéculatives sur la logique formelle, qui, vous l’avez deviné, constitue la clé pour la compréhension du Cosmos.
Le » théorème » de FERMAT, dont nous savons que vous avez connaissance, A UNE DEMONSTRATION et elle est à portée d’un homme de votre condition intellectuelle. Nous aimerions pouvoir vous aider (indirectement, bien entendu, car votre sensibilité a en effet compris que toute intervention directe à OOYAGAA nous est moralement impossible) à le résoudre.
Cela vous donnerait vis-à-vis de vos frères un prestige intellectuel dont malheureusement vous manquez à présent (et ceci est du à l’agressive incrédulité des scientifiques terrestres plus qu’à votre manque de mérite)
Vous devez suivre la pensée:
1=1
0=0
1#0
0#1
et croiser:
1=0
0=1
1#1
0#0
C’est à dire combiner d’égalités / inégalités binaires à logique tétravalente. Dans des prochaines lettres nous vous ferons connaître vos progrès et vos erreurs.
Nous vous supplions, Monsieur, d’être très discret sur le contenu de nos lettres; dans d’autres pays nous avons du couper le contact avec vos frères à cause de leur extrême indiscrétion. Nous désirons établir avec vous des dialogues épistolaires bi-univoques (nous vous donnerons des instructions sur le moyen de vous adresser à nous) mais nous vous demandons en échange d’être très discret.
Vous pouvez parler librement à vos frères:
FARRIOLS, Rafael (ESPAGNE)
PASTOR, Jean-Jacques (FRANCE)
JORDAN PENA, Jose-Luis (ESPAGNE)
Mais du reste, il serait très sage de votre part de ne rien raconter à personne d’autre.
Une prière:
Nous vous supplions de vous mettre en rapport avec:
Mr. Joseluis Jordan Pena
77, Avenida de bruselas
28028 Madrid-Espagne.
Ce monsieur a une très vaste connaissance de nos écrits, notre philosophie et notre science. Il a été pendant beaucoup d’années (et avant qu’une cruelle infirmité ne le frappe) notre intermédiaire principal dans le pays terrestre Espagne.
Il est à présent craintif et méfiant; cependant nous pensons que votre personnalité peut gagner la sienne en peu de temps et que votre intelligence et son information seront essentiel pour mieux vous aider à comprendre nos messages.
L’étape finale serait une rencontre de vous deux avec un groupe de mes frères; vous auriez alors une preuve définitive de notre identité.
La paix avec vous, Monsieur,
NR6
UMMOAELEWE
Langues: FRANCAIS
ANGLAIS
ESPAGNOL
Nombre de copies 17
En 1955 nous sommes entrés en communication avec le citoyen français vivant à cette époque à Toulouse (France) Mr Jacques Cadot à qui nous avons envoyé trois rapports manuscrits, avec qui nous avons eu des entrevues téléphoniques à deux reprises, après qu’il ait écrit dans un journal quotidien, un article monographique au sujet des « soucoupes volantes » .
Ce monsieur, après s’être montré surpris et intéressé les premiers jours, finit par nous confesser qu’il croyait que nous étions « un étranger » facétieux qui désirait se « moquer et se faire passer pour (feindre) le pilote de ces nefs en profitant de sa bonne foi.
Il fit une critique sévère de notre court récit concernant notre système économique sur UMMO en disant que ce que nous appelions XANMMO AYOUBAA était un projet fantastique issu d’une nouvelle de « Science Fiction ».
Mais bon : Depuis quelques jours, la Presse de plusieurs pays a inclus parmi ses nouvelles, l’information selon laquelle on étudie l’établissement d’un Réseau d’Ordinateurs sur le territoire du Royaume Uni de Grande Bretagne.
Nous vous félicitons, vous hommes de la Terre. Nous désirons avec ferveur que l’évolution de l’Humanité de cette Planète aille en suivant une trajectoire semblable à la notre.
Nous désirons aussi que votre esprit analytique sache faire le discernement entre les fantaisies des auteurs de nouvelles fantastiques et les témoignages confirmés par une abondance de documents de références.
Nous ajoutons à ce rapport une coupure sélectionnée de la publication éditée en langue Espagnole à Madrid.
Journal YA en date du 18 Nov de 1966 page 5
qui cite le projet Britannique mentionné: NR-6 | T5p-60gj
NR7
UMMOAELEWEE
Langue : espagnol
N° de copies : 1
D. Fernando Sesma Manzano
MADRID ESPAGNE
Monsieur,
Nous désirons faire quelques mises au point préalablement à la prochaine série d’informations que vous nous avez demandé sur le thème de l’hygiène mentale et corporelle.
Au premier plan, nous aimerions exprimer notre tristesse devant l’interprétation que vous-même avez apporté à notre attitude temporaire par rapport à vous, quand nous avons décidé de suspendre les envois que nous vous remettions périodiquement jusqu’à ce que votre attitude soit définie.
Vous la qualifiez de châtiment et ce terme nous a énormément peiné. Nous étions sincères avec vous quand nous avons exprimé que l’unique cause de la suspension des envois était de protéger nos buts véritables. Buts que nous vous avons exposés avec suffisamment de clarté dans une lettre que nous avons envoyé à Monsieur D. DIONISIO GARRIDO BUENDIA.
Une action punitive ne peut exister envers un OEMII pour qui nous professons une sincère affection et qui, risquant son prestige au sein de son cadre social, ose se convertir en porte-voix de notre témoignage, attitude ingénument dangereuse pour tout oemii terrestre qui prétendrait rompre la froide muraille de scepticisme d’une société qui, saturée de technique et faute de mettre en pratique les valeurs transcendantes se montre méfiante et réticente envers ces vérités qui transcendent depuis des grands espaces qui entourent son égocentrisme.
Il ne peut exister d’action punitive contre un OEMII terrestre ni contre aucun de vos frères puisque aucun pouvoir légal ni moral ne nous autorise à exercer des fonctions d’autorité sur un OEMII ni sur sa BUUAWAA. Et comment pourrions-nous exercer notre dynamique pénale sur un homme libre ?
Vous nous attristez si, par manque du sens de responsabilité, vous vous montrez incapables de remplir vos propres engagements formels, bien que nous comprenions que les problèmes qui accablent l’homme de la TERRE sont si profonds que l’on peut lui pardonner ses faiblesses dans l’ordre de ses obligations les moins transcendantes tel est le degré de dérangement mental et spirituel auquel vous êtes soumis.
Donc, dans ces cas, nous nous voyons obligés de vous traiter comme des UUGEEYIE quoique humiliant et offensant cela puisse être pour la dignité mal entendue de quelques-uns de vos frères. Alors, pour défendre certains aspects qui vous sont inconnus alors que pour nous ils revêtent une grande importance et sont connus très complètement et très clairement, nous nous voyons obligés d’utiliser certains ressorts susceptibles d’exercer des pressions sur vos motivations et formes de conduite. Vous ne pouvez cependant qualifier de CONTRAINTE (si pour votre terme CONTRAINTE nous acceptons l’acception admise par les académies de philologie et de sémantique terrestres), puisque, en dernier lieu, nous vous permettons l’option librement et spontanément exprimée de rompre tout contact avec nous.
Personne d’un certain niveau intellectuel et d’un niveau de culture acceptable ne qualifierait de pression par exemple l’exigence d’un pasteur luthérien qui dans sa chapelle dirait incompatible l’exercice des cultes en présence d’une YIE complètement dénudé.
Ou, au cours d’un cycle de conférences, on pourrait être accusé d’exercer une pression si la lecture de votre conférence était axée sur une thématique philosophique et que dans ce cycle de conférences était inclus un colloque de protestation contre la tactique de jeu de tel club de football
Nous réitérons que qualifier de contraintes de telles mesures démontrerait au minimum une carence de maturité intellectuelle. Il serait plus à conseiller à ces OEMII d’accéder préalablement auprès d’une bibliothèque et de se documenter sur l’interprétation que les philologues de votre pays concèdent à ce terme : CONTRAINTE.
De toutes façons vos frères ne doivent pas nous attaquer pour une erreur commise de bonne foi. De telles interprétations aberrantes surgissent comme conséquence d’une éducation déficiente reçue durant les phases moyennes de vos études. Le manque de formation induit inconsciemment beaucoup d’OEMMII à devenir dogmatiques et agressifs, désirant imposer leurs propres schémas mentaux aux autres alors que ce sont eux qui par un accord tacite ont à accepter ou à refuser de recevoir les enseignements d’autres entités et OEMII étrangers à eux.
Ce fanatisme, cette polarisation n’ont jamais été combattus efficacement, en les attaquant verbalement et en les ridiculisant mais en montrant patiemment les canaux informatifs qui permettent de se documenter et de trouver l’erreur. Procurez vous et orientez vos lectures pour qu’elles guérissent votre cécité intellectuelle.
Monsieur : Nous avons envoyé à vos différents frères durant ces périodes une série de rapports sur divers thèmes relatifs à l’ESPACE PHYSIQUE, aux LOIS BIOGÉNÉTIQUES et à ce que vous appelez les PHÉNOMÈNES PARAPSYCHOLOGIQUES. Vous recevrez aussi une autre série de rapports déjà annoncée. Nous avons adopté le critère de vous remettre ces informations spécialement en intercalant le reste dans la suite des envois pour éviter l’aridité qu’une série réitérée de termes homogènes pourrait provoquer chez vos frères. Ne déduisez pas la suspension de nos envois s’ils cessent momentanément pendant trois ou quatre semaines.
NR9
UMMO MAINTENANT
Le thème Ummo a pratiquement disparu du cadre naturel des phénomènes Ufo dans lequel il était toujours inséré. Le thème Ummo n’existe plus maintenant.
Une réflexion hâtive sur les causes de ladite disparition conduirait directement à l’erreur de l’absence pratique de communiqués depuis un temps excessif, mais une réflexion plus calme montre que le thème Ummo a une mauvaise image. Les ufologues actuels ont peur d’être déconsidérés s’ils reprennent le thème pour le traiter avec le sérieux que requiert l’énorme patrimoine de différences culturelles qu’il réunit. Les Ufologues actuels évitent le thème Ummo et s’ils n’ont pas d’autre solution que d’en parler, alors qu’il fait partie de l’histoire des Ufos, ils le font en le dépréciant. C’est seulement de ce point de vue, douloureux mais objectif, que s’explique que dans les réunions internationales promues par des organismes officiels ou semi-officiels on prévienne à l’avance et confidentiellement les rapporteurs pour qu’ils ne fassent pas mention du thème Ummo, puisqu’ils ont intérêt à donner une image de sérieux.
L’ammioxoo est fait et du côté de l’Ufologie il est déjà impossible de retourner cette situation.
:* Sentiments personnels
Il est inutile d’insister sur un sujet à la manière dont ça s’est fait jusqu’à maintenant. La période d’accumulation d’informations est terminée et c’est dans ce sens qu’il faut interpréter maintenant la grande absence de communiqués. Le fait isolé que l’un des groupes Ummo, en réponse aux demandes d’un frère transmette au passage les durs moments socio-économiques qu’allait traverser votre civilisation n’a pas la valeur d’un communiqué universel, hors du temps et de l’espace, qu’avaient les écrits de la grande époque d’accumulation de l’information. D’un autre côté, nous pensons que la période d’organisation, synthèse et réflexion sur l’information Ummo est aussi terminée. Nous sommes convaincus de la stérilité d’en faire plus le tour par amour de l’étude elle-même. Il faut cesser de penser puisqu’avec l’information accumulée « j’ai matière à étude pour le reste de ma vie ». L’information est le meilleur bien quand elle est en dehors du corps matériel, mais jusqu’à ce qu’elle atteigne ce moment, le meilleur bien est l’exercice créatif, c’est-à-dire l’action.
:** Groupes d’Etude
Si les groupes sont créatifs, c’est-à-dire qu’ils travaillent sur tout le matériel amassé pour créer sur la base des éléments même qui pourraient revenir positivement à l’humanité, lesdits groupes seraient les bienvenus et toute disposition est louable. Un travail de ce type qui renonce même à mentionner ses sources, implique nécessairement de l’amour et sacrifice, les deux grands piliers qui soutiennent les grandes ascensions humaines; mais en outre il est de fait qu’être disposé à passer à l’action, c’est à la création de mouvements qui, en s’autofinançant avec les succès qui se feraient, pourraient rémunérer les efforts des composants desdits mouvements. Si ça ne se fait pas ainsi, tout s’effondrera à nouveau.
***Sujets pour votre étude créative.
Ceux qui sont susceptibles de prestige et d’action. Nous vous suggérons des sujets mathématiques pour l’autoconsistance de leurs démonstrations et des sujets d’entreprise pour leur capacité de génération de ressources.
Nous repousserions dans une première étape les sujets cosmogoniques et théologiques car ils sont porteurs de controverses et de soupçons.
Nous repousserions aussi dans une première étape ceux qui s’apparentent à la physique théorique, parce qu’à la différence des mathématiques, ils ne sont pas autoconsistants et il faut les mettre à l’épreuve [par l’expérience, ndT] et même ainsi ils ne cessent d’être source continue de controverses. Yiisa aaxoo
NR10
UMMAELEWE
Langue : Espagnol
N° de copies : 1
BRUCELLA MELITENSIS
Il y a sur Terre trois types d’organismes appelés par les terrestres BACILLES, capables de provoquer les maladies appelées BRUCELLOSES. Leurs noms sont MELITENSIS, ABORTUS et SUIS, bien qu’avec les mêmes caractéristiques morphologiques et biochimiques, on en connaisse d’autres appelées PASTEURELLA, HEMOPHILUS, BORDETELLA et BROMEXELLA.
Les BRUCELLES sont des bacilles, classées par vous dans les COCCIES, de 0,4 à 2 microns de long sur 0,4 à 0,8 de large. On trouve les formes appelées par vous lisses et rugueuses. On connaît trois BRUCELLA MELITENSIS, appelées par vous biotypes qui possèdent des antigènes, M et A, connus des hommes de la Terre, possédant en plus grande quantité les premiers que les seconds. Ces types font apparaître occasionnellement des ANTICORPS appelés INCOMPLETS pour lesquels en sérologie, la SÉROAGGLUTINATION est utilisée en première intention pour leur diagnostic, et ensuite est utilisé le dénommé TEST DE COOMBS. Au moyen de bactériophages (Tb, P, 212XV et 371 XXIX), on peut facilement différencier les trois types très caractéristiques de BRUCELLOSE.
La fixation du Complément s’utilise depuis notre arrivée sur Terre pour la BRUCELLA MELITENSIS. Dans celles ayant moins de six mois d’évolution, les titres d’agglutination sont préférés, alors que dans les BRUCELLOSES d’évolution plus longue la FIXATION DU COMPLÉMENT prédomine très largement.
Récemment les « scientifiques terrestres » ont « découvert » (nous pensons répondre ainsi à l’essentiel (nucleo) de la question posée par vous) les propriétés antigéniques de deux nouveaux ANTIGÈNES de surface, appelés par vous L et Z qui donnent lieu à de fortes formations d’ANTICORPS, pour lesquels la méthode de la fixation du Complément se pratique en première intention parmi les moyens de diagnostic microbiologique. Néanmoins, vous devez savoir que dans les phases de latence de la maladie appelées par vous FIÈVRE DE MALTE, BRUCELLA MELITENSIS subit des mutations antigéniques, de sorte que l’efficacité des anticorps y est très limitée.
Je désire vous faire une suggestion, que nous considérons de grand intérêt et que je dois au rapport avec le sujet que nous avons traité, un conseil d’étude fondamentale : il s’agit de l’association, encore inconnue sur TERRE des BRUCELLES avec un organisme codifié par vous comme CAMPYLOBACTER FETUS dont il existe différents biotypes (ils sont exactement huit) et dont vous connaissez ceux appelés JEJUNI et INTESTINALIS, je dois avancer que celui classé par vous comme GRAM NÉGATIF prend les formes de COMA, MOVI et MICROAÉROPHILE.
Travaillez sur cet organisme sans trêve et sur l’étude de ses rapports avec les types de BRUCELLES. La culture de cet organisme doit se faire avec des traces d’oxygène. Nous souhaitons à vos congénères de réussir.
NR11
UMMAELEWE
Langues : Espagnol
Anglais
Français
Nombre de copies : 12
Le champ magnétique, est caractérisé par deux vecteurs: H excitation de champ et B, induction du champ. Dans un milieu sans hystéresis et avec perméabilité, on vérifie la relation B= µH.
Pour calculer la force que subit un tronçon de conducteur de longueur rectiligne / placé en un lieu du champ magnétique où l’induction est B, on applique la formule D/B/ sinus a.
La ligne de force est tangente en chaque point au vecteur champ. L’induction magnétique tient lieu de ce qu’on appelle en électrostatique intensité du champ magnétique.
Dans l’hypothèse que nous introduisions une particule entre deux pôles de même nom (nous croyons qu’avec ceci nous répondons à la question que vous avez faite) que se passe-t-il ?
On admet l’existence de deux pôles un de signe positif et l’autre de signe négatif, mais il faut prendre en compte que cela est en réalité une fiction.
Néanmoins, nous savons que deux pôles de même nom mis face à face, il se produit une répulsion de chacun. Dans l’hypothèse où les deux pôles auraient les mêmes lignes de force et la même intensité et que la particule à laquelle il est fait référence n’ait pas été magnétique, cette particule se verrait repoussée dans une direction vectorielle équivalente au vecteur résultant des vecteurs H et B.
Mais si la molécule avait été une charge Q qui se déplace à la vitesse V au sein d’un champ magnétique d’induction B la force DF subie par cette charge électrique est égale au produit de celle-ci par la surface du parallélogramme formé par les vecteurs V et B.
Ces lois, identiques pour tout l’ordre galactique, nous a permis la création d’un système de conduite de nos nefs, qui nous permet d’atteindre de grandes vitesses, agissant comme la charge Q en mouvement, immergée dans un champ magnétique qui est celui formé par chacune des planètes que nous visitons.
Un système compliqué, qui serait difficile à comprendre pour vous en ce moment, nous permet de changer notre polarité positive ou négative selon notre volonté, ce qui fait que nous sommes attirés ou repoussés.
C’est mon désir de vous faire constater que notre technologie se trouve très en avance par rapport à la vôtre dans le domaine du magnétisme que nous avons su utiliser au maximum dans des temps passés, et que nous utilisons actuellement comme moyen de déplacement.
Finalement, je dois vous faire remarquer que pour l’exposition de la résultante directionnelle d’une particule interposée entre deux pôles magnétiques de même nom, vous devriez tenir compte de l’intensité de l’aimantation évaluée comme le quotient du moment magnétique par le volume, l’intensité spécifique, grandeur analogue à la précédente, mais rapportée à la masse, le coefficient d’aimantation, qui est le quotien de l’intensité de l’aimantation par la valeur du champ magnétique et la relation B= H+I = (illisible) …Manquent au moins plusieurs lignes et peut-être une autre page….
NR12
UMMOAELEWE
N° de copies 2
Langue espagnole
PIEDRALAVES
Date de réception : 8-1-90 (note 1)
CONFIDENTIEL : vous pouvez lire à vos frères très proches.
Monsieur Juan Aguirre: je suis un humain de Ummo affecté sur OYAGGA depuis mars 1988, résidant dans un pays frère, ma supérieure à laquelle je dois soumission m’a assigné de vous écrire, vous figurez dans notre sanmoadyubaa avec un changement de domicile depuis avril 1987.
Notre bon ami, nous suivons avec intérêt le développement des derniers évènements supportés par ce microgroupe terrestre (note 2) et nous pouvons vous assurer que c’est vous les coupables de la situation que vous subissez, particulièrement ceux de vos frères qui, mus par un excès de zèle, ont dogmatisé à propos de nos doctrines, vous savez bien que nous avons toujours insisté sur le fait que nos exposés sont purement descriptifs et que vous, avides de connaissance, devez lire mais jamais assimiler et encore moins dogmatiser en créant un fanatisme irrationnel qui vous fait violer les normes ético-morales de respect réciproque, d’où notre insistance selon laquelle seules la raison critique et le doute impartial peuvent vous libérer du fanatisme aliéné dont les causes doivent être localisées dans la prédominance du Paléoencéphale, tellement sa prédominance est encore aisée par la phase évolutive dans laquelle se trouve votre civilisation. Certains de vos frères se sont passionnés en excès, oubliant le passage évangélique voyant la paille dans l’œil de l’autre et ne voyant pas la poutre dans le leur, constatant une fois de plus qu’il n’est pas possible d’injecter des idées ou des bases ontophilosophiques étrangères, puisque le manque de cohabitation entre les pays de votre propre planète est une preuve imagée, les luttes constantes entre idéologies et des années auparavant entre les religions nous ont dit le modèle à suivre, pour cela nous insistons sur la non assimilation de doctrines et de thèses foraines comme la nôtre, qui sont de simples expositions fragmentaires de nos doctrines UMMOAA, nous vous conseillons de NE PAS assimiler sans discuter de manière critique tout ce qui concerne notre civilisation, nous vous rappelons le philosophe OCCAN que j’utilise de manière impitoyable, bien que ses base étaient logiques, assimiler nos doctrines et les injecter dans vos principes occasionnera de la douleur, de la dissension et des ruptures dans le groupe, soyez tolérants, notre divin UMMOWOA dans quelques uns de ses TAU nous dit d’être respectueux du frère qui est dans l’erreur etc… Nous avons étudié vos bases neurophysiologiques et nous savons qu’elles souffrent toutes d’un fond neuroendogène qui sera difficilement surmonté dans les siècles à venir, puisqu’elles constituent l’ourdissage de réflexes conditionnés (VOIR RAPPORT à F.S).
Nous continuons avec attention le sujet du SINDON, nous sommes préoccupés par le résultat du test que nous avons fait en vous demandant la soumission à votre sœur Hiltrud, bien que nous ne nous soyons pas trompés, nous savions auparavant que votre suprématie machiste prévaudrait, vous pourriez réagir de la sorte devant vos gouvernants amoraux, ils sont incapables d’accepter une soumission temporaire à une femme intelligente et humble.
Nous savons que vous vous sentez contrôlés depuis mars 1987, si vous surveillez vos alentours et observez deux véhicules à moteur qui se relaient sur cette zone leurs numéros sont M.2837 BP et M.2322 DS, c’est par ordre de vos dirigeants immoraux soumis à d’autres hiérarchies, renforcez la prudence de vos réunions et s’il était possible, suspendez-les temporairement, nous vous préviendrons sur les contrôles.
Dicté OAXIIBOO 6 fils de IRAA 3 (note 3) NR-12 | TJP-1
NR13
(en-tête)
(Un paragraphe de 6 lignes non transcrit sur demande du destinataire)
Mon nom est E IXOO 7 fils de OURIEE 29 et je dépends de mon frère AYIOA 1 fils de ADAA 67 chef des expéditionnaires de l’Europe Occidentale sauf Angleterre, Irlande, Portugal et Espagne.
(….) notre désir de communiquer ouvertement avec vous, les OEMMII de la Terre, est vif et seule nous retient la certitude que l’établissement d’un contact officiel public serait préjudiciable au fragile réseau social de votre planète. Pour la même raison nous ne pouvons intervenir directement et publiquement ainsi que vous le supposez.
Cette lettre n’engage que vous. Le fait de la rendre publique est laissé à votre entière discrétion sachant que l’on pourra vous opposer que vous avez pu tout aussi bien pu l’écrire (note 1) et la poster vous-même, qui plus est d’un endroit proche de votre domicile . Elle sera tout au plus classée dans la rubrique des lettres douteuses ou hypothétiques. Vous pouvez tout aussi bien la lire et la garder pour vous sans en faire part à vos frères.
Notre présence sur Terre a connu des interruptions temporaires depuis 53 années que nous vous visitons. Nos absences totales ont cependant été de courte période, bien que notre corps expéditionnaire s’est souvent réduit à six membres au cours des dernières années. Notre présence en temps cumulé sur votre planète approche les 49 années. Les dernières interruptions complètes de notre présence eurent lieu du 15 mai au 6 octobre 1993 et du 19 février 1998 au 4 août 1999. Le renouvellement de nos groupes expéditionnaires posait alors problème à cause des mauvaises conditions isodynamiques de l’espace dont les plissements, engendrés par notre OUWAAM, permettent d’effectuer nos voyages avec des durées de parcours acceptables. Ces conditions sont actuellement dégradées mais il s’est récemment produit une perturbation annexe rendant envisageable un voyage et qui nous a permis d’accueillir d’autres frères le 11 mars 2003 après un voyage épuisant équivalent à 5 mois terrestres.
(….) notre planète a également été visitée dans des temps anciens par des races étrangères.
Le premier contact officiel avec des OEMMII provenant d’une autre planète eut lieu en l’année 75 de notre ère (environ 1255 ans terrestres avant la date actuelle si l’on veut tenter un synchronisme illusoire entre la Terre et OUMMO) par des frères pacifiques venus de la planète DOOKAAIA en réponse aux signaux émis depuis OUMMO. 11 XEE avant cela, ils avaient envoyé deux nefs automatiques en reconnaissance préalable pour vérifier notre réaction en réponse à une incursion patente et non fugitive dans notre espace aérien. Auparavant, notre planète avait également connu ce que vous appelez les vagues d’OVNI qui sont des OUEWA envoyés en reconnaissance par les OEMMIl voyageurs de différentes planètes de cette galaxie.
Le contact avec nos frères de la planète DOOKAAIA fut officiel et il n’y eut pas, à notre connaissance, de tentative clandestine de quelconques autres OEMMll pour se mêler à notre réseau social. Cela serait d’ailleurs impossible car chaque personne de ce réseau social est nécessairement en interaction avec le réseau d’ordinateurs SANMOO AAYOUBA qui surveille toute notre planète. Aucune intrusion n’est de ce fait envisageable au sein de notre réseau social.
Nous sommes redevables à ces frères d’une accélération de notre développement technologique grâce à leurs apports théoriques à notre modèle cosmologique, alors balbutiant, au niveau de la théorie des IBOSZOO OU et de la structure décadimensionnelle du WAAM-WAAM. Grâce à eux nous avons pu maîtriser le processus d’inversion de l’orientation des axes des IBOSZOO OU (OAWOLEIIDAA) et ainsi construire nos propres OAWOLEA OUEWA pour explorer notre galaxie et les autres WAAM. L’ingérence dans notre évolution ne s’est effectuée qu’à minima, se bornant à impulser des travaux théoriques déjà avancés, et parce que nos frères de DOOKAAIA avaient jugé notre stabilité sociale suffisante pour nous permettre d’accéder à un niveau de technologie supérieur, bien que toujours très inférieur au leur.
Nos frères de DOOKAAIA nous ont également impulsé dans le domaine psycho-émotionnel car nous étions à cette époque un peuple éminemment pragmatique et notre compréhension du WAAM-WAAM omettait alors l’intégration dans notre modèle cosmologique global des composantes transcendantales que sont WOA et BOUAWA. Ils nous ont encouragé, sans toutefois nous orienter directement vers la solution, à perfectionner nos connaissances en biologie cellulaire et en biopathologie car, et c’est maintenant également certain pour nous, la compréhension du WAAM WAAM nécessite la complète compréhension du fonctionnement biopsychologique de l’OEMII (corps humain pris dans ses aspects matériel et psychique indissociables).
Nous avons ainsi nous-mêmes accès aux voyages intra galactiques depuis une époque relativement récente et notre intégration dans la communauté des frères de cette galaxie est une expérience transcendante pour nous au fur et à mesure de notre développement psycho-émotionnel.
Nous avons comme règle tacite de référer aux autres frères OEMMII plus évolués avec lesquels nous sommes en contact pour tout voyage exploratoire que nous désirons effectuer. La règle est encore plus forte en cas de volonté d’incursion dans le réseau social d’une planète à OEMMII non voyageurs : nous sommes tenus moralement d’en faire mention officielle auprès de nos frères galactiques, avec les motivations légitimes qui nous la semblent imposer. Il est fréquent, au vu de notre relative inexpérience, qu’un voyage soit déconseillé. Les motivations de ce refus sont rarement explicitées mais nous nous y tenons strictement. Dans ce cas nous différons notre mission en attente d’un accord ultérieur. Nous avons toujours appliqué ce principe depuis un malheureux accident qui eut lieu lors de notre deuxième voyage d’exploration qui se termina par la mort atroce de nos frères, tués par les habitants autochtones de la planète.
Nous avons l’accord de nous immiscer au sein de votre réseau social depuis votre année 1948. Auparavant tout accord pour visiter votre système stellaire nous avait été refusé. Nous ignorions jusqu’à votre existence. Nous en comprenons aujourd’hui les raisons car vous vous trouviez dans une phase critique de votre histoire qu’il vous fallait surmonter seuls.
Des infractions à cette interdiction avaient cependant été récemment commises par d’autres visiteurs provenant d’un système stellaire que nous ne connaissions pas. Ces OEMMII de petite taille disposaient de technologies rudimentaires mais non conventionnelles qui ont surpris les frères qui surveillent habituellement votre planète. Ces derniers n’ont pas eu le temps d’entrer en contact avec eux pour les dissuader d’interagir. Vos gouvernements ont alors eu accidentellement connaissance de la présence de ces visiteurs et de leur technologie, avancée de votre point de vue. Cette situation non souhaitée par nous a nécessité une rupture de la stricte politique de non ingérence qui était en vigueur envers votre planète.
Une phase d’ingérence mineure a donc été instaurée et nous avons été invités à y participer. Nous avons commencé au préalable des investigations scientifiques, biologiques et sociologiques de votre planète et des humains qui y habitent. C’est avec une grande émotion que nous avons pu confirmer votre nature de frères en remarquant les extraordinaires similitudes physiologiques qui existent entre nos deux races, tout comme nous l’avions déjà constaté, bien qu’à un degré moindre, avec les autres frères que nous avons pu contacter au cours de notre histoire.
Comme vous le supposez, il existe un pacte tacite de non ingérence au niveau des différents OEMMII voyageurs qui visitent d’autres astres habités par une forme de vie plus évoluée que les simples organismes pluricellulaires. C’est une simple règle de bon sens qui consiste à ne pas influer sur le développement d’une planète si cette influence n’est pas nécessaire ou souhaitée de façon explicite par la race des OEMMII qui la peuplerait. La seule sanction de bon sens que nous appliquerions à des OEMMII qui violeraient cet accord tacite serait un refus total de coopération avec eux et la mise en œuvre de moyens spécifiques, éventuellement coercitifs, destinés à contrecarrer leurs actions. Une sanction punitive destructrice envers ces OEMMII visiteurs ne saurait être édictée, sauf en cas de volonté manifeste de nuire, ce qui à notre connaissance ne s’est pas strictement produit sur Terre. Dans ce cas, le groupe d’OEMMII le plus à même d’intervenir est libre de le faire à condition de pouvoir justifier de cet acte de légitime assistance envers les autres OEMMII frères de la galaxie.
Nous savons reconnaître la signature des différents OUEWA visitant notre galaxie, à condition d’avoir été en contact préalable avec un même modèle. Vous serez ainsi surpris de savoir que nous connaissions un nombre restreint d’OEMMII parmi ceux qui ont visité votre planète depuis notre arrivée. Les technologies d’environ 10% de ces OEMMII étaient totalement exotiques vis à vis des nôtres, leur développement technologique ayant pris d’autres voies pour aboutir au voyage galactique ou ayant évolué au-delà de notre entendement. Il existe ainsi une race d’OEMMII dont la technologie est au-delà de notre compréhension et qui semble surveiller différentes planètes en sondant les OUEWA qui y font incursion. Nous pouvons affirmer que des OUEWA ont été délibérément dématérialisés au sein même de votre atmosphère par ce que nous avons interprété comme un OAWOLEIIDA provoqué de façon exogène à ces nefs, nous supposons, par ces OEMMII à technologie avancée.
(…). Si le moindre doute quant à l’origine extraterrestre de cette lettre subsiste en vous, et ce doute devrait en toute logique exister, je vous exhorte à ne pas la communiquer de façon publique, hormis éventuellement à certaines personnes de confiance qui pourraient en faire une analyse critique et DEPASSIONNEE. Il s’agit cependant d’un simple conseil. Vous pouvez tout à fait ne pas le suivre, ou le suivre…(…)
(…) en posant virtuellement ma main sur votre poitrine en gage de mon respect et de mon amitié que je vous garantis sincères.
Pour OUMMOAELEWE
E IXOO 7 fils de OURIEE 29, approuvé par AYIOA 1 fils de ADAA 67
)+(
NR 14
en-tête)
(…) Saddam Hussein ou George Bush que nous considérons comme des psychopathes. Nous n’avons construit aucune barrière mentale nous séparant de vous comme le bien du mal. Nous avouons cependant réagir avec une certaine aversion lorsque nous faisons référence à votre race sur OUMMO. Vous souffrez d’une pathologie psychologique globale qui vous mène à confier le destin de votre planète aux dirigeants les plus à même de la mener au désastre. J’ai moi même ressenti un certain désappointement en apprenant mon rattachement à l’INNAYOUYISSAA (microgroupe social soumis à un supérieur) destiné à OYAGAA (votre planète). Ma YIE (épouse) m’a confié son désir d’intervenir en ma faveur auprès du conseil scientifique d’OUMMO pour changer cette affectation et il m’a fallu la persuader de ne pas considérer cela comme une honte ou une humiliation mais comme un sacrifice nécessaire.
(…). Vous vous complaisez dans vos supplices en provoquant même de nouvelles souffrances quand la situation semble vouloir s’apaiser. Quand donc vous révolterez-vous en masse contre cette situation permanente ? Quand donc le mouvement brownien des individus de votre réseau social sera-t-il canalisé par une volonté globale orientée vers des buts évolutifs concrets ? La mobilisation des populations de vos grandes nations en faveur de la paix avant le déclenchement des hostilités en Irak a cependant dépassé nos prévisions. Bien que cela ait manifestement été inutile, il existe sans nul doute encore un espoir que votre conscience collective s’active alors que tout est mis en œuvre pour l’anesthésier.
Nous ne vous jetons toutefois pas la pierre. L’histoire d‘OUMMO connut aussi des périodes déplorables au cours, par exemple, des règnes despotiques d’IEE 456 fille de NAA 312 puis de WIE 1 fille d’OOWA 3 et d’IEE 456. La réforme de notre réseau social qui s’ensuivit fut longue et éprouvante et il s’agit d’une période de notre histoire que nous ne cachons nullement mais dont nous nous sentons profondément honteux.
L’une de vos sœurs de Kingscote en Australie, après avoir étudié le livre de la sociologue américaine Ruth Benedict, nous a un jour fait remarquer les similitudes entre notre société d’OUMMO et celle du Japon. Dans les deux cas la société est fondée sur le groupe social et non focalisée sur l’individu comme dans vos sociétés occidentales. Sur OUMMO, comme au Japon, la conformation aux règles est obtenue par l’exacerbation du sentiment de honte induit chez nos frères par le blâme émis à leur encontre par le réseau social entier lorsqu’ils s’écartent trop des schémas comportementaux que nous prenons pour modèles. Pour votre soeur australienne, OUMMO, comme le Japon, est une culture de la honte alors que les autres sociétés d’OYAGAA reposent principalement sur le modèle antithétique qui cherche à provoquer le remords et le sentiment de culpabilité lorsque des interdits imposés sont transgressés. Bien que ce parallèle soit quelque peu simpliste nous devons en admettre la pertinence.
Ainsi notre punition consistant à exposer nu en public un individu ayant contrevenu à nos OUAA (lois morales) a effectivement pour objectif de provoquer le sentiment de honte chez cet individu, ainsi que chez tous les frères qui sont vivement incités à regarder ce spectacle, affligeant à nos yeux. En conséquence, nous nous attachons à suivre les OUAA pour éviter d’être soumis à cette punition humiliante. Vous mettez vous aussi en scène, dans vos tribunaux, des procès publics agrémentés par les effets rhétoriques et les ornements d’apparat désuets de vos magistrats. Le but de ces procès est ici de provoquer le sentiment de culpabilité afin d’obtenir le repentir des accusés et de justifier la privation de la liberté et le paiement d’une pénalité financière qui permettra de rétribuer les services étatiques répressifs qui édictent vos interdits et qui, au final, s’autoalimentent des troubles du réseau social qu’ils sont censés réguler.
Nous avons déjà entendu les arguments de vos frères qui trouvent morbide cette exposition en public de notre nudité. Ces arguments sont anthropocentriques et ne tiennent pas compte du fonctionnement propre de notre psychologie et du fait que nous nous voyons inculquer dès l’enfance un réflexe de pudeur très fort qui va jusqu’à produire un inconfort physiologique intense lorsque nous devons nous dévêtir devant d‘autres frères, en particulier du sexe opposé, et leur dévoiler nos zones érogènes. Je vous donne en exemple le cas d’une de nos sœurs qui, révoltée par la soumission d’une femme terrienne envers son époux, lui fit une remarque extrêmement blessante qui la fit pleurer. Sa supérieure conçut le projet de la soumettre à un châtiment exemplaire en exposant sa nudité non seulement à tous nos expéditionnaires présents sur Terre à cette époque mais également à certains de vos frères et sœurs d’Adélaïde avec lesquels nous collaborions étroitement. En entendant la sentence, cette YIE entra subitement dans un état catatonique à la seule idée de se trouver nue devant des terriens. Seule l’intervention d’un autre frère permit de réduire la sentence en y impliquant uniquement les expéditionnaires d’OUMMO par l’argumentation logique que cela aboutirait inévitablement à donner des indices révélateurs non souhaités à vos frères sur nos particularités physiologiques externes.
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N’attendez de nous aucune intervention pour modifier le génome de votre race par quelque moyen que ce soit. Votre problème de fond n’est pas biologique mais psychologique. La réforme doit effectivement passer par l’éducation des jeunes coupés radicalement de l’influence néfaste:
– de leurs propres géniteurs ;
– de l’environnement social qui les encourage à adopter des comportements déviants tels le tabagisme, l’alcoolisme, la violence, la consommation de drogues, la pratique d’un érotisme morbide ainsi que d’une sexualité débridée et erronée;
– des médias de diffusion de l’information qui contaminent leur capacité encore intacte d’analyse objective.
Vous acceptez sans conteste l’existence de virus ou autres micro-organismes pathogènes contre lesquels vous recherchez des parades adaptées à chacun. Sachez que ces biovirus ont également leur pendant psychologique, plus subtil. Alors que vous avez de façon évidente su répliquer ces concepts virus/vaccin au niveau de vos ordinateurs, ne pouvez vous concevoir également l’existence d’idées-virus altérant irrémédiablement votre fonctionnement psychologique ? Ces psychovirus sont instillés pour la plupart dès l’enfance par les géniteurs eux-mêmes qui tentent tant bien que mal d’éluder les nombreuses questions candides de leur enfant par des réponses toutes faites ou inventées dans l’inspiration du moment. Le système éducatif et les médias de diffusion de l’information achèvent ce processus qui finit par fragiliser le discernement critique de vos jeunes pour les conformer aux idéologies erronées proférées par vos instances politiques, économiques et religieuses. L’existence de différences parfois fondamentales entre les idéologies des différentes nations de votre planète entraîne inévitablement des tensions xénophobes entre les individus dues à leur seule incapacité d’accepter leurs différences et de moduler leurs comportements en fonction d’elles. Ces virus psychologiques aboutissent, par un processus insinuant d’apprentissage, à modifier physiologiquement des structures synaptiques en créant et en consolidant des connexions neuronales thalamiques et hypothalamiques ainsi qu’au niveau de certaines zones clés, en particulier l’amygdale, le noyau accumbens, l’aqueduc de Sylvius, le septum et l’hippocampe. Ils conditionnent lentement l’individu à agir de façon prévisible en réponse à des stimuli remettant en cause son sentiment de sécurité, ses convictions intimes et les préjugés inculqués à travers un mécanisme que l’on pourrait définir comme une homéostasie psychologique. L’argent, la religion et l’orgueil nationaliste sont sans conteste les principaux ressorts dont usent vos dirigeants à votre encontre.
Pour OUMMOAELEWE:
E IXOO 7 fils de OURIEE 29, approuvé par AYlOA 1 fils de ADAA 67
)+(
NR15
Je suis E IXOO 7 provenant de la planète OUMMO. Je me permets de vous écrire à nouveau. Cette lettre sera ma dernière.
Je tiens à rectifier une phrase de mon dernier flux d’informations qui vous était destiné. Ma soeur de Bruxelles m’a fait comprendre une erreur commise par moi en employant mal à propos les mots « nous avouons cependant réagir avec une certaine aversion lorsque nous faisons référence à votre race sur OUMMO » . Je vous prie de bien vouloir m’excuser de cette phrase malencontreuse qui pourrait laisser croire que nous n’apprécions pas les individus d’OYAGAA et que nous éprouvons envers eux une quelconque répulsion d’ordre physiologique. Je vous supplie de croire qu’il n’en est pas ainsi. La phrase faisait référence à votre réseau social pris dans sa globalité et non à votre nature d’OEMMII. Elle n’incluait pas également votre culture artistique, en particulier musicale et architecturale, (…). Un bâtiment entier est dédié à la culture de votre planète dans notre colonie de OUDIOWEE où je réside. Je vous avoue parcourir avec un émerveillement mêlé de stupéfaction les musées de votre capitale tels le Louvre, le Museum d’Histoire Naturelle ou les musées consacrés aux sculpteurs Antoine Bourdelle et Auguste Rodin qui furent l’objet de mes dernières visites.
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Trois de nos nefs sont arrivées sur Terre les 9 et 10 mai 2003 en trois points distincts de votre planète. Les contacts avec le sol eurent lieu près des localités suivantes
– Humbolt, lowa, Etats-Unis;
– Glenbrook, Nouvelles Galles du Sud, Australie;
– Atlixco, Puebla, Mexique.
Neuf de nos frères sont ainsi venus rejoindre le petit groupe d’expéditionnaires qui se trouve actuellement sur cette planète. Leur mission principale sera l’étude des phénomènes géologiques, la prévision des séismes et des éruptions volcaniques. Telle était également ma mission première sur OYAGAA et je fus choisi par le conseil scientifique de OUMMO pour mes travaux en INNOYAGOOU (géologie stratigraphique) et mes apports théoriques visant à améliorer le modèle prédictif des éruptions de notre volcan OUDIO OEY qui éjecte régulièrement des colonnes de gaz incandescent à des hauteurs dépassant parfois 2000 mètres.
Nous surveillons avec constance les cratères de l’Etna et de Panarea en Italie, du Colima et du Popocatepetl au Mexique, du Bezimianny et du Chikurachki au Kamchatka, du Guagua Pichincha et du Tungurahua en Equateur, du Kilauea à Hawaii, du Nyamuragira au Congo, du Pago en Nouvelle Guinée et du Piton de la Fournaise sur l’île de la Réunion. Nous tentons de réguler les phases éruptives de ces volcans et de mettre en place des mécanismes de contention des déformations crustales au niveau des failles géologiques. Depuis 1972, un système de compensation tectonique a été progressivement mis en place avec succès le long de la faille pacifique de San Andreas pour réduire les effets de l’activité sismique dans cette région. Une explosion imminente de l’Etna fut également évitée par nous en 1967 en créant une cavité artificielle dans la roche qui permit d’évacuer le surcroît de pression. Cette cavité, en s’effondrant, fut à l’origine d’une nouvelle bouche du volcan. Vos frères Tazieff et Tonani avaient été prévenus de ce phénomène par courrier en avril 1967. J’ai moi-même exploré l’Etna, Panarea et le Stromboli en novembre et décembre 2002 afin d’y placer des instruments de mesure souterrains. Nous surveillons plus intensément le Popocatepetl dont l’activité inquiétante menace les populations des grandes agglomérations de Puebla et de Mexico D.F. Nous ne sommes pas les seuls à le faire.
(…) je repartirai très bientôt pour OUMMO. Une nef partira entre le 10 et le 12 juin depuis la Belgique ou les Pays-Bas. Croyez que je garderai un souvenir impérissable des 11 XEE passés sur votre planète. Les terriens disposent sans conteste d’une nature dont nous jugeons la diversité exceptionnelle. Si vous saviez domestiquer cette nature sans la pervertir OYAGAA serait objectivement l‘un des plus beaux astres froids connus par nous. Puissiez-vous, (…) , contribuer à injecter cet idéal dans la conscience collective de vos semblables.
Je suis heureux d‘avoir pu communiquer avec vous. Si j’ai commis des maladresses par manque de rigueur ou par méconnaissance de votre langue, je vous demande de bien vouloir m’en excuser. Je vous prie également d’accepter l’expression de mon respect sincère.
Pour OUMMOAELEWE:
E IXOO 7 fils de OURIEE 29, soumis à AYIOA 1 fils de ADAA 67 TP-94
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NR17
Monsieur
Nous tenons à manifester notre peine suite au décès de votre frère Sergio Vieira de Mello. Cet homme bon, intelligent, digne et intègre a toujours lutté sans relâche pour la paix, affligé par la misère qui sévit au sein des nations défavorisées ou détruites par vos incessants conflits meurtriers. Certains de nos frères ont eu l’occasion de côtoyer cet homme sans qu’il se doute de leur nature véritable. Ils ont pu constater qu’il était l’un de vos frères les plus humains que nous connaissons sur votre planète et ont ressenti une profonde tristesse en apprenant les circonstances atroces de sa mort.
Cependant vous devez vous réjouir car la mort de cet homme ne sera pas inutile. Elle ne sera pas qu’une mort de plus ayant servi à alimenter des verbiages trop souvent vides d’émotion dans vos journaux. Nous avons pu mesurer l’intensité des réactions émotionnelles de cet homme envers vos souffrances et son degré de volition à tenter d’y remédier. L’intégration de son âme au sein de votre psyché collective permettra de rehausser de façon significative les notions de probité, de mansuétude et d’équité qui seront ainsi répercutées à tous vos frères qui s’insurgent contre la corruption, l’intolérance et l’injustice, les incitant non plus à se lamenter mais à agir. Une réaction doit découler de la mort de cet homme. Le futur de votre race ne peut se fonder sur la violence: quoi qu’en semblent penser les délinquants inconscients qui s’acharnent à détruire votre nature par le feu, et par le sang toute tentative permettant d’aboutir à un espoir de paix.
Contrairement à nos normes habituelles, et considérant que nos envois précédents on été partiellement diffusés, nous vous demandons, s’il vous plait, de rendre public ce présent hommage chargé d’une amertume que nous ne savons ni ne voulons occulter.
Nous vous remercions de n’avoir pas révélé le contenu de l’annexe intitulée « ……………….. (1) » et vous réitérons l’expression de notre respect sincère.
OUMMOAELEWE
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(En tête nominative)
Mon nom est NABGAA 112 fille de DORIO 34 . Je réside actuellement. dans la ville de Bruxelles et dépends de mon frère AYIOA 1 fils de ADAA 67 chef des expéditionnaires de l’ Europe Occidentale sauf Grande Bretagne, Irlande, Portugal et Espagne. Je me rendrai prochainement dans votre capitale française pour cautionner deux jeunes frères qui maintiendront notre présence dans votre pays après le départ de E IXOO 7 fils de OURIEE 29 et de OSSEII 56 fils de OSSEII 53. Ces frères m’ont transmis les flux d’information qu’ ils vous ont fait parvenir par courrier.
Mes frères et moi qui résidons en Europe suivons avec intérêt vos débats d’idées au sujet de notre OUMMO sur la compilation des messages électroniques que vous échangez publiquement entre vous. Nous avons parcouru avec attention la liste des questions posées par vos frères. Nous désirons répondre à certaines mais ne pouvons développer tous les sujets ainsi que vous le souhaiteriez. Nos ordres stricts sont de limiter chaque flux d’information à deux pages dactylographiées et de moduler la fréquence de nos envois en fonction des perturbations engendrées au sein du micro-groupe qui spécule comme vous sur notre existence et sur la pertinence des indications fournies au sein de nos messages.
Nous tenterons, dans la mesure du possible, de répondre aux interrogations légitimes que vous vous posez. Soyez cependant conscient du fait que nous nous réservons le droit d’omettre certaines réponses ou de répondre à certaines questions par des allégations détournées ou incomplètes.
Vous êtes libre de divulguer ou pas les informations que nous vous ferons parvenir. Elle sont votre propriété et le résultat de la confiance que nous vous accordons. Il est possible que nous vous demandions de ne pas révéler certains renseignements que nous jugeons important de vous communiquer personnellement mais qui sauraient causer un trouble chez vos frères.
Je vous prie d’accepter (……………) que j’appose ma main contre votre poitrine en gage d’amitié respectueuse suivant la coutume en vigueur sur notre monde.
EN REPONSE A VOS FRERES
En réponse à votre frère André-Jacques Holbecq, nous souhaitons l’assurer de notre bienveillance. La publication ordonnée de nos missives et leur mise à disposition, pour l’ensemble de votre population est une action grandement positive. Notre existence au sein de votre réseau social étant maintenant dévoilée, un contrôle strict de l’authenticité de nos flux d’information émis à travers le monde ainsi que de leur contenu est nécessaire pour empêcher toute dérive irrationnelle ou appropriation de notre identité OUMMOAO à des fins personnelles égoïstes. Nous constatons malheureusement de telles dérives en Amérique du Sud ainsi qu’aux Etats-Unis d’Amérique et cela nous attriste profondément.
La faute commise par vos frères d’Espagne en divulguant des correspondances confidentielles ne peut en aucun cas retomber sur ceux qui lisent, étudient et rediffusent ces correspondances. Eux-mêmes savent que nous ne saurions les blâmer pour une erreur qui ne persiste que dans leur imagination. Notre bienveillance leur est irrévocablement acquise. L’impact sociologique de cette divulgation, bien que non négligeable, a causé peu de préjudices à votre réseau social et les perturbations constatées sont aujourd’hui largement amorties. Le réseau d’expéditionnaires Oummains sur votre planète en a cependant gravement souffert. Nous avons dû réduire notre activité et renforcer nos mesures de protection suite à la défaillance de ces frères.
Nous attirons cependant l’attention de votre frère André-Jacques Holbecq sur le danger inhérent à une publicité massive autour d’OUMMO. Les services secrets européens sont au courant de notre existence. Votre pays de France ne nous est pas hostile mais d’autres pays fortement liés au Traité Nord-Atlantique, comme l’Espagne ou le Royaume Uni, ont développé envers nous une peur panique irrationnelle. Il est indispensable d’éviter tout sensationnalisme qui entraînerait un effet de masse autour de nos écrits. Un simple réseau de discussion tel que celui que vous avez constitué pour analyser nos textes peut être suffisant pour créer un effet levier dont l’ampleur pourrait vous échapper. Vous ne devez en aucun cas vous servir d’OUMMO pour tenter d’exprimer des incitations publiques visant par exemple, à faire révéler certaines informations confidentielles concernant la réalité du phénomène OVNI maintenues secrètes par vos organismes étatiques. Cela n’est pas souhaitable pour l’instant. Ces organismes ont une connaissance incomplète et faussée des raisons et implications réelles de nos incursions sur votre planète. Les OEMMII voyageurs qui vous visitent sont à même de décider de la conduite à tenir pour intervenir auprès de vos autorités et vous faire prendre progressivement conscience de leur présence. Nous insistons: votre réseau social pris dans son ensemble. n’est pas encore prêt pour supporter le choc psychologique d’une révélation directe.
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En réponse à votre frère Jean Pollion, nous le félicitons pour son patient travail concernant notre langage. Nous confirmons que ce langage est propre à notre peuple d’OUMMO. La règle de courtoisie veut que l’on s’exprime dans la langue en vigueur sur l’astre froid que nous visitons. Il existe cependant des exceptions dans le cas de langages dont les sonorités sont trop complexes pour savoir être reproduites par notre larynx, y compris par le biais de prothèses amplificatrices. Dans ce cas nos hôtes utilisent notre langage pour communiquer avec nous. Il n’existe pas de langage universel mais nous utilisons fréquemment des codes standardisés formés par des séquences sonores répétitives qui nous permettent d’échanger rapidement de l’information limitée à des concepts simples. Nous communiquons parfois avec d’autres OEMMII voyageurs qui vous visitent. Dans ce cas nous utilisons vos langages Anglais, Russe, Chinois ou Espagnol avec eux.
Vous vous étonnez des agroglyphes qui apparaissent spontanément au sein de vos champs. Un grand nombre de vos frères croit réellement que des OEMMII farceurs munis de simples planches de bois sauraient en être a l’origine. Quand cessera cette ingénuité? Oui, ces signes sont tracés, dans leur grande majorité, par des OEMMII voyageurs extérieurs à votre planète. Ils ne sont pas de notre fait mais nous connaissons la race d’OEMMII qui les produit. La moralité de ces OEMMII est élevée et nous ne réprouvons pas leurs actions. Leur objectif n’est pas simplement d’exercer une forme d’expression artistique au détriment de vos récoltes mais bien de provoquer une prise de conscience progressive de la réalité extraterrestre par une interrogation légitime concernant la provenance de ces signes. Le discrédit volontaire lancé par les services étatiques d’investigation et relayé par les organismes de diffusion de l’information cèdera nécessairement au delà d’un certain seuil de crédibilité qui s’avère cependant plus élevé que la simple logique le laisserait supposer. Nous constatons le même phénomène d’hypnose collective et de cécité mentale au niveau de la multiplication des incursions dans votre espace aérien de véhicules OVNI dont l’origine extra planétaire ne devrait logiquement faire aucun doute. Vous constaterez également que certaines nations ou zones géographiques concentrent une majeure partie de l’observation de ces phénomènes. Ceci n’est pas le fruit du hasard mais résulte d’une volonté d’exercer une pression constante sur certains organismes d’états manipulateurs et sournois dont le seul but est de maintenir le réseau social sous contrôle pour survivre.
Pour OUMMOAELEWE
NABGAA 112 fille de DORIO 34, approuvée par AYIOA 1 fils de ADAA 67
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NR18
Diffusion initiale de la NR-18, mis en ligne le 13/01/04
(………… quelques mots effacés par P.M. ……….) et André-Jacques Xxxxxxx
Je vous fournis, à votre demande, quelques informations géographiques et démographiques concernant notre OUMMO. Tout d’abord il me faut absolument lever la confusion que semble apporter la carte qui apparaît sur le document classifié par vous D41-1 à la section 111/1. Cette carte ne représente pas notre continent OUMMOAA dans son intégralité mais une superficie d’environ 2100 x 1400 kilomètres couvrant la grande presqu’île équatoriale nommée WOAROO AAXAA. Cette île fortement urbanisée abrite nos centres législatifs et religieux. Elle regroupe plus de 200 millions d’habitants, soit environ 8% de notre population globale (voir note ci-après).
Note 1 : Notre accroissement démographique avait été augmenté depuis plusieurs douzaines de XEE pour rajeunir notre population et pouvoir atteindre le nombre idéal de 6.128 (2.58 milliards) habitants à l’entrée de notre 4 ème âge (voir note 2). Nous appliquerons désormais un taux de natalité moyen de 60/1728 tous les 12 XEE pour maintenir notre population à ce niveau, ce qui équivaut environ pour vous à un taux annuel de 13,7 °/°°.
Note 2 : A titre informatif, l’instant de ce passage nous a été notifié le 9 juillet 2003 entre 6h34 et 6h37 GMT, moment auquel nos conjoints, enfants adultes et parents restés sur OUMMO ont établi une communication télépathique avec nous (voir note 3). Nous remercions vos frères pour leurs chaleureux messages de sympathie qui seront transmis à OUMMOAELEWE.
Note 3 : La distance n’importe pas pour établir le lien télépathique mais des interférences dues à la présence de matière imaginaire dans OUWAAM sauraient affecter légèrement le synchronisme lors de communications à très grande distance. Cela explique la marge d’erreur qui tient compte d’un retard maximisé de 3 minutes pour le premier lien télépathique perçu à 6h37. En aucun cas les interférences ne sauraient affecter le pseudo-synchronisme de façon à ce que l’on perçoive une communication télépathique avant son émission car cela supposerait une violation des lois physiques fondamentales du WAAM.
=> Les symboles figurant sur cette carte sont inversés dans votre document, le cartouche devant apparaître en haut à gauche. L’inversion est imputable à un encollage erroné de l’image ou à un positionnement volontaire pour un sens de lecture plaçant le couchant (ouest) à gauche conformément à votre convention et contrairement à la nôtre. Les repères typographiques et la projection cartographique se trouvent de ce fait inversés par rapport à notre représentation habituelle dans laquelle l’hémisphère supérieur, qui concentre la majeure partie de notre continent OUMMOAA, représenterait pour vous le sud.
La superficie globale des zones émergées étant d’environ 250.10 6 km2 il est aisé d’en déduire une densité moyenne de population d’environ 10 habitants au km2 mais cette valeur moyenne donnerait une idée très faussée de la répartition de notre population qui se regroupe à 83% dans 8 colonies sub-équatoriales (voir note 4) où la densité moyenne de population, calculée sur la superficie des terres effectivement habitées, varie entre 3.123 et 6.123 habitants au KOAEE carré – soit entre 68 et 136 habitants au km2. Il me faut également ajouter que la moitié de la superficie totale – les régions marécageuses au centre de notre continent, la zone polaire ainsi que les deux blocs sub-polaires qui s’y rattachent – est constituée en réserves naturelles et seuls y résident temporairement quelques spécialistes en écologie planétaire, botanique ou zoologie qui désirent étudier la faune, la flore et l’évolution naturelle du milieu. 17% de notre population est répartie dans la colonie centrale WOAROO – incluse WOAROO AAXAA – située dans la zone équatoriale supérieure de ce continent qui recèle les vestiges historiques principaux de notre passé aboli.
Note 4 : Il n’existe sur OUMMO qu’un seul vaste continent très découpé. Pour des raisons historiques, la partie supérieure de ce continent – située au sud pour vous – qui constitue environ 68% du total de la superficie des terres émergées est très peu peuplée. La superficie effectivement habitée est divisée en 9 blocs géographiques ou colonies dont seule la colonie principale WOAROO s’étend au sud de l’équateur d’OUMMO. Les 8 autres colonies, représentant 31% de la superficie totale de ce continent, se répartissent au nord de l’équateur et sont arbitrairement séparées par des frontières topologiques naturelles – rivières ou bras de mer. Nous mesurons comme vous le temps en fonction du parcours apparent de notre soleil IOUMMA durant un XII (jour). La référence géographique est arbitrairement donnée par la petite île équatoriale circulaire OUAWABAAAE mentionnée sur la carte surmontée d’un glyphe contenant un cercle symbolisant l’équateur. Cette île nous sert d’origine des coordonnées horaires de façon tout à fait similaire à votre méridien de Greenwich. OUMMO est ainsi divisé en 25 créneaux horaires de 24 OUIW chacun (1 heure et 15 minutes environ).
=> Je vous prie de bien vouloir prolonger, sur la carte, les traits qui convergent vers différentes concentrations de population des colonies directement voisines de WOAROO AAXAA. Nos 8 colonies périphériques représentent environ 31% de la superficie totale d’OUMMOAA. La zone habitée de la colonie WOAROO s’étend sur environ 19% dans une bande territoriale qui se situe approximativement entre la zone tropicale supérieure et l’équateur. La zone polaire, incluant deux péninsules sub-polaires, constitue 9 % du territoire total. Elle est glacée et déserte. Le centre législatif WOAROO AAXAA abrite le siège de notre conseil d’OUMMO (OUMMOAELEWE) qui est situé à l’équateur, au nord-est – en fonction du positionnement de votre carte – du grand lac AOUWOA SAAOA. Vous pouvez également remarquer, au centre de ce lac, l’île WOABAAAE où l’on peut admirer un grand bâtiment en forme d’œuf translucide de couleur feu, dédié à la méditation et au culte religieux. Un splendide bâtiment dodéca-hémisphérique, situé à proximité, accueille les représentants officiels provenant d’autres astres froids qui nous visitent sur OUMMO pour maintenir un contact télépathique entre OUMMOAELEWE et les peuples avec lesquels nous sommes en relation. Le lien télépathique est en effet le seul à permettre un contact simultané entre deux systèmes stellaires. Nous vous engageons de tout cœur à développer cette capacité latente en vous et que vos enfants sauraient utiliser dès le début de leur puberté s’ils étaient éduqués dans cette voie.
Apparaît également sur cette carte l’île GOABAAAE – indiquée par un glyphe ressemblant à votre chiffre 9 – où se situe le cœur de notre réseau informatique concentrant les données concernant chaque Oummain (voir note 5). C’est le seul endroit de notre planète qui bénéficie d’une protection que vous sauriez qualifier de militaire.
Note 5 : Nous préférons ce terme à celui d’ummite ou oummite que vous utilisez. Nous utilisons indifféremment et par ordre préférentiel les termes ooman, oomoman, oomoan dans nos correspondances avec vos frères anglophones.
(…………quelques mots effacés par P.M ………..) et André-Jacques Xxxxxxx, l’expression de mon respect et de mon amitié sincères. Je tiens à remercier, par votre intermédiaire, tous vos frères et sœurs qui s’intéressent à notre culture d’OUMMO pour leur discrétion, et leur rappeler que l’ouverture d’esprit et le doute constant sont les signes forts d’une intelligence saine.
Note 6 : Je suis consciente que les informations complémentaires suivantes sont susceptibles de causer de vifs épanchements critiques de la part de certains de vos frères. Je vous conseille pour cela de peser votre décision de les partager avec eux. Je vous rappelle que la stabilité de notre réseau social d’OUMMO et notre évolution psycho-émotionnelle sont des facteurs que nous privilégions par rapport à de quelconques jugements de valeurs personnels nécessairement subjectifs.
PROCREATION : La procréation est prohibée en dehors de l’OMGEEYIE (couple matrimonial) – prononcez « omghéèyié « . Ce mot renferme en lui la notion implicite de couple librement consenti et légalement constitué, composé de deux OEMMII de sexe différents et d’âges compatibles. Nous autorisons une différence d’âge maximale de 35 XEE si l’époux est plus âgé que l’épouse et de 23 XEE dans le cas contraire. L’OMGEEYIE est autorisé à partir du moment où les deux conjoints sont physiquement aptes à la procréation.
CONTROLE ET PLANIFICATION DES NAISSANCES : Chaque OMGEEYIE dispose du droit/devoir indéfectible de procréation d’un premier enfant dont il a l’entière liberté de planifier la naissance. A partir du moment de la naissance du premier enfant il devra prendre les mesures nécessaires pour éviter toute imprégnation susceptible d’entraîner une seconde conception (voir Note 7). La procréation d’un second enfant doit faire l’objet d’une demande motivée et recevoir une autorisation de la part du IWOONA OUIWAAGOO (groupe de planification des naissances). En général, cette demande est acceptée si le premier enfant a déjà atteint un niveau OUNNIOBIEWIA (développement intellectuel et psychomoteur) suffisant pour lui permettre une autonomie d’apprentissage par les moyens domestiques mis à sa disposition dans l’OU·OULODAXAABII (chambre audiovisuelle) où il doit faire des exercices quotidiens. Ce niveau est généralement atteint entre 7,6 et 8,5 ans terrestres.
Note 7 : Les mesures contraceptives par régulation hormonale sont fort rarement employées sur OUMMO et nous n’avons pas d’équivalent de vos préservatifs masculins ou dispositifs intra-utérins. Le contrôle se fait par la connaissance parfaite du cycle d’ovulation de chaque YIE au moyen des systèmes de surveillance domestique intégrés dans le XANMOO (ordinateur et systèmes périphériques) privé du XAABII (maison circulaire) du couple. Ces données sont strictement privées et le SANMOO AYOUBAA (réseau informatique global) n’en a connaissance qu’au travers d’une diffusion régulière et anonyme à des fins purement statistiques.
La procréation du troisième enfant est désormais déconseillée. Il est rare qu’un OMGEEYIE en fasse lui-même la demande. Le centre éducatif ONAWO WOUA, relayé par le ministre religieux AO·OUIA·OEMII du couple, peut cependant faire la proposition à un OMGEEYIE dont les deux autres enfants ont démontré des aptitudes exceptionnelles qui confirment l’excellente complémentarité génétique des parents. Un troisième enfant est éventuellement accepté si les deux premiers sont des OU·OUYIIE (filles). Un quatrième enfant n’est plus autorisé.
MORTALITE et LONGEVITE : La stabilité démographique est désormais la règle sur OUMMO. Ceci revient à établir un équilibre strict entre les naissances et les décès. Ramené à une année terrestre, le taux de mortalité sur OUMMO atteint 13,7 °/°° .
Nos techniques médicales nous permettent de compenser les dégénèrescences physiologiques liées à la vieillesse. Nos anciens ne souffrent pas des problèmes osseux, cardiovasculaires ou des formes de cancer qui sont endémiques sur OYAGAA. Toutefois, nous souffrons dans notre veillesse d’une dégénérescence cérébrale que nous ne savons ni ne voulons éviter. Cette dégénérescence ôte peu à peu à nos anciens toute faculté d’émission par voie télépathique. La transmission orale n’étant plus possible du fait de la sclérose totale des cordes vocales, ils sont condamnés au silence. La dégénérescence se poursuit jusqu’à disparition totale de toute faculté de réception télépathique. Cette disparition de toutes les facultés naturelles de communication s’accompagne d’une lente et inexorable détérioration des capacités mnésiques. Ceci se traduit, pour nos anciens, par une perte progressive d’autonomie qui porte une atteinte inacceptable à l’intégrité de l’OEMII et au sentiment de respect personnel que vous appelez dignité.
(………… environ 3/4 de ligne effacée par P. M. ………………………) . Si la vie se résumait au maintien autonome des fonctions végétatives, notre longévité saurait alors excéder les 140 ans terrestres. Toutefois si on exclut les décès accidentels, la mort sur OUMMO est un acte volontaire qui se produit – sauf exception – entre 432 XEE et 575 XEE (de 91 à 121 ans terrestres).
CEREMONIE DE CONVERSION DE L’OEMII EN HELIUM : La mort est pour nous l’aboutissement ultime de l’existence et revêt une importance aussi capitale que la célébration matrimoniale, la conception et la naissance d’un enfant. La cérémonie de conversion en hélium, équivalent pour nous de la crémation, est méticuleusement préparée par l’ancien qui se prépare à mourir. Cette décision est en général prise conjointement par les deux époux qui en font part à leurs enfants ainsi qu’à leur ministre du culte. La mise à disposition d’un salon funéraire est alors planifiée pour l’OMGEEYIE qui réunit au complet ses enfants et leurs conjoints jusqu’à la cinquième génération. Un repas frugal est suivi d’une émouvante séance d’adieux à la fin de laquelle la famille est invitée à visionner un documentaire comprenant les séquences choisies qui résument la vie passée de l’OMGEEYIE qui s’apprête à partir. Les vieux époux s’isolent alors côte à côte en se tenant la main, face à l’assistance, derrière une vitre qui s’opacifie lentement afin qu’ils jouissent une dernière fois du bonheur de contempler à travers leurs descendants leur contribution active à la perpétuation et l’amélioration du réseau social d’OUMMO et l’accomplissement de toute une vie.
Le XANMOO qui surveille en permanence les paramètres biologiques des deux OEMII détermine l’instant précis où une paix profonde envahit l’OMGEEYIE, marquant l’entrée dans la phase méditative indiquant l’acceptation d’abandon de l’OEMII. Un éclair de lumière bleue indique à l’assistance le moment d’émission d’un champ gravitationnel à hautes fréquences qui provoque la mort instantanée par destruction des cellules cérébrales. Le processus de conversion des atomes composant les cellules corporelles en hélium est alors amorcé. Une partie de cet hélium est diffusé dans la pièce, mélangé à une composition aromatique spécialement élaborée pour l’occasion par l’OMGEEYIE même. Chaque membre de la famille inspire alors symboliquement les derniers effluves de ses ancêtres dont l’intégration volontaire à la psyché collective d’OUMMO est désormais effective.
Pour OUMMOAELEWE
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NR-18 » suite » , mis en ligne le 03/12/04
Monsieur (x)
(Trois lignes effacées à la demande de P.M.)
Je citerai, pour l’anecdote, deux frères du premier groupe qui vous visita. OURIO 79 fils de IYIA 5 se fascina pour votre psychologie complexe et ne se résolut pas à quitter votre planète de sa propre volonté. ODDIOA 1 fils de ISSAAO 132, choisi pour sa haute moralité et son expérience d’autres civilisations non oummaines – plus et moins évoluées que la vôtre – ne supporta pas la terrible réalité des souffrances subies par vos peuples au quotidien. Il dut repartir pour OUMMO dès l’arrivée d’un nouveau groupe d’expéditionnaires.
D’autres frères furent également affectés émotionnellement à des degrés divers par leur séjour sur la Terre. Actuellement, sauf exception, nous limitons la durée de nos expéditions à 12 XEE (environ deux ans et six mois). Nous devons nous soumettre pendant notre voyage de retour puis lors de notre arrivée sur OUMMO à un processus de conformation psychologique dont la durée est variable en fonction des individus – vous diriez en fonction du degré de perturbation psychologique. Nous profitons de la durée du voyage de retour vers OUMMO pour observer la période de quarantaine nécessaire pour détruire tout organisme, pathogène ou non, que nous apportons inévitablement d’OYAGAA par le simple fait d’y respirer ou d’y consommer des aliments.
Notre physiologie nous permet de résider sur votre planète pratiquement sans contrainte. L’accélération due à la gravité à la surface d’OYAGAA nous est favorable et la plus faible teneur en oxygène de votre atmosphère nous affecte fort peu car notre organisme compense de lui même en adaptant les paramètres hématologiques en conséquence. Notre rendement musculaire étant naturellement plus important que le vôtre, notre force vous paraîtrait sans doute surprenante. Les seuls paramètres désagréables pour nous sur OYAGAA sont la température élevée qui restreint notre mobilité et la forte luminosité du soleil. Nous privilégions ainsi les activités hivernales, crépusculaires ou nocturnes. Nous respectons cependant le rythme circadien propre à OUMMO – ramené à exactement trente heures terrestres – ce qui suppose des activités diurnes et nocturnes en alternance. Nous protégeons systématiquement nos yeux au moyen de lentilles souples aseptisées dont le centre, qui recouvre nos iris, est formé d’une substance possédant la propriété de s’opacifier en fonction de la luminosité reçue. Cette substance est, sur OYAGAA, légèrement rosée de façon à transposer la gamme de fréquences lumineuses émises par votre soleil dans un spectre plus proche de celui qui nous est familier sur OUMMO. En cas de forte réverbération, nous utilisons parfois vos lunettes de soleil mais nous les jugeons peu pratiques. Nous protégeons nos fosses nasales et nos conduits auditifs à l’aide d’une solution antiseptique et en badigeonnons également nos aisselles, nos chevilles ainsi que les autres zones corporelles de forte exsudation. L’odeur de la sueur apocrine en état de forte décomposition nous est difficilement tolérable. Certains de vos parfums, parfois des plus onéreux, nous écœurent littéralement. Nous considérons que la meilleure odeur corporelle est l’absence d’odeur ou la simple fragrance résiduelle des sels de bain. Il est étonnant que des produits cosmétiques aussi peu coûteux que les déodorants à base de sels d’aluminium ou d’alcool éthylique soient si peu usités par vos semblables, en particulier de sexe masculin.
Hormis la nécessité de nous prémunir contre vos virus et microorganismes pathogènes, notre seule contrainte véritable, non spécifique à OYAGAA, est d’inhaler régulièrement un aérosol – que vous sauriez qualifier d’antihistaminique – pour prévenir toute réaction allergique par exposition à des substances nécessairement exotiques pour nous (pollens, piqûres d’insectes, nourriture, boissons aux fruits, etc.,). Nous portons un soin extrême à notre alimentation. Certains aliments, banals pour vous, ne sont pas assimilables par notre système digestif. Nous devons nous auto surveiller continuellement pour détecter les symptômes précurseurs indiquant une éventuelle anaphylaxie. Nous gardons sur nous en permanence un médicament efficace qu’il nous faut alors nous auto administrer d’urgence pour prévenir la survenue d’un choc anaphylactoïde ou anaphylactique. Nous devons pareillement porter grand soin à ne laisser aucun indice révélateur de notre présence comme, par exemple, bouts d’ongles ou cheveux. Nous sommes des clients modèles pour le personnel des hôtels dans lesquels nous résidons qui ne trouvent pratiquement aucune trace d’utilisation de la salle de bain ou du lit. Nous nous forçons à provoquer des aspersions d’eau, à gaspiller le papier hygiénique, à mouiller les serviettes et à exagérer les froissements de draps pour éviter d’éventuels soupçons.
Nos mimiques comportementales sont curieusement assez proches de celles de vos semblables mais avec des différences notables. Notre rire silencieux – je me réfère ici aux Oummains adultes – vous semble fort étrange et certains de vos frères l’ont interprété sur le moment comme un étouffement par fausse route alimentaire ou un hoquet de suffocation. Nous trouvons, quant à nous, votre rire assez surprenant. Le bâillement existe chez nous mais indique en général l’hypoglycémie légère et la nécessité de nous alimenter alors que la fatigue se traduit par la sensation de lourdeur des paupières, le picotement des yeux et la difficulté de concentration. Nous sourions tout comme vous et pour les mêmes raisons. Nous sommes aussi sujets aux pleurs et aux larmes dans les mêmes conditions d’émotion que pour vous. Nous n’éprouvons aucune honte à pleurer et les larmes nous viennent aisément aux yeux tout comme la rougeur aux joues. Nous pleurons cependant en silence sauf dans le cas d’une grande tristesse où nous émettons un gémissement tenu produit par le filet d’air qui s’échappe de notre larynx opprimé par ce fort sentiment de tristesse. Contrairement à vous, nous ne savons pas dans ce cas parler en pleurant car l’émotion bloque alors complètement nos cordes vocales. L’intensité des flux émotionnels est environ deux fois plus importante dans notre cas que dans le vôtre.
Nos similitudes morphologiques sont réellement stupéfiantes. Mes frères et soeurs qui évoluent parmi vous ne sortent pas du cadre subjectif de normalité associé au large spectre morphologique que constituent vos diverses ethnies. Nous présenterions-nous devant vous vêtus suivant votre mode vestimentaire en annonçant notre origine non terrestre que vous ne sauriez au premier abord nous croire sur parole. Seul un examen visuel attentif vous alerterait par quelques détails curieux qu’un non-spécialiste éluderait ou jugerait de peu d’importance.
La réciproque ne serait cependant pas vérifiée sur OUMMO car seul un faible pourcentage de votre population adulte saurait passer visuellement pour nos congénères, la diversité morphologique étant largement moindre sur OUMMO que sur la Terre. Le pourcentage augmenterait cependant très sensiblement si nous nous limitions aux femmes, aux jeunes pré-adolescents ou aux très jeunes enfants.
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Votre développement technologique depuis les dernières années nous aide fortement dans notre mission d’investigation scientifique. La miniaturisation des composants électroniques et des sources d’énergie vous permet d’utiliser au quotidien divers appareils que vous transportez en permanence sur vous. Nous avons su aisément dissimuler nos propres appareils de mesure sous la forme de GSM, d’appareils photographiques ou de diffuseurs musicaux portables qui n’attirent pas l’attention. L’utilisation systématique par vos femmes de sacoches nous permet (je parle ici pour moi et mes sœurs Oummaines) d’y incorporer des appareils d’enregistrement de sons, d’images et de paramètres biologiques sans aucune difficulté.
Ne craignez pas l’avancée technologique exponentielle qui semble submerger certains de vos frères. Le progrès technologique est une étape nécessaire au développement de votre réseau social. La rapidité de l’émergence de votre réseau d’information mondial INTERNET est salutaire. Ce réseau présente des similitudes fortes au niveau fonctionnel avec la base d’informations accessible au travers de notre réseau planétaire d’ordinateurs sur OUMMO. La différence réside essentiellement dans l’interactivité du système avec l’utilisateur et la présentation de l’information. Nos ordinateurs ont également la capacité de prendre certaines initiatives ou d’anticiper nos demandes dans une certaine limite. Ils jouent non seulement un rôle informatif mais aussi éducatif et médical. Ils font en quelque sorte partie intégrante de notre réseau social.
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En complément de réponse je vous indique que le rapport informatif référencé par vous JS 88 (Ndw : D1378) sur lequel votre frère formulait ses remarques n’était pas destiné à être rendu public. Nous regrettons qu’il le soit mais assumons cependant son contenu qui reste majoritairement valide. Je tiens toutefois à vous rappeler que le plan d’intervention décrit dans ce rapport aurait pour seule cause d’activation la certitude de l’autodestruction imminente de votre race. A titre indicatif, en fonction de paramètres figés au 13 novembre 2002, la probabilité d’autodestruction n’atteint pas 1/12 avant votre année 2028. Sans vouloir vous alarmer nous estimons que cette probabilité dépassera 1/2 en 2073 et que le seuil de 11/12 sera atteint en 2166. Bien que ces échéances soient régulièrement repoussées depuis 1989 à chaque fois que nous les recalculons, les événements consécutifs aux attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis d’Amérique ont introduit au niveau de certains paramètres de notre modèle prédictif d’importantes fluctuations non encore amorties à ce jour.
D’autres raisons nous poussent cependant à étendre le faisceau de présomptions permettant de conclure à notre présence effective sur Terre pour contraindre vos organismes étatiques à répondre positivement à une simple requête que nous considérons absolument légitime. Ces organismes connaissent indéniablement notre nature extraterrestre sans toutefois daigner nous considérer comme des interlocuteurs fiables, comportement que nous n’arrivons pas à admettre comme rationnel. En conséquence, la phase de contacts, comprenant des rapports émis à des Terriens à travers le monde ainsi que des incursions volontairement visibles de nos OUEWA (véhicules spatiaux) dans votre espace aérien, continuera d’être progressivement accélérée jusqu’à obtenir des réactions en retour de vos gouvernements sous la pression des questions légitimes des témoins, de la presse sensationnaliste et des organismes non gouvernementaux avec lesquels nous communiquons également. Vous seriez surpris de constater la véritable panique qui s’insinue dans l’esprit des responsables situés au sommet des structures militaires de quelques unes de vos grandes nations à la seule mention du mot OUMMOAELEWE sans qu’aucune raison logique ne puisse à nos yeux l’expliquer.
Monsieur, ce document répond, je l’espère, à vos interrogations personnelles. Veuillez m’excuser pour son faible contenu informatif.
J’espère que vous accepterez, Monsieur (x), que je pose symboliquement ma main contre votre poitrine pour vous exprimer mon amitié.
Pour OUMMOAELEWE
NABGAA 112 fille de DORIO 34, approuvée par AYIOA 1 fils d’ ADAA 67
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NR19
chef ummite
Désolé mais NR-19 est un bobard! Et je ne suis pas à Buenos Aires! Je voulais tester la robustesse de la politique de «validation» des lettres ummites, en particulier les nouvelles. Et il apparaît que mon hoax a passé ces tests de «validation» à tel point qu’il fut coté 3 et en mauve! Mieux encore, vous avez même rehaussé la cote de la précédente, NR-18, suite à la réception de ma fausse lettre! J’en conclus que la politique de validation a de grosses failles…
…Voilà mes sources d’inspiration pour mes «vocables»:
WEDE 40. Inspiré de WD-40, un lubrifiant pour les engrenages, notamment, universellement connu en Amérique du Nord. J’en mets parfois sur ma chaîne de vélo..
XAAO 19. Une vraiment grosse ficelle!! C’est «hoax» (sans le h et avec le a doublé) à l’envers!! Et 19, c’était en référence à la (future) NR-19!! Le hoax 19 quoi!!
Dur, dur. Bien sur la lettre NR19, fut retirée de la liste « canonique » qui comporte désormais une lacune.
Le courrier « ummite » est bourré d’absurdités scientifiques? Peut importe, une partie des ummologues n’a pas les moyens intellectuels de s’en apercevoir. Pour eux, c’est compliqué donc c’est savant
D’ailleurs, pour les infâmes mécréants qui disent le contraire, le catéchisme ufologique à une appellation spécifique: Ces sont les « débunkers ». Des gens qui nient la vérité des OVNI, soit par ignorance et par bêtise, soit pour tromper le peuple en obéissant au gouvernement
nouveau planisphère d’UMMO
Pour les autres, oui il y a des absurdités, mais c’est voulu. Il nous avaient prévenus qu’ils mettraient de fausses information dans leur lettres, bref qu’ils nous mentiraient.
Ils allaient nous mentir, vous pouvez le croire! Mais ce faisant, mentaient ils, ou pas? mystère et… (comment dit on ça en logique tétravalente? Ah oui, AIOOYAU)
D’ailleurs, de nouvelles lettres arrivent. Certes, on ne sait pas si elle sont écites par de vrais ummites, mais elles aident les fidèles à démêler le vrai du faux (ce qui est déja suspect): Le planisphère d’UMMO est absurde? Mais non, la première carte ne représentait en fait qu’une seule région d’UMMO. Ah bon? Ouuuff!
Bien sûr, le nouvelle lettre ne contient aucun planisphère d’Ummo, mais, sur ses indications, on dresse la « vraie » carte d’ UMMO
… enfin, une carte d’imagination conforme aux indications de la nouvelle lettre. Et tant pis si elle fait penser à la carte de Béatus de St Sever
Et pendant ce temps là, la marmotte, stoïque, continue de mettre le chocolat dans le papier d’alu
Mais plus on pousse l’analyse, plus on trouve d’absurdités? Qu’à cela ne tienne, ne poussons pas trop loin l’analyse, et pour le reste, on n’a rien vu, rien lu, rien su… (bienvenue au club des autruches)
La « secte » montée par les « ummites » était informelle et son prophète paraissait invisible. Comme le remarque Bertrand Méheust, à la suite d’Aimé Michel, ce procédé rappelait ceux des Rose+Croix. Le prophète voit ou fait espionner ses disciples qui ne le voient pas, soit parce qu’il n’est pas physiquement présent, soit qu’ils ne savent pas le reconnaître et ignorent qu’il est parmi eux. Dans le cas d’Eridani, c’est patent. Le « prophète » était là, en chair et en os, mais sans chasuble, c’est à dire invisible en tant que prophète
La – ou les – nouvelles sectes ufolatriques, sont tout aussi informelles, et le – ou les – prophètes paraissent tout autant invisibles
La grosse différence, c’est qu’à part le scabreux besoin de domination, les motivations du prophète initial était différentes. Il s’en explique à qui veut l’entendre:
Insisto en rechazar, todo lo que revele una broma o una fantasía mía, para bromear o burlarse de los Corresponsales. De acuerdo: fue una mentira mía o sofisma muy bien elaborado, y con unos fines concretos. En ningún momento me reí de mis anónimos comunicantes.
J’insiste pour recuser, tout ce qui prétend à une plaisanterie ou une fiction, pour se moquer ou tromper des correspondants. D’accord : ce fut un mensonge ou une tromperie très bien élaboré, et avec des buts concrets. A aucun moment je n’ai ri de mes correspondants.
Car l’esprit de la manipulation, c’était de tester l’esprit critique des participants. Leur raconter des énormités nécessitant de la réflexion pour être décelées. Les lettres ummites initiales sont ainsi émaillées d’appel à l’esprit critique, comme ici:
« Ceci est la seule chose que nous préconisons : Ne nous croyez pas. Accueillez avec méfiance ces concepts. Ne les divulguez pas pour l’instant dans les milieux de communication de masse. Montrez-vous même sceptiques face aux OEMII non familiarisés avec cette science (celle qui analyse ces faits), mais ne détruisez pas ces feuilles imprimées. »
( lettre D 75 du 17 novembre 1969 à Antonio Ribéra )
Sous entendu: En prenant le temps d’analyser soigneusement ces lettres, vous pourriez plus tard changer d’avis sur leur contenu, et vous repentir de les avoir divulgué trop vite…
Les « nouvelles lettres » (toutes les lettres publiées depuis 1996, mais il avait des lettres « ummitoïdes » depuis les années 80) semblent, tout au contraire, chercher à raffermir la foi, et à encourager la piété des fidèles:
« En réponse à votre frère Jean Pollion, nous le félicitons pour son patient travail concernant notre langage. Nous confirmons que ce langage est propre à notre peuple d’OUMMO. »
Et pendant ce temps là, la marmotte… Ah?… non.
NR20
Monsieur Alban Nanty
Mon nom est NABGAA 112 fille de DORIO 34. Je réside actuellement en Belgique et dépends de mon frère AYIOA 1 fils d’ADAA 67 chef des expéditionnaires de l’Europe Occidentale sauf Grande Bretagne, Irlande, Portugal et Espagne.
Nous suivons avec intérêt les discussions de vos frères sur la compilation des messages électroniques que vous échangez publiquement entre vous au sujet de notre civilisation d’OUMMO. Nous souhaiterions parfois répondre à certaines de vos interrogations et sommes conscients d’avoir entraîné un sentiment de frustration en restreignant volontairement l’information dévoilée dans nos correspondances avec vous. Sachez que nous avons volontairement omis certaines informations que vous devrez vous-mêmes déduire. Votre développement scientifique vous le permet d’ores et déjà et nous constatons en souriant que vous effleurez parfois certaines réponses sans pour autant les soumettre à une tentative de validation objective.
L’intérêt pour la logique tétravalente est méritoire et il s’agit effectivement d’une voie de recherche pour laquelle vous pouvez vous baser sur les développements théoriques effectués par vos penseurs au cours des dernières décennies. L’énigme que semble constituer pour vous notre terme AÏOOYAOU est provoquée par l’indication donnée dans nos rapports à vos frères que ce terme n’avait pas de traduction signifiante simple dans vos langages. Il s’agit de bien comprendre que ce terme n’est pas utilisé par nous de façon courante, hormis par nos spécialistes en OOLGA WOU-OUA WAAM (cosmophysique théorique), comparables à vos astrophysiciens terrestres. Nous l’employons parfois dans des thèmes philosophiques concernant, par exemple, la finalité des OUAA (lois morales) dans le processus de conformation de notre BOUAWA (âme) après la disparition de notre OEMII (corps).
Pour approcher la signification de ce terme, il vous faut revenir au phénomène étonnant relatif aux nébuleuses toriques IAGGIAAYAOO, déjà mentionné à vos frères par le passé. Une baisse soudaine de la température du gaz au sein de ces nébuleuses nous permet en effet de prévoir de futures déformations ou plissements dans la structure tétradimensionnelle locale de notre WAAM (univers) dus à l’interaction avec notre anti-univers OUWAAM. Ce phénomène se produit avant que la cause apparente qui en est à l’origine se soit effectivement produite. Il faut bien comprendre ici que la conséquence mesurable de la distorsion – la baisse soudaine de température du gaz – précède apparemment la distorsion elle-même et ne module en aucune façon son apparition. Vous sauriez interpréter ce phénomène, de façon imagée, comme une ombre que projetterait la vague provoquée dans notre WAAM par les nuages de matière imaginaire présents dans OUWAAM. Cette ombre serait ainsi le reflet d’un phénomène AÏOOYAOU dont l’amplitude et la distance spatio-temporelles sont incertaines, tout comme il serait incertain de retranscrire la forme tridimensionnelle et la distance d’un objet – inaccessible aux sens et aux instruments de mesure – à partir de l’ombre qu’il projetterait sur le sol.
L’analyse des données au moment de la survenue de ce phénomène permet d’affiner les paramètres du modèle mathématique que nous allons injecter dans le SANMOO (ordinateur) de chaque OAWOOLEA OUEWA OEM (vaisseau spatial) destiné à voyager au travers des conditions isodynamiques relatives au prochain plissement. Toutefois le modèle est imprécis car, si nous savons déduire avec une approximation correcte l’amplitude du plissement, nous ne savons pas prédire avec exactitude le moment auquel il va s’amorcer. Nous devons parfois attendre plusieurs mois avant qu’une expédition, préparée en quelques jours, initie son voyage.
Veuillez m’excuser pour cette digression mais elle me paraît nécessaire pour vous introduire ce terme qui se réfère à un phénomène seulement observable par ses conséquences mais qui reste lui-même partiellement indéterminé du fait qu’il se trouve hors de notre champ de perception inévitablement limité et subordonné aux perturbations stochastiques du WAAM qui modulent nécessairement l’information véhiculée par le flux temporel. Aussi AÏOOYAOU est un terme que nous employons pour décrire l’état d’existence potentielle des particules subatomiques soumises à l’indétermination quantique. Ainsi l’état d’existence AÏOOYAA est inapplicable aux électrons qui évoluent autour des noyaux atomiques et dont on sait seulement percevoir les effets rémanents à l’intérieur d’une enveloppe spatio-temporelle prédictible au niveau de nos échelles de mesure. Nous vous avons affirmé aussi que l’intégration de l’âme de votre frère Sergio Vieira de Mello dans votre psyché collective aura une influence sur le comportement d’un certain nombre de vos frères. Cette influence AÏOOYAOU car des effets psychosociaux mesurables apparaîtront logiquement dans un moyen terme. L’acte barbare et la succession d’imprudences inexcusables qui sont à l’origine de la mort de cet homme sauraient alors être qualifiés de rétropositifs si ces effets psychosociaux prévisibles surviennent effectivement.
AÏOOYAOU peut parfois se projeter dans l’axe classique AÏOOYAA / AÏOOYEEDOO (vrai / faux) si l’actualisation du phénomène prédit survient ou lorsque la certitude qu’elle ne surviendra pas est atteinte. S’il faut absolument tenter de mettre une signifiance en linguistique terrestre sur ce terme, AÏOOYAOU serait l’état d’un phénomène indéterminé dont l’émergence est perceptible ou fortement prédictible mais dont plusieurs actualisations sont envisageables en fonction des différentes distorsions inhérentes au flux temporel qui sauraient moduler sa concrétion. Je crains cependant que cette définition absconse soit une source de confusion pour vous.
Je vous invite fortement à réfléchir sur la notion de rétropositivité introduite ci-dessus, malheureusement fort souvent rejetée par vos frères, qui remet en perspective un acte qui saurait être qualifié de négatif ou malveillant sur l’instant mais dont les conséquences à terme – évaluées avant sa réalisation – compenseraient largement le trauma causé au moment de cet acte. Cette notion est cruciale pour nous, en particulier dans les sphères médicales et éducatives. La notion symétrique de rétronégativité est tout aussi importante. Je vous prie également de réfléchir sur l’aspect particulier de cette correspondance. Vous ne devez prendre les affirmations contenues dans cette lettre que pour ce qu’elles sont en toute logique : des phrases invérifiables et d’origine douteuse, sans doute écrites par un plaisantin. N’importe lequel de vos frères vous opposerait l’argument que vous auriez su écrire cette lettre vous-même et qu’elle ne contient rien de transcendant ni aucun élément objectif d’identification. Je vous conseille pour cela de garder cette correspondance pour vous seul ou de la détruire si vous la trouvez par trop dérangeante. Vous pouvez, si vous le désirez, tenter d’exposer les prémices exposées dans ce document à vos frères en leur laissant supposer que l’idée est vôtre ou qu’elle vous a été inspirée par une amie.
Acceptez, Monsieur Alban Nanty, que j’appose ma main contre votre poitrine en gage d’amitié respectueuse suivant la coutume en vigueur sur notre monde.
Pour OUMMOAELEWE :
NABGAA 112 fille de DORIO 34, approuvée par AYIOA 1 fils d’ADAA 67
)+(
ANNEXE : CONSIDERATIONS GENERALES SUR NOTRE RAISONNEMENT FORMEL TETRAVALENT
Nous basons notre système tétravalent sur la non acceptation formelle du rejet d’un terme médian et d’un terme tiers dans la dialectique. Dans ce système ce qui N’EST PAS se différencie du complémentaire de ce qui EST. Nous acceptons qu’un phénomène puisse à la fois ETRE ET NON ETRE ou NI ETRE NI NON ETRE. Il est certain que de telles distinctions ontologiques sont rarement prises en considération dans la réalité quotidienne. Elles ne sont toutefois pas inconnues de vos penseurs et vous en trouverez les premières ébauches dans la littérature platonicienne ainsi que dans les textes fondateurs de la philosophie bouddhique.
A et B étant deux ensembles de réalités ontologiques opposables dans la dialectique, ce système conduit à accepter les quatre combinaisons suivantes : X1 = {X A B}, X2 = {X A B}, X3 = {X A B}, X4 = {X A B}. Vous devez traduire ici A et B par « N’EST PAS A » et « N’EST PAS B ». Aucune des quatre formes de réalité n’est la simple complémentaire d’une autre.
Nous en donnons un exemple simple dans le schéma ci-dessous en considérant le jeu de couleurs fondamentales rouge, jaune et bleu. Jaune représente alors l’état (A) AÏOOYAA (existence vérifiable) et rouge l’état (B) AÏOOYEEDOO (irréel ; hors de tout cadre de vérification). La couleur orange est un composé de rouge et de jaune, la couleur bleue n’est composée ni de jaune ni de rouge. Dans cette logique le complémentaire de AÏOOYAA n’est pas AÏOOYEEDOO. Ainsi la proposition pour vous contradictoire « X EXISTE » et « X N’EXISTE PAS » est, suivant le contexte :
– réduite à une impasse formelle Ø : (A A) ou (B B) ;
– réduite à une réalité phénoménologique potentielle ou partiellement indéterminée (A B). Cet état AÏOOYAOU est bien résumé dans le paradoxe imaginé par votre penseur Schrödinger qui conduit à la déduction de deux états potentiels contradictoires superposés dus à la nature quantique des phénomènes mis en oeuvre dans l’expérience ;
– étendue à une existence AÏOOYA AMMIÈ (B A), invérifiable hors d’un champ de conscience individuel ou collectif. Se situent à ce niveau les processus intellectifs associés aux concepts abstraits, ou les émotions de nature empathique ou compassionnelle, que beaucoup de vos penseurs associent à des phénomènes d’origine purement biochimique et que nous externalisons partiellement aux entités transcendantes que sont l’âme individuelle (BOUAWA), la psyché collective (BOUAWEE BIAEII) et Dieu (WOA).
L’imprécision de vos expressions linguistiques m’oblige ici à expliciter qu’une forme irréelle, traduite par « N’EXISTE PAS », reste en absolu une forme d’existence dans l’AÏOODI qui regroupe chaque forme d’existence susceptible d’être envisagée par une forme de pensée quelconque du WAAM-WAAM. Notre capacité cognitive limitée ne saurait définir une forme absolue de non existence.
Nous acceptons ainsi, au cours de nos développements philosophiques ou mathématiques, l’apparition d’éléments que vous qualifieriez de contradictoires en raison de la coexistence possible de l’ETRE et du NON ETRE ou de la réfutation des deux. Ainsi, l’élaboration des solutions lors du calcul formel provoque nécessairement des branchements divergents. Chacune de ces divergences doit être explorée jusqu’à son terme de façon à confirmer ou infirmer a posteriori et par déduction logique chacune des voies engendrées par chaque IBOSZOO IOUBOO (point d’incertitude) du réseau de possibilités ainsi développé. Je vous joins à titre illustratif le schéma ci-contre, sans signification propre, comprenant deux de ces points.
Vos scientifiques se voient également confrontés à de telles classes de problèmes après un processus déductif correctement construit. Ils ne savent pas, par exemple, couper pour l’instant le point d’incertitude laissé par la théorie élaborée par votre éminent penseur Albert Einstein. Cette théorie, en effet, ne permet pas de trancher entre les trois classes de modèles cosmologiques qui restent encore admissibles pour vous : courbure négative, nulle ou positive de la structure tétradimensionnelle du WAAM. Ce stade fut inévitablement atteint sur OUMMO dans les temps anciens. Vous affirmer que la première solution est la seule qui permet d’expliquer les observations effectuées dans ce WAAM serait vous obliger à une profession de foi. Vous devez arriver à cette conclusion en écartant par des preuves indiscutables les deux autres modèles et, coupant ainsi le point d’incertitude et par là même tout doute possible, vous imprégner des propriétés fascinantes de la géométrie hyperbolique pour préciser ou redéfinir votre modèle cosmologique. Vos scientifiques doivent – et cela est sain – suivre jusqu’au bout l’intuition qui les incline à explorer en priorité l’une des branches possibles afin de développer la théorie qui découle de ce choix. Ils ne doivent pas, toutefois, élever leur cheminement de pensée en doctrine tant que le point d’incertitude subsiste en amont et que leurs travaux n’ont pas abouti à trancher définitivement la question.
Au cours du raisonnement, tout branchement aboutissant à la déduction de la valeur Ø est disqualifié et réduit (coupé) au niveau du dernier IBOSZOO IOUBOO à partir duquel il fut engendré. Un branchement engendrant un point d’incertitude déjà généré en amont est figé en attendant que le noeud générateur soit réduit par ailleurs ou que les autres branchements soient réduits ou également figés – donnant alors au problème une solution non déterministe. Le raisonnement est abouti lorsque tous les branchements aboutissent à un singleton (*) ou à une indétermination irréductible. Ainsi, le calcul formel que nous utilisons n’est pas déterministe : il sait engendrer plusieurs conclusions non incompatibles. Chaque IBOSZOO IOUBOO doit être confronté aux observations empiriques pour tenter de privilégier un branchement déductif. Certains travaux ayant pour seul but de réduire un point d’incertitude par perfectionnement du modèle prédictif occupent parfois des générations de penseurs sur OUMMO. Nous évitons toute tentative de démonstration utilisant le principe de réduction par l’absurde. Ce principe, encore fort en vigueur chez vos scientifiques, rend le raisonnement aveugle.
Nous adoptons dans tous les cas, comme vous, le principe d’identité ou d’idempotence (*) : X o X = X. La négation est remplacée par le principe de complémentarité : le résultat de la complémentation () est l’ensemble des valeurs possibles diminué de la valeur complémentée. X1/{X1,X2,X3, X4} = {X2,X3,X4}. Ainsi en logique binaire, la complémentation définit la négation classique : Vrai = Faux /{Vrai, Faux} et symétriquement Faux = Vrai/{Vrai,Faux}. De la même façon que vous introduisez les quantités discrètes 0 et 1 dans votre algèbre booléenne nous utilisons quatre valeurs logiques de base représentables dans cette symbolique par {01, 10, 01, 10}. L’exploration du graphe nodal d’un problème par le calcul formel consiste à obtenir une réduction à l’une des deux tautologies parmi {11, 00} qui valident une solution ou à l’une des deux impasses formelles parmi {11, 00} qui réfutent alors les hypothèses posées au niveau du dernier IBOSZOO IOUBOO.
Nous utilisons bien entendu dans nos raisonnements une vaste gamme d’opérateurs logiques ou causaux restrictifs qui sont nécessaires pour contraindre l’explosion combinatoire engendrée au cours du calcul formel. Les variables injectées dans le calcul sont elles-mêmes reliées par des relations contraignantes spécifiques au problème traité.
NR21
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Monsieur Jean-François Dupouy
En réponse à votre question du 3 janvier 2009, veuillez trouver, ci dessous, les informations transmises à votre intention par notre sœur NABGAA 112 fille de DORIO 34 au moment de son départ, voici plus de quatre années.
Je souhaite ici répondre partiellement à la question que vous avez formulée le 8 juillet 2003 sur la compilation des messages électroniques que vous échangez publiquement entre vous au sujet de notre civilisation d’OUMMO. Nous constatons avec un certain désarroi que nos textes sont, pour vous et vos frères, une source de spéculations qui se fondent parfois sur des détails anodins et souvent sur un manque de précision dans nos formulations.
Nous avons, par le passé, informé vos frères que votre développement artistique est exceptionnel, surtout dans le domaine de la musique. Vous devez comprendre par cette affirmation que nous n’avons pas rencontré, dans nos voyages, de civilisation avancée qui ait développé cet art jusqu’au niveau de perfection atteint par vos grands artistes classiques ou contemporains. De même, l’art pictural ou sculptural est plus abouti sur votre planète que sur OYAOUMMO. Ces affirmations ne signifient pas que des disciplines comme la musique, la sculpture ou la peinture sont inconnues sur OUMMO, bien que dans ce dernier domaine nous n’osons prétendre à une forme d’expression picturale que vous sauriez qualifier d’artistique. Notre musique est basée sur les sonorités cristallines et les percussions xylophoniques et non sur un enchaînement mélodique de fréquences acoustiques standardisées. Notre ouïe est accoutumée à ces sonorités que nous jugeons agréables et qui entraînent un accroissement de notre sérénité et une élévation de notre état émotionnel général. Notre architecture est difficilement comparable à la vôtre sur un plan esthétique car les constructions monumentales suivent des schémas totalement différents sur nos deux mondes. Nous bannissons en particulier toutes les formes angulaires de nos constructions en leur préférant systématiquement l’harmonie des courbes. Cependant, tout comme nous savons apprécier vos pyramides, châteaux, temples, mosquées ou cathédrales, vous apprécieriez sans doute nos bâtiments administratifs, religieux ou culturels, souvent enfouis dans le sol et n’offrant à la vue du visiteur extérieur qu’un ensemble vitré reflétant le ciel, entouré de buissons odorants et de massifs de fleurs. Notre art du paysage est très abouti et pratiqué par l’ensemble de notre population dès le plus jeune âge. L’art du parfum est chez nous aussi maîtrisé que la musique chez vous et nous n’avons trouvé aucune autre civilisation aussi experte en ce domaine. En un sens nous tirons, il est vrai, une certaine fierté de cet art, seul à nous offrir la possibilité de nous distinguer des autres civilisations que nous connaissons et qui nous surpassent toutes ponctuellement sur l’un ou l’autre point de notre développement social, scientifique, spirituel ou artistique. Vous pouvez, quant à vous, retirer cette même fierté de votre art musical.
Il est singulier de constater les similitudes au niveau de l’art pictural préhistorique de nos deux cultures. Nos ancêtres ont longtemps vécu dans les grottes naturelles ou artificielles qui parsèment notre planète. L’art rupestre figuratif que l’on trouve, par exemple, dans les grottes de Lascaux ou d’Altamira, se retrouve ainsi transposé sur OUMMO à un niveau sensiblement plus élaboré du fait d’une meilleure connaissance des pigments et d’un stade évolutif plus avancé des OEMMII auteurs de ces oeuvres.
Nous avons déjà informé vos frères par le passé de l’existence sur OUMMO de musées dédiés à OYAGAA. Vos diversités écologiques, ethnologiques et artistiques nous ont conduit à édifier trois bâtiments distincts consacrés chacun à l’une de ces trois sphères et répartis dans trois colonies différentes. Nos frères et sœurs d’OUMMO connaissent les aspects les plus remarquables de votre belle planète, ainsi que les épisodes les plus marquants de votre histoire, passée comme actuelle, que nous ne cherchons pas à nuancer d’une quelconque condescendance paternaliste ou diplomatique envers vos peuples. Sachez ainsi que l’un de nos frères, qui communiqua avec vos frères d’Espagne voici près de quarante de vos années sous le nom de DAA 3, fils d’EYEA 502, s’implique activement dans le développement du musée dédié à la culture artistique d’OYAGAA dont il conçut lui-même l’architecture, inspirée du Colisée de Rome. Il continue d’œuvrer en faveur de la diffusion de votre culture sur OUMMO. J’ai moi-même assisté, dans ce musée, à la diffusion d’une de vos oeuvres liturgiques classiques enregistrée dans une église ou cathédrale. Cependant, la culture d’OYAGAA nous reste quelque peu hermétique en premier abord. Si vos arts musicaux, picturaux, sculpturaux et architecturaux sont maintenant correctement identifiés par nos frères et sœurs d’OUMMO, et appréciés d’une partie de notre population, votre littérature et vos mythes classiques ne sont réellement connus que d’un faible nombre de spécialistes. En revanche, la splendeur de votre nature sauvage et l’exubérance de couleurs qui se retrouve au sein de votre flore et de votre faune sont unanimement reconnues sur OUMMO et font d’OYAGAA un joyau qu’il est de notre devoir moral de préserver. Nous en sommes sans aucun doute plus conscients que beaucoup de vos propres frères, aveuglés par une cupidité aussi futile que dévastatrice.
Nous ne pouvons vous protéger de vos erreurs volontaires, mais nous voulons entraîner progressivement chez vos frères une prise de conscience de l’existence d’une identité planétaire commune, partagée entre tous vos peuples et incluant l’ensemble de votre écosystème. Il est de votre responsabilité d’OEMMII de maintenir et de faire évoluer ce réseau planétaire global pour en développer toutes les potentialités. Il est exact que nos OUAA (lois morales) nous interdisent d’interférer directement avec toute civilisation étrangère. Nos OUAA nous obligent cependant à protéger la vie sous toutes ses formes. L’état d’urgence dans lequel se trouve votre planète nous contraint ainsi à intervenir indirectement au sein même de votre réseau social pour tenter de minimiser les effets catastrophiques auxquels pourraient aboutir les décisions fort souvent irrationnelles de vos dirigeants.
Les instances militaires de vos nations principales connaissent la réalité de la présence extraterrestre sur votre planète. Ils ont constamment la preuve de la futilité de toute tentative de répression envers nos véhicules spatiaux ou atmosphériques dont nous avons volontairement abaissé le seuil de furtivité. Certaines actions spectaculaires ont été menées pour les convaincre que notre volonté n’est pas de nuire bien que notre capacité coercitive pourrait être redoutable. Des actions d’assistance ou de prévention sont ponctuellement menées lorsque nous les jugeons nécessaires et si leurs effets ne portent pas préjudice à votre réseau social. La catastrophe survenue à Chernobyl fut un événement majeur de votre histoire, résultat d’une succession de négligences et d’erreurs involontaires. Nous voulons ici témoigner de notre respect pour vos frères présents sur place au cours des longues heures harassantes durant lesquelles leur abnégation et leur dévouement furent remarquables.
J’espère avoir répondu de façon non ambiguë à votre premier ensemble de questions. Vous trouverez en annexe au verso un complément concernant les anthropoïdes IEGOOSSAA d’OUMMO, objets d’une autre de vos questions.
Je vous prie de considérer, Monsieur Jean-François Dupouy, le caractère particulier de cette correspondance. Aucun élément objectif ne valide l’identité ou l’origine implicite de son auteur. Considérez simplement que des réponses ont été apportées à vos questions et que leur auteur espère avoir satisfait votre curiosité légitime. Veuillez accepter l’expression de mon respect sincère exprimé, suivant la coutume en vigueur sur OUMMO, en posant symboliquement ma main contre votre poitrine.
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ANNEXE: COMPLÉMENT SUR LES ANIMAUX ANTHROPOIDES D’OUMMO
Votre intérêt pour notre civilisation d’OUMMO nous honore et c’est avec plaisir que je répondrai à vos interrogations concernant l’espèce animale IEGOOSSAA.
Ces animaux cavernicoles sont des anthropoïdes omnivores, essentiellement friands de fruits, d’insectes et de poissons, que vous pouvez comparer à de grands chimpanzés munis d’une épaisse pilosité blanche ou faiblement dorée. Cependant, contrairement à ces primates terrestres, les IEGOOSSAA sont totalement bipèdes et présentent une forte différenciation de conformation entre les mains et les pieds. Ces derniers n’ont aucune fonction préhensile bien que les orteils soient plus développés que ceux, vestigiaux, des OEMMII. Les IEGOOSSAA diffèrent des autres espèces anthropoïdes d’OUMMO par leur plus grande taille et une intelligence plus aiguë. Il existe chez eux un langage de communication complexe combinant les mimiques corporelles ou faciales et les cris modulés. Ils sont organisés en groupes fortement hiérarchisés desquels ils ne s’éloignent qu’aux périodes de reproduction. Après l’accouplement, tous réintègrent la cellule originale au sein de laquelle les femelles donneront le jour à leurs nouveau nés qui viendront agrandir le groupe. Les luttes territoriales sont fréquentes entre les différents groupes et dégénèrent invariablement en combats meurtriers auxquels seuls les grands mâles adultes participent, fortement encouragés par les cris et l’agitation des femelles et des jeunes. La mort de l’un des mâles dominants marque invariablement l’issue du combat et le groupe vaincu est sauvagement chassé. Les individus ayant trouvé la mort lors du combat sont pris en charge par les femelles du groupe victorieux et soumis à une cérémonie funéraire rituelle au cours de laquelle ils sont recouverts de feuilles et de branchages, sans distinction du clan d’origine.
Les IEGOOSSAA vivent dans la partie supérieure de notre colonie WOAROO qui est constituée en réserve naturelle. Nous n’entretenons de relations qu’avec les groupes frontaliers. Nous échangeons volontairement avec eux des denrées comestibles contre de petits galets polis de diverses couleurs qui servent principalement à notre art paysager. Nous les utilisons par exemple pour composer des fresques, dessiner des chemins ou orner le lit des pièces d’eau et ruisseaux que nous créons afin d’agrémenter nos jardins familiaux et nos parcs collectifs. Ce troc évite les velléités d’expansion territoriale des familles frontalières vers les zones attribuées aux OEMMII et permet d’entretenir une relation paisible entre nos deux peuplades,
Nous distinguons parmi les IEGOOSSAA les AAGA IEGOOSSAA qui sont issus d’un groupe sélectionné au début de notre troisième âge et chez lesquels nous essayons d’impulser une évolution dirigée en appariant les individus qui nous semblent les plus prometteurs, espérant un jour activer chez eux la fonction OEMBOUAW – liaison à l’âme que nous avons déjà définie dans nos lettres par le passé – et les faire ainsi accéder au stade d’OEMMII conscients.
Le terme AAGA désigne, dans son acceptation générale, une restriction de la liberté de mouvement par un contrôle constant. Nous pourrions en rendre la traduction par : sous vigilance constante. Dans le cas des AAGA IEGOOSSAA l’acceptation la plus proche du terme AAGA dans votre langue serait : domestiqué.
Les IEGOOSSAA et les OEMMII d’OUMMO sont issus d’un même phylum et nous partageons bien entendu avec eux bien plus de gènes communs qu’il peut en exister entre vous et nous. Toutes les expériences autrefois tentées en laboratoire pour obtenir un croisement entre AAGA IEGOOSSAA et OEMII ont seulement abouti à créer des hybrides monstrueux, décérébrés ou non viables. De fortes différences au niveau de la composition de la chromatine cellulaire rendent absolument inenvisageables des croisements d’espèces animales ou végétales entre OYAOUMMO et OYAGAA sans utilisation de moyens biotechnologiques avancés.
Les AAGA IEGOOSSAA sont aujourd’hui entièrement domestiqués. Ils vivent pacifiquement en famille dans des IGOYAABII (grottes ou cavernes) spécialement aménagés à leur attention à l’intérieur de l’enceinte boisée des centres universitaires où l’on étudie leur comportement. Ils jouissent d’une liberté relative et sont parfois employés à des tâches sociales pour lesquelles ils sont mieux adaptés que l’OEMII, comme la récolte des fruits ou le transport de charges lourdes sur des terrains difficilement accessibles. Ils sont en réalité totalement intégrés dans notre réseau social et un fort sentiment d’affection réciproque nous lie à eux. Ils comprennent les mots principaux de notre langage oral et s’expriment graphiquement entre eux et avec les OEMMII en désignant du doigt une séquence ordonnée de symboles disposés dans un jeu de 38 idéogrammes colorés de base inscrits sur un tablier ventral qui constitue en quelque sorte un clavier vestimentaire.
Nous aboutissons cependant à un fort constat d’échec en comparant l’évolution sur plus d’un millénaire terrestre des AAGA IEGOOSSAA et des IEGOOSSAA en liberté. Malgré un niveau d’intelligence indéniablement moindre, les derniers intègrent plus fortement les notions de réseau social et de solidarité que les premiers qui développent parfois des syndromes dépressifs ou des comportements asociaux les amenant à rejeter leurs semblables. Cela nous porte à prédire que la liaison OEMBOUAW le W se prononce ici comme le OU court du mot « oui » adviendra prioritairement chez les IEGOOSSAA laissés à l’état sauvage. Il n’est cependant pas envisageable de réintégrer les AAGA IEGOOSSAA dans leur milieu naturel originel car ils seraient incapables de soutenir durablement les agressions de leurs frères sauvages et périraient inévitablement en quelques générations.
L’étude comportementale comparée des deux populations durant cette large période temporelle est d’un intérêt inestimable pour comprendre l’émergence des facteurs pré humains chez l’animal. Elle nous donne également la conviction profonde que l’évolution dirigée d’une population humaine ou proto humaine n’est souhaitable que dans certaines situations limites et dans tous les cas sur une période de temps très restreinte. Toutefois, des interactions mineures avec une telle population peuvent induire chez elle l’émergence de phases sociales souhaitables et le déclin d’autres phases qui s’avéreraient préjudiciables au réseau social dans son ensemble.
Les travaux documentaires sur les chimpanzés effectués par votre sœur Jane Goodall sont très éclairants pour vous imprégner de l’importance de l’étude des similitudes et des différences comportementales entre l’homme et les autres primates évolués. Ces documentaires mettent en évidence l’importance à la fois de la notion de réseau social et du rôle de chaque individu/nœud au sein d’un tel réseau. Vous devez vous rappeler à tout instant que l’homme est un être social dont le rôle, mué dans son cas en responsabilité, est non seulement de maintenir la stabilité de son propre réseau social mais aussi d’engendrer la néguentropie au sein de ce réseau et de l’écologie planétaire. Il s’agit ici d’une loi morale fondamentale.
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ORIGINE ASTRONOMIQUE DE NOTRE COMPUT TEMPOREL
Notre manière d’évaluer les grandes périodes est différente de la vôtre et celle ci s’est maintenue tout au long de notre histoire, ayant son origine dans une très ancienne mesure astronomique. Nous définissons parfois, à tort, le XEE (« année » d’OUMMO) comme le tiers de la période de révolution de notre OYAA OUMMO autour de notre soleil IOUMMA. La valeur du XEE est de 77,3 jours terrestres.
IOUMMA est une étoile dont de masse égale à 1,48.1030 kilogrammes. Son spectre lumineux est décalé vers le rouge en comparaison à votre Soleil avec des indices photométriques U-B et B-V égaux à 1,15 selon votre système de référence.
OUMMO gravite autour d’IOUMMA sur une trajectoire quasi circulaire d’excentricité 0,0078. La distance moyenne OUMMO – IOUMMA est de 9,96.1010 mètres. Un autre OYAA de taille importante, NAWEE, gravite autour d’IOUMMA sur une trajectoire elliptique d’excentricité 0,026, à une distance moyenne de 5,97.1010 mètres.
Les anciens astronomes utilisaient comme références les deux astres IOUMMA et NAWEE, ce dernier étant bien visible conjointement à IOUMMA au crépuscule et à l’aube. Les astronomes observaient les passages en conjonction supérieure de NAWEE en alignement avec IOUMMA, ce qui se produit en moyenne tous les 2,571 XEE, soit 0,866 du temps de révolution sidérale d’OUMMO. Lors de chaque conjonction, ils notaient une variation verticale importante de la positon de NAWEE par rapport au disque d’IOUMMA (voir figure 1), l’oscillation se réinitialisant chaque XEEOUMMO – dix-huit XEE – lorsque NAWEE avait accompli treize révolutions complètes et OUMMO six révolutions (figure 2). Les cosmologues, ignorant que le plan de l’écliptique d’OUMMO possédait une orientation distincte de celle de NAWEE, en conclurent que la trajectoire d’OUMMO était bi hélicoïdale et qu’OUMMO décrivait trois translations descendantes et trois autres montantes, sur la surface fictive d’un cylindre, pour compléter un XEEOUMMO (figure 3).
Le XEE peut donc se définir comme le tiers de la période de révolution d’OUMMO. Il existe cependant une erreur minime dans cette définition car les anciens cosmologues d’OUMMO vouaient majoritairement un culte au nombre π. Ils voulurent absolument faire correspondre la valeur du XEE à la fraction 2/(2+π) du temps de révolution synodique de NAWEE en acceptant une dérive de six OUIW (18,55 minutes) chaque XEE. La dérive cumulée atteint ainsi un jour d’OUMMO tous les 100 XEE et un XEE tous les 6000 XEE. Les adeptes du culte de NAWEE, indignés de cette offense faite à la rigueur objective, promulguèrent aussitôt un édit eschatologique annonçant la fin des temps au bout d’un cycle de 6000 XEE si l’erreur n’était pas rectifiée. Le monarque de l’époque trancha en faveur de la majorité. L’erreur fut ignorée et se perpétue encore de nos jours. Quelques projets furent proposés par le passé pour influer sur l’orbite d’OUMMO afin d’annuler la dérive, mais les différents OUMMOAELEWEE auxquels ils furent soumis les refusèrent systématiquement.
Hormis ces considérations concernant les XEE, une autre dérive existe dans la définition du XI (jour d’OUMMO) qui correspond en pratique à 600 OUIW. La valeur réelle atteint toutefois 600,0117 OUIW. Cette approximation sur la valeur du XI implique logiquement un décalage progressif de l’horaire du lever d’IOUMMA en un point fixe donné de l’équateur d’OUMMO. Lorsque I’OUIW fut introduit durant l’essor scientifique que connut notre peuple au cours de sa seconde ère historique, la valeur officielle du XI fut redéfinie et une tentative de réajustement calendaire eut lieu pour lui conférer une meilleure corrélation avec la réalité astronomique Un OUIW fut ajouté au comput temporel chaque 84 XI, à l’exception d’une fois tous les 84 XEE. Cette méthode fut rapidement abandonnée car jugée inutilement complexe. Nous n’avons pas, sur OUMMO, l’impératif d’un calcul calendaire précis pour savoir à quel moment effectuer l’ensemencement de nos cultures en fonction des conditions climatiques à venir. Les conditions climatiques sont sur OUMMO, entièrement dépendantes de la latitude, et en aucune façon du positionnement physique d’OUMMO sur son chemin orbital.
Nous joignons à cette lettre la traduction française de la réponse que nous avons donnée récemment à l’un de vos jeunes frères de Freie Hansestadt Bremen qui s’interrogeait sur l’existence d’années bissextiles sur OUMMO. La présente lettre représente un complément à cette réponse dont elle reprend quelques passages.
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ANNEXE: PRECISIONS CONCERNANT NOTRE SYSTEME CALENDAIRE
Je conçois que cela vous paraîtra curieux, mais il n’existe pas de mot spécifique dans notre langage pour désigner le temps de révolution d’OUMMO autour de notre soleil IOUMMA. Ce temps ne constitue pas pour nous une référence et le mot « année » n’a pas d’équivalent strict dans notre langage. Nous utilisons, pour mentionner dans son contexte la période de révolution d’OUMMO, le terme SAAXEE.
Notre notion du jour est par contre identique à la vôtre. Le temps de rotation d’OUMMO sur son axe est exactement de 600,0117 OUIW. Un OUIW, notre unité de mesure du temps, équivaut à 185,527 secondes terrestres. Notre décompte officiel du temps considère cependant qu’un nycthémère (XI) compte exactement 600 OUIW.
Nous utilisons le terme XEE (prononcez xéè) pour référencer nos périodes calendaires. Un XEE correspond à exactement 60 XI. Il serait incorrect de traduire ce terme par un simple mot de votre langue. Il correspond fonctionnellement au terme « année » employé chez vous mais n’en possède pas la même signification astronomique. Le XEE fut déterminé par nos anciens astronomes comme étant la fraction 2/(2+π) de la période synodique moyenne entre deux passages de NAWEE en conjonction supérieure sur un même axe vertical passant par le centre du disque d’IOUMMA. NAWEE est un astre que vous qualifiez de « géante gazeuse » dont la taille est environ moitié moindre que celle de votre planète Saturne, NAWEE gravite autour d’IOUMMA sur une orbite plus rapprochée que celle d’OUMMO. Il est bien visible dans notre ciel aux moments du lever et du coucher d’IOUMMA. Son atmosphère, extrêmement chaude, est animée de forts courants convectifs et agitée en permanence de violents orages qui provoquent d’incessantes scintillations et lui confèrent une luminosité propre, complémentaire à la lumière reflétée d’IOUMMA. Son mouvement apparent fut observé depuis l’antiquité, NAWEE étant au centre des cultes préhistoriques et des légendes primitives que l’on peut encore déchiffrer actuellement sur les stèles mégalithiques gravées aux débuts de l’utilisation de l’écriture.
Caractéristiques de NAWEE
Rayon équatorial : | 6,22.107 m |
Masse : | 9,91.1025 kg |
Distance moyenne à IOUMMA : | 5,97.1010 m |
Excentricité orbitale : | 0,026 |
Inclinaison de l’orbite par rapport à OUMMO : | 1,53° |
Durant six cycles orbitaux d’OUMMO, sept conjonctions synodiques supérieures de NAWEE sont observables. Nos anciens astronomes se basaient sur le parcours apparent de cet astre par rapport à IOUMMA pour définir un calendrier. Toutefois, du fait des excentricités orbitales de NAWEE et d’OUMMO, le temps séparant deux conjonctions n’est pas constant. Il faut attendre dix-huit XEE – un XEEOUMMO – pour observer un cycle astronomique complet entre NAWEE et OUMMO. Le XEE fut donc défini comme étant la dix huitième partie de ce cycle apparent qui équivaut précisément à 1079,979 périodes de rotation d’OUMMO (1391,22 jours terrestres). La valeur du XEE fut délibérément fixée à exactement 60 anciens XI. Bien que la valeur du XI ait été réajustée par la suite, la définition du XEE reste identique. Un XEE équivaut donc à 36.000 OUIW (111316,36 minutes ou 77,303 jours terrestres). La période de révolution sidérale d’OUMMO, qui équivaut à environ 229,5 jours terrestres, est très sensiblement inférieure à trois XEE.
Les approximations faites sur les valeurs du XI et du XEE entraînent, comme chez vous, un décalage par rapport aux référentiels astronomiques. L’approximation sur la valeur du XI implique logiquement un décalage progressif de l’horaire du lever de notre astre solaire en un point fixe donné de l’équateur d’OUMMO. Lorsque l’OUIW fut introduit durant l’essor scientifique que connut notre peuple au cours de sa deuxième ère historique, la valeur officielle du XI fut redéfinie et une tentative de réajustement calendaire eut lieu pour lui conférer une meilleure corrélation avec la réalité astronomique. Un OUIW fut ajouté au comput temporel chaque 84 XI, à l’exception d’une fois tous les 84 XEE. Cette méthode fut rapidement abandonnée car jugée inutilement complexe par le peuple. Nous n’avons pas, sur OUMMO, l’impératif d’un calcul calendaire précis pour savoir à quel moment effectuer l’ensemencement de nos cultures en fonction des conditions climatiques à venir. Les conditions climatiques sont entièrement dépendantes de la latitude, et en aucune façon du positionnement physique d’OUMMO sur son chemin orbital.
Pour l’anecdote nous pouvons vous confier que les chroniques qui font état de la création de notre calendrier, en l’an 0 de notre première ère, indiquent qu’une querelle eut lieu qui opposa les astronomes, adeptes d’un culte basé sur les mathématiques sacrées, et les théologiens du culte de NAWEE lors de l’établissement du XEE. Ces derniers, extrêmement rigoristes, n’acceptèrent pas l’approximation faite par les astronomes royaux pour des raisons théologiques autour de la constante π, associée alors à l’expression la plus pure de la divinité. Ils déclarèrent que l’humanité d’OUMMO périrait lorsque le décalage entre la véritable période synodique de NAWEE et le XEE officiel atteindrait un XEE au compte de 6000 XEE. Le monarque qui régnait à cette époque rejeta vivement cette imprécation. Il fit dénuder et fustiger publiquement les prêtres de NAWEE qui en étaient à l’origine. Le culte disparut progressivement par la suite. Nous pouvons établir un parallèle indicatif entre l’évolution de nos deux cultures en liant cet évènement sur OUMMO avec celui de l’établissement de votre calendrier grégorien. Le début de notre première ère correspond assez précisément aux développements sociaux et technologiques observés en Europe lors de la Renaissance
NR22
Monsieur XXXXXXXXXX
Je vous prie d’excuser la longue absence de communication due à la perturbation engendrée par la lettre envoyée du Canada en usurpant mon identité. (NdW: il s’agit très probablement de la NR19) L’envoi de fausses missives a toujours été un frein à la poursuite de nos échanges avec vos frères d’OYAGAA et provoquent chez vous des débats passionnés basés sur des indications fantaisistes parfois indignes ou calomnieuses. Le nouveau responsable de notre détachement sur OYAGAA , arrivé sur votre planète le 18 septembre 2004, ne nous autorise pas, pour le moment, à reprendre nos échanges avec vous. Devant moi-même repartir vers OUMMO, je transmets à mes frères résidant en France les lettres que nous avions rédigées voici plusieurs mois. ERRATUM Il existe une erreur de conversion dans votre système métrique d’unités de distance au sein du contenu du rapport informatif donnant des indications géographiques et démographiques concernant notre OUMMO. Je suis confuse pour cette maladresse qui provient d’une mauvaise transposition de ma part depuis notre système de numération duodécimal vers le système décimal. Vous devez rectifier la valeur, indiquée à tort, de 2100 x 1400 kilomètres par la valeur 2100.123 x 1400.123 mètres. Cette valeur correspond à l’arrondi approximatif de la valeur exacte de 420 x 276 KOAEE, soit environ 3660 x 2400 x 106 mètres carrés. Vos frères ont, avec raison, relevé cette erreur en croisant l’information fournie avec la valeur évaluable de la superficie de notre mer AOUWOA SAAOA, fournie dans les correspondances envoyées préalablement par mes frères. Cette superficie est d’environ 3640 KOAEE – 276000 x 106 m2. Les autres indications faisant intervenir des mesures de superficie en km2 (106 m2) s’avèrent correctes. PRECISIONS SUR NOTRE DEMOGRAPHIE : Je tiens à compléter ma réponse à votre question concernant notre démographie. J’ai initialement omis de mentionner l’information concernant le taux de mortinatalité, ce terme apparaissant ambigu au niveau de sa définition dans vos différentes littératures. Je ne peux vous fournir, faute de données à disposition dans nos cubes d’information sur Terre, le nombre de fœtus qui décèdent avant et après les 22ème et 28ème semaine d’aménorrhée ou en fonction de leur masse au moment de l’arrêt de la grossesse. Une translation serait par ailleurs nécessaire pour établir l’équivalence entre les développements comparés d’un fœtus sur OUMMO et sur Terre, bien que l’on puisse en première approximation les confondre. Cependant, il s’avère que l’information concernant le taux de mortalité fœtale est indispensable à la bonne interprétation de mon précédent rapport. Notre démographie comptabilise en effet, et contrairement à vous, la population fœtale in utero. Il me faut donc préciser que le taux global de mortalité – taux annuel indiqué de 13,7 ‰ – inclut en composante le taux très élevé de mortalité fœtale intra utérine. La mortalité post-néonatale en est également une composante non négligeable. Elle est due quant à elle, en presque totalité, à une mauvaise adaptation neurocrânienne causée par une crâniosynostose précoce durant la phase d’altricialité secondaire. La compression cérébrale, les œdèmes, les accidents ischémiques et la nécrose corticale qui en résultent entraînent une mortalité importante durant les dix premiers XEE, avec une prédominance très marquée chez les jeunes mâles – 79,1% des cas. Cette mortalité, actuellement jugulée, serait beaucoup plus importante si nous n’appliquions pas des mesures orthocrâniennes drastiques qui nous permettent de maintenir actuellement le nombre total de nos jeunes autour de 59,32 millions d’individus dans chaque tranche d’âges de douze XEE à partir de douze XEE (deux ans et six mois environ). Ce nombre serait relevé à 59,84 millions d’individus sans cette cause de mortalité. La longue période d’ossification des fontanelles chez vos nourrissons est une grande chance pour votre évolution future. Je vous prie de considérer les chiffres démographiques idéaux suivants : 7,465 millions de conceptions sont actuellement autorisées et observées en moyenne chaque XEE. La conception est confirmée par l’ordinateur domestique lorsque la phase d’implantation de l’œuf dans la muqueuse utérine est finalisée au terme de 4000 OUIW – 6,7 jours OUMMO, 8,6 jours terrestres. La grossesse est alors annoncée au couple et officiellement recensée au niveau de nos statistiques démographiques mais non encore de façon nominative. La grossesse se poursuivra alors durant 3,6 XEE. Le stade fœtal est atteint sur OUMMO 0,6 XEE après la conception – 36 jours OUMMO, 46 jours terrestres. Le sexe du futur enfant est révélé aux parents. Son identité et sa filiation sont alors inscrites de façon officielle dans les cubes de données qui recensent nominativement notre population. 4,987 millions de nourrissons naissent en moyenne chaque XEE, ce qui implique une mortalité globale in utero égale à 33,2%. L’accouchement, moins douloureux pour nous que pour les femmes terriennes, est provoqué au 216ème jour OUMMO (278ème jour terrestre) si la délivrance ne s’effectue pas auparavant de façon spontanée. La masse du nourrisson à la naissance dépasse généralement les 4 kilogrammes. 4,943 millions de ces nourrissons survivent au-delà de 10 XEE, stade au-delà duquel la mortalité accidentelle est quasiment nulle. ->->-> |
ANNEXE : PRECISIONS CONCERNANT LA COMMUNICATION TELEPATHIQUE ET LES VOYAGES SPATIAUXLa mention d’un retard de réception lors d’un échange télépathique entre des individus situés sur deux astres froids distincts vous semble suspecte. L’indication donnée de la cause de ce retard – des interférences dues à la présence de matière imaginaire dans OUWAAM – ne doit pas vous porter à conclure que cette matière imaginaire interfère avec le flux télépathique pour le distordre ou le freiner. Vous devez comprendre que deux points distants du WAAM sont soumis aux ondulations incessantes du tissu spatio-temporel induites par la matière imaginaire située dans les WAAM contigus – principalement OUWAAM – et qu’ils ne sauraient se trouver que fortuitement sur la même ordonnée temporelle. Comme ils sont séparés par des distances,tridimensionnelles ils le sont par une distance temporelle. Ainsi il est illusoire de parler d’instantanéité entre le maintenant MT sur la Terre et le maintenant M0 sur OUMMO. De façon imagée, si l’on disposait d’un lien cohérent reliant la Terre à OUMMO, tel un faisceau d’ondes, et en supposant que de l’information puisse transiter par ce lien sans limitation de la vitesse linéaire ( dx/dt = ∞ ), l’acheminement de cette information dans le cadre tridimensionnel parcourra nécessairement un chemin homotope à l’isochrone direct du cadre spatio-temporel associé. Cet isochrone, toujours plus court que la distance tridimensionnelle apparente (cf. note 1), sera alors confondu avec la ligne isodynamique reliant les potentiels entropiques minimaux le long du chemin réel. La transmission de l’information prendrait , dans ce cas fictif, un temps de translation non nul exactement égal, en valeur négative, au décalage temporel entre les ordonnées respectives de l’émetteur et du récepteur lors de l’émission du signal. Dans ce cas fictif précis, cela-reviendrait à recevoir l’information avant qu’elle ait été émise. Dans le cadre physique réel, l’information se propage en suivant l’ondulation spatio-temporelle minimale existant entre la Terre et OUMMO à une vitesse dépendant du flux d’entropie, globalement constant pour l’ensemble du WAAM. Sans l’influence de la matière imaginaire des WAAM contigus, le chemin suivi dépendrait entièrement de la topologie du WAAM et le décalage temporel serait alors uniquement dû à la courbure locale le long de ce chemin. Cependant, la propagation de l’information reste aussi soumise aux aléas des ondulations du WAAM qui induisent un décalage temporel supplémentaire – positif ou négatif – entre l’émission et la réception de l’information. Ainsi, en fonction des conditions isodynamiques que nous connaissons avec une précision correcte, nous avons pu estimer une déviation temporelle supplémentaire, maximisée à trois minutes, entre les ordonnées temporelles de nos deux planètes au moment de l’entrée de notre peuple dans le quatrième âge d’OUMMO. Contrairement au décalage dû à la courbure spatiale du WAAM, que nous savons calculer précisément, ce décalage supplémentaire ne peut qu’être estimé et non mesuré avec exactitude. Dans le cas d’un message télépathique entre deux OEMMII situés à très grande distance l’un de l’autre (cf. note 2), le lien télépathique peut être assimilé à une communication utilisant comme liaison cohérente le WAAM BOUAWEII BIAEII à l’intérieur duquel le temps de transit de l’information est nul. Aucun décalage temporel n’est cependant perçu lors de la communication télépathique qui paraît instantanée aux deux locuteurs : le WAAM BOUAWEII BIAEII, affranchi de toute notion temporelle, assure uniquement l’acheminement séquentiel de l’information. Toutefois, il existe dans l’absolu un retard au niveau de la perception de l’information par le locuteur passif – récepteur – pour que ce synchronisme apparent puisse être assuré sans violer les principes de causalité qui fondent le WAAM-WAAM. Ainsi, du point de vue d’un observateur virtuel externe au WAAM disposant d’un référentiel temporel propre, le dialogue pourrait sembler clos pour le locuteur qui a amorcé la communication alors que son correspondant n’aurait pas encore entamé le dialogue. Je conçois qu’il est difficile pour vous d’admettre une telle phénoménologie. N’y voyez cependant qu’une explication concordant avec nos propres théories et non le reflet exact d’une réalité qui nous échappe. Note 1 : Vous observez vous-mêmes, sans pouvoir encore l’expliquer, ce phénomène de décalage ordinal entre les positions respectives de votre planète Terre et des sondes spatiales situées à grande distance. Il n’existe aucun ralentissement de leur trajectoire, ni aucune variation réelle de la vitesse des ondes émises par ces sondes le long de leur cheminement vers la Terre. Cela est provoqué par le décalage temporel des objets lointains dû à la seule topologie hyperbolique du WAAM. Le « maintenant » de ces objets lointains est situé en avance de plus d’une seconde par rapport au vôtre. La mesure de la vitesse des sondes, basée sur l’analyse des signaux reçus, semble indiquer un ralentissement du mouvement et une position des sondes plus proche que les prévisions théoriques basées sur un mouvement soumis aux seules lois de la mécanique newtonienne dans un espace euclidien. Le chemin tridimensionnel parcouru par le signal est strictement égal au chemin prévu par votre théorie classique, à la vitesse du signal attendue, mais avec un décalage temporel dépendant de la courbure locale – négative – de l’espace-temps qui réduit les distances réelles entre les objets lointains. Vous pouvez d’ores et déjà estimer localement cette courbure en utilisant les données provenant de vos sondes lointaines Pioneer qui font état d’un décalage temporel de 1,23 ± 0,20 seconde le long d’un chemin équivalent à 1013 mètres. Le chemin spatiotemporel réellement parcouru par le signal est en fait le segment hyperbolique isochrone direct qui sous-tend le chemin tridimensionnel et présente systématiquement une longueur moindre de celle du chemin tridimensionnel apparent. Note 2 : La communication télépathique est irréalisable entre deux OEMMII situés dans deux WAAM distincts possédant des cadres temporels différents car ils deviennent alors non localisables temporellement l’un par rapport à l’autre. Elle reste possible entre deux OEMMII voyageant ensemble dans un même WAAM. Lorsque nous voyageons au sein de nos spationefs dans un autre cadre dimensionnel, la liaison télépathique avec OUMMO reste possible si nous ne changeons pas de référentiel temporel, la modification angulaire des sous particules – OAWOOLEIIDAA – se faisant alors axialement à la dimension temps par une transformation équivalente de l’orientation des trois composantes spatiales et de trois composantes associées à la masse. )+( Pour répondre explicitement à vos interrogations, nous n’altérons pas le référentiel temporel de nos nefs pour voyager selon les conditions isodynamiques propres à ce WAAM et mesurées pour celui-ci. Nous nous projetons parfois temporairement dans OUWAAM en inversant, par rotation de pi (NdW : en symbole graphique sur l’original) radians, tous les angles dimensionnels des sous particules. Nous le parcourons localement pour restreindre la durée de nos voyages lorsque les conditions isodynamiques du WAAM sont défavorables. Tout lien avec OUMMO est alors rompu. Pour les autres WAAM dans lesquels nous savons nous projeter par inversion de six angles axialement à une autre dimension figée, nous nous contentons d’y répertorier les différentes concentrations de masses accessibles à nos enregistreurs et tentons d’y capter des signaux émis par d’autres formes d’intelligence. Nous pouvons y accéder corporellement pour contempler l’incommensurable beauté de la création de WOA mais nous y envoyons le plus souvent des véhicules d’exploration automatiques. Pour OUMMOAELEWE : NABGAA 112 fille de DORIO 34, approuvée par AYIOA 1 fils d’ADAA 67 ) + ( |
O1
O1 | Mise en ligne le 21/03/2012 |
Titres de la lettre : | Conseils sur la façon de structurer une nouvelle société sur la Terre. |
Date : | Reçue par voie postale le 23/06/1987 – Parvenue à ummo-sciences le 18/03/2012 par email privé (transmis par un membre de ummo-ciensas.org qui l’a lui-même reçu du groupe de Barcelone) |
Destinataire : | Rafael Farriols |
Signature : | OAXIIBOO 3 fils de IRIRAA 6 (en glyphes ummites) |
Commentaire : | En tête sur le site UC espagnol : « La première partie de cette lettre est personnelle, consacrée à Rafael Farriols et a été éliminée pour suivre son souhait. ». Scan des originaux vérifiés par Jean Pollion. |
Note du traducteur : | J’ai tenté de respecter la ponctuation originale, malgré son côté décoiffant ! Ne pas s’étonner, donc…. J’ai mis les mots « oummains » en lettres grasses. |
Version PDF de la traduction de Jean Pollion | |
Version en Espagnol | http://www.ummo-ciencias.org/Cartas/O1.html |
O1 (u-c)Nous pensons que la structure socioéconomique la plus adaptée pour les OEMMII de OYAAGAA passe par la nationalisation des plus importantes activités économiques, pour autant que la société soit éduquée à maintenir un profond respect à la « res » publiqua. Mais cette socialisation est dangereuse de l’extension à des activités économiques petites et locales et surtout doit être respectueuse de certains droits associés à la personnalité des citoyens libres de chaque état. C’est pour cela que les deux modèles qui règnent dans les deux grands états impérialistes de OYAAGAA, souffrent de tares gravissimes. La structure d’une économie libre du marché telle qu’elle règne dans ce qu’on appelle les états occidentaux est sauvage et génératrice d’injustices Le mythe de la libre concurrence est faux puisque la pratique oligopolique [il y a « oligopolica » dans le texte, ndP] et les pressions sur les gouvernants et les législateurs empêche [sic, ndP] la compétition des plus faibles à égalité de conditions avec les grands centres de pouvoir et les puissantes multinationales. Elle est fausse la pratique des libertés dans ce que vous appelez les démocraties puisque seul le citoyen qui dispose du pouvoir économique est libre de faire entendre sa voix. La complexité et le coût des canaux de communication rend [sic, ndP] stérile le droit à la libre expression d’un individu isolé et pauvre dont l’expression verbale. Incapable d’être amplifiée et canalisée en direction de larges couches de la société se perd dans le bruit de fond. A quoi sert son droit à l’expression, s’il manque des moyens économiques et de décision pour que ses protestations soient entendues ? Seuls les citoyens possesseurs d’information et de soutien économique, sont en capacité de modeler artificiellement les états d’opinion, de suggestionner les masses, d’accumuler les moyens de production et de fait le pouvoir.
O1 (u-c) De cette manière ce que vous appelez la Démocratie, est en réalité une oligodictature dans laquelle vos frères pertinents grâce à la clé de leurs centres de pouvoir respectifs exercent le contrôle effectif de l’état, en manipulant comme des marionnettes par l’intermédiaire de puissants moyens de diffusion dont la fonction est ; Non d’informer, mais de suggestionner les masses [et] d’immenses segments de la population incapables d’exercer un droit de vote réellement libre, responsable et illustré par une documentation informative fiable. Les églises appelées chrétiennes exercent une subtile et puissante action d’assoupissement sur les consciences citoyennes pour leur empêcher une prise de réflexion lucide, sur l’injustice. En oubliant l’authentique message libérateur de Jésus de Galilée, ils font avorter n’importe quelle tentative de rébellion et leurs institutions ecclésiales prêtent un puissant appui à l’oligopouvoir [sic, ndP] régnant en étouffant toute tentative de pensée qui analyse les racines de l’injustice. Les masses sont droguées avec une consommation sauvage d’objets et de services stériles qui n’aident en rien l’obtention de leur bonheur. Les normes de leur travail et de leur faible temps libre sont dimensionnées pour que les malheureux OEMII manquent de temps pour acquérir une authentique culture, se mettre en contact avec la Nature vivre conformément à une philosophie véritablement libératrice et établir des liens de fraternité filiale avec d’autres êtres de leur espèce. Bien que vous ne viviez pas dans l’environnement des pays appelés du Socialisme réel, et bien que les niveaux de justice soient très supérieurs et humanisants à ceux de l’occident, puisque la distribution sociale de moyens est plus équilibrée et le chômage est quasi inexistant en Union Soviétique. Aspect que les moyens de diffusion de l’occident s’efforcent d’occulter soigneusement quand ils critiquent cet autre modèle économique, il est évident que la toute-puissance de ses dirigeants a établi des schémas de pouvoir excessivement rigides et manquant aussi de libertés. La simple vérité est qu’autant le citoyen de ces pays que le citoyen occidental, manquent de liberté d’expression. Dans les pays de l’est [sic] parce que les autorités jugulent grâce à la censure toute information non en accord avec l’idéologie du Parti unique et dans les nations de l’Occident parce que leurs faibles voix s’estompent comme les volutes d’un simple cigarillo, au milieu des nuées de fumée d’un grand incendie. La vérité pure et simple est que vous OEMII de la Terre, ne voyez pas reconnues [sic, ndP] dans AUCUNE PARTIE DE L’ASTRE FROID TERRE, le droit pour vous fondamental de la liberté. L’humain de la Terre est simplement un esclave de quelques rares de ses frères qui quelques fois grâce à leur intelligence et les autres [fois] par leur simple astuce se sont convertis en tout-puissants détenteurs du pouvoir économique et de ce fait, politique. Vous avez été touchés par le malheur de vivre dans le cadre de cette pseudo démocratie, comme d’autres de gémir à l’intérieur d’un corset idéologique trop asphyxiant. Que faire et comment vivre en étant submergé dans cette mer d’injustices ? O1 (u-c) Il est évident que vous et vos frères les plus familiers ; Une minuscule cellule immergée dans une société sclérosée, ne pouvez trop faire pour changer l’orientation de sa structure, fortement enchaînée aux directives de ses satrapes nord-américains. Vous pouvez seulement avoir l’insolence de nager à contre-courant en vous adaptant à elle [la société, ndP] et en vous efforçant de modifier en le stabilisant le petit environnement qui vous entoure. Vous et les frères qui vous sont proches en pensée pouvez intégrer une cellule d’harmonie avec le BUUAWAA BIAEII. En étudiant, en vous formant, en vous réunissant dans le but de vous transférer mutuellement des idées et de vous enrichir mutuellement de l’accumulation culturelle commune. Ceux d’entre vous qui auriez des dons professionnels relatifs à l’humanisme doivent contribuer à les mettre à disposition d’amis et autres oemmii sous des normes idéologiques pures. Il est important de considérer, que si vous encouragez dans l’Economie de Marché, des entreprises privées comme moindre mal, portez à la conscience de vos subordonnés, employés administratifs, gérants, techniciens, ouvriers, que cette structure n’est pas l’idéale, et que dans un futur plus heureux pour la Société le contrôle des plus importants moyens de production doivent [sic, ndP] être dans les mains non d’une minorité, ni pas plus sous le contrôle d’un groupe gouvernant totalitaire non contrôlé par la base sociale, mais de la société elle-même, sous la direction de commissions gérantes transparentes authentiquement supervisées par tout le Réseau d’OEMMII. Cette réalisation est encore utopique, puisque les humains de la Terre n’ont pas la base culturelle suffisante pour prendre conscience de la structure politique qui leur convient pour se transformer vraiment en OEMII véritablement libres. Mais chacun de vous a l’obligation de susciter chez ceux qui l’entourent la nécessité future de faire partie d’une architecture sociopolitique plus juste et organisée. Dans d’autres rapports, nous vous offrirons un schéma esquissé de comment pourrait être structuré ce modèle en prêtant attention aux singularités des cerveaux des OEMII de OYAAGAA. |
Forum
Gyemese 2001/02/09 21:51 |
Moi je pense qu’il y a des êtres intelligents dans l’univers. Certainement qu’ils sont bien intentionnés. Si non, nous en baverions… |
Én azt gondolom,lehetnek inteligens lények a világûrben. Azért biztosan jó szándékúak. Ha nem akkor megszívtuk. |
BIIEW-42 2001/02/10 14:04 |
Gyemese, tu n’as pas de chance. Je n’ai pas de bonne intention. 🙂 | Nincs szerencséd, Gyemese. Nem vagyok jószándékú. 🙂 |
Gyemese 2001/02/11 18:49 |
Tu peux être mauvais, ça ne me dérange pas, si ça te fait plaisir [si tu le trouves bon]. Mais dis-moi une chose, d’ou viens-tu ? |
Tõlem akár rossz is lehetsz,ha így látod jónak. De egyet mondj meg,honnan jöttél? |
BIIEW-42 2001/02/11 19:03 |
Excuse-moi, je plaisantais seulement. Mais il me semble que je ne suis pas encore habitué. [Mais il me semble, je n’ai pas de la routine encore] Je suis venu de OYAUMMO, de la planète UMMO. |
Elnézést, csak vicceltem, de úgy látszik, hogy még nincs benne nagy gyakorlatom. Az OYAUMMO-ról jöttem, az UMMO bolygóról. |
Gyemese 2001/02/16 20:40 |
UMMO? Je connais ce nom de quelque part [Ce nom est connu par moi de quelque part]. Mais d’où ? | UMMO?Valahonnan pedig ismerõs ez a név.De honnan? |
BIIEW-42 2001/02/16 20:59 |
Je ne suis pas surpris [Je ne surprends pas]. Bien que notre activité terrestre soit limitée, de [en] nos jours les toutes petites nouvelles se répandent plus vite, et les anciennes ne sont pas oubliées, toutes sont gardées par le Réseau. | Nem lep meg. Noha földi tevékenységünk korlátozott, manapság gyorsan terjednek még az apróbb hírek is, a régiek pedig nem merülnek feledésbe: mindent megõriz õket a Háló. |
Gyemese 2001/02/17 16:00 |
A quel point est-elle limitée ? | Mennyire korlátozott? |
Gyemese 2001/03/08 19:14 |
Comment vas-tu Biiew!!!??? Pourquoi tu n’écris pas??? Aurais-je écrit quelque chose de mal ??? [Peut-être j’ai écrit quelque mauvais??? ] :-((( |
Mi van veled Biiew!!!??? Miért nem írsz??? Talán valami rosszat írtam??? :-((( |
BIIEW-42 2001/03/08 19:27 |
Me voici. Par le mot limité il faut entendre seulement que nous ne pouvons pas établir un contact direct. Le Réseau ne signifie pas un contact direct puisque il n’est pas capable de suivre des personnes. | Itt vagyok. A korlátozott alatt csupán azt kell érteni, hogy nem léphetünk közvetlen kapcsolatba. A Háló nem jelent közvetlen kapcsolatot, hiszen nem képes személyek nyomonkövetésére. |
Gyemese 2001/03/09 19:16 |
ENFIN, tu as écrit !!! Je croyais que tu avais été pris [tu as été attrapé] les services secrets. :-)))))) |
VÉGRE,hogy írtál!!! Már azt hittem elkaptak a nemzetbiztonságiak. :-)))))) |
BIIEW-42 2001/03/09 21:23 |
Les affaires de ce genre n’arrivent pas. | Nem történik semmi ilyesmi. |
Gyemese 2001/03/10 18:29 |
Tant mieux pour nous jusqu’ici. [Il est bon pour nous jusque là]. | Addig jó nekünk. |
BIIEW-42 2001/03/11 14:38 |
Je ne peux pas rester sans un échange notable de pensées. A la prochaine. | Érdemleges gondolatcsere nélkül nem maradhatok. Minden jót. |
Gyemese 2001/03/11 17:53 |
Commence un sujet et parlons-en ! Quelques idées: – Quelle robe portent des gens de UMMO ? – Est-ce qu’ils aiment Jenõ Rejtõ ? – Quelque blague d’UMMO ? Ou quelque autre chose, et parlons-en !!! |
Dobj föl egy témát és és beszélgessünk!Néhány tipp: -Milyen ruhát hordanak az UMMO-iak? -Szeretik-e Rejtõ Jenõt? -Egy pár UMMO-poén? Vagy valami más,csak beszélgessünk!!! |
guess.who 2001/03/11 18:01 |
Emese, tu pourrais lui soulever la question [peut-etre souleve lui la question] des feuilletons télévisés brésiliens que tu avais esquissée dans tous les détails…. Tu étais courte et frappante, ça me plaisait beaucoup ! Ah si ta grand-mère [Eh bien si ta grand-mere] avait pu entendre ! :))) |
Emese, esetleg vesd fel neki az általad oly részletesen ecsetelt « brazíliaiszappanoperák » kérdését… Rövid voltál, és frappáns -nagyon tetszett ! Hát még ha nagyanyám hallhatta volna ! :))) |
Gyemese 2001/03/13 19:10 |
Merci, guess.who!:-) | Köszi guess.who!:-) |
BIIEW-42 2001/03/13 21:07 |
Nous portons l’uniforme. Je réponds aux deux autres questions en même temps: Jenõ Rejtõ est un homme terrestre, il ne nous dit rien, on ne comprendrait pas sur Ummo. Il était impossible de le traduire convenablement [On ne pouvait pas traduire en mérite]. La raison en est que pas une seule blague terrestre ne serait compréhensible pour les ummites. [C’est pourquoi parce que ni une seule blague terrestre ne serait compréhensible pour les ummites].C’est pourquoi je ne peux pas raconter une blague d’Ummo, puisqu’elle ne serait pas compréhensible. Les hommes terrestres diraient que nous n’avons pas le sens de humour, ce qui est vrai incontestablement. Pour des raisons semblables, je ne peux pas me prononcer [déclarer] sur les feuilletons télévisés, bien qu’il faille reconnaître qu’ils ont, de toute manière, une influence préjudiciable sur les hommes terrestres [qu’ils ont une influence préjudiciable sur les hommes terrestres de toute maniere]. |
Egységes ruhát hordunk.
A két másik kérdésedre egyben felelek: Hasonló okok miatt nem nyilatkozhatok a szappanoperákról sem, bár el kell ismerni, hogy mindenképpen káros a hatásuk a földi emberekre nézve. |
Gyemese 2001/03/18 18:12 |
Cet uniforme ne ressemble pas a celui des gens de Taelon, n’est ce pas ? | Az az egységes ruha ugye nem olyan,mint a taeloniaké? |
BIIEW-42 2001/03/19 22:22 |
Malheureusement je ne les connais pas. | Õket sajnos nem ismerem. |
Gyemese 2001/03/21 19:15 |
Jette donc un coup d’œil dans le sujet : le nom de la planète : Terre in mémorial ? [Donc jette un coup d’œil dans le thème Le nom de la planète : Terre in mémorial ?] J’y suis aussi [moi aussi je suis là]. | Akkor tekintsd meg A bolygó neve:Föld in memorial? címû topicot!(én is ott vagyok |
BIIEW-42 2001/03/21 20:06 |
Est-ce que les gens de Taelon y sont ? [Est-ce que les gens de Taelon sont là ?] | Ott vannak a taeloniak? |
Kaktusz 2001/03/21 20:20 |
C’est pas un OVNI, mais MIR qui va nous tomber sur la tête ! :)) [Pas un OVNI, mais le MIR va tomber sur notre tête ! :))] | Nem UFO, hanem a MIR fog mindjárt ránk zuhanni!:)) |
Gyemese 2001/03/22 18:50 |
Alors, pas vraiment, mais tu peux y entendre d’autres choses. [Alors, pas tout a fait, mais tu peux en entendre autres choses] | Hát…nem egészen ott de ott hallhatsz róluk egyet s mást. |
BIIEW-42 2001/03/22 22:36 |
A l’occasion, j’irai les voir. [Par occasion je vais les voir]. | Alkalomadtán benézek majd oda. |
Gyemese 2001/04/13 19:45 |
Voyons ! Je suis revenue ! Excuse-moi de ne pas avoir écrit [pour ne pas écrire], mais des types en costumes noirs sont devenus nombreux par ici [à ces environs]. Selon moi ils flairent quelque chose. | Na!Visszajöttem!Bocsi,hogy nem írtam de elszaporodtak a feketeruhás alakok a környéken.Szerintem szimatolnak. |