D357 L’âme collective planétaire Les deux univers limites Cosmos gémellaires

UMMOAELEEUEE

Langue ESPAGNOL                                                   Ce texte est remis à M. Rafael Farrriols

Pays Espagne                                                           pour être remis à M. Juan Dominguez

Nombre de copies : 15                                              une reproduction peut être faite

Señor Juan Dominguez Montes. Nous vous souhaitons paix et sérénité. Permettez, Monsieur, que nous vous remettions cette lettre jointe à un rapport sur qui est destiné à votre épouse Camila, à plusieurs de vos frères désignés dans le document et  à vous-même.

Nous pensons que mon désir que vous envoyiez un salut spécial à notre ami et votre frère Rafael Farriols Calvo pour qui nous ressentons une affection spéciale. peut être satisfait sans gène spéciale pour vous.

Comme vous pourrez le vérifier, le rapport joint à cette lettre que nous vous remettons pourrait être qualifié de très intéressant parmi l’ensemble des messages remis à ce jour.

Il est important parce que, sous une forme descriptive, nous exposons une synthèse de notre doctrine scientifique sur le modèle du WAAM-WAAM (cosmos multiplanaire) qui contient les êtres intelligents OEMMI.

Jugez le comme un exposé didactique mais qui décrit notre conception de l’Univers, le rôle du cerveau, la psyché, l’âme collective et la mort de l’homme. Thèmes transcendants que vous, dans le contexte qui est le vôtre, tentez de décrire séparément en Psychologie, en Cosmologie, en Physique et en Eschatologie Théologique.

Nous avons élaboré un modèle synthétique de ces sciences. Et cela, bien qu’évidemment les OEMMII de la Terre n’aient pas maintenant désir ni obligation de l’assumer, peut présenter un certain intérêt : celui qui découle de la connaissance de notre pensée.

Nous avons préféré nous adresser à vous pour une raison évidente: votre frère espagnol qui nous dactylographiait ces rapports nous envoya un exemplaire (au pays (barré) où nous nous trouvions) d’un texte typographié (livre) signé par vous, intitulé « Le Pluricosmos ».

Mes frères qui l’ont analysé trouvèrent en lui une impartialité de jugement louable en ce qu’il fait état de l’opinion qu’il s’est faite d’après notre identité. C’est justement ce que nous avons désiré; que toujours vous fassiez allusion à nous.

Nous préférons ne pas vous fatiguer avec d’autres jugements de valeur vis-à-vis de votre conception du Pluricosmos. Il suffit de dire qu’en beaucoup d’aspects vous êtes en accord avec le modèle en vigueur sur notre OYAA.

Nous aimerions que vous révisiez néanmoins quelques notions. Par exemple celle du « Rayon » de courbure d’un Univers. Il est certain que nous pouvons parler de courbure et même de plissement, mais non dans le sens purement géométrique. Dans votre conception, le WAAM de masse infini « a un « Rayon nul », tandis que le WAAM de masse nulle (que nous considérons comme constituant de B.) a « un rayon infini ».

Nous craignons que ce soit un modèle mathématique simpliste. Dans  notre conception étudiée, ces Deux Waam représentent les limites d’une famille infinie d’univers effectivement. Mais les deux Waam sont aussi limitrophes et il n’existe pas de centre de symétrie pour le WAAM-WAAM depuis lequel on pourrait mesurer les distances (Rayons) de chaque univers à ce centre. Cela n’a pas de sens de parler de « CENTRE » dans le WAM-WAAM.

Néanmoins, il  nous a semblé un excellent artifice mathématique pour accéder à l’intuition des concepts de courbure de l’espace et à la déduction de masses réelles dans cette famille d’Univers.

Monsieur Juan Dominguez. Nous aimerions préciser une observation réalisée par quelques-uns de vos frères de nationalité canadienne.

Il est certain que mes frères qui résidèrent chez Madame Margarita Ruiz de Ligori à Albacète possédaient des pièces d’identité (passeports) canadiennes, comme il est certain aussi que quelques-uns  parmi eux possédaient des passeports norvégiens, finnois et danois, avec la même photographie.

Mais ces passeports ne furent pas dans ce cas subtilisés, mais falsifiés par nous (D’autres fois, nous en avons effectivement subtilisés mais en indemnisant ultérieurement leurs vrais propriétaires)

.En ce qui concerne la version que votre frère Antonio Ribera a donnée de notre présence à Albacete, dans son texte typographique « Ummo, l’incroyable vérité », nous aimerions préciser quelques aspects de la chose:

Les termes de la lettre de l’ambassadeur du Canada ou de ses subordonnés citée et reproduite à la page 198 nous ont surpris.

Il est vrai que trois de mes frères (et non deux) se trouvaient dans la ville canadienne de Brandon. Mais il n’est pas vrai qu’ils retournèrent en Germanie [le mot espagnol utilisé est Germania qui n’existe pas, mais semble un néologisme dérivé de l’anglais, d’où la suite, ndT] Allemagne?. Deux d’entre eux se rendirent ultérieurement à Buenos-Aires (République Argentine). Mon autre frère alla à Hilversum et de là en Espagne. A Hilversum (Pays-Bas) il se consacra à l‘étude des caractéristiques géologiques de la région. En Espagne, il se consacra pendant deux mois à l’analyse de la région sismologique [sic,ndT] de Levante.

La description que les journaux et les enquêteurs firent des faits qui se déroulèrent à Albacete nous parait exagérément déformée. Un de vos frères qui lirait le compte rendu s’imaginerait votre sœur Margarita Ruiz réalisant des expériences « répugnantes » sur des animaux en compagnie de ses « mystérieux » hôtes.

Ce qui est certain c’est que Doña Margarita souffrait d’une obsession pathologique à posséder diverses espèces zoologiques, à l’intérieur de son cadre général de maladie mentale (Que vous avez classée comme personnalité paranoïde avec névrose réactionnelle obsessionnelle).

Il est certain que mes frères utilisèrent le dérangement psychopathologique de votre sœur comme couverture de leurs activités de recherche biologique.

Il était inévitable que filtrât dans le voisinage topologique de cette résidence de la rue Mayor la nouvelle qu’il existait un nombre anormal d’animaux et que des hommes, étrangers à l’entourage familial de la dame, entraient dans l’immeuble.

Les rumeurs de maladie mentale contribueraient selon notre jugement à dissiper les autres soupçons, et il en fut ainsi. De cette manière mes frères purent sortir et pénétrer librement en se faisant passer pour des médecins étrangers, comme le « savent » les voisins de rue.

Mais votre sœur Margarita s’est un peu immiscée dans nos études. Elle avait pleine confiance dans ses médecins « danois » et leur permettait d’utiliser ses sous-sols.

La description que firent les journaux des laboratoires est pour le moins, exagérée. Une partie de nos instruments (ceux que nous avions apportés d’OYAAAUMMO) avaient été retirés. Ne demeuraient que des restants de matériel éthicoclinique d’OYAAGAA. Le nombre des animaux vivissequés put impressionner les personnes non familiarisées avec les études biologiques sur cobayes, mais cela n’était pas pertinent. Une préparation anesthésique était injectée aux animaux par voie intraveineuse qui leur empêchait tout type de souffrance.

L’incident en relation avec Margarita, la fille de cette dame fut malheureux en vérité. Croyez-nous. La résection de parties anatomiques du cadavre de Margarita Shelli était nécessaire.

Le spécimen viral qui, par notre erreur, l’avait contaminée, était peu dangereux dans le milieu sanguin normal d’un mammifère vivant.

Un milieu riche en hématine, comme conséquence de la transformation de l’hémoglobine après la mort, produit des effets de type mutagène sur ce virus.

Peut-être que le souvenir pour vous de l’actuelle pandémie d’IMMUNODEFICIENCE ACQUISE vous fera réfléchir sur les effets que cet autre virus, importé de notre OYAA et ensuite muté sur un cadavre, pourrait avoir produit sur la population.

Il était naturel que mes frères envisagent avec effroi une telle possibilité. Il n’y avait pas de raisons éthiques pour opérer d’une manière différente et nous le fîmes voir ainsi à sa Mère, bien qu’en lui occultant une partie de l’inquiétante vérité.

Le fait que postérieurement les goûts morbides de la presse espagnole aient peint l’événement de couleurs aussi sombres est une autre question.

La première idée de séquestrer le cadavre fut envisagée sérieusement par mes frères. Il n’en fut pas ainsi décidé parce que les conséquences pour sa mère auraient été plus graves. N’oubliez pas qu’il nous était impossible de nous dire responsables. Un examen médical aurait identifié notre origine. C’est cela qui nous préoccupait et non l’emprisonnement. Mais le dommage à l’innocente Margarita Ruiz de Lihori était fait. Il nous restait seulement à mouvoir tous nos moyens pour que le procès de cette dame devant les tribunaux de la justice d’Espagne ne la lèse pas gravement.

Nous aurions pu, pour notre part, taire notre implication dans cet incident déplaisant, mais c’était justice de proclamer l’INNOCENCE d’une YIIE d’OYAGAA, victime de notre intérêt pour la recherche.

Tenez compte que, si nous n’avions pas agi comme nous l’avons fait, il se serait déclaré dans les années soixante-dix une épidémie de portée difficile à déterminer, par carence de vos moyens pour la combattre. Il est certain qu’étant nous-mêmes responsables d’une certaine façon de ce développement, nous serions intervenus pour vous offrir les moyens de la combattre, mais nous aurions, en même temps, violé notre norme basée sur une loi supérieure. (UN RÉSEAU SOCIAL PLANÉTAIRE NE DOIT PAS INTERFÉRER DANS L’ÉVOLUTION SOCIALE D’UNE AUTRE HUMANITÉ)

La morbidité psychologique de l’affaire d’Albacete a été créée ultérieurement par quelques intermédiaires sociaux irresponsables, amateurs de sensationnel avides de s’acharner sur n’importe quel événement de ce type.

D’autre part nous voulons nuancer les déclarations de votre frère résidant à Albacete, José (de Zor) Garcia Martinez.

On pourrait déduire de son contexte que les hommes qui rendirent visite à sa mère Consuelo Martinez, serrés dans des vêtements de cuir, pouvaient avoir été mes frères. Soyez assuré, Monsieur G.M., qu’il n’en est rien. Nous ignorons qui ils ont pu être, mais n’oubliez pas, José, qu’en ces jours-là beaucoup d’agents se démenaient, désireux de trouver la piste de mes frères et qu’ils développèrent une activité fébrile à Albacete. Le plus actif de tous: David M. Cook, se mit en contact avec votre frère, Monsieur Panadero, ami de Margarita Ruiz de L. Celui-ci possédait un instrument de Chrome manganèse fabriqué par nous qui nous fut subtilisé dans le laboratoire souterrain. En échange d’une  quantité d’argent, 260.000 pesetas, David M.C. obtint pour son Agence d’Information quelques données sur les activités développées par mes frères dans la maison de la rue Mayor. Soyez assuré, Monsieur J (de Zor), que la mort de Monsieur Panadero ne fut pas provoquée par nous…(1)
Note (1) Que votre frère Darnaude et votre frère De Zor aient l’assurance que sur ce point nous n’occultons rien de nos responsabilités. Nous avons fait ainsi, jusqu’à un acte aussi déplaisant qu’une résection chirurgicale sur le cadavre de Margarita S. que nous aurions pu dissimuler. Si la mort regrettable de M. Panadero avait été de notre fait, nous l’eussions confessée.

Au cours d’une longue conversation par voie téléphonique avec votre frère et notre ami Jorge Barrenechea, il nous a supplié de resserrer plus les liens d’amitié en augmentant nos contacts.

Les incidents cités à propos d’Albacete, les morts provoquées par le déchaînement de tout un processus très complexe, sont suffisamment révélateurs du fait que notre présence parmi les hommes de la Terre provoque inévitablement des frictions et des problèmes. Nous devons être très prudents en établissant une stratégie pour minimiser ces effets. D’où nos longs silences.

Nous ne voulons pas, Señor Juan, abuser plus du temps que vous consacrez à la lecture de ce texte.

Nous voulons seulement réitérer notre désir que vous limitiez la diffusion par reproduction photostatique de ces écrits au nombre limité de personnes que nous avons cité dans leur contexte.

Nous nous référons à la reproduction répétée de copies, non à leur lecture, que nous ne pouvons interdire ni même limiter, pourvu qu’il s’agisse de personnes intéressées par notre existence.

Nous savons qu’il est difficile pour vous d’obtenir que vos frères respectent cette demande, car la tentation de distribuer votre texte à vos amis doit être inévitablement forte. Servez-vous comme facteur de frein qu’ils sachent que s’ils le faisaient, ils ne pourraient avoir l’opportunité de recevoir d’autres de nos écrits pendant un long intervalle de temps.

Notre main sur votre poitrine comme expression de notre amitié.

Signature probable:
AOXIBOO 3 (fils de) IRAA 6

 

 

Monsieur : Récemment: après avoir tapé à la machine le texte dont vous avez la photocopie en mains, nous avons eu une conversation téléphonique avec une de vos sœurs.

Elle nous a demandé : Comment pouvons-nous vous payer ce que vous avez fait?

Et notre réponse s’adresse à vous :

Oui: nous voulons un paiement, un abonnement à notre compte. Que vous et vos frères fassent le possible pour aider vos autres frères dans les moments difficiles et que cette aide soit mutuelle. Que se concrétise simplement l’idéal auquel vous a déjà exhorté simplement Jésus de Galilée sur OYAAGAA, cristallisé dans le principe de Charité. Vous formez un groupe d’OEMMI intéressés par notre culture. Tendez entre vous des liens d’authentique amitié. Que la rancoeur n’altère pas votre système limbique. C’est la modeste mais en même temps importante obole que nous « exigeons de vous » en échange de ces informations. En procédant ainsi, vous modifiez le WAAM-WAAM vers un niveau supérieur à celui que vous imaginez comme nous l’expliquerons dans un prochain rapport cosmologique.

Et n’oubliez pas que ces liens de fraternité et d’amitié peuvent seulement être générés grâce au respect mutuel des idées et des conceptions d’un autre frère à condition qu’elles n’impliquent jamais une imposition basée sur la contrainte et à la force.

UMMOAELEUEE
Langue ESPAGNOL

BUAUE BIAEEIII

Nous voudrions décrire un facteur humain inconnu de vous, hommes de la Terre, encore que des auteurs comme Jung aient postulé, avec des interprétations radicalement différentes, une entité qui du point de vue sémantique présente des caractéristiques similaires.
Nous nous référons à ce que nous nommons phonétiquement BUAUEE BIAEII , qui n’a pas d’équivalent dans les langues occidentales de la Terre, mais qu’en première approximation nous pourrions traduire par Âme collective.
En premier lieu, nous décrirons le OEMVUAUFB (Chaque fois que nous exprimons des vocables d’Ummo, nous essayons de trouver l’expression audiophonétique la plus proche en langue espagnole).

Après de longues années de présence parmi les habitants de la Terre, nous avons constaté la notion d’une entité intermédiaire entre le Soma et la Psyché. C’est ainsi que les théoriciens de la théosophie, comme les spiritualistes (ou spirites), parlent du Peresprit, et que les doctrines orientales se réfèrent à un supposé corps Astral, intermédiaire du psychisme capable de relier le corps et l’esprit.

Et il en est ainsi, puisqu’une entité adimensionnelle et atemporelle ne peut en aucune manière activer une entité spatiotemporelle et matérielle comme la structure anatomophysiologique située dans un autre plan d’existence.

Nous avons découvert l’existence de l’OEMVUAUFB (Note 0) quasiment par hasard. Un de nos frères chercheurs NOI 3, fils de NOI 2, en l’année ummite (nos années ont une durée différente) 3153750 , localisa grâce à son assistant SOOIE 996, fils de SOOIE 993, la présence d’une séquence d’atomes de krypton dans une structure souscorticale de l’encéphale.

Note 0 L’OEmVUAUFFb peut être considéré comme un élément frontière entre notre WAAM (Univers) et un autre Univers beaucoup plus « lointain » ; un Univers qui serait à la limite supérieure ou inférieure, selon la manière dont on l’envisage, de notre faisceau ou ensemble d’univers existants.

C’est précisément le comportement de la couronne électronique de ces atomes de krypton, non sujet à l’indétermination probabiliste propre aux autres atomes de ce même élément chimique, qui fait de cet ensemble un « pont » entre ce Cosmos et le BUAUEE BIAEEII (esprit collectif ou Waam limite).

Ce gaz, comme vous le savez, est très stable. Il se combine seulement en de rares occasions avec les autres éléments que vous cataloguez dans la Table Périodique. Son existence dans un réseau neuronique hypothalamique ne pouvait pas être attribué au hasard.

Mais en soi-même ce n’était pas une surprise. Parfois, s’intercalent dans nos réseaux tissulaires des oligoéléments sans signe apparent de fonction dans la structure histologique.

La surprise consistait dans le constat que cette séquence d’atomes, en plus de présenter un certain ordre stéréospatial (plutôt insolite pour un nuage d’atomes qui n’ont pas de liaison électronique de valence), subissait une annulation spécifique de l’indéterminisme microphysique de ses électrons périphériques.

Ces IVOZSOO UHU(Note 1)sautaient d’une orbite à une autre sans stimulation, que vous nommeriez quantique, d’une orbitale à la supérieure ou l’inférieure, suivant une loi périodique. Parfois, quand il n’y avait pas d’activité fonctionnelle. D’autres fois, en cas d’intense activité psychophysiologique, quand l’activité neuronale n’était pas végétative mais volontaire.

Note 1L’IBOZSOO UHU est une entité inconnue de vous. Elle ne possède en elle-même ni masse, ni charge électrique, ni moment, ni couleur, etc. Cela n’a pas de sens d’isoler un I.U. puisque sa réalité physique exige au moins une paire d’I.U.. Nous pouvons vous révéler que l’I.U. peut se présenter sous forme de neutrino, d’électron, « de composant du proton », de proton, de quanton de lumière ou de quanton de temps, selon que ses « axes » sont orientés d’une façon ou d’une autre. Exprimé d’une autre façon : Nous considérons que notre WAAM est fait de particules subatomiques et de quantons énergétiques (jusqu’ici nous sommes en accord avec les physiciens de la Terre). Sauf que nous réduisons ou unifions tous ces êtres physiques qui portent associées, une masse, une énergie, une charge… et une onde, à un seul genre d’entités dont la structure est angulaire. Un réseau d’I.U. constitue le monde que nous percevons en trois dimensions, plus le temps (également quantifié).

Ainsi dans les états de coma, de paralysie du bulbe rachidien ou de désafférentation (Ndt : section ou destruction des nerfs afférents sensitifs) de ce que vous appelez le Système Réticulaire  ; l’activité électronique pouvait être assimilée à une fonction sinusoïde pure sans harmonique, et de fréquence élevée.

L’apparition d’une activité volontaire dans le cortex moteur qui, chez vous, est localisée dans une aire prérolandique (mais pas dans notre cerveau) était accompagnée simultanément d’une gamme de fréquences très complexes (pas nécessairement harmoniques) et d’intensité variant avec le temps.

Les habitants des autres OYIAA (Planètes) présentent au cours de leur processus d’hominisation des traits structuraux similaires. Chez vous mêmes nous avons pu isoler des réseaux de krypton bien que de répartition spatiale différente.

LE BUAUAA

Nous ne pouvons aborder le concept de BUAUAA qu’avec les réserves que nécessitent des instruments sémantiques différents, donc une base logique différente, de ceux des penseurs et théologiens de l’OYIAA Terre.

Dans une première interprétation simpliste, les langues de la Terre donnent à cette acception d’âme, psyché ou esprit, une valeur ontologique qui la décrit comme une entité adimensionnelle et hors du temps et par conséquent indivisible et transcendante.

Notre conception (sans entrer dans une analyse philosophique et scientifique indigeste) est quelque peu différente.

En effet nous n’attribuons pas à l’âme une dimension de temps, ni (Note 1.1) de paramètres tels que masse, charge électrique ou dimension d’espace.

Note 1.1 (1 bis) Vous acceptez – dans votre version de la science – l’existence d’un seul Univers, bien que les auteurs de science-fiction de la Terre soient familiarisés avec la notion « fantastique » d’autres mondes et univers. Pour nous, la vision d’un cosmos multiface ou d’un multi-univers n’est pas qu’une simple spéculation mais, bien au contraire,est prouvéejusqu’à satiété. A tel point que nous réalisons nos voyages intragalactiques au sein du cosmos le plus voisin du nôtre.

Permettez-nous de nous étendre sur ce point. Nous appellons WAAa-WAAM le faisceau ou ensemble d’univers existants que nous estimons en nombre infini (bien que nous n’ayons pu le constater, n’ayant détecté qu’une partie d’entre eux). La caractéristique primaire qui les distingue chacun est la vitesse d’un quanton ou unité discrète d’énergie électromagnétique en leur sein.

En réalité, il s’agit d’une famille de paires de cosmos, de WAAN.

Chaque paire sera formée de »matière prédominante » ou « d’antimatière prédominante », sans que cela implique que dans un waam ne puisse exister en plus d’une masse positive, une masse négative, et dans un des deux membres du couple : une masse « imaginaire » dont la vitesse minimale est la vitesse limite du quanton E-M(électro-magnétique).

De cette façon est invariant, dans les deux WAAM cosmiques, tant la tridimensionnalité du système (longueur, largeur, hauteur) que l’existence de quatre types de masse :

+ m, – m, (+ √ – 1) m, (- √ – 1) m.

Observons cependant que: tandis que dans les deux se manifestent les dimensions de longueur et de temps et que les deux types de masse réelle peuvent s’isoler dans les deux WAAM, avec une prédominance élevée dans chacun d’eux de signes respectifs de masse, la « M – non – réelle » (Le terme « non » réel doit s’entendre sémantiquement sur Terre dans le langage mathématique, c’est-à-dire NON REEL, il ne faut pas l’interpréter comme NON EXISTANT, mais comme « situé dans un autre cadre »).

Il est clair qu’il peut exister autant de couples de cosmos que de vitesses du quanton électromagnétique (cosmos et anticosmos gémellaire).

Anticosmos gémellaire ne veut pas dire que sa configuration galactique soit similaire à celle du nôtre. Dans notre anticosmos, il n’existe pas un Anti-UMMO ni une Anti-Terre jumeaux.

Dans la pratique, les scientifiques d’Ummo et également en partie nos voyageurs explorateurs (moi-même ai voyagé par un autre WAAM) connaissons une « vingtaine » de WAAM. Les uns par simple détection, les autres parce que nous les avons visité dans nos voyages et deux autres par inférence scientifique.

Nous sommes convaincus qu’il en existe beaucoup plus et rien ne s’oppose à ce que leur nombre soit ¥ (infini).

Deux de ces plans ou Waam (univers) nous sont inaccessibles physiquement. Ceci veut dire qu’aucune civilisation, aussi avancée soit-elle, ne pourrait les visiter avec ses UUAUUA (nefs d’exploration). L’un d’eux (unique dans la famille des faisceaux tridimensionnels) « est dépourvu » d’anticosmos (il est son propre anticosmos), est dépourvu de masse (imaginaire et réelle). Toutes ses particules sont annulées, c’est-à-dire : son réseau d’Ibozsoo UUHU est un réseau statique qui ne constitue ni temps, ni longueur, ni masse, ni moment, etc.., au point que parler de la vitesse d’un mobile en son sein n’a pas de sens. Exprimé sous une autre forme, philosophique, le WAAM dont nous parlons EXISTE et N’EXISTE PAS. Il est dimensionnel et il est NON-dimensionnel. Ce WAAM abrite toute la constellation des BUUAWUA (âmes ou esprits) de tous les êtres humains de notre Univers.

Dans l’Univers multidimensionnel, la BUAUAA ne possède ni largeur, ni hauteur et, bien sûr, ne possédant pas de masse, échappe à toute influence gravitationnelle. C’est dire que ses paramètres n’ont rien à voir avec ceux des autres IVOSZSOO UHU. Mais l’Âme est « dimensionnelle » et peut se situer dans un autre « plan » de l’Univers, de sorte que des perturbations dans le plan des choses d’ici-bas (autrement dit des objets matériels) sont corrélés au « plan dimensionnel » de la psyché.

Ceci veut dire que dans notre physique,  » l’Univers  » est multidimensionnel (Note 2) et que n’importe quelle variation dans un faisceau de dimensions se traduit par une perturbation jumelle dans un autre faisceau de dimensions.

Note 2 – En ce sens, vous nous entendrez dire que l’ÂME NE POSSÈDE NI DIMENSION NI TEMPS, tandis que d’autres fois nous parlons des DIMENSIONS DE L’ÂME. (La confusion vient de la pauvreté de votre vocabulaire terrestre qui nous oblige à utiliser le mot « dimension », qui dans notre langue est beaucoup plus riche).

La conception théologique terrestre de l’âme ou esprit est très pauvre et contradictoire. Si elle est dimensionnelle, comme le postulent divers auteurs, elle devrait se situer ICI, dans le Waam et pourrait se peser, se mesurer, se photographier. Quand des théologiens plus intelligents lui attribuent un caractère adimensionnel et atemporel, ils se rapprochent de la vérité mais : Comment peut-elle traiter de l’information, si elle est purement spirituelle et dépourvue d’énergie?

Si l’âme peut prendre conscience, par exemple, de la notion de Dieu, elle doit le faire par un acte de Réflexion, cela nécessite un processus mental et par conséquent un « Écoulement » (ou un flux) de données. Mais, comment un système de données peut-il s’écouler sans canal énergétique ?

Notre conception, déjà exprimée, est différente. Ce sont le cerveau de l’OEMII et le B.B. (BUAUUEE BIAEEII ) qui TRAITENT L’INFORMATION, c’est-à-dire : Des quatre facteurs de l’homme, seuls l’encéphale (à l’intérieur de votre cortex et du système limbique) et ce « cerveau » gigantesque, dont nous allons commenter quelques aspects et qui est le B.B., TRAITENT l’information (au sens d’élaborer, de combiner, de créer sur des données préexistantes).

Les deux, B.B. et cerveau (humain), contiennent des systèmes structurés pour TRANSFÉRER ET TRAITER l’information. De plus, le cerveau, plus complet bien que moins complexe que le gigantesque B.B., est capable de capter, par l’intermédiaire des neurocapteurs, la réalité du WAAM.

La chaîne d’atomes de krypton (OEMVUAUFB) exerce seulement une fonction de transporteur de données (canal).

Le Buawuaa (ÂME) n’est pas capable de traiter des données, de penser, d’élaborer de l’information, mais uniquement de CONSERVER, d’engrammer. (Greffée dans un WAAM sans « dimensions »). Un réseau d’IBOZSOO UHUU « gèle » l’information intellectuelle et émotionnelle qui vient de l’encéphale et du B.B..

Nous désirons vous résumer tout cela :

– LE CORPS (OEMII)

Il capte l’information du milieu ambiant par l’intermédiaire des organes des sens, c’est-à-dire : il traduit les patrons d’une information apparemment CONTINUE, mais en réalité discrète ou quantifiée, en provenance du WAAM (la vision d’un arbuste, l’odeur du camphre, la dureté d’une pierre) en patrons biochimiques à travers des neurocapteurs et, à partir de là, il les traduit en patrons bioélectriques transportés au cortex cérébral. Là, elle (l’information portée par la perception, Ndt) est traitée, en même temps que sa réflexion sur les noyaux souscorticaux du système limbique qui associent chaque perception avec un affect émotionnel. Cette information captée et élaborée est également provisoirement mémorisée dans le cerveau.

– OEMBUUAFWBUU (Troisième facteur)
Il est composé d’un réseau d’atomes de krypton. C’est un simple canal de transport de données
. Mais un « canal » très singulier puisque son transporteur n’est pas une séquence de quantons énergétiques. L’apport de données se fait au travers des sauts électroniques sur différentes orbitales sans suivre un modèle aléatoire. De plus, la singularité du O. consiste en ce qu’il ne met pas en communication deux points du même WAAAM, mais au contraire qu’il représente un élément frontalier de transfert entre deux WAAM opposés ) et notre WAAM. D’une part O.. établit une liaison entre BIAMOSEAA (cerveau) et B.B.. D’autre part, il relie cet organisme vivant et rationnel que nous appelons l’OEMII (homme) avec le WAAM de masse nulle, c’est-à-dire le plan du WAAM-WAAM qui contient l’Âme ou Esprit ( BUUAWUA). Par rapport à celui-ci, il est l’unique « canal », bien que vous préfériez l’appeler valve ou porte.

– BUUAWUA (Psyché ou Âme)
La psyché de l’Homme de trouve dans un WAAM (univers) « lointain » . Nous disons « lointain », non parce que cela aurait un sens de parler de distances entre les différents univers, mais parce qu’il s’agit de l’un des deux WAAM limites. (Dans l’autre se trouve le B.B.).

L’Univers qui héberge l’Âme (vous préféreriez peut-être le dénommer « plan ») est singulier. Sa masse est nulle, ses éléments : statiques. Ici la lumière n’aurait pas de vitesse (Il n’y a que des Iboszoo uhu).

Une donnée élémentaire (une série de bits) pourrait y être enregistrée, mais cette donnée ne pourrait pas circuler en son sein, de la même façon que vous pourriez typographier sur cette feuille de papier et votre information serait statique.

Une analyse superficielle de cette notion de psyché pourrait faire conclure qu’une telle entité est gelée ou « morte ». L’âme serait comme un livre de la Terre couvert de poussière sur une vieille étagère.

D’une certaine manière il en est ainsi. B. (Buawua) est une cellule fermée sur elle-même parmi des billons (1012 N.d.t) de cellules semblables dans ce WAAM. Il n’existe pas de connexions entre elles, et chacune accumule toutes les expériences éprouvées par l’Homme pendant toute son existence.

Mais B. est paradoxalement très dynamique, contrairement à ce qu’il pourrait sembler. Une comparaison vous aiderait peut-être à comprendre.

Dans le noyau de n’importe quelle cellule vivante, il existe une chaîne d’ADN. Des bases, puriques, pyrimidiques, se succèdent et contiennent l’information du génôme. Ici également l’information gelée paraît statique, comme dans un vieux parchemin d’Oyagaa, et cependant les chromosomes d’une cellule peuvent mettre en marche de complexes mécanismes biochimiques.

Dans le plan WAAM de masse nulle, il se passe la même chose. L’OEMBUUAFWUU exerce une activité fébrile, explorant les contenus de B. les comparant avec ceux de B.B. et avec ceux contenus dans le réseau de neurones du cerveau. Cette réunion avec B. et B.B. constitue un système d’interactions qui module la conduite de l’Homme.

– BUUAWUAA BIAEII (Psyché collective)

Bien que dans ce rapport informatif nous nous y soyons déjà référé, nous allons faire une synthèse de sa structure et de ses fonctions. (B.B.) est intégré dans un autre WAAM (Univers) limite.

Ce plan cosmique possède les caractéristiques suivantes : les quantons ou photons se propagent à une vitesse infinie.

Son Anticosmos est identique à lui-même. C’est-à-dire que les quantité de masse positive et négative sont identiques en son sein, bien que de rares fois des particules de masse et d’antimasse se confondent pour produire de l’énergie. Quand elles le font, elles constituent la plus importante source pour ce gigantesque « pluricerveau ».

Il n’existe pas en son sein de masse imaginaire, c’est-à-dire (± √ -1) m. Ce WAAM s’appelle le WAAM

De même que dans le premier WAAM peut se voir une division en « cellules », « environnements » ou « enceintes » (de la même façon que notre WAAM est formé de Galaxies).

La masse de ce WAAM est infinie. Chacun de ces environnements ou enceintes est un Supercerveau correspondant au Réseau Social d’une humanité planétaire.

Dans le WAAM des B. (psychés) nous avons la certitude que les psychés distinctes ne peuvent pas communiquer entre elles, sauf au travers d’O. et de B.B..

Savoir si l’interconnexion entre les différentes Consciences planétaires est ou non possible constitue pour nous une énigme. Jusqu’à aujourd’hui nous n’avons pas trouvé d’évidence que cela soit possible.

B.B. explique :

* La conscience collective entre les OEMII de la même humanité.

* Les sentiments collectifs d’un réseau social.

* La survivance après la mort, comme nous l’expliquerons dans la note 10

* La psyché collective contient l’information qui module l’évolution des phylums biologiques sur chaque planète froide (OYAA).

* Il explique aussi la communication que vous nommez extrasensorielle entre les organismes vivants.

Dans le cas que nous commentons : les structures telles que les atomes de krypton agissent comme des connexions entre « plans » distincts de l’Univers. (N’en déduisez pas que les atomes de krypton possèdent une configuration spéciale pour cette fonction. Des atomes de sodium ou de néodyme auraient pu jouer un rôle identique).

Mais la cosmovision de l’homme ne se termine pas avec ces trois éléments fondamentaux. Il reste un quatrième élément non matériel. (N’oubliez pas que le OEMVUAUFB est seulement apparemment matériel en tant que substrat atomique de krypton).

Ce quatrième facteur humain est le BUAUEBIAEEEIII.

Quelle réalité y a-t-il derrière ce facteur inconnu de vous, hommes de la Terre ?

Le BUAUE BIAEEIII (B.B.) (Le nombre de lettres écrites signifie que dans notre phonétique nous étirons ces sons) est une entité capable de relier entre eux les éléments d’un réseau social humain ou animal.

Bien que vous pensiez que l’unique lien entre animaux du même genre ou espèce soit de nature acoustique ou tactile et chimique ou par phéromone, en plus de celui qui s’établit par les moyens visuels, il n’en est pas exactement ainsi.

Quelle est la nature de cette espèce de psyché collective : le B.B. ?

Bien sûr, elle n’est pas d’origine olfactive, visuelle, tactile, électromagnétique, ni conformée par les paramètres physicochimiques connus.

La « psyché collective » ne se réalise pas, comme le postulait ingénuement l’auteur de la Terre, Jung, par des voies génétiques. Il n’est pas possible d’enregistrer des souvenirs dans nos fondements biochimiques de l’acide nucléïque ADN, puisque ceux-ci transmettent par voie génomique uniquement des caractères structuraux physiologiques et anatomiques, c’est-à-dire de simples codages de chaînes d’aminoacides (protéines et polypeptides) qui donneront lieu à des configurations de tissus de cellules de morphologie et de distribution spatiale différentes. Mais pas de codage de souvenirs ou d’information liés à NOTRE CULTURE.

De sorte que si un de nos ancêtres étudia un passage de l’Histoire de Ummo ou si un de vos pères mémorisa un passage de l’Iliade, un tel souvenir ne peut pas être transmis à travers l’ovule ou le spermatozoïde légué à leurs descendants.

Vous avez vous-mêmes observé une riche phénoménologie associée à la suggestion des masses. Ainsi, de même, votre propre culture est bourrée de mythes universels, d’idées paradigmatiques que l’on n’arrive pas à expliquer par une interprétation simple de transfert culturel audio-informationnel, transmis simplement par voie orale.

Même au risque de sembler nous répéter nous utiliserons le mot espagnol SIMPLE pour étayer notre idée. Une évaluation aussi SIMPLE ou FACILE ne peut permettre d’expliquer qu’il existe tout un plan d’idées, concepts, métaphores, souvenirs, symboles, notions, seulement imbriqués, superposés comme des écailles, dans les livres, les cerveaux, les audiocassettes ou les disques.

Nous allons exprimer cette idée et la développer. En effet, l’information peut s’enregistrer de nombreuses façons. Un texte ou une image, une mélodie ou une séquence phonique verbale, un symbole ou une impulsion peuvent être codés, comme vous l’avez découvert dernièrement, en unités d’information (pas nécessairement binaires), se graver sur une feuille de papier en caractères que vous appelez d’imprimerie ou se transférer par un canal utilisant n’importe quelle forme d’énergie ou de réseaux atomiques. (Dans le premier cas, comme exemple, le canal acoustique ou ondes de pression dans un milieu gazeux, et dans le second cas : des lettres ou des cassettes envoyées par la poste)

Il est évident que vous, et nous également, gravons dans notre encéphale (Note 3) tous les stimulus que nous pouvons enregistrer en provenance de nos neurocapteurs.

Note 3Dans le WAAM tridimensionnel dans lequel nous vivons, les « choses » sont constituées d’IBOZSOO UHUU (I.U.). Une ronce de la Terre ou un IXIISII (animal volant de Ummo) ne sont rien d’autre que des réseaux d’I.U.. Mais, nous pourrions croire que de tels I.U. , dans leur réalité extérieure, sont situés dans le même ordre que les points de l’image que capte notre neurencéphale. Il n’en est pas ainsi. Nous captons des angles définis par des I.U. complémentaires. Ce flux (« désordonné ») de données arrive au réseau de neurones et c’est celui-ci qui les ordonne en référence à des patrons d’images mémorisées dans B.B. (Ndt: voir les D59) Dans ce cas, depuis la création du WAAM-WAAM, B.B. agit comme un organe universel générateur de formes et d’images, comme nous le nuançons dans la note 10.

De cette façon, vous pourrez comprendre que les formes que nous voyons, les configurations d’un carré ou la couleur NOOSOEE (verte) d’un arbuste de la Terre, n’existent pas dans le monde extérieur telles que nous les percevons, (mais)seulement dans le B.B., (mais par contre il est certain qu’il existe une relation ou correspondance que vous appelleriez biünivoque entre une couleur (image dans le B.B. et le cerveau) et un quanton électromagnétique photonique de notre WAAAM).

Les patrons séquentiels d’impulsions bioélectriques dans le réseau neuronique encéphalique ne ressemblent en rien à un triangle ou à la couleur orange.

Si B.B. n’existait pas, nous ne prendrions pas conscience des formes et des couleurs, mais seulement d’impressions purement « émotionnelles » confuses et diffuses.

En résumant notre compte-rendu abrégé : L’OEMII capte des patrons d’énergie correspondant à QUELQUE-CHOSE du WWAAMM. B.B. emprunte le cliché correspondant pour configurer ce qui a été perçu, en tant que forme, couleur, son, toucher, odeur, etc… et BUUAWUA (B.) (Âme), à l’égal de B.B., emmagasine cette information qui doit servir à diriger la conduite de l’OEMII. Mais observez que B. emmagasine uniquement les expériences d’UN CERVEAU, tandis que B.B. fond de telles expériences en un ensemble d’alluvions qui intègre des trillions ( 1018) d’expériences d’êtres humains.

Nous hommes d’Ummo utilisons deux moyens de codage de l’information dans notre cerveau. D’une part, création d’unités synaptiques à médiation biochimique, et d’autre part, création de séquences de polypeptides, c’est-à-dire de petites séries d’aminoacides qui, quand elles ont besoin d’être décodées (évocation mnésique), activent le potentiel de la membrane neuronique.

Jusqu’ici nous n’avons rien dit de neuf que vous ne sachiez déjà, excepté le système polypeptidique d’information. Pour vous, une pensée de Pascal ou de Marx, une poésie de Rilke ou la description d’une machine à tricoter, une symphonie de Bruckner ou un symbole alchimiste médiéval, est soit contenu dans une encyclopédie, soit gravé sur une bande, soit codé dans les cerveaux d’érudits.

Et ceci est totalement certain, mais insuffisamment certain !

Que se passerait-il si votre cinglée de Société terrestre finissait par se consumer dans un épouvantable destruction due aussi bien aux bombes fission-fusion-fission, aux armes à plasma ou à une annihilation chimique?

Les livres, les bandes, les disques-lasers, les manuscrits anciens, les monuments et les cerveaux disparaîtraient peut-être ! (Nous sommes en train de parler de manière métaphorique, puisque n’est pas réalisable une hécatombe qui détruirait si bien la vie humaine sur la OYIAA, qu’elle désintègrerait absolument toutes les traces de votre culture). Mais accordez-nous au niveau de l’hypothèse que cela puisse arriver.

Cela implique-t-il que l’annihilation de l’information codée, annihilerait en même temps toute trace de la culture accumulée pendant des siècles de Réseau Social ?

La réponse est : NON.

Les feuilles de cellulose disparaîtraient par le feu, l’acétate de cellulose des bandes magnétiques fondrait, les sveltes structures du Parthénon, les pyramides égyptiennes et la cathédrale Notre-Dame, verraient leurs pierres de taille réduites à des particules de silice fondues, les neurones de milliers de millions de cerveaux d’Oemmii terriens se volatiliseraient… Mais les symboles, les images de Picasso ou les aquarelles de George Grosz, les anciens chants de guerre du peuple zoulou, les antiques mantras hindous, et les images poétiques de l’Apocalypse, les contes humoristiques de Masreddine Houdscha, les équations de Maxwell ou la configuration de la svelte tour du palais Vecchio, y compris lescent soixante-dix mille quatre cents deux feuillesmécanographiées (Note 4) que mes frères d’Ummo ont distribué jusqu’à aujourd’hui parmi les OEMMIIS de la Terre, et qui seraient dans ce cas réduites en cendres : elles ne disparaîtraient qu’uniquement dans leur aspect formel et matériel. L’énergie et la matière se seraient entropisées, mais l’information NON.

Note 4 – Nous avons envoyé un nombre de 3.860 pages, comprenant les textes, tables, diagrammes et graphiques en couleurs, à vos frères de diverses nationalités. De beaucoup de ces originaux ont été faites des centaines de copies qui constituent le montant de feuilles cité. Nous possédons dans beaucoup de cas des images obtenues par nos UULUUEWUA (« caméras photographiques » volantes ou lévitantes). Dans d’autres cas, nous pûmes obtenir des copies sur le papier carbone que vous utilisez en dactylographie, ou des feuilles photocopiés par les procédés d’OYAAGAA. Mais malheureusement nous avions perdu l’occasion de reproduire nombre de ces textes, dictés à des dactylographes de la Terre, ce qui aurait constitué un précieux élément pour l’histoire des relations entre les deux réseaux sociaux d’UMMO et de la TERRE.

Comment cela est-il possible ? Si le support de l’information disparaît, l’information disparaît.
Oui. Mais ceci n’est vrai que si la dite information n’a jamais été enregistrée par un cerveau. Imaginons dans une lointaine galaxie, un nuage de poussières cosmique. Un tel agglomérat de molécules gelées possède une forme à l’instant X. Et ceci représente une séquence informative. Imaginons deux situations distinctes. Dans l’une d’elles, les habitants d’une OYIA (astre froid) recueillent grâce à des instruments de mesure astronomique l’image de la Nébuleuse granulaire et la mettent en mémoire. Dans l’autre situation, bien plus probable, aucun être hominien ne peut capter son image (c’est-à-dire le spectre visible, ultraviolet, infrarouge, etc, de la configuration pulvérulente).

Nous avons ici, hommes de la Terre, deux situations radicalement différentes. Dans la deuxième, une fois que les tensions gravitationnelles internes ont déformé la structure localisable à l’instant X, l’information disparaît pour toujours dans n’importe quel plan de l’Univers (Nous appelons « plans », les faisceaux de dimensions).

Dans le premier cas, le cerveau de l’homme transfère la configuration (non telle qu’elle est dans le monde réel, mais codée) au BUAUE BIAEEII (B.B.), de sa constellation humaine, c’est-à-dire de son réseau social. (Note 5)

Note 5 – Nous ne pouvons pas dire que la perception du patron énergétique de cet arbuste, qui nous arrive à travers des neurocapteurs (en partant de la rétine), soit contemporaine de la réception IMAGE reçu par B.B., puisque le Temps n’est pas simultané dans les deux systèmes ou « waam ». Il y a donc communication mais il n’y a pas simultanéité. L’OEMMI est un continu spatiotemporel et ce TOUT (qui s’étend depuis sa naissance jusqu’à sa mort) se met en contact avec B. et B.B., mais pas tout du long du Temps, bien que les sauts quantiques des atomes de krypton pourraient nous le faire croire d’une manière illusoire. (Voyez, monsieur, la note suivante)

Cette perception d’un arbre d’eucalyptus à l’instant où il est cinglé par la brise se fait en un D t (Ndt : micro-instant défini), c’est-à-dire : en un couple d’I.U..

Et maintenant nous allons être plus explicites.
Nous appelons HAYIULLISAA une structure formée par des êtres humains reliés entre eux (Réseau socialisé). Le Réseau social n’est pas seulement un ensemble de nœuds représentés par les humains, dont les liaisons d’action sont de simples relations transactionnelles ou interpersonnelles d’échanges mutuels de stimulus, de signaux d’information, ou même d’argent, comme l’impliquent les relations de travail et de rétribution dans un système économique équivalent à celui de la Terre. Les branches entre les nœuds du Réseau représentent bien plus ; non seulement des flux informatifs, des flux de matière, comme quand nous remettons à un autre OEMII (Humain) un objet tel qu’une branche de santal, ou des flux d’énergie comme quand nous appuyons avec le coude sur le dos d’une autre personne. Nos cerveaux sont reliés entre eux par des canaux informatifs qui mettent en liaison les structures mnésiques (mémoire) avec un plan ou faisceau de dimensions différent de celui de la psyché et évidemment différent du faisceau de dimensions qui constituent le champ de forces qui constituent l’univers directement accessible à nos organes sensitivoafférents (le plan des choses matérielles que nous voyons, nous touchons ou sentons).

L’être humain terrestre comme l’OEMII de Ummo, tel que nous le percevons, est une section d’une structure pluridimensionnelle beaucoup plus complexe (C’est comme une tranche de fruit. Il nous est possible de percevoir la surface plane de la section, mais non sa structure stéréospatiale). Voyez le graphique tracé avec des mines de crayons de couleurs : dessin n° 0. (Mais tenez compte qu’il s’agit d’un graphique symbolique, puisqu’il est impossible que les canaux d’information qui nous relient au BUAUE BIAEII soient tubulaires ou cylindriques, comme ils sont représentés sur l’image graphique).

Deux types de flux informatifs nous relient à l’Âme Collective ou BUAUe BIAEII (le « e » se prononce comme une synthèse de A et E) :

L’un d’eux, afférent centrifuge, délivre l’information à cette psyché universelle.

Quand quelqu’un nous humilie, nous ne ressentons pas seulement le stimulus verbal, formé de séquences de phonèmes qui dans cette langue représentent une syntaxe et sémantiquement une insulte. Ce train de mots est entouré d’un halo émotionnel qui affecte le système limbique de l’OEMII ou « siège des affects » du cerveau. Notre cerveau lance alors un « cri » de douleur qui est véhiculé vers l’Âme Collective. En réalité, c’est une séquence de données qui est transférée. De sorte que cette entité accumule toute la charge d’informations composées par des milliers de millions d’expériences affectives correspondant à tant d’autres êtres humains.

Nous voudrions établir une grossière comparaison avec un lac, dont les eaux stagnent en provenance de millions de ruisseaux, si ce n’était que l’image où le modèle réel est bien plus complexe.

Et c’est bien le cas puisque existent d’autres canaux de transfert qui unissent les cerveaux du Réseau Social avec cette Psyché Collective. Nous devons préciser qu’il s’agit d’un flux centripète. Ce sont des cordons ombilicaux qui nous unissent à notre « mère » BUAUE BIAEII, au point de nous transférer une partie de l’information accumulée, bien que convenablement modulée. Avant de clarifier ce dernier point, il faut préciser les genres d’information qui s’écoulent depuis les OEMII (Corps humains) jusqu’à l’âme collective (B.B.).

Evidemment, ce ne sont pas seulement nos expériences affectives et traumatiques qui parviennent jusqu’à cette entité universelle. Non seulement nos souffrances et nos joies, mais encore n’importe quelle séquence de données obtenues grâce à l’accès au monde extérieur ou bien par l’intermédiaire de nos processus mentaux.

La perception (Note 6) d’un arbre d’eucalyptus ou l’arôme de quelques molécules d’éthyl-mercaptan est transféré au B.B. de la même manière que le processus intellectuel qui se produit quand nous réfléchissons sur le problème éthique de l’euthanasie.

Note 6La conscience est gérée par B.. En réalité, aussi bien l’arbre que l’OEMII est un TOUT spatiotemporel qui EXISTE en soi. La conscience est comme un projecteur explorateur qui illumine une vaste galerie, section par section, (c’est-à-dire instant par instant). Imaginez que ce long corridor soit plein de meubles et d’ustensiles et que vous avanciez lentement dans l’obscurité avec une faible lanterne qui vous permet seulement d’apercevoir un étroit passage idéal, c’est-à-dire progressivement une section de ce grand couloir.

Le futur est donc constitué (les meubles du corridor encore inexplorés). Mais, de cela nous pouvons – si nous prenons cette métaphore ou image au pied de la lettre – déduire que le futur est déterminé, et que par conséquent nous sommes privés de liberté.

Il n’en est pas ainsi. La forme de ce corridor, c’est-à-dire la somme des conduites de l’OEMII est une fonction complexe qui façonne sa propre structure spatiotemporelle.

Quels facteurs la façonnent ? En premier lieu, son environnement dans le WAAM, c’est-à-dire les patrons énergétiques qui interagissent avec le corps, y compris l’information dans le génome ou l’ADN des gamètes.

Mais, surtout le B. ou Âme, grâce à cette information qui est accumulée en même temps dans le B. (globalement pendant le temps total de l’existence).
Et le B.B. influence intensément aussi
, c’est-à-dire l’action filtrée par B.B. de tous les êtres de l’humanité qui ont existé.

Le B.B.n’est-il donc qu’une simple banque de données ? Jusqu’à maintenant notre description semble représenter une gigantesque mémoire où s’accumulent des millions de gigabits en provenance de millions de capteurs terminaux périphériques. Mais, B.B. n’est pas uniquement une base de données macrocéphale. En premier lieu parce que le transfert d’information ne se limite pas à des configurations neutres de données qui permettraient par exemple de se contenter de reproduire dans le B.B. une toile de Léonard de Vinci, cet artiste de la Terre que nous admirons tant nous les OEMII d’Ummo.

Quand dans vos ordinateurs vous utilisez une matrice de diodes, par exemple, ou une mémoire à bulles magnétiques pour coder l’information, vous pouvez aussi, pourvu que sa capacité soit grande, stocker l’information contenue dans la Joconde, si vous explorez avec une résolution suffisante, point par point, la superficie en exprimant la nature chimique de chaque molécule de pigment, non seulement celle contenue sur le plan rugueux de la toile, mais aussi celles situées dans les plans inférieurs, qui peuvent se voir à travers les milieux gras déjà quasi solidifiés et semitransparents qui constituent l’huile.

Non ! Il est nécessaire de vous transmettre la notion que cette information est toujours associée à une note émotive paramétrisable.

Bien que ce soit difficile, nous pouvons vous dire que – de la même manière que, pour transmettre une photographie, vous représentez chaque point par deux chiffres qui indiquent la position dans un repère à deux dimensions, et par six autres destinés à fixer non seulement les trois composantes de sa couleur (chromatisme) mais aussi leur valeur respective d’intensité, – le B.B. ne recevrait pas seulement un plus grand nombre de données pour chaque point, mais encore une information complémentaire associée à la constellation émotionnelle des données apportées.

Observez que nous changeons de machine à écrire. Maintenant nous utiliserons un modèle Hispano Olivetti Studio 46, également employé pendant longtemps et qui servit en Espagne pour écrire les premiers messages dans ce pays. La raison en est claire. Au moyen d’une expertise, vous pouvez contrôler l’authenticité du graphisme typographié dont les erreurs de format typopgraphique, la distance entre les caractères, la déformation des lettres, les différents niveaux de pression, qui vous permettront de constater son authenticité, en évitant que ce texte soit confondu avec d’autres apocryphes).

LES CANAUX VERS LE BUAUEE BIAEEII (B.B.)

Ces canaux qui nous relient au plan psychique collectif, n’ont pas une nature énergétique, c’est-à-dire : la porteuse n’est pas un flux d’énergie comme celui que vous utilisez, par exemple, dans la transmission électromagnétique de télévision. Ce ne sont pas non plus des canaux discrets (NdT: « discret »: composé d’éléments séparés). Observez que ce que vous appelez des CANAUX CONTINUS (Note 7) ne le sont pas en réalité, puisque le Temps est discret, c’est-à-dire quantifié.

Note 7 – Les canaux auxquels nous nous référons sont constitués par une valve d’entrée (Atomes de krypton) et un flux d’information au sein de B.B.. Ce flux joue le rôle d’un neurone au sein de ce gigantesque cerveau qu’est le B.B..

Nous autres, OEMII de UMMO utilisons de nombreux types de canaux d’information. En général, ceux de caractère électromagnétique utilisant des porteurs de très haute fréquence, pour deux raisons : Pour éviter les perturbations du champ magnétique d’Ummo, qui, si sur OYAAGAA ne dépasse pas une valeur d’environ 0,5 gauss, sur Ummo atteint parfois des valeurs supérieures à 213 gauss. Mais surtout ils permettent d’émettre simultanément un grand nombre de messages. Les autres porteurs sont des quantons gravitationnels et des faisceaux de neutrinos. Et également des particules OOYIESOOA encore inconnues de vous. Mais tout cela n’a rien à voir avec ces canaux intercosmiques.

Ainsi quand vous utilisez le réseau téléphonique, vous pouvez croire que vous transmettez un patron ou une fonction continue, alors qu’en réalité il s’agit d’un échantillon à haute résolution. Sur Ummo nos canaux sont de fréquence très élevée (de l’ordre du gigahertz). Mais il s’agit aussi de canaux discrets dans lesquels on ne peut éliminer totalement le bruit de fond.

Les canaux OAWOO NIUASSOO relient deux « plans » distincts de l’Univers. L’un d’eux est constitué d’un faisceau de dimensions spatiotemporelles composé d’éléments IBOZSO UU (Particules subatomiques) ; les animaux que nous voyons, les faisceaux de lumière, les champs électromagnétiques, la force gravitationnelle ou les interactions entre particules nucléaires, en font partie.

Il est vrai que les choses ne sont pas telles que nous les voyons. Un objet réel, comme un arbuste plein de floraisons, nous apparaît comme une forme tridimensionnelle avec des couleurs vert sombre et peut-être mauves, si les fleurs le sont, en fonction des radiations chromatiques absorbées par ses atomes.

Mais, L’ARBRE-QUE-NOUS-VOYONS (Note 8)ou percevons, n’a rien à voir avec l’ensemble structuré d' »iboszoo uu » (particules) qui EXISTE-EN-DEHORS-DE-NOUS.

Note 8 – Les patrons bioélectriques de l’ARBRE-QUE-NOUS-VOYONS passent au BUUAUANN IESEE OA (SUBCONSCIENT) et de là à O., c’est-à-dire à la configuration de gaz krypton qui transfère l’information à B. et à B.B..

Les patrons énergétiques qu’il émet sont traduits par les neurocapteurs sous forme de patrons de potentiel électrique de la membrane neuronale et c’est notre cerveau qui intègre toutes les données. Jusqu’ici, nous ne vous disons rien de nouveau et vos spécialistes en Gestalt l’ont compris ainsi sur la planète Terre.

Mais, qui intègre ces patrons pour donner l’image universelle d’un « ARBUSTE »? La réponse est la : PSYCHÉ COLLECTIVE.

Il s’agit d’un autre plan de l’Univers multidimensionnel, formé aussi de faisceaux de dimensions. Ce n’est pas un Univers comme celui que nous percevons, plein de galaxies formées par des nuages de gaz et de poussières, d’étoiles en formation, de novas et d’étoiles froides, de planètes refroidies comme celles d’Ummo et de la Terre, de planètes quasistellaires, chaudes avec une croûte quasi incandescente où aujourd’hui la vie ne peut pas fleurir. NON.

Ce plan ou Univers PSYCHO-SOCIAL est lui aussi formé de singularités (Note 9) ou de concentrations de matière et d’énergie. Il est aussi anisotrope que le nôtre.

Note 9 – Il n’est pas possible de voyager jusqu’à lui. Sa masse globale est infinie. S’il n’y avait pas l’énergie quasi infinie apportées par les rares collisions de masses de signes différents, les mutuelles attractions gravitationnelles dans ce WAAM également en expansion, l’auraient fait se condenser de manière permanente en un noyau ponctuel et dense de « Ibozsoo uhu ».

WAAM est le patron du WAAM-WAAM.

Quand WOA (Dieu) engendra le WAAM-WAAM, en réalité il engendra les premières formes dans le WAAM

S’il n’y avait pas eu l’influence divine, WAAM serait isotrope, un « cristal » en expansion et compression continue (en un temps élémentaire défini par deux I.U.), il s’éxpanserait puis recommencerait à se comprimer, puisque son isotropie empêcherait que des masses de signes différents se rencontrent pour former de nouvelles expansions locales et maintenir ainsi une anisotropie. Mais l’infinitude de la masse empêcherait à son tour l’expansion isotrope de durer.

Quelle fut la cause de la formations de singularités dans notre Univers : galaxies, poussières et gaz intergalactiques ou galactiques, étoiles et astres froids ?

Tout simplement les perturbations que nous provoque l’Univers adjacent, qui à son tour est perturbé par un autre et ainsi de suite jusqu’à arriver à l’Univers de masse infinie que nous appelons WAAM

En ce sens, vous comprendrez pourquoi nous disons que WAAMest le patron de tous les Cosmos, patron dont l’information initiale fut engendrée par WOA (Générateur ou Dieu).

Ensuite : le WAAM se convertit en un cerveau cosmique divisé en une multitude de cellules ou d’enceintes que nous appelons B.B..

Ce n’est pas un »cristal », dans le sens où sa configuration dans son propre environnement ne présente pas de régularité géométrique. Cependant son degré de complexité est élevé. Nous pourrions dire que son niveau d’entropie est très bas. Sa densité d’information par WAALI cubique est de l’ordre de 8,345.1071 bits.(8345 par 10 élevé à la puissance 76) (Un WAALI vaut approximativement 43.700 années lumière).

Cette densité moyenne d’information est très proche de la densité en bits par cm2 de cette feuille mécanographiée.

Le BUAUEE BIAEEII est une structure immense comme peut l’être notre Univers, bien qu’elle ne puisse être mesurée en termes d’années-lumière, puisque cela n’a pas de sens d’évaluer une quelconque de ses dimensions en WAALII ou en mètres. De plus sa complexité organique est grandiose. Il est vrai que pour le mesurer nous avons utilisé l’artifice de prendre une de ses dimensions équivalente à la classique longueur dans notre Cosmos, et qu’encore ainsi sa densité d’information soit plus basse (votre cerveau atteint une densité de 1019 bits / cm³), tandis que le B.B. ne serait pas supérieur à 104 (10.000) bits/cm³.

B.B. est une « centrale cosmique » capable de traiter l’information.(Note 10)

Note 10 -Le WAAM non seulement mémorise et traite les patrons intellectuels et émotionnels des êtres vivants du multicosmos, mais de plus il régit toutes les formes et singularités du WAAM WAAM.

Ainsi, il dirige l’évolution des êtres vivants, c’est-à-dire des êtres néguentropiques (les êtres qui évoluent contre l’entropie ambiante du Cosmos qui les entoure). Cette évolution est gérée par des mutations et la sélection du milieu, comme l’ont découvert les scientifiques de la Terre, non pas de façon sauvage et aveugle mais modulée et dirigée par le WAAM qui interagit avec les êtres vivants en évolution par l’intermédiaire du BAAIYODUHU (Chaînes de Kr découverte dans un laboratoire d’Ummo par INNAEI 3 engendré par INNAEI 2).

Que se passe-t-il quand un OEMMII (humain) meurt ? Naturellement l’OEMMII se désintègre, comme vous savez, en ses atomes constitutifs en se confondant avec le milieu chimique environnant.

A l’instant de la mort, O., c’est-à-dire les atomes de krypton, cessent d’exercer leur fonction. Mais au contraire, B. (l’âme) se connecte complètement par l’intermédiaire des valves qui unissent les deux WAAM ( WAAM et WAAM ) de sorte que cela équivaut à une véritable intégration quasi totale de l’âme dans l’âme collective, où elle participe à toutes les connaissances accumulées par l’humanité.

Ceci est notre connaissance scientifique de la transcendance après la mort d’un OEMII.

Un réseau d’IBOZSOO UHUU agit comme une valve entre B. (l’ÂME) située dans le WAAM et le B.B. inséré dans le WAAM , permettant une « intégration » quasi absolue entre les deux entités. C’est WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU) qui fixe les caractéristiques de cette chaîne d’I.U. (valve d’information) en un « temps » déterminé.

Si l’OEMMII, dans les domaines où il est responsable et libre, tout au long de sa vie a violé les lois UUAA (ÉTHIQUES), il est nécessaire de transformer la structure de son information codée dans . N’oubliez pas que l’ÂME ne pense pas, que c’est une simple matrice de données gelée. Elle ne peut traiter son propre monceau d’informations qu’uniquement avec l’aide de B.B..

La psyché peut se voir condamnée à subir une « capacité » lente d’utiliser son propre EGO (information codée en son sein) et à ne pas participer à la complexité dense de B.B..

Mais WWOA peut, si l’homme a respecté les normes morales pendant son existence ou après la correction de sa structure une fois décédé (reconformation), permettre que ce réseau d’I.U. lui offre un flux de communication excessivement plus dense que celui que nous expérimentons dans le cours de notre existence comme êtres vivants dans notre WAAM.

Dans ce cas, « l’intégration » du (ÂME) dans le B.B. est si intense que celle-ci partage l’immense volume de données de l’ÂME COLLECTIVE. Sa vision intellectuelle de WOA (Dieu) s’accroît. Elle pénètre dans la connaissance profonde du Cosmos, de l’évolution des êtres, des vastes « connaissances » (information intellectuelle et affective ) contenues dans le B.B..

Observez que, d’une certaine façon, cette notion escatologique coïncide, avec une certaine exactitude, avec l’estimation théologique du christianisme d’OYAAGAA sur le salut.

Ce que vous appelez le Purgatoire est dans ce cas le processus de RECONFORMATION, qui se réduit au fait que WOA limite à un certain degré cette participation de B. dans B.B., en réduisant à des degrés différents la valeur du Canal ou valve qui sépare les deux WAAM : ( et  ).

Ce que vous appelez « GLOIRE ou SALUT » est l’intégration complète de l’Âme, non pas exactement en DIEU, mais dans une si grandiose création de WOA comme l’est le B.B. (ESPRIT COLLECTIF). Nous pouvons imaginer la merveilleuse « extase » ou « jouissance » que notre esprit peut expérimenter, non seulement du fait que soit permis que l’information « enregistrée » en lui soit traitée d’une manière fluide (l’esprit par lui seul ne pourrait le faire), mais encore en participant et en bénéficiant de TOUTE l’immense information contenue dans le WAAM-WAAM

Par l’intermédiaire du il pourra communiquer avec les autres de ses frères décédés, et comme chaque participe de la matrice d’information imprimée dans le WAAM depuis le moment de sa création ou génération (N’oubliez pas que WAAM a pour but de conformer les singularités de tout l’ensemble du WAAM-WAAM.), son esprit pénètrera dans les secrets les plus intimes du Cosmos multiplanaire (les Univers).

Pourrait-on imaginer, – exprimé en language quotidien, – une plus grande joie ?

De plus le WAAM est éternel. Certains Univers, ceux qui possèdent une masse supérieure à la masse critique, collapseront puis entreront en expansion éternellement. D’autres, ceux de masse souscritique, continueront leur expansion éternellement. Mais quant au WAAM qui compense son attraction gravitationnelle, due à la masse infinie en son sein, par l’énergie apportée par l’impact de masses +m et -m et par la reconversion postérieure d’énergie en masse à l’intérieur d’un cadre où C = ¥ (infini), l’éternité de sa structure est assurée. (Son rayon est constant).

Le plaisir de l’ÂME ainsi « intégrée » (interconnectée) ne sera plus en rien « statique ».

Les théologiens de la Terre semblent oublier que si l’Âme participe à une connaissance même infinie, la situation « statique » de cette participation supprime toute possibilité de plaisir de découvrir de nouveaux aspects de la connaissance.

L’esprit réel au contraire bénéficie pleinement de cet « échange ». Parce que B.B. n’est pas une entité « statique ». Non seulement l’humanité accroît sans cesse le montant de ses connaissances pendant la vie, mais encore à mesure que le WAAM-WAAM évolue tout au long de son éternité (une partie de ses Univers en s’expansant éternellement perdent toute singularité et l’entropie devient maximale, mais, dans d’autres, l’entropie est fluctuante), le fond d’information de tout le WAAM s’enrichit. (Ne confondez pas le WAAM avec . Ce dernier est une partie cellulaire de cet Univers).

Et ceci en supposant la pire situation où n’existerait aucune communication entre les différents , correspondants à tant d’autres humanités planétaires, une énigme qui nous passionne et que nous n’avons pu percer.

Imaginez le degré de plaisir d’une Âme qui en plus de participer à l’immense information apportée par une humanité (la sienne) et aux secrets cosmologiques de milliers de Cosmos (sûrement en nombre infini) pourrait participer aux singularités spécifiques à d’autres civilisations planétaires ?

Peut-être en est-il ainsi, mais jusqu’aujourdhui, nos scientifiques et théologiens n’ont pas pu arriver à une réponse affirmative.

Vous ne devez donc pas vous cacher l’énorme transcendance de B.B. . Sans lui, l’esprit individuel serait comme un vieux manuscrit d’OYAAGAA enfermé pour l’éternité dans une cave obscure. Sans pouvoir penser, sentir, ressentir, se lire soi-même, traiter en somme le riche contenu des livres et des dessins d’art en couleurs enfermé dans leurs nobles pages de parchemin. Ceci est la raison pour laquelle, quand vous perdez « la conscience » à cause d’un traumatisme, de la désafférentation du système réticulaire par exemple, de l’anesthésie ou de certaines phases du sommeil, l’âme semble ne « pas exister ». Les Théologiens de la Terre s’en sont-ils demandé la cause?

Ces notions vous sembleront étranges et lointaines par rapport à vos propres idées. Mais, un jour, vos scientifiques les découvriront comme l’ont fait les nôtres.

En attendant ce moment, acceptez les comme une partie de l’information que vous possédez sur la culture d’OIAUMMO.

Le B.B. est constituéde GUU DOEE (contours ou cellules). Une image serait, pour nouscomprendre, « les galaxies de notre Univers », sauf que dans le B.B. il ne s’agit pas de configurations nébulaires de poussières et de soleils, mais d’enceintes, de parties à cinq dimensions. Dit autrement : ce plan cosmique ou B.B. est subdivisé en d’autresB.B.ou psychés universelles, chacun d’eux correspondant à une humanité planétaire (La confusion que vous pourriez observer vient de ce que nous appelons B.B. (BUAUEE BIAEEII ) non seulement l’Âme collective de UMMO ou de la Terre, mais aussi le plan cosmique (c’est-à-dire du multiunivers) qui contient tous les B.B. des différents réseaux sociaux qui peuplent notre Univers tétradimensionnel. Nous l’appelons ainsi puisque ce sont les quatre dimensions les plus perceptibles.

Le plan cosmique B.B. contient des milliers de millions de B.B. correspondant à autant d’humanités. C’est le B.B. de l’humanité de la Terre qui, en connexion avec votre cerveau, traite l’information reçue, engendrant la conception des choses.

C’est un processus holistique. L’arbuste que vous percevez, non seulement vous évoque des souvenirs agréables (un buisson de jasmin peut s’auréoler de souvenirs agréables pour vous s’il vous rappelle un agréable voyage en Grèce dans votre enfance) mais le jasmin en soi est euphorisant pour vous.

Pourquoi l’est-il ? Pour la simple raison que des millions de jasmins ont pu évoquer des souvenirs agréables à tant d’autres personnes, tandis que d’autres millions de serpents ont accumulé dans leB.B.une charge d’angoisse que vous percevez, bien que vous n’ayez jamais touché un ophidien.

B.B. accumule des milliers d’années d’angoisse sociale, de souvenirs, de tortures, d’évocations de guerre, mais aussi des symboles universels, la remémoration d’agréables fêtes, la réminiscence de métaphores et de mélodies.

Quand de nombreux OEMII dansent dans le cadre d’une fête populaire brésilienne, il existe une harmonie évidente entre les composants de l’ensemble qui leur permet de coordonner leurs mouvements chorégraphiques, bien que les danseurs gardent les yeux fermés.

Au cours d’un incendie, la réaction collective ressemble apparemment à celle d’un organisme vivant dont les cellules se déplacent par un tropisme collectif. Quel facteur psychosocial coordonne tous les humains dans un regroupement grégaire? Depuis une manifestation politique (desquelles vous êtes si passionnés) jusqu’à notre grégarisme discipliné du Gouvernement Général de UMMO, depuis une communauté religieuse de l’Eglise Catholique Romaine jusqu’au suicide collectif des sectaires au Guyana (novembre 1978).

Les idées universelles de Dieu, l’âme, l’amour, la haine.., ne seraient pas en vigueur dans votre culture et la nôtre si elles ne venaient pas de nos B.B. respectifs. Vos anthropologues se sont parfois étonnés de la cause qui rend possible que des mythes comme le Déluge se soient développés dans des cultures diverses.

En première approximation, on pourrait croire que des voyageurs de l’une ou l’autre société auraient pu transmettre de l’une à l’autre la légende. Mais cette hypothèse s’écroule facilement quand de tels mythes primordiaux apparaissent simultanément sur des continents qui n’étaient pas en relation à ces époques où les voies de communication étaient presque inexistantes.

Les canaux OAWOO NIUASOOO NE SONT PAS DISCRETS !!! L’information se propage par des patrons qui sont d’authentiques fonctions continues, et le rapport signal-bruit est infini, ce qui lui permet de ne pas être redondante. Le bruit est inexistant, chose que nous n’atteindrons jamais même avec la technologie la plus sophistiquée. La vitesse de transmission est quasi infinie. A tel point qu’il est seulement nécessaire de tenir compte du temps peu rapide de propagation de l’information le long des réseaux neuroniques du cerveau, mais une fois que le OEMBUAUU (chaîne d’atomes de krypton) a codé le message, la psyché BUAWUAA et B.B. reçoivent simultanément les deux informations, celle appelée LAAIYAA (émotionnelle) et la EESEE OU (intellectuelle). Cette dernière se propage par résolution quantique ; la première est globalisée ou comme vous diriez holiste, intégrée ou gestaltiste.

C’est pourquoi B.B. traite l’information accumulée par votre humanité (vous savez déjà que nous, sur Ummo, avons comme réseau social notre B.B.) et l’élaboration définitive sous forme de grands paradigmes universels, il la retourne aux hommes de la Terre.

Il reste à mes frères spécialistes d’Ummo, à résoudre l’énigme passionnante de savoir si les différents B.B., correspondant à tant d’autres civilisations planétaires, peuvent s’interchanger l’information. Au jour d’aujourd’hui, nous n’avons pas trouvé d’indice fiable que cela se produise ainsi.

AOXIBOO 3 (fils de) IRAA 6

Le graphique joint est réalisé par mon frère, en utilisant la feuille de cellulose et des crayons de couleurs en plus de feutres d’OYAGAA.

Le diagramme joint doit être interprété comme didactique et symbolique. En aucune manière, les images ne correspondent au système réel du WAAM-WAAM, puisque ses vraies formes sont trop complexes pour les représenter sur une feuille de papier et qu’elles en arriveraient à induire de la confusion.

  Représente le WAAM-WAAM ou ses trois plans ou notre propre WAAM au milieu des autres possibles en nombre infini.
   Le WAAM limite, de masse infinie, qui contient le B.B. ou BUUAWUA BIAEEII
   BUAWUUA BIAEEI ou cerveau psychique collectif d’où émergent autant de paires de OAUOO NIAUXOO qu’il y a d’êtres humains dans le réseau social
   Canal « centrifuge » (1) d’information, soit le OAWOO NIUASOO qui transfère l’information du B.B. dans le corps de l’OEMMII
   Canal « centripète » (1) qui transfère les données depuis l’OEMMII vers les entités psychiques
   Atomes de Kr qui agissent comme des vannes (relais) d’entrée et de sortie d’information entre les différents WAAM (univers)
   WAAM dans lequel nous vivons
   Flêche du temps
   Cadre dimensionnel qui, avec le temps, structure le WAAM réel
   OEMII tétradimensionnel, homme spatiotemporel
   WAAM de masse nulle, qui contient les divers esprits des êtres humains (un réseau d’Ibozsoo uuhu).
   Ces canaux n’existent pas en réalité. Ils se réduisent aux relais de Kr qui lient le WAAM réel que nous percevons avec le WAAM

 

Les « sphères » représentent les différents esprits humains , évidemment leur forme réelle n’est pas celle de volumes symétriques de rayon constant.

 

Bien qu’ils n’apparaissent pas dans le graphique, on sous-entend qu’entre les trois WAAM existent une infinité d’Univers, supposés accessibles, qui contiennent des singularités de masse et d’énergie.

(1) le concept « centrifuge » ou « centripète » est relatif à la source d’information considérée, comme vous le savez.

 

« Diagramme »

 suite, lettre 731


Fin  D357

Monsieur Juan, Nous avons tenté, avec ce rapport de forme très synthétique, de vous offrir une vision globale des interactions du WAAM-WAAM avec l’être humain. Notre désir n’est pas que vous assimiliez cette doctrine telle quelle (car nous prévoyons que les scientifiques de la Terre finiront par découvrir, dans les siècles à venir, ce que nous avec plus de XEE avons trouvé patiemment au cours de nos études, sans qu’ils possèdent une information sur nos concepts cosmologiques.

Nous désirons, Monsieur Juan Dominguez, que ces lignes ne soient pas trop diffusées. Nous savons que c’est difficile et qu’il ne dépend pas de vous que soient obtenues parfois quelques copies quand vos frères destinataires négligent notre demande. Mais si elle n’est pas acceptée par eux  nous retournerons les submerger de silence.

Nous vous saurions gré d’envoyer une copie de ce rapport d’abord à notre aimable ami que nous aimons affectueusement RAFAEL FARRIOLS CALVO, en le priant de ne pas distribuer de copies de ces formulaires dactylographiés et écrits au crayon de couleur.

Il nous agréerait aussi que reçoivent des copies avec la même prière les OEMMII de la Terre :

GERMAN DE ARGUMOSA JUAN  JOSE BENITEZ ALBERTO  BORRAS
DIONISIO  GARRAIDO LUIS JIMENEZ MARHUENDA JOSE  JORDAN
ENRIQUE LOPEZ GUERRERO JOAQUIN MARTINEZ ANTONIO MOYA
JAVIER MUELA QUESADA MANUEL TRIGO GANDOL RAUL TORRES HERREROS
HILTRUD NORDLIN JORGE BARRENECHEA ENRIQUE VILLAGRASA

Le critère de sélection des noms pour nos rapports est pratiquement aléatoire bien que parfois priment des considérations d’ordre technique pour l’exclusion d’un de vos frères. Les OEMMII non cités ne doivent pas se sentir humiliés. Nous répétons notre prière. Vous pouvez lire les copies mais non les reproduire. Naturellement, nous ne pouvons vous y obliger puisque vous êtes libres et ne violez aucune loi morale en refusant d’écouter notre demande mais comprenez que nous aussi nous jouissions de la liberté de cesser d’envoyer des rapports pendant plusieurs WEE aux hommes et femmes d’ESPAGNE.

Entendez que les copies non seulement sont envoyées aux hommes que nous citons par convention sociale du pays d’Espagne mais aussi aux YIIE auxquelles ils sont liés par des nœuds sentimentaux et conjugaux.

Permettez hommes d’Espagne que nous posions humblement notre main sur votre poitrine

 

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