D105 F L’âme et le temps. L’esprit collectif – Les IBOZOO UU – Le pluricosmos.

UMMOELEUEE
Nombre de copie: 1
Senor JUAN DOMINGUEZ MONTES
MADRID – ESPAGNE
7 – 12 – 1972 – Londres

LE BUAUAA

Le concept de BUAUAA ne peut être envisagé qu’au moyen de certaines hypothèses qui exigent différents instruments sémantiques, une base logique différente de la topique et de la pensée des différentes écoles philosophiques de la Terre. Dans une première interprétation linguistique le phonème BUAUAAA, et l’entité ou facteur ontologique qu’il tente de représenter ou d’encoder pourrait se traduire dans la langue de la TERRE par : ÂME, ESPRIT, PSYCHÉ, ou MOTEUR VITAL.

En réalité le concept que sur UMMO nous étiquetons avec ce vocable possède des caractéristiques beaucoup plus complexes. Ce ne serait pas simple d’identifier notre idée de BUAUAA avec l’image idéale que les penseurs théodicistes (NdT-1) de votre humanité, les théologiens chrétiens et psychologues scholastiques se sont forgés de l’ESPRIT.

Sans aucun doute, beaucoup de caractères assignés par nous au BUAUAA s’identifient avec les qualités que certains de vos penseurs attribuent à l’âme. En règle générale nous savons que « l’âme  » que nous appelons BUAUAA est adimensionnelle et donc le facteur ou dimension TEMPS n’a aucun sens pour elle. Elle est aussi indestructible et possède la particularité d’être GÉNÉRÉE par WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU).

Il apparaîtra sûrement un conflit avec les ontologistes de la Terre quant nous affirmons qu’elle ne peut pas être ÉTERNELLE du fait que ce concept implique automatiquement la dimension temporelle. Et la confusion pour vous se manifestera encore plus, si nous assurons en utilisant notre logique qui considère comme NON EXISTANT ce dont la chaîne ontique (Ndt: du grec ontos: l’être) ne comporte pas d’IBOZOO UU (essence du réel, du dimensionnel et par conséquent constatable par des moyens physiques), et si nous assurons – nous répétons – que le BUAUAA N’EXISTE PAS.

Pour les animistes de la TERRE, l’ÂME est créée au moment de la conception d’un nouvel être humain, l’âme va conformer, avec son libre arbitre, toute la conduite de l’homme jusqu’à sa mort. Après ce décès l’âme continue d’exister et elle est  » remodelée  » par le créateur, qui la sanctionne en vertu de cette ligne de conduite librement choisie par elle…. (Excusez-nous de résumer si étroitement une doctrine psychothéologique que nous savons être beaucoup plus complexe : mais nous ne tentons pas d’en faire quelque critique et d’autre part nous vous supposons informé de vos propres conceptions philosophiques à ce sujet).

Nous tenterons plutôt de vous esquisser nos propres conceptions.
En premier lieu nous distinguons entre deux classes d’ÊTRES existants dans le UAANM (COSMOS) en opposition à deux autres grands genres « D’ENTITÉS (Ndt: « seres ») NON EXISTANTES « . Ces dernières sont: AIOYAA AMMEIEE UAA , tels que WOAA (Le Générateur!), BUAUAA (Esprit Humain), BUAWEE BEIAEII ( Esprit Collectif) ou BUAUAA BAAIOO (Esprit de L’Être Vivant)] et AIOYAA AMMEIEE OUEE (Tels que: le contenu d’une information, la sensation du plaisir, ou une tradition populaire).

Les ENTITÉS (Ndt: « seres »)  » EXISTANTES « , dont l’essence est définie par IBOZOO UU, tels une roche, un virus, une étoile, ou le flux du temps et qui, par conséquent, permettent une voie empirique d’analyse, alors nous les définissons comme
Existants: Pour nous, la distance entre deux points ou un intervalle de temps a la même nature ontologique qu’un cristal de sulfure d’antimoine ou un neurone. D’autre part nous ne voyons pas en quoi pourraient se différencier entre eux les concepts énoncés si ce n’est en ce qui concerne leur complexité comme chaîne d’ IBOZOO UU, et dans le contenu de l’information que de telles structures possèdent. Indubitablement la distance entre deux astres solides est matérialisée par un RESEAU d’IBOZOO UU, nous ne concevons pas la ligne droite comme une abstraction purement mathématique sans sa sous-base d’IBOZOO UU, car une telle entéléchie n’est pas contenue dans une gnoséologie d’UMMO

Mais c’est qu’aussi un intervalle entre deux  » instants  » (nous utilisons ici le concept d’instant pour faciliter notre exposé mais il n’a pas de réalité chez nous) possède une structure d’ IBOZOO UU.. De plus, nous pouvons vous assurer que la distance déjà citée entre des astres serait interprétée, par des êtres d’un autre cadre dimensionnel, comme un simple écoulement d’ UIW (unité de temps) mesurée par sa chronoscopie (NdT- 2)

Une distance et un intervalle de temps constituent des exemples de CHAINES avec un état minimum d’information possible.

À l’inverse : à nombre égal d’IBOZOO UU impliqués, un volume de sulfure d’antimoine possède une structure complexe qui impliquera un plus grand degré d’information. Déjà vous devez être conscient maintenant que la distinction que les mathématiciens de la Terre formulent entre GRANDEURS (NdT-3) CONTINUES ET GRANDEURS CONCRÈTES OU DISCRÈTES est fausse puisque cela n’a pas de sens d’assigner à la distance, vitesse, temps … un caractère de grandeur continue. Les  » quanta  » de vitesse, accélération, longueur, etc. … possèdent une personnalité propre dans l’univers des êtres AIOYAA (EXISTANTS)

Le degré de complexité informatif définit ces êtres. Comme vos propres frères biologistes de la Terre l’ont très bien pressenti, les virus (connus aussi sur Ummo) sont AIOYAA, dont le degré de complexité (celle-ci étant définie par la quantité d’information contenue par unité de volume et de masse) signifie un seuil entre les êtres vivants et non vivants. Nous préférons appeler les premiers (Ndt: les êtres vivants) d’ENTROPICONÉGATIFS ou NÉGUENTROPIQUE et les seconds (Ndt: entités non vivantes), ENTOPICOPOSITIFS (AAIODII EXUEE et AAIODII YOOWAAA respectivement) car pour nous un ÊTRE VIVANT est un RÉSEAU SOCIOIBOZOO capable d’enrichir son contenu d’INFORMATION « relativement à sa masse », se structurant au cours du temps vers plus de complexité. Et pourquoi est-ce ainsi ? Simplement parce que les IBOZOO UU qui forment la chaîne du TEMPS s’incorporent positivement à sa structure antérieure, en changeant leurs axes et en se permutant en quantités discrètes de volume et de masse.

Pour les êtres vivants l’écoulement du TEMPS ne signifie pas autre chose qu’une « conversion » d’un réseau d’IBOZOO UU potentiellement liés à eux (Ndt: aux êtres ), comme GRANDEUR TEMPS en autres GRANDEURS (telles que CHAMP GRAVITATIONNEL, CHAMP MAGNÉTIQUE, CHAMP ÉLECTROSTATIQUE, LONGUEUR et MASSE). En employant une comparaison grossière mais didactique, vous pourriez traduire ceci par le fait que les ÊTRES VIVANTS « s’alimentent  » du TEMPS écoulé, le « digérant » et transformant, grâce à un curieux mécanisme métabolique, le TEMPS en MASSE et autres « sous-produits ». Nous observons ici un processus d’ADDITION. Au contraire, les entités (Ndt: « seres ») AAIODII iowaa (Entités (Ndt: « seres ») inertes comme vous diriez) tels que des molécules d’argon, un aérolithe, ou un faisceau de micro-ondes, se caractérisent en ce qu’ils dégradent leur propre complexité. Ce que les physiciens de la TERRE ont déjà observé quand ils définissent les lois de la thermodynamique et formulent des concepts tels que L’ENTROPIE ( variations de chaleur par rapport à la température) et DÉGRADATION THERMIQUE DE L’UNIVERS ont une signification un peu différente pour nous. Les entités (Ndt: « seres ») non vivantes se caractérisent parce que leur propre RÉSEAU d’IBOZOO UU subit un lent processus de  » rotation  » dans ses  » AXES « . Les chaînes d’IBOZOO UU qui antérieurement possédaient des caractéristiques de masse se dégradent d’abord en énergie avec une longueur d’onde croissante et finalement en TEMPS. Selon ce concept, la fin du UAAMM (cosmos) ne serait pas comme le présument quelques cosmologues humains de la Terre, « un terrible océan de radiations thermiques », mais plutôt un univers déconcertant dans lequel seulement le TEMPS, comme dimension, aurait sa demeure, sans qu’aucune entité (Ndt: « ser ») vivante ou inerte, puisse subir son flux, « sa flèche ».

Mais ce n’est pas précisément cela la fin qui attend notre WAAAM , comme en une autre occasion nous vous l’éclaircirons.

Avant de continuer : permettez nous, Senor Juan, de vous proposer un modèle pédagogique qui rende plus compréhensible les concepts énoncés jusqu’ici. Naturellement cet exemple ne doit pas être trop pris comme l’image de la réalité, bien qu’il puisse contribuer à ce que vos frères assimilent de telles idées.

Imaginez une immense plaine, ou peut-être une table gigantesque, sur laquelle ont été répandu avec uniformité et symétrie des millions de cartes à jouer placées à l’envers. Dans un seul but, le joueur a distribué une longue file de cartes identiques. Peut-être que c’est l’AS de TREFLE qui d’entre elles a été placé sur le dos. Un observateur qui survolerait à quelques décimètres dans un hélicoptère imaginaire l’immense table de jeux, n’observerait qu’une grande superficie recouverte par la même couleur du revers des cartes et comme note de couleur dominante l’As de Trêfle, inversé positivement.

Les cartes représentent les IBOZOO UU.

Le joueur caché peut, sous la table, faire croire au pilote du véhicule, que la carte  » avance « ,  » court « , sur la table. Avec une baguette et à travers des orifices de la table, en retournant successivement tous les AS DE TREFLE qu’il y avait sur la table, placés à la file, en prenant la précaution de rabattre les cartes retournées antérieurement.

Si le joueur est adroit et le fait avec une vitesse vertigineuse, l’observateur aura l’illusion optique que notre carte de référence, patine, glisse, quand en réalité pas un seul des cartons colorés n’a bougé de sa position d’origine.

Mais le joueur peut porter encore plus loin sa plaisanterie. Chaque fois qu’il relève un AS DE TREFLE, il retourne aussi une carte adjacente, deux dans la seconde opération, trois dans la suivante … de sorte que le pilote observateur contemple que l’AS DE TREFLE, non seulement  » glisse  » mais aussi que dans son entourage apparaît de façon magique, toute une polychromie de cartes.

Peut-être l’exemple aurait-il été plus parlant en substituant, aux cartes, des polyèdres à faces multiples qui représenteraient mieux des IBOZOO UU, mais ce modèle aurait perdu de sa simplicité d’explication .
Pourquoi des êtres: virus, protozoaires, végétaux, hommes … enrichissent-ils leur complexité informative aux dépens du même TEMPS, et au contraire des entités (Ndt: »seres ») inanimées comme une barre d’acier, un nuage de vapeur d’ammoniaque, ou une galaxie, réduisent-ils (bien qu’avec un rythme extrêmement lent) leur contenu informatif? L’explication n’est autre que le BUAUAA, comme nous vous en informerons dans une autre lettre, Monsieur Juan Dominguez . Montes.
Ummo-sciences: D 105-1 | T4-3/5


Conservez cette copie Monsieur JUAN DOMINGUEZ.

Vous savez bien que pour un Oemii dont le processus de formation implique un degré élevé de complexité neurocorticale, le temps apparaît comme la sensation consciente d’un flux d’événements dont la flèche est définie par la comparaison de deux événements quelconques, pris comme référence. Nos mécanismes mentaux, en opposant ces états là, évaluent consciemment – inconsciemment le fait que l’un d’eux soit toujours plus complexe en informations accumulées que l’autre. De cette façon nous fixons la flèche du temps.

Nous exprimerons ceci d’une autre manière pour vos frères moins préparés: Comment saurons-nous aujourd’hui que le temps passe en avançant depuis le passé vers le futur ? Nous opposerons deux épisodes : celui du matin quand nous avons lu dans la presse une nouvelle concernant un accident catastrophique de train, et celui de l’après-midi quant une station radio a enrichi notre information, nous apportant les noms des morts durant le déraillement.

Observez que toute la mesure du TEMPS s’est circonscrite à constater des niveaux différents d’information. En un instant donné, la montre observée ou le pouls contrôlé suppose la comptabilisation d’un nombre déterminé de révolutions d’un engrenage ou d’enregistrement du nombre d’impulsions cardioïdes de pompage pour le plasma sanguin. Ce que vous appelez « un instant après  » c’est observer une augmentation d’information, représentée par un nouveau nombre de tours du moteur ou par des impulsions nerveuses activant les fibres musculaires du cœur.

Dit d’une autre façon : la richesse ou l’incrément informatif c’est LE TEMPS, non LA FONCTION DE TEMPS COMME LE PENSENT QUELQUES THÉORICIENS DE LA TERRE.

N’importe quelle physique qui prétend mesurer une grandeur qui a son tour SOIT FONCTION DU TEMPS, est en réalité en train de mesurer UNE FONCTION D’INFORMATION. Un chronométreur qui prétend avoir évalué la vitesse à laquelle se déplace un JET dans l’espace, en réalité n’a pas mesuré plus qu’une distance et simultanément, lui-même s’est complexifié, il a enrichi l’information contenue dans les bases du registre mnésique de sa mémoire neurocorticale, et par conséquent (comme nous l’expliquerons plus loin) il a enrichi la masse d’informations contenue dans le BUUAUEE BIAEEII (Esprit du réseau social).

Dit d’une autre manière : l’intervalle de temps, représenté par une chaîne d’IBOZOO UU, inaccessible par les instruments de l’OEMII scientifique, subit une rotation de ses axes et en vient à se convertir en une augmentation d’information qui enrichit le système biologique « néguentropique » (réseau des êtres vivants).

Il importe peu que le chronométreur meure et avec lui disparaisse l’enregistrement codé au niveau moléculaire de cette information contenue dans son neuroencéphale. Le BUUAUEE BIAEII maintient indélébile le contenu informatif.

(Nous utiliserons un exemple grossier : il n’importera pas qu’une symphonie de Beethoven, enregistrée sur une bande de mylar avec une émulsion magnétique soit détruite, si la symphonie est gravée dans les esprits des millions d’auditeurs).

Mais l’exemple, nous répétons, est grossier: Mais si l’enregistrement n’avait pas été écouté (par personne), si ce n’est par le microphone d’un magnétophone, l’information serait détruite quand se produirait la combustion de la bande.

Ça ne se passe pas ainsi quand un seul OEMII reçois, même à un niveau subliminal, une séquence codée de stimulus (INFORMATION), alors l’information s’inscrit à trois niveaux. (Image A… NdT: pas d’image).

Ces niveaux sont :

NIVEAU (BIAEYEE IUEOO DOO) : il correspond aux bases physiques (moléculaires) de notre OEMII (facteur somatique : corps physiologique). L’information reçue par les transducteurs sensitifs neuronaux accède au cortex moyennant les influx nerveux transmis par les fibres nerveuses. Ce codage mnésique se réalise en base binaire à travers des altérations de la structure moléculaire des cellules que constitue le BIAYEEE IEUOO DOO

SECOND NIVEAU. l’information codifiée dans les IBOZOO UU qui forment la masse neuronale peut disparaître par la dégradation de la structure physiologique qui la soustend (mort physique de l’OEMII), mais c’est que simultanément se produit un processus complexe de triplication dans le stockage de l’information:
Les informations captées par nos voies sensorielles ne s’enregistrent pas seulement dans nos mémoires physiques.
Un réseau de DIUIAA (Gaz Krypton) reçoit du BIAMOASII (une structure biologique pas encore détectée par les anatomistes et physiologistes de la terre) cette information d’une forme très particulière.
Les impulsions nerveuses provoquent la décomposition d’une enzyme. Cette réaction est de caractère exothermique. À son tour la fonction thermique générée par ce processus induit une altération de caractère gravitationnel (NdT -1) d’une très haute fréquence, qui se traduit par l’excitation de ces atomes de krypton, à travers d’autres atomes d’HÉLIUM.
Le résultat est un effet de résonance entre un réseau d’atomes d’hélium et le réseau de krypton cité, et l’altération qui s’ensuit des états quantiques des deux réseaux d’ IBOZOO UU (nous autres nous concevons les atomes comme des réseaux d’IBOZOO UU).
Le BUUAUAA (esprit individuel) fixe ainsi cette INFORMATION, mais « non codée  » en un système mathématique (codification digitale BINAIRE )

Le BUUAUAA est adimentionnel. Cependant il possède une composante que vous qualifieriez de MATÉRIELLE. Nous entrons, Monsieur Dominguez, dans un processus didactique très épineux. A partir de maintenant vos bases sémantiques familières ne suffisent pas pour vous l’expliquer d’une manière intelligible. La logique aristotélicienne ne vous aidera absolument pas à suivre notre raisonnement.

Voyons : dans cet écrit je suis en train de vous assurer que BUAUAA possède un composant, ou bien est affecté (pour nous exprimer avec plus de réalisme), par un composant physique. Même avant que nous vous parlions de lui, cela paraît appliquer une conclusion logico – binaire, en contradiction avec la conception scolastique des penseurs animistes de la TERRE.
Selon notre  » affirmation  » il s’infère que L’ESPRIT possède des  » parties  » et partant, il est divisible : fractionnable
Mais ce n’est pas cela dans l’absolu. Le BUUAUAA est une entité IMMATÉRIELLE même si ses processus internes sont, ou possèdent, un caractère physique.

Nous vous avons indiqué dans d’autres documents l’existence de ce que nous appelons PLURIUNIVERS (UAAM-UAAM). Une infinité de cosmos coexistent pour un hypothétique observateur qui pourrait observer le RÉSEAU d’IBOZOO UU qui constitue l’AIOYAA (dans notre logique: les Entités (Ndt: « Seres ») qui existent avec des dimensions) depuis diverses perspectives.
De même qu’une sculpture peut-être photographiée depuis différents angles en produisant des images distinctes sur la plaque photographique (pardonnez-nous, hommes de la Terre, la simplicité de l’exemple), ainsi un observateur idéal pourrait-il contempler le UAMM-UAAMM.

Dans la pratique un tel observateur idéal existe. Il est possible, en utilisant des moyens techniques, de passer d’un UAMM à un autre UAMM. Et de fait nous-mêmes le faisons dans nos voyages.

Quels moyens physiques nous permettront de prendre conscience que nous rencontrons un autre cadre tridimensionnel ?

Un seul suffit :
En l’absence de perturbation de masse, apprécier (NdT-2) un intervalle de temps : (le fait que nous concevions la prise de conscience du temps comme augmentation d’INFORMATION fera comprendre encore mieux notre affirmation). Cet intervalle de temps est celui qui s’écoule quand se déplace un IBOAYAA OOU (ce que vous dénommez  » quanton énergétique ») sur une distance étalon.
Cet intervalle sera différent dans chaque UUAMM (COSMOS).

Après cette digression, nous continuons notre description du BUUAUA : nous, nous savons qu’il existe un UUAMM (inaccessible par des moyens techniques) dans lequel un hypothétique OEMII qui pourrait se déplacer en son sein (hypothèse complètement absurde) mesurera cet intervalle de temps comme NUL.
Observez que nous nous définissons l’intervalle de TEMPS (NON PHYSIQUE) comme une grandeur discrète définie par deux IBOZOO UU; De sorte qu’il n’y a pas de sens métaphysique de faire référence à un intervalle de temps nul, comme il serait absurde de faire référence à une distance nulle. Puisque dans l’un ou l’autre cas, les intervalles minimums de temps et d’espace sont des quantités définies, quand on les évalue avec un étalon, comme non nulles.

Et cependant (contradiction insurmontable avec les bases logiques binaires ) il existe un UWAAMM dans lequel la vitesse de la lumière, en l’absence de perturbation de masse, sera infinie. Dans ce cosmos tout ce réseau d’IBOZOO UU s’est réduit à un seul IBOZOO UU, autre absurdité apparente si nous le transposons à notre cadre tridimensionnel (dans lequel un seul IBOZOO UU isolé n’a pas de signification physique).

Et cependant ce UAAMM, analysé d’une façon simpliste, paraîtrait d’une simplicité déconcertante. Que peut représenter un seul IBOZOO UU isolé ? Il possède une importante transcendantale pour nous les OEMII de différentes provenances galactiques.

Avant de poursuivre : Peut-être pourriez-vous Senor Dominguez, nous poser une question parmi d’autres? Qu’en est-il du réseau d’IBOZOO UU qui composerait le UAAMM-UAAMM ? Pour le visiteur utopique de ce cosmos: une telle structure s’est-elle désintégrée ? Non: simplement cet IBOZOO UU est l’image de tout le RÉSEAU (constatable dans le reste du COSMOS).
En utilisant de nouveau une métaphore didactique puérile, c’est comme si l’observateur de la statue visite une nuit le musée pour la photographier et la trouve seulement illuminée par un spot lumineux. Sur la plaque photographique ne s’enregistrerait qu’un point brillant.

Nous vous l’indiquions quelques paragraphes auparavant, un tel UUAAM est transcendant pour nous les humains. En effet : nos processus télépathiques : l’information contenue dans le BUUAUAA (ÂME) et dans le BIAEYEE IUEOO DOO (Esprit du RÉSEAU SOCIAL) ne seraient pas possible sans son existence. C’est à lui que nous faisions référence, quant nous vous parlions antérieurement de « composant  » physique de l’âme.

Le BUUAUAA lui-même ne peut encoder l’information. Il est adimensionnel. « IL N’EXISTE PAS DANS L’ESPACE NI DANS LE TEMPS « . Les théologiens de la Terre ont commis une erreur quand ils ont considéré que l’ÂME, selon la conception animiste qui les inspire, peut « connaître » ce que le corps réalise. Elle entraine la contradiction que l’âme serait capable d’accumuler de L’INFORMATION et en même temps d’ÊTRE INDIVISIBLE .

Dans le UUAMMM que nous mentionnons, vous pouvez considérer que la VITESSE DE LA LUMIÈRE, mesurée en son sein, est INFINIE. Bien que précisément dans ce cosmos le concept de VITESSE DE LA LUMIÈRE manque de signification, comme il serait aussi faux de définir en lui un quanton de longueur ou une mesure d’énergie. Cependant il possède des caractéristiques qui justement le définissent :

1- Il est capable d’accumuler de L’INFORMATION.

2- le flux d’information se réalise dans un temps NUL .

3- l’augmentation de L’INFORMATION n’a pas de signification (DT).

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