UMMOAELEWE
LANGUE: ESPAGNOL
Nombre de copies: I
DOCUMENT SEMI-CONFIDENTIEL.
Monsieur Fernondo Sesma Manzano
MADRID, ESPAGNOL.
Monsieur,
Nous avons été les témoins acoustiques de vos dernières conférences.
Nous avons pu vérifier avec beaucoup de tristesse que notre supplique ( les jours oè vous parlez de notre civilisation, nous vous avions demandé de ne pas mentionner les autres expériences – respectables – que vous avez eues), n’a pas été entièrement entendue.
Nous savons que les êtres humains sont volubiles et que dans vos actes il n’y a pas de mauvaise foi ni de désir de ne pas respecter vos anciennes promesses, mais plutôt un oubli et des lueurs d’instabilité spirituelle provoquées par un immense amour de ces expériences, ainsi qu’un désir comphéhensible dans une structure mentale comme la vôtre pour une civilisation aussi rationelle que la nôtre.
Nous ne vous le reprochons pas. Votre bonne volonté envers nous demeure intacte. Nous respectons bien sûr vos points de vue concernant le fait que le Réseau Social Terrestre ne pourra adopter le modèle Social de UMMO. Critère que nous partageons en partie seulement.
La suspension des envois a été motivée par deux raisons.
En premier lieu, tout le temps que vous continuerez à rompre le compromis dont nous avons parlé précédemment, nous ne pouvons pas continuer à vous envoyer des documents.
C’est une mesure de défense de non de vengeance car vous êtes libres d’orienter vos réunion selon votre critère. Et donc n’en concluez pas que nous sommes fachés.
Vous pouvez reprendre les contacts avec nous quand vous le désirerez, nous vous demandons seulement de respecter notre demande. Il suffirait qu’à la fin de la réunion consacrée à UMMO, vous spécifiez clairement que la suite sera consacrée à une thématique différente.
Si vous n’acceptez même pas celà, il est clair que la rupture ne sera pas provoquée par nous par nous, c’est vous qui ne voulez plus avoir de relations avec nous.
En second lieu, ces jours-ci se sont produits certains faits qui nous ont obligé à couper temporairement les contacts avec TOUS les correspondants d’EUROPE et d’AUSTRALIE.
De toutes façons, votre attitude est compréhensible, vous pouvez être en désaccord avec les supposés sociologues, scientifiques ou philosophes qui sont parmi vos amis et continuer cependant à cultiver les liens spirituels qui vous unissent à eux, surtout quand ce qu’ils vous demande en échange n’est pas en rupture avec vos propres idées ; simplement une petite concession passive, concession qui vous a paru raisonnable et qui ne constitue aucun mystère et ne représente aucun préjudice à l’encombre de vos autres amis.
Mais enfin; l’homme doit être libre de ses actes et nous ne désirons pas qu’il en soit autrement. Quelque soit votre décision, sachez que ces amis originaires d’un autre Astre lointain auront toujours pour vous le même respect et amour.
Ne considérez pas que le fait de vous indiquer que vous êtes l’un des rares OEMII que nous ayons trouvé sur cette Planète à aimer les véritables valeurs spirituelles et qui soit un fervent admirateur des êtres qui peuplent le Cosmos, représente une adulation envers vous. Nous vous comprenons. En réalité vous aimeriez que l’image que nous vous avons donné de UMMO soit plus pure, plus mystérieuse, moins rationnelle, moins logique.
Mais nous ne sommes pas responsables d’être ainsi.
D’autre part vous devez rejeter ce faux argument que vous vous êtes forgé en imaginant que nous sommes un peuple privé de libertés, étroitement canalisé par des normes logiques très dures, tenaillés par les postulats d’une froide technique et exempts de la richesse chromatique de présente la Terre. Ce dernier point est vrai par rapport à la Terre mais pas tant que vous le croyez.
De toutes manières, nous sentons que nous vous avons blessé avec nos idées qui sont peut-être en totale contradiction avec les vôtres .
Nous n’avons jamais voulu vous humilier.
Frère Sesma: Pouvons nous vous appeler ainsi ? Pour toujours ?
Si vous désirez interrompre les contacts dites le lors de la réunion.
Nous comprendrons que vous êtes là de cette expérience.
S’il il n’en est pas ainsi, dès que nous aurons vérifié que les deux ou trois réunions suivantes concernant uniquement UMMO, nous continuerons notre série de rapports.
Et ne craignez pas d’être en désaccord avec nos idées.
Votre esprit d’indépendance nous plait. Il ne nous gêne absolument pas.