D792 Les OEMIIWOA – « Incarnations cosmiques » qui s’incarnent sur les astres froids pour y impulser l’évolution.

D792-1 (1° partie)

Langue Espagnole
Nombre de copies: UNE

Chers Homme Jorge Barrenechea et épouse Carmen Maria.

Comme vous vous le rappellerez, dans la conversation téléphonique que vous avez eue avec l’un de mes frères, vous lui avez demandé que nous vous tenions informés sur UMMOWOA. Il est certain que, si on fait exception d’un document délivré à vos frères situés sur le Continent d’Amérique et rédigé en termes similaires, nous avions préféré ne pas insister excessivement sur un thème historique qui vous affecte aussi à travers la figure, pour vous sacrée, de Jésus. Et nous agissons ainsi pour ne pas blesser excessivement vos sentiments religieux.

Il est certain qu’à une période reculée de l’histoire, UMMOWOA est apparu parmi les habitants de UMMO entouré d’une auréole mystique. WOOAYII UMMOWOA pourrait se traduire par quelque chose comme « UMMOWOA divin », bien qu’il ne se soit pas développé une religion institutionnalisée autour de son souvenir comme cela s’est produit sur OYAGAA (Astre Terre)

La Cosmobiophysique moderne, jette suffisamment de lumière sur ce phénomène grandiose qui, parce qu’il ne se fonde, sur des lois cosmologiques, est moins merveilleux.

Avec cette nuance que les connotations émotionnelles et l’interprétation biophysique de cet événement sont très loin de la notion que vous avez élaborée sur le fait historique de la naissance de Jésus (Qui, comme nous vous l’expliquerons, est semblable à celui de UMMOWOA).

Pour vous, la figure de Jésus est « divine » et entourée de connotations mystico-religieuses. Il s’agirait d’un fait surnaturel, théologique et dans ce contexte, il est explicable que s’instaure une Église. Comme vous le vérifierez dans les pages dactylographiées ci-jointes, le phénomène d’un OEMMIIWOA s’inscrit dans un cadre scientifico-biologique, explicable quand on a une conception holistique du WAAM WAAM. Qu’au cours de l’évolution biologique, surgisse un OEMMIIWOA est aussi logique et nécessaire qu’une roche soit attirée par un Astre à cause de la gravité.

C’est pour cela que, pour un esprit religieux de la Terre, la notion d’un OEMMIWOA le laissera froid, le désenchantera et peut-être le décevra, entre autres aspects, parce que l’image de WOA que nous-autres acceptons n’a rien a voir avec la notion théologique que beaucoup de religions de la Terre ont forgé autour d’un type anthropomorphe sur le plan mental, paternel, qui punit et récompense, supra-intelligent et créateur.

Pour nous, par contre, toutes vos idées se situent dans le domaine des mythes, qui s’explique dans le cadre de l’évolution historique de votre Réseau Social Terrestre. A partir d’un fait réel qui, interprété comme étant de nature thaumaturgique (Miraculeuse) à cause de sa singularité physique, étonna les contemporains de Jésus, se développe un traité doctrinal qui donne forme à une nouvelle religion, le Christianisme, et l’édification d’églises variées selon les interprétations distinctes du message déformé de cet OEMMIWOA.

D 792-1 (2° partie) | T20- 10 à 19

UMMOALEWEE
Langue Espagnol
Nombre de copies: Deux

Messieurs de la Terre, Jorge Barrenechea, Antonio Ribera, Juan Aguirre, Rafael Farriols, Luis Jiménez. Le Señor Jorge décidera de la destination d’autres photocopies de ce rapport.

Notre conception cosmologique est fondée sur des bases scientifiques solides. Nous savons que nous sommes immergés dans un WAAM-WAAM (Univers multiple) et que les flux d’information qui rendent possible toute sa richesse configurative procèdent de deux pôles ou centres. L’un d’entre eux est générateur d’information par antonomase. Toutes les configurations possibles de la matière, toutes les possibilités de l’ÊTRE, c’est à dire toutes les modalités que vous pourriez concevoir de l’existence perceptible et non perceptible par nos sens et autres organes sensibles imaginables, tirent leur origine de ce pôle.

Il faut faire une mise au point que toutes les formes imaginables ne sont pas possibles en tant qu’êtres réels. Par exemple notre cerveau peut imaginer un OEMII ou être humain de la taille d’un millimètre, mais une telle entité biologique ne serait pas possible. N’oubliez pas qu’une réduction linéaire de 1/103 (un millième) se traduirait en volume d’organes internes à 1/109. La réduction du métabolisme biochimique serait ainsi proportionnelle à la masse. D’autre part, on observe que les molécules chimiques ne pourraient se réduire dans les mêmes proportions de façon à ce qu’une cellule de cet hommelet hypothétique ne pourrait abriter l’architecture complexe qui s’observe dans nos cellules. Pour de semblables raisons, un insecte parmi ceux que l’on connaît sur OYAGAA avec des dimensions atteignant des douzaines de mètres, ou une étoile composée exclusivement de chaînes protéiniques seraient inconcevables.

Les formes possibles de l’être doivent donc être cohérentes au corpus de lois physicobiologiques qui régissent le WAAM-WAAM.

Ce pôle ou matrice cosmique d’information rendra possible par transfert génétique toute la configuration des univers multiples. Sans son existence, le cosmos serait comme un gigantesque cristal de configuration isotrope, amorphe, dépourvu de configurations ou singularités et donc dépourvu d’information. (Le terme cristal, nous l’utilisons non pas comme synonyme d’architecture géométrique d’atomes ordonnés, corps qui ne serait pas isotrope, mais pour désigner une chaîne infinie d’IBOZSOO-UHU en complet désordre, dans lequel la transmission de la lumière n’est pas possible et l’entropie infinie).

Le centre cosmogonique codificateur de ces configurations possibles, nous l’appelons WOA. WOA coexiste avec AIODII, c’est à dire, avec la réalité formée. L’un configure; modèle, l’autre . (Ndt: Uno configura ; modela, al otro).

Mais il nous importe que vous identifiez notre version à une quelconque conception de DIEU. Un examen superficiel des deux notions peut accepter ce parallélisme. WOA = Générateur équivaudrait à DIEU = Créateur tel que vos théologiens le conçoivent.

Mais l’image de Dieu qui, comme vous le savez bien est assez différente dans le contexte des religions de la Terre, se révèle chez elles toutes comme un être anthropomorphe, doté d’infinie bonté, être pensant par excellence, parfait, père de ses créatures. Qui plus est, son existence suprême apparaît comme ayant été révélée à vos prophètes dans un contexte religieux et pieux.

Cela vous intéressera de savoir que notre idée de WOA a été induite par voie scientifique, et non par voie théologique. Il est certain que son existence fut proclamée par UMMOWOA dans un cadre historique où la Science ne pouvait être connue de lui. Mais pour nous, un concept « révélé » manque de valeur probatoire. La société d’UMMO n’est pas aussi sensible émotionnellement que le Réseau social de la Terre. Une religion, dans le sens que vous octroyez à ce terme (Union de l’être humain à son Dieu comportant foi et obéissance à ses lois et doctrines) ne pourrait pas se forger en son sein. Quant à nous, nous ne voyons pas en WOA un père, ni ne concevons que l’on puisse respecter ou accepter un concept quelconque par voie de la Foi. Seule la raison et la preuve scientifique permettent de forger le corpus de notre doctrine. (Remarquez que mes frères fidèles à ce principe, ont toujours insisté pour que vous ne croyiez pas à notre identité d’OEMMII, voyageurs en provenance de UMMO. Il en est ainsi, parce que nous partons du principe que l’on ne doit pas accepter dans l’absolu ce qui n’est pas prouvé).

Si nous arrivons à accepter avec le temps la parole de UMMOWOA, c’est parce que l’évolution de notre Cosmogonie nous permet d’accepter la fiabilité de l’origine de sa doctrine comme nous vous l’expliquerons dans des paragraphes ultérieurs.

UMMOWOA, tout comme Jésus, n’a pas prétendu fonder une Église ou une Religion.
Ce qui s’est produit sur les deux planètes distinctes est que UMMOWOA naît dans une société avancée dans laquelle la rigueur historique ne permet pas la création de mythes, et Jésus de la Terre, vit à une époque dans laquelle le langage est métaphorique, la Science n’existe pas, les idées dominantes sont irrationnelles et fortement imprégnées de conceptions magiques. Ainsi s’explique que son message se soit adultéré bien que ses éléments essentiels aient survécus et que sa figure historique souffre d’énormes distorsions. Cela, nous en parlerons ensuite.

Pour comprendre tout ceci, il faut que nous continuions à nuancer notre approche en ce qui concerne le concept de WOA.
WOA est source d’information cosmique. Mais, toute information est dépourvue de sens sans support matériel ou énergétique. D’où la symbiose entre WOA et le WAAM de masse infinie. WOA transforme en réalité cette information dans le sein de ce WAAM.

Comme nous nous exprimerons ultérieurement à ce sujet, WOA établit aussi une relation de syntonie avec ces structures que nous appelons cerveau humain, mais seulement dans des circonstances très spéciales.

Quel est le fondement scientifique de cette relation ? Vous comprendrez que dans le contexte de ces pages de divulgation, il soit quasiment impossible d’exposer le modèle mathématique très complexe sur lequel il se base. Nous emploierons donc la métaphore ou l’image. WOA entre en résonance avec le WAAM du BUAWA BIAEII (Univers qui codifie toute l’information), par un effet semblable à celui que vous connaissez en physique sous le nom de Résonance. (Si vous placez à une certaine distance deux cordes de violon et faites vibrer l’une d’elles, la propagation des ondes de pression interagit sur la seconde et la fait osciller. Un effet analogue se manifeste entre deux circuits pourvus d’une inductance et d’une capacité électrique).

Ce centre universel d’information pure que représente WOA, vous pouvez vous l’imaginer comme de gigantesques archives où vous pourriez trouver mathématiquement codifiées, depuis la configuration d’une plante végétale (sic) exotique, la résolution d’un système d’équations différentielles ou la structure d’un édifice et d’un matériel générateur de lumière cohérente (laser) et, nous le répétons, n’importe quelle entité ou être possible dans l’Univers multiple.

WOA coexiste depuis l’éternité avec le WAAM B.B., véritable cerveau du multicosmos et il le module grâce à cet effet particulier de résonance. Mais on observe qu’en réalité, il ne transfère pas toute l’information en une seule fois. Le multicosmos est comme un grand organisme cybernétique qui se corrige lui-même.
Au sein des Univers distincts, grâce à un courant néguentropique, naît la vie fondée sur la complexité biomoléculaire. Ces organismes vivants qui peuplent une multitude d’astres froids (souvenez-vous qu’un astre froid n’a pas forcément une origine planétaire mais quelques fois provient de vieilles étoiles qui se sont refroidies et qui conservent même une certaine chaleur interne) continuent à se perfectionner en complexité; en structures dont la densité d’information accumulée dans l’espace est croissante. Il s’agit des systèmes nerveux. L’aboutissement de cette complexité est le cerveau humain. Son architecture est donc suffisamment complexe pour que celui-ci accomplisse un saut qualitatif, se mette en contact avec son BUAWWA et s’enrichisse au maximum par sa connexion au B.B. (BUAWAA BIAEII) ou conscience collective engrangée dans ce grand cerveau de l’Univers.
LE WAAM B.B.)

Remarquez que ce grand système dont l’architecture est intégrée par le CERVEAU-BUAWA-B.B. prend soudainement conscience de l’Univers qui l’entoure. Il est comme un capteur de B.B. qui capte les configurations de son Cosmos, C’est à dire les galaxies, les étoiles, les montagnes, les animaux, les rochers et les artefacts élaborés. B.B. s’informe de sa propre élaboration. C’est comme si le multicosmos était un être gigantesque dont le cerveau et les mains seraient le WAAM B.B. Celui-ci façonnerait l’argile de la matière dans les Univers distincts, la concentrant en forme d’atomes, de nuages d’étoiles, de planètes, de montagnes et d’êtres vivants. Mais pour façonner, il faut « voir ». Ses yeux seraient les cerveaux. Ceux-ci transmettent l’information à B.B. et il corrige à son tour les déficiences du système grâce aux modèles fournis par WOA. Les « mains » du WAAM B.B. ne sont autre chose que l’influence physique interunivers de la masse imaginaire qui se propage d’un cosmos à l’autre en produisant des plis de l’espace et donc des configurations de masse et d’énergie modulées par l’information du B.B.

Voyez comment chez WOA son centre d’information est statique, tandis que dans l’Univers multiple, le WAAM B.B. en résonance avec WOA, l’information est dynamique. Pour cela nous vous avertissons que la comparaison avec deux cordes de violon est seulement d’ordre didactique et métaphorique, car chez elles, l’effet de résonance se manifeste par une dynamique simultanée.

Nous avons utilisé le verbe de OYAGAA « générer » comme représentatif de l’action de WOA, parce qu’il vous est plus familier et vous rappelle de façon didactique le concept du verbe « créer » si cher aux théologiens de la Terre.

Mais nous pensons que vous êtes déjà avertis de la différence subtile. WOA n’est pas l’être que vous imaginez en tant que Dieu, paternel, intelligent, pensant, avec une structure anthropologique (sic: anthropomorphique), qui décide de CREER un Univers et d’y mettre des créatures à son image qu’il récompensera après leur mort si elles ont accompli ses lois. WOA n’a rien à voir avec cet être mythique créé par les esprits de l’homme terrestre.

Ici le verbe ENGENDRER pourrait se traduire comme « représenté » par un effet spécial de résonance cosmique, des modèles d’information qui se transfèrent au WAAM B.B. pour dynamiser de façon évolutive dans le temps, la configuration d’un réseau d’Univers. Une parabole simple pourrait contribuer à vous familiariser avec notre cosmologie.

WAAM B.B. est comme le cerveau d’un potier dont les yeux fatigués (les cerveaux des OEMMII) contemplent une masse d’argile (la matière et l’énergie). Ses mains (la masse imaginaire dont les « tentacules » traversent les frontières des Univers distincts) façonnent une amphore. Mais pour le faire deux processus intellectuels sont nécessaires. Premièrement, s’inspirer d’un dessin (modèle informatif) qui représente un récipient. Pour cela il regarde un vieux livre de poterie (WOA) qui lui suggère subtilement la forme que doit avoir l’amphore, mais surtout, il doit apprendre à corriger lui-même la forme de celle-ci, la manipulant avec ses mains, l’observant pendant qu’elle prend forme, prenant conscience des difficultés qu’entraîne le maniement d’une substance visqueuse.

Quand nous attribuons, dans nos écrits à des hommes de la Terre, la faculté de « générer », nous ne faisons pas référence pour autant à cette hypothèse qui est la vôtre de la fonction divine de « créer de la matière à partir de rien  » mais d’engendrer des IMAGES ÊTRES IDÉAUX dans le WAAM B.B. que celui-ci se charge de dynamiser ou de modeler dans les Univers qui coexistent avec WOA (C’est à dire qu’ils n’ont pas été créés, dans le sens que vous donnez à ce mot, par Dieu).

Nous avons un profond respect pour vos conceptions religieuses d’entités appelées par vous Allah, Dieu, Jéhovah, Brahma… Mais comme vous venez de le remarquer, notre concept de WOA n’a rien à voir avec vos idées théologiques. Vous ne devez pas pour cela vous sentir forcés d’embrasser notre idée de WOA, qui pour nous est une conception scientifique, mais qui pour vous parvient par le truchement de feuilles dactylographiées dont la provenance est obscure. Pour cela, chacun de vous doit continuer à être fidèle à vos vieilles croyances comme nous vous l’avons toujours suggéré, et lire nos rapports, comme on étudie des coutumes d’un village tribal exotique et lointain.

LA CONFIGURATION CRITIQUE DU CERVEAU

Ce rapport, ainsi qu’un autre texte, nous l’avons fourni à vos frères du Canada, mais comme à vous, hommes d’Espagne, semblable information ne vous est pas parvenue, nous voulons en tracer les lignes essentielles dans ces paragraphes.

Dans le processus évolutif et pourtant néguentropique des architectures vivantes, le système nerveux animal atteint un rang très élevé. Observez comment la matière se constitue progressivement en structures de niveaux croissants de complexité. Ce n’est pas seulement la densité de l’information qui augmente chaque fois alors que les molécules continuent à s’organiser dans des espaces réduits, mais son architecture merveilleuse. Des millions de fibres nerveuses qui déjà en elles-mêmes sont complexes s’interconnectent au moyen de protubérances dentriques, se connectant entre elles pour faire passer l’information. Ces structures neuronales de base, dotées de différentes fonctions, s’interconnectent à leur tour en réseaux formés par des noyaux fonctionnels de complication croissante. La configuration finale est le cerveau de l’OEMII, capable de capter les informations de son milieu physique, de les intégrer, de les envoyer en partie au B.B. ou de les utiliser à son tour pour réagir à et manipuler son environnement physique. Jusqu’à présent nous ne vous révélons rien que vous ne sachiez.

Quel est l’aboutissement final de cette évolution du cerveau humain ? Avant tout, nous vous expliquerons que l’évolution du réseau nerveux comprend des étapes quantiques dont chacune donne lieu à un nouveau phénomène.

Pour comprendre cela, nous devrons vous rappeler au préalable quelques notions de notre AYUUUEAOIIDII (BIOPHYSIQUE DES RÉSEAUX).

Un réseau ou système est intégré par des nœuds ou pôles reliés entre eux par des canaux. Les nœuds peuvent êtres des points massiques simples ou des sous-système complexes. Les canaux sont à leur tour des flux de force, d’énergie ou d’information. Fréquemment, les nœuds et les canaux sont à leur tour des réseaux plus élémentaires. Des réseaux qui vous seront familiers peuvent être représentés par un système de téléphonie urbaine, dans lequel les canaux sont de simples conducteurs par lesquels circule une intensité électrique modulée pour l’information, par le téléviseur de votre domicile, le moteur d’une voiture de tourisme dans lequel existent des interconnexions compliquées, mécaniques, électriques, de masse-énergie (essence) ou de gaz (air, gaz de combustion, etc.).

Un autre type important de réseau est la société des OEMII, ses nœuds sont à leur tour des sous-systèmes complexes: des êtres humains, et les canaux d’information sont aussi importants que les canaux de masse et d’énergie. Les nœuds (hommes) se connectent au milieu biophysique et à d’autres nœuds (vos frères), par des flux divers. Un canal de transfert s’établit quand vous recevez une information olfactive ou optique, quand vous remettez un objet à un autre frère ou quand vous parlez avec lui.

Naturellement; les édifices, les avions, les gouvernements, l’outillage, les ordinateurs et les stylos, sont autant d’exemples de réseaux.

Il est évident qu’un organisme animal est aussi un réseau, et la structure la plus complète de tous ceux qui soient connus, le cerveau humain, se transforme ainsi en le plus parfait des réseaux connus.

Nous désirons vous faire remarquer qu’il existe des réseaux dont les connexions ne sont pas des canaux par lesquels circulent l’énergie, l’information, la masse (liquide, gazeuse solide ou plasmique). Un exemple de tels systèmes ou réseaux serait un polygone ou le système formé par les murs, le toit et le sol d’un logement.

Bien que nous nous écartions de notre objectif didactique, nous vous rappelons que Tout le WAAM-WAAM constitue un gigantesque macro-réseau, formé par les sous-systèmes ou réseaux qui à leur tour sont intégrés par des réseaux encore plus élémentaires. Notre effort dans le champ de la physique a été de créer un modèle mathématique complet qui explique le déroulement et les fonctions de ces réseaux. N’oubliez pas que beaucoup d’éléments de tels réseaux ont un caractère quantique. De sorte que leur comportement est aléatoire et donc imprédictible. Cela introduit un important facteur de caractère indéterministe dans de nombreux systèmes de ce type. 

Maintenant nous vous invitons à prêter attention à une caractéristique importante des RÉSEAUX.

C’est précisément à ce point, que le développement de notre science se trouve bien plus avancé que celui de OYAGAA. Nous vous répétons : suivez scrupuleusement les paragraphes qui suivent.

La propriété la plus importante d’un réseau est ce que nous appelons EIDOAYUEE. (Le mot le plus proche en langue espagnole serait: Émergence (Emergencia).

Quand un système se structure de façon particulière, surgit alors la EIDOAYUEE. Il n’est pas facile d’exposer ses lois dans un espace restreint. Pour cela nous recourrons à des exemples didactiques.

La condition nécessaire mais non suffisante, est qu’il se produise un saut dans sa complexité ou concentration d’information dans ses éléments. Plus grande est la densité d’information plus transcendante est aussi la EIDOAYUEE.

EIDOAYUEE est le fait évident pour vous de ce qu’un Réseau possède des propriétés et exerce des fonctions que ne possèdent pas les éléments qui le composent.

Observez un réseau inerte. Un polygone pentagonal. Il est formé par cinq nœuds et cinq connexions rectilignes. Séparez les points et les lignes. Aucune d’elles ne jouit de la propriété pentagonale, vous ne pouvez pas dire qu’une droite segmentée possède une dixième partie de la propriété pentagonale. Mieux, le fait de les faire se relier entre elles engendre une propriété géométrique nouvelle.

Une de vos émissions de la radio diffusion n’est rien d’autre qu’un réseau dont les composants sont des câbles, des soudures, des semi-conducteurs, des tubes à vides, des condensateurs, des résistances fixes et variables, en plus des éléments de support. Le réseau est capable de moduler l’énergie et de la propager par une antenne. Mais essayez de décomposer le circuit. Pourriez-vous avec l’un de ses composants, une résistance de graphite, un condensateur de tantale, ou une diode zener rayonner, ne serait-ce qu’un millionième d’énergie modulée ?

Observez que sont en outre possibles des configurations infinies de réseaux mais que seulement un petit pourcentage d’entre elles sont vraiment fonctionnels ou significatives. Il n’est donc pas question de densifier l’information au hasard. Vous pouvez fabriquer une machine très compliquée avec des bielles, des ressorts, des vis, des balanciers, des barres de fer, des pignons, des courroies de transmission, des volants et des axes, des leviers et des balancines, qui ne servent à rien ni ne se mettent en mouvement bien que nous puissions mesurer une valeur respectable de la densité d’information.

Il existe des modèles mathématiques appelés par nous GUIXOEXOO et qui permettent à des réseaux d’être fonctionnels ou signifiants. Quand un ingénieur de la terre conçoit un modèle d’appareil photo, de robot ou de ciseaux, il utilise intuitivement son GUIXOEXOO, contrairement à l’inventeur fou qui crée par exemple, une machine fantastique à mouvement continu. Et ce, bien que les physiciens de la OYAGAA (Terre) n’aient pas développé une théorie générale de la AYUUEADOIDI (Ontologie des systèmes) qui permette d’engendrer le GUIXOOEXOO (Modèle d’Émergence)

Récapitulons jusqu’à ce point:
Un réseau : S’il est spécialement structuré, il engendre une EIDUAYUEE (ÉMERGENCE) ou une fonction ou signifié, dont les propriétés sont supérieures de façon significative aux sommes des propriétés de ses composants.
Au plus un réseau est complexe
, c’est à dire, quand sa densité d’information est plus grande et avec la condition de GUIXOOEXOO (presque intraduisible), plus grande et plus transcendante est la fonction émergente ou sa signification.

Nous devons en outre vous avertir et vous montrer que cette ÉMERGENCE se manifeste de façon quantique « en sauts », en paliers. GUIXOOEXOO ne se développe pas comme une fonction continue, mais comme une fonction en paliers.

Voyez avec un exemple : Vous pouvez développer un simple moteur à explosion, formé d’un cylindre, d’un piston d’une bielle et de valves, d’un volant quelconque et d’un arbre, d’un carburateur élémentaire et de quelques composants supplémentaires. C’est un réseau duquel ÉMERGE la fonction de générer de l’énergie cinétique par rotation, en application des principes de la Thermodynamique connus de vous. A partir de là vous pouvez le perfectionner. Non seulement en y ajoutant des composants, un carburateur plus sophistiqué, de nouveaux cylindres synchronisés, un système d’allumage électronique, aussi en réduisant la taille des éléments, grâce à quoi le système croît en densité d’information.

Mais l’émergence ne varie pas. Il en résultera un meilleur rendement, une puissance supérieure, une meilleure stabilité dans la rotation, mais la EIDUAYUUE demeure constante. Vous n’obtiendrez pas que ce réseau, ce moteur émette des images télévisées ou forme des images sur une plaque sensible. Il faudrait un saut qualitatif considérable, une transformation essentielle dans ses composants pour obtenir qu’il se comporte comme un appareil photo.

Peut-être aurez vous une notion plus claire de ce concept en observant l’évolution d’un Réseau nerveux animal. Ici « l’ingénieur » qui élabore le GUIXOOEXOO, c’est à dire le modèle de comportement du réseau, est BUAWEE BIAEII (B.B.) c’est à dire l’Univers modèle ou Conscience collective.

Observez l’organisme d’un Cœlentéré, connu des zoologues de la Terre. Lui, il développe des cellules sensibles (protoneurones) capables de différencier les stimuli de l’extérieur. Voilà un système nerveux primitif dont l’ÉMERGENCE (EIDUAYUUE) est élémentaire, recevoir l’information et réagir par un acte réflexe.
Observez maintenant des organismes plus évolués. Par exemple, des échinodermes. Chez eux on constate un saut quantique, un GUIXOOEXO distinct, une fonction émergente radicalement distincte.

Le réseau des cœlentérés se réduit à des cellules-stimuli sensori-motrices- ACTION
Chez l’échinoderme, le réseau s’est fait non seulement plus complexe, mais il a changé d’architecture. Les neurones en ganglions de configuration spéciale s’y sont intégrés. Maintenant l’émergence est aussi distincte. Elle se manifeste en forme de conduite intégrée. Le réseau accumule l’information, mémorise des souvenirs, et l’animal, face à un stimulus ne réagit pas automatiquement par un acte réflexe, mais il module sa conduite en fonction de l’expérience engrangée.

Dorénavant, dans l’évolution, ce système nerveux ira en se compliquant de plus en plus. Les poissons, les amphibiens, les reptiles et les mammifères édifient les ganglions formant une masse encéphalique capable de prendre des décisions de caractère déterministe (sans libre arbitre), mais en fonction de ce que vous appelleriez « programmations de données engrangées ». Ces animaux captent l’information durant toute leur existence, l’emmagasinent, l’élaborent à un niveau élémentaire, édifient une formation cérébelleuse capable de mémoriser des automatismes et de prendre des décisions, non seulement en fonction de ce qu’ils observent dans leur milieu ambiant, mais qui les guident également pour leur programme interne et leurs souvenirs. Les modèles de conduite comme ceux que vous appelez des réflexes conditionnés, permettent à ces organismes de développer un apprentissage qui sera supérieur parfois au conditionnement de ses instincts.

Nous devons considérer maintenant un saut transcendant dans l’évolution cérébrale. Les mammifères hominidés transforment leur encéphale en un réseau complètement distinct. C’est ainsi que s’engendre le cerveau de l’OEMII (Homme).

Nous voulons insister sur le point que ce n’est pas seulement une fonction de complexité. Il est certain que pour arriver à accomplir ce saut, une densité d’information de 1019 bits/centimètre cube est nécessaire. Mais la clef du changement GUIXOOEXOO doit être une nouvelle structure du réseau. Il s’y est produit de nouvelles connexions (peu) entre elles, que vous désignez par Nucléon (Nucleo caudado ?). La formation ganglionnaire amygdalienne, l’hippocampe, appelé par les neurologues de la Terre aire septale et le cortex frontal pour que se crée un cerveau distinct qui engendre une émergence EIDUAYUUEE transcendante ; La CONSCIENCE. Cette fonction est comme vous le savez transcendante. En premier lieu, cette masse visqueuse qu’est le cerveau, se met en contact avec BUAWAA (Âme ou psyché) et avec B.B. L’organisme peut à partir de maintenant, adopter des décisions libres quoique le pourcentage en soit encore assez limité. Mais le plus important et ce qui échappe même aux neuropsychologues et aux théologiens de OYAGAA, est que ce petit cerveau se convertit en un capteur ( sensor) du WAAM-WAAM. A l’instant de sa formation, sa fonction transcendantale consiste à capter de l’information pour le B.B. et au moyen de ce transformateur grandiose qu’est le WAAM B.B., modifier, pas à pas, la structure de l’Univers

Quand un OEMMII (humain) d’un quelconque astre froid situé à un endroit reculé quelconque de l’espace, dans le sein d’un Univers quelconque, observe, pense, agit ; simultanément sa conduite intellectuelle, pratique et en tant que captatrice d’information, induit une modification de la configuration du WAAM-WAAM (Univers multiple).

Arrêtez-vous pour penser un instant à la nature de ce changement morphologique expérimenté par un cerveau qui avant demeurait à l’intérieur d’un hominoïde peu distinct de l’un de vos gorilles ou chimpanzés, et qui maintenant occupe la cavité crânienne d’un humain.

Dans votre monde technologique, ces sauts dans la fonction des réseaux sont fréquents. Nous avons vu dans le sud de la France et dans quelques localités de l’Espagne, des rémouleurs ambulants qui utilisaient un véhicule moto pour transférer de l’énergie cinétique rotative à une meule de grains abrasifs. C’est à dire un réseau désigné pour transporter sous forme de véhicule un corps d’OEMII, se transformait au moyen des composants élémentaires, une courroie de transmission et un volant pourvu d’un cylindre recouvert de toile émeri, en un système dont la EIDUAYUUE (fonction, émergence) était un aiguiseur ou rémouleur de couteaux d’acier.

Vos ingénieurs électroniciens savent bien à quel point il est simple de transformer quelques circuits récepteurs, dont la fonction ou émergence consiste à amplifier des trains d’ondes magnétiques modulées en circuits émetteurs, capables de codifier et de propager l’information, par la simple modification qui suppose qu’on ajoute des condensateurs et des résistances, qu’on modifie quelque connexion et qu’on y ajoute une capsule microphonique.

LA FONCTION OIXOOWOA (Intraduisible)

Nous désirons maintenant vous révéler la nature du dernier saut quantique que peut expérimenter un cerveau. C’est le plus transcendant de tous. Inconnu des scientifiques de OYAGAA. Les conséquences, non seulement neurophysiologiques mais physicocosmologiques sont tout simplement étonnantes pour des réseaux sociaux comme la Terre qui n’ont pas encore atteint la maturité intellectuelle suffisante pour les comprendre.

Nous poursuivrons dans un prochain rapport.


D 792-1 (3° partie – Reçu par Jorge Barrenechea le 13 Janvier 1988 ) | T20 – 24 à 33 | Notes: T20 – 34 à 40

LA FONCTION OIXIOOWOA

Une question anthropobiologique importante pour vous, c’est de connaître quelle sera la future ligne évolutive du cerveau humain. Comment seront vos descendants, s’ils viennent à l’existence, après que, par exemple, se seraient écoulés deux millions d’années ?

Nous, les OEMII de UMMO dont le cerveau est plus développé que celui de OYAGAA et qui avons connu d’autres réseaux sociaux planétaires, nous pouvons répondre de façon nuancée à cette importante question.

Le développement néguentropique du Réseau neuronal que vous appelez l’encéphale ou le cerveau, ne s’arrêtera pas encore. Deux voies se présentent devant vous pour ce développement. Une de celles-ci est régie par une loi qui vous est inconnue et que nous dénommons BAAYIOODISXAA (Équilibre cosmique biologique), et communément dénommé pour vous, processus d’évolution de l’espèce qui se régit par des règles qui émanent du B.B. (Orthogenèse) à travers des IDUGOOO (Changements ou mutations génétiques) successives.

Un simple changement dans la séquence de nucléotides d’une chaîne d’ADN qui intègre un quelconque IGOOAA (gène), se traduit par une nouvelle chaîne de polypeptides ou de protéines. Cette nouvelle protéine embryogène a pour mission de changer l’architecture du système, c’est à dire du réseau. Si ce Réseau est le cerveau et s’il s’agit d’une protéine spécifique modélatrice de structure (Les protéines embryogènes ont pour mission, non seulement de modifier histologiquement les bases du cytoplasme cellulaire, mais d’orienter le tissu dans l’espace, un peu comme un de vos maçons dispose tridimensionnellement les briques pour construire une maison.)

Cette mutation, si elle n’est pas régressive, implique un nouveau changement structurel [note 1] dans le cerveau qui deviendrait ainsi plus complexe. Par exemple, la structure du cortex frontal pourrait se développer permettant à l’individu d’être plus intelligent, étant donné que son réseau de dendrites est davantage capable de processus intellectuels compliqués (Traitant les données de son milieu physique et provenant de son engramme mnémique – mémoire).

[Note1] – Ce type de mutation peut être accidentel, par exemple quand une radiation ionisante crée un radical chimique qui affecte sérieusement le réseau de IGOOAA (gènes) provoque une légère variation dans la séquence de nucléotides de ce que vous appelez l’ADN, en quel cas, la formation ultérieure d’une protéine, sérieusement affectée par ce changement, provoquera des altérations dans le phénotype (positives ou négative pour la survie de l’individu) ou il s’agira d’une mutation ORIENTÉE PAR B.B., appelée par nous IDUUGOO. Dans ce cas, les nucléotides affectés sont variés, beaucoup d’entre eux correspondent à des séquences d’ADN qui par la suite, à travers des chaînes d’ARN appelé par vous messager et ARN de transfert, donneront lieu dans ses ribosomes à la formation des protéines embryogènes (c’est à dire d’architecture histologique)
Nous parlons de protéines VARIEES de cette classe, de sorte que le changement dans le phénotype sera plus profond que quand il s’agit d’une mutation accidentelle.
Dans ce cas, il se produit un véritable saut quantique dans l’espèce. C’est de cette façon que se modèle un nouveau réseau neuronal encéphalique du fait que sa structure change assez profondément.

En résumé : La mutation d’un cerveau d’un type à un autre plus parfait est dirigée par BUAWEE BIAEEII. Le moment de son apparition est régie par des lois de hasard qui exigent un perfectionnement progressif suivant des modèles d’évolution génétique très complexes engrangés dans B.B. Chaque phylum peut donner lieu approximativement à 218.000 mutations structurelles possibles qui correspondent à autant de modèles traités par B.B. Un réseau de Krypton décode les instructions de cette banque cosmique de données. [fin Note 1]

Ce cerveau supérieur, dont nous nous sommes dotés et même à un degré supérieur au notre, dont sont dotés d’autres réseaux planétaires, et que vos descendants possèderont aussi, aura une configuration quelque peu distincte de celle que vous connaissez. Mais ce n’est pas pour cela que s’est produit un saut qualitatif semblable à celui qui a été expérimenté quand un être humanoïde s’est converti en OEMII (HOMME).

Votre EIDUAYUUE (Emergence) sera identique. C’est à dire, il s’agira de cerveaux conscients, à un degré plus élevé, cela oui, de liberté de décision, beaucoup plus intelligents ; mais leur mission suprême sera de scruter l’Univers dans lequel ils vivent, de transférer ces données au. B.B. (BUAWAE BIAEII), ce lointain Univers codificateur d’information et à travers lui, de modifier le WAAM-WAAM (multicosmos).

Ici il nous faut nous arrêter pour essayer de vous faire réfléchir sur un aspect extrêmement important.
Au fur et à mesure que la capacité de conscience d’un cerveau continue à s’accroître et par conséquent son niveau de libre arbitre (en fonction de sa complexité croissante), il est évident que son action sur le B.B. s’accroît de même que son influence modélatrice du multicosmos.

Avant que mes frères AWUU 5 fils de AWUU 3 et OYIIAA 64 fille de UREE 11 aient fait la géniale découverte scientifique de l’existence de la fonction OIXIOOWOA (intraduisible), nous pouvions spéculer par voie de la logique, comme sans doute vous le ferez en lisant notre rapport, qu’il doit y avoir une limite à la fonction modèlatrice de l’Univers.

Si un cerveau aussi petit que celui qui loge dans votre encéphale, qui observe les galaxies, les fleurs et les volcans, ou bien qui philosophe sur la nature de l’être, transfère cette faible activité au B.B. et que celui-ci l’amplifie jusqu’au point de modeler la configuration de la poussière cosmique ou la forme d’une galaxie lointaine, vous pourrez prévoir que si l’évolution de cette masse de ganglions nerveux continuait et par conséquent son perfectionnement dans la fonction consciente, il arriverait un moment hypothétique où un macro cerveau n’ayant pas plus de quatre-vingt décimètres cubes et possédant une architecture interne suffisamment complète, serait capable de dominer le WAAM-WAAM, tout en entrant également en compétition avec le B.B. 

Et de plus, il faut tenir compte – comme nous le savons maintenant – du fait que cette influence ne suit pas les principes d’une fonction linéaire. (Un accroissement double de la complexité neuronale peut multiplier par six son action cosmologique)

Bien avant que soit atteint ce niveau de complexité, les lois régulatrices du WAAM-WAAM, véritable organisme cybernétique, ont prévu des fonctions régulatrices qui vous paraîtront sûrement surprenantes, bien que dans l’histoire d’OYAGAA se soit manifestée au moins une fois nous le savons, cette régulation jugulatrice. [note 2]

[Note 2] – Quand la perturbation dans un Cosmos est très intense, il se produit une inversion dans l’action de résonance de sa masse imaginaire. B.B. (Univers) capte cette inversion car, ne pouvant pas entrer en résonance, il se produit un effet compliqué, dont l’image, plus compréhensible pour vous serait celle d’un train d’ondes stationnaires. Ceci produit un grave effet perturbateur dans WAAM http://www.ummo-sciences.org/fr/images/S792-1-s1.gif. (C’est un peu comme si vous lanciez une balle, qu’elle rebondisse sur le mur et, qu’au retour, elle vous blesse à la tête.)

Il s’agit d’une véritable boucle de réalimentation. La perturbation provoquée dans B.B. se traduit par un effet frontière, WAMM ifélimine ainsi le responsable de la perturbation.

Nous allons maintenant vous expliquer ce qui arriverait si un vulgaire cerveau d’humain, par son action consciente et par conséquent modélatrice de variations dans le WAAM-WAAM, arrivait à dépasser ses fonctions, engendrant une distorsion très intense dans un Univers.
B.B., en ce cas, suivant des lois de caractère cybernétique, annulerait par effet frontière la configuration de cet organisme dans son propre Univers d’origine, dissolvant son réseau d’IBOZSOO UHU massique et le transformant en un autre réseau énergétique dans le sein d’un autre Univers, bien que la somme d’information traitée par ce dernier ne sera pas perdue. C’est cet aspect que nous développerons plus loin.

Cet évènement chez un homme de la Terre ou chez un OEMMII de UMMO est impossible en termes de probabilités. Ce serait comme si on s’imaginait qu’un athlète de la Terre pût être assez fort pour arracher l’Himalaya. Mais : Que se passerait si par mutation génétique s’engendrait un athlète de 70 kilomètres de haut ? Naturellement ce n’est qu’une simple métaphore, des anatomies aussi gigantesques ne peuvent se développer, mais en échange il est possible, comme vous le verrez plus loin, d’engendrer des cerveaux structurés, capables de créer de terribles perturbations cosmologiques.

Cette limitation de notre propre puissance à produire des distorsions dans le WAAM-WAAM nous protège. Nous pouvons mourir et notre corps se dissoudre dans le cadre physicobiologique qui nous entoure, mais non  » disparaître en passant dans un autre Cosmos ». Au moins pendant que nous continuons à être de vulgaires OEMMII..[fin Note 2]

Mais avant de pénétrer dans la fonction OIXIOOWOA, nous vous rappellerons qu’il existe une seconde voie pour développer un encéphale : la BAAYIIBUUTD (cela pourrait se traduire par biotechonologie). Pour vous demain, comme pour nous aujourd’hui, il vous sera possible de synthétiser un réseau de chromosomes (génome) et le perfectionner ensuite pour obtenir des structures-réseaux beaucoup plus complexes, des organismes vivants différents y compris ceux que vous connaissez déjà, et évidemment, des OEMII dotés d’un cerveau plus complexe et par conséquent plus intelligent et plus conscient.
Mais ceci est un thème sur lequel nous vous donnerons des informations dans de prochains paragraphes et qui présente de graves implications éthiques et leur violation impliquerait de très graves bouleversements pour le réseau social si on osait franchir ce pas crucial.

Nous revenons donc au thème originel de ce rapport. Que se passerait-il si, en suivant la ligne évolutive naturelle ou par des moyens biotechnologiques, on atteignait un seuil spécifique dans l’architecture et dans la complexité de l’encéphale ? 

Avant de répondre, nous vous informerons sur d’importants aspects de la nature de WOA.

Nous avons expliqué que WOA est un pôle transcendantal d’information. Non seulement il engramme les configurations de tous les êtres possibles, mais aussi les lois qui peuvent rendre possible la structure du WAAM-WAAM.
Ne pensez pas qu’il puisse exister un autre système de lois physiques distinctes de celles qui règnent dans le WAAM-WAAM.

Nous pouvons isoler deux types de lois : 

EEWAOO – C’est une structure de lois qui régissent le cadre de tendances entropiques et néguentropiques. Il s’agit de lois physiques et biologiques, dont beaucoup vous sont familières, et dont l’application s’étend à tout le WAAM-WAAM. Elles se réduisent à un cadre très restreint de lois qui dynamisent le réseau universel d’IBOZSOO UHU. Naturellement, ces lois sont inviolables. Dans les structures macrophysiques, elles empêchent tout degré quelconque de liberté. Dans les structures microphysiques, il n’est pas possible d’en prédire le comportement. L’une des caractéristiques essentielles du WAAM-WAAM est que les configurations macrophysiques sont réglées et dirigées par des processus microphysiques.
Pour cela la ligne évolutive du WAAM-WAAM n’est pas déterministe. C’est la raison pour laquelle il est impossible de prédire son comportement futur. Tous les projets pour élaborer un modèle prédictif de la fin de l’Univers, sont condamnés à l’échec. [note 8]

[Note 8] – Il n’est pas possible de prédire avec certitude la fin des univers jumeaux, WAAM et UWAAM, qui nous sont familiers.
Nous pouvons, cela oui, déterminer avec un certain niveau de probabilités ce qui va se passer pour notre Cosmos (dans lequel nous « résidons ») en fonction de la ligne évolutive que nous observons.
Sa fin sera « probablement  » un continuum spatio-temporel configuré comme une hypersphère de rayon quasi infini.
N’existeront plus dans « notre » futur les configurations de masse ou « tourbillons » : vortex énergétiques (ondes confinées).
Seule existera une distribution isotrope de radiations à un très bas niveau d’énergie, produit d’une mise en phase des trains d’onde que supposent ces structures d’IBOZSOO UHU, engendrées par WOA à travers le WAAMf .
Ce modèle de la fin a été développé avec pas mal de succès par vos propres cosmologues de OYAGAA.
Il convient seulement de préciser qu’il n’existe pas de certitude que cette fin pour notre Univers doive nécessairement se produire, car il est impossible de prédire d’hypothétiques actions correctrices du WAAM-WAAM. [fin Note 8]

Le Multicosmos se comporte comme un organisme vivant auto conscient, intelligent (grâce à son B.B.), doté de libre arbitre pour évoluer. Si en son sein, l’un de ses Univers suit une ligne d’entropie croissante et par conséquent de dégradation et de mort, d’autres cosmos évoluent de façon néguentropique. Un exemple à titre didactique, pourrait être le suivant:

Le WAAM-WAAM ressemble à un OEMII (homme) qui ne serait doté que d’organes sensoriels propriocepteurs. C’est à dire, un homme à qui il manque les yeux, l’odorat, le toucher épidermique externe, l’organe de Corti, etc. Cet homme ne pourrait pas percevoir le monde extérieur simplement parce qu’un tel Univers externe n’existerait pas. Mais il serait conscient de son métabolisme biochimique, de sa température interne, de ses tensions musculaires, de son propre schéma somatique. Cet homme penserait et prendrait des décisions sur son propre corps, réglant son métabolisme biochimique, son développement histologique. Si en son sein apparaissait un néoplasme perturbateur, il serait capable d’en enrayer la croissance en ayant recours à des moyens immunologiques. Il détruirait ses vieilles cellules et régénèrerait en changeant son génome en d’autres entités cytologiques. Son âme serait WOA en symbiose avec B.B. Le premier lui soumettrait des modèles et idées informatives, le second permettrait son processus intellectuel, mais sa conduite et sa fonction neurosensorielle, seraient régies par des organes microscopiques distribués au hasard dans son corps, constitués par les cerveaux, encéphales humains résidents d’astres froids.

UAA – Mais dans le WAAM-WAAM il existe non seulement des réseaux ou des structures physiques susceptibles de souffrir la dégradation et la mort (Entropie), mais aussi des réseaux néguentropiques biologiques ; dont quelques-uns uns acquièrent le niveau d’êtres conscients (cerveau). Ces derniers sont susceptibles d’adopter des décisions LIBRES, non sujettes par conséquent au déterminisme des lois inflexibles de la physique. Il vous paraît évident que ceci introduit un facteur très sérieux d’insécurité pour le COSMOS MULTIPLE. N’oubliez pas que les cerveaux d’OEMII sont capables de modeler l’architecture des divers Univers. Si le comportement conscient de ceux-ci est déséquilibré, ils introduiraient des perturbations transcendantes dans cet organisme cybernétique qu’est le WAAM-WAAM. [Note 3]

[Note 3] – Vous pouvez nous demander la raison pour laquelle les UAA (que, les auréolant presque d’un caractère religieux mystique, vous qualifieriez de morales) ne sont pas aussi inflexibles et rigides que les EEWAO. (Lois physico-biologiques qui doivent s’accomplir inévitablement).

Il est évident que la Nature cosmobiologique se régit selon des modèles que nous pourrions décrire par une métaphore comme étant dotés d’un grand savoir.

Imaginez en raisonnant par l’absurde, que les organismes intelligents du WAAM-WAAM ne soient pas libres. (Naturellement, en ce cas, ils n’auront pas besoin de modèles idéaux de conduite UAA pour être régis, les lois physiques leur suffiraient. Leurs réseaux seraient par conséquent DETERMINISTES. L’action de ces cerveaux sur le Cosmos multiple, serait sclérosée par manque de créativité. C’est seulement au sein d’un système libre que l’information peut être dynamisée, en s’enrichissant continuellement dans un processus évolutif.

Un modèle rigide donnerait lieu à un WAAM-WAAM cristallisé, avec un niveau d’information initial qui rapidement dégénèrerait par entropie.

Imaginez un autre modèle : Les cerveaux sont libres, conscients, dotés d’un certain pourcentage de libre arbitre, mais non assistés par des modèles UAA, c’est à dire, incapables de capter des modèles de conduite morale, dans le cas où ceux-ci n’existeraient pas ou qu’ils ne leur seraient pas fournis.

Les réseaux sociaux d’Astres Froids, privés de normes, tomberaient dans un chaos néguentropique, s’autodétruiraient rapidement et leurs actions et comportements, provoqueraient un chaos dans le WAAM-WAAM.

Si vous réfléchissez ; les UAA sont aussi nécessaires que les EEWAO (lois physico-biologiques) pour l’existence de la nature cosmobiologique. Sans les unes et les autres, l’ensemble des Univers n’aurait pas de raison d’être, et nous arriverions à l’entité absurde d’un pôle d’information, WOA, qui ne peut se développer lui-même.

D’autre part, les UAA ne peuvent pas être rigides comme les EEWAO car elles doivent s’adapter à la structure d’un réseau social et muter avec lui. Nous désirons vous dire pour que vous le compreniez, que le corpus de lois que vous qualifiez d’éthiques (dont la finalité première, comme vous le voyez, est d’éviter l’entropie d’un système biologique intelligent, et par conséquent l’entropie du Multicosmos) n’est pas totalement universel. Il est certain qu’une partie de ces lois ont un caractère cosmique. Par exemple, on viole les UAA si on perturbe gravement l’évolution de l’humanité d’un Astre Froid faisant partie des habitants d’une autre entité planétaire.

Mais d’autres lois sont adaptées au moment historique d’un groupe humain. Si la structure du Réseau change, la loi morale change aussi.

Nous verrons plus tard dans le texte que nous vous avons rédigé, que ces lois UAA, sont injectées dans le Réseau social, par deux canaux. L’un très amorti et très faible qui procède de WAAM http://www.g/fr/images/1.gif, et qui se connecte avec les structures subconscientes de nos cerveaux. L’autre canal procède directement du pôle transcendant d’information WOA, et c’est celui que nous sommes en train d’étudier pédagogiquement dans ce rapport..[fin Note 3]

Maintenant vous comprendrez le rôle que tiennent les UAA. Il s’agit de modèles idéaux de conduite. Des modèles qui ne sont ni interactifs ni conditionnant comme les EEWAOO. Ce sont des lois non imposées aux réseaux d’IBOZSOO UHU, seulement compréhensibles pour un réseau neuronal qui a atteint le degré de conscience. (cerveau de l’OEMMII). Il ne s’agit pas de lois imposées. Le réseau nerveux ganglionnaire peut décider de ne pas les suivre étant donné qu’à un certain niveau il est doté de volonté libre.

Ce sont des modèles harmoniques (ces UAA) qui régulent la néguentropie. Leur violation provoque une augmentation de l’entropie du système multicosmique. Son adaptation engendre un accroissement de néguentropie c’est à dire, de perfectionnement informatif.

Dans le plan grandiose du multicosmos, ces UAA peuvent paraître inopérantes, ou non pertinentes, puisqu’elles ne sont pas comme les EEWAOO (lois physico-biologiques), des règles qui fatalement doivent régir le comportement de la masse et de l’énergie.

Les UAA sont au contraire réflexives. L’organisme vivant intelligent les contemple comme dans un miroir, et les accepte ou non. Que se passera-t-il si l’ensemble des cerveaux refusait de leur obéir ? Il serait évident que le Multicosmos s’effondrerait.

Mais le schéma organisateur grandiose du WAAM-WAAM a sagement prévu cette hypothétique mais fausse émergence.

Il est évident qu’un cerveau ou une quantité limitée d’entre eux peut refuser de suivre librement les injonctions de la UAA. Il serait également prévisible que tout un réseau ou une communauté planétaire désire être régi par des modèles anti UAA (immoraux), mais le reste des organismes intelligents, conscients que les conséquences de leur conduite pourraient se retourner contre eux, accepterait ces modèles logiques de comportement.

De même un exemple grossier tiré de la Thermodynamique vous aidera à comprendre cette conduite collective.

Dans une enceinte fermée, les particules (molécules) d’un gaz se comportent de façon aléatoire. Il est impossible de prédire si une molécule s’oriente avec une vitesse déterminée jusqu’au mur de l’enceinte, ou si elle va percuter une autre particule sœur. Mais un observateur macrophysique peut en échange prédire avec exactitude le comportement de tout l’ensemble de molécules. Sa pression, sa température ou sa vitesse moyenne.

La Nature à travers les modèles universels engrangés dans WOA sait que fatalement l’ensemble des OEMII répartis sur des milliards de planètes habitées accomplira les UAA, rendant possible le développement harmonique du WAAM-WAAM bien qu’une fraction d’entre eux les viole en détruisant en partie son propre avenir. La terrible expérience de la (re)-conformation (Ndt: « Purgatoire ») préalable à son intégration dans B.B, agira désormais comme un facteur hostile terrible pour ceux qui se refusent à suivre de telles lois.

Nous avons connu des communautés planétaires dont les êtres intelligents qui adoptaient une conduite égoïste, agressive et destructrice pour leurs frères, se sont auto annihilés avec de terribles armes biotechniques. Mais leur mort et leur souffrance quand ils en ont expérimenté leurs effets sont de pâles images nées de la pure spéculation face à la souffrance intellectuelle épouvantable qu’ils ont expérimenté avant de s’intégrer dans le B.B. après leur mort.

Maintenant, après cet aperçu, vous pourrez comprendre plus clairement le OIXIOWOA.
Souvenez-vous que nous vous renseignons sur la double fonction de WOA.
Ce pôle cosmique (Vous pouvez l’appeler Dieu, si vous le désirez, en tenant compte des différences conceptuelles qui le séparent de vos conceptions théologiques) est capable d’entrer « en résonance » avec deux structures de base du WAAM-WAAM.
L’une d’elles, vous la connaissez par nos rapports. C’est le WAAM B.B. Cette dernière capte les modèles ou étalons suivants :
Patrons ou séquences d’information des configurations possibles (Etoiles, animaux, choses)
Patrons modelisés des EEWAOO (lois physiques et biologiques)

Mais WOA peut transférer – et il le fait – d’autres patrons importants de lois. Les UAA régulatrices de néguentropie . Et elles sont « en résonance » (n’oubliez pas que nous utilisons le terme résonance dans un but didactique) avec des réseaux déterminés qui s’engendrent par l’évolution sur des astres froids distincts et au sein de réseaux sociaux intelligents.. 

Nous vous parlions des sauts quantiques distincts que nous pouvons observer dans la configuration d’un système nerveux. Nous rappelions que ceux-ci pouvaient évoluer suivant les étapes suivantes dont chacune apporte un GUIXOOEXO et par conséquent une émergence différente.

Premier stade : Organisme qui a des réflexes simples, et qui réagit directement au stimulus du milieu physique.

Second stade : Organisme capable de traiter l’information et qui dirige sa conduite de façon déterministe non seulement en vertu du milieu, mais aussi de l’information mémorisée.

Troisième stade : Organisme (OEMII) (Homme) dont le cerveau a expérimenté un saut quantique qui lui permet d’être conscient, relativement libre, et connecté à BUAWAA (Psyché), à BUAWEE BIAEII et dont la conduite contribue à modeler le WAAM-WAAM.

Voyons le troisième stade: : sa durée peut se chiffrer entre un million quatre cent mille et trente huit millions d’années. La plupart de toutes les civilisations que nous connaissons ( quatre-vingt deux pour cent de celles ci, y compris le réseau d’OYAGAA et celui d’ UMMO), sont entre ces limites. Quand un réseau social de cerveaux humains meurt rapidement, ce n’est pas dû à une mutation de sa structure, mais au fait qu’il s’auto anéantit. Parfois par de terribles suicides collectifs comme sur l’astre froid dont le nom peut être rendu par les phonèmes FEEXEEEEE, situé sur une étoile de type spectral K située à trente-deux mille années-lumière de chez vous (constellation du Bélier) à la périphérie de notre formation galactique.

D’autres fois, le développement technologique et la violation de la loi UAAA, a provoqué une hécatombe planétaire après une terrible conflagration entre rivaux. . Parfois, des causes lointaines comme l’explosion proche d’une supernova ou de graves perturbations cosmologiques ont engendré la destruction de cette humanité.

Mais la fin naturelle d’une espèce humaine, s’il n’existe pas de variations dans son étoile principale, des cataclysmes géologiques très sérieux ou une destruction d’origine technologique, est le pas vers le quatrième stade : le OIXIOOWOA.

La probabilité que surgisse une mutation OIXIOOWOA (Une seule dans un cerveau déterminé) et au cours des dix premiers millions d’années d’un réseau d’ OEMMII, est très élevée (probabilité proche de un) et qui atteint l’unité si se sont écoulés au moins treize millions d’années.

Il est très rare que, sur une période de quinze à vingt millions d’années (si l’humanité survit), il se produise une mutation identique (Note 4).

[Note 4] – La loi de distribution de fréquences dans le temps suit une fonction très singulière, graphique que nous exposons ensuite. Dans chaque réseau social de n’importe quel astre froid, un seul individu de cette espèce nommée OEMMIIWOA, est engendré par hasard pour la première fois. Ensuite il s’écoule un large intervalle de temps sans que se produise le phénomène, dont l’éclosion ne se reproduira qu’au bout de plusieurs millions d’années.

s2.gif

( OEMMII )

La mutation OIXIOOWOA engendre par conséquent un type de cerveau radicalement différent de celui de l’OEMII dont il procède. L’OEMIIWOA ainsi conformé, est une espèce biologique nouvelle avec un génome distinct..[fin Note 4]

Passés trente huit millions d’années, il se produit un phénomène biologico-physique surprenant. Presque tous les cerveaux ont muté. Cependant six millions d’années avant cela, des centaines de milliers d’êtres OEMII avaient expérimenté cette mutation qui les convertissait en cerveau OIXIOOWOA. Au bout de quelques années (pas plus de cinquante ans), l’organisme humain qui abrite ce cerveau  » DISPARAIT « . (Remarquez que nous ne disons pas qu’il meure mais qu’il « disparait »). Mais il est clair que si toute la population qui peuple l’astre froid arrive à ce stade, l’humanité cesse d’exister.

Nous allons vous expliquer cette énigme.
Quand un réseau de noyaux neuronaux (encéphale) poursuit son évolution, il devient plus intelligent, de plus en plus conscient, et par conséquent, de plus en plus influent dans le WAAM-WAAM.
Une mutation multiple dans le génome, peut donner lieu à un autre saut quantique (définitif).Il se crée un autre réseau nerveux supérieur (pas nécessairement beaucoup plus intelligent), mais dont l’émergence est totalement nouvelle. C’est la phase très rare, pour nous OIXIOOWOA, l’état supérieur que peut atteindre un cerveau. L’être qui l’abrite, en plus d’être un homme comme vous l’appelez, un OEMII comme nous autres l’appelons. C’est un autre être, quoique son anatomie soit identique. Nous appelons en général cet être nouveau : OEMMIIWOA.

Voici ses caractéristiques : 

ANATOMIE : C’est l’unique phase connue, semblable à celle de l’OEMMII dont il a été engendré par mutation génétique. Son corps ne peut pas suivre l’évolution, car sa structure physique disparaît quelques années après sa naissance, quand se produit un état mental déterminé appelé WOAIRII (intraduisible).

NIVEAU INTELLECTUEL : La mutation se présente dans un génome correspondant à un futur phénotype d’intelligence élevée. Si son organisme ne disparaissait pas, on présume que sa descendance augmenterait en capacité mentale, mais ceci est indémontrable. 

CONNEXIONS CONDITIONNANTES : Nous n’avons jamais eu accès au cerveau d’un OEMMIWOA pour des raisons évidentes. Le modèle qui se présente comme le plus probable, est celui d’un encéphale avec un développement spécial du noyau amygdalien, une hyperactivité de la glande pinéale. Probablement l’apparition de deux noyaux subtalamiques clefs.

STRUCTURE cosmobiologique : Dans un OEMMIIWOA se présentent les classiques réseaux BAAYIODUU intégrés par des atomes de Kripton qui mettent son encéphale en connexion avec son BUAAWAA et avec le BUAWWEE BIAEII. Mais, de surcroît, apparaît un nouveau réseau avec un nombre, inconnu pour nous, d’atomes de Kr (Krypton) qui établit une connexion informative avec le pole cosmique d’information WOA.

FONCTION DU OEMIIWOA : Dans le cerveau de l’encéphale ayant subi ainsi une mutation, se traitent à un niveau inconscient, les UAA de WOAA. La AYUUEAOIDII ou émergence (fonction) de ce réseau nerveux, se manifeste avec une intensité grandiose dans le plan merveilleux de la Nature Cosmologique. Cet encéphale a pour mission d’injecter dans le réseau social ces lois de régulation néguentropique, à des encéphales dotés de libre arbitre, capables de les accepter ou de les repousser. L’information concernant ces lois (morales, diriez-vous) se canalise à partir de ce cerveau, jusqu’au corpus global de données que forme le patrimoine culturel de cette société.

L’OEMIIWOA se convertit ainsi en récepteur direct de certains patrons d’ordonnancement contenu en WOA, et non seulement par le truchement du B.B. comme pour le reste des êtres humains.[note5]


[Note 5] – Il est très difficile de faire le profil, en quelques lignes brèves dactylographiées, de la structure mentale d’un OEMMIWOA, qui doit logiquement être distincte de celle d’un OEMII. D’une part il devient conscient de l’information qu’il reçoit, en provenance du pôle WOA. Mais la notion que cet être a de WOA procède de son environnement socio-culturel. Si celui-ci a un concept de WOA magico-religieux, ce nouvel organisme peut s’identifier à un Dieu anthropomorphe, bien que les valeurs UAA dont il est porteur lui donne la configuration d’un être doté de grande humilité, voué au service des OEMMII et disposé à n’importe quel sacrifice.

La structure chromosomique de l’OEMMIIWOA l’empêche de procréer avec un OEMMII puisque tous les deux sont d’espèces distinctes. En fait, il peut le tenter, car le fait qu’il ne soit pas né dans une humanité dont le développement scientifique ait suffisamment évolué de façon à avoir élaboré un modèle mathématico-biologique de l’existence de ce nouveau cerveau, cet OEMMIIWOA ignore que son organisme est distinct des autres humains intelligents, étant donné que son anatomie est très semblable. Jésus et UMMOWOA n’avaient pas, à leurs époques respectives, de telles données à leur disposition.

Par exemple, un OEMMIWOA peut être une femme. Et en fait, nous avons détecté des Astres Froids sur lesquels il en fut ainsi. Le fait que JESUS et notre UMMOWOA soient des mâles n’est qu’une simple circonstance fortuite.

Dans le cas de la Terre, il est difficile de prévoir ce qui se serait passé si Jésus était né femme, dans la mentalité judaïque machiste intransigeante. L’analyse historique qui suit pourrait vous éclairer sur la mentalité machiste judaïque intransigeante. Il s’agit de ce qui est arrivé à l’une de vos sœurs Hipacia, fille de Taon, née en l’an 368 à Alexandrie. Cette femme, l’une des plus intelligentes qu’ait eu OYAGAA, était une astronome et mathématicienne insigne de son époque. Son père l’avait initiée à la géométrie. Elle avait contribué au développement de la magnifique bibliothèque d’Alexandrie, dont la destruction par les chrétiens eut pour vous des siècles d’obscurité intellectuelle.

Le patriarche d’Alexandrie la haïssait pour sa double condition de femme et d’intellectuelle non chrétienne.
Les révoltes dans la ville avaient été fomentées par un moine fanatique, du nom d’Amonio. Les luttes entre chrétiens et païens s’aggravèrent. Une populace de partisans du Patriarche s’empara de la malheureuse femme et on envoya un messager au chef chrétien, qui donna des instructions pour qu’on la tue, sans spécifier de quelle façon. Ces fanatiques la dénudèrent, lui coupèrent les seins, introduisirent une baquette de bois dans le vagin, déchirant l’utérus et un exalté, appelé Zoido, au moyen d’une valve de mollusque lui sectionna les muscles des jambes et des bras jusqu’à ce qu’elle perde tout son sang et qu’elle en meure.

Le Patriarche Cyrille, qui fut par la suite sanctifié, en recevant le soir même ces fanatiques exécuteurs de Hipacia, les exhorta à poursuivre la lutte pour la Foi. Ainsi mourut une des protomartyres de la Science. Vous pouvez vous imaginer ce qui serait arrivé à une femme si elle s’était déclarée incarnée par Dieu. C’est à peine si vous lui consacrez quelques paragraphes dans vos livres d’Histoire, même si vous vous êtes préoccupés comme nous de sonder sa vie. C’est une attitude cohérente étant donné le mépris pathologique que vous, les mâles de OYAGAA, vous adoptez concernant l’intelligence des YIEE (femmes)..[fin Note 5]

« DISPARITION » DE L’OEMMIWOA : Un être avec ces caractéristiques est quelque chose d’exceptionnel dans le cadre d’un réseau social. Son degré de conscienciation tend à un maximum. Ce maximum se produit dans un état appelé par nous WOAIRII, d’altération émotionnelle très intense, ou soit à un moment de sa vie dans lequel le système limbique de son cerveau, soumis à des pressions mentales très puissantes, provoque chez lui un collapsus affectif.

Dans ces conditions, la fonction consciente du cerveau atteint un seuil inadmissible pour le WAAM-WAAM.

Souvenez-vous que nous avions indiqué dans des paragraphes précédents que le multicosmos ne pouvait tolérer qu’un cerveau atteigne un tel niveau d’activité consciente qui soit capable de modifier sa configuration au niveau, par exemple, de ce que fait le B.B.

Les lois Biocosmiques ont prévu un mécanisme cybernétique d’autodéfense dans l’Univers multiple. D’une part, une telle structure ne peut pas être annihilée, mais sa survivance ferait se produire cette chose absurde qu’un minuscule organisme vivant domine le multicosmos. Bien avant que ce seuil soit atteint, B.B. ASNEIIBIAEOO (peut se traduire par phagocyter, absorber, réduire à néant), cet être merveilleux.

Pour vous physiciens de OYAGAA, ce phénomène que vous qualifieriez de magique est encore incompréhensible. Nous reconnaissons que sa rareté rend difficile sa détection, cependant, son fondement physique appelé par nous LEIYOO WAAM (effet-membrane ou frontière), est quelque chose qui se manifeste continuellement entre deux Univers adjacents. En fait, le transfert d’information avec B.B. par les atomes de Krypton, est aussi un effet-frontière. [note 6]

[Note 6] – On comprend que dans un Réseau social qui n’est pas encore doté d’une base culturelle rationnelle et scientifique, tout évènement inhabituel qui apparemment n’est pas régi par des lois physico-biologiques connues soit interprété par les observateurs OEMMII comme étant surnaturels, d’origine thaumaturgique, ou le fruit de pouvoirs noumenico-transcendants [ Ndt: le mot espagnol est « noumenicotranscenntes » . Le noumène, dans la philosophie de Kant, est la chose en soi, telle qu’elle existe indépendamment de qui peut la connaître ou la sentir] . C’est chez vous l’origine des idées magiques. Concernant un fait qu’on ne peut comprendre par la raison et qui se produit avec une certaine rareté (de très rares occurrences dans le temps) vous pouvez penser qu’ils ont été réalisés grâce à une intervention divine, ou de celle d’un démon, ou d’un esprit. Parfois vous lui donnerez le qualificatif de « paranormal » comme si le déroulement du phénomène se faisait en marge des lois. Il est explicable par conséquent que dans le déroulement de son histoire, les éruptions de volcans, les impacts de météorites, les rayons de plasma globulaires, les apparitions de supernovae…. phénomènes qui sont tous peu fréquents, mais qui ne violent pas pour cela le cadre des lois EEWAO (lois physico-biologiques), furent interprétés sur le mode superstitieux comme étant surnaturels. Ainsi, l’apparition d’une comète dans la sphère céleste, a été chez vous le signal d’évènements funestes.
Egalement dans le cadre d’une société de technicité plus élevée, comme celle qui entourait notre UMMOWOA, son évanouissement dans l’espace par l’effet de cet effet frontière fut contemplé avec une saisissante terreur superstitieuse. [fin Note 6]

Nous appelons effet LEIYOO WAAM, un ensemble de phénomènes cosmologiques qui se manifestent dans ce que nous appelons XOODI WAAM. Ce mot exprime le concept de « membrane » ou frontière entre deux Univers (Comprenez par là, non pas la notion de proximité topologique ou géométrique, mais la « structure » qui rend possible le transfert d’IBOZSOO UHU)

Une image grossière vous permettra de comprendre ce concept. Imaginez deux enceintes ou récipients séparés par une fine membrane de porcelaine poreuse. Si on les remplit avec un mélange de liquides de poids moléculaire distinct, c’est le liquide dont la taille moléculaire est la plus réduite qui traversera.

Nous disons que c’est une image grossière, parce que le véritable LEIYOO WAAM est un phénomène de haute complexité qui implique la transformation d’un réseau d’ibozsoo uhu (entités élémentaires qui constituent la base de n’importe quel quantum de la nature) constitués en masse, en photons. C’est à dire : imaginez que sur la table vous aviez un petit cube de plomb. Si WAAMB. B.B http://, à travers un train d’ondes stationnaires, stimule la masse imaginaire des Univers « adjacents », il se produit un effet de résonance spécifique qui affecte un train de masses imaginaires dans une chaîne de Cosmos.

Cette séquence d’oscillations dans la masse Ö -m atteindrait notre Univers et en son sein, le point de l’astre froid où se situe notre cube de Plomb. La résonance avec le réseau d’IBOZSOO UHU qui intègre sa masse est telle, que se produirait alors le LEIYOO WAAM (effet-frontière). Devant les yeux de l’observateur de votre Astre, le cube disparaîtrait instantanément de sa vue, en produisant une légère turbulence gazeuse due à ce que le vide doit être rempli de l’air qui l’entoure.

Où sera allé se placer ce cube métallique ? La masse globale de notre Univers aura été réduite dans les mêmes proportions, mais l’énergie globale de l’Univers adjacent, aura été augmenté de l’équivalent énergétique de cette même masse, car en cet Univers il apparaîtra, en forme de réseau d’IBODSOO UHU formé de photons d’une fréquence qui sera fonction de l’énergie cinétique qu’ont les molécules du réseau cristallin du plomb, à l’instant de la mutation (c’est à dire, de sa température).

Naturellement, ce phénomène de conversion, il est très improbable qu’il se produise. Celui qui module les LEIYOO WAAM (effets frontière) c’est l’Univers de masse infinie qui codifie d’énormes quantités d’entités informatives. Grâce à ces effets, un tel Univers règle la configuration des infinis Cosmos « adjacents » .

Vous pouvez vous imaginer que ce WAAM , est comme un gigantesque processeur de données dont les organes périphériques de sorties, c’est à dire ses effets, ne sont autre chose que des quanta de masse imaginaire qui opèrent par effet-frontière, c’est à dire, par des bras étranges ou tentacules qui s’étendent jusqu’aux Cosmos les plus éloignés. Ceux-ci peuvent provoquer des plis dans l’environnement spatio-temporel de l’Univers, ou transférer masse et énergie et aussi l’information à travers les XOOIDI WAAM (frontières). Mais toute cette action cosmologique ne se réalise pas au hasard, mais soigneusement programmée par WAAM <img  » src= »file:///C:\Users\PROPRI~1\AppData\Local\Temp\msohtmlclip1\01\clip_image001.gif » width= »45″ height= »25″ />, qui à son tour comme nous vous l’avons déjà dit, est informé par une infinité de cerveaux des OEMMII.

Quand un OEMMIIWOA, c’est à dire, un humain doté de ce cerveau singulier, atteint un niveau insupportable de conscienciation (insupportable pour WAAM ) celui-ci réagit instantanément en provoquant un spectaculaire LEIYOO WAAM. Le corps de cet homme « disparaît » à la vue de ceux qui l’accompagnent. Sa masse est convertie en photons dans un Univers adjacent et sa psyché est intégrée instantanément dans B.B. sans reconversion, car sa structure neuronale dans la vie, ne lui a pas permis de violer la loi morale, les UAA, puisque son cerveau était un récepteur direct de ces étalons universels de conduite.[Note 7]

[Note 7] – ANESIIBIAEOOO est un processus au sujet duquel nous craignons de nous étendre pour ne pas dépasser les termes que nous avons utilisés dans ce rapport simple et élémentaire.

Pour un observateur OEMMII qui aurait la chance véritable d’être présent à l’instant où il se produit, le fait qu’un autre « être humain » disparaisse de sa vue comme s’il était instantanément devenu transparent, invisible, le laisserait abasourdi, lui faisant attribuer le phénomène à un acte surnaturel.

Mais ce Leiyoo Waam (effet-frontière), présente d’importants et différents aspects qui divergent du phénomène de « disparition » de ceux appelés par vous  » étoiles noires »,  » trous noirs ».
Pour ces derniers, le colapse de sa masse au-dessus d’un seuil, il disparaît aussi de l’Univers actuel, à travers la « frontière », et réapparaît en forme d’énergie dégradée (réduisant son entropie) dans un autre Cosmos adjacent.

ANESIIBIAEOO, est un effet-frontière beaucoup plus complexe. La chaîne d’IBOZSOO UHU (qui, d’abord conformait le cerveau dans un quatrième stade de l’organisme OEMMIIWOA), se transforme d’abord dans l’Univers adjacent, en une chaîne d’IBOZSOO UHU porteuse, non seulement de l’information qui engrange la mémoire de cet individu, mais son stockage dans le subconscient procédant de WOA (UAA), plus celle qui se rapporte à la structure compliquée du système neuro-cérébral.

A partir de maintenant, il se produit une chaîne de transferts d’Univers en Univers (sans perte d’information) jusqu’à ce qu’elle soit absorbée par WAAM , contribuant ainsi à enrichir la structure complexe du B.B.

Nous observons ici un exemple de plus de la merveilleuse harmonie du WAAM-WAAM. Si vous faites une pause pour effectuer une analyse du processus, vous en ferez vous-même la démonstration.

D’une part, OEMMIWOA (mâle ou femelle) naît par mutation de l’espèce, comme une nécessité biologique, pour réguler le Réseau d’OEMII, et que celui-ci ne glisse pas dangereusement vers l’entropie. Pour cela nous vous indiquions au début de ce rapport que son existence était aussi inévitable et scientifiquement nécessaire que la loi de gravitation qui engendre l’attraction entre un aérolithe et un planétoïde. Mais son existence, si elle dépasse un seuil déterminé de conscientisation dangereux pour le WAAM-WAAM, n’est cependant plus possible dans ce cas. Le fait que WAAM le phagocyte, conduit à l’accomplissement de deux objectifs : annuler son effet nocif au niveau cosmologique, et tirer avantage de son extrême complexité au niveau de l’information pour contribuer au développement du B.B..[fin Note 7]

Ne pensez pas que cette « disparition » soit une sorte de punition de la part du WAAM-WAAM. Elle est simplement régie par une loi de survie du Multicosmos.


792-1 (4°partie – Reçue le 20 Janvier 1988 ) |

JESUS ET
UMMOWOA

Jésus et Ummowoa sont pour vos frères et les nôtres, deux exemples importants d’organismes d’OEMMIIWOA.Sur d’autres Astres Froids d’hominisation peu précoce, nous avons enregistré l’apparition d’autres OEMMIIWOA semblables.
Dans des civilisations très avancées, où il n’a pas surgi un de ces sauts quantiques cérébraux, le modèle cosmobiologique qui rend possible le phénomène s’est déjà élaboré, et on attend l’évènement avec une curiosité scientifique.

Il n’existe aucune présomption selon laquelle une telle mutation cérébrale est régie par une loi qui rende prédictible le phénomène. Il semble que, comme cela se produit pour les autres sauts quantiques de la structure nerveuse, celui-ci surgit par hasard, bien qu’orchestré depuis B.B.

Comme preuve de son caractère aléatoire, nous remarquons que l’un de ces organismes surgit dans des moments disparates de la civilisation. Jésus naît dans l’environnement d’une société encore peu développée culturellement, imprégnée d’idées irrationnelles et magiques, encore éloignée de l’ère scientifique.

Sur UMMO, notre OEMIIWOA (UMMOWOA) naît dans un Réseau social beaucoup plus ancien, où se développent une Science et une Technologie équivalentes à celles qui furent observées sur la Terre entre les XIXème et XXème siècles ; et sur d’autres Astres surveillés par nos nefs, leur apparition fut plus précoce, quand leurs habitants vivaient en s’abritant sous des espèces végétales arborescentes.

Comme preuve de ce que B.B. exerce un système de contrôle quelconque par réalimentation, nous observons qu’une fois qu’a surgi un OEMMIIWOA, le phénomène ne se reproduit plus ensuite avant des millions d’années.

Nous savons qu’un mécanisme de rétroalimentation (dont nous ne connaissons pas encore la nature exacte), active le B.B. et pendant longtemps celui-ci ne permet pas d’autre mutation.

C’est comme si une plante exotique naissait soudain dans un jardin, et que celle-ci émette une substance contaminante qui empêchera ses propres congénères de fructifier.

Pendant ce temps, le reste des cerveaux, encore au niveau quantique antérieur (hominisés), continue à évoluer et à se perfectionner. Plusieurs millions d’années plus tard, et soudain, comme si ce mécanisme de réaction inhibiteur avait cessé son action, surgissent alors dans le Réseau social des milliers de mutations OIXIOOWOA. Les hommes qui existent encore s’habituent rapidement à vivre avec des congénères supérieurs qui ne meurent pas, mais qui disparaissent dans l’espace. Il y a deux espèces distinctes : des organismes inférieurs, vivant en symbiose, non pas avec une autre race, mais avec l’autre espèce supérieure.

Rapidement l’ancienne famille d’OEMII s’éteint par réduction (de leur nombre), pendant que les nouveaux êtres, qui suivent des règles éthiques sublimes, forment une structure sociale parfaite, pendant peu de temps, puisque leur ASNEIIBIAEDOO (Absorption par le B.B. ou disparition) décime progressivement ce merveilleux Réseau social, jusqu’à ce qu’il disparaisse de l’Astre froid. C’est la « mort naturelle » d’une vieille humanité planétaire.[Note 13]

[Note13] – L’échantillonnage que nous avons pu réaliser sur des astres froids connus, montrent un profil-type de OEMMIWOA correspondant aux deux sexes, extraverti, loquace, mais peu enclin à établir des relations affectives intimes et sexuelles. Il est certain que, même s’il en avait l’intention, étant donné les caractéristiques de son bagage chromosomique, le résultat serait négatif. Probablement, son inhibition sexuelle constitue un puissant système défensif du B.B., face aux risques d’une prolifération excessive.
Dans les phases tardives de l’humanité où surgissent de nombreux OEMMII, les mécanismes d’interfécondation sont quasi inopérants, des phénomènes sociaux collectifs au cours desquels des milliers d’OEMMII se réunissent pour méditer profondément, atteignant un état émotionnel d’une telle intensité en magnitude, que tous ceux-ci « disparaissent  » à l’instant même.

La procréation est presque inexistante au point que le taux de « disparitions » appelée par nous ASNEIIBIAEDOO, excède dans une grande mesure celui des mutations OISIOOWOA qui se montent à de rares naissances dans la nouvelle espèce. Le Réseau social de cet astre habité, tend en conséquence à s’éteindre en quelques centaines d’années terrestres. Nous désirons vous préciser que les astres froids qui atteignent cette étape finale n’atteignent pas 0,002 pour cent. Ce sont de véritables raretés biologiques dans le WAAM-WAAM..[fin Note 13]

Un tel évènement cosmobiophysique, dont nous venons de définir la rareté entre autres phénomènes naturels, il est logique qu’il crée surprise et étonnement parmi les contemporains de cet organisme singulier.
Son anatomie externe est semblable à celle des OEMII ; c’est pour cette raison qu’on le qualifie « d’homme ». (Nous avons déjà vu que sur le plan de la taxinomie, dans le cadre des espèces biologiques distinctes, sa structure doit être classée à part).

Son intelligence est très supérieure à la moyenne, ceci est dû au développement de son cortex frontal. Il le convertit en meneur d’hommes, son pouvoir de persuasion, de rayonnement affectif, de captation de volontés, est logiquement supérieur du fait que son enseignement verbal est recueilli et répandu avec un profond respect.

Les normes de conduite sont inévitablement impeccables. N’oublions pas qu’un être avec ces caractéristiques, non seulement atteint un niveau de conscientisation très élevé, mais qu’une nouvelle chaîne d’atomes de krypton lui transfère immédiatement des modèles d’ordonnancement à partir du même pôle cosmologique d’information : WOA. Bien que son libre arbitre atteigne une valeur proche de cent pour cent, il est quasiment imprévisible qu’il adopte des conduites qui violent ces mêmes UAA, qui sont si subtilement engrammés dans son subconscient, et qui affleurent facilement la conscience.

Dans un environnement parfois corrompu, dans lequel leurs vies se déroulent, la renommée de leur moralité sans faille se répand avec une grande facilité. Naturellement, les pouvoirs établis perçoivent le danger que peut représenter pour eux un meneur d’hommes dont la capacité d’entraîner les foules se retournerait contre leurs intérêts.

Et c’est ce qui s’est passé précisément dans nos Astres froids, bien que dans des contextes historiques différents. UMMOWOA est envoyé en prison par une fille cruelle et despote. Ceux qui l’ont capturé se disposent à réaliser des expériences biologiques sur son corps. Les premiers récits sûrement déformés, racontent que son corps « disparut » à l’instant de sa mort. Il est inutile de se lancer dans des spéculations sur la question de savoir si ASNEIIBIAEDOO (mutation par effet-frontière), s’est déroulé avant son décès ou non. Ceci se produit à l’instant où le degré de conscience, en raison d’un cadre émotionnel qui perturbe le système limbique, met le WAAM-WAAM en danger.[Note 9]

[Note 9] Bien que l’information qui nous soit parvenue au sujet de UMMOWOA soit plus précise et digne de foi que celle que vous possédez sur OYAGAAWOA (Jésus), nous souffrons d’une importante carence de données sur sa vie, due en partie aux sicaires de la jeune chef d’état de l’époque, qui ordonnèrent de détruire toute la documentation qu’ils pourraient trouver sur cet hominidé exceptionnel.
Il est nécessaire de faire allusion à la cruelle dictature d’une enfant WIE 1 fille de OOUUA 3. D’un âge tendre, elle se charge du pouvoir au décès de sa mère IEE 456, fille de NAA 312.
Celle ci s’était proclamée  » reine absolue de UMMO  » après avoir donné la mort d’une manière épouvantable à neuf hauts dignitaires, qui conjointement avec d’autres représentants, gouvernaient sagement le Réseau Social.
Elle était une fanatique de la recherche scientifique. Sa culture n’était pas très étendue, mais elle ressentait une crainte respectueuse et de l’enthousiasme devant le progrès.
Dans sa demeure fastueuse, elle s’entourait de chercheurs et fit en sorte que de nombreuses habitations soient destinées à être converties en laboratoires. De nombreuses matinées, elle se rendait secrètement, sans la compagnie de ses  » policières « , dans les pièces creusées dans la roche, et si elle ne voyait pas d’activité, elle ordonnait d’exécuter les scientifiques et les collaborateurs responsables.
Elle eut une idée cosmologique brillante, bien que tordue, distordue, que la science a confirmé en partie, bien qu’elle s’avéra fallacieuse dans sa structure.
Elle fit écrire que les créateurs de l’univers sont les OEMMII .Quand l’un d’entre eux formule une loi physique, il la crée en cet instant même. Cela ne se pose pas exactement comme ça, mais son dogme servit beaucoup plus tard pour découvrir l’action (modélisatrice du cerveau pensant sur le WAAM-WAAM ( univers ).

Anthropothéisme !, penchant à croire que le Réseau Social d’UMMO est le dieu créateur de l’Univers lui-même, et que dans son propre corps s’abrite l’encéphale de WOA. Elle se présentait au pied d’un volcan, perchée et assise dans les branches d’un IXXISOO ( espèce arboricole très touffue), et faisait venir pour contempler sa figure infantile, des centaines de milliers de sujets, qui devaient se présenter devant elles dévêtus, et avec la tête et le visage recouvert de eyougii ( une substance gélatineuse qui produisait des brûlures sur leur épiderme).

Les serviteurs de son corps étaient tous des humains consacrés à la Science. C’était un honneur de lui mettre la tunique de couleur orange, symbole de son pouvoir, ou d’introduire dans sa bouche le XUUXU, un long tube flexible par lequel elle aspirait des jus.

Son égolatrie atteignit un sommet. Elle projette un plan grandiose d’industrialisation, visant à se procurer l’Energie provenant de IUMMA ( soleil ) pour la fabrication de biens de production, et d’immenses quantités d’instruments pour la recherche, dans différents domaines de la Physico-Biologie.

Des agents ( des policiers ) fouillaient les demeures souterraines de tout le continent, arrachant les hommes et les femmes de leur foyer ( à cette époque il était courant de vivre en communautés de quarante à quatre-vingts OEMMII, les YIEE ( femmes ) et leurs époux et enfants mélangées avec les membres d’autres familles, résidant tous ensembles dans un hall circulaire souterrain).
Les agents arrivaient, sélectionnaient les OEMMII au hasard, les dépouillaient de leurs vêtements, les entassaient dans de gigantesques véhicules multipodes vers un destin qui leurs était inconnu pour eux : des camps de travail.
Pendant le trajet, on les sélectionnait en leur marquant un numéro, avec des caractères métalliques incandescents sur le front et sur les fesses, et on leur fournissait un vêtement qui les couvrait seulement jusqu’à la taille. Ensuite on leur badigeonnait le reste du corps : les organes génitaux, les fesses, les cuisses et les jambes, avec une substance plastique transparente, n’épargnant seulement que les orifices qui leur permettaient d’effectuer leurs évacuations physiologiques.

Un de ces pauvres hères fut UMMOWOA. Mêlé à une multitude de GEE ( hommes ) et YIEE ( femmes ), et destiné à travailler à la construction d’une gigantesque centrale solaire, dans l’immense plaine de SIIIUU.

Ils devaient creuser de longues et énormes tranchées de sections paraboliques, qui recouvertes de métal réflecteur, serviraient pour concentrer les rayons de IUMMA et produire de l’énergie par conversion dans des circuits liquides.

On ne sait rien sur les progéniteurs de UMMOWOA. La police détruisit ultérieurement toutes les archives qui faisaient allusion à sa famille.

Des références indirectes de disciples contemporains de sa doctrine font allusion au fait que son père était un ingénieur spécialisé dans les dispositifs d’éclairage, et sa mère professeur de zoologie, ou peut être de biologie générale. Il semble qu’il avait une sœur qui fut destinée comme lui à une usine d’obtention de SUUX ( blocs poreux pour stocker des liquides), mais son frère ne réussit pas à reprendre contact avec les membres de sa famille après la brutale séparation. Il semble que son père se nommait soaii ( SOAII 41 fils de ?), mais le plus surprenant, est que nous ignorons le véritable nom de UMMOWOA ( on lui en attribue plusieurs, sans véritable rigueur historique ).

Ses disciples étaient si convaincus de sa divinité, qu’ils l’appelaient simplement UMMOWOA. Comme les travailleurs esclaves perdaient officiellement leur nom, il nous était parvenu seulement le numéro gravé sur l’épiderme de son front et de ses fesses, c’était ( en nombre décimal ) 2.332.874.
Nous ne connaissons que de maigres récits de la vie que menaient UMMOWOA et de ses malheureux frères, grâce à une de ses compagnes d’esclavage, une nommée YOODA 60 qui avait comme numéro gravé : 2.331.544.

Un de ses récits fait allusion à la dernière période, dans laquelle WIE 1 fille de OOUUA 3 était déjà arrivée au pouvoir. Celle ci, par un de ses frivoles caprices, et pour humilier les travailleurs esclaves, avait remplacé plus de 70% de ses policiers gardiens par des fillettes âgées de neuf à quinze terrestres.
Un après midi UMMOWOA et YOODAA 60 étaient en train de travailler ensemble, posant de grandes feuilles métalliques courbes sur les tranchées paraboliques, quand la fillette qui les surveillait eut un désir sexuel et ordonna à YOODAA, femme qui aurait été alors âgée d’environ vingt six années terrestres qu’elle s’agenouille devant elle et qu’elle lui fasse des caresses linguales.
La travailleuse soumise fit ce qu’on lui ordonna. Un refus aurait signifié la mort, accompagnée d’horribles tortures. La fillette a du être insatisfaite du zèle montré par la subordonnée et avec son UHULAA (verge d’acier pourvue d’aiguilles à son extrémité ) elle commença à frapper de manière barbare son corps sans défense.
UMMOWOA qui jusqu’alors avait assisté impuissant à la scène, courut vers le couple et regarda fixement le petit tyran. A cette époque ce geste était inadmissible, parce que fixer un supérieur était considéré comme quelque chose d’odieux et répugnant, mais dans ces circonstances particulières, poser son regard sur le surveillant entraînait aussi la mort.
La jeune fille ne put supporter le regard de son esclave, jeta la UHULAA et courut se cacher derrière d’autres travailleurs. Cet enfant se convertirait quelques jours après en une fidèle disciple de UMMOWOA.

IE 456 mourut assassinée dans des circonstances qui n’ont toujours pas été tirées au clair par nos experts en histoire. La version la plus probable est qu’une professeur de  » technique de mélange de parfums  » GOEEXOO 87, fille de GOEXOO 82, par vengeance pour avoir été châtiée en ayant eu les fesses plongées dans de l’eau bouillante, plaça un explosif dans la ESAAVII ( salle de bains ). Du moins fournit t-on des preuves, réelles ou fausses, de son complot. L’unique victime fut la tyran.

Une enfant faible lui succéda, sa fille WIE1, qui manifesta rapidement des traits pathologiques axés sur sa cruauté, dépassèrent de beaucoup ceux de sa progénitrice !
Son raffinement à faire souffrir ses sujets esclaves, dépassa tout ce qui était imaginable sur UMMO.
En premier lieu, elle ordonna que ses matières fécales soient ingérées par tous ses sujets comme signe de soumission. Ses tuteurs terrorisés par la réaction imprévisible de l’enfant s’ils s’opposaient à ces désirs, lui firent
voir avec des explications simples, qu’il était impossible de réussir à ce qu’une masse fécale si réduite, puisse être distribuée aux millions d’habitants de l’Astre froid.
Il fallut qu’une commission de serviteurs intellectuels se réunisse pour chercher une solution au problème, puisqu’elle menaçait d’effectuer un épouvantable génocide, ne laissant la vie qu’à ceux qui auraient eut la chance de consommer ses excréments.
Finalement on trouva la solution qui lui donna satisfaction. Les selles de ses serviteurs, des membres de la police, des hauts dignitaires locaux et de toute la structure sociale dirigeante du Réseau Social de UMMO, furent mélangés avec une dilution de degré infinitésimal, dans d’immenses quantités d’eau, des déjections du tyran.
Les ordres édictés pour exécuter cette exigence, furent à l’origine de nombreuses révoltes parmi les travailleurs esclaves, dont beaucoup de ceux ci étaient de brillants scientifiques. La brutale police étouffa le soulèvement, tuant des milliers d’innocents en leur enfouissant la tête dans du fumier d’animaux.

Les vagues du soulèvement arrivèrent aussi dans la vallée de SIIUU, et la police s’apprêta à les réprimer. UMMOWOA jouissait d’un grand ascendant moral, non seulement sur les ouvriers esclaves, mais aussi sur les gardiens eux-mêmes. Celui ci arracha un amplificateur phonique à l’un des sicaires, et imposa le silence aux nombreux groupes d’OEMMII qui l’écoutaient. Ses sublimes paroles apaisèrent les réactions émotionnelles de haine. Les esclaves obéirent aux ordres impériaux de mâcher tous les douze jours, les selles humiliantes, et les dignitaires et les surveillants décidèrent un pacte de silence pour oublier les provocations et manquer aux ordres d’exécution et de torture qu’on leur avait donné.

UMMOWOA s’entourait toutes les nuits de centaines d’OEMMII, parmi lesquels se mêlaient même des surveillants et des dirigeants du camp, qui recueillaient avec ferveur chaque TAAUU ( Maxime morale ) qui sortait de son organe de phonation. UMMOWOA, si nous devons accepter le témoignage de quelques-uns uns de ses auditeurs, parlait avec un ton persuasif. A cette époque, la proportion d’OEMMII qui jouissaient de facultés phono émissives était beaucoup plus grande qu’aujourd’hui, et UMMOWOA n’avait pas ses cordes vocales atrophiées.

A cette époque là commençait à se développer la faculté d’émettre un double message par la verbalisation, mais le second était beaucoup plus pauvre bien que doté de riches nuances émotionnelles. UMMOWOA n’utilisait presque pas ses facultés normales de transmission, que vous appelez télépathiques.

UMMOWOA écrivit le fameux WOABOOXII sur des lames transparentes.

Malheureusement après sa détention, les policiers s’emparèrent de l’original et des copies, et quand WIE 1 ordonna de détruire tout ce qui ferait allusion à UMMOWOA, son texte fut perdu pour toujours. YODAA 60 rapporte que le texte était illustré de beaux schémas de ce qui devrait être un système de relations morales entre les OEMMII du vaste continent de UMMO. Mais sa voix nous est parvenue par l’intermédiaire de bandes de ZUUROHO (Bandes capables d’enregistrer le son optiquement ), paradoxalement conservées par une des très jeunes surveillantes qui se refusa à suivre les ordres stricts de destruction.

Passé un certain temps, la renommée de UMMOWOA arriva jusqu’à l’enfant WIE 1 elle même, à travers son terrible réseau de surveillantes espionnes. WIE 1 avait à cette époque remplacé une grande partie des gardiens adultes par des fillettes approximativement de son âge. Le dressage auquel elle les soumettait les avait rendues plus cruelles que les GEE ( hommes ).
WIE 1 tentait de créer une terrible structure théocratique, dans laquelle elle s’arrogeait la fonction de WOA (Dieu, dans une conception mythique ) et dans laquelle la hiérarchie était composée de fillettes de son âge, les postes subalternes seraient concédés aux YIE ( femmes ), et les GEE (hommes ) exterminés à l’exception de quelques esclaves étalons.

Mais les fluctuations d’émotivité de cette jouvencelle malade neurologique, empêchèrent toute planification cohérente de ce monstrueux plan génocide. Il lui suffisait que n’importe laquelle de ses servantes commette une faute, pour non seulement la châtier d’une manière barbare, mais encore pour se hâter de dicter des lois cruelles contre les femmes. Sa fameuse instruction qui obligeait toutes les YIEE de UMMO à tomber enceintes de force, en supprimant les stériles, fut dictée par la OGIIA ( la Dignitaire suprême de UMMO ), quand YAA 63, une des esclaves destinée à boire la mixion de sa maîtresse suprême, renversa quelques gouttes de liquide, souillant les cuisses de la OGIIA.

Il se créa des tensions aiguës entre les nouvelles et brutales jeunes gardiennes et les agents mâles qui restaient encore dans la Vallée, ces derniers, fidèles à UMMOWOA. L’un d’eux avertit le sublime maître que les ordres avaient été donnés de le conduire jusqu’à la fillette gouverneur de la région, pour l’interroger sous la torture.
UMMOWOA fuit de la vallée, mais les surveillants adultes sont capturés et torturés. Pour ne pas compromettre ces malheureux OEMMII, cet OEMMIIWOA se présente volontairement aux autorités de sa zone.

WIIE 1 prit connaissance de sa détention par le IBAYAANII (Canal informatif consistant en des postes qui émettaient et décodaient de la lumière modulée. C’étaient de grands cylindres d’un alliage de chrome, qui agissaient comme relais des signaux lumineux ).

L’histoire relate que la fillette se trouvait dans l’enceinte du IAIQUEAII ( art de parfumer ) avec ses esclaves. Dans un cri ululant de joie, elle donna immédiatement l’ordre de l’écorcher vif, pour faire des recherches biologiques avec son corps.

Les derniers jours de sa vie, UMMOWOA émit ses TAAUU pour ses disciples, par émission de OANEEAOIYOIYOOO ( Télépathie). Sa fin vous la connaissez par un document que nous vous avons envoyé il y a quelque temps. [fin Note 9]

Nous pouvons imaginer l’impression que la disparition (d’UMMOWOA) pu provoquer chez ces biologistes corrompus. A une époque de développement scientifique rationaliste dans lequel il n’y avait aucune place pour des idées de caractère magique, et où le concept de miracle était donc inconnu pour des esprits logiques, Naturellement, la notion qu’un objet massique puisse soudain disparaître de la vue, ne pouvait d’abord s’expliquer que par un phénomène d’hallucination collective rarement crédible.

Un examen ultérieur du cours des évènements, et un examen de la doctrine répandue par cet OEMII étrange, obligea tout le monde à reconsidérer cette explication. Bien que la notion qu’on avait de WOA, ne fût pas aussi mythique que celle soutenue par les théologiens de OYAGAA, l’idée d’un « être divin » avait pris forme dans beaucoup d’esprits. Celui-ci parut être une preuve directe de l’intervention d’un être Suprême, et cette foi contribua à la diffusion d’UAA, indispensables pour le fonctionnement d’un Réseau social.[note 10]
Observez comme B.B., par une manœuvre que nous pourrions qualifier de géniale, se prévaut de mécanismes psycho-sociaux d’exaltation suggestive pour accomplir son objectif ultime.

[Note 10] Les idées cosmophilosophiques de cette époque étaient relativement développées. Il n’existait aucun corps doctrinal que vous auriez pu identifier comme une Religion. Mais, on avait de WOA une conception qui présomptivement pouvait s’associer à l’idée de Dieu de beaucoup de théologiens scolastiques de OYAGAA (Terre).

WOA était générateur de lois. Woa n’était pas éternel, selon cette vieille version. Il était né, s’était développé jusqu’à atteindre une intelligence absolue, en ce point il avait dicté ses lois, faisant la réalité.

De cette manière aurait été engendrée la nuée d’étoiles que nos frères de cette période identifiaient comme le WAAM ( Univers perceptible )

WOA désireux que l’Univers aussi possède l’intelligence décida ensuite de créer les êtres vivants. On pensait aussi que tous ceux ci possédaient l’ UYUUIYWE ( pourrait se traduire par intelligence ou esprit vital ), mais que l’OEMII l’avait plus développée. Quand les humains et les autres vivants mouraient, leurs UYUUIIWE se fondaient dans un être WOAUWI, qui était comme une espèce d’ange vitalisateur, donc la fonction serait de développer l’évolution des êtres organiques. Il n’existait pas de culte autour de ces idées, et on les acceptait sans enthousiasme excessif, comme une hypothèse plausible sur le transcendant.

Les idées de caractère Théo-cosmique, ou panthéiste comme vous diriez, lancées par décret par IEE 456 et par sa fillette WIEE 1 et, c’est un comble, visant à identifier les cruelles souveraines à WOA, ne furent prises au sérieux par personne, excepté au début par les écoliers qui recevaient une rigide éducation en ce sens. Personne n’osait les contredire en public, puisque WIE 1 avait même décrété que celui qui nierait sa divinité, soit exposé nu dans une sphère transparente.

D’autre part, il n’existait pas de précédent d’OEMMII qui se soient osés à s’identifier à WOA. Nos ancêtres, en apprenant le surprenant fait, thaumaturgique pour eux, de la disparition de UMMOWOA, pensèrent que WOA s’était incarné pour contredire l’affirmation blasphématoire des deux tyrans. [Fin note 10]

D792-2 |   T20 – mi 46 à 51 (notes 10, : T20-57/65)

Naturellement, quand nous vînmes à OYAGAA ; mes frères, une fois qu’ils eurent maîtrisé les barrières linguistiques, et dès qu’ils purent s’orienter grâce à des schémas de plus en plus pointus concernant votre contenu culturel, ont immédiatement focalisé leur attention sur la figure étrange de Jésus de Galilée. Cela va sans dire, les personnages générateurs de religion avaient attiré leur attention (aussi), quelques-uns uns avec une plus grande richesse philosophico-doctrinale pour nous que la religion chrétienne. L’étude de Socrate, de Bouddha, de Confucius, de Mahomet. Le parallélisme de UMMOWOA avec Jésus était impressionnant, après une première lecture du Nouveau Testament.

Mais il existe des éléments historico-sociaux qui ne cadrent pas. La vie de Jésus apparaissait dans le contexte de ces livres, remplie de contradictions et d’erreurs historiques. D’autre part, il était impossible de trouver dans l’ensemble restreint des historiens de son époque, des allusions à l’image vivante de Jésus de Galilée.

Nous avons vite découvert également, que la brève citation sur le Christ faite par l’historien Josèphe est une interpolation hardie réalisée dans des copies ultérieures, par les mêmes chrétiens fanatiques. Josèphe ignorait ou méprisait cette figure juive. Trois de mes frères, OAROO 4 fils de YUIXII 48, YUU 1 fille de AIM 368 et ADAA 66 f. de ADAA 65, voyagent en Israël et en Égypte et ensuite en Jordanie pour capter des informations.

Avec les techniques UWOOLOO, ils purent localiser et déterrer de très importants documents formés de rouleaux métalliques et d’inscriptions sur pierre et sur argile, qui joints aux renseignements archéologiques recueillis par vos soins, nous ont permis de reconstituer une partie de cette passionnante étape de votre Histoire (Les documents archéologiques pris sur OYAGAA sont en notre pouvoir sur UMMO. Nous les rendrons à OYAGAA dans une de vos futures étapes de votre évolution culturelle.

Jésus naît en Galilée (pas à Bethléem, mais à une douzaine de kilomètres de l’emplacement de la ville de Nazareth), dans la huitième année de l’Ère, appelée par vous chrétienne.(et non la première année, l’année zéro). Ses parents étaient des pasteurs nomades (transhumants), et son lieu de naissance fut une modeste tente (Il a été impossible de déterminer le lieu exact de ce campement). Jésus avait, au moment de sa naissance, deux frères et une sœur. Par la suite il lui naquit un autre frère.

A partir d’ici, le récit post-testamentaire apparaît rempli d’erreurs grossières, d’additifs pseudo historiques postérieurs. Sur ce fond, parfois avec une certaine rigueur historique, se détache, bien que quelque peu déformée, la doctrine de Jésus, dictée par son subconscient. [note11]

[Note 11] – Beaucoup des récits de la vie de Jésus relatés dans le contexte néo-testamentaire sont de pures légendes, quand ce ne sont pas des versions qui ne sont que de pâles reflets fortement adultérés de la réalité. L’impact intense qu’engendra sa disparition soudaine entoura sa vie d’un halo surnaturel, et les profondeurs de ce halo illuminèrent les aspects vulgaires de son passage sur les terres palestiniennes, les transformant en évènements merveilleux. Par exemple : la version qu’il était mort se répandit à propos pour éluder la persécution des autorités, mais relatée dans des versions successives par les apologistes, elle se transforma en résurrection miraculeuse.[Fin note 11]

Jésus ne fonde aucune Eglise. Le récit relatif à la création du pape avec l’apôtre Pierre, comme premier Pontife, et les allusions variées à une congrégation de fidèles est également le fruit d’additifs postérieurs. Les termes hébreux tels que QAHAL, et le grec EKKLESIA, sont ensuite prodigués, éparpillés dans les écrits plus antiques.

Le mythe de la mort, a comme origine une fausse interprétation du martyre de Jésus. Il est totalement certain que ce OEMMIIWOA est soumis au tourment de la crucifixion, bien que les chroniques post-testamentaires soient sensiblement déformées jusqu’à se convertir en légende, mais Jésus ne meurt pas. Ses disciples obtiennent de récupérer son corps presque inanimé, bien qu’ils fassent courir le bruit de sa mort [note14] (lien note 14) pour éviter une autre persécution. Ils soignent ses blessures et une fois rétabli, le chef religieux reprend son activité doctrinaire. Peu après se produirait le ASNEEIIBIAEDOO (disparition) devant ses disciples abasourdis. Le récit de cet évènement fut ensuite déformé et interprété comme « Ascension au Ciel ». Le phénomène ne parut pas être si étonnant à des humains fanatisés convaincus de la Divinité de leur Maître. Nous avons prouvé que le linceul conservé à Turin a entouré le corps de Jésus. Nous vous recommandons une étude plus approfondie de ce vestige historique. La thèse vaporigraphique, consistant en l’imprégnation du tissu par des substances phyto-thérapeutiques avec lesquels ceux qui l’ont soigné imprégnèrent le corps de Jésus pour soulager ses blessures explique l’empreinte de l’image. La thèse que quelques-uns uns de vos frères ont émise concernant une hypothétique radiation mystérieuse est totalement absurde et antiscientifique. La tunique fut conservée par un paysan appelé ISMAHI, qui assista à la disparition « miraculeuse » du Maître Galiléen.

Il est important de signaler, que contrairement à notre histoire de UMMOWOA, le nombre de personnes qui contempla l’évènement prodigieux de sa « disparition » fut énorme. Il est possible, d’après les documents que nous avons localisés, qu’ils aient été de douze cents à quinze cents personnes. Si la version donnée au début par un petit nombre de biologistes fut qualifiée de psycho-nosologique par ceux qui écoutèrent le récit, bien qu’une investigation policière ait restitué le phénomène, ici des douzaines de pasteurs, paysans et pêcheurs se lancèrent remplis de fanatisme exalté à raconter avec un enthousiasme mystique ce qu’ils avaient vu de leurs propres yeux. [Note15]

[Note 15] – Bien que l’environnement idéologique de ces humains fût rempli d’idées superstitieuses sur les pouvoirs magiques des prophètes et des sorciers, les gens ne parvenaient pas à observer dans la pratique autre chose que des tours simples d’illusionnisme élémentaire. La disparition instantanée d’un être humain en plein jour, dût les surprendre profondément.[Fin note 15]

Immédiatement se forme une secte chrétienne qui atteint un apogée inhabituel depuis l’an 38 (Ère Occidentale), jusqu’à l’an 129 à 133. Durant cette période, les témoins de l’évènement, leurs fils et d’autres adeptes exaltés, confrontés aux doctrines dominantes en Israël, se lancèrent dans une campagne messianique, pour exposer, déjà quelque peu altérée, la doctrine éthique de Jésus.

A partir de cette date, on observe les premières scissions, la formation de sectes ; la formation – imaginée par les dirigeants plus ambitieux – d’une congrégation EKKLESIA – surgit avec force.

Jésus avait, durant sa vie, fréquenté des personnes remarquables qui dirigeaient les assemblées ou synagogues, et lié amitié avec eux. N’oubliez pas qu’en Judée, les hommes éminents les plus riches étaient intégrés dans la classe sacerdotale ; c’est-à-dire, les dignitaires du Sacerdoce Suprême du Temple. Le flux d’argent était immense, il provenait de dons de juifs et d’impôts religieux. De cette façon, le Sanhédrin comptait sur un pouvoir secret qui s’étendait jusqu’aux confins de la Judée.

Quelques-uns de ces hommes éminents s’étaient convertis en disciples secrets de Jésus et ils purent assister au prodige de sa « disparition ». Grâce à leurs nombreux biens, ils œuvrèrent à la formation de telles sectes, ainsi qu’à travers leurs fils et leurs petits-enfants.

Au début, surgissent deux groupes importants. L’un issu de sectes juives (minoritaires) et l’autre, de Réseaux Sociaux palestiniens (bien que d’une certaine façon fondée sur le judaïsme) . Il naît aussi un groupe essénien, qui déforme sensiblement la doctrine. Un rôle éminent, à des dates ultérieures fut tenu par les descendants d’une secte qui avait embrassé une forme de vie monastique, formée par quelques amis de Jésus et qui vivaient dans des grottes près de Jérusalem.

Les différences sur la signification des idées de Jésus deviennent chaque fois plus tendues. C’est seulement un souvenir commun qui unit ces hommes : leurs pères ou grands-pères avaient vu le prodigieux « miracle » d’un Maître divin qui  » devient soudainement transparent » .

Le germe de l’idée ecclésiale apparaît précisément, reconduite par un groupe de moines de Jérusalem, fortement hiérarchisés. Parmi eux il y avait d’anciens disciples d’un autre OEMMII historique (bien que son histoire soit également déformée), JEAN LE BAPTISTE. [Note16]

[note 16] – Jean le Baptiste, joue un rôle historique très important dans la vie de OYAGAAWOA (Jésus). C’était une période triste et dramatique pour le peuple juif sous le joug des païens romains qui idéologiquement étaient beaucoup plus en retard que les monothéistes Yahevistes.

Longtemps auparavant, avait commencé l’expulsion des hiérarques portant le nom d’Hérode jusqu’à ce que le peuple ressente haine et répugnance. Hérode, fils de Antiphatre, s’était servilement offert à Octave à Rome et il débarqua en Judée avec ses armées infligeant finalement une défaite aux défenseurs de Jérusalem, imposant un nouveau Sanhédrin ayant à sa tête le nouveau Grand Prêtre Aristobule, jeune parent d’Hérode, et se proclamant Roi de Judée avec l’appui de Rome.

Les classes élevées le soutenaient, car Hérode, éduqué à Rome, planifia intelligemment le pays et inaugura une ère de nouvelles constructions basées sur les techniques architectoniques (sic) romaines.

Mais les couches populaires ressentaient de la haine envers lui. Ils le considéraient comme un traître qui avait vendu l’ethnie de fière tradition aux barbares envahisseurs en provenance de la péninsule italienne.

Des années plus tard, commencèrent à surgir des hommes inquiets et rebelles à l’esprit neuropsychique de chefs, qui se présentaient comme prophètes, prêchant la fin des temps, interprétée à la lumière des textes sacrés.

Jean était le plus intelligent et le plus fameux d’entre eux. Des adeptes fanatiques, esséniens et samaritains, le suivaient.

En ce temps là, un descendant d’ Hérode, Antipas exacerbait les commérages des paysans, des pasteurs, des artisans et des pécheurs. Ce dernier avait décidé de s’unir par le mariage à sa nièce par le sang. La loi de Moïse, très puritaine, considérait cet évènement comme étant incestueux, abominable et exécrable. Jean le Baptiste exhortait ceux qui voulaient l’écouter à purifier leur corps dans l’eau pour organiser un soulèvement contre les hiérarques maudits par Jéhovah, et les poignarder.

Parmi les tous premiers disciples de Jean, il y avait Jésus. Celui-ci s’était senti séduit par les idées plus pures prêchées par son Maître, qui exhortaient à un retour à une vie plus pure et à une interprétation plus fidèle de la loi de Moïse.

Jésus était un être beaucoup plus intelligent que Jean et doué d’une capacité de persuasion plus puissante. De nombreux adeptes du Maître, focalisèrent leur attention sur le jeune bras droit. Jésus s’opposa publiquement à Jean quand celui-ci commença à prêcher l’assassinat d’Hérode et des autres hiérarques juifs. Jean réagit en l’expulsant de ses rangs, et Jésus emmena avec lui une grande quantité d’adeptes. [fin note 16]

Ces différents disciples imposent ce qu’on appelle le sacrement du Baptême. C’est la même secte qui crée le mythe des douze apôtres. Non qu’ils n’aient pas existé, quelques-uns étaient parmi les disciples de Jésus, d’autres peuvent être rattachés au groupe des anachorètes, ils s’arrogèrent un rôle de protagonistes, qu’en réalité ils n’eurent pas. Ce serait les SHELIHIM, les dirigeants de la nouvelle congrégation hiérarchisée.

Autour d’Esteban, l’un des dirigeants d’une autre secte, qu’on appelle les hellénistes, s’agglutinent des juifs très cultivés qui embrassent la doctrine déjà très altérée de Jésus. Le conflit entre ces derniers et le vieux groupe monacal devient très grave. Les premiers partent du principe qu’il était nécessaire de souffrir la persécution et le martyre, comme Jésus. Leur dialectique était plus riche, c’étaient des hommes plus intelligents que les moines. Les zélotes eurent avec eux d’aigres disputes qui dégénérèrent en rixes sanglantes. Esteban fut sauvagement assassiné. Ils lui extirpèrent les parties génitales, ils lui arrachèrent les yeux et lui ouvrirent l’abdomen, vivant. Ensuite, la version des autres membres de la secte fut qu’Esteban avait été exécuté.

Le restant des partisans s’enfuit à Samarie.

Les Hellénistes continuèrent à se répandre sur le littoral méditerranéen, en Syrie, en Phénicie. Des congrégations ecclésiastiques se forment suivant cette ligne théologique, entrant en concurrence avec l’effort des moines qui au début ( ‘al principio’ au lieu de ‘en principio’), avaient été patronnés par les « douze » apôtres.

Un obscur OEMMII, du nom de Paul de Tarse, se distingua pendant la persécution des hellénistes. En principe, il avait adhéré aux Zelotas. Ensuite, il les trahit et ceux-ci jurèrent de le tuer. Un helléniste du nom de THAIS l’initia aux mystères de la doctrine de Jésus. THAIS avait aussi assisté à la « disparition ou ascension dans le ciel ». Après son intégration dans le groupe, il voyage en Syrie pour créer de nouveaux groupes, de nouvelles églises.

Dans ces communautés, il régnait un intense respect de la liberté des adeptes. La hiérarchisation rigide et les règles sévères qui devaient régir les communautés plus sclérosées pendant les siècles postérieurs y sont inconnues. On exhorte les fidèles à régler leurs actes en fonction de l’enseignement divin de Jésus pour ne pas violer gravement le droit des êtres les plus faibles. Ici la véritable UAA surgit dans toute sa pureté.

Jusqu’en l’an 49, les zelotas provoquent des troubles graves à Jérusalem. L’origine de la révolte doit être centrée dans le fait qu’une jeune zelota, une certaine « DHIFA ou DIVA » fut sauvagement violée par un soldat de Rome. La rébellion s’étendit à toute la Palestine. Rome vint à bout des rebelles, occupant Jérusalem et détruisant le Temple. Les sectes chrétiennes se voient gravement affectées à cette époque.

Plus tard Jacques meurt, et la secte de Jérusalem se disperse. Jusqu’en l’an 72, elle a souffert d’un déclin notable de son ancienne influence. Pendant ce temps les groupes hellénistes continuent à se reformer. Ils avaient écrit ce qu’on appelle l’Évangile selon Saint Marc jusqu’en l’an 52, et ils le répandaient avec rapidité. De son coté, un exilé palestinien du nom de NAUR, écrivit l’Apocalypse  » selon Saint Jean » en l’an 79. Cet homme haïssait les juifs et il écrit son texte pour attiser le climat social qui existait chez les Palestiniens contre cette race.

Ce qu’on appelle les Epîtres de Jacques fut écrit entre les années 78 et 81. Nous pouvons vous révéler qu’elle non plus n’est pas écrite par Jacques. C’est l’œuvre de deux auteurs, dont l’un s’appelle Daniel le Juif, qui s’efforcent tous les deux d’amener au christianisme par leur texte des juifs dispersés après la destruction du Temple de Jérusalem.

L’Évangile selon Saint Mathieu est rédigé en l’an 82, il demeure inédit pendant deux ans, et il est réécrit avec des corrections en l’an 84 par un groupe restreint d’hiérarques dans une communauté de Syrie, située à Antioche.

L’histoire de l’Évangile de Saint Jean, est plus complexe. C’est précisément Jean qui raconte l’agonie de Jésus et sa vie, telle qu’il l’a connue à travers des versions adultérées d’autres disciples de Jésus, et comme il l’a vécue lui-même, à des adeptes variés de Smyrne. Ceux-ci recueillent les récits oralement et rédigent de mémoire l’Évangile, qu’ils ne feront pas connaître avant trois autres retouches. L’Évangile ne prend sa forme définitive qu’au bout de deux ans et cinq mois. Et son texte commence à être ((divulgué)) en l’an 96.

Dans la dernière période du siècle 1, les chrétiens se réunissent dans les demeures des dirigeants les plus éminents des sectes. Ici se célèbrent des scènes collectives en souvenir du Maître Jésus, au cours desquelles on lit des récits de sa mort. Cette coutume poursuivit sa ritualisation jusqu’au premier quart du 2 ° siècle (jusqu’en l’an 118) où l’Eucharistie apparaît déjà instaurée comme sacrement. Les anciens se chargent d’un culte qui alors s’était déjà ritualisé et également codifié dans certaines communautés. Les évêques, se chargent d’administrer les biens procédant d’un fond commun des membres des congrégations. Finalement, cela se fit par le contrôle des communautés.

La période médiane entre les années 170 et 243, se caractérise par la naissance de l’Institution de l’Église. Les évêques comprennent qu’il faut unir les communautés dispersées, sous un contrôle commun et un code uniforme de la doctrine, qui jusqu’alors était exposée de façon anarchique par chacune des congrégations indépendantes. [Note12] (lien sur note 12)

Mais les groupes ne se montrent pas tous favorables à cette fusion.

En réalité la secte dite chrétienne était scindée en une multitude de petits groupes, dont certains, suivant une ligne de pensée éclectique, amalgamaient des doctrines procédant de la mythologie grecque et romaine avec le christianisme; quand il ne se produisait pas une étrange symbiose d’idées juives, égyptiennes et chrétiennes. Le groupe le plus important des opposants à l’autre ligne, est celui formé par les écoles gnostiques. C’est une autre façon plus épurée de comprendre le Christianisme.

L’interprétation officielle falsifiée des historiens de l’Église Catholique Romaine rapporte avec une emphase particulière le conflit entre les deux idéologies. L’une, la serait représentée par le CHRISTIANISME à ses origines JERUSALEMIENNE et HELLENIENNE, et l’autre par une secte quasi païenne appelée le GNOSTICISME.

La réalité historique, telle que nous l’avons évaluée avec des documents qui ne vous sont pas accessibles est toute autre.

Il s’agit de deux interprétations mythiques du christianisme. Toutes les deux adultèrent le message originel de Jésus dont nous vous avons exposé l’origine cosmobiologique. Jésus voulait, influencé par son subconscient engrammé de modèles de comportement néguentropique, enseigner à ses disciples ces simples éléments d’Éthique.

La mentalité magique, les croyances exotiques en provenance des diverses cultures mythologiques et l’absence naturelle de rigueur dans la transmission de données par voie orale ou écrite, donnèrent naissance à deux grands corps de doctrines dites chrétiennes : la grecque plus pauvre, plus influencée par la terrible notion d’un Jehova vengeur et cruel, un Dieu protecteur de l’agressive ethnie juive et la Gnose avec une philosophie plus élaborée de logique qui voit en Jehova un être malin et élabore une idée de Dieu beaucoup plus pure.

L’histoire postérieure fut un choc brutal entre les deux conceptions. Finalement la première, qui imposa son concept d’Église et sa doctrine, est sortie victorieuse. Il est évident que si c’était l’inverse qui s’était passé, vous en Occident, vous auriez élaboré une philosophie chrétienne, également mythifiée et déformée, mais plus intellectuelle et avec un concept de la divinité plus conforme à la Science.

Albacete 8 Janvier 1988
EOYOO 2 FILS DE AXII 36

NOTES LONGUES

 [Note 12] – Beaucoup de ces premières communautés chrétiennes étaient un modèle merveilleux de Réseau Social, fondé sur des modèles moraux. On y pratiquait la communauté des biens, et les membres qui avaient toujours présente l’image vénérée du maître sublime Jésus, mettaient en pratique ses nobles enseignements. Peu importait que la doctrine fût déjà viciée par une mythification historique de la vie du Maître. Ce qui était important est qu’il se pratiquait entre eux un régime de vie, qui par les données que nous possédons, ressemblait aux fondements éthiques qui régissent les coutumes de notre UMMO.

Pour cela l’étude de la civilisation occidentale de OYAGAA nous a grandement séduits. Ce n’est pas parce qu’en son sein le rationalisme scientifique s’est constitué à partir des formes de la pensée grecque, ni parce les nations de cette région ont, en conséquence, atteint un niveau de bien-être économique en rapport avec l’évolution de la technique qui en a résulté ainsi que celle de sa mentalité planificatrice, ni par leurs formes d’idéologie religieuse. En réalité, la religion structurée dans le christianisme présente une théologie beaucoup moins imaginative que l’hindouisme, le bouddhisme et d’autres formes exotiques de la pensée transcendantale.

Quelle est donc la raison qui d’abord suscite notre intérêt pour ce segment de réseau social ? Simplement les contradictions encore incompréhensibles qu’on pourrait qualifier de « brutales » et que l’on observe au sein de communautés de religion d’origine judéo-chrétiennes.

Si nous nous en tenons au catholicisme, il est déconcertant d’analyser comment ont coexisté dans l’OEMMII, dont les règles de conduite ont été régies par la loi morale la plus sublime, le fait que vous ayez été capable de donner votre vie au service de vos frères, avec celui de vos frères plus fanatiques qui au nom de JESUS, ont atteint les limites de la cruauté la plus abjecte. Ce n’est pas un secret pour vous que dans le cadre de cette religion institutionnalisée, les pages de son histoire sont imprégnées de sang et de souffrance pour ceux qui ne pensaient pas comme eux, mais aussi de bonté et de charité. Vous diriez, quant à vous, que le catholicisme est une saga d’anges et de démons.

Une étude objective que nous avons faite, donne une balance très négative. Le phénomène ecclésial a fait plus de mal que de bien a l’humanité de OYAGAA. Il a freiné le développement de la Science et de la Culture, il a jugulé la soif d’émancipation des conditions de pauvreté et d’esclavage.

Il n’est pas nécessaire que nous vous rappelions de nombreuses pages sombres.

Dans les premiers temps, les communautés de quelques villes étaient d’authentiques modèles de comportement sur le plan éthique, et les chrétiens de nombreux groupes souffrirent de terribles persécutions, de tortures inhumaines, donnant un témoignage honnête de leur FOI.

Mais le constantinisme anéantit les derniers vestiges d’un Réseau social fondé sur des principes communautaires et éthiques.

Le plus grave n’est pas qu’il se soit structuré sous le mythe du primat Pierre, hiérarchisant son organisation et édifiant sa doctrine au moyen de dogmes. Ce qui a véritablement corrompu l’Église fut le pouvoir temporel et les idées paranoïaques des dignitaires et des théologiens.

Le vieux mythe du démon plagié dans les pages bibliques d’autres religions ancestrales de OYAGAA, fut assumé avec une grande intensité par les penseurs de cette institution, car cela leur permettait de justifier n’importe quelle conduite abominable.

Ainsi on persécute de pauvres femmes par milliers, les accusant de cohabiter avec  » satan « , dans une persécution nauséabonde que se partagent les chrétiens catholiques et protestants durant les siècles les plus sombres de votre histoire.

Tous les assassinats commis par les fanatiques (La nuit de la Saint Barthélemy, les assassinés de la Gironde, le génocide du prêtre Ante Palevic en collaboration avec les nazis, la mort de Giordano Bruno, les tortures et les crimes des franquistes espagnols, tortures horribles des militaires argentins soutenus par la hiérarchie catholique…), ont été justifiés par la morale de l’Église sous le motif que les victimes tentaient (en collaboration avec des forces inspirées par le pouvoir diabolique) de renverser l’ordre établi.

Cette Église, est donc coupable de pervertir le message de Jésus, de lui enlever son prestige et en conséquence d’empêcher un processus de mentalisation du Réseau social qui lui permettrait de suivre les UAA.

Quand des OEMMII remplis de bonté, nobles et désireux de suivre la doctrine pure de Jésus, ont prétendu, de son sein même, réformer l’Église, le système, ou bien a créé une barrière antiseptique pour les isoler, ou bien les a purement et simplement éliminés.

Vous pourriez choisir beaucoup d’exemples. François d’Assise, Jean XXIII l’archevêque Romero, les fondateurs de la doctrine théologique de la Libération et le cas inouï de votre frère Albino (Jean-Paul I), assassiné avec une double capsule d’un agent botulinique et de cyanure potassique, quand il projetait d’exiger des comptes des responsables des finances et d’instaurer son nouveau plan (Carpeta azul. Documento S/655 « Multa paucis » ) de réforme profonde de l’économie.

Les espérances naïves selon lesquelles une structure à l’origine viciée puisse expérimenter une conversion, en retournant aux sources primitives de l’évangile, vos frères ont déjà observé qu’elles se sont évanouies après l’éclat du Concile de Vatican II. Le Souverain-Pontife Jean Paul II s’est chargé de le faire avorter. Les anticléricaux doivent se montrer très reconnaissants à sa personne. En peu d’années il a fait plus de mal à son église que tous ses ennemis athés.[Fin note 12]

[Note 14] – Bien que la mort de Jésus traitée dans les documents du Nouveau Testament et officiellement admise par les Églises chrétiennes, soit la partie historique qui souffre le moins de déformations, la réalité concernant la succession des faits conserve de nombreuses différences avec les narrations transcrites dans les textes pour vous sacrés.

La véritable vie sociale de Jésus, commence quand ce OEMMIWOA, en compagnie de quelques pasteurs des environs de Nazareth, s’approche du groupe des Esséniens qui suivait Jean le Baptiste. Jésus suit attentivement la parole de ce chef . Beaucoup de ses harangues s’approchent idéologiquement des conceptions éthiques de Jésus. Mais celui-ci découvre à la fin de grandes différences et s’oppose publiquement au Maître.

Celui-ci, préoccupé, se rend compte que la rhétorique du disciple entraînait beaucoup de ses disciples et craint avec raison un schisme grave dans ses rangs, dont cet obscur galiléen pourrait entraîner presque tout le gros du groupe.

Jean réagit avec violence, jette l’anathème sur Jésus et l’expulse de ses rangs. Une grande partie de ses partisans choisit de suivre le nouveau meneur.

Jésus ne se laisse pas emporter par la rancœur. Il garde, malgré tout, un souvenir nostalgique du Baptiste et parcourt la Galilée recrutant des disciples qui voient secrètement en lui le futur hiérarque de Judée, oint par Dieu.

Jésus s’attire les membres du Sanhédrin. Ceux-ci sont habiles, puissants et riches. C’est plutôt le grand pouvoir de suggestion du nouveau maître et sa grande éloquence qui les séduisent que le contenu éthico-idéologique de ses messages. L’un d’eux : Jonan projette également de donner un coup au Sanhédrin et d’éliminer le Grand Prêtre, peut-être pour proclamer son maître ((à sa place))

Probablement OYAAGAAWOA ignore de telles conspirations, bien que l’un des documents obtenus par mes frères contienne un texte qui porte à penser qu’il répréhende les disciples compromis dans ce complot et les admoneste vertement.

Mais les rumeurs selon lesquelles Jésus est considéré comme le messie, celui qui est sacré comme futur roi de Judée, inquiètent les hiérarques. L’annonce que dans les rangs de ses disciples se prépare un complot, les alarme pleinement.

On l’accuse dans le camp de ses ennemis de pratiquer la magie contre Jehova, d’adorer de fausses idoles, de conspirer contre le pouvoir établi, d’être un imposteur qui se proclame le messie, en y mêlant des interprétations des livres sacrés. (L’Ancien Testament).

Josué (comme on l’appelle en Galilée) est déjà désigné, et choisi le moment adéquat pour le détruire. De tous les hommes qui sur les terres de la Palestine dirigeaient des mouvements populaires de caractère religieux, s’opposant au système établi, Josué (Jeschuaah) soit Jés-us, est le plus dangereux.

A ce moment là, Ponce Pilate avait été nommé procurateur par Rome en Judée, grâce aux intrigues de Lucius Elie Sejan ministre de Tibère, un humain qui détestait la lointaine province romaine de Judée et à qui étaient parvenues les nouvelles des troubles qui se fomentaient dans les classes populaires.

Pour Lucius, Pilate était la garantie qu’une discipline de fer serait imposée.

Ponce Pilate, arrive en Judée et renonce à résider à Césarée. Les légionnaires sont transférés à Jérusalem même, et lui-même fixe sa résidence dans la ville sainte.

Ce furent les mêmes disciples de Jésus qui poussèrent celui-ci à réaliser son prosélytisme à Jérusalem. Probablement avec le secret espoir de soulever les citadins contre la Rome détestée. A ce point, les tensions du maître avec les plus turbulents sont continuelles. Les esprits devinrent très exaltés à Jérusalem dès que les légionnaires furent entrés par les rues étroites de la ville avec des médaillons qui portaient en relief l’effigie de l’empereur Tibère. Les juifs détestent les représentations iconographiques prohibées par la loi de Moïse. Depuis les toits, ils lancèrent des pierres sur les soldats et ceux-ci réprimèrent brutalement les insurgés.

Le Sanhédrin était inquiet. Quelques-uns uns des leurs étaient avec Jésus. Les espions de Ponce Pilate l’informe sur le risque de révoltes si Jésus continue à s’adresser aux natifs de la Capitale. La légende de Judas a un fondement réel. Les romains avaient introduit parmi les disciples de Jésus des agents qui les informaient concernant les paroles du maître. Ce furent ces derniers qui leur indiquèrent quel était le moment le plus propice pour s’en emparer.

Pour éviter les intentions réitérées de ces hiérarques qui cherchaient à emprisonner Jésus, beaucoup de ses disciples avaient formé une armée. Jésus se présentait en odeur de sainteté ((sanctitud et non multitud)) dans ses harangues spirituelles, et les autorités craignaient de graves désordres si on procédait à sa détention dans ces circonstances.

Il ne semble pas que l’épisode du Jardin de Gesmanie, qui a été ajouté après le récit néo-testamentaire, ait le moindre fondement historique. Pas plus que les documents qui sont en notre pouvoir ne se mettent d’accord sur les circonstances de cette capture. Le texte le plus fiable écrit par l’un de ses nombreux adeptes, un certain Joram, décrit son maître comme étant entouré de dix-huit disciples, hommes et femmes dans la maison de l’un des membres du Sanhédrin, l’un de ses disciples (du nom de Zhacar, ou peut-être était-ce le fils du conseiller).

C’est immédiatement après le repas du soir, que les légionnaires de Rome, envoyés grâce aux renseignements obtenus des agents traîtres à Jésus, procèdent à sa détention ((arrestation)).

Zhacar accompagne Jésus. Des ordres stricts sont transmis à l’autorité religieuse juive. Zhacar et les autres conseillers du Sanhédrin discutent âprement avec leurs compagnons. La scission du Conseil menace d’ébranler gravement l’Autorité religieuse qui dirige le Temple. C’est précisément ce que désire Ponce Pilate dans sa stratégie pour diviser les juifs.

Le Grand Prêtre, prévoit le danger et ordonne de livrer l’accusé à l’autorité romaine, pour se débarrasser d’un homme dont la seule présence menaçait de faire vaciller le fragile édifice Juif.

Pilate désirait humilier Jésus devant le peuple de Jérusalem pour leur démontrer qu’il n’était pas le Messie, l’envoyé de Dieu. Il commença par le castrer, cautérisant ensuite la blessure. Ce sont les légionnaires romains qui se chargent des tortures du condamné. Ils l’habillent en femme, couvrent sa blessure génitale avec un faux voile et montrent son corps à la populace. Celle-ci se rit cruellement de cet homme épuisé et presque sans connaissance à force de coups.

Quelqu’un lui met sur la tête un cylindre d’osier avec des épines pointues, le couronnant comme « roi » . Fatigués de jouer avec un corps qui souffre un choc aigu, on décide de le crucifier.

Jésus est effectivement amené au Golgotha, pas avec deux mais avec cinq autres condamnés. Lui devait être le sixième sacrifié ce jour-là.

Pendant ce temps des membres du Sanhédrin œuvraient dans l’ombre. Ils gagnèrent avec de l’argent l’officier romain chargé d’exécuter le condamné. Ceux-ci sont des disciples du Maître et ils ont le pouvoir et l’influence. Cette nuit-là, les deux légionnaires qui sont de garde laissent passer trois excellents disciples et deux femmes qui secrètement récupèrent le corps presque agonisant de Jésus. Il n’a pas été possible de déterminer l’identité de ces YIEE. Nous ignorons encore si la mère de OYAAGAAWOA vivait encore à cette date et si elle fut aussi l’une des femmes qui aidèrent à enlever le Maître. Toute « l’hisroire mythique » de l’intervention de Marie dans la période de la crucifixion a été rajoutée dans les textes postérieurs. Cela a pu être une simple invention, mais nous n’oublions pas qu’elle était fondée sur une tradition orale, plus ou moins déformée.

La nouvelle que le corps récupéré était vivant avait été cachée au reste des disciples. Les notables du Sanhédrin savaient qu’il y avait parmi eux des espions, et craignaient donc la réaction des compagnons inflexibles du Sanhédrin et ennemis du Prophète, comme celle du proconsul Ponce Pilate qui en sentant qu’on s’était moqué de lui aurait cherché partout le rebelle Jésus.

La légende selon laquelle le nombre des disciples se réduisait à douze a déjà été éclaircie par nos soins. Mes frères avaient été surpris par la contradiction entre la version selon laquelle Jésus était suivi d’un si petit nombre de disciples et qu’un groupe supposé si réduit ait pu éveiller de telles craintes de la part du Sanadrin et des romains. Les documents archéologiques découverts par nous jettent suffisamment de lumière sur la question. Le mythe fut développé ultérieurement, quand douze de ses disciples forment la secte de Jérusalem, opposée aux Chrétiens grecs. Ceux-ci s’arrogent le mérite d’avoir été choisis spécialement par Jésus.

La réalité est que dans l’important ensemble d’acolytes, les tensions dérivées des interprétations distinctes des idées exprimées par le Maître, étaient très graves. La crucifixion et la nouvelle falsifiée de sa mort, engendrèrent la division en quatre groupes, dont un mené par Pierre, Jacques fils de Zébède et Jean qui étaient trois des sept dirigeants mineurs choisis par Jésus pour organiser ses armées.

Le groupe de Jérusalem développait également le mythe de la trahison de Judas Iscariote. Celui-ci était, avec Pierre et cinq autres disciples, l’un des adjoints les plus actifs mais différents des critères de Pierre. Judas apparaît non seulement dans les écrits de l’époque comme libre de toute faute, mais il dirigeait avec beaucoup de ses partisans une révolte dans les rues de Jérusalem contre les foules ennemies de Jésus et les hiérarques Juifs, tandis que d’autres disciples de Jésus et parmi eux Pierre, fuient et se cachent. La calomnie, élaborée dans les grottes de Jérusalem des années plus tard, atteint des aspects de vraisemblance grâce au fait vérifié de l’existence d’agents payés par Rome et le Grand Prêtre dans les rangs du Maître.

Judas Iscariote (son nom est correct), était un humble homme du peuple ; ennemi des disciples riches de Jésus, parmi lesquels on trouvait des hiérarques du Sanhédrin. Quand Jésus et ses partisans entrèrent dans Jérusalem, son groupe campa dans le jardin de Gethsemani. Le soir de la capture de Jésus, il n’était pas dans la maison où eut lieu le dernier repas. Les récits successifs des faits survenus durant ces heures-là se sont mélangés et déformés au fur et à mesure au cours des ans jusqu’à créer la légende de Jésus priant dans le jardin de Gethsemami. Un émissaire arrive à la tente de Judas avec la nouvelle de l’arrestation du Maître. Celui-ci harangue ses hôtes et commence à envahir les ruelles de la ville, pendant que Jésus est sauvagement torturé. Judas est pris, bastonné et son cadavre pendu. Les autres lieutenants abandonnent secrètement la capitale.

Récemment arrivés à OYAGAA, mes frères élaborèrent une hypothèse selon laquelle Jésus était un véritable OEMMIWOA, comme cela a été confirmé, mais ils pensèrent à tort que sa ASNEEIIBIAEDOO (disparition par effet frontière) avait pu se réaliser au moment de sa mort sur la croix, de façon que le récit postérieur de la résurrection soit une légende mythifiée dans les évangiles. Comme vous voyez, , une analyse ultérieure à la vue de la documentation obtenue réduit cette hypothèse à néant.

Nous sommes désolés de nous différencier des écoles historiques distinctes développées par vos frères de la Terre. L’école mythologique, dont des historiens ont élaboré un excellent travail en Union Soviétique, n’a pas raison de nier l’existence de Jésus.

L’école historique représentée par vos frères Renan, Loisy, Staton, Bultman, s’approche plus de la réalité, mais faute de documents, elle se débat parmi des ombres. L’école représentée par les historiens ecclésiaux, est totalement discréditée parce qu’elle essayait de développer une pseudo histoire christologique basée sur des textes que votre esprit critique rigoureux lui-même considérerait comme étant truffée d’éléments mythiques.

Tous vos frères de tendances distinctes, animés d’une excellente bonne foi, mais privés d’information suffisante, se débattent dans les affres du doute. Nos apports ne vont pas vous en libérer, d’autant plus que nous nous refusons à apporter les preuves que nous possédons. Le faire supposerait que nous soyons dans l’obligation de nous identifier comme OEMII de UMMO.[Fin note 14]

lettre 1

Ndt: La première partie de cette lettre est au début de la D792-1

Nous ne voyons aucun inconvénient à ce que vous divulguiez ce message, parce que nous laissons à votre discrétion le soin de remettre une copie à qui de droit. (Nous nous référons au rapport ci-joint, et non à cette lettre). De toutes façons, nous vous conseillons de remettre une copie aux frères suivants : Une copie dactylographiée sans timbre.

– JUAN AGUIRRE CEBERO
– LUIS JIMENEZ MARHUENDA
– ANTONIO RIBERA JORDA
– RAFAEL FARRIOLS CALVO

En plus des autres frères que vous choisissez.

A PROPOS DE CETTE LETTRE que vous lisez :
Cette lettre, vous la garderez avec suffisamment de précaution. (Il serait préférable de la détruire passé quelques jours, à cause de l’un de vos frères qui travaille dans un Service d’Information). Cette lettre, vous pouvez (et nous vous recommandons de le faire) la lire à votre domicile aux frères suivants y compris à leurs épouses :

Alberto Borras, Juan Aguirre, Dionisio Garrido, Julián Barrenchea, Javier Muela, José Jordan, Joaquín Martínez, Rafael Farriols, Juan Domínguez, Enrique Villagrasa, Francisco Mejorada, Luis Jiménez

Ne la lisez surtout pas au téléphone, ne la photocopiez pas, ne la transmettez pas par télécopieur. Attendez pour la lire que vos frères cités plus haut, qui résident dans d’autres villes, viennent à Madrid. Ensuite, nous le répétons, il serait prudent de la détruire.

Le rapport ci-joint concernant UMMOWOA doit avoir le traitement suivant avant d’en effectuer des photocopies. Le reproduire dactylographiquement de façon à ce que nos cachets n’apparaissent pas . La copie dactylographiée pourra être ensuite reproduite photostatiquement ou par fax et envoyée à qui vous voulez, y compris les quatre frères cités plus haut.

En ce moment, l’un de mes frères et moi-même, nous nous trouvons dans votre Pays. Nous pouvons vous révéler sans risque aucun, que nous sommes dans la ville d’Albacete. Nous n’osons pas vous envoyer nos textes par la voie postale. Quand nous déciderons de vous envoyer un rapport quelconque, nous le ferons par le truchement de l’un de nos collaborateurs, l’un de vos frères, qui se déplacera périodiquement à Albacete.

Ultérieurement, on ne fera parvenir le texte qu’au domicile de Jorge Barrenechea. Nous vous prions instamment, à moins qu’on ne vous autorise à effectuer des copies, de reproduire le texte à la machine ou par écrit, afin que n’apparaissent pas nos cachets. Ensuite vous pouvez les photographier.

Les originaux seront déposés dans les archives privées de Jorge Barrenechea. Vous assumez donc la responsabilité de ce que l’image de votre texte avec le cachet violet ne soit pas reproduite

Les conditions de cette responsabilité sont celles-ci : Nous nous verrions obligés de suspendre notre envoi de renseignements si notre requête n’était pas prise en compte.

Nous voulons vous avertir, Señor Jorge Barrenechea, qu’il existe un certain risque qu’on pénètre dans votre domicile pour vous dérober des documents.

Nous allons vous vous donner des éclaircissements sur ce point.

En ce moment, l’un de vos frères de nationalité britannique a été chargé de la surveillance de nos activités. Son nom est Norman H. WEST. Il semble être membre de l’une des lignes aériennes britanniques, cependant il ne travaille pas pour les Services Secrets de son pays mais pour ceux d’un autre pays (dont vous soupçonnerez bien évidemment le nom).

Nous vous envoyons sa photo jointe à un document que mes frères lui ont dérobé alors qu’il accomplissait une mission de surveillance sur notre activité. Il conviendrait que vous vous familiarisiez avec son visage. Ensuite il serait opportun que vous détruisiez ce document.

Il dirige trois hommes de la section Ibérique (Espagne et Portugal) instruite pour nous surveiller, nous et vous également. Les téléphones de Messieurs Jorge Barrenchea, Luis Jimenez, Juan Aguirres, Rafael Farriols sont sur écoute. Ils surprennent les conversations téléphoniques mais l’écoute se fait au hasard, pas de façon continue. Nous savons qu’ils projettent de pénétrer dans votre domicile, le vôtre, Jorge Barrenechea, quand vous en êtes absent. Nous tenons à vous tranquilliser parce que nous avons trouvé un moyen de faire avorter ce plan. De toutes façons, comme la fiabilité d’une seule et même personne n’est pas absolue, il conviendrait que, les documents que vous avez reçus depuis 1987, vous les transfériez à un autre endroit que vous aurez choisi secrètement sans en informer quiconque en dehors du frère impliqué dans le transfert. Vous ne courez aucun risque personnel. Ces agents savent que vous n’êtes que de simples récipiendaires de notre rapport, et les ordres qu’ils reçoivent sont très stricts en ce qui concerne l’intégrité physique des personnes sous surveillance. De toutes façons, nous comprenons que cela vous ennuie de vous sentir surveillés, par le biais des écoutes téléphoniques, de la recherche de domiciles possibles, de la filature de vos véhicules et des écoutes microphoniques quand vous êtes absent de votre domicile.

L’un des espions de nationalité USA, John Arthur Childs, est un excellent expert de la lecture des lèvres. Il vous a espionné, Messieurs Juan Aguirre, Juan Dominguez et Jorge Barrennechea, ainsi que vos épouses lorsque vous dîniez dans des restaurants de Madrid ainsi que Messieurs Pons et Farriols à Barcelone.

Nous croyons, qu’à part un acte possible mais peu probable de subtilisation de documents, son activité ne doit pas trop vous inquiéter. Il semble bien qu’ils croient que vous savez où nous sommes domiciliés.

Dans le cas où ils pénètreraient dans vos domiciles, ils sont spécialistes dans l’art de réaliser des enregistrements sans laisser de traces visibles. Probablement, ils se limiteraient à photographier des documents. Ils n’ont pas l’habitude de forcer les portes blindées. Ils accèdent par les patios intérieurs, au moyen de câbles d’acier ancrés sur le toit de l’immeuble. Auparavant, ils s’assurent habituellement que l’habitation ou le bureau à contrôler est inhabité pendant ce laps de temps. Ils ne portent jamais d’armes dans leurs missions et sont pourvus (les agents qui vous espionnent) de passeports ou de faux documents libanais, italiens ou Colombiens. Ces quatre frères (les vôtres) maîtrisent parfaitement la langue espagnole.

>>> <<<<

Vous faisiez référence à votre conversation téléphonique avec mon frère, aux conditions de votre domicile de la rue Goya à Madrid, pour y tenir des réunions. En ce moment, l’unique enceinte contrôlée par nos équipements miniaturisés d’enregistrement est le quatrième étage de votre immeuble, étant donné que la profusion de meubles permet leur camouflage. Il nous est très difficile de contrôler votre souterrain. Si le nombre de frères qui se réunissent n’est pas élevé, nous vous prierions de le faire au quatrième étage.

Nous avons sur écoute les téléphones de la plupart d’entre vous. En certaines occasions nous avons placé nos équipements dans les domiciles de vos frères Farriols, Aguirre et Dominguez mais maintenant ils ne sont plus sous surveillance.

Il est très important pour nous de connaître une gamme étendue de réactions paramètrisables de caractère biochimique dans le système limbique (limbico = nerveux périphérique???) de vos frères pendant que s’effectue la lecture de nos rapports.

C’est la raison pour laquelle, en maintes occasions, nous enregistrons ces données au cours des réunions que vous tenez.

C’est pour cela que nous vous prions, Señor Jorge Barrennechea d’adopter les règles suivantes pendant six mois au moins :

Il convient que la lecture à voix haute de nos rapports se déroule tout en commentant chaque feuille dactylographiée avant de passer à la suivante.

Nous préférons que ces réunions se déroulent dans un domicile que nous puissions contrôler. Dans cet intervalle c’est au quatrième étage de votre domicile de la rue Goya que nous rencontrons les plus grandes facilités ; il nous serait agréable que dans d’autres réunions que vous pourriez tenir en d’autres endroits de la ville, vous ne lisiez pas à voix haute nos documents. Naturellement vous êtes libres de faire exception, mais nous ne pourrions pas dans ce cas contrôler vos réactions.

Aussi nous considérons comme logique que dans d’autres réunions tenues dans des lieux divers, vous puissiez faire les commentaires que vous désirez concernant notre culture, car cela ne nous intéresse pas de les enregistrer.

Señor Barrenchea. Plusieurs fois nous avons eu des difficultés pour introduire dans votre domicile notre équipement qu’il nous faut renouveler. Un ou deux jours avant que se tienne une réunion à votre domicile nous vous serions reconnaissants de laisser un accès sur l’extérieur (fenêtre ou balcon). Il suffit d’une fente de trois centimètres environ en un endroit quelconque du quatrième étage qui donne sur la rue ou sur le patio intérieur. Vous devrez laisser ce passage ouvert toute la nuit.

Nous vous recommandons pour d’autres raisons (Risque d’infiltration par vos frères qui pourraient vous espionner) d’être prudents dans les lieux publics dans vos commentaires concernant le contenu des rapports plus secrets. Le meilleur canal pour nous informer au sujet de la dynamique de ce micro réseau social et de ses desiderata est celui du téléphone.

Appelez-vous entre vous, vous communiquant tous la même séquence de renseignements (il suffit de deux ou trois appels pour nous permettre de capter l’information). Les conversations téléphoniques de presque tous ceux qui composent votre groupe sont enregistrées par nous, pas tout le temps cependant.

Je vous supplie, Señor Jorge Barrenechea, mettez-vous en contact avec vos frères ====(nom rayé)==== et Alfredo Lara Guitart résidents à Madrid. Vous pouvez leur lire cette lettre confidentiellement mais pas par le canal du téléphone.

Nous savons que des agents qui vous surveillent, surveillent aussi sporadiquement vos téléphones. Ils croient qu’eux aussi possèdent des informations sur notre résidence.

Il est indubitable que tout cette question d’écoute et de surveillance ne vous affectera pas sérieusement, mais cela constitue une règle élémentaire de caractère éthique de vous informer au moins de cette surveillance. ((mais c’est la moindre des corrections de vous tenir informés de cette surveillance))

En ce qui concerne votre frère Lara, en l’appelant par téléphone, demandez-lui jusqu’à quel point il s’intéresse à cette campagne. S’il répond qu’il continue à s’y intéresser, invitez le à une entrevue avec vous en compagnie de son frère =(rayé)= (sans révéler par téléphone l’existence de cette lettre). Exprimez à vos frères = (Rayé) = et Lara notre profond respect pour eux et pour l’objectivité et l’impartialité dont ils ont fait preuve en portant de l’intérêt à notre culture et notre civilisation.

Nous insistons comme nous l’avons toujours fait, sur le fait que l’attitude la plus conforme à l’éthique et la plus intelligente, ce n’est pas de renoncer à ses propres convictions, même si l’on montre de l’intérêt pour d’autres formes structurées de pensée exogène.

A propos de la conversation téléphonique et de votre allusion à votre sœur Hiltrud Nordlin, nous réitérons ce que lui avait répondu mon frère. Nous éprouvons une affection spéciale pour cette Yie, et elle sait bien que nous le lui avons démontré à un moment difficile très pénible pour son corps.

Cela nous attristerait qu’elle se sentît mise en marge si son nom n’apparaissait pas dans certains rapports. Ces omissions se rapportent à des documents qui, pour des raisons complexes lesquelles affectent parfois la stabilité émotionnelle de vos frères, ne doivent pas être lus ou captés en toute connaissance par vos esprits pendant une période déterminée, parce que notre morale nous interdit d’en faire les participants de son contenu.

Albacete (Espagne) Janvier 1988

 


lettre 2

UMMOAELEWEE
Langue espagnole

Cette lettre devra être conservée sans être photocopiée par le Señor Jorge Barrenechea. Elle peut être lue à quiconque désigné par lui.

Señor Jorge Barrenechea,

Vous aurez observé des fluctuations et des changements brusques d’orientation et de décision dans notre conduite exprimée au travers de l’information délivrée sur des feuilles de papier.

Cette incohérence apparente obéit cependant à des changements de stratégie vous concernant qui, à leur tour, sont fonction du résultat de nos études successives concernant vos paramètres neuro-encéphaliques et sociaux.

Parfois, nous adoptons des décisions de contact ou de résidence dans des pays quand soudain il nous faut les modifier souvent lorsque l’information qui nous arrive nous conseille une nouvelle conduite.

Il faut vous habituer à cette versatilité comportant les déplacements rapides propres à un groupe qui, comme le groupe expéditionnaire que nous formons, est soumis aux multiples pressions que vous ne pouvez qu’imaginer, et qui est capable d’obtenir des quotas élevés d’information, nous permettant une telle rapidité de réponse.

La raison de ce bref préambule est celle qui suit :

À l’encontre de l’autorisation par laquelle nous vous avons concédé la divulgation de l’information ci-jointe sur UMMOWOA, comme vous avez pu vous en rendre compte avant sa lecture, des facteurs ont surgi qui en déconseillent la diffusion pendant un certain temps.

Limitez donc le nombre de photocopies exclusivement aux personnes suivantes de OYAGAA : Rafaël Farriol Calvo, José Jordán, Julián Barrenechea, Alberto Borrás.

Vous pouvez lire le rapport à vos frères que nous citons, en plus de ceux déjà signalés, y compris à leurs YIE: Dionisio Garrido. Luis Jimenez. Juan Dominguez. Alfredo Lara. Joaquin Martinez. Javier Muelaet leurs YIE

Une dernière prière : Ceux de vos frères qui reçoivent ce rapport ne peuvent la recevoir que s’ils s’engagent devant vous à de pas publier, sous forme de texte imprimé, son contenu ou une fraction du texte en question, et de ne pas photocopier la reproduction reçue qui, nous insistons, doit être dactylographiée avant d’être remise.

Vous remarquerez que c’est un changement radical par rapport à notre décision de tolérer une diffusion volontaire de votre part. Quoique les raisons en soient quelque peu compliqués.

Nous pouvons vous dire que nous avons détecté une intention de publier ce contenu aussitôt parvenu sous le contrôle de l’un de vos frères, et d’autres risques de caractère mental (psychologique ???) dans le cas où son contenu pourrait être réétudié à travers une première lecture.

Notre interdit cessera aux dates suivantes :

(vous pouvez remettre une photocopie aux autres frères cités à pârtir de) :

Luis Jiménez (à partir du 25 Janvier 1988)
Juan Domínguez (à partir du 25 Janvier 1988)
Joaquín Martínez (à partir du 1er Mars 1988)
Dionísio Garrido (à partir du 12 Mars 1988)
Alfredo Lara (à partir du 5 Décembre 1988)
Javier Muela (à partir de Février 1989)
Hiltrud Nordlin (à partir d’Octobre 1989)
Antonio Ribera (à partir d’Octobre 1989)

Nous voulons insister sur le point que, aussi obscures que puissent vous paraître des mesures apparemment aussi absurdes, vous devez les suivre à la lettre. Cet étalonnement des dates peut s’interpréter comme une discrimination offensante qui sans doute entachera les sentiments de vos frères concernés. Nous voulons exprimer qu’il ne s’agit pas de quelque manœuvre de mise à l’écart ou de mépris à l’encontre de vos esprits respectables. Vous savez que le groupe d’Espagne a rarement reçu des instructions aussi compliquées pour la diffusion de l’un de nos documents. Croyez-nous, cette fois il existe pour nous des raisons objectives pour adopter ces précautions.

Enfin nous vous rappelons que : Si quelqu’un parmi vos frères violait l’engagement pris de ne pas photocopier ou reproduire le rapport reçu par un autre système de diffusion de données, (Nous faisons concrètement référence à UMMOWOA Y JESUS) nous suspendrions nos contacts pendant un temps indéterminé.

Albacete (Espagne) Janvier 1988


lettre 3 Reçu par J.B. le 20 Janvier 1988

(Écrit sur l’enveloppe) : TROISIÈME FRACTION

RAPPORT SUR UMMOWOA

Nous vous prions de faire en sorte que cette lettre ne soit ouverte qu’en présence de huit de vos frères au moins, et de ne pas effectuer cette opération avant la date du 24 Janvier 1988, à partir de 20 heures et trente minutes et pas plus tard que 2 heures du matin ou bien tous les matins à partir de 10 heures trente jusqu’à 14 heures.

C’est à dire que la lecture à voix haute et les commentaires peuvent s’effectuer quotidiennement dans ces intervalles (10h 30 – 14h30) (20h30 – 2h), à n’importe quelle date à partir du 24 Janvier 1988 (y compris cette date), au quatrième étage de la rue Goya numéro 57 à Madrid.

La lecture sans voix (lecture mentale) peut se faire à n’importe quelle occasion et librement à partir de la date d’ouverture de l’enveloppe et n’importe où.


lettre 4

Reçue par J.B. le 20 Janvier 1988

UMMOAELEUEE
Langue Espagne

Bien cher ami Jorge Barrenechea,

Nous joignons à cette lettre, une autre fraction du rapport concernant UMMOWOA et OYAAGAAWOA que vous nous aviez demandé à une date antérieure au cours d’un dialogue par le canal du téléphone?

Nous avons des raisons de craindre que la lecture de ce texte provoque des chocs intenses, de l’indignation et qu’elle heurte les sentiments de quelques-uns uns de vos frères, dont les processus mentaux ont une affinité pour une foi religieuse déterminée.

Que ces frères ne croient pas un seul instant que nous avons cherché à blesser leur affectivité ! Nos jugements sont objectifs, fondés sur l’information que nous possédons. Ce n’est pas de notre faute si les faits historiques se sont déroulés de cette façon, ou si les versions de certains évènements ont souffert des interpolations littéraires, des mystifications, des déformations par transmission orale, ce qui est inévitable puisqu’elles étaient fondées sur des évocations mnémoniques peu fiables… processus qui tous se transforment en mythes.

Mais nous, nous ne vous invitons pas à croire notre version d’autant plus que nous nous abstenons d’apporter des preuves de nos affirmations. Nous pensons que vous devez être prudents et qu’il faudrait continuer à être fidèles à vos anciennes idées, si vous ne compreniez pas la nécessité de les réviser par un processus d’évolution au moyen de mécanismes rationnels.

Nous vous avons néanmoins demandé, que pendant un certain temps, vous vous absteniez de diffuser des copies des rapports que nous vous avons remis durant la dernière période de nos relations. Il est très possible que dans un futur proche, nous vous autorisions à les publier quand nous estimerons qu’il n’existe pas de risque sérieux d’influencer de larges strates de la population.

Nous ne trouvons aucun inconvénient à ce que vous puissiez lire les copies autorisées à vos familiers et amis intimes, mais ne donnez jamais de copies de ces lettres. Nous ne considérons pas non plus que puisse provoquer une perturbation sensible le fait que votre frère Luis Jimenez Marhuenda ou qu’un autre de vos frères expose, dans ses conférences, des points de nos rapports, à condition qu’il adopte toujours ces précautions. Ne pas lire directement les rapports reçus depuis 1987 (et encore moins, donner des copies de ces rapports). Ne vous portez pas garant pour la véracité de leur contenu, faisant toujours allusion au fait que sa source est inconnue. Pour le reste, on peut exposer de mémoire quelques-unes unes des informations cosmo-biophysiques, techniques, idéologiques et autres que nous vous avons communiquées.

Nous nous sentons affectés pour vos frères d’Italie associés à Monsieur CROSIGNANI ANGELO
dont nous vous donnons l’adresse à laquelle on peut lui écrire :

Via Concilio Vaticano
20157 MILAN (Italie)

Ne lui donnez pas une copie de cette lettre. Nous vous prions de lui écrire en l’informant qu’en Europe, en ce moment, c’est seulement à Bonn (République Fédérale d’Allemagne) et Albacete (Espagne) en Europe que se trouvent quelques-uns de nos frères.

Au cours d’une possible et future expédition en République Italienne, nous vous enverrons un rapport. Que nous sommes véritablement affectés pour CROSIGNANI ANGELO et que le dernier voyage en Italie, de Juin 1976 à Octobre 1978 a profondément impressionné mes frères, à un degré sensiblement plus élevé que les autres pays d’Europe. L’information obtenue sur sa richesse artistique, a été transmise à UMMO. Aucun pays, à part l’Inde et le Japon, a mérité de notre part tant d’attention, que la péninsule Italique quant à l’aspect relatif à la créativité artistique. Également, on peut vous communiquer que l’Italie ainsi que la Suède et le Danemark sont les pays européens où mes frères se sont déplacés avec le plus de liberté sans être dérangés. Nous conservons une affection particulière pour les OEMII (Hommes de ces nations).

Albacete (Espagne) Janvier 1988